Située à l’extérieur de la ville, le long de la côté, et disposant d’une plage privée, la
villa (http://img110.xooimage.com/files/7/f/3/villa-4dc058a.jpg) d’
Erelda Ichtora (http://img110.xooimage.com/files/4/c/5/erelda-1-4dc01e5.jpg) était le témoignage de toute la fortune, colossale, de la femme. La belle Yuki, à bord de la limousine qui la conduisait vers cette villa, ne devait probablement pas en croire ses yeux, en se demandant où elle avait débarqué, et comment il était possible qu’une jeune fille comme elle soit invitée dans une si vaste demeure. La riche villa comprenait une immense piscine à l’arrière, et de grands jardins qui entouraient la villa aux murs blancs et propres. La limousine s’arrêta sur la cour, devant l’entrée principale de la villa, et la chauffeure, répondant au doux nom de
Kato (http://img110.xooimage.com/files/3/a/5/kato-4dc05c7.jpg), en sortit pour ouvrir la porte de leur invitée.
Il y a quelques jours, Yuki avait reçu un curieux appel. Elle avait alors publié, depuis quelques temps, des annonces sur des journaux, vendant ses services comme actrice pornographique amatrice. Elle avait reçu un appel, émanant de la secrétaire de Ichtora-sama, et l’invitant à venir à la villa pour une offre de travail, avec une «
rémunération considérable ». Yuki avait accepté, et un rendez-vous avait été fixé chez elle, un chauffeur se présentant pour la conduire. Le chauffeur était venu avec une limousine, et s’était avéré être une superbe femme, aussi belle que professionnelle.
«
Je vous conduirais auprès de la villa, Madame. »
La limousine avait ainsi roulé pendant une bonne demi-heure, sortant de la ville, pour rejoindre donc l’entrée de cette belle villa. Kota laissa sortir la femme, mais, alors que Yuki venait de sortir, Kota posa une main sur son épaule... Et alla l’embrasser, sans prévenir, plaquant le corps de la femme contre la limousine, prolongeant le baiser pendant de nombreuses secondes, en soupirant de plaisir.
«
Oui... Tu as de bonnes lèvres. Maintenant, suis-moi. »
Elles entrèrent dans la villa, qui était un véritable château, ultramoderne, avec des caméras partout, un mobilier très soft, sexy, très blanc... Kato s’avança un peu, d’une démarche lente et sensuelle, et alla à l’étage, puis ouvrit une porte. Il y avait beaucoup de portes ouvertes, donnant sur des chambres agréables, sur des salons... Et, dans certaines chambres, des couples lesbiens étaient en train de s’embrasser, gloussant entre elles...
Puis la porte s’ouvrit, la conduisant dans un agréable bureau, avec, au fond, une porte à droite.
«
Ichtora-sama va venir vous rejoindre d’ici peu, Madame. Installez-vous, je vous en prie... Nous avons laissé à votre attention un questionnaire, et je vous encourage à y répondre avant qu’Ichtora-sama ne vienne vous voir. »
Un document était installé au milieu d’un bureau propre, avec un stylo à côté. C’était une feuille A4, comprenant une dizaine de questions, sans aucun en-tête, juste une série de questions :
1°) Avez-vous aimé recevoir le baiser de Kato en sortant de la voiture ? Aimeriez-vous ressentir une nouvelle expérience de ce type ?
2°) Décrivez votre première expérience sexuelle marquante.
3°) Aimez-vous l’exhibitionnisme ? Si vous deviez vous faire prendre dans le métro par un inconnu en pleine heure de pointe, que feriez-vous ?
4°) Aimez-vous vous faire insulter lors d’une prestation sexuelle ?
5°) Coucher avec une femme dotée d'une verge relève-t-il pour vous du fantasme ?
6°) La zoophilie vous attire-t-elle ? Si oui, avez-vous déjà eu des expériences zoophiles ? Si oui encore, décrivez-les.
7°) Si votre patronne devait vous demander de boire son urine, accepteriez-vous ?
8°) En moyenne, combien de fois vous masturbez-vous par jour ? Aimez-vous vous masturber avec des objets, ou avec l’eau de la douche quand vous vous douchez ?
9°) Citez une pratique sexuelle que vous ne voulez pas faire.
10°) Exprimez, en dollars, la rémunération que vous souhaitez pour accomplir un film pornographique.
En menant des recherches sur Internet, on ne trouverait pas grand-chose sur Erelda Ichtora. Quasiment rien, en fait. Et, vu sa fortune, on pouvait comprendre que cette dernière dispose de spécialistes en informatique s’assurant que sa vie privée reste très privée. Son nom était juste associé à une société de films pornographiques, mais cette société, si on faisait des recherches sur elle, n’avait aucun site Internet, aucun numéro de téléphone, et était juste légalement déclaré auprès des autorités, ce qui confirmait son statut officiel. Un mystère opaque, qu’Erelda avait surtout fait pour protéger sa fille, mais aussi pour se protéger elle-même.
Son invitée portait une tenue très courte (http://img110.xooimage.com/files/3/4/e/1.0x0-4dc1a6d.jpg), qui annonçait clairement ses intentions, et elle put écrire, remplissant le formulaire, une caméra l’observant silencieusement. On aurait pu croire qu’Erelda craignait pour sa sécurité, au vu de toutes les caméras figurant dans cette villa, mais, si on se trouvait dans la salle de contrôle, on verrait que les images transmises par les caméras étaient en très haute définition, en couleur, et avaient surtout pour but de filmer les multiples ébats ayant lieu dans ce petit temple du sexe. Sur un écran, on pouvait ainsi voir une femme, attachée par les poignets, à un lit, tandis qu’une autre suçait un vibromasseur rose planté dans l’intimité de la femme, et qui tournoyait sur place, vibrant lentement, sous les soupirs des deux femmes.
Et puis, Yuki termina de remplir le questionnaire. Il fallut néanmoins encore attendre quelques minutes avant que la porte ne s’ouvre dans son dos. Erelda entra ainsi, dans sa belle tenue moulante en cuir, avec sa longue chevelure, et son curieux corset fait de dentelle. Une tenue extrêmement onéreuse, conçue sur mesure. Il se dégageait de cette femme une redoutable autorité. Était-elle une milliardaire, ou une guerrière ? Elle ressemblait à ces héroïnes issues d’œuvres de dark fantasy. Ses longues bottes à cuissarde claquèrent légèrement sur le sol.
« Salut, Yuki. Je suis très heureuse de te voir ici... »
Par politesse, Yuki s’était relevée, et Erelda, comme Kato, alla ensuite l’embrasser. Tout simplement. Elle posa une main sur la tête de la belle jeune fille, aux formes parfaites, et plaqua son corps contre le sien, venant ensuite presser ses lèvres sur les siennes. Les lèvres partagèrent ainsi un tendre et humide baiser.
« Hmmm... Kato n’a pas menti, tu as vraiment de très belles lèvres, ma chérie. Bien, retourne t’asseoir, maintenant... »
Un ton calme, mais pétri d’autorité. Elle, il était impossible de l’imaginer en tant que soumise. Tout son corps transpirait d’autorité, jusqu’à ses yeux, dont le regard acéré semblait plonger dans les tréfonds de votre âme. Erelda s’assit sur le rebord du bureau, et croisa élégamment les jambes, faisant crisser le cuir, le bout de ses talons effleurant les chevilles de la belle Yuki, puis elle récupéra le formulaire.
« Je ne demande pas de CV ou de lettre de motivation quand je fais mes entretiens, alors, à défaut, j’ai ma propre méthode de sélection. »
Aucun papier n’avait été demandé à Yuki. L’assistante d’Erelda avait juste appelé cette dernière pour l’inviter à venir passer un entretien d’embauche.
« Bisexuelle... Tant mieux. Et tu aimes le latex ? Prouve-le. Lèche ma jambe. C’est du cuir, mais, si on aime le latex, on aime aussi le cuir, non ? Alors, lèche et embrasse bien, pendant que je continue à en savoir plus sur toi. »
Tandis que Yuki s’exécutait, Erelda continua à lire.
« Une exhibitionniste, donc... Mais il faudra que tu t’améliores sur le fait de coucher avec des inconnus. Crois-en mon expérience, c’est très excitant de se faire prendre sans savoir par qui. »
Erelda parlait très librement du sexe. Après tout, elle était une démone, et ce même si Yuki l’ignorait... Mais peut-être pouvait-elle sentir cette impression, ce sentiment d’avoir affaire à une femme qui, par définition, était hors-d-u-commun ?
« Et ce a fortiori si tu veux jouer dans le porno, ma chérie... Il faut aimer le sexe avec des inconnus, même si on peut se fixer des limites. Par exemple, je refuse de coucher avec des mecs qui puent. Je suis irréprochable sur l’hygiène, parce que c’est important. »
Il suffisait de voir sa ville, d’une propreté étincelante, pour s’en convaincre.
« Et... Tu aimes te faire insulter. Ça, c’est bien... Avec moi, tu joueras toujours la soumise. Je compte sur les doigts d’une seule main ceux ou celles qui sont arrivés à me dominer, et tu as du chemin à faire, si tu penses pouvoir intervenir à cette caste très réservée. Ensuite... Haaaa... Bien. »
Un sourire éclaira fugacement les lèvres d’Erelda quand elle apprit que l’hermaphrodisme était un fantasme de la belle Yuki.
« Ça, c’est une vraie Japonaise ! Exactement comme je les aime ! »
Elle continua ensuite à lire.
« Pas d’urine, donc ? Tu sais, c’est meilleur que l’eau, pourtant... Et c’est bon pour la peau. Mais soit... Tu es encore jeune, donc c’est normal. En revanche, tu m’intéresses sur la zoophilie. Il y a des pistes à explorer... »
Erelda reposa ensuite le formulaire sur la table, puis observa un peu Yuki.
« C’est bon, arrête de lécher... Tu sens comme c’est une bonne odeur, hein ? Honnêtement, j’adore aussi le cuir et le latex, je ne mets presque que ça... Quand je ne me déplace pas juste nue. Mais bref ! Laisse-moi te parler un peu de moi, ma chérie, de ce que je te propose, et, ensuite, tu me parleras de toi. »
Erelda laissa passer quelques secondes, et reprit :
« Nous avons vu ta candidature dans un magazine, et c’est pour ça que mon assistante t’a contacté. Comme tu t’en doutes, tu n’es pas la seule figurante, ou le seul figurant, choisi. Je réalise des films pour une clientèle très privée, ce qui signifie que tu ne trouveras pas mes films à la vente au public. Disons qu’ils ne sont que pour moi et mes amis. Pour moi, c’est plus une passion qu’un moyen de me faire de l’argent, et toute la production est financée sur les bénéfices que je réalise avec mes multiples placements boursiers et mes sociétés. Mais, pour ce qui est des figurants, c’est un job, et ça, je le sais. Alors, j’écarte ça d’emblée : si tu travailles pour moi, tu auras la rémunération que tu désires. Je ne veux pas que l’argent soit ta motivation, je veux que tu fasses ce job par passion et par luxure. »
Erelda fit une petite pause, son regard croisant celui de la femme, et elle reprit :
« Je ne veux pas d’une actrice qui simulera le plaisir, je veux une femme qui acceptera vraimentde coucher. Tu comprends la nuance ? Je veux que tu couches avec un figurant par plaisir, par envie de le faire, je veux qu’on le sente dans tes tripes. Bref, pour le dire autrement, je veux que tu sois une perverse, et c’est mon critère de sélection. Tu vas participer à une prestation aujourd’hui. Si tu t’en sors bien, on te contactera pour d’autres performances, et, si tu continues à me plaire, tu pourras devenir une actrice régulière, ce qui t’offrira un certain nombre d’avantages. »
La redoutable femme conclut ensuite :
« Alors, dis-moi... Est-ce que ça te branche ? Est-ce que tu as ça dans les tripes ? Je ne te proposerais rien qui va contre tes limites, mais... Disons que ce que je te propose ne pourra jamais être raconté à un repas de Noël. Et tu pourras te faire prendre par des Futanaris... Tu peux même te prendre par une hermaphrodite aujourd’hui, d’ailleurs... »
La jeune femme était une poupée fragile, mais qui avoua volontiers son envie de baiser, après avoir bien léché sa botte et son pantalon… Mais sans s’être masturbée sur le bout de sa botte, comme Erelda le suggérait tacitement… Sans aucun doute par timidité, ou par soumission. La jeune Yuki avouait son envie de coucher, faisant preuve d’honnêteté, mais elle avait visiblement la mentalité d’une femme soumise et docile. Erelda aimait ça, et, suite à l’aveu de la femme, esquissa un sourire. Il était évident que ses baisers lui plairaient… Non seulement parce qu’elle embrassait très bien, mais aussi parce que, ayant des gènes de succube dans le corps, elle dégageait des spores avec sa salive. Plus elle embrasserait Yuki, et plus Yuki tomberait sous son emprise. Et, vu comment la jeune femme était excitée, cette emprise commençait bien.
« L’avarice et la luxure, donc… Ce sont deux de mes péchés favoris. Tu vois, je considère que, si on connait davantage les Sept Péchés Capitaux que les Sept Vertus Capitales, c’est que, à la base, l’être humain se définit davantage par ses péchés que par ses vertus. Tu aimes le sexe, tu aimes l’argent… C’est parfait, ma chérie. »
Erelda précisa rapidement, en s’écartant du bureau, et en venant masser les épaules de Yuki, ses ongles pointus glissant sur sa peau, la griffant presque :
« La beauté est un critère premier chez moi. Les gens moches et laids ne sont pas autorisés à entrer dans ma villa. Donc, tous mes acteurs et toutes mes actrices sont des beautés. Le fait d’être riche, vois-tu, permet de faire quelques caprices. »
Elle se demandait à qui elle confierait Yuki… Si Erelda était venue en retard, c’était aussi parce qu’elle avait reçu une visite. Et pas n’importe quelle visite ! C’était sa fille qui était venue, et qui lui avait présenté une femme avec qui Erelda avait déjà fait l’amour. Une jeune lycéenne, avec laquelle Myumi ressentait une attirance très particulière : Elianne Roy. La belle Elianne était assez timide, elle aussi, mais aussi très belle. Myumi l’avait amené ici pour qu’elle passe du bon temps, et, en ce moment, la jeune fille était avec deux hommes bien membrés, dans un agréable sauna. Un petit cadeau de la part de sa prof’. Myumi avait hésité à la rejoindre, mais elle avait dit que c’était un cadeau pour Elianne, et elle était en ce moment en attente. C’était sa fille, après tout, et Erelda aimait bien la voir chez elle. Toute mère, après tout, aimait bien avoir ses enfants près de chez elle.
*Je pourrais la confier à Myu’, son charme pourrait lui plaire…*
La jeune femme y songeait tout en continuant à masser ses épaules, ses doigts remuant le long de son corps, pour finir par venir caresser ses joues.
« Très bien, ma belle… Nous allons commencer aujourd’hui… Suis-moi. »
Le duo s’aventura hors de la pièce, et Erelda marcha, faisant crisser joyeusement le cuir, et claquant ses talons sur le sol. Sa démarche était calme et assurée, et elles longèrent des chambres et des pièces. Certaines portes étaient ouvertes, et on pouvait entendre de nombreux soupirs. Une porte menait ainsi sur un salon où une femme était en train de sucer la queue d’un homme. C’était un temple de la luxure, tout simplement.
Erelda continuait à marcher, et descendit des marches, ce qui l’amena à longer la terrasse, rejoignant un grand salon, avec vue sur la piscine.
« Assieds-toi là, ma chérie… Je vais revenir te chercher rapidement. »
En lui souriant, la femme disparut dans un couloir. Plusieurs minutes passèrent ainsi. Les murs étaient très bien insonorisés, ce qui faisait qu’on n’entendait rien. En revanche, en regardant la terrasse, on pouvait voir plusieurs femmes allongées le long de transats, des femmes d’une grande beauté, en train de bronzer, de se détendre… Puis Erelda fit signe à Yuki de venir.
« Tu vas coucher avec ma fille, Yuki… C’est une professeure… »
Elles entrèrent ensuite dans une pièce latérale, qui comprenait une chambre avec un lit... Et une femme.
Myumi.
Dans une superbe tenue rouge sexy (http://img110.xooimage.com/files/9/f/9/2219776-discipline_1.17-4dc5ddd.jpg), avec une bosse à hauteur de son intimité, révélant la présence d’une verge tendue, un mât érigé, en pleine érection, ressortant de sons tring.
« Salut, ma poupée ! Alors, il paraît que tu fantasmes sur les Futas’ ? »