Le Grand Jeu

Bac à sable => One Shot => Discussion démarrée par: Antares/Pleione Lilianstar le vendredi 05 juin 2015, 09:18:35

Titre: [FINI] She must want to hear a secret story...
Posté par: Antares/Pleione Lilianstar le vendredi 05 juin 2015, 09:18:35
La journée avait été relativement ordinaire pour Homura. Enfin... aussi ordinaire que peut être la vie d'une magical girl. A six heures du matin, elle combattait des sorcières au côté de ses amies magical girl. A huit heures, elles avaient toutes filés à l'école en quatrième vitesse, craignant d'arriver en retard parce qu'elles avaient été retenues plus longtemps que prévu par leurs combats. Après quatre insupportables et interminables heures de cours, c'était enfin l'heure du déjeuner. Une fois de plus, elle retrouva ses amies : Sayuka, Kyoko, Mami et, surtout, Madoka. Cette chère Madoka Kaname.

A première vue, on pourrait croire que ces deux filles sont simplement amies. Mais ce que tout le monde ignorait, c'est que ces filles entretenaient une relation amoureuse secrète, connue d'elles seules. Et le moins qu'on puisse dire sur leur relation, c'est qu'elle était très particulière : Madoka, qui était une fille timide et qui ne parlait pas ouvertement de ce qu'elle ressentait, était le ''jouet'' de Homura, qui prenait un malin plaisir à jouer avec elle, à regarder sa timidité se mélanger à ses désirs physiques, à la taquiner un maximum tout en la caressant agréablement, pour finalement l'amener jusqu'à son lit. Car oui, le sexe faisait partie de leur relation. Un schéma sexuel de dominante-dominée qui se répétait la plupart des fois où elles finissaient sous la couette, et qui leur apportaient autant de bonheur à l'une qu'à l'autre : Madoka aimait servir Homura, et Homura aimait soumettre Madoka. Ainsi, chacune était satisfaite, et tout le monde y gagnait.

Après le déjeuner, il y eut encore trois longues heures de cours. Durant l'interclasse entre la sixième et la septième heure, Homura crut entendre Madoka l'appeler, mais celle-ci avait filé presque immédiatement après. Un peu inquiète, la jeune fille se mit en tête d'aller la voir après la dernière heure du cours pour lui demander ce qui n'allait pas. Malheureusement, après la septième et dernière heure, Madoka fila de la classe à toute vitesse, et Homura n'eut pas le temps de lui parler.

Madoka...

A présent, elle était réellement inquiète. Elle s'était faite à la timidité de sa petite chérie, et savait qu'elle avait parfois du mal à discuter librement, mais là... Quelque chose clochait. Homura était si soucieuse pour sa Madoka adorée qu'elle s'entreprit d'aller chez elle pour la prendre en aparté et l'obliger à cracher le morceau. Mais elle n'eut pas à aller jusque là bas : à mi chemin, Madoka se présenta d'elle même, le visage tout rouge. Homura ft quelque peu surprise de la voir : après tout ce qu'elle avait fait pour éviter sa petite amie, la jeune fille aux cheveux roses venait vers elle de son propre chef.

« Madoka... »

Elle demanda à Homura si elle était d'accord pour qu'elles aillent ensemble chez elle.

« Évidemment. Tu es toujours la bienvenue chez moi. »

Homura vivait seule depuis qu'elle avait 15 ans. L'avantage, c'était qu'elle n'avait besoin de l'accord de personne pour inviter des amies chez elle... où pour qu'elles restent pour la nuit.

Les filles mirent entre cinq et dix minutes à arriver. Homura vivait dans un petit appartement de 32 m², fait à la base pour un couple, mais qu'elle habitait seule parce qu'elle aimait avoir de l'espace pour elle. Il était composé de trois pièces : (1) la pièce principale, qui regroupait à la fois l'entrée, le salon et la cuisine, (2) la chambre d'Homura et (3) la salle de bains.
Dans la pièce principale, après le porte-manteau dans l'entrée, on pouvait voir la cuisinière, un canapé qui pouvait aussi se déplier pour faire office de lit, la télé et une bibliothèque renfermant divers types de livres, depuis les livres de philosophie jusqu'aux BD.
Dans la chambre d'Homura se trouvait son lit, un lit double sans fioritures, mais idéal pour les nuits torrides qu'elle partageait avec Madoka, son bureau de travail, et une grande armoire où elle rangeait tous ses vêtements et sous-vêtements. Elle possédait un compartiment secret, dans lequel elle cachait ses sous-vêtements les plus sexy et ses instruments sexuels, tels que des plugs et des godes.
Dans la salle de bains, avec le sol carrelé, il y avait juste la cabine de douche, les toilettes et un lavabo.

Homura alla poser ses affaires dans sa chambre, laissant Madoka seule pendant un bref instant. Et quand elle revint, sa petite amie lui faisait dos et se touchait la poitrine d'une étrange façon. Y voyant une bonne occasion de s'amuser un peu à ses dépends, Homura se mit dans son dos et chuchota près de son oreille avec sa voix sensuelle.

« Tu aimerais qu'on aille prendre une douche... ensemble ? »
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Tessia le jeudi 11 juin 2015, 00:12:44
J'avais passée une journée relativement normale. Du moins, pour une magical girl. C'est-à-dire un matin très tôt passé essentiellement à combattre des sorcières avec mes autres amies magical girl. Peu de sommeil et la course pour aller à l'école parce que je m'étais levée en retard.

Mais aujourd'hui est un peu différent. Aujourd'hui ça fait très exactement trois mois que Homura-chan m'a fait découvrir qui je suis vraiment. Et j'ai envie de lui faire une surprise. Je laisse de côté mes sous-vêtements habituels pour une tenue un peu plus sexy, un joli petit ensemble en dentelles rose. Je trouve ça horriblement gênant, mais je sais que ça lui fera plaisir.

Je me suis donc habillée pour courir à l'école. Et je suis tombée droit sur ma meilleure amie… Et accessoirement aussi amante secrète…

J'adore Homura ! C'est une fille géniale, mais elle adore me taquiner. Ce n'est pas que je n'aime pas ça mais… C'est horriblement gênant ! Surtout pour une fille aussi timide que moi ! Mais malgré ça, j'adore ça quand elle le fait. Quand elle prend l'ascendant sur moi. Quand elle me transforme petit à petit en sa chose. Sa petite poupée d'amour… Et que…

Ho non ! Pas maintenant ! Reprend-toi Madoka ! Songe-je en sentant mon entrejambe se réchauffer de manière indélicate.

Je retrouve les autres à la pause-déjeuner parce que leur présence empêche Homura de me taquiner, mais passe le reste de la journée à éviter ma meilleure amie. Je ne peux pas prendre le risque qu'elle décide d'être coquine avec moi alors que je porte un truc aussi honteux en cours ! En plus de ça, ma culotte est vraiment trop petite ! Elle me rentre dans la raie des fesses à un point désagréable  et ce soutien-gorge push-up est un peu trop serrée ! Et j'ai l'impression d'avoir tout mon derrière exposé sous ma jupe ce qui est vraiment horriblement embarrassant !

Au secours ! Je vais me transformer en pivoine si ça continue, nom d'une brioche ! Homura, je fais ça pour toi, alors attends-moi !

Quand enfin les cours se terminent, je me sens mieux. Sitôt que je serais sortie de l'enceinte du bâtiment, je pourrais demander à Homura de me ramener chez elle. Je dois d'ailleurs m'excuser auprès d'elle pour avoir passé la journée à la fuir.

Je l'attends à la sortie des cours et quand enfin je la vois, mon petit cœur fait un bond dans ma petite poitrine. Enfin… Pas si petite que ça pour mon âge adore me rappeler Homura. Et je luis suis assez reconnaissante de me dire que j'ai des jolis…

Kyaaaah ! Non pas maintenant ! C'est trop gênant ! Rougis-je énormément.

Je me penche pour saluer Homura et cacher ma gêne.

- Je suis désolée Homura, mais est-ce que je peux venir chez toi ce soir ? Demande-je en espérant qu'elle dira oui.

Elle accepte et je la suis chez elle. Ouf ! me voici en zone sûre. Ici personne pour nous déranger vu que Homura vit seule.

Tandis qu'elle va poser ses affaires, je commence à me sentir serrée dans mon soutif. Et je sais pourquoi… J'ai encore en mémoire ce qu'il s'est passé dans le canapé il n'y a que quelques jours.

Mon soutien-gorge commence à devenir un peu petit s'il me serre à ce point quand je… Songe-je en essayant de tirer dessus pour soulager un peu la pression.

« Tu aimerais qu'on aille prendre une douche... ensemble ? »

- Ha ? Heu… HEU !? Tremble-je en ouvrant de grands yeux pour regarder Homura tout en rougissant abominablement.

Quoi déjà ? Mais on vient tout juste de rentrer ! Laisse-moi souffler Homura-chan ! Ma pauvre vertu !

Elle me glisse alors qu'elle plaisante.

Je baisse le regard, passablement gênée de m'être faite un film pour rien. Je crois d'ailleurs que j'ai fait une bêtise dans ma culotte à cette idée…

- Heu… Homura-chan, est-ce que la douche peut attendre un peu ? Demande-je en la surprenant visiblement.

Si je me déshabille maintenant, elle ne verra pas mon petit ensemble et je n'ai pas envie de l'avoir porté toute la journée en risquant la honte de ma vie pour qu'elle ne l'aperçoive même pas. Mais je m'emmêle les pinceaux en cherchant une excuse et finit par accepter de prendre une douche, toute déconfite.

Mais Homura prend les choses en main et je me sens fondre quand elle relève mon visage pour me regarder dans les yeux.

Ce sourire, amusée. Cet air assurée. Je ne peux absolument pas résister à ça. Je suis sans défense face à Homura-chan et elle le sait. Je suis déjà dans son emprise et je m'y suis mise toute seule. Mias à nouveau ma timidité me reprend et je rougis très violement entre ses mains. Pourtant je ne lui résisterais pas. Comme toujours, je lui appartiens et elle va faire de moi ce qu'elle a envie. Elle va tellement me gêner que j'aurais l'impression de me caraméliser sur place…

Et ce sera tellement bon… Rougis-je encore plus fort.
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Antares/Pleione Lilianstar le jeudi 11 juin 2015, 10:21:09
Madoka se mit à trembler et à rougir en ouvrant de grands yeux après la demande d'Homura. Le genre de réaction que cette dernière aimait voir sur le visage de sa petite amie. Sa si timide et adorable petite amie, dont elle ne se lassait jamais de la taquiner.

« Héhé... je plaisante. Tu veux y aller en premier, Madoka ? »

Après ça, la jeune soumise baissa les yeux. Homura, surprise, la regarda avec attention. En général, quand elle lui parlait ainsi, Madoka ne pouvait pas s'empêcher de bloquer ses yeux dans les siens, sans rien dire, pendant que son visage se transformait en tomate. Mais cette fois, elle évitait son regard et cherchait des échappatoires avec sa voix toute timide. Elle voulait attendre un peu pour aller se doucher, mais ses mots s'embrouillaient et elle ne semblait pas être vraiment sur de ce qu'elle voulait. Homura savait qu'elle devait prendre les choses en main pour débloquer la situation.

« Peu importe Madoka, c'est comme tu préfères. »

Elle mit ensuite ses mains en-dessous de ses joues pour l'obliger à la regarder dans les yeux. La jeune fille aux cheveux roses commença à rougir rien que de voir le visage de celle qui allait la dominer. La jeune fille aux cheveux noirs affichait un air assuré et un sourire amusé. Elle savait qu'elle avait déjà pris l'ascendant sur sa petite amie, et comptait bien en profiter.

« Eh bien... Si tu ne peux pas attendre plus longtemps, tu pourrais commencer par me dire ce qui se passe dans ta petite tête ? »

Homura prit la main de Madoka et l'amena jusqu'à sa chambre. Elle s'assit sur le bord du lit, laissant la moitié de ses jambes hors du matelas, et amena sa petite amie sur ses genoux. Dans cette position, le cou de la soumise était complètement exposée. La dominante enleva les deux premiers boutons de l'uniforme de son amante, dévoilant ainsi totalement sa gorge, et se mit à couvrir cette zone de petits baisers légers, tout en la maintenant contre elle en serrant ses bras dans son dos. Madoka avait une peau si fine, si douce... C'était comme embrasser de la soie. Homura prenait déjà un grand plaisir à déposer doucement ses lèvres sur chaque recoin de cette peau de bébé qui s'offrait à elle, mais les petits gémissements de plaisir de sa partenaire ne faisaient que rajouter à son envie de lui faire l'amour au plus vite. Mais d'abord, il fallait lui faire dire ce qu'elle cachait.

Madoka lança le sujet d'elle même, en parlant de cette fameuse sixième heure où elle avait tenté de lui parler, mais elle où avait finalement renoncé. Ainsi que de sa fuite à la fin de la septième heure.

« Madoka... est ce que quelque chose ne va pas ? Tu es inquiète à propos de quelque chose ? Ou bien ta vie actuelle ne te satisfait pas ? »

Selon elle, ce n'était rien de tout ça.

« Je suis contente de l'entendre. »

Homura mima l'inactivité pendant un instant puis, quand Madoka baissa sa garde, elle redressa rapidement sa tête et lui vola un tout petit baiser. C'était toujours un bonheur de la prendre par surprise, de voir l'étonnement et l'embarras s'afficher sur son visage, de l'entendre couiner... Oh oui, Homura avait de la chance, et elle le savait.
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Tessia le jeudi 11 juin 2015, 15:01:16
Hoooo… Je suis sur les genoux d'Homura… C'est si gênant !!! Songe-je toute rouge, mes bras autour de son cou.

Je me suis encore faite avoir. Homura-chan est encore en train de faire de moi ce qu'elle veut, comme d'habitude. Je me sens toute chose et toute chaude. Mes joues sont brûlantes et je sens ses mains passer dans mon dos pendant qu'elle me pose des questions.

Je suis un peu surprise par la teneur de celles-ci. Suffisamment pour oublier un moment que je me trouve assise sur ses cuisses pendant qu'elle utilisa sa bouche sur ma gorge et mon cou et que je sens son menton toucher ma poitrine quand elle parle.

- Heu ? Non, non pas vraiment, réponds-je un peu surprise à sa question de savoir si j'ai des soucis. Non, rien de ce genre, je passe des bons moments. Dis-je à sa question sur ma vie actuelle.

Puis elle reste immobile quelques secondes. Ça m'inquiète très vite.

- Homura-chan ?

Elle lève alors la tête et vient appuyer ses lèvres sur les miennes. Je vire au rouge tomate avant d'avoir compris ce qui m'arrive.

- Hmmm ! Couine-je de surprise autant que de plaisir.

Les lèvres d'Homura-chan ! Ce sont les lèvres d'Homrua-chan ! Elles sont si douces ! C'est si gênant !!!

Je pousse un autre petit cri quand elle me renverse dans son lit. Nom d'une brioche ! Pourquoi j'ai plus de force et que j'ai si chaud partout quand elle fait ça ? J'en suis réduite à balbutier en sentant mes joues se transformer en braises brûlantes.

Elle me pose des questions trop gênantes en plus ! Elle veut savoir pourquoi je voulais venir chez elle. Et elle tourne ses questions comme si j'étais en train de faire une bêtise !

Je n'arrive plus à réfléchir correctement. Tout mon visage ainsi que mon corps sont en feu. Avec ses questions et ses allusions, Homura m'a encore mise sur la défensive. C'est pas juste, pourquoi elle peut me mener par le bout du nez comme ça ? Pourquoi dès qu'elle a ce regard et qu'elle sourit comme ça je deviens une peluche entre ses mains ? Et pourquoi, pourquoi est-ce que j'adore ça ? Pourquoi est-ce que j'aime être à sa merci ? Pourquoi est-ce que j'aime qu'elle me fasse rougir et qu'elle me gêne à un point aussi atroce ? Je ne comprends pas…

Elle me caresse le front avec sa main pendant que je balbutie que nous étions sur le point de faire quelque chose…

Et soudain elle se plaque contre moi et je sens nos corps frotter l'un contre l'autre. Je laisse échapper un gémissement et me crispe sur elle. C'est agréable. Je me sens devenir de plus en plus brûlante. J'en veux plus, pourtant je sais que je ne pourrais pas le dire.

Pitié Homura-chan… Continue… Fais-moi avouer… Gêne-moi et fais-moi me sentir vilaine… Libère-moi de ce cette chose coincée quelque part dans mon ventre et qui veut sortir entre mes jambes…

Elle me dit que je suis une bonne fille. Mais de telle façon que j'ai l'impression d'être la plus sale de toutes. Et je me recroqueville sous elle, incapable de la regarder. Elle me torture. Elle veut que je dise ces choses si gênantes que j'aimerais pouvoir lui dire. Je le sais. Mais il n'empêche que je me sens comme une petite fille prise en faute. Je sens même des larmes perler au coin de mes yeux tellement j'ai honte. Pourtant cette honte me fait me sentir tellement bien…

Je ne dois pas être normale… Mais si c'est pour Homura-chan, alors c'est bon…
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Antares/Pleione Lilianstar le jeudi 11 juin 2015, 20:53:16
Juste après que Madoka ait couiné à cause du baiser volé, Homura plaqua sa petite amie sur son lit et se mit au-dessus d'elle. A présent, elle dominait son esprit ET son corps. Sur son visage, son sourire malicieux laissa place à un sourire chaleureux, presque protecteur.

Madoka... Tu es si mignonne.

Homura était charmée par l'attitude de sa petite soumise adorée. Sa petite voix balbutiante à cause de sa timidité, ses joues rouges comme des pivoines, son corps chaud serré contre celui de celle qui la domine... Pour rien au monde Homura n'aurait voulu changer Madoka. Elle l'aimait de tout son cœur tel qu'elle était. Même si, en les voyant, on aurait plutôt pu croire qu'elle la torturait.

Dans le but d'attiser sa gêne et de la pousser au-delà de toutes ses limites, Homura interrogea Madoka en donnant l'impression, à travers ses questions, qu'elle avait fait quelque chose de vilain.

« Tu m'as suivi jusqu'à ma chambre... Pourquoi ? Que voulais tu que nous fassions ? »

Tout en écoutant la réponse de sa petite amie, elle lui caressait le front. Savourer le contact de sa peau, de ses cheveux qui filaient entre ses doigts... Un plaisir simple, et pourtant si grisant ! De plus, cette marque d'affection servait aussi à rappeler à Madoka que, même si Homura la taquinait plus que de raison, elle n'était pas animée de mauvaises intentions. Elle ne faisait que jouer, comme un chat le ferait avec une souris en plastique. Et elle le faisait toujours avec la collaboration volontaire de sa petite amie, sans jamais aller trop loin où la forcer à quoi que ce soit.

Le visage de Madoka semblait être en feu. Pour mieux sentir la chaleur de son corps, Homura se plaqua entièrement contre elle. Comme si elle lui répondait, sa soumise passa ses bras dans son dos et vint murmurer quelques mots dans son oreille. Des mots qui ravirent la dominante.

« Ça c'est une gentille fille. »

Homura continua d'étaler son corps au dessus de celui de Madoka, obligeant cette dernière à se recroqueviller devant celle qui la domine, fuyant son regard. De petites larmes se formèrent aux coins des yeux de la soumise, faisant le bonheur de la fille au dessus d'elle.

Madoka se plaignait de se faire martyriser, mais Homura savait pertinemment ce qu'elle pensait en réalité : elle voulait se sentir encore plus gênée, encore plus vilaine, que son amante continue de la pousser vers son point de rupture jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus. Et c'était exactement le genre de pratiques qui excitaient profondément la dominante.

« Héhé... Désolée Madoka. Je voulais que tu me le dises à haute voix, parce que ça me rend toute chose. »

Homura se sentait plus amoureuse à chaque seconde qu'elle passait avec Madoka. Et plus elle était amoureuse, plus elle avait envie de taquiner sa petite amie comme elle savait si bien le faire.

La dominante gratifia la soumise d'un baiser sur la joue.

« Ta timidité... Tes désirs... C'est une partie de toi qui n'est que pour moi. Et je ne laisserai personne d'autre en profiter. »

Après quoi, il y eut un court silence. Puis Madoka commença à ouvrir la bouche...
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Tessia le lundi 15 juin 2015, 23:28:17
Je me laisse faire, je n'arrive pas à lui résister. Elle est trop douce et trop tendre avec moi, et en même temps si cruelle et si taquine.

- Dieu, Homura-chan, tu essaies de me le faire dire. Tu es si intimidante… Nhyah !

Je couine à nouveau en sentant ses caresses sur moi. Elle admet sans peine qu'elle aime me torturer comme elle le fait en ce moment. Elle me dit qu'elle aime cette facette de moi que je ne montre qu'à elle. Elle veut me garder pour elle toute seule et cette déclaration me trouble encore plus profondément que je n'arrive a décrire.

C'est tellement égoïste comme manière de parler, mais ça correspond tellement à ce que je souhaite. Moi non plus je ne veux pas partager ma Homura-chan. Je la veux rien que pour moi. Je veux que s'il ne doit rester que deux personnes dans l'univers se soit elle et moi.

Je reste un moment silencieuse avant de reprendre la parole.

- Homura-chan… Humm… Je… Aujourd'hui… J'ai mis… Une nouvelle… Culotte… Dis-je d'une voix de plus en plus basse tandis que ma figure se cramoisi au même rythme. Celle de ce… Cet ensemble… Que tu voulais… Me voir… porter… Termine-je d'une voix si basse que je ne suis même pas sûr qu'elle ait entendu.

Je suis déjà morte de honte et je n'arrive déjà plus à lui avouer que je porte aussi le soutien-gorge qu'elle a choisi pour moi il y a de cela quelques semaines. J'ai fais de gros efforts pour oser porter un truc aussi sexy et humiliant pour elle. Mais je sais qu'elle s'en rendra compte.

Ma Homura-chan est la seule qui puisse comprendre que ce n'est que pour elle que je fais tous ces efforts. Pour être encore plus gênée et encore plus désirable pour elle. Pour qu'elle n'aie d'yeux que pour moi et pour qu'elle ne torture que moi avec ses sous-entendus et ses petits mots blessants.

Elle se penche alors sur moi, collant son corps contre le mien, me disant qu'elle comprend enfin pourquoi je ne voulais pas prendre de douche tout de suite et me demandant ensuite si j'apprécie tout cela.

Je ne peux pas répondre, je suis déjà trop morte de honte, mais elle me comprend et penche sa tête plus proche de la mienne. Je sens ses cheveux dans mon col et son souffle approcher de mon visage alors que je ferme les yeux.

Homura-chan peut me faire ce qu'elle veut, je ne peux pas l'aimer plus que maintenant…
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Antares/Pleione Lilianstar le mardi 16 juin 2015, 12:11:29
- Homura-chan… Humm… Je… Aujourd'hui… J'ai mis… Une nouvelle… Culotte…Celle de ce… Cet ensemble… Que tu voulais… Me voir… porter…

Homura ouvrit un peu plus les yeux pour signifier son étonnement. Elle se souvenait encore du jour où elle avait emmené Madoka au centre commercial et où elles étaient tombées sur cet ensemble rose en dentelles. Sur le coup, elle trouvait que ça irait magnifiquement à sa petite maie, mais cette dernière avait refusé de l'acheter sous prétexte qu'elle ne pourrait jamais porter une chose aussi embarrassante, alors que c'était exactement le but que recherchait la dominante en faisant porter cet ensemble sexy à sa petite soumise. En plus, vu comment elle aimait être gênée par sa petite amie, son excuse était sûrement fausse. Et maintenant, la raison était enfin claire : elle voulait acheter ces vêtements hors de toute surveillance pour faire une belle surprise à celle qui faisait battre son cœur d'une si belle façon.

Homura se pencha sur Madoka pour continuer à la torturer.

« Je vois... C'est pour ça que tu agissais aussi bizarrement aujourd'hui... Et que tu ne voulais pas prendre de douche immédiatement. Tu voulais que je te voies dans ces sous-vêtements si gênants pour toi. »

Madoka rougissait tellement que son visage donnait l'impression de brûler. La pauvre était en train de mourir de honte, mais c'était exactement ce qu'elle voulait, et Homura le savait.

« Madoka... Tu apprécies ce qui arrive, n'est ce pas ? »

Elle ne dit pas un mot, mais son regard empli de désir, ses joues cramoisies et son corps tout recroquevillé montrait bien comment elle se sentait : morte de honte, donc emplie par l'envie de se faire toucher là où ça fait du bien. Du coup, la dominante comprit qu'il fallait commencer à s'occuper physiquement d'elle. C'est pourquoi elle approcha ses lèvres de celles de sa petite amie avec une lenteur tenant presque du supplice. Ses cheveux lui chatouillaient le cou, et son souffle chaud la faisait trembler d'envie.

« Madoka... »

Homura embrassa Madoka avec toute la douceur dont elle pouvait faire preuve. Elle avait beau être une dominante assoiffée d'embarras et de gêne, elle en restait une fille très tendre. Il n'en avait pas toujours été ainsi : à une époque, elle était froide, distante et méchante avec tous ceux qu'elle côtoyait. Mais sa rencontre avec Madoka avait tout changé : en un instant, elle avait découvert ce sentiment si étrange que l'on appelle ''l'amour'', et cela l'avait transformée jusqu'à devenir une fille totalement différente, qui se montrait gentille, calme et amicale. Même si, dans l'intimité, elle n'avait rien perdu de son côté méchant, qui s'exprimait juste d'une autre façon. Une chance pour elle que sa petite amie apprécie de se faire malmener de la sorte.

Après leur baiser, Homura avait un sourire encore plus grand sur le visage, alors que Madoka semblait être sur le point de fondre ou d'exploser entre ses mains. Pile le genre d'effet qu'elle voulait produire. Elle posa son front sur celui de sa petite amie, comme si elle voulait prendre sa température.

« Ouh là... Tu es brûlante. Il faut que je fasse quelque chose. Hum... Je sais. Je vais te débarrasser de cet uniforme étouffant. »

La dominante enleva les derniers boutons du haut de sa soumise, puis l'envoya sur le sol de la chambre. Puis elle s'occupa de sa jupe de la même façon. A présent, sa petite amie était sous elle, dans ce fameux ensemble de sous-vêtements roses en dentelle qui la rendait tellement mignonne et désirable qu'Homura sentit d'un seul coup son corps s'allumer comme un feu de forêt.

« Je savais qu'ils t'iraient merveilleusement bien. »

Elle caressa les bonnets du soutien-gorge du bout du doigt.

« Ce soutien-gorge met ta superbe poitrine en valeur... »

Puis elle caressa sa culotte en prenant garde de ne pas trop insister.

« … et cette culotte te rend si délicieuse que j'aurais bien envie de te croquer comme un bonbon. »

Madoka semblait de plus en plus embarrassée. Être comparée à une friandise, il fallait oser. Et dans ce domaine, Homura était une championne incontestée. Elle comptait bien la pousser jusqu'à ce qu'elle soit vraiment au bout. Mais d'abord, elle vint embrasser sa petite amie à la jonction entre son cou et son épaule, histoire de bien la faire gémir. C'est vrai, pourquoi se dépêcher d'enlever de si beaux sous-vêtements, alors qu'ils étaient comme un superbe emballage qui contenait le plus beau des cadeaux : le corps de Madoka.
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Tessia le jeudi 18 juin 2015, 21:02:40
« Madoka... Tu apprécies ce qui arrive, n'est ce pas ? »

Je n'ose absolument pas répondre. Je me suis rarement sentie aussi gênée de tout ma vie. Cette énorme boule de honte dans ma gorge m'empêche complètement de parler pendant que je suis presque roulée en boule sous Homura-chan. Tremblante et à sa merci, je devrais être morte de peur. Et en un sens c'est presque le cas. Si elle faisait le moindre geste ou avait le moindre mot pour me rejeter, je me briserais sûrement comme du cristal fin.

Je sens mon cœur qui cogne à tout rompre dans ma poitrine et fait battre mes tempes comme des tambours. Je suis en train de me liquéfier sur place pendant qu'Homura-chan prend son temps pour venir me sauver. Elle se penche sur moi et je ferme mes yeux de toutes mes forces. Je n'ai pas la volonté de la voir me faire quoi que ce soit.

« Madoka... »

Elle pose enfin ses lèvres sur les miennes et je me sens chavirer dans un océan de bonheur cotonneux. Elle m'embrasse pendant une éternité qui est encore bien trop courte quand elle décide de se retirer.

Non ! Reste ! Pitié ! Homura-chan…

J'ouvre mes yeux quand je sens son front chaud entrer en contact avec le miens. Je me fige en la voyant arborer son petit sourire suffisant. Elle s'apprête à me faire une crasse c'est sûr !

« Ouh là... Tu es brûlante. Il faut que je fasse quelque chose. Hum... Je sais. Je vais te débarrasser de cet uniforme étouffant. »

- Heu… Hein ? Dis-je d'une voix tremblante en sentant des larmes de honte me monter aux yeux.

Homura-chan me déshabille alors sans la moindre pitié me laissant seulement dans mon petit ensemble. Je crois que je suis au-delà de la honte. Cette tenue est tellement impudique que ça ne devrait même pas exister ! Elle ne cache presque rien ! Au contraire, elle met en avant les rares formes de mon petit corps juste pour le plaisir des yeux de Homura-chan. J'ai l'impression d'être un homard en sauce devant une affamée et je commence à sentir la peur monter. Même si j'essayais de m'enfuir dans cette tenue, je serais morte de honte dès que quelqu'un me verrait. Je suis à la merci de ma petite amie et elle a bien l'intention de me dévorer toute crue !

« Je savais qu'ils t'iraient merveilleusement bien. » Dit-elle alors soudainement en commençant à caresser ma poitrine à travers mon la dentelle rose de mon haut. « Ce soutien-gorge met ta superbe poitrine en valeur... »

- Non… Pitié… Ne dit pas ça… Gémits-je en couinant, sentant mes seins durcir et mes tétons commencer à pointer.

Je pousse un petit cri en sentant sa main se poser ensuite sur ma culotte et je me tortille sans réelle motivation comme un asticot sous elle pour échapper à cette caresse toute douce.

« … et cette culotte te rend si délicieuse que j'aurais bien envie de te croquer comme un bonbon. »

- Homura-chan… Je t'en supplie… Pas ça… implore-je malgré ma langue pendante et les gémissements qui s'échappent de mes lèvres.

Malheureusement, mes lèvres du bas commencent à baver autant que celles du haut et je sens ma petite culotte devenir tout humide et commencer à devenir transparente. Et Homura-chan n'en a même pas encore fini avec moi. Elle revient m'embrasser dans le creux du cou et je couine comme une chatte en chaleur.

- Nyaaahhh !!! Homura-chan… Pitié !!! Dis-je d'une voix crispée tandis que je sens mon corps s'éveiller.

Je sens le feu dans mon ventre qui s'allume. Et je me sens toute proche de craquer. Elle m'a traitée de bonbon. Elle n'a que trop raison. Entre ses mains je ne suis qu'une friandise dont elle fait ce qu'elle veut. Je ne maîtrise même pas les réactions de mon propre corps quand elle me prends en main. En un sens, c'est mille fois pire que d'être attachée. Je me sens prisonnière de moi-même et Homura me manipule comme un petit pantin tout doux et sans volonté.

Je sens mon corps se tendre jusqu'au dernier muscle. J'aggripe les couvertures de son lit à m'en faire blanchire les doigts pendant qu'elle fait éclater mon cœur en m'embrassant et en me lèchant le cou. Je sens des filets de mon liquie intime couler entre mes cuisses et sur mes fesses pendant que mes tétons tentent désepéréement de se frayer un chemin à travers la dentelle trop serrée de mon soutien-gorge.

J'ai mal. Je souffre autant que j'aime ça. Et je suis presque sûre que je suis une masochiste, ce qui me rempli d'encore plus de honte. Tellement de honte que je me sens tout proche du point de rupture.

- Homura… Pleure-je de honte. Homura-chan… Pitié… J'ai sali ma culotte… Et j'ai mal aux seins… je t'en supplie… Homura-chan… Je n'en peux plus ! Aide-moi… Laisse-je finalement sortir.

Elle ne va pas m'aider. Ou plutôt si, mais en m'achevant… Et pour ça, je sais que je vais l'adorer comme une déesse. Parce qu'il n'y a qu'elle qui peut me faire autant de bien en me faisant me sentir aussi mal.
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Antares/Pleione Lilianstar le dimanche 21 juin 2015, 17:34:10
Homura se délectait des petits bruits d'excitation qui sortaient de la bouche de Madoka. La pauvre semblait être à l'agonie, mais la dominante savait que sa soumise aimait se sentir ainsi. Qu'elle aimait se faire tirailler et pousser à la tension la plus totale, qu'elle aimait se sentir prisonnière de sa propre enveloppe corporelle et souffrir de tout ce que son corps faisait en réponse à son excitation sans qu'elle ne puisse rien y faire. Homura savait que sa petite amie n'était pas masochiste, mais plutôt qu'elle aimait se sentir impuissante parce qu'elle en tirait l'attention de celle dont elle était amoureuse, qui prenait un immense plaisir à jouer avec elle de cette façon. En somme, le couple se complétait parfaitement et avait leur propre façon de se faire l'amour.

Tout le corps de Madoka était tendu sous l'effet des caresses de sa petite amie. Cette dernière pouvait même sentir sous ses mains les tétons de sa soumise pointer comme des piquets et son liquide intime se répandre en dehors de sa culotte. Elle se rapprochait du point de rupture.

- Homura… Homura-chan… Pitié… J'ai sali ma culotte… Et j'ai mal aux seins… je t'en supplie… Homura-chan… Je n'en peux plus ! Aide-moi…

Homura sourit à sa petite amie. A entendre sa voix pleine de honte et à voir les larmes qui se formaient aux coins de ses yeux, il était clair que le jeu devait passer un cap dès maintenant. Il n'était pas question de pousser la honte et la détresse de cette petite trop loin. Elle posa donc une main sur sa joue et lui fit son regard le plus gentil, sans aucun amusement sadique ou autre envie du même genre.

« Oui Madoka... Je vais t'aider, mon amour... Je vais te libérer de ce sentiment qui te torture... »

Quand une fille se retrouvait au lit, la plupart des partenaires la déshabille en commençant par le haut, puis ensuite par le bas. Mais Homura fit l'inverse : elle retira d'abord la culotte de Madoka, puis ensuite son son soutien gorge. Toujours avec une lenteur et une sensualité tenant du supplice. Que voulez vous, c'était plus fort qu'elle.

Une fois sa petite amie nue, Homura lui offrit un délicieux baiser pour la calmer un peu.

« Voilà... Laisse ton corps respirer... »

Elle avait sans doute du se sentir à l'étroit dans ces sous-vêtements, en particulier au niveau de sa poitrine, enserrée dans ce soutien-gorge qui semblait un peu trop petit pour elle.

« Étrange... Je pensais que cette taille était la bonne pour toi... Se pourrait il que tu aies grandi sans que je m'en sois rendue compte ? Pourtant, je passe mon temps à te déshabiller des yeux et à reluquer tes courbes, surtout pendant les cours de piscine. »

Madoka était encore plus gênée et Homura en rigolait.

« Héhé... Comme si toi, tu ne m'observais pas avec envie quand je suis en maillot. Tu te souviens de notre dernière sortie à la plage ? Tu ne pouvais plus séparer tes yeux de mon bikini noir. »

La soumise était tellement rouge après ça qu'on aurait dit qu'elle allait se mettre à fondre. D'ailleurs, intérieurement, c'était déjà probablement le cas.

Homura rangea sa langue dans sa bouche pour se concentrer à nouveau sur l'essentiel. Elle posa ses mains sur les seins de Madoka et se mit à les masser, les pouces sur ses tétons. Elle écartait, rapprochait, pressait parfois ces deux beaux morceaux de chair ronds et fermes. Elle allait de temps en temps y loger sa tête pour embrasser la peau entre ces deux seins. Sa soumise réagissait de manière très positive à toutes ces caresses et laissait enfin ses vrais sentiments sortir.

« Ravie de voir que j'arrive toujours à te faire couiner, Madoka. »

La dominante vint embrasser sa soumise, mais avec un peu plus de fougue que d'ordinaire. Car elle aussi voulait ressentir quelque chose. Ne pas être tout le temps le bourreau, laisser une chance à sa victime de faire son œuvre elle aussi.
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Tessia le dimanche 21 juin 2015, 21:16:54
« Oui Madoka... Je vais t'aider, mon amour... Je vais te libérer de ce sentiment qui te torture... »

Homura-chan l'a dit. Maintenant c'est trop tard pour reculer. Je suis aussi terrifiée que soulagée.

- Merci Humora-chan… Gémis-je avec ma voix rendue un peu rauque d'être si excitée.

Je parviens à lui adresser un sourire de gratitude malgré mes yeux plein de larmes. Avec une douceur et une lenteur digne d'un bourreau, elle me retire ma culotte, la faisant glisser le long de mes jambes, me laissant bouillir de honte en sentant un petit courant d'air caresser ma vulve gonflée et luisante de désir. Ensuite, elle me retire mon soutien-gorge et c'est une libération si exquise que j'ai bien l'impression que je manque d'en jouir.

« Voilà... Laisse ton corps respirer... » Me dit-elle gentiment tandis que je me sens un peu mieux, même si ma situation a empiré d'un point de vue habillement. « Étrange... Je pensais que cette taille était la bonne pour toi... Se pourrait-il que tu aies grandi sans que je m'en sois rendue compte ? Pourtant, je passe mon temps à te déshabiller des yeux et à reluquer tes courbes, surtout pendant les cours de piscine. »

- N… Non… La taille était bonne… Mais la vendeuse m'a conseillée d'en prendre un, un tout petit peu plus petit, pour avoir un meilleur effet… Avoue-je tout bas, rouge comme une tomate.

Je suis bien embêtée avec les soutien-gorge en règle générale parce que je suis située très proche de la limite entre deux tailles différentes. Prendre des soutien-gorge plus petit tiens mieux ma poitrine, mais est désagréable à la longue. Prendre des plus gros me donne l'impression de flotter un peu dedans ce qui n'est pas agréable si j'ai du sport à faire car à ce moment ils frottent dedans.

Mais là c'était de la lingerie et le but c'était d'être désirable pour ma Homura-chan. Alors j'ai suivi les conseils de la vendeuse.

Mais Homura se met à rire, avec ce petit rire provocateur que je connais bien. Elle va encre m'accuser d'être une perverse, je le sens !

« Héhé... Comme si toi, tu ne m'observais pas avec envie quand je suis en maillot. Tu te souviens de notre dernière sortie à la plage ? Tu ne pouvais plus séparer tes yeux de mon bikini noir. »

- Ce… Ce n'est pas ce que tu crois Homura-chan ! Rougis-je en ouvrant de grands yeux mortifiés.

Sauf que c'est vraiment ce qu'elle croit. Mais comment est-ce qu'elle fait ? Elle a un livre pour lire dans ma tête dès que j'ai une pensée un peu gênante ? Mon Dieu, faites que ce ne soit pas ça, sinon je ne pourrais plus jamais la regarder en face !

Mais elle était tellement jolie dans son bikini noir ! Si belle, si féminine comparée à moi. J'ai beau avoir un tout petit peu plus de seins qu'elle, il se dégage de sa présence une telle grâce et une telle majesté… Et moi qui à la plage me suis surprise à m'imaginer que ce serait terriblement bon qu'elle me…

Kyaaaah ! Non ! Je ne dois pas penser à ça !

Le mal est fait, j'en senti comme un soubresaut dans mon petit coquillage et j'ai senti couler une grosse goutte de liquide hors de lui. Je n'ai pas joui, mais ça m'a fait un tel effet de repenser à ça.

J'en deviens cramoisie.

Homura-chan ne semble pas avoir remarqué. Mais elle décide de me travailler au corps. Quand elle pose ses mains si douces sur mes pauvres seins nus, je couine de plaisir, incapable de retenir cette expression de mon plaisir.

Homura-chan commence à me rendre folle. Elle caresse et pétrit ma poitrine avec une telle expertise et une telle douceur que ça confine à la torture pour moi. Je recommence à gémir comme une folle et bientôt mes gémissements deviennent des râles de plaisir tandis que je commence à haleter, la langue pendante hors de ma bouche.

C'est tellement bon ! Homrua-chan qui joue avec mes seins comme si j'étais une peluche. Son doudou. Sa petite chose inoffensive et totalement à sa merci. Je la sens parfois poser sa tête sur eux et me donner des baisers dessus. C'est tellement merveilleux comme sensation…

« Ravie de voir que j'arrive toujours à te faire couiner, Madoka. »

Je rosis et lui répond d'un petit sourire timide mais heureux. Puis Homura vient m'embrasser et cette fois je me laisse aller. Je lui rends son baiser. Je passe mes bras autour de sa taille pour la serrer contre moi. Fermant les yeux pour mieux en profiter, je me lance avec ma langue dans un ballet de délice et de plaisir.

- Homura-chan… Soupire-je hors d'haleine quand je dois finalement rompre le baiser parce que je suis à bout de souffle. Ma homura-chan…

J'en profite pour embrasser ses joues et le creux de son cou. Je serais peut-être punie plus tard pour ça, mais je veux sentir à nouveau le goût de ma petite amie. C'est si horrible de passer mes journées à la voir sans pouvoir la toucher. Sans qu'elle puisse me torturer quand elle en a envie.

- Homura… S'il-te-plaît… Est-ce que je peux te voir ? Gémis-je en recommençant à rougir. Je suis déjà toute nue et j'ai attendu toute la journée… S'il te plaît…
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Antares/Pleione Lilianstar le mercredi 24 juin 2015, 19:17:31
- Homura-chan… Ma homura-chan…

Madoka parlait de manière aussi égoïste qu'Homura l'avait fait avant elle. Mais cette dernière n'en était que plus satisfaite. Entendre sa petite amie lui dire qu'elle ne la voulait que pour elle, c'était aller dans son sens.

« Oui Madoka... Cette partie de moi n'est que pour toi... Et je ne la montrerai à personne d'autre. »

La soumise vint ensuite embrasser les joues et le creux du cou de sa dominante. Elle ne lui en tint pas rigueur car, même si elle préférait avoir le dessus, son but premier était d'abord le bonheur de sa partenaire. Alors si elle était heureuse en donnant ainsi des baisers à sa petite amie, cette dernière allait la laisser faire sans broncher.

- Homura… S'il-te-plaît… Est-ce que je peux te voir ? Je suis déjà toute nue et j'ai attendu toute la journée… S'il te plaît…

Homura regarda Madoka avec une lueur de malice dans les yeux. Pour que ce soit elle qui demande expressément à voir sa petite amie dans sa tenue d'Eve, c'est qu'elle devait vraiment en avoir envie. Et ce n'était pas sa poitrine durcie et sa vulve luisante qui prouveront le contraire.

« Demandée si gentiment, comment pourrais je refuser ? »

Homura commença à déboutonner le haut de son uniforme scolaire. Chaque bouton partit avec son habituelle lenteur de bourreau, jusqu'à ce que le vêtement parte et dévoile un soutien-gorge noir partiellement transparent, qui montrait clairement la forme des seins de sa porteuse mais qui cachait tous les autres détails intéressants. Après quoi, elle enleva sa jupe et dévoila la culotte assortie à son soutien-gorge, qui cachait son entrejambe mais offrait une vue partielle sur son derrière grâce à la transparence du tissu.

La dominante aimait porter ce genre de sous-vêtements partiellement révélateurs car ils lui donnaient un autre moyen de s'amuser un peu aux dépends de sa soumise adorée, en montrant à cette dernière un bel aperçu de ce qui s'offrait à elle sans pouvoir pour autant y toucher sans l'autorisation de sa petite amie qui, évidemment, s'assurait de faire durer le plus longtemps possible avant de la donner. Comme elle allait le faire maintenant.

« Tu connais la règle, Madoka : pas touche à ce que tu voies avant que j'ai dit oui. Et avant de le dire, je veux d'abord m'occuper un peu de toi. »

Homura se mit à lécher l'un des tétons de Madoka. Cette dernière mit moins d'une seconde à couiner en conséquence. Sa petite amie faisait preuve d'une précision et d'une sensualité délicieuses. Tout en satisfaisant sa soumise par le haut du corps, la dominante descendit une main sur son ventre, qu'elle caressa un peu avant de se rendre vers sa fente intime. Elle entendit sa partenaire lui demander de ne pas la toucher ici, mais elle fit comme si elle n'avait pas entendu et se mit à caresser sa fente, qui ressemblait déjà à un torrent tant il y avait de cyprine. C'est là qu'une idée bien plus amusante lui vint en tête : faire jouir sa petite amie juste en utilisant ses seins. Elle mettra bien plus de temps à atteindre l'orgasme, et sera donc plus en mesure d'apprécier les caresses qu'elle reçoit.

Homura enleva sa main du coquillage de Madoka et l'utilisa pour pincer son autre téton. Elle savait que sa petite amie aimait quand on était un peu rude avec elle, alors il n'y avait pas de raison de se retenir.

Savoure, Madoka... Savoure ma façon de te faire du bien.
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Tessia le mardi 30 juin 2015, 14:43:41
Je rougis en regardant ma Homura-chan retirer ses habits. Elle est toujours si gracieuse dans es gestes que je suis un peu jalouse. avec elle, même retirer un haut d'uniforme devient une sorte d'art fascinant. Et de torture insoutenable pour moi. J'ai terriblement envie de la voir tout de suite aussi nue que moi. De pouvoir admirer son corps parfait.

Mais elle prend tout son temps, comme à son habitude et chaque parcelle de peau qu'elle me révèle fait s'emballer un peu plus mon petit cœur. Je reconnais petit à petit les sous-vêtements qu'elle porte et je gémis. Je connais cette autre tourment qu'elle adore. Me laisser deviner ses courbes tout en me cachant le plus intéressant. C'est horrible ! Ho que je déteste ça ! C'est comme agiter un superbe gâteau sous le nez de quelqu'un qui meurt de faim ! C'est agiter sous le nez d'un mourant le médicament qui pourrait lui sauver la vie sans le laisser approcher d'assez prêt pour qu'il ne puisse même en sentir l'odeur.

C'est horriblement frustrant, nom d'une brioche !

« Tu connais la règle, Madoka : pas touche à ce que tu voies avant que j'ai dit oui. Et avant de le dire, je veux d'abord m'occuper un peu de toi. »

Je la regarde d'un air suppliant.

- S'il te plaît Humora-chan... C'est cruel... Dis-je d'une toute petite voix.

Mais comme d'habitude, mes supplications restent lettre morte et elle prend mon téton dans sa bouche, me faisant couiner de plaisir.

- Homura-chan ! Hnnnn... Non... Pas ici... Homura... Supplie-je alors qu'elle suçote mon téton comme s'il était gorgé de lait.

Cette idée me donne envie de savoir ce que ça fait et je sens mon liquide intime couler plus abondamment alors que ma tendre Homrua descend sa main sur mon ventre en direction de mon petit coquillage.

- Haaannnnnn... Homura-chan... Gémis-je haletante. Non, pas là non plus... Pitié...

À ma grande surprise et mon plus grand désarroi, elle relâche ma fente intime à peine l'a-t-elle touchée. Je lève vers elle un regards plein d'incompréhension. Mais elle l'ignore et commence à pincer mon autre téton.

Je couine de douleur et de plaisir mélangés.

- Homura-chan... Qu'est-ce que tu... Haaaa ! glapis-je tandis qu'elle tords doucement mon téton entre ses doigts tout en me suçotant l'autre.

Elle continue son manège de longues minutes, me torturant comme elle seule sait le faire. Passant de l'un de mes seins à l'autre, léchant et suçotant les pointes qu'elle meurtri ensuite en les pinçant et en les tordant, pin4ant également d'autres parties de mes seins qui deviennent de plus en plus affreusement sensible au fur et à mesure qu'ils rougissent.

Petit à petit, chaque léchouille devient une moment aussi douloureux qu'agérable et je me tortille sous elle pour tenter de me libérer. Mais d'une main, elle a aggripé mes deux poignets et me maintient prisionnière sous elle dans son lit.

- Non... Au secours... Couine-je la langue pendant, ma salive coulant sur mon menton tandis que ma voix est rendue rauque par ce mélange entre le plaisir de ses caresses et la brulure de ma chaire sensible et malmenée. À l'aide... Gémit-je faiblement tandis que je sens une infernale chaleur envahir mon bas-ventre. Homura-chan... Pitié... Je t'en prie... Je t'en supplie... Pas comme ça... Non... Ce n'est pas bien... Hnnnn... Non... Haannnnnn... Homura...

Mais elle continue, inlassablement, pinçant et donnant même quelques tapes à mes seins qui me font glapir avant de recommencer à caresser mes chairs à vif. Ma poitrine est d'un rose si vif qu'elle semble presque rouge et je la sens me brûler au moindre frottement. C'est abominable, c'est inhumain. Et pourtant, nom d'une brioche, ça met le feu à mon ventre pire que de l'essence sur un brasier. Mon corps se tends de plus en plus, mon dos s'arquant comme une corde d'arbalète tandis que je creuse mes reins comme pour pousser mon petit coquillage contre un stimuli qui n'existe pas. Mon souffle est court et saccadé et je passe de longue périodes à la retenir à chaque fois que je sens les caresses de ma Homura-chan réveiller la douleur qu'elle inflige à mes pauvres seins.

- Ho... Homura... Arrête... Pitié... Supplie-je sans la moindre conviction. Haaannnn ! Homura-chan... Haaaaa.... Homu... Haaa... Haaa... Homuraaaa.... HAAAANNNNNNN !!!!

C'était la tape de trop sur mon sein droit pendant qu'elle me léchait le téton gauche. Ne pouvant plus me retenir, je jouit finalement de ces longues et interminables minutes de calvaire. Les joues en feu, mes seins brûlants de douleur, Tout mon corps se tends subitement une dernière fois et je pousse un son à mi-chemin entre le cri et le gémissement tandis que mon plaisir me parcourt en partant de ma vulve vers le reste de mon corps, m'agitant de soubresauts, me faisant hoqueter.

Puis je retombe soudain dans le lit, sans force, terrassée par la vague de plaisir et l'effort intense que j'ai fait en tendant ainsi mes muscles.

Elle m'a faite jouir rien qu'en torturant mes seins. Je suis aussi bien morte de fatigue que de honte. J'ai joui de douleur et de frustration. Je sens mes larmes couler le long de mes joues tandis que j'entrouvre les yeux pour la regarder.

- J'ai mal Homura-chan... Soupire-je d'une voix faible et haletante. J'ai l'impression d'avoir des seins de vache tellement tu as tiré dessus. Ils sont super gonflés et ils me brûlent... J'ai mérité de voir ta poitrine maintenant ? S'il-te-plait ?
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Antares/Pleione Lilianstar le vendredi 03 juillet 2015, 00:28:54
Si une tierce personne était entré à ce moment-là dans la pièce, il aurait pu croire qu'Homura était en train de torturer sa petite amie. En effet, Madoka enchaînait les couinements et les supplications, la langue pendante hors de la bouche et la bave coulant sur son menton, pour que sa petite amie arrête de sucer et pincer ses tétons comme elle le faisait. Mais un inconnu n'aurait pas su voir ce que Homura voyait.

La dominatrice savait que chacun des gémissements de sa soumise, qui semblaient être des gémissements de douleur, étaient en fait des gémissements de plaisir. Elle lisiat en sa petite amie comme dans un livre ouvert, et aucun de ses désirs ne pouvait lui être caché. Si cette pauvre petite souffrait vraiment, elle savait qu'elle n'avait qu'un seul mot à dire pour que tout s'arrête. Mais pour l'instant, tout ce qui sortait de sa bouche et arrivait aux oreilles de celle qui la ''malmenait'', c'était un plaisir physique immense et délicieux, bien qu'un peu brûlant.

Homura se laissa un peu aller et se mit à donner de petites tapes sur les seins de Madoka et à pincer d'autres endroits que ses tétons. En quelques minutes, la poitrine de la soumise devint rouge, ce qui n'était pas pour déplaire aux deux filles : l'une glapissait à chaque coup sur sa peau endolorie, l'autre se plaisait à lui mettre de petites tapes. Pour l'instant c'était ses seins, plus tard ce serait ses fesses...

Madoka réagissait fortement aux stimulus que lui offrait Homura : tout son corps s'arquait comme un pont, elle creusait ses reins pour essayer de trouver quelque chose contre quoi frotter son sexe humide et bouillant, son souffle filait de manière anarchique et irrégulière. Elle continuait de supplier, mais sa petite amie y entendait toujours des mots sans conviction. Elle sentait que sa chérie approchait de l'orgasme, alors elle n'allait sûrement pas s'arrêter en si bon chemin.

Finalement, ce fut après une tape sur son sein droit pendant qu'elle léchait son téton de gauche que Homura parvint à faire jouir Madoka. Après avoir expulsé son liquide dans un cri proche du gémissement, la petite soumise s'étala sur le lit, terrassée par la force de son plaisir, parcourue de spasmes et de hoquètements. Des petites larmes coulèrent le long de ses joues et de la bave s'échappa de sa bouche. Homura regarda avec bonheur sa petite amie, à la sensibilité encore à fleur de peau, l'état dans lequel elle lui plaisait le plus. Elle lui caressa doucement la joue, et c'est à ce moment là qu'elle se remit à parler.

- J'ai mal Homura-chan... J'ai l'impression d'avoir des seins de vache tellement tu as tiré dessus. Ils sont super gonflés et ils me brûlent... J'ai mérité de voir ta poitrine maintenant ? S'il-te-plait ?

La dominante regarda Madoka dans ses yeux entrouverts et lui embrassa le front.

« Tu sais toujours comment me demander ce genre de choses, ma puce. Oui, tu peux maintenant la voir. Et je vais même t'offrir un petit bonus parce que tu as été sage. »

Homura retira son soutien-gorge avec la même habileté que d'ordinaire mais, en plus, elle enleva aussi sa culotte. Nue comme un ver, elle se mit à quatre pattes et avança vers sa petite amie en collant son visage tout près du sien.

« Tu m'as offert ton corps. Maintenant, c'est à ton tour de t'amuser. »

La dominante s'assit sur le lit, bassin en avant et jambes bien écartées, invitant sa petite soumise à venir la rejoindre et à profiter à fond.

« Ne t'en fais pas, je ne vais pas te mordre... Sauf si c'est ce dont tu as envie. »
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Tessia le vendredi 03 juillet 2015, 14:15:39
« Tu sais toujours comment me demander ce genre de choses, ma puce. Oui, tu peux maintenant la voir. Et je vais même t'offrir un petit bonus parce que tu as été sage. »

J'ouvre de grands yeux en entendant ça et je frémis d'impatience. Enfin, les seins de ma Homura-chan ! J'ai endurée si durement pour pouvoir les voir que c'est encore meilleur ! Je souris doucement, gênée mais heureuse. C'est alors que pour ma plus grande joie et ma plus grande honte aussi, elle retire également sa culotte. Moi qui m'attendais à devoir attendre d'avoir les fesses rouge et meurtries pour voir ça, je suis aux anges, malgré mes mains plaquées sur mes joues rouges comme des tomates.

- Homura-chan... Que tu es jolie... Ne puis-je m'empêcher de lui dire tandis qu'elle grimpe sur moi à quatre pattes pour poser son front contre le mien.

Je ferme à moitié les yeux, m'attendant à tout instant à ce qu'elle reprenne ma bouche avec la sienne. Mais elle me parle doucement.

« Tu m'as offert ton corps. Maintenant, c'est à ton tour de t'amuser. »

J'ouvre de très grands yeux quand je la vois ensuite s'allonger dans le lit et me laisser l'immense joie de pouvoir voir sa fleur. Je suis au paradis ! Homura viens de m'offrir la chose la plus précieuse au monde ! Son corps divin pour moi toute seule ! Je me relève à mon tour à quatre pattes, laissant ma poitrine meurtrie pendre douloureusement sous moi, mais je n'en ai même pas vraiment conscience.

« Ne t'en fais pas, je ne vais pas te mordre... Sauf si c'est ce dont tu as envie. »

Je rougis tout en venant sur elle.

- Ma Homura-chan... Soupire-je en me collant contre elle pour lui faire un gros câlin.

J'aime sentir son corps chaud contre le mien. Je dois serrer un peu les dents en sentant mes seins protester quand je les presse contre ceux de ma petite amie, mais je m'en moque. C'est tellement bon de la sentir contre moi, nue et offerte. Je pourrais rester comme ça pour toujours, à respirer son odeur et à sentir sa peau contre la mienne.

Mais j'ai envie de lui faire plaisir. Je veux qu'elle soit contente de m'avoir pour petite amie. Si je me contente de câlins, elle va penser que je ne l'aime pas. Alors que pour elle, je suis prête à tout !

Je commence à lui faire des petits bisous dans le cou. J'aime l'entendre soupirer pendant que je prend soins d'elle, sa voix est tellement plus belle quand elle est teintée de plaisir. Je bouge doucement mon corps pour frotter mon bassin contre le sien et j'utilise mes bras dans son dos pour la caresser.

- Hmmmm... Ma Homura-chan... Ma déesse à moi... Soupire-je heureuse en continuant à bécoter son cou.

Puis je me retire un peu en arrière pour la regarder avec un sourire heureuse et venir donner des bisous à sa poitrine. Je sais qu'elle complexe un tout petit peu parce que ses seins sont plus petits que les miens. Mais moi je les adore ! Ils sont fermes et tellement doux. J'aimerais être le petit bébé de Homura pour pouvoir avoir ses seins tout doux plein de lait juste pour moi.

Je passe un moment ma langue sur les auréoles de ses seins parce que je sais qu'elle adore ça. Je lui fais dresser ses pointes au maximum avant de les prendre en bouche et de les suçoter.

- Hnnnnnn...

Nom d'un brioche, si elle avait du lait, je pourrait mourir heureuse !
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Antares/Pleione Lilianstar le jeudi 16 juillet 2015, 18:22:55
Il était rare pour Homura de s'offrir ainsi à Madoka, de la laisser faire ce qu'elle voulait avec son corps, de ne plus avoir un contrôle absolu sur leurs ébats. Si elle agissait ainsi, c'était en partie parce qu'elle se sentait coupable d'avoir été un peu trop brusque pendant qu'elle s'occupait de la poitrine de sa petite amie. A cause de ça, ses jolis seins étaient devenus tout rouges et gonflés, ce qui rendait la dominante légèrement coupable. Pour compenser, elle décida d'échanger les rôles pour donner une chance à sa soumise de se faire du bien pour oublier sa douleur. Sans compter que, de cette façon, Homura allait se faire papouiller par sa petite amie prête à tout pour la satisfaire.

Elle regarda Madoka venir se coller sur elle pour lui faire un câlin. Homura se réjouit de sentir la peau de sa petite amie caresser la sienne, sa chaleur se mêler à la sienne, son parfum arriver à ses narines, ses seins meurtris presser contre les siens. Comme si chacune de leurs fibres nerveuses se mêlaient ensemble pour former une unique entité aux sensations douces et exquises.

Homura se sentait déjà en pleine extase, mais ce fut encore mieux lorsque Madoka se mit à l'embrasser dans le cou. Ses lèvres avaient la légèreté d'un papillon à peine sorti de sa chrysalide, et c'était tellement bon de les sentir se poser sur sa peau qu'elle en soupirait d'aise. En plus, sa petite chérie frottait son bassin contre le sien, et leurs vulves luisantes de désir se rencontraient à chacun de ces mouvements, leur donnant encore plus de plaisir.

« HHHmmm... C'est toi... la vraie déesse... Madoka... Moi je ne suis... qu'un vilain démon... »

Madoka se retira après cette déclaration pour venir s'attaquer à la poitrine d'Homura, toujours avec le même sourire et les lèvres pleines de douceur et de désir. Mais du côté de la dominante, tout n'était pas que joie et satisfaction.

A chaque fois qu'elle se retrouvait seins nus devant sa soumise, elle se sentait un peu complexée parce que sa poitrine était plus petite que la sienne. Sa petite amie avait beau lui dire que ce n'était pas grave, elle ne pouvait pas s'empêcher de se sentir diminuée devant elle. C'était sa seule faille face à elle. Une faille qui, pour son plus grand bonheur, n'avait jamais été exploitée.

Homura se faisait lécher et suçoter les pointes de ses seins, dressées au maximum par les attentions de Madoka. Elle couinait de plaisir et d'extase tant chaque coup de langue la rendait folle. Sa petite amie avait vraiment le don de savoir comment la satisfaire au mieux. Même quand elle se contentait de lui faire un câlin sans aucune dimension sexuelle, elle la comblait de bonheur. Tout lui plaisait chez elle, et elle ne se voyait pas capable d'être plus heureuse qu'entre ses mains.

« Ah... Madoka... Ah... »

La soumise donnait à sa ''maîtresse'' un bon aperçu de ce dont elle était capable. Elle était tellement passionnée dans ce qu'elle faisait qu'Homura pouvait sentir ses sentiments passer au travers de sa langue et venir se percuter à sa poitrine si sensible et avide d'attentions. Ces frissons ainsi provoquées lui parcouraient le corps des pieds à la tête et la faisaient soupirer de plus en plus fort. En même temps qu'elle laissait aller sa voix, elle baladait ses mains sur chaque partie du corps de Madoka qui était à sa portée pour bien lui montrer qu'elle était ravie de ce qu'elle lui faisait.

Mais très vite, cela ne lui suffisait plus. Elle en voulait plus. Et contrairement à sa petite amie, elle n'avait aucun mal à exprimer ce qu'elle voulait.

« Han... Madoka... Vas y... plus fort... Je veux... te sentir... contre moi... de tout mon être. Aahh... »
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Tessia le samedi 18 juillet 2015, 12:58:44
Hmmm... Les seins de ma Homura-chan... J'aime tellement leur goût, leur texture... Je pourrais passer des journées entières à ne faire rien que ça, les suçoter. Bien sûr, juste me servir de ma bouche sur eux ne serait pas suffisant. Il me faut les soupirs de ma petite amie... De ma Maîtresse, pour que le tableau soit complet. Sinon il en manquerait une part très cruelle pour moi.

Je la sens frisonner pendant que je la caresse et que j'use de ma langue sur ses petits tétons tout dressés de plaisir. J'adore tellement cette sensation que j'y met tout mon cœur et toute mon ardeur.

Mais ma petite amie sait ce qu'elle veut et n'hésite pas à le demander, contrairement à moi qui en suis souvent réduite à supplier pour qu'Homura-chan devine. J'ai vraiment une petite amie géniale, je sais toujours ce qu'elle veut parce qu'elle n'a pas peur de me le dire. Alors je me colle plus contre elle et commence à agiter mon bassin plus fort, frottant ma petite vulve luisante de désir plus vite contre celle de ma petite amie. J'en profite pour glisser un de mes bras dans son dos entre ses petites fesses et venir titiller sa fleure intime par en-dessous avec deux doigts, insistant particulièrement sur son petit clito.

- Hmmm... Homura-chan... Soupire-je en ne ménageant pas mes efforts.

Je commence aussi à sucer ses seins plus fort, tirant sur ses pointes dressée comme si je tétais pour de bon. Je sais qu'Homura aime aussi quand ça fait un tout petit peu mal. Pas vraiment mal mais quand c'est juste stimulé ce qu'il faut pour qu'elle puisse perdre pied et se laisser entraîner tout au fond de son plaisir. Alors je suce ses seins juste un peu trop fort pour que ce soit simplement agréable. Je bave aussi abondamment sur eux parce qu'elle aime quand je suis toute sale. Ça lui donne une bonne occasion de me traiter de "petite cochonne" et de me punir pour ça.

- Hmmmmm... Slurp ! Maman Homura, donne-moi du bon lait ! Schllluurrppp !! Dis-je en continuant à lui titiller sa petite fleur intime pendant que je glisse aussi un doigt sur son bouton de rose.

Je n'ai jamais essayé d'y glisser quoi que ce soit, mais ça a tendance à la rendre folle quand elle sent que je la touche là comme si je voulais essayer. Je la sens trembler et s'arquer entre mes bras, se préparant à un orgasme que je devine retentissant. Je vais pouvoir sentir le jet de cyprine de ma Maîtresse adorée contre moi et je serais alors toute sale en bas.

Je suis la vilaine petite cochonne de ma Homura-chan et j'adore ça !
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Antares/Pleione Lilianstar le samedi 25 juillet 2015, 12:37:10
Suivant la demande d'Homura, Madoka se mit à se frotter plus fort contre elle, augmentant la force de la rencontre entre leurs vulves luisantes et gonflées de désir. Histoire d'en rajouter, la soumise profita de la position vulnérable de sa maîtresse pour faire passer un de ses bras dans son dos et venir titiller son intimité par en-dessous avec ses doigts habiles. Un geste qui ne passa pas inaperçu.

« Han... Madoka... Oui... Merveilleux... Ah... »

En même temps, Madoka se mit à téter les pointes dressés d'Homura avec plus de force. Cette dernière sentait son plaisir grimper à mesure que sa petite amie était plus dure avec elle. Elle savait exactement comment s'occuper de sa maîtresse, tout comme elle-même savait exactement ce qu'aimait sa petite soumise. En somme, les deux filles se complétaient magnifiquement. Même quand Homura la voyait baver sur ses tétons comme une vilaine cochonne, elle savait que ce n'était pas le fruit du hasard, qu'il y avait quelque chose de caché et de bien précis derrière cette action.

Tout à coup, elle sentit un des doigts de Madoka s'approcher de son bouton de rose. C'était une chose qui la rendait toujours contrariée : sa petite amie approchait un doigt de son arrière-train, mais n'essayait jamais d'y rentrer, alors que la dominante voulait sentir son doigt remuer dans son fondement. Cela l'énervait, mais elle ne s'en soucia guère car elle sentait que l'orgasme arrivait. Elle s'arqua et se secoua dans les bras de sa petite amie jusqu'à ce que, finalement, le coup de hanche de trop ne l'amène à jouir.

« Madoka...AAAHHH !  »

Homura se tendit d'un seul coup et expulsa sa cyprine sur le corps de sa petite amie. Son bassin et ses jambes furent recouverts de liquide. Après quoi, sa maîtresse tomba sur le lit, semblant être tout à coup assommée par la fatigue. Son souffle était constant mais lourd, ses yeux étaient complètement fermés et son visage laissait penser qu'elle s'était soudainement endormie. Un peu inquiète, Madoka la relâcha de son emprise pour voir si elle allait bien... et se fit à nouveau piéger. Homura se réveilla d'un seul coup, lui attrapa les poignets et la plaqua sur le lit pour mieux la dominer. Cette fois, ses yeux montraient qu'elle avait une sale idée en tête.

« Tu sais que tu es une très vilaine fille, toi ? »

La soumise la regarda avec des yeux interrogatifs.

« D'abord, tu baves sur mes seins comme une petite cochonne, ensuite tu me nargues en baladant ton doigt près de mon petit trou, et enfin tu t'arroses avec ma cyprine. »

La dominante se pencha pour venir parler dans l'oreille de sa petite amie.

« Tu sais ce que je fais aux vilaines petites filles comme toi quand je les attrape ? Je... les... punis. »

Quand Homura se releva, elle vit que le visage de Madoka était devenu tout rouge. Logique, elle savait que sa petite soumise aimait se faire réprimander, aussi bien verbalement que physiquement.

Elle libéra les poignets de sa prisonnière puis se mit à genoux sur le lit. Elle tapota ses mains sur ses cuisses.

« Allez, viens là. »

Madoka obtempéra et s'allongea sur les genoux d'Homura, relevant son derrière pour faciliter la tâche de sa maîtresse. Cette dernière commença par lui caresser un peu la croupe...

« Hhmm... Quel joli petit derrière tu as... »

...Et d'un seul coup, elle abattit sa main sur ses fesses. La soumise lâcha un gémissement, qui allait être très vite suivi par beaucoup d'autres.

Homura administrait à Madoka une retentissante fessée : ses mains claquaient encore et encore sur ses petites fesses, qui devenaient plus rouges et plus sensibles à chaque coup qui les meurtrissaient. La dominante prenait son pied à punir ainsi sa petite amie, la soumise poussait, à chaque coup, des gémissements qui ne permettaient pas de dire si elle prenait son pied où si elle souffrait. Mais Homura n'avait pas besoin de ça pour savoir que sa victime adorait ce qui lui arrivait.

En à peine quelques minutes de ''punition'', les fesses de Madoka étaient aussi rouges et meurtries que ses seins. Homura enleva ses mains de son derrière.

« Tes fesses m'ont l'air d'aller mal... Peut-être t'ai-je assez punie pour cette fois. »

Il n'était pas certain que la petite soumise en ait eu assez, mais sa maîtresse voulait l'obliger à lui demander de continuer de la punir pour que ce soit plus amusant.
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Tessia le mercredi 29 juillet 2015, 20:27:25
- Hmmmm... Homura-chan... Soupire-je avec un sourire tandis que finalement ma petite amie jouit sur moi.

Je sens son nectar de plaisir couler le long de mes cuisses tandis qu'elle retombe dans son lit, le souffle court et la respirations haletante.  Elle est si belle quand elle s'abandonne au plaisir que je souris en la contemplant. J'ai envie de continuer à lui faire des bisous partout et à lui faire des choses que ma timidité réprouve. Je la vois qui se calme doucement, mais reste les yeux clos, sans sembler vouloir émerger. Un peut inquiète, je grimpe délicatement sur elle pour me rendre compte de la situation. Mais brusquement, elle ouvre les yeux et saisi mes poignets pour me renverser en arrière et me plaquer dans son lit, me faisant glapir de surprise.

« Tu sais que tu es une très vilaine fille, toi ? » Me demande-t-elle alors que je ne cache pas ma surprise. « D'abord, tu baves sur mes seins comme une petite cochonne, ensuite tu me nargues en baladant ton doigt près de mon petit trou, et enfin tu t'arroses avec ma cyprine. » Me dit-elle en se penchant doucement à mon oreille, me faisant déjà rougir de mon comportement pas chaste pour deux sous.

« Tu sais ce que je fais aux vilaines petites filles comme toi quand je les attrape ? Je... les... punis. » Me chuchote alors Homura-chan et je sens, à ma terrible honte, mon excitation augmenter.

Elle se redresse ensuite, libérant mes poignets pendant que je reste allongée, attentive et silencieuse. Elle se met alors à genoux et tapote ses mains sur eux, me faisant comprendre très vite la suite : Homura-chan veut me fesser.

« Allez, viens là. »

- Ou... Oui... Homura-chan... Réponds-je d'une voix hésitante, obéissant malgré tout.

Une nouvelle fois rouge de honte, je me redresse et viens m'allonger sur ses genoux, comme la petite fille pas sage que je suis. Encore plus gênée, je relève mes petites fesses pour qu'elle y accède plus facilement. Je sens la main de ma petite amie se poser sur mon derrière et le caresser. Je gémis avec délice à ce plaisir simple.

- Hmmmm... Homura-chan... HAAAANNN !!! Gémis-je au moment où elle abat sa main sur mon petit derrière.

Ça me fait mal, mais en même temps ça me fait du bien aussi. Je me déteste presque d'adorer cette sensation : Celle d'être battue par ma petite amie. Mais elle ne tape jamais que là où je suis sensible et où c'est sans danger pour moi. Elle évite sciemment le ventre, les hanches, les reins, les jambes à partir des genoux les bras et la tête. Elle sait que frapper ici fait mal, certes, mais ce n'est pas le genre de douleur qui me permet de l'apprécier. Tandis que là, ça fait mal, mais je sens petit à petit mes fesses devenir moins douloureuses tout en devenant plus sensibles et je peux commencer à ressentir du plaisir à ce qu'elle martyrise mon petit cul.

Elle continue de longues minutes, me faisant pousser des gémissement mêlés de cris, incapable que je suis de décider si j'ai mal ou si je prend du plaisir. Je sais sans les voir que mes petites fesses sont devenues aussi rouge que mes seins tout-à-l'heure et je sens ma fente intime dégouliner entre mes jambes et tomber au compte-goutte sur le lit à Homura-chan.

Au bout de quelques minutes seulement, Homura-chan s'arrête, retirant ses mains de mes fesses douloureuses. Je tourne vers elle un regard d'incompréhension, les joues rouges et le souffle court.

« Tes fesses m'ont l'air d'aller mal... Peut-être t'ai-je assez punie pour cette fois. »

Bien sûr que non ! Nom d'une brioche, je peux tenir bien plus que ça !

Je comprends alors à son petit sourire en coin qu'elle attends que je m'humilie encore plus en réclamant plus de punition. Ça ne manque pas, mes joues deviennent aussi rouge que mon petit cul.

- Je... Je crois que je n'ai pas été... Assez punie... Homura-chan...

Elle hoche la tête et me fait un sourire sadique. Puis elle me dit qu'elle n'a plus envie de se faire mal aux mains sur mon sale petit derrière de cochonne lubrique. D'un geste, elle me désigne son tiroir à vêtement et m'ordonne d'aller lui chercher sa cravache. Elle précise que je dois rester à quatre pattes et me servir de ma bouche pour la lui ramener.

Je descend de ses genoux en prenant bien garde de ne pas lui marcher dessus et descend ensuite du lit à quatre pattes pour me diriger vers le tiroir. Je l'ouvre en coinçant la poignée entre mes dents et tire dessus aussi fort que je peux parce que ce tiroir s'ouvre mal. Ensuite je me sers de mon nez pour écarter les chaussettes d'Homura et trouver sa cravache que je ceuille entre mes dents avant de la lui ramener.

Elle m'ordonne de faire la belle pour lui donner et j'obéis, me dressant sur mes genoux et relevant mes mains au niveau de mes seins. Elle me sourit en me prenant la cravache et m'ordonne de ne pas bouger. Elle passe un peu le bout de cuir contre mes tétons et je tremble sur mes genoux à la fois d’excitation et de peur qu'elle décide de cravacher ma poitrine parce que je sais que ça serait vraiment trop douloureux pour moi. Mais heureusement, elle finit juste par me faire signe de revenir sur ses genoux. Je remonte m'allonger sur elle soulagée. Autant mon derrière peut supporter un petit moment la cravache, autant sur mes seins c'est juste trop douloureux. Elle me tends une boule de tissus qu'elle m'ordonne de prendre dans ma bouche, je reconnais rapidement ma culotte tandis que j'obéit et ouvre tout grand pour qu'elle puisse la pousser dedans. Je comprends très bien la raison car autant ses fessées me font gémir, autant la cravache me fait hurler. Et mieux vaut éviter que les voisins ne se posent des questions sur ce que Homura-chan me fait. Elle laisse deuxdoigts dans ma bouche pour jouer avec ma langue ce qui est extrêmement cruel car du coup je ne peux pas serrer les dents quand elle frappe mon cul avec son ustensile de torture.

Elle passe doucement le bout de cuir sur mes fesses meurtries, m'arrachant des soupirs étouffés par mon bâillon avant de soudain faire claquer la pointe de la cravache sur mes fesses avec violence. À chaque fois, je crie à travers ma culotte qui musèle un peu ma voix, pendant qu'Homura continue à triturer ma langue entre ses deux doigts. Elle me fait confiance pour ne pas la mordre, mais c'est tellement dur de ne pas serrer la mâchoire quand elle tape ! Je suis obligée de mobiliser toute ma volonté pour tenir et ne pas faire mal à ma petite amie. À côté, elle compte les coups qu'elle donne à mon petit cul. À cinq je commence à trembler comme une feuille. À sept je suis obligée de me retenir aux draps pour ne pas m'effondrer. À dix je pleure toutes les larmes de mon corps tant ça me fait mal. Et pour finir, à treize je m'effondre totalement, mais j'ai réussi à tenir deux coups de cravache de plus que la dernière fois. Je ne vais pas pouvoir m'asseoir demain en cours avec ce que je viens d'encaisser. Heureusement qu'on a sport les première heures de cour. C'est d'ailleurs sûrement pour ça qu'elle a choisit la cravache. Avec de la pommade, demain midi ça ira un peu mieux, même si ça restera très inconfortable d'être assise.

Je sens un petit quelque-chose de lisse commencer à tourner autour de mon anus et je tremble au moment où ça se met à vibrer. J'ai reconnu l’œuf vibrant d'Homura-chan qu'elle avait probablement caché la magie sait où, et qu'elle utilise maintenant sur mon petit cul pour me rendre folle.

- Non... Homura-chan... Pitié... Pleure-je tout en soupirant de plaisir.

Ma petite amie se montre encore une fois, aussi cruelle avec moi que je l'adore...
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Antares/Pleione Lilianstar le dimanche 02 août 2015, 23:11:46
- Je... Je crois que je n'ai pas été... Assez punie... Homura-chan...

Comme Homura s'y attendait, Madoka était tellement contente de se faire fesser qu'elle était prête à en redemander, mais toujours avec ce petit air qui semblait dire qu'elle était morte de honte. Mais comment la croire alors que son sexe dégoulinait au compte-goutte sur son lit ?

« Tu as raison. Tu mérites encore d'être punie. Mais je n'ai plus envie d'abîmer mes mains sur ton sale derrière de petite cochonne lubrique. »

Elle lui désigna un des tiroirs de son armoire.

« Tu vois ce tiroir ? A l'intérieur, il y a une cravache qui sera parfaite pour tes petites fesses. Sois gentille et va me la chercher. Mais attention, tu dois rester à quatre pattes et me la ramener avec ta bouche. Je veux te voir te trémousser comme la petite chienne en chaleur que tu es. »

La soumise obéit à sa maîtresse sans discuter. Elle descendit du lit et se rendit vers le fameux tiroir, qu'elle ouvrit avec ses dents. Puis, en utilisant son nez, elle remua les chaussettes d'Homura jusqu'à finalement tomber sur l'instrument recherché. De son côté, le jeune fille aux cheveux noirs regretta sa paresse : la dernière fois qu'elle avait utilisée cette cravache sur Madoka, elle était rangée dans son tiroir à sous-vêtements. Mais, à cause de certaines circonstances malheureuses, elle avait du la ranger à la va-vite après s'en être servie et l'avait mise par erreur dans son tiroir à chaussettes, celui qui était au-dessus du bon tiroir. Elle s'imaginait d'ici le tableau : sa petite amie, docile et obéissante, fouillant dans ses soutien-gorges et ses culottes, le nez plongée dedans. Peut-être que, cédant à ses pulsions coupables, elle se serait mise à les renifler pour y retrouver l'odeur de sa petite amie autoritaire et diabolique.

Quand Madoka revint avec la cravache entre les dents, Homura lui caressa la tête comme elle le ferait avec un petit chien.

« C'est bien, ma chérie. Maintenant, donne moi la cravache en faisant la belle. Après, ne bouge plus. »

Encore une fois, la jeune fille aux cheveux roses obéit sans faire d'histoire et se dressa sur les genoux, les mains à hauteur des seins. Sa petite amie prit la cravache dans sa bouche, puis commença à passer le bout du cuir sur ses tétons. Bien sûr, il était hors de question de lui donner des coups de cravache sur les seins. Jamais elle ne l'aurait supporté. Ce n'était pas le genre de douleur qu'il était possible d'aimer, contrairement à ce qu'elle ressentait quand Homura lui donnait une fessée. Tout ce que cette dernière voulait, c'était la voir frémir un peu. Après quoi, elle éloigna la cravache et tapota à nouveau sur ses cuisses.

« Allez, reviens t'allonger. Il est temps de te punir pour ton comportement. »

Une fois sa petite amie en position, Homura approcha sa culotte de sa bouche, sous forme de boule de tissu humide.

« Mets ça dans ta bouche. Il ne faudrait pas que tous les voisins t'entendent. »

En effet, Madoka avait la fâcheuse habitude de hausser la voix quand elle se faisait fesser avec la cravache. Elles avaient déjà failli se faire griller une fois à cause de ça, hors de question de recommencer.

Afin de compléter le tableau punitif, la dominante mit deux doigts dans la bouche de sa soumise pour jouer avec sa langue. Cette dernière ne pourrait donc pas serre les dents quand l'instrument s'abattrait sur ses fesses déjà endolories. Homura s'attendait à ce que la pauvre craque et la morde, mais c'était toujours amusant de voir à quel point elle était dévouée.

Elle commença par caresser son derrière meurtri avec le bout du cuir, histoire de la faire couiner un peu, puis abattit la cravache d'un coup sec. Madoka poussa un gémissement qui fut étouffé par son bâillon, tandis que sa petite amie triturait sa langue avec ses doigts. En même temps, elle comptait les coups de cravache à haute voix, histoire de jouer encore plus avec sa petite soumise.

« Un... Deux... »

Madoka tenait bon.

« Quatre... Cinq... »

Elle commençait à trembler.

« Six... Sept... »

Elle se retenait de toutes ses forces aux draps.

« Neuf... Dix... »

Elle pleurait comme une madeleine. Normal, elle approchait de sa limite : onze coups de cravache, elle n'avait jamais pu aller plus loin.

« Onze... »

La jeune fille s'accrochait...

« Douze... »

...tenait de son mieux...

« Treize... »

...mais finit par craquer et s'effondra de tout son corps. Elle recracha sa culotte, à présent trempée par sa mouille et sa salive, et semblait ne pas être en pleine forme. Homura aurait pu la laisser se reposer, mais elle avait encore un petit jeu à faire avec elle.
D'abord, elle lui caressa doucement les fesses, bien rouges et marquées.

« Fais moi penser que, après nos ébats, il faudra que je mette de la pommade sur tes fesses. Sinon, tu ne vas pas pouvoir t'asseoir demain. J'en mettrais aussi sur tes seins, au passage. »

Après avoir dit ça, elle attrapa l'œuf vibrant qu'elle cachait sous son oreiller et l'approcha du fondement de sa petite amie. Cette dernière commença déjà à tressaillir, et ce fut encore pire quand l'œuf se mit en marche. Madoka se retourna vers Homura l'air penaud, la voix mêlé de pleurs et de soupirs.

Non... Homura-chan... Pitié...

« A chaque fois, tu m'asticotes en jouant avec l'entrée de mon jardin arrière avec ton doigt, sans jamais m'accorder la satisfaction de le faire rentrer pour de bon. Je devrais te rentrer cet œuf dans le derrière pour t'apprendre... »

Homura attendit un petit moment, puis éloigna l'œuf avant de l'éteindre.

« …mais je ne le ferais pas. »

Elle aida sa petite amie à s'allonger sur leur lit pour reprendre des forces, se coucha à côté d'elle et captura ses lèvres avec les siennes dans un baiser flamboyant. Après quoi, elle la regarda avec ses yeux de gentille fille.

« Je sais que, comme beaucoup d'autres personnes, tu n'aimes pas trop entendre parler de plaisir anal. Mais si tu voulais bien essayer, tu verrais que ton anus peut t'apporter un plaisir plus que grisant. Je vais donc te proposer un marché. »

Homura se redressa pour venir présenter ses fesses à sa petite amie, son petit trou juste devant son visage.

« Soit tu acceptes de me doigter le fondement... »

Elle ralluma son œuf vibrant et le dirigea à nouveau vers l'entrée arrière de Madoka.

« … soit je glisse cet œuf dans tes fesses. Que décides-tu ? »
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Tessia le dimanche 09 août 2015, 22:38:33
« A chaque fois, tu m'asticotes en jouant avec l'entrée de mon jardin arrière avec ton doigt, sans jamais m'accorder la satisfaction de le faire rentrer pour de bon. Je devrais te rentrer cet œuf dans le derrière pour t'apprendre... »

Je frisonne à cette idée. Mon petit cul me fait déjà mal, mais y faire entrer ce vibro me semble une idée horrible. Horrible parce que j'ai très peur d'apprécier de sentir cette chose vibrer dans mes fesses. Qu'est-ce que je ferais si je découvre que j'adore sentir des choses dans mon cul ? Ça ferait de moi une sodomite ! Mon dieu ce que ce serait horriblement gênant... Et terriblement excitant aussi hélas...

« …mais je ne le ferais pas. » Me dit soudain Homura-chan après avoir laissé cette chose à seulement quelques milimètres de mon anus, me mettant au supplice de l'idée qu'elle le pousse à l'intérieur.

Je reconnais bien là me petite amie ! Faire battre la chamade à mon pauvre petit coeur pendant que j’anticipe le pire et ensuite me le retirer pour me faire comprendre qu'en réalité je n'attendais que qu'elle mette ses menaces à exécution... C'est d'une cruauté et d'un raffinement que je ne peux qu'aimer chez elle.

Elle m'aide à m'allonger sur le ventre. Mes seins n'ont été que fort peu malmenés par rapport à mon petit cul et la douleur s'est déjà presque complètement estompée de leur côté, alors que mes fesses sont si sensibles que je ressens comme une douloureuse caresse chaque souffle d'air ambiant. Alors me coucher dessus, ce n'est tout simplement pas pensable à moins de vraiment vouloir me faire souffrir. Homura-chan se couche à côté de moi et prend mes lèvres dans un long baiser passionné qui me laisse haletante. Je la regarde amoureusement en constatant qu'elle a perdu son regard de maîtresse pour redevenir ma petite amie adorée.

« Je sais que, comme beaucoup d'autres personnes, tu n'aimes pas trop entendre parler de plaisir anal. Mais si tu voulais bien essayer, tu verrais que ton anus peut t'apporter un plaisir plus que grisant. Je vais donc te proposer un marché. »

Je frisonne sans oser lui avouer que je n'attendais presque que qu'elle pousse son oeuf vibrant dans mon petit cul.

Elle se met à quatre pattes et se tourne vers moi, me présentant sa croupe si parfaite et si désirable que je meurs soudain d'envie d'y plonger tête la première.

« Soit tu acceptes de me doigter le fondement... » Me dit-elle avant de se tourner tout en rallumant le petit oeuf vibrant que je sens s'approcher de mon derrière sans pourtant le toucher. « … soit je glisse cet œuf dans tes fesses. Que décides-tu ? »

Horrible Homura-chan... Elle réussi même à me faire envisager comme  des choses que j'ai toujours considérées comme sales ou dégradantes.

J'hésite horriblement, rougissant jusqu'aux oreilles. Puis comme je sais que le plaisir de homura est plus important que mes fantasmes pervers, je lève ma main en tremblant et la pose sur ses fesses.

Elle éteint son œuf, oserais-je le dire, à ma terrible déception. Je masse et je caresse ses fesses avant de finalement risquer mon index prêt de son petit bouton de rose. Elle soupire et gémit, me poussant à le faire entrer. Je fini par obtempérer et pousse mon doigt à travers sa rondelle.

Nom d'une brioche, c'est beaucoup plus serré que sa petit fleur intime ! Réalise-je en poussant mon doigts plus loin.

Homura-chan a l'air aux anges et soudainement, elle commence à faire des mouvements de hanches sur mon doigt, comme si elle lui faisait l'amour. Je suis rouge de gêne, mais poussée par la curiosité, j'essaie d'agiter mon doigt dans ses fesses. Je ne suis vraiment pas déçue, ses soupirs se font plus nombreux et plus chargés de désir aussi. Je ne parviens pas à retenir un petit gloussement gêné. Elle me demande alors de lui mettre un deuxième doigt. J'ouvre de grand yeux, mais je lui obéis. Je rajoute délicatement mon majeur et elle gémit longuement avant de recommencer à faire l'amour à mes doigts. Je suis gênée, mais elle a l'air de tellement prendre son pied que je n'ose plus rien dire.

Elle va vraiment jouir comme ça ?
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Antares/Pleione Lilianstar le jeudi 13 août 2015, 20:53:19
Rien qu'à voir l'expression sur le visage de Madoka, Homura savait qu'elle commençait à envisager l'idée de sentir ce petit œuf s'enfoncer dans son derrière. Mais alors que la dominante s'attendait à entendre sa petite soumise capituler et accepter de recevoir sa ''sentence'', elle sentit une main se poser sur ses fesses. Sa petite amie avait opté pour la solution active.

Homura éteignit son œuf vibrant et sentit ensuite un doigt, visiblement un index, s'approcher de son bouton de rose. Elle poussa des soupirs et des gémissements, trop impatiente de sentir enfin du plaisir venir de son anus. Puis, enfin, le doigt entra en elle.

« Aahh ! »

Mais la soumise ne se contenta pas juste d'entrer, elle poussa son doigt jusqu'à ce qu'il soit totalement englobée par la rondelle de sa maîtresse, qui ne s'en sentit que mieux.

Quand Homura ne sentit plus le doigt bouger, elle se mit à remuer les hanches pour déclencher ses sensations et se retrouva à faire l'amour avec ce doigt enfoncé dans ses fesses. Du coin de l'œil, elle vit que Madoka était très gênée de se livrer à ce genre de pratiques, mais la curiosité eut raison de sa gêne, et elle se mit à son tour à bouger son doigt, augmentant le désir et la force des gémissements de sa petite amie. Et quand cette dernière entendit un gloussement gênée sortir de la bouche de celle qui la prenait, elle eut envie d'aller plus loin.

« Han... han... Madoka... mets moi... un autre doigt... dans le cul... vas y... aahh... »

Après avoir écarquillé les yeux, la soumise rentra le majeur de la même main dans le petit trou de la dominante. A partir de là, Homura prit réellement son pied. Certes, son anus était un organe plus fragile que son utérus et il y avait plus de risques qu'elle se blesse, mais bon sang que c'était bon. Sentir ces doigts gigoter dans ce conduit serré, c'était le pied intégral. Et elle ne comptait pas s'arrêter avant d'atteindre sa limite.

Environ six minutes après, le plaisir anal eut raison de la jeune fille, qui atteignit l'orgasme et expulsa un jet de cyprine qui alla arroser le corps de Madoka. N'étant pas habituée à la jouissance anale, Homura ressentit fortement le contrecoup de son orgasme, et fut obligée de s'allonger pour reprendre des forces. Elle en profita pour embrasser sa petite amie tout en lui caressant les fesses avec sa main.

« Hum, Madoka... Tu ne peux pas savoir à quel point j'ai adoré ça. »

Elle reprit et ralluma son œuf vibrant avant de le mettre devant les yeux de Madoka, un sourire pervers sur les lèvres.

« Mais peut-être as tu envie de le découvrir ? »

Elle amena l'œuf jusqu'à l'entrée de son anus, se délectant de la vue de son visage rougi par l'excitation et le désir, mais aussi par la gêne.

« J'ai bien vu que tu espérais que je mette ce petit œuf dans ton petit trou. Et je pourrais le faire... mais j'ai besoin de te l'entendre dire, ma puce. »
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Tessia le vendredi 14 août 2015, 02:51:38
Je regarde Homura-chan faire de longues minutes durant. Je l'aide aussi un peu en agitant mes doigts dans son petit anus tout serré et elle pousse de ces gémissement et des cris que je sens mon petit abricot remonter très vite en température et laisser filer quelques gouttes de mon jus intime sur les draps de ma tendre Homura-chan. Elle fait l'amour à mes doigts comme si c'était... Un pénis !

C'est à la fois très gênant pour moi, mais aussi super excitant et j'en viens à me demander un bref moment comment ce doit être d'avoir un pénis à la place d'un vagin. Mais je chasse vite cette pensée, c'est vraiment trop tordu pour moi.

Peu après, Homura-chan finit par se contracter fortement autour de mes doigts et je suis un peu surprise de voir un peu de cyprine jaillir de sa petite fleur pour venir asperger mon buste et mes seins, mais quelque part, je me rends compte que ça donnerait une bonne excuse à Homura-chan pour me traiter encore une fois de petite cochonne et me punir encore. Mais je crois bien qu'elle ne peut plus vraiment me punir. Même s'ils sont bien moins sensibles, les seins supporteraient difficilement une autre punition et mon petit derrière, je n'en parle même pas. Le toucher maintenant serait de la torture et dans le mauvais sens du terme.

Ma Homura-chan s'abîme dans ses draps après son orgasme anal, l'air terrassée par la fatigue et la puissance de sa jouissance. Mais elle vient quand même me faire un bisou que je suis trop contente de lui rendre avec passion. Elle caresse aussi mes fesses et je frisonne de douleur à cause des marques de la cravache, mais si elle a décidé que je devais avoir un peu mal, alors je lui fais confiance. Après tout, c'est ma petite amie.

« Hum, Madoka... Tu ne peux pas savoir à quel point j'ai adoré ça. »

- J'en ai eu un petit aperçu... Rougis-je en lui laissant voir la tache de ses sécrétion vaginale sur mon buste.

Au moment où je réponds, elle me remet l'oeuf vibrant qu'elle avait abandonné sous le nez et me fait un sourire qui me fait frisonner.

« Mais peut-être as tu envie de le découvrir ? »

- Heu... Dis-je en la regardant avec une grimace horriblement gênée.

Je ne peux pas lui dire que j'ai envie de tester un truc aussi immonde, elle va me traiter de... d'obsédée !

Elle prend les devant et vient doucement pousser l'oeuf contre mon petit trou. Je pousse un petit cri de honte en le sentant à nouveau.

- HA !

« J'ai bien vu que tu espérais que je mette ce petit œuf dans ton petit trou. Et je pourrais le faire... mais j'ai besoin de te l'entendre dire, ma puce. »

Je me tourne vers elle, des larmes de honte plein les yeux, serrant mes petits poings sous moi. Je ne peux pas lui demander ça !

Nom d'un brioche ! Si je le fais je vais devenir une perverse, c'est sûr ! Je ne pourrais plus jamais jouir normalement et je ne trouverais pas de mari ! ... Mais qu'est-ce que je raconte ? Je ne veux pas de mari ! Je veux épouser Homura-chan !

Cependant, pendant que j'hésitait, Homura-chan a activé son oeuf vibrant et l'ai promené contre mon petit bouton de rose, provoquant chez moi un couinement de surprise.

- WAAAH !!

J'en ai ressenti des frissons jusque dans la nuque à travers tout mon dos ! Je commence à vraiment craindre d'aimer ça. Mais pour le savoir, il n'y a qu'une seule manière de faire.

- Ho... Homura-chan... S'il te plaît... Met-moi... Ton oeuf... Dans... Dans... Mon... Petit trou... Termine-je en sentant mes joues se caraméliser. Mais gentiment, hein ? S'il te plaît...
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Antares/Pleione Lilianstar le mardi 18 août 2015, 21:42:48
Homura savait très bien que Madoka n'attendait qu'une chose, que ce petit œuf s'engouffre dans sa rondelle jusqu'à ce que son corps entier se mette à vibrer. Mais elle avait besoin de l'entendre de la bouche de sa petite amie. Non seulement parce qu'elle aimait la voir avouer ses perversions, mais aussi pour être sure et certaine qu'elle n'allait pas faire quelque chose que sa petite soumise adorée allait regretter après. Le sexe anal était quelque chose d'ancrée comme un plaisir coupable dans le genre humain, et on ne pouvait vraiment le savourer que lorsqu'on y avait déjà goûté. Homura l'avait fait durant ses premières floraisons, en se caressant et en s'enfonçant des doigts dans l'anus, mais pour Madoka, c'était une découverte totale, et elle n'était peut-être pas convaincue d'en avoir envie. Et si c'était le cas, alors elle n'allait pas pouvoir y prendre de plaisir.

La dominante vit sa petite amie se tourner vers elle, des larmes de honte dans les yeux et ses poings serrés sous son menton. La parfaite position de la petite fille ne voulant pas admettre un plaisir coupable.

« Oh, Madoka... »

Homura caressa la joue de sa soumise en lui souriant, puis alla promener l'œuf vibrant près de l'entrée de son jardin arrière. Le couinement de surprise obtenue en réponse confirmait que la jeune fille voulait se faire prendre par les fesses. Ce fut après qu'elle ouvrit timidement la bouche.

- Ho... Homura-chan... S'il te plaît... Met-moi... Ton oeuf... Dans... Dans... Mon... Petit trou... Mais gentiment, hein ? S'il te plaît...

Ça avait sûrement été dur pour elle de l'avouer, mais sa maîtresse était contente qu'elle en ait trouvé le courage. Maintenant, elle pouvait agir sans craindre d'avoir à le regretter après.

« Oui ma puce. »

Sans attendre plus longtemps, elle enfonça l'œuf dans l'anus de sa petite amie, et prit la ficelle à laquelle il était attaché pour éviter qu'il ne s'enfonce trop profondément. A partir de là, le concert de gémissements commença.

Madoka couinait et couinait sans s'arrêter, haletait comme un animal en chaleur et se tortillait dans tous les sens sous l'effet de l'excitation grimpante. Avoir cet engin frémissant dans ses fesses lui ouvrait les portes d'une forme inédite d'extase, qui la portait loin dans son plaisir. Elle aurait pu jouir simplement grâce à l'œuf, mais Homura ne voulait pas laisser sa petite amie prendre son pied sans son aide. C'est pourquoi, pendant que sa chérie se secouait, elle posa ses mains sur ses seins pour les masser et agacer ses tétons, tout en l'embrassant à pleine bouche et en jouant avec sa langue. Au milieu de l'assaut anal dont Madoka était victime, Homura trouvait le moyen de la rendre encore plus folle de désir.

Environ deux minutes plus tard, la soumise annonça qu'elle allait bientôt jouir. En l'entendant, sa petite amie s'éloigna pour aller mettre son visage devant son petit coquillage, prête à en récolter le liquide. Et aussi embarrassant que ce fut pour l'adolescente aux cheveux roses, elle finit par avoir un orgasme grâce à son anus, et sa cyprine fut expulsée directement sur le visage de son amante, qui n'en perdit pas une goutte. Ce fut seulement après avoir complètement avalée tout le liquide qu'elle alla ôter le jouet des fesses de sa chérie, lui permettant enfin de se calmer.

« Alors ? Tu vois que c'est bien de prendre du plaisir par son petit trou. J'espère que, à l'avenir, on pourra recommencer. »
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Tessia le vendredi 11 septembre 2015, 01:15:02
Ma Maîtresse accepte ma requête forcée et je me retrouve à nouveau à rougir tandis que je sens son petit œuf s'enfoncer dans mon bouton de rose. Je me raccroche soudain aux coussins en sentant cette petite chose s'agiter dans mon anus, propageant ses vibrations à travers tout mon ventre et mon entrejambe, m'excitant presque autant que si j'avais droit aux si doux doigts de ma Homura-chan sur mon petit minou.

- Hannn… Homura-chan… Hooooo ! Gémis-je sanas pouvoir m'arrêter.

Je me tortille sur les couvertures, mon petit derrière délicieusement martyrisé ne supportant le contact de rien de solide bien relevé en l'air. Et je continue à  gémir et à couiner comme une petite folle pendant que l'œuf vibrant fait son travail de sape depuis mon fondement.

Cette sensation est horriblement bonne ! Je ne me doutais pas que ça puisse être si bon depuis mon petit cul ! Je continue à me trémousser sur le lit de ma petite amie en proie à un indicible sentiment de plaisir qui monte en moi comme un poison qui se répand. Mais Homura-chan a décidé qu'elle ne voulait pas rester spectatric été glisses ses mains le long de ma pauvre poitrine pour recommencer à les caresser et jouer avec mes petite pointes.

- HAAAAANNNN !!! HOMURA-CHAAANNN !! Gémit-je juste avant qu'elle ne me bâillonne avec sa bouche, m'embrassant avec passion, forçant l'accès à ma bouche avec sa langue.

Je finis essoufflée, sentant mes larmes de honte et de bonheur couler le long de mes joues tandis que j'étouffe à moitié pour ne pas rompre le baiser imposé par ma petite amie dominante. Je me raccroche à elle pendant qu'elle continue à me rendre folle de plaisir. Je sens à peine mes cuisses et mes muscles tant je suis tendue comme une corde d'arbalète.

- Hmmmm !!! Homura-chan… Je sens que je… Que ça vient… Haaannnn…. Dis-je en tremblant quand elle relâche ma bouche.

Sans m'avertir, elle me fait un petit sourire en coin affreusement pervers et elle me relâche pour aller se mettre entre mes jambes écartées et regarder ma petit vulve toute gonflée de plaisir.

- Noooonnnn !!! Homura-chan… Ne me… Huuuu… Regarde pas là… Couine-je en continuant de me tortiller.

Mais quelques secondes plus tard, je joui sans pouvoir me retenir et un petit jet de mon jus intime se déverse sur le visage de ma petite amie dominante. Je me tends une dernière fois avant de retomber inerte et sans force dans ses draps.

Avec ces deux orgasmes aussi rapprochés plus tout le reste, je suis complètement vannée et je peine à retrouver mon souffle. Je ne sais pas comment Homura-chan fait pour être aussi endurante et je lui envie sincèrement cette force qu'elle cache si bien dans son joli corps.

« Alors ? Tu vois que c'est bien de prendre du plaisir par son petit trou. J'espère que, à l'avenir, on pourra recommencer. »

Je hoche la tête, essuyant mes larmes sur mes joues et lui adressant un timide sourire.

- Oui Homura-chan, j'espère aussi, dis-je en tentant de me redresser sur mes coudes.

Mais je tremble tellement sur mes bras que je retombe vite la tête dans le coussin, mortifiée d'être si faible. Je suis sûre qu'Homura-chan voudrait encore jouer, mais je ne tiens plus debout et j'ai encore le souffle court.

- Homura… Je suis vraiment désolée, mais je n'en peux plus… Si tu veux, tu peux continuer à jouer avec mon corps, mais je ne peux plus participer… Dis-je en rougissant, détournant le regard pour ne pas voir sa déception sur son visage.

Pourquoi suis-je toujours si faible alors que ça fait quand même un certain temps qu'on a commencé à… Se faire du bien ensemble ? Pourtant je ne suis pas mauvaise en sport et je ne manque pas les cours de gym… Alors pourquoi tiens-je à peine une heure dans le lit de ma petite amie ? Ce n'est pas juste pour elle que j'aie une endurance de paresseux d'Amazonie.

Homura-chan secoue la tête et me dit qu'elle préfère s'en tenir là. Elle arrive même à me dire qu'elle est fière de moi, ce qui me remplis d'encore plus de joie que tous les orgasmes du monde ! J'ai droit à un bisou sur le front avant qu'elle quitte le lit pour aller chercher la crème cicatrisante pour mes fesses et mes seins. Je me laisse tartiner sans protester. Ce sont les mains de ma Homura-chan, il n'existe rien de plus doux dans l'univers pour moi ! Je souris d'ailleurs bêtement dans mon coussin en me laissant soigner et c'est Homura-chan qui me fait remarquer que j'ai l'air d'un petit chaton dans son panier, qu'il ne me manque plus que la possibilité de ronronner.

- Myaaaaah ! Lui réponds-je avec immense sourire heureuse, ce qui fait que Homura-chan me caresse les cheveux avec un sourire amusée. Nyaaah ! Nyuuh ! Myuuuuuh ! Continue-je en poussant ma tête contre sa main.

Homura-chan s'absente ensuite à la cuisine et revient avec des biscuits qu'elle me fait manger dans sa main comme si j'étais un vrai chat ! Je mange tout ce qu'elle me donne avec plaisir, lui léchant même la main à la fin pour enlever les miettes. Il ne me manque que les moustaches, les oreilles et la queue ! Je sais que Homura planifie que nous trouvions un petit travail ensemble pour qu'on puisse les commander sur le net afin que je devienne son vrai petit chaton. C'est que mine de rien, ça coûte cher ces petits accessoires. Surtout qu'Homura veut qu'ils soient assortis à ma couleur naturelle de cheveux, sinon ça ne fera pas assez vrai, et ça il faut hélas le faire faire sur commande.

Elle me fait nsuite enfiler une culotte beaucoup plus chaste et plus large, tout simplement pour éviter que je tartine son lit avec la crème sur mes fesses. Le but c'est quand même qu'elle reste sur mes fesses, pas que je la répande sur ses draps. Même constat pour mes seins qui sont enroulés par elle dans une bande de gaze médicale. Ce n'est pas franchement nécessaire, mais comme ça, Homura-chan peut les compresser un peu et avoir l'impression qu'ils sont plus petits, ce qui la complexe moins. J'adore ce moment où Homura prend soin de moi. Je la sens toute entière concentrée sur moi et j'adore cette sensation. Elle veut me guérire, me soigner. Je suis sa patiente, et le sort de mon corps est entre ses mains. Je l'imagine très bien devenir docteur plus tard. Elle sait déjà tellement de choses sur le corps humain à son âge pour pouvoir jouer avec le miens comme elle le fait. Je me sens vraiment retomber en enfance, et avoir une mère encore plus géniale parce que c'est ma petite amie !

Finalement, elle me couche dans son lit et me rejoint en chemise de nuit. Les draps sont encore un peu humide et sente toujours un peu la cyprine, mais c'est une odeur qui ne me dérange pas du tout. C'est l'odeur de notre plaisir à toutes les deux. Et je vais pouvoir dormir avec ma Homura-chan ! Je dormirais dans un bac de slime si c'était la condition pour pouvoir dormir avec elle !

Je me pelotonne contre elle dès qu'elle rentre sous les draps et lui sourit. J'aime tellement ma petite amie ! D'ailleurs je pense que ce serait une bonne idée de le lui redire !

- Je t'aime Homura-chan… Lui souffle-je à l'oreille.

Elle me glisse un regard un peu pervers et me dit de bien m'en souvenir pour les prochaines tortures qu'elle a en tête pour moi.

- Tout ce que tu voudras Homura-chan ! Je suis ta petite chose rien qu'à toi ! M'exclame-je ravie.

Après-tout, Homura-chan sans les fessées, les punitions et les tortures, ce ne serait pas vraiment homura-chan.
Titre: Re : She must want to hear a secret story...
Posté par: Antares/Pleione Lilianstar le lundi 14 septembre 2015, 17:45:45
Après ce nouvel orgasme, Madoka était complètement K.O. Quand elle tenta de se redresser sur ses coudes, elle retomba vite sur le lit, le souffle court. Elle s'excusa envers sa petite amie, mais cette dernière voyait bien que sa chérie était réellement à bout de forces. Elle avait bien mérité de se reposer.

« On va s'arrêter là. Je ne veux pas te pousser plus loin qu'il n'est possible pour toi. »

Homura l'embrassa sur le front.

« Je suis fière de toi ma puce. Tu as tenu deux fessées de plus que ton précédent record. Maintenant, tu dois te reposer. Ne bouge pas, je reviens. »

Homura se leva du lit pour aller dans sa salle de bains, ouvrir la boîte à pharmacie et en sortir un tube de crème apaisante, ainsi qu'une bande de gaze médicale. Ensuite, elle alla vers son tiroir à sous-vêtements et en sortit une culotte bien plus chaste que celle que Madoka portait en arrivant (http://media.laredoute.com/products2/641by641/f/a/2/324209816_0_PR_1_8424656_324209816-8147d88d-dba4-46db-9712-bcc742d24c2e_1200.jpg). Elle se mit à genoux sur le lit, à côté de la pauvre petite pleine de rougeurs.

« Ne bouge pas ma chérie. »

La dominante tartina de crème les seins de sa petite amie, en faisant attention de ne pas trop lui agacer les tétons, puis recouvrit ses seins avec la bande de gaze pour empêcher la crème de finir sur les draps du lit. En plus, cela donnait un effet compressif qui faisait paraître sa poitrine plus petite, aidant la soigneuse à se sentir moins complexée. Elle lui fit ensuite signe de se tourner et de se mettre sur le ventre. Elle recouvrit ses pauvres fesses meurtries de crème, puis lui fit enfiler la culotte qu'elle avait récupérée dans son tiroir. Voir sa petite amie porter ses sous-vêtements était un vice qu'elle appréciait.

Pendant qu'elle soignait Madoka, Homura lui fit remarquer que, avec son sourire béat et ses grands yeux, elle avait l'air d'un petit chaton dans son panier. Il n'en fallut pas plus à la soumise pour se mettre à ronronner. Amusée, sa maîtresse se mit à lui caresser les cheveux, ce qui la fit ronronner encore et remuer sa tête contre la main qui la caressait. La voir ainsi lui donna envie de pousser le jeu jusqu'au bout. Elle s'absenta un instant pour aller à la cuisine et prit des biscuits de petite taille, semblable aux friandises pour chats, qu'elle mit dans sa main et amena à son chaton. Cette dernière mangea les gâteaux jusqu'à la fin, allant même jusqu'à lécher les miettes. Homura adorait voir Madoka s'impliquer autant dans un rôle, en particulier un aussi mignon. Tout ce qui lui manquait, c'était les moustaches, les oreilles et la queue. Il était d'ailleurs prévu depuis un moment par les deux filles de s'acheter ces accessoires sur internet pour que la petite soumise puisse se transformer en félin, mais le coût élevé de ces accessoires, en particulier pour les faire faire en rose, était quelque peu problématique. Un jour, elles auraient l'argent, mais en attendant, elles devraient se passer d'accessoires.

Après s'être bien occupée de Madoka, Homura l'allongea confortablement dans son lit, puis alla mettre une chemise de nuit avant de la rejoindre. Elles se blottirent l'une près de l'autre, au milieu des draps sentant encore la cyprine, ce qui ne les dérangeait pas plus que ça. Puis la soumise dit à nouveau à sa maîtresse qu'elle l'aimait.

« Moi aussi Madoka. Et tache de ne pas l'oublier la prochaine fois que tu seras prise entre mes griffes. »

Elle lui répondit, avec un air ravi, qu'elle était prête à tout pour elle. Ravie d'entendre ça, la dominante l'embrassa une ultime fois avant de la regarder fermer ses jolis yeux, puis fermer les siens à son tour.

Plus tard dans la nuit, Homura ouvrit les yeux. Un bruit extérieur l'avait réveillée. Sa première pensée fut de se demander si tout ce qui s'était passé n'était pas un rêve, mais quand elle vit que Madoka était bien couchée à côté d'elle, portant une de ses culottes et une bande de gaze sur les seins, dormant d'un sommeil paisible, elle comprit que ce n'était pas un rêve. Et elle se rappela, encore une fois, à quel point sa vie était devenue merveilleuse depuis qu'elle avait rencontrée Madoka. La pureté, l'innocence et la gentillesse de cette fille l'avaient littéralement sauvée d'elle même, de son désespoir et de son chagrin. Madoka était la lumière qui l'avait sortie de l'ombre, le bras sur lequel elle se reposait, l'épaule sur laquelle elle pleurait, le cœur pour lequel elle battait, celle qui avait donnée un sens et un but à sa vie, celle qui avait fait entrer l'amour là où il n'y avait que de la haine. Elle se croyait être la soumise, mais Homura se sentait bien plus faible qu'elle en sa présence. Elle aurait préféré mourir plutôt que de vivre sans sa chérie, car ça aurait été une vie vide et sans joie. C'est pourquoi elle profitait à fond de chaque jour qu'elle passait avec elle, lui sautant dessus dès qu'elle en avait l'occasion, mais sachant aussi apprécier les moments simples et doux comme le moment présent. Rien que de l'avoir auprès d'elle, même si elle n'était pas consciente, la rendait plus heureuse qu'elle n'aurait jamais pu l'être sans elle. Cette jeune fille était l'ange aux cheveux roses qui était descendue du ciel pour la sortir de son attitude de démon, et pour ça, elle l'aimerait pour toujours.

Homura se colla tout près de Madoka, la serra fort dans ses bars et l'embrassa sur le front avant de lui murmurer à l'oreille.

« Je t'aime plus que tout Madoka. Ne l'oublie jamais. »

Elle s'endormit ainsi, heureuse, en paix, avec une larme de joie au coin de l’œil qu'elle laissa couler sur sa joue. Demain allait être un autre jour, et une autre merveilleuse journée en compagnie de son seul et unique amour.