Le Grand Jeu

Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Les terres sauvages => Discussion démarrée par: Kyli le dimanche 03 mai 2015, 00:54:14

Titre: [FINI] Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le dimanche 03 mai 2015, 00:54:14
Un jour, je me suis éveillée. J'avais l'impression d'avoir dormi, mais je n'avais aucun souvenir. J'étais seule, dans un endroit sombre et chaud, dans lequel aucun bruit ne parvenait. Je ne voyais rien, je ne sentais rien. Mais pourtant, je n'avais pas peur. Car, tout au fond de moi, je sentais une présence. Une présence apaisante, rassurante, qui me berçait et me calmait, même si elle n'était pas là physiquement. Elle était plus comme une étincelle, au loin, qui me guidait sur un chemin sinueux que je ne pouvais même pas voir. Et même si je n'avais aucune idée de ce qui m'arrivait, je savais que je pouvais me fier à cette lumière. Je le sentais au plus profond de moi.

Au début, je n'avais qu'une faible perception de ce qui m'entourait et de ce que j'étais. J'avançais, sans me poser de questions, en suivant aveuglément cette petite lumière qui brillait au loin. A bien y regarder, elle était moins ronde, moins parfaite. Elle avait un aspect plus informe. Mais ce n'était pas pour me déplaire. C'est là que j'avais commencé à sentir des choses dans ma tête. Des voix qui résonnaient, qui me parlaient, qui m'apprenaient des choses. Le mot qui revenait le plus était « Alraune ». Mais que signifiait ce mot ?

Encore après, je marchais toujours sur le même chemin. Je commençais à avoir la notion du temps et je comptais pour ne pas me perdre. Mais je ne m'ennuyais jamais. A chaque instant, j'apprenais un peu plus de choses. Et j'en sentais plus. Devant moi, la lumière prenait une forme à cinq extrémités : une ronde, et quatre longues en forme de tiges.

Au fil des jours, j'apprenais toujours plus. Je recevais le savoir des Alraunes, dont je savais à présent que j'étais l'une des enfants. J'apprenais sur les plantes, les animaux, l'univers... Que des choses que je découvrais pour la première fois de ma vie. J'apprenais également sur mon corps, le corps d'une fille... même si je ne savais pas ce que ce mot voulait vraiment dire, hormis que c'était un état biologique. Au milieu de ces informations, une image m'est apparue : celle d'un être vivant, de sexe féminin, que je connaissais pas, mais dont l'image me rassurait. Et, étrangement, elle me rappelait quelque chose que j'avais déjà vu.

Quand j'ai eu la possibilité de sentir mes extrémités, j'avais une certaine compréhension du monde et de mon corps. J'avais également compris pourquoi tout autour de moi était sombre et vide, alors que mes connaissances me montraient clairement que le monde était éclairé, vibrant et grouillant de vie : je vivais dans un espace protégé, coupé du monde, qui m'apportait nourriture et savoir tandis que je grandissais en lui. Après encore quelques temps, j'avais découvert que cet espace était une chrysalide, un cocon végétal dans lequel je baignais depuis que j'y avais été laissée par la femme qui m'avait enfantée, avec le soutien de deux de mes semblables. Ma mère... Ce mot vibrait dans mon cœur. Il me faisait tellement de bien.

J'approchais de ma date de maturité. Il ne me restait plus beaucoup de temps avant d'être prête à sortir de mon confortable cocon pour découvrir le monde. Devant moi, la lumière se faisait plus grande, plus intense et plus nette. Elle prenait une forme vivante, mouvante, une forme qui m'évoquait l'image de celle que je voyais à chaque fois que je fermais les yeux : une femme humaine, à la peau tantôt blanche et tantôt verte, une chevelure rousse comme le feu, les yeux verts, avec des formes féminines à baver d'envie, et vêtue de feuilles comme la plupart des Alraunes. Sauf qu'elle n'était pas Alraune. Elle était humaine. Je le savais. Mais je ne savais pas qui elle était, ni pourquoi son image me revenait aussi souvent. Autour de moi, je sentais que ma chrysalide vibrait. Elle envoyait un message à ma mère pour lui dire de venir, que j'allais bientôt éclore et que j'allais avoir besoin d'elle. Après tout, je ne connaissais rien du monde, hormis ce que j'en avais appris dans mon petit univers noir et chaud. Seule, je n'allais pas m'en sortir.

Ce fut finalement le jour tant attendu. Mon corps et mon esprit étaient prêts, la lumière était toute proche, je pouvais sentir le cœur du monde battre derrière son éclat. Mais je sentais aussi autre chose. La présence d'une personne de l'autre côté. Une personne que j'avais envie de rejoindre, car je savais qu'il n'y avait qu'une seule personne à pouvoir approcher aussi près de mon cocon sans que ce dernier ne l'éloigne. Sans hésiter plus longtemps, j'avais utilisé mes bras, qui tremblaient à cause du manque d'activité, pour toucher la lumière, qui avait une forme humaine, et c'est là qu'elle me submergea...

Je ne voyais plus rien. Puis, pour la première fois, des sons arrivèrent à mes oreilles. Puis des odeurs. Autour de moi, je sentais le fourmillement de la nature omniprésente. Les arbres, les insectes, je les entendais tous. Puis, peu à peu, mes yeux s'habituaient à la lumière. C'est là que j'ai compris que j'étais dans une forêt, remplie par la végétation qui avait poussée autour de la chrysalide pour la protéger. Puis j'ai fini par la voir. Là, devant moi, se tenait une femme. Il m'a fallu un peu de temps, mais j'ai fini par la reconnaître. C'était elle, la femme que j'avais vu dans mes rêves. Celle qui avait la forme de la lumière qui m'a guidée durant les ténèbres de ma croissance. Elle était là, à mes côtés, caressant mon visage et me parlant doucement. Moi j'étais là, complètement nue, recouverte de liquide amniotique. Je la regardais tout en savourant sa voix et ses caresses, qui étaient aussi douces pour moi que du coton. Je savais qui elle était. Et, instinctivement, mon premier mot fut pour elle.

« Maman... »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le lundi 04 mai 2015, 02:24:32
Il y a quelques mois, Poison Ivy avait fait la rencontre fascinante d’un couple d’Alraunes : Lily et Raune*. Les deux belles nymphes avaient la particularité d’être toutes les deux issues de la même plante. Deux sœurs, dont la fonction était de se rendre dans les forêts détruites, afin de les reconstruire. Que ces forêts aient été détruites du fait d’incendies naturels, de guerres, ou de la déforestation, elles s’y installaient, et usaient leur savoir-faire floral pour faire repousser les arbres, faire revenir la végétation, attirant ainsi la faune, repeuplant progressivement les forêts. Elles faisaient ça sans demander aucune récompense, simplement avec cette gentillesse naturelle propre aux Alraunes. N’était-ce pas, fondamentalement, la preuve tant voulue que la Nature était une mère qui savait pardonner ? Une Mère clémente et généreuse ? Ivy en était convaincue. Elle était, depuis toujours, persuadée de la supériorité fondamentale de la Nature… Cette miséricorde, elle ne l’avait toutefois pas toujours eu. Sa mentalité était très variable, car elle dépendait pour beaucoup du climat dans lequel elle vivait. Dans une ville extrêmement polluée comme Gotham City, où les raffineries et les usines ne respectaient absolument aucune norme environnementale, et crachaient dans le ciel des tonnes et des tonnes d’une fumée noire et empoisonnée, il ne fallait pas s’attendre à ce que Poison Ivy soit une gentille fleur. Il avait fallu attendre qu’elle explose Terra, qu’elle se plonge dans de profondes et vastes forêts ancestrales, pour ressentir en elle le bonheur… Et pour finir par rencontrer les Alraunes.

Lily et Raune étaient pour elle des Déesses. On pouvait dire ce qu’on voulait sur le comportement fier et autoritaire de Pamela, sur les esclaves qu’elle ensorcelait avec ses spores, face aux filles pures de la Nature, elle sentait en elle un élan de vénération et d’adulation telle qu’elle était comme une dévote face à son idole : incapable de la regarder trop longtemps dans les yeux sans sentir une vague d’humilité la saisir. Les expériences du Professeur Warren sur elle avaient transformé Pamela en une mutante. Elle n’était plus humaine, mais pas Alraune non plus ; elle était à mi-chemin. Supérieure aux humains, inférieure aux Alraunes. Elle avait donc mis plusieurs semaines à rechercher les Alraunes, se rendant dans les villages où elles étaient passées. Le passage d’une Alraune marquait les mentalités et les humeurs des humains. Les villageois qu’elle avait vu étaient tous dans un état festif et très libéré, avec des colliers de coquelicots, et des orgies continuelles. Elle était remontée le long des forêts, jusqu’à les retrouver…

*Ça a été merveilleux…*

Plongée dans ses pensées, Pamela avançait le long d’une vaste et profonde forêt. C’était dans cette forêt que Lily et Raune lui avaient offert son cadeau… Le plus beau des cadeaux. Portant un corset vert végétal (http://img106.xooimage.com/files/5/0/e/ivy-7-464f91e.jpg), Pamela avançait, avec sa peau devenue verte. Pieds nus, elle avançait le long de l’herbe, ressentant, à chaque exhalaison, la pureté de cette forêt. Toute cette partie de la forêt était encore ravagée il y a une année, environ. Il n’en restait plus rien suite à un incendie. Elles avaient ressourcé la forêt, et c’était une tâche à laquelle Pamela les avait aidées… Elle était restée là plusieurs semaines, et elles avaient, bien entendu, fait très longuement l’amour. Lily et Raune avaient fini par lui dire que sa mouille pouvait être utilisée pour fertiliser une plante, car, si Ivy n’était pas une Alraune, elle en était très proche. Les deux Alraunes pouvaient donc réaliser des expériences sur son liquide de vie, afin qu’il fertilise une plante, et donne naissance, grâce au savoir-faire des Alraunes, à une Alraune.

Les Alraunes avaient une période d’incubation de plusieurs mois, mais elle était très variable. En apprenant qu’elle était susceptible d’avoir une fille, et, qui plus est, une fille Alraune, Pamela avait senti son cœur se fondre. Elle n’avait jamais eu de fille, et n’avait jamais pu en avoir, car, depuis sa transformation, elle était stérile. Sa mouille était incompatible avec le sperme humain. La mort dans l’âme, Pamela s’était donc faite à l’idée qu’elle n’aurait jamais d’enfants… Et là, les Alraunes lui offraient la possibilité incroyable et magnifique d’avoir une fille. Certes, ce ne serait pas un bébé, et c’était ce qu’Ivy avait voulu. Lily et Raune lui avaient expliqué qu’elles auraient pu tenter de faire pousser la plante dans son ventre, mais il y avait des risques d’incompatibilité, des risques que le bébé sorte mal formé, ou non viable. Sachant qu’elle ne supporterait pas une fausse couche, elle avait suivi la voie de la chrysalide.

Les deux Alraunes avaient utilisé sa mouille pour faire pousser une plante spéciale, et, quelques semaines après cette expérience, Pamela avait vu une chrysalide se former. C’était comme un énorme œuf, dans les profondeurs de la forêt. Un œuf qu’elle avait caressé, en sentant la vie pousser à l’intérieur. Sa fille sortirait viable et âgée, car, à l’intérieur, elle flottait dans un liquide amniotique qui accélérait énormément la formation de ses cellules. Elle revenait fréquemment, dans une forêt désormais vierge. Lily et Raune étaient parties ailleurs, et cette chrysalide était trop profonde dans la forêt pour que des humains viennent l’attaquer. Néanmoins, Ivy y revenait souvent, et, grâce à son esprit scientifique, elle savait quand le moment serait proche… Celui où Kyli briserait sa chrysalide.

Ce moment était enfin arrivé.

*Par là…*

Elle fila entre plusieurs arbres, s’enfonçant dans une végétation dense et hostile, avec de multiples ronces, bien loin des sentiers. Elle avait reçu quelques instructions de la part des deux Alraunes. Kyli ne serait pas une humaine, mais bien une Alraune… Et il y aurait donc quelques différences avec les simples humains… En plus du fait qu’elle aurait grandi dans une chrysalide, avec un aperçu très déformé du monde extérieur. Autrement dit, il ne fallait pas croire que Pamela aurait droit à une Alraune toute faite. Il lui faudrait l’éduquer et la former. La jeune femme-plante continuait à avancer, filant entre les arbres, jusqu’à ce que plusieurs grosses feuilles s’écartent.

La chrysalide était là… Une forte chaleur émanait d’elle, et elle remuait sur place.

*Ouf, je suis arrivée à temps !*

Pamela ne voulait surtout pas manquer la naissance de Kyli. La chrysalide remuait sur place, de plus en plus faible. Son enfant, son bébé… Il poussait à l’intérieur, et la chrysalide finit par se fissurer. Du liquide amniotique jaillit des pores, déformant davantage la plante, qui se flétrit totalement, et s’ouvrit. Le liquide se déversa sur le sol, et Pamela retint son souffle, en voyant une silhouette en sortir. Son corps était relié par des tentacules verdâtres, et Pamela écarquilla les yeux en la voyant… Les tentacules la relâchèrent, et la silhouette sortit de la chrysalide. Elles étaient dans une clairière entourée par des arbres, où le soleil tapait bien. La Nature s’appela à Kyli… Puis Ivy s’élança vers elle.

Elle ne le réalisa pas tout de suite, mais, en la tenant dans ses bras, Pamela pleurait. Son corset végétal avait disparu, et elle aussi était toute nue, décollant Kyli du sol, une main sur ses cheveux, l’autre sur son dos. Elle la soulevait du sol, et la tenant contre elle, en ne parvenant pas à retenir ses larmes de bonheur. Elle déposait des baisers sur le front de la femme, et la tenait contre elle, la serrant fort. Sa fille, sa fille… SA FILLE ! Oh oui, sa belle et pure fille… Kyli, une magnifique Alraune, qui se pressait contre elle… Kyli, son ange, sa petite beauté ! Pamela soupirait longuement, débordant de plaisir, d’une joie ancestrale qu’elle n’avait jamais ressenti auparavant. La chrysalide avait été un succès tel, et cette dernière était lentement en train de disparaître, maintenant qu’elle avait accompli son office.

« Maman... » soupira-t-elle.

Pamela la regarda en souriant, et l’embrassa brièvement.

« Oui, ma puce, oui… C’est moi, ta Maman… Pamela Lilian Isley… Mais tu peux m’appeler Ivy, mon ange… Oh, ma belle petite plante, tu es tellement mignonne ! »

Sa main caressa ses cheveux, et elle sourit à nouveau.

« Je suis ta Maman… Et tu t’appelles Kyli, mon amour… Tu es ma fille… Ma fille. »

Sa fille… C’était merveilleux ! Pamela s’en sentait toute émue, et l’embrassa sur le front.

« Et je t’aime, Kyli… Est-ce que tu te sens bien, ma chérie ? Je vais m’occuper de toi… Maintenant, et jusqu’à ta mort, ma plante… »

La voix de Pamela était chargée en émotions.

Elle n’avait jamais été aussi émue de toute sa vie.



* : Cf. RP « Passion florale (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=14161.0) »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le mardi 05 mai 2015, 21:11:07
Ma maman... J'avais encore du mal à réaliser. Elle était la femme grâce à laquelle, en plus du savoir des Alraunes, j'avais pu voir le jour. Elle était la personne à laquelle je tenais la plus au monde, même si je ne l'avais vu que dans mes rêves pré-natals. C'était avec elle que j'allais découvrir le monde, la vie, la nature...

Serrée tout contre moi, ma maman était elle aussi toute nue. Ses bras étaient enroulés autour de moi et elle me soulevait au dessus du sol. Dans mes cheveux et dans mon dos, je pouvais sentir ses mains. Elle déposait des baisers sur mon front, aussi légers que des papillons. Et je pouvais aussi sentir des larmes couler sur ma joue, des larmes qui tombaient de ses yeux. La chrysalide m'avait appris que les humains pleuraient à cause de la joie ou de la tristesse. Et je voyais bien que, dans ce cas-ci, c'était la joie. Je ne savais pas quoi dire, alors je m'étais blottie au plus près de son corps, la tête dans le creux de ses seins nus, fermant les yeux et savourant la douceur de ses mains et de ses mots.

Toujours en me câlinant, et entre deux commentaires où elle disait à quel point elle m'aimait et me trouvait mignonne, ma maman m'avait dit qu'elle s'appelait Pamela Lilian Isley. Mais que je pouvais l'appeler Ivy. Elle me dit aussi que mon nom était Kyli. Un joli nom. J'étais contente qu'elle m'ait appelée ainsi. Ensuite, elle me demanda si je me sentais bien.

« Oui, je vais très bien. La chrysalide s'est bien occupée de ma croissance, m'a nourri et appris tout ce que je devais savoir. Et maintenant, je suis heureuse de pouvoir être avec toi, maman. »

Je savais qu'elle m'avait dit que je pouvais l'appeler Ivy. Mais malgré tout, je préférais l'appeler maman. C'était plus personnel, plus proche, plus intime. Et j'aimais entendre ce mot. Avant même ma sortie, un lien émotionnel très fort était déjà présent entre ma mère et moi. Dans mon petit monde obscur, j'avais senti la chaleur de son corps, partagé ses souvenirs, exploré son inconscient... Je la connaissais mieux qu'elle ne pouvait l'imaginer. Et surtout, elle était la seule personne que j'avais vraiment connu. Même les deux alraunes ayant contribué à ma création n'étaient que des images floues et des souvenirs incomplets dans ma tête. Tout ce que j'avais en dehors de mon corps et de mon esprit, c'était elle.

J'étais si bien dans les bras de ma maman, la tête calée dans sa poitrine, sentant sa chaleur venir sur moi. J'aurais bien voulu m'endormir dans cette position, mais je venais à peine de sortir de mon cocon, et l'appel de mes muscles endoloris à s'activer était trop fort pour que je puisse y résister. En ouvrant les yeux, je me suis retrouvée avec la bouche toute proche d'un des tétons de ma maman. Ma première pensée fut de me demander s'il était bon. Durant ma croissance, on m'avait révélé que les nouveaux-nés humains se nourrissaient du lait qui coulaient des seins de leurs mères. Je pensais qu'un contact aussi proche avec ma maman pourrait être très agréable. Mais, à l'échelle de temps humaine, je n'étais plus un nourrisson, j'étais une adolescente. Donc je ne pouvais pas me permettre d'avoir ce genre de comportement. Dommage, mais c'est comme ça...

Je me suis doucement libéré de l'étreinte de ma maman. Ma coordination motrice n'était pas encore tout à fait au point, et il me fallut une bonne minute, en plus de quelques chutes sur les fesses, pour trouver mon équilibre. Heureusement, ma maman était toujours derrière moi pour m'aider à me relever. Et je savais qu'elle le serait jusqu'à ce que l'une de nous quitte ce monde. Une fois totalement maîtresse de mes jambes, je me suis mise à gambader au milieu de cette forêt qui m'avait vu naître, mais sans jamais m'éloigner de la ''zone privilégiée'', la zone qui avait abrité ma chrysalide, couverte par une épaisse végétation. Je ne me sentais pas prête à aller plus loin sans que ma mère ne passe devant. La lumière du soleil qui passait à travers les feuilles des arbres éclairait cette belle nature, dans laquelle je jouais avec bonheur. J'entendais le bruissement de vie de chaque arbre, de l'herbe sous mes pieds, des insectes volants, des fleurs s'ouvrant à mon passage... J'avais le sentiment d'être au paradis. Et pourtant, j'étais à moins d'une dizaine de mètres de la plante où j'avais vu le jour.

Ivy m'observait avec joie, un grand sourire sur les lèvres et encore quelques larmes dans les yeux. Me voir vivre ainsi, en harmonie avec la nature, la rendait vraiment heureuse. Je crois que j'étais exactement comme elle voulait que je sois. Son bonheur était à son paroxysme, dans cette forêt luxuriante, où elle voyait le fruit de ses entrailles, son petit bourgeon fraîchement sorti de sa carapace, s'amuser parmi les arbres, dans la chaude lumière du soleil.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le dimanche 10 mai 2015, 02:30:54
Kyli était viable, Kyli était belle, Kyli était puissante… Ivy sentait contre son corps toute sa force. Elle sentait le lien chimique qui les unissait, mais aussi le lien qui unissait Kyli à la Nature. Poison Ivy avait participé à un magnifique processus ayant donné naissance à une Alraune… Une Alraune qui était le miroir inverse de Pamela. S’il fallait parler en terme de chiffres, Pamela était à 60% humaine, et à 40% Alraune… Et, si on partait sur cette base, Kyli, elle, était l’exact inverse : 60% Alraune, 40% humaine. Une Alraune naissait par le biais de la magie, par le biais de la fertilisation des plantes et des arbres. Elle était un Avatar de la Forêt, comme une plante. Cette chrysalide était une copie de ce que la Nature faisait, mais, pour qu’il y ait une Alraune, il fallait une très grande forêt, une forêt où la magie était forte, suffisamment forte pour que, par le miracle de la vie, une certaine plante évolue pour prendre conscience. Kyli, elle, avait été conçue par Lily et Raune, sur la base de la mouille d’Ivy. Une création artificielle, qui avait hanté Poison Ivy à chaque fois qu’elle allait voir la chrysalide, en craignant que cette dernière ne dépérisse, ou ne se détériore. Les deux sœurs alraunes lui avaient dit qu’il y aurait un risque, un risque que la chrysalide se détériore, et perde progressivement de son influence.

L’Alraune restait blottie contre elle, et le temps défilait rapidement. Pamela retenait ses larmes en soupirant, et déposait des baisers sur le front de Kyli, continuant à la tenir, à la tenir fort. C’était sa fille… Oh, sa fille ! Elle avait du mal à y croire, tant cette nouvelle était… Magnifique. C’était incroyable, ce qu’elle avait fait. Elle avait donné naissance à une fille, à une fille parfaite, une fille mieux réussie qu’elle, d’un point de vue génétique. Pamela ressentait un débordement d’amour à son égard, mais elle pouvait comprendre que Kyli ait envie de se déplacer. Elle avait été bloquée pendant longtemps dans le cocon, et Pamela la reposa donc.

« Déambule un peu, Kyli, cette forêt est tienne… »

Sa fille obtempéra… Et se cassa rapidement la figure. En souriant, Pamela se rapprocha d’elle.

« Ton corps peut te permettre de marcher, vas-y doucement… »

Elle aida Kyli à se relever à chaque fois, ne pouvant s’empêcher de lorgner sur son corps. En la voyant de dos, elle pouvait voir ses fesses, son dos, ses longues jambes fuselées, sa peau verte… Un pur produit de beauté. Pamela s’en pinça les lèvres, en se demandant jusqu’où l’enseignement de Lily et Raune avaient poussé. Vu la grande perversion de ces deux femmes… Elles avaient été jusqu’à appeler des créatures de la forêt afin qu’elles prennent Poison Ivy. Elle s’était fait enculer par un loup sous le regard amusé et concupiscent des deux femmes. Kily, peu à peu, s’habitua à marcher, et se mit à courir, filant entre les arbres en tendant les bras, avant de se retourner, attendant Poison Ivy.

Sa mère, bien entendu, la suivait, et l’encourageait à se déplacer.

« Renifle les fleurs, caresse l’écorce des arbres… Ressens la vie. Partout. Tout autour de nous. »

Kyli avait entendu parler des forêts à travers le cocon chaud de la chrysalide. Elle n’avait jamais eu l’occasion de voir réellement une forêt. Maintenant, elle pouvait enfin le faire… Et cette forêt était pure. Elle n’avait jamais été polluée par les humains, et ces derniers étaient éloignés. Ils étaient dans une partie très sauvage de la forêt, et Pamela pouvait sentir cette dernière. Quand ses doigts touchaient l’écorce d’un arbre, elle pouvait le sentir vivre. La flore était immobile et silencieuse, mais elle était vivante. Aussi vivante qu’un loup, ou qu’un être humain. Poison Ivy sentait les fibres naturelles de la forêt, et continuait à suivre sa fille, tout en lui laissant un peu de marche.

*J’ai une fille… Une fille…*

Elle allait très certainement devoir en parler à Harley, au moins… Elle imaginait déjà la tête de l’Arlequin en voyant Kyli. Poison Ivy n’en avait parlé à personne, car elle n’aurait pas accepté leur compassion si la chrysalide avait échoué, et si elle avait donné naissance à une fausse couche. Mais Kyli était bien vivante, et n’avait apparemment aucun défaut.

« Viens par là, Kyli… »

Pamela venait de s’approcher d’un parterre de fleurs. Elle s’était agenouillée devant une tulipe, et attrapa délicatement la tige.

« Ferme les yeux, Kyli… Imprègne-toi de cette fleur… »

En la touchant, Ivy pouvait voir son existence… La manière dont elle était arrivée, dont elle poussait à la fin de l’hiver, recueillant des insectes multiples. Elle pouvait ensuite étendre ce regard à l’ensemble du champ de fleurs, revoyant toutes les fleurs broyées par les pieds d’enfants, de marcheurs, de randonneurs… Puis qui revenaient ensuite à la vie. Et, au milieu de ce champ de fleurs, elle pouvait aussi sentir la présence, merveilleuse, de Kyli.

« Nous sommes reliées ensemble, Kyli… Toi et moi. Est-ce que tu la sens ? Regarde ce champ en train de vivre… »

La main de Pamela se posa sur le poignet de Kyli, et, doucement, elle le posa sur le sol terreux.

« Regarde… »

Pamela se concentra un peu, et, au milieu du champ de fleurs, de gros tentacules verdâtres se mirent à pousser, s’élevant au-dessus du sol.

« Nous sommes élues par la Nature pour veiller sur elle, Kyli, pour la réparer, et pour l’améliorer… C’est notre rôle, mon amour. Tu es encore une jeune pousse, Kyli, mais, plus tu grandiras, et plus tu apprendras à utiliser de tes dons… Et un jour viendra où tu seras la maîtresse, et moi ta formatrice, car c’est ainsi que doivent aller les choses. »

Elle l’embrassa sur la tête, en lui souriant ensuite.

« Tu peux aller jouer, Kyli… Ressens cette forêt, vois à quel point la flore enfante la faune, et à quel point la faune est respectueuse de la Nature, et utilise la flore pour se développer. Sens les abeilles venir dans les champs de pollen, sens les chenilles et les insectes… Et n’oublie jamais que je t’aime, ma petite Kyli. »

C’était quelque chose qu’elle devrait retenir à jamais.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le mardi 12 mai 2015, 21:16:06
La forêt était si belle. Elle me donnait envie de chanter, même si je ne le faisais pas. Pour moi, les bruissements de vie de chaque créature, de chaque arbre, de chaque fleur résonnaient dans mon cœur comme la plus douce des mélodies. Ici, la pureté de la nature était un enchantement. Pas de pollution, de présence néfaste, je n'étais entouré que de calme et d'amour. L'amour de la forêt, l'amour de ma mère, qui continuait à m'observer avec joie. Sans doute avait-elle encore du mal à accepter que sa fille était bien venue au monde.

Je caressais l'écorce des arbres, je reniflais les fleurs. Tout en découvrant mes sens, je découvrais la façon dont la nature vivait. Bien sur, je savais tout des plantes et des animaux grâce au savoir que j'avais reçu. Mais savoir une chose et la voir de ses yeux, ce n'est pas du tout la même chose. C'est donc avec fascination que je regardais tout ce qui m'entourais. Y compris ma maman, dont le corps merveilleux n'avait rien à envier à la beauté de la nature autour d'elle. Tout en regardant, je touchais la végétation, je l'écoutais frémir et je la respirais à pleins poumons. Si j'avais pu la goûter, je l'aurais fait. Mais jamais je n'aurais accepté de manger une seule des belles choses qui vivait dans cette forêt. C'était toutes des êtres vivants, même si peu de gens pouvaient réellement le comprendre de la même façon que moi.

Ivy me demanda de la rejoindre.

« J'arrive maman. »

Je rejoignis ma maman près d'un champ de fleurs, en sautillant comme un lapin. Elle me demanda de fermer les yeux et de m'imprégner de l'essence de cette tulipe qu'elle tenait dans sa main.

« D'accord. »

J'avais fermé les yeux, pris calmement la tige de la tulipe entre mes doigts... et là, je l'avais vu. Sa floraison, tous les insectes qui l'avaient butinée, sa vie tout entière... Puis la perception s'étendait à toutes les fleurs du parterre, avec des détails sur leurs existences. Et, au milieu de toutes ces vies, je sentais la présence chaleureuse de ma maman. C'était comme si j'étais avec elle, mais sans que nos corps se touchent pour autant. Nos esprits étaient connectés, en harmonie, par la beauté de la nature.

« Oui... Je le sens... »

Ma maman prit mon poignet et posa ma main sur le sol. Une fois encore, j'étais étonnée de sentir à quel point sa peau et ses gestes étaient doux. Mais j'étais encore plus étonnée de voir des tentacules vertes sortir du sol sur son ordre. Je savais qu'elle avait le pouvoir de commander à la nature mais, encore une fois, savoir et voir sont deux choses complètement différentes.

Après m'avoir embrassé sur le front, ma maman m'invita à aller jouer pour ressentir tout ce qui vivait dans la forêt, les relations d'inter-dépendances de la faune et de la flore et toute cette vie qui grouillait autour de moi.

« Je t'aime aussi, maman. »

Je lui ai donné un bisou sur la joue, puis je suis allé me mettre au centre de la zone privilégiée, près de mon cocon flétri. J'ai posé mes mains sur le sol pour sentir toute cette zone qui vivait autour de moi. Je sentais les plantes, les insectes, ma maman... Rien de nouveau, mais plus je restais concentré, plus je percevais de choses. Et c'était merveilleux.

Puis j'ai voulu essayer, comme ma maman l'avait fait, de commander à la nature. J'avais juste eu à me concentrer, et une grande fleur jaune avait poussé sous mes pieds. Prise au dépourvu, j'étais tombée les fesses en arrière, mais la fleur m'avait rattrapé et m'avait posé au milieu de ses pétales grâce à ses fines tentacules vertes. Puis elles s'étaient enroulées autour de mes bras et de mes jambes pour m'empêcher de tomber. J'étais comme dans un lit, étendue de tout mon long sur cette jolie fleur, perchée à quelques mètres au-dessus du sol, avec des tentacules qui jouaient dans mes mains. Et c'était très agréable. Mais je ne comptais pas m'arrêter maintenant.

La fleur descendit, et je pus à nouveau poser les pieds au sol. Il y avait une chose que j'avais très envie de tester : le pouvoir des phéromones, ces substances chimiques qui agissent comme des messages entre les créatures comme les insectes ou les humains. J'ai fermé les yeux, j'ai marché droit devant moi et, quelques secondes après, des fleurs colorées se mettaient à pousser sur mon chemin. Les fleurs violettes attiraient les insectes volants, les bleues attiraient les rampants. J'étais tellement contente de voir tous ces insectes approcher près de mes fleurs que je m'étais remise à courir. Hélas, j'étais tellement distraite que je ne vis pas la branche sur mon chemin. Mon pied s'embrocha et je tombai au sol.

En première réponse à ma douleur, les fleurs à phéromones se refermèrent et les insectes se dispersèrent. Ensuite, quand je me suis relevé, j'ai senti la douleur dans mon pied. Au début, je ne la voyais que comme ce qu'elle était en théorie : une information des nerfs envoyée jusqu'au cerveau pour signifier un choc. Mais après, la vérité du moment prenait à nouveau le pas sur la théorie. Et comme c'était la première fois que je me blessais, ça me faisait incroyablement mal. Je m'étais mise à pleurer comme un bébé, appelant ma maman pour qu'elle vienne me consoler.

« Snif... Maman... J'ai mal... »

Pour une alraune ayant l'âge équivalant d'une adolescente humaine, j'étais en train de me comporter comme une enfant. Mais c'était plus fort que moi. Et j'espérais que ma maman puisse le comprendre.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le vendredi 15 mai 2015, 01:52:45
Tout se passait bien, tellement bien… Pamela avait l’impression de vivre un rêve éveillé. Sa fille… Elle en revenait toujours à ça, incapable de se dire s’il était humainement possible de ressentir un tel bonheur en voyant une personne. Et pourtant… Pamela avait tellement désiré avoir un enfant, elle avait tellement chéri l’idée d’avoir une petite fille, une créature à qui elle pourrait enseigner les joies de la Nature, et en faire son héritière. Depuis quand remontait ce désir maternel ? Pamela soupçonnait qu’il était enfoui en elle depuis sa naissance, et que sa nature d’être hybride l’avait fait rejaillir. Quel était le but d’un être vivant, si ce n’est de se reproduire ? Le sexe ne serait pas une chose aussi belle s’il n’avait pas pour finalité l’ultime accomplissement de l’être humain : se reproduire. Pamela avait donc vécu sa stérilité avec une profonde souffrance, et, maintenant… Voir Kyli gambader le long des fleurs, c’était merveilleux. Formidable, tellement formidable… Pamela restait à l’écart, et clignait des yeux à plusieurs reprises, en les sentant s’embuer. Des larmes d’allégresse venaient naturellement le long de ses joues.

Elle avait une fille… Une fille ! Une fille belle et forte, une Alraune ! Et, déjà, Kyli parvenait à un contrôle incroyable sur la Nature. Très rapidement, elle dépasserait totalement sa mère, et cette dernière se mettait déjà à rêver et à fantasmer sur la destinée incroyable de Kyli. Ce qu’elle avait enfanté était une Déesse, tout simplement… Elle aurait dû l’appeler « Gaïa », car c’était ce que Kyli allait devenir. Une Déesse protectrice de la Nature. Ivy ressentait de nouveaux élans d’affection, et ne pouvait s’empêcher de l’observer, de la regarder, son regard étant alors empli d’un amour profond et sincère, tendre et bienveillant.

*Je l’aime… Tout simplement.*

Pamela avait déjà aimé d’autres personnes… Notamment sa belle petite Harley, sa délicieuse cinglée. Mais l’amour qu’elle ressentait pour Harley était différent de celui qu’elle éprouvait à l’intention de Kyli. Sa belle petite Alraune faisait pousser de magnifiques fleurs, et Ivy la vit se constituer un trône végétal, s’élevant au-dessus des fleurs, des tentacules verdâtres venant l’enrouler. Elle sourit, heureuse, tapant dans ses mains pour la féliciter.

« Bravo, ma chérie ! »

Est-ce qu’elle serait à la hauteur ? Certes, Kyli était une Alraune, dotée de pouvoirs divins, mais elle restait avant tout une petite fille, une fille qui avait passé plus de quinze ans dans un cocon, dans une chrysalide. Elle avait besoin d’affection et d’amour, et Ivy savait qu’elle avait tendance à être stricte. Déjà, la scientifique envisageait la suite… Elle allait la ramener sur Terre, et il était sûr qu’Harley serait au courant. Pamela ne pouvait pas lui cacher ça, et elle savait qu’Harley aimerait Kyli… Sa petite folle avait, elle aussi, la fibre maternelle. La preuve en était que l’amour était quelque chose qui fascinait Harleen, même si ça ne l’empêchait pas d’être une merveilleuse folle. Pamela continuait à y songer, tout en voyant Kyli se remettre à courir.

Elle sentit des plantes pousser ici et là, et comprit que la jeune Alraune était en train d’inspecter les phéromones, attirant de multiples insectes. Elle était en train de réaliser à quel point la faune et la flore étaient liés, et, partant de là, à quel point l’Homme avait besoin de la flore pour, non seulement exister, mais aussi pour vivre sereinement. Les fleurs remuaient lentement, leurs pétales s’ouvrant, et le visage ravi de sa fille, son grand sourire, était une image que Pamela n’oublierait jamais… Tout le reste disparaissait là-dedans, et, à ce moment-là, elle réalisait ô combien elle aussi, femme manipulatrice, était débordante d’amour.

Et puis, Kyli heurta une branche, et tomba sur le sol. Pamela se redressa alors, et entendit sa petite Alraune se mettre à pleurer, perdant tout son contrôle sur la Nature.

« Kyli ! »

Sa chute avait été lourde, avec un choc sourd peu encourageant. Elle était tombée sur la terre, il n’y avait aucune raison qu’elle se soit fait mal… Mais, alors que Pamela s’élançait vers elle, dans un coin de son esprit, elle réalisait que l’amour était une force surpassant la raison. Quand l’être aimé avait mal, on s’imaginait n’importe quoi, et la raison s’effaçait alors instantanément. Pamela se rua vers elle, et fléchit les genoux en posant une main sur son épaule.

« Kyli, ma petite fleur… »

Elle l’incita à se coucher sur le dos.

« Laisse Maman regarder ta blessure, ma chérie… »

La femme jeta un œil sur sa cheville, et ses doigts la caressèrent. Rien de cassé… Elle sentit une vague de soulagement la traverser.

*Ce n’est qu’une mauvaise chute, rien de plus…*

Les yeux de Kyli étaient baignés de larmes, et Pamela comprit que c’était la première fois qu’elle expérimentait la douleur. Elle se pinça les lèvres, et la prit alors dans ses bras, venant la serrer fort. Une main se retrouva sur les cheveux de Kyli, et la tête de sa fille se blottit contre ses seins.

« Oh, ma pauvre petite choupette… Là, ce n’est rien, Kyli, ce n’est rien, juste une mauvaise chute… »

Elle l’embrassa sur les cheveux, la câlinant en la serrant contre elle.

« Ne t’inquiète pas, Kyli, Maman est là… Maman sera toujours là pour toi, mon amour… »

Toujours là pour elle, oui, voilà ce qu’elle lui promettait en ce moment… Et ce qu’elle ferait.

« Ça fait mal, hein ? On appelle ça la douleur…  C’est quelque chose de normal, qu’on ressent quand on se fait mal. Ça nous indique que notre corps n’apprécie pas ce qu’on nous fait faire. La douleur est un avertissement… Mais, parfois, la douleur est positive, car elle t’indique que tu es en vie, et que ton corps fonctionne bien. »

Et, tout en parlant, elle continuait à la câliner et à la réconforter… Comme une mère le ferait.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le mercredi 20 mai 2015, 19:39:10
La douleur... Une simple information nerveuse véhiculée jusqu'au cerveau pour signifier une atteinte physique de toute sorte, comme une brûlure, un choc ou une coupure. C'était ce que la chrysalide m'avait enseigné sur la douleur. Mais la ressentir, la vivre... C'était une tout autre histoire. J'avais l'impression que ma cheville brûlait sur place, et cette sensation semblait s'étendre le long de ma jambe. Au début, je pensais que ma cheville était cassée. C'était la seule explication qui me semblait plausible face à une telle souffrance. Et cette idée me terrifia tellement qu'elle me fit pleurer encore plus.

Heureusement pour moi, ma maman n'était pas loin. Avec une main sur mon épaule, elle me fit m'allonger sur le dos pour pouvoir regarder ma blessure de plus près. La caresse de ses doigts sur ma cheville apaisa un peu ma souffrance, mais pas assez pour me la faire oublier. Ensuite, elle me prit dans ses bras et me serra fort contre elle, pressant ses seins contre ma tête tout en me caressant les cheveux. D'après elle, ce n'était rien de grave, seulement une petite chute. En réponse à cela, je passai mes bras dans son dos pour qu'elle se serre plus fort contre moi. Cette étreinte me faisait peu à peu oublier ma souffrance. J'étais tellement contente que, malgré mon âge, elle me console comme si j'étais encore une petite fille.

« Je sais déjà tout ça. Le cocon me l'a appris. Mais la ressentir... ça fait si mal. Snif... Pourquoi vivre pour ressentir une telle chose ? »

Sentant venir une autre montée de larmes, je serrai ma maman contre moi de toutes mes forces, pour chasser toutes mes pensées négatives. Tout ce que je voulais, maintenant, c'était sentir le corps délicieux de la femme qui m'a mis au monde contre le mien. Pour que mon mal disparaisse devant son écrasante tendresse.

Après plusieurs minutes d'étreinte, j'avais presque oublié ma douleur, donc je m'étais décidé à lâcher ma maman. Et quand elle me lâcha à son tour, j'eus un parfait point de vue sur sa poitrine. Encore une fois, je fantasmais sur ces seins voluptueux, à l'air extrêmement appétissants. J'avais très envie de venir en sucer les tétons, mais ça me paraissait impensable de faire une chose pareille. Alors j'avais détourné les yeux pour ne plus les avoir en face du visage. Pour oublier leur image, je m'étais remise à l'application de mes pouvoirs.

Je m'étais dirigée vers la branche sur laquelle je m'étais embronchée. Comme je le pensais, une partie de l'écorce avait sauté après le choc. Utilisant mon pouvoir, j'avais pu guérir la branche de sa blessure, car je savais que c'était mon devoir en tant qu'alraune : prendre soin de la forêt, la protéger, la faire renaître... c'était ainsi que je devais vivre.

La douleur à ma cheville ne me laissait pas encore tranquille, et je savais qu'il faudrait un peu de temps avant que ce ne soit le cas. Mais je ne voulais pas attendre debout sans rien faire. En plus, après toutes ces émotions et ces expérimentations de mes pouvoirs, j'avais envie de dormir un peu. Je fis donc pousser une grande boule de coton blanc et j'allai m'allonger à l'intérieur. Le coton était chaud et moelleux, le matelas idéal pour faire une petite sieste. Une fois bien installé je fis apparaître des feuilles pour me servir de couverture, dont je me recouvris le corps. Mais avant de m'endormir, je fis un dernier signe à ma maman.

« Maman, je vais dormir un petit peu. Tu pourras me réveiller quand il faudra partir ? »

Je pensais que nous n'allions pas tarder à nous en aller de cette forêt. Si ma maman était venue me chercher, c'était pour me faire découvrir le monde. Et j'avais hâte de le faire. Mais à cet instant, j'étais si fatiguée que je ne rêvais que de dormir.

Perchée au sommet de la boule de coton blanc, qui était resté au niveau du sol, je me sentais comme sur un petit nuage. Pourtant, quelque chose me manquait. Et je savais très bien ce que c'était. Je m'étais donc légèrement relevé pour m'adresser à ma maman.

« Maman, est ce que tu voudrais bien... dormir avec moi ? Je me sens seule sans toi. »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le samedi 23 mai 2015, 02:21:32
Pamela était en train de réaliser une chose : les pleurs de sa fille l’inquiétaient… Bien plus que tout ce qu’elle avait jamais pu ressentir vis-à-vis d’autres personnes, même Harley. Poison Ivy aimait sa fille, et voir à quel point elle s’inquiétait pour elle la rassurait. Finalement, Kyli s’écarta du corps de sa mère, et recommença à utiliser ses pouvoirs. Pamela l’observa de loin, tout en étant plongée dans ses pensées. Elle avait du mal à se convaincre qu’elle allait pouvoir l’aimer, ou, plutôt, qu’elle l’aimerait comme une mère. Toute la science, le devoir, elle pouvait l’éduquer là-dessus, l’instruire de tout ce qu’elle savait… Mais quid du reste ? Quid du fait de l’aimer ? Kyli était une Alraune, mais elle avait aussi, en elle, quelque chose d’humain… Et, surtout, elle restait encore une jeune femme. Une enfant qui avait passé quinze années dans une chrysalide, dans un cocon, sans jamais voir sa mère… En la voyant faire pousser des fleurs, réparer le tronc d’arbre, Pamela restait songeuse.

*Serais-je une bonne mère ?*

Avec son passif, la question pouvait se poser… Pamela avait changé depuis l’époque de Gotham City, mais elle n’oubliait pas ce qu’elle avait fait… Les empoisonnements, les meurtres, les personnes qu’elle avait rendue fous… Comment en parler à Kyli ? Elle était la gentillesse incarnée. Aucune malice ne se lisait dans son corps, comme une version perfectionnée d’elle-même, idyllique… Une femme qui n’avait pas été corrompue par la pollution de Gotham, par les produits chimiques qui détruisaient la flore et massacraient la Nature… Kyli était si belle, si gentille… Une innocence que Pamela se refusait de briser, tout en sachant que, tôt ou tard, cette dernière serait rompue. Cette simple idée lui faisait horreur, mais Pamela n’avait pas d’autres choix. Elle était sa mère, elle devait l’éduquer… Lui inculquer l’amour, mais aussi que ce monde n’était pas merveilleux… Mais pas tout de suite. C’était juste… Pas tout de suite.

Pour l’heure, Pamela regardait Kyli s’amuser, et, surtout, expérimenter ses pouvoirs. En tant qu’Alraune, elle était une Reine de la forêt, et c’était un rôle qui, manifestement, lui tenait à cœur. Elle vit ensuite Kyli former une sorte de gros cocon blanc, exprimant ensuite sa fatigue. En souriant, Ivy se rapprocha d’elle, et hocha la tête.

« Bien sûr, ma belle… »

Elle pouvait veiller sur elle, oui… Kyli se coucha dans la grosse boule blanche, ayant matérialisé une sorte de matelas, dans sa petite tente. En s’approchant d’elle, Ivy la regarda, avec un sourire évasif sur le coin des lèvres. Sa petite Alraune était si belle… Et très humaine dans sa manière de dormir, puisqu’elle se recouvrit d’un drap végétal, composé d’herbes reliées entre elle. Pamela la regarda rêveusement, avec une lueur de profond amour dans les yeux.

*Ma fille… Ma belle petite fille…*

Quand Kyli s’était posée contre ses seins, Pamela en avait senti des frissons partout… Comme maintenant, en la voyant se mettre à dormir. Sa fatigue était compréhensible ; elle avait passé beaucoup de temps dans sa chrysalide, dans son cocon. Elle avait besoin de se reposer, d’assimiler calmement toutes les sensations qui lui arrivaient. Pamela le comprenait, et elle savait que, quand Kyli arriverait sur Terre, elle découvrirait encore d’autres choses. Il allait falloir la préparer, l’entraîner à ce qui risquait de lui arriver.

Kyli ne s’était pas encore endormie, et finit par tourner la tête, alors que Pamela comptait fermer le cocon pour qu’elle se repose mieux.

« Maman, est ce que tu voudrais bien... dormir avec moi ? Je me sens seule sans toi. »

Elle esquissa un léger sourire, et hocha la tête.

« C’est normal, ma petite Kyli… »

Pamela pénétra dans le cocon, et, derrière elle, l’ouverture se referma, les isolant du monde extérieur. Elle se coucha rapidement sur le sol, ne pouvant pas trop rester debout, et se nicha à côté de Kyli, ses seins retournant près de son visage. L’une de ses mains caressa tendrement son visage, glissant le long de sa joue.

« Tu pourras dormir avec moi autant que tu le souhaites, Kyli… »

Elle l’embrassa sur le front. Leurs yeux s’habituaient progressivement à l’obscurité, et Pamela esquissa un léger sourire.

« Est-ce que mes seins te plaisent, Kyli ? J’ai l’impression que tu les regardes souvent… Tu sais… Tu peux les caresser, si tu veux… »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le mercredi 27 mai 2015, 21:28:48
Ma maman acquiesça à ma demande avec un petit sourire. J'étais très contente qu'elle ait dit oui. L'avoir auprès de moi était un bonheur sans aucune mesure ou comparaison possible. Même si c'était pendant que j'allais être inconsciente, savoir qu'elle était à mes côtés me rendait heureuse. Cela n'avait rien de logique... mais peu importe, c'était juste délicieux.

Elle pénétra dans ma boule de coton, qui se referma derrière elle, créant ainsi un lieu sombre et isolé, rien que pour nous. Je savais que, dans ce genre de lieu, les humains aimaient s'adonner à des pratiques charnelles pour se donner du plaisir les uns aux autres. Et j'étais contente, à ce moment là, de ne pas être humaine. Tout ce que je voulais, c'était me coucher dans les bras de ma maman, et y dormir jusqu'à avoir retrouvé toute mon énergie. Ne pouvant rester debout à cause du manque d'espace, elle vint finalement s'allonger à côté de moi, mettant à nouveau ses seins au niveau de mon visage, et caressa tendrement mon visage avec l'une de ses mains. Une fois encore, elle était si douce que cela me rendait transi d'affection envers elle. Cette si gentille et si belle femme, qui m'avait donné la vie par un procédé potentiellement dangereux. Oui, j'étais au courant pour les risques. A l'intérieur de mon cocon, environ un mois avant ma naissance, je savais qu'il y avait un risque que je sorte mal formée, ou même que je ne sorte pas du tout. Et maintenant que j'étais là, je voyais bien qu'aucune de nous n'avait encore complètement accepté l'idée que l'autre était bien présente à ses côtés. De ce fait, nous savourions chaque câlin, chaque caresse, chaque parole que nous nous donnions l'une à l'autre. Un bonheur sans bornes.

Quand nos yeux s'habituèrent finalement à l'obscurité, ma maman m'embrassa sur le front et me demanda, en souriant, si ses seins me plaisaient. A ce moment, je rougis comme une tomate. Même si je me doutais qu'elle finirait par se rendre compte que je lorgnais sur sa poitrine, j'étais quand même honteuse quand elle me posa la question. Mais ce qui me secoua encore plus, c'était qu'elle m'avait dit que je pouvais les caresser si j'en avais envie. Et ça aurait été un mensonge de dire que je ne le voulais pas.

« C'est... c'est vrai ? Je peux vraiment ? »

Ivy acquiesça. J'étais emplie de joie, et d'un autre sentiment difficilement descriptible. J'approchai doucement mes mains de ces deux monts de chair, avec la ferme intention d'en profiter mais, au dernier moment, je finis par renoncer.

« Non, je... je ne dois pas. »

Une décision qui rendit ma maman plutôt perplexe.

« Je... j'ai très envie de toucher tes seins. Mais je ne dois pas le faire. La chrysalide m'a appris que ce sont les nouveaux-nés humains qui se collent aux seins de leurs mères. Et moi, j'ai l'âge équivalent d'une adolescente humaine. Je dois me comporter en tant que tel, donc je ne dois pas toucher à tes seins. Je ne dois pas... »

Mes propres mots me donnaient envie de pleurer. Mais heureusement pour moi, je n'en eus pas le temps. Ma maman vint me faire un câlin, posant ma tête dans sa poitrine, et me couvrit de caresses et de baisers pour me consoler. Apparemment, elle se fichait que je sois considérée comme une adolescente. Tout ce qu'elle voulait, c'était mon bonheur. Et si mon bonheur consistait à toucher sa poitrine, alors elle était d'accord pour me laisser faire.

« Maman... »

Je ravalai ma tristesse, mes larmes et tout le reste, puis je fis enfin ce que j'avais envie de faire depuis un bon moment : je posai mes mains sur ses seins et me mit à caresser les globes, sans toucher aux tétons.

Au début, aucune de nous ne parlait. L'instant que nous partagions était si beau, si délicat, si doux... J'avais l'impression que la moindre parole aurait tout fichu en l'air. Donc je n'avais pas ouvert la bouche pendant les premières minutes. Puis j'entendis un gémissement sortir de sa bouche. Immédiatement, je lâchai ses seins.

« Excuse moi. Je t'ai fait mal ? »

Elle me répondit que non. Du coup, je repris mes caresses mais avec plus de précaution, craignant toujours de faire une bêtise. Ce gémissement, bien que léger, m'avait fait vraiment peur. Quel autre sentiment que la douleur pouvait provoquer ce genre de bruit ? Dans le doute, je préférais être plus précautionneuse.

Mais après les avoir caressé aussi longtemps, mes premières envies refirent surface, tandis que mes yeux fixaient avec envie les petits bouts de chair qui pointaient à l’extrémité de ces seins.

« Pardon maman... je ne peux plus me retenir. »

Et, sans autre forme d'avertissement, je pris l'un des tétons dans ma bouche pour pouvoir le sucer avec bonheur.

C'était une sensation incroyable. Grisante. Légère. Déconcertante. Délicieuse. Peu de mots parvenaient à exprimer ce que je ressentais à cet instant. Ma bouche aspirait son téton dans l'espoir d'en sortir quelque chose à boire, ma langue passait dessus pour augmenter les sensations. C'était tellement bon... Et sans que je m'en sois rendu compte, en cinq minutes, je basculais peu à peu dans le sommeil. La température idéale à l'intérieur du cocon, le confort du matelas, la douceur du corps de ma maman sur le mien, tout était fait de telle sorte que je ne pus rester éveillée.

Ainsi, je m'endormis dans ma position actuelle : le corps lové contre celui de ma maman, ma tête installée près de ses seins, les mains sur ses globes, la bouche sur un de ses tétons. Certains avaient des peluches pour s'aider à dormir... Moi, j'avais la belle Poison Ivy.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le vendredi 29 mai 2015, 01:08:44
Dans la petite bulle formée par Kyli, l’espace était très étroit, ce qui faisait que, même sans le vouloir, les corps de Pamela et de sa fille ne pouvaient que se toucher. Dès lors, Pamela se risquait à faire des choses osées, des propositions tendancieuses, et que d’aucuns auraient pu considérer comme immorales, car potentiellement incestueuses… Mais Pamela n’avait pas ce mode de raisonnement. L’inceste était quelque chose que la Nature ignorait, quelque chose qui, dans le règne végétal, avait difficilement sa place. De plus, Kyli était sa chair, une création issue de son patrimoine génétique. Elle était à la fois une copie et une perfection d’elle-même, comme une sorte d’Ivy qui serait majoritairement une Alraune. Elle était magnifique et belle, mais avait aussi des réflexions tout à fait humaines… Ce que son délicieux rougissement traduisit. Bien évidemment, Pamela avait noté l’intérêt de la jeune femme pour sa poitrine, et c’était bien pour ça qu’elle venait de lui faire cette proposition. Qu’elle n’hésite tout simplement pas à caresser ses seins, à les flatter et à les embrasser, car ils étaient faits pour ça.

Kyli se rapprocha donc, avant de se rétracter, arguant qu’une jeune adolescente ne devait pas caresser ainsi les seins de sa mère. Pamela sourit, et sa main alla caresser les cheveux de la petite Alraune.

« Je... j'ai très envie de toucher tes seins. Mais je ne dois pas le faire. La chrysalide m'a appris que ce sont les nouveaux-nés humains qui se collent aux seins de leurs mères. Et moi, j'ai l'âge équivalent d'une adolescente humaine. Je dois me comporter en tant que tel, donc je ne dois pas toucher à tes seins. Je ne dois pas... »

Ce refus contraria et attrista Kyli, ce que Pamela put noter, et qui l’amena à déposer un baiser sur son front, tout en veillant à rapprocher son visage de ses seins.

« Tu n’as pas à t’en faire, Kyli… Ce que la chrysalide t’a appris n’est qu’une partie de l’ensemble des connaissances que tu as besoin de savoir… Et la chrysalide n’a pas pi t’apprendre l’affection, la douceur, et la tendresse. Mes seins sont à toi, comme le reste de mon corps, et comme tout ce que j’ai à t’offrir. Tu es ma fille, Kyli, et, si je te dis que tu peux toucher à mes seins, alors, tu peux le faire. »

Rassurée, Kyli se rapprocha alors, et commença à palper les seins de sa mère, ce qui, chez Ivy, déclencha toute une série de réactions délicieusement inattendues. Le plaisir ne tarda pas à venir, et elle se resserra un peu plus contre Kyli. Est-ce que, comme elle, sa fille allait avoir une sexualité débridée ? La spécialité de Pamela était d’ensorceler les hommes (et les femmes), de les envoûter, et généralement de leur faire l’amour, s’ils étaient suffisamment beaux pour ça. Elle avait tant de choses, d’un point de vue sexuel, que l’Église catholique aurait pu la brûler pour hérésie. C’était le genre de choses qui était difficile à envisager avec sa fille, mais, fort heureusement, Kyli semblait y venir naturellement…

*D’un autre côté, toutes les Alraunes que j’ai croisé étaient de magnifiques perverses… Il paraît donc logique que Kyli le soit aussi un peu. Contrairement aux humains, la Nature, elle, ne s’embarrasse pas des préjugés et des blocages liés au péché originel.*

Le sexe était librement admis dans la Nature, et Kyli en était la plus belle illustration. Le câlin qu’elle faisait devenait de plus en plus intense, jusqu’à ce qu’elle vienne « téter » le sein de sa mère. Pamela soupira alors de plaisir, et crispa son corps contre celui de la jeune femme, raffermissant sa prise. Il n’y aurait cependant pas grand-chose de plus, mais le fait que Kyli vienne téter donna des idées dans la tête de Pamela, qui comptait bien se livrer à une petite expérience. Elle sentait sa fille partir, et elle l’accompagna, en lui faisant de multiples câlins, longs et tendres, ses doigts remontant et glissant le long de son dos, venant ensuite jouer avec ses cheveux, qu’elle s’amusait à triturer.

Pamela jouait avec Kyli, l’accompagnant dans le sommeil, mais elle-même n’était pas fatiguée, et, une fois qu’elle entendit sa fille soupirer faiblement, elle la posa délicatement au milieu du lit. Pendant plusieurs minutes, elle l’observa rêveusement, venant offrir quelques baisers sur sa tête, puis sortit ensuite. Elle laissa le cocon entrouvert, de manière à ce qu’un mince rai de lumière file pour éclairer Kyli, et en profita pour faire venir des tentacules, et se livra à son expérience… Qu’elle termina en s’injectant dans le corps un produit végétal, qui la fit soupirer, et même tituber un peu. Néanmoins, elle sentit ses seins se gorger de lait, et esquissa un sourire.

*Comme ça, Kyli, tu pourras téter…*

Kyli avait beau être une adolescente, tous les petits plaisirs de la vie lui avaient été refusés, et Pamela comptait bien rattraper le retard.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le mercredi 03 juin 2015, 20:46:43
J'étais en train de m'assoupir contre le corps de ma maman. Ses mains me câlinaient, avec ses doigts qui glissaient dans mon dos et qui jouaient avec mes cheveux. Serrée contre elle, totalement détendue, j'ai fini par m'endormir. La dernière chose que je sentis avant de perdre conscience, c'était ma maman qui me déposait délicatement au milieu du lit et me bordait avec la couverture de feuilles. Ses gestes étaient si tendres, si maternels... J'avais du mal à croire qu'elle était mère pour la première fois de sa vie.

Dans mon sommeil, je ne rêvais pas. Il n'y avait que le néant dans mon esprit. Un noir vide et sans bruit, qui m'isolait du monde extérieur et me portait plus profondément dans mon sommeil. Et plus les secondes passaient, plus je sombrais profondément. Au milieu de ce vide, je sentis quand même de petits baisers sur mon front, si légers qu'on aurait dit des nuages frottant ma tête, si fins que je n'aurais jamais cru pouvoir les sentir.

Maman...

Blottie sous mes couvertures, seule dans ma boule de coton, je dormis ainsi pendant presque une heure.

Mon réveil se fit tout en douceur. Émergeant lentement de mon inconscience, la première chose qui arriva à mes yeux fut le mince filet de lumière passant par une petite ouverture du cocon. Cette lumière éclairait un peu mon corps, mais surtout, il éclairait le corps de ma maman, allongée à côté de moi, en pleine contemplation de ma personne. Sans doute qu'elle me trouvait trop mignonne quand j'étais endormie. D'après la chrysalide, c'est une réaction normale chez les jeunes parents, durant les premières années de vie de leur enfant, qu'ils restent proches de lui le plus possible, y compris la nuit. Ce n'était pas pour me déranger : savoir que ma maman était toujours auprès de moi me réconfortait, me réchauffait le cœur... ainsi que d'autres parties de mon corps, pour une raison que je ne pouvais pas encore expliquer.

En me voyant me réveiller, ma maman me fit un câlin pour me souhaiter un bon réveil. Un câlin que je lui rendis avec bonheur.

« Bonjour maman. »

En sentant à nouveau son corps si près du mien, les souvenirs de mes caresses sur ses seins me revinrent en tête, en même temps que mes envies. Mon regard se dirigea à nouveau vers sa poitrine, et je ne mis qu'une seconde à remarquer que quelque chose avait changé. Ces seins étaient toujours aussi appétissants, mais ils semblaient être un peu plus gros. La plupart des gens n'auraient pas prêté attention à des tels détails, mais j'étais tellement obnubilée par la poitrine de ma maman que j'avais pu voir ce changement qui, bien que loin de passer inaperçu, n'aurait suscité qu'une légère interrogation chez d'autres personnes.

« Maman... pourquoi tes seins sont plus gros que tout à l'heure ? »

Le sourire aux lèvres, elle me répondit seulement qu'elle avait une surprise pour moi, et m'invita à revenir la téter. Quoi de mieux pour bien me réveiller ?

« Je peux ? Merci maman. »

Je m'approchai doucement et collai ma bouche contre le téton le plus proche pour le sucer à nouveau. Au début, je croyais que ça allait être comme tout à l'heure, mais il fallut moins de deux secondes pour que je comprenne en quoi consistait la ''surprise'' que m'avait promise ma maman : quelque chose sortit de son sein pour finir dans ma bouche. Sous le coup de la surprise, je m'écartai rapidement d'elle. J'avais encore quelques gouttes du liquide sur ma langue, alors je l'ai goûté avec attention. J'étais presque sur de savoir ce que c'était, mais je voulais quand même demander pour en être convaincue à cent pour cent.

« Maman... Ce qui est sorti de tes seins... Est ce que ce serait... du lait ? »

Elle me fit un signe de la tête pour me faire comprendre que j'avais raison.

« Mais... comment ? »

Elle m'expliqua rapidement comment elle avait usé d'un produit végétal pour gorger ses seins de lait, et qu'elle l'avait fait pour que je puisse la téter.

« Tu as fait ça... pour moi ? »

Elle savait que j'en bouillonnais d'envie et, en plus, elle était contente de pouvoir me donner le sein comme une mère humaine normale.

Cette attention de sa part était si belle que j'en avais les larmes aux yeux. Elle avait fait en sorte de pouvoir m'accorder mon envie la plus forte, même si elle pouvait paraître étrange au premier regard pour des personnes à l'esprit obtus : celle de me coller à ses seins et de les téter pour me nourrir, un contact qui me semblait si tendre et idéalement physique, le parfait moyen pour nous rapprocher l'une de l'autre. J'en avais envie, et elle a agi de telle sorte que je puisse le faire. C'était, sans aucun doute, la meilleure maman du monde.

J'essuyai mes larmes du bout des doigts. Pas question de pleurer alors que je m'apprêtais à réaliser mon fantasme.

« Alors... Bon appétit ! »

Je retournai me coller aux seins de ma maman et me mit à sucer allègrement un de ses tétons, sortant le lait par aspiration et l'avalant avec bonheur. Je n'en perdais pas une goutte. Tant pis si ça devait me rendre malade parce que j'en aurais trop bu. J'avais la ferme intention de vider ses seins.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le samedi 06 juin 2015, 20:19:47
Pamela retourna se coucher près de la belle Kyli, désireuse de pouvoir encore l’observer, de pouvoir encore la caresser… Car, après tout, elle restait bien sa fille. Or, une mère se devait de veiller scrupuleusement sur sa fille. Poison Ivy se lova donc contre elle, caressant son visage, ses doigts glissant tendrement dessus, se délectant de ce corps paisiblement endormi. Belle, Kyli était si belle… Une magnifique beauté verte, un merveilleux hommage à la Flore et à la Nature. Les doigts de Pamela caressaient ses joues, puis ses lèvres, et, ainsi, elle l’observa. Kyli dormait paisiblement, et Pamela se contentait de l’observer… Tout en ayant mal aux seins. Sa poitrine n’était pas habituée à être gorgée de lait, et Pamela en était remplie, ce qui était une sensation… Originale. Finalement, Kyli finit par se réveiller, émergeant de sa petite sieste, et nota rapidement les seins gonflés et lourds d’Ivy. Très naturellement, la jeune femme expliqua à sa fille ce qu’elle avait fait, car elle n’avait rien à lui cacher. L’émotion de Kyli, perceptible, fit sourire Pamela, qui, elle, trouvait cela tout à fait normal. C’était sa fille, après tout, et une mère se devait de se sacrifier pour sa progéniture, surtout quand elle l’avait tant ardemment désiré.

« Viens téter, Kyli… Viens faire ce que toutes les petites filles font avec leur mère… »

En théorie, il n’y avait aucune visée sexuelle dans le simple fait, pour un enfant, de téter le sein de sa mère. Mais, en théorie, ce n’était pas une fille de quinze ans qui venait faire la tétée, mais de petits bébés… Pamela, concrètement, ne savait pas trop comment interpréter le désir de Kyli, ainsi que son propre désir. En voyant sa fille dormir, elle avait bien vu qu’elle était belle, et même très belle… Une beauté fascinante, naturelle, et qui suscitait en elle un désir certain… Et, vu la fascination de Kyli pour sa poitrine, Pamela savait que c’était réciproque.

Le corps de Kyli se crispa contre le sien, et elle sentit la bouche de cette dernière se poser sur son sein. Il n’y avait pas trop de risques que Kyli tombe malade… Les doses à l’intérieur étaient naturellement conçues pour des bébés, pas pour une belle plante ayant la quinzaine… Mais, quand Kyli suça ses seins, et que le lait fusa à travers le téton, Pamela crispa sa main contre ses cheveux, et sentit clairement un frisson de plaisir la traverser… Le désir sexuel remuait en elle, s’instillant dans tout son corps, la faisant trembler de part en part. Oui, oui, oui… Haaa… ! Que c’était bon ! Ses seins, si douloureux, étaient traités, et ce traitement répandait dans son corps des ondes infinies de plaisir. Poison Ivy serrait ainsi le délicat corps de Kyli contre le sien, excitée, non seulement par cette ponction à hauteur de ses seins, mais aussi par le fait de sentir le plaisir de Kyli suinter dans tout son corps.

« Haaannn.. Kyli… Ma puce, hmmmm… ! »

Pamela la serrait contre son corps, et laissa à Kyli tout le temps requis pour s’abreuver de son lait maternel.

« Là… Bois, ma belle, désaltère-toi… Goûte aux liquides de ta Maman… »

Les frissonnements et picotements que Poison Ivy ressentait à hauteur de son intimité ne mentaient pas sur ce qu’elle éprouvait actuellement. Quand Kyli finit de boire, les seins de Pamela étaient toujours aussi durs, ce qui, visiblement, ne manquait pas d’étonner sa petite pousse. Pamela se contenta d’un sourire, et caressa le visage de sa belle et adorable fille, la trouvant alors plus belle que jamais.

« Ça, me belle, c’est parce que je t’aime beaucoup… Et, en disant ça, je parle aussi de mon corps… Te donner le sein est une sensation merveilleuse. »

Comme tous les autres produits et substances venant de son corps, il était aphrodisiaque… Mais Kyli, en tant qu’Alraune, y était peut-être immunisée… Pamela n’en savait rien, et, en tout état de cause, ça ne changerait rien. Elle rapprocha ses lèvres de sa bouche, posant sa main sur son menton, et alla l’embrasser, très tendrement, en plein sur les lèvres. Son corps se blottit contre le sien, et ses lèvres heurtèrent les siennes, dans une délicieuse étreinte.

Elle se contenta juste d’apposer ses lèvres contre les siennes, et les retira ensuite, après quelques secondes.

« C’est ce qu’on appelle un baiser, Kyli… Est-ce que cela te plaît ? »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le mercredi 10 juin 2015, 17:52:25
Son lait.

Le lait de ma maman. Son doux, crémeux, délicat, sucré, merveilleux et inimitable lait maternel. A chaque gorgée que j'avalais, un étrange sentiment prenait de l'ampleur en moi, et me poussait à en avaler encore une autre gorgée. Un cercle infini dans lequel je m'étais volontairement plongée, et qui m'apportait un bonheur tout aussi infini.

Je n'étais sortie de ma chrysalide que depuis quelques heures, et me faire nourrir au sein par ma maman avait été le premier de mes désirs physiques. J'avais été incapable de l'exprimer clairement mais, maintenant qu'il se réalisait, je n'avais plus aucune retenue. Je pompais le lait tout doucement pour ne pas faire mal à Ivy, l'avalait sans en perdre une goutte, et répandait dans tout mon corps une délicieuse sensation de satisfaction, aussi parfaite que la température du lait quand il sortait du corps de ma maman.

D'ailleurs, elle aussi semblait apprécier ma ponction à hauteur de ses seins. Certes, elle gémissait, mais il n'y avait aucune douleur dans sa voix. Je n'entendais que de la joie. La joie de m'avoir auprès d'elle, en train d'atténuer la pression dans ses seins en aspirant le lait qui les gorgeait. Elle lovait son corps contre le mien, en s'assurant de garder ma tête collée sur sa poitrine. Mais pour rien au monde je ne m'en serais détachée. Le seul moment où je lâchais son téton, c'était pour aller téter celui d'à côté. Il ne fallait pas laisser un sein en défaut par rapport à l'autre.

C'est seulement au bout d'un quart d'heure que je finis de vider complètement les deux seins de ma maman. J'aspirai un peu plus fort pour m'assurer qu'il ne restait vraiment rien, puis je m'écartai. Je lorgnai toujours sur cette merveilleuse poitrine, et un détail me surprit : bien qu'ils étaient vides, ses seins étaient toujours aussi durs et enflés. Ce n'était pas logique...

« Maman, pourquoi tes seins sont toujours dans le même état alors que je les ai vidés ? »

Elle me sourit puis caressa doucement mon visage. Ses mains étaient si agréables sur ma peau. Ma respiration devenait irrégulière et mon cœur battait plus fort à chaque fois qu'elle me touchait. Je l'aimais tellement... Et d'après elle, l'état de ses seins était dû à son amour pour moi, aussi bien émotionnel que physique.

« C'était si bon de te téter, maman... J'espère qu'on pourra recommencer. »

Mon visage devint tout rouge. J'avais un peu honte d'avouer à quel point ça m'avait fait du bien de boire son lait, mais c'était la vérité. J'avais tout simplement adoré ça, aussi bien pour le goût du liquide que pour le contact avec son corps, et je voulais le refaire au plus vite. Tout ce que j'espérais, c'est qu'elle accepte. S'occuper d'une adolescente alraune qui se comporte en partie comme un bébé, ça ne doit pas être facile.

Ma maman rapprocha soudain son visage du mien. Mon cœur s'emballa de la voir si près de moi.

« Maman, qu'est ce que... hhmm »

Sans prévenir, elle me prit le menton et apposa ses lèvres sur les miennes. Sur le coup, j'avais les yeux écarquillés et la voix coupée par la surprise. Mais en moins d'une seconde, je découvris un étrange plaisir dans la rencontre de nos lèvres. Ma maman était si douce, si chaleureuse, si tendre... Je fermai les yeux, savourant ces brèves secondes.

Quand nos lèvres se détachèrent, un bruit sortit de ma bouche.

« Han... »

C'était... un gémissement ? Je venais de gémir quand les lèvres de ma maman avaient quitté les miennes. Pourtant, ce contact ne m'avait pas fait mal. Au contraire, ça m'avait fait du bien. Alors pourquoi ? Je ne comprenais pas.

« C’est ce qu’on appelle un baiser, Kyli… Est-ce que cela te plaît ? »

« Je... Oui. Ça me plaît. Tu as des lèvres vraiment douces, maman. »

Pourtant, mon bonheur semblait contradictoire avec mon gémissement, un signe de douleur physique. Pourquoi réagissais-je ainsi ? Aucune explication logique ne me venait en tête. Mais ce problème était une goutte d'eau comparée à la déferlante qui allait s'abattre sur moi.

Peu à peu, je réalisais que tout mon corps commençait à avoir chaud. Très chaud. Cependant, la température du cocon était parfaite. La chaleur se concentrait dans mes parties féminines, en plus d'autres sensations : mes seins me faisaient mal, mais ça restait agréable, et mon sexe me picotait. Ces sensations étaient à la fois plaisantes et dérangeantes. J'avais très envie d'utiliser mes mains pour les faire partir, mais me toucher ainsi devant ma maman, c'était si... embarrassant. Malgré tout, le désir me dévorait...

Ivy voyait bien que quelque chose n'allait pas. Je pris sur ma timidité pour lui en parler. Après tout, c'était elle qui m'avait incité à dépasser mes retenues pour faire ce dont j'avais envie avec elle. En plus, c'était ma maman. Elle n'allait pas me juger. Et pourtant, l'expression sur mon visage (http://img11.hostingpics.net/pics/148997IllustrationRPKyli.png) traduisait clairement ma gêne.

« Hum... Maman... Depuis que... tu m'as donné... ce baiser... je sens... une chaleur... dans mon corps. Surtout au niveau... de mes seins... et de ma... ma... »

Rien à faire, le mot « vulve » ne sortait pas. C'était comme si je faisais un blocage.

« Qu'est ce qui m'arrive, maman ? Et que dois je faire pour que ça s'arrête ? Non pas que ça soit désagréable, mais... Je me sens bizarre. »

Lily et Raune avaient trouvé très amusant, lorsqu'elles avaient crée la chrysalide de Kyli, de faire en sorte qu'elle n'apprenne rien à la petite alraune sur le sexe et tout ce qu'il implique : excitation, désir, fantasmes, baisers, attouchements, caresses, satisfaction solitaire ou à plusieurs... Impossible de dire si c'est parce qu'elles voulaient s'assurer que l'éducation sexuelle de Kyli soit faite par Poison Ivy, où parce qu'elles voulaient s'amuser un peu aux dépends de l'humaine et de sa fille. En tout cas, ce n'était sûrement pas pour préserver son innocence.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le mardi 16 juin 2015, 00:59:08
Il était si beau, si magnifique, de voir ainsi le plaisir naître sur le visage de l’innocence. Car Kyli était innocente, totalement innocente. Curieux, quand on savait d’où elle venait. Lily et Raune étaient d’incroyables perverses, et Pamela était également une femme qui n’avait quasiment aucune pudeur sexuelle. Elles étaient des instruments de Luxure dédiés au service de la Flore et de la Nature. Kyli, elle, avait été éduquée en-dehors de toute considération sexuelle. Oh, elle savait très certainement que le sexe était un moyen de reproduction pour la grande majorité des espèces incapables de s’autoféconder, mais elle ignorait tous les détails... Des détails croustillants dont Pamela allait la tenir au courant. Après leur baiser, Pamela eut en effet l’intime conviction que l’attirance de Kyli envers elle était sexuelle... Tout en étant aussi baignée de la plus sincère et de la plus pure des innocences, ce qui expliquait l’incompréhension totale de Kyli, tout en soulevant de multiples questions. L’inceste était-il une construction sociale, liée à des interdits moraux, ou son interdit résultait-il de fondements biologiques ? Pamela savait que les animaux ne se reproduisaient pas entre membres de la propre famille, ce qui se justifiait par des raisons de consanguinité. Mais pouvait-on parler d’inceste à l’égard de la flore ? Pamela et Kyli étaient plus proches du monde végétal que du monde animal, plus proches du Vert que du Rouge. Et, à voir la doucereuse expression gênée sur son visage, Pamela ne ressentait aucune forme de gêne... Et même tout, sauf de la honte à l’idée de coucher avec sa propre fille. L’inceste n’était pas un interdit pour Pamela, pas avec une femme aussi belle et aussi désireuse... Car, en toute honnêteté, éduquer sexuellement sa fille faisait tout à fait partie des envies de Pamela.

Son baiser avait troublé Kyli, et Pamela sourit en voyant ce trouble, se mordillant les lèvres. Ses seins étaient toujours aussi durs, et elle savait que ceci surprenait également Kyli. Lily et Raune auraient pu lui parler du sexe, lui enseigner ce genre de choses, mais, très savamment, elles avaient estimé qu’il revenait à sa mère de s’en occuper... C’était une sorte de cadeau pour lequel Pamela allait devoir les récompenser, quand elle les retrouverait.

« Qu'est ce qui m'arrive, maman ? Et que dois je faire pour que ça s'arrête ? Non pas que ça soit désagréable, mais... Je me sens bizarre. »

Bizarre... Pamela lui sourit, et caressa son visage.

« Tu as appris à être une Déesse de la Nature, Kyli... Mais une Alraune a aussi des désirs tout à fait humains, et ce sont eux qui sont en train de se réveiller. Tu es sortie de ta chrysalide après y avoir passé quinze années en gestation, et ton corps est sorti prêt. Je suis sûre qu’on t’a parlé de la puberté, des hormones... »

Elle avait dû apprendre cela d’un point de vue scientifique, comme une technique faite par les membres d’une race pour attirer les autres membres afin de se reproduire. On retrouvait aussi cette technique fondamentale chez les êtres humains, mais de manière assez différente. Pamela se rapprocha un peu d’elle, et posa sa main sur l’épaule de Kyli, la poussant, venant ainsi la coucher sur le dos. Les grands yeux de la jeune fille regardaient les siens, et Pamela fit glisser sa main, et caressa l’un des seins de sa fille, le flattant entre ses doigts, son pouce s’appuyant sur son téton.

« Le sexe... C’est cela que tu ressens, Kyli... Une attirance charnelle forte, irrésistible... Et c’est ce que je ressens aussi. C’est pour ça que mes seins sont durs, et que les tiens le deviennent aussi, car ton corps exprime son plaisir. Et, paradoxalement, plus il exprime son plaisir, et plus il exprime sa frustration et son désir d’en recevoir plus. »

Elle parlait d’une voix calme, mais tout de même relativement chaude, chargée de désir. Se rapprochant d’elle, Pamela l’embrassa à nouveau, très tendrement.

« C’est le sexe, Kyli, répéta-t-elle. Et je vais te le faire découvrir... Les gémissements que tu pousses ne font qu’exprimer ton plaisir... Mais aussi ta souffrance. Qu’est-ce que Lily et Raune t’ont appris sur la douleur, hum ? Elles ont dû te dire que c’était un mécanisme de survie, une réaction du système nerveux face à quelque chose de dangereux... Mais la douleur est aussi autre chose. Quand une personne est sur le point de mourir, elle ne ressent plus la douleur. On se méfie de la douleur parce qu’elle implique la souffrance... Mais ressentir la douleur signifie aussi qu’on est en train de vivre... »

Pamela adoptait un ton calme et doux, et chacune de ses mains étaient posées sur les seins de Kyli, les empoignant et les malaxant.

« La douleur et le plaisir sont les deux facettes de la vie, Kyli... Et le sexe permet de les sublimer. »

Et elle les masse, écartant ses seins, s’enfonçant dans sa chair, regardant avec béatitude le visage de sa fille, un visage inondé de plaisir.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le dimanche 21 juin 2015, 16:33:50
Ma maman approcha ses mains de mon visage pour me caresser les joues. Cela ne faisait qu'augmenter cet étrange sentiment qui bouillonnait en moi. Selon elle, c'était mes désirs humains, hérités de son ADN, qui se réveillaient. Puis elle se mit à me parler de puberté, d'hormones... que des choses que je connaissais déjà grâce à l'enseignement de la chrysalide. Mais nulle part dans mon esprit je ne retrouvais le souvenir d'un apprentissage comme quoi les flots hormonaux dans mon corps pouvaient entraîner ce genre de sentiment.

Après quoi, ma maman appuya sa main sur mon épaule et me fit passer de ''couchée sur le côté'' à ''couchée sur le dos''. Étrangement, être dans cette position, où je voyais le magnifique et somptueux corps d'Ivy chevaucher le mien, réchauffait un peu plus mon être alors qu'elle ne me touchait pas plus. Du moins jusqu'à ce qu'elle pose une main sur un de mes seins pour le caresser tendrement tout en appuyant sur mon téton avec son pouce. Et d'un seul coup, c'était comme si mon corps ne m'obéissait plus. Mes gémissements sortaient sans que je puisse les retenir, mon corps était parcouru de spasmes, mes seins durcissaient comme ceux de ma maman et mon entrejambe se réchauffait d'une manière particulière. C'était à la fois délicieux et frustrant, comme ma maman me le décrivit peu après avoir commencé son jeu de mains. Chacun de ces mots correspondait exactement à ce que je ressentais : j'étais comme magnétiquement attirée vers elle par une forme encore inconnue de plaisir, et tout mon corps le montrait bien à travers ses divers signes extérieurs.

« Han... han... maman... c'est si bon... »

Ça ne valait pas le plaisir de la téter, mais ça restait satisfaisant quand même.

Ivy vint tendrement m'embrasser à nouveau. Encore un baiser léger et sensuel, comme le premier qu'elle m'avait accordé il y a quelques minutes. Tout en l'écoutant me parler à nouveau de frustration, de douleur et de plaisir, j'essayais d'assimiler les informations que je récoltais au fur et à mesure du temps qui passait.

Le sexe est une attirance forte et irrésistible pour le corps d'une autre personne. Physiquement, il se traduit par une activité au niveau de la poitrine et de l'entrejambe qui... Oh. Pourquoi est ce que ça me fait comme si j'avais envie d'uriner ?
Bref ! Dans cet état, le corps devient beaucoup plus réceptif aux stimulus sur la peau et sur les zones qui s'activent lors de l'état d'excitation, dites "zones érogènes". Chacun de ces stimulus amènent la personne à se sentir d'abord bien, puis frustré pour avoir plus de plaisir. Ces deux sentiments contradictoires mêlés ensemble forment une alchimie qui permet d'augmenter le bonheur ressenti et de continuer jusqu'à la jouissance suprême, où...


Et là, c'est le blanc. En effet, j'ignorais ce qu'il y avait après la jouissance suprême. Mais vu comment ma maman s'occupait de moi, il ne me faudrait pas longtemps pour le découvrir.

Elle parlait avec une voix douce et chaude comme du coton, tout en me massant les deux seins, les écartant l'un de l'autre, sans jamais arrêter de me regarder. Tout ce qu'elle me faisait me rendait heureuse, mais d'une telle façon que je ne savais plus quoi penser. Certes, c'était le bonheur de la sentir sur moi, mais tout cet inconnu me figeait et m'empêchait de prendre totalement du plaisir. Moi qui étais habitué à connaître les choses grâce à ma chrysalide, les découvrir d'une façon aussi secouante me mettait un peu la tête à l'envers. D'ailleurs, c'était un miracle que j'arrive encore à penser avec ce qui m'arrivait. Je voulais me décoincer totalement, mais il fallait que je fasse deux ou trois choses pour ça.

Premièrement, j'ouvris la boule de coton pour que la lumière de la forêt nous éclaire. Ivy fit une petite pause pour me demander pourquoi.

« Je veux te voir... han... entièrement... maman... »

Après quoi, elle allait reprendre son activité sur mes seins, mais je fis un geste pour l'arrêter. Avant, il fallait que je lui dise quelque chose. Et je pris malgré moi une petite voix troublée et craintive.

« Je... je veux pouvoir découvrir avec toi ce que tu appelles ''le sexe'', mais quelque chose me manque : la sécurité.
Je sais que cela peut paraître idiot alors que je suis dans tes bras mais... Je suis inquiète. J'ai peur de ce qui est en train d'arriver, et j'ai besoin que tu me rassures. Je voudrais que tu me prennes dans tes bras, que tu me donnes de petits baisers sur les joues, les lèvres, dans le cou... que tu me dises que je suis ta petite fille chérie et que tu me laisses avancer à mon rythme. D'accord ? »


Évidemment, elle accepta avec joie, ce qui fit mon propre bonheur.

Le sexe était la première des choses que j'allais apprendre en dehors de ma chrysalide. Et ça n'aurait pas pu être mieux, puisque j'étais dans les bras de ma maman chérie.

Elle me demanda par quoi je voulais commencer.

« Continue... avec mes seins... et vient m'embrasser... »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le mardi 23 juin 2015, 00:15:39
Depuis qu’elle avait quitté Gotham City, Pamela s’était trouvée une attirance forte pour le sexe. Cette attirance s’était progressivement affirmée, et, ici, avec Kyli, elle atteignait de nouveaux sommets. Poison Ivy n’aurait jamais cru pouvoir ressentir une telle attirance envers quelqu’un d’autre... Mis à part Harley Quinn. Mais là, c’était une attirance différente. Pamela avait terriblement envie de lui faire l’amour... Mais pas que. Il y avait aussi, en elle, une sorte de motivation profonde à l’idée de l’éduquer, de lui apprendre le sexe, de la former, de faire d’elle une parfaite fille. Oui, c’était bien de ça dont il s’agissait : un mélange entre le plaisir sexuel classique, et le désir maternel d’éduquer cette femme, d’éduquer sa fille. Elle malaxait donc ses généreux seins. Kyli était une plante bien formée, ce qui, vu la grande beauté de Lily et de Raune, n’avait rien d’étonnant. La beauté ne pouvait engendrer que la beauté, et Kyli était une pure perle. Elle était magnifiquement belle, et, alors que Pamela continuait à malaxer ses seins, elle sentit soudain le plafond s’effriter... Puis leur cocon s’ouvrit en deux, et le soleil vint les éblouir.

Kyli lui expliqua vouloir mieux voir sa Maman, ce qui fit sourire cette dernière. Elle entreprit ensuite de continuer de malaxer à nouveau ses seins, mais Kyli l’en empêcha, en lui expliquant qu’elle avait quelques envies, des désirs à satisfaire. Elle avait envie de sécurité, et lui fit toute une commande, la faisant sourire. Pamela lui caressa une joue, et l’embrassa sur le front.

« Tout ce que tu veux, mon amour... »

Pamela se redressa un peu, et souleva Kyli avec elle. L’Empoisonneuse s’assit sur les fesses, et laissa Kyli venir se blottir contre elle. Leurs poitrines se heurtèrent, et la main de Pamela, posée sur les cheveux de sa fille, la maintenait contre elle. Son autre main, elle, ne tarda pas à agir, et glissa sur le dos de la femme, venant gratter avec une tendresse infinie sa belle peau. Pamela la massait, et déposait entre-temps de multiples baisers sur son visage, sans spécialement cibler ses lèvres, mais en l’embrassant bien évidemment là aussi.

« Je t’aime, ma petite-fille adorée... Je t’aime, et je t’aimerai toujours... Sache-le bien, ma puce, mon petit ange... Ta Maman t’aimera toujours, du plus profond et du plus sincère de tous les amours... »

Poison Ivy le disait très sincèrement. Elle n’avait absolument aucune raison de lui mentir, et Kyli était tout simplement trop belle et trop gentille pour qu’on ose commettre l’affront de lui mentir. Pamela continuait ainsi à l’embrasser, tendrement, délicatement, caressant son beau corps fragile. Pendant de longues minutes, Pamela veilla ainsi sur elle, recouvrant son visage de baisers, ses mains caressant son corps. Elles étaient assises l’une contre l’autre, le soleil les éclairant... Et, loin de les réfréner, la lumière rendait Pamela plus vive et plus sensible encore. Les plantes étaient sensibles à la lumière solaire, et Pamela et Kyli étaient partiellement des plantes. Il paraissait donc logique de dire que la lumière solaire agissait aussi sur elles de la sorte. Poison Ivy l’embrassa une ultime fois sur les lèvres, assez longuement, car elle fourra sa langue dans sa bouche, et pressa son corps contre le sien. Embrasser cette femme était tout simplement délicieux.

Kyli était une femme magique, extrêmement bonne, extrêmement douée... Un avenir immense se dressait devant elle, et, un jour viendra où Kyli sera réellement une Gaïa de la Nature.

*C’est encodé dans tes gènes, Kyli... Tu me dépasseras, car tu es le cadeau que j’offre à l’humanité... Une Déesse florale... Et c’est une immense fierté que de te former, que de t’éduquer, et de pouvoir ainsi, dans une moindre mesure, contribuer au renouveau de l’humanité. Toi, Kyli, tu accompliras ce que j’ai toujours été incapable de faire : rappeler à l’Homme qu’il est un Fils de la Nature, et son maître...*

Kyli soupirait de plaisir, et demanda à ce que Pamela revienne s’occuper de ses seins. En souriant, cette dernière laissa Kyli contre elle.

« Mets tes mains sur mes épaules, et hisse-toi. Je vais t’embrasser, oui... Mais pas tes belles lèvres, ma chérie. »

L’Alraune s’exécuta, et Pamela posa ses lèvres contre l’un de ses seins, et s’attaqua à son téton, venant le suçoter amoureusement, tout en déplaçant ses mains. L’une d’elle se posa sur ses fesses, s’y crispant doucement, et l’autre continuait à frotter et à caresser le dos de la femme.

« Hummm... Hummm... Haaaaaa... »

Pamela s’attaquait joyeusement à ce sein, le léchant, et se déplaça ensuite, venant s’attaquer à l’autre... Puis elle déposa des baisers sur l’espace creux entre les seins de la femme, prenant son pied à la traiter ainsi, et à savourer sa belle et délicieuse peau.

Encore et encore.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le samedi 27 juin 2015, 23:54:41
Ma maman s'occupait de moi avec une tendresse telle que seule une mère peut donner à son enfant. Elle savait exactement quoi dire et quoi faire pour me calmer et m'exciter en même temps : sa main dans mes cheveux, celle qui glissait dans mon dos, ses baisers partout sur mon visage, ses mots dans mon oreille et, enfin, sa langue qui jouait avec la mienne. Ajouté à tout ça, la lumière solaire stimulait la partie végétale de mon organisme et me rendait plus énergique et plus sensible. Tout était merveilleux, et ça sans que mes parties sensibles ne soient touchées. C'est ça que j'aimais profondément dans le sexe avec ma maman : qu'elle s'occupe de moi comme si j'étais encore une petite fille. L'allaitement, les câlins sans caresses sur mes zones érogènes, les mots d'amour... Des choses qui me procuraient des sensations si fortes que personne d'autre n'aurait pu me les faire ressentir.

Après ça, ma maman me dit qu'elle allait m'embrasser, mais pas sur les lèvres. Suivant ses instructions, je me hissai en prenant appui sur ses épaules, me retrouvant ainsi avec les seins au niveau de son visage. Tout à l'heure, c'était moi qui avait joué avec sa poitrine. Et maintenant, c'était elle qui le faisait. Elle prit un de mes tétons dans sa bouche et le suçota amoureusement, pendant qu'une de ses mains continuait à me frotter le dos et que l'autre vint se crisper sur l'une de mes fesses. Partout sur mon corps, je sentais de délicieux frissons remonter tout le long de mon anatomie, surtout ceux venant de ma poitrine. Ivy y déposait baiser sur baiser, léchait mes tétons, et tout ça me faisait me sentir bien. Mais d'une forme de plaisir que je n'arrivais pas à situer. J'en comprenais l'origine, le moyen de transfert, mais la conséquence restait une totale inconnue. Et ça continuait à me travailler. Mais ce qui m'inquiétait le plus, c'était que j'avais de plus en plus de mal à réfléchir à mesure que l'excitation me gagnait. C'était comme si mon esprit s'enfonçait dans une matière aussi moelleuse et chaude que le coton de la boule dans laquelle nous nous ébattions. Et c'était aussi inquiétant... que délicieux. Plus mon esprit sombrait dans le noir, plus je pouvais sentir le contact peau contre peau entre Ivy et moi. Pour un peu, j'aurais pu souhaiter d'arrêter de réfléchir, mais une sensation désagréable me ramena à la réalité.

A l'intérieur de mon vagin, je pouvais sentir un liquide couler le long des parois et se frayer un chemin vers la sortie. Je savais que ce n'était pas de l'urine, ce n'était pas du tout la même sensation. Et quand le liquide sortit de mon corps, j'avais envie d'aller en prendre un peu avec ma main pour voir à quoi j'avais à faire, mais j'étais trop secouée par les caresses de ma maman pour réfléchir à autre chose. En plus, comme j'étais blottie contre elle, elle sentit le liquide couler sur son corps. Je devins assez lucide pendant juste assez de temps pour lui poser une question à propos de cet écoulement.

« Maman... han... qu'est ce que... c'est... que ça... han... »

Ivy me répondit que c'était de la cyprine, un liquide sécrété par le sexe des femmes en cas d'excitation sexuelle. Cyprine... Encore un nom qui ne me disait rien. Je commençais à me dire que ma chrysalide avait vraiment eu des oublis dans ses fonctions. Certes, on ne pouvait pas apprendre l'univers entier à quelqu'un en si peu de temps, mais ne rien me dire sur cette chose si étrange qu'est le sexe, ça paraissait quand même un peu gros.

Heureusement, toutes mes inquiétudes disparurent à nouveau lorsque ma maman reprit ses caresses sur mon corps. Seul la joie restait.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le vendredi 03 juillet 2015, 01:42:20
Le plaisir de sa fille… C’était quelque chose d’incroyablement jouissif à regarder, à sentir, et à observer. Pamela était sous le charme. Elle aimait profondément sa fille en ce moment. Oh oui, comme elle était heureuse ! Kyli était bel et bien là, bel et bien viable, et tellement belle, oh, tellement belle… Pamela suçotait ses seins avec amour, l’amour d’une mère dévorante qui voyait sa fille comme la perfection pure. Pamela ignorait encore comment elle serait plus tard, quand Kyli aurait des amis, ou voudrait s’émanciper… Est-ce que l’éducation de Kyli allait suivre celle de n’importe quel enfant ? Pour Pamela, ça paraissait fort peu probable, au vu de sa conception. Elle était sortie d’un chrysalide avec un fort ensemble de connaissances, contrairement aux êtres humains lambda, qui étaient issus du ventre de leur mère avec une connaissance nulle. Kyli, elle, était venue au monde en une longue étape, dans une longue période de gestation, où le temps avait défilé différemment pour elle. Ses connaissances sur la nature dépassaient déjà, de fait, ce que l’ensemble de la communauté scientifique terrienne connaissait… Et, pour autant, Kyli restait encore une jeune fille, une jeune enfant qui découvrait les joies de l’affection, et du plaisir sexuel. Peut-être que Pamela allait un peu trop vite… Mais c’était plus fort qu’elle. Kyli était tout simplement trop belle pour que Pamela l’ignore ainsi, pour qu’elle la néglige. Elle jouait donc avec ses seins, sa langue roulant le long de ses tétons.

« Hum… ! »

Son autre main massait les fesses de Kyli, les empoignant, les soulevant, faisant sautiller son corps, très légèrement. Elle déplaça ensuite sa bouche, et s’attaqua à l’autre sein. Elle s’attaquait surtout aux tétons, les léchant et les mordillant, avant de les sucer, en aspirant. Kyli, en faisant ça, avait pu boire le lait maternel de Pamela, mais Kyli, elle, n’avait aucun lait à lui offrir… Simplement ses gémissements, et une autre forme de liquide, plus insidieux, qui ne tarda pas à se manifester.

Devant l’incompréhension de Kyli, Pamela esquissa un sourire, et remonta son visage, l’embrassant sur les lèvres.

« Ne t’inquiète pas, ma chérie… On appelle ça de la cyprine. C’est un liquide naturel, une sécrétion vaginale qui se manifeste chez la femme en cas d’excitation sexuelle. »

Les termes scientifiques étaient plus parlants pour Kyli, car elle était sa fille, après tout, et elle avait appris en détail l’anatomie du corps humain. Kyli avait entendu parler de ces sécrétions vaginales, de la manière dont elles étaient produites et issues, mais, encore une fois, sa formation n’avait pas permis de lui apprendre quand elles étaient utilisées, comment elles se déclenchaient précisément, ou, encore, comment on ressentait ça… Elle avait ainsi appris que les sécrétions vaginales étaient composées d’un ensemble diversifié de liquides : eau, pyridine, squalène, urée, acide acétique, acide lactique, aldéhydes, cétones, du glycol… En un sens, elle en savait beaucoup plus que n’importe quelle actrice pornographique, et, pourtant, elle était plus inexpérimentée qu’une nonne. Pamela comprenait son désarroi, et elle était ravie de lui montrer toute la différence entre la théorie et la pratique, et la manière dont ce que Kyli avait appris s’exprimait en ce moment.

Pamela retourna donc jouer avec les seins de Kyli, pendant encore quelques minutes, en sentant, contre ses cuisses, le liquide intime de Kyli venir. Surtout, Pamela ne voulait pas brusquer ce moment. Elle ne voulait surtout pas inquiéter Kyli, ni la faire paniquer. Au contraire, elle comptait prendre son temps. Le sexe était un élément fondamental de la Nature, une force ancestrale, et il fallait que Kyli en apprenne le fonctionnement.

« Hummm… »

Plus le temps passait, et plus Ivy aussi était excitée. Après tout, elle goûtait au corps d’une Déesse végétale. Qui n’aurait pas été ravie d’être à sa place ? Ivy avait une lourde responsabilité, mais cette responsabilité s’accompagnait aussi d’un plaisir fort et violent. Pamela continua à jouer avec les seins de Kyli, qui devinrent bien durs, puis elle se redressa alors. Joueuse et amusée, Pamela l’embrassa dans le creux du cou, et remonta ses lèvres pour déposer plusieurs baisers sur ses joues.

« Je t’aime, Kyli… Oh oui, je t’aime, ma petite Kyli… Ma merveilleuse petite fille adorée… »

Ivy l’embrassa sur les lèvres, tout tendrement, tirant sur sa lèvre inférieure, puis déplaça l’une de ses mains pour attraper le poignet de Kyli.

« Glisse ta main entre mes cuisses, Kyli… Tu vas voir que ta Maman mouille, elle aussi… »

Elle guida ainsi la main de Kyli, et frissonna en sentant ses petits doigts. Les grands yeux de Kyli étaient remplis d’une délicieuse innocence, d’une profonde naïveté, et, en voyant son expression faciale en touchant la mouille de sa Mère, Pamela sut qu’elle garderait cette image ancrée en elle jusqu’à sa mort. Elle releva ensuite la main de cette dernière, et lécha tendrement ses doigts.

« Tu vois ? Ça a un goût sucré… Tu veux y goûter ? Si c’est le cas… Il faut que tu glisses ta tête entre mes cuisses, et que tu lèches… »

Pamela avait glissé cette invitation avec un léger sourire, comme pour l’encourager à venir sans crainte.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le samedi 01 août 2015, 00:45:28
Dire que ma maman me faisait prendre mon pied serait encore en dessous de la vérité. C'était la première fois que je ressentais le plaisir sexuel dans mon corps, et c'était tellement bon que je ne pouvais pas croire que ma chrysalide ait accidentellement fait l'impasse sur une telle chose quand elle m'a enseignée le savoir du monde dont j'allais avoir besoin en sortant de son monde chaud et obscur. C'était probablement les deux alraunes qui avaient fait en sorte que les choses se passent ainsi. Sur le coup, je ne savais pas comment réagir : aurais-je du les critiquer pour m'avoir caché une telle chose, où les remercier pour avoir fait en sorte que je le découvre dans les bras de la belle Poison Ivy ? Difficile à dire vu que je ne pouvais pas me concentrer tant mon corps était secoué.

Ma maman jouait avec mes seins, lentement, calmement, laissant le désir me parcourir à mon rythme. C'était comme si elle savait exactement ce que je voulais ressentir, et comment je le voulais. Peut-être parce que je le lui avais dit plus tôt, mais ça ne pouvait pas être que ça. En tout cas, mon plaisir était tellement délicieux que j'aurais voulu qu'il dure toujours. Tout à coup, je sentis les lèvres d'Ivy se séparer de mes seins pour venir m'embrasser dans le creux du cou, sur les joues et sur les lèvres, me tirant tendrement sur la lèvre inférieure. Encore une fois, son baiser me transportait dans l'extase et la douceur. Où peut-être était-ce juste à cause du coton sur lequel nous reposions.

Toujours en m'embrassant, je la sentis prendre mon poignet et amener ma main jusqu'à son entrejambe. Je ne pus que la regarder faire et, quand ma main toucha sa mouille, c'était comme si le monde s'écroulait autour de moi. J'avais, sur mes doigts, la preuve biologique que j'excitais ma maman sur le point de vue sexuel. Moi qui n'étais qu'un petit bourgeon à peine éclos, et elle une fleur maintes fois ouverte. Je n'étais pas prête d'oublier cette image avant longtemps.

Après avoir bien imprégné mes doigts de sa mouille, ma maman les amena au niveau de sa bouche pour les lécher tendrement. Sa langue me faisait de petites chatouilles sur les doigts qui me firent doucement rire. Après les avoir nettoyé, elle m'invita à venir goûter son liquide directement à la source, de mettre ma tête entre ses jambes et de la lécher.

Au début, j'étais plutôt réticente et un peu effrayée à l'idée de mettre ma tête au niveau de sa vulve, craignant de faire quelque chose d'idiot. Mais en voyant le sourire sur le visage de ma maman, je compris que je pouvais venir sans crainte, que tout irait bien. Et sans attendre plus longtemps, je mis ma tête entre ses cuisses.

Devant mes yeux se trouvait son sexe humide, luisant de désir et semblant m'inviter à lui faire du bien. Sans réfléchir, je me mis à lécher sa fente. Au début, mes mouvements étaient un peu brouillons et hésitants, mais grâce aux conseils d'Ivy, ils devinrent vite pleinement satisfaits pour nous deux. Tandis que je la léchais, je sentais sa cyprine venir sur ma langue et, comme elle me l'avait dit, elle avait un goût doux et sucré, très agréable à sentir. Par curiosité, je relevais de temps en temps les yeux pour voir la tête qu'elle faisait. Et à chaque fois, je la voyais avec une expression de plaisir sur le visage et elle me caressait les joues ou les cheveux pour me féliciter. J'adore quand elle me cajole de cette façon.

A mesure que je poursuivais mon œuvre, je sentais mon propre corps se réchauffer. Lui faire du bien me faisait du bien en même temps, mais ce n'était pas suffisant. J'étais trop proche de la fin, je le sentais. Il fallait y mettre un terme.

Je levai la tête pendant une brève seconde pour lui parler tout en remuant mon bassin.

« Maman... Je n'en peux plus... Fais moi jouir s'il te plaît... »

Et je retournai immédiatement après lécher son entrejambe.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le mercredi 05 août 2015, 02:42:15
Lily et Raune, en réalité, avaient parfaitement accompli leur boulot. Elles avaient donné à Kily toutes les clefs pour comprendre ce monde, et pour comprendre le fonctionnement de son corps. Le seul élément, c’est que les informations concernant la copulation et le sexe lui avaient été transmises de manière théorique, et ne signifiaient donc pas grand-chose pour elle. Tout l’enseignement théorique du monde ne servait à rien s’il n’y avait pas, derrière, une mise en phase pratique. Et c’était justement ce que Pamela et Kyli étaient en train de faire en ce moment. Pamela, avec toute la douceur du monde, la formait, et laissa Kyli goûter à sa mouille. Nerveuse, sa fille (oui, sa fille !) finit par se laisser aller, et se glissa entre les cuisses de Pamela, sa langue venant caresser son intimité.

« Huuunnn... »

Se pinçant les lèvres, Pamela savoura le contact de la langue de la femme, de sa belle fille, sur son sexe. Il était trempé, et également très bien rasé, propre et épilé. Poison Ivy soupira de plaisir, yeux clos, basculant sa tête en arrière, au fur et à mesure que Kyli continuait à lécher, et à goûter à la mouille... Et ce contact fut bien loin de lui déplaire, comme elle le prouva en se redressant, et en demandant à ce que sa mère la fasse jouir. Pamela sourit, attendrie par le ton doucereux et suppliant de sa fille. Oh, le caractère incestueux de cette relation aurait pu la choquer, oui, mais, en ce moment, elle ne ressentait que de l’amour, que du désir, et qu’une profonde et incommensurable envie de lui faire l’amour, et de la regarder jouir.

Pamela s’en mordilla les lèvres, convaincue de l’amour profond et sans bornes qu’elle vouait à sa fille. Elle l’invita donc à se redresser, et poussa Kyli avec ses mains positionnées sur ses épaules, l’asseyant sur ses fesses. La main d’Ivy remonta pour caresser sa joue, et elle l’embrassa tendrement, plaquant sa bouche contre la sienne, dans un délicat baiser... Puis elle s’écarta ensuite, et se mordilla les lèvres, une main sur son épaule.

« Très bien, Kyli... Très bien, mon amour, il est temps de te faire jouir, amour. »

Elle soupira, et déplaça son autre main, caressant brièvement le sein de Kyli, puis ses côtes, et fila sa main entre ses cuisses, et glissa deux doigts dans son intimité ruisselante. Elle aurait pu se faire pousser une verge, mais... Pour la première fois de sa fille, elle voulait être la plus douce possible, tout en lui procurant du plaisir. Pamela lui sourit donc, et l’embrassa sur le front... Puis remua ses deux doigts, d’avant en arrière, sa main s’appuyant sur son épaule. Elle sentit la délicieuse mouille de Kyli éclabousser ses doigts, et, comme on pouvait s’y attendre émanant d’une Alraune, sa mouille avait une délicieuse odeur, et des effets aphrodisiaques. Pamela s’en pinça à nouveau les lèvres, et continua à remuer ses doigts, d’avant en arrière, sa main se déplaçant ensuite pour agripper la nuque de sa fille.

Pamela remuait en elle, son corps serré contre le sien, et, peu à peu, Kyli bascula en arrière, se couchant sur le dos, Pamela au-dessus d’elle. L’Empoisonneuse observait sa belle fille se tortiller sur le sol, et ses doigts remuaient de plus en plus vite.

« Oh oui, Kyli, laisse-toi aller, ma puce, là, là... Jouis, mon amour, jouis, ma puce, jouis !! »

Poison Ivy n’attendait que ça !
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le lundi 10 août 2015, 22:49:43
J'avais tellement envie de la lécher. L'entrejambe de ma maman m'attirait par une force mystérieuse et inexplicable. Lui faire du bien m'en faisait aussi, et j'aurais pu continuer comme ça jusqu'à ce qu'elle jouisse et ne m'envoie sa mouille sur la figure. Mais alors que je m'appliquais à la satisfaire, elle me demanda de me relever. Incapable de lui résister, je la laissai faire ce qu'elle voulait de moi : après m'avoir redressée, elle mit ses mains sur mes épaules pour m'asseoir sur les fesses avant de passer l'une d'elles sur ma joue. Je frissonnais et gémissais doucement en réponse à cette caresse toute douce qui fut ensuite suivi d'un autre baiser. Comme à chaque fois, les lèvres de ma maman étaient des friandises au goût inimitable, et le contact entre nos bouches était d'une douceur ravissante. Après quoi elle s'écarta, une main sur mon épaule, pour me dire qu'elle allait me faire jouir.

Je sentis le feu me monter aux joues à cette idée, alors que la main de ma maman descendait le long de mon corps. D'abord sur un de mes seins, puis sur mes côtes, pour finalement s'arrêter entre mes jambes et glisser deux de ses doigts dans mon intimité ruisselante. Après m'avoir donné un bisou sur le front, elle commença à faire aller et venir ses doigts en moi.

Sur le coup, j'avais l'impression que mon corps échappait tout simplement à mon contrôle, mais je me suis vite rendu compte que c'était le plaisir qui m'inondait. Loin de moi l'idée de le repousser, je le laissai venir en moi avec toute la force dont il pouvait faire preuve.

« Han... han... maman... c'est si bon... kyyaa... »

Oui, c'était génial. Sentir ses doigts remuer d'avant en arrière dans ma petite fente encore vierge, ma cyprine ruisseler sur sa main, la chaleur monter le long de ma colonne vertébrale et se diffuser dans mon corps. Tout était merveilleux. Même le parfum de ma cyprine, qui montait à mes narines et me rendait plus chaude encore. Tout à coup, je sentis la main de ma maman se poser sur ma nuque. Toujours enivrée par mon plaisir, je la laissai me basculer en arrière jusqu'à ce que je finisse allongée sur le dos. Ivy était au-dessus de moi, toujours à me faire autant de bien. Elle m'invitait à me laisser aller et à jouir sans plus attendre.

Je me tortillai comme un asticot sur le coton de mon matelas. Tout mon corps était parcouru d'agréables spasmes qui me faisaient remuer sans que je puisse me contrôler. Et mine de rien, c'était une sensation plutôt plaisante. Ne rien maîtriser, se perdre dans son extase, laisser son corps agir de lui-même... J'étais comme emmitouflé dans un nuage, qui me rendait plus heureuse à chaque seconde et me poussait à en vouloir plus. Alors je m'enfonçais, au risque de ne jamais pouvoir remonter.

Quant tout à coup, je sentis quelque chose se précipiter vers la sortie. J'étais sortie de force de mon nuage, et ça me faisait peur.

« Aahh... Maman... je vais... je vais... AAAAAHHHHH !!! »

L'orgasme arriva d'un seul coup, foudroyant mes inquiétudes sur place. Je gémissais longuement, en même temps que ma cyprine était éjectée de mon corps avec force. Mon corps s'arqua puis de détendit d'un seul coup. Ma maman accompagna mon corps tandis que je m'affalai sur le coton, fatiguée mais quand même heureuse. Pour la première fois que je découvrais la jouissance, j'étais en paix et en harmonie avec ma partenaire : ma chère et tendre maman humaine, la belle Poison Ivy.

Cette dernière vint près de moi pour m'embrasser à nouveau.

« Maman... c'était si bon. Comme si tout mon corps s'était, d'un seul coup, libéré de tout ce qu'il y avait en moi. »

En tout cas, c'était comme ça que je le ressentais.

Après un petit temps de pause à me faire caresser le visage, le dos et les cheveux par ma maman, je me redressai avec un nouvel objectif en tête.

« Maintenant, c'est à moi de te faire du bien. »

Revenir nicher ma tête entre ses cuisses était vraiment trop tentant.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le lundi 17 août 2015, 02:15:54
Kyli allait jouir vite, ce qui était normal. C’était sa première fois, et elle était petite. Le plaisir qui l’envahissait était inédit pour elle, et la manière dont elle se tortillait, dont elle gémissait... Haann, ça n’avait pas de prix ! Pamela se mordillait les lèvres en sentant d’incommensurables vagues de fierté et de plaisir la traverser. C’était bien elle, sa petite fille, son adorable enfant, une créature belle, doucereuse, verte, et si adorable, si magnifique... Oh, à la voir ainsi, Pamela en aurait pleuré de joie, tant elle était heureuse. Heureuse et fière de l’avoir près d’elle, de pouvoir lui faire l’amour, de pouvoir lui enseigner les voies du sexe, et de la voir heureuse, tellement heureuse. Il y avait là clairement quelque chose d’incestueux, mais Ivy s’en fichait. Et puis, elle n’était pas totalement humaine, alors ce genre de règles ne s’appliquaient pas à elle. Kyli et Ivy étaient deux femmes exceptionnelles, et, en ce moment, Pamela considérait comme normale de devoir l’éduquer, et ce surtout en voyant sa grande beauté. Oh ! Elle avait hâte de pouvoir l’éduquer vraiment, de lui enseigner à utiliser ses pouvoirs, ou même de la présenter à Harley. Harley lui avait toujours fait l’objet d’être une fille aimant bien les enfants... Mais ceci pouvait aussi venir de son tempérament très immature, de sa passion pour les jeux vidéos, les peluches, ou pour les sucreries.

*Allons, inutile de t’en faire autant, regarde comme Kyli est heureuse... Et Harley ne lui fera jamais de mal...*

Il y avait intérêt ! Pamela se sentait découvrir en elle cet instinct maternel si longtemps refoulé. À Gotham, quand elle avait appris qu’elle était stérile, elle avait ensorcelé son thérapeute, afin de l’épouser, et avait développé un laboratoire dans lequel elle avait utilisé le sperme de l’homme, mêlé à ses recherches, pour obtenir des bébés-plantes. Malheureusement, ces expériences n’avaient abouti à rien d’autre que de sinistres monstres, la contraignant à fuir quand Batman l’avait traqué. Et maintenant, après tant de temps, Lily et Raune avaient enfin accompli ce lointain rêve, ce fantasme, en lui permettant d’avoir une fille... Une adorable fille, qui se tortillait de plaisir en couinant le long de ses doigts.

Les doigts de Pamela remuaient d’avant en arrière, s’enfonçant plus profondément en elle, défonçant son clitoris. Sa mouille filait le long des doigts d’Ivy, et, comme Poison Ivy s’en doutait, sa cyprine était très agréable, dégageant une agréable odeur parfumée et aphrodisiaque, comme Lily et Raune... Et son orgasme arriva, Pamela souriant malicieusement, très amusée par la situation.

« Oui, ma belle, ouiii... »

Elle s’abandonna contre sa mère, répandant sa mouille, et Pamela suçota ses deux doigts, couverts de la cyprine de sa tendre fille, qui s’étalait sur le sol, sonnée, épuisée... Mais heureuse. Pamela se pencha vers elle, en souriant, et l’embrassa sur le front, avant de déposer un baiser sur ses lèvres, puis de la prendre dans ses bras. Ses mains glissèrent sur sa peau douce, sur son corps tendre, sur cette silhouette magnifique. Oh, qu’elle était belle ! Pamela embrassa nuque, lécha sa joue, la serrant tout contre elle, leurs seins se frottant ensemble. Cette sensation était vraiment magnifique, et, avec la sueur, leurs peaux se collaient l’une à l’autre.

« Ma belle Kyli, tu as joui, c’est magnifique... »

Pamela était si heureuse de lui faire plaisir, de la voir heureuse et soulagée, sexuellement apaisée. Mais, maintenant, Kyli voulait lui rendre la pareille, ce qui fit sourire Pamela.

« Me faire du bien... Très bien... »

Pour le moment, Poison Ivy comptait juste laisser Kyli jouer avec sa langue, et, plus tard, il serait temps d’employer d’autres méthodes, de lui enseigner d’autres techniques. Pamela vit les yeux de Kyli glisser le long de son ventre pour observer son sexe, et elle comprit ce qu’elle avait derrière la tête... Ce qui la fit sourire. La main d’Ivy alla se poser sur son menton, et elle souleva un peu son visage, allant tendrement et doucement l’embrasser.

« Très bien, ma chérie... »

Ivy se releva alors, puis s’écarta un peu, et s’assit en face d’elle, et écarta bien les jambes, en enfonçant deux doigts dans son sexe, écartant ses lèvres intimes. Bien écartées, ses jambes donnaient tout droit sur son sexe, sur ses lèvres intimes vertes.

« Allez, ma chérie... Viens lécher ta Maman... Et viens la faire jouir, ma puce... »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le jeudi 20 août 2015, 17:34:15
Après avoir joui, la seule idée que j'avais en tête était de faire la même chose à ma maman, histoire de lui rendre la pareille. Elle comprit vite où je voulais en venir, mais d'abord, elle attrapa mon menton entre ses doigts et leva mon visage pour venir doucement m'embrasser. Ce baiser si délicat fut un régale, mais je savais que la suite n'allait être que meilleure.

Ma maman sépara doucement ses lèvres des miennes, puis s'éloigna pour aller s'asseoir en face de moi, ouvrit ses jambes et plongea deux doigts dans son vagin pour écarter ses lèvres intimes, offrant une vue parfaite sur son sexe. Elle m'invita ensuite à venir la lécher et à la faire jouir.

« Oui maman. »

J'arrivai à quatre pattes, en remuant les fesses pour si elle voulait se rincer l'œil, et je plongeai ma tête entre ses cuisses, admirant la vue de son antre à plaisir qui m'était offerte. Toute contente de pouvoir m'y aventurer, j'éloignai les mains de ma maman pour les remplacer par les miennes. Il fallait qu'elle profite au mieux de ce que j'allais lui faire. J'écartai ses lèvres intimes et je plongeai ma langue à l'intérieur de son corps.

C'était, encore une fois, une sensation nouvelle pour moi, mais qui était plus que savoureuse. Sentir mon petit organe buccal remuer dans l'antre humide de ma maman tandis que les parois se resserraient autour, récupérer toute la cyprine qu'elle libérait, qui produisait le même effet sur mon corps que son lait, et l'entendre gémir son plaisir, ça n'avait pas de prix. En cet instant, j'étais non seulement reconnaissante envers ma maman humaine, mais aussi envers mes deux mamans alraunes. Sans elle, je ne serais probablement jamais venue au monde, et je n'aurais jamais pu faire le bonheur d'une femme dont le désir de maternité n'aurait jamais pu se réaliser dans des circonstances humaines. Et même si, maintenant, ses envies d'adulte avaient pris le pas sur ses envies de maman, ce moment restait un moment merveilleux entre une mère et sa fille. Peu importe ce que les autres pourraient dire, rien ne me ferait changer d'avis sur cette idée.

Finalement, ma langue eut raison de la résistance de ma maman, et sa fleur s'ouvrit à nouveau pour m'asperger de sa cyprine. Quand elle eut terminée, ma jolie frimousse était toute couverte de ses fluides sexuels, mais ça ne me dérangeait pas. Elle se releva calmement, passa sa langue sur mes joues puis m'embrassa pour me faire partager le goût de sa mouille. Je partageai le baiser avec bonheur puis, quand il se rompit, Ivy passa ses doigts sur les recoins encore humides de mon visage pour récupérer tout le liquide, et m'invita à les sucer pour boire.

« D'accord maman. »

J'étais prête à lui dire oui à tout tant j'avais confiance en elle.

Je la laissai mettre ses doigts dans ma bouche, puis ma langue passa dessus pour prendre sa mouille et je l'avalai d'un coup. Après ça, je revins me coller contre elle pour lui refaire un câlin. Son corps était toujours chaud, et le mien l'était parce que je l'avais faite jouir et que ça m'avait excitée. Je ressentais à nouveau le besoin d'un orgasme. J'en profitai pour mettre sur le tapis un sujet dont j'avais envie de parler depuis un petit moment déjà.

« Maman, je peux te poser une question ? »

Elle me répondit oui.

« Voilà... Tout à l'heure, quand j'ai expérimenté l'utilisation des phéromones, juste avant que je ne trébuche sur une racine, je me suis posée une question : ce que j'ai fait avec les animaux, est ce que c'est possible de le faire... avec des humains ? Toi par exemple, est ce que tu peux attirer des humains grâce aux phéromones ? »

Ma maman me répondit que oui, puis m'offrit une petite explication sur la nature et les possibilités de l'utilisation de phéromones sur des humains. C'était fascinant, mais j'avais besoin de le voir de mes propres yeux pour m'en rendre compte.

« Dis... tu voudrais bien me montrer ? Tu pourrais utiliser tes phéromones sur moi, que je voie ce que ça fait ? Ensuite, je m'entraînerais pour y arriver toute seule. »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le dimanche 23 août 2015, 08:40:30
Voir Kyli se déplacer à quatre pattes vers elle, de manière si féline, accéléra grandement le rythme sanguin de la belle Poison Ivy. C’était sa fille, sa belle fille, sa succulente plante verte, adorable et magnifique. Une beauté sans pareille, qui se pencha vers elle, filant entre ses cuisses, afin de lécher son intimité, plongeant sa tête entre ses jambes, venant goûter à son nectar intime, à la délicieuse et parfaite mouille de sa Mère. Ah ! Oh, que c’était bon ! La langue de Kyli filait en elle, et Pamela s’étala sur le sol, gémissant de plaisir, une main venant empoigner et caresser les cheveux de la femme, l’autre se crispant sur des brins d’herbe. Son corps remuait lentement, ses jambes caressaient le corps chaud et doux de la belle Alraune. Kyli était instinctivement douée pour ce genre de choses, comme si la sensualité était génétiquement encodée dans son corps. Jouant son rôle à la perfection, l’Alraune offrait à sa Mère le plus grand des plaisirs, et c’est tout naturellement dans ces circonstances que l’orgasme vint.

Pamela n’avait tout simplement que des raisons d’être heureuse, comblée. Elle avait une fille, une fille magnifique, une perfection, et, alors que Kyli léchait ses lèvres intimes, s’enfonçait en elle pour chercher son clitoris, des larmes de bonheur ruisselaient sur le visage de Poison Ivy. Combien de temps avait-elle attendu ce moment ? Combien d’amants avait-elle épuisé la nuit pour se réveiller, le lendemain matin, et constater, en tâtant son ventre, que la graine n’avait pas germé ? Sa stérilité était une conséquence de son sang si particulier, des antitoxines qui parcouraient son corps, et qui tuait tout spermatozoïde. Elle avait fait sur son corps quantité d’expériences, de recherches, de tests, sans aucun succès. La vie, éternellement, s’était refusée à elle... Jusqu’à ce que Lily et Raune lui proposent une alternative, en recourant à une sorte de fécondation in vitro. Pamela n’avait pas été contre ce système, et, maintenant, il était parfaitement accompli. La Nature répondait à sa ferveur en lui offrant une adorable petite fille, et Pamela était comblée, ravie. Son bonheur était si grand qu’aucun mot ne lui semblait suffisamment fort pour pouvoir l’exprimer. La bouche entrouverte, elle gémissait de plaisir, remuant lentement sur le sol, ses doigts se crispant dans la belle chevelure de Kyli... Puis l’orgasme vint, libérateur, jouissif, magnifique. Ses cuisses se remplirent, et elle se déversa contre le visage de Kyli, aspergeant ses joues et sa figure de son délicieux nectar parfumé, jouissant longuement. Kyli avait déjà pu goûter à sa cyprine, mais, là, avec cet orgasme, sa mouille éclata encore plus, et se déversa le long de ses cuisses, tombant sur le sol.

« Haaaaaaaa... !! Kyli !! Kyyyyyyyyyyyyyliiiii-haaaaaaaaaaaaaaaannnnn... !! »

Pamela avait laissé tout son plaisir s’exprimer, et elle se vida contre la tête de sa fille, avant de se détendre d’un bloc, tout son corps s’écroulant sur le sol. Le soleil les éclairait, éclairant son beau sourire.

*Kyli... Kyli, Kyli, ma fille, ma charmante petite fille...*

Pamela se redressa alors, et lui offrit le goût de sa mouille. Sa fille, visiblement fascinée par ce goût, se jeta à ses doigts, faisant légèrement glousser Pamela. Ivy ne s’était jamais aussi sentie légère qu’en ce moment, aussi heureuse et épanouie. Elle partageait un moment intime avec sa fille, sa fille parfaite, adorable. Impossible de lui trouver le moindre défaut, et encore moins quand on la voyait suçoter ses doigts avec envie et passion. Poison Ivy s’en mordilla les lèvres, le visage rempli d’amour et de tendresse.

Après cette séance, Kyli lui posa ensuite plusieurs questions sur les phéromones, ce qui la fit sourire. Elle répondit rapidement, en expliquant qu’elle pouvait générer des phéromones pour séduire les autres, pouvoir qui sembla visiblement fasciner Kyli :

« Dis... tu voudrais bien me montrer ? Tu pourrais utiliser tes phéromones sur moi, que je voie ce que ça fait ? Ensuite, je m'entraînerais pour y arriver toute seule. »

Pamela la regarda silencieusement, et caressa à nouveau son visage.

« Je pourrais le faire sur toi, mais... J’ai peur que ça ne marche pas. Tu as hérité de mon système immunitaire, Kyli, et notre système immunitaire est renforcé. Tu ne tomberas jamais malade, Kyli, car tes anticorps tueront toutes les bactéries nocives, et tous les virus. Et il en va de même pour le reste. Les phéromones que je dégage sont une forme de doux empoisonnement, contre lequel ton corps se bat. »

L’Empoisonneuse esquissa un nouveau sourire, doux et attentionné, tout en continuant à caresser le visage de la femme.

« Mais, sur Terre, je suis une professeur, et je dispose d’humains qui m’aiment... Tu pourras t’expérimenter sur eux, mon amour. »

Pamela l’embrassa tendrement sur le front.

« Mais, pour l’heure, je veux que nous passions la nuit ici, Kyli... La Terre... C’est un monde différent de celui-là, et je veux que tu t’y prépares. La pollution y est plus forte, et elle t’agressera tes sens avant que tu ne t’y adaptes. Alors, je veux que tu découvres cette forêt. Tu vois, Kyli, tu es une Déesse végétale, mais, en étant ma fille, tu ressentiras toujours une attirance fondamentale envers les êtres humains. Rassure-toi, je t’apprendrais à gérer les humains... Tu verras comme il est amusant de pouvoir les contrôler avec les phéromones, et jouer avec eux. »

Elle lui sourit, et l’embrassa à nouveau, ses doigts continuant à jouer dans ses cheveux. Pamela n’osait imaginer quelle bêtise Kyli allait faire avec ses pouvoirs plus tard.

« Mais, pour l’heure, je veux que nous profitions ensemble du bon air. Tu viens de sortir de ton cocon, et ta première journée mérite d’être merveilleuse... Du début à la fin. »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le vendredi 28 août 2015, 22:23:26
Mes pouvoirs d'alraune recelaient bon nombre de secrets que j'étais impatiente de découvrir. Mais ma maman me dit que, vu que j'avais hérité de son système immunitaire renforcé, je ne pouvais pas tomber malade ou être empoisonnée, et les phéromones agissaient dans mon corps comme un empoisonnement, donc elles ne fonctionneraient pas.

« Je comprends maman. »

En même temps qu'elle me caressait doucement le visage et me souriait, Ivy rajouta que je pourrais expérimenter les phéromones sur Terre, quand je rencontrerais des humains. Mais d'abord, elle voulait que nous restions ici jusqu'à demain matin. Selon ses dires, la Terre était un monde en proie à la pollution, et mes sens allaient être agressés les premiers jours. Elle voulait que ma première journée hors de mon cocon soit une merveilleuse journée, qui m'aidera à mieux appréhender la vie sur son monde natal.

Pendant que je l'écoutais parler, je fouillais dans mes souvenirs pour récupérer des images de la Terre que j'avais reçues lors de ma gestation dans ma chrysalide. Je vis beaucoup d'eau, des forêts abîmées, la nature piétinée au profit de ces constructions de béton laides et inanimées, mais je vis aussi la diversité des plantes et des animaux, la beauté de certains paysages, et la beauté des humains : leurs visages, leurs corps, leurs voix... Je partageais les souvenirs de ma maman sur la Terre, mais je ne savais pas quoi en penser. Il faudrait attendre que je sois sur place pour me faire ma propre idée.

« D'accord maman. Profitons ensemble du bon air, de la végétation florissante, de ce doux matelas de coton... avant de partir pour la Terre. »

Bien que les caresses de ma maman étaient d'une infinie volupté, j'eus envie de me lever un peu de ce matelas pour me dégourdir les jambes, et aussi pour pouvoir à nouveau faire usage de mes pouvoirs.

« Regarde moi maman. »

Je n'étais pas sûre de réussir ce que j'allais faire, mais je voulais qu'elle le voie. Elle était la seule dont le jugement avait une valeur pour moi.

Je fermai les yeux et, imaginant une nature encore plus luxuriante, je réussis à faire apparaître encore bien des fleurs sur le sol herbeux de la forêt. Cependant, je ne les fis pas apparaître au hasard et, pour vérifier que j'avais réussi, je fis à nouveau apparaître une fleur géante qui me permit de prendre de la hauteur tout en m'attachant avec des tentacules vertes pour éviter de tomber. Une fois suffisamment élevée, je regardai en bas et vis que j'avais réussi.

« Maman, viens vite voir. »

Ivy utilisa le même procédé pour monter et venir me rejoindre sur ma fleur. De là, elle put voir ce que j'avais fait : les groupes de fleurs colorées étaient positionnés de telle façon qu'ils formaient un arc-en-ciel, du rouge à l'indigo.

« C'est l'une des choses que j'ai vue quand j'étais endormie dans mon cocon. Je crois que les humains appellent ça un « arc-en-ciel », c'est ça ? »

Ma maman répondit que oui, et que ce que j'avais fait était très joli à voir. Son compliment me fit sourire.

« Merci maman. »

Et elle me prit à nouveau dans ses bras. Puis, quand nos regards plongèrent l'un dans l'autre, nos lèvres se mirent à s'approcher sans même que nous nous en rendions compte, jusqu'à ce qu'elles se rencontrent pour un autre baiser. Décidément, je ne pourrais jamais me lasser du contact de sa bouche sur la mienne. Pendant ce temps, je fis doucement descendre la fleur jusqu'à ce qu'elle nous laisse sur le matelas de coton.

« Rien n'est mieux que de rester dans tes bras, maman. »

Et tandis qu'elle me gardait contre elle et me faisait des câlins, je vis ses seins juste sous mon nez et fus à nouveau prise d'une vieille envie.

« Dis maman... est ce qu'il te reste encore du lait ? Tout cet exercice... ça m'a donné faim. »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le dimanche 06 septembre 2015, 09:14:31
Pamela laissa à Kyli le soin d’explorer ses souvenirs. Quand Lily et Raune avaient décidé de faire cette Alraune, elles avaient relié Pamela à une fleur pendant plusieurs heures. La fleur l’avait pénétré de toute part, prenant sa cyprine pour se fertiliser, mais aussi ses souvenirs. De sa plus tendre enfance jusqu’à la pénétration florale, tout le passé de Pamela avait été avalé par la fleur, et traité. La fleur s’en servait pour doter l’Alraune à venir de l’identité de sa mère, comme un enfant qui baignerait pendant des mois dans le liquide amniotique de sa mère, et qui hériterait ainsi, par le miracle de la génétique, des traits familiaux. Le même mécanisme s’opérait avec cette grosse fleur, et c’était grâce à ça que Kyli pouvait avoir des impressions sur la Terre. Venant d’Ivy, elles étaient à la fois négatives et positives. Pamela décrivait la Terre comme un endroit infect, avec des images de caddies remplis de détritus flottant dans la mer, des arbres en souffrance… Oh, il y avait aussi de belles choses sur Terre, et même les humains, que Pamela méprisait allégrement, pouvaient aussi, parfois, se montrer agréables… Mais, pour l’heure, Kyli était encore, à ses yeux, sa toute petite fille, et, même si elles venaient de se faire l’amour ensemble, Pamela ne voulait pas gâcher ça. Cette forêt était paisible, éloignée de toute activité humaine, similaire à cette Amazonie profonde où Ivy venait parfois se ressourcer, à l’époque où elle était à Gotham City.

Kyli finit alors par se relever, et Pamela sourit.

*Elle est jeune et pleine d’énergie… Et puis, elle est enfin sortie de son cocon, c’est normal qu’elle veuille en profiter…*

Ce qui inquiétait surtout Pamela, ce serait l’association qu’elle formerait avec Harley. L’Arlequin était aussi une femme très active, et, tôt ou tard, Ivy allait devoir lui parler de sa fille… Ce qui l’inquiétait autant qu’elle l’excitait. Et, ce qui l’inquiétait, ce n’était pas le tempérament d’Harley, mais plutôt son obsession envers Le Joker. Comment pourrait-elle lui confier la responsabilité de Kyli, si jamais Harley décidait à nouveau de la trahir pour rejoindre le clown psychopathe ? Elle avait rêvé à bien des reprises de tuer Le Joker, juste pour se rapprocher d’Harley, mais, en même temps, à chaque fois que son amie avait dû choisir entre elle et le Prince du Crime, elle avait toujours choisi Le Joker… Et, si Poison Ivy pouvait lui pardonner à chaque fois (difficilement), si jamais elle refaisait ça avec Kyli… Ivy ignorait comment elle réagirait.

Kyli s’était relevée et se concentrait, faisant pousser autour d’elle des fleurs et des tentacules, qui venaient lécher ses petits pieds. Elle voulait impressionner sa Maman, lui montrer de quoi elle était capable, et Pamela, en conséquence, arquait sur ses lèvres un tendre sourire.

« C’est bien, ma fille, c’est très bien… »

Kyli était une Déesse végétale, et, en la voyant ainsi, Ivy n’arrivait pas à ressentir autre chose qu’une image vague d’amour, une vague qui déferlait dans tout son corps. Elle était belle et forte !

*C’est bien ma fille, ça…*

Une fille talentueuse et puissante, qui promettait, avec l’âge, de devenir une véritable Gaïa. Ivy s’en mordilla les lèvres en sentant un frisson de satisfaction la traverser… Puis Kyli fit alors pousser une grosse fleur, et Ivy se redressa en la voyant s’envoler, d’immenses pétales venant heurter le sol.

« Kyli ! s’exclama-t-elle avec un sourire sur les lèvres. C’est super, ma chérie ! »

Elle faisait pousser ça si naturellement ! Pamela aurait presque pu s’en sentir jalouse. Elle, elle lui avait bien fallu des mois pour réussir à pleinement maîtriser son pouvoir de domination sur la flore. Kyli finit par se pencher vers le vide, et invita sa mère à venir. Pamela hocha la tête. La présence de Kyli était perceptible partout autour d’elles, et Pamela s’y plongea avec plaisir. Des tentacules verts la soulevèrent alors, et elle se retrouva ainsi rapidement sur la pétale de la grande fleur de Kyli, pour se retrouver à côté d’elle, un sourire ravi sur les lèvres.

Sa belle fille était douée, et Pamela la prit dans ses bras, pour la féliciter. Elle comptait bien l’embrasser encore, mais, avant de faire ça, Kyli tendit sa main vers le sol, et lui montra ce qu’elle avait fait. En tournant la tête, Pamela sourit.

« Tu es une vraie artiste, ma chérie… »

Comme un enfant faisant un dessin pour le montrer à ses parents, Kyli avait dessiné sur le sol un superbe arc-en-ciel, en faisant pousser différentes fleurs. Ainsi, tout le long de la prairie, des bandes de fleurs s’étalaient en forme d’arc-de-cercle, l’ensemble final formant un arc-en-ciel.

« Oui, c’est ça, un arc-en-ciel… »

Elle récompensa ensuite Kyli en la serrant contre elle, et en l’embrassant tendrement. On disait que les enfants avaient besoin d’affection, et, même si Kyli n’avait pas le corps d’une enfant, sa mentalité, elle, y était… Et, en conséquence, Pamela comptait bien lui montrer toute la dévotion dont elle était capable. Elle l’embrassa donc goulûment, la conservant ensuite contre son corps, frottant son dos, ses doigts glissant sur sa peau.

Kyli lui parla ensuite de ses seins, ce qui fit doucement sourire Pamela.

« Attends… »

La conservant contre elle, Pamela invoqua alors un tentacule. Ce dernier sortit du sol, et sa pointe était particulière, car elle ressemblait à une sorte d’aiguille. L’aiguille remonta donc, et s’approcha du cou de Poison Ivy, qui fit un tendre sourire à Kyli.

« Voilà comment je fais pour avoir ce bon lait qui te fait plaisir, ma chérie… »

Le tentacule se planta alors dans son cou, et, pendant quelques secondes, les mains de Pamela se crispèrent sur le corps de la femme, puis le lait se déversa dans son corps.

« Hum… »

Ses seins se mirent alors à grossir, se remplissant de ce délicieux lait que sa charmante fille désirait.

« Viens… Viens boire, ma belle chérie… »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le mercredi 09 septembre 2015, 22:50:37
Toujours en me gardant contre elle, Ivy invoqua un tentacule végétal qui sortit du sol pour s'arrêter au niveau de son cou. L'extrémité de ce tentacule avait une forme d'aiguille. Je m'inquiétai de voir une chose pointue s'approcher du cou de ma maman, là où il y avait une artère qui, en cas d'ouverture, pourrait la tuer en moins de six secondes à cause de l'hémorragie. Mais je lui faisais entièrement confiance, et je savais qu'elle ne se mettrait pas en danger de mort maintenant que j'étais avec elle. Néanmoins, quand je vis l'aiguille se planter dans son cou et que je sentis ses mains se crisper sur mon corps, je fus vraiment inquiétée. Est ce que c'était douloureux ? Est ce qu'elle se faisait mal pour gorger ses seins de lait juste parce que je l'avais demandée ? Ces pensées me faisaient me sentir vraiment mal. Et quand elle eut fini et qu'elle me demanda de venir la téter, je ne pus m'empêcher de lui poser la question.

« Maman... Est ce que ça te fait mal de t'injecter ce produit dans le corps ? Parce que je ne veux pas que tu souffres à cause de moi. Si ça te fait trop mal de remplir tes seins de lait, alors je peux très bien arrêter d'en boire. »

Je n'étais pas sûre de pouvoir garantir que je saurais me passer du plaisir grisant de me faire allaiter, mais je ne voulais pas que ma maman ait mal à cause de mes demandes. Elle était la seule personne avec laquelle j'avais une relation forte et mon empathie envers elle était si forte que c'était presque comme si je partageais ses sentiments. Heureusement, elle me fit un autre câlin avant de me dire que, même si la piqûre n'était pas indolore, elle ne lui faisait pas très mal et que ce n'était rien comparé à la joie  qu'elle avait de me nourrir avec son lait maternel. Ces paroles réchauffèrent mon cœur. Peut-être était-ce parce que je n'étais née que depuis quelques heures, mais j'avais un grand besoin d'être rassurée et cajolée, deux choses qu'elle savait faire à la perfection.

Encore une fois, ma maman m'invita à venir boire mais, contrairement à la première fois, je pris le temps de bien m'installer pour que ce soit plus agréable : Ivy s'assit en tailleur sur le coton, je calai mes fesses dans le creux de ses jambes, laissant mes jambes s'étendre et collant mes bras près de mon corps car je ne savais pas quoi en faire. Elle utilisa son bras gauche pour me faire un support pour ma tête, et ma bouche se retrouva tout près de son téton. Sans attendre plus longtemps, j'aspirai ce petit bout de chair entre mes lèvres, et le lait ne tarda pas à couler. Ce délicieux liquide blanc me laissait un petit goût sucré dans la bouche et réchauffait agréablement mon bas ventre. Mes mains remuaient dans le vide comme si elles sautillaient de manière imprévisible, c'était de petits spasmes de plaisir venant de l'effet aphrodisiaque du lait qui se répandait lentement en moi et me donnait à nouveau envie du corps de ma maman. Pourtant, la position dans laquelle j'étais et la tranquillité de cet instant magnifique me faisaient somnoler. J'avais envie de fermer les yeux et de laisser mon corps se faire porter par mon sentiment de béatitude, par la chaude lumière du soleil à travers les branches, les senteurs des fleurs et la douceur presque palpable de ma maman. A côté d'elle, le coton aurait presque pu passer pour rêche.

Je vivais un moment parfait et je ne voulais pas en perdre une miette en dormant, alors je me concentrai sur les deux seules choses plus fortes que ma somnolence : je plongeai mes yeux dans ceux de ma maman pour avoir quelque chose à fixer et je frottait mes cuisses l'une contre l'autre pour stimuler le début d'excitation qui s'emparait de moi. Mais plus j'avalais de lait, plus mes yeux se floutaient et plus mes forces me quittaient, ce qui assez bizarre en sachant que ce lait était censé m'exciter et me chauffer. Je ne savais pas d'où ça venait, mais je m'en fichais. Je devais rester éveillé et ne pas sombrer dans le sommeil, il restait encore un sein à vider après celui-là.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le lundi 14 septembre 2015, 09:42:38
« Non, ça n’est pas douloureux, c’est... Différent. Quand je me remplis les seins de lait, ces derniers sont remplis, et... Hum... C’est comme avoir la vessie pleine, et vouloir se soulager. On n’a pas mal, mais c’est assez inconfortable. Ceci étant dit, je le répète, mon cœur, ça n’a rien de douloureux en soi, c’est juste que je me remplis de lait pour que tu puisses en boire, et que mon corps me le rappelle. »

La douleur, toutefois, était bien là, mais elle était minime, car elle venait juste du fait de devoir transpercer sa peau avec une aiguille. Ceci étant dit, Pamela était une scientifique, et les aiguilles ne lui faisaient pas peur. Son aiguille végétale était moins douloureuse qu’une aiguille de verre, de toute manière, et elle voulait surtout rassurer Kyli, en lui assurant qu’elle ne craignait rien, et que tout était sous contrôle. Il ne manquerait plus que sa fille se sente responsable pour elle, tiens ! Pamela la laissa donc boire, mais, cette fois-ci, l’effet secondaire ne fut pas le plaisir sexuel, mais la fatigue. En souriant, Pamela la laissa téter, tout en sentant le corps de Kyli s’affaiblir, dans le sens où elle se fatiguait. C’était sa première sortie dehors, et il était normal que son corps se fatigue. Elle avait passé bon nombre d’années dans sa chrysalide, à être nourrie, choyée, sans avoir rien à faire.  Maintenant que son corps était constitué, il était normal qu’elle ait du mal à tenir debout...

Elle finit donc de vider l’un de ses seins, traitant le lait de Pamela, qui se sentait aussi heureuse que si elle était une vache à qui on traitait les mamelles pour en retirer tout le lait, puis elle vit que Kyli avait du mal à rester éveillée, clignant des yeux à plusieurs reprises. Lui souriant, elle l’embrassa donc sur le front, et se chargea de rapprocher la tête de Kyli de son autre sein.

« Il reste le second sein, ma puce... Viens téter, et tu pourras faire un gros dodo ensuite. »

La bouche de Kyli finit ainsi par se poser sur son sein, et Pamela retourna lui caresser les cheveux, soupirant lentement au contact des petites lèvres tendres et délicates de son Alraune sur ses seins. Cette femme était vraiment très douée, et, à la voir ainsi, si belle, si forte, Pamela se surprenait à nouveau à rêver du moment où, elle aussi, elle deviendrait une Alraune. Un fantasme lointain, qu’elle pensait impossible à réaliser... Mais elle avait bien quelques pistes. Lily et Raune, en effet, n’étaient pas les seules Alraunes que Pamela avait rencontré sur Terra lors de ses pérégrinations. Il y en avait une autre, plus jeune, mais tout autant puissante, Weldenela, qui était à la base la fille d’une autre Alraune, Alraunya, avant que cette Alraune ne soit morte. Weldenela avait alors hérité de sa forêt, et, quand Poison Ivy était arrivée dedans, elles s’étaient vite rapprochées... Weldenela travaillait sur la formule d’Ivy, un mutagène destiné à améliorer ses capacités florales, et à véritablement faire d’elle une Alraune, chose qui avait toujours été le rêve de Pamela. Qui sait ? D’ici quelques mois, elle deviendra peut-être, elle aussi, comme sa fille... Ce qui suffisait à l’emplir de bonheur.

Mais, dans tous les cas de figure, voir Kyli était déjà pour elle un grand moyen. Assise au milieu de cette grosse fleur, elle laissa donc la femme se mettre à téter, jusqu’à ce que son second sein soit également vidé. La pauvre Kyli semblait maintenant pleine, signe que son corps n’allait pas tarder à entamer le travail de la digestion, ce qui, de manière plus familière, signifiait que l’Alraune allait bientôt détruire tous les clichés sur la beauté féminine.

« Là... Repose-toi, ma chérie... C’est normal d’être vite fatiguée, tu viens juste de sortir de ton cocon. Dors contre ta Maman, ma puce... »

Pamela l’embrassa sur les cheveux, et cala son corps contre le sien, en se balançant légèrement, d’avant en arrière, comme pour mieux accompagner Kyli dans le sommeil du juste.

« Tu es une fille forte, ma beauté... Ta Maman t’aime, et elle veillera toujours sur toi, mon ange... »

Il fallait bien la rassurer un peu !
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le samedi 19 septembre 2015, 21:41:33
Quand j'eus fini de vider le premier sein, j'étais déjà très fatiguée. Il faut croire que tout ce temps passé à ne rien faire et à tout avoir dans mon cocon m'avait ramollie. J'étais incapable de rester éveillé plus de deux heures sans avoir envie de faire une petite sieste. Ça m'était déjà arrivé après ma première blessure, et ça m'arrivait encore pendant que j'étais en train de téter. Ma maman, remarquant mon état, me dit que je pourrais faire un gros dodo après avoir vidé son second sein. Je savais que, si je le tétais jusqu'au bout, j'allais vraiment finir par m'endormir. Mais il n'y avait rien à faire, j'adorais téter le sein de ma maman. En plus, j'étais si fatiguée que je ne me sentais pas en état de protester. Je me laissai donc manipuler par Ivy, qui amena ma tête près de son autre sein. Et sans réfléchir, je pris son téton en bouche pour aspirer le lait. En me voyant ainsi, beaucoup auraient pu m'apparenter à un bébé humain : allaité par sa mère, ayant plus besoin de sommeil... De mon point de vue, bien que j'avais le corps d'une adolescente et l'esprit empli de connaissances humaines et alraunes, je n'étais physiquement née que depuis quelques heures, donc j'étais bien un nouveau-né. J'en avais le caractère, mais rien d'autre.

A mesure que j'avalais le lait qui s'écoulait dans ma bouche, je me sentis de plus en plus légère, même si mon estomac se remplissait. C'était comme si la douceur du liquide couplée aux éléments extérieurs me donnait envie de dormir. Il était évident pour moi qu'il fallait que j'arrête de téter si je voulais rester debout, mais c'était si bon de partager ça avec ma maman que je ne pouvais pas envisager la possibilité d'arrêter. Je continuai donc à aspirer, en essayant malgré tout de lutter contre la torpeur et l'envie de fermer les yeux.

Quand le deuxième sein fut également vidé, j'étais complètement rassasiée. Je ne pensais pas que quatre portions de lait prévues pour des bébés suffiraient à me remplir l'estomac, mais mon corps recelait encore des mystères que je connaissais pas. J'étais à deux doigts de sombrer dans le sommeil mais je luttais. Je n'avais pas envie de perdre de précieuses heures de cette splendide journée à roupiller. Cependant, ma maman ne semblait pas avoir le même avis, et m'incitait à m'endormir dans ses bras. Elle m'embrassa les cheveux, me cala près d'elle et se balança d'avant en arrière pour m'amener à m'assoupir. Et de me dire qu'elle veillait sur moi ne m'aidait pas à rester vigilante. Néanmoins, j'avais encore la force de lui répondre avec ma petite voix à moitié endormie.

« Maman... je ne veux pas dormir. »

Elle s'étonna d'entendre ça vu que j'avais visiblement l'air fatiguée, mais j'avais une très bonne raison de lui dire ça.

« Si je dors... je ne vais pas pouvoir... profiter de cette journée... entièrement. Il y a... tant de choses... que je voudrais faire. »

Ma maman avait l'air de comprendre, mais elle voyait bien que j'étais épuisée, alors elle insista sur le fait que je ne pourrais pas profiter de la journée dans mon état actuel. C'est vrai que la fatigue était gênante, mais pas assez pour m'arrêter. Le vrai problème était que je n'étais pas capable de m'opposer à Ivy. Alors elle continua ses mouvements de balancement, pour me forcer à reconnaître que j'avais besoin de dormir.

« Je ne suis pas un nourrisson... que tu peux... endormir... en le berçant. Je... je... »

Malgré ce que je disais, je devais bien reconnaître que sa technique pour m'endormir était très efficace. En plus, rien ne m'aurait fait plus plaisir que de me laisser aller dans les bras de ma maman, qui étaient bien plus confortables que le coton de la fleur dans laquelle nous étions. Cependant, je continuais d'agir comme un enfant qu'on envoie se coucher : malgré la fatigue, je refusai d'aller dormir. Mais peu importe ce que je voulais, mon corps était déjà en train de sombrer. Mes yeux se fermaient doucement, mes muscles devenaient tout mous et je n'arrivais plus à parler clairement.

« Bon... d'accord... je vais... fermer les yeux... juste... cinq... minutes... » (Bon... d'accord... je vais...fermer les yeux... juste... cinq... minutes...)

Ma maman eut raison de ma motivation : je m'endormis entre ses bras. J'ignorais pour combien de temps, mais c'était assurément plus que cinq minutes.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le jeudi 24 septembre 2015, 10:04:47
Au moins, Kyli avait bien hérité des traits comportementaux d’Ivy ; elle était aussi têtue qu’elle. Après avoir bu à nouveau le lait de Pamela, elle se refusait à dormir, arguant qu’elle ne voulait pas gâcher cette journée en dormant... Mais Ivy préférait qu’elle profite de la soirée plutôt qu’elle passe la journée à végéter en luttant en vain contre l’appel de Morphée. Et puis, elle était sa mère, alors il fallait bien qu’elle se fasse un peu entendre et obéir. Elle remua donc son corps, comme une sorte de berceuse, et, bon gré mal gré, la voix de Kyli ne devint plus qu’un murmure, puis la petite Alraune s’endormit dans ses bras. Pamela lui embrassa les cheveux, tout en la laissant dormir, et, comme elle le lui avait assuré, elle resta contre elle, la maintenant dans ses bras, la tête de Kyli nichée tout contre ses seins. Ses mains, elles, glissèrent dans le beau dos de la femme, caressant et grattant sa peau.

Sa fille, sa fille... Ce mot, ce simple mot, continuait à rebondir dans son crâne, comme de magnifiques promesses d’un futur radieux et merveilleux. Ivy avait enfin une fille, et cette dernière était belle, si belle... Oh oui, elle était incroyable ! Plus Pamela la tenait dans ses bras, et plus elle ne pouvait s’empêcher de ressentir pour elle un amour immense et sans bornes.

« Oh, Kyli, ma douce Kyli... Ma précieuse... »

Elle la serra un peu plus fort contre elle, comme une sorte de grosse peluche, mais ne put s’empêcher de sourire benoîtement devant ce qu’elle venait de dire. Mon précieux... Elle s’imaginait en une sorte de Gollum veillant scrupuleusement sur son précieux anneau, en l’occurrence une magnifique pousse verte. L’image la fit sourire, et elle continua ensuite à câliner un peu la belle Kyli, afin de lui offrir de doux rêves. Pamela resta ainsi pendant de nombreuses minutes, sentant le vent de la forêt caresser son corps, un air frais et pur, végétal, qui faisait du bien. Pamela l’humait avec plaisir, tandis que l’après-midi, progressivement, touchait à sa fin.

Plus tard, quand Kyli se réveilla ce fut pour, à nouveau, avoir changé de place. La forêt était toujours là, mais elle était dans un autre endroit. Pamela l’avait déposé sur le sol, près d’un écoulement d’eau, devant une grosse colline. Une cascade coulait le long de cette élévation, formant un petit lac. Une vision qui ne manquait pas d’une certaine forme de poésie. La Nature, fort heureusement, avait été clémente aujourd’hui, en leur offrant un temps magnifique, estival.

Mais où donc était sa mère ?

La question pouvait légitimement se poser, car elle n’était pas à côté d’elle... Mais il suffisait juste de fermer les yeux pour sentir sa présence. Et, alors que Kyli commençait à émerger, de l’eau se mit à remuer au milieu du lac... Puis Pamela émergea de l’eau du lac (http://nsa33.casimages.com/img/2013/04/18/130418095912242222.jpg), dans une nouvelle forme : sa couleur beige était revenue, et elle portait un séduisant corset vert. Elle sortit de l’eau, et tourna la tête vers Kyli, en lui souriant.

« Tu as fait une bonne sieste, ma chérie ? Je n’ai pas pu résister à l’envie de piquer une tête... »

Et, bien entendu, si Kyli voulait venir, elle était naturellement la bienvenue !
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le vendredi 25 septembre 2015, 21:40:41
Malgré toutes mes protestations, j'avais fini par sombrer dans les bras de Morphée, ou plus exactement dans les bras de ma maman. Encore dans un état de sommeil conscient, je pus sentir mon corps être changé de position pour finir la tête calé entre les seins d'Ivy et ses mains se baladant dans mon dos. Ces petites caresses m'amenèrent lentement à sombrer pour de bon dans l'inconscient, me rendant alors totalement impuissante et sous la seule surveillance de ma maman. Mais comme elle avait dit un peu plus tôt qu'elle veillait sur moi, je ne me faisais pas de souci. De plus, ses preuves d'amour précédentes me suffisaient amplement pour lui faire entièrement confiance. J'aurais sauté d'une falaise avec elle si elle m'avait dit que nous ne risquions rien.

Plongée dans mon sommeil, je ne pouvais sentir consciemment les longs et délicieux câlins de ma maman, qui me serrait contre elle comme si j'étais un ours en peluche, mais sa tendresse influença le cours de mon sommeil paradoxal. Je me mis à rêver que j'étais couchée au milieu d'un champ de fleurs. L'air pur et chargé de parfums végétaux me donnait envie de chanter, de danser, mais pour une raison que j'ignore, je n'arrivais pas à le faire. Un poids me serrait le cœur, et je compris vite de quoi il s'agissait : je ne pouvais pas être heureuse sans ma maman près de moi. Heureusement, il me suffit de penser à elle pour que, d'un seul coup, elle apparaisse et vienne me serrer dans ses bras. J'étais à nouveau aux anges, mais je n'avais plus envie de chanter ou de danser. Je me contentai de me coucher sur l'herbe, toujours en gardant Ivy près de moi, et je m'installais confortablement pour me reposer près d'elle, au milieu des pétales volants et de la brise légère. Même dans mes rêves, elle arrivait à me faire dormir.

Bien que ce rêve fut profondément doux et agréable, il ne m'empêcha pas de me réveiller. Seulement, alors que j'émergeais du sommeil, je remarquais que certaines choses avaient changées. J'étais toujours allongée, mais j'étais enveloppée dans ma couverture de feuilles, je dormais sur l'herbe et non plus sur le coton et, chose importante, ma maman n'était plus près de moi. Heureusement, je sentais sa présence tout près de moi. Quand j'émergeai finalement pour revenir à la réalité, je pus voir que j'étais toujours dans la forêt, mais dans un autre endroit. Près de moi, je voyais une grosse colline de laquelle coulait une cascade. L'eau de cette cascade avait formé un lac. Avec le temps ensoleillé qu'il y avait, une étendue d'eau était plus qu'appréciée pour se baigner. Mais d'abord, je voulais trouver ma maman.

« Maman. Tu es là ? »

C'est alors qu'elle émergea de l'eau. Deux choses me choquèrent immédiatement : sa peau avait perdue sa couleur verte pour devenir beige, et elle était habillée d'un corset végétal. Même si je savais que c'était sa couleur de peau naturelle et que, en tant qu'humaine, elle avait été conditionnée depuis son enfance à toujours couvrir son corps, je n'étais pas habituée à la voir ainsi et il me fallut quelques secondes pour assimiler ce que je voyais.

« J'ai très bien dormi, merci. Euh, maman... pourquoi tu as changé de couleur de peau ? Et pourquoi tu t'es rhabillée ? »

Après m'avoir expliqué ses raions, elle me demanda si j'avais envie de piquer une tête dans le lac. Aussi réjouissante que soit cette idée, il y avait quand même un problème.

« Euh... Je veux bien, mais... je ne sais pas... nager... »

J'avais avoué ça avec un peu de gêne, bien que sachant pertinemment qu'il était normal que je ne sache pas faire usage de mon corps dans certaines situations vu que je n'étais née que depuis une journée. Du coup, ma maman me proposa d'apprendre à nager avec elle. Évidemment, je devins toute joyeuse en l'entendant.

« Oui, oui, oui ! Je veux apprendre à nager avec toi. »

Ivy me demanda de venir la rejoindre dans l'eau, ce que je fis tout doucement et avec son aide. A mesure que l'eau montait et qu'elle me caressait la peau, je me sentais à la fois de plus en plus détendue et nerveuse. Détendue parce que c'était agréable de profiter de la fraîcheur du lac, nerveuse parce que j'avais peur de couler même si la profondeur du lac n'était pas assez grande pour qu'il y ait un vrai risque. Heureusement, j'avais toujours ma maman près de moi. Je sentais qu'apprendre à nager allait être un bonheur avec elle.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le lundi 28 septembre 2015, 10:21:54
« Nous irons vivre parmi les humains, ma chérie... Tu dois t’habituer à voir à quoi ils ressemblent. »

La manière dont Pamela en parlait semblait indiquer qu’elle s’excluait elle-même de l’humanité. En soi, ce n’était pas faux, car, par sa nature florale, elle n’était plus vraiment une humaine... Elle était une créature hybride, à mi-chemin entre le simple statut d’être humain et celui d’Alraune. Et, partant de là, elle ne comptait pas vire ad vitam aeternam dans la forêt. Il fallait donc aller dans le monde des humains, mais, pour ça, elle préparait un peu Kyli... D’où le choix de revêtir cette apparence, avec une tenue. Lily et Raune avait dû apprendre à Kyli tout ce qu’il y avait à savoir sur la flore, mais, en ce qui concernait les humains, c’était une toute autre histoire, et Pamela sentait bien qu’elle allait devoir assister sa belle fille pour lui apprendre comment la civilisation humaine fonctionnait.

Pamela proposa ensuite à son adorable fille de venir piquer une tête, mais, timidement, cette dernière lui avoua qu’elle ne savait pas nager, ce qui fit sourire Ivy.

*Évidemment, elle est encore très jeune...*

Elle lui expliqua donc que ce n’était pas grave, de venir quand même, sans crainte, car elle lui apprendrait à nager. Rassurée, Kyli se rapprocha donc, et se retrouva ainsi face à sa belle mère, qui lui sourit, et lui ébouriffa tendrement les cheveux.

« On va commencer doucement... Tu n’apprendras pas à nager ce soir, Kyli, mais... On s’y attellera, ne t’en fais pas. »

Ivy lui fit un nouveau sourire, plus tendre. Oui, elle était bien décidée à enseigner tout ce qu’elle pouvait inculquer à son adorable fille, et lui fit signe de s’allonger sur le dos. Elles allaient commencer en douceur, et elle aida Kyli à se coucher, tandis que des algues poussèrent des tréfonds de l’eau pour venir se poser sur le corps de Kyli, un sur sa nuque, un autre vers le bas de son dos, et deux autres en appui sur ses jambes.

« Voilà... Écarte bien les bras et les jambes, Kyli, et, surtout, contrôle ta respiration. Ne sois pas paniquée, ma chérie... »

Les tentacules maintenaient Kyli au-dessus de la surface de l’eau, mais Pamela n’en avait pas encore totalement fini avec elle. Elle l’observa en souriant, puis poursuivit :

« Je vais retirer les tentacules, maintenant... Et tu vas flotter en surface. Contente-toi juste de flotter au début, ma puce... »

Et, joignant le geste à la parole, peu à peu, les tentacules soutenant l’agréable corps de l’Alraune vinrent à se retirer, les uns après les autres...
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le jeudi 01 octobre 2015, 22:09:57
J'étais à moitié plongée dans l'eau. Je savais que je n'allais pas apprendre à nager en une nuit, mais il fallait bien que j'arrive au moins à flotter pour pouvoir profiter de la baignade. Ma maman me fit signe de me mettre sur le dos, ce que je fis avec un peu d'aide de sa part. Ensuite, je sentis des algues pousser au fond de l'eau et remonter vers la surface. Une se posa sur ma nuque, une autre dans le bas de mon dos et les deux autres sur mes jambes. Ces pousses aquatiques soutenaient mon corps en attendant que je trouve la bonne position pour flotter. Et en suivant les conseils de ma maman, ce fut facile de la trouver.

Une fois que j'étais bien placée, bras et jambes bien écartées et respiration calme, Ivy me prévint qu'elle allait retirer les algues qui me soutenaient pour que je flotte toute seule. Rien qu'en voyant, je me sentais en confiance.

« D'accord. Je suis prête. »

Lentement, les algues qui me tenaient en surface se retirèrent, laissant mon corps se débrouiller seul. Et comme maman l'avait prévu, je flottais tel une feuille sur la surface de l'eau. C'était une sensation très relaxante : se laisser porter par les flots, les oreilles baignant dans le silence des fonds marins, sans craindre la noyade ou que quelqu'un brise ce silence parfait. C'était comme si je vivais dans la réalité le calme que j'avais ressenti dans mon rêve. D'ailleurs, penser à ce rêve me redonna envie de me blottir contre le corps de ma maman. Son corps si doux, si chaud, si accueillant. Tandis que je me laissais flotter, je me redressais soudain alors que j'étais dans une partie du lac où le fond était assez bas pour que j'ai pied mais où mon corps était immergé jusqu'au cou. Qu'à cela ne tienne j'étais toute proche de ma maman, alors je passai mes bras autour de son corps et calai ma tête contre ses seins. Et d'un seul coup, je me sentis à nouveau comme lorsque j'étais à peine sortie de mon cocon, quand mon corps dégoulinait de liquide amniotique et qu'Ivy m'avait serré dans ses bras pour la première fois.

« Je t'aime maman. Je t'aime tellement. »

Peu importe le lieu ou l'heure, j'avais toujours envie de faire un câlin à ma maman. Poser mes mains dans son dos, enfouir ma tête dans sa poitrine, fermer les yeux et écouter les battements de son cœur, sentir ses mains me caresser le dos, le visage et les cheveux, l'entendre me dire que je suis sa petite puce, son ange vert, sa merveille... Tout ça composait ce que j'aimais le plus chez ma maman : malgré mon comportement plus proche du jeune enfant (voir du très jeune vu qu'elle m'allaitait) que de l'adolescente dont j'avais l'apparence, elle m'aimait du plus profond de son cœur et faisait tout pour me rendre heureuse. Elle m'avait même prise ma virginité. Je crois honnêtement que je n'aurais pas pu être plus heureuse avec une autre maman que je ne l'étais avec elle. Et même si la journée se finissait, nous avions encore toute la nuit devant nous.

« Ah, j'adore te faire des câlins. Bon, on reprend les leçons de natation ? »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le mardi 06 octobre 2015, 10:53:10
Un sourire sur le coin des lèvres, Pamela regardait sa belle Kyli dériver le long de la surface du lac. Comme elle s’y attendait, cette dernière était en train de flotter, et sa mère la suivait lentement, sans rien dire, l’esprit plongé dans des océans de bonheur. Elle avait déjà été heureuse, notamment quand elle venait de faire l’amour avec Harley, qu’elle arrivait à sauver des plantes... Ou qu’elle parvenait à capturer Batman. Mais là, le plaisir qu’elle ressentait était comme décuplé, à un niveau qu’elle n’aurait jamais pensé pouvoir atteindre auparavant. Très heureuse, Pamela la suivait, sans rien dire, afin de ne pas la perturber dans sa concentration. Finalement, Kyli finit par se rapprocher du rivage, et posa ses pieds sur le sol, surprenant un peu Ivy... Avant qu’elle ne vienne lui faire un câlin, et ne lui déclare sa flamme.

Pamela cligna des yeux à plusieurs reprises, en les sentant s’embuer. Une vague de tendresse déferla dans tout son corps, et ses mains se crispèrent contre les cheveux de Kyli, tandis qu’elle soupirait lentement, venant se mordiller les lèvres devant ce qui était, ni plus, ni moins, qu’une véritable déclaration d’amour. Comment ne pas être émue quand on entendait votre propre fille dire à quel point elle vous aimait ? Pamela ne dit rien sur le coup, car elle accusait le coup d’une telle révélation.

Le câlin dura encore un peu, et Kyli demanda ensuite de passer au reste de sa formation... Pour seule réponse, Poison Ivy se mit à sourire, et hocha la tête.

« Oui... Mais attends un peu... »

Attendre ? Attendre quoi ? La réponse vint rapidement quand Pamela se pencha vers le visage de Kyli, et l’embrassa tendrement sur les lèvres, redressant un peu le corps de la jeune femme. Sa main se posa sur ses cheveux, et l’autre s’appuya sur ses fesses, s’en servant pour relever son corps. Les deux femmes s’embrassèrent donc, tendrement, longuement, leurs bouches se plaquant mutuellement pendant de longues secondes. Pour Ivy, c’était la meilleure manière d’exprimer tout son amour envers sa fille. Elle l’embrassait goulûment, sans relâche, crispant son corps contre le sien, et sa langue fila dans la bouche de la femme, jouant avec cette dernière.

Les deux femmes s’embrassèrent donc pendant un certain temps. Un baiser langoureux et fougueux, qui exprimait tout l’amour de la mère envers sa fille, un amour incestueux, intense, mais qui ne risquait guère de choquer Ivy.

« Je t’aime, ma Kyli-chérie, oh oui, ma puce, je t’aime... Et je ne ma lasserais jamais de t’entendre dire que tu m’aimes... »

Oh ça non ! Kyli pourrait le dire autant qu’elle voulait ! Pamela lui sourit, et l’embrassa encore sur les lèvres, en souriant légèrement.

« Allez, reprenons ton entraînement, sinon je vais à nouveau te faire l’amour... »

Elle la relâcha alors, tentant de retrouver son calme

« Pour nager, il y a des mouvements à faire avec les jambes et les bras. Observe-moi... »

Pamela se coucha dans l’eau, et commença à nager, en remuant des bras et des jambes pendant plusieurs secondes, permettant ainsi à Kyli de voir ce qu’elle faisait pour nager.

« La priorité est de donner une impulsion avec les bras, en joignant les mains ensemble devant toi, puis en écartant tes bras, et en les ramenant le long du corps. Parallèlement, il faut faire la même chose avec les jambes pour te stabiliser. Tu vois ? On pousse avec les bras en les ramenant le long du corps, et on recommence... »

La femme retourna ensuite vers Kyli, puis tendit ses mains dans l’eau.

« Couche-toi sur le ventre sur mes bras, ma puce, et fais les mêmes mouvements que moi... Ne t’inquiète pas, je te tiens, mais je veux juste voir si tu sais bien les faire... »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le dimanche 11 octobre 2015, 23:05:58
« Oui... Mais attends un peu... »

Attendre ? Alors que je me demandais ce que j'allais bien pouvoir attendre, la réponse vint à moi d'elle même : ma maman embrassa mes lèvres avec les siennes. Une délicieuse rencontre qui me fit fermer les yeux et soupirer d'aise sans chercher à bouger, à parler ou même à comprendre, je me contentai d'apprécier ce qui se passait. Je sentis une de ses mains se poser sur mes cheveux et l'autre s'appuyer sur mes fesses. Après ça, elle releva un peu mon corps pour le rapprocher du sien, ce qui me fit très plaisir parce que je pouvais mieux sentir sa chaleur se mêler à la mienne. Nous nous embrassâmes ainsi pendant de longues et délicieuses secondes, passant d'un simple contact entre lèvres à un ballet buccal entre langues, toujours avec ses mains sur mes cheveux et sur mes fesses. Nous partagions un moment parfait d'amour pur et sincère. Certaines mauvaises langues auraient pu dire qu'un amour incestueux était une forme avilissante d'affection, mais je me fichais bien de ce que les gens pouvaient dire, j'aimais ma maman de tout mon cœur, aussi bien pour son cœur que pour son physique, rien n'était à enlever chez elle. Je l'aimai exactement comme elle était et je n'aurais voulu me séparer d'aucune partie de cet amour.

Quand nos bouches se séparèrent, Ivy me répéta encore qu'elle m'aimait et qu'elle ne se lasserait jamais de m'entendre dire que je l'aime.

« Moi non plus maman, je n'en aurais jamais assez de t'entendre me dire que tu m'aimes. »

Après un dernier petit baiser, nous nous séparâmes pour en revenir à la leçon de natation. Ma maman me montra et m'expliqua comment utiliser mes bras et me jambes pour avancer dans l'eau. Vu comme ça, ça n'avait pas l'air très difficile, mais je ne pouvais en être sûre qu'après avoir essayé. Du coup, suivant ses instructions, je me mis sur le ventre et me couchai sur ses bras. Une fois en position, je répétait exactement les mêmes mouvements que ceux qu'elle m'avait montré. Ça, c'était acquis. Du coup, elle me lâcha progressivement dans l'eau pour voir comment je m'en sortais en situation réelle, en me rappelant bien de ne pas paniquer, qu'elle était toujours près de moi pour me rattraper au cas où.

Mes premières minutes de nage furent comme mes premières minutes de marche après être sortie de mon cocon : manque de coordination, quelques chutes et ma maman toujours là pour m'aider à me relever. Et finalement, après quelques dizaines de minutes d'essais, j'avais fini par trouver le bon rythme. Mais très vite, toute cette activité physique me fatigua. Mon corps était encore jeune, son endurance était rapidement épuisée. Je me dirigeai vers le bord du lac et je m'assis dans l'herbe pour reprendre des forces. Très vite, Ivy me rejoignit.

Nous passâmes quelques minutes à discuter de cette nouvelle expérience qui m'avait autant amusée que fatiguée, puis j'eus envie d'aborder avec elle un autre sujet.

« Maman, j'aimerais te dire quelque chose. »

J'avais toute son attention.

« Pendant notre baiser de tout à l'heure... quand tu m'as touché les fesses... j'ai trouvé ça... très agréable...
Tu voudrais bien... le refaire... pendant que je... touche les tiennes... »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le mercredi 14 octobre 2015, 10:37:40
Aider Kyli à nager était un vrai bonheur pour Pamela, qui l’encourageait en la voyant remuer des bras et des jambes. Elle lui disait de bien penser à synchroniser les deux, ce qui était sans aucun doute le plus difficile.... Ça, ainsi que le fait de dépasser sa peur de l’eau. Et, mine de rien, ce n’était pas une idée en l’air. Il suffisait de lire Lovecraft pour le savoir : l’eau était une terreur profonde et inconsciente de l’être humain. Une peur fantasmagorique. Kyli se mit donc à remuer des bras et des jambes, et Pamela la félicita. Honnêtement, elle s’en sortait très bien, et, après quelques essais, elle finit par revenir vers le bord, Ivy venant la rejoindre.

Cette première journée s’était passée à merveille. Sa fille était viable, belle, endurante, et avait toutes les qualités pour lui plaire. Pour Pamela, elle était tout simplement parfaite. Si la femme avait toujours eu envie d’avoir une progéniture, la scientifique, elle, voyait avec un certain dédain le fait d’avoir un bébé, un bébé chouinard, trop petit pour pouvoir réfléchir, et qui ne savait qu’aboyer et manger. Les enfants commençaient vraiment à devenir appréciables quand on pouvait leur apprendre des choses. Lily et Raune avaient donc offert à Poison Ivy le parfait enfant, une fille qui était sortie de son cocon à l’âge adolescent. Kyli était à la fois belle et intelligente, et savait comment utiliser ses capacités surnaturelles, découlant de sa nature d’Alraune. Pamela ne pouvait tout simplement ressentir autre chose pour elle qu’un amour sans bornes.

Les deux femmes parlèrent ensemble du fait de nager, Pamela lui disant que, bientôt, ça lui serait aussi naturel que respirer. Le secret était de se familiariser avec l’eau, et de ne pas paniquer.

« J’ai conscience que c’est difficile, parce que, quand on est dans l’eau, on n’entend plus rien, et il est donc naturel d’avoir peur. »

Une peur qui n’était pas totalement irrationnelle, car, sous l’eau, les mouvements étaient limités, et la respiration manquante. Ce n’était qu’avec l’expérience qu’on finissait par la battre. Cependant, il était nécessaire de maîtriser l’eau, encore plus quand on était une Alraune, car les plantes avaient besoin d’eau pour se développer, pour vivre et pour pousser. Alors qu’elles en parlaient, Kyli se retourna soudain vers sa mère, et lui demanda... Autre chose. Quelque chose qui amena sur les tendres lèvres de Pamela un doux sourire.

« Oh... »

Il fallait croire que sa petite Kyli était une grande perverse... Ce qui, en soi, n’était pas très surprenant. Pamela avait déjà pu constater que les Alraunes de Terra n’étaient pas vraiment des créatures prudes et chastes, et c’était particulièrement vrai pour Lily et Raune, deux sœurs alraunes dont il était difficile de déterminer laquelle était la plus perverse. Et, quand on avait comme génitrice Pamela Lilian Isley, qui n’hésitait pas à empoisonner des hommes oud es femmes pour coucher avec eux, et à jouer de ses tentacules, il aurait été très surprenant que Kyli en développe pas leur appétit pour le sexe. C’était à se demander qui était déviant dans ce domaine : les humains, ou les Alraunes ? Pamela s’était souvent posée cette question, en se disant que, dans le fond, il était bien qu’il y ait cette dichotomie, car elle ne faisait que rendre l’expérience sexuelle encore plus stimulante.

Elle sourit donc devant Kyli, et hocha la tête.

« Bien sûr, mon cœur... »

Pamela se redressa alors, et fit signe à Kyli de se relever à son tour. Les deux femmes se placèrent ainsi, l’une face à l’autre, et Pamela posa ses mains sur les hanches, lui souriant... Et les déplaça ensuite, venant malaxer ses fesses, posant une main sur chaque fesse, les massant tendrement, les serrant contre ses doigts.

« Je pourrais masser ton petit cul pendant des heures, Kyli. Il est si doux, si tendre... Tu aimes qu’on te le palpe ainsi, hein ? »

Une question qui n’attendait pas vraiment de réponse, car cette dernière était évidente.

« Palpe les miennes, ma chérie... Une main sur chacune. Tu peux pincer ma peau, la gratter... Bref, fais ce que tu veux, mon amour, ce que tu veux... »

C’était si bon de faire l’amour avec sa fille, si bon et délicieux... Pamela ne s’en lasserait jamais !
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le dimanche 18 octobre 2015, 21:41:39
L'espace d'un instant, j'ai pensé que ma maman ne voudrait pas accepter ma demande. Mais finalement, elle le fit quand même et j'en fus soulagée. Je me relevai juste après elle et, suivant son signe de la main, je vins me coller tout près d'elle, si près que je pouvais sentir la chaleur de sa peau contre la mienne et reposer ma tête dans sa poitrine. J'étais si bien dans cette position que je n'osais plus vraiment bouger. Mes mains étaient calmement posées dans le dos de ma maman, tandis que je pouvais sentir ses mains à elle glisser le long de mes hanches, m'arrachant quelques petits soupirs de plaisir, jusqu'à les poser sur mes fesses et se mettre à les masser tendrement. Ses gestes étaient d'une précision et d'une douceur si grande que tout mon être en tremblait d'extase. Mes doigts se serraient contre la peau de son dos quand les siens pressaient mon derrière et me faisaient gémir.

« Han... oh oui... maman... c'est si bon... »

Mes fesses devaient sûrement être une autre zone érogène de mon corps. D'un côté, ça paraissait logique : elles étaient si proches de mon intimité, peut-être qu'une partie des messages nerveux envoyés depuis cette région passaient par mon entrejambe et que le plaisir se mêlait jusqu'à devenir ce que je ressentais. Mais peut-être aussi que je me posais trop de questions et que, pour une fois, je devais juste profiter de ce qui m'était donné. D'autant plus qu'Ivy m'avait autorisé à faire ce que je voulais à son fessier avec mes mains. Pincer sa peau, la gratter... Tout m'était permis.

Répondant à son appel, je fis lentement glisser mes mains sur son dos jusqu'à atteindre ses fesses, et je posai une main sur chaque fesse. Ne sachant pas vraiment m'y prendre, je commençai par essayer d'imiter ses gestes : je massai chacune de ces deux belles bosses sans trop forcer, pressant parfois mes doigts sur ces dernières. Puis, à mesure que je prenais confiance en moi, j'osais des gestes moins communs : je griffai un peu sa peau, mais sans lui faire de blessure pour autant pour ne pas abîmer ce si joli corps, je la pinçai à certains endroits pour la sentir ensuite onduler sous mes doigts, je pressai toujours plus fort pour bien ressentir la fermeté de ce délicieux fessier. Et puis, d'un seul, coup, alors que je me sentais vraiment en confiance, je mis une petite tape à la fesse droite. Ma maman en sursauta sur place.

« Qu'est ce qu'il y a ? Ça ne te plaît pas ? »

J'étais morte de peur à l'idée d'avoir fait une erreur, d'avoir contrariée ma maman, si bien qu'elle ne voudrait plus me laisser toucher ses fesses ou même une autre partie de son corps. Mais en fait, c'était tout le contraire : elle avait aimé cette petite tape surprise et me demandait même de recommencer. Tout d'un coup, ce fut comme si plus rien ne m'était impossible : j'étais animée par la satisfaction d'avoir pris une initiative et qu'elle ait portée ses fruits.

Pendant encore plusieurs minutes, je continuai de jouer avec les fesses de ma maman, enchaînant caresses, pincements, massages, petites fessées et autres gestes que mes mains pouvaient réaliser. Et à mesure que je l'entendais gémir son plaisir, et qu'elle faisait subir le même traitement à mes fesses, mon envie de sexe se ralluma doucement tel une petite étincelle qui donnerait naissance à un grand feu. Ma main droite quitta le fessier de ma maman pour venir toucher son entrejambe qui, comme je le supposais, dégoulinait déjà de cyprine.

« Hum... Maman... tu es toute mouillée... han... »

Comme j'étais collée à elle, il ne me fallut qu'un petit mouvement de la tête pour atteindre une de ses seins et coller ma bouche contre son téton. Même quand elle n'avait pas de lait en elle, la téter restait très plaisant, et voir son visage changer d'expression sous l'effet du plaisir était encore meilleur. Coincée entre ma tête sur sa poitrine, ma main entre ses jambes et mon autre main sur son fessier, il n'y avait pas beaucoup d'issues possibles : soit elle choisissait de ne pas se laisser sombrer, soit nous allions à nouveau faire l'amour. Et cette fois, ce serait encore meilleur que la première fois.

A ce moment précis, je me surprenais à être aussi audacieuse. Il n'y pas douze heures de cela, je me retenais de me jeter sur les seins de ma maman, pensant que j'étais trop vieille pour pouvoir être allaitée, et maintenant je me lançais de mon propre chef à l'assaut de son corps. Pourquoi était-je devenu aussi entreprenante d'un seul coup ?
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le mercredi 28 octobre 2015, 17:32:53
Pour une si jeune pousse, Kyli était bien coquine, ce dont Pamela prit vraiment conscience quand elle alla, non seulement palper ses fesses, mais aussi les gifler. Un soupir de surprise s’échappa de ses lèvres, mais elle sourit ensuite à sa fille, et l’embrassa sur le front.

« Oh, si, mon cœur, ça me plaît... Mais, si tu me fesses, je vais devoir en faire autant... »

Le sexe était un mélange de plaisir et de douleur, ce qui expliquait pourquoi il n’était pas fait pour les enfants, et pourquoi ce plaisir était un plaisir adulte et mâture. Un enfant élaborait une franche distinction entre la repoussante douleur et l’agréable douceur. Un système consistant à mélanger les deux lui était incompréhensible. Cependant, Kyli était un peu différente. Elle avait grandi dans sa chrysalide, et était donc une adolescente, une adolescente qui, malgré son innocence et sa naïveté, semblait, elle aussi, apprécier le sexe pour ce qu’il était. Elle massait plutôt bien le cul de sa mère, avant de le gifler, et Pamela lui répondit donc.

Elle, elle massait les fesses de la femme, les crispant entre ses doigts, les écartant. Kyli essayait naturellement de répéter ses gestes. Pour s’occuper de fesses, il fallait les tirer et les écarter, et non les rapprocher. En les écartant, il y avait une onde de douleur qui partait à hauteur de la racine des bosses, le long de la croupe. Et cette douleur était l’élément jouissif de la scène, se rajoutant par-delà les caresses et les pincements. Pamela s’amusait en effet à pincer la chair de Kyli, glissant sur ce beau petit cul.

« Hum... Tu as vraiment un très joli cul, Kyli, tendre, et... Je vais adorer te fesser ici, ma petite chérie... »

N’était-ce pas Rousseau, après tout, qui, faisant ses confessions, avait dit qu’il avait ressenti dans la douleur « un mélange de sensualité » ? Douleur et douceur, deux choses éternellement liées... Et massages et fessées se mélangèrent donc, Pamela ne frappant toutefois pas très fort, tout en s’imaginant très bien mettre Kyli à genoux, avec son petit cul relevé, et pouvoir la fesser. C’était sans aucun doute la preuve qu’elle était bel et bien une Alraune de Terra, et elles continuaient donc à se palper, jusqu’à ce que Kyli, de plus en plus excitée, n’aille approcher ses doigts des cuisses de sa mère, tout en retournant jouer avec ses seins. Les mains de Pamela se crispèrent contre les fesses de la femme, et un gémissement s’échappa de ses lèvres.

Audacieuse, Kyli continuait à jouer, et, en clignant des yeux, Pamela se mit à sourire joyeusement, puis redressa ses mains.

« Hum... Oui, nous sommes mouillées toutes les deux... Alors, il est temps d’agir. »

Surprenant alors probablement Kyli, Pamela posa ses mains sur ses épaules, et la repoussa légèrement, puis lui sourit.

« Nous allons essayer une nouvelle figure, ma chérie... Car Maman a très envie de te faire l’amour. »

Elle l’embrassa rapidement, puis fléchit ensuite les genoux, et s’assit sur les fesses, puis se coucha sur le dos, allongée devant Kyli.

« Viens près de moi, au-dessus de moi, mais en te retournant. Tu vas lécher mon sexe pendant que je lécherais le tien... »

Et, comme pour l’inciter à venir, Pamela avait glissé ses doigts dans son intimité, et se masturbait sous les yeux de Kyli, son autre main venant pincer l’un de ses propres seins. Elle se tortillait devant Kyli, comme pour mieux l’exciter.

« Viens, mon amour, viens, ma chérie... » lâchait-elle d’une voix sensuelle.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le dimanche 01 novembre 2015, 18:37:35
Dans tout mon corps se diluait un très agréable sentiment de plaisir doux et chaud, un vrai bonheur pour moi. J'étais assez à l'aise pour me permettre de ne plus être seulement une partenaire passive pour ma maman, j'allais la stimuler en glissant une main entre ses jambes et en aspirant un de ses tétons dans ma bouche. De son côté, elle s'était mise à me fesser au milieu de ses massages, me donnant de petites tapes sur mon joli cul, et c'était très excitant. Parmi les souvenirs d'Ivy sur l'espèce humaine que j'avais reçus par l'intermédiaire de la chrysalide, l'un d'eux me revint alors en mémoire : la fessée n'était pas qu'un outil parmi tous ceux qu'il était possible d'utiliser dans un rapport sexuel, c'était aussi considéré comme un moyen de punir les enfants faisant des bêtises. Et même si, d'après ce que j'avais vu, ce genre de méthodes était de moins en moins populaire dans le domaine de l'éducation, il devenait peu à peu une exclusivité du milieu sexuel. Un problème se posa alors dans mon esprit : si la fessée est un châtiment, pourquoi est-ce si agréable ? Pourquoi est ce que j'aimais recevoir des claques sur mon petite derrière alors que c'était censé être pour me punir de quelque chose ? Décidément, il y avait encore bien des choses sur le fonctionnement du monde humain qu'il me restait à comprendre.

Alors que les choses se passaient bien, ma maman posa ses mains sur mes épaules pour me repousser légèrement. Avais-je fait quelque chose de mal ? Impossible ! Heureusement, elle ne s'éloigna de moi que pour mieux m'inciter à revenir. Allongée sur l'herbe, elle me proposa d'expérimenter une nouvelle figure sexuelle. Comme pour mieux m'exciter, elle se mit à se masturber sous mes yeux, enfonçant ses doigts dans son sexe et tirant sur un de ses seins tout en se tortillant sur le sol. J'étais comme un papillon attirée par une lumière vive, et je vins me positionner au-dessus de ma maman, soutenant mon corps grâce à mes genoux et mes coudes, mes bras passèrent autour de ses cuisses et mon sexe fit face à son visage tandis que son entrejambe s'offrait à ma vue. Tout comme elle, j'étais mouillée et tremblante d'excitation, impatiente de pouvoir à nouveau profiter du plaisir charnel entre ses mains.

Ma tête se baissa doucement jusqu'à ce que ma langue soit à portée de sa fente humide et rose. J'écartai les lèvres extérieures avec mes mains pour pouvoir directement aller lécher l'intérieur de ce sexe. Je pouvais sentir les parois internes du vagin se resserrer autour de ma langue, sa mouille couler sans interruption, j'entendais ses gémissements de plaisir. Mon bonheur était fait rien que de pouvoir lui faire ces choses, mais ce fut encore mieux quand elle se mit à me lécher de la même façon. Sa langue passait sur et dans mon intimité, n'épargnant aucun recoin de peau susceptible de m'exciter dans cette zone. C'était tout bonnement merveilleux, et mon plaisir grimpait vraiment en flèche.

« Aahh... Nyaahh... Maman... oohh... »

Nous n'avions pas besoin de mots pour nous comprendre, mais j'aimais toujours extérioriser mon plaisir. Et pendant qu'il m'envahissait, je continuai inlassablement à lécher l'entrejambe de ma maman pour qu'elle le ressente aussi. Ensemble, nous vivions un instant de pure extase des sens. Je priai pour qu'il dure toujours...
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le dimanche 08 novembre 2015, 16:36:33
Quand Pamela avait su qu’elle allait avoir une fille, elle était alors bien loin de s’attendre à ce qu’elle soit si... Si perverse. Elle n’avait pas voulu faire Kyli pour avoir une amante sexuelle régulière, mais bien pour avoir une fille, un désir qui la travaillait depuis des années. À Gotham, elle avait même fait des expériences, une fois, en se mariant avec son psychiatre à Arkham, utilisant son sperme pour se confectionner des enfants. Des enfants-plantes, mais qui étaient de véritables monstres. Depuis cet épisode, Pamela s’était convaincue qu’elle n’arriverait jamais à avoir d’enfant, car elle était inféconde. Sa nature d’être hybride faisait qu’elle ne pouvait pas engendrer la vie... Et il avait fallu l’aide extérieure de Lily et de Raune pour que la Nature puisse lui offrir un enfant. Kyli était maintenant là, belle, forte, et avait hérité de l’appétit sexuel des Alraunes.

En voyant sa mère se masturber, Kyli n’avait rien ressenti d’autre qu’une profonde excitation, visible dans ses yeux, et, quand la jeune pousse vint se positionner au-dessus de Pamela, en lui offrant la vue de son bassin, cette excitation fut également ressentie par Pamela. Elle libéra l’accès à son sexe, un sexe qui dégageait une délicieuse odeur aphrodisiaque. Sa mouille était parfumée, et ce parfum était un parfum délicieux à sentir, dont le but était d’exciter encore plus facilement ses éventuels partenaires. C’est donc avec un plaisir non dissimulé que Pamela sentit la langue de Kyli venir se ruer contre son sexe. Elle avait elle-même plutôt bien écarté les jambes, facilitant ainsi le travail de sa fille, et posa ses mains sur ses fesses, l’incitant ainsi à venir s’allonger tout contre elle.

« Hum... »

La mouille de Pamela ne tarda pas à couler en abondance, et elle lécha à son tour le sexe de Kyli, s’enfonçant dans ses délicates lèvres intimes, léchant son paroi, frottant son clitoris avec sa langue. Ce bouton de plaisir était sa cible, une cible qu’elle se mit à bombarder de multiples assauts linguaux. Sa langue filait dessus, encore et encore, la léchant, l’excitant, s’y frottant, tandis que, avec ses mains libres, elle remuait un peu ce joli cul, le malaxant et le pinçant. La femme remuait les jambes sur le sol, en soupirant, sentant la mouille de Kyli, sa délicieuse cyprine, qui se mit à affluer en elle. Elle y goûta avec plaisir, tout en continuant à malaxer le cul de la femme, écartant ses fesses, crispant ses doigts dessus, puis elle finit par déplacer sa main, et alterna ainsi entre lèchements et pénétrations digitales.

C’était excitant, tellement excitant... Ce genre de positions, elle le faisait fréquemment avec Harley, mais là, avec sa fille, c’était... C’était étrangement encore mieux ! Kyli se tortillait contre elle, et Pamela faisait preuve de tout son talent, bien décidée à faire jouir sa fille contre elle, sur sa bouche. Elle léchait donc son clitoris, et le pinçait avec ses doigts.

« Haaa... »

Poison Ivy se faisait plaisir, en masturbant ainsi Kyli, et n’attendait maintenant plus qu’une seule chose...

Qu’elle jouisse sur son visage !
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le dimanche 15 novembre 2015, 21:37:08
Oh mon Dieu ! Quel instant parfait je vivais. Allongée tout contre ma maman, qui léchait ma petite fente humide pendant que je léchais la sienne, nous procurant l'une à l'autre des frissons d'extase toujours plus délicieux tandis que les secondes s'écoulaient et que je croyais le temps figé autour de nous. Mon corps réclamait toujours plus de plaisir, j'en avais une soif qui me semblait impossible à étancher, heureusement pour moi que ma maman savait où me toucher pour me procurer le plus de sensations. Sa langue et ses doigts ne cessaient de harceler mon petit bouton à plaisir, et j'aimais tellement ça... De mon côté, je lui rendais chacune de ses attentions sur mon entrejambe en embrassant, léchant et doigtant son coquillage. Tout ce que je regrattais était de ne pas pouvoir malaxer et pincer ses fesses comme elle le faisait avec moi.

Combien de temps avions-nous passé à nous masturber l'une l'autre ? Je ne saurais pas le dire. Mais en tout cas, notre orgasme fut des plus incroyables. Je joui allègrement sur le visage de ma maman, répandant ma cyprine sur son visage jusqu'à l'en recouvrir, tandis que sa mouille à elle finit pour la plupart sur ses cuisses et sur l'herbe du sol, une petite partie allant s'échouer sur mon visage ou dans ma bouche. Sa mouille féminine avait un goût doux et sucré, me rappelant un peu celui de son lait.

Après l'excitation du rapport sexuel vint le relâchement de l'orgasme. Je m'étendis de tout mon long sur le corps de ma maman, fatiguée mais contente. Elle déplaça mon corps mou pour me m'allonger sur le dos sur l'herbe tendre, puis se coucha à côté de moi. J'eus droit à de petites caresses sur mon ventre et sur mes hanches qui me firent sourire, puis elle enleva la mouille qui se trouvait sur mon petit minois avant d'enlever ma mouille sur son visage. Après ça, j'allai me blottir contre elle dans un autre tendre câlin. Un moment simple et affectueux, sans aucun caractère sexuel quelconque, juste pour nous connecter émotionnellement l'une à l'autre. J'avais enfoui ma tête entre ses seins, j'écoutais les battements encore emballés de son cœur et je remuai doucement quand elle me caressait les cheveux ou le dos. Dans ce genre de moments, je me sentais calme, apaisée et en sécurité. Et pourtant, quelque chose en moi continuait de brûler. J'avais beau essayer de garder mon esprit vide de toute pensée coupable, il en restait une dans ma tête.

Blottie contre ma maman, je repensais au moment où ses mains étaient posées sur mon petit cul et me fessait tout doucement. Le sentiment de plaisir que j'avais ressenti à ce moment-là me paraissait totalement contradictoire avec ce que je savais de la raison pour laquelle on fessait un enfant, donc hors du domaine sexuel. Et ce qui n'aurait du être qu'une simple interrogation devint vite un besoin primaire. Et comme si elle l'avait senti, ma maman me demanda à quoi je pensais. Et comme à chaque fois, je fus totalement sincère avec elle.

« Je pensais... aux fessées que... que tu m'as donnée... »

Intriguée, elle voulut en savoir plus.

« La chrysalide m'a montrée que la fessée est une punition qu'on administre aux jeunes enfants pour les punir de leurs fautes. Mais quand tu m'as fessée, j'ai ressenti... du plaisir. Pourquoi ? »

Ma maman me donna une possible explication, mais ça ne me suffisait pas. Pour appuyer ma compréhension de la chose, il me fallait une démonstration pratique. Je me mis donc à quatre pattes sur le sol et je tendis mon fessier rond et ferme à ma maman.

« Maman... je sais que je suis une gentille fille mais... pourrais tu me fesser comme si j'avais été... vi... vilaine ? »

Oui, j'avais eu du mal à sortir ce dernier mot. Et mes joues étaient plus rouges que des tomates. Pourtant, au-delà de la gêne, je ressentais de l'envie. L'envie de comprendre ce qui se passait en moi... et l'envie d'être fessée.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le jeudi 19 novembre 2015, 20:28:09
Ivy et Kyli finirent de faire l’amour joyeusement, dans un magnifique orgasme mutuel, et Pamela se retrouva toute heureuse de sentir, sur son visage, la mouille de sa charmante fille. Kyli était vraiment une créature incroyable, et Pamela finit par la coucher sur le dos, avant de lui nettoyer le visage, léchant ses joues, avalant sa mouille, avant de boire celui de sa fille, une délicieuse cyprine sucrée et parfumée, la mouille d’une Alraune. L’affection de Pamela semblait avoir crevé des plafonds en ce moment, alors qu’elle se tenait contre le corps de la femme, un sourire sur le coin des lèvres. Kyli... Ah, quelle femme parfaite ! Pamela n’aurait jamais pu rêver mieux, et, quand Kyli revint lui faire un câlin, Pamela l’accepta avec joie. Là, ensemble, en pleine forêt, elles étaient si bien... Pamela aurait voulu que ce moment dure à jamais, ce doux moment d’affection incestueux. C’était pervers, mais, curieusement, ça ne dérangeait nullement Pamela. Elle ne voyait pas comment exprimer autant son affection envers sa fille, en réalité.

Ses mains caressaient tendrement ses cheveux, une affection tout à fait maternelle, quand Kyli finit par relever la tête, et vint s’enquérir de quelque chose en particulier... La fessée. Elle était intriguée, ne comprenant pas pourquoi le fait de se faire fesser l’avait excité.

*[colorgreen]Ce n’était clairement pas le genre de discussions que je pensais avoir avec ma fille, ça...[/color]*

Comment expliquer une chose aussi compliquée ? Elle dut s’humecter les lèvres pendant quelques secondes, soucieuse, avant de finir par lui apporter un élément de réponse :

« Il... Il existe un lien entre la douleur et le plaisir, Kyli. Je sais que ce sont des fonctions antonymiques, mais... Disons que, souvent, les contraires s’attirent au lieu de se repousser. Le plaisir et la douleur concourent tous deux au même but : l’exaltation de la vie. Quand on a mal, c’est un avertissement, un signal, quelque chose qui indique que tu vis, et que ton corps est suffisamment bien formé pour ressentir la douleur. Alors, le sexe, c’est une synthèse des deux. »

Ce n’était pas forcément très clair... Mais, honnêtement, comment pouvait-on expliquer quelque chose comme ça ? Kyli était la fille d’une scientifique, quelqu’un qui pensait, à raison, que tout, en ce bas-monde, avait une explication... Sauf peut-être Harley Quinn. Les explications de Pamela ne semblèrent convaincre Kyli qu’à moitié, mais cette dernière comprit surtout que c’était le genre de choses à ressentir. La perversion était une notion compliquée, qui n’était d’ailleurs toujours pas totalement comprise par les psychologues, et ce n’était pas spécialement à une éco-terroriste ayant commis des meurtres qu’il fallait compter pour être une fine psychiatre.

Surprise, elle vit alors Kyli se mettre à quatre pattes devant elle, en lui tendant ses petites fesses. Pamela s’était alors redressée, et, assise sur l’herbe, finit par sourire en entendant la remarque de Kyli.

*Je suis sûre que cette perversion a été laissée par Lily et Raune...*

Sûrement un cadeau pour Poison Ivy. Les deux Alraunes l’avaient beaucoup apprécié, après tout. Kyli avait dit qu’elle voulait être traitée comme si elle avait été « [|i]vilaine[/i] », avec ses belles petites joues rouges, et, en souriant alors, Pamela se redressa, se dressant dans le dos de Kyli.

« Comme si tu avais été une vilaine fille, hum... ? Très bien, ma chérie, tes désirs sont tes ordres... »

Il n’allait toutefois pas falloir trop forcer, mais Poison Ivy était bien décidée à agir ainsi. Ses mains vinrent donc caresser le délicat fessier de Kyli, tandis qu’elle se mit à parler, tout en les pinçant.

« Une vilaine fille, hum... Tu es vilaine, Kyli... Une petite perverse qui aime se faire fesser, ce n’est pas ce que les gentilles petites filles aiment... Mais toi, tu aimes quand je te fesse, hein ? »

Joignant le geste à la parole, sa main vint fesser les fesses de la jeune femme, et elle appuya ensuite dessus avec ses mains, tout en souriant à nouveau.

« Allez, avoue-le... Avoue que tu aimes ça, Kyli, quand ta Maman te punit... Et tu aimes ça parce que tu es une perverse ! Dis-le ! Dis-le à Maman ! »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le mercredi 25 novembre 2015, 19:03:19
Bizarrement, ma maman répondit positivement à ma demande. Moi qui pensais qu'elle allait refuser de me punir alors que j'étais irréprochable. Peut-être qu'une partie de ma perversion venait d'elle après tout...

Elle se redressa et se plaça dans mon dos avant de poser ses mains sur mes fesses, qu'elle se mit à pincer tout en parlant.

« Une vilaine fille, hum... Tu es vilaine, Kyli... Une petite perverse qui aime se faire fesser, ce n’est pas ce que les gentilles petites filles aiment... Mais toi, tu aimes quand je te fesse, hein ? »

Dans l'instant qui suivit, une de ses mains s'abattit sur mon derrière et un gémissement sortit immédiatement de ma bouche. Le coup n'était pas assez fort pour me faire mal, mais suffisamment pour que je ressente un éclair d'excitation me traverser des pieds à la tête et disparaître aussi vite qu'il était apparu.

« Allez, avoue-le... Avoue que tu aimes ça, Kyli, quand ta Maman te punit... Et tu aimes ça parce que tu es une perverse ! Dis-le ! Dis-le à Maman ! »

Sa demande me semblait des plus étranges. Elle voulait que je lui dise que j'étais vilaine et que j'aimais être punie ? Certes, la deuxième partie était vraie, mais ce n'était pas pour autant que j'avais envie de le crier sur tous les toits. J'étais même atrocement gênée d'aimer autant les fessées. Et pourtant, dans les recoins les plus obscurs de mon esprit et de mon désir, j'avais envie d'ouvrir la bouche et de répéter tout ce qu'elle me disait. Mais pourquoi étais-je autant attirée par des tentations aussi étranges ?

Très vite, face à l'insistance de ma maman et à sa fessée toujours meilleure sans être trop douloureuse, je ne pus plus lui désobéir et retenir mes envies.

« Han... han... Ma... Maman... Je... Je suis une vilaine... une vilaine fille... qui aime... aahh... se faire fesser... je suis... une perverse... une vilaine perverse... kyaahh... »

S'il était physiquement possible de mourir de honte, je crois bien que j'aurais déjà été bonne à enterrer. Comment des mots aussi honteux pouvaient-ils sortir de ma bouche, moi qui n'était qu'une adolescente explorant sa sexualité ? J'avais envie de me cacher dans un trou et de ne plus en sortir pour ne plus montrer mon visage de perverse au monde entier, mais mon corps refusait de m'obéir. J'avais beau vouloir le nier, cette fessée était un délice. A chaque fois que les mains de ma maman s'abattaient sur mon derrière, je couinais, je gémissais et je me tortillais sur place. Heureusement que j'avais de l'herbe sous les mains et les genoux.

Alors que je pensais que mon plaisir ne pouvait pas être plus fort, ma maman décida de me changer de position et me mit sur ses genoux. Dans cette position, ma cyprine coulait directement sur sa jambe. J'étais si embarrassée d'être installée ainsi contre elle, mais mon plaisir était plus fort que tout, et tandis qu'elle continuait de me fesser, il ne faisait que devenir plus grand, plus intense, et il me noyait sous ses inarrêtables vagues.

« Ah... maman... encore... aahhh... punis moi... encore... punis... ta vilaine... et perverse... fille... »

Finalement, mon plaisir coupable finit par m'amener jusqu'à la jouissance, et tandis que mon corps se crispait sur les genoux de ma maman, ma cyprine se déversa sur ses jambes. Et quand tout fut fini, je ne me sentais pas bien. Je me sentais honteuse. Je ne pensais pas pouvoir ressentir ce sentiment après su apprécier le fait d'avoir tété le bon lait d'Ivy, mais c'était la vérité : j'avais honte d'avoir pris du plaisir à avoir été punie, et mon visage le laissait clairement voir. Heureusement pour moi, ma maman, fidèle à elle-même, s'entreprit de me consoler du mieux qu'elle pouvait.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le vendredi 27 novembre 2015, 13:11:55
Le fait que Kyli apprécie déjà le sadomasochisme et les fessées était troublant... Excitant, mais troublant. Il allait falloir que Pamela s’en occupe. Le sexe était une bonne chose, mais il fallait aussi que Kyli vive en société... Et vivre en société, c’était aussi savoir restreindre ses pulsions, un exercice très difficile, comme Pamela le savait. Elle le vivait au quotidien, et, si elle avait appris à le faire, il faudrait aussi qu’elle éduque Kyli dans ce sens... Mais, pour l’heure, elle la fessait, et sourit quand Kyli, affreusement gênée, se mit à prononcer des mots sales.

*À quoi ressemblera-t-elle dans quelques années ? Ohlàlà, ma petite fille... Tu es une vraie perverse !*

Pamela pensait cela avec un élan de fierté qui vibrait dans tout son corps... Et elle continua donc à la fesser, et alla même lui mordiller le cou, quand elle la mit sur ses genoux, assise contre elle. D’une autre main, elle alla également la doigter, enfonçant un ou deux doigts dans son intimité, et remua, en soupirant dans son oreille quelques mots doux :

« Petite catin... Perverse... »

Rythmée par cet élan, Kyli finit par jouir tout contre elle, mettant ainsi, derechef, fin à ce petit jeu pervers entre les deux femmes. Kyli était toute silencieuse, bien loin de ses soupirs heureux, alors que sa mouille coulait le long des jambes de sa mère. Ivy retira de son intimité les doigts trempés de mouille, et les approcha des lèvres de Kyli.

« Goûte à ton délicieux nectar, ma chérie... »

Silencieusement, Kyli obéit, mais elle restait troublée... Perturbée. Pendant qu’elle mastiquait et nettoyait les doigts de Pamela, cette dernière réfléchissait, et, quand Kyli eût terminé, Pamela la retourna en la soulevant par les aisselles, et caressa les belles joues de la femme.

« Je suis ta mère, Kyli... Et je suis une perverse. Dans mon monde natal, je suis une professeure qui couche avec ses élèves. C’est... C’est difficile à expliquer, mais... Pour commencer, tu dois savoir que le sexe est un sentiment normal, naturel, mais que les hommes ont réprimé. Ce faisant, ils ont pu s’élever, et ont découvert une chose simple... Ils ont découvert que désir et frustration étaient liés. Moins on fait l’amour, et plus on a envie de faire l’amour, ce qui fait que, progressivement, on développe de nouveaux aspects de sexe. On appelle ça la perversion, mais... La perversion a bien des aspects. Je ne pense pas que je suis très claire, mais, pour t’expliquer, Kyli, il n’y a rien de mal à éprouver du plaisir par la douleur. »

Ah, comment expliquer ça à une jeune enfant ? Avec ses élèves, Pamela ne s’embêtait pas à expliquer, et agissait avec ses tentacules... Mais, avec Kyli, tout serait différent, car elle était bien incapable de la faire souffrir inutilement.

« Le sexe est l’exaltation de la vie, Kyli... Et, dans la vie, il existe deux grandes sensations : le plaisir et la douleur. Les deux sont inextricablement liés par un procédé, et le sexe est la synthèse entre les deux. Dès lors, il n’est pas étonnant que les êtres intelligents et conscients aient des approches variantes du sexe. Et puis, tu as été conçue par Lily et Raune, deux Alraunes terriblement perverses, elles aussi... Pour t’enfanter, elles m’ont fait faire des choses que je ne peux même pas te dire, car tu es encore un peu trop jeune pour cela... »

Tout en parlant, elle continuait à caresser son visage. Elle savait que l’esprit de Kyli était rempli de multiples questions, et c’était son rôle de la soulager, de la guider... Elle devait faire la mère, tout simplement, ce à quoi elle s’appliquait en ce moment, en embrassant le nez de Kyli, puis ses lèvres.

« Tu n’as rien de monstrueux, Kyli, bien au contraire... Tout le monde a un zeste de perversion en soi, tout le monde... Je t’apprendrais à vivre en société, je t’apprendrais à restreindre tes pulsions quand tu côtoieras d’autres êtres humains en public... Je t’apprendrais à te fondre dans la masse, mais aussi à agir comme une Alraune, et donc à jouer, sexuellement, avec les autres humains. Tu verras comme il est jouissif de jouer avec eux, d’utiliser des tentacules pour les pénétrer, d’en faire tes prisonniers... »

Pamela lui sourit à nouveau.

« Tu n’es pas méchante, Kyli, et tu ne le seras jamais... Mais, parfois, il est excitant de vouloir agir comme si on était une méchante. C’est quelque chose de lié à la psychologie humaine, et que j’ai moi-même bien du mal à expliquer... Mais je veux que tu saches que tu n’as pas à rougir de ton comportement. Moi-même, je fouette mes élèves les plus talentueux, et ils adorent ça... »

Ivy ne voyait pas quoi dire de plus, et conclut donc avec un sourire sur les lèvres :

« Maintenant... Mes jambes sont pleines de ta délicieuse mouille... Alors, montre-moi que tu es une gentille fille, et va me les nettoyer... Avec ta langue. »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le samedi 05 décembre 2015, 19:52:07
Je me sentais si mal. Avoir pris un aussi grand plaisir à être châtiée pour une faute que je n'ai même pas commise, juste parce que je voulais voir ce que ça faisait d'être punie quand on était méchante... Et maintenant, j'avais envie de me cacher pour ne plus montrer ce plaisir bizarre sur mon visage. Heureusement pour moi, j'avais une maman qui savait se montrer aussi excitante que réconfortante : après m'avoir fait lécher ses doigts trempés de mon nectar, elle me retourna et me souleva par les aisselles pour m'asseoir sur ses genoux. Tout en caressant mes joues, elle m'expliqua précisément ce qu'était le principe de perversion : comment la frustration de ne pas pouvoir faire l'amour pendant un certain temps, plus ou moins long, permettait d'appréhender de nouvelles façons de prendre du plaisir dans l'acte. Et selon elle, il n'y avait rien de mal à prendre du plaisir dans la douleur. Ce qui l'amena à nouveau à m'expliquer que la douleur était une exaltation de la vie, un moyen de prouver qu'on était encore bien vivant, même si je n'arrivais toujours pas à comprendre. Quand on a mal, on a mal. En quoi cela pouvait il être une bonne chose ? Puis elle me parla brièvement de Lily et Raune, les deux Alraunes qui avaient contribué à ma conception. Je n'avais que très peu de souvenirs ou d'images d'elles, je ne pouvais même pas revoir leurs visages. Je crois que la plupart de ce qu'elles m'ont transmis pendant ma croissance était tout ce savoir sur la nature. Le reste me venait d'Ivy.

Ma maman me parlait sans jamais arrêter de me caresser les joues, un bon moyen de me faire oublier les brûlures qui me chauffaient les fesses. J'eus même droit à des bisous sur le nez et sur les lèvres. Elle m'assurait que je n'avais rien de monstrueux ou de honteux en moi, que tout le monde vivait avec sa part de perversion, et qu'elle allait m'apprendre à la contrôler pour que je ne me laisse pas dépasser par les événements. Et aussi qu'elle m'apprendrait comment jouer avec les humains pour assouvir mes envies sexuelles d'Alraune. Et enfin, il y eut la meilleure partie de tout son discours.

« Tu n’es pas méchante, Kyli, et tu ne le seras jamais... Mais, parfois, il est excitant de vouloir agir comme si on était une méchante. C’est quelque chose de lié à la psychologie humaine, et que j’ai moi-même bien du mal à expliquer... Mais je veux que tu saches que tu n’as pas à rougir de ton comportement. Moi-même, je fouette mes élèves les plus talentueux, et ils adorent ça... »

Après avoir entendu ça, c'était comme si tout mon corps s'était libéré d'un poids. Je ne sentais plus la gêne m'enserrer le cœur, j'oubliais ce sombre moment et je me mis, sans vraiment m'en rendre compte, à sourire. Rien que de savoir que, aux yeux de ma maman, elle ne me verrait jamais comme une méchante, je me sentais plus libre que jamais. Au moins, elle n'allait pas me voir comme une mauvaise fille parce que j'avais pris du plaisir à me faire fesser. Savoir que je resterais gentille à ses yeux était tout ce qu'il me fallait pour me calmer. Mais très vite, elle me demanda de venir enlever la mouille qui couvrait ses jambes en me servant de ma langue. Et comme elle avait utilisé les mots ''gentille fille'', je ne pouvais pas faire autrement que lui obéir avec un grand sourire.

« Oui maman. »

Je descendis de ses jambes pour me mettre à genoux devant elle et j'approchai calmement ma langue de ses jambes. Je ramassai la mouille qui coulait sur sa peau par petits coups de langue, gentiment, sans essayer de faire quoi que ce soit qu'elle n'aurait pas autorisé. A ce moment, j'étais obsédée par l'idée d'être gentille, de ne rien faire qui aurait pu faire croire à ma maman que j'agissais sans son accord. J'étais ce que certains auraient pu appeler ''une petite chatte docile''. L'épisode de la fessée m'avait tellement marqué que je ne savais plus où donner de la tête, je voulais juste faire en sorte qu'il ne se reproduise pas avant longtemps. Alors j'étais gentille, obéissante et docile. En gros, l'incarnation de la fille sage.

Je suis une gentille fille, une gentille fille...

Une fois les jambes de ma maman complètement nettoyées, mes yeux se posèrent involontairement sur son sexe, qui brillait à cause des reflets des rayons solaires sur sa mouille. Cette belle vision me donnait envie de jeter mon visage entre ses cuisses et de la lécher pour la satisfaire, et aussi parce que j'avais envie de la remercier pour avoir satisfait mon désir pervers et m'avoir consolé après. Mais comme je ne voulais pas agir sans son consentement, j'allais quand même lui demander.

« Maman, tu as l'air mouillée en bas. Est ce que je peux aussi te nettoyer ici ? »

Je ne savais pas si mon visage était aussi mignon que ce que ma maman ne cessait d'affirmer, mais à ce moment précis, elle pouvait y lire tout le désir et l'envie qui m'animait de lui faire autant de bien qu'elle m'en avait fait. J'étais sa gentille fille et je voulais le lui montrer.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le lundi 14 décembre 2015, 11:52:25
Le petit discours de Poison Ivy eut pour effet de rassurer Kyli. Il ne fallait pas oublier que, malgré son corps bien formé, la jeune Alraune avait encore une mentalité enfantine, en ce sens qu’elle était très proche de sa Maman... Et qu’elle risquait bien d’y rester encore longtemps. Comment Pamela pourrait-elle un jour la haïr ou la détester ? Seul un profond amour régnait pour elle, un amour sans bornes et sans limites. Alors, la voir retrouver le sourire ne put qu’exciter Pamela, qui se mordilla les lèvres, avant de la voir se défaire de ses bras. La jeune femme alla ainsi lécher ses jambes, et Pamela la laissa faire. Comme pour lui montrer qu’elle était une gentille fille, Kyli s’évertuait à lécher les belles jambes de Pamela au mieux, à leur apporter le plus grand soin possible, et s’attaqua à ses deux jambes, l’une après l’autre. Et, tout en faisant cela, Pamela, elle, la regardait... En se demandant comment elle avait pu tenir aussi longtemps sans progéniture.

Concrètement, elle avait déjà essayé d’avoir des enfants, ou de lutter contre sa stérilité... Elle était donc heureuse de voir, enfin, que son désir de procréation avait été accompli. Elle allait maintenant s’occuper de Kyli avec tout l’amour dont une mère était capable... Et, sur ce point, Pamela se sentait prête à lui donner un amour immense ! La jeune Alraune venait par ailleurs de nettoyer ses jambes, et releva sa tête vers son sexe... Ce qui amena Pamela à la retenir, en comprenant la cible visée par l’Alraune.

« Hummm... Autant joindre l’utile à l’agréable, ma puce... »

Qu’avait-elle en tête ? Pamela esquissa un léger sourire, et observa le sol... Puis des tentacules verdâtres jaillirent alors, et allèrent caresser les cuisses de sa fille, s’enroulant et s’entortillant lentement autour de ses jambes, s’y posant tendrement et chaudement. Un léger sourire éclairait les douces lèvres de Pamela.

« Utilise tes pouvoirs pour prendre le contrôle de mes tentacules, Kyli... Ce sont des tentacules spéciaux. Les bouts sont comme des ventouses qui vont aspirer ma mouille, et tu pourras ensuite la boire en te nichant le tentacule dans ta belle petite bouche. »

Le bout des tentacules était rosâtre, et doux.

« Utilise tes facultés pour moi, Kyli... »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le dimanche 20 décembre 2015, 18:26:40
« Hummm... Autant joindre l’utile à l’agréable, ma puce... »

Je n'en attendais pas moins de ma maman. Cependant, je pensais qu'elle voulait juste que je la lèche comme je l'avais fait, alors je fus bien surprise en sentant deux tentacules végétaux surgir du sol et venir s'entortiller contre mes jambes, tendrement et chaudement, comme si elles me câlinaient.

« Utilise tes pouvoirs pour prendre le contrôle de mes tentacules, Kyli... Ce sont des tentacules spéciaux. Les bouts sont comme des ventouses qui vont aspirer ma mouille, et tu pourras ensuite la boire en te nichant le tentacule dans ta belle petite bouche. »

J'adorais cette idée, et il était facile de le voir grâce à l'expression sur mon visage. De plus, prendre le contrôle de ces tentacules n'allait pas être très compliqué. Mais avant de les utiliser, je pris un instant pour bien les observer. Hormis leur bout rose et doux destiné à récupérer la mouille de ma maman, elles n'avaient rien de particulier, donc il n'y avait aucun risque. Je relevai le visage vers ma maman pour pouvoir la regarder dans les yeux en lui disant...

« Attention maman, j'arrive. »

Voyant qu'il n'y aurait pas la place pour les deux tentacules en même temps, j'en approchai un de l'intimité ruisselante d'Ivy et laissai l'autre en arrière... pour l'instant. Comme elle l'avait dit, le bout rose du tentacule végétal absorbait sa mouille comme l'aurait fait une éponge, et cette sensation la faisait doucement soupirer, ce qui me faisait soupirer à mon tour. La voir quand elle était excitée était toujours une vision plaisante pour mes yeux d'adolescente en âge de puberté. L'agréable chaleur de mon excitation se répandait à nouveau en moi, et je savais que ça n'allait pas aller en s'arrangeant.

Après de longues minutes qui me parurent trop courtes, je pus sentir que le tentacule était rempli de mouille, il fallait donc le vider. Et tandis que le premier s'éloignait, le deuxième se rapprochait. Suivant les conseils donnés par ma maman un peu plus tôt, je mis le bout du premier tentacule dans ma bouche et j'appuyai un peu avec mes lèvres pour faire sortir le liquide, que je buvais avec bonheur. Il était si bon, avec ce petit goût sucré et cette texture... Je l'avalais comme de l'eau sans jamais me lasser, peu importe la quantité qui se déversait dans ma bouche. Mais je remarquai vite quelque chose de bizarre au niveau du second tentacule : la mouille se remettait à couler de l'entrejambe de ma maman. Ça ne pouvait pas venir du passage du bout rose sur son sexe, je faisais bien attention à ne pas trop forcer pour que ça ne l'excite pas trop. Alors pourquoi ?

Une fois le premier tentacule vidé de tout son liquide, je mis le deuxième dans ma bouche pour le vider à son tour, tandis que le premier allait aspirer la cyprine qui coulait à nouveau. Et encore une fois, je bus tout le liquide du tentacule, mais ma maman continuait de mouiller. Voyant que je m'enfonçais dans un cercle sans fin, je décidai, après avoir à nouveau vidé un tentacule, de lui demander directement.

« Maman, il y a quelque chose de bizarre. J'ai beau aspirer ta mouille avec les tentacules, il y en a toujours plus. Est ce que c'est parce que... ça t'excite de me voir boire ta mouille ? »

Bien sûr, à ce moment là, j'ignorais encore que les tentacules, de par leur forme, pouvait avoir un usage bien plus érotique que celui que j'utilisais en ce moment. Mais ma maman, elle, devait avoir une idée derrière la tête.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le mardi 22 décembre 2015, 01:44:03
En position de mère aimante veillant à l’éducation de sa fille, Pamela en profitait aussi pour se faire plaisir... Et, devant elle, il y avait un magnifique tableau ! Comme elle s’y attendait, le lien entre Kyli et les tentacules était inné, ce qui fit qu’elle déplaça sans aucun problème les deux tentacules. Le second se rapprocha de ses fesses, ce qui, silencieusement, amusa Pamela. Un jour viendrait (et probablement plus vite que prévu) où ce second tentacule ne se contenterait pas de juste rester à l’extérieur, et pénétrerait directement dans son corps. Mais, en attendant ce moment, Pamela y allait étape par étape, et elle ne put s’empêcher de gémir, se mordillant les lèvres, quand elle sentit le délicat et tendre tentacule de Kyli venir se perdre en elle, remuant dans son corps, ou, plus particulièrement, dans son intimité. Le tentacule remuait, et se mit à aspirer sa mouille.

« Haaa... »

Suite à cela, le tentacule sortit lentement, et alla s’approcher des lèvres de son Alraune chérie, qui se mit à l’avaler, tout en en profitant pour glisser le second tentacule, faisant à nouveau soupirer Poison Ivy. Serrant les mains, cette dernière avait de plus en plus de mal à se retenir, à rester... Aussi passive. Et, devant le trouble de sa fille, qui ne comprenait pas pourquoi la mouille continuait à revenir, Pamela ne put s’empêcher de sourire.

« Et bien, hummm... C’est parce que... Tu me fais du bien avec tes tentacules, ma puce... Et, rien qu’à l’idée de te voir boire mon nectar... Ah ! Laisse-moi te montrer ! »

Pamela n’eut qu’à cligner des yeux pour que deux autres tentacules, similaires à ceux de Kyli. Ils allèrent légèrement s’enrouler autour de ses jambes, et remontèrent. Pamela comptait lui montrer ce qu’elle ressentait, car, en matière de sexe, rien n’était plus parlant que l’action. C’était l’un de ces domaines dans lequel les mots trouvaient leur limite. Rien, tout simplement, ne valait une belle démonstration.

Un tentacule s’enfonça donc dans l’intimité de la belle Kyli, qui ne tarda pas à mouiller à son tour quand le bout rose se mit à remuer, caressant ses parois intimes, venant surtout frotter son tendre clitoris, son bouton d’amour. Comment résister à une telle demande ? En souriant, Pamela retira son tentacule, puis en glissa un autre, tandis que la base des tentacules, à hauteur des jambes de Kyli, se serrait un tout petit peu... Puis ce fut au tour de Pamela de boire le délicieux nectar sucré de sa chérie. Sa mouille était délicieuse, florale, avec une magnifique odeur parfumée.

« Hmmm... Toi aussi, tu es très bonne, ma Kyli d’amour... Tu permets que ta Maman prenne encore un peu de ton jus ? »

À ce stade, Ivy risquait bien de jouir, car les tentacules y allaient de plus en plus vite, car, plus le temps passait, et plus elle mouillait, ce qui forçait les tentacules à devoir agir plus vite pour recueillir plus de cyprine. Un véritable cercle vertueux du sexe, tendre et délicat, doux et plein d’érotisme. Une mère et sa fille continuant à se faire plaisir ensemble. Ah, Kyli était si bonne, avec le tentacule niché dans sa bouche ! Oui, un spectacle magnifique, que ce soit à voir, mais aussi à ressentir.

« Hmmm... Encore, ma chérie, ouuiiii... Ressens le pouvoir de la Nature, hummm... »

Une phrase qui sonnait un peu cliché, Ivy le concédait, mais elle était, après tout, suffisamment excitée pour pouvoir le prononcer sans avoir à rougir... Il y avait tant et tant de choses à tenter avec les tentacules, mais... Pamela ne voulait pas brûler les étapes, et elle comptait y aller tranquillement, prendre son temps avec elle... Parce que c’était sa fille, et que Poison Ivy veillait sur elle.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le lundi 28 décembre 2015, 22:58:53
« Et bien, hummm... C’est parce que... Tu me fais du bien avec tes tentacules, ma puce... Et, rien qu’à l’idée de te voir boire mon nectar... Ah ! Laisse-moi te montrer ! »

En un clignement de cil, deux autres tentacules émergèrent du sol, identiques à celles qui étaient déjà sorties. Elles s'enroulèrent autour de mes jambes et remontèrent le long de ces dernières, me faisant frissonner de par leur contact à la fois doux et gluant. Puis, quand l'un des tentacules alla s'enfoncer dans mon intimité, je ne pus retenir un glapissement qui signifiait à la fois ma surprise et mon excitation.

« Kyahh ! »

Sur le coup, je pensais que ce tentacule aurait du mal à rentrer en moi vu son épaisseur, mais tout le liquide qui lubrifiait mes parois vaginales permit une insertion sans douleur, et il continua de ruisseler abondamment tandis que le bout rose du tentacule remuait en moi, caressant mon intérieur et en récoltant la moindre goutte. Je sentais aussi la tige qui caressait mon clitoris, ce petit bouton au-dessus de ma fente intime.

« Aahh... Ma... maman... c'est... si bon... aahh... »

Oui, c'était vraiment agréable. Le tentacule bougeait en moi sans forcer, aucune douleur ne venait se mêler à mon plaisir, et plus le temps passait plus j'avais envie de hurler tellement je me sentais bien. Je découvrais, à cet instant, un nouveau moyen de faire l'amour : insérer des choses longues et dures dans mon sexe pour en faire remuer l'intérieur.

Au bout d'un moment, le tentacule sortit de mon intimité, et je me sentis très dépitée. J'en voulais encore. Heureusement, ma maman inséra le second tentacule en moi tandis qu'elle amenait le premier jusqu'à ses lèvres pour boire tout le nectar récolté en moi. Et en la voyant faire, je compris pourquoi elle aimait me voir aspirer sa cyprine en mettant un tentacule dans ma bouche : l'image était vraiment érotique.

« Hmmm... Toi aussi, tu es très bonne, ma Kyli d’amour... Tu permets que ta Maman prenne encore un peu de ton jus ? »

« Haann... Oui... maman... continue... surtout... n'arrête pas... »

Je devenais peu à peu accroc à cette sensation d'avoir un tentacule remuant en moi, et j'en voulais toujours plus.

Comme j'étais toujours aux commandes des tentacules chargés de sécher l'intimité de ma maman, je pus sentir que sa mouille arrivait toujours plus vite, je fis donc bouger le bout rose plus rapidement, et je ne me contentais plus de caresser juste l'extérieur, je le rentrais dans son sexe pour qu'elle soit aussi bien nettoyée que je l'étais. Quant à l'autre bout rose, il était toujours dans ma bouche, m'offrant la cyprine récoltée sur Ivy. Je prenais soin de faire ça juste assez vite pour que ce soit excitant aux yeux de cette dernière.

Le temps passait, et pourtant je ne me lassais pas du cercle vicieux dans lequel nous nous enfoncions : les tentacules nettoyaient nos intimités respectives de la moindre goutte de cyprine, mais comme ils étaient enfoncés en nous et qu'ils stimulaient nos parois vaginales, nous mouillions sans arrêt. Et quand un tentacule était plein de liquide, nous le vidions en avalant goulûment son contenu. Tout ça était tellement jouissif que, quand je n'avais pas un tentacule niché dans la bouche, je criais mon plaisir à gorge déployée. Mais au bout d'un moment, toute cette excitation nous conduisit inévitablement à jouir.

« Maman... AAAAHHHH !!! »

Dans un ultime cri, j'éjaculai allègrement ma mouille sur le tentacule qui remuait en moi, si bien qu'il ne put pas tout récolter, et une grande partie du liquide alla former une flaque à mes pieds. Mais le meilleur n'arriva que après : nous étions si heureuses de pouvoir atteindre le point d'orgue de notre plaisir que nous perdîmes, pendant un bref instant, le contrôle de nos tentacules, et ceux qui étaient hors de nos sexes respectifs envoyèrent la mouille stockée en eux sous la forme d'un jet, qui s'étala sur notre visage. Après avoir bien joui, j'éloignai les tentacules que je contrôlai de ma maman, et je les utilisai pour aspirer la cyprine sur mon visage avant de la déverser dans ma bouche. Ce liquide était si doux, avec sa petite pointe sucrée, je ne m'en lassais jamais.

Après ça, j'allai me coller tout contre le corps de ma maman, calmée mais toujours excitée. La tête posée contre sa poitrine, je pouvais entendre son cœur battre la chamade, et je sentais la chaleur de sa peau contre la mienne. J'avais envie d'aller plus loin avec elle. Avec mon petit visage mignon, je lui posai une question.

« Dis maman... qu'est ce qu'on peut faire d'autre avec des tentacules ? »

Maintenant que j'y avais goûté, je voulais aller jusqu'au bout.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le samedi 02 janvier 2016, 13:10:44
Les deux femmes à la peau verte se faisaient mutuellement plaisir, dans une scène qui était aussi tendre qu’érotique, et aussi affectueuse que sensuelle. Pamela soupirait et gémissait de plaisir, tout comme sa fille, Kyli, qui avait de plus en plus de mal à retenir ses hurlements et ses cris... Mais comment ne pas la comprendre ? Ce que les deux femmes vivaient, en ce moment, était tout simplement magnifique, un grand moment partagé de sensualité et de désir. Elles mouillaient de plus en plus, et, à ce rythme, un double orgasme finit par arriver. Pamela soupirait, mains serrés, en s’abandonnant, avec joie, au plaisir. Elle venait de jouir, et s’amusa à boire aussi sa mouille, tout comme la jeune femme. Sa belle fille alla ensuite se lover contre elle, et, la serrant dans ses bras, Pamela en vint à lui faire un gros câlin.

« Oh, ma petite chérie... »

Pamela la serra contre son corps, câlinant son dos et ses cheveux, déposant de multiples baisers dans le creux du cou, l’une des mains venant se poser sur les fesses de Kyli, afin de bien la maintenir contre son corps. Poison Ivy était sincèrement heureuse, très excitée d’être ici, face à sa fille, qui s’avérait être parfaite sur tous les points. Et, quand elle lui demanda quelles fonctions et quels usages on pouvait faire des tentacules, Pamela sourit, et embrassa Kyli sur le bout du nez, en continuant à la câliner, maintenant son petit corps chaud contre le sien.

« Nous pouvons faire plein de choses avec nos tentacules, Kyli... Mais je crois que le mieux est que je te fasse une petite démonstration par moi-même... Mais, avant ça, tu dois dire que tu me fais confiance, car ce que je vais faire pourra te surprendre un peu... »

Ivy, elle, en était toute excitée, et ses mains caressaient les épaules de Kyli, qui alla donc l’assurer de tout son soutien. Se mettant alors à sourire, Pamela se recula un peu, puis ferma les yeux, et se concentra un peu. Le sol se mit légèrement à remuer, puis des tentacules jaillirent alors du sol et des arbres, en nombre plus conséquent. Ils ondulaient en l’air comme des espèces de serpents capables de flotter dans le vide, et se rapprochèrent de Kyli, avant d’agir, sous la voix réconfortante de Pamela.

« Laisse-toi faire, mon cœur... »

Et Kyli se laissa faire. Les tentacules allèrent la chercher, s’enroulant autour de ses poignets, puis autour de ses chevilles, et entreprirent de doucement la soulever. Le corps de Kyli tomba vers le bas, mais elle était retenu par les tentacules, qui écartèrent ses jambes et ses bras, la mettant doucement en croix, tout en remuant un peu sur place, tournoyant sur eux-mêmes, comme pour mieux exciter la jeune femme. Pamela avait ouvert les yeux, et, en souriant, se rapprocha du corps en suspension de Kyli. Elle leva ensuite la main, et vint caresser son ventre.

Pamela, toutefois, n’en avait pas encore fini, et deux autres tentacules se déplacèrent. Il s’agissait néanmoins de tentacules assez spéciaux, avec une extrémité se composant d’une série de langues, formant comme de minuscules tentacules (http://img110.xooimage.com/files/e/4/a/tentacule-4de8154.png). Leur but était très simple : s’approcher des seins de Kyli, et venir suçoter ses tétons. Les deux tentacules s’approchèrent donc, et s’ouvrirent alors, révélant une série de petits tentacules qui allèrent se saisir des tétons de Kyli, chaque tentacule se mettant ensuite à les remuer et à les presser.

« Hummm... Tu sens comme c’est bon, ma douce Kyli ? J’espère que tu le sens... »

Pamela, elle, continuait à la caresser, et glissa ses mains sur ses hanches, puis les remonta jusqu’à son bassin, dans le creux de ses reins, puis, enfin, contre ses fesses... Et, ce faisant, elle alla abaisser le corps de la femme, approchant ainsi son intimité de sa bouche, qu’elle se mit à lécher et à suçoter avec plaisir.

« Laisse-toi aller encore, ma chérie... Abandonne-toi aux tentacules de ta délicieuse Maman... »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le vendredi 08 janvier 2016, 22:41:21
« Nous pouvons faire plein de choses avec nos tentacules, Kyli... Mais je crois que le mieux est que je te fasse une petite démonstration par moi-même... Mais, avant ça, tu dois dire que tu me fais confiance, car ce que je vais faire pourra te surprendre un peu... »

« Évidemment que je te fais confiance. Tu es ma petite maman chérie, l'un des êtres à qui je dois la vie. Je n'ai confiance qu'en toi. »

N'ayant encore vu personne à part elle, c'était plutôt logique, mais il semblait important de le préciser.

Après que je lui ai répondu, Ivy s'éloigna de moi, un sourire satisfait aux lèvres. Elle ferma les yeux et, dans la seconde, d'autres tentacules émergèrent du sol et des arbres, mais certains d'entre eux étaient différents : le bout rose et doux avait été remplacé par un bout rouge-orange avec de multiples protubérances au bout. Un tentacule avec d'autres tentacules plus petits au bout. Je me demandai bien ce que ma maman comptait faire avec ces choses. De sa voix douce et chaleureuse, elle m'incita à me laisser faire, ce que je fis sans discuter. Sans savoir pourquoi, je sentais que les choses allaient merveilleusement se passer.

Les tentacules s'enroulèrent autour de mes poignets et de mes chevilles puis me soulevèrent au-dessus du sol avant d'écarter mes jambes et mes bras, me mettant ainsi en position de croix, une position idéale pour accéder à mes seins et à ma fente intime. Je commençai à comprendre ce qui allait m'arriver, et je dois dire que c'était plutôt excitant. Après quoi, ma maman rouvrit les yeux et s'approcha de mon corps en suspension pour me caresser le ventre avec sa main. Une petite caresse innocente, qui m'excitait juste ce qu'il fallait sans en faire trop.

Soudain, deux tentacules à ''langues'' vinrent vers moi, plus précisément vers mes seins. Je les vis s'ouvrir et révéler leurs petits tentacules qui allèrent s'emparer de mes tétons, qu'ils se mirent à titiller et à presser. Mes pointes étaient si dures et si sensibles que l'action des tentacules me fit couiner bien plus fort qu'à l'accotumée.

« Kyyaahh... Aahh... Ouiii... »

Ma maman continuait à me caresser pendant que ses jouets s'occupaient de mes tétons. Je pouvais sentir ses mains sur mes hanches, sur mon bassin, au creux de mes reins... et je sursautai quand elles se posèrent contre mes fesses. Le souvenir de la fessée récente que j'avais reçu pour satisfaire ma curiosité perverse revint en moi, et il m'excitait encore plus. Puis mon corps s'abaissa un peu, et Ivy eut le visage devant ma fente humide, qu'elle se mit à lécher et à suçoter avec son adresse habituelle. Ainsi, je passai du couinement au cri.

« Laisse-toi aller encore, ma chérie... Abandonne-toi aux tentacules de ta délicieuse Maman... »

Soutenue par les tentacules et assaillie de toutes parts, je laissai mon corps s'abandonner au plaisir qui se diffusait en moi à toute vitesse comme un immense raz-de-marée. Pas besoin de bouger, pas besoin de penser... Il suffisait de se laisser faire. Qu'est ce que c'était agréable d'être ainsi ''prisonnière'' des tentacules de ma maman pendant qu'elle et ses jouets me titillaient les parties intimes. Je me sentais comme si j'étais plongée dans un bain de perversion.

Le plaisir montait lentement mais sûrement. Les tentacules tiraient tellement sur mes tétons qu'ils en étaient devenus gonflés et hyper sensibles, à tel point que la douleur se mélangeait à son plaisir, mon intimité mouillait comme une rivière, abreuvant ma maman sans interruption, et mes cris de plaisir devaient s'entendre de loin. Et alors que je pensais que ça ne pourrait pas être mieux, Ivy arrêta de me lécher l'intimité pour me dire qu'elle avait une autre surprise pour moi. Endolorie par le plaisir, j'avais un peu de mal à être attentive, mais je pus sentir qu'elle se concentrait à nouveau et, très vite, un nouveau tentacule jaillit, qu'elle appelait « tentacule phallique ». D'après ses dires, c'était un tentacule qui allait parfaitement s'imbriquer avec mon sexe pour m'offrir un plaisir si grand que j'allais en perdre ma lucidité d'esprit. Encore mieux que le plaisir que j'avais pu ressentir quand le tentacule à bout rose avait aspiré ma cyprine. A première vue, ça me paraissait impossible, mais je n'avais aucune raison de douter de la parole de ma maman, d'autant plus qu'elle s'y connaissait mieux que moi en matière de sexe. Elle se déplaça à côté de mon visage, m'embrassa tendrement et me prépara à recevoir le phallus végétal en moi en me couvrant de mots rassurants et en me caressant la joue.

Rien qu'en voyant la lueur qui illuminait ses yeux, je savais qu'elle allait tout faire pour me satisfaire. Tout ce que j'avais à faire était de me détendre et d'apprécier.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le mercredi 13 janvier 2016, 01:05:07
Il était temps pour Kyli de découvrir des plaisirs… Élevés. Est-ce que Pamela allait trop loin ? Pour l’heure, elle n’avait jamais rencontré une seule lycéenne, ou même un seul lycéen, qui n’aient pas apprécié son traitement. Mais Kyli, malgré le fait qu’elle soit une Alraune, était encore jeune. Est-ce que sa mère n’allait pas au-delà de ce que son jeune et ferme corps pouvait supporter ? Pamela allait prendre des risques, mais elle était très attentive, veillant ainsi à voir si, effectivement, sa jeune fille supporterait tout ce spectacle… Et, fort heureusement, ce fut le cas. Tout son corps se tendait de plaisir, remuant lentement, la petite Alraune se crispant sous les mouvements de sa mère. Elle avait doucement caressé son ventre, sa belle peau, avant de l’embrasser, et de se rapprocher de son sexe, qu’elle se mit à lécher. Elle avalait sa mouille, pendant que les tentacules jouaient avec le corps de sa jeune fille, la faisant joyeusement souffrir. Aucune femme ne pouvait résister à ses tentacules linguaux, qui tiraient et malmenaient ses seins, tout en les léchant, comme si, simultanément, une dizaine de langues s’acharnaient sur chacun de ses seins, sans négliger une seule partie. Or, les seins d’une femme étaient, généralement, une zone très érogène, ce qui faisait que la petite Alraune gémissait et soupirait en se tortillant.

Pamela, elle, continuait à lécher son sexe, enfonçant sa langue à l’intérieur, avalant joyeusement sa mouille, sa cyprine délicate… La belle Kyli se tortillait le long des tentacules, qui se déplacèrent lentement, tout en continuant à maintenir son corps, à le serrer et à l’emprisonner.

« Hmmmm… »

Rien n’épargnait Kyli. Que pouvait-elle faire ? Elle était devenue la délicieuse prisonnière de sa redoutable Maman, une maman qui était, très logiquement, en train de se faire largement plaisir en opprimant ainsi sa puce. La belle femme soupirait, et, finalement, Pamela se redressa, et l’embrassa sur les lèvres, avant qu’un tentacule phallique ne s’approche pas.

« Je vais te pénétrer, Kyli… Mais pas avec ce tentacule… »

De quoi s’agissait-il ? Elle comptait bien se servir de ce tentacule phallique, mais, en l’état actuel, s’il frottait les lèvres intimes de sa fille, c’était surtout pour bien les lubrifier. Car, quand il se retira, Kyli put comprendre ce à quoi sa mère pensait. En effet, cette dernière avait fait sortir une verge d’entre ses cuisses. Un phallus venait de pousser, avec une verge et deux testicules. Un sexe verdâtre, et Pamela sourit à sa fille. Elle aurait, bien entendu, pu la prendre avec un tentacule, mais… Et bien, pour sa fille, Pamela préférait un contact plus personnel.

Le tentacule phallique s’écarta donc, tandis que les tentacules retenant Kyli la déplacèrent, et écartèrent ses jambes, les mettant à droite et à gauche du corps, plus grand, de sa mère. On pouvait lire l’excitation dans les yeux de Poison Ivy. Les deux Alraunes avaient couché comme des hyènes depuis le début de leurs ébats, et rien ne semblait pouvoir, sur le long terme, les calmer, ou réfréner leur ardeur.

Ivy se mordilla les lèvres. Tendu, son sexe était trempé.

« Tu es si belle, ma puce… J’ai tellement envie de te faire l’amour… »

Pamela se rapprocha, et l’embrassa un peu.

« Maintenant, retire les tentacules de tes bras, et agrippe-toi à ma nuque… »

Poison Ivy voulait la sentir contre elle, et, quand ce fut fait, sa main caressa son dos, puis se frotta contre ses cheveux. Elle voulait aussi, et surtout, lui montrer que Kyli pouvait contrôler les tentacules comme bon lui semblait.

« Maintenant… À toi de voir si tu préfères être serrée contre moi pendant que ta Maman te pénètre, ou si tu veux être maintenue dans les tentacules. »

Seuls ceux retenant ses jambes étaient toujours là, car ils permettaient de stabiliser son corps. Le tentacule phallique, lui, s’était légèrement rapproché des fesses de la jeune femme, mais tout cela disparut quand la queue de Pamela, après avoir caressé la peau verte et tendre de Kyli, alla enfin accomplir son office, en s’enfonçant d’un coup en elle.

« Hnnnnnnn… !! »

Une sensation de plaisir traversa tout son corps quand elle s’enfonça en elle, sa queue venant se perdre dans son corps, son intimité étant, après tout, lubrifiée à la perfection.

« Ooohhhh… Ouuuiiii… Hmmmmm… !! »

Les deux corps continuaient à remuer, l’un contre l’autre, se mélangeant ensemble, fusionnant pour le meilleur des mondes.

Les mains de Pamela, elles, ne tardèrent pas à aller se crisper contre le petit cul de sa fille, y trouvant là un appui bien pratique pour continuer à la prendre avec force et énergie.

« Kyyylii, haaaaannn… !! »
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le lundi 18 janvier 2016, 21:55:19
Alors que je croyais que le tentacule phallique allait me pénétrer, il s'avéra qu'il n'était là que pour mieux m'exciter et me faire mouiller un maximum afin que mon intimité soit bien lubrifiée. Ce qui allait vraiment entrer en moi, je le vis entre les jambes de ma maman : un espèce de tentacule verdâtre semblable à celui qui me titillait, mais avec deux boules grosses comme des noix qui pendaient juste en-dessous. J'avais déjà vu cela dans les visions que la chrysalide m'avait envoyée : chez les humains, on appelle ça un phallus, l'ensemble qui compose l'organe génital masculin, à savoir une verge et deux testicules. C'était la première fois que je voyais ça, mais j'étais déjà plus fébrile en le regardant. Cette tige verte longue, grosse et dure qui allait bientôt me pénétrer... Quel effet cela allait-il avoir ? Allais-je aimer ? Allais-je avoir mal ? Trop de questions se bousculaient dans ma tête, et je n'avais pas assez de concentration pour y répondre.

Une fois ma fente bien mouillée, le tentacule phallique s'écarta pour laisser la place à ma maman. Les tentacule qui tenaient mes jambes bougèrent pour placer ces dernières respectivement à droite et à gauche de son corps. Son regard affichait très clairement l'excitation, et mon corps le lui rendait bien. J'étais en permanence parcourue de spasmes incontrôlables de plaisir, et je gémissais avec force. Je n'osais même pas imaginer ce qui allait m'arriver ce qui se passerait quand, enfin, Ivy enfoncerait sa verge végétale en moi. Mais ce qui était sûr, c'est qu'elle était très enthousiaste à cette idée.

Après un petit baiser, elle me demanda de retirer les tentacules qui retenaient mes bras et de venir m'accrocher à sa nuque. Je fermai donc les yeux un court instant, juste assez pour réaliser que je pouvais commander aux tentacules, puis je retirai les deux qui me tenaient par les poignets. J'étais tellement enivrée par mon plaisir que je n'avais même pas essayé de commander à ces végétaux pour voir si j'en étais capable. Une fois les bras libres, j'allai les passer autour du cou de ma maman, plaquant ainsi mon corps contre le sien. Sentir sa chaleur, les battements de son cœur, son souffle sur ma nuque et ses mains dans mon dos rendait la situation bien plus excitante que si j'étais restée loin d'elle pendant qu'elle me prenait. Je sentis sa queue me caresser encore un peu la peau puis, enfin, elle s'inséra en moi.

« Haaaaaaaa... !!! »

Le membre phallique était entré en moi en un seul geste rapide et propre, mais les sensations qui suivirent ne furent pas des plus légères. D'abord, il y eut la douleur. Une douleur puissante et innommable, qui me mit les larmes aux yeux et me fit planter mes ongles dans la chair de ma maman. Mais très vite, cette douleur s'effaça pour laisser place au plaisir. Un plaisir aussi puissant que la souffrance l'ayant précédé. Puis, quand Ivy commença à bouger en moi, je perdis complètement le sens des réalités : sentir cette chose me labourer les chairs était tellement intense et délicieux que je laissai mon esprit partir à la dérive. Mon corps agissait maintenant de lui-même.

J'étais serrée contre ma maman, mes bras autour de son cou, mes jambes enserrant sa taille, les tentacules à langue me stimulant les seins, ses mains crispées prenant appui sur mes fesses et son membre turgescent me pénétrant vigoureusement. Je ne savais plus où donner de la tête, je ne parvenais plus à m'exprimer et, même en supposant que j'aurais pu, ce n'aurait été qu'un discours incohérent. Mes hanches accompagnaient les allées et venues du pénis en moi, me donnant ainsi plus de plaisir. Mes yeux partaient dans toutes les directions, et je n'arrivais plus à avaler ma salive, laissant un filet de bave couler sur le dos de ma maman. Ce n'était pas très propre, mais j'étais trop immergée dans mon plaisir pour m'en soucier. Le sexe était si puissant que je n'arrivais plus à penser, juste à bouger le bassin et à gémir, parfois à crier.

« Haaannn... Aaahhh... Hhhaaannn... Kyyyaaahhh... »

J'aurais voulu dire à Ivy que je vivais l'extase, mais elle devait sûrement s'en douter vu les gémissements que je poussais. Puis, enfin, vint le meilleur moment : la jouissance.

« Aahh... Ma... man... Aaahhh... AAAAAHHHHH !!! »

Après un ultime aller de cette grosse queue dans mon intimité, je pus sentir le plaisir déferler dans tout mon corps. Instinctivement, mes jambes bloquèrent le bassin d'Ivy pour qu'elle ne puisse pas se retirer, même si je sentais qu'elle n'en avait pas l'intention. Son membre puissant déversa une substance végétale en moi. Ce n'était pas vraiment de la semence, juste une matière d'origine végétale destinée à remplacer la semence pour apporter les mêmes sensations quand elle se déverse à l'intérieur du vagin d'une femme. C'était délicieusement bon, je pouvais sentir ce liquide chaud couler dans mes entrailles et apaiser mes chaleurs. Malheureusement, la partie moins amusante arrivait juste après.

Pour moi, jouir avait été aussi bon que fatiguant. Après mon orgasme, les tentacules me déposèrent délicatement sur le sol. J'étais en sueur, la respiration lourde, les yeux encore perdus dans le vague, et je n'avais même pas pensé à ravaler ma salive qui coulait encore au coin de ma bouche. Mon esprit commençait à peine à reprendre pied. J'étais physiquement épuisée, mais le pire (ou le meilleur selon vos valeurs), c'était que j'en voulais encore. Comme si mon envie de sexe était plus forte que ma raison, ou que mes impératifs corporels. J'étais tout simplement trop fatiguée pour pouvoir recommencer, même si j'en mourrais d'envie. Maman vint se coucher près de moi, caressa mon ventre, mon visage et mes cheveux en répétant que j'étais plus belle qu'elle n'aurait jamais pu le rêver. Préférant économiser mon énergie, je me contentai de lui sourire en la laisant me caresser où elle voulait. Elle comprit vite que j'étais au bout de mes limites, que mon jeune corps immature ne pouvait pas encaisser plus de plaisir en une seule fois, alors elle décida de s'arrêter là pour le moment. Rassurée, j'allais pouvoir faire une sieste dans ses bras pour récupérer mon énergie, mais il y avait une dernière chose dont j'avais envie avant de m'endormir. Ivy comprit vite, à la façon dont je regardais sa poitrine, de quoi il s'agissait. Elle fit émerger un tentacule végétal du sol, qui planta une aiguille dans son cou, et ses seins se gorgèrent alors de lait. Après qu'elle m'ait installé près d'elle pour que je puisse téter sans mal, je collai ma bouche contre son téton rose et je me mis à aspirer ce bon lait maternel. Je savais que, une fois les deux seins vidés, j'allais faire un très gros dodo, comme un petit enfant. Et qu'à mon réveil, il serait sans doute temps de partir pour la Terre.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le vendredi 22 janvier 2016, 00:55:57
C’était la délicieuse et jouissive conclusion d’un fou moment. Ivy avait été jusqu’à faire ce qu’elle n’aurait jamais pensé faire avant un très long moment : prendre Kyli avec une verge ! La déflorer avec un phallus ! C’était incroyable, et monstrueusement jouissif. Ses mains s’appuyant sur le petit cul dodu de sa fille, elle se mit à remuer, multipliant en elle les coups de reins, soupirant et couinant, en sentant et en entendant Kyli hurler et gémir.

« Hmmmm... Kyli, haaaaa... !! »

Soupirant son nom, Pamela continuait à se maintenir contre elle, se serrant contre son corps chaud, enfonçant, encore et encore, sa belle queue en elle. Son sexe s’enfonçait joyeusement en elle, tapant profondément, glissant sans aucun problème, et, ainsi, les deux Alraunes fusionnaient. Les deux femmes à la peau verte baisaient ensemble, les tentacules n’étant plus que très secondaires par rapport à la sensation écrasante de plaisir qui venait de la queue de Pamela. Pour Kyli, ce devait être une véritable explosion sensorielle. Ce type de plaisir, rien ne pouvait le présager, rien ne pouvait l’y préparer, il vous frappait en pleine figure, avec la force terrifiante d’un puissant ouragan, un raz-de-marée qui vous submergeait intégralement.

Poison Ivy soupirait donc, couinant contre le corps de Kyli, fusionnant avec elle. La belle plante avait toujours aimé le sexe, mais, avec sa fille, il y avait une dose de plaisir et de perversion supplémentaire... Quelque chose de terriblement puissant, qui amenait Pamela à donner, encore et encore, ses mains se crispant sur le tendre petit cul de la femme. Elle la prenait donc, en grognant et en soupirant, multipliant les coups de reins.

« Haaaaa... Haaaaaa... !! »

Leurs deux corps se frottaient, la chair claquant entre eux, le long sexe de Pamela se perdant dans son corps, pour repartir vers l’arrière, et revenir en arrière, ses doigts griffant ses fesses. En soupirant, Pamela ne cherchait même plus à l’embrasser, elle se contentait de la prendre, de lui faire découvrir de magnifiques sensations... Et, au bout de plusieurs minutes, l’Empoisonneuse sentit le point de rupture arriver, et, dans un immense et magnifique soupir, ferma les yeux, remonta une main pour se saisir des cheveux de Kyli, et jouit contre elle... Un orgasme merveilleux, qui remonta des tréfonds de son corps, sa queue lui donnant l’impression d’exploser, en balançant des filaments de foutre dans le corps de Kyli, remplissant son petit ventre.

Dans de longs soupirs, Pamela jouit ainsi, lui offrant un sperme très particulier, moins gluant et moins poisseux que le sperme traditionnel. Elle jouit en elle, et soupira ensuite, de la sueur coulant abondamment le long de son corps... Et elle sentit assez rapidement Kyli s’affaisser contre elle, Pamela venant la retenir.

« Haaaa... Hmmmm... »

Ivy clignait lentement des yeux, et vit ensuite le regard de Kyli, vers ses seins... Et elle sourit. Sa queue était toujours plantée dans le corps de Kyli, mais elle avait, bien évidemment, perdu de sa splendeur. Maintenant ce lien, Pamela posa une main sur la tête de Kyli, et la guida vers sa poitrine, en souriant doucement.

« Viens, ma belle... Viens téter... »

Et Kyli téta donc, avalant le lait maternel de Pamela, qui la maintint contre elle, en profitant pour observer le décor. Elles n’avaient pas trop abîmé la forêt, fort heureusement, et cette dernière était prête à les accueillir. Le soleil, en effet, venait de se coucher. Comme Pamela l’avait prévu, elles dormiraient ici, puis, ensuite, Ivy ferait découvrir à Kyli leur autre maison, celle sur Terre... Et elle lui montrerait très vraisemblablement Harley Quinn. À ce stade, il était inévitable que sa fille rencontre sa meilleure amie, et, comme Harley avait tendance à adorer les enfants, nul doute qu’elle se ferait très vite à sa présence.

En attendant, Kyli venait d’avaler le contenu de ses deux seins, et Pamela lui sourit, avant de la serrer tout contre ses bras, et en se couchant sur le sol, s’allongeant sur le dos.

« Dors, ma puce... Dors, mon bébé, et sache que Maman t’aime énormément... »

Le phallus végétal de Pamela se retira de lui-même, et Pamela accompagna le sommeil de Kyli à renforts de moult caresses sur son dos et de plusieurs baisers.

Demain... Demain serait une autre aventure.

Et Pamela ne s’était jamais sentie aussi heureuse qu’en ce moment, à sentir sa fille dormir contre elle, usant de sa poitrine comme d’un confortable oreiller.

C’était tout simplement... Magnifique.
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le mercredi 27 janvier 2016, 21:34:31
Allongée contre ma maman, je tétai le bon lait qui coulait de ses seins en usant de l'énergie qu'il me restait encore. Je ne savais pas si je pourrais un jour me passer de cette sensation : mon corps contre celui de ma maman, ce liquide blanc et tiède qui coulait de ses tétons pour finir dans ma bouche, la sensation que mon estomac se remplissait, ce petit goût sucré qui restait sur ma langue... Que du bonheur ! Peu importe que les adolescentes ne soient pas censées faire ce genre de choses avec leur mère, je ne comptais pas m'arrêter de sitôt, c'était trop bon.

Étonnamment, malgré ma fatigue, je vidai ses deux seins assez rapidement. Et comme je l'avais supposée, la fatigue était en train d'avoir raison de moi : mes muscles se relâchaient, mes yeux papillonnaient et se fermaient progressivement, j'avais de plus en plus de mal à résister.

« Dors, ma puce... Dors, mon bébé, et sache que Maman t’aime énormément... »

En temps normal, je n'aurais pas apprécié qu'elle me compare à un bébé car, même malgré mes attitudes enfantines, je restais une jeune fille, mais là j'étais simplement trop épuisée pour lui répondre. Et puis, elle n'avait pas complètement tort : s'endormir après avoir tété le sein de sa mère, ça c'est un comportement typique d'un bébé.

Ivy accompagna mon corps dans le sommeil à coup de caresses sur mon dos et de baisers sur tous les recoins de mon visage qu'elle pouvait atteindre. Mon dernier geste fut de poser ma tête contre sa poitrine pour m'en servir comme d'un oreiller. Puis je fermai les yeux et m'endormis enfin.

Cette longue sieste fut perturbée par un autre rêve, qui n'avait rien à voir avec les rêves doux et calmes auxquels j'étais habituée : j'étais dans une portion de forêt, avec très peu de lumière, seule avec ma maman. Quand je lui ai demandé ce qui se passait, elle m'a sourit et m'a dit qu'elle s'occupait de tout. C'est alors que des dizaines de tentacules émergèrent du sol. Des phalliques, des langues, des bouches, et même des tentacules à lait. En un instant, tout le paysage était caché par ces choses remuantes. Certaines se dirigèrent vers moi, d'autres vers ma maman. Comme j'avais une confiance, je ne cherchai pas à lutter et les laissai m'attraper et m'emprisonner. Ma maman eut droit au même traitement, et nous nous retrouvâmes toutes les deux en suspension au-dessus du sol, tenues par des tentacules, tandis que d'autres venaient vers nos corps. Le premier tentacule qui vint vers moi était un tentacule à lait à deux bouts. Le premier allait pomper le lait maternel directement à la source, tandis que le deuxième le déversait dans ma bouche, ce qui nous procurait du plaisir à toutes les deux. Il garda même un peu de lait pour maman. Évidemment, le lait était aphrodisiaque, donc nous devînmes bien plus chaudes après ça. C'est alors que des tentacules langues, bouches et phallus vinrent vers nous. Les phallus s'enfoncèrent dans nos intimités tandis que les langues léchaient et tiraient sur nos tétons et que les bouches couvraient nos corps de baisers. Et pour couronner le tout, comme tous les tentacules étaient connectés entre eux, nous partagions nos sensations, et chacune de nous amplifiait le plaisir de l'autre avec le sien.

Ma maman ne cessait de répéter de m'abandonner au plaisir qui m'envahissait, et bien évidemment je l'ai écouté. Très vite, je sentis mon corps devenir tout léger et mon esprit sombrer dans l'abysse. Je gémissais sans interruption, je bavais, je ne comptai plus le nombre d'orgasmes que j'enchaînai... et ça avait l'air si réaliste que j'étais persuadée de ne pas être dans un rêve. Mais tout ça n'était bien qu'une illusion crée par mon inconscient, qui puisait dans mon imagination fertile de jeune fille à peine déflorée.

Si ma maman était toujours réveillée, elle pourrait me voir remuer un peu et gémir doucement, tandis que mon intimité mouillait. Ce rêve était vraiment très réaliste...
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Poison Ivy le vendredi 29 janvier 2016, 17:46:20
Pamela joua avec le réparateur sommeil. Contrairement à Kyli, elle, elle avait l’expérience du sexe floral, qu’elle pratiquait très régulièrement, que ce soit avec ses élèves, de simples « victimes », ou avec ses amis, au premier rang desquels on trouvait essentiellement Félicia Hardy et Harleen Quinzel. Elle comprenait donc le coup de pompe de Kyli, et ne fit rien pour l’aider à retrouver ses forces, l’encourageant au contraire à dormir, à venir accueillir le sommeil, et à s’y noyer joyeusement. C’est ainsi que, tout à fait paisiblement, la belle Kyli alla s’endormir contre les seins de sa mère, cette dernière lui caressant doucement les cheveux, maintenant le petit corps de l’Alraune contre elle, et la laissa dormir, Pamela en profitant pour rêvasser, son esprit allant voyager dans d’autres contrées.

Elle avait donc maintenant une fille… C’était une nouvelle fantastique, qui allait changer énormément de choses dans la vie de Pamela. La femme déposa délicatement Kyli juste à côté d’elle, maintenant ses mains contre elle, mais soucieuse, aussi, de pouvoir la regarder, l’observer. Kyli dormait paisiblement, belle et magnifique, et Pamela sourit, observant son bébé.

*Ma chérie, tu es si magnifique…*

Quelle beauté ! Quelle perle ! Pamela caressait tendrement sa joue avec ses mains, glissant sur sa peau, fine et douce, tout en rêvassant sur l’avenir. Demain, elles rentreraient très certainement sur Terre, car elle avait senti que Kyli était curieuse. Là, il faudrait lui laisser le temps de s’acclimater, et préparer la rencontre avec Harley. Comme son clown adorait les enfants, tout se passerait sûrement très bien, mais il faudrait que Pamela lui en parle. Est-ce qu’Harley lui en voudrait d’avoir conçu un enfant sans lui en parler ? Hum… Après tout, ce n’est pas comme si elles sortaient ensemble, et puis, Harley l’avait, à maintes occasion, trahie et trompée en retournant voir son insupportable Joker. De plus, Pamela avait de très bonnes raisons, car elle n’avait pas été convaincue des chances de succès de cette opération. Après tout, Pamela avait déjà de confectionner des enfants, mais elle s’était toujours refusée à recourir à une mère-porteuse. Elle avait, malgré tout, essayé la fécondation in vitro, des techniques d’insémination artificielle, des expériences, mais n’avait abouti que sur des horreurs génétiques. Kyli était, à ses yeux, son plus grand succès, sa plus belle réussite jusqu’à ce jour.

Si belle et heureuse, sa fille dormait à côté d’elle, en semblant être complètement épanouie. Pamela se mordilla les lèvres, avant de la voir remuer les lèvres, et de se mettre à soupirer et à gémir, son corps venant alors, presque inconsciemment, se rapprocher du sien. En clignant des yeux, Poison Ivy sentit alors quelque chose caresser ses jambes, et, en tournant la tête, elle vit des tentacules qui sortaient du sol, et qui venaient tendrement se rapprocher d’elle.

« Oh… »

L’Empoisonneuse comprit assez rapidement ce qui se passait quand elle sentit, contre sa cuisse, le nectar intime de Kyli.

« Je vois… Ton premier rêve doit être très torride, ma chérie… »

Pamela l’embrassa doucement sur le front, avant de voir, à nouveau, Kyli bouger et soupirer. Ivy s’en mordilla les lèvres de bonheur, folle de joie de constater que ce que sa mère avait fait à Kyli ne lui avait absolument pas déplu. C’était une constatation particulièrement gratifiante, et elle ne tarda pas à en profiter, enfouissant deux doigts dans l’intimité luisante de Kyli, tout en maintenant le corps de sa fille contre le sien.

Sous l’excitation de Kyli, la forêt réagissait en conséquence, et les tentacules se resserrèrent encore un peu autour des jambes d’Ivy, continuant à remonter et à s’entortiller le long de son corps…
Titre: Re : Bienvenue au monde [Poison Ivy]
Posté par: Kyli le lundi 01 février 2016, 21:50:02
Mon rêve était si intense qu'il avait des effets dans le monde réel : j'avais instinctivement ramené mon corps près de celui de ma maman, qui me faisait des câlins pour accompagner mes songes roses, et je faisais pousser des tentacules végétaux à ses pieds qui venaient lui chatouiller les jambes. En réponse, elle alla glisser deux de ses doigts dans mon intimité mouillée, ce qui eut plusieurs conséquences, aussi bien dans ce monde que dans l'autre.

Les tentacules que j'avais fait pousser inconsciemment près d'elle allèrent s'enrouler autour de ses jambes, remontant lentement vers son intimité, et mon rêve devint encore plus intense : les tentacules entraient en moi par tous les trous, certaines me fouettaient les fesses ou me suçaient les tétons, mon plaisir s'envolait dans les étoiles, c'était un niveau d'excitation qu'il était probablement impossible d'atteindre dans la réalité, et seule mon imagination fertile d'adolescente pouvait le matérialiser. Pourtant, en dehors de mon rêve, mon corps s'agitait à peine. En revanche, mon esprit était en pleine effervescence et, une fois que les tentacules eurent atteint l'entrejambe de ma maman, deux d'entre eux se frayèrent un chemin jusqu'à l'intérieur d'elle. A son tour de prendre son pied par mon pouvoir.

La situation était vraiment des plus ironiques : il y a moins de 24 heures de cela, je ne savais même pas ce que le mot sexe voulait dire. Et maintenant, mon envie de faire des choses coquines était si forte que, même endormie, j'arrivais à faire l'amour à Ivy, qui appréciait grandement l'activité de mes tentacules. Ils étaient si fins que j'avais pu en rentrer deux en même temps dans son sexe, et ils lui labouraient les chairs à l'en faire crier de plaisir. De son côté, elle n'avait que deux doigts en moi, mais même ces deux petits doigts avaient un grand pouvoir sur moi : le moindre message de plaisir physique envoyé à mon cerveau était dix fois plus intense une fois qu'il arrivait dans mon inconscient. Ainsi, deux doigts semblaient être un énorme tentacule phallique. En plus de ça, tous mes fantasmes étaient réalisés dans ce rêve : mon envie d'allaitement, mon penchant pour les fessées, et faire l'amour avec ma maman. C'était mon premier rêve rose, et il était plus intense qu'une décharge électrique d'un millier de volts.

Plus mon plaisir augmentait dans le monde réel, plus l'activité de mes tentacules était intense, et plus mon corps réagissait. Ma maman pouvait me voir me tortiller près d'elle, pousser des petits gémissements, crisper mes mains sur sa peau, tandis que les extensions végétales que je commandais inconsciemment martelaient son utérus toujours plus intensément. Mais pourtant, malgré l'intensité de ce que je vivais, tout s'arrêta une fois que j'atteignis l'orgasme. Avant ça, maman avait déjà joui une fois grâce à mes tentacules.

Les deux doigts d'Ivy firent jaillir ma mouille, et cela eut pour conséquence, dans mon rêve, de me provoquer un dernier orgasme avant que tout ne devienne noir autour de moi. Les tentacules disparurent, et mon corps partit à la dérive dans l'obscurité. Je dormis paisiblement pendant tout le reste de la nuit, sans bouger et sans dire un mot. Ivy en profita pour dormir elle aussi.

Le jour se leva après plusieurs heures d'un repos bien mérité. Je me réveillai doucement, éclairé par les rayons encore timides du soleil. Près de moi se tenait ma maman, qui me blottissait contre ses seins, ses bras autour de moi. J'attendis encore un peu avant de la voir se réveiller à son tour et me dire bonjour avec un baiser sur le front.

« Bonjour maman. »

Bizarrement, je n'avais presque aucun souvenir de mon rêve de la nuit dernière, juste quelques bribes par-ci par-là. Du coup, quand elle me raconta ce que j'avais fait, j'eus un peu de mal à la croire au début, mais je savais au fond de moi que tout était vrai, et j'en étais un peu gênée.

« Je ne sais pas si je dois m'excuser ou te dire merci, alors je vais juste te faire un câlin. »

Sentir sa peau contre la mienne, je ne m'en lasserais jamais.

Il était temps pour nous de quitter cette forêt et de se mettre en route pour la Terre, notre maison. J'étais nerveuse, mais Ivy fit ce qu'il faut pour m'aider à me calmer et me préparer à découvrir ce nouveau monde, dont je ne savais que très peu de choses. Elle me mit tout particulièrement en garde à propos de la pureté de l'air et du paysage environnant : sur Terre, l'air était plein de polluants chimiques et la nature avait été massivement détruite au profit de constructions hideuses en béton et en verre, ce qui risquait, au début, de me donner l'impression d'étouffer, à cause du changement brutal de milieu de vie. Mais cette état allait vite s'estomper, il fallait juste que je garde mon calme et que je laisse les choses venir naturellement en moi. Ensuite, une fois que je me serais acclimatée, elle me ferait entrer au lycée où elle travaille pour que je puisse avoir la vie d'une adolescente ordinaire. Je n'étais que moyennement enthousiaste à cette idée, mais j'allais devoir m'adapter si je voulais rester avec Ivy, alors je ferais de mon mieux pour maîtriser mes mauvaises pensées à son égard.

Maman me prit par la main et nous marchâmes ensemble jusqu'au portail reliant sa maison sur Terre à cette forêt. Avant de partir, je jetai un dernier regard à la forêt. Je pouvais sentir chaque vie qui s'y trouvait, depuis la feuille attachée à un arbre jusqu'à la fleur poussant sur l'herbe verte. J'étais triste de devoir partir, mais je savais que ce n'était pas un adieu. Je pourrais revenir quand j'en aurais envie, pour me ressourcer ou pour oublier mes malheurs. Cette forêt était mon passé, la Terre était mon futur... et ma maman, avec son sourire chaleureux et sa main dans la mienne, était mon présent.