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Le réveille sonne, il est un peu tard: huit heures du matin. Lucia se réveille et le regarde
... En retard.
La jeune fille de lève, encore dans son pyjama bleu foncé. Vite, elle fait sa toilette, prend son petit déjeuner et part s'habiller en vitesse. Un fois cela fait, elle prend son sac, enfile ses chaussures et file comme le vent en direction du lycée. Pour la première fois de sa vie, Lucia est en retard et doit courir pour atteindre son nouveau lycée. Elle comptait faire bonne impression auprès des professeurs, au moins, mais il faut croire que là, c'est raté. De toutes façons, à la fin de l'année, elle ne les reverra peut-être plus jamais, alors pourquoi s'encombrer de telles choses ?
Distraite par son raisonnement, Lucia manque de percuter des passants.
Pardon, excusez moi...
Enfin devant l'école, Lucia entre et part à la recherche de la classe qui lui est indiquée. Elle cherche, elle cherche.
Où c'est ?
Ses yeux deviennent gris, elle cherche sa classe. Lucia n'est pas réellement en retard, comme quoi, faire les choses vite sert parfois.
Alors qu'elle est complétement perdue, la jeune femme décide de lire dans les pensées des élèves dans l'espoir que l'un d'eux aille dans la salle dont il est question. Justement, un élève y va. Lucia murmure:
Plus qu'à le suivre.
Alors, la jeune fille suit l'étudiant qui lui aura été très utile. Le garçon entre dans la classe, elle attend un peu puis fait de même.
Une fois à l'intérieur, elle scrute la classe, les élèves ne sont à première vue pas intéressant à ses yeux, elle est pourtant loin de se douter de ce qui pourrait arriver. Lucia prend place au fond de la salle, sort ses affaires et attend le début du cours.
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Carsten, Lucia. Âgée de seize ans, la jeune fille faisait sa rentrée aujourd’hui. Assise dans son bureau, dans un costume impeccable (http://img110.xooimage.com/files/d/9/4/ivy_worksuit-4ae9ee2.jpg), qu’elle portait rarement (Pamela préférait ne rien porter sur le corps, n’appréciant guère les vêtements synthétiques), Pamela contemplait son dossier scolaire. Il n’était pas bien épais, mentionnant le fait qu’elle était orpheline. Elle venait des profondeurs du Japon, et Seikusu était probablement la plus grande ville qu’elle ait jamais vu. La belle Lucia était une mignonne petite femme, et, en observant sa photographie, Pamela avait un léger sourire. La professeur de sciences aventura distraitement son doigt sur la photo, et les plantes vertes multiples, disséminées dans son bureau, se mirent à frémir, en sentant l’excitation de leur génitrice.
Observant l’heure sur sa montre, Pamela se releva, et sortit de son bureau. Ses talons claquèrent sur le sol, et elle quitta la partie administrative du bâtiment principal pour rejoindre sa salle de cours. Quand elle arriva, il n’y avait aucun élève, et elle s’assit à sa place, consultant ensuite une revue scientifique, la lisant toutefois sans grande conviction. Poison Ivy était plus qu’une simple humaine, elle était une mutante, à mi-chemin entre l’humain normal et l’Alraune, ces êtres végétaux qui contrôlaient la Nature comme des Dieux, entretenant avec la Nature une relation symbiotique. Pamela menait de multiples expériences sur les plantes, afin de les renforcer, de les accroître, et son amour pour les plantes s’était encore plus renforcé et apaisé au Japon. Qu’allait-elle faire avec Lucia ? Pamela avait quelques idées, mais elle ignorait si elle aurait l’occasion de les appliquer sur elle.
Afin d’accueillir les nouveaux élèves, le lycée organisait toujours une visite des locaux. Cette visite était généralement organisée par un autre élève, un surveillant, un membre du personnel administratif... Ou encore un professeur. Cette fois, c’était Ivy qui s’en chargeait. Peu à peu, les élèves arrivèrent, et Pamela rangea ses lunettes, en les regardant. Certains n’arrivaient pas à soutenir son regard, d’autres rougissaient, se tortillant sur place. Elle avait couché avec plusieurs d’entre eux, et, pour ne rien arranger, le corps d’Ivy sécrétait naturellement des aphrodisiaques, qui s’échappaient de son corps. Un cours avec elle était donc particulièrement redoutable.
Pamela se releva, quittant son bureau, et avança le long des couloirs, ses mains venant parfois, distraitement, s’appuyer sur les épaules d’un ou deux élèves, des personnes avec qui elle avait fait l’amour.
« Détendez-vous, tout se passera bien... »
L’Empoisonneuse alla dans l’arrière-salle, son petit laboratoire, une version miniature de son véritable laboratoire, au sous-sol. C’était un petit local avec des plantes. Pamela y entra, et s’approcha d’une grosse plante verte, la caressant avec les doigts. En arrivant à Seikusu, Pamela avait amélioré sa formule d’accroissement végétal, et, pour cela, elle s’était aidée de la sève d’arbres situés dans une forêt exceptionnelle, Alraunya, une forêt qui était dirigée par une Alraune, Weldenela. Ce sanctuaire végétal était son refuge, et la particularité d’Alraunya est qu’elle était une forêt très sexuelle. En conséquence, l’accroissement de ses plantes nécessitait du liquide intime, que ce soit le sperme ou la cyprine.
Pamela s’approcha de l’une des plantes, et, quand elle posa sa main dessus, cette dernière s’ouvrit lentement. Plusieurs couches externes disparurent, révélant, à l’intérieur, le corps endormi d’une femme : Seika (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1329759). Cette lycéenne était toute nue, le corps relié à la plante par des tentacules verts s’enfonçant dans sa bouche et dans ses parties intimes, d’autres appuyant sur ses tétons, les pressant et les caressant. Ainsi attachée, Seika était offerte à Pamela. Elle était là depuis hier, et Poison Ivy sourit lentement. Oui, elle aurait dû la libérer... Mais elle avait l’air d’aller bien, et Ivy referma donc la plante, puis retourna en salle de cours.
Elle ouvrit la porte, et vit que de nouveaux élèves étaient arrivés... Dont celle qu’elle recherchait. Pamela posa son regard sur la femme aux cheveux bruns. Une coupe semi-longue, une bouille d’ange...
« Lucia ? Je suis heureuse de te voir... Je suis Pamela Isley, ta senseï. »
Elle lui sourit gentiment, les aphrodisiaques se mettant à se diffuser dans la salle, promettant de longues pensées masturbatoires à venir.
« Pour une première fois, tu te mets tout au fond de la salle ? Est-ce que je te fais peur ? Dans tous les cas, Lucia... Je te souhaite la bienvenue au lycée Mishima ! »
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Lorsque Lucia vit Mme.Isley pour la première fois, elle compris pourquoi l'élève qu'elle avait suivi était devenu rouge. Cette femme était étrange, impressionnante. Mais ce n'est pas ce qui allait l'intimider. La jeune fille est là pour étudier, rien de plus. Même si elle aimerait au passage se faire des amis... C'était moins important que le savoir. Cette philosophie est ce qui régit la vie de Lucia depuis trois ans maintenant, elle ne voit pas pourquoi elle changerait.
Étrangement, lorsque Pamela lui adressa la parole, Lucia se senti intimidée, ce n'était pourtant pas son genre, mais elle se devait tout de même de répondre en regardant sa professeur dans les yeux.
Enchantée, madame.
Lorsque Mme.Isley demanda à Lucia si elle avait peur, la jeune fille détourna le regard, elle ne voulut pas répondre "oui" car ce serait faux, mais pas "non" non plus, car ce n'est pas exact. Elle avait bel et bien peur, mais des autres élèves. C'est donc en laissant tomber ses cheveux devant son visage qu'elle bafouilla:
N-non.. Je préfère juste rester loin... Pour m'effacer. Je ne devrais pas ?
S'effacer, c'est bien le mot. si Lucia cachait ses émotions, rien ne pouvait cacher le fait qu'elle avait toujours été seule, sans amis et maintenant sans famille. Mais au lieu de pleurer son malheur pour le transmettre aux autres, elle préférait ne rien dire, tout garder pour elle, la fille n'avait pas que ça à faire. Lucia avait déjà l'impression de faire quelque chose de mal, ses yeux virèrent du marron au gris assez rapidement puis reprirent leur couleur habituelle, elle se questionnait intensément sur ce qu'elle aurait dû faire, mais maintenant c'est trop tard.
Pourtant, les aphrodisiaques avaient l'air de faire effet, même sur Lucia, mais cette dernière était encore pure à cent pourcents. Elle se contenta de croiser les jambes en rougissant imperceptiblement. Qui était cette prof ? Pourquoi cette salle la faisait se sentir si bien ? Elle ira lui demander..
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La mentalité japonaise était très différente de la mentalité occidentale. La culture occidentale, en effet, était axée depuis le siècle des Lumières sur l’individualisme, sur la supériorité de l’individu face au groupe, un changement à 180° après l’époque médiévale, après le système féodal, où l’accent était mis sur les grands groupes sociaux, supérieurs aux individualités. Au Japon, cet esprit féodal était extrêmement fort, même maintenant. Les raisons historiques variaient selon les auteurs et les interprétations. Les Lumières n’avaient jamais été exportées au Japon, et la culture japonaise, reposant sur des auteurs comme Confucius, mettait l’accent sur des valeurs collectives, comme le travail, davantage que sur des valeurs individuelles, comme les libertés privées. C’est ainsi qu’au Japon, un proverbe disait que, face à un clou dépassant d’une rangée de clous, il fallait un marteau pour l’enfoncer, et pour que l’ensemble reste harmonieux. Ce n’était, bien entendu, pas la seule différence entre le Japon et l’Occident, mais c’était l’une des plus remarquables, et à partir de laquelle en découlait quantité d’autres... Comme le port de l’uniforme scolaire, l’importance des conventions sociales, le respect des bonnes manières...
Lucia venait clairement de lui dire qu’elle voulait « s’effacer ». Elle était très timide, comportement typique d’une fille de la campagne. Pamela ne dit rien pendant quelques secondes, et pencha la tête sur le côté, en croisant les bras.
« T’effacer ? Tu n’es pas transparente, Lucia... Moi, quand je te vois si loin de moi, j’ai l’impression que tes camarades t’ont raconté des choses affreuses sur moi... »
Personne ne se mettait sur les premiers rangs face à Ivy, mais ce n’était pas peur... Du moins, pas la peur de l’enseignant telle qu’on pouvait la concevoir. C’était une autre forme de peur, plus insidieuse, celle d’enchaîner les érections. En étant trop proche du bureau d’Ivy, les aphrodisiaques étaient les plus forts, et ce d’autant plus que Pamela avait mis sur son bureau plusieurs plantes vertes, qui étaient reliés à elle, et aidaient donc à diffuser ses redoutables spores. Elle plaisantait avec Lucia, afin de la détendre. Pamela savait aussi qu’elle était une professeur très stricte, très sévère. Sa notation était très sévère, à tel point que même le plus doué des élèves, avec elle, n’avait jamais au-dessus de 12. Ainsi, elle n’hésitait pas à donner des notes de synthèse à de simples lycéens. Chaque cours était intensif, mais elle tenait à leur faire apprendre la biologie, et, surtout, les bienfaits de l’écologie, et les méfaits de la pollution. Les cours d’Ivy étaient intenses, mais aussi très intéressants, car, s’il y avait évidemment de fortes notions scientifiques, elle n’hésitait pas à mettre tout cela en perspective, en transformant alors ses cours en véritables séances politiques, où elle parlait de l’écologie, de la politique des grands groupes industriels, des défaillances de l’État, et des réponses à apporter pour préserver la Nature.
Il y avait donc beaucoup de données dans les cours de Pamela. Cette dernière s’assit sur le rebord du bureau de Lucia, continuant à la regarder.
« Et puis, comme tu viens d’arriver, Lucia, tu ne pourras pas te défiler à la présentation devant le reste de ta classe... »
Ivy sourit, amusée, puis ébouriffa un peu les cheveux de Lucia, avant de s’écarter. Tous les élèves étaient arrivés, et elle se rapprocha de son bureau, puis ferma la porte. Elle revint ensuite sur l’estrade, et observa ses élèves, avant de se mettre à parler, tandis que tous se relevaient :
« Bonjour, mes chers élèves... Ne vous rasseyez pas encore, j’aimerais que vous souhaitiez la bienvenue à une nouvelle élève, qui vient tout juste d’arriver à Seikusu, et qui fait sa première heure au lycée Mishima. Lucia... Veux-tu bien venir, s’il-te-plaît ? »
Pamela attendit que Lucia s’approche, se mettant face au bureau, et, surtout, face à tous ses camarades, et elle se pencha vers elle, un sourire amusé sur le coin des lèvres :
« Est-ce que tu as quelque chose à leur dire ? » susurra-t-elle dans le creux de son oreille.
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Plus Lucia écoutait Mme.Isley, plus elle avait l'impression d'avoir mal fait d'aller au fond, pourtant, c'est exactement ce que la jeune fille voulait, elle n'aimait pas participer à l'oral, ni être trop vue par le professeur, manque de chance, c'est raté. Même si elle est nouvelle, Lucia aurait aimé ne pas se faire remarquer de la sorte, pour sa première heure, tout de même !
Personne n'avait dit de mal de Pamela à Lucia, mais les pensées du garçon qu'elle a suivi laissaient penser que Mme.Isley n'était pas une prof conventionnelle. Lucia secoua la tête en répondant:
Non... J'ai toujours fait comme ça...
Attendez, Lucia doit se présenter devant tous les élèves ?! Impossible ! Elle ne voulait pas parler d'elle, Lucia préférerait rester à sa place... Mais elle accepta de se lever et d'aller jusqu'au tableau, son visage ne laisse transparaitre aucune émotion, on pouvait tout de même sentir que Lucia était timide.
Je... Suis obligée ?
Elle entendit sa professeure lui parler dans l'oreille, là, c'était trop pour elle. Lucia avait réellement peur, elle savait qu'elle ne pourrait plus se rassoir avant d'avoir répondu, s'être présentée. Devant une seule personne, pourquoi pas, Lucia n'aurait pas été dérangée, mais devant toute la classe ?! Non, définitivement non, elle ne voulait rien dire. La prof l'inquiétait d'ailleurs. Lucia stressait tellement qu'elle n'eut pas le réflexe de regarder ce que pense Ivy.
Maintenant, c'était trop tard, Lucia était au tableau, toute rouge, elle devait bien dire quelque chose, même si c'est peu. Les yeux de Lucia virèrent au gris, elle ferma les yeux et respira un grand coup. Son rougissement était passé, même si elle était toujours inquiète, au moins elle n'était pas rose devant tout le monde.
B-Bonjour, je m'appelle Lucia...
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La belle Lucia se mit à rougir comme une belle tomate joufflue. Cette femme était terriblement timide, ce qui confirmait tout ce que Pamela pensait sur elle. Une pure Japonaise, élevée dans la tradition d’un pays conformiste, dans un pays où il était déconseillé de trop s’afficher. La belle petite fleur devenait très appétissante aux yeux d’Ivy, qui la vit hésiter, face à tous ces regards et ces visages bienveillants. Il y avait évidemment des rebelles au lycée Mishima, des fortes têtes, mais, globalement, la plupart des élèves étaient très gentils, surtout avec une belle lycéenne. Lucia, en effet, était très agréable à voir, et Pamela n’était pas insensible à cette donnée. Étant une mutante, proche de la Nature, la beauté naturelle, sincère et pure, l’inspirait beaucoup, que ce soit celle des arbres, ou des humains. Après tout, elle était à mi-chemin entre les deux. Lucia hésita un peu, puis, après de longues secondes, finit par parler, d’une toute petite voix. Elle opta pour une présentation très synthétique, et le public ne tarda pas à lui répondre :
« BOOONJOOOUUUURRRR LUUUCIIIIAAAA !! BIEEEENVEEEENUUUUUUUUEEE !! »
Un joli cri en chœur, qui fit sourire Pamela. Elle se rapprocha de Lucia, et lui caressa les cheveux. Encore un élément qui allait probablement troubler la petite adolescente. Les Japonais étaient très à cheval sur les conventions sociales, notamment le contact physique. Il était interdit de toucher des inconnus, ce qui expliquait pourquoi, plutôt que de se serrer la main ou de se faire la bise, les Japonais s’inclinaient. Pamela prenait donc volontiers des risques, mais tout était calculé.
« Très bien, Lucia... Tu peux aller t’asseoir, maintenant. »
Le cours allait pouvoir commencer, et Lucia se mit à filer, tandis que Pamela laissait échapper une pensée en la regardant partir.
*Dommage qu’elle parte si loin, je ne pourrais pas voir davantage sa belle paire de seins...*
Pamela observa ensuite les élèves, puis entama son cours après quelques instants. Pour les élèves, le calvaire allait commencer... Et, dans une salle où les esprits de jeunes adolescents s’échauffaient, être une télépathe pouvait parfois s’avérer très dangereux... Car, à bien y regarder, Pamela pensait avoir couché avec tous les élèves de cette classe... Sauf Lucia. Autant dire que le cours, tout en étant très formel et très bien construit, car s’apparentant, au moins au début, à un cours magistral, se trouva très relâché dans les pensées très déplacées et très coquines des élèves...
Un cours qui promettait d’être long !
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En entendant ce cri, Lucia sursauta, elle se senti encore plus gênée. Puis Mme.Isley dit à Lucia de retourner à sa place, elle ne se fit pas prier, mais en repartant, elle regarda rapidement Pamela pour lire ses pensées. Mauvaise idée. Lucia compris que sa prof voulait voir sa poitrine. Elle rougit. Cette professeur était donc une nymphomane ? Si c'était vrai, le cours risquait d'être long, effectivement. Puis Lucia se rappela de l'élève qu'elle avait suivi. Aurait-il fait des choses pas nettes avec Mme.Isley ? Comme tous les autres élèves, visiblement ?! Pour en être certaine, elle regarda certains élèves et sonda leur pensées, en effet c'était bien ça...
Lucia se rassit, elle n'était pas rassurée, d'ailleurs, elle avait encore l'impression de sentir la main de la professeure dans ses cheveux. Ce n'était pas désagréable, mais c'était très gênant. Ce cours promettait d'être long, ça oui.
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« Alors... Dites-moi... Pourquoi les végétaux sont-ils verts ? »
Pamela marchait lentement, faisant claquer ses talons, en observant ses élèves. Lucia, elle, était retournée s’asseoir au fond de la classe, toujours aussi rouge. Pamela se retenait de sourire, et se concentra sur le cours. Le cours d’aujourd’hui portait sur les végétaux, et plus particulièrement sur la photosynthèse... Et donc sur la chlorophylle. Un élève leva la main, et Ivy le regarda et hocha la tête. Il se releva alors, comme il convenait de faire, attirant l’attention. Aucune érection visible, mais il pensait aux seins de la professeur, se rappelant quand elle avait pris son sexe en bouche, puis avait frotté sa virilité entre ses mamelons, avec un sourire, et avec ce souffle, ce souffle magique sur sa tête.
Ses bras le long de son corps, il expliqua que la couleur verte des végétaux était liée à la capacité d’absorption des plantes du spectre lumineux. La photosynthèse était un mécanisme consistant, pour les plantes, à absorber les rayons solaires. Les plantes absorbaient l’énergie solaire pour la synthétiser en une matière organique, d’où le nom de « photosynthèse » : « photo » pour « lumière », et « synthèse » pour « combinaison », si on revenait à l’étymologie du mot. Pamela commençait toujours un cours par une définition étymologique, car c’était, pour elle, le meilleur moyen de comprendre les termes scientifiques, qui étaient volontiers des termes barbares. Le vert était la couleur que les plantes absorbaient le moins, ce qui expliquait pourquoi elles étaient de couleur vertes.
« C’est très bien, Kaoru, tu peux te rasseoir. »
Elle lui fit un sourire espiègle, et continua à marcher. La photosynthèse était quelque chose de très personnel, car elle savait, pour avoir réalisé des tests sur son propre sang, qu’elle avait, dans le corps, de la chlorophylle. Elle leur demanda d’ouvrir leurs livres, afin d’étudier les différents types de chlorophylles présents dans le règne végétal : la chlorophylle a, b, c, d, ou encore la plus récente, la f.
« Plus vous étudierez le monde végétal, et plus vous découvrir à quel point nous, humains si désireux d’explorer les profondeurs de l’espace, sachons si peu de choses sur notre monde... Nous qui pensons, avec toute l’humilité qui sied aux humains, lâchait-elle, non sans une certaine ironie perceptible dans le ton de sa voix, avoir tout découvert, avoir dompté la Nature, faisons sans cesse l’objet de piqûres de rappel de la Nature. Rappelez-vous l’éruption volcanique de l’Eyjafjöll en 2010 pour comprendre à quel point nous, pauvres hères, ne sommes que les fils indignes de la toute-puissante Mère Nature. »
Elle marchait entre les tables en parlant, et, à chaque fois, ses spores se répandaient, amenant les élèves à avoir de nouvelles pensées indécentes. Clara, une lycéenne avec des cheveux teints en rose, serra les cuisses en se rappelant les tentacules végétaux l’ »ayant enserré et pénétré longuement.
La route de Pamela finit par la ramener à Lucia, et elle croisa les bras en la regardant, écartant légèrement les jambes :
« Qu’en penses-tu, Lucia ? »
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Lucia se contentait d'écouter le cours, elle appréciait beaucoup la botanique, même si elle ne montrait pas ses goûts. Elle n'était en revanche pas totalement d'accord avec ce que disait Mme.Isley. L'homme, même si il ne connaissait pas toute l'étendue de son monde, n'était pas forcé de commencer par finir ce qu'il avait entrepris depuis l'Antiquité. La découverte d'une autre forme de vie que la notre était importante aussi, car nous ne sommes sûrement pas les seuls. C'était le sujet de réflexion favori de Lucia.
Puis Pamela vint lui demander ce qu'elle pensait de ça. Lucia perdit son rougissement, ses yeux passant au gris, le temps de répondre.
Je ne suis pas totalement d'accord. L'homme sait pertinemment qu'il ne connait pas la totalité de ce monde, j'ai en exemple les profondeurs sous-marines, elles n'ont pas été entièrement explorées et on n'en connait qu'une infime partie. Il y a très sûrement d'autres formes de vie, autant végétale qu'animales. Et j'ajouterais pour finir: Pourquoi l'homme ne partirait pas explorer l'espace pour trouver d'autres formes de vies, là aussi. L'homme peut très bien faire les deux à la fois.
Lucia valorisait l'espèce humaine, mais elle savait qu'elle était très idiote, cette race. Par exemple, le calendrier Maya qui s'arrêtait le 21 Décembre 2012, n'était juste pas terminé. La religion aussi était idiote. Se faire la guerre pour faire la paix était aussi idiot, mais Américain donc c'est normal. Il y avait tant de choses communes à l'homme qui étaient idiotes... Les yeux de Lucia redevinrent marrons, et elle senti ses tétons devenir durs. Elle rougit de nouveau. Pourquoi ? Pourquoi est elle excitée dans cette salle ? Vivement la fin du cours. Vraiment.
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Pauvre Lucia... Elle commençait sa rentrée scolaire par un cours avec Pamela Isley... Soit par un cours avec une professeur qui était une sorte de bombe atomique. Ivy savait, pour les avoir vus, que les élèves faisaient, sur les réseaux sociaux, des classements de professeurs les plus sexys. Dans l’une de ces classements, Poison Ivy avait été en tête de liste. Elle s’était amusée une fois à venir en cours, et avait commencé en brandissant ce classement sur une diapositive, et en demandant qui avait voté pour elle. Aucune main ne s’était levée, mais il y avait eu des rougissements à transformer des têtes en tomates.
La réponse de Lucia fusa rapidement. Elle arguait que l’Homme avait conscience de sa petitesse, et qu’il n’était pas contradictoire d’aller dans l’espace, tout en se renseignant sur la diversité de l’écosystème terrien. Pamela écouta sa réponse, tout en ayant le sentiment que les seins de Lucia s’étaient quelque peu tendus... Pamela l’autorisa à se rasseoir, et marcha un peu.
« Macrocosme et microcosme... L’être humain a toujours été tenté par ce qui est plus grand et plus petit que lui. Qui n’a pas fait ce rêve ? Celui de se coucher sur le sol, d’observer les étoiles, et de s’imaginer que quelqu’un d’autre, là-haut, tout là-haut, puisse, lui aussi, vous observer ? »
L’une des plus grandes questions de l’humanité était de savoir s’il existait d’autres formes de vie. Par sa position, Ivy savait que c’était le cas, mais, pour des raisons de sécurité publique, ce genre d’informations n’étaient pas divulgués au public. Elle ne pensait pas qu’à Terra, mais aussi à toutes ces autres formes de vie qui gravitaient dans l’espace. Quoi qu’il en soit, elle savait ô combien l’être humain était désireux de s’élever de lui-même. C’était un débat qui dépassait les simples enjeux scientifiques, pour en venir à la nature profonde de l’être humain. L’Homme avait-il donc si peu confiance en lui qu’il ne pouvait s’empêcher de rêver à sa propre grandeur ? De se projeter dans les étoiles et dans les Dieux ? Pamela avait lu Hegel, elle avait lu la manière dont il interprétait l’histoire des religions, comme une sorte de projection continuelle des aspirations de l’être humain. Toutes les mythologies permettaient d’avoir un éclairage sur les sociétés, et sur leur degré d’évolution. Plus une société évoluait et avait foi en elle-même, et plus les Dieux étaient humains.
Pamela revint à des pensées plus prosaïques, en retournant vers le bureau.
*Putain, ce cul !
Je l’aime, je sais que je l’aime...
J’ai tellement envie de me branler... Si je m’étais pas levé si tard ce matin, j’aurais pu m’astiquer la queue un bon coup, ça aurait été bien plus simple...*
Sous l’effet de l’excitation sexuelle, les pensées des autres camarades étaient de plus en plus fortes, et, si la gent masculine se faisait remarquer, le beau sexe n’était pas en reste. Ceux qui pensaient que les phéromones d’Ivy n’agissaient que sur le sexe masculin se trompaient chèrement.
*Ça y est, j’ai encore mouillé ma culotte...
J’ai bien fait de me mettre dans le coin de la pièce, je n’ai plus qu’à utiliser mon stylo pour me caresser...*
Oui, le cours allait être long... Et Pamela était suffisamment observatrice pour le voir.
« Vous avez ouvert vos livres au chapitre d’aujourd’hui ? Nous allons commencer en douceur... Je vous laisse dix minutes pour faire les exercices 1 à 4. »
Le silence... Il était terrible dans ce cours, car les spores d’Ivy avaient l’occasion de se répandre dans toute la pièce, et les élèves devaient clairement se retenir pour ne pas gémir... Car, si Ivy avait couché avec toute la classe (sauf une élève), eux l’ignoraient... Et, même s’ils l’auraient su, ils savaient qu’Isley-senseï avait un comportement tellement ambivalent qu’il n’était pas raisonnable de jouer avec elle, et de la provoquer en plein cours en se demandant à ce qu’elle vous fasse longuement l’amour... Ce qui la rendait, en un sens, encore plus attirante.
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Lucia se rassit, elle écouta les paroles de madame Isley. Elle était d'accord avec sa professeure cette fois. Lucia serrait encore les jambes, elle ne contrôlait pas son corps, ça lui faisait peur. Elle regardait partout autour d'elle, lisant les pensées de tout le monde, ils pensaient tous la même chose, c'était étrange. Mais à force d'entendre plusieurs fois les mêmes choses, Lucia commençait à avoir mal à la tête, de plus en plus. Maintenant Pamela voulait qu'ils fassent leurs exercices. Lucia prit son livre de botanique, à la bonne page. Elle entendait encore les pensées de tout le monde: "madame Isley, pas le travail". Elle était peut-être très belle, trop belle, mais ce n'était pas une raison pour ne penser qu'à ça. Elle entendait tout, elle avait mal à la tête, tête qu'elle prit entre ses mains en chuchotant:
Taisez... Vous...
Et ainsi, Lucia perdit connaissance en pleine classe. C'était ridicule, mais les pensées des élèves couplées aux spores de Mme.Isley, c'était insupportable. Vraiment trop dur, le cours de botanique.
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« Hum-hum... Oui, mes bébés, Pamela est là... »
L’eau de son petit arrosoir de bureau remplit les pots de terre, offrant aux plantes l’eau dont ces dernières avaient désespérément besoin pour continuer à vivre. Son bureau était une vraie jungle, avec des lianes à gauche et à droite, plusieurs plantes vertes sur le bureau, et d’autres dans les coins, avec des plantes japonaises. C’était un endroit particulièrement agréable, où il faisait très bon. Pamela aimait s’y rendre, et avait naturellement décoré ce bureau bien comme il fallait. Il y avait quantité de bouquets de fleurs, offerts par ses élèves. Certains pouvaient se montrer très romantiques, et Pamela prenait soin de toute cette flore. Une doucereuse odeur se dégageait de son bureau, mélange des spores naturelles d’Ivy, mais aussi de multiples parfums qu’elle mettait, afin que l’odeur du bureau soit très naturelle, et très propre. Elle se promenait donc ainsi, jusqu’à sentir son invitée se réveiller, en gémissant et en se tortillant.
Tournant la tête, Pamela s’approcha du divan, sur lequel deux de ses élèves avaient posé Lucia après son malaise. Elle les avait remerciés en les caressant et en les embrassant tendrement, sentant leurs érections caresser ses cuisses. C’était idiot à dire, mais c’était le genre de petits contacts que Poison Ivy adorait... Sentir l’excitation de ces jeunes hommes, sentir leur désir, toute leur envie, qui s’exprimait contre son corps. Elle les avait laissés partir, et se pencha vers la belle Lucia, puis caressa l’une de ses joues.
« Debout, ma mignonne... »
Pamela l’embrassa sur le front, puis se redressa un peu, et retourna s’occuper de l’arrosage de ses fleurs et de ses plantes. Pamela avait délaissé son costume, et portait une nouvelle tenue, tout à fait atypique pour ceux et celles qui n’y étaient pas habitués : un élégant ensemble vert végétal (http://nsa33.casimages.com/img/2013/10/16/131016075722600306.jpg). Quelques feuilles se trouvaient dans ses longs cheveux, et elle continuait à nourrir ses plantes, tout en donnant à Lucia quelques explications.
« Tu t’es évanouie en salle de cours, alors j’ai choisi de te laisser te reposer dans un cadre un peu plus convivial et chaleureux que l’infirmerie... Mon bureau. »
Elle avait mis une tête d’oreiller pour accueillir la tête de Lucia, et se retourna face à elle.
« Comment tu vas, Lucia ? demanda-t-elle en penchant la tête. Tu sais que j’ai été très inquiète de te voir tomber ainsi dans les pommes... »
Son inquiétude était sincère... Mais il y avait aussi une autre raison qui avait amené Pamela à amener Lucia chez elle.
Elle pensait être en grande partie responsable de sa torpeur, et, pour Ivy, il était temps de faire davantage connaissance avec cette belle élève...
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Ma tête...
Lucia avait mal au crâne, comme si elle sortait d'une gueule de bois, mais en moins fort tout de même. Lorsqu'elle se réveilla, elle regarda tout autour d'elle, elle n'était pas en classe, ni à l'infirmerie et encore moins chez elle. C'était une jungle ? Pourquoi était-elle ici ? Juste après, elle vit Ivy, mais dans une tout autre tenue, Lucia s'éloigna et Pamela lui expliqua qu'elle avait perdu connaissance en plein cours. Disait-elle la vérité ? Sûrement, la jeune fille ne se souvient que de peu de choses et essaie de remettre les fragments de mémoire qui lui restaient en place. Elle avait presque tout oublié du cours.
Ça... Ça va...
Elle était encore vaseuse, mais elle recollait les morceaux dans sa tête, bientôt, elle devrait se rappeler de pourquoi elle s'est évanouie. Ou alors non, et elle le découvrirait grâce à Mme.Isley. Elle se leva, mais retomba comme une masse sur le canapé, elle était vidée de toute force, en plus d'être excitée. Elle était à la merci de Pamela, sans ne plus se douter de rien.
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Lucia émergeait lentement, et Pamela lui laissait tout le temps nécessaire de revenir à elle, de reprendre ses esprits. La belle petite fleur était une jeune pousse fragile, et, en la voyant ainsi, couchée sur son divan, à revenir à elle, avec ses belles joues et son corps ample et agréable. Sa coupe de cheveux tendait à lui donner un air juvénile, et, tandis que Pamela continuait à arroser ses plantes, elle pouvait sentir l’excitation de Lucia. Dans son dos, la lycéenne tenta de se relever… Mais se rassit rapidement. Elle était troublée, et encore victime par les spores et les phéromones de Poison Ivy. Pamela le voyait dans ses yeux quand elle tournait la tête, et elle la laissa profiter du spectacle. Lucia pouvait la voir de dos, et elle pouvait ainsi observer ses formes plantureuses. Pamela avait mis sa tenue normale, celle qu’elle aimait porter, car elle était constituée à partir de végétaux, en plus d’être seyant.
« Détends-toi, ma belle Lucia… Rien ne presse, tu es dans un endroit sûr… »
Terminant de nourrir ses plantes, Pamela se retourna vers elle. Quand elle marchait, ses seins remuaient devant elle, légèrement, et elle s’assit à côté de Lucia, prenant place sur le divan, et lui sourit à nouveau. Sa main se releva, et alla caresser l’une des joues de la femme. Son visage restait proche du sien, son souffle sur les lèvres. Pamela se pencha alors vers elle, et l’embrassa sur le front. Oui, la femme se montrait tactile, très proche, mais ce n’était pas sans raison. L’humeur de Poison Ivy était extrêmement liée à celui des plantes autour d’elle, à l’environnement écologique dans lequel elle se situait. C’était ce qui expliquait pourquoi, quand elle était dans une ville polluée comme Gotham City, elle était mauvaise, hargneuse... Alors que, ici, au sein de Seikusu, au sein du Japon, un pays où la Nature vivait en harmonie avec l’Homme, elle était plus apaisée… Et plus mutine.
Ses lèvres embrassèrent ensuite le bout du nez de la femme, et elle resta ensuite accolée contre elle, posant une main sur chacune de ses épaules, avec un sourire niché sur le coin de ses tendres lèvres.
« Je sais ce qui te tracasse, Lucia… Je sais pourquoi tu es tombée dans les pommes. »
C’était ses spores. La jeune femme n’y était pas habituée, et ces derniers lui avaient explosé en pleine figure. Impossible pour Pamela de savoir que Lucia lisait dans les pensées, et elle n’avait donc qu’une partie de la réponse. Les personnes ayant une faible expérience sexuelle, ou une frustration sexuelle longtemps enfouie, pouvaient difficilement résister à Ivy, et devenaient souvent des esclaves, totalement asservis à sa volonté. Et, vu le regard de Lucia, vu la manière dont ses seins semblaient se poindre sous sa chemise, la belle semblait relever de l’excitation. Pamela recommença à caresser l’une de ses joues, ses doigts glissant sur ses cheveux, et elle resta près d’elle, avec un léger et tendre sourire sur le coin des lèvres.
« Embrasse-moi, maintenant, Lucia… »
Pamela voulait voir jusqu’à quel point cette femme était conquise à sa volonté et à ses charmes.
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Lucia n'était pas lucide, elle regardait le dos de Pamela, il était tout aussi beau que le reste. Pourtant, une chose n'était pas normale: pourquoi Mme.Isley portait cette tenue ? Lucia ne s'en souciait qu'à moitié, en fait. C'était un détail mineur comparé au reste. Il fallait qu'elle aille en cours, tout de même ! Mais il fallait croire que sa journée allait se résumer à un long cours de botanique, visiblement.
Ivy s'approcha de la jeune fille, s'assit et lui caressa la joue, puis elle lui embrassa le front. Lucia était rouge, autant de plaisir que de désir, elle en voulait plus et bientôt, elle comprendrait pourquoi les élèves de la classe ne pouvaient s'empêcher de rougir devant cette professeure. Poison Ivy lui dit qu'elle savait ce qui la tracassait, qu'elle savait pourquoi elle était tombée dans les pommes. Oh elle n'avait sûrement pas saisi toute la vérité, et Lucia n'était pas prête de révéler son secret à un professeur, quoi que. Se tiennent-ils au secret professionnel ? Sûrement. Ce n'était pas important.
Mme.Isley recommença à caresser la joue et les cheveux de Lucia, tout en lui ordonnant de l'embrasser. Si elle avait été dans son état normal, la jeune fille se serait déjà enfuie, mais là, elle était excitée et n'arrivait pas à se retenir, peut-être que bientôt, elle ne dira plus "madame", mais "maîtresse".
Oui madame...
Et Lucia embrassa sa professeure de botanique, sa poitrine montrait bel et bien son excitation, et, accessoirement, Lucia mouillait.
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Subjuguée, hypnotisée... Pamela frissonnait devant ce regard rempli de désir et de soumission, lui rappelant tant de si bons souvenirs... La liberté de Pamela était mince, et tenait à peu de choses. Elle était sous liberté surveillée, car son passé criminel n’avait pas été oublié. Le SHIELD la surveillait, et elle savait que, si elle se mettait à déconner, l’organisation n’hésiterait pas à la mettre en prison, et ce malgré tous les services qu’elle avait rendus pour cette bande de boy scouts en costumes. Elle voyait le regard plein d’envie de Lucia, si similaire à tous ceux que les personnes qu’elle subjuguait lui faisaient. Les hommes qu’elle ensorcelait voulaient mourir pour elle. Trop souvent, les humains sous-estimaient la puissance du sexe, une force naturelle primitive face à laquelle peu de gens étaient préparés. La petite Lucia n’avait eu aucune chance, et ce d’autant plus qu’elle avait passé la matinée à dormir sur le divan, et donc à être inconsciemment agressée par les spores d’Ivy. Elle se pencha donc vers elle, et prononça « Madame » avec un tel degré de soumission que Pamela eut immédiatement d’autres idées... Ensuite, la femme l’embrassa, et la main de Pamela vint s’agripper à ses cheveux, la soulevant un peu, la décollant du divan.
Leurs lèvres se pressèrent ensemble, et la langue de Pamela fila dans la bouche de Lucia. Tout le monde connaissait les baisers mortels de Poison Ivy. Sa salive pouvait sécréter un poison mortel, comme une belle rose aux épines venimeuses. Cependant, Pamela contrôlait sa salive, et cette dernière était ici totalement inoffensive. Comment pourrait-elle vouloir faire du mal à un si joli bourgeon ? Pamela l’embrassait chaudement et généreusement, serrant ses mains contre son corps. Elle l’embrassait goulûment, et déplaça son autre main, venant titiller les fesses de Lucia, appuyant dessus, la soulevant un peu. Elle se releva alors, et, tandis qu’elle l’embrassait, des tentacules verdâtres jaillissaient de sa combinaison, venant délicatement s’enrouler autour des cuisses de Lucia, maintenant ainsi cette dernière contre son corps.
« Humm... Ma petite chérie... »
Pamela rompit le baiser, et les tentacules se retirèrent, retournant dans sa tenue. Elle déposa la femme, sur ses jambes, et conserva ses mains contre sa tête, venant ainsi nicher cette dernière contre ses seins. Avec un sourire sur le coin des lèvres, Pamela caressait tendrement ses cheveux.
« Nous sommes à l’heure du déjeuner, Lucia... J’ai préparé un mot pour les professeurs que tu aurais dû avoir ce matin, afin de justifier ton absence. Autrement dit, nous avons deux heures pour jouer ensemble, toi et moi... »
Le temps, toutefois, risquait de passer bien vite. Pamela caressait les cheveux de Lucia, la câlinant tendrement, puis elle s’écarta d’elle, et caressa l’une de ses plantes.
« Comme tu l’as peut-être compris, je ne suis pas vraiment humaine, Lucia... Disons que je suis à mi-chemin entre le statut d’être humaine et... Autre chose. »
Et, comme pour le lui montrer, elle caressa la plante verte... Et des tentacules verts jaillirent du pot de terre, poussant rapidement. De petits tentacules qui vinrent s’entortiller affectueusement autour du doigt de Pamela, qui tira légèrement dessus, avant de les relâcher.
« Et, dans ce bureau, je ne suis plus ta senseï... Mais ta Maîtresse. L’attirance que tu ressens pour moi est amplifiée par les spores qui s’échappent perpétuellement de mes corps... Et, comme tu es encore vierge, tu es incapable de résister face à tes pulsions hormonales... »
Elle lui sourit donc, et s’assit sur le bureau, en croisant les jambes.
« Maintenant, Lucia, ma petite esclave, viens à mes pieds, et embrasse-les, en me disant combien ta Maîtresse est belle, et combien tu aimerais qu’elle t’enlève ta virginité et butine ta fleur intime... »
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Lucia senti la langue d'Ivy entrer dans la bouche de Lucia, elle frémit, c'était la première fois qu'elle se faisait embrasser. La professeure joua aussi un peu avec les fesses de la jeune fille. Des tentacules sortirent de la tenue de Mme.Isley et s'enroulèrent doucement autour des cuisses de Lucia. Elle ne protestait pas, elle n'en avait pas l'envie. La professeure rompit le baiser et les tentacules lâchèrent Lucia. Juste après, elle la posa sur ses jambes et nicha la tête de l'élève contre ses seins. Pamela souriait. Elles avaient deux heures pour "jouer" ensemble.
Ivy expliqua à Lucia qu'elle n'était pas totalement humaine, elle était à mi-chemin entre l'humaine et la plante. Elle dit à son élève qu'ici, elle n'était pas sa professeure mais sa maîtresse, Lucia ne pouvait pas réellement refuser cela. La maîtresse expliqua à Lucia pourquoi elle était attirée à ce point. Ça se tenait, mais la jeune fille s'en moquait maintenant. La prof' s'assit sur le bureau et croisa les jambes, en ordonnant à l'élève de lui embrasser les pieds puis de lui dire à quelle point elle était belle et à quel point elle aimerait perdre sa virginité. Lucia s'exécuta et embrassa le pied gauche de Pamela, puis le pied droit.
Vous êtes magnifique, maîtresse... J'adorerais que vous me preniez ma virginité, s'il-vous-plaît...
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Ivy aurait pu dire à Lucia qu’elle était une plante cannibale ayant pris l’apparence d’une humaine ou une créature extra-terrestre qu’elle était sûre que la femme aurait eu la même réaction. La jeune lycéenne était incapable de réfléchir à autre chose qu’à ses hormones, et qu’à ce désir grandissant en elle. Si Pamela lui aurait demandé de tuer quelqu’un, elle l’aurait fait sans sourciller. Ivy était bien placée pour le savoir, car c’était ce qu’elle avait fait à Gotham. Ses spores étaient terrifiantes, et lui avaient toujours permis de s’en sortir. Ses procès avaient toujours été minorés grâce à ses spores, et, même après, à Arkham, le personnel était toujours influencé, de près ou de loin, par Ivy, ce qui avait fini par la conduire à être enfermée dans une cellule spéciale, complètement hermétique, avec un gaz censé inhiber ses spores. Maintenant qu’elle était libre, Pamela continuait à les utiliser, et chacune de ses explorations sur Terra conduisait continuellement l’Empoisonneuse à perfectionner leur usage. C’était plutôt une réussite, à voir Lucia.
Sans attendre, la jeune femme fléchit les genoux, et avança à quatre pattes devant Pamela, déposant un baiser sur chacune de ses bottes. Rien de particulièrement sexuel là-dedans, mais Ivy ne put s’empêcher de frissonner. C’était simple ; elle était encore suffisamment humaine pour apprécier la soumission devant sa propre personne, et pour ressentir, le long de ses reins, le frisson que procurait le sentiment d’avoir du pouvoir sur quelqu’un. De sa voix d’ange, Lucia lui dit qu’elle était magnifique, et qu’elle souhaitait que sa Maîtresse lui prenne sa virginité... Ce qui était exactement ce qu’Ivy voulait entendre.
Elle sourit donc, et hocha la tête :
« Très bien, Lucia... Redresse-toi... »
Pamela se décolla de son bureau, et ses lèvres retournèrent gober celles de la jeune femme. Lucia restait sincèrement une très jolie femme, un superbe morceau, et se presser contre elle, sentir ses lèvres, était un plaisir constant. Il y avait, à Mishima, une véritable compétition entre les professeurs sur le sort des jeunes élèves vierges. Si ça n’avait pas été Pamela, ça aurait été Ichtora-senseï. Il était clair que le personnel enseignant de Mishima n’était pas choisi uniquement sur des critères purement pédagogiques, mais aussi sur des critères physiques et sexuels. Poison Ivy en avait fait les frais lorsqu’elle avait soumis sa candidature à l’approbation du conseil d’administration du lycée.
Sa langue fila dans la bouche de Lucia, et elle l’embrassa pendant quelques minutes, en prenant tout son temps. Coucher avec Lucia était aussi, en un sens, une nécessité pédagogique, car, tant qu’elle n’aurait pas goûté à la chose, tant que son corps n’aurait pas été satisfait, la femme continuerait à être ainsi, elle continuerait à avoir des troubles à chaque cours. Il fallait entraîner son corps pour que ce dernier puisse résister plus efficacement aux spores de la femme.
Tandis qu’elle l’embrassait, son corset végétal se volatilisa à hauteur de ses seins, et ses mains défaisaient, l’un après l’autre, les boutons de la chemise de Lucia. Elle était sa petite poupée, suivant ce que Pamela voulait. Excitant. Ivy lui ôta donc sa chemise, puis s’écarta à nouveau d’elle, de quelques centimètres.
« Viens sucer mes seins, Lucia... Ils sont là pour toi, viens... »
Inutile de se presser, Pamela pouvait prendre son temps.
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Lucia se redressa, exactement comme il lui avait été ordonné. Elle était complétement soumise, et elle aimait ça, même sans les spores. Elle était obnubilée par Ivy, enfin, sa maîtresse. Cette dernière l'embrassa et la jeune élève se laissa faire, elle n'avait pas d'objection à faire. Elle ne pensait plus, Pamela le faisait pour elle. Lorsque la prof recula et fit disparaître son corset de feuilles, elle retira aussi la chemise de Lucia. Bouton par bouton. Lucia ne boutonnait jamais entièrement sa chemise à cause de son importante poitrine, effectivement, si elle avait tout refermé, elle aurait sûrement arraché des boutons. Maintenant, il lui avait été demandé de sucer les seins de sa maîtresse.
A vos ordres...
La jeune fille approcha et mordu un téton de Mme.Isley, effectivement, pour la plupart, le fait de téter au sein était inné car ils avaient gardé cette action de leur plus jeune âge, autant, pour Lucia, n'ayant jamais tété un sein de sa vie à cause de la mort de sa mère le jour de sa naissance, c'était plus compliqué, la jeune fille ne savait pas s'y prendre.
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Lucia était une lycéenne d’une grande beauté, une magnifique fleur, un bourgeon qui avait éclos depuis longtemps, révélant toutes les formes dont la généreuse et bienfaitrice Nature l’avait doté. Pamela avait révélé l’accès à ses seins, et se mordilla les lèvres après avoir donné ses ordres. La soumission de Lucia lui était totale, et elle était la promesse de doucereux et magnifiques moments à venir. Elle se rapprocha d’elle, entrouvrit les lèvres, et alla gober l’un des seins de Pamela, cette dernière venant caresser ses cheveux, en poussant de longs soupirs de plaisir.
« Haaaa… Ouuii, Lucia, ouuiii, ma puce… »
Le sexe… Une chose si bonne, ancienne, ancestral et magnifique. Pamela adorait ça, et ses doigts se crispaient dans les cheveux de la femme, remontant doucement le long de sa délicate crinière. Elle la caressait avec la plus infinie des tendresses, ses doigts s’entortillant dans ses mèches de cheveux, se perdant à l’intérieur. Oui, Ivy prenait tout son temps, car, après tout, il n’y avait rien qui pressait. Elles allaient passer la pause-déjeuner ensemble… Mais ce ne serait qu’un prélude, que le commencement d’une saine et fusionnelle relation à venir, entre une élève et une prof’, ou, plus spécifiquement, entre une Maîtresse et une esclave.
Elle sentit Lucia mordre son sein, et Pamela soupira.
« Hum… Quelle énergie, Lucia… Les seins de Maman te faisaient envie, hein ? »
Une question relativement rhétorique, car, avec sa main bien posée sur le crâne de la femme, Lucia était incapable de trop se retirer. Pamela relâchait juste la pression en bougeant son buste, afin de l’inciter à s’occuper de son autre sein, et c’est ainsi que, lentement, elle prenait soin de la jeune femme, la câlinant du mieux qu’elle pouvait, se frottant contre elle, ses doigts continuant à intensivement la frotter et la caresser, à hauteur de sa nuque. Poison Ivy, bien entendu, connaissait le corps humain, et elle savait que la nuque était une zone sensible, une zone qui regroupait toute l’activité nerveuse d’un corps humain. C’est donc cette position qui était la cible des doigts tendres et chauds de Pamela.
Elle continua à la laisser sucer ses seins, en lui prodiguant quelques tendres conseils. Ainsi, elle lui disait de ne pas mordre trop fort, et d’utiliser sa langue, de se concentrer notamment sur des tétons, ou de nicher sa tête entre ses seins pour y frotter ses joues et pour l’embrasser. L’attirance pour une poitrine féminine avait quelque chose de profondément naturelle, après tout, et il était donc normal de laisser Lucia se les accaparer.
« Là, là… Suce bien… »
Ivy restait dans son rôle de formation.
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Lorsque Pamela remua son buste, la jeune fille comprit qu'elle devait aller s'occuper de l'autre sein. Une sensation de bien-être traversait Lucia, à partir de la nuque et se diffusant dans tout son corps, ça la stimulait à continuer de s'occuper du sein de sa maîtresse, en suivant ses conseils. Ainsi la petite esclave ne mordait plus mais se contenter de lécher les tétons de la belle femme. Elle s'était abandonnée à Ivy, penser d'elle même lui semblait difficile, ce qui est un comble pour une fille dans son genre. Lucia ne parlait pas, elle se contentait d'obéir au doigt et à l'oeil de sa prof. C'était la première fois qu'elle se sentait aussi bien, mais elle n'y pensait pas, seule sa maîtresse l'importait pour le moment.
Pour finir, la jeune élève nicha sa tête entre les seins de Pamela et lui embrassa les seins, l'un après l'autre, doucement pour que sa maîtresse continue de frotter ses doigts à sa nuque.
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Pamela n’avait aucune raison de trop se presser. C’est ça qu’elle aimait, notamment, au Japon. Contrairement aux élèves occidentaux, les élèves japonais étaient très dociles envers leurs professeurs. On pouvait dire ce qu’on voulait d’une société conformiste et traditionnaliste, mais, au moins, elle vous enseignait le respect dû aux aînés et aux membres du corps enseignant. Dans les sociétés occidentales égalitaristes, toute forme de supériorité était vue comme une domination injuste, et, de plus en plus, l’autorité naturelle des professeurs, qui découlait d’un schéma de verticalité entre le professeur et les élèves, était remise en cause, amenant à une forme de curieuse horizontalité, dans laquelle le professeur, pourtant détenteur de savoirs, devait se mettre au niveau des élèves, sans pouvoir exercer la moindre forme de sanctions, sous peine d’être considéré comme un professeur acariâtre, poursuivi par des associations de parents d’élèves en fureur. Voilà pourquoi Pamela préférait le cadre nippon, où les élèves étaient encore, pour la plupart, assez respectueux de leurs professeurs. Et c’était le cas pour cette petite Lucia, qui était totalement subjuguée et soumise à sa volonté. Les spores d’Ivy s’étaient accrues avec ce respect naturel susmentionné, et le résultat était le suivant : l’autorité naturelle d’Ivy avait charmé Lucia.
Elle embrassait ses seins avec amour et dévotion, et Pamela la laissait faire, heureuse. Elle avait trouvé une nouvelle assistante... Certes, Pamela ne menait plus ses activités d’écoterroriste, mais elle continuait ses expériences chimiques, et, pour ça, elle avait besoin de cobayes... Ou tout simplement d’assistantes pour nourrir, sexuellement parlant, ses plantes. Et quelque chose lui disait que Lucia ferait une parfaite femme pour ça. Et puis, ce n’est pas comme si elle pouvait lui refuser quoi que ce soit...
« Là, ma toute belle... »
Lucia venait de se nicher entre ses seins, et continuait à déposer des baisers. Autant dire que, pour Pamela, ce spectacle était particulièrement excitant. L’innocence s’affirmait, le bourgeon était en train de révéler toutes ses pétales. Poison Ivy caressait tendrement ses cheveux, et elle finit par poser une main sur son menton, et releva son visage... Puis rapprocha le sien, et, après quelques secondes, s’empressa de l’embrasser, un baiser tendre et onctueux. Elle fourra sa langue dans sa bouche, et posa sa main sur ses cheveux, puis souleva un peu Lucia, son autre main venant se glisser sur le bas de son dos, pour finir par caresser ses belles petites fesses.
Sa soumission donnait des idées à Pamela, et, après avoir terminé son baiser, pendant lequel sa langue avait volontiers joué avec la sienne.
« Mets-toi debout, Lucia, et déshabille-toi, ma petite puce... Je veux que ma petite esclave s’offre toute nue à sa Maîtresse... »
Tout en disant ça, Ivy avait tapoté le bout de son nez, puis l’embrassa à nouveau, affectueusement, comme elle savait si bien le faire.
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Mme.Isley remonta le menton de Lucia et l'embrassa, en passant une main dans son dos et finalement sur ses fesses afin de les caresser. L'élève se laissa faire et profita de l'instant. C'était un honneur pour elle de se faire embrasser par sa maîtresse, qui, au fur et à mesure que les spores se diffusaient dans la pièce se rapprochait de plus en plus d'une Déesse pour la télépathe. Il était devenu impossible pour elle de se demander si ce qu'elle faisait était bien ou mal et encore plus de lire dans l'esprit d'Ivy qui n'avait maintenant plus qu'une marionnette obéissante à sa disposition. Poison Ivy ordonna à Lucia de se lever et de se déshabiller.
Oui, maîtresse.
La lycéenne se leva et commença à retirer son pull, puis son mini-short et se retrouva en chaussettes, culotte et soutien-gorge qui étaient d'ailleurs tous deux assortis, le soutien-gorge laissait aussi comprendre que la croissance de Lucia n'était pas encore terminée, il compressait la poitrine de la télépathe qui avait sûrement pris de la poitrine dernièrement et n'avait pas encore pu renouveler sa lingerie. Elle le retira et libéra ainsi ses seins, puis retira sa culotte et ses chaussettes, se retrouvant alors nue devant sa professeur qui l'embrassa à nouveau. Lucia serra les jambes et commença à les frotter entre elles, signe de son excitation montante.
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Lucia était une jeune élève tout à fait appétissante, et, maintenant qu’elle est sous la coupe de Pamela, cette dernière allait pouvoir s’amuser avec elle. Après tout, les belles petites lycéennes servaient à ça, à l’amusement de perverses professeures qui, ainsi, pouvaient tuer le temps. Lucia, face à elle, entreprit donc de se déshabiller, sans aucune opposition. Une telle soumission était magnifique, et ne pouvait que faire sourire Poison Ivy, qui la regarda faire, en s’asseyant sur son fauteuil. Lucia obéit scrupuleusement, et, après un moment d’arrêt, qui laissa à Pamela l’occasion de se délecter de ses formes, enveloppées dans ses sous-vêtements, puis elle les retira ensuite. Toute nue, Lucia s’exhiba ensuite devant sa Maîtresse, qui caressait ses lèvres avec l’un de ses doigts, une lueur de plaisir dans les yeux...
Puis Poison Ivy se redressa. Ah, que c’était bon ! Ce genre de moments, ça lui rappelait Gotham City, quand elle avait sous sa coupe des gangs entiers, et qu’ils étaient prêts à mourir pour elle, d’un simple claquement de doigts. Bien sûr, elle ne comptait évidemment pas tuer Lucia, mais cette soumission... Elle était vraiment très agréable à voir.
« Hum... »
Les mains de Pamela allèrent caresser les joues de Lucia, puis glissèrent sur ses épaules, frottant sa douce peau, avant d’aller masser ses seins. Une main sur chaque sein, elle se mit à les pétrir, les massant, jouant tendrement avec eux, puis coinça chaque téton entre deux doigts, juste pour le plaisir de faire gémir Lucia, de la sentir se tortiller et soupirer contre elle.
« Oui, tu as vraiment des formes magnifiques, ma chérie... C’est un régal de te palper comme ça... »
Un sourire vint orner les lèvres de Pamela, qui reprit ensuite :
« Et toi, tu aimes, ma chérie ? »
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Lucia se laissait caresser, subjuguée par les spores de la prof. Il était sûrement impossible pour quiconque d'échapper à l'emprise d'une telle plante vénéneuse. Si elle l'avait voulu, il était probable que la télépathe ne soit même plus capable d'utiliser ses pouvoirs tant le plaisir était intense. Il était vain de résister et ça ne valait pas le coup d'essayer de se sortir de l'emprise de Pamela. Cette dernière voyait d'ailleurs sûrement que la jeune fille avait beaucoup à offrir à ses plantes et à elle-même.
Mme.Isley se mit à masser tendrement les seins de Lucia, ce qui lui fit lâcher un soupir, c'était bon. Puis la grande dame pinça les tétons de la jeune fille, la faisant gémir et se tortiller légèrement. Plus le temps passait, plus l'intimité de la jeune fille s'humidifiait, et au final, une goûte de cyprine commença à couler le long de sa jambe gauche. Pamela demanda à la télépathe si ça lui plaisait.
O-Oui, maîtresse...
Lucia était complétement dévouée à sa prof, comme tous les autres élèves l'étaient sûrement.
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Coucher avec une élève ne faisait pas de Pamela une professeur d’exception, c’était même plutôt l’inverse. Elle savait comment les choses marchaient à Mishima, pour faire elle-même partie de ce processus. Nue, Lucia s’offrait à elle sans la moindre résistance. Les spores, ainsi que la beauté de Poison Ivy, avaient fait leur office, subjuguant et soumettant cette belle perle à sa présence. Lucia était maintenant toute à elle, et Pamela en profitait pour flatter ses yeux en l’observant sous toutes les coutures. Elle était belle, avec des formes là où il fallait, comme elle venait d’en faire l’expérience en jouant avec ses seins. Maintenant, il ne restait plus qu’à continuer, et un léger sourire vint se dessiner sur les lèvres de la professeur. Ce sourire resta en voyant que la jeune fille commençait à mouiller, et elle se déplaça ensuite, maintenant le suspens.
Son corps se rapprocha de celui de Lucia, et s’en écarta ensuite, la femme allant s’installer sur son fauteuil, de l’autre côté du bureau, et pencha sa tête vers Lucia. Du doigt, elle lui fit ensuite signe d’approcher, tout en confirmant sa volonté oralement :
« Approche, ma chérie, viens t’asseoir sur mes cuisses... »
Elles avaient encore du temps à tuer devant elles, et Pamela devait bien admettre que jouer avec cette petite femme s’avérait être extrêmement plaisant. Elle conserva donc son sourire sur les lèvres, ainsi qu’une lueur pleine de malice et de désir dans le firmament de ses yeux, quand Lucia se rapprocha d’elle.
La main de Pamela se glissa dans le creux de son dos, et descendit sur ses fesses, qu’elle caressa, avant de la rapprocher d’elle. Lucia finit ainsi par se retrouver assise sur les genoux de sa prof’, ce qui donna lieu à un nouveau baiser, très sensuel, dans lequel la langue de Pamela alla jouer avec celle de la fille. Une main empoignait ses cheveux, et l’autre prenait appui sur ses fesses, les massant tendrement.
« Hmmm... »
Yeux clos, Pamela profitait de ce baiser. Elle mordillait la lèvre inférieure de la femme, et tira dessus, avant de la relâcher, un fin sourire venant ensuite se dessiner sur le visage de Pamela. Et, par la suite, sa main vint caresser ses cuisses, ses doigts récoltant un peu de la cyprine de Lucia, et elle approcha ensuite ses doigts des lèvres de Lucia.
« Goûte, ma chérie... Goûte-toi, et sens comme tu es bonne... »
-
Lucia attendait sagement le prochain ordre de Mme.Isley. Elle la vit s'approcher, puis reculer pour s'assoir sur le fauteuil et lui demanda de venir s'assoir sur elle. La jeune fille n'était pas capable de refuser et s'exécuta immédiatement après que l'ordre lui soit monté au cerveau, ce qui était assez rapide. Elle faisait le tour du bureau mais n'allait pas très vite: il lui semblait qu'il y avait encore le temps. Après quelques instants, la jeune fille était sur les cuisses de Pamela qui commença à caresser Lucia, pour ensuite l'embrasser. Après ce baiser, elle mordilla la lève inférieure de la télépathe et la lâcha.
Lucia adorait ça, même en ayant la pleine possession de ses moyens, elle aurait accepté de "jouer" avec sa prof', même si ça aurait mis plus de temps. La femme caressa la cuisse de sa petite esclave pour récolter sa cyprine et tendit son doigt à Lucia, lui ordonnant de goûter son liquide intime. Elle tira la langue et lécha le doigts, savourant avec plaisir ce liquide qui sortait de sa propre intimité et se laissa le droit de commenter.
C'est... C'est bon, maîtresse.
-
En souriant légèrement, Pamela vit la bouche de Lucia se ruer sur son doigt, suçotant tendrement et sensuellement ce dernier. Elle avala sa cyprine, totalement convaincue. Le problème, maintenant, ce n’était plus de séduire la belle Lucia, c’était de savoir comment ordonner ses idées et ses envies, car, en voyant cette belle jeune femme, Pamela avait énormément d’idées en tête, qui se bousculaient dans son esprit. Lucia, en réalité, était une très belle femme, et l’avoir contre son corps était agréable. Ivy n’aurait pourtant jamais cru être du genre à vouloir coucher avec ses élèves, mais il fallait bien admettre qu’il régnait, à Seikusu, un parfum de sensualité et de désir, une sorte d’atmosphère sexuelle face à laquelle Poison Ivy ne saurait rester de marbre.
Elle récupéra donc son doigt, esquissant un léger sourire sur ses lèvres, et retourna poser une main sur les cheveux de la femme, s’y appuyant, avant d’aller l’embrasser, très tendrement, retournant plaquer ses lèvres contre elle, avec une main restant sur ses cheveux. Elle poussa ainsi un peu Lucia, et cette dernière finit par se retrouver couchée sur le bureau, avec Pamela au-dessus d’elle. En souriant, la femme vint poser chacune de ses mains sur les seins de la belle lycéenne, et entreprit de les masser, de les serrer. Cette douceur, cette chaleur, cette tendresse....
« Hmmm... Tu es vraiment une femme magnifique, ma chérie... »
Un fin sourire vint éclairer les doucereuses lèvres de Pamela, qui se pencha un peu plus vers elle, et l’embrassa dans le creux du cou.
« Est-ce que tu es prête, Lucia ? Car ton corps, lui, l’est... Prêt à se faire prendre par moi... »
Spores ou pas, Pamela voulait prendre la virginité de Lucia, mais elle voulait être sûre de son consentement... Même si, en réalité, au vu de l’excitation de la femme, elle n’avait pas beaucoup de doutes sur la question.
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Ce lycée était peu conventionnel, on pouvait y voir de tout, et surtout des nymphomanes, visiblement. Lucia en faisait actuellement les frais, mais, contrairement à ce qu'elle avait pensé en se renseignant sur le sexe, ça n'avait rien de désagréable, au contraire, laisser Mme.Isley la diriger lui procurait du bonheur car depuis la mort de son père, Lucia prenait les initiatives d'elle-même.
Pamela embrassa son élève puis l'allongea sur le bureau en se mettant par dessus elle avant de commencer à masser ses seins. Elle les serrait, les tirait, appuyait dessus, faisant parfois mal, mais malgré tout, c'était plus excitant qu'autre chose. La prof' n'arrêtait pas de complimenter Lucia, qui répondait de temps en temps par de petits "merci". La femme l'embrassa dans le cou et lui demanda si elle était prête. Sans hésiter, elle hocha la tête.
Oui maîtresse, tout ce que vous voudrez..
L'excitation se dessinait dans le regard habituellement inexpressif de Lucia.
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Tôt ou tard, les choses sérieuses allaient devoir arriver, et la réponse de Lucia fut évidente. Les spores étaient là pour s’assurer de son consentement définitif, et, de toute manière, même sans les spores, Ivy était déjà plus ou moins assurée de la réponse de la jeune femme. La lycéenne, tout simplement, ne pouvait pas lutter contre ce qu’elle ressentait, contre ce que Pamela lui inspirait. Se tortillant sur le bureau, elle s’avoua donc vaincue, en l’invitant à venir, à venir la prendre sans hésitation. Pamela, qui jouait avec ses seins, se redressa en souriant.
« Très bien, ma chérie… »
Ses mains restèrent posées sur le corps de Lucia, un corps doux, chaud, tendre, extrêmement agréable… Et, tout en le faisant, des tentacules jaillirent, et vinrent saisir les poignets de Lucia, veillant ainsi à maintenir son corps serré contre le bureau, tandis que d’autres tentacules venaient s’enrouler autour de ses chevilles. L’idée générale était de plaquer le corps de Lucia, tout en rehaussant un peu son bassin, dévoilant ainsi l’accès à son intimité. Voir cette fleur intime ne manqua pas de faire sourire Poison Ivy.
Pamela s’écarta alors un peu du champ de vision de Lucia, le temps de se changer, et, quand elle retourna vers elle, elle avait une peau verte avec un corset végétal verdâtre descendant jusqu’à son sexe (http://nsa33.casimages.com/img/2013/04/18/130418100050216925.jpg). Sous cette forme, elle se concentra à nouveau, et une verge ne tarda pas à pousser de son corps, à l’emplacement de son intimité.
« Haaa… »
Maintenant dotée d’une verge verte, tendue et érigée, Pamela soupira lentement, puis posa ses mains sur les hanches de Lucia… Et c’est dans cette position que, enfin, la femme alla s’enfoncer en elle, glissant sa verge végétale dans l’étroite intimité de Lucia, en soupirant de plaisir, se mordillant les lèvres à cette occasion.
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Si il y avait bien une chose que la télépathe n’avait pas connu jusqu’à ce jour, c’était la libido. Certes, elle s’était documentée à plusieurs reprises sur le sexe et ce qui y touchait de près ou de loin, mais elle n’avait jamais ressenti de réelle excitation, ne s’était jamais masturbée ni même caressée. C’était donc une première pour elle, une découverte qui la poussera à retenter l’expérience à plusieurs reprises dans sa vie de lycéenne, et même sûrement après.
Les yeux de Lucia avaient pris une teinte rosée depuis un moment maintenant, couleur qui indiquait qu’elle n’était plus maîtresse de ses sentiments. C’était maintenant son corps qui dirigeait son esprit, et ce dernier désirait ardemment que Mme.Isley joue avec elle. Elle se tortillait d’excitation sur le bureau, alors que Pamela arrêta de s’amuser avec sa poitrine. Elle garda les mains sur le corps de cette dernière tandis que des tentacules apparurent pour attraper les poignets et les chevilles de Lucia, la plaquant sur le bureau tout en lui faisant remonter son bassin, laissant ainsi voir l’entrée de son intimité. La jeune fille ne savait pas d’où venaient les tentacules qui la serraient fermement, mais elle s’en fichait maintenant. A ce stade, tout ce qui l’intéressait, c’était Pamela, ce qu’elle allait faire d’elle.
Ivy se fit alors pousser une verge, longue et large, pointant en direction de la zone intime de l’élève aux yeux roses. Elle se fit alors pénétrer, l’engin était dedans et écartait douloureusement les parois de Lucia, lui arrachant un long cri de plaisir, alors que son intimité commençait à se lubrifier d’elle-même et à légèrement saigner. Elle redressa la tête en direction de Pamela, son visage déformé par le plaisir qu’elle ressentait, un filet de bave coulant le long de ses lèvres, c’était sûrement peu pour Pamela, mais c’était énorme pour Lucia, qui se faisait déflorer.
« AAAH !~ »
C'était le premier cri de plaisir de Lucia, et Poison Ivy avait l'honneur de le savourer.
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Dans sa magnifique tenue (http://orig06.deviantart.net/1163/f/2013/086/c/7/c76408d0e48873c9cce6d3a3a8b4cd33-d412b01.jpg), Pamela passait maintenant aux choses sérieuses avec Lucia, et la pénétra. Elle sentit rapidement l’hymen se percer, et sentit, contre sa verge, le sang intime de la jeune femme, ce qui la fit frémir d’excitation. Elle en resta même figée pendant quelques secondes, comme frappée de stupeur, en réalisant qu’elle venait d’ôter la virginité de Lucia. Puis Pamela sourit, et commença ses coups de reins, posant ses mains gantées sur les hanches de Lucia, et fila d’avant en arrière, sa queue partant en arrière, et remonta en avant.
« Haaaa… Lucia, hmmm… Tu… Tu as un con particulièrement étroit, ma beauté, hmmm… !! »
Poison Ivy gémit encore, et continua à la prendre, remuant d’avant en arrière en elle, se faisant petit à petit un passage fort et efficace. Le corps de Lucia n’avait encore jamais été pénétré, ce qui en expliquait la résistance forte. Pendant qu’Ivy la prenait, les tentacules sur les membres de Lucia se serraient et se desserraient, accompagnant ainsi les coups de reins de sa Maîtresse. Pamela continuait à la prendre, ne se retirant guère, et laissa ses tentacules agir. Deux autres vinrent en effet s’enrouler autour de chacun des seins de la jeune femme, les comprimant chaudement. Tout était fait pour l’accompagner dans le plaisir, dans les méandres de la joie et de l’excitation, et que plus rien ne vienne la retenir par la suite.
L’Empoisonneuse poursuivait donc ses coups de reins, sans relâche, s’enfonçant de plus en plus, les parois internes de Lucia se dilatant progressivement. Ce faisant, Pamela pouvait accélérer l’intensité de ses pénétrations, le rythme, et leur amplitude, croissant peu à peu le plaisir qui dominait entre les deux femmes.
« Hmmmm… Lu-Lucia, haaaa… Vas-y, ma chérie, hmmm… Hurle, hurle pour ta Maîtresse, haaaaa… ! »
Oui, qu’elle hurle son plaisir, sa joie, qu’elle se laisse aller ! Car, en fin de compte, le sexe existait pour ça… Pour se lâcher, et pour disparaître dans la tornade rose du plaisir ! Alors, forte de cette idée, Pamela reprit ses coups de reins, encore et encore, toujours plus vite, et toujours plus fort !
« Laisse ta Maîtresse te guider, Lucia, hmmm… Et… Jouis, ma petite catin, jouis ! »