Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Vaelh le mercredi 20 novembre 2013, 17:48:05
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Aux Enfers
Cela devait faire l'équivalent d'une petite semaine Terrienne qu'il était de retour à la maison. Nostalgie, priorités, mal du pays, les raisons qui le poussèrent à revoir son palais ne lui manquèrent pas quand fut venu le temps de se décider. Mais avait-il seulement eu envie de s'éloigner de Terre et de Terra ? Ah, sûr que non ! S'il avait pu, l'Incube se serait emparé de ces deux plans de la réalité pour les ramener chez lui ; ils auraient constitués des attractions de choix.
Des attractions de choix... Rien que d'imaginer tout l'amusement qu'il manquait à chaque seconde, Vaelh gronda. Sous ses pieds nus, les dalles vivantes de son palais frémirent, craignant de devenir son l’exutoire.
Au début, son esprit avait bien été occupé par les priorités qu'il devait accomplir telles que diverses célébrations, deux ou trois délicieuses trahisons et déclencher malicieusement une guerre entre deux de ses rivaux tendus l'un envers l'autre, mais maintenant que les tâches qui l'accaparaient devenaient de plus en plus dérisoires, il ne pensait plus qu'à retourner sur Terre. Ou Terra, peut importait.
Dans un soupir, le Démon s'approcha de l'une des fenêtres gigantesques de son palais pour contempler le chaos sans nom au dehors. Ci-bas grouillaient d'improbables masses d'êtres qui mettaient toute leur énergie à copuler furieusement pour la seul distraction de Vaelh ; et lorsqu'un groupe faiblissait, des Démons avaient tôt fait de les punir pour leur mollesse. Un tel spectacle se déroulait sur des étendues rougeâtres couvertes par un ciel noir d'encre qui, malgré ses ténèbres, dispensait une affreuse lumière crue. La scène ne captiva le Monarque qu'une poignée de seconde avant qu'il ne s'en détourne.
Dans un soupir las, il se traîna d'un pas découragé jusqu'au hall des audiences où Skoern, un Démon majeur effroyable qui ne se complaisait que dans la violence, le sang et la peur, l'attendait. Très honnêtement, Vaelh ne savait même plus pourquoi il avait invité un individu si grossier que celui-ci. Peut être pour forger quelque alliance ? Ou pour rire de lui ? Plus aucune idée.
Pour aller jusqu'au hall d'audience, Vaelh devait passer par sa galerie favorite, celle où il gardait un florilège de souvenirs de ses escapades. On y trouvait différents types de cornes, toutes volées à des rivaux vaincues sur leurs propres terres lors de quelques batailles infernales, des gemmes offertes par des divinités... Il y avait même cette merveilleuse artefact magique à la forme indéfinissable. Vaelh se rappelait l'avoir gagné suite à une confrontation avec une prétendue Déesse mineure qui selon ses dires, était l'incarnation même du plaisir. Evidemment Vaelh lui avait prouvé l'inverse, et depuis elle venait pitoyablement quémander ses caresses.
Et tout au bout de cet incroyable étalage d'objets fantastiques... On trouvait un petit rosier rouge, un trio de tulipes, et un bonsaï. Des plantes d'outre-monde, banales pour Terriens et Terranides ; mais tellement, tellement, tellement précieuses en enfer... Ici bas, les fleurs ne voyaient jamais le jour, pas plus que la verdure en général. La seul vie végétale aux enfers se limitait à des entités carnassières hautement agressives et bien souvent de grande taille. Du point de vue de Vaelh, la valeur de ces trois adorables plantes colorées étaient mille fois supérieur à tous les trésors contenus dans cette galerie. Il fit halte vers les petits végétaux et s'accroupit vers eux pour les arroser amoureusement à l'aide d'un arrosoir d'obsidienne laissé à disposition.
Il resta là, planté devant ses fleurs et son arbre malgré qu'il entendait Skoern enrager dans sa salle d'audience. Au vacarme, Vaelh pu deviner que cette brute saccageait allègrement son mobilier en beuglant quelque chose comme "qu'on m'apporte le petit vermisseau qui ose me faire attendre". Mais l'Incube s'en fichait, pour l'instant ses plantes étaient plus importantes. Quelques instants plus tard, des bruits de combats résonnaient dans le hall, sans doute l'autre andouille avait-il perdu patience et s'attaquait à la garde, mais ça n'empêcha pas le monarque de poursuivre l'inspection minutieuse des feuilles du bonsaï, ses gestes emprunts d'un inquiétude paternelle.
Et puis merde, pensa-t-il subitement. Il n'avait pas envie d'accorder d'audience, pas envie d'avoir à s'occuper de ce qui devait être fait. N'était-il pas un Monarque ? Un tel titre n'accordait-il pas de faire ce qu'on voulait, quand on le voulait ? Dans un sourire de pure insouciance, Vaelh s'accorda à penser qu'en effet, puisqu'il n'avait pas envie de faire l'effort d'écouter l'autre crétin, eh bien il ne le ferait pas !
Il se redressa et fit demi-tour pour retraverser sa galerie, direction sa bibliothèque principale. Rien que d'avoir décidé de tout laisser de côté, il se sentait libre, léger... Si bien que plutôt que de marcher, il s'était mis à courire, laissant derrière lui la bataille qui devait faire rage dans la salle d'audience.
Il poussa les portes de la bibliothèque pour y pénétrer à toute vitesse. C'était un lieu fantastique, même selon des standard démoniaque, puisque on ne pouvait jamais vraiment savoir où étaient les murs, le sol et le plafonds, la faute aux centaines d'escaliers qui zébraient l'espace en se retournant sur eux même, en se vrillant, en s'inversant. Malgré ce chaos visuel, l'Incube fusa d'un pas habitué à travers la pièce titanesque jusqu'à atteindre le centre du plus colossale des rayonnage. Il fit courir ses mains sur la tranche de tomes de sorcellerie tous plus terribles les uns que les autres avant de s'arrêter sur une couverture tiède, légèrement palpitante, comme vivante. Avec une soudaine délicatesse, il s'empara de cette chimère mi-vie mi-livre pour flatter sa couverture d'une caresse aimante. Il souffla :
Emporte-moi...
Et il laissa tomber le livre de ses mains, par dessus l'escalier. Il chuta dans les ténèbres de la bibliothèque sans jamais qu'aucun bruit ne suggère qu'il ait pu toucher le sol.
Vaelh sourit. Il n'y avait plus qu'à patienter.
Sur Terre
Un bourgeon lumière rosâtre aux nuances rouges passion éclata dans une rue déserte des alentours de la ville, non loin d'un grand parc. Le phénomène fut discret et insonore, si bien qu'il n'attira l’œil d'aucun curieux. Les flammes irréelles refluèrent pour laisser place à un livre étrange protégé par une couverture de cuir fin et tiède. L'ouvrage reposait debout, en équilibre, en plein milieu de cette petite ruelle comme s'il attendait son propriétaire. Mais les heures passèrent et rien ne vint. Alors, comme un nourrisson qui se réveille doucement, le livre s'agita très subtilement. Il se réchauffa et, aussi étonnant que cela puisse paraître, se mit à murmure. Ses mots étaient informes, dénués de toutes cohérences. Pourtant; quiconque les entendrait pourrait comprendre "Ramasse moi... Emporte moi...". La "voix" du livre avait quelque chose ... Qui était à la fois infiniment doux, tendre, alanguissant, mais avec une effrayante note d'autorité.
Et il murmurait, encore et encore, jusqu'à ce qu'on daigne l'emporter. D'impatience, il s'agitait un peu plus à chaque seconde qui passait, secouant les étranges caractères qui devaient constituer son titre à la surface de sa couverture.
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La vie est triste et remplie de souffrance, la jeune femme ne savait point quoi faire, alors elle se décida de retourner sur terre, elle avait des choses à régler, triste chose qui la blessait au cœur, elle allait par exemple aller devoir quitter son emploie complètement, elle allait garder son appartement, au cas où… Laissant un message pour dire à tout le monde dans le domaine de son maître qu’elle partait qu’elle que jours sur Terre, elle avait des choses à régler, elle soupira et sortie du domaine, partant vers une des endroits qu’elle savait qu’il y avait toujours un portail.
Elle ressentie une chose étrange en arrivant dans le parc, elle sentait une voix vibrer en dedans d’elle, étrange et qui semblait lointaine, elle comprenait mal les mots qu’elle disait, mais pourtant elle se sentait attirer vers elle, lentement elle marcha et arriva dans les ruelles, la voix était de plus en plus, elle murmurait : Ramasse moi… Emporte-moi… Cette voix était étrange, si douce, si belle mais pourtant si autoritaire, elle trembla, elle était pourtant attirer par celle-ci. Lentement elle se laissa guider par la voix, marchant lentement, allant vers la direction de la voix et aperçut au loin un livre, elle fronça les sourcils et s’approcha lentement du livre, la couverture était étrange et le livre aussi… Lentement elle le prit en main et sursauta en sentant sa chaleur, la vampire analysa le livre et regarda de tous les côtés des ruelles, mais qu’est-ce que c’était que cela? La curiosité la frappa, elle voulait en savoir plus! Elle allait devoir aller donner sa démission avant de régler cette curiosité.
Après être rendue à son emploie, les gens furent heureux de la revoir, mais elle leurs fit comprendre qu’elle ne pourrait plus travailler pour des raisons personnelles qu’elle ne voulait pas dire, elle n’allait tout de même pas dire qu’elle était esclave dans un monde parallèle de la terre, elle allait passer pour une folle! Elle salua tout les travailleurs et partie tristement dehors et prit l’autobus, dans l’autobus elle analysa le livre, trouvant la couverture étrange, elle caressa doucement la couverture d’une douce caresse, parcourant chaque symbole qui était si étrange, elle soupira et ferma ses yeux un instant.
À sa sortie, la jeune femme marcha lentement, les lumières des ruelles donnaient une atmosphère effrayant à l’endroit, mais la jeune femme ne prit même pas peur, s’y engouffrant rapidement, marchant d’un pas lent et triste, lentement elle se rendit à son appartement qui se retrouvait deux ou trois ruelles plus loin. Arriver, elle ouvrit la porte, si peu de chose, un simple divan sans télévision, une table de cuisine simple ayant deux places à accueillir des gens, un frigo qui n’avait rien à intérieure et un four tout simple. Sa chambre, un lit, une commode, qu’elleque vêtement dans son armoire, un bureau et c’est environ cela, la jeune femme n’avait jamais portée attention à vouloir meubler son appartenant, maintenant elle portera encore moins attention.
Elle s’assit sur son lit et plaça ses mèches de cheveux derrière ses oreilles, posant le livre sur ses jambes, replaçant un peu son chandail, un léger sourire sur les lèvres, sa curiosité allait lui faire changer un peu de d’air, elle caressa à nouveau la couverture du livre qui semblait presque vivant, ses symboles qui s'y retrouvait la rendait curieuse, lentement ses doigts caressa un à un de ses étranges symboles: ႠႢႣ ႧႫႤႵჅჅႧ ႣႻႽჀ. Puis avec grâce et lenteur elle l’ouvrit, tremblant légèrement, feuilletant les pages, ayant de la misère à comprendre, les symboles n’était d’aucune langue qu’elle connaissait. Elle se gratta la tête et commença à finalement plus comprendre les symboles, elle se gratta à nouveau la tête, une invocation? Pfft! Mauvaise blague! Elle eut un léger rire et ce dit que sa ne lui coûtait rien d’essayer, même si elle était sure que cela n’allait rien faire.
Avec douceur, elle commença à réciter les paroles du livre, tremblant légèrement et puis après 5 minutes elle termina de réciter l’incantation, elle posa le livre en avant d’elle et se laissa tomber sur le dos sur le lit en murmurant :
« Bon, ce n’était finalement vraiment rien ce livre… Dommage »
Elle laissa sortir un soupir, fermant ses yeux, mais elle ne se doutait pas que les prochaines minutes, voir les prochaines secondes allait la surprendre en sachant ce qu’elle avait invoquée!
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Quelques instants après que la jeune femme ai maladroitement déchiffré le contenu du livre et l'ai déposé, ce dernier se mit à vibrer. Au début tout doucement, et bientôt avec autant de force qu'un tambour de machine à laver lancée à pleine vitesse. Les sursauts du livres fou le firent tomber au sol où il se mit à rebondir avec une fureur effroyable, cognant contre tout obstacle qui avait le malheur de croiser sa route sans pour autant réussir à renverser les meubles du fait de son poids léger. A mesure que les convulsions du grimoires gagnaient en intensité, un murmure irréel s'incrusta directement dans la tête de la vampire ; la même voix que celle qu'avait employé l'ouvrage pour s'adresser à elle dans la rue, mais qui donnait cette fois l’impression d'être plus "réveillée", moins éloignée.
Lis moi encore. Raconte moi... encore !
Ne laissant pas à la jeune femme le temps de se décider, la couverture avec une telle brusquerie que le livre manqua d'en être déchiré en deux. Poussé par une force venu d'outre-monde, il s’éleva sèchement dans les airs et fonça vers le visage de la femme, comme pour le percuter le plus fort possible. Mais il freina juste avant la collision, collant sous les yeux de la spectatrice ébahie une pages striée de symboles absolument incompréhensibles, complètement différents de ceux qu'elle avait trouvé à sa première lecture. Malgré l'étrangeté des formes sur le papier jauni et leur origine inhumaine, ils étaient parfaitement lisible comme si... Ils apportaient avec eux les outils nécessaires à leur compréhension immédiate, n'obligeant le lecteur à ne fournir aucun effort pour tout comprendre. Mais alors que la vampire, sans doute encore sous le coup de la stupéfaction, n'avait pas daigné commencer de lire, le livre s'impatienta en projetant plu puissamment sa voix envoûtante et autoritaire dans son crâne.
Lis encore. Lis enncooore !
Visiblement investi de sa propre personnalité, l'ouvrage semblait lutter contre l'envie de se jeter sur la lectrice et de la cogner à coup de couverture pour qu'elle se dépêche de commencer sa lecture. Comme s'il avait réalisé commettre une petite erreur diplomatique, le grimoire modifia son comportement -surprenant pas vrai ?- et se montra subtilement plus doux, plus encourageant.
Lis encore. Tu n'as qu'à lire, et... tes plus profondes... envies, tes désirs... les plus intenses, tes souhaits les... plus fous... Tous se réaliseront. Lis... et guide ainsi ta... destiné jusqu'à toi.
Histoire de filer un petit coup de main supplémentaire à la lectrice qui voguait de surprise en surprise, le livre se mit à entonner ses propres mots.
ႮႯႰႱႲ ႳႴႵ. Ces premiers symboles n'auraient même pas pu être prononcés par la gorge d'un humain, ou d'un humanoïde de la même forme. Ils évoquaient le déchirement du verre, la fusion du bois, le gèle du feu, l'explosion du néant. Ils formaient des sonorités si abstraites, impossibles, inhumaines. Et pourtant si merveilleuses à écouter... Les entendre revenaient à croire qu'on avait été sourd toute sa vie, et qu'à cette instant seulement on entendait les choses pour la toute première fois. ႮႯႰႱႲ ႳႴႵ, répéta l'ouvrage, s'approchant légèrement plus de la vampire, insistant, à nouveau impatient.
Et lorsque la vampire essaya de prononcer de tels son sans y croire, elle y parvint. Sa gorge avait semblé s'adapter pour formuler ce chaos de sonorité, si bien qu'avec un peu de concentration, elle pouvait répéter tout ce que le livre lui commandait. Ainsi, la jeune femme put lire une succession de courtes incantations similaire. Chaque syllabe prononcée apportait avec elle une dose de bien être, de chaleur, de quiétude, si bien que lire tous les symboles au rythme qu'imposait le grimoire se révélait être une expérience très agréable et décontractante !
La vampire lu encore une poignée de minute, et le livre, sans s'annoncer, se retourna brusquement sur lui même, convulsant furieusement dans les airs, avant de... De se déployer page par page, comme si depuis le début il n'avait qu'un origami très élaboré. Ainsi, il s'étala, pris en volume, jusqu'à devenir une immense feuille de deux mètres de haut sur trois de large, présentant encore les marques des plis des pages et leurs centaines de symbole. Ces derniers furent happés dans un maelstrom à même le papier pour y être agglutiner, broyés, mâchés et recrachés en une longue phrase faites de symboles aussi gros qu'un crâne humain.
Le livre ne disait plus rien, sans doute ne le pouvait-il plus. Le silence régnait, et la page géante qui planait devant la vampire semblait attendre que l'incantation qu'elle proposait soit lu.
En la regardant, la vampire vit que dernier symbole était complètement différents des autres, mais elle pouvait quand même parvenir à le lire, comme si elle avait toujours disposé du savoir nécessaire.
Ce dernier symbole qui mettait un point final à toute l’incantation géante se lisait "Vaelh".
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La vampire était décourager, elle regardait tristement le plafonds de la chambre en se disant qu’elle pourrait aller prendre une marche à l’extérieure, dû à sa curiosité rassasié pour si peu, finalement, ce n’était rien ce livre, peut-être qu’un illusion qu’elle avait cru entendre, oui cela devait être sa sa seul imagination lui avait causé cette voix dans sa tête si réaliste, elle eut un soupire et elle sentie qu’elle que chose bouger et se rassit pour voix le livre s’agiter, son regard s’écarquilla alors qu’elle regarda le livre tomber au sol, qu’est-ce qu’elle avait fait? Le livre s’agitait de plus en plus et la vampire me savait pas quoi faire, paniquant légèrement et elle entendit la voix qui semblait plus présente et qui fit un peu plus paniquer la vampire en ce disant qu’elle allait surement passer un étrange moment par la suite :
«Lis moi encore. Raconte moi... encore !»
Arashi doutait que cela soit une bonne chose de lire ce livre plus, elle trembla et le livre s’éleva dans les airs sont le regard ébahi de la vampire qui commençait à craindre de plus en plus ce qu’elle avait décidé d’emporter avec elle à la maison, rapidement après que le livre ce soit élever il partit dans sa direction rapide, elle leva les bras pour cacher son visage mais le livre s’arrêta à qu’elle que centimètre de son visage, son regard fixant le livre surprise, elle aperçut la page remplie de symbole toujours aussi incompréhensible de première vue mais que si on y occupait qu’elle que seconde on pouvait bien comprendre, mais la vampire ce disait qu’elle ne devrait pas continuer à lire, peut-être cela allait être néfaste sur elle?
«Lis encore. Lis enncooore !»
La jeune femme continuait de fixer le livre, stupéfaite et agacer de se faire donner un ordre! Si elle voulait lire, elle lirait, là cela ne lui donnait pas du tout envie de lire ce livre surtout avec un ton ainsi dit, elle fixa l’ouvra qui semblait légèrement tremblant, et elle se gratta la tête à nouveau.
«Lis encore. Tu n'as qu'à lire, et... tes plus profondes... envies, tes désirs... les plus intenses, tes souhaits les... plus fous... Tous se réaliseront. Lis... et guide ainsi ta... destiné jusqu'à toi.
Mes...envies...? Mes désirs....?Mes souhaits...?»
Ses envies, ses désirs, ses souhaits? Réaliser ce qu’elle désire? Elle eut un léger frisonne, ce livre était démoniaque! Si surprise et légèrement dégoûter, elle recula légèrement, le livre restant là dans les airs, elle pensa un instant de jeter le livre par la fenêtre et de barrer toute les issus pour ce cacher, car elle venait sérieusement d’embarquer dans qu’elle que chose que peut-être elle regrettera. Mais bon la vie est faites ainsi elle se dit qu’elle pourrait essayer, peut-être que ce n’était pas si pire que cela, peut-être devrait-elle continuer à lire pour voir ce qui se passerait, mais elle craignait encore un peu.
« ႮႯႰႱႲ ႳႴႵ… »
Elle continuait de fixer le livre, surprise par ce qui se passait, le livre récitant ces mots, ses sons si étrange, si peu humain, mais pourtant si beau, son regard regardant toujours le livre, hésitant à prononcer des paroles ainsi faites et le livre répéta ce qu’il venait de dire, le livre s’approchant d’elle, ce voulant plus insistant à ce qu’elle continue à lire le livre. Elle ferma les yeux et pensa rapidement au avantage et désavantage et ce dit qu’elle pourrait essayer, peut-être que cela allait être un bon moment, mais elle ne savait point. Mais faut essayer dans la vie, sa curiosité devait être comblé!
Lentement elle prononça les mots, première surprise à être capable de prononcer de telle chose, lentement la jeune femme posa son doigts sur le livre pour pouvoir mieux suivre ce qu’elle disait, lisant lentement, sentant une douce chaleur et tranquillité d’esprit plus qu’elle lisait le livre, l’incitant ainsi à continuer les incantations, continuant ainsi pendant qu’elleque minute et le livre se retourna rapidement, faisant reculer la vampire, le livre convulsait dans les airs, se déployant page par page, tout cela prit une grandeur incroyable, une feuille de papier géante et au symbole aussi gros qu’une tête humaine, le silence revint et elle continua à fixer le livre étonner, stupéfaite par ce qui venait de ce passer, la fin de l’incantation si différente qui disait qu’un seul mot, ou un nom? Elle se mordit la lèvre.
Elle ne savait pas si elle devait oser terminer l’incantation, peut-être est-ce une mauvaise chose, un livre démoniaque, c’était certains que c’était cela, elle en trembla à nouveau, si inquiète à cette vue, elle soupira et se mit à genou pour gratter encore sa tête, tic nerveux causé par le stress du moment. Lentement elle entama la prononciation de l’incantation en la prononça d’un air remplie de douceur, comme si c’était la plus belle chose qu’elle aurait dit dans sa vie. Elle recula alors pour fixer la page, se doutant d’un qu’elle qu’onc artifice qui allait se produire dans peu de temps. C’était maintenant qu’elle allait voir si elle allait regretter son choix d’avoir pris le livre. Peut-être était-ce vraiment un mauvais choix, mais si cela l’était, elle l’apprendra qu’il ne faut toucher au chose étrange qu’elle ne comprends pas.
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Le tissu de la réalité se déchira.
Dans une spectaculaire conflagration pourpre et bleue, le centre de la page géante fut subitement la proie de flammes voraces venues d'outre-monde. Elle brûlèrent avec ardeur, violence, luttant pour adhérer à ce papier impie. Lorsqu'elle y parvinrent, elle se mirent à dévorer la page géante depuis son centre pour y creuser un trou béant. Mais la vampire ébahit, plutôt que de pouvoir observer son maigre mobilier au travers de cette trouée cendreuse, pouvait contempler un maelstrom de couleurs variant du rouge à l'or, passant parfois par quelques rares teintes violacées. Le vortex coloré tournait follement sur lui même, éclairant la pièce comme l'aurait fait une batterie de stroboscopes.
A cet instant précis, la jeune femme pouvait sentir se poser sur elle un regard pénétrant. Pas le genre de coup d’œil furtif d'un animal ou d'une conscience amoindrie, mais bien la fixation par laquelle une entité millénaire, dévoyée, corrompue, pervertie et infiniment intelligente pouvait trahir un intérêt soudain pour un jouet qu'on lui offre.
A n'en pas douter, quelque chose guettait la vampire depuis la tempête de couleur.
La chose derrière le tourbillon coloré sembla s’octroyer le contrôle des flammes qui dévoraient toujours le papier, menaçant de l'engloutir complètement. Leur appétit fut coupé, et elle restèrent sagement en place, vacillant comme les flammèches d'un millier de bougie, sans plus consumer la page. Elles formaient un cercle parfait pourpre et bleuté qui vint définir le maelstrom de couleur qu'elle abritait avec d'avantage de précision. Fixer cette débauche de couleur avait quelque chose d'ardu ; d'abord parce qu'elle était très vive, mais aussi parce qu'elle semblait comme... Faussée. Comme si sa présence, son existence même aurait pu être remise en cause pour quelque obscure raison parfaitement indéfinissable. Fixer une telle anomalie était aussi douloureux que de supporter l'improbable écoulement d'un liquide vers le haut dans un monde ou ciel et terre s'inversait. Mais si la vampire avait l'esprit assez fort pour affronter l'absurdité du vortex... Elle pouvait voir s'y profiler quelque chose. Une impression fugace de mouvement. Une silhouette...
Et le temps se figea dans un flash aveuglant. Les flammèches sur la pages étaient devenues d'effroyables éruptions d’énergie vive mais n'exsudant aucune chaleur. Les gerbes de cet étrange plasma léchaient toute la pièces, rebondissant contre les murs mais traversant les obstacles tel le mobilier. Le vortex semblait gronder, agité par de douloureuses convulsion. Un sifflement monta. Tout semblait sur le point d'éclater, de réduire la vampire en un tas de cendre dispersé dans le cratère fumant qui fut son appartement...
Mais non. Toutes les énergies confluèrent vers le vortex, comme pour nourrir, l'incitant à donner forme à la plus belle chose que la jeune femme verrait très certainement de toute sa vie. Dans un silence à présent insupportable, une silhouette humanoïde faite d'un or lumineux émergea de la tempête de couleur. Elle fut délicatement déposé sur le sol par quelque force invisible, encore reliée au vortex derrière elle par des parodies de cordons ombilicaux. Avec lenteur et grâce, la forme dorée s'étira et fit lentement jouer ses muscles d'or en fusion pour mieux déterminer leur contour, si bien que la vampire pouvait à présent facilement deviner qu'il s'agissait d'un mâle.
Et comme s'il ne la remarquait que maintenant, l'homme d'or riva vers la vampire son faciès sans trait.
Il resta ainsi un moment avant de faire plus lentement encore quelques pas vers elle. Plus le temps passait, plus ses contours devenaient nets, si bien que lorsqu'il ne fut plus qu'à trois pas de la vampire, sa silhouette était clairement définie. Le corps de la statue d'or était... Parfait. Quoi qu'un tel mot tenait d'avantage de l'euphémisme pour le décrire. Sa stature était celle d'un athlète taillé pour la vitesse, l'agilité et la souplesse. Son torse se souleva sous le coup de la première inspiration qu'il prit en ce monde, mettant en valeur un torse nu à la musculature si travaillée, si belle, qu'elle avait quelque chose d'artistique. D'ailleurs, tout chez lui renvoyait à cet impression qu'il était une oeuvre d'art si sublime que sa beauté ne pouvait être pleinement comprise, sinon par des artistes de génie.
Et ses yeux s'ouvrirent brusquement. Entièrement noirs au début, leurs iris se tintèrent vite d'une magnifique corolle dorée dans laquelle semblait briller sagesse et malice en pareille mesure. Il riva sur la femme un regard rendu à la fois intimidant par toute l'intelligence éternelle qu'il véhiculait, rassurant par sa prétendue étincelle de bonté, aguicheur par ses petits reflets envoûtant... Mais un spectateur bien avisé pouvait aussi y lire une subtile onde de malveillance sans nom.
Après quelques instants, la chose sembla se lasser de rester ainsi si silencieuse. Une bouche se traça sur son visage et s'étira en un bref sourire avant de s'entre-ouvrir pour laisser filtrer dans l'air la plus merveilleuse des musiques, celle de sa voix :
Que les Puissances Primordiales en soient témoins : la mortelle a achevé le rituel du passage. Telle prouesse mérite récompense, comme il est écrit dans la ႠႢႣ ႧႫႤႵჅჅႧ ႣႻႽჀ, prononça-t-il sans aucun mal malgré l'improbabilité d'une telle sonorité. Mais il est également écrit que la mortelle doit endurer une ultime formalité, celle d'un marché passé avec l'Envoyé.
Théâtrale, donnant à l'instant une importance plus que religieuse, l'homme d'or s'approcha d'un pas. Il tendit lentement sa main d'or, chaude et lumineuse, vers la femme.
Pareil marché sera conclu lorsque la mortelle formulera la volonté de se donner à l'Envoyé. Pour cela, qu'elle prenne pose sa paume dans celle que l'Envoyé lui tend, et qu'elle dise qu'elle lui appartient.
Il fit encore un pas, et tout l'or qui lui collait à la peau fut soufflé en une nuée de paillettes plus légères que des cendres. Lorsque le nuage doré se dispersa, il révéla une créature tellement, tellement belle... Il était d'avantage facile de pouvoir s'extasier de la rigueur de ses muscles fins que pas même les maîtres sculpteurs de ces mondes n'auraient su reproduire avec tout leur talent. Il ne suffisait que d'un regard sur sa peau pour être absolument sûr qu'il devait s'agir du derme le plus doux qui ai jamais existé. Une force, une présence, une magnitude impériale exsudait de cet homme -si beau que ça ne pouvait pas être qu'un homme-. Il rayonnait d'une perfection si puissante qu'elle virait à l'abstrait, rendant sa contemplation dangereuse pour l'esprit mal préparé.
Il était impossiblement, et il était là, bien réel, devant la vampire, la gratifiant de son attention. De son être, en plus de cette aura de royauté, rayonnait une onde de sensualité douce, pure... Qui s'intensifia si brusquement que de ressentir un tel changement revenait à se recevoir une gifle monumentale. A chaque seconde qui passait, toute la sensualité qui l'enveloppait se faisait plus épaisse, plus pénétrante. Elle se transforma vite en alanguissement, puis vira à l'érotisme sous sa forme la plus violente et abrutissante.
Du coup, toute la beauté de l'homme s'en trouva magnifiée. La où il était l'avatar de la perfection, il était à présent l'incarnation de l'appelle à la plus parfaite des débauche, à la complaisance par l'excès de plaisir et à la jouissance sans fin.
Il fit un ultime pas. Et la vampire put constater qu'il était nu. Complètement nu. Il souffla dans un murmure à présent fiévreux :
Si la mortelle s'acquitte d'un tel marché, la possibilité d’accéder à sa récompense pour avoir appelé l'Envoyé lui sera offerte. Son ton se para d'une note de secret et de ferveur très subtile. La récompense n'est autre qu'un souhait, et aucune limite n'est donnée à la mortelle quant à son choix. L'occasion lui est donné de satisfaire ses envies les plus secrètes. Tout ce que la mortelle a à faire, s'est affirmer son appartenance à l'Envoyé, et prendre sa main. Alors elle pourra formuler son souhait.
Le parangon de beauté restait debout devant la vampire, nu, à moins d'un pas d'elle. Elle n'avait plus qu'à tendre la main.
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Arashi fixait devant elle, les yeux grand ouvert, stupéfaite, presque la bouche grande ouverte si on voulait rajouter de l’effet pour décrire sa stupéfaction face à ce qui arrivait devant elle, elle se pinça le bras de façon à avoir très mal, non elle ne rêvait vraiment pas, elle commençait de plus en plus à douter sur ses choix, elle n’aurait vraiment pas dû se saisir de ce livre et surtout jamais avoir commencer à le lire, bien que les couleurs était magnifique, ce spectacle inquiétait la vampire au plus haut point, elle venait surement encore de ce mettre dans une galère qu’elle allait devoir trouver une astuce pour ce tirer de ce problème très rapidement, mais comment? Cela restait à voir à quoi elle était confrontée.
Elle avait une impression qu’on la fixait, telle une gazelle devant un fauve affamé, elle se sentie fort mal à l’aise et trembla légèrement, son regard se tourna de gauche à droite, se mordant légèrement la lèvre sous le stress qui vint commencer continuer à harceler son être, elle aurait voulue fuir, mais le stress, l’inquiétude et tout la figeait sur place. Elle avec mal à la tête à force de regarder ce vortex aux magnifiques couleurs mais au combien agressante, elle tentait de supporter cela, mais son corps fut légèrement secouer par des frisons lorsqu’elle crut voir une silhouette, oh non, venait-elle d’invoquer une personne? Elle qui pensait que malgré l’étrangeté du livre ce n’était rien de plus qu’un livre, voilà qu’un homme venait du vortex, oh malheur, pourquoi t’acharne tu sur cette pauvre vampire polymorphique?
La vampire posa ses mains sur ses oreilles, fermant les yeux, trop de chose, elle eut un léger tremblement qui secoua son corps et elle ouvrit un de ses yeux peu de temps après apercevant une forme de plus en plus se démontrer humanoïde qui avait l’air fait d’or, cette forme approchait de plus en plus, pour finalement se détailler face à elle qui blêmit encore plus qu’elle était, il la fixait. Son regard fixer vers elle d’une telle manière qu’elle en fut légèrement tourmenter de cette vision qu’elle s’en pinça le bras, non elle était vraiment réveiller. L’homme d’or avançait finalement vers elle qui voulut reculer. Il s’arrêta et elle l’aperçut ouvrir ses yeux, noir au début qui devinrent par la suite dorée, elle se mordit la lèvre inquiète malgré la beauté de cette créature devant elle.
Ce regard avait une chose qu’elle craignait, oh oui, elle n’aimait pas ce genre de regard si indéfini que celui-là… Sa bouche se mit alors à bouger, s’agiter pour finalement parler d’une voix qui ferait vibrer toutes personnes, même Arashi se sentie sous la merveille de cette voix :
Que les Puissances Primordiales en soient témoins : la mortelle a achevé le rituel du passage. Telle prouesse mérite récompense, comme il est écrit dans la ႠႢႣ ႧႫႤႵჅჅႧ ႣႻႽჀ. Mais il est également écrit que la mortelle doit endurer une ultime formalité, celle d'un marché passé avec l'Envoyé.
La vampire observa l’homme d’or inquiète lorsqu’il leva sa main pour la tendre vers elle.
Pareil marché sera conclu lorsque la mortelle formulera la volonté de se donner à l'Envoyé. Pour cela, qu'elle prenne pose sa paume dans celle que l'Envoyé lui tend, et qu'elle dise qu'elle lui appartient.
Se donner à l’envoyé? Elle trembla légèrement et il avança d’un pas et d’un coup tout l’or s’enleva de sur lui pour découvrir sa véritable couleur, un frison la parcourut alors, son regard observant l’être merveilleux face à elle, elle cherchait ses mots, elle ne savait pas quoi dire, ni que faire, elle hésitait en fixant cette main tendu vers elle alors qu’il avança vers elle une autre fois, elle remarqua sa nudité qui la fit rapidement rougir au plus haut point, levant rapidement son regard vers la figure magnifique de l’homme face à elle.
Si la mortelle s'acquitte d'un tel marché, la possibilité d’accéder à sa récompense pour avoir appelé l'Envoyé lui sera offerte. La récompense n'est autre qu'un souhait, et aucune limite n'est donnée à la mortelle quant à son choix. L'occasion lui est donné de satisfaire ses envies les plus secrètes. Tout ce que la mortelle a à faire, s'est affirmer son appartenance à l'Envoyé, et prendre sa main. Alors elle pourra formuler son souhait.
Ce qu’elle désire, un souhait… c’est comme faire un pacte avec le diable, enfaite c’était cela… Son regard resta toujours river sur l’homme magnifique et toujours rouge elle se leva de son lit. La vampire tira sur sa légère couverture blanche pour l’enlever de sur son lit et elle s’approcha timidement de la personne et passa rapidement ses bras autour de lui pour attacher rapidement le drap blanc autour de sa taille pour cacher cette nudité qui la gênait beaucoup trop…
Elle se remit droite devant lui, regardant toujours cette main tendue et pensa rapidement à ce qu’elle pourrait demander, car qui ne tente rien, n’a rien comme le dit le proverbe. Sa main était lente et tremblante, son regard fixait la créature et elle ouvrit lentement la bouche pour montrer ses petites crocs et elle dit d’une voix tremblante :
« Je m’offre à l’envoyé… Pour qu’il puisse m’accordé le souhait de devenir plus forte… »
Alors qu’elle avait commencée à parler sa main s’était poser sure celle de la créature démoniaque, tremblant d’une peur sans fin. Elle était terriblement apeurée, elle ne comprenait pas, elle n’aimait pas cette faiblesse qu’elle avait! Elle était un vampire et pourtant elle était si faible mentalement, incapable de résister à rien ni à quiconque, elle était même rendue une esclave et la voilà qu’elle s’offrait à elle ne sait pas quoi encore, mais elle sent déjà qu’elle va le regretter… Son regard fixer droit dans les yeux de la créature, suportant se regard qui pouvait faire fantasmer n’importe qu’elle personne, même à elle se regard lui faisait de l’effet…
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L'Incube avait vaguement froncé les sourcil lorsque l'humaine lui avait passé ses draps autour de la taille. Il avait d'abord pensé qu'il s'agissait là d'une sorte de bête offrande, avant de se souvenir que les mortels avaient pour eux un concept qu'ils appelaient la pudeur, qui consiste en le fait de ne jamais montrer son corps à autrui, comme si on en avait honte. Sur cette base de réflexion, l'Incube aurait pu penser que la Vampire le couvrait parce qu'elle avait honte du corps en face d'elle ; mais à peine cette pensée s'était formulée dans son esprit qu'elle en fut chassée, et pour cause : existait-il quoi que ce soit de plus beau que lui ? La femme lui cachait son corps pour lutter contre ses pulsions, ça ne pouvait être que ça.
Qu'ils sont crétins ces mortels à vouloir lutter contre des envies aussi élémentaires que celle-ci. A croire qu'ils sont masochistes pour s'infliger un tel mal avec autant d'entrain.
Bref. Lorsque la mortelle s'était mise à parler, Vaelh sembla vibrer d'impatience. Dès qu'elle posa sa main frêle dans la sienne, il la sera doucement, mais de sorte à ce qu'elle ne puisse plus la retirer et faire marche arrière. Il la fixait intensément de ses yeux d'or chatoyant tandis que son aura de Démon du vice commençait à peine à lécher la peau de sa victime. La jeune femme pouvait sentir, sous sa paume, que la peau de l'homme était chaude, fiévreuse, et infiniment douce. Notant l'apparent désarrois de son interlocutrice, Vaelh étira lentement ses lèvres en un sourire à la fois rassurant et plein de mystères, comme s'il laissait sous-entendre qu'il connaissait secrètes mais infiniment plaisantes. Il se garda cependant bien de les livrer à la femme et la laissa terminer avant de reprendre :
L'Envoyé entend que la mortelle s'offre de son plein gré. La mortelle scelle ainsi le contrat entre elle et l'Envoyé. La chaleur de la pièce sembla subitement prendre quelques degrés. En échange de sa personne, la mortelle fait savoir qu'elle souhaite devenir plus forte. Qu'elle se réjouisse puisqu'un tel souhait est possible. Vaelh laissa s'écouler un moment, puis s'approcha pour presque faire entrer en contacte son visage avec celui de la jeune Vampire. Mais la mortelle doit faire preuve de précision quant à la force qu'elle souhaite obtenir. La mortelle veut-elle d'avantage de force physique ? Ou un plus vaste intellect ? Peut être le plein contrôle d'un pouvoir ? Une instant s'écoula, et Vaelh se fendit lentement d'un sourire absolument merveilleux, et vecteur de mille et une promesses de distraction. La mortelle peut demander ce qu'elle veut, elle n'a rien a craindre. L'envoyé est attentionné avec qui lui fait le plaisir de l'invoquer.
Vaelh s'était voulu le plus convainquant et rassurant possible, ne serait-ce que pour que la Vampire cesse de trembler comme une feuille ; ça l'agaçait qu'on puisse se montrer si trouillard. Avant même qu'elle ne se reprenne, il eut une idée diabolique pour qu'elle cesse enfin de vibrer de trouille : il détacha le drap autour de sa taille, le fit passer autour de la taille de la Vampire d'un geste fluide et impérieux, avant de le refaire passer autour de son propre bassin. Ainsi, lui et la jeune femme étaient ceints tous deux dans le draps. Vaelh en serra le pourtour, si bien que son bassin vint contre celui de la vampire. Il essaya au maximum de garder son sérieux, mais ne parvint finalement pas à masquer cette pointe d'amusement qui fit se soulever le coins de ses lèvres en un subtil sourire. Ah, noyer les mortels sous la gêne devaient bien être l'un de ses jeux favoris ! Evidemment, la jeune femme devrait avoir les nerfs presque aussi résistants que ceux d'une certaine déesse pour ne pas rougir d'avantage à cause de la proximité de l'Envoyé et de sa nudité qu'elle pouvait maintenant éprouver contre son bassin.
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Sa main à peine poser sur cette chaude main la voilà capturer entre les doigts de la créature. Des doigts chauds et qui était vecteur d’une telle chaleur, elle en eut un léger frison. Malgré tout elle y était prisonnière, elle tenta d’enlever sa main, mais elle était férocement tenue par cet homme. Le regard de la créature la fixait à un point tels que la vampire en fut mal à l’aise, ce regard d’or qui croisait son regard teinté de bleu et de violet. Elle pouvait sentir qu’elle que chose caresser son corps, non pas une main, plutôt une aura qui semblait vouloir la faire abandonner sa résistance pour la faire sombre dans un étrange vice. Son sourire qui était sur ses lèvres elle ne put que s’en inquiéter d’avantage, elle avait peur.
L'Envoyé entend que la mortelle s'offre de son plein gré. La mortelle scelle ainsi le contrat entre elle et l'Envoyé.
Elle sentie la pièce devenir plus chaude, cela devait être l’effet de la créature avait sur le lieu. Mais elle n’en fut que moins rassuré, s’il pouvait modifier cela, elle n’osait pas imaginer ce qu’il pouvait faire de plus…
En échange de sa personne, la mortelle fait savoir qu'elle souhaite devenir plus forte. Qu'elle se réjouisse puisqu'un tel souhait est possible.
Devenir enfin plus forte… Elle désirait tant l’avoir, pas celle au niveau des muscles mais, plutôt celle au niveau de sa personnalité, elle était si faible que même lorsqu’elle se faisait attaquer, elle ne se défendait point par peur. La peur, vile défaut de la vampire, la peur l’empêchait de tout faire et elle perdait tous ses moyens quand elle faisait face à la peur… La créature qu’elle avait invoquée approcha lentement son visage d’elle, encore une fois la peur la ravagea sur place, son regard fixant la créature démoniaque d’un regard presque apeuré, le souffle chaud de la bête caressant son visage…
Mais la mortelle doit faire preuve de précision quant à la force qu'elle souhaite obtenir. La mortelle veut-elle d'avantage de force physique ? Ou un plus vaste intellect ? Peut être le plein contrôle d'un pouvoir ?
La force que je désire… Qu’elle est la force qui me faut saisir, la force physique? Ne l’a-t-elle pas déjà? Mais elle a peur d’en user. La force plus intellectuelle? Elle est intelligente, mais la peur ravage son cerveau et la fait bêtement penser dans ses moments… La force d’un contrôle de pouvoir? Cela est intéressent, mais elle craint cela. Elle savait que choisir, la force de ne plus sentir la peur, faire taire cette chose qui la harcelle si souvent. Le sourire d’une immense beauté vint saisir les lèvres de l’homme, la vampire eut un nouveau tremblement.
La mortelle peut demander ce qu'elle veut, elle n'a rien a craindre. L'envoyé est attentionné avec qui lui fait le plaisir de l'invoquer.
Mais la créature fut plus cruelle encore, osant aller gênée encore plus que cela la jeune vampire. Il détacha le drap de sa taille, les joues de la vampire commencèrent lentement à se teinter d’une couleur rouge et le pire n’était pas encore arriver. Car lentement et majestueusement il fit passer le drap derrière elle pour que tous les deux se retrouve entourer du drap et il serra celui-ci pour que les deux corps se touche. Cela eut l’effet escompté, ses tremblement cessèrent, mais ses joues en devinrent que trop rouge, la timidité à sentir ce corps si chauds et qui avait l’air si délicieux si près, la rendais mal à l’aise…
Mais le pire dans tout ça était l’odeur que le démon avait, elle sentait à travers sa chair son sang circuler, un sang qui semblait avoir un goût si fabuleux, si extraordinaire qui donnait que le goût d’ouvrir la bouche et de le mordre pour pouvoir prendre de ce sang qui semblait l’appeler à s’en saisir. Elle dû se faire violence pour résister à cette pulsion vampirique qui la harcelait.
Elle secoua légèrement sa tête pour pouvoir se ressaisir. Ses yeux fixant partout, n’osant pas regarder trop bas, sentir cette virilité contre elle la fit légèrement vibrer d’un désir étrange, qui semblait si vrai mais en même temps légèrement faux, apparu là comme par magie alors qu’il n’avait pas sa place, s’incrustant dans son cerveau pour vouloir la faire céder dans un vice. Elle se mordit la lèvre pour résister un peu et son regard se leva vers celui de l’envoyé, frissonnant légèrement, la peur toujours gravé dans son corps comme si elle avait toujours été présente, mais elle en avait plus qu’assez de cette peur.
« Je… »
Elle hésitait, ses lèvres tremblant légèrement.
« Je désire avoir la force de ne plus avoir peur, de pouvoir la contrôler car maintenant elle m’est incontrôlable… »
La vampire fixait l’homme et trembla à nouveau, son regard penchant lentement sur le côté, elle n’osait pas le regarder, pourtant son corps désirait coller un peu plus cet être, qu’elle étrange sensation qui tentait de la saisir, c’était malfaisant cette sensation qui semblait être sienne mais pas sienne, ses doigts désirant toucher un peu plus de ce corps qui semblait parfais face à elle, mais la crainte l’habitait.
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Quel piètre souhait, pensa le Démon. Là où les autres femmes avaient exigé gloire, richesse, succès, cette mortelle semblait se contenter d'une simple maîtrise accrue de ses sentiments. Bah, peut être qu'un tel choix trahissait une plus grande sagesse que la plupart des mortels, ou une risible naïveté. Mais peu importait ; elle obtiendrait ce quelle voudrait.
Avec une grâce magistrale, une merveilleuse exaltation s'affichant sur ses traits, l'Incube pencha la tête en arrière et écarta les bras, semblant appeler à lui les sombres pouvoirs qui sévissaient de par delà la brèche colorée toujours ouverte. En réponse, le vortex exhala une onde de couleur pareille à une aurore boréale qui vint parer le démon d'un voile de mysticisme. Puis Vaelh se mit à osciller avec une douce langueur, comme si son buste était le jouet d'un faible ressac. Il baignait dans la grâce et les couleurs, ses muscles se nouant et se déliant pour lui permettre d'ainsi s'exhiber.
Alors tous les sons du monde moururent, remplacés par une unique et long soupir exalté. Les yeux du démons devinrent complètement doré tandis qu'un halo de parfaite perfection venait décupler sa surnaturelle splendeur. Les ondes de couleur enchevêtrèrent autour de ses membres à l'image du lierre sur quelque tronc, puis coulèrent jusqu'à la vampire. La luminescence glissa sur la peau de ses bras avec une lenteur attentionnée, comme pour ne pas l'effrayer, puis se rua avec fougue à l'assaut de tout son corps, flattant chaque parcelle de sa peau d'une caresse tant chaude que sensuelle. Toute cette magie colorée transportait des fragrances inconnues, mais si agréables qu'elles en devenaient anesthésiantes. Sa chaleur et son contacte évoquaient tous deux les caresses expertes d'un amant qui se voulait réconfortant.
La magie luminescente, gourmande, finit par englober complètement la vampire et Vaelh en son seins. Se retrouver noyé sou une telle onde avait quelque chose de tranquillisant, comme si l'on avait la certitude qu'une barrière était dressée entre soit et le monde, et que par conséquent plus aucun mal ne pouvait nous atteindre.
Subtilement au début, et bien plus notoirement à mesure que le temps passait, cette brume magique se mit à flirter avec l'âme même de la vampire, lui suggérant d'abord de discrètes idées quant à la morphologie parfaite du glorieux mâle contre elle, puis lui soufflant de se laisser aller à profiter d'avantage de la vue. Quel mal pouvait-il y avoir à se rincer ainsi l’œil en observant une si belle chose que le corps de ce démon qui s'offrait totalement à elle ? "Profite", semblait doucement souffler la brume. "Profite tant que tu le peux, tant que tout va bien".
Evidemment, pour faire écho à ces message subliminaux, l'Incube ondula presque imperceptiblement son corps contre celui de la vampire, saisissant son visage entre ses mains comme pour l'embrasser, se mordillant la lèvre dans un sourire joueur et mutin. Ses yeux entièrement d'or se rivèrent dans ceux de la femme, mettant l'espace d'un moment son âme, ses désirs, rêves et fantasmes à nus, avant de se clore. Théâtrale jusqu'au bout, l'Incube serra la vampire dans ses bras et lui souffla quelque antique formule à oreille :
ႠႢႠႢႣႠႫႽჀ ႣႻႽჀႵჅჅႧ ႣႻႽჀ... N'ai crainte, l'Envoyé est avec la mortelle. Il veille sur elle. Plus de solitude ni de crainte. Plus jamais...
Vaelh répéta ces tout derniers mots quelques fois encore, leur donnant une saveur lascive, coquine, avant d'exhaler un ultime soupir chargé de concupiscence. Satisfait par son rituel, il desserra son étreinte et souffla :
Le pacte est scellé. En cette instant, la mortelle ne ressentira plus la peur !
Pour ponctuer son dialogue, il prit la main de la vampire et la posa sur sa poitrine nu et bouillante, contre son coeur noir qui palpitait régulièrement, avec puissance. La brume de magie se dissipa, avalée lentement par le vortex qui s'amenuisa lentement jusqu'à redevenir une grande page, qui elle même redevint l'ouvrage.
Alors Vaelh sourit, plus rayonnant et impérieux que jamais, confiant et complice. Avec coquinerie et amusement, il pencha la tête sur le côté et lança sans plus de cérémonie :
Et voilà ton fardeau qui s'envole. Mais... Il sembla hésiter un très bref instant, avant d'approcher sa bouche tout près de celle de la vampire, à moins d'un petit centimètre. Il reprit alors, bien plus aguicheur. Mais j'ai vu derrière ces yeux turquoises bien d'autres envies et désirs insatisfaits, d'une toute autre nature...
Il n'ajouta rien, laissant ses yeux d'or rivés avec insistance dans ceux de la femme, laissant tout son corps parfaitement nu contre le siens. Il dévoila lentement un sourire joueur et prédateur.
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Alors que la vampire vint de terminer ses mots, le démon pencha sa tête vers l’arrière, levant ses bras telle un début d’invocation occulte, elle trembla, se demandant si elle avait bien fait… Commençant légèrement à se maudire de sa curiosité abusive. Elle aurait souhaité se cacher, mais ses yeux fixait le spectacle qui se déroulait devant elle avec des yeux remplie d’étonnement. Toute ses couleurs qui arrivait de se vortex qui lentement vers le démon dont son corps semblait doucement vaguer, elle ne put se contrôler et se mordilla doucement la lèvre, son regard regardant l’être des pieds à la tête, une rougeur à ses joues revint rapidement la saisir.
La suite fut un peu plus difficile à suivre, le démon eut les yeux qui changèrent au doré, puis les rayons de couleur glissait sur la peau du démon, la vampire eut un mouvement de recule quand elle vit les liens de couleurs aller vers elle, elle eut peur. Mais lentement ils vinrent glisser sur sa peau de ses bras et lentement elle se sentie se calmer progressivement avant que les liens parcourut son corps avec fougue et malice, la faisant légèrement trembler et pourtant elle adora la sensation nouvelle qui la parcourut. Puis lentement cette couleur vint engloutir complètement la vampire et le démon, elle tremblait encore un peu, n’osant pas regarder le démon.
Puis elle sentie en dedans d’elle comme une voix qui semblait lui proposé des idées perverse, la timide vampire tentais de les ignorer mais pourtant elle ne put s’empêcher de le regarder à nouveau, détaillant chaque partie de son corps, décrivant chaque muscles, chaque partie de son corps avec détails, un frison parcourut son corps alors qu’elle se mordit la lèvre pour tenter de se ressaisir. Voyons Arashi, calme toi, cette perversion n’est pas de ton habitude! Elle frémit un peu plus alors que l’Incube fut si près d’elle, sentant son corps légèrement onduler sur le sien, puis ses mains se saisissant de son visage, rendant leurs deux bouche si près qu’une simple avancer pourrais les faires se toucher, mais ce ne fut pas le cas. Le démon sourire aux lèvres fixait la jeune femme droit dans ses yeux, elle eut un nouveau tremblement alors que toute ses idées perverses qu’elle tentait de cacher semblèrent revenir dans sa tête, la faisant vibrer d’un désire qu’elle tentait de résister.
Ce fut alors que le démon vint la serrer dans ses bras, sa bouche près de son oreille pour murmurer dans le creux de celle-ci :
ႠႢႠႢႣႠႫႽჀ ႣႻႽჀႵჅჅႧ ႣႻႽჀ... N'ai crainte, l'Envoyé est avec la mortelle. Il veille sur elle. Plus de solitude ni de crainte. Plus jamais...
Ses paroles commencèrent à calmer doucement ses tremblements, en dedans d’elle, une partie d’elle se brisa et disparue d’en dedans d’elle, sa peur. Lentement elle devint calme et le démon enleva son étreinte d’elle pour souffler d’un ton doux et presque envoutant :
Le pacte est scellé. En cette instant, la mortelle ne ressentira plus la peur !
Il se saisit de sa main pour la poser sur sa poitrine, elle put sentir son cœur palpiter et toute la brume de magie partie dans le vortex, ce faisant avaler par celui-ci qui commença à disparaître pour redevenir une page et devenir à nouveau un simple livre vivant. Le démon souriait d’un air remplie de confiance et de complicité et pourtant la vampire qui aurait dû trembler devant cet air, ne fut point cela et continue de le fixer, léger mordille à ses lèvres à nouveau. Puis lentement il pencha sa tête sur le côté.
Et voilà ton fardeau qui s'envole. Mais...
D’un geste presque hésitant il approcha à nouveau ses lèvres des siennes, elle le regarda faire, ne désirant pas s’échapper cette fois, mais il s’arrêta alors que leurs lèvres était si près qu’une simple petit avancé les ferais se toucher. L’air de la créature se montrait bien aguicheur alors qu’il continua ses paroles.
Mais j'ai vu derrière ces yeux turquoises bien d'autres envies et désirs insatisfaits, d'une toute autre nature...
Des envies d’une autre nature…? Elle eut un frison, non pas de peur, mais d’une légère envie qui vint naître dans son esprit! Elle garda ses yeux river dans ceux d’or de la créature, ses joues légèrement rouge dû au corps nu contre elle, mais malgré tout, elle se sentait légèrement plus exciter par ce qui arrivait. Le sourire joueur et prédateur de l’homme provoquait la vampire de plus en plus qui décida d’entrer dans le jeu, malgré son désir de vouloir se laisser aller. Mais tout d’abord une question se posa dans sa tête, pourquoi pas l’impressionner…
Elle recula légèrement la tête et fit un pas en arrière, regardant le démon de la tête au pied à nouveau et se mordit la lèvre délicieusement.
« Mmh… Bien bien… »
Puis son regard revint se planter dans celui du démon, un sourire sur ses lèvres démontrant légèrement ses crocs vampirique. Sa langue vint caresser ses propres lèvres et elle pensa rapidement avant de tout simplement dire d’une voix douce et délicieusement lente, désirant y aller vers un jeu plus séducteur, le regard de la vampire se montrant même d’un doux airs séducteur et passionnel.
« Alors… Mon cher Démon… Dîtes moi qu’aimez-vous physiquement d’une femme…? Désirez-vous que la personne que je suis prenne l’apparence d’une personne que vous désirez… ? »
Un sourire sur ses lèvres, fixant le démon, résistant à l’envie qui lui disait de ce coller à lui et de s’abandonner tout de suite, mais c’était si bien de juste résister, car l’abandon seras que meilleur par la suite.
|HRP : Post pourri, désoler|
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En tentateur né, l'Incube se laissa patiemment dévorer des yeux pour que l'appétit de la vampire s'accroisse. Il mit ce fugace instant à profit pour mieux la détailler : fade comparée aux Succubes, mais selon les critères des mortelles, cette petite femme devait être une "véritable bombe" -comme diraient ces bêtes humains-.
Passée l'inspection visuelle, le Démon se focalisa sur les particularité de son interlocutrice que seule son engeance était à même de percevoir. Toujours selon des termes humains, on aurait pu dire que Vaelh goûtait l'arôme de la jeune femme ; pas son odeur au sens littérale, mais plutôt le prélude de la saveur qu'elle révèlerait lorsque l'Incube la... "consommerait". Il put ainsi affirmer avec une relative certitude, comme si chaque race disposait de son propre arôme, que cette femme n'avait pas que du sang vampirique. Elle dégageait un fumet inédit et indescriptible, changeant en permanence. A certains moment son arôme était celui d'une vampire mêlé à celui d'une humaine, puis d'un démon, puis d'une chimère...
Une telle erraticité ne pouvait signifier qu'une chose : elle était une Changeante, une polymorphe.
Voilà qui était intéressant.
La Changeante se montrait joueuse, pour l'heure. Qu'elle en profite parce que viendrait un temps ou l'Incube déciderait d'écraser sa minuscule conscience sous la luxure. Son petit mouvement de langue trahissait une perversité aux antipodes de la timidité qu'elle affichait de prime abord. C'est qu'elle aurait pu bien cacher son jeu si elle n'avait pas fait face à l'un des Avatar des pêchés capitaux...
Il avança alors, lentement, intolérablement lentement, puis se mit à graviter autour de la jeune femme, effleurant subtilement son corps du bout des doigts. Rien qu'avec ces légers contacte, la Vampire pouvait sentir l'incroyable chaleur qui émanait de la peau du séducteur. Et il continuait de louvoyer, lascif, adoptant le masque intimidant du prédateur affamé mais patient.
Changeante... Sache que ton offre est vexante. Pour illustrer son mécontentement imaginaire, l'Incube infligea une caresse douce et bouillante sur l'épaule de la femme en guise de punition. Crois-tu que j'ai besoin qu'une polymorphe se change en une personne précise ? Si je désir une femme, il me suffit de la séduire, inutile d'avoir recours à ta magie. Une autre caresse, sur le bras. Mais je suis curieux de voir jusqu'où vont tes talents. Tiens, montre moi... Ton vrai toi. A moins que comme nombre d'autres polymorphes tes trop nombreuses transformation t'aient fait oublier ton vrai visage... Une autre caresse, plus appuyée, mille fois plus chaude et sensuelle. J'attend. Montre moi ton vrai toi. Ou a défaut... Change toi en celle que tu estime être la plus belle des femmes. En es-tu capable ?
En attendant sa réponse, l'Incube vint doucement presser son corps dans le dos de la polymorphe, sans faire flamboyer ses pouvoirs de séduction. Son bassin nu vint se positionner contre le fessier de la vampire, et sa poitrine vint dans son dos. Il ancra ses mains sur ces hanches si féminine, comme s'il comptait dans la minute qui suivait s'engager dans une étreinte mouvementée.
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Alors que ses paroles venaient de l’entement mourir en un doux silence, le démon l’observa et s’approcha d’elle d’un geste lent et magistral. La vampire n’osant pas bouger, presque enivré par le charme de la créature démoniaque, les dons luxuriant de l’homme ayant bien atteint la vampire sans même qu’il est trop à faire grand-chose, alors toujours démontrant un air félin et prédateur, il débuta à faire le tour d’elle, ses bout de ses doigts il caressa le haut de la jeune femme, chaque fois qu’il touchait sa peau elle pouvait sentir une chaleur la caresser doucement et cela ne fit que la faire frémir, désirer un peu plus l’abandon. Malgré l’air fortement prédateur de l’homme qui continuait de graviter autour d’elle, mais la bête semblait patiente, attendant le bon moment avant de goûter sa proie.
Changeante... Sache que ton offre est vexante.
Son offre? Pourtant elle en allécherait bien des gens, bien des gens désireraient combler en un instant avoir la plus belle femme pour eux devant eux, sans avoir à tenter quoi que ce soit. Mais ce démon semblait pas y avoir réfléchit. Elle fut alors secouer par un doux frison qui amenait de la chaleur de la créature qui avait poser sa main sur son épaule, telle une douce caresse.
Crois-tu que j'ai besoin qu'une polymorphe se change en une personne précise ? Si je désir une femme, il me suffit de la séduire, inutile d'avoir recours à ta magie.
Un frison parcourut à nouveau son corps alors qu’elle sentie sa main descendre sur son bras, la chaleur du démon semblant l’emprisonner dans une douce prison du confort et de l’invitation à une luxure sans même réellement la désigner. Donc si elle comprenait bien, la créature devant elle aimait bien mieux séduire que d’avoir le tout trop facile.
Mais je suis curieux de voir jusqu'où vont tes talents. Tiens, montre moi... Ton vrai toi. A moins que comme nombre d'autres polymorphes tes trop nombreuses transformations t'aient fait oublier ton vrai visage...
De la curiosité à voir ses talents, son vrai elle? Elle en fut légèrement triste, car elle semblait hésiter à savoir si la forme qu’elle revêtait présentement était véritablement siens ou non. Une nouvelle caresse fit son apparition et un léger soupire quitta les lèvres de la vampire, qu’elle aimait cette chaleur qui l’emprisonnait à cette instant même, cette douce chaleur qui en même temps démontrait un élément sensuelle.
J'attends. Montre-moi ton vrai toi. Ou à défaut... Change-toi en celle que tu estimes être la plus belle des femmes. En es-tu capable ?
La plus belle des femmes? Il lui donnait un défi de taille. Elle qui ne prenait que rarement l’apparence d’une femme qu’elle avait vue, reprenant seulement des parties d’elle pour former une nouvelle forme… Elle ferma lentement les yeux pour réfléchir et sentie alors la créature se mouvoir dans son dos, collant son bassin contre ses fesses cacher par ces tissus qui la couvrait. Son torse se collant contre ce dos. Ce fut en même temps ses mains qui glissa sur ses hanches pour y rester, un doux soupire quitta ses lèvres, un soupire démontrant son appréciation face à ses caresses chaudes qu’il lui offrait.
« Mon cher démon… Je ne prends rarement l’apparence d’être que j’ai déjà vue, je forme toujours l’apparence d’une nouvelle être, toujours plus pratique… Vous me donnez un défi de taille car je ne porte jamais attention à la beauté d’une femme… Mais je peux tenter de prendre la forme d’un être que je peux dire que je trouve belle par diverse caractéristique qui me plaise. »
Lentement la vampire rouvrit les yeux, et Vaelh put commencer à sentir le corps de la vampire changer, certains de ses os se modifiant et il put remarquer qu’elle avait légèrement grandit, pas assez pour le dépasser de grandeur, mais assez pour qu’elle soit presque aussi grande que lui, son teint de peau semblait s’éclaircir lentement pour être légèrement plus pâle qu’avant. Lentement il put voir sa chevelure changer de teinte, le blanc remplaçant la teinte verdâtre de ses cheveux et même que ses cheveux semblèrent s’allonger doucement dans, tombant doucement sur ses épaules, de doux cheveux, soyeux comme tout, brillant d’une pureté sans pareille. La figure de la vampire se modifia à son tour pour y découvrir une délicieux visage et des yeux de la teinte du feu. Sa taille était rendue plus fine, malgré que ses hanches soit bien détailler, ses seins légèrement plus serrer qu’avant dans ses vêtements qui était un peu plus serrer. Au finale la jeune femme avait pris l’apparence d’une douce femme (http://kidkidkidkid.deviantart.com/art/Queen-210794493) à l’apparence pure.
Lentement elle se retourna, soupira d’un doux soupire, son corps se collant contre celui du démon, son regard rendue rouge l’observant telle une proie acceptant sa nature de proie. La vampire analysait le démon, frissonnait sous un envie étrange qui s’attaquait à elle et semblait vouloir la faire tomber sous une délicieuse passion de luxure. Elle en frissonna à nouveau.
« Alors Démon, est-ce que je vous plaît…? Êtes-vous satisfait de ma transformation…? »
Même sa voix était changer, rendue délicieusement douce et mielleuse, semblant même sans le vouloir inviter ce démon à beaucoup plus…
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La Vampire l'avait appelé Démon. Certes, le coup de grimoire-portail-fou mettait la puce à l'oreille, mais quand même. C'est à croire que dès qu'une créature extra-dimensionnelle s'invite dans votre plan de la réalité pour marchander avec vous on l'assimile forcement à une idée de malfaisance et de malice ! Sérieusement ! Et le pire était que cette stupide idée reçue était profondément ancrée dans l'esprit de n'importe quelle créature mortelle suffisamment imaginative pour s'inventer des croyances.
Ils sont marrants ces mortels, ah !
Tandis que le Monarque méditait sur cet état de fait, il sentit sous ses mains le mouvement caractéristique d'une structure osseuse qui se réagence. Loin d'être effrayé ou même dégoûté par un tel singularité -il avait bien pire et beaucoup moins... propre en terme de métamorphose-, il se révélait simplement impatient de voir ce à quoi sa toute nouvelle possession, cette femme, allait ressembler. Allait-elle, à l'image de la chenille qui se fait papillon, gagner en beauté au point d'en devenir méconnaissable ? Ou bien se contenterait-elle de changer littéralement, d'effacer ses traits originaux pour en afficher d'autres qui ne lui appartenaient pas ?
La Vampire opta pour la seconde option, s'habillant d'une peau d'emprunt. Maintenant qu'il savait et constatait qu'elle était polymorphe, Vaelh sentit bien -ou cru sentir- que la femme qu'il avait en face de lui n'était qu'une apparence, une coquille qui n'était pas exactement en phase avec l'âme qu'elle gardait. En ça il fut un peu déçu, mais la plastique de ce nouveau "déguisement" était plaisante. Toujours rien à envier aux succubes pour qui le charme tenait du physique parfait et d'un petit "truc" en plus que les mortelles n'ont pas, mais plaisante quand même.
Joueur qu'il, Vaelh se détacha de sa proie pour louvoyer autour d'elle, prenant d'abord le temps d'assimiler son nouveau physique. Il était amusant de voir que la Vampire s'était parée d'un halo de pureté, d'innocence, alors que son regard et ses manières laissant clairement transparaître sa perversité et son aptitude à la dépravation. N'assumait-elle pas ses envies ? Avait-elle peur de clairement les afficher ? Peut être aimait-elle se sentir le plus pure possible avant de basculer dans la plus profonde des abîme de luxure ? Hm, ce dernier point était sans doute celui à considérer.
C'est satisfaisant... D'un point de vue de mortel, souffla-t-il avec toute la langueur du monde, laissant transparaître une note de mécontentement feint qui allait immanquablement mener à d'érotiques punitions. Sans cesser de tourner autour d'elle avec une grâce aérienne, se mouvant instinctivement de sorte à ce que chaque relief de son corps parfaitement parfait accroche la luminosité ambiante pour sublimer sa musculature et sa silhouette, le Démon s'autorisa un contacte tout ce qu'il y a de plus immoral sur le fessier de la jeune femme. Sous ses doigts, le tissu était délicieusement tendu, contenant mal ce nouveau corps trop grand. Sans se départir d'une once de sa sublime majesté, Vaelh tendit la main devant lui, incitant un éclat de vortex pourpre-bleu à y rayonner pour déposer dans sa paume une dague à la lame chromée sur la surface de laquelle s'étalaient des scènes d'orgies stylisées. Dans un mouvement fulgurant, il plaça l'arme sous le cou de sa proie, s'amusant à la tenir en otage quelques secondes... Puis il fit descendre la lame qui mordit dans le haut de la vampire, commençant à élargir son décolleté.
Quoi ? N'avait-elle pas montré, par ses manières et se mots, qu'elle mourrait d'envie d'être prise de la plus délicieuse des manières ? Pour ça, elle allait être servie. Mais pas avant d'avoir distrait son nouveau maître.
Ne bouge pas. Ne bouge surtout pas. Crois-moi, tu ne veux pas que cette arme goûte à ton sang. Un seul mouvement et c'en est fini, lui susurra-t-il dans le creux de l'oreille. Obscène de tout son être, il plaça sa main libre juste en dessous du seins gauche de la Vampire, le soupesant avec tant de légèreté que le contacte de sa paume semblait illusoire. Mais même si le contacte était presque inexistant, il véhiculait d'étranges sensations ; c'était comme si la jeune Vampire avait été... "cuisinée" pendant des heures et des heures et qu'enfin, après cette délicieuse torture, on lui accordait une caresse à la poitrine. Et quelle caresse ! Elle procurait littéralement un plaisir à la fois supérieur à celui d'un attouchement similaire, mais aussi différent, comme si ce sein exposé s'était pourvu d'une sensibilité érogène évoquant un certain point précis de l'anatomie féminine. Dans le même mouvement, il vint se placer derrière la jeune femme, ne cessant d'effleurer sa poitrine, sa lame grignotant le tissu entre ses deux seins, et posa son menton sur son épaule.
Hmhm, soupira-t-il. Aurais-tu profité de ta métamorphose pour t'octroyer quelques nouveaux charmes, ou plus précisément des atouts plus volumineux ? Le ton du Démon était à la fois enjoué, lascif et chargé d'une petite note de reproche. Penses-tu vraiment qu'ajouter un peu de diamètre à tes deux monts peux avoir quelque effet sur moi ? Demanda-t-il, le timbre plus autoritaire. Il semblait sur le point de châtier l'impudente pour avoir usé d'une méthode aussi basique... Mais se fendit finalement d'un sourire. C'en est si maladroit et naïf que c'en est mignon.
Comme pour dissiper les craintes de la femme, Vaelh vint placer sa main baladeuse en haut de son seins, les doigts dirigés vers le bas, et la laissa descendre en une caresse lente, appuyée et intégrale, jusqu'à diriger son extrémité rose et tendue entre la jonction de son majeur et de son index. Il serra légèrement ses doigts l'un contre l'autre, pressant le téton piégé, lui infligeant quelques discrètes caresses. Cette sensation d'érogénéité s'était accrue, portant la partie gauche de la poitrine de la femme à une sensibilité presque similaire à celle de son petit bouton de plaisir.
Mais la malheureuse n'avait toujours pas le droit de bouger !Telle était la règle instauré par ce mâle Démoniaque qui continuait d'élargir son décolleté à l'aide sa lame à quelques millimètres de sa peau. Ce tortionnaire de talent, pour mettre sa proie à l'épreuve, gardait son délicieux visage posé sur son épaule avec les yeux baissés pour jauger a poitrine qui se découvrait, comme pour inciter la jeune femme à déchirer ce misérable bout de tissu qui faisait obstacle aux caresses démentielles qu'elle pourrait avoir lorsqu'elle serait nue.
Que la Vampire ne s'y trompe pas. Vaelh se montrait doux pour 'instant, parce que ça l'amusait. Mais quand il se serait lassé de ce jeu là...
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La vampire attendait une réaction de la part du démoniaque être qui se trouvait à ce moment dans son dos, ses mains toujours sur son corps changer sous une nouvelle forme. Elle attendait une réaction face à cette transformation complète d’elle-même, mais la réaction ne vint pas vraiment comme elle le pensait... Elle a toujours pris comme habitude de ce transformée complètement en une autre personne quand elle changeait de forme, pourquoi? Elle ne le sait pas vraiment, mais c’était une habitude, propre à elle, d’autre métamorphe devait ce changé partiellement, mais pour Arashi cela se devait d’être complètement. Si on pensait un peu plus, cela devait être pour départager sa véritable forme à celle d’emprunt.
Lentement, l’homme se déplaça pour se séparer d’elle, recommençant doucement à tourner autour d’elle pour l’analyser à nouveau, analyser cette nouvelle forme qui attendait que de se faire regarder. Elle l’observait de son petit regard rouge, mêlant timidité et envie qu’elle tentait de résister. Cette créature ce faisait si désirante, un voile de luxure l’encerclait et semblait vouloir la faire sombrer dans cette délicieuse abime de plaisir. Elle désirait tant, mais pourtant elle se sentait obliger de résister à cette tentation qui se faisait de plus en plus insistante. Combien de temps sera-t-elle capable de résister contre lui? Elle ne le savait pas.
C'est satisfaisant... D'un point de vue de mortel
Elle fut légèrement déçue de cette parole, elle qui avait souhaitée l’impressionner devant cette apparence qu’elle avait jugée magnifique. La voilà légèrement triste d’avoir manquée son coup. Toujours en train de faire le tour d’elle, elle ne pouvait cesser d’observer l’homme, stupéfaite par toute cette beauté qu’il dégageait, c’était indescriptible ce qu’elle percevait en l’observant, ses mots ne pouvait le décrire parfaitement cette beauté! Le démon s’arrêta alors devant elle, la vampire n’osa pas bouger alors qu’elle sentie la main du démon caresser l’une de ses fesses, un long frison parcourut tout son corps ainsi qu’un léger soupire presque libérateur quitta les lèvres d’Arashi.
Elle aperçut la main du démoniaque passer à côté d’elle, se tendre vers là, où le vortex avait été et une dague y apparue, elle blêmit légèrement à sa vue, n’ayant pas de temps pour regarder ses symboles graver dessus que la lame vint sur son cou, lentement et sans un tremblement elle leva la tête pour dévoiler un peu plus de sa gorge, son regard fixant la lame qui resta sur son cou pendant qu’elle que seconde avant de descendre caresser son haut, commençant lentement à dévoiler un peu plus de sa poitrine, ouvrant le décoller de plus en plus, mais si lentement… Son regard revenant sur l’être de beauté.
Ne bouge pas. Ne bouge surtout pas. Crois-moi, tu ne veux pas que cette arme goûte à ton sang. Un seul mouvement et c'en est fini
Elle n’osa pas bouger, ses paroles semblèrent démontrer que cette lame n’était pas banale. Peut-être que si la lame entrait en contact avec le sang d’une personne cela risquait de faire un désastre incommensurable sur l’être. Arashi continua alors que de fixer cet être de ses yeux rouges, se mordant légèrement une de ses lèvres. Ces mots doucement murmurer à son oreille qui l’eus fait frissonner. Même sa voix semblait l’inciter à se laisser aller, tout son être semblait fait de luxure…
Sa main vint glisser sur l’un de ses seins, elle frémit rapidement à se contact si nouveau, si agréable, si extraordinaire! Un léger soupire glissa de ses lèvres alors qu’elle revint la mordiller légèrement. Elle en voulait plus, elle commençait à craquer à ce vice si délicieusement offert à elle! Cette caresse si merveilleuse, réveillait tant de plaisir, elle réveillait une panoplie de plaisir et de désire encore plus fort, un nouveau soupire quittant les lèvres de la jeune femme. Le démon allant doucement à son dos, continuant la douce caresse sur son sein, la lame toujours présente qui continuait doucement à couper ce tissu d’une manière terriblement lente. Le menton du démon se posant sur son épaule.
Hmhm… Aurais-tu profité de ta métamorphose pour t'octroyer quelques nouveaux charmes, ou plus précisément des atouts plus volumineux ? Penses-tu vraiment qu'ajouter un peu de diamètre à tes deux monts peux avoir quelque effet sur moi ?
«Oui» Murmura-t-elle
Ce ton de reproche, elle le sentait venait de plein fouet se reproche, tout son corps semblant se sentir mal de ce qu’elle avait fait. Elle qui avait seulement voulue que bien agir…
C'en est si maladroit et naïf que c'en est mignon.
Aussitôt ses craintes disparurent et des rougeurs vinrent ravager ses joues. La vampire frémit légèrement en sentant la main du démoniaque aller sur le haut de son sein et débuter une longue et délicieuse descente jusqu’à l’extrémité de son sein qui se fit capturer entre deux doigts, un léger sursaut vint la saisir sous toutes cette sensation qui rappelait le plaisir des caresses à une certaine endroit. Elle laissa un doux soupire quitter ses lèvres, elle en voulait tant plus…
Arashi pencha son regard pour regarder la lame coupant si lentement son chandail, dévoilant de plus en plus ses atouts. Elle se mordit doucement la lèvre, frissonnant d’envie de sentir ses deux mains s’activer sur elle, la faire vibrer sous un délicieux plaisir, la faire sombrer sous l’explicite luxure, elle ne désirait que ça! Ce démon la brisait totalement, l’emportant vers un désir de débauche, de plaisir… tant de désir si soudain face à cet être puissant.
D’un geste lent, elle soupira. Portant une de ses dents à sa lèvre pour la mordiller, son regard regardant la lame qui détruisait son tissu si lentement, elle tentait de résister, mais plus les secondes passaient plus elle succombait à l’envie de déchirer elle-même le reste de son chandail! Ses joues rougit par la timidité mêler à son regard qui désirait que plus de caresse, la femme tourna son regard vers le démon toujours sa tête poser sur son épaule.
« Comment puis-je vous appeler…? Oh… Aller… Dépêcher vous de déchirer ce chandail... Je vous en prie… »
Elle frissonnait légèrement, son envie se faisait clairement voir, elle craquait.
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Ce tout petit aveu, ce "oui" craintif renforçait la vision que Vaelh se faisait de son futur repas : une petite créature qui ne manque pas d'être docile lorsqu'il est sage de l'être. Pas rebelle, pas revancharde, juste prête à se montrer sage pour avoir ce qu'elle voulait. Une méthode comme une autre, mais qui s'inscrivait dans ce petit charme mignonnet que dont la femme se parait sans le vouloir.
Et, avouons le, Vaelh aimait ce qui était mignon. Le plaisir de la pervertir -plus qu'elle ne l'est déjà- serait grand.
Et ce processus de perversion débutait déjà. La supplique de la polymorphe était du nectar pour les oreilles. Dans sa voix transparaissait un désir comme elle n'avait jamais dû en ressentir. Il y résonnait même le prélude d'une folie de débauche luxurieuse sans borne. Une mélodie divine, délicieuse... Et un très bon prétexte pour prolonger son supplice plutôt que de lui donner satisfaction !
C'est ainsi que, sans daigner lui répondre pour l'instant, Vaelh raffermit son emprise sur ces seins qu'il caressait. En titiller l'extrémité ne lui suffisait plus, et sa paume glissa sur toute la surface de ces mont de chair avant de venir les pétrir par le dessous avec une force et une fougue soudaine. Ses doigts s'enfoncèrent dans cette chair chaude et ferme tout en remontant vers le haut, avant de lâcher diminuer leur emprise pour glisser vers le bas. Le mouvement s'inscrivit bientôt dans un cycle de caresses sensuelles et puissantes, chacune surnaturellement plus délicieuse que la précédente. A certains instants, totalement par surprise, Vaelh revenait s'emparer de l'extrémité de ces deux monts de chair qui se raidissait grâce à son expertise. Il les taquinait, les tirait légèrement, avant de replonger sa main en bas du sein ciblé pour de nouvelles rafales d'attouchement improbablement délicieux.
Et pendant ces longues minutes... La dague n'avait grignoté que quelque fils du chandail.
Ah, cette petite séance de supplice débutait très bien ! Mais Vaelh en voulait plus, beaucoup plus. Donner chaud à cette femme et chambouler son bas ventre n'était pas assez. Il souhaitait -désirait même- lui faire perdre la tête. Il la pousserait au bord de l'abîme de la folie pour qu'elle s'y jette volontairement.
Tout n'était qu'une question de temps.
Et étant d'un naturel peu patient, l'Incube passa à la vitesse supérieure. Son visage à la beauté rayonnante pivota pour se lover dans le cou de la Vampire. Dans une série de puissants frissons, elle pu éprouver avec délice le souffle brûlant du Démon qui courrait sur sa peau comme mille et une promesses d'extase. Puis vinrent ses lèvres irréelles dont la caresse n'aurait su être décrite en des termes autres que Divins -et encore, ç'aurait été un euphémisme à la limite de l'insultant-. Une brève seconde s'écoula, puis les lèvres du Vice incarné revinrent se poser au coin de cette gorge féminine palpitante en un baiser concupiscent surchauffé. Ce simple contacte était... indescriptible. C'était comme la Vampire voguait tranquillement sur un océan de certitude à la surface opaque, dont les vagues était ses connaissances en termes de contactes intimes. Ces petites vaguelettes venait s'écraser avec gentillesse contre la barque de sa raison, la confortant dans des idées telles que... "Un baiser est quelque chose de bon. De délicieux. Il peut vous faire frémir, vous faire sourire". Puis un monstrueux raz-de-marée était venu s'abattre sur la raison de la femme, balayait se certitudes et repères. Cette immense vague -le baiser du Démon dans son cou- apportait tant d'autres connaissances qu'elle en retourna son embarcation. Ainsi, Arashi fut précipité sous la surface opaque de son océan calme... Et y découvrit un domaine infini fais d'hypothèses et d'envies. Elle éprouvait pleinement le puissant plaisir d'un contacte si simple qui chamboulait tout ce qu'elle savait du baiser, mais tout cet univers de spéculations lubriques qui s'ouvrait à elle avait de quoi la rendre folle. "Et si il posait ses lèvres sur les miennes ? Et si il suçait mes seins ? Et si... Sa bouche descendait plus bas ?" A chaque nouvelle idée, le désir de la femme s'en trouvait doublé, triplé... Il grandissait sans plus pouvoir s'arrêter, sans même pouvoir ralentir. Une envie écrasante, abrutissante, si divertissante que la Vampire ne put pas se rendre compte tout de suite que Vaelh en avait fini avec son petit chandail, dévoilant ainsi ses atouts.
Satisfait de son petit tour, Vaelh vint se placer juste devant sa proie, le regard chargé de malice. Il la pris par les hanches pour venir appuyer son propre bassin contre le sien de sorte à ce que sa virilité encore tendre vienne taquiner son entre jambe. Il pencha légèrement la tête, un sourire coquin lorsque la femme reprit ses esprits.
J'ai cru que je t'avais perdu. Comme ça aurait été dommage pour toi, tu as encore tant de choses à découvrir. Tant de chose à... Éprouver. pour ponctuer ses paroles, Vaelh vint écraser la poitrine de la femme contre son torse nu. Ses lèvres s'approchèrent si près de celle de la Vampire... Mais ne les touchèrent pas. Elles restaient à quelques millimètres, la narguant de ne pas pouvoir profiter d'une nouvelle trombe de sensations nouvelles et d'extases infinies. Maître de la situation, l'Incube se permit de prolonger encore le supplice de sa victime. Et si tu me disais à quel point tout ceci te plait ? Si ton discours relate avec suffisamment de vérité ce que tu ressens et ce dont tu as envie, tu connaîtra peut être mon nom. Et peut être pourrais-je appliquer mes talents ailleurs qu'ici, dit-il en écartant légèrement son buste pour revenir peloter la jeune femme avec d'avantage de force et de vigueur avec sa main libre. Dans son autre main, la pointe de la dague commençait déjà à effleurer de bas du dos de la jeune femme. Et n'hésite pas à joindre le geste à la parole, souffla-t-il en guise de permission à prendre des initiatives.
C'était Arashi de jouer. Ses paroles seraient-elles suffisamment chargées de vérité et d'envie pour satisfaire celui qu'elle avait invoqué ? Oserait-elle tenter de se montrer plus convaincante par quelque action ? En cet instant, le Démon lui laissait carte blanche.
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Sa douce supplique venait de mourir dans un silence laissé par le démoniaque être. Toujours placer à cette endroit il l’écouta sans lui répondre, la faire bouillir d’impatience, d’envie pour cet être… Désire l’être charnel qui jouait avec elle comme si elle était qu’une docile marionnette. Elle ne savait pas si elle sera capable de lui résister plus longtemps avant de sombrer dans ce tourbillon de luxure, si elle serait forcée de ce jeté en son centre pour s’abandonner, surement... Désirer un être autant était impensable… irréaliste… une véritable torture. La vampire sombrait de plus en plus que les secondes s’écroulait, elle cédait sous la tentation laissé par ce séduisant démon.
Terrible comme il fut, le démon continua le supplice de la jeune femme. Sa prise se raffermissant sur son sein, la jeune femme échappant un autre doux soupire, de telle caresse était si fabuleuse, dégageait tant de délice... Puis il se mit à y jouer avec, chaque mouvement de sa main sur eux, la faisait frissonner, de telle frison que jamais elle n’avait sentie avant que cette créature la touche, une tel habilité, cela était si rare, si délicieux…si fabuleux, si indescriptible... Mais elle adorait cela, tout ce plaisir si accentuer la faisait si plaisir, la faisait sombrer sous la luxure si cruellement qu’elle en désirait plus, elle désirait que ce faire attraper complètement par cette force démoniaque que l’être utilisait contre elle, elle commençait à vouloir s’y jeter sans même avoir à y penser.
Son chandail était si loin de se déchirer à la vitesse qu’elle désirait… Elle voulait le déchirer par elle-même, le détruire pour qu’il la touche de ses deux mains… Que tout ce délice s’accentue… Mmm…
Puis eu des mouvements, le démon changea sa tête de position, son visage se callant légèrement dans son cou, un terrible coup de frison la frappa soudainement. Le souffle de la créature la terrassant. Tout son souffle parcourant sa peau, caressant cette peau, glissant contre celle-ci comme une promesse à plus de délicieuse caresse si elle s’abandonnait totalement… Un léger mordillement sur sa lèvre se fit, montrant un signe qu’elle appréciait le souffle de la créature dans son cou. Elle eut un léger sursaut en sentant ses lèvres se poser contre sa gorge pour y poser un baiser, un tel baiser était indescriptible, tenter de le décrire était tout simplement impossible… C’était un baiser sur sa gorge comme jamais elle ne l’avait jamais ressentie avant. La vampire eut un long frison qui la parcourut accompagner d’un soupire qui se mourra dans un mordillement de lèvre, dévoilant alors un peu plus son cou à la vile créature, désirant plus de baiser à cette endroit si sensible.
Terrible sensation qui s’abattait sur le faible esprit de la vampire, tant de délicieuse question se posant dans sa tête, plein de sensation parcourant son corps… Son esprit vagabondant dans cette sensation de plaisir qui se naissait de plus en plus, tant de désire, tant de questionnement sur les lèvres du démoniaque si plaisante, elle se demandait si ses lèvres se posait sur un de ses seins, qu’elle serrait la sensation? Certes d’autres questions venait suivre celle-ci, mais cela revenait toute à la même chose, elle se sentait débuter à couler dans ce torrent incertain de plaisir. Mais elle en désirait tant qu’elle était prête à s’abandonner et se laisser couler… Tant de plaisir…
Puis elle revint à elle, le démon était face à elle, ses mains sur ses hanches, son bassin contre le sien, elle sentait la virilité du démon, elle se mordit légèrement la lèvre, les joues rouges sous la gêne qui revint l’habiter malgré l’envie. Coquin sourire sur les lèvres du démoniaque, frison s’empara alors de la jeune femme, ce qu’elle aimait cela. Elle remarqua alors que ses seins étaient dévoilés face à cet homme, un nouveau rougissement vint se saisir d’elle.
J'ai cru que je t'avais perdu. Comme ça aurait été dommage pour toi, tu as encore tant de choses à découvrir. Tant de chose à... Éprouver.
Puis cruel comme il fut, la créature collant sa poitrine contre son torse, approcha doucement ses lèvres des siennes, un baiser? Elle l’espérait. Fausse idée, car elles ne firent que s’arrêter à qu’elle que minuscule millimètre de ces lèvres à telle point qu’elle pourrait se frôler si elle bougeait un peu. Elle voulait l’embrasser, ses lèvres l’appelaient, désirait ce faire saisir. Juste l’appel de ses lèvres étaient insoutenable, l’appelant à la luxure sans même bouger.
Et si tu me disais à quel point tout ceci te plait ? Si ton discours relate avec suffisamment de vérité ce que tu ressens et ce dont tu as envie, tu connaîtra peut être mon nom. Et peut être pourrais-je appliquer mes talents ailleurs qu'ici.
Puis il s’écarta d’elle, le torse surtout, sa main revenant contre son sein, un frison revint la parcourir, un léger soupire sortant d’entre ses lèvres et blêmit un peu en sentant la lame caresser le bas de son dos, la base de son pantalon…
Et n'hésite pas à joindre le geste à la parole
Lui laisser carte blanche à lui répondre, elle se mordit la lèvre doucement, son corps frissonnant déjà. Son mordillement de lèvre se voulait démontreur de désir, elle regardait l’être démoniaque sans pour autant bouger, mais son regard véhiculait au combien d’émotion que le démon lui avait offert peu de temps avant. Un petit sourire sur ses lèvres y était. Lentement ses doigts vinrent se poser sur le torse parfais de l’être infernal, elle aimait bien la sensation sous ses doigts. Elle commençait doucement à suivre les plis parfais de sa musculature, frémissant sous le plaisir que de le toucher, elle aimait bien cela.
« À qu’elle point tout ceci me plait…? Eh bien… »
Elle se mouilla légèrement les lèvres du bout de sa langue tout en s’avançant un peu pour coller sa poitrine contre le torse de l’être de luxure. Son regard montrait tout le plaisir de ce qui se passait, sa respiration était douce et caressait la peau du démon.
« Je n’ai jamais ressentie de telle sensation… » Murmura-t-elle d’une voix douce et mielleuse…
Un doux sourire sur ses lèvres y était, transpirant luxure et envie. Son petit regard continuant de fixer l’être démoniaque.
« Vos doigts sont d’une habilité indescriptible… Vous êtes sans aucuns doutes le maître incontesté du toucher… Vos lèvres sont si tentantes qu’elle doive faire envie aux dieux tentateurs, je n’ose même pas imaginer le goût qu’elle aurait sur mes lèvres, sur mes seins… sur mon intimité… »
Elle rougit à ses paroles, elle qui disait si rarement ses paroles, les entendre sortir de sa bouche, la surprenait, était-ce vraiment elle qui avait parlé? Ou ses désirs qui voulaient s’exprimer? Surement ses désirs, juste à imaginer le voir par-dessus elle… nue… sur le lit, la fit frissonner intensément. Son esprit se pervertissait rapidement, elle se sentait sombrer vers la luxure. Lentement elle rapprocha son visage de celui du démon, gardant une distance entre leurs deux visages, mais leurs respirations se mélangeaient doucement.
« Tout ce que vous me faite sentir en ce moment est si nouveau… Démon… vous me faites perdre la tête… Je vous en supplie… Faites-moi tomber dans ce torrent de plaisir… »
Tout son corps frissonnait d’envie, elle le voulait tant… Jamais elle n’avait ressentie de tel plaisir et il devait le sentir, seulement un souffle dans son cou, un baiser aussi dans son cou ainsi que des touchers si bien placer l’avait fait ressentir tout ce plaisir… Elle n’osait même pas s’imaginer si elle l’embrasserait ce que serais les sensations qu’elle ressentirait… Osera-t-elle… ou osera-t-elle pas?
Elle osait. Lentement elle approcha ses lèvres de ceux du démon, pour finalement l’embrasser et sombrer…
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Plus que de sombrer, Arashi bascula dans une abîme insondable, une dimension sensationnelle dans laquelle haut et bas n'existaient plus. Les seules choses qui régissait cet espace nouveau était le plaisir, la satisfaction et le désir -que des bonnes choses-. Le plaisir vint en premier dès le contacte de leur lèvres. Une sensation à la fois surpuissante et pure, sans piège ni surprise. Un plaisir réel, tangible, comme si les lèvres du mâle avait poussé celle de la vampire à devenir incroyablement sensible. Et quelle chaleur, d'un coup ! Une atmosphère littéralement infernale enveloppa les deux amants.
Vint ensuite la satisfaction. Voilà, La vampire avait voulu les lèvres du Démon, et elle les avait eu. Elle n'avait eu qu'à se pencher pour les goûter. Il avait juste fallu qu'elle le veuille, et elle l'avait obtenu. A l'instant même ou elle se rendrait compte que les choses étaient si simples, une onde de luxure viendrait chatouiller sa conscience pour lui murmurer "Tu n'as qu'à vouloir quelque chose pour l'avoir. Tu n'as qu'à te servir, prendre ce que tu veux. C'est tout."
Et le désir arriva en force sur cette dernière constatation. Le pouvoir du Démon s'insinuait dans l'esprit de la jeune femme avec toujours plus de force, magnifiant ses désirs pour les rendre impossible à supporter sans les assouvir. Elle voulait les lèvres du Démon contre ses seins ? Qu'elle lui prenne le visage pour l'y noyer ! Elle souhaitait ses lèvres entre ses cuisses ? Qu'elle le pousse sur le lit pour poser son intimité sur sa bouche, de force ! Ainsi, chaque envie -formulée ou non- de la mortelle se voyait amplifiée violemment, la torturant d'excitation pour être assouvie.
Puis, soudainement, elle put sentir une étrange intrusion. Quelque chose de souple, bouillant, humide. Dans sa bouche.
La langue de Vaelh.
Elle s'était invité aussi simplement que ça, invitant celle de la jeune femme à danser sur un air de libido endiablé. Et le plaisir violent qu'elle pu ressentir alors n'eut rien à envier à celui du contacte de leurs lèvres. Une vague d'extases dévastatrice, apocalyptique, vint balayer les dernières réticences de la vampire, la mettant face à des désirs toujours plus violents. Toujours plus crus. Des images s'imposèrent à elle dans lesquelles les lèvres du Démon ne suffisaient plus. Elle le voyait nu, au dessus d'elle, agitant ses doigts das sa petite intimité. Elle le voyait imposer la taille de son mât de chair à sa bouche, y venant de long va et viens. Elle le voyait la plaquer sur le lit et installer son membre raide entre ses seins. Elle le voyait -et le sentait avec une précision affolante- aller et venir en elle. Cette dernière scène se précisa, se rejoua encore et encore, à chaque fois plus fougueuse, plus violente, plus "vraie".
L'intimité du Démon la massait de l'intérieur. Elle pouvait jurer la sentir se frayer un chemin en elle.
La virilité de son partenaire allait et venait en elle avec une force stupéfiante.
Ce grand pieux de chair labourait sans merci merci l'espace étroit entre ses cuisses.
Puis vint une dernière scène, identique aux précédentes et pourtant différente. Elle apportait avec elle la pure délivrance d'un désir assumé à 100%, sans plus aucune retenu. Et dans cette vision, plus précise et plus savoureuse encore, Arashi pouvait éprouver sans gêne la grande queue du mâle qui malmenait son petit sexe.
Et tout cessa lorsque l'Incube mit fin au baiser.
Le plus délicieux dans toute cette scène intolérablement savoureuse qui se jouait n'était pas les seins de la femme qu'il percevait sous ses paumes, ni même la chaleur de son entre jambe qui réchauffait son membre viril. Non. Le mieux dans tout ça, et de loin, était le fait que la femme changeait -mentalement bien sûr-. Là où elle n'avait été qu'une petite femelle suintant la timidité quelques minutes auparavant, elle commençait à devenir une créature de luxure qui assumait ses désirs et les énonçait. La métamorphose était lente, subtile... Mais attentif qu'il était, Vaelh pouvait pleinement l'apprécier.
Et il devait bien l'admettre, la nouvelle Elle qu'il contemplait était plutôt belle. Plus qu'elle ne l'était avant en tout cas.
Bien évidemment, l'Avatar de la luxure se réjouissait des aveux de la femme. Il s'en nourrissait. Seulement... Les Incubes sont connu pour être des créature d'excès. En sommes, il n'en avait pas assez. Il voulait jouer encore plus sensuellement, il voulait pousser sa partenaire dans une pure acceptation de ses fantasmes débridés. Aussi entreprit-il de la taquiner à nouveau avec des mots, massant discrètement ses seins comprimés contre son torse.
C'est un très bon début, vraiment. Me voilà fier de toi, et voici ta récompense, lui souffla-t-il sensuellement avant de s'écarter d'un pas. De là, il vint poser sa lame contre ce qu'il restait du petit chandail serré et, d'un mouvement sec, acheva de le découper. Son geste lascif fut accompagné d'un soupir rauque pour accompagner le soulagement que ressentirait sans doute la petite femme à se savoir à demi nue.
Mais la récompense ne s’arrêtait pas là. Arashi avait, malgré sa timidité, réussit à joindre le geste à la parole ; et même si ses caresses avaient été un peu maladroites, elles véhiculaient un sincère appétit. Sa dague se volatilisa et il vint reposer ses deux mains sur cette poitrine offerte pour y appliquer un délicieux massage. Arashi ne pouvait que frissonner sous un tel contacte. Les doigts du démon pétrissaient ses deux monts de chair avec une habilité proprement surnaturelle. Mais ses gestes restaient doux, lent, ils étaient appliqué comme un baume frais pour soigner tout la frustration qu'avait ressenti la Vampire en attendant d'être enfin mi-nue. Sans s'arrêter, il ajouta avec une subite pointe de malice.
Mais ça n'est pas encore assez.
Un sourire étira les traits du vil tortionnaire qui, à n'en pas douter, avait prévu son coup -vil Démon!- Il se mordilla la lèvre inférieure, avide d'entendre la prochaine confession de la mortelle.
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Qu’elle sensation! Qu’elle délivrance! Qu’elle divine surprise! Elle se sentait si… bien. Ses lèvres étaient envoutante, elle désirait toujours un peu plus de ses lèvres ensorcelantes, ses lèvres semblait si sensible au contact de celle de la créature, c’était une sensation plaisante. Une chaleur plaisante commençait à prendre forme, c’était si bon, si chaud… Si indescriptible! L’atmosphère ce faisant plus parfaite pour la luxure, l’envoutement, la passion. Elle eut alors une pensée, elle l’avait embrassée d’elle-même, elle n’avait qu’à ce servir ce qu’elle veut pour le recevoir, il se laisserait faire? Elle ne sait pas, mais ce qu’elle sait est qu’elle désire cette créature de plus en plus, ses pensées sont toutes diriger vers ce démon, elle vint même à penser ce que ça ferait de boire un peu de son sang, juste à y penser, un long frémissement parcourut tout son corps. Ses pensées semblèrent décupler son plaisir à l’instant, elle frissonnait à nouveau, leurs lèvres toujours collé ensemble…
Mais une nouvelle chose vint la provoquer, une douce, délicieuse, chaude langue qui s’infiltra dans sa bouche, se frayant un chemin juste qu’à sa jumelle et il s’en saisit pour provoquer une chaude et délicieuse dance que bien évidemment elle se laissa faire, embarquant elle-même dans la danse, son petit corps se collant un peu plus au démon si cruel qui la faisait sombrer dans la perversion de plus en plus. Le plaisir ressentie à ce moment-là était encore plus indescriptible que celle d’avoir posé ses lèvres sur les siennes, c’était une sensation si extraordinaire, si palpitante, qu’elle en désirait encore plus! Son esprit se remplie à nouveau de scène si délicieuse et si vrai les unes que les autres, elle tremblait de plaisir, elle échappait de petit soupire plaisant à chaque mouvement dans ses pensées, oh que c’était délicieux, si merveilleux, si fantastique et si fascinant qu’elle désirait toujours et toujours plus! Elle ne voulait pas que les imaginer et les ressentir en penser! Non elle voulait ressentir tout cela réellement!
Puis tout s’arrêta brusquement alors qu’il arrêta le baiser.
Elle remarqua alors qu’il avait encore ses mains sur ses seins. La vampire dévorait le démon du regard, se mordant légèrement la lèvre, frémissant pour se remettre des émotions qui venait de parcourir tout son corps. Elle était dans ce tourbillon de plaisir et ne cherchait pas à vouloir fuir, elle désirait même si enfoncer encore plus, elle voulait ressentir à nouveau les sensations qu’elle avait sentie peu de temps avant, elle allait se les procurer. Lentement sa langue passa sur ses propres lèvres pour les humidifier légèrement, son regard analysant encore un peu l’incube, gardant même son regard qu’elle que seconde sur le membre viril du vil tentateur. Lentement son regard revint vers les yeux du Démon quand il se mit à doucement masser ses seins.
C'est un très bon début, vraiment. Me voilà fier de toi, et voici ta récompense
Elle eut une légère rougeur à ses joues alors qu’il reculait, la jeune femme échappant un léger soupire de désaccord, mais lorsqu’il vint couper le reste de son haut elle poussa un soupir de soulagement. Le tissu glissant doucement sur sa pâle peau pour finalement tomber au sol, la libérant d’un fardeau. L’incube fit disparaitre la dague, posant à nouveau ses mains sur ses seins, elle eut un nouveau frisson alors qu’il se mit à les masser, un léger soupir glissant de ses lèvres.
Mais ça n'est pas encore assez.
Son sourire, son mordillement de lèvre fit frémir la pauvre Vampire. Vil Incube, il faisait perdre la tête à la pauvre vampire qui désirait toujours plus de sensation, lentement la vampire se mit à penser, tentant de résister à l’emprise de tout ce plaisir qu’il lui faisait subir. Lentement elle revint mordre sa lèvre, se collant un peu plus à lui, plaquant légèrement son bassin contre celui de l’incube, sentant cette forme si bien dessiner se coller contre elle, lentement et avec grâce elle glissa ses doigts sur le torse du Démon, chaque caresse qu’elle lui donnait était plaisante pour elle, adorant cette petite sensation dansante sur ses doigts.
Lentement la vampire usa un peu de sa force pour faire glisser le démon juste qu’à son lit, le poussant dessus, pour lentement et avec grâce aller par-dessus lui, l’observant alors que c’était elle qui prenait un air légèrement supérieur, se mordant la lèvre sous l’excitation, ses bras de chaque côté du visage parfais de l’Incube. On pouvait voir les crocs de la vampire alors qu’elle avait la bouche légèrement ouverte, son regard dévorant l’homme comme s’il était sa proie.
« Mmh… Vous sentez si bon mon cher Démon… »
Lentement elle glissa ses lèvres vers le cou de la créature, posant un baiser dessus et fit effleurer ses crocs contres cette peau à l'allure si tendre…
« Vous me donnez le goût de vous…croqué… De goûter un peu de votre sang qui à l'air si délicieux. »
Un léger rire vint de ses lèvres à ses paroles, remontant son visage pour fixer l’être démoniaque droit dans les yeux. Elle désirait goûter au sang du démon, étant sure que le plaisir qu’elle en ressentirait à ce moment-là serait sensationnelle! Elle observait toujours le Démon, glissant ses lèvres sur son visage, effleurant légèrement ses lèvres avec les siennes, échappant un léger soupire sous le plaisir de cette acte, son bassin écrasant légèrement le membre de l’être sous elle, elle se tenait sur une main par-dessus le démon, glissant son autre main glisser sur sa peau, débutant par la nuque, puis lentement le torse d’un geste sensuellement tendre et… elle s’arrêta, résistant à la tentation d’aller toucher son membre.
« Mh… Oui, vous me donnez le goût de vous faire tant de chose… Je confirme que vos lèvres sont divines parlons même pas de votre langue...si...fabuleuse... si indescriptible... les dieux tentateurs doivent être jaloux de vous…J’en suis certaine, peu doivent vous résister… Mm »
Elle fit une pause, reportant sa main posée sur son torse à côté de la tête du démon. Puis droit dans les yeux elle l’observa, frémissant qu’à regarder son regard si magnifique :
« Et vous Démon… Qu’est-ce que vous désirez que je vous fasse… Mmh? Je désire faire tant de chose que je ne sais pas par où commencer… Guidez-moi… Goûter moi… Délivrer ce plaisir qui demande qu’à sortir de moi! Faites ce que vous désirer de moi!»
Elle eut un grand frison qu’à ses mots, frémissant de tout son corps, elle désirait tant sentir ses lèvres, ses doigts, son… atout sur elle. Elle était confuse dans tous les choix et dans toutes les possibilités de plaisir quasi infini! Elle résistait, mais désirait qu’il brise de lui-même la dernière partie qui tentait de lui résister.
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Vaelh, curieux de voir jusqu'où la vampire oserait aller, se laissa sagement repousser jusqu'au lit pour y basculer allongé. La voilà qui prenait de délicieuses initiatives, cette petite mortelle. Mais qu'elle veille à ne pas en faire trop. Le Démon était d'accord pour jouer, mais il restait maître de la situation, maître de cette femme, si bien que le petit air de fauve qui prend sa proie au piège ne lui plut guère. Vaelh n'était pas son casse-croûte. C'était elle qui allait se faire dévorer.
Pour l'heure, Vaelh passa son mécontentement sous silence, élaborant déjà de savantes et odieuses punitions. Pour commencer, il offrit sa gorge à la vampire lorsque celle ci s'y aventura en le complimentant, rien que pour la rendre plus affamée. Elle pouvait voir la jugulaire du mâle palpiter lentement mais puissamment, gorgée d'un sang démoniaques aux saveurs inédites et enivrantes. Il ne suffisait que de croquer cette chair à pleine dent, et elle pourrait se gorger de la vie du Démon jusqu'à plus soif. Un coup de dent, et ce sang bouillant pourrait glisser dans sa bouche, dans sa gorge. La tentation était à son paroxysme.
Et le regard que croisa la Vampire n'arrangea rien. L'or des iris du Démon flamboyait d'un appétit revanchard et taquin. Arashi pouvait y lire avec aisance toute la malice que le mâle s’apprêtait à déployer pour la punir de n'avoir su rester à sa place. L'aura du mâle vint envelopper l'esprit de la femme, et dès que celle-ci, involontairement ou pas, viendrait à s'imaginer de quelle corrections elle pourrait bien écoper, la scène se jouerait dans son imaginaire, si réelle qu'elle en perdrait pied. "Prend ça", pensa le tortionnaire nu sous elle, souriant lentement tandis que l'appétit de sa partenaire prenait des proportions démesurées.
Vaelh s'en tint là pour l'instant, laissant un bref répit à sa partenaire pour qu'elle termine de s'exprimer. "Peu" qui lui résistent ? Chez les dieux, peut être. Chez les mortelles, le Démon n'avait encore jamais rencontré l'exception qui confirme la règle. Au fond, il espérait qu'un jour il pourrait trouver une mortelle capable de lui résister ; pas en luttant bêtement contre le désir, mais en l'acceptant et en s'y refusant "sainement". Ce serait une rencontre intéressante. Ah, un jour peut être, pensa-t-il tandis que la jeune femme laissait ses caresses s'égarer sur sa chaude peau. En la fixant, Vaelh voyait qu'elle commençait à céder sous la faim qui l'écrasait. Il voyait les milles et une envies qu'elle voulait assouvir sans savoir par laquelle commencer. Mais qu'elle se rassure, Vaelh allait faire le premier pas.
A une vitesse proprement effrayante, le Démon retourna la situation à son avantage -littéralement-. En cela, il allongea la jeune femme sur le lit pour la dominer, comme elle le faisait quelques secondes plus tôt. Il la fixa un moment avant de se tenir droit, agenouillé juste vers son bassin. Alors, avec un talent sadique, il fit glisser ses mains de la taille de la femme jusqu'à cette petite robe fendue et serrée qui cachait encore sa nudité. Lorsqu'il parvint à la ceinture du vêtement, il s'en saisit avec délicatesse pour la soulever, y glisser les bout de ses doigts, et la faire descendre avec une lenteur absolument insupportable. Par moment, pour que le supplice n'en soit que plus douloureux, ses phalanges effleurait la peau de la vampire sous sa robe. Il ajouta même un sourire entendu, l'air de dire "voilà ce qui arrive lorsque l'on joue trop."
Mais... devinez quoi : ça n'était pas encore assez.
Toujours avec lenteur, Vaelh leva les jambes de la jeune pour les regrouper l'une contre l'autre sur son épaule. Dans cette posture, son bassin placé contre le fessier de sa proie, cette dernière pouvait sans problème s'imaginer le mâle qui allait et venait furieusement en elle, son intimité rendue d'avantage étroite par ses cuisses tenues l'une contre l'autre. Pour ajouter à l'érotisme d'une telle vision, le Démon imprima même un mouvement de va et viens très, très subtil, son membre pressant délicatement l'entre jambe encore dissimulée de la jeune femme.
Evidemment, si Vaelh avait mis sa partenaire dans une telle position, c'était d'avantage pour achever de la déshabiller. Puisque ses jambes étaient réunies, il put entreprendre de retirer cette robe, dernier rempart de la plus parfaite nudité de la jeune femme.
Et c'est à cet instant que le Monarque infernal décida de mettre en oeuvre son petit plan de vengeance.
Plutôt que de complètement déshabiller la femme, Vaelh fit glisser la ceinture de sa robe jusqu'à mi fesse de sorte à ce que, lorsqu'il reposa les jambes de la femme sur le lit après s'être décalé, la ceinture de la robe arrivait à moins d'un foutu petit millimètre de son bouton de plaisir, le masquant vraiment de justesse. le bougre avait bien calculé son coup ! La jeune s'était peut être imaginé quelques douces caresses sur ce point sensibles... Mais non. Il restait dissimulé de justesse. Le vicieux Démon sourit, se nourrissant de la frustration de sa victime. Pour qu'elle enrage encore plus, il fit glisser ses mains en une nuée d'indicibles caresses sur les zones de peau fraîchement révélée : ses hanches, son bas ventre... Et même son pubis. Et à chaque passage, la chaleur des doigts du Démon passait à moins d'un ridicule petit millimètre du clitoris de la Vampire, accroissant son désir au delà de toute mesure.
Et puis, juste histoire de la rendre complètement folle, le Démon vint s'agenouiller plus près d'elle sur sa gauche, prenant l'une de ses mains tremblantes pour a guider -lentement bien sûr- jusqu'à ses bourses. A peine eut-elle touché cette partie interdite de l'anatomie du mâle qu'un nouveau flot de douces vision vint la noyer, chacune mettant en scène autant de moyens pervers pour en drainer tout le délicieux nectar.
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La vampire observait le démoniaque être sous elle, elle le dominait de la manière qu’elle était placer, ses yeux rouges, observant le dorée de ces yeux, attendant une quel qu’onc réaction, mais c’était que le silence qui régna. Elle avait dit quelque chose de mal? Elle se sentit mal sur le coup, elle ne voulait pas que cette créature si séduisante, si délicieuse, si provocante lui en veuille, car elle désirait encore s’amuser avec celle-ci… Elle se mordit légèrement la lèvre, son regard partant de la gauche puis vers la droite, un nouveau mordillement de lèvre pour démontrer son état stresser, puis son regard vint sur le corps de l’homme, s’aventurant du torse jusqu’à son visage… ses lèvres… son nez… ses yeux. Qu’elle magnifique yeux dorées…remplies de malice…
Que voulais dire ce regard? Elle ne savait pas, mais pendant un instant un étrange sentiment la traversa, puis elle se mit à penser que s’il faisait qu’elle que chose pour la corriger de son geste qu’elle avait cru correct? Qu’est-ce que ça serait? Des idées lui vinrent et des images la frappèrent, douce images et terribles sensation qui lui parcourut tout le corps, mais qu’elle délicieuse sensation qu’elle ressentait! Elle désirait encore plus, chaque idée venait dans sa tête se réaliser, elle s’imaginait les scènes si réel, c’était tout simplement incroyable et si…si démoniaquement bon.
Lorsqu’elle reprit un peu plus le contrôle, le démoniaque être avait modifié leurs places, le dominé devint le dominant et celle qui avait voulue être la dominante devint la dominée. La vampire regardait le démon droit dans ses yeux et lentement il se mit à genou par-dessus elle, la regardant de toute sa splendeur. Arashi ce mordit la lèvre tout en observant le cruel être qui se tenais sur elle. Agenouiller si près de son bassin, elle eut un frison en imaginant de délicieuse scène, son regard qui se faisait désireux fixait l’incube, attendant une réaction qui devait venir, ses doigts caressant alors sa peau, descendant cruellement lentement vers le restant de sa robe, seulement le bout de ses doigts vint caresser sous cette robe qui devenait beaucoup trop gênante à cet instant. Le regard du démon qui l’observait, semblant vouloir dire tant de chose pour démontrer qu’elle n’aurait pas dû jouer avec le feu, qu’il ne fallait pas jouer avec, mais bien ce laisser prendre par lui, qu’elle avait été d’avoir cru un instant pouvoir tenter le diable…
Il leva ses jambes, à ce moment elle trouva cela étrange. Ses jambes bien placer sur l’épaule du démon, elle sentie la virilité de l’homme caresser son entre jambe encore cacher. Elle frémit sous la sensation, se mordant doucement la lèvre sous l’envie. Qu’elle terrible incube, donner tant de plaisir avant même d’avoir passé au chose sérieuse… Lentement il descendit sa robe, sa ceinture arrivant à la moitié de ses fesses, puis il arrêta, posant ses jambes sur le lit, sa robe cachant directement cette petite zone de plaisir, elle eut un tremblement de rage en le sentant cacher de justesse cet endroit. Avec plaisir, le démon caressa ses hanches, son ventre et même son pubis, mais il n’allait jamais sous la zone cacher, frustrant la polymorphe qui en désirait tant.
Puis cruellement le démon se plaça à côté d’elle, plus précisément à gauche d’elle. Le regard de la vampire regarda l’homme lui prendre sa main qui tremblait doucement d’envie, oui elle bouillait considérablement, c’était la première fois qu’on lui donnait autant d’envie! Lentement il emportait sa main à cette endroit que peu d’homme laissait toucher cette zone par une femme. Le bout de ses doigts effleurant cette douce partie et le dernier assaut de plaisir vint, tant de scène, autant délicieuse que magique chaque venait la saisir. Elle tremblait, bouillait d’envie alors que chaque scène démontrait les façons pour elle de pouvoir lui faire sortir tout ce nectar. Tout son corps le demandais, elle désirait les lèvres de l’incube sur son corps, se membre qui pourrais la saisir, elle se mordit les lèvres, fermant les yeux un instant et les entre-ouvrit doucement, l’observant.
Avec douceur elle se redressa un peu. Ses doigts se posant doucement sur sa peau, glissant avec adresses sous sa ceinture et lentement elle glissa le reste de sa robe en bas de ses jambes, laissant découvrir son corps complètement nue. Elle observa l’incube et lentement elle s’approcha avec timidité et envie de l’homme et se mordit la lèvre.
« Pourquoi être si cruel avec moi? Je vous désire tant et vous faites en sorte que j’ai encore plus de désir… Et pourtant… c’est bien la première fois qu’on me fait autant d’effet! »
Elle était près de Vaelh, elle pouvait sentir son souffle envoutant, frôler son corps avec le sien, mais elle n’osait pas toucher ce corps qu’elle désirait tant, elle tentait encore de contrôler ses pulsions, mais elle avait déjà sombré depuis longtemps dans l’abime de la luxure, elle n’avait qu’une idée dans la tête et c’était de faire diverse chose coquine avec cet être démoniaquement délicieux. Le regard de la vampire fixait l’être de son regard rougeâtre, l’analysant doucement telle une douce sucrerie, doucement sa main vint caresser sa propre chevelure blanche qu’elle glissa qu’elle que dérangeante mèche derrière son oreille, elle mordilla doucement sa lèvre d’un geste qui se voulait sensuelle et lentement elle leva ses mains pour toucher le torse parfait de l’être devant elle, elle osait le toucher, toucher se torse délicieusement parfait…
Son regard se leva lentement vers le visage de l’incube, son regard semblait presque demander la permission pour pouvoir le toucher plus, pouvoir assouvir se désire si puissante qui la frappait constamment depuis quelque minute.
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Vaelh était dans son élément. Il baignait dans cette violente onde de désir qui irradiait de la jeune polymorphe. Sa peau, sa conscience, tout son être s'embrasait tandis qu'elle subissait la plus délicieuse des tortures. L'envie faisait vibrer son corps, palpiter son coeur, et plus rien ne semblait pouvoir la rappeler à la sagesse. A présent, le vil Démon en était sûr, il pouvait disposé de la jeune femme comme bon lui semblait.
D'ailleurs, comme pour faire écho à cette pensée purement lubrique, la polymorphe n'y tint plus et quitta l’inconfort de sa robe pour signifier son impatience. L'Incube ne se fit certainement pas prier pour inspecter chaque centimètre carré de sa peau nu ! Il commença par ses lèvres qu'un souffle surchauffé maintenait entre ouvertes, puis poursuivit par sa gorge tendue qui suppliait d'être bombardée de baisers. Comme tout était permis, ses yeux glissèrent sur les épaules de la jeune femme, puis sur sa poitrine. Avec une fin sourire, il en approcha ses lèvres en fixant sa victime d'un regard affamé... Mais ne fit que balayer chaque sein d'un souffle sensuel tandis que sa bouche ne daignait pas franchir le peu de distance qui lui restait pour se repaître de cette chair ferme. Il s'amusa de cette frustration cuisante qui brûlait le coeur de son amante, il percevait toute la souffrance de son attente ; ah, pauvre d'elle. Elle n'était pas au bout de ses peines.
Après un instant, le Démon consentit à cesser son petit jeu pour franchement poser ses commissures droit sur le coeur de la femme. Il y déposa un baiser dans un soupir torride tandis que sa main entra dans la danse en partant à l'assaut du sein laissé libre. Pour déstabiliser la polymorphe, Vaelh usait de deux caresses très dissemblables : il bombardait le mont de chair qui cachait le coeur de la femme d'interminables rafales de baisers d'une douceur oniriques, légers, chauds, venant parfois gratifier cette petite extrémité rose d'un coup de langue ou d'une succion ; quand au seins droit, sa main le pétrissait avec fureur, avec un désir qui se muait en violence perverse. A bien observer, l'Incube semblait s'amuser à montrer qu'il pouvait tout aussi bien être le plus doux des compagnons que le plus vigoureux des amants. Deux façons de faire, deux façons de prendre cette petite mortelle. Il semblait vouloir que la mortelle se prononce en faveur de l'une ou l'autre de ces méthodes.
Le Démon aimait offrir la possibilité de choisir ; ou du moins, l'illusion du choix. Pendant qu'Arashi se débattait pour rester lucide et décider laquelle de deux méthodes érotiques elle préférait, Vaelh se disait qu'il pourrait aussi bien lui faire goûter au deux, avant de passer par toutes leurs déclinaisons possibles jusqu'à la voir capituler d'épuisement. Il la voyait déjà avachie et vaincue sur le lit, vibrante des vestiges d'orgasmes improbables. Telle vision était plaisante, si bien qu'il la partagea mentalement avec sa victime pour lui donner encore plus faim. Elle pouvait s'y voir allongée sur le côté, son mâle près d'elle avec son membre encore raide qui achevait de déverser sur elle son divin nectar.
Mais avant d'arriver jusque là, Arashi devait devenir plus folle de désir qu'elle ne l'était déjà. A peine eut-il cette pensée que l'Incube passa à la vitesse supérieure, parant ses caresses d'un voile de magie infernale qui vint sensibiliser la peau de sa victime. A chaque nouveau passage, le plaisir l'assaillait via des choc brutaux, portant son corps à un niveau de sensation inimaginable. Peut être qu'à chaque seconde qui passait, Arashi devait se dire qu'il n'était pas possible qu'elle puisse sentir d'avantage de plaisir à même sa poitrine ; pourtant, chaque nouvelle caresse du Démon brisait cette fragile certitude. Il voyait bien que ses talents réchauffaient la femme comme jamais elle ne l'avait été, et il s'en délectait. Sa langue se mit même à venir titiller les extrémités délicatement tendues de ses seins comme elle l'aurait fait pour... Une toute autre partie d'elle, bien plus sensible.
Puis, avant qu'elle ne perde la tête, il se redresse pour se tenir agenouillée entre ses cuisses qu'il écarta sans ménagement. Il marqua une pause, retournant à la jeune femme un regard chargé de malice et d'une pointe d'envie, avant de se saisir de sa main pour la guider jusqu'à son membre. Avec patience et lenteur, gardant sa main dans la sienne, il la guida dans une longue série de caresses à la fois sensuelles et fermes. Avec un incommensurable délices, la polymorphe pouvait sentir toute cette puissante vigueur qui investissait lentement ce sexe qui glissait contre la peau de sa main. Il était bouillant et le serait d'avantage d'ici quelques instants si elle s'appliquait...
N'était-ce pas encore plus facile de s'imaginer quelques coquineries inavouables alors que cette délicieuses sucrerie était à même sa paume ? N'était-il pas encore plus aisé de s'imaginer mille et un procédé pour la vider de son chaud nectar ? N'était-il pas douloureusement délicieux d’échafauder autant de plans pour qu'un tel membre, lorsqu'il sera on ne peut plus raide, serve d'outil de plaisir ? Tout était là, à porté de main. Plus d'artifices, plus de torture. Il lui suffisait de rendre ce membre raide pour en disposer comme bon lui semblait.
Après un moment, Vaelh lâcha la main de la mortelle pour la laisser agir seule. Il lui lança un regard encourageant avant de poser sa main sur son entre jambe, sa paume écrasant son petit bouton de plaisir. Immédiatement, le plaisir atteignit des sommets. La main du démon se mit à bouger pour que l'entre jambe de sa victime se réchauffe d'avantage tandis qu'il la fixait en se mordillant les lèvres. Alors, seulement maintenant, il répondit à sa question :
Je suis "cruel" pour deux simples raisons. Parce que ça m'amuse. Et parce que j'en ai envie.
C'était aussi simple que ça. Son sourire s'étira alors que sa paume se fit plus lourde, plus caressante, plus fougueuse. Il semblait se demander à quelle sauce il allait dévorer son repas.
Ce petit instant de latence, la jeune femme pouvait le mettre à profit pour agir.
-
Les tortures, les tortures si cruelles que cet Incube lui faisait subir…. Son corps tremblait doucement sous ces caresses, son regard observant du coin des yeux ce qu’il faisait, il faisait qu’observer son corps désormais enfin nue. Mais ce cruel jeu, ne faisait que la rendre plus désirante de poursuivre leurs jeux, elle en voulait plus, toujours plus, elle voulait se laisser au jeu. Aller Vaelh, fais la succomber encore plus à tes charmes, elle ne désire que cela, sombrer au plus profonds des abysses de la luxure. Montre lui ce qu’un Incube est capable, montre lui la plus grande des extases.
Finalement… Il passa à l’action. Sa bouche posait ses baisers sur l’endroit situant son cœur, un cœur qui battait fortement, désirant sentir toujours et toujours plus de ses baisers, elle frémissait sous cette sensation et sous les soupires que l’Incube faisait, provoquant dans le corps de la polymorphe mainte désir, cette envie prenant toujours et toujours plus d’expansion en son corps, à chaque caresse, elle en voulait encore plus. Vœux accordés, la main du tentateur vint se mêler au jeu dans une autre caresse allant caresser son autre sein laissé vacant, deux caresses si différente et pourtant qui semblait si bien s’accorder, provoquait maint frison, maint plaisir. Un plaisir qui se faisait délicatement entendre de la bouche de la vampire qui laissa de léger soupire naître, léger, peu auditif, mais bien présent. Qu’elle caresse elle aimait le mieux? C’est si complexe, si impossible à choisir quand les deux sont plaisante et nous rendes folles d’envie dans avoir plus!
Elle pensait que de telles caresses puissent être tout ce que pouvait donner en caresse l’incube, mais grave erreur, il ne faut jamais douter d’un Incube dans son domaine de la luxure. Alors qu’il continuait ses caresses, Arashi sentit son corps devenir plus sensible, les caresses devenant alors encore plus délicieuse qu’elle l’était déjà, cette fois, le souffle de la vampire se fit bien entendre, le soupires de plaisir qui sortait des lèvres d’Arashi. Son regard fixant l’être plaisant. S’était impossible qu’elle puisse ressentir mieux et pourtant l’Incube, parfait incube que voici savait augmenter se plaisir pour forcer la vampire à démontrer verbalement se plaisir. Elle allait devenir folle s’il continuait à la toucher ainsi, si plaisant si délicieux, si démoniaque.
Si cruel et pourtant il se fit bon en arrêtant les caresses qui la faisait sombrer encore plus dans ce tourment de plaisir. Elle l’observait toujours de son regard doux, désirant, plaisant, luxuriant. Il était là, à genoux entre ses jambes qu’il avait écartées, le regard de la vampire ne put s’empêcher d’aller à la rencontre de son membre, l’observant, le détaillant, le désirant. Puis elle leva son regard pour regarder le tentateur né, son regard ne pu que la faire frissonner encore plus d’envie. Elle ne voyait en ce moment que lui en elle, désirant connaître les tourments d’une véritable luxure sans faille.
L’homme prit sa main, l’observant alors la guider, guider cette main sur son membre. Une rougeur vint timidement se placer sur les joues pâles de la vampire. Alors qu’il garda sa main dans la sienne, il lui fit appliquer des mouvements, la vampire imaginant alors maintes scènes plaisantes et fortes de luxure. Elle savait qu’elle devait se forcer pour faire en sorte que son membre devienne une forte fierté, que lorsque sa raideur sera au maximum, qu’elle pourra en profiter comme elle le désirait, l’objet de ses fantasmes en cette soirée particulière pourra être atteignable, elle voulait tout de lui en ce moment… Tout et elle fera tout pour l’atteindre.
Il lâcha sa main, signe qu’il désirait qu’elle fasse ses mouvements par elle-même, qu’elle applique de ses caresses par elle-même ce qu’elle fit, de doux et lentement mouvement, appliquant chaque mouvement pour que chaque mouvement soit une nouveauté, une sensation de plus. Elle ne voulait pas qu’il soit déçu.
Il osa alors toucher cette endroit si privée d’elle, cette paume posée sur son entre-jambe, plus exactement sur cette partie si plaisante qu’est son petit clitoris. Elle frémit doucement à cette sensation alors qu’il l’écrasa, un soupire sortie de ses lèvres alors qu’elle observa l’incube de son regard chaud. Cette main qui bougeait, l’air de l’incube qui se mordait la lèvre si… provocateur ne faisait qu’accroitre le plaisir de la vampiresse.
« Je suis "cruel" pour deux simples raisons. Parce que ça m'amuse. Et parce que j'en ai envie. »
Ses paroles avaient fait sourire la vampire, un nouveau soupire des plus désirant sortant du plus profonds d’elle alors que sa main se fit plus délicieuse dans ses touchés, provoquant mainte décharge de plaisir dans tout son corps. Elle soupira doucement de plaisir, elle appréciait tant ses caresses qu’elle dût se faire violence pour se concentrer sur ce chaud membre offert à elle. Elle se mordit doucement la lèvre en fixant ce membre. Qu’allait-elle faire?
La vampire se demanda si elle devait oser poser sa bouche à se membre, elle ne savait pas trop, devait-elle osée? Elle eut de lourd frison qui parcourut son corps rien qu’à y penser, sa main tant qu’à elle, continuait ses mouvements. Parfois c’était que de lents mouvements qui rapidement après allait plus rapide, parfois un peu plus fort, d’autre fois moins, elle variait chaque rythme pour que l’Incube puisse apprécier, elle espérait en tout cas qu’il aimait.
Lentement elle glissa comme elle pouvait son autre bras pour aller caressa un peu son membre pendant que son autre mains était occuper à faire ses mouvements, puis lentement cette nouvelle main vint caresser avec une certaines timidités ses bourses, osant les touchés avec délicatesse. Le regard de la polymorphe montrait une certaines perversités et dans sa tête une multitude de plaisir avec ce membre une fois dressé pourrais lui causer, elle se mordit encore une fois la lèvre.
« Faites-moi subir avec force votre fierté… Cher Incube… Faite moi souvenir de cette soirée pour tout ma vie... Faites moi rêver… »
Elle observa l’incube, se demandant s’il allait répondre à sa requête.
-
L'esprit de sa victime se fissurait, c'était aussi évident que le fait qu'elle prenait un plaisir monstre à flatter le gros membre qu'elle tenait en main de caresses irrégulières. Oh, elle pouvait bien jouer les timides tant qu'elle voulait. Même si on hésitation était sincère, l'Incube, aussi bon qu'il était, sentait avec une infinie clarté qu'elle avait l'intégralité de son esprit tourné vers la luxure. L'âme de la délicieuse polymorphe s'était vidé, son contenue drainé par l'envie, avant d'être gavé de fantasmes, d'extase, de sensations... La moindre de ses caresses sur le pieux qu'elle masturbait avec jubilation en était la preuve.
Le beau mâle pencha la tête en arrière, soulignant sans aucune honte tout le plaisir que lui donnait son amante en caressant ainsi sa virilité qui, sous les efforts persévérants de ses doigts fins et tremblants, se raidissait lentement. A mesure que ce sexe magnifique enflait directement contre sa paume, la polymorphe pu baver d'envie en sentant la chaleur qui l'irradiait et qui allait en augmentant. Elle pu en apprécier les reliefs qui s'affirmaient, se durcissaient. Elle pu fantasmer sur sa légère courbure vers le haut, sur la générosité de son gland luisant. Mais elle pouvait en être sûre : le mâle n'était pas à son maximum, loin de là. La jeune femme allait devoir -beaucoup- donner de sa personne, et comme pour l'y encourager, l'Incube vint subitement se coller à elle, lui imposant un corps-à-corps des plus torrides sans la moindre échappatoire.
Mais, tu commences à connaître Vaelh : ça n'était pas assez. Pas encore.
Alors, sachant exactement où et comment frapper pour qu'elle chavire un peu plus dans une mer de débauche, le mâle fit en sorte que son membre viril glisse entre les cuisses de son amante. Son sexe bouillant se retrouva plaqué de tout son long contre l'étroite intimité de la vampire sans la pénétrer, y exerçant une pression vers le haut qui venait pousser contre son antre et son clitoris. Vaelh riva son regard d'or en fusion dans les iris dilatées de sa victime, avant d'imprimer un mouvement de va et viens d'une sensualité purement inhumaine, impossible, imposant à toute l'entre-jambe de la jeune femme de longues caresses d'un érotisme sans égal.
Et ses sens brûlèrent, littéralement. Il n'y eut rien la première seconde, avant qu'un incendie de plaisir absolument effrayant ne vienne percuter Arashi en son point le plus sensible. La vague d'extase était arrivée comme une déferlante brute, emportant sur son passage raison et morale sans jamais refluer. Chaque misérable millimètre que le sexe du Démon parcourait contre l'étroite intimité affolée de la jeune femme procurait à cette dernière de titanesques chocs orgasmiques qui, non contents de ravager sa féminité trempée, s'étaient mis à remonter son corps comme un vicieux poison. Le plaisir la frappa dans les cuisses ; dans le ventre ; dans la poitrine ; dans le coeur. Et glissa sans merci jusqu'à son esprit, l'étouffant comme l'aurait fait un serpent constricteur immense.
Arashi appartenait toute entière à Vaelh de la plus érotiques des manières. Même sa conscience avait été conquise.
Mais Vaelh irait encore plus loin.
Le terrible Démon emprisonna la conscience de sa victime dans ses griffes mentales, la mettant face à elle même, spectatrices impuissante mais exaltée des assauts viriles que son corps ravagés subissait. Elle voyait sa chair à un niveau de détail époustouflant, captant chaque luisance de sa sueur contre ses muscles fins agités de spasme, mais surtout ressentait une seconde fois l'orgasme infini dans lequel son tourmenteur l'avait piégé avec une facilité vexante. C'était quelque chose de puissant, d'absolue, à la limite du mortel dans la mesure où reprendre son souffle était devenu presque impossible. Chaque allé, chaque retour du membre raide sous elle prolongeait le supplice. L'amplifiait. Le magnifiait pour l'inscrire à jamais dans sa mémoire fragmentée...
Alors une voix enjôleuse vint lui souffler du fin fond de son âme :
- Inutile de te demander si tu perçois ma raideur. Mais confie moi à quel point cela te plait. Oh oui, confie toi, ouvre toi toute entière... Laissa couler le tortionnaire d'un timbre chaud, suave. Il vint reposer ses mains sur la poitrine de la femme, la bombardant sans répit de caresses toutes plus osées les unes que les autres avant de venir écraser ses lèvres contre les siennes pour que le plaisir naisse sur toutes les zones naturellement sensibles de son corps en même temps.
*
**
Le temps semblait ne même plus s'écouler normalement. Le futur était-il passé, le présent avait-il encore un sens ? Combien de temps cela faisait-il qu'Arashi était prise dans un siphon orgasmique qui la vidait de ses forces ? Depuis une seconde ? De puis toujours ? Avait-elle encore le moindre souvenir de quoi que ce soit d'autre que la verge délicieuse qui se mouvait sous elle ? Se souvenait-elle seulement de son prénom ? Elle n'eut guère le temps d'y réfléchir puisque son amant désireux vint souffler à son oreille d'un timbre plus provocateur que jamais :
- Si je te dis que le plaisir que tu reçois est proportionnel à mon excitation, me crois-tu ? C'est pourtant la pure vérité... Alors voilà précisément ce que tu vas faire, chère amante : tu vas t'agenouiller au moment même où je t'en donnerais l'ordre, et en me montrant toute ta ferveur sans la moindre honte, en me gémissant ton envie de moi, tu prendre mon membre à pleine main pour le guider vers ta bouche. Donne lui ces quelques onces de raideur qu'il lui manque, donne moi l'envie d'écarteler ton étroitesse, et tu as ma parole que tu perdras l'usage de tes belles petites jambes galbées lorsque j'aurais finit d'aller et venir en toi après des heures et des heures de plaisir impossible. Et ne t'inquiète pas pour ton adorable petit sexe, il continuera de vibrer d'un plaisir plus doux quand mon membre sera passé de ton entre jambe à ta bouche.
Agis à présent. Fais le. Prend le entre tes lèvres, contre ta langue et ton palais. Mais gare à ne pas y planter tes petits crocs, ajouta-t-il sur une note de touchante taquinerie.
-
La polymorphe voulait chavirée, elle voulait sombrer dans cette abime sans fin qu’est celle de la luxure, elle voulait connaître au plus fin de plaisir, aux plus hautes sensations, au délice interdit. Elle voulait connaitre ce que cet incube était capable de faire, elle voulait savoir comment il allait la déguster! Elle en voulait plus, toujours plus, elle avait cette faim, cette envie qui tiraillait si fort son ventre, son corps, ses pensées, son âme! Tout son être demandait à cet incube de la faire chavirer encore plus qu’elle l’est déjà, de la faire devenir rien de moins qu’un objet de plaisir pour cette soirée, cette journée? Cette semaine, ce mois, cette année? Pour toujours…?
Ses doigts s’occupaient de cette digne partie de l’Incube, une partie qui pouvait faire jalousée bien des hommes, cette fierté qui faisait rêver bien des femmes et peut-être même des hommes, qui sait? Mais nous ne pouvons pas nous en empêcher, qui pourrait y résister? La vampire n’était pas dans celle qui pouvait résister à ce charme, elle subissait l’assaut et elle s’y laissait parfaitement emporter, docile. Chaque doigts détaillaient ce membre pour en connaître toute les formes, mais après chacun des mouvements c’était comme si c’était une nouveauté qui était sous ses doigts, toujours plus délicieux, plus chauds, plus désirant.
Les soupire de l’incube excitait d’avantage la pauvre Arashi qui tremblait légèrement sous ce plaisir qui augmentait. Sentir ce membre qui se durcissait était si formidable, si délicieux, si encourageant, cela la forçait à continuer et à tout faire pour être meilleur et entendre encore plus de ses soupires, de l’entendre encore plus montrer le plaisir qu’il ressentait à ses caresses. Elle observait se membre qui pourtant démontrait bien qu’il n’était pas au bout de ses surprises, qu’il pouvait devenir plus invitant qu’il ne l’est déjà. La vampire ce disait qu’elle pourrait goûter à se monde, faire subir sa petite bouche à se membre si tentant.
Mais le cruel incube, connaissant comme il était, il n’en avait pas assez, jamais assez, il en fallait plus et encore plus. Vaelh se colla contre le petit corps de la vampire, leurs chaleurs mutuels se touchant, mais cette de l’incube était si torride, si puissante, qu’elle en faisait presque baver la vampire. Son membre glisser entre ses cuisses, se mouvant contre son intimité, sans pour autant y entrer, y décrivant des mouvements comme s’il était en elle, caressant lèvre et son petit bouton de chair. Elle laissa un soupire sortir de ses lèvres rosâtres, son regard entrant dans lui de l’incube, le dominateur infernal qui contrôlait la docile dominée qui subissait avec plaisir.
Le plaisir était fort, puissant, n’étant pas juste entre ses jambes, non loin de là. Ce plaisir montait, encore et encore plus haut, parcourant chaque parcelle de son être qui en demandait plus et toujours plus, elle avait faim, faim de sensualité, faim de luxure, faim du corps de l’incube. Mais elle savait qu’il serait toujours cruel, il attendrait que le moment propice pour lui donner ce qu’elle désire, malheureusement. Mais en cette étrange soirée, elle appartenait à cet incube, oubliant passé, présent et futur, ne pensant juste à ce membre et à cet être face à elle.
Elle subissait les assauts, aussi bien physique que mental, mais elle se laissait allez, subissant sans chercher à se défendre, ce laissant aller dans ce torrent, augmentant son plaisir de seconde en seconde, grandissant son désir encore plus haut, à un point que jamais elle n’avait ressentie par avant. Elle désirait cet incube si cruel, elle allait l’avoir, elle se faisait une promesse que leurs corps serait unis en cette soirée électrisante. Elle espérait que jamais cette soirée ne terminera, elle voulait que ce plaisir vive toujours. Tout ce qui se passait était au-dessus d’elle, ce plaisir était si fort, si inhumain. Mais elle adorait l’inhumanité, avait de la misère à respirer sous ce plaisir qui se faisait toujours plus fort et plus parfait.
Puis l’incube vint glisser sa voix dans ce moment, glissant ses mots jusqu’au fond de son âme.
Inutile de te demander si tu perçois ma raideur. Mais confie moi à quel point cela te plait. Oh oui, confie toi, ouvre toi toute entière...
Elle allait répondre, oui elle allait le faire, ou du moins tentée de le faire. Mais l’incube au combien cruel en avait d’autre plan. Ses doigts agiles venant poser maintenant caresse à sa poitrine, lui faisant échapper des gémissements plaisant. Elle allait encore tentée d’ouvrir la bouche pour vouloir lui exprimer ce plaisir qui lui faisait plaisir, mais le parfait incube vint coller ses lèvres contre celle de la polymorphe, le plaisir devenant si fort qu’elle en perdit l’esprit, tout en continuant se baiser à l’allure de la perversion.
Elle fut à ce moment perdue dans le néant, elle ne voyait plus le temps passé… Le temps avançait t-il plus vite ou plus lentement? Les secondes étaient telle encore des secondes? Elle ne savait plus rien, mais en gros elle s’en foutait. Elle voulait continuer à subir ce plaisir. Leurs lèvres se séparèrent et il glissa les siennes près de son oreille, parlant d’un air provocant mais qui sonna si doux dans le creux de l’oreille de la vampire.
Si je te dis que le plaisir que tu reçois est proportionnel à mon excitation, me crois-tu ? C'est pourtant la pure vérité... Alors voilà précisément ce que tu vas faire, chère amante : tu vas t'agenouiller au moment même où je t'en donnerais l'ordre, et en me montrant toute ta ferveur sans la moindre honte, en me gémissant ton envie de moi, tu prendre mon membre à pleine main pour le guider vers ta bouche. Donne lui ces quelques onces de raideur qu'il lui manque, donne moi l'envie d'écarteler ton étroitesse, et tu as ma parole que tu perdras l'usage de tes belles petites jambes galbées lorsque j'aurais finit d'aller et venir en toi après des heures et des heures de plaisir impossible. Et ne t'inquiète pas pour ton adorable petit sexe, il continuera de vibrer d'un plaisir plus doux quand mon membre sera passé de ton entre jambe à ta bouche. Agis à présent. Fais le. Prend le entre tes lèvres, contre ta langue et ton palais. Mais gare à ne pas y planter tes petits crocs
Elle n’aurait jamais oser mordre dans cette délicieuse friandise. Son regard observa l’incube, elle se mordit la lèvre avec lenteur et dû se faire violence pour écarter leurs corps, elle le fit glisser dos contre les couvertures, la polymorphe fixant droit dans les yeux le séducteur incube puis avec lenteur et soupire elle posa un baiser à ses lèvres et débuta doucement à descendre ses lèvres pour caresser son corps, ses doigts caressant cette virilité avec plaisir. Agenouillé face à lui, son visage à présent si près de son membre, elle fit couler son souffle chaud contre cette fierté. Lentement son regard l’analysa, puis un petit sourire se dessina au cœur des lèvres, elle passa sa langue contre le bout de son membre un léger soupire se fit, les sensations étaient si forte.
Elle prit une respiration et rouvrit la bouche pour apposer ses lèvres contre son gland, sa langue caressant son extrémité alors que ses doigts vint sur son membre pour entamée des mouvements alors que sa bouche suçotait son gland avec plaisir, envie. Le corps de la polymorphe tremblant alors qu’elle semblait mouillé encore plus entre ses lèvres intimes, réclamant caresses. Lentement elle se mit à enfoncer son membre dans sa bouche, faisant de doux mouvement de sa bouche accompagnée de sa langue, sa main était là pour l’aider aussi, mais elle vint vite changer de placer pour caresser ses bourses du bout de ses doigts avec délicatesse, pendant ce temps sa bouche s’occupait de son membre, variant ses mouvements de sa bouche, y appliquant une ferme prise, suçotant le bout de son membre quand elle arrivait à son gland, l’enfonçant légèrement dans sa gorge pour lui offrir des sensations plus forte, elle tentant de variée les sensations, elle agirait ainsi jusqu’à ce qu’il lui demande quelque chose d’autre… Elle était à ce moment à lui, son corps ne répondant qu’à lui seuls en cette nuit de désire inhumain.
-
L'Incube s'offrit sans la moindre réserve.
Il répondit au baiser de son amante avec une violente ardeur, histoire de lui donner d'avantage de motivation pour la suite. Bien sûr, au passage, il ne manqua pas de lui souffler à quel point il lui procurerait un plaisir sans nom si elle se débrouillait bien. Comme il s'y était attendu, chaque geste de la vampire était un vibrant écho de ses désirs enfouis qui refaisaient surfaces de la plus impérieuse des manières. Il le voyait dans ses yeux, sur sa peau, et surtout dans ses caresses contre son large membre tandis que les lèvres de la délicieuse femme glissait sur la peau du Démon. En grand connaisseur, Vaelh sut pleinement apprécier le moindre mouvement désireux que la vampire lui offrait sur son point le plus sensible. Comme à son habitude, il ne chercha surtout pas à cacher son infini plaisir. Au contraire, il le communiqua à son amante en guise de récompense à ses premiers efforts :
- Hannmm... C'est excellent. Un véritable régal. Hmhm...
Sa voix chaude -littéralement- résonnait dans la pièce pour alourdir l'atmosphère déjà chargée de désir. Sans qu'il n'y réfléchisse, l'une de ses mains vint tendrement glisser derrière l'oreille de son amante lorsqu'elle mêla son souffle chaud à sa gâterie. C'est alors qu'elle osa un premier coup de langue pour éprouver cette imposante virilité pointée face à elle, pour elle. Son gland généraux et juteux semblait appeler à d'avantage de débauche... Et tout ça devint d'autant plus délicieux quand elle se donna à fond, n'hésitant pas à prendre la large sucrerie à pleine bouche pour la dévorer sans refréner ses appétits aiguisés.
L'Incube laissa s'échapper un long râle d'extase. La descente dans la gorge de la polymorphe n'était pas si profonde que ça et pourtant, les sensations étaient déjà là. Décidant qu'était venu le temps de se concentrer un peu sur son propre plaisir, il soupira pour se noyer dans sa magie noire, portant sa chair à un niveau de sensibilité qui aurait fait immédiatement craquer un mortel. Chaque allez et venu, chaque aspiration, chaque mouvement de la main de la polymorphe en devinrent des jouissances toutes plus explosives les unes que les autres...
Mais il en fallait plus.
La main que l'Incube avait laissé derrière l'oreille de son amante vint derrière sa tête pour s'emparer de sa chevelure, lui imposant de stopper tout mouvement pour se retrouver immobilisée avec ce gland généreux dans la bouche. Vaelh lui commanda de lever les yeux pour croiser son regard... Ainsi put-elle constater que le Démon avait parfaitement lu en elle, qu'il avait sondé son âme pour y lire un profond désir de soumission.
Un vaste sourire à la fois inquiétant et surexcité étira ses lèvres avant qu'il ne les mordille en grondant d'un timbre des plus autoritaire :
- Ta conscience s'ouvre aussi facilement que tes cuisses, petit jouet. Il plissa les yeux, passant d'emblée à un registre plus cru qui laissait clairement sous entendre qu'Arashi allait se faire posséder comme elle en avait toujours fantasmé. Cette bouche de pompeuse m'appartient, dès à présent. De même que cette paire de seins qui se languit de prendre ma large queue en sandwich, ou cette toute petite chatte -déjà !- trempée qui n'en peut plus d'attendre que je la remplisse sans douceur. Tu voulais chavirer ? Je vais carrément t'entraîner tout au fond de l'abîme.
Tu n'en remontera jamais.
Sur ces mots, la prise de Vaelh dans les cheveux de la jeune soumise se raffermit presque douloureusement, et il lui imposa en poussant sa tête vers le bas d'avaler le moindre centimètre de son membre. Il en frémit d'extase, la peau en feu, puis le fit remonter avec une lenteur délibérée.
- Tu vas prendre toute cette longueur encore, et encore.
Et encore.
Et encore.
Il l'entraîna à nouveau vers le bas. Puis en haut. Et en bas, ainsi de suite jusqu'à esquisser un mouvement de vas et viens d'une profondeur vertigineuse. Arashi pouvait le sentir : elle n'était même plus une amante, mais bien la possession d'un mâle infatigable qui allait la faire brûler vive sous une avalanche de jouissance. Sans la ménager, sans même daigner lui accorder un regard aimant, son mâle allait et venait dans sa bouche, dans sa gorge, comme si elle n'était plus qu'un objet de plaisir.
Plus rien ne devait compter pour elle, hormis cette verge à laquelle elle devait dédier son corps, son âme et sa vie.
Le Démon allait et venait dans sa bouche comme il l'aurait fait dans son sexe étroit. Chaque mouvement lui arrachait au minimum un souffle de plaisir, au mieux un râle d'extase. A présent, son membre magnifique ne pouvait plus être plus raide.
- Dans quel état me mets-tu... Voilà au moins un domaine dans lequel tu excelles. Tu sais quoi, je vais te donner une petite récompense, en plus du privilège immense de pouvoir continuer à me sucer.
Comme si de tels paroles osées avaient constitué une invocation éhonté, Arashi fut foudroyée. Sans la moindre transition, elle pouvait clairement sentir quelque chose s'insinuer entre ses cuisses. Un membre du calibre de celui qu'elle était contrainte de dévorer, qui se mettait à aller et venir en elle avec une force qui faisait écho à la violence que l'Incube déployait pour baiser sa gorge. Il n'y avait pourtant personne derrière elle, pourtant... Tous ses sens en feux lui signalait que son mâle la prenait tant par la gorge qu'entre les jambes.
De toutes façon, comme cette petite femme aurait eu la force d'esprit de s'interroger sur un tel phénomène au vu du plaisir auquel elle fut violemment soumise ? Le moindre mouvement en elle venait déjà déclencher des incendie d'extase pure et surchauffée, foulant du pied l'idée qu'elle avait pu se faire d'un véritable orgasme. Le plaisir était haut. Fort. Douloureux. Il allait en augmentant à chaque mouvement sans jamais cesser de croître, il poussait la femme dans ses retranchement, la noyant sous des coups d'extases qui se succédaient, se superposaient pour la détruire de l'intérieure.
Le plaisir, l'orgasme était devenu une drogue. Comment Arashi aurait-elle pu survire si tout s'arrêtait maintenant ? Serait-elle assez forte pour se passer d'un tel bonheur qui faisait vibrer jusqu'à ses os, son âme ?
Alors, pour cruellement imager une telle réflexion, l'Incube lâcha la tête de la Vampire au terme d'une descente pour souffler :
- Je suis las. Pompe moi toi même et plus fort que ça si tu veux que ce bien dans ton étroitesse ne cesse jamais. Et plus vite que ça.
-
Frison, doux frison traversant son corps, doux plaisir alors qu’elle s’occupait de son membre avec plaisir, elle aimait cela, elle aimait sans occupée, comme si c’était ce qu’elle désirait faire depuis toujours, le cœur de la vampire s’emballait sous toute les sensations qui se trouvait sous sa langue. Elle ferma légèrement ses yeux pour ressentir encore plus fort ce qu’elle faisait subir au délicieux Incube, elle cherchait à sentir chaque parcelle de sa peau encore plus, elle en voulait plus, toujours plus, ses mouvements toujours différent à chaque fois, dégustant cette fierté comme la plus délicieuse des sucreries.
Ses paroles étaient comme de les plus douces mélodie, résonnant dans la pièce pour frapper les tympan de la vampire avec force, faisant vibrer de plaisir le petit corps de la vampire qui continuait de gâter le délicieux tentateur. Sa voix, sa chaleur, son corps, tout l’attirait de cet être. Lentement elle sentit des doigts se poser près de son oreille, au bord de sa chevelure, telle une douce caresse qu’on ne voudrait jamais perdre, elle adorait cette sensation de pur plaisir à ce moment, ce membre en bouche au goût si unique, ses caresses derrières son oreille qui lui faisait de doux délice et les frisons dans son corps qui demandait d’avoir encore et toujours plus de sensation.
Les sons de l’incube, les soupirs qu’il laissai, les acclamations qu’elle sentait. Que diable elle en avait envie. Cet incube continuait de la faire sombrer à chaque petit mouvement qu’elle faisait sur cette fierté, chaque soupire qu’il laissait, chaque spasme qu’elle avait sans même se faire caresser. La vampire était au ange? Ou plutôt au démon? Qu’elle descriptif décrierais le mieux cette sensation? C’était purement impossible, il faut être un digne teneur de plume pour du moins essayer de décrire les sensations que la petite Arashi pouvait ressentir à se moment si puisant.
Puis cette main qui s’était logé derrière son oreille comme une douce caresse se glissa un peu plus dans sa chevelure, partant se cacher dans ses mèches verdoyante, elle frémit doucement alors qu’elle eut un léger froncement de sourcils quand elle le sentit se saisir de ses cheveux, faisant de sorte qu’elle dû arrêter de faire ses mouvements, elle lâcha une plainte de désaccord, elle voulait continuer à lui faire du plaisir. Elle suçotait doucement ce gland qui était la seul partit encore présent dans sa bouche, son regard se levant lentement pour entrer ses yeux dans le regard de l’incube.
Ce sourire qu’il affichait, indescriptible, elle ne savait pas comment le prendre, était-ce bon signe ou mauvais signe? Elle préférait ne pas imaginer, bien que des suites tout aussi délicieuse les unes que les autres se déclenchait dans sa tête. Il se mordilla la lèvre et il parla alors d’un ton de voix différent de celle qu’il usait avant.
- Ta conscience s'ouvre aussi facilement que tes cuisses, petit jouet. Cette bouche de pompeuse m'appartient, dès à présent. De même que cette paire de seins qui se languit de prendre ma large queue en sandwich, ou cette toute petite chatte -déjà !- trempée qui n'en peut plus d'attendre que je la remplisse sans douceur. Tu voulais chavirer ? Je vais carrément t'entraîner tout au fond de l'abîme.
Tu n'en remontera jamais.
Cette main serra encore plus ses cheveux, la jeune vampire fronçant légèrement ses sourcils. L’incube poussant alors sur sa tête, poussant pour lui faire prendre un peu plus ce membre, l’enfonçant toujours plus, la langue de la vampire caressant le membre pendant sa descente, avalant tout le membre, puis avec la même lenteur il la fit reculer, la femme s’occupant comme elle pouvait de son membre.
- Tu vas prendre toute cette longueur encore, et encore.
Et encore.
Elle l’entendait encore dans le creux de sa tête ses mots : Et encore… Qui résonnait fortement. Il la manipulait comme il le désirait, mais elle restait docile, se laissant faire, se laissant usée comme un objet. À ce moment elle l’était, elle se considérait esclave de cet incube, elle ne pouvait qu’acceptée et appréciée ses traitements. Ses mouvements qu’il faisait de lui-même, ses allés et venus, elle jouait sur son membre de sa langue pendant qu’il s’occupait à lui faire bouger la tête, elle ferma un peu les yeux pour ce concentrée, puis les entre-ouvrit, frissonnant. Elle appréciait sentir son membre devenir encore plus dure, montrée cette fierté digne de l’incube, entendre aussi ses sons si délicieux et plaisir, qui résonnait comme la plus délicieuse des mélodies.
- Dans quel état me mets-tu... Voilà au moins un domaine dans lequel tu excelles. Tu sais quoi, je vais te donner une petite récompense, en plus du privilège immense de pouvoir continuer à me sucer.
Ses paroles terminées, elle sentit qu’elle que chose passer entre ses cuisses, glisser entre ses lèvres, entrée… Elle lâcha un gémissement étouffer en sentant ce membre dans sa bouche l’étouffant et se ‘’membre’’ qui n’était pas présent qui entrait et sortait en elle, et pourtant aucune personne était là, mais les sensations était pareil. Elle sentait tellement de plaisir à ce moment, son esprit chavirant légèrement, elle soupirait quand elle avait un peu d’air pour pouvoir respirer. Tout son corps réagissait avec plaisir à tout ce mélange de sensation, la vampire ne savait pas ce qu’elle ferait si tout s’arrêterais aussi vite, elle était à ce moment pleinement posséder par le plaisir que lui offrait cet être ténébreux. Ses seuls pensés à ce moment était cette chose qui lui faisait tant de bien entre ses jambes et se membre qu’elle se faisait entrés dans la bouche avec plaisir.
Lentement ses mouvements s’arrêtèrent après une interminable descente… Elle trembla, déconcerter, paniquant légèrement à ce moment, son cœur battant fortement.
- Je suis las. Pompe moi toi même et plus fort que ça si tu veux que ce bien dans ton étroitesse ne cesse jamais. Et plus vite que ça.
Elle leva son regard vers celui de l’incube, elle était toujours tremblante, perdue. Elle enleva doucement le membre de sa bouche, léchant avec ardeur son gland, décrivant chaque forme du bout de sa langue, puis reprit de charmant bout pour le suçoter avec plaisir alors que ses doigts faisait des va et viens sur son membre pendant qu’elle suçotait cet extrémité comme le bonbon sur son bâton. Elle ferma un peu les yeux alors qu’elle reprit ses mouvements de plus en plus vite sur son membre, l’enfonçant jusqu’à sa gorge, passant même le pas pour faire des gorges profonde à se membre. Faisant signe comme si elle avalait pour pouvoir serrer un peu plus se membre.
Elle rouvrit ses yeux, levant son regard vers Vaelh, petit sourire coquin aux lèvres alors que ses mouvements sur son membre se fit de plus en plus vite, encore plus délicieux, plus sensuelle. Elle ne voyait maintenant que sa fierté et l’homme qu’elle faisait plaisir. Elle voulait faire subir un fort plaisir à cet homme pour avoir en retour un fort plaisir, subir toujours et toujours plus pour se perdre jusqu’au lendemain, espérant revoir cet incube.
Elle voulait subir encore…
Encore…
Encore… et toujours plus…
Disparaitre dans l’abîme du plaisir… Chavirer dans cet abîme...
Encore…
-
A n'en pas douter, la jeune polymorphe donnait tout ce qu'elle avait. Elle s'était abandonnée, avide de se laisser posséder par cet expert qui l'utilisait comme le plus érotique des jouets. Et très sincèrement, de voir la jeune femme aussi dévouée, appliquée et affamée tandis qu'elle démontrait l'étendue de ses compétences ne laissait pas l'Incube indifférent.
Loin de là.
Ressentir avec une telle force les mains délicates de son amante aller et venir frénétiquement sur son pieux de chair tandis qu'elle en suçotait l'extrémité était une expérience si jouissive qu'elle frôlait le paranormale. Vaelh le sentait d'ici : chaque mouvement, chaque souffle, chaque gémissement de la vampire faisait écho à la seule pensée qui subsistait dans son esprit brisé : rendre ce gros membre le plus raide possible, tant pour le plaisir des yeux que pour pouvoir s'amuser avec.
Dans ses manœuvres, elle était devenue absolument adorable.
Et comme elle travaillait remarquablement bien, elle put sentir ce membre se tendre rien que pour elle ; quelques sucions et allez-retours plus tard, le sexe du mâle se dressait de toute sa glorieuse taille, présentant une subtile et élégante courbure qui venait souligner sa puissance et sa raideur.
Soupirant d'un plaisir non feint, l'Incube posa un doigt sous le menton de la vampire pour lui intimer d'éloigner son visage de ce large objet de désir qu'elle avait fait s'ériger. Ainsi, elle put prendre le temps de laisser ses yeux dériver sur toute sa longueur, appréciant le moindre de ses reliefs, la luisance de son gland... Pendant son observation, elle put percevoir que les doigts du Démon lui offrait une brève caresse contre la gorge, tendre petite récompense pour saluer sa performance.
- Quel entrain que le tiens... Tu te rends compte de l'état dans lequel tu me mets ?
Il ne lui laissa pas le temps de répondre, préférant finalement reprendre possession de son visage pour lui commander de reprendre cette délicieuse et profonde fellation qu'elle appliquait tout à l'heure -l'Incube ne s'en lassait pas-. D'ailleurs, il fit redoubler d'ardeur cette sensation de mouvement entre les cuisses de la jeune femme, la poussant à ses limites pour le simple plaisir de la voir se convulser et gémir d'extase.
- J'aime follement cette facette perverse de toi qui laisse toute considération derrière elle pour se vautrer dans la luxure. Oh, comme tu ne vas pas être déçue... Ce gros membre à besoin de plus d'attention à présent, et je suis sûr que le faire remplir tes cuisses qui s'ouvrent si facilement le contenterait.
Sur ces mots, la sensations de violente pénétration dans l'inimité de la jeune femme cessa net, tandis que le mâle lui tira la tête en arrière avec assez de lenteur pour ne jamais cesser de la fixer, soulignant clairement qu'il la possédait. Alors, sans rien qu'il ne dise, Arashi comprit où il voulait en venir. Si elle voulait de nouveau sentir cette large présence dans son petit sexe, il n'y avait plus qu'une seule solution : s'empaler sur cette large hampe palpitante, que Vaelh caressait avec ostentation, le plus vite possible avant qu'elle ne devienne folle de manque.
Le Démon lui sourit juste avant de la libérer pour lui souffler :
- Je te préviens : si tu n'agites pas tes hanches sur mon pieux comme une véritable déesse, ton si petit sexe va resté insatisfait jusqu'à la fin de tes jours.
Sur ces mots, Vaelh libéra son amante, tenant sa virilité dressée pour qu'elle s'y abandonne. Très sincèrement, Vaelh comptait vraiment sur elle pour qu'elle fasse honneur à cet état d'excitation dans lequel elle l'avait plongé.
A elle d'agir à présent
-
Mouvement après mouvement, ses lèvres prenait forme du membre de Vaelh, sans regret et avec envie, elle mouvait sa bouche sur ce membre si délicieux, elle aimait cela, elle adorait même, elle en voulait encore et toujours plus, elle voulait sombre dans le meilleur des plaisirs, encore, plus plus… plus et devenir encore plus accro à cet incube. Elle voulait sentir encore plus de ses gémissements de plaisir, plus de sa voix, plus de ce corps… Elle voulait appartenir pendant cette soirée à cette créature si démoniaque… La bouche de la vampire découvrait sensation par-dessus sensation à chaque fois qu’elle prenait en bouche son membre, comme si le membre prenait un goût différent après chaque mouvement.
Avec un plaisir elle continuait de plus en plus vite ses mouvements, elle sentait ce membre ce tendre doucement, de plus en plus, elle adorait cela. La vampire continuait à désirer à chaque fois qu’elle sentait cette fierté s’épaissir, se tendre un peu plus, que les formes de cette immensité si délicieuse se découvrait grandement. Qu’elle délicieuse soirée, elle qui s’attendait à une soirée bien ennuyante à dormir, la voilà au coté d’un incube si délicieux, si bon, si… si démoniaque…
Mais elle adorait cela….
Lentement elle sentit les doigts de l’incube glisser sur son menton, un frémissement parcourut le corps de la vampiresse qui se demandait à cet instant ce qui se passait. Elle comprit qu’il voulait qu’elle retire sa bouche de sa gourmandise, elle fut légèrement déçue, mais regarda l’homme inquiète légèrement. Son regard ne put s’empêcher pour ce penser et observer ce membre, cette fierté, cette sucrerie si parfaite, elle adorait cela. Cette vue, cette perfection, elle aimait terriblement cela. Elle aimait voir l’effet qu’elle lui avait donnée, sa salive encore accrocher à son membre, c’était si bon, si beau, si délicieux…
Elle ne voulait pas que sa arrête… Elle voulait continuer à chavirer.
Encore…
Les doigts du démon caressait sa gorge, presque comme s’il disait que ce qu’elle avait fait à son membre était bon… Elle fut heureuse de ce compliment, elle afficha même un sourire, levant son regard vers le démon, l’observant de son grand regard remplie de désire, ce qu’elle aimait cela. Elle aimait voir l’air sur le visage de l’incube, cela lui faisait tant d’effet plaisant.
- Quel entrain que le tiens... Tu te rends compte de l'état dans lequel tu me mets ?
Elle afficha un léger sourire sous la remarque que l’incube lui fit, elle aima ce commentaire, celui-ci lui fit extrêmement plaisir. Puis les doigts de l’incube ce glissant de sorte à ce qu’elle reprenne le membre dans sa bouche, ce qu’elle fit avec plaisir, reprenant ces douces gorges profondes, elle trembla alors qu’elle sentie ce plaisir augmenter entre ses jambes, la vampire lâchait des gémissements plaisant à chaque mouvement qu’elle sentait en elle, étouffer par les mouvements de va et viens qu’elle faisait sur le membre. Elle adorait ce sentir prendre de la sorte pendant qu’elle faisait prenait soin du membre de l’incube, cette sensation de ce faire emporter dans l’extase autant entre ses jambes que de la bouche, c’était un plaisir inexplicablement bon.
- J'aime follement cette facette perverse de toi qui laisse toute considération derrière elle pour se vautrer dans la luxure. Oh, comme tu ne vas pas être déçue... Ce gros membre à besoin de plus d'attention à présent, et je suis sûr que le faire remplir tes cuisses qui s'ouvrent si facilement le contenterait.
Et d’un coup, tout ce plaisir entre ses jambes arrêta sous la tristesse de la jeune femme qui ne pouvait maintenant se contenter que du membre dans sa bouche, qu’elle léchait, suçotait, lapait ce membre avec adoration, mais le cruel Incube, força la vampiresse à reculer cette tête, leurs regard ce croisait tout alors qu’elle reculait, l’incube ne parlait pas et pourtant elle comprenait ce qu’il voulait… Elle comprenait parfaitement et rien que d’y penser elle en devenait folle d’envie. Le démon en plus caressait ce pieu pour la fière désirée encore plus que de la prendre, la prendre le plus vite et profonds possible… Oh, oui c’est ce qu’elle désirait. Le démon souriait, soufflant doucement :
- Je te préviens : si tu n'agites pas tes hanches sur mon pieux comme une véritable déesse, ton si petit sexe va resté insatisfait jusqu'à la fin de tes jours.
Il tenait son membre, libérait la vampire, son regard l’appelant, son membre dressé réclamait sa chair, la vampire réclamait le pieu. Elle se mordit sensuellement la lèvre, fixant le démon alors qu’elle s’approchait de l’incube, ce levant à genou, s’approchant lentement, passant ses jambes de chaque côté de celui-ci. Elle afficha un sourire séducteur alors qu’elle glissa ses lèvres intimes si près de son membre, ses doigts allant tendrement sur son visage qu’elle caressa, elle en vint même à frissonner sous l’envie, mais elle résistait, elle voulait se faire violence pour le prendre, ce donner encore plus envie pour mieux succomber.
« Vous allez me rendre folle… »
Elle avait glissée avec douceur, envie et plaisir, son regard montrant tout l’envie qu’elle avait, ses frisons exprimant ce qu’elle ressentait puis d’un coup elle embrassa l’incube, collant son corps contre lui alors qu’elle s’abaissa contre le membre de l’incube qui la pénétra, la vampire lâchant un râle de plaisir, étouffer par le baiser qu’elle offrait, enfin…
Tout son corps se chargeait sous le plaisir des sensations, la vampire entre-ouvrant les yeux pendant qu’elle continuait à faire entre le membre plus loin et encore plus loin elle. Elle voulait le sentir au plus loin, sentir leur bassin se coller, elle voulait être prise, prise de la manière la plus délicieuse, elle lâcha de doux gémissement puis alors que leurs bassin furent presque rassembler elle se mit à faire de lent et long mouvement de va et viens, lâchant de doux râles plaisant, montrant l’appréciation de sentir la chair du démon, ce qu’elle aimait cela, c’était encore meilleur que ce qu’il lui avait fait ressentir, elle était en plein extase. Son regard observant la nature parfaite de l’incube, elle se mordit la lèvre sous le plaisir.
Elle en veut encore… Encore…
Encore…
-
Pendant la débauche, ce fugitif moment où le mâle se glissait enfin dans l'étroitesse de ses amantes était l'un de ses préféré. Il avait œuvré avec beaucoup de savoir faire pour cultiver le désir chez les jeune femme et à présent, il pouvait en récolter les fruit.
La cueillette s'annonçait savoureuse.
Inexorablement, comme sous la simple action de la gravité, la polymorphe s'était laissée glisser sur ce large pieux entre ces cuisses. L'incube en avait soupiré de plaisir sans même chercher à se retenir, appréciant pleinement la sensation de ce petit sexe chaud qui se serrait avidement autour du sien, raide comme jamais. Et la sensation d'une caresse si vertigineuse n'était pas que centrée sur son membre, mais sur tout son corps tandis que son amante se collait toute entière à lui en silencieuse supplique d'être possédée avec toute la fougue possible.
En réponse, un lent mouvement de va et viens s'engagea. Chaque millimètre de peau que le gland du mâle écartelait s’embrasait d'un plaisir absurde, abstrait, alors que le dense ne faisait que commencer. Ainsi, dans un silence seulement troublé par les gémissement de la désireuse et les râle du désiré, le couple engagea ses premiers mouvements. Vaelh posa ses mains graciles sur les hanches de son amante pour accompagner son déhanchement. Il fallait bien l'admettre : elle était compétente et savait retranscrire une certaine grâce. Et quel délice de sentir chacun de ses muscles qui vibrait sous un plaisir qui la rongeait de plus en plus. De sentir son coeur s'agiter sous sa poitrine ferme. De sentir son excitation couler sans limite.
Vaelh laissa filtrer un grognement. Le désir montait sincèrement en lui, en témoignait l'étonnante raideur de son grand membre. Laisser la jeune femme agir était un authentique régal qu'il aurait volontiers fait durer pour l'éternité...
Sans quitter son amante des yeux, l'Incube se servit de ses mains toujours sur ses hanches pour, sans s'annoncer, imprimer une descente plus violente à Arashi de sorte à ce qu'elle s'empale rudement sur le membre en elle. L'incube fit ensuite remonter l'une de ses mains dans le dos de la vampire pour que sa poitrine vienne s'écraser contre la sienne. C'est alors qu'il se mis à remuer subtilement de sorte à ce que sa virilité s'agite de manière infime en Arashi, juste pour lui arracher des frissons d'extase et d'impatience. Elle s'était bien débrouiller jusque là, mais Vaelh voulait l'enflammer d'avantage pour mieux la laisser repartir comme une furie. Il désirait la voir s'empaler d'elle même comme une folle sur sa verge mais se retenait de formuler une idée si délicieuse, voulant voir si la vampire avait la sensibilité nécessaire pour lire en lui. Elle aurait tout intérêt à y parvenir : le Démon savait se montrer "généreux" avec ceux qui allaient dans son sens...
Pour l'heure, Vaelh continuait de tourmenter celle qu'il allait définitivement faire craquer. Il imprima un mouvement de bassin vers le haut pour la faire remonter avant de se remettre en place, son sexe à demi extrait de cette étroitesse qui lui faisait à présent bien envie. Et il ne bougeait plus, tourmentant la jeune femme avec le simple fait qu'elle ne puisse plus profiter de toute la longueur d'un tel objet de plaisir
- Ne bouge pas, lui souffla-t-il sans la quitter des yeux.
Techniquement, rien n'empêchait Arashi de se laisser retomber pour prendre tout entier le grand pieux sous elle. ça aurait été si délicieux ! Si facile ! Si orgasmique... Mais le mâle la fixait, il la privait cruellement d'un tel plaisir, rien que pour sa satisfaction. En somme, le message était clair : Arashi était, pour l'heure, un simple jouet que Vaelh possédait.
Ce dernier décida d'ailleurs d'aller plus loin dans ses supplices en venant subitement masser le clitoris de sa victime sous ses doigts experts, le bombardant de petites attentions érotiques qui repoussaient la femme jusqu'au tréfonds de sa raison pour être écrasée par un plaisir toujours plus fort, plus impossible. Le mâle ne faisait pas semblant, et elle pouvait rapidement sentir qu'une telle extase allait la porter jusqu'à la jouissance en un rien de temps. Pourtant...
- Ne jouis pas. Ne jouis pas, ou tu n'auras que la moitié de mon membre jusqu'à la fin.
C'était un défis. L'incube n'était normalement pas adepte du fait de devoir se contenir... Mais cela l'intéressait de savoir si la jeune femme allait faire tout son possible rien que pour ensuite se faire mieux labourer, ou si elle allait jouir et se laisser retomber sur toute la longueur du sexe en elle, ignorant les règles instaurées.
-
En ce soir si particulier, voilà la polymorphe qui se laissait aller avec un incube. Mais qui aurait pu résister? Personne. C’était la folie dans son corps, la folie de la passion, la folie du sexe, la folie du désire. La vampire ne pouvait même plus clairement pensée, à ce moment elle était complètement entrer dans le jeu de l’incube. Oh! Cruel jeu que voilà, elle était coincée dans cette toile de plaisir sans pouvoir s’en échapper, saisit entre les ficelles soigneusement tissé de cet incube qui prenait plaisir à jouer avec la polymorphe, mais la polymorphe en était heureuse.
Les doigts de l’incube glissait sur son corps pour l’attirer contre ses hanches bien définie, elle frémit doucement sous ses mains douce et chaude, elle donnait envie de recevoir plus de caresse, elle lâcha un léger soupire de plaisir. Puis un sourire vint même s’afficher encore une fois sur ses lèvres, son dos légèrement vouter, sa tête légèrement penché sous le plaisir qui parcourait tant de son corps. Les mains sur ses hanches, leurs souffles, gémissement se mélangeant, tout pour faire un parfait bonheur à la vampiresse.
Le grondement de Vaelh, excitant remontant. Un frison parcourant encore plus le corps de la vampire qui soupira de bonheur. Elle en veut toujours et toujours plus, il la fait devenir complètement folle d’envie. Ses mouvements, ses caresses, ses soupires, sa voix… Tout elle en est complètement envouter. Elle ne pouvait que continuer avec bonheur et plaisir ses mouvements, ses chairs écrasaient avec plaisir cette barre de chair si tendre, si délicieuse et surtout si bien définie. Arashi ne put échapper un nouveau gémissement, fermant ses yeux un instant alors qu’elle soupira tout son envie à nouveau, elle avait le corps remplie de décharge de plaisir, tout son envie, tout son plaisir, tout était si grand, elle avait de la misère à résister sous toutes ses sensations.
Leurs regards qui se croisaient toujours depuis le début, montrant tous les deux une forte passion à ce qu’ils faisaient ensemble, le couple du soir s’amusait avec passion à ce jeu si délicieux. L’une des mains de l’aventureux incube se fit toujours sur la hanche de la vampire qui frissonnait toujours de ce contact si délicieux. L’incube força la polymorphe à faire des mouvements amplifier, plus loin, plus fort, plus violent. La vampire ne put que subir en lâchant une douce et longue plainte de plaisir pour montrer ce délice qu’elle ressentait dans tout son corps à cause de lui.
Sa seconde main glissa à son dos, l’emportant alors se coller contre lui, leurs corps coller l’un contre l’autre, elle ne put que laisser un soupire quitter ses lèvres, elle adorait cela, sentir leurs peaux l’une contre l’autres, cela provoquait de doux frison dans tout son corps, elle ferma les yeux, laissant un timide soupire quitter ses lèvres. Puis l’incube débuta de léger mouvement, la pauvre ne put que frissonner et serrer légèrement la peau de l’incube entre ses doigts, de légère décharge de plaisir parcourant alors tout son corps malgré le fait que ce soit de léger mouvement.
Il tourmenta encore… puis s’arrêta, plus aucun mouvement alors que la vampire observa l’incube d’un regard remplit de passion et de questionnement. Le membre à moitié sortit d’elle continuait de lui provoquer de légère tourmente de plaisir. Elle échappa un timide soupire, observant toujours Vaelh, attendant une réaction de sa part et qui vint fort heureusement… Leurs regards s’entre croissant une nouvelle fois, leurs deux paires de yeux qui s’observaient avec passions.
« Ne bouge pas… »
Elle fut surprise de ses paroles. Ne pas bouger, mais cela allait être si difficile de faire cela, elle voulait bouger pour ressentir plus de ce moment, ressentir encore plus de ce plaisir si bon et si grand, elle voulait tant… Tant ressentir plus et toujours plus. Elle se mordit légèrement la lèvre sous l’inquiétude qu’il décide de tout arrêter, cela serait si triste, si dommage, si désespérant. Elle ne désirait que continuer, se faire empaler par ce membre, que ses chairs écrasent se membre de plaisir, qu’elle se retrouve imprégner de ce membre pour toujours. Elle ferma ses yeux un instant, lâchant un léger râle de bonheur qu’à cette simple pensée.
Les joues de la vampiresse devinrent rouge alors que l’expertise de l’incube vint qu’il vint déposer ses doigts si habile sur son petit bouton de chair. Puis de doux mouvement d’habile se fit, provoquant de forte décharge dans tout le corps de la vampire qui ne put pousser que soupire après soupire. Son corps s’agitait légèrement sous les sensations qui parcouraient son corps, elle ferma les yeux un instant, subissant toujours ses assauts qui la faisait approcher d’une jouissance qui pouvait être certaines.
« Ne jouis pas. Ne jouis pas, ou tu n'auras que la moitié de mon membre jusqu'à la fin. »
Elle écarquilla légèrement les yeux sous cette demande, elle ne savait pas comment réagir. Devait-elle désobéir et sentir cette délicieuse sensation en s’empalant sur son membre de tout son long, ou devait elle résister et se faire violence pour se mouvoir sur lui et résister à la jouissance, elle se mordit la lèvre, réfléchissant sur les pour et les contres de chacun de ses douloureux choix, elle observa l’incube avec envie et en même temps réflexions.
Choix difficile… Résister ou ne pas résister… Là était là question… Elle ne savait pas...
Si difficile…
Si délicieux dans les deux cas…
Elle ne savait pas…
Hésitation…
Mais vint le moment qu’elle ne résista plus, elle serra doucement le corps de l’incube balançant avec douceur son bassin, elle lâcha un doux soupire, se glissant son membre au plus loin en elle, laissant un long gémissement sortir alors qu’elle résistait à ne pas jouir, elle lâcha une plainte de plaisir intense alors qu’elle débuta de nouveau mouvement, murmurant le nom de l’incube tout en se faisant violence pour ne pas jouir. Les yeux clos elle balançait son bassin avec plaisir, ses chairs fortement serrer contre la barre de chair de l’incube.
Elle voulait que l’incube soit fier d’elle, qu’il la récompense de la plus délicieuse des manières. Elle gémit à nouveau alors qu’elle se fit violence pour s’empaler à plusieurs reprises contre le membre de Vaelh, entre-ouvrant les yeux doucement pour fixer le délicieux être à nouveau.
« Vous me faites tant de plaisir… Je ne sais pas si je serais capable de résister longtemps… »
Elle allait sombrer dans la passion de la jouissance, cela était certains…
Sans aucun doute…
C’était écrit…
Ce n’était sans doute qu’une question de minute ou peut-être de seconde?
-
Vaelh ne se régalait pas que de l'étroitesse de son amante qui comprimait son membre. Tout en cette instant était un véritable délice. Il percevait les frissonnements de la jeune femme, ses convulsions, son humidité. Sa chair parlait au mâle mieux que ne l'aurait fait sa voix. Chaque parcelle de cette peau douce qu'il malmenait lui renvoyait l'écho d'envies magnifiées, même plus contenues, et d'une sincérité désarmante. Et attentif comme il l'était, Vaelh s’imprégnait de ce qu'Arashi ressentait et désirait au plus profond d'elle.
Magnifique.
Et la suite le fut d'autant plus.
La surprise qu'il lut dans les yeux de son amante fut jouissive. Sous elle se dressait le large pieux du mâle, tout à disposition pour qu'elle s'y empale et perde la tête, et voilà qu'on lui disait de ne rien en faire. Pire encore, malgré l'extase qui approchait, la délivrance lui était interdite.
Puis elle désobéit magistralement. Au diable l'interdiction de se mouvoir, elle se laissa chuter sur le pieux de luxure pour s'y damner à jamais, victime de son propre désir, de sa propre folie. Même si Vaelh s'était attendu à une petite rébellion similaire, l'envie à la limite de la violence que la jeune femme déploya pour blottir cette virilité en elle avec une note de désespoir, comme si elle craignait que tout ne puisse se finir trop vite, eut une saveur absolument divine. Chaque petit millimètre descendu le long du mât apportait son terrible lot de plaisir, et la sensibilité de Vaelh ne l'aidait en rien. Il ne luttait même pas, savourant ce mouvement vertigineux qui l'avala tout entier. L'extase montait, montait, et bientôt son membre se mit à subtilement palpiter, ajoutant au supplice de la jeune femme.
L'Incube posa ses mains sur les flancs de la poitrine de son amante comprimée contre son torse. D'instinct, il vint chercher sa gorge pour la dévorer de baisers. Arashi s'en retrouva possédée, mobilisant toutes ses forces et son endurance pour ballotter le large membre du Démon entre ses chairs étroites, ne l'épargnant aucunement. C'est parfaitement contraire aux règles établies, mais qui aurait pu la blâmer ? Qui aurait seulement pu résister à l'envie de s'infliger un tel bien alors qu'un sexe aussi délicieux que celui-ci était déjà à demi engagé ? Qui aurait simplement pu résister à Vaelh, de toutes façons ?
Et puis, quelle grâce mêlée de fureur dans ce mouvement de hanche... L'échange d'un regard lui appris qu'Arashi ne cherchait pas qu'à se libérer d'un plaisir devenu trop grand : elle se donnait en spectacle, s'offrait à l'expert qui saurait sans doute reconnaître son savoir faire, son énergie, et la flatter en conséquence.
Il ne se fit pas prier.
Hann, gronda-t-il à haute voix, et tant pis pour les voisins. Tout ça, rien que pour moi, hein ? Hmmrr... Bien. Excellent. Essaye comme... Hm. Comme ça.
L'incube plaqua sa paume contre la fragile intimité de l'amante, tant pour y écraser son point de plaisir que pour lui imprimer un mouvement de vas et viens dans ses ascensions et ses descentes. Ainsi, son bassin n'allait plus seulement de bas et haut, mais aussi d'avant en arrière.
Alors l'Incube se mit à donner tout ce qu'il avait. Le moindre centimètre de son être, sa moindre parcelle d'énergie... Tout. Sous elle, il se mit à l'écarteler avec rage, avec emprise, la faisant sienne sans commune mesure. Elle conservait son propre rythme, et lui y allait plus fort et plus vite encore, malmenant cette entre-cuisse qu'on lui offrait avec la vigueur que son amante méritait. Il la propulsait vers de nouveau sommet, sans plus de pause. Il la poussait toujours plus loin, sans plus lui offrir de prise. Un sprint final terrible, impossible, candencé par le claquement de leur bassin l'un contre l'autre ; nuancé par une note humide ; harmonisé par un concert d'approbation fait de gémissements et de grondement fous.
Vaelh n'avait toujours pas autorisé Arashi à jouir. Pourtant, il la torturait au delà de toutes endurance, si bien que son trépas n'était plus qu'une question de seconde. Il voulait la voir lutter jusqu'au bout, de toutes ses forces, pour que l'explosion finale en soit presque fatale. « Tiens bon », pensa-t-il presque tout haut. « Tiens bon, pour moi ». Son regard était de feu, ses yeux profitait de visage de son amante dévastée par le plaisir.
Un grand coup de rein.
Suivit d'un autre, plus puissant
Puis un autre, plus rapide.
Le mâle aussi était sur le point de venir. Mais pas maintenant. Elle d'abord.
-
Souffle après souffle, voilà qu’elle s’essouffle. Sa respiration résonne telle une mélodie sous le plaisir qui l’acharne de plus en plus, les yeux à demi fermer, son souffle accélérer, sourire étirer, elle fixe l’incube pour qu’il voit qu’il est le désiré. Mouvement après mouvement, l’intimité de la vampire s’échauffe pour fournir plus de plaisir à celle-ci et plus de fermeté au barreau fière de l’incube qui se faisait si bien accueillir dans cet antre chaud et humide de la jeune vampire. Que de plaisir ce faisait à ce moment, elle ne manquait de rien, en ce moment son tout était cet être qui partageait sa couche.
Que de rêve…
Durera-t-il?
La vampire courbe légèrement la tête vers l’arrière continuant se plaisir à faire ses mouvements sur cette fierté lui étant offerte telle la fontaine de jouvence face à elle, en elle, irrésistible, qui aurait seulement put y résister? Personne, seul un fou aurait refusé de s’y amuser. C’était si bon. La vampire veux s’en régaler encore, même lorsque le moment qui allait venir se feras, elle voudrait que cela continue, même si elle est fatiguée, elle veut que tout ce jeu continue. Que cruauté cela allait être de devoir s’en séparer, sans aucun doute cela allait l’être. Elle s’en mordit même légèrement la lèvre.
L’incube posant ses mains sur elle, ses lèvres à sa gorge pour y poser multiple baiser provoquant de mainte soupire sous toute cette sensation si délicieuse et si forte, elle en lâcha une râle de plaisir, sourire à ses lèvres de satisfaction. Leurs regards s’entrecroisant pour expliquer tout ce qui se passait, pour que leurs regards se dictes tout sans oser se parler, sans oser tenter de brimer se spectacle. Ce sourire à ses lèvres qui se désirait envoutant comme une succube, elle s’en mordit à nouveau la lèvre en continuant ses mouvements, lentement, gracieusement, légèrement bestial même par moment.
Qui aurait pu la blâmer?
Hann, Tout ça, rien que pour moi, hein ? Hmmrr... Bien. Excellent. Essaye comme... Hm. Comme ça.
Elle eut un sursaut alors que cet paume experte frappa cette endroit si fragile et caressait cette endroit avec plaisir, écrasant son bouton rose provoquant de forte râle de plaisir à la vampire qui était rendue rouge à son visage, appréciant ses mouvements de haut en bas et ses allées d’en avant et d’en arrière. Elle gémit une nouvelle fois, accélérant ses mouvements pour se donner encore plus. Ce qu’elle aimait cette incube, par amour ou juste pour le plaisir qu’il lui procurait, sans doute plus sur le deuxième des choix. Tout le monde aime cet incube, cet expert, ce désirant prédateur, ce fauve au allure de roi, ce délice, cet être parfait.
Tout allait si vite, les mouvements si délicieux de l’incube, si parfait et si unique alors que la vampire faisait tout autant de son bord, provoquant deux terribles tempêtes qui s’affrontait. La douceur cruelle de la vampire mêlé à celle de la tempête chavirant de l’incube. Leurs souffles se mélangeait, leurs halètement qui devenait un concert d’une mélodie parfaite. Leurs regards s’entrecroisant, Vaelh pouvant voir tout ce plaisir qu’il donnait, le corps de la vampire tremblait sous tous les frisons que cet incube lui offrait. Elle sentait le regard de l’incube se faire sur son visage, elle souriait encore plus, laissant ses gémissements se faire encore plus forts, son visage ravagée par ce plaisir.
Elle résistait…
Elle savait qu’il voulait qu’elle résiste…
Si dure…
Si bon…
Les secondes passa, elle gémit encore plus, serrant les draps de chaque coté de l’incube, fermant pendant un instant ses yeux pour les rouvrir et fixer l’incube, elle lâcha un long râle.
Un frison…
La résistance brisant…
Soupire si fort et si bon qui sortit de la bouche de la belle vampire. Elle fixa celui-ci et ses mouvements se firent rapide, fort, bougeant avec grâce son bassin pour ressentir celui-ci encore plus en elle. Elle lâcha un grand râle alors qu’elle ne put résister plus longtemps, une jouissance se faisant. Libération, si parfaite, si bonne alors qu’elle cambra légèrement son corps, sa tête plier légèrement vers l’arrière, tout son corps, ses sons, tout exprimait ce plaisir qu’elle avait à ce moment. Mais elle en voulait encore, comme une drogue si bonne elle voulait continuer, malgré cette épuisement elle continuait ses mouvements rapides dans cette zone humide et maintenant plus serrer, la femme voulait qu’il se laisse aller au plaisir aussi…
Mais elle voulait encore jouer par la suite… Elle adorait les jeux, surtout venant de ce charmant incube.
Voudra-t-il?
Elle l’espérait.
-
Pour rien au monde l'Incube n'aurait tenté de retenir le râle de délice qu'il laissa échapper lorsque le plaisir foudroya son amante. Un tel courant électrique brisa la jeune femme, la brûla jusqu'à l'âme pour n'en laisser qu'un vestige qui, même assommé pour l'instant, avait encore plus faim qu'avant. Son petit sexe chaud et étroit avait convulsé tout autour du large pieux du mâle en un hommage érotique, poignant et sincère à sa fougue. Une jouissance absolue et total dont l'odieux Démon se nourrit sans modération.
Oui, au final, elle avait vraiment joué le jeu. Elle méritait bien une petite récompense en plus de ce premier et violent orgasme. En fait, elle avait besoin d'encore plus. Vaelh le sentait. Il était pour elle plus seulement une drogue, mais une nécessité vital. Dans les affres du plaisir, l'extase de la polymorphe troublait l'air comme des langues de fumée, et on y lisait à quel point elle adorait sentir toute l'ampleur de l'érection du mâle en elle. Ainsi, Vaelh la fit s'allonger sur son torse sans que son membre ne la quitte pour lui souffler.
- Pauvre toi... Suis-je tant à ton goût ? Je vais t'offrir ce que tu semble tant vouloir au fond de toi, littéralement, mais que tu n'oses pas formuler.
Le Démon fit s'écarter son amante, avant de lui commander de s'installer à quatre pattes quand bien même ses jambes vibraient encore. Il se plaça derrière elle, poussant son dos pour que son visage repose sur le lit mais que son bassin reste parfaitement offert. Vil, il fit glisser quelques instants son membre entre les cuisses de la jeune femme, sans la prendre, avant d'empoigner son membre à pleine main pour le guider en elle d'un seul coup. Le large sexe de l'Incube se mit à aller et venir en Arashi sans la moindre petite retenue. Leurs bassins s'entrechoquaient durement, sans merci. Plus de douceur, rien qu'une ébauche complètement insensée, vectrice de sensation proprement absurde. Vaelh la pilonna, encore et encore, la dominant tant de sa taille que de sa force.
Arashi ne se faisait même plus simplement prendre, elle se faisait baiser par ce beau mâle qu'elle avait si bien chauffé, qui employait cette large queue avec autant de talents.
Dieu... Arashi était à Vaelh. Il pouvait décidé de tout, la jeune femme aurait accepté de peur de se voir retirer ses faveurs. Mais qu'elle se tienne bien : Vaelh n'en avait pas fini.
- Je veux t'offrir ma jouissance que je sens venir et que je n'ai pas envie de contenir, lui souffla-t-il lubriquement, laissant la jeune femme savourer les palpitations subtiles du sexe de son amant en elle. Mais, j'aurais peur de me tromper... Peut être que ça n'est pas ce que tu veux ? Peut être que tu ne veux pas m'entendre gronder sous l'orgasme ? peut être que tu ne veux pas sentir ces larges coups de reins finaux ? peut être que tu ne veux pas de mon sperme ?
Bien sûr, ce salaud savait très bien que c'est exactement ce que son amante voulait. Mais cette dernière commençait à connaître la musique : elle allait devoir le convaincre, ou peut être le supplier, d'y aller à fond. De toute façon, l'étalon était déjà bien parti. La force que ses coups dans le sexe étroit de la jeune femme était telle que s'il ne la tenait pas par les hanches, elle s'en trouverait très vite désarçonnée.
Et d'ici qu'elle trouve la force de pousser son mâle à jouir, ce dernier noyait tant son corps éprouvé que son âme folle de sensations démentielles et d'images toutes plus aguicheuses les unes que les autres, dans lesquelles Arashi se voyait recevoir son jus chaud de différente manière. En elle. Sur sa poitrine. Son visage... Elle n'avait qu'à choisir.
-
Tremblement de plaisir, soupire finalement, respiration saccadée, sourire aux lèvres remplie de satisfaction. La vampire était loin d’être déçue, mais elle en voulait plus, tant plus. Elle ne voulait pas que ça se termine. Elle voulait que ça continue, encore… Encore et encore, presqu’à ce qu’elle ne pense qu’à se faire faire du plaisir par cet incube. Qu’elle ne pense qu’au sexe si bon, si chaud, si parfait de cet créature infernal qui entrait et sortait en elle. Elle voulait continuer à sentir ce corps si près d’elle, elle sentait l’odeur enivrante de la créature qui la faisait presque bavée encore d’envie.
Elle en désirait encore…
L’incube la fit coucher un peu plus sur son corps, se corps si chaud, si confortable, si parfait. Elle en lâcha même un léger soupire de plaisir sous les frisons qui la parcourut malgré le plaisir qu’elle venait que de subir. Mais la vampire semblait en cette nuit étrange, toujours en forme pour continuer ce plaisir si fort qu’elle ne vivra surement moins de se haut plaisir avec d’autre personne. Elle avait un sourire, observant l’incube, les yeux légèrement plissés, tendre sourire aux lèvres qui montraient tout le plaisir qu’elle ressentait et qu’elle éprouvait pour lui.
« - Pauvre toi... Suis-je tant à ton goût ? Je vais t'offrir ce que tu semble tant vouloir au fond de toi, littéralement, mais que tu n'oses pas formuler. »
La vampire ne put qu’en sourire, il voulait encore jouer? Comique et cruel incube va, mais que ce que tu es fait est si bon que la vampire ne pourra être fâcher contre l’être si parfait que tu es. Elle fit une petite mine quand il se retira d’elle, qu’allait-il faire? Elle voulait encore de se membre en elle, le sentir aller et venir en elle avec plaisir, folie et panoplie de sensation. Il voulait qu’elle soit à quatre pattes, ce qu’elle fit avec grand plaisir, bougeant légèrement son bassin pour le faire désirer à la prendre. Elle se mordit timidement la lèvre.
D’un geste dominateur il la força à poser son visage contre le lit, son bassin, ses fesses, tout bien en vue, tout bien exposer. Arashi frémit simplement à l’idée de se faire prendre ainsi, que le membre en elle entre en elle un peu plus loin, touchant de nouvelle place de son intimité pour lui provoquer de nouvelle vague de plaisir malgré la jouissance qu’elle avait eu.
Qu’elle cruel incube, caressant ses cuisses, l’entre de ses jambes sans rien faire, voilà ce qui faisait frissonner d’envie et d’attente la vampire. Elle sentit après quelque seconde le membre se plaçer à la mire d’entrée et sans patience, il fit entrer ce pieu de chair au plus profonds d’elle qui lâcha un long soupire de plaisir. Si bon… Elle ferma ses yeux alors qu’il se mouvait en elle d’une toute nouvelle façon, oubliant la douleur, allons dans l’indécence. Coup après coup Arashi succombait à nouveau, gémissant ce plaisir fantastique en des gémissements longs et démontrant ce qu’elle ressentait.
«Je veux t'offrir ma jouissance que je sens venir et que je n'ai pas envie de contenir »
Il avait fait une pause, elle sentit son membre s’agiter, montrant bien qu’il fera sortir ce plaisir, l’extase dans peu de temps, elle voulait ressentir sa jouissance, entendre son soupire d’extase, ressentir en elle ce délicieux plaisir, elle voulait goûter l’incube, tout l’incube.
« Mais, j'aurais peur de me tromper... Peut être que ça n'est pas ce que tu veux ? Peut être que tu ne veux pas m'entendre gronder sous l'orgasme ? peut être que tu ne veux pas sentir ces larges coups de reins finaux ? peut être que tu ne veux pas de mon sperme ? »
Elle fit une petite mine par cela, mais eut un très fin rire, elle s’y attendait bien, vils démon. Elle lâcha un soupire alors que les doigts de l’incube tenait ses hanches sous ses coups si bon, si fort, leurs bassins s’entrechoquant en de malsain claquement. Mais la vampire souriait sous ce plaisir, elle s’en mordit doucement la lèvre alors qu’elle eut un léger sursaut, voyant ses visions si bonne à ses yeux se faire dans sa tête. Vision qui s’accentuait de plus en plus, provoquant fort soupire, fort gémissement, oublions voisin, et ce qui entourait, elle ne voyait elle que celui qui était face à elle.
Elle en voulait encore.
Elle voulait le savourer…
Encore.
Elle lâcha un doux gémissement en regardant vers l’arrière, regardant l’incube de ce regard charmeur, désireux, suppliant. Elle se mordit la lèvre par la suite sensuellement, clignant doucement ses yeux pour échapper de nouveau son de plaisir, les joues légèrement teinter de rouge, pour montrer cette timidité qu’elle avait, pour contraster avec cet élan de débauchee.
« Chère incube… Je veux… Mh… vous entendre… »
Nouveau soupire d’extase, d’envie de plaisir, elle laisse ses yeux entre-ouvert, regardant vers l’incubes, bougeant doucement son bassin pour montrer qu’elle désirait que vivre l’extase, le plaisir et subit la fin de l’envie de l’incube, elle voulait sentir le plaisir de l’incube sortir de lui pour s’exprimer au monde de ce qu’il voulait.
« Montrer votre plaisir incube, montrer moi votre extase… »
Elle tremblait.
C’était l’envie qui se sentait.
Elle voulait goûter l’incube, de son tout début jusqu’à la fin.
-
On ne pouvait absolument pas définir Vaelh par un seul terme. A quiconque eut dit qu'il était généreux, il suffisait de lui raconter comme le monstre s'était refusé à jouir pour Arashi jusque là, lui offrant toute sa sève ; à quiconque eut dit qu'il était avare, il suffisait de nouveau de regarder la jeune femme pour voir a quel point l'Incube aimait donner.
Non, on ne pouvait pas définir Vaelh par un seul terme. Ni même par une série d'entre eux sans prendre le risque de se retrouver à mentir, pour la simple bonne raison que l'Incube était un amant changeant. Un amant multivalent. Il portait des masques et pouvait en changer à chaque instant. Lui même en arrivait à ne plus tout à fait savoir s'il était lui même.
Et la situation n'arrangeant rien.
Le plaisir montait, montait, jusqu'à flirter avec le point de non retour. Son large pieux lové dans cette si petite étroitesse, il laissait la chaleur de la passion carboniser son cœur noir. Les sensations étaient démentes. Délirantes. Et il adorait ça. Sans la moindre gêne, il observait avidement la corps de la jeune femme au dessus du sien. L'expression de son visage était saisissante. Les tressautement de sa poitrine généreuse le fascinaient. La souplesse de ses mouvements étaient passionnante. Mais le mieux restait de contempler son sexe humide qui avalait avec un appétit éhonté tout le membre virile du Démon à un rythme toujours plus élevé. Vaelh se voyait disparaître, avalé par de grands coups de bassins, son gland ballotté dans l'absolue fournaise du désir de son amante aussi dévouée qu'endurante et gourmande.
-Je vais jouir... Avait-il soufflé avec à la fois une note de surprise et d'impatience. Se rendant compte qu'il allait effectivement pouvoir s'envoler vers l'extase, son sourire se fit féroce, et il saisit son amante par la menton. Il lui grognait au visage.
-Oh, oui. J'y suis presque. Tu me sens palpiter en toi ?
Effectivement, le tronc généreux de Vaelh s'agitait de plus en plus. Le souffle du Démon se fit court.
-Hampf... Tu l'as mérité. Prend... Tout !
Et ce fut le coup de départ du sprint le plus effréné de tous
Vaelh s'empara du fessier d'Arashi à pleine main, soulignant qu'il la possédait toute entière. L'instant d'après, il allait et venait en elle de toutes ses forces, de toutes sa fougue, de toute sa vitalité. Ses coups de reins allaient faire s'écraser son gros gland jusqu'au plus profond de son amante. Sa vigueur poussait son bassin et ses bourses à venir frapper l'entre-jambe de la vampire. Le plaisir irradiait de tout Vaelh comme un monstrueux venin qui vint corrompre les nerfs de son amante pour la lier à lui le plus intimement possible, pour partager son orgasme.
La passion du Démon semblait sans faille, sans limite. Heureusement qu'il tenait Arashi fermement, sans quoi un telle rodéo l'aurait désarçonné. Son énergie semblait infinie, son plaisir semblait croître sans fin, si bien que si l'on avait voulu être cru, les termes « ils la basait de toutes ses forces » auraient tout a fait été indiqués.
Et dans une dernière série de coups vigoureux plus espacés les uns des autres, Vaelh fut frappé par l'extase totale. Sa bouche s’ouvrit en grand pour avaler désespérément tout l'air de la pièce alors que son membre puissant palpitait furieusement pour cracher sans compter toute l'essence du mâle.
Le plaisir était une véritable tempête mortelle. Mais pour l'avoir bravé mille et une fois, Vaelh n'avait pas peur : il l'accueillit même à bras ouvert, emportant Arashi avec lui dans un tourbillon ou plus rien n'avait de sens. Luttant contre des spasmes orgasmiques, il parvint à rouler de sorte à ce que Arashi se retrouve allongée avant de se retirer de son étroitesse remplie. Là, le mâle empoigna son membre à pleine main. Le monstre infligeait une ultime attaque à son amante, se branlant avec une vigueur débordante devant elle tant pour flatter ses yeux que pour achever de jouir sur le bas de son ventre et sa poitrine.
Puis l'épisode fut terminé, et Vaelh retomba à côté de son amante, tout contre elle, son membre contre sa cuisse encore vibrante. Loin d'être fatigué, ses traits étaient emprunt d'une telle forme qu'ils semblaient luire.
Dans une dernier sourire satisfait, il vint placer tendrement sa paume entre les cuisses de la vampire. Il la fixa longuement, reprenant son souffle, guettant dans ses yeux ce qu'il pouvait rester de son appétit.
-
Soupire et gémissement, le corps de la vampire s’agitait sous tout ce plaisir qui se démontrait en elle, son corps tremblait sous la passion de cet acte. Sa bouche ouverte, respirant rapidement alors qu’elle faisait ses mouvements contre le membre de l’incube qui lui-même participait à ce plaisir. Elle ferma les yeux un instant, serrant le torse de l’incube sous ce plaisir qu’elle avait toujours bien qu’elle venait de jouir, ses chaires écrasant toujours le soldat de l’incube pour lui donner encore plus de plaisir. Elle cherchait son air, désirant encore plus de plaisir. Elle sourit grandement retrouvant un nouveau pique de plaisir, gémissant encore une fois.
Elle adorait sentir ces mouvements qui la saisissait de plus en plus, elle pouvait ressentir ainsi tout le plaisir de l’incube fasse à la petite démone qu’elle était. Elle se sentait comblée d’avoir put donner tant de plaisir à un être de perfection qu’était cet incube. Elle se mordit la lèvre, regardant l’incube de ce regard qui voulait tout dire ce qu’elle ressentait, oh oui, elle en ressentait plein de sentiment à ce moment-là. L’incube avait su trouvée les points faibles de la vampire. La vampire qui pencha sa tête vers l’arrière pour gémir une nouvelle fois sous cette sensation qui fut si forte.
Elle savait que la fin arrivait…
Malheureusement.
« Je vais jouir… »
Ses paroles, vinrent résonner comme une douce mélodie au creux de l’oreille de la belle vampirette qui fut honorée des mots de l’incube qui lui ferait cet honneur de donner de cette semence. L’incube afficha cet air animal sur son visage, regardant vers Arashi de cet air qui pouvait rappeler le chasseur face à sa proie, bien que c’était évidemment le cas, Arashi était que la docile proie qui laissait la bête s’occuper d’elle, il lui donnait ce qu’elle méritait… Doucement la vampire se mordit la lèvre sous cette nouvelle barre d’excitation, les doigts de l’incube lui saisissant par le menton, ce grognement, cet excitation…
C’était si bon…
« Oh, oui. J’y suis presque. Tu me sens palpiter en toi? »
La vampiresse frémit, évidemment qu’elle le sentait, c’était extraordinaire. Elle adorait cela. Elle en voulait encore plus, elle voulait le subir pleinement dans ses derniers moments. Elle voulait tout de lui, ses doigts se serrant encore contre lui, son souffle cours aussi, tout comme l’incube. Son membre palpitant, mouvant, ne faisait qu’amplifier le plaisir qu’elle ressentir en elle.
« Hampf... Tu l'as mérité. Prend... Tout ! »
Comment décrire ce qui arriva par la suite… C’était inexplicable… Les mouvements, les saccades, les gémissements, les deux êtres étaient en symbiose. Leurs gémissement s’entremêlait, leurs mouvements s’agençait pour aller du mieux qu’ils pouvaient ensemble. La vampire planait sous ce plaisir si bon qui lui était offert à elle. Ce plaisir était si fort qu’elle ne savait pas s’il était vraiment d’elle ou bien si c’était cet incube qui contrôlait son plaisir, mais elle adorait cela.
Ses coups… C’était si bon, cette profondeur, cette délicieuse sensation d’être complétement frapper de l’intérieur… C’était une sensation qui lui sera inoubliable. Elle ferma ses yeux un instant, gémissant fortement en serrant le torse de Vaelh, sa voix résonnant comme une douce mélodie de gémissement. Qui fut alors aussi occupé par Vaelh qui gémissait cette passion brulante qui les parcourait tous les deux.
La vampire écarquilla les yeux alors sous cette sensation qui fut si particulière, si envoutante, l’entrainant dans un labyrinthe infinie de sensation tout aussi fabuleuse les unes que les autres… Une multitude de plaisir qui arrêta alors qu’elle se retrouva sur le dos. L’incube au-dessus d’elle, lui donnant ce délicieux spectacle de lui qui se masturbait pour se finir sur son ventre et sa poitrine. La vampire laissait son souffle rapide sortir et sourit grandement en regardant le démon qui montrait son plaisir.
Puis celui-ci ce laissa tomber contre le lit, près d’elle… Contre elle, son membre contre sa cuisine. La vampire se mordit la lèvre alors qu’elle regardait vers le visage parfait de l’être démoniaque. Elle était fatiguée, mais elle en avait encore envie. Elle avait envie encore de chavirer dans le jeu du démon. Elle l’observa et souffla doucement en se serrant contre l’incube, glissant l’un de ses doigts contre ce liquide sur sa poitrine, glissant lentement son doigts jusqu’à sa bouche puis doucement goûta à la semence du démon. Sa pupille s’affina et elle frissonna sous toutes les sensations et la saveur que cela dégageait, elle lâcha un long et séduisant soupire puis regarda vers Vaelh.
« Incube… Je désire encore que vous me montrer vos talents… Je suis sure que vous avez plus qu’un tour sous votre sac… »
Elle sourit encore plus, son corps frissonnant sous le désire d’en avoir encore, elle avait tant d’envie.
-
Les lèvres de Vaelh s'étirèrent en un sourire immense qui, bien qu'il fut teinté d'amusement, de plaisir et d'envie, trahissait surtout une infinité de reflets prédateurs. D'un timbre si vibrant qu'il vint prendre la jeune femme jusque dans sa chair, il murmura :
-A aucun moment je n'ai douté de toi.
Le mâle n'avait évidemment pas manqué de nuancer sa réplique de sorte à la rendre aussi nébuleuse que délicieuse. Au final, qu'avait-il exactement voulu dire ? Que d'une certaine manière, il était rassuré que la jeune femme veuille encore s'envoler ? Qu'il était satisfait de voir en elle une énergie aussi infatigable ?
A moins qu'il s'agissait d'un petit élan de sarcasme qui visait à taquiner l'amante en soulignant que le Démon se doutait bien que dans son état, elle n'aurait jamais pu dire non.
Pour une fois, le mâle laissa le temps à la Polymorphe de trouver un sens à ce qu'il lui confiait -à condition qu'elle puisse seulement rassembler les fragments de sa conscience-. Peu enclin à ne pas mettre chaque seconde à profit, il pausa ses larges paumes sur le galbe aguicheur des cuisses de son amante, y diffusant une chaleur presque volcanique tandis qu'il entreprenait de les masser. Ses mouvements étaient amples, félins... Ses doigts descendaient avec une grâce aquatique et une légèreté aérienne jusqu'au genoux de la jeune femme, la laissant languir, avant de remonter avec grâce jusqu'à l’articulation de ses hanches. Il décida de s'y arrêter pour y dessiner de petites arabesques du bout des doigts, profitant de l'agréable texture du derme de sa victime. Joueur, il la fixa un instant avant de lui lancer :
-Si mon nectar est tant à tout goût, pourquoi t'embêtes-tu à piocher dans celui que j'ai répandu sur toi ?
Vaelh se pencha, une lueur de conspiration dans l'or de ses yeux. Avec une fougue soudaine, il s'appliqua à laisser ses lèvres se défouler sur l'ample poitrine qui s'offrait à lui, histoire d'affoler le cœur qui s'y cachait.
-Viens me boire à la source, plutôt...
Et comme ça aurait été évidemment beaucoup trop facile de simplement laisser les adorables lèvres de l'amante avaler goulûment cette large friandise, Vaelh ne s'offrit pas tout de suite. Il préféra continuer son exploration éhontée, martyrisant le moindre grain de peau qui passait sous la pulpe de ses doigts, sans oublier de malmener ses seins . Il parvenait encore à sentir les petit spasmes sporadique dans les cuisses et les hanches de la jeune femme, trahissant son plaisir passé, ou son impatience pour des jeux futurs.
Plus bas, le mâle se livra à un supplice supplémentaire : non content d'électriser sa victime de ses doigts et de ses lèvres, il se mit à imprimer un léger mouvement de bassin qui venait faire glisser son évidente virilité contre les jambes nues d'Arashi. Bien sûr, un tel jeux qui soulignait toute la générosité du mâle, et sa sensualité, n'était plus nécessaire : la jeune polymorphe savait à présent très bien à quoi s'en tenir.
C'était juste par gourmandise. Par pure envie.
Comme il avait l'avantage, Vaelh en profita pour largement profiter de la vue. Il leva les yeux de la poitrine d'Arashi pour couler sur tout son corps un regard lourd de sens et de luxure. Chaque grain de peau qu'il voyait, il s'imaginait le couvrir de sa sève. Chaque zone érogène, il s'imaginait la tourmenter d'un million de manière différente. Dans ses pensées, il ne sentit même pas qu'il souriait et que sa prise sur la poitrine généreuse de son amante s'était raffermit en se nuançant d'une onde de domination et de possession.
Parce qu'après tout... Cette polymorphe était à lui. Il pouvait... Disposer de toi comme bon me semble... T'employer à ma guise pour mon simple plaisir... Te déguster comme une petite friandise sexuelle tout à fait alléchante... Prendre mon plaisir au travers de tes orgasmes à répétitions... Te faire du bien jusqu'à t'en faire du mal. Sa voix semblait venir de partout à la fois, comme si le venin du démon -le plaisir-, avait infecté Arashi au point qu'elle souffre d’hallucinations.
-Il doit bien exister un milliard de jeu auxquels je pourrait me livrer pour m'amuser avec toi. Ou pour m'amuser de toi. Et c'est ce que je ferais. Maintenant que tu m'as invoqué, que je t'ai goûté, j'ai planté mes crocs dans ta chair. Je connais ta saveur, ton arôme, et tu ne pourras plus jamais te cacher de moi. Plus. Jamais. Tu es ma petite soumise.
Il marqua une pause, l'air songeur malgré la gravité de ses mots.
-Je serais l'incarnation de tous tes fantasmes. Petite flamme au fond de ta conscience, je pourrais décider de devenir un incendie de passion à tout moment. A la moindre petite envie, je viendrais saturer ton esprit délicieux de visions terribles...
Pour illustrer et prouver ses propos, le mâle fit un mouvement de bassin plus appuyé de sorte à ce que son membre chaud vienne obséder les pensées de la vampire, pour instiller dans son âme l'étincelle de la luxure, avant de s'en servir comme d'une base pour y faire naître un millier de fantasme, tous plus torrides les uns que les autres.
Au final, Arashi n'avait eu qu'à penser au sexe de Vaelh pour que s'imposent à elle des scène dans lesquelles...
Ses doigts crispé autour d'un tel tronc allaient et venaient.
Sa poitrine comprimée encerclant un tel pieux montait et descendait.
Ses lèvres avides pompant cette verge aspiraient en se mouvant.
Son étroitesse trempée se laissait allégrement baiser par une telle queue.
Plus les visions se succédaient, plus elles devenaient explicites, précise, et même... Palpable. Mais elles prirent fin petit à petit lorsqu'une voix délicieuse lui souffla :
-Mais je sais que tu adorerais ça, te faire tourmenter au quotidien. Cela pourrait bien devenir une réalité. Une terrible et plaisante réalité.
Vaelh vint alors se placer entre les cuisses d'Arashi, comme pour la prendre ici et maintenant, sauf qu'au lieu de saisir ses cuisses il se pencha au dessus d'elle.
-Signons un pacte toi et moi. Savoureuse, délicieuse, bonne comme tu es, tu constitues une récréation de choix. Alors entendons nous. Signons un tout petit pacte.
L'Incube posa l'un de ses doigts sur son pectoral, traçant une ligne de feu qui imprima sa peau d'un motif noir abstrait. Par la suite, il s'empara de l'index de son heureuse victime pour le positionner sur son sein gauche, juste sur la trace encore chaude d'un orgasme consommé.
-Tu n'as qu'a reproduire ce petit signe, et je serais en toi. Dans tes pensées, et... Il ajouta plus bas, avec un sourire malicieux : dans ta petite chatte.
L'incube laissa le poids de ses mots venir alourdir l'atmosphère déjà magmatique, avant de souffler d'un timbre parfaitement luxurieux :
-Mais rien ne presse. Tu dois déjà venir combler cette faim qui te tiraille, non ? Alors vient, mon petit jouet. Pompe mon tronc jusqu'à me faire jouir, et je déciderais d'un nouveau jeu. Tu pourras signer quand le cœur t'en dira. Et tant que tu y es... Montre moi ce que ta nature de polymorphe te permet. Je suis sûr que ça peut ajouter un petit plus à la scène.
Il n'ajouta rien, préférant voir si la jeune femme serait capable de l'étonner.
-
Le plaisir, douce caresse qui passe dans notre corps, le parcours pour nous faire éprouver tant de délicat sentiment tout comme des décharges. Ses décharges montrant le plaisir et le désir qui grandit. Oui une désir qui vous veux, qui veux vous faire chavirer, encore et encore. En ce moment la vampire était en train de chavirer vers l’extase, l’incube usait de talent pure de leurs race pour vaincre toute les dernières protections de la vampirette. Mais nous ne pouvons pas dire que la vampire c’est défendue, elle s’est laisser aller dans ce jeu, entrant dans ce jeu avec plaisir, participant de tout son corps, de toute sa voix.
La vampire souriait grandement, observant l’incube, l’analysant alors qu’elle voulait encore plus de plaisir, soupirant d’envie, voulant dévorer ses lèvres, prendre encore plus son membre, le faire jouir d’envie, la faire jouir de plaisir. Elle voulait encore jouer, encore et encore, elle souhaiterait que jamais cela ne se termine, bien qu’un jour cela arrêteras, mais elle savait que ce ne seras pas tout de suite, fort heureusement pour elle…
Elle hallucinait des plaisirs, passant par diverse étape de son esprit, enflammant le corps de la vampire de cet tordeur passionnel.
Encore
Et encore.
« Il doit bien exister un milliard de jeu auxquels je pourrais me livrer pour m'amuser avec toi. Ou pour m'amuser de toi. Et c'est ce que je ferais. Maintenant que tu m'as invoqué, que je t'ai goûté, j'ai planté mes crocs dans ta chair. Je connais ta saveur, ton arôme, et tu ne pourras plus jamais te cacher de moi. Plus. Jamais. Tu es ma petite soumise. »
C’était vrai, elle était a ce moment sa soumise malgré le fait qu’elle avait un maitre. En fait, a présent elle en avait deux. Deux maîtres charnels, deux maîtres démoniaques, un incube et un autre type de démon qu’elle ne pouvait identifier le type. Malgré ses paroles, elle n’avait pas peur, elle en eux même un léger soupire d’envie de le savoir qu’il pourrait arriver n’importe quand pour s’amuser avec son corps. C’était si excitant.
« Je serais l'incarnation de tous tes fantasmes. Petite flamme au fond de ta conscience, je pourrais décider de devenir un incendie de passion à tout moment. A la moindre petite envie, je viendrais saturer ton esprit délicieux de visions terribles... »
Les pupilles s’affinèrent, les visions parcoururent son esprit des plus divines visions. Le plaisir charnel reprenant en ascension dans son corps. Elle lâcha un nouveau petit gémissement dans le milieu de ses visions, sa cyprine coulant encore plus sous ce désir qui grandit de plus en plus encore, devenant plus que tout ce qu’elle avait déjà ressentis dans cette soirée torride et délicieuse. Tout s’accentuais, devenant magique, parfait, délicieuse, si réaliste qu’elle se sentit presque a ce moment-là, a cette endroit de ses plaisirs, mais tout ceci prit fin à la voix enchanteresse de l’incube.
« Mais je sais que tu adorerais ça, te faire tourmenter au quotidien. Cela pourrait bien devenir une réalité. Une terrible et plaisante réalité. »
Elle voulut parler, elle ouvrait la bouche, appuyant sa langue pour vouloir émettre un son, mais il mourut alors qu’il se plaça entre ses jambes, mais rien de plus, il ne la prit pas, mais il était pencher par-dessus elle. Elle frémit fortement, soupirant de plaisir, ses yeux pâles fixant le délicieux incube si près de son corps.
« Signons un pacte toi et moi. Savoureuse, délicieuse, bonne comme tu es, tu constitues une récréation de choix. Alors entendons nous. Signons un tout petit pacte. »
Elle observa celui-ci, ce mordant la lèvre sensuellement, tremblant de désir qui grandit encore et encore à ce moment, tourment éternel de plaisir, il était certain que l’incube en seras son déclencheur, elle allait tant pouvoir en profiter, de ce plaisir charnel si bon. Elle lâcha un doux soupir, glissant ses doigts contre le torse sensuelle de l’incube un instant. Elle tremblait encore de plaisir, son corps reluisant sous le plaisir et les jeux déjà fais.
« Tu n'as qu'a reproduire ce petit signe, et je serais en toi. Dans tes pensées, et... dans ta petite chatte. »
Un silence se fit, mais on pouvait entendre un petit son pour montrer l’excitation de la vampire à ces mots, si simple, si parfait. Elle pourra le revoirs quand elle désirait alors, c’étais savoureux, parfais, encore mieux qu’elle le pensait.
« Mais rien ne presse. Tu dois déjà venir combler cette faim qui te tiraille, non ? Alors vient, mon petit jouet. Pompe mon tronc jusqu'à me faire jouir, et je déciderais d'un nouveau jeu. Tu pourras signer quand le cœur t'en dira. Et tant que tu y es... Montre moi ce que ta nature de polymorphe te permet. Je suis sûr que ça peut ajouter un petit plus à la scène. »
Le sourire de la vampire se fit encore plus grand, elle lâcha un doux petit soupire, faisant pencher l’incube pour qu’il aille contre le lit, doucement elle l’embrassa, il put sentir les lèvres de la vampire s’adoucir pendant le baiser, la polymorphe se serra a lui, il pouvait sentir tout son corps modifier pendant le baiser pour devenir plus doux, ses formes plus définit et douce et surtout plus alléchante au regard. Elle arrêta le baiser et murmura doucement.
« Vous pomper…? Vous faire jouir? Cela seras fait avec le plus grand des plaisirs… »
Doucement ses lèvres glissèrent sur son menton, puis son cou, puis son torse. Sa langue sortant pour aller offrir un petit coup de langue. Elle eut un petit rire, glissant ses lèvres sur sa peau pour lui offrir des frisons, glissant jusqu’à son membre. Elle sourit, observant son membre, sortant la langue pour caresser son sexe du bout de sa langue, puis lentement elle se saisit de la base puis commença a le prendre en bouche et a y faire de long mouvement avec cette langue douce et ses lèvres pulpeuse et alléchante, une de ses mains glissant sur ses bourses pour offrir une légère caresse.
Elle s’appliquait, y mettait tout son corps, toute son âme sur cet acte, allant plus vite et plus lent des fois, elle partait de temps en temps suçotter son gland avant ou après lui faire une gorge profonde. On sentait son envie de vouloir subir un de ses jeux.
-
Le Démon était victorieux sur tous les plans. Il savait qu'il venait de s'acquérir une âme, et qu'il pourrait en disposer comme bon lui semblerait pour peu que sa victime puisse fantasmer sur son pieux épais. Il n'y avait nul besoin de chercher à la briser davantage, de souligner le rapport de force en vigueur... Un ordre s'était naturellement établi : la Vampire n'était qu'une chatte juste bonne à être baisée, à avoir la chance se faire fourrer par un pieu large et juteux ; et le mâle était celui qui décidait de quand et comment ces choses se déroulaient.
-Facile, avait-il ponctué, tant à propos de cette ordre des choses que la polymorphe elle même.
La suite ne fut que prévisible, en cela qu'Arashi exécuta le moindre caprice du mâle. Son physique s'affina encore plus, évoquant au Démon certaines de ses consœurs démoniaques -les cornes et le caractère en moins-. Agréable, très agréable à l’œil. A un tel point que Vaelh, gourmand, ne put s'empêcher de pétrir cette nouvelle chair pour la tester.
-Très pratique comme don. C'est comme avoir une infinité de petites chiennes pour le prix d'une seule. Quoi que...
Il n'alla au bout de sa réflexion que mentalement : Arashi était peut être capable de changer de peau, mais pas d'âme. Elle devait plutôt être vue comme une soumise avec une infinité de masque à porter. Masques tous plus baisables les uns que les autres, il allait sans dire.
Si, lors des premiers instants, le mâle avait daigné la polymorphe suivre son propre rythme, il décida bien vite qu'elle ne méritait plus cette liberté. Sans relâcher la pression qu'il exerçait sur l'imaginaire de sa victime, Vaelh la fit basculer sur le dos et l'enfourcha de sorte à présenter son gros mât droit entre ses seins. Ils s'empara rudement de telles rondeur pour s'en faire un fourreau dans lequel il pourrait faire glisser toute la longueur de sa virilité, avant d'invectiver cette salope de vampire pour que ce soit elle qui fournisse l'effort nécessaire au maintient de sa poitrine. Ainsi, il eu le champ libre pour l'attraper par le cheveux avant que son gland volumineux ne s'écrase contre ses lèvres jusqu'à forcer le passage. N'en déplaise à la suceuse -de sang-, le mâle, qui la considérait déjà bien peu, ne l'employait plus que comme un défouloir sexuel. Raide comme jamais, sa queue veinée, puissante, palpitante, raclait avec brutalité contre l'ample poitrine au centre de laquelle elle était coincée. Quant à son gland, c'est grâce à un mouvement de va et viens devenu outrageusement bestial, même selon des standards démoniaques -c'est dire-, qu'il baisait la bouche de la vampire.
Un tel manège dura, encore et encore. A chaque fois que l'orgasme affluait, Vaelh le repoussait tel une immense vague. Il continua de procéder de la sorte jusqu'à ce que, fatalement, la déferlante extatique soit devenue trop vaste pour être contenue. Ainsi, au terme d'un terrible concert de râle puissants, la sève du mâle se mit à jaillir en force. La gorge et la bouche d'Arashi furent saturées de cet épais liquide en premier, avant que le gros pieux palpitant ne se retire pour que Vaelh l'astique avec entrain, presque avec rage, pour souiller tout le visage de sa soumise et sa poitrine.
Comme pour conclure son acte de désacralisation, l'Incube s'infligea une dernier mouvement de poignet sur sa verge tendue, la purgeant des derniers volumes de son jus bouillant. Il soupira en laissant retomber sa hampe tendue contre la gorge tendue de sa soumise, son expression d'extase se changeant en le sourire le plus corrompu que la polymorphe ai pu voir de sa vie.
L'espace d'un instant, il la jaugea en silence, satisfait de son œuvre. Et, lentement, il dédaigna cette petite lame qu'il cachait dans l’accessoire qui tenait en place sa coiffure. L'outil avait une forme étrange, vicieuse, et semblait suinter d'un venin noirâtre et nocif.
Plus doucement encore, Vaelh approcha l'arme des yeux de la Vampire.
-Ferme les yeux. Tais-toi. Ne bouge pas.
Le timbre employé ne laissait pas place à la discutions : Soit elle s’exécutait, soit sa vie avait de forte chance de s'arrêter là. D'ailleurs, le Fantasme incarné ne lui laissa guère le temps de réagir : l'acier gelé de l'objet vint se poser sur ses paupières closes pour y tracer une série de symbole, lesquelles s'étendirent en des lignes ésotériques jusqu'aux oreilles, au front, au nez et à la bouche de la jeune femme. Concentré, le mâle traça d'autres marques similaires à même la peau de sa victime, tantôt autour de sa poitrine, sur son ventre, ses bras, ses cuisses, et atrocement près d'entre ses cuisses. L'acier gelé de l'outil traçait inlassablement son sillon, jusqu'à ce que le mâle prononce un unique mot aux sonorités surnaturelles.
En un éclair, les sens d'Arashi devinrent presque aussi sensible que ceux du Démon. Le simple fait d'exister, de respirer, devenait une source d'orgasme constante. Mais ça n'était pas le plus surprenant, loin de là : lorsqu'elle rouvrit les yeux, la petite chienne ne put que se demander si elle venait de mourir pour se réincarner au paradis. Deux Vaelh lui faisait face. L'original, toujours à califourchon sur elle avec sa verge tendue, et un second, identique à la seule exception de ses prunelles faites d'argent plutôt que d'or.
Les deux parlèrent d'une seul voix, désignant un motif complexe tracé entre les seins souillés de sperme de la vampire :
-Signe, où le jeux s'arrête.
-
Sa langue contre son membre, avec lenteur et plaisir elle laissait son rythme aller au rythme de sa langue et de ses lèvres, voulant provoquer plaisir et en même temps provoquer une frustration, un désir qui grandissait, elle voulait qu’il lui demande plus, elle voulait entendre sa voix lui demander d’en faire plus. Bien que malheureusement elle ne l’entendra aucunement, mais cela n’était pas grave, elle avait ce qu’elle voulait. Sur le bout de la langue elle avait ce goût tant désiré, le goût de ce membre chaud qui la faisait chavirer, perdre raison, la damnait de désir.
Lentement elle ouvrit un œil, levant son œil pour observer ses expressions, elle ronronna doucement sous des visions de passion qu’elle rêvait, rêvant de se faire prendre ainsi et de telle manière, rêvant de se faire toucher ainsi et de telle manière. Elle ronronna un peu plus. Tremblante de plaisir qu’a des scènes tout aussi séduisante les unes que les autres. Mais l’incube en voulait plus, il n’était pas satisfait de sa bouche? Il la renversa sur le lit, la faisant chavirer sur le dos, elle leva un sourcil sous la surprise, observant le délicieux incube qui se glissa sur elle, son membre digne entre ses seins qu’il se saisit pour faire un serrement sur le membre de la luxure incarné. Elle frémit fortement sous les sensations que cela lui provoqua a cette seconde, glissant ses doigts sur sa poitrine pour exercer la pression demander. Elle frémit encore plus, soupirant d’aise alors que le gland frappa sa bouche qu’elle ouvrit avec plaisir. Elle se faisait baiser la bouche, mais elle adorait cela, la sensation, le goût, la dureté, elle ne pouvait rêver mieux.
Elle suçotait le gland, sa langue glissait sur son membre à chaque mouvement. Elle rêvait d’en avoir plus, de le sentir mieux. Elle tremblait encore plus sous le désir qui la ravageait tellement qu’elle ne pouvait que mouiller plus d’excitation. Les secondes et les minutes afflua, que nenni! Pour elle le temps n’existait plus, n’était plus présent dans ce moment. Seul le membre contre sa poitrine et dans sa bouche était son temps, ne pouvant compter que sur lui, elle lâcha de faible râle de plaisir. Tremblante de toute cette passion.
Puis le moment vint, Elle tremblait sous les râles de l’incube, la plus délicieuse de toute les mélodies a ses oreilles, elle tremblait fortement, réclamant son prix qui vint avec puissance, avalant ce liquide si bon, le savourant comme on savoure un bon vin. Elle tremblait sur cette délicieuse sensation, ravageant encore plus tout son corps. Subissant, elle contemplait le liquide si épais sur ses lèvres, son visage et sur sa poitrine, jusqu’à ce que le membre se pose contre sa gorge. Elle admira les traits d’extase du démon et devint inquiète quand la corruption apparut sur les lèvres de l’incube.
Elle sursauta légèrement en voyant la lame qu’il approcha doucement d’elle, un nouveau tremblement d’inquiétude la pris. Surtout alors qu’il l’approcha de ses yeux, elle était inquiète, ne comprenant pas, avait peur dans son extase, se demandant ce qu’il allait faire.
« Ferme les yeux. Tais-toi. Ne bouge pas. »
Sec, sans discutions, elle ne pouvait qu’obéir, elle tenait à sa vie, elle ferma les yeux immédiatement quand il lui dit de fermer les yeux, elle ne bougeait pas, ne disant rien, mais elle avait peur. Sentant le froid se poser contre ses paupières, c’était difficile. Elle ne savait pas ce qu’il faisait, sentant l’acier glisser sur sa peau si sensible. Il semblait faire tout son corps, prenant plus de temps près d’endroit stratégique. Elle avait son cœur débattant de plus en plus.
Puis un mot vint…
L’extase, le plaisir pure la parcourut, comme si elle venait de comprendre le sens de la vie. Sentant tout son corps s’extasier sous un ressentit jamais eu. Elle lâcha un faible soupire de plaisir, tremblante a cette instant sous les sensations qui devenait encore plus forte. Ses lèvres tremblaient alors qu’elle voulut ouvrir la bouche, mais a la place ses yeux ouvrir, ses pupilles s’affinant sous la vision. Était-elle morte? Car effectivement devant ses yeux un véritable paradis s’y trouvait, l’incube en double.
Leurs voix parlant, presque comme un écho qui ne put que ravager de plaisir les oreilles de la nocturne.
« Signe, ou le jeux s’arrête. »
Elle ne pouvait s’empêcher, regardant les incubes avec passions, ses yeux montrant se plaisir et ce ravage qu’il venait de lui causer, ses doigts glissant contre son sein gauche, repensant aux mots que l’incube lui avait dit pour le pacte. Elle sourit grandement, se mordant légèrement la lèvre, un léger sursaut lui venant alors qu’elle murmura avec passion.
« Oui… »
Lentement elle soupira, glissant un de ses doigts, partant reproduire ce symbole qu’il lui avait montré un peu avant. Elle tremblait fortement sous le plaisir qui passait dans tout son corps, elle leva ses yeux, fixant l’incube de ses yeux qui suppliait, regardant l’autre incube, cette copie si réel et qui semblait si délicieuse. Elle les voulait, elle voulait ressentait l’incube encre plus, ressentir cette passion causer par deux de lui. C’était si merveilleux, ce qu’il lui avait fait, lui provoquait de petit soupire sous la passion. Elle avait une respiration légèrement plus vite sous l’envie.
« Je… montrer moi l’extase… Je… je suis toute à vous… »
Son doigt finissant alors de tracer ce symbole.
-
Arashi était comme une pauvre proie sans défense, prise dans un immense feu de forêt dont les murs magmatiques se rapprochaient d'elle. Elle n'avait plus aucune chance, et n'en avait jamais eu depuis le début d'une telle aventure. Peut être s'était-elle imaginée qu'à un moment ou un autre, elle aurait pu s'en sortir ; faire mine de lutter. Risible. Arashi était dans l’œil d'un cyclone infernal, lequel gagnait en intensité depuis le début des hostilité.
A présent, la polymorphe ne pouvait plus que suffoquer et finir en cendre. Et c'est peu dire.
En parlant de suffoquer... Arashi allait avoir de quoi faire avec deux membres épais braqués sur elle. Le premier mâle, celui aux yeux d'argent, ne perdit pas une seconde : il s'installa à genoux près du visage de la victime ; son mât tendu, concret, réel, heurta les lèvres de la vampire pour s'approprier sa bouche. Comme la polymorphe y était à présent habituée, le mâle au regard argenté s'empara d'elle comme d'une chose. Ses mains puissantes vinrent prendre possession de sa chevelure pour imposer lui même un rythme lent aux mouvement amples.
Pour le plus grand plaisir d'Arashi, Argent ne semblait pas être une simple copie de Vaelh, mais bien un avatar distinct : en témoigne la manière dont il se régale en découvrant les lèvres, la bouche et la gorges de son amante comme s'il n'avait pas encore pu la goûter. Tandis qu'il frissonnait, son sexe atteignit sa belle taille. En poussant contre la chaire de la victime, le gland du mâle laissait sur son passage la plus luxurieuse et goûteuse des souillures. Ravi d'avoir trouvé un si délicieux défouloir, et taquin de nature, il avait tendance à accentuer ses assauts en les ponctuant d'un mouvements secs à chaque allé.
-Hmmrr... Pas mal. Pas mal du... Hmm, du tout. Tu es aussi étroite ici qu'entre tes cuisses, mortelle ? La provoqua-t-il en ponctuant ses mots d'un mouvement plus ample, pour faire valoir la largeur de son membre, l'air de dire « étroite ou pas, j'y serais serré avec ce que je vais te mettre ».
Pas de doute : Argent s'amusait déjà. Curieux, il cessa même de se mouvoir lui même, privant la pauvre Arashi d'une large moitié de son imposant membre divinement bon, pour voir si elle avait encore la force de s'en occuper elle même, ne serait-ce qu'à coup de langue.
Quant au Vaelh aux yeux d'or, celui auquel la jeune femme s'était habituée jusque là, il couvait sa victime d'un œil ludique. De ses grandes mains, il lui tenait les cuisses écartées comme un rappel de sa condition. Ses doigts fiévreux pétrissaient sa chair sans relâche ni signe de fatigue. Alors, comme un cruel prédateur, il décida qu'il avait encore faim. Il enroula sa main gauche sous la base de son gland humide, pressant son membre en le massant de bas en haut en imprimant à sa manœuvre une subtile rotation du poignet. Ainsi astiqué, le membre du mâle n'avait aucun mal à conserver sa raideur caractéristique.
Son outil bien en main, il le guida contre le petit sexe définitivement souillé de cet amuse-gueule mortelle. Il y entra en force, d'un unique coup de rein qui coupa le souffle d'Arashi déjà bien occupé avec un autre tronc en bouche. Cette fois, Vaelh ne contait pas tourner autour du pot : les premiers coups qu'il donna trahirent son intention de faire de cette baise la dernière de cette session. C'est serait un sprint directe, brutale, histoire de se vider pour de bon. Dans un tel état d'esprit, le Démon n'eut pas la patience d'attendre que la jeune femme esquisse le moindre geste pour se mettre en place. Il se contenta de la pilonner avec toute la force dont il était capable, dans un concert de râles graves et chauds. D'un geste vif, même rageur, il s'empara de la croupe de sa victime pour la coucher sur le flanc, lui écarter les cuisses en grand pour se ménager plus d'espace -et pour son seul plaisir-, et s'allongea derrière elle. Arashi se retrouva complètement exposée, plus nue que jamais, le moindre centimètre carrée de chair intime de son corps révélé dans une position aussi osée.
-C'est ça qui te plaît, sale chienne ? Grondait-il sans pitié à l'oreille de son jouet, poussant sa large verge en avant avec une telle rage que son bassin claquait contre le fessier malmené de la Polymorphe.
De son bras libre, il vint soutenir la cuisse de la créature qui n'était plus qu'un amas de plaisir.
-Te faire bourrer de fond en comble par de grosses queues, c'est ce qui te fait baver d'envie ? cracha à son tour argent en fouillant la chevelure de la jeune femme du bout de ses doigts semblables aux serres d'un rapace insatiable.
-Finir couverte et pleine et foutre bouillant, c'est là tout ce qui te désir ?
Difficile de savoir ce qui était le plus dur : les verges qui la ravageaient, la manière dont on la prenait, ou les mots qu'on lui lançait sans plus cesser ; quoi qu'il en soit, cet odieux manège s'étala sur quelques minutes pendant lesquelles toute la magie des mâles jumeaux posséda la Vampire ou point que son âme ne fut plus qu'une masse de sorcellerie Démoniaque hyper-sensible à la moindre suggestion, jusqu'à ce que le moindre port de sa peau devienne érogène. Les vigueurs des deux mâle fit écho à la déchéance et l'abandon absolu de la polymorphe lors du dernier effort luxurieux, lequel s'acheva, pour argent, en un grondement silencieux pendant qu'il se répandait sur le visage de la victime, et par un râle entrecoupé de spasmes virils pour Vaelh qui gava la chatte étroite qu'il bourrait de son sperme chaud.
C'est au moment d'un tel pic d'extase que, pour Arashi, la réalité se dilua dans une débâcle de lumière blanche qui porta avec elle les fruits de l'inconscience. Son corps fut rompu en deux, en quatre, en mille, et chaque fragment fut plongé dans cette clarté invraisemblable, pour y fondre et s'y évaporer. C'était comme mourir, comme quand l'âme se libère de son enveloppe mortelle. Sauf qu'au lieu d'errer vers une autre réalité, l'âme de la jeune femme, lorsque le plaisir retomba enfin, fut réintégrée petit à petit dans son corps.
Et quand ses sens lui revinrent, elle constata qu'il n'y avait plus aucune trace de Vaelh. Ni sa présence, ni son odeur, ni la débauche qu'il avait laissé sur les draps. Il n'y avait qu'Arashi nue allongée sur le flanc, sur son matelas au draps défaits, un étrange ouvrage au pied du lit. En fait, passé la couverture du livre, laquelle ne portait ni titre, ni marque distinctive, toutes les pages étaient vierges. Un bel ouvrage en soit, mais un ouvrage vide et banale.
Ainsi, à moins qu'elle ai rêvé tout ça, Vaelh l'avait non seulement privé de lui même, mais du plaisir qu'il lui donnait et de sa magie
Mais, pire encore : après l'avoir tant poussé, il avait conduit la Vampire à vivre le monde sous un autre jour, à un autre niveau. Dans cette réalité ou elle était de nouveau conscience, elle pouvait se sentir comme un manque abominable lui tordre les tripes : comment pourrait-elle vivre "normalement" après s'être élevé à de tels niveau de sensation ? Elle pourrait bien essayer de s'adonner aux plus abjectes des orgies, peut être ne retrouverait-elle jamais cette extase.
Jamais.
Comme une droguée en manque, peut être allait-elle se mettre en quête de sa prochaine dose. Bon courage pour la trouver.