Le Grand Jeu
Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => Les bas fonds => Discussion démarrée par: Jason / Joanna le dimanche 03 novembre 2013, 00:45:26
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Du temps s'était écoulé depuis ce soir. Le soir où j'ai transformé une demoiselle qui m'avait charmé en vampire. D'ordinaire, j'aurais du la tuer, ne pas faire cela, mais je ne l'ai pas fait car le charme qu'elle m'a fait m'a transformé en amant. Je l'aimais et encore aujourd'hui, je l'aime comme un fou. Cependant, elle me manque. En effet, la belle et moi, nous n'avions pas décidé de vivre tel le couple cliché. Pas de je t'aime dès le premier soir, pas de vie commune directement non... Elle avait voulu rester libre alors le lendemain de sa transformation, elle m'a quitté. Pas amoureusement, mais physiquement. Elle vie sa vie quelque part sur Terra. Je priais chaque jours pour elle priant qu'elle aille bien. En effet, je me souciais d'elle tout ce temps. Cependant, depuis peu, j'avais décidé de partir à sa recherche.
Franchissant donc un portail après l'avoir trouvé, je me retrouvais sur la fameuse nouvelle Terra. Ce n'est qu'après quelques expériences avec une Slime rencontré par mégarde que j'avais mis pieds à Nexus. En gros, sur Terra, c'est comme une capitale sur Terre. Un lieu où tout se trouvait. Femme, hommes, esclaves ou simples citoyens. Je m'y baladais comme un homme se balade en ville. N'ayant crainte de rien pour le moment, je me mis à réfléchir. Si la miss était là, chose que je préssentais, où serait-elle ? Je m'avançais pour alors réfléchir. Alors que je marchais, je ressentis des gens qui semblaient me suivre. Deux hommes et non des femmes. Visiblement, l'un avait des gènes de dragon vu ses ailes et quelques écailles, l'autre était un simple homme capable de je ne sais quoi. Me détournant donc dans une ruelle, je vins à nous éloigner des ruelles principales.
" .. Vous comptez me suivre longtemps comme ça ?"
Alors que je me retournais, je vis les deux hommes se regarder. Ils voulaient ma personne ? Intrigué, je les laissaient faire. L'homme simple vint à apparaitre devant moi. Il semblait pouvoir faire je ne sais quoi. Courir vite ? Se téléporter ? Tentant de le frapper, je le vis re apparaitre plus loin.
" ... Oh ?"
" Tu vas venir avec nous.. petit esclave.."
Petit ? Esclave ? Serait-ce une blague ? Rigolant de bon coeur, je vis l'homme se téléporter devant moi pour alors me frapper de plein fouet. Reculant, j'essuyais un léger filet de sang. Pas mal... L'homme dragon quant à lui envoyait en ma direction un gerbe de flamme envahissant la ruelle. Le second homme hurlait qu'il ne fallait pas me blesser tandis que les flammes disparaissaient. Alors que j'aurais du être brûlé, je laissais juste une aura se dégager de moi. Les flammes semblaient attirés par celle-ci. Souriant, je la laissais augmenter niveau quantité.
" ... Dégagez..."
Alors que les deux ne semblaient pas d'avis à partir, je donnais un coup de poing vers l'homme téléporteur qui était apparu devant moi. Utile son pouvoir, mais dommage qu'il soit prévisible. Mon aura se mis à l'entourer commençant à le brûler. Alors qu'il gémissait, je m'en pris à l'homme dragon. Celui-ci continuant à envoyer des gerbes de flemmes, pour ma part, je laissais mon aura brûler commençant à presque se voir dans la ville. Une sorte de fumée rouge fumante se dégageait de la ruelle. Doucement, je me contentais d'approcher et saisir l'homme dragon par la gorge, ses écailles regardant la brûlure.
" ... Idiots..."
" A... Attends"
" Je vais te vider de ton sang toi.."
" N... Non... I... Il y a le marché noir pour ça... D...Du sang... De tout type... S'il te plait. Ne me fait rien..."
Le lâchant, je venais à réfléchir une nouvelle fois. Souriant, je me mis à le regarder avant qu'une gigantesque explosion eu lieu. Telle une bombe incendiaire, mon aura avait enflammé la ruelle, laissant derrière moi de simples cadavres consommés par les flammes. Sortant de là, je me dirigeais donc vers ce marché noir dans les bas fond, m'entourant de gens peu recommandable prouvant que j'y étais. Si du sang devait être pris par quelqu'un... S'était le lieu.
Une odeur de sang se faisait sentir et là... Je cru ressentir la belle. Tournant mes yeux de droite à gauche, je ne vis personne qui lui ressemblait, pourtant, je la ressentais. Les dires de la louve étaient vrais. Elle venait ici. Son sang n'était pas loin, je pouvais la ressentir, sa présence était proche et lointaine à la fois. Mon regard tournait encore et encore. Cette sensation de toucher au but et de le voir filer entre mes doigts me rendait dingue. Fronçant les sourcils, je continuais à chercher persuader qu'en cherchant bien, je trouverais. Oui.. J'allais la trouver. Arashi... Attends moi.
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L’esclavage, mot qui répugne tant de gens, chose qui fait réagir toute personne, certains aime choisir un esclave ou même en dresser, d’autre veule leurs libérations… Pour Arashi, la liberté à toujours été importante, d’être libre à 100%, vivre sa vie sans se soucier de personne ou presque et surtout sans servir personne… Mais un évènement avait tout chambouler sa vie : Sa capture et sa vente à un Lord Belmont, au début on pourrait le croire comme tout acheteur d’esclave, mais il était tout de même très différent de ceux qui achète des esclaves pour leurs plaisirs… Enfin, oui il était très différent des maîtres d’esclaves qu’on attendait parler, il donnait une certaines libertés à ceux-ci, ils pouvaient se déplacer, mais toujours revenir à son domaine…
Au fils du temps, elle s’était habituer, même qu’elle en fut heureuse, étrange non? La raison est très simple, cette marque que son maître lui à poser sur son poignet était en qu’elle que sorte une protection, si elle ce forçait à la faire disparaître et réapparaitre, son maître le ressentirait et saurait l’endroit où qu’elle ce trouve et aussi ce symbole montrait son appartenance à la famille Belmont, ainsi donc, aucune chance qu’elle se fasse attraper et vendre à nouveau. Elle avait été la première esclave de Stephen, puis par la suite avait suivis une Terranide louve, Shad elle se nommait, elle n’aimait pas les vampires, mais malgré tout, elle avait pu voir qu’Arashi était une vampire fort différente de beaucoup des vampires autant par ses gestes que pour sa répugnance de boire du sang des veines d’une personne vivante, alors elle avait bien sympathisé et se séparait les tâches dans le domaine. Mais peu de temps après sont arriver elle avait disparue et donc ainsi donnait toute les tâches à faire à la vampire qui avait pu en râler un peu!
Puis elle revint, accompagner du maître, elle avait atterrit dans une maison près des sous-bois sur Terre, le cœur de la vampire ce serra, se remémorant un homme qu’elle n’avait jamais oublier, ce tendre vampire qui en plus de lui avoir donner son corps en premier, s’était fait transformer en vampire grâce à celui-ci. Elle ne l’avait pas oubliée, mais il s’était passé tant de chose depuis la dernière fois qu’ils s’étaient vue, qu’elle n’avait eu le temps de retourner dans ses bras… Shad lui raconta alors sa rencontre avec un vampire, son vampire… Elle lui raconta sa rencontre avec Iruka, elle en fut troubler par tous ses dires, mais elle savait qu’elle rencontrerait dans peu de temps Iruka, qu’ils se croiseront et qu’elle allait devoir lui apprendre son état d’esclave…
À présent, ses sorties pour ses tâches étaient remplie d’incertitude, elle était inquiète et avait peur de voir Iruka, elle ne se sentait pas prête, elle avait peur, tout son état d’être était chamboulée, elle ne savait pu quoi en penser ou quoi faire, elle l’aimait et malgré tout elle avait peur de lui, peur de ses réactions et les dires de Shad l’inquiétait et la faisait redouter cette rencontre qu’elle savait inévitable…
Les bas-fonds, endroit peut recommandable pour tout individus, les gens les plus non recommandable y avait élu domicile, mais à cet endroit ce retrouvais une endroit importante pour la vampire : Le marché noir vampirique. Tout ce qui est bon pour les vampires s’y trouvait et Arashi achetait ses poches de sang à cet endroit, elle était toujours frais et d’un bon goût, malgré que le vampire d’une seule personne pourrait lui donner le meilleur des effets, celui d’Iruka.
Et donc en cette sombre soirée, Arashi avait revêtue une apparence différente (http://bofeng.deviantart.com/art/Beniko-410473860) comme à son habitude, s’étant habitué à prendre différente apparence à chaque fois qu’elle sortait. Direction, bas fond, elle manquait de sang au domaine alors il était inévitable qu’elle devra en faire un plein, mais elle se sentait plus stresser qu’à son habitude, une odeur, faible mais présente se faisait sentir dans l’air, elle sentait le sang d’un homme en particulier, elle savait l’identifier, mais n’était pas sure, elle se dit qu’elle devra acheter tout rapidement pour ensuite partir aussi rapidement au domaine, arriver au marché noir elle s’acheta 6 poches de sang, assez pour deux jours, elle n’aimait pas garder trop de sang, le goût devenait différent si conserver trop longtemps. Alors qu’elle repartait, elle s’arrêta, l’odeur se fit sentir puissante et reconnaissable, Iruka était là.
Elle trembla, ses yeux verdâtres semblait se modifier lentement, quand elle avait soif, ses dons de polymorphie déraillait et elle avait de la misère à tenir son apparence. Mais elle voulait en être sûre et suivit l’odeur du sang, puis au loin elle le vit, la jeune femme sentit tout son courage s’évanouir, les larmes monta à ses yeux, la honte la prenant soudainement, elle aurait tant voulue courir vers lui et lui sauter dans les bras, mais elle avait peur, peur de tant de chose… Avec tristesse elle se retourna et partie dans une direction opposé à celui d’Iruka, son cœur se blessa à son geste, ses yeux se remplie à nouveau d’eau, puis elle s’éloigna un peu plus à pas rapide et sans faire par exprès rentra dans une personne, se coupant par la même occasion le dessus de la main d’une franche coupure dû à l’objet pointue que la personne transportait, elle s’excusa, posa sa bouche sur sa blessure pour récolter le sang coulant, il était sure qu’Iruka l’est sentie à présent, son sang.
Elle se mit à courir, entrant dans une ruelle que rare était les personnes qui y allait, la jeune femme utilisait un chemin qui peu utilisais parce qu’il était plus long à traverser pour se rendre dans la ville et quitter les bas-fonds, pourquoi ne pas utiliser la grande allée? Parce que, si elle devait ce faire attraper par Iruka, elle ne voulait pas qu’il y est personne d’autre… Fuir ainsi l’être aimé la blessa, mais la peur ravageait son corps et la peur est malheureusement une chose très puissante.
*Iru’ pardonne moi d’être si faible…*pensa-t-elle
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Arashi... Elle était tout pour moi. Voilà la dure vérité. Sûrement est-ce pour cela que j'avais été jusque là. Traversant les mondes, j'avais été jusque là afin de retrouver la demoiselle. Après des mésaventures par-ci par-là, après de longs moments à hésiter, après de long instants à me morfondre et imaginer bien des choses, je me retrouvais dans Nexus. Plus précisément dans son marché noir pour trouver là où la demoiselle pourrait être. Au fond, qu'est-ce qui était le plus dur ? La retrouver ? Ou devoir la revoir ? Après tout, une année c'est passée durant son départ. Zéro nouvelles, rien... L'oubli total. Et visiblement, rien ne lui est arrivé. Une lupine me l'avait dit. Elle allait bien. Pourquoi ? Comment ? La question était entière. Une chose était sûre, c'est que je voulais voir ce qu'on m'avait dit pour le croire. Intérieurement, je m'imaginais le pire des cas... la voir complétement assoiffée, déboussolée et autre... Avançant dans cette foule de monde, je sentais son odeur proche d'ici. Pas précisément, mais je le sentais. Pour ma part, ayant un peu de sang sur la main, je pourrais être repéré plus facilement. Son odeur flottait dans l'air, mêlée aux sangs en poche non loin, j'allais toucher en but. Je le préssentais...
" Où es tu Arashi..."
Je murmurais cela à moi-même, poussant gentiment quelques personnes ici et là. Je fouillais dans la foule. Elle était proche. Oui, son odeur me le disait. Elle était là... Elle me voit, je le sais. A moins que ça ne soit qu'une illusion. Mes dents me démengent. Je veux la serrer contre moi, je veux sentir son odeur, pouvoir sentir sa chaleur, voir son regard posé sur moi. Tant d'envies m'empoignent d'un coup... Je me mordille la lèvre nerveusement avant de soudainement détourner la tête sur le côté regardant une personne. L'odeur est proche, trop proche... Elle est là. Je le sent. Mais je ne la vois pas. Du monde est là, partout... Je vais devenir fou je le sent. Mon regard devient de braise, j'ai presque envie de faire exploser l'endroit pour dégager un peu tout ce monde. Mais dans ma pulsion meurtrière qui m'envahit, je revois ce doux visage qu'est celui d'Arashi. Lui faire du mal en étant en colère, même ça j'en serais incapable. Elle m'avait désarmée de toute manière, au point de pouvoir me tuer quand bon lui semblerait. Je n'oserais jamais lever les mains sur elle. Du moins je le pense. Entre la pensée et l'acte, il y a toujours un fossé. Pourtant, même en me l'imaginant, je ne le ferais pas. Je la vois là... Devant moi. Non... Même si elle avait tué ma propre soeur, je ne pourrais pas... Je n'oserais pas. Son odeur m'enivre, je la sent, cependant, elle semble s'étendre. Fuierais-t-elle ? Non, impossible. M'avait-elle repéré ? Ses sens seraient-ils dévellopés comme moi ? Le temps avait fait son affaire peut-être. Plus besoin de coupures pour reconnaitre le sang de chacun connus. En parlant de coupure, voilà qu'un bruit se fit entendre. Visiblement, quelqu'un courait au milieu de ce monde. Me retournant, je ne vis que très peu de choses. Une crinière rouge virvoltait doucement et disparaissait, mais là, une odeur vint frapper brutalement mes narines. Une odeur que je reconnaitrais entre mille. Une odeur forte, sucrée et épicée.
" ARASHI !!! "
Ni une ni deux, je me mis à courir. Passant outre les petites et grandes personnes. Elles me ralentissaient, mais je ne faiblissais pas. J'approchais sans approcher. Elle me filait entre les doigts ? Pourquoi courait-elle ? Arashi... Mon coeur faisant mille et un bonds, je me sentais stressé à un point. Finalement, j'arrivais dans une ruelle plus qu'étroite. Impossible d'utiliser les toits, là encore je me retrouvais à devoir jongler entre étroitesse et personnes faisant barrage. Criant son nom pour tenter de la stopper, je voyais et sentais son sang au sol, j'approchais, elle était là, courait comme pas deux le ferait. L'implorant de se stopper, ce n'est qu'après une grande impulsion que je l'attrapais. Ma main se posait sur une de ses épaules et je tirais vers l'arrière avant de la rattraper dans mes bras. Malheureusement, la vitesse de la course faisait que tout deux, nous tombâmes. Heureusement par contre, s'était moi en dessous.
La femme dans mes bras était bien Arashi, son sang ne me trahissait pas. Re ouvrant les yeux, je pris son bras avec force sans la blesser pour alors la fixer dans les yeux silencieusement. Mon regard tentait de la calmer, je la fixais sévèrement et pourtant, je voulais qu'elle se calme. Que sa respiration se calme. Fixant ses yeux et son état qui semblait redevenir normal puisqu'elle était stressé et déconcentrée, je lui dit d'une voix se voulant rassurante.
" C...C'est moi Arashi... Pas besoin... de me fuir... C'est moi. Iruka..."
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Son cœur bas rapidement, elle le sent qu’il court après elle, elle avait été remarquer, son sang la trahissait, elle se mordit légèrement la lèvre mais continuait sa course et attendait derrière elle la douce voix de son tendre vampire, elle se blessait le cœur à courir, fuir cet être qui la fait rêver, l’être que son cœur ne voudrais jamais oublier, mais là honte, ah la honte change une personne… Arashi ne voulait regarder son amant qui criait son nom derrière elle, elle continuait de s’enfoncer dans les ruelles sombres, il l’implorait de s’arrêter, mais la honte et la peur l’empêchait de l’écouter.
Elle se rappela son départ, il y a un an, cette soirée où elle est morte pour revenir à la vie sous la forme de vampire, les crocs d’Iruka se plantant dans sa chair pour boire son sang, leurs douces ébats mêlant sensualité et sauvagerie. Un frison parcourut son corps et elle dû ce ressaisir, car elle s’avait qu’elle ne pourrait se taire sur une chose précis, son nouvel état d’esclave. La voix d’Iruka la faisait souffrir malgré le bonheur d’entendre sa douce voix. Elle se remémora ce que Shad lui avait dit sur sa rencontre avec lui, certaine chose ne lui ayant pas du tout plu et des choses qu’elle avait appris sur lui qui l’avais fait mal de l’apprendre, ses détails sur sa sœur l’ayant bouleverser… Elle trembla, une larme roulant sur sa joue, tandis qu’elle continuait à courir comme si la mort elle-même lui courrait après.
Il voulait qu’elle s’arrête, l’appelant par son nom, elle avait que le cœur briser à courir pour échapper à l’homme qu’elle aimait, pourquoi autant souffrir? Elle sentie alors une main se poser sur son épaule et la tirer vers l’arrière, lâchant en même temps le sac contenant ses sacs de sang, lentement se retournant pour ce faire coller contre l’homme lui courant après, elle tomba en même temps que celui-ci… Ses bras la serrant et d’une chaleur qu’elle reconnaissait entre mille. Cette chaleur si douce qui la fait trembler doucement, il ouvrit doucement ses yeux rouges et se saisit de son poignet, leurs regards se croisèrent un silence y était si on oubliait la respiration rapide du couple après une course, elle tremblait, son regard paniquer tandis que lui d’Iruka semblait sévère, un nouveau tremblement vint secouer le corps de la vampire polymorphe.
" C...C'est moi Arashi... Pas besoin... de me fuir... C'est moi. Iruka..."
Le regard de la vampire tentait d’éviter le regard du vampire un instant, tout son corps secouer par des tremblements, le stress la secouait, lentement son regard verdâtre ce retourna sur celui d’Iruka, il pouvait lire tant d’émotion dans son regard, la joie, la peine, la tristesse, la peur, l’angoisse, la passion, tant de chose s’entrechoquant. Lentement la voix de la jeune femme ce fit entendre, une teinte différente de ce qu’il est put entendre d’elle la dernière fois :
« Iru…ka… »
Le vampire put voir sous ses yeux le corps de la jeune femme qu’il tenait ce modifier doucement pour lentement former le corps qu’il connaissait tant, ses yeux bleue-violacé le regardant, ses cheveux verdâtre contre son visage, elle trembla, et de longue larme coula le long de son visage alors qu’elle murmura qu’elle que fois le nom du vampire… Elle fut alors secouer d’un autre frison, tremblant de peur à nouveau, elle tentait de penser, mais ses penser était obstruer par diverse penser… Les yeux de la vampire se teintait lentement de rouge pour montrer sa soif, ses légère crocs apparentent, heureusement le symbole sur son poignet n’était pas voyant, cacher sous sa peau.
Son regard se pencha, n’osant pas regarder Iruka dans les yeux, tentant de se libérer lentement de son emprise. Son sang bouillonnant de peur et tentait de calmer ce sentiment de détresse. Elle murmura d’une voix normal d’elle mais mêler avec une grande tristesse :
« Pardonne…moi…Iruka… »
Son corps se secouant de spasme de tristesse, des larmes coulant toujours de ses yeux, elle aurait voulu à cette instant disparaître pour ne plus jamais être visible pour tenter d’étouffer tous ses sentiments qui l’enveloppait, mais c’était impossible, devant elle … Enfin sous elle, se trouvait l’être qu’elle aimait le plus au monde et qu’elle avait malheureusement trahis.
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Arashi était là, contre moi, dans mes bras. Enfermé dans mon étreinte, je la ressentais bien. Clairement, il s'agissait d'elle. La belle au coeur pur. L'humaine naïve, mais si douce. Une femme devenue vampire par amour et par courage. Je la tenais contre moi alors que nous étions sur le sol. Le sang de son corps coulait un poil de part sa main. Il signifiait bien qu'il s'agissait d'Arashi et personne d'autre. Son physique avait changé sûrement de part son pouvoir. Pouvoir extraordinaire et utile. Je voulais tant dire des choses, mais rien ne sortait de ma bouche outre son prénom. Arashi, ma douce Arashi. Après une année d'absence, la revoilà contre moi. Je me demandais bien quelle serait la suite de tout ça. Je l'imagine partir de chez moi. Nue, elle avait fait comment ? Avait-elle pris une forme autre ? Ou un animal ? Quoi qu'il en soit, je l'imaginais en colombe. Une colombe qui déploie ses ailes pour alors voler. Laissant derrière elle des draps souillés de bonheur et de plaisir ainsi que beaucoup d'amour. Je l'enviais, je la désirais et je l'avais devant moi là.
Son corps était tremblant. Elle était comme un grelot, elle était tremblotante comme jamais avant. Si, lors de notre rencontre, elle grelotait de peur ainsi. De la peur ? Mais de quoi ? Je ne suis pas un tueur, je ne suis pas un homme qui lui veux du mal. Je suis Iruka. Ne le voyait-elle pas ? C'est donc courageusement que je lui signalais bien qui j'étais. Je tentais de la calmer tandis que nos corps se répondaient doucement. En effet, la belle laissait échapper d'elle une chaleur qui se mêlait à la mienne. Une chaleur si douce, si envoutante... Ma personne était comblé, un baiser serait l'ultime pièce dans ce puzzle magnifique. Mon coeur battait la chamade, j'étais encore sous le choc. Reprenant mon souffle, laissant la belle trembler encore et encore entre mes bras, son regard se mis à percer le mien. Son regard remplit d'émotions en tout genre. Qu'attendait-elle pour les exprimer ? Je voulais la voir crier, hurler, qu'elle s'exprime depuis tout ce temps. Face à moi,son homme bon sang !!!
Son corps changeait. Doucement, ses cheveux passèrent de roux à verts. Ses yeux devenaient d'un vert à un doux bleu violacé. Son regarde remplit d'émotions belles et tristes à la fois, je rougissais un peu. Elle était encore en état de choc ? Ou bien elle était consciente. La belle vampire était enfin là, devant moi, l'être presque immortel l'ayant transformé il y a un an de cela. Un an et des poussières. Mon poignet dans ses mains, j'observais ses yeux virer au rouge vif. Les poches de sang au sol, je me demandais ce qu'elle choisirait si elle craquait là, maintenant. Pour ma part, je capturais une de ses mains pour alors lécher la plaie de ma langue habile. Son sang... J'en jouissais presque tant il était merveilleux pour moi.
La belle pleurait. Tentant de s'extirper de mon étreinte, elle était là, pleurant sur moi. J'avais face à moi un visage décomposé par la tristesse et l'émotion. C'est donc étonné que je l'écoutais s'excuser. Mais de quoi ? De quoi s'excusait-elle ? De la vérité que je niais ? De la posibilité de trahison que je refusais à croire ? Non... Alors qu'elle déversait un torrent de larmes, je vins emprisonner ses lèvres. Mes lèvres cherchaient leurs jumelles si longtemps attendu. Je ne voulais pas la voir pleurer, pas sur moi, pas avec moi, pas pour moi. Elle était là et moi aussi, alors autant reprendre le train en route non ? Mes lèvres se collaient parfaitement aux siennes, laissant nos souffles saccadés à cause de la course retrouver une allure normale. Ma langue forçait le passage pour aller rencontrer la sienne. Tant attendue comme moment... Son sang, sa langue, son corps... Que demander de plus ? Mon étreinte se fit encore un poil puissant pour la garder avec moi. Tandis que nos langues dansaient, nos salives se mélangeaient provoquant un doux nectar dans nos bouches. Je buvais tout en continuant le baiser jusqu'à céder. Mon muscle buccale s'échappait disant un simple au revoir à la sienne, bien que les retrouvailles se feraient plus souvent là non ? Posant une main libre sur sa joue, je tentais de capter son attention.
" Tout va bien ne t'en fait pas... Je suis là... Arrête de pleurer... T...Tu n'as pas à t'excuser... Arashi, je t'en pris. Dit moi tout. Comment vas tu, pourquoi courrais tu ? ... "
J'espérais qu'elle n'ose pas me mentir. Shad qui la connaissait m'avait parlé d'elle. Elle allait bien de base, alors pourquoi me fuir ? Comment allait-elle bien ? Qui était le responsable de son bien ? Au fond, je me faisais jaloux avant l'heure, mais pour une bonne cause. La gardant contre moi, je laissais ma main glisser de sa joue toujours aussi douce à son corps. Parcourant joue, nuque et dos, je finissais par passer devant pour titiller le ventre. Nous redressant, je la plaquais soigneusement contre le mur pour alors la fixer. Piégée, je la fixais tendrement et à la fois durement. Ma bouche entre ouverte laissant voir mes crocs, le message semblait clair non ? Je voulais mordre et qu'elle fasse de même.
" ... Prend Arashi..."
Dévoilant ma nuque, je posais ma main sur une des siennes, celle blessée la mettant aussi contre le mur. Mon corps musculeux et imposant l'empêchant de se retirer avec une force classique, je m'approchais de sa nuque pour alors tendrement et amoureusement mordre cette chaire qui m'avait tant manqué. Mes crocs parcouraient son corps, sa nuque était mienne. Doucement, j'enfonçais mes canines en elle pour ressentir ce nectar si vital pour nous. J'attendais sa morsure pour gémir de plaisir et en attendant, je caressais nos mains avec un plaisir exprimé clairement. Elle m'avait manqué... Terriblement. Trop longtemps sans la voir et voilà comment je suis, trop fleur bleu. Son sang parcourait ma bouche et je priais que sa peur ne la fasse pas bouger brutalement au risque de la blesser sans le vouloir. Mord Arashi... Mord moi bon sang... Depuis le temps.
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L’amour, la plus belle chose au monde est le sentiment d’aimée une personne inconditionnellement, l’aimer de toute son être sans même ce poser de question, la vampire aimait ce vampire, c’est certains, elle ne l’avait jamais oublier et ne l’oublierais jamais. L’amour qu’elle ressentait pour lui était un sentiment terrible et délicieux, bien sûre cela faisait longtemps qu’ils ne savaient pas vue, voir même trop longtemps, mais tant d’évènement c’était passer, tant de chose avais retardés leurs retrouvailles, mais les voilà enfin c’est cher retrouvaille… Même si elle était arrivée trop tard pour empêcher le geste, peut-être que s’ils s’avaient rencontrés avant sa vente, elle ne serait pas aujourd’hui, une esclave.
Les larmes furent alors étouffer par les lèvres du vampire qui vinrent capturer ceux de la jeune femme, ses chaudes lèvres allant enfin rencontrer leurs âmes sœurs qui s’assemblaient, faites pour être coller ensemble, le corps d’Arashi frissonnant à ce contact qui lui fit battre le cœur encore plus fortement dans sa poitrine, plaisir et tristesse rassembler au même moment, la vampire ferma lentement ses yeux, savourant ce baiser. Lentement la langue d’Iruka brisa la gêne de leurs lèvres pour se frayer un chemin dans sa bouche pour rencontre la langue de la vampire qui alla à la rencontre de celle de l’homme, entrant dans une douce danse érotique qui se voulait douce et désirable, il avait un étreinte sur elle pour qu’elle ne puisse bouger, elle trembla à nouveau, elle avait peur malgré le fait qu’elle se savait en sécurité. Alors que leurs langues se séparèrent la main du garçon ce posa sur sa joue, lentement elle r’ouvrit les yeux pour regarder ceux d’Iruka.
" Tout va bien ne t'en fait pas... Je suis là... Arrête de pleurer... T...Tu n'as pas à t'excuser... Arashi, je t'en pris. Dit moi tout. Comment vas tu, pourquoi courrais tu ? ... "
Elle resta muette, hésitante à parler, tandis que la main d’Iruka glissa le long de sa joue pour ce glisser à son cou puis doucement à son dos, puis doucement elle passa sur son ventre pour lui caresser celui-ci à travers son vêtement… Ils se relevèrent, mais il garda le contrôle, la plaquant doucement contre le mur, il l’observait et la jeune femme pencha son regard vers le sol, tremblant légèrement avant de relever son regard vers celui d’Iruka qui l’observait d’un mélange tendre et sévère, sa bouche était légèrement ouverte, dévoilant ses crocs, il avait soif, comme elle avait soif… Leurs sangs s’attirant et qui semblait ce dirent dans un muet silence de mordre leurs partenaires pour absorber de leurs sang, de ce donner ce plaisir pour démontrer la joie de se retrouver enfin…
" ... Prend Arashi..."
Voilà une invitation faites pour l’inviter à le mordre, pourtant son corps tremblait encore, le stress, la peur, tant de chose mélanger ensemble. Iruka avait emporté sa main blesser contre le mur, l’empêchant de sa force à ce qu’elle ne puisse s’échapper, le regard de la vampire regardant à nouveau de gauche à droite. Lentement sa bouche approcha de sa nuque, elle eut un grand frison qui la parcourut et elle ferma doucement les yeux en sentant alors les crocs de l’homme transpercer sa chair, déclenchant un douce vague de plaisir sanguinaire, lâchant ainsi une douce plainte, son corps frissonnant doucement sous la sensation, elle tentait de résister à cette envie de le mordre… Elle hésitait et tremblait encore légèrement, puis ouvrit ses yeux qui était maintenant totalement rouge, lentement elle se pencha pour faire savoir à Iruka qu’elle partait pour le mordre….
Sa langue sortie de sa bouche allant lentement caresser le cou de son vampire, sa langue caressant amoureusement son cou, sa main libre bougeant lentement pour caresser son dos, puis elle planta ses crocs dans son cou pour lentement sentir ce doux sang couler dans sa bouche, chaud et délicieux, ce goût irremplaçable qui caressait sa gorge, un léger sourire sur ses lèvres, un frison parcourant son corps, un mélange de tant de passion qui la faisait trembler de plaisir. Elle but une gorgée, puis une deuxième et pourtant ses larmes continuait de couler alors qu’elle but une troisième…
Elle sortie doucement ses crocs et lécha ses marques de crocs et son corps fut secouer à nouveau de spasme, mais elle restait coller à lui et lentement elle ouvrit la bouche, elle savait qu’elle allait regretter ses paroles, mais elle se devait de dire la vérité… S’il y avait bien une personne à qui elle ne pourrait pas mentir, c’est bien lui…
« Iruka…J’ai perdue… ma liberté… »
Ses mots avait été lâcher avec lenteur et douleur, elle avait mal qu’à dire ses mots, ses mots qui voulait clairement dire, qu’elle était maintenant une esclave….Elle trembla, laissant doucement son corps plus mou, redoutant la colère d’Iruka, elle avait peur qu’il se fâche contre elle, elle avait les yeux fermés, les sourcils froncer, attendant peut-être ce coup qu’elle redoutait.
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Retrouver l'être cher. Voilà une chose unique au monde. 365 jours, une année, voilà ce qui s'écoulé depuis son départ à mon manoir. Additionné à quelques jours en plus, la belle m'avait terriblement manqué. Elle semblait toujours la même et en forme. Rien que cela, ça me rassurais quant à son état. Mais la suite promettait d'être moins joyeuse, du moins si je savais tout. Pour l'heure, je profitais de nos retrouvailles pour rattraper le temps perdu. Par là, j'entendais réaliser tout ce que nous n'avions pu faire depuis ce temps à savoir s'embrasser et boire notre sang. Ces deux activités étaient les notres, nos principales. Après quoi, je lui demanderais tout. C'est donc avec douceur que j'avais savouré notre baiser romantique et fortement érotique. La passion et l'amour se mêlait parfaitement à cet instant. Suite à cela, je la maîtrisais montrant indirectement qui est le mâle, puis avec une douceur dont elle ne pouvait pas douter, j'étais venu à sa gorge. Gorge pulpeuse, j'avais le plaisir de ne voir aucun autres trous que les miens. Elle n'avait pas été touché fort heureusement. Elle était resté mienne à ce niveau là. C'est donc avec bonheur que je venais m'abreuver à sa nuque. Un an que ce sang n'avait pas coulé dans ma gorge. Ce liquide carmin coulait avec régularité. Tel un bon vin, je dégustais avec joie ce breuvage. Il remplissait mes veines et me renforçait. Je me sentais désormais invincible. Mon corps avait la chaire de poule tant le plaisir était immense. Ma satisfaction était à son summum.
La belle de son côté semblait toujours autant trembler. De joie ? De peur ? Des deux ? Elle était timide de base, mais après un certain moment, voilà qu'au final, elle se mis à lécher ma nuque. Avec tendresse, elle s'empressait à sa façon de me mordre. Laissant son corps parler et son coeur surtout, elle me mordit avec passion. Ses lèvres se plantaient en moi tel un couteau dans du beurre mou. J'étais aux anges. Si bien qu'un gémissement de plaisir se fit entendre. Un " hmmm " qui voulait tout dire. Je laissais ma main serrer la sienne avec une envie nouvelle et toujours présente. Je la voulais auprès de moi à jamais. J'allais le lui dire sans doute. Mon projet.. Vivre ou au moins avoir une maison sur Terra afin de pouvoir la voir plus souvent. Oui voilà mon plan. Quant elle eu finit de boire, elle se retirait avec autant de douceur que lors de la pénétration, et elle léchait ma nuque. Aucun gâchis, voilà sa philosophie et la mienne. Clean, nous étions bien là malgré l'endroit étroit et peu peuplé.
Mais alors que je me sentais satisfait, heureux, comblé, voilà qu'une petite vois se fit entendre. La belle faisait entendre sa voix pour m'avouer une horrible vérité. Elle avait... perdue sa liberté ? Que voulait-elle dire par cela ? Violée et séquestré ? Esclave ? ... Intérieurement, je me sentais en rage et durant une brève seconde, elle pu sentir une pression sur sa main qui prouvait que ces mots avaient eu l'effet d'un gong sur moi. Je la regardais sérieusement avec toujours un peu de douceur pour pas l'effrayer. Bouche bée, je me taisais. Plus libre ? Cela voulait-elle dire que ? Non.... Non !!!
" Qu... Que veux tu dire ? .. Tu es... soumise à quelqu'un ? ... Dit moi qui, je te libérerais sur le champs. Quitte à le tuer qu'importe, je ne veux pas te voir souffrir...."
Sûrement était-ce là que j'allais avoir droit à ma redescende sur terre. Allait-elle m'avouer son statut qu'elle assumait malgré tout ? Comment allais-je le prendre moi . Elle qui voulait être libre, m'avouer qu'elle était plus libre, cela me consternais, mais je ne la frappais pas pour autant. Je ne comprenais pas totalement. Je me contentais de la fixer pour alors lécher sa nuque. Son corps, son odeur ,son sang, tout cela m'avait tant manqué. J'en pouvais presque plus de cette présence. Elle me tuait joyeusement. Le bonheur était si parfait là. Que demander de plus ? Lui caressant une joue avec ma main souillé de son sang, j'étalais ce sang avant de venir le lécher. Avec une douceur passionnelle et envieuse, je lui murmurais.
" Allons parler de ça ailleurs veux tu ?"
Prenant sa main, je voulais l'emmener loin d'ici. Au moins dans une auberge de la ville. Mais qu'allait-elle dire hm ? Et si elle refusait hein ? Ne sachant pas, je laissais la belle choisir la regardant dans les yeux. Qui sait ce qui se passe dans sa tête. Avait-elle peur de mes dires ? Je voyais de la tristesse et de la honte. Sûrement s'en voulait-elle de me dire cela alors qu'elle m'avait refusé, elle dans le passé m'avait refusé de vivre avec moi pour être libre justement alors là... Ceci était comme une blague de mauvais goût. Me penchant vers elle, je venais lui susurrais d'un ton suave.
" S'il te plait Arashi... Il y a tant de choses qu'on a à se dire je pense... Suit moi..."
Mon regard tendre comme furieux sans avoir envie de la frapper pour autant, je tentais de l'emmener dans un coin plus approprié pour parler. Tirant avec légéreté, je voulais nous emmener dans un lieu où être en paix. Elle et moi et uniquement elle et moi. Silencieusement, je me mis à lécher ses lèvres et caresser sa joue avec envie.
" Je t'aime...."
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Ses paroles c’était fait lente, elle avait si peur de sa réaction, c’était pour cette raison qu’elle réagissait ainsi, elle tremblait et alors qu’elle avait terminé sa réponse elle put sentir sa main se faire serrer par celle d’Iruka, elle lâcha une petite plainte de douleur et elle trembla, elle rouvrit un œil pour regarder Iruka, elle trouvait son air effrayant malgré qu’il tente de paraître doux, son corps était secouer de spasme de peu et d’angoisse, son regard paniquer, alors que sa langue récupérer qu’elle que goutte de sang qui perlait sur le coin de ses lèvres roser, un frison parcourant son corps.
" Qu... Que veux tu dire ? .. Tu es... soumise à quelqu'un ? ... Dit moi qui, je te libérerais sur le champs. Quitte à le tuer qu'importe, je ne veux pas te voir souffrir...."
Elle ferma ses yeux et trembla, le tuer… Non, elle ne voulait pas qu’il tue Stephen ou même qu’il essaie, Stephen n’était pas méchant, elle ne souffrait pas avec lui, elle pouvait faire ce qu’elle voulait tant qu’elle revenait à son domaine… Il rapprocha son visage de son cou et elle referma ses yeux et trembla à nouveau, la langue d’Iruka caressa alors sa nuque, elle frémit d’un grand frison qui parcourut alors tout son dos et qui frappa sa nuque. Puis la main d’Iruka caressa sa joue, étallant du sang dessus et sa langue glissa pour venir récolter ce sang, malgré sa douceur, elle le craignait, même si elle savait qu’elle n’avait pas à le craindre.
" Allons parler de ça ailleurs veux tu ?"
Il lui prit la main et elle hésita à le suivre, elle ne voulait pas faire réprimander pour être partie trop longtemps malgré le fait qu’elle est fait toute les tâches qu’ont lui est assigner aujourd’hui. Quand Iruka la regarda, elle pencha son regard au sol, il se pencha pour lui dire d’une voix douce et suave :
" S'il te plait Arashi... Il y a tant de choses qu'on a à se dire je pense... Suit moi..."
Son regard faisait peur, toujours ce regard légèrement furieux qui tentait de se cacher, la jeune femme en tremblait à nouveau, elle ne savait pas quoi faire, son regard parcourut de gauche à droite, il tirait un peu sur sa main pour qu’elle le suive, mais elle ne bougea pas et hésitait beaucoup, son cœur ou la raison? Dure choix que voilà, elle aimait Iruka, mais si elle le suivait, elle allait se faire rechercher par Stephen et elle ne voulait pas que cela se passe mal. Elle trembla à nouveau et se mordit la lèvre tandis qu’Iruka se rapprocha d’elle et lécha tendrement ses lèvres, sa main caressant sa joue, le regard de la jeune femme se ferma et un long frison parcourut son corps.
" Je t'aime...."
Elle frisonna à ses mots et une nouvelle larme coula à son œil, elle l’aimait tant aussi…
« Moi…aussi » Murmura-t-elle.
Elle savait où qu’il pourrait aller pour être tranquille, dans les bas-fonds il n’y a pas juste des mauvaise places, elle connait une auberge très bien camoufler et très privé, leurs chambres bien insonorisé, ils pourront parler en paix… Lentement elle se pencha pour reprendre son sac et vérifier qu’aucun sac n’était briser, heureusement il y en avait aucun de briser. Elle serra la main d’Iruka doucement et son regard l’observa pendant qu’elle que seconde et sans un mot le tira, pour refaire le chemin jusqu’au chemin principale des bas-fonds, elle savait parfaitement où aller, après 5 minutes de marches ils arrivèrent à la petit auberge qu’on nommait dans les environs L’auberge du Silence, nom correspondant très bien à son endroit, lorsqu’elle ouvrit la porte, tenant toujours la main d’Iruka, l’aubergiste, une femme terranide du chat qui avait un bandeau sur son œil droit et qui avait un air bien sévère les observa. Arashi sourit et lui fit un signe de la main et l’aubergiste lui fit un signe et la jeune femme la suivit, sa main serrant un peu plus celle de son tendre vampire.
La femme terranide les emporta devant une chambre et Arashi la remercie d’un mouvement de tête et entra dans la chambre et referma derrière Iruka.
« C’est une Terranide que j’ai aidée il y a longtemps, elle m’offre toujours une chambre gratuite quand je viens ici… Nous serons tranquille, les chambres sont insonorisé, personne risque de nous entendre parler… »
Dans la chambre il y avait un lit double une petite table avec deux chaises, un coffre, mais pas de fenêtre, seuls des chandails éclairait la pièce un peu partout. La jeune femme posa son sac sur la table et trembla légèrement, son regard regardant Iruka, elle eut un doux soupire mêlant tristesse et crainte…
« Un vampire m’a capturer et m’a revendu… Le maître que je sers à présent est un dém… Homme qui heureusement me traite bien… je peux faire ce que je veux, je suis libre, mais je me dois de toujours retourner au domaine ou de ne jamais partir plusieurs jours sans avertir… Iruka… »
Elle avait dit son nom, comme si c’était le plus beau mot au monde qu’elle venait de prononcer, son regard fixant Iruka, elle fit alors un sourire et des grandes larmes s’écroula à nouveau sur son visage à nouveau malgré son sourire.
« Je suis heureuse de te revoir… Pardonne moi… Iru… Je… »
Elle trembla, ses mots se mourant dans sa gorge, son regard se tournant de gauche à droite, fixant le sol, ses doigts se jouant ensemble, elle ne savait pas quoi faire, le stress embarquait, elle se mordit la lèvre doucement sous le stress…
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Le moment était doux et douloureux à la fois. En effet, la révélation qu'elle m'avait faite me chamboulait bien que je ne laissais rien paraitre. Parler semblait être la seule issue, sans quoi, nous allions nous déchirer pour sûr. Je ne voulais pas la voir souffrir, je ne voulais pas la voir aux mains d'un autre. Je la désirais pour moi et uniquement moi. Aussi égoiste cela soit-il, je ne voulais pas la perdre, quitte à devoir faire souffrir autrui. Je l'aimais et elle aussi d'après ses dires. Cependant, était-ce la vérité ? Je ne doutais pas, mais qui sait.... Cette pensée me fit mal, très mal. Pourquoi ? Pourquoi oserait-elle me mentir ? Non, elle ne me mentait pas je le savais. Doucement donc, elle semblait peser le pour et le contre. Elle hésitait, mais finalement, elle m'emmenait là où elle le désirait.
Sa main fine et douce tenait mon poignet et elle me tirait tel un petit poids mort. Je me laissais faire la suivant furtivement. Nous nous faufilions tranquillement dans la foule de monde en tout genre, puis nous arrivâmes devant une auberge. Elle semblait la connaitre alors je lui faisais confiance. L'auberge semblait discrète, parfaite pour un moment comme on allait en passer. Sûrement que joie, douleur et bonheur allait se mêlait, mais il le fallait pour notre bien. Une terranide semblait faire la gueule en me voyant, mais rapidement elle nous laissait passer via une intervention de la demoiselle vampirique. Visiblement, elles se connaissaient et elle avait donc certains droits que d'autre non pas. Quoi qu'il en soit, je me laissais encore traîné jusqu'à la fameuse chambre. Petite , quoi que non... Normale en faite. Elle était parfaite, ni trop spacieuse, ni trop étroite. Nous serions bien là pour discuter.
S'installant, elle tremblait encore de peur. Pourquoi me craignait-elle tant ? Elle ferait mieux de craindre son maître plutôt. Les gentils sont souvent méchants au final. Je m'efforçais de rester calme, bien que depuis son aveux, je me sentais mal. Terriblement mal... L'écoutant donc, elle m'avouait ce qui s'était passé. Capturé par un vampire, revendu et un dém.. ? Démon sans doute... L'avait prise sous son aile pour en prendre soin. Elle m'affirmait être libre, faire ce qu'elle voulait alors qu'avant, elle me disait être esclave. Se foutait-elle de moi ? Alors qu'elle redressait son regard, j'admirais son sourire triste. Un sourire qui me rappelait celui d'une personne. Ma soeur... Avant sa mort, m'imnplorant de fuir et vivre sans elle. Mon coeur manquait un battement en voyant la scène. Des pleures alliés à un sourire ? Voilà une drôle de scène. Pourtant, celle-ci me fit un effet impressionnant. Mon air sérieux fusionnait avec de la tristesse. La voir pleurer me rendait malade. J'en voulais au monde entier et je me battrais pour elle.
S'excusant encore et encore, j'avais de la peine à voir la miss ainsi. Pourtant, un détail me choquait. Elle ne me disait pas s'être battu, comme si elle acceptait son sort de maintenant. Elle n'était plus humaine pourtant. Pourquoi ? Voilà la terrible question. Serrant les points, après un lourd silence, je lui ordonnais d'une voix froide tout en baissant mon regard.
" Cesse de pleurer Arashi..."
Un ordre froid... Première fois que je lui avais parlé ainsi. Poings serrés, coeur de même, je la fixais m'approchant d'elle. Mon corps puissant s'approchait du sien pour alors la plaquer contre le lit. Montant dessus, je me mis à quatre patte au dessus de son corps pour la dominer. L'admirant un bref instant, je la regardais avec ce regard exprimant une déception intérieur. J'avais été nul de la laisser partir, cela avait été une erreur. Triste voilà ce que j'étais. Ma tristesse étant présente, je vins lui dire donc caressant sa joue.
" Pourquoi Arashi ? Tu es une vampire maintenant... Pourquoi ne t'es tu pas rebellé ? Pourquoi tu acceptes ton statut actuel ? C'est l'impression que j'ai. C'est contradictoire. Tu m'as dit dans le passé vouloir être libre, désormais tu es forte, mais tu ne te bat pas pour être libre... Pourquoi Arashi ? "
Frissonnant en sentant son souffle, mon coeur ne pouvait pas retenir plus longtemps mes émotions. Une larme coulait de mes yeux jusqu'à son menton. Une goutte, deux, puis trois... Je pleurais quelque peu. Devant elle, face à elle... J'avais mal de la voir me trahir ainsi. Quoi que trahir est un grand mot, mais c'est l'impression qu'on peut avoir. Je ne voulais pas l'accuser, mais savoir pourquoi elle ne se battait pas était crucial. Si elle me disait aimer son maître parce qu'il est gentil, cela reviendrait presque à de la trahison, mais le mot ne sortirait jamais de ma bouche.
" Si longtemps que je t'attends... Pourquoi ne m'as tu rien dit ? Pourquoi ne t'es tu pas enfuis ou n'as tu pas pris quelques jours de pseudo repos pour venir me retrouver ? M'expliquer etcetc ? Je peux t'aider tu sais.. Je suis là pour ça non ? ... Tu m'as manqué tout ce temps... J'ai presque voulu construire une maison sur Terra rien que pour pouvoir passer plus de temps avec toi. Que dois-je faire hein ? Que puis-je faire maintenant ? Tu vas continuer à rester ainsi ? Réponds moi ... J.... je..."
Il me fallait son souffle... De manière impulsive, mes deux lèvres se posaient sur les siennes. Dans un baiser fougueux, je reliais nos bouches pour un baiser brûlant d'envie et de passion. Ma main droite se posait sur son ventre le caressant au travers des habits. Un toucher puissant et doux, je voulais vraiment pouvoir la ressentir contre moi. Me rassurer de sa présence. Liant nos langues, c'est dans un doux bruit de luxure que nous nous embrassions. Finalisant ce baiser en retirant doucement la langue laissant ainsi un filet de salive nous relier un bref instant, je la regardais intensément, quelque peu plus calme.
" Je ne veux pas te perdre Arashi.. Ne m'abandonne pas...."
Voilà ma peur. Qu'elle m'abandonne, qu'elle me laisse, qu'elle choisisse entre ce qui peut l'être et ce qui ne peux pas l'être. Criant mon amour via les gestes, je me mis sur le côté passant une main sur ses côtes. Je l'attirais contre moi continuant de fixer sa personne, son visage, son corps.
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Le silence se fit, la jeune femme était tendue, pourquoi avoir si peur ? Peur de ses reproches, peur de sa propre faiblesse. Elle était forte, certes, mais mentalement elle était faible, très faible, sa naïveté était pour quelque chose. Elle n’osait pas faire de mal à personne malgré qu’on la blesse, elle ne ripostera que rarement, elle se laissais toujours faire… Parfois c’est une qualité mais s’en est plus un défaut majeur pour la polymorphe vampirique. Le regards de la vampire continuais de ce balader de droite à gauche, ce silence l’angoissais, elle aurait presque voulue disparaître à cette instant pour fuir ce stress que son tendre Iruka lui causait.
" Cesse de pleurer Arashi..."
Froid, sec… Cet ordre avait été lancé par la voix de son vampire, elle frémit, c’était la première fois qu’elle l’entendait lui parler ainsi et elle en eut peur de cette voix qui ce voulait autoritaire envers elle, son cœur même se serra sa main vint essuyer ses larmes qui perlait au coin de ses yeux, elle voyait ses poings serrer et il s’approcha d’elle, elle recula de peur, ses jambes ne pouvant plus reculer à cause du lit bloquant la route, elle se mordit la lèvre, elle eut peur de ses mains, qu’ils s’abattent sur elle sur le coups de la colère, mais il la poussa sur le lit, se plaçant par dessus elle, dominant la jeune femme, le regard de la jeune femme remonta pour voir son regard qui exprimait tristesse et déception. Elle tentait de bouger, mais Iruka l’empêchait de bouger, sa main allant caresser sa joue…
" Pourquoi Arashi ? Tu es une vampire maintenant... Pourquoi ne t'es tu pas rebellé ? Pourquoi tu acceptes ton statut actuel ? C'est l'impression que j'ai. C'est contradictoire. Tu m'as dit dans le passé vouloir être libre, désormais tu es forte, mais tu ne te bat pas pour être libre... Pourquoi Arashi ? "
Lentement une larme coula le long de la joue du vampire, puis suivit une deuxième puis une troisième, voir ainsi son amant sous les émotions devant, la fit trembler, son regard tout aussi triste le regardant… Elle était faible d’esprit, voilà pourquoi elle ne se battait pas, bien qu’elle soit forte, sa tête ne l’était pas encore, elle n’avait jamais été forte sur se coter là, un rien l’affectait, alors un tout était la fin du monde. Stephen était un bon maître, quoiqu’elle soit qu’un esclave à présent, elle n’était pas vraiment traiter ainsi par ce maître démoniaque, c’est pour sa qu’elle ne se rebellait pas, elle pouvait presque vivre comme elle voulait et elle savait aussi que même si elle se sauverait, il la retrouverait et ferais craquer son esprit faible à nouveau… S’il y a bien une personne qu’elle aimait, c’était ce vampire qui se trouvait face à elle et cela ne pouvait se faire contre dire… Jamais elle ne pourrait aimer une personne autre que lui…
" Si longtemps que je t'attends... Pourquoi ne m'as tu rien dit ? Pourquoi ne t'es tu pas enfuis ou n'as tu pas pris quelques jours de pseudo repos pour venir me retrouver ? M'expliquer etcetc ? Je peux t'aider tu sais.. Je suis là pour ça non ? ... Tu m'as manqué tout ce temps... J'ai presque voulu construire une maison sur Terra rien que pour pouvoir passer plus de temps avec toi. Que dois-je faire hein ? Que puis-je faire maintenant ? Tu vas continuer à rester ainsi ? Réponds moi ... J.... je..."
Son cœur battait fortement dans son corps à ses mots, elle ne savait comment réagir, elle avait si mal réagit, cela faisait si longtemps depuis leurs dernières rencontre, mais tant de chose c’était passer depuis ce temps, tant d’événement qui avait fait reporter leurs retrouvailles et pourtant maintenant, ils se retrouvaient enfin, mais pas comme Arashi l’aurait souhaiter… Pas en tant qu’esclave d’un homme autre que lui qu’elle aimait vraiment… Ses penser furent briser par les lèvres chaudes et brûlante d’Iruka qui se colla contre les siennes, fougueux baiser qui s’imprégnait de passion, malgré la tristesse du moment, sa main touchant son ventre au dessus de se tissu, elle trembla alors que leurs langues entrèrent en contact, se cherchant, se cajolant de passion avant de lentement l’enlever, son regard chaud la regardant, tandis que celui de la jeune femme tentait de vouloir se faire rassurant, malgré sa détresse.
" Je ne veux pas te perdre Arashi.. Ne m'abandonne pas...."
Il avait peur… Cette peur qui ravagea même le corps de la jeune femme et lentement ses bras passèrent autour de lui, elle usa de sa force pour le forcer à lâcher pour se coller à son corps. Elle caressa doucement son dos, avec le bout de ses doigts, elle frissonnait doucement, ses yeux se fermant, elle le tenait fermement contre elle, elle voulait qu’ils sentent toute sa chaleur, qu’il sente qu’elle était là avec lui. Elle se dit qu’elle avait toujours été présente depuis le début au domaine, une nuit pas présente, cela ne sera pas la fin du monde…
Elle posa un baiser sur la tête d’Iruka et murmura de sa douce voix qu’elle se voulait calme malgré ses légers tremblements :
«Iruka… Je ne t’abandonnerais jamais… Je t’aime toujours autant que la dernière fois… Cela n’a pas disparu…»
Elle posa un autre baiser sur sa chevelure rouge, ses mains caressant toujours son dos pour lentement glisser jusqu’à son cou qu’elle caresse lentement le coté, l’endroit exact qu’elle a mordu, caressant cet endroit avec amour et passion, sentant légèrement la chevelure de l’homme, elle s’était ennuyer de cela… Son cœur se pinça et elle se mordit la lèvre avant de rouvrir ses yeux et se placer pour faire en sorte que leur visage se retrouve face à lui d’Iruka, elle y posa un rapide baiser sur ses lèvres et prit doucement la main de son vampire dans la sienne et la posa près de l’emplacement de son cœur qui bat doucement.
«C’est impardonnable l’attente que j’ai pu te faire subir… Mais il s’est passé tant de chose depuis ce temps… Des belles choses… Comme des choses affreuses…»
Elle eut un frison d’horreur en repensant à ce viol qu’elle avait subi et ferma ses yeux et les rouvrit pour fixer les yeux de son tendre vampire et elle l’embrassa subitement, son corps secouer de tremblement. Elle prenait ses lèvres d’assaut, ses joues ayant virer au rouge, ses lèvres lui avait tant manquer, sa voix aussi, ses mains, ses crocs, son corps… Tout son corps désirait le sentir un peu plus contre elle, malgré l’envie de lui parler pour entendre encore sa voix.
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Quel moment quand même. Un an s'était écoulé et là, je me sentais comblé. Bien que de la souffrance me tenaillait, je voulais vraiment profiter de l'instant. Mais avant de passer à un quelconque plaisir, nous devions nous expliquer sérieusement. Il ne pouvait pas y avoir de paroles bâclées. Aller droit au but et basta, voilà l'objectif. Mais pour l'heure, j'étais troublé. Troublé de la revoir, troublé de la savoir esclave et surtout, troublé de la voir pleurer.Ses pleures étaient insupportables. Ils me rappelaient ceux de ma soeur et j'aimais pas ça. C'est donc avec autorité que je lui avais parlé. La belle avait pris cela sérieusement et avec peur. Je le lisais en elle, elle avait peur, je la terrorisais avec ce ton. Elle reculait sur le lit tant je lui avais fait peur.
Bref, tout ça pour dire que s'était dur de devoir régler nos soucis avant de se dire retrouver. En effet, je voulais des explications avant de pouvoir me dire heureux. La belle semblait s'en vouloir, mais ne disait rien. Je laissais pour une fois parler mes émotions. Versant quelques larmes, je m'étonnais moi-même. J'avais si mal de cette absence. Soupirant, je tentais de reprendre mon calme, mais cela était impossible, seul un baiser me calmait. Je lui avouais mes peurs les plus secrètes, je jouais franc jeu. Que si elle ne m'avait jamais vu comme j'étais, que là elle le puisse. Je lui avouais ma peur de la perdre. Elle était ma seule promise, ma seule femme et unique personne constituant ma nouvelle famille. Ne serait-il pas cruel de me laisser ? Inversement ne serais-je pas cruel de la renier ? ... Non, je ne voulais pas ça. Qu'elle comprenne ma détresse. Je l'aimais autant que n'importe qui.
Rapidement, elle se mis à me câliner. Usant de sa force, elle me collait contre elle. Ses formes, son corps parfait se collait au mien me faisant ressentir une intense chaleur. Son odeur, sa chaleur, tout était là, elle était vraiment là. Arashi ma belle était contre moi. Je me sentais déjà plus heureux et rassuré, mais cette douceur était aussi à double tranchant. Un véritable poison que j'adorais ingérer. Goûtant à ce plaisir de nouveau, arriverais-je à la laisser partir cette fois ? Je me le demandais.
Baisers et câlins étaient là, mais cela suffirait-il ? Sa peau avait beau êre si douce, ses mains si délicates, franchement, je ne savais pas si cela suffirait à me combler assez. Bien que je ne sois pas difficile, j'écoutais ses paroles me taisant. Oui, j'espérais qu'elle ne me laisserait jamais, mais cette peur était éternelle. Un jour, elle ou moi disparaitre, la vie étant pas infinie... Nous sommes condamnés à souffrir un jour ou l'autre. Me calment doucement, je respirais à plein poumon son odeur. Tandis qu'elle caressait mon corps à des points stratégiques, je finissais par doucement m'abandonner. Pas trop, mais un peu quand même, je lui dit donc repoussant un poil la miss pour pouvoir être bien en face d'elle.;
" Dit moi tout... Pourquoi tu ne te rebelle pas et ensuite tes péripéties durant cette absence ? ... Y-a-t-il des gens qui t'on touchés sans ton consentement ? Comment te sent tu ? Vas tu vraiment bien ? ... Arashi.. S'il te plait, viens avec moi après ce soir... Libère toi et redevient libre..."
Je l'implorais presque, mais au fond, cela ne servirait à rien. Elle savait que ce serait elle qui aurait le dernier mot. Me taisant donc, je la fixais en silence. Durant un instant, je sentais ma main au dessus de son sein. Son coeur battait, fort, régulièrement comme le mien. Je rougissais pour alors me sentir tout chaud. Le moment ne pouvait plus attendre. Finalement, alors qu'elle allait sûrement répondre, je lui volais un baiser remplit de fougue et d'envie. Je la voulais tant...
" Arashi..."
Le ton suave, envieux, il n'y avait pas besoin de faire mille et un dessin. Retirant avec rapidité mon haut, je la laissais admirer ma carrure. Voilà un fruit gardé en pleine santé. Mon torse musclé, sculpté par le temps, le reconnaissait-elle ? Je me penchais pour alors moi me diriger vers ses cuisses. Les écartant via mes mains faisant preuve de virilité, je posais chaques doigts sur sa peau, puis doucement, j'écartais ces cuisses blanches. Sa peau était douce, elle était belle, comme au premier jour. Ni une ni deux, je plongeais ma tête entre ses cuisses pour alors venir faire ressentir mon souffle sur le bas de la belle. Certes, elle avait encore ses habits, mais j'avais l'objectif de la faire mouiller comme personne... Mes mains massant ses cuisses avec plaisir et talent, je déposais ma bouche sur le tissu épais qu'était son bas. Embrassant ici et là, je me contentais de vouloir créer un désir tel qu'elle craquerait. Ou l'inverse... Quoi qu'il en soit, je pense que ce soir, cela serait sauvage.
Insistant avec un certain côté bestiale, je vins doucement remonter vers le haut m'arrêtant à son nombril. Remontant de mes doigts son haut, je dévoilais un peu sa peau. Ma langue vint donc chatouiller cette peau si douce et délicieuse. Sa saveur n'avait pas changé, j'en voulais tellement plus. Titillant ce petit nombril, j'harcelais l'endroit de petits coups de langue mes mains quand à elle continuant de jouer avec son corps notamment au niveau des cuisses.
Je la voulais et ce soir... Rien ni personne ne nous empêchera de jouer comme bon nus semble. Je l'avais retrouver et elle allait avoir droit à bien des traitements spéciaux. Mon souffle chaud caressant son corps avec délicatesse, je murmurais son nom relevant un peu les yeux. Comment trouvait-elle cet élan de sauvagerie et d'envie hm ?
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Les lèvres de la jeune femme tentait de bien s’emparer celle de son âme sœur, mais qu’elle que chose le préoccupait malgré la douceur de ces baisers et la passion qu’elle imposait, elle trembla légèrement, elle désirait tant de chose, cela la mélangeait en même temps, elle voulait parler et en même temps sentir le corps de son tendre vampire contre elle. Pour l’instant seul elle et les lèvres du jeune homme la préoccupait, leurs lèvres se caressant, enveloppé dans une douce danse charnelle. La vampire continuant de caresser doucement sa nuque avec sa main, elle avait une autre envie, autre que se corps… Le mordre à nouveau, goûter à ce sang si goûteux à nouveau, le seul sang qu’elle adore vraiment!
Lentement Iruka brisa le baiser pour la regarder à nouveau, le regard de la polymorphe l’observa et elle se mordit la lèvre, encore stresser par les évènements…
" Dit moi tout... Pourquoi tu ne te rebelle pas et ensuite tes péripéties durant cette absence ? ... Y-a-t-il des gens qui t'on touchés sans ton consentement ? Comment te sent tu ? Vas tu vraiment bien ? ... Arashi.. S'il te plait, viens avec moi après ce soir... Libère toi et redevient libre..."
Il arrêta de parler et le regard de la vampire se pencha sur sa main qui était poser sur son propre cœur, il battait pour une personne, une seule et unique personne, personne ne pourrait le remplacer à cette endroit, car c’est une place unique et personne n’avait voler la place d’Iruka, peu importe les gens qui la toucherons, personne ne pourrais voler cette place. Esclave ou non, elle aimait ce vampire plus que tout… Redevenir libre, cela avait ses désavantages comme des avantages… Elle trembla à nouveau, que faire? Elle ne voulait pas déplaire à son tendre, mais elle savait qu’elle allait le décevoir, lentement elle ouvrit la bouche pour parler, mais les lèvres de l’homme vinrent à la charge et s’emparèrent de ceux d’Arashi qui eut un long frison lui parcourut le long de son dos, un baiser représentant plaisir et luxure, doux mélange invitant le charnel à s’installer.
" Arashi..."
L’entendre dire son nom était plaisant, surtout sur un ton aussi lascif. Un frison parcourut son corps en le voyant enlever son chandail, dévoilant se corps qui l’avait si manquer, un doux sourire vint attraper ses lèvres, elle l’observa et se mordit la lèvre sensuellement, parler seras pour plus tard, il y avait un vide d’un an à combler par avant. Elle lâcha un doux soupire en sentant les mains de l’homme se poser sur ses jambes, caresser sa peau là où qu’aucun vêtement cachait celle-ci. Ses doigts lui rappelait des si bon souvenir, son corps en fut secouer sous le plaisir alors que lentement il écarta ses jambes, pourtant elle était encore habiller…
Lentement, il descendit sa tête vers son bas, son souffle contre ses cuisses et ses vêtements, puis doucement se fut ses lèvres qui y toucha, posant de doux baiser par ici ou par-là, donnant de délicieuse bourrasque de plaisir dans le corps de la vampire qui laissa sortir un léger soupire de bien-être. Ses doigts caressant avec adresse ses cuisses remontèrent doucement, tandis qu’il remonta doucement ses lèvres jusqu’à son nombrils, d’où il posa de doux baiser, se fut par la suite ses doigts qui soulevèrent le tissu de son chandail pour dévoiler sa douce peau, la langue de son amant caressant son nombril avec douceur, faisant réagir la jeune femme à coup de frison. Les mains de l’homme retournant s’amuser à ses cuisses, les caressant avec passion…
Son souffle chaud contre son ventre la fit à nouveau frémir, tout comme lorsqu’il murmurait son nom avec douceur, levant son regard vers celui de la jeune femme qui ne put que lui sourire, sa main allant caresser son visage, elle sut alors que s’était à son tour de jouer. Lentement elle prit le garçon par les épaules le forçant à se coucher sur le dos, la jeune femme se plaçant par-dessus par-dessus lui, ses lèvres se dirigeant vers ses son oreilles pour lui murmurer sous une voix remplie de sensualité et de passion :
« Nous reparlerons de cela… plus tard… Pour l’heure… nous avons une autre préocupation…importante…Iruka »
Elle avait dit son nom dans un murmure presque pervers, ses lèvres glissant alors sur sa joue, puis sur ses lèvres très rapidement, il pouvait sentir le souffle chaud et désireux de la jeune vampire, lentement ses lèvres se frayèrent un chemin jusqu’à sa gorge qu’elle planta légèrement à l’intérieur, seulement pour donner une délicieuse décharge sanguinaire, comme elle savait qu’il aimait avoir. Elle recommença se manège 3 fois à des places différentes, désirant le marquer un peu plus, un autre frison parcourant son corps, sa langue caressant chaque trou qu’elle avait fait avec plaisir et envie, voulant voir s’il y avait du sang qui sortirait de ses plait qu’elle avait nettoyer. Arashi débuta sa descente, caressant le devant de sa gorge de sa bouche pulpeuse, elle la caressa doucement et continue à descendre, posant de doux baiser jusqu’à son propre nombril, elle lança un regard provocateur au vampire et sortie doucement sa langue, caressant le contour de celle place, puis continuant sa descendante jusqu’au bord de ses pantalons, elle posa seulement des baisers à son bord, ses mains taquinant le garçon en tentant d’enlever sa ceinture, la détachant très lentement, pendant ce temps la jeune femme posait de doux baiser sur son torse, attendant qu’il agisse et qu’il reprenne son rôle dominant.
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Plaisir charnel au rendez vous, nous commencions à nous perdre dans nos ébats. A peine commencé, nous voilà sûrement très loin des malheurs de la vie. Il nous fallait oublier et rattraper le temps perdu. Une année, c'est long.. Mais à mon avis, ce temps sera vite rattrapé. Soupirant d'aise, son odeur m'enivrait. Mes caresses, mes touchés, tout cela était fort plaisant à mes yeux et d'après les sons de la belle, cela lui plaisait autant qu'à moi. Au dessus d'elle, je laissais ma bouche et mes mains se faire douce. Plus besoin de me retenir, nous pouvions nous en donner à coeur joie. J'aimais la belle et elle allait le comprendre. En effet, autrefois, sûrement nous y étions aller avec douceur. Là, j'allais pouvoir y aller et pas de main morte. Elle non plus d'ailleurs. Baisers, caresses, paroles douces, tout passait dans ce moment et le résultat en était saisissant.
La regardant, je notais un plaisir certain en elle. Elle appréciait et moi, j'appréciais qu'elle apprécie. J'en étais ivre de joie. Pouvoir lui procurer du plaisir, je me sentais privilégié. La belle était tout pour moi, s'en rendait-elle compte ? Ressentait-elle ce plaisir fou ? Cette envie brutale et puissante ? Mon souffle chaud sur sa peau était une douce caresse que je ne me lassais pas de lui donner. Ce genre d'acte, je pourrais en faire mille, mais avec elle, il n'y avait pas de nombre précis. Le faire autant de fois qu'elle le voudra, cela était mon rêve. Pouvoir être avec elle çà jamais... Quel plaisir.
Doucement, la belle déposait ses petites mains douces sur mes épaules et elle me retournait. Prenant ainsi le dessus, je frissonnais. La miss se voulait dominante ? Voilà qui était étonnante, mais charmant aussi. Que demander de plus hein ? Un peu d'évolution dans une relation ne fait pas de mal. Pouvoir la voir au dessus de moi était un véritable charme. J'étais sous le siens. Son corps, ses courbes, sa poitrine , son regard, toutes ces petites choses me rendaient dingue d'elle en ce moment. Je voulais la toucher, la mordre, lui faire ressentir moult orgasmes. Oui, elle allait avoir droit à un traitement plus qu'exceptionnel ce soir.
Ses baisers, ses caresses, tout cela me faisait frissonner. Ses lèvres étaient d'une douceur unique. Personne ne lui arrivait à la cheville. Rouge tomate, je lâchais un puissant râle de plaisir quand elle me mordit à plusieurs reprises. Hm ? Avait-elle retenue la leçon ? Visiblement oui. Elle mordait pour le plaisir. Un peu de sang coulait de mes plaies, mais cela m'était égale. La suite n'en fut que plus plaisante. En effet, elle usait de sa petite langue. Petit muscle si puissant dans ce genre de moment. Me cambrant un peu pour bomber le torse alors qu'elle l'embrassait et glissait dessus, je la regardais avec un regard envieux et désireux. Oui... Cela venais doucement mais sûrement.
" Arashi..."
Soupire de plaisir, tout ces ébats me rendaient dingue. Alors que le fin cuir de ma ceinture glissait sur mon pantalon, je regardais la belle la laissant faire. Une fois la ceinture retirée, je me redressais pour alors échanger les rôles. L'allongeant la tête à l'autre bord du lit, je vins sourire de manière perverse et si douce à la fois. Mon regard en disait long quant à mes intentions. Sourire aux lèvres, je me mis à baiser sa nuque lui donnant droit à de moult baisers. Doux, envieux, fougueux, il y en avait de toutes sorte, cela juste pour attiser sa soif. Mais la suite était encore plus plaisante. En effet, mes mains puissantes s'emparaient de son chandail si fin pour le soulever et le retirer. Pressé ? Nullement, mais là... Cela s'imposais.
Poitrine nue face à moi, tout deux torse nu, je l'admirais pour alors mordre la belle à la nuque sans retenue . Une morsure passionnelle et si désireuse. Mordant plusieurs fois au même endroit, j'espérais lui transférer bien du plaisir. Pas de douleur, juste du plaisir si attendue depuis tout ce temps.
Mon appétit était éveillé... Son corps... Je ne pouvais plus me retenir. Une main puissante s'occupait d'une cuisse tandis que l'autre s'occupait d'un sein. Le gauche pour être précis. Mais quant était-il du droit ? Et bien la réponse fut simple... Alors que je me retirais de sa nuque, ma bouche gourmande se posa sur celui-ci. Son sein généreux avait droit à de doux baisers suivis de mini morsures. Au final, je mis ses bouts rosés en bouche. Léchant, suçant avidement, un bruit de succion se faisait entendre rendant le moment bien érotique à souhait. Que demander de plus hm ? M'appliquant dans ma tâche, j'espérais qu'elle ne soit point deçu. Alors que je m'occupais de ses seins en léchant, suçant et massant et que je faisais le même genre de massage avec une de ses cuisses, je commençais à réfléchir à comment elle pourrait me prendre Alala... L'amour. Laissant le temps passait quelque peu, je revins à moi après quelques minutes. Me retirant de son sein, je la regardais amusé. Sourire en coin, je vins alors lui murmurer d'une voix mielleuse et tentatrice.
" Tu es toujours aussi délicieuse ma belle ♥ "
Mes mains vinrent masser sa poitrine avec envie. Mes doigts s'enfonçant presque dans ses atouts de chaires, je la regardais avec envie. Prend donc ton pied, car moi, je le prend ma belle... Je voulais la voir devenir folle de plaisir. Qu'elle se laisse porter même.
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" Arashi..."
L’attendre dire son nom était une chose fantastique, sa voix entrait en elle comme le plus délicieux de tous les plaisirs, encore plus plaisant que de se faire mordre, c’était une plaisir quasiment inexplicable, tout un lot de frison la parcourait à ce moment, tant d’idée de plaisir autant doux que tirée d’une belle sauvagerie vampirique, heureusement que cette auberge avait la qualité d’avoir des chambres insonorisé, ils pouvaient faire ce qu’ils souhaitaient sans être pour autant déranger… Tant de plaisir à rattraper, tout se plaisir allant sans aucun doute se faire rattraper en ce soir, en ces murs, entre ses deux personnes qui s’aimait d’un amour sans faille.
Puis il l’allongea à nouveau en direction de l’autre bord de ce lit douillais, leurs regards s’observaient, s’analysait, tous les deux voyais les intentions de l’autre dans le regards, tous les deux en désirant plus, tous les deux eurent un sourire sur leurs lèvres, puis ses lèvres vinrent sur sa nuque, tant de délicieux baisers, tous différent les uns que les autres, donnant tant et tant d’envie à la polymorphe, elle se mordit délicieusement la lèvre, son corps secouer de doux spasmes plaisant.
Les mains du vampire se posèrent sur le bas de son chandail, un frison s’empara d’elle en le sentant emprisonner celui-ci dans ses mains puissant et lentement le fit lever pour faire découvrir sa poitrine cacher toujours par un sous-vêtement blanc…. Une fois le chandail loin, les mains de l’homme s’attaquèrent à se vêtement gâchant la nudité de son haut, une fois que celui-ci rejoignit son chandail, il l’observa et elle eut une légère rougeur à ses joues, un frison la parcourant, puis il vint s’attaquer à sa gorge, ses crocs se plantant dans celle-ci, un doux soupire quittant ses lèvres, si doux et si plaisant soupire, puis se fut une autre qui se chargea à la même endroit, puis tout cela se répéta plusieurs fois, déchargeant dans son corps de douce décharge de plaisir et remplie de doux plaisir qui la faisait lâcher de léger soupires.
Son sein gauche se fit prendre par sa main, un frison s’échappa de son corps à nouveau, son autre mains se posa sur sa cuisse qu’il caressait avec passion. Elle se mordit la lèvre avec plaisir, adorant la sensation qui la prenait, un léger soupire sortie de sa bouche alors qu’elle sentie la bouche d’Iruka quitter sa nuque pour s’installer sur son sein droit. Il était l’heureux choisi pour recevoir de tendre baiser ainsi que de légère morsure qui ne lui fit que du plaisir, un sourire animant les lèvres de la polymorphe vampirique, puis sa langue vint prendre d’assaut sa pointe rosé et commença à jouer avec de diverse manière, toute aussi délicieuse les unes que les autres, on pouvait entendre clairement les sons que sa bouche produisait dans toute la pièce, un léger soupire quittant à nouveau ses lèvres, sa main caressant alors la chevelure de feu de l’homme.
Les minutes passa, il continuait ses caresses avec habileté, sachant comment animer le plaisir de la belle polymorphe qui ne pouvait que soupire d’aise à ses caresser si plaisante, cette bouche, jamais elle ne pourrait s’en lasser, même chose pour ses mains… Elle s’avait tant ennuyer de cela, de ses mains, de sa bouche, de son odeur, de ses crocs… Elle désirait plus et toujours plus, avide de tous ses attributs. Lentement il retira sa bouche de son seins, une plainte de désapprobation quitta les lèvres de la femme, il la regardait d’un air amusé, son sourire en coin pouvant signifier tant de chose. Doucement sa voix se fit entendre d’une manière tentatrice et délicieusement envoutante.
" Tu es toujours aussi délicieuse ma belle "
Ses mains attaquèrent ses deux seins en même temps, les massant avec passion, un frison parcourant son corps quand elle sentait ses doigts s’enfoncer un peu plus dans sa chair, elle ferma lentement ses yeux, le laissant faire doucement, pensant rapidement à ce qu’elle pourrait lui faire subir, elle allait se tourner vers un classique, mais qui n’aimerait pas cela les classiques? Surtout ce qu’elle allait faire…
Lentement elle se mit à genoux, faisant face à son amant, elle l’observa de son doux regard qui s’enflammait de passion et lentement elle approcha son visage du sien, attrapant avec douceur ses lèvres, lui offrant un baiser remplie de passion et de plaisir, elle passa même sa langue pour que leurs langues puissent faire cette torride danse, les mains de la jeune femme se firent baladeuse sur son corps qu’elle commença doucement à caresser, descendant lentement ses mains jusqu’à son pantalon qu’elle fit glisser habillement jusqu’à ses genoux, dévoilant son sous-vêtement, elle caressa la bosse qui se faisait voir, doucement, tout en continuant le baiser…
Quand elle le sentir plus dure, elle fit descendre se vêtement pour finalement dévoiler se membre viril qui réclamait de la tendresse de ses mains, lentement elle le caressa de sa mains, fessant de doux mouvement de va et viens, puis avec douceur sa langue revint en sa bouche et ses lèvres quittèrent leurs amis pour revenir à la charge de son cou, remordant légèrement celui-ci que pour le plaisir que cela lui offrait. Doucement ses lèvres posèrent mille et un baiser tout en descendant progressivement jusqu’à se rendre lentement à son membre, elle était bien pencher, ainsi placer Iruka pouvait admirer son dos si finement travailler et sans défaut apparent jusqu’à ses hanches bien détailler, touchant cacher il pouvait tout du moins s’imaginer ses fesses sous ce tissu…
« Iruka… » Murmura t-elle d’une voix délicieusement douce
Son regard se levant vers lui pour l’observer, puis lentement elle ouvrit la bouche pour caresser très doucement se bout de membre, le tentant à en vouloir plus...
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Le moment était parfait, du moins selon ce qu'on y voit. Pour ma part, je le trouvais parfait puisque là, nous avions mis les soucis de côté. Nous parlerons plus tard des soucis qui nous envahissent. Pour l'heure, nos corps parlaient à la place de nos bouches ou nos esprits. La douceur, l'envie, les tremblements, tout cela se mélangeais lentement pour créer le plus délicieux des plaisirs. Un plaisir ayant attendu plus d'un an, pour sûr que l'instant de ce soir allait être sauvage. Cette chambre allait-être utilisé comme il se doit. Pas question de laisser les draps propres ou peu froissés. Loin de moi l'idée... Après notre passage, ils ne seront que trace de notre nuit d'amour pour sûr. Souriant, je baisais la belle dans la nuque, sur son corps. J'écoutais attentivements chaque sons que la belle produisait. Que ce soit des soupires ou des plaintes, elle était à croquer. Plus que d'ordinaire du moins. Je ne me lassais pas de ce moment torride et encore bien loin du grand final. Le plaisir n'était que sommaire là, le vrai et ultime plaisir serait lors de l'orgasme. Mais avant d'en arriver là, nous avions du temps... Beaucouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuup de temps.
Mon regard dans le sien, alors que je massais sa poitrine, je l'observais usant de ma grandeur. Ainsi dominée, elle était superbe. Je massais sa poitrine avec un doigté presque expert. Masseur de poitrine pro ? Non, loin de là, mais il n'était pas difficile de comprendre que la chaire du sein est moelleuse tandis que le téton une fois stimulé est bien dur. Quand on a compris cela, il est facile de jouer avec. Le tout pour stimuler le tout. Voilà un jeu d'enfant dans lequel je me plaisais énormément. La belle subissait à merveille. Son sourire me rendait si heureux. Ses morsures étaient un véritable aphrodisiaque dont je me nourrissais avec gourmandise. Chaque gestes de la belle était un poison dont j'adorais me délecter. Que de plaisir vraiment...
Finalement, alors que je la massais, elle bougeait. Se retirant de mon emprise sur sa poitrine, elle se mis donc à genoux devant moi. Me regardant avec un regard en disant long, je me mis à sourire pour alors la laisser faire. Ne rompant point son baiser, je la laissais totalement faire. Ses doigts de fée s'occupaient parfaitement de moi. Ils caressaient chaque centimètres de mon corps jusqu'à toucher à mon pantalon. Le descendant en douceur, elle se mis à titiller la bosse légèrement dure au niveau de mon sexe. Ainsi donc, elle voulait déjà y aller ? Remarque... Je dit " déjà ", mais si ça ne tenais qu'à moi, elle serait déjà en train de crier suite à mes nombreuses pénétrations vaginales que je lui aurais faites.
Souriant en coin donc, je fermais les yeux pour savourer cet instant. Sa langue et la mienne continuaient inlassablement la danse endiablé dans nos bouches, de la salive s'échappait un peu d'entre nos lèvres tant notre baiser était désireux et si peu posé.
Finalement, après un temps à se toucher ou autre, la belle quittait ma bouche pour s'occuper de moi. Alors qu'elle me mordait avec passion, qu'elle me caressait avec douceur et qu'elle semblait m'aimer comme personne, je rougissais pour ma part, imaginant mille et une choses en cet instant. Alors qu'elle était penché et semblait vouloir titiller mon membre, pour ma part, j'avais une vue parfaite sur son dos. Dos et fessier. Bien que voilà par ses habits, je pouvais clairement les voir et imaginer. La robustesse, la douceur de ses fesses... Vivement qu'on entende le bruit de claquement entre nos deux corps... En attendant, je laissais une main flirter avec son dos, puis alors qu'elle commençait à embrasser mon membre timidement pour me donner envie, je me mis à grogner de plaisir prouvant la satisfaction que j'avais à la sentir faire ça.
" C... Continu. "
Une plainte de plaisir s'échapper d'entre mes lèvres. Me tendant sous l'effet de plaisir extrême, je voulais qu'elle use de sa bouche pour me sucer, qu'elle joue de sa langue pour lécher celui-ci, qu'elle fasse ressentir chaleur et humidité à cette partie si sensible et désirable d'elle. Visiblement, la belle s'était amélioré dans ce domaine. Jaloux et heureux à la fois, je me demandais jusqu'où elle était aller. Mais pour l'heure, je verrais bien plus tard. Là, je profitais de ce souffle brûlant mon gland si joliment traité par la belle. Elle me faisait languir et cela était frustrant.
" Aller... Entre le dans ta jolie bouche... Suce le avec ardeur... Fait moi jouir dans ta bouche comme jamais tu ne l'as fait Arashi..."
Insistant sur son nom comme quoi il était extrêmement important à mes yeux, je me mis à donner de bref coups de bassins comme pour l'insiter à la faire. Mes mains quant à elles se dirigeaient vers son fessier l'empoignant légèrement. La position actuelle ne me donnait pas droit à un toucher des plus approprié, mais bon, je ferais avec. Désirant lui faire l'amour en passant par la case ébats torrides, je priais qu'elle se dépêche de mettre ce membre en bouche, après tout... il commence à avoir froid ce petit.
Soupirant d'aise, je passais une main sur sa joue, puis sous son menton. Redressant son visage la bouche encore un poil ouverte, je vins chercher sa langue avec la mienne dans un baiser érotique où seules nos langues jouaient ensemble. Les lèvres ne se touchaient pas, seule les langues jouaient et le bruit obscène de celle-ci se faisait entendre joyeusement. Après une brève seconde à faire cela, je lui souriais l'intimant de le faire. D'abréger mes pseudo souffrance à ce niveau là. Que sa bouche ne fasse qu'une bouchée de mon membre. Tel était mon souhait. Que sa fellation fasse envier les dieux et déesses.
" Hmmm... Aller..."
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Le regard de la polymorphe était lever vers celui de son tendre vampire, son regard désireux voulant tout dire, son souffle chaud caressant le membre avec douceur et passion, elle se mordit la lèvre, son corps frissonnant de doux plaisir qui s’éveillais de plus en plus en elle. Elle adorait ce plaisir qui entrait en elle, de plus en plus qu’il arrivait, de plus en plus que le regard de la jeune femme venait démontrer une touche perverse, elle sentit les mains d’Iruka caresser doucement son dos alors qu’elle avait donné un léger coup sur son membre à l’aide de sa langue, sa voix reflétant le plaisir qu’il eut à ce moment.
" C... Continu. "
Arashi voulait faire craquer son vampire, qu’il lui demande de lui faire plaisir, qu’elle l’entre dans sa bouche pour lui faire tout ce qu’elle veut pour qu’il aille le plus grand des plaisir, son souffle chauds caressant toujours son membre, sa bouche si près de son membre tendu qui n’attendais simplement qu’elle ouvre la bouche pour l’engloutir… Elle ouvrit légèrement la bouche pour caresser à nouveau ce membre d’une très délicate caresse, frissonnant à nouveau, un sourire sur ses lèvres alors que sa langue revint dans sa bouche, un doux soupir quittant ses lèvres alors que ses yeux se relevèrent vers Iruka.
" Aller... Entre le dans ta jolie bouche... Suce le avec ardeur... Fait moi jouir dans ta bouche comme jamais tu ne l'as fait Arashi..."
L’entendre dire son nom d’une telle manière la fit frissonner de plaisir, jamais elle ne se laceras de l’entendre dire, aimant particulières cela. Il donnait de léger coup de bassin, tentant de faire entrer son membre, vilain garçon, l’impatience est un mauvais défault, est patience envers Arashi, elle va bien prendre soin de toi… Iruka glissa ses mains jusqu’à ses fesses cachés, il ne pouvait avoir une poigne parfaite, mais il aura la possibilité plus tard.
Alors qu’elle partait pour finalement entrer doucement le membre dans sa bouche, Iruka glissa l’une de ses mains sur sa joue puis sur son menton, faisant doucement relever sa tête vers lui qui se pencha pour attrapper ses avant d’y attraper sa langue pour finalement que seule les langues se touche sans leurs amies les lèvres, obscène baiser et doux plaisir qui secouait le corps de la vampire, se baiser au allure torride l’encourageait à vouloir donner beaucoup du sien, elle lui sourit alors que le *baiser* se termina, l’attente avait assez durer…
" Hmmm... Aller..."
Sans un mot autre que son sourire, elle ouvrit un peu plus la bouche, prenant le membre dans sa main, elle caressa le bout de son membre de sa langue humide, caressant son gland avec passion et amour, sa main fessant de doux va et viens, lentement elle approcha ses lèvres du boût de celui-ci et lentement elle ferma ses yeux avant d’entrer que son gland dans sa bouche, elle d’un geste qui se voulait plaisir elle débuta à faire douce succion à son bout, y restant qu’elle que seconde, variant la force de sa succion de temps en temps pour lui faire le plus de plaisir possible… Elle voulait faire plaisir à Iruka, le plus possible, pour ce rattraper de de cette année sans ce voire, elle s’en voulait tellement…
Lentement, elle glissa le membre un peu plus dans sa bouche, l’enfonçant pour que son boût frappe à l’entrée de sa gorge et elle débuta de doux va et viens, caressant à chaque fois son membre de sa langue, elle lançait souvent des regards à Iruka pour voir s’il aimait cela, une de ses mains allant même jouer légèrement avec ses bourses pour les caresser avec tendresse, puis doucement elle tenta le tout et commença doucement à l’enfoncer dans sa gorge, tremblant légèrement, elle l’a garda quelque seconde et l’enleva avant de refaire deux-trois va et viens et l’enfonça à nouveau dans sa gorge, pas complètement, elle avait peur de s’étouffer, elle espérait que son tendre vampire apprécie ses traitements…
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La luxure, voilà une chose que nous semblions apprécier tout deux. La belle et moi, nous nous en donnions à coeur joie. Bien entendu, avec une certaine retenue mine de rien. En effet, nous étions bien loin de la jouissance. Ce n'était que le doux début, l'heure des ébats torrides et effroyablement excitant. Par la suite nous irons sur l'acte en soit, mais nous avions tout notre temps. Toute la nuit pour être précis et si un seul homme nous empêchait de faire quoi que ce soit, pour sûr que j'en ferais mon affaire personnelle. Hors de question qu'on nous arrête en plein acte. Lors d'une conversation pas encore, pendant un moment câlin mouai, mais durant un acte comme celui-ci, c'est impardonnable. Jamais je ne pardonnerais à qui que ce soit de m'empêcher d'exprimer l'amour et l'envie que j'ai pour elle. Si quelqu'un ose, il aura affaire à moi...
Bref, pour le moment nous étions seul et tant mieux. Mon corps était plus réceptif que jamais aux attentions de la belle. Son début de fellation, sa mise en bouche me faisait un véritable plaisir. J'en raffolais pour être clair. Cependant, je ne pouvais pas me contenter de subir gentiment. Il me fallait agir, d'où mon jeu de langue de tout à l'heure. En effet, cela était largement pervers mais mille fois plus délicieux qu'aucun autre baiser. Des tremblements de plaisir s'étaient fait tant cela avait été plaisant. La belle quant à elle semblait aussi apprécier cela à en juger par ses spames. Mmais bon, suite à cela, elle n'oubliait guère ce qu'elle devait faire, à savoir une fellation digne de ce nom.
Ouvrant timidement la bouche, elle léchait donc ce bout rosé qui me faisait un effet tel que je me cambrais un poil. Un râle d'homme s'échappait d'entre mes lèvres tant cette sensation était douce et agréable. Sa langue me faisait de l'effet, sa chaleur aussi, son souffle titillant lentement mon membre, j'étais aux anges, vraiment... Par la suite, elle vint enfin à mettre en bouche le gland. Ses lèvres scellant divinement celui-ci, je me sentais emprisonné. Entre humidité, chaleur et douceur, ce mix était tout simplement divin. Un dieu ne jouirait tant cela était plaisant. Rougissant quelque peu, je me cambrais d'avantage lui laissant tout le loisir de faire ce qu'elle désirait. Suite à quelques vas et viens désireux, des succions parfaite et alternées et même un toucher délicat au niveau de mes boules... La belle vint tenter une chose dont je ne me serais pas imaginé. En effet, elle osait faire une gorge profonde. Du moins, elle plaçait soigneusement mon membre à la porte de sa gorge. La chaleur y était étouffante. Gémissant, je me laissais faire baissant la tête vers elle pour croiser son regard.
Doux, pervers, ambitieux, son regard était comme je l'aime. Un regard de vrai femme lors de l'acte. Le mien était similaire en cet instant. Je désirais plus, toujours plus. D'ailleurs, alors qu'elle commençait à expérimenter la gorge profonde à vu d'oeil, je posais délicatement mes mains sur sa tête pour alors doucement presser celle-ci. Ainsi donc, chaque fois qu'elle faisait un va et vien, sa tête était pressé de sorte à ce que doucement, ma pine gagne en profondeur. Je lui donnais un coup de pouce, poussant ma bite un peu plus dans sa gorge à chaque fois. Pas d'un coup, mais petit à petit, elle pouvait apprendre à son rythme ce qu'une vraie gorge profonde sans s'étouffer. Le plaisir ainsi décuplé, je me mis à murmurer son nom. Dieu que cet acte était mignon. Retirant mon sexe, le tenant en main je vins lui susurrer doucement.
" Diantre... Tu es devenue plus expérimentée... J'aime cela tu sais ? ... J'espère que de mon côté, j'ai pu m'améliorer. "
Souriant, je revins mettre mon pénis devant sa bouche avant de forcer doucement le passage. Lentement, je reprenais donc l'histoire des vas et viens dans sa bouche. Pouvoir " baiser " sa bouche était une sorte de fantasme qu'on a tous. Là, j'appliquais. Lentement, je faisais de doux vas et viens, prévenant avant d'aller à la gorge. La douceur dégageait était si intense. J'en tremblais de joie presque. Le regard possédé par le plaisir, je me sentais si bien. Et elle ? Se sentait-elle aussi bien que moi ?
" Oh.. Bon sang Arashi... Ta bouche est si douce.. Je m'en lasse pas... Quand le moment viendra, pourrais-je jouir dans ta bouche ?"
Drôle de demande. Peut-être aurais-je du lui faire la surprise plutôt que demander. Tant pis... Caressant ses cheveux, je ne me lassais guère de cet instant entre nous et uniquement nous. La nuit nous appartenait. Une main se libérait pour aller donner une petite claque sur une de ses fesses rebondis. De quoi la stimuler. Un geste coquin remplit d'envie. Continuant inlassablement, je la regardais caressant mon chibre en douceur alors que je le voyais apparaitre et disparaitre dans sa bouche.
" Ca vient... Putain..."
Me crispant, je m'apprêtais à jouir une première fois. Première d'une longue série sans doute.
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Ses vas et viens étaient remplies de passion, cherchant à lui faire tant de bien, entendre ses sons sortir de sa bouche était la chose la plus esquisse qu’elle pouvait entendre et l’encourageait à continuer de plus belle et même tenter de s’améliorer en même temps, son corps désirant de plus en plus de plaisir, désirant sentir les doigts de l’homme la caresser en même temps qu’elle lui offrait cette délicieuse gâterie. Tant de passion dans un simple geste, cherchant tant à faire du plaisir à celui-ci qu’elle pourrait faire cela une journée de temps juste pour le plaisir du jeune homme…
Leurs regards entrèrent en contacts, tous les deux avaient le même genre de regard, délicieusement remplie de luxure envers l’autre, elle retourna son attention sur son membre, continuant à faire ses doux va et viens et ses petites gorges profondes lorsqu’elle sentir alors les mains de son amant se poser sur son crâne, l’encourageant à s’enfoncer un peu plus loin à chaque fois dans sa gorge, elle tentait de s’y habituer pour se sentir alors de moins en moins étouffer par ce membre prenant tant d’espace, ses doigts caressant ses bourses et lentement ses cuisses, frissonnant en attendant son amant murmurer son nom puis lentement il retira le membre de la bouche de la vampire qui fit une plainte de désaccord.
" Diantre... Tu es devenue plus expérimentée... J'aime cela tu sais ? ... J'espère que de mon côté, j'ai pu m'améliorer. "
Elle frissonna légèrement, prenant le compliment avec un certain malaise, mais au moins son Iruka aimait ce qu’elle faisait, c’était l’important, qu’il aime ce plaisir qu’elle lui offrait. Il remit son membre à sa bouche pour forcer le passage de ses lèvres qui s’ouvrit avec plaisir pour laisser se membre pénétrer sa bouche, il faisait de doux va et viens, pénétrant sa bouche et parfois sa gorge après avertissement, elle frissonnait à ses geste, ce qu’elle aimait lui faire plaisir, cela lui avait tant manquer… Mais elle s’avait que cela serait être de courte durée, malgré tous ses sentiments envers lui.
" Oh.. Bon sang Arashi... Ta bouche est si douce.. Je m'en lasse pas... Quand le moment viendra, pourrais-je jouir dans ta bouche ?"
Elle ne dit rien, fermant doucement ses yeux, continuant le traitement qu’elle faisait subir à Iruka, qu’il vienne et aucune goûte ne sortira de sa bouche, elle avalerait tout, ne laissant aucune goûte de son passage, elle frissonna de plaisir juste à cette pensée, son corps réclamant de ses caresses. L’une des mains d’Iruka s’enleva de sa tête pour aller donner une tape sur une de ses fesses cacher, elle eut un léger spasme à ce contact de perversion et sourit, encourager de plus belle à faire de meilleur va et viens, sa langue caressant toujours son membre avec envie.
" Ca vient... Putain..."
Il se crispait et Arashi m’y plus d’ardeur à la tâche, ses va et viens s’accentua et lorsqu’elle commença la sentir sur le point d’exploser, elle l’entra doucement dans sa gorge et elle sentie son membre ‘’exploser’’ sous le plaisir, de long jet sortant et rentrait dans sa gorge, avalant avec plaisir ce liquide passionnel, lentement elle ressortie le membre une fois que tous les jets furent sortie et elle se mit à lentement à le nettoyer de sa langue douce et humide, caressant son bout avec passion, son corps frissonnant de plaisir. Elle réclamait du plaisir aussi…
Lentement elle se remit à genou pour faire face à Iruka, ce collant doucement à lui, sa poitrine se collant à son torse, son corps frissonnant sous la douce chaleur, la vampire embrassa doucement son vampire avec passion, ses doigts commençant à caresser son torse avec plaisir et amour, elle donnait de léger coup de bassin contre son membre, elle voulait des caresses, plus de caresse, oh oui toujours plus. Lentement, elle posa ses mains sur sa jupe l’enlevant doucement et sensuellement avant de la balancer plus loins avec sa culotte. Elle mordit délicatement la lèvre d’Iruka, son regard légèrement teinter de rouge l’observant avec perversion.
Sa main alla chercher son amie, celle de son partenaire, avec tendresse et une certaine point de plaisir à guider cette main, elle vint la guider jusqu’à son entre jambe si bien entretenue, elle trembla légèrement de plaisir, se mordant la lèvre, son regard ce levant vers Iruka, le message était clair, c’était à son tour d’avoir du plaisir. Un sourire de perversion sur ses lèvres.
« Iruka… » Murmura t-elle d'une voix remplie de perversion et de plaisir
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Que de joie, que de plaisir extrême. Sa langue, sa bouche, sa gorge... ces trois composant me faisaient ressentir un plaisir extrême. Alliant chaleur, humidité, compression légère, tout ceci formait un tout des plus jouissif. LA situation pour jouir... Si bien que d'ailleurs, j'allais jouir. Sans sa bouche ou sa gorge, qu'importe, elle allait choisir et moi profiter tranquillement. J'étais aux petits soins avec elle, je m'apprêtais à exploser en elle alors qu'elle redoublait d'effort. En effet, elle continuait chaque gestes avec une force et une envie dépassant l'imaginable. Oui, elle y mettait du coeur, de l'envie ,de la rage. Touch", je fermais les yeux m'apprêtant à exploser finalement. Mon membre gonflait un bref moment puis d'un coup, la pression se relâchait en elle. Gardant ma bite bien dans sa gorge, je sentais mon sperme couler dans sa gorge. Tapissant chaudement les parois, je la laissais faire. Encaissant le premier, second, puis troisième et final jet en elle, elle buvait avec une certaine aisance. Hm... Devrais-je en être ravis ? Ou bien être jaloux que d'autre aient pu essayer cela ? Bref, passant sur ce point négatif possible, je soupirais d'aise, admirant mon membre lustré par ce foutre sortir de sa bouche. Mais pas le temps d'admirer, elle se mis à nettoyer mon sexe avec une passion débordante.
" Hmmmm "
La sensation de sa langue, sur mon pénis était formidable. Elle retirait chaque millilitre de sperme qui le souillait. Soupirant d'aise, je la laissais faire me sentant au paradis. Finalement, après avoir nettoyé comme il faut cet objet procureur de plaisir, je la regardais avec un regard envieux et pervers. Le moment nous possédait. Doucement, suite à son nettoyage parfait sans fautes, je me mis à regarder la belle se remettre proche de moi. Face à face, elle se mis à genoux pour alors donner de bref coups de bassins. Contre mon membre, dommage que l'angle ne soit pas idéal pour une pénétration. Elle me chauffait comme personne et moi, j'aimais ça. Elle retirait sa jupe avec délicatesse et tout en gardant un côté sexy. Nue devant moi, je souriais pour alors admirer sa croupe qui n'avait guère changée. Désirant caresses visiblement, suite à un baiser délicieux, elle guidait une main sur son entre jambe et me laissais faire. Murmurant mon nom pour signaler une envie pressante, je vins lui sourire.
" Soit patiente... "
Doucement, je vins laisser mes doigts entrer bien en contact avec sa chatte. Douce et légrement humide, je m'amusais à me jouer de ces lèvres intimes. Les stimuler, les masser, les écarter. Au final, c'est mon index qui commençait une faible infiltration. En effet, je ne la pénétrais pas totalement avec mon doigt, limite je voulais qu'elle s'empale dessus, mais bon, le plaisir n'en serait pas plus grand pour autant. Qu'est un doigt comparé à un membre ? Souriant de manière coquine, je vins lui lécher la nuque avec envie alors que je collais bien mon corps au sien. Tout deux à genoux, nous étions si bien... Mon doigt doigtant doucement la belle, mes lèvres parcourant sa nuque, le tableau n'était-il pas parfait désormais ? Un an pour arriver à ce bonheur là... J'en rêvais depuis un bail. Sourire aux lèvres, heureux, je finissais par retirer mon doigt notant sans doute un soupire qui avait désapprouvé ce geste. Qu'importe, elle aurait droit à bien plus. La poussant avec légéreté, je l'allongeais dans le sens du lit cette fois, puis avec douceur, je me plaçais en contre bas. La suite semblait évidente non ? Enfonçant mon index, je la doigtais généreusement, puis avec le pouce et le majeur, je me mis à titiller la petite perle rose qui semblait demander tant d'attentions. Rougissant un peu, je voulais provoquer une véritable joie en elle. Un véritable plaisir à la limite de l'orgasme. Souriant donc, je vins lui dire d'un ton pervers et ambitieux.
" Mon doigt ne te suffit plus hm ? .. Il te faut quelque chose de plus stimulant non ? ... Soit..."
Avec lenteur, je me mis à lécher mon doigt lustré à sa cyprine qui commençait à affluer légèrement. Semblant en appétit, je me mis donc à écarter sa chaire tendrement, dévoilant ainsi sa chatte, puis j'y plongeais ma langue avec une douceur remarquable. Doucement, tel un supplice, je rentrais ma langue en elle afin de pouvoir avoir droit au plus délectable des jardins secret. Son antre était unique. Chaude, douce, humide mais pas trop, un vrai délice pour mes papilles. Fermant les yeux pour apprécier, je vins lâcher ses lèvres intimes pour aller m'occuper avec deux doigts de son petit clitoris. Il serait dommage de lâcher ce petit... Jouant de ma langue et de mes doigts donc, je voulais voir ce qu'elle allait ressentir. Avait-elle en elle un plaisir tel qu'elle en demanderais à jamais ? Allez savoir... En tout cas, cette fois sera unique. Encore plus unique que notre première fois à tout les deux. Ma langue jouant dans son antre, limant légèrement ses parois, je goûtais au goût délicat de sa cyprine, désirant m'abreuver.
" Hmmm"
Un simple gémissement démontrant le plaisir que j'avais à lui faire un cunni classique, mais si délectable. Je m'en donnais à coeur joie sur ce coup. J'étais un autre homme, une bête de sexe rien que pour elle en ce soir. Je l'aimais vraiment plus que tout... Soufflant un peu, je vins donner quelques coups de langues sur son bouton rose puis je revins à l'assaut de sa chatte, désirant égaliser les scores en la faisant jouir avant de sûrement la prendre sauvagement dans la pièce. A moins qu'elle me devance.
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" Soit patiente... "
Elle eut un grand frison à ses paroles et à son sourire, tant d’envie, tant de passion… Elle en désirait tant, la jeune femme se mordant légèrement la lèvre sous le ravage de ses frisons, Ses mains caressant le torse du vampire avec délicatesse et passion, lentement il vint caresser son entre jambe avec ses doigts, donnant de doux frison à Arashi qui en réclamait plus, il s’amusait avec elle pour lui donner encore plus d’envie, elle adorait cela, ses doigts commettant digne caresse pour finalement à faire glisser son index légèrement elle, il ne l’enfonça pas complètement, un léger soupire de mécontentement vint des lèvres de la vampire, elle en voulait plus, il sourit à nouveau, collant encore plus leurs corps, ils ne pouvaient être plus coller qu’à ce moment, la jeune femme eu un nouveau frison à la sensation de la bouche du vampire contre son cou, elle eut un léger soupire en sentant finalement son doigts entrer et débuter de doux va et viens, elle aimait beaucoup cela, sa calmait cette pulsion intense qu’elle avait, mais il arrêta, retirant ce doigt, laissant la vampire lâcher un petit son de désaccord, elle voulait qu’il continue!
Puis il l’a poussa doucement pour qu’elle soit allonger, il n’était par-dessus elle à son grand étonnement, son visage se situait près de son entre jambe, elle rougit légèrement, elle se doutait de ce qui allait arriver et elle ne pouvait s’empêcher de soupirer de plaisir à cette idée, un sourire sur ses lèvres alors qu’elle commença à sentir le doigt du vampire entrer en elle, ses va et vient se faisant rapide et si plaisant, rehaussant son plaisir au lieu de le calmer, un tremblement venant secouer son corps alors que deux doigts vinrent s’emparer de son bouton de chair, s’amusant avec ses doigts alors qu’elle laissait sortir de léger soupire, elle adorait cela, c’est certains, elle en réclamait plus, murmurant légèrement le nom d’Iruka.
" Mon doigt ne te suffit plus hm ? .. Il te faut quelque chose de plus stimulant non ? ... Soit..."
Il avait enlevé son doigt et devant elle il lécha son doigts emplie de ce doux jus de plaisir, elle frissonna… Lentement il se pencha, écartant légèrement ses chaires rosées, il n’allait pas…? Si, il allait le faire… Avec lenteur sa langue se frotta à son entrée, elle laissa sortir un franc soupire de plaisir, frissonnant de tout son corps. Alors que sa langue vint se frayer un chemin en elle, elle laissait de doux soupire quitter ses lèvres, de vrai et désireux désir de plaisir qui parcourait tout son corps. Elle crut que cela allait rester ainsi, mais fut agréablement surprise lorsqu’elle sentie deux doigts venir sur son bouton de chair et le caresser doucement, la vampire laissant des gémissement sortir, elle adorait cela. Ses caresses de langues, ses toucher, elle adorait tout, elle ne voulait pas que cela se termine, lui non plus si on se fiait à ses réactions.
La vampire tremblait de plaisir, plus qu’il continuait, plus elle se sentait se remplir de plaisir, elle commençait doucement à se sentir de plus en plus brûlante de désir et cherchait à diminuer ce plaisir, pour le garder plus longtemps, mais rien à faire, plus qu’il continuait, plus la vampire lâchait de douce plainte qui démontrait tout son plaisir à cette langue et à ses doigts, elle à reprendre ainsi son souffle, son corps se secouant de doux spasmes, ses doigts allant caresser la chevelure rouge du garçon, elle voulait qu’il continue, toujours et toujours, plus et toujours plus… Elle soupirait, tremblait, gémissait doucement pour démontrer cette dose augmentant.
Lentement elle entra en phase qu’elle ne pouvait contrôler, elle serra doucement ses doigts sur la tête d’Iruka, elle la retenait pour qu’il reste bien en place, qu’il continue ses traitements sans s’arrêter car ceux-ci provoquait de plus en plus des doses encore plus grande…
-Iruk…a… Je…je… je vais jouir…
Elle lâcha alors un grand soupire de plaisir, frissonnant de tout son corps, se mordant la lèvre de plaisir et tentait de se retenir mais lentement se laissa aller, laissant la première jouissance arriver… Son corps ayant de doux spasme s’exprimant après avoir jouis, un sourire sur ses lèvres, mais elle n’était loin d’être rassasier de plaisir, elle en voulait encore… Elle se releva lentement, juste assez pour sauter sur Iruka, elle par-dessus lui, placer en califourchon sur lui, elle l’observa, ses yeux rouges le fixant, un sourire sur ses lèvres, ses crocs se dévoilant, elle se pencha léchant grandement son cou avec sa langue et planta ses crocs par plaisir et pour boire légèrement de son sang, un frison de plaisir l’enveloppant alors qu’elle buvait du sang… Mais elle savait que bientôt elle en aurait plus, bien plus…
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Nos retrouvailles étaient si belle. Je me mis presque à oublier deux trois soucis à côté de cela. Le fait qu'elle ne soit plus libre, le fait qu'elle m'ait manquée... Désormais, j'étais à cent pour cent libre. Je me sentais bien. Terriblement bien. Je me faisais un plaisir de la faire gémir. Entendre ses gémissements, écouter ses soupires de plaisir, ses souffles... Tout cela était une symphonie à mes oreilles, j'en jouissais presque tant cela était bon. Je faisais attention à tout ce qu'elle faisait. Que ce soit serrer les draps, les froisser, sourire, se cambrer, bouger... Rien ne m'échappait. Je notais chacune de ses réactions pour pouvoir sauter dessus et ainsi avoir toujours le premier rôle. Le but étant bien entendu de la faire grimper aux rideaux rapidement. Ma langue s'occupait de son intimité et mes doigts de son bouton de plaisir. Les deux alliés, ils procuraient un tel plaisir. Je le remarquais bien à ses soupirs. Elle était aux anges.
Lentement, ses doigts vinrent se perdre dans ma chevelure. M'empêchant de m'échapper de cet endroit chaleureux qu'était sa chatte, j'étais condamné à lui faire plaisir. Ma langue continuait et augmentait la cadence tandis que mes massages sur son clitoris continuaient inlassablement. Finalement, la belle semblait craquer. Après un certain moment à se retenir, la belle semblait enfin se relâcher. Son vagin se détendait après s'être serré. Finalement, le liquide tant attendu finissait par arriver. Pour ma part, piégé à cet endroit, je buvais généreusement ce jus de plaisir si durement acquis. Ses spasmes alliés aux miens, le tout était fortement plaisant. M'abreuvant de sa mouille, je finissais par me retirer, mais pas le temps de souffler. Heureusement.
La belle se mis sur moi pour dominer le moment. Elle se mis à mordre ma nuque avec envie. Ses crocs pénétraient ma peau sans mal. Mon sang giclait dans sa bouche généreusement, elle pouvait de nouveau goûter à ce liquide carmin qui était sous son charme. Le goût sucré et épicé devait sûrement lui faire plaisir. Un sang qui dépassait tout ces sang en poche. MON sang... Souriant, je me laissais faire, laissant mes mains parcourir son dos. Lentement, je laissais mes doigts glisser sur sa peau dénudée. Lentement, je laissais une main agripper une fesse pour la masser avec envie. Claquant, pinçant doucement, massant, je m'en donnais à coeur joie démontrant clairement que son corps était toujours et à jamais attirant. Que demander de plus hm ? Avoir une âme pure comme elle ? Avec elle, j'avais la totale.
Après un certain temps, alors que la belle me pompait généreusement, je revins à moi ne pouvant pas rester ainsi en ne faisant rien. Ma vigourosité était toujours à jour. Prêt à reprendre la baise endiablé, je comptais bien profiter de son état. Lentement, je positionnais mon membre à l'entrée de son antre humide et chaleureuse. Les préliminaires terminés, franchement, qu'avais-je à faire hm ? Une seule chose me vint à l'esprit. D'un coup sec, je me mis à la pénétrer alors qu'elle était en pleine succion de mon sang. De quoi la réveiller. Souriant, je sentais de plus belle mon membre emprisonné dans ce temple de chaire. Serré, doux, chaleureux et humide, il était parfait selon moi. Ma bite vigoureuse était vraiment contente, cela se ressentais. En effet, celle-ci tressautait fièrement alors qu'elle écartait ses chaires si délicieuses. Poussant un long soupire, je me calais au fond de cette intimité pour alors me refaire à cette état. Un pur plaisir, franchement...
" Arashi... Mon dieu que c'est bon... D'être à nouveau unis..."
Unis oui... Tant par l'âme que le corps. Souriant, je me collais bien à elle, l'emprisonnant dans mes bras puissants. Avec lenteur, je retirais mon membre imposant pour le faire presque sortir d'elle. Mais alors que le gland allait être en dehors d'elle, je redonnais un coup de rein puissant allant reloger mon chibre au fond d'elle. Ce mouvement m'arrachait un puissant rugissement de plaisir. Tant cela était bon, je me rendais vraiment compte à quel point elle était délicieuse comme demoiselle.
Recommençant le geste durant quelques minutes, je finissais par attendre sa réaction. Laissant mon membre en elle, bien au chaud, je la regardais amusé. Aimait-elle ce traitement spécial ? Pour ma part, oui, j'appréciais ce que je lui faisais subir. Léchant sa délicieuse nuque limite vierge de morsures, je vins lui susurrer amoureusement.
" Je t'aime tant Ara... J'ai tant envie d'être avec toi. Pour toujours, à jamais... Hmmm...."
Souriant, je vins lui mordre le coup pour à mon tour déguster son sang. Mon membre lui palpitait tranquillement en elle, demandant bien des attentions. Elle avait toutes les règles en main, à elle de jouer avec.
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Son sang était ce qui avait de plus délicieux dans tout l’univers, si délicieux qu’elle avait de la misère à pouvoir ce contrôler à la sensation de boire dans cette boisson rougeâtre et qui redonnais tant de force au corps de la jeune vampire. Ses crocs étaient bien enfoncées dans cette chair si tendre et si douce, récoltant se liquide sans y perde une goûte. Arashi sentit alors ses mains s’aventurer dans son dos, caressant tendrement chaque parcelle de celle-ci, une de ses mains vint même à caresser l’une de ses fesses et la masser d’une douce et terrible envie qui la fit frissonner, cette main vint même à y faire diverse chose. Tant de passion dans si peu de geste, elle ne pouvait s’empêcher d’adorer cela.
La femme continuait de boire ce sang offert à elle si généreusement, ses doigts caressant la peau près de l’endroit qu’elle mordait, frissonnant à chaque fois qu’un peu de son sang coulait dans sa gorge, elle ne se lasserait jamais de cela, oh grand jamais… Elle en était même hypnotiser, oubliant tout ce qui l’entourait et ne sentie point le membre caresser son entrée accueillante. Alors qu’elle était toujours en pleine succion, elle lâcha rapidement sa nuque pour laisser un doux soupire de plaisir sortir de sa bouche en sentant le pieu de chair s’enfoncer en elle, ses chairs s’écartant lentement de plus en plus qu’il entrait en elle, de doux soupire quittant ses lèvres alors que le membre entra complètement dans cette zone si accueillante.
" Arashi... Mon dieu que c'est bon... D'être à nouveau unis..."
Elle eut un frison qui parcourut son corps alors qu’elle sentit ses bras passer autour d’elle, l’emprisonnant dans une prison confortable et protecteur, oubliant tous les évènements qui c’était passer, son corps frissonnant d’un doux désire, à cette instant elle aurait voulue tout oublier et qu’appartenir qu’à cet homme qu’elle avait jamais oubliée et qu’elle aimée de tout son cœur et de toute son âme… Ah qu’elle regrettait être une esclave à cet instant… Mais le mal est fait et elle devra vivre avec. Lentement et avec douceur le membre commença à sortir d’elle, elle lâcha une légère plainte de désaccord, ses yeux se faisant triste alors qu’elle pensait qu’il allait le retirer. Loin était l’idée alors qu’elle sentie le membre entrer à nouveau en elle, entrant jusqu’au fond, un long et délicieux soupire quittant ses lèvres alors que ses doigts serrèrent la couverture sous le plaisir, nos deux timbres de plaisir s’ayant rassemblés dans ce soupire si délicieux qui les rassemblaient…
Puis les mouvements se refirent encore et encore, le temps passa et toujours autant de plaisir se faisait ressentir à chaque mouvement qui se faisait toujours sous un rythme pervers, la vampire poussait de doux soupires démontrant tout ce plaisir qu’elle avait à cette instant qu’elle ne voulait qu’il s’arrête jamais. La langue de l’homme à la chevelure de feu caressais sa nuque à des endroits qu’il n’avait encore jamais mordu, elle savait ce qu’il allait arriver, elle n’avait que trop hâte de ressentir à nouveau ses crocs se planter dans sa chair qui n’attendait que sa morsure, son sang qui sort de sa chair pour s’offrir à son amant telle le plus beau de tous les cadeaux.
" Je t'aime tant Ara... J'ai tant envie d'être avec toi. Pour toujours, à jamais... Hmmm...."
Son sourire se faisait tendre, elle se sentit fondre sous son regard qu’elle adorait tant, ses yeux que jamais elle ne voudrait cesser de les regarder tant qu’il l’hypnotisait, elle se mordit la lèvre avec un léger frison alors que les doux mouvements de va et viens continuaient à se faire. Elle aussi voudrait être avec lui pour toujours, maintenant plus que jamais… Mais hélas, elle ne pouvait point, elle savait que si elle fuyait, elle se ferait retrouver... À cette penser, son visage commença à perdre ce doux sourire, mais les crocs de son amant qui perça sa peau lui fit rapidement retrouver son sourire, un doux soupire sortant de sa bouche sous la sensation de la douce morsure.
Tout son corps frissonnait de plaisir, sa main caressant sa chevelure de feu alors qu’il buvait de son sang, elle ferma lentement ses yeux, faisant de doux va et viens de son bassin sur le membre tendu de son amant, elle laisse sortir de doux soupire dans le creux de son oreille, démontrant son affection à ses morsures et à se membre qui se bougeait doucement en elle, le calme avant la tempête, la douceur avant la possession. Alors qu’il buvait encore de son sang, la vampire commença à lui murmure mainte parole perverse dans le creux de son oreille, des idées de la suite des choses, des envies, des désirs, tant de chose qu’il pouvait qu’en avoir plus de plaisir.
Alors qu’elle sentie le vampire enlever finalement ses crocs, elle lui offrit un sourire remplie de perversion et d’envie et usant de sa force, elle les fit changer de position, la voilà dos au lit, et lui par-dessus elle, leurs regards s’entrecroisant. Sa langue vint avec douceur caresser ses propres lèvres, son regard teinter de rouge fixant celui de son vampire, elle ne pouvait s’empêcher d’avoir soif lorsqu’elle était si près de lui, son sang lui ayant tant manquer qu’elle ne pouvait s’empêcher d’en vouloir toujours plus. Lentement elle donna un léger coup de bassin pour sentir son membre entrer en elle à nouveau, un soupire quittant ses lèvres alors qu’elle leva une main pour caresser la joue de son tendre et lui dire sur un ton remplie de douceur et d’amour :
« Iruka… Je t’aime… »
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Que de plaisir, que de joie. Ce moment était divin. Pouvoir sentir la chaleur de la belle, sentir son corps contre le mien, pouvoir l'admirer dans les yeux. Tout ces petits détails formaient un tout qui avait une grande importance à mes yeux. Je n'imaginais pas la vie sans elle, loin de là. Je voulais vraiment qu'elle ne soit plus une esclaven mais comment faire ? ... Outre lui effacer la mémoire, je ne voyais pas d'autre moyen. Certes, négocier avec son " maître " pourrait être une alternative, mais je suppose bien que celui-ci refuse d'avance. Quel genre de maître accepte de relâcher son esclave comme ça. Même avec toutes les bonnes raisons au monde, personne n'accepte. Bref, gardant cette option en tête, je préférais me remettre à l'acte plutôt que me torturer l'esprit. La belle semblait comblée comme moi je l'étais. Son sang au goût divin me rendait heureux comme jamais je ne l'avait été avant. Il avait un goût spécial, enivrant, hypnotisant. Jamais je ne voulais la perdre. Ce sang était si bon que j'avais presque du mal à retirer mes crocs de sa nuque, mais il me fallait bien que je le fasse, sans quoi, lui boire tout son sang lui serait fatal.
La belle me susurrait de belles paroles parlant de bien des pratiques. Fellation, amour torride, tout était abordé. Ainsi donc, je devais la prendre ainsi et comme ça ? Voilà qui me boostais bien. Souriant, je me retirais lentement de sa nuque que la belle me fit bouger. Usant de sa force, elle nous changeait de place, me donnant celle de dominant. Huhu...
Son regard croisant le mien, j'y voyais tant de tendresse et d'amour que j'en fut touché. Alors qu'elle donnait un coup de bassin pour nous réunir de plus belle, je lâchais un profond râle masculin montrant ainsi que ce coup m'avait fait du bien. Alors qu'elle caressait ma joue, je l'écoutais me dire qu'elle m'aimait. Alala... Elle me faisait tourner la tête. Rougissant, je vins mordre ma lèvre pour la faire saigner et suite à cela, je me penchais pour accentuer ses vas et viens, mais surtout... l'embrasser en donnant de mon sang. La gourmande avait une soif qui semblait trop grande. Plus grande que d'ordinaire du moins... J'en étais heureux, cela prouvait qu'elle m'aimait. Pauvres autre partenaires, ils avaient du en chier si elle mordait ainsi. Mais vu que j'en doute... J'étais le seul provilégié. Cette pensée me rassurait presque. Souriant donc en la voyant si douce, je me reculais pour rompre ce baiser sans rompre notre connection en bas par contre.
" Moi aussi... Comme un fou. "
Posant mes bras sur ses côtes, je començais à donner de vifs coups de reins rythmés sur une cadence plutpot puissante. Le but étant d'arriver au moment de jouissance. Mais bien sûr, il serait bien de profiter bien entendu, c'est donc dans cet optique que après un certain moment, je me mis à calmer mes avances, prenant un rythme plutôt lent et plaisant. Mon sourire taquin aux lèvres montrait bien que j'appréciais cet instant magique. Après un petit instant à me câler sur ce rythme divin, je laissais une main caresser son menton pour lui faire une petite chatouille, histoire de rester enfantin avec elle, comme toujours. Puis cette main après cet instant mignon vint se frotter à son sein avant de finalement le malaxer sans trop de gêne. Passant entre mes doigts, je m'amusais à bien le prendre en main, le câliner et finalement ,jouer avec. Cette partie d'elle me plaisait c'est indéniable et cela serait mentir de dire qu'elle n'était pas apprécié des autres pour cela aussi.
Soupirant d'aise alors que mon membre tapait au fond d'elle, je me mis à la regarder fièvreusement. Oui, j'avais envie d'elle, terriblement envie d'elle. Pouvoir sentir mon foutre gicler généreusement en elle, sentir cet union total. Mais avant... Je me permis une dégustation gourmande de sa poitrine, retournant jouer de mes lèvres dessus, autour et sur ses pointes rosées. Une fois ceci fait, je me sentais tressaillir. L'acte commençant à durer un poil, je me sentais apte à jouir une nouvelle fois. Suite à quoi, sûrement nous ferons une pause, mais avant... C'est donc de façon bestiale que je la retournais sur le ventre. Me posant bien contre elle, je me remis en elle afin que mes coups soient puissants et bien ressentit. Le plaisir arrivant enfin, je finissais ce moment sur des notes puissantes, allant bien au fond d'elle, limant son intimité comme personne avant de finalement finir en elle. Mon membre brûlant à la limite du picotement douloureux crachait ce liquide en elle, tapissant généreusement son intimité chaude voire brûlante. Laissant un râle puissant se faire entendre, je commençais à baisser la cadence de mes vas et viens sans pour autant les stopper. La belle n'avait pas jouis que je sache, sauf tout à l'heure...
C'est donc de manière gentille que je vins titiller son clitoris de manière intense, le solicitant une dernière fois afin que cet acte soit équitable. Embrassant sa nuque collé contre elle, je me mis à mon tour à dire des paroles perverses dans le but de la faire craquer une ultime fois.
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L’appétit vampirique d’Arashi était en ce soir impossible à calmer, la soif toujours présente depuis qu’elle avait but son sang peu de temps avant. Son sang lui redonnait la force autant physiquement que mentalement, elle se sentait bien à chaque gouttelette de ce sang si délicieux, mais elle devait se calmer pour ne pas vouloir tout boire ce sang si addictif, elle devait le garder en forme, même si n’aurait pas été contre deux ou trois autres gorgées de sang, elle eut un léger sourire lorsqu’elle le vue mordre sa lèvre, devinant ce qui s’en venait à la vue de la coupure, un frison parcourut son corps alors qu’il posa ses lèvres sur les siennes dans un doux et morbide baiser.
" Moi aussi... Comme un fou. "
Un sourire ce dessina encore plus grand sur ses lèvres, un frison parcourant rapidement son corps alors qu’elle sentie ses bras se poser sur ses côtes, sentir son corps plus près avait toujours été très plaisant, mais lorsqu’il commença à donner de franc coup de bassin dans un mouvement toujours plus puissant, la vampire ne put s’empêcher de pousser de délicieuse râle de plaisir, chaque mouvement l’emportait encore plus loin dans un plaisir qui l’accablait de plus en plus. Elle adorait tant cela, ses doigts serrant la couverture entre ceux-ci, haletant légèrement de plaisir alors qu’il commença doucement à calmer son rythme, démontrant lenteur et profondeur sous les souffles plaisant de sa compagne.
Sa main caressa son menton, un léger rire sortant de sa bouche à ce frison démontrant qu’elle était sensible de cette zone au chatouille. Puis cette main vint à son sein, caressant d’un geste habile et connaisseur celui-ci, un nouveau frison parcourut le corps de la vampire, elle adorait tellement cela se faire caresser les seins, cette zone si sensible après ses lèvres intimes. Elle se mordit légèrement la lèvre pas assez pour saigner, mais assez pour dire que ce qu’il faisait était très excitant, un soupire quittant à nouveau ses lèvres autant à cause de la main que de ses doux mouvement.
Les soupires d’Iruka était une chose particulière, juste se son de sa voix suffisait à faire chavirer tout le corps de la jeune femme qui désirait toujours entendre plus cette partie de la voix du vampire, son regard fiévreux démontrait un état de lui qui semblait démontrer tout ce qu’il ressentait à cet instant précis, un nouveau soupire quitta les lèvres de la vampire, ses lèvres attaquant ses seins, sa langues caressant ses bouts accompagner en concert avec ses lèvres, un duo parfait. Ce moment durait depuis longtemps, mais c’était si agréable, elle voulait que jamais ce moment ce termine. Mais toute bonne chose à une fin, malgré qu’elle n’était pas loin du moment de jouissance, elle ne serait pas capable de jouir en même temps que son amant…
Et soudain le moment vint, il la retourna pour que son ventre touche les draps, entrant à nouveau en elle, plus profondément encore, un doux gémissement sortant d’entre les lèvres de la polymorphe, ses doigts serrant la couverture, ses mouvements se faisant long et puissant, elle en gémissait tant que c’était bon, son corps se secouant de plaisir à chaque seconde, lentement elle sentie, en même temps qu’une longue et terriblement excitant râle de plaisir, sa jouissance arriver, son liquide chaud entrant en elle comme une douce récompense, la vampire laissant sortir un doux soupire, mais l’homme en avait point finie avec elle, il n’allait pas la laisser ainsi, il désirait qu’elle jouisse aussi.
Ses mouvements se faisait plus lent, mais n’arrêtait jamais, allant profondément dans sa lenteur, de doux soupire quittant ses lèvres alors qu’elle sentie ses doigts aller taquiner son clitoris d’une manière terriblement excitante. Elle sentait la chaleur de son amant coller contre elle la combler de plaisir, ses lèvres contre sa nuque pour y apposer un baiser pour finalement retourner à ses douces paroles perverses dans le creux de son oreille fut le coup critique dans le corps de la vampire qui ne pouvait s’empêcher de pousser de douce râle de plaisir, ses doigts serrant toujours les couvertures de plus en plus à chaque caresse et de plus en plus à chaque mouvement.
« Han…Iruk..a… Acc…accélère… »
Et il le fit, le corps de la vampire s’enflamma d’un terriblement plaisir, tout son corps réclamant de plus en plus de caresse, gémissant un peu plus fort à chaque coup, elle sentait la jouissance arriver alors que l’homme continuer ses coups rapide et charger d’un terrible plaisir. La vampire laissait mille et une plaintes de plaisir sortir, sa tête coller contre le lit, cherchant à reprendre son souffle alors qu’elle sentait la jouissance s’approcher de seconde à seconde. Puis sans crier gare, elle laissa un long gémissement sortir et elle jouit, de terrible spasme la secouant alors qu’il enleva son membre d’elle, elle tremblait de plaisir.
La vampire se retourna pour aller ce coller à son vampire, cachant sa tête dans son cou, ses bras entourant le torse de l’homme, se collant complètement à lui telle un enfant effrayer. Elle trembla doucement et ses lèvres posèrent un doux baiser dans son tendre cou, elle n’osait rien dire, ayant peur de dire une bêtise, alors elle ne dit rien, laissant son corps parler à sa place pour démontrer tout le plaisir qu’elle avait eu à cette douce partie qu’elle espérait pouvoir en avoir une autre plus tard… Peut-être après la partie moins amusante, celle de la discussion sur sa nouvelle état d’esclave, elle trembla. Mais ne désira pas commencer le sujet, il lui en parlerait s’il avait besoin d’en parler, mais elle ne se sentait pas prête à débuter la discussion, désirant seulement sentir son corps contre elle, son corps qui lui avait tant manquer, tout comme sa présence qui l’avait fait souffrir de son absence.
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Le plaisir était une drogue pour nous. Visiblement, certains dans la vie se servent du sucre pour combler le malheur, nous, nous nous servions du sang et du sexe. Une vraie partie de jambe en l'air où le corps ET le coeur s'exprimait. Ainsi, nous avions droit à une dose extrême de plaisir et cela me faisait un bien fou, tout comme elle. En effet, malgré le fait que j'eus jouis avant elle, je continuais de la titiller et faire des mouvements de bassin pour qu'elle atteigne l'orgasme. Ne pas la laisser ainsi, ce serait trop cruel. Or, avec elle, je ne le suis pas. Jje voulais qu'elle ressente tout le bien qu'elle puisse avoir dans ce monde, je voulais la chérir et qu'elle le ressente. Là, en la voyant couché contre le drap, mains serrées sur ce morceau de tissu, son corps complétement tendu par ce plaisir, je me mis à l'écouter tendrement, celle-ci me suppliant d'accélérer.
Ce que je fit sans hésiter. Malgré ma vigueur descendante lentement, je continuais inlassablement ces coups de pillons et ce petit geste avec mon doigt pour titiller son clitoris. Elle soupirait, elle gémissait, exprimait clairement son bonheur. Fier de lui faire ressentir tout ça, j'admirais de haut cette joie qu'elle démontrait, puis finalement, après tant de gestes, elle finit par exploser à son tour. Ses spasmes se faisant présent, elle tremblait de A à Z. Alors que je me retirais, je l'admirais reprendre son souffle avant de soudainement se redresser et s'accrocher à moi. Etonné de ce geste, je restais surpris en restant immobile. Contre moi, la belle semblait si heureuse. Nue, je ressentais chaque corbes de la belle contre moi. Sa respiration était une mélodie dont je ne me lassais pas. Sourire aux lèvres, lentement, je l'emprisonnais au creux de mes bras. Contre moi, l'allongeant doucement sur moi, je lui susurrais que j'étais là, qu'elle n'avait pas à douter de quoi que ce soit. Je la calmais m'imaginant la belle pleurer. Sûrement que s'était la barrière qui restait à franchir si je voulais lui effacer la mémoire. La voir pleurer serait insupportable.
" Ara..."
Passant une main dans ses cheveux, je lui souris tendrement la regardant droit dans les yeux. Lentement, je m'amusais simplement à chatouiller son mentin avant de caresser ses joues si rosées et chaudes. Je ne voulais pas que mon imagination devienne réalité. Une larme serait un mal impressionnant pour moi. Tentant donc de la calmer, je la serrais chaleureusement contre moi avant de simplement me mordre le poignet et le lui tendre le posant sur ses lèvres. Ce gage de sang était une preuve que je l'aimais tendrement. Une fois léché et qu'elle eu une soif normale ou potable, je lui souriais.
" Que compte tu faire désormais ? ... Je veux dire... Quand pourrons nous nous revoir ? "
Malgré tout, je voulais la revoir, planifier, qu'elle puisse au mieux mettre au clair elle même ses intentions avec son maître. Mort à la manière forte, j'allais au pire la laisser gérer, mais avant tout, je voulais savoir ce qu'elle pensait. C'est donc sereinement que je l'embrassais pour lui donner du courage pour parler. Je sentais bien sa peur et sa tristesse. Nous ne sommes pas amant pour rien. Je devinais ce qu'elle ressentait. Soupirant d'aise, je vins passer ma main sur son corps puis sa chevelure.
" J'essaierais de venir aussi souvent que possible de mon côté... Jte le jure Ara... Je veux pas te laisser. "
Finalement, je craquais et lui posais la question.
" Si tu le pouvais... Voudrais tu tout reprendre à Zéro ? "
Murmure discret, je me demandais bien comment la suite allait se passer.
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Ses bras à la nature si réconfortante l’entoura d’un geste tendre et protecteur, son sourire et son calme calmais lentement la jeune femme, il lui disait qu’il était là. Iruka? Finalement après tant de temps, les voilà enfin retrouver? Finalement elle se retrouvait, elle qui se croyait perdue, la voilà enfin retrouvée? Il lui disait qu’elle n’avait pas à douter, elle trembla se collant un peu plus, recherchant une chaleur qu’elle a toujours tant adorée de son vampire, ses bras toujours aussi confortable, quand elle était dans ses bras, elle se sentait derrière le plus résistant de tous les boucliers, elle trembla à nouveau, retenant des larmes qui commençait à vouloir venir harceler ses yeux.
" Ara..."
Un nouveau tremblement vint, sa main caressant doucement ses cheveux verdoyants et elle leva les yeux vers lui, son sourire réchauffant son cœur qui se craquait sous la tristesse, la jeune femme levant la même pour caresser doucement son visage alors que leurs regards se croisait, tandis que lui vint lui caresser le menton, chatouillant légèrement celui-ci avant d’aller caresser ses douces joues, elle trembla une nouvelle fois, si peur… Alors qui la serrait dans ses bras chaud il se mordit le poignet, l’odeur fut forte et le regard de la jeune femme retomba légèrement au rouge, il posa son poignet à ses lèvres et elle lécha avec passion ce doux cadeaux sanguinaire, jusqu’à ce qu’elle soit correct, il lui sourit.
" Que compte tu faire désormais ? ... Je veux dire... Quand pourrons nous nous revoir ? "
Son regard glissa vers le coté, n’osant pas le regarder de face, la peur revint comme un poignard dans son cœur, elle voulait tant pouvoir le revoir, mais le pourrait-elle? Juste cette perspective la terrifia, mais son tendre amant vint calmer ses penser en venant poser ses douces lèvres contre les siennes pour l’embrasser d’un tendre baiser qui la fit frissonner de plaisir malgrés tout. À nouveau elle se calma, cherchant à prolonger son baiser, mais il sépara leurs lèvres pour laisser sortir un doux soupire, sa main caressant doucement son corps et lentement sa chevelure, elle ferma les yeux quelques secondes et les rouvrit tranquillement, regardant toujours son visage.
" J'essaierais de venir aussi souvent que possible de mon côté... Jte le jure Ara... Je veux pas te laisser. "
Elle eut un faible sourire à ses paroles, elle ne voulait pas le laisser non plus, elle voulait rester pour toujours à ses côtés, mais elle ne savait pas comment elle pourrait le faire, si son maître refusait? Elle en souffrirait et si elle ne l’écoute pas, elle en souffrirait encore plus, alors que faire!? Elle voulait tant le revoir, le revoir souvent ou même peut-être s’enfuir avec lui, mais peut-être que si elle s’enfouillait, on allait la pourchasser? Elle trembla, elle ne souhaitait que personne ne soit blesser, elle trembla. Si seulement elle était plus forte, elle n’en serait pas là à présent, elle serait heureuse, non pas malheureuse! Si seulement elle pourrait tout recommencer à zéro!
" Si tu le pouvais... Voudrais tu tout reprendre à Zéro ? "
Elle blêmit légèrement, avait-il lu ses pensées? Elle pensait à une réponse? Oui, elle aimerait bien tout recommencer, mais comment? Oublier? Elle ne savait point, elle aimerait bien, mais avait peur. Quoi lui dire? Aller Arashi, pense et parle! Pense plus rapidement, dit qu’elle que chose, au pire détourne la question, mais agis! Lentement la vampire ferma les yeux et soupira, elle approcha ses lèvres de ceux de son amant pour l’embrasser doucement d’un tendre baiser, un baiser transmettant tout l’amour et la passion qu’elle ressentait pour lui, sa main caressant sa nuque d’un tendre geste alors qu’elle continuait le baiser, tout son corps tremblant.
« Iruka… » Murmura-t-elle quand elle sépara enfin ses lèvres des siennes
Son regard tendre l’observant droit dans les yeux, un regard remplie de tristesse et qui cherchait à voiler cet air, la jeune femme continuant ses légères caresses sur son visage et murmura sur un ton calme et doux :
« Nous nous reverrons, oh oui, nous nous reverrons mon tendre amour…Je trouverais bien un moyen! Rien ne pourra briser ce lien qui unis nos cœurs, nous nous laisserons jamais… »
Elle évitait la dernière question, pourquoi? Parce qu’elle avait peur de ce qui pourrait se passer, elle avait extrêmement peur, lentement elle reposa sa tête sur son torse et ferma les yeux doucement, la jeune femme allant chercher la main de l’homme qu’elle embrassa légèrement en la serrant entre ses bras comme une enfant à qui on donnerait une peluche. Pencha sa tête pour pas qu’il voit son visage triste.
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Tel un petit animal effrayé, la miss s'était blottit contre moi. Je voulais savoir ce qu'elle comptait faire, si elle désirait tout reprendre à zéro. Je me souvenais d'un sort qui permet d'effacer la mémoire de manière quasi totale. Bien entendu, celui-ci n'est pas parfait. De ce fait, la " victime " peut selon certains chocs émotionnel retrouver la mémoire. Dans mon cas, je voulais l'utiliser sur la miss afin qu'elle oublie son stade d'esclave. Cependant, le sort n'est pas parfait. Ce n'est pas un reboot de mémoire bien définis. De ce fait, je risque d'effacer un mois comme toute sa vie. Alors je voulais savoir si elle était prête à prendre le risque ou non. Mais le risque de la perdre était celui de trop. Je ne voulais pas la perdre une seconde fois. Hors de questions. Mais le risque était bien là... Rien ne se passerait sans qu'il y ait un fond de souffrance...
Tendrement, la belle m'offrit un baiser aussi doux que tendre. Rougissant, j'y répondais attendant sa fameuse réponse. Mais jamais elle ne vint. Ne lisant guère sa peur, je la devinais quelque peu dans son regard et ses tremblements. Bien que j'étais loin d'imaginer la totalité de cette frayeur... Bref, j'étais vraiment mal en cet instant. Mal de ne pas pouvoir la libérer de ses chaines autrement que par cette dure solution.
La belle me regardait avec tristesse. Comprenait-elle ce que j'avais compris ? Il n'y aura pas d'amour éternel et pas d'amour parfait tant qu'il n'y aura pas eu de souffrance. Telle est la triste réalité. Mais bon... Doucement, elle se mis de manière très enfantine. J'étais sa peluche qui la rassurait. Cette pensée me fit sourire, mais je voulais voir ses yeux. Et très vite, je devinais sa tristesse. S'en était trop, je me devais de changer tout ça.
" ... Ara.. Je ne veux pas que tu souffres... "
La clé de tout cela était là, entre mes mains. Mais à quel prix sincèrement ? Pas encore décidé à le faire, je me contentais simplement de lier nos mains pour sentir leurs douche chaleur fusionner doucement. Cette chaleur, je m'en imprégnais, comme si j'allais devoir m'en passer un long moment. Je voulais profiter une dernière fois d'elle avant de peut-être la voir pour l'unique et dernière fois. Non... Ca ne le sera pas. Souriant tendrement, j'embrassais son front pour alors lui susurrer.
" ... Faisons le encore..."
Une plainte de plaisir, un doux gémissement, je voulais vraiment pouvoir goûter au plaisir avec elle une dernière fois. Pas forcément en allant jusqu'au bout, mais au moins pouvoir goûter à la chaleur extrême qu'elle peut produire lors d'ébats. Ma main se frayait un chemin entre ses cuisses avec douceur pour aller titiller l'intimité. Le but étant bien entendu de la faire humidifier un peu. Mes doigts se jouaient d'elle, doucement, j'arrivais presque au moment parfait. Je me mis donc à la doigter avec douceur désirant une grande attention en bas. Mais en attendant, je me laissais aller à ce moment qui n'appartient qu'à nous. Suite à quoi, peut-être oserais-je. Mais pour l'heure...
" ... Je t'aime Ara.. "
Un doux baiser vint ponctuer cette déclaration tandis que mon doigt se faisait plus insistant. De plus, mon pouce commençait à titiller son bouton d'or si bien placé.
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Les bras d’Iruka était l’une des choses les plus confortables en ce monde, cette endroit si protecteur et si chaleureux, cette endroit qu’une fois cacher entre on savait que plus rien n’allait nous faire du mal, cette endroit qui est si parfais… Si la jeune femme voulait bien rester à une endroit pour toujours, c’était bien dans les bras de son tendre vampire, elle l’aimait tant, son cœur battant fort quand elle était avec lui, ses mauvais souvenirs s’envola pendant les instants qu’elle était avec, seul le bonheur entre eux et cette douce chaleur l’importait à ce moment même, un doux sourire sur ses lèvres, mais malgré tout elle était triste, triste de savoir que ce moment ne dureras pas longtemps…
" ... Ara.. Je ne veux pas que tu souffres... "
Les douces mains de son tendre vint se saisir des siennes, lentement elles se serrèrent amoureusement, partageant cette douce chaleur qui les habitaient alors qu’ils n’étaient pourtant que des vampires. La jeune femme leva son regard vers son amant, leurs regards s’entrecroisant, le feu terrifiant et la douceur de l’eau violacé qui pourtant à ce moment faisait le parfait harmonie, le parfais accord, elle eut un léger tremblement alors qu’il lui sourit d’un geste tendre et posa ses lèvres sur son front pour y poser un doux baiser, pour lentement lui murmurer avec douceur et d’un air d’un doux amant désireux:
" ... Faisons le encore..."
La jeune femme eut un nouveau tremblement, un geste courant chez elle quand elle était stresser ou bien triste, la jeune femme regardait son vampire alors qu’il glissa l’une de ses mains d’un geste doux jusqu’à son entre-jambe, elle eut un frison alors que ses doigts caressa son intimité, un léger soupire quittant ses lèvres alors que ses doigts s’activait à mainte caresse, elle se mordit légèrement la lèvre alors qu’un de ses doigts glissa entre ses lèvres secrète et se mit à y entrer avec une grande douceur pour y débuter de doux va et viens, elle laissa un doux soupire quitter ses lèvres à nouveau, son corps frissonnant.
" ... Je t'aime Ara.. "
Un doux soupire quitta ses lèvres alors qu’il vint s’en saisir pour y faire un doux baiser alors que son doigts se mit à devenir de plus en plus aventureux dans ses caresses et que son pouces vint ce saisir de son chère bouton de chair qui la fit légèrement bouger du bassin sous le plaisir que cela lui procurait. Lentement la jeune femme échappa un autre soupire alors que ses doigts vinrent se poser sur son torse, caressant celui avec douceur et passion, ses doigts allant doucement à son cou et à son visage, elle revint l’embrasser passionnément, collant son corps si fragile contre lui, son baiser se vit devenir plus taquin en venant ajouter sa langue pour la faire valser avec celle de son être aimant, avant de doucement se séparer pour glisser ses mots dans un murmure si doux et tendre :
« Je t’aime tant… Je désirerais tant rester avec toi pour toujours…Je n’aurais jamais dû partir à ce moment… »
Puis ses lèvres revinrent à la charge, l’embrassant avec passion tandis que ses doigts glissèrent doucement sur son torse alors qu’il continuait ses doux va et viens en elle qui la fit à nouveau soupirer de plaisir, son corps secouer à nouveau de frison, ses doigts caressant doucement le bas de son ventre, l’un de ses mains décidant d’aller faire un tour sur le membre de l’homme qu’elle caressa d’une douceur incomparable, l’entourant doucement de ses doigts timides et débuta de doux va et viens sur son membre, séparant ses lèvres pour poser son front sur le sien, pour l’observer droit dans les yeux alors qu’un doux soupires quitta ses lèvres.
« Iruka... Si je te rejoignais… Me prendra tu m’a libertée pour que je puisse être tienne pour toujours…? »
Cette question était sortie comme cela, comme une légère illumination qu’elle avait eu alors qu’elle caressait le membre de son amant avec tendresse et amour.
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Désormais, je me rendais compte que le futur n'était pas stable. Selon mon choix, je risque de la perdre et inversement. Cela me fait peur mais je tente de le cacher. Il serait dommage de remarquer que je suis faible en faite... Je ne voulais pas lui montrer ce côté de moi. Ce côté triste qui a peur et qui souffre intérieurement. Son absence m'avait fait très mal, mais là encore, je ne montrais rien. Il serait idiot de démontrer que je suis trop sentimental, sans quoi, elle aussi pleurerait à tout les coups. Déjà que ses tremblements étaient vraiment insupportables, alors si en plus elle pleurait... Non, vraiment, cela serait insupportable.
C'est pour cela que je me devais de me changer les idées. La belle était là, proche de moi, corps contre corps, frissonnant de plaisir à chaque gestes que je faisais, je sentais clairement sa vulve mouiller délicatement. Mon doigt faisait ses gestes sans regrets et le reste de ma personne était aux anges. Souriant, je la laissais m'embrasser avec envie. La belle semblait se réveiller. Le plaisir se traduisait encore une fois. Répondant au baiser, nos lèvres se lièrent comme nos langues dans une danse plus que délicieuse. Rougissant, je me taisais laissant uniquement comme bruit qu'était le silence...
Alors que mes doigts avaient de plus en plus de facilité à entrer en elle, je la sentais se détendre comme jamais. Soupirant de bien être, elle était divinement belle. Son regard dans le mien; je fondais sur le coup il faut l'avouer. Puis c'est là que ses doigts firent des merveilles. Glissant sur ma peau, j'en frissonnais de joie. Arrivant à mon membre, je me laissais totalement faire. Très vite, elle commençait les doux vas et viens qui me donnent tan envie de lui faire l'amour comme un amant véritable. Rouge tomate, voilà qu'elle pose son front sur le mien et me pose une drôle de question. Hm... Cela méritais réflexion il faut le dire. Réfléchissant donc, je me contentais de caresser de l'intérieur sa douce chatte si humide. Caressant les parois de la belle, je vins alors à pousser un léger gémissement avant de finalement répondre une fois sûre de ma réponse.
" .. L'amour en soit est une privation de liberté... Mais bon... Si par liberté tu entends pouvoir sortir comme une femme normale, voir qui tu veux quand tu veux et pouvoir être heureuse, alors non... Je ne te retirerais jamais cela. Car à mes yeux, je ne veux pas t'enfermer dans une prison dorée... Même si après, je t'avoue que t'avoir rien que pour moi, pouvoir être le seul et l'unique capable de te satisfaire et surtout être le seul que tu regardes... ce serait une joie. Mais pour moi... pas pour toi. Ta liberté, je te la laisserais toujours, car au fond, je t'aime plus que tout. Ton bonheur compte plus que tout et aussi douloureux cela soit-il difficile à dire, s'il faut te quitter pour être heureux, alors je le ferais... Sans regrets, mais non sans peines, car tu comptes énormément..."
Finissant ma tirade devant certainement prouver tout l'amour dont je faisais preuve pour elle, je finissais par retirer un doigt de son intimité pour alors le lécher devant elle. L'air coquin, je revins la doigter avec trois doigts cette fois, mon pouce continuant de titiller ce bouton si sensible. La belle représentait énormément pour moi...
" Mais on n'en arrivera pas là, pas vrai Ara ? Jte jure que je trouverais un moyen pour que tu sois heureuse à jamais... Tu as ma parole. "
Souriant, je revins lier nos lèvres avec amour tandis que mon membre démontrait une forte envie de la pénétrer de plus belle. Je voulais tant la ressentir contre moi...
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Le regard de la vampire l’observait calmement, voulant une réponse à son interrogation, elle craignait pas sa réponse, car peu importe sa réponse, elle l’aimait et accepterait ce qu’il dit, si elle aurait su ce qu’elle allait devenir, elle aurait mieux voulue rester avec Iruka dans ce cocon protecteur qu’était sa demeure. Ah, des fois elle regrettait d’avoir partie et des fois non, sa dépendait des jours, mais ce qu’elle savait, c’est que cette endroit serait une endroit si plaisante à ce retrouver en ce moment même, rester dans la chaleur de cette endroit, elle eut un soupire, ses doigts lui faisait tant de bien malgré l’attente de ses paroles. Il lâcha un léger gémissement avant de finalement répondre :
" .. L'amour en soit est une privation de liberté... Mais bon... Si par liberté tu entends pouvoir sortir comme une femme normale, voir qui tu veux quand tu veux et pouvoir être heureuse, alors non... Je ne te retirerais jamais cela. Car à mes yeux, je ne veux pas t'enfermer dans une prison dorée... Même si après, je t'avoue que t'avoir rien que pour moi, pouvoir être le seul et l'unique capable de te satisfaire et surtout être le seul que tu regardes... ce serait une joie. Mais pour moi... pas pour toi. Ta liberté, je te la laisserais toujours, car au fond, je t'aime plus que tout. Ton bonheur compte plus que tout et aussi douloureux cela soit-il difficile à dire, s'il faut te quitter pour être heureux, alors je le ferais... Sans regrets, mais non sans peines, car tu comptes énormément..."
Son cœur battit fortement dans sa poitrine, elle l’aimait tant… Elle aimerait tant pouvoir regarder que lui, qu’il soit le seul être qui puisse être avec elle, elle aimerait tant… Mais cela allait surement être impossible maintenant, son cœur se serra, une tristesse vint, mais partit rapidement par les mouvements du garçon qu’il appliquait en elle avec son doigt qu’il enleva doucement pour l’approcher de sa bouche et lécher devant elle se doigts remplie de ce doux liquide qu’elle dégageait, un frison d’excitation lui parcouru le corps alors que lentement il revint poser ses doigts sur son entrer et y faire entrer doucement trois de ses doigts et y faire de doux va et viens, son pouce caressant son bouton rose, elle soupira doucement de plaisir, aimant cela.
" Mais on n'en arrivera pas là, pas vrai Ara ? Jte jure que je trouverais un moyen pour que tu sois heureuse à jamais... Tu as ma parole. "
Elle eut un doux sourire à ses mots, la rendre heureuse à jamais? Comment? Elle avait si hâte à cela, si hâte d’être pour toujours heureuse dans son cœur, elle voulait l’être pour toujours avec lui et avec personne d’autre, elle allait dire qu’elle que chose, mais il vint faire taire le début de ses mots en allant poser ses lèvres sur les siennes, l’embrassant d’un doux et tendre baiser. Son membre dans sa main palpitait légèrement, désirant revenir en elle, elle aussi voulait le ressentir en elle encore une fois, les sentir rassembler pour former un et rassembler leurs souffles pour de doux gémissement…
« Iruka… » Murmura t-elle
Lentement elle se mit un peu plus sur lui, ses bras de chaque coté de sa tête, ses jambes de chaque côté de ses hanches, elle le regarda droit dans les yeux, son regard était chaud et remplie de désir, elle respirait légèrement plus vite, qu’elle que mèche de ses cheveux coller sur son visage, elle frotta doucement ses lèvres intimes sur le long de son membre, son corps secoueur sous le plaisir qui l’accablait. Lentement elle positionna son membre à son entrer et elle posa ses doigts sur son torse, le regardant droit dans le yeux et lentement elle commença à s’empaler sur son membre droit, un doux gémissement sortant de ses lèvres de plus en plus qu’elle s’enfonçait, tout son corps secouer d’un doux spasme de plaisir pour finalement arrêter à la base, elle le regarda toujours d’un regard désireux et débuta de doux va et viens. Laissant sortir de doux soupires à chaque mouvement, penchant lentement sa tête vers l’arrière, toujours secouer de spasme qu’elle adorait tant ressentir. En même tant de faire ses mouvements elle murmurait doucement son nom d’un air sensuel.
HRP: Désoler court!
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Quelle retrouvaille. Avouant la vérité à la belle, j'avais montré mon amour pour elle. Je voulais son bonheur et non la transformer en esclave. Peut-être devrais-je lui parler un peu de moi, car au fond, elle ne sait rien par rapport à ma soeur et ma famille. Mort il y a longtemps de cela. Elle ne connait pas mon histoire, mais nous sommes amants malgré tout. N'est-ce pas ... étrange ? Quoi qu'il en soit, j'espérais qu'elle soit rassurée désormais. Après tout, quoi de plus normal. J'avais joué carte sur table, je lui avais la dure vérité. Pour elle, je ferais vraiment tout. Quitte à la quitter si ça la rend heureuse. Certes, ces mots étaient fou, mais je le pensais. Je l'aimais vraiment, voilà la moralité de l'histoire...
La regardant alors que mes doigts continuaient à la pénétrer, je me sentais devenir chaud. en plus de cela, la belle n'arrangeait rien à tout ça. Bien au contraire, la miss me mettait le feu comme on dit. Souriant amoureusement quand elle se remis dessus, je vins la regarder droit dans les yeux quand elle prononçait mon prénom. Hm ? La fièvre ? Tant mieux, moi aussi. Me sentant éffroyablement bien, je me détendais en sentant ses doigts sur mon torse.
La suite n'en était que classique, mais ce classique faisait tant de bien à mon être... La pénétration était facilité avec ce plaisir, puis les sensations plus que plaisantes. Rougissant de plaisir tant cela était bon, je me mis aussi à murmurer ma joie. L'enlaçant au niveau de ses hanches, je descendais lentement vers son fessier pour l'aggriper et le malaxer de manière bien masculine. Mes doigts s'enfonçaient presque dedans tant il était moelleux. Je me mis à donner des coups de pillons à la belle pour la stimuler et participer plus à l'acte. Ma joie n'était plus à prouver, au moins, ce soir était magique entre nous, aussi triste cela soit-il parfois. Pénétrant encore et encore, mon membre prenait soin de bien aller jusqu'au fond d'elle, allant buter au fin fond de sa chatte mouillée à souhait. Chaque coups me donnaient envie de gémir diablement fort. Je devenais fou d'elle encore et encore.
" Ara... Hmmmm "
Me redressant un peu, je vins capturer ses seins. Eux aussi avaient droit à de douces attentions. C'est donc de façon sauvage que je les léchais et mordillais. Le but étant que ma bouche joue le rôle de mes mains. Chouchouté ainsi, je m'en allais vers le plaisir. Avec elle bien entendu. La nuit 'était pas prête de s'arrêter.
" Mord moi... Vite...."
Un supplice... Je voulais la sentir en moi doublement. Quant à moi, je faisais raper mes crocs sur sa poitrine. Bien entendu, je ne mordrais pas, mais la tentation et la curiosité y était.
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La vampire observait son amant droit dans les yeux, son amour transpirant dans son regard, ses doux mouvements se faisait remplie de passion dans sa lenteur exquise, elle adorait cette sensation qu’elle contrôlait, ce plaisir qui ravageait tout son corps d’un intense plaisir qui la secouait toujours autant, ses doigts caressant le torse de son amant qu’elle adorait tant. Lentement les mains de celui-ci se mirent sur ses hanches, débutant une légère les caressants avant de descendre jusqu’à ses fesses qu’il agrippa et massa d’un geste dure et masculin, la faisant frémit, il participait à l’acte en l’accompagnant de va et viens, la jeune femme gémissant de plaisir. Ses mouvements accompagner des siens faisait en sorte que son membre s’enfonce plus loin en elle, provoquant ainsi une multitude de plaisir. Elle entendait la voix d’Iruka qui lui donnait encore plus d’envie, que diable c’était excitant.
" Ara... Hmmmm "
« Ir...iruka... »
Elle frémit à nouveau alors qu’il se redressa pour attraper ses seins entre ses lèvres, les léchant et les mordillant avec plaisir, elle laissa un doux soupires quitter ses lèvres, tant de sensation se produisant à cet instant en elle, elle tremblait sous ses caresses de sa bouches, sous les assauts de son membres, sous ses soupires de plaisir, tant de chose qui faisait grimper ce plaisir impressionnant. Heureusement que la chambre était insonoriser, sinon surement que beaucoup se poserait des questions…
" Mord moi... Vite...."
Ses crocs caressant sa poitrine, presque comme un signe qu’il désirait y planter ses crocs pour les marquer, pour démontrer qu’ils étaient qu’à lui et seulement à lui, elle ferma ses yeux sous le plaisir, ses mouvements de bassin s’intensifiant de plus en plus que les secondes passaient, la sensation de plaisir devenait de plus en plus prenante, elle adorait cela, terriblement. C’était un plaisir qu’elle ne pourra jamais se lasser, lentement ses doigts poussèrent Iruka à reposer son dos contre le lit et elle se pencha sa poitrine se collant à son torse, ne ralentissant point le rythme des coups de bassins, allant même à en donner de plus rapide. Sa langue caressant la nuque du vampire d’une douce caresse et lentement ses crocs rappa légèrement sa peau et s’enfonça d’un coup dans sa chair, se plantant d’un geste brusque avant de ressortir et de se replanter en lui à la même place, la jeune femme secouer d’un plaisir, lâcha un doux soupire, donnant un coup de langue sur l’emplacement qu’elle avait mordue avant de replanter à la même place ses crocs, cette fois pour y boire finalement un peu de sang, tout son corps secouer par si plein de sensation qu’elle ne pouvait contrôler. Son sang si délicieux qui parcourait sa gorge, son membre qui entrait en elle avec tant de passion, deux choses qu’elle adorait en même temps lui provoquait un trop plein de plaisir. Elle laissait de doux soupire quitter ses lèvres, murmurant de temps en temps le nom d’Iruka. Son corps vibrant de désire alors qu’elle enleva ses crocs, dévoilant son propre cou à son vampire.
« Mord moi aussi…Iruka… Boit moi…prends moi…surprends moi… »
Elle respirait un peu plus vite, frissonnant de plaisir et de désir, tout son corps secouer d’une multitude de frison qui ne pouvait s’arrêter.
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L'acte passionnel se déroulait encore avec de la joie et du plaisir. Uniquement de cela. Ma tête entre ses seins en train de les chouchouter, mon bassin contre le sien claquant avec une certaine sauvagerie, bref, ce moment était parfait. Que demander de plus ? La belle contre moi respirait bruyamment, moi de même, nos corps dégageaient une chaleur étonnante, son souffle se faisait doux à mes oreilles... Franchement, il n'y avait rien de mieux que cela pour nous unir de manière parfaite. Pour ma part, je sentais mon coeur battre rapidement, presque trop même... Mais je m'en fichais, cela me faisais un bien dingue. Un tel bien que si je ne me concentrais pas, j'aurais été capable de jouir dès maintenant. Trop de plaisir d'un coup me faisait un bien fou et elle... ça semblait être réciproque.
Souriant, je la suppliais de me mordre. Ce plaisir là était indispensable pour moi en ce moment. Souriant, je vins doucement à regarder la belle pour alors me faire mettre sur le lit. Bien plaqué contre le lit, je l'admirais elle et sa poitrine généreuse. Sa beauté n'avait pas d'égal, vraiment, je me sentais heureux entre ses bras. Inversement aussi d'ailleurs. Souriant, je l'observais se pencher et je fermais les yeux. Ainsi, je sentais presque son odeur de manière unique. Je ressentais sa langue douce et humide passer sur cette marque qu'elle m'a faite à vie. Doucement, ses crocs percent ma peau au même endroit qu'avant. Elle se sert généreusement et moi, j'aime cela. Mes bras la serre avec une puissance bien masculine. Avec un plaisir non caché, je caresse son dos à la limite de le griffer de plaisir. Elle me rend dingue, je suis addicte à elle c'est sûr.
" Hmmmmm !!! "
Me cambrant un peu, je sent mon membre buter encore une fois au fond de son intimité. La belle est délicieuse qu'importe l'endroit. Je suis fou d'elle et ce, pour toujours. Rougissant, je la sent se retirer un bref instant et là, elle me supplie à son tour de la mordre. Et ce souhait, je vais le réaliser sans tarder. Souriant, je me redresse doucement pour l'attirer à moi et la coucher contre moi. Sourire aux lèvres, j'ai bien entendu son envie de surprise et c'est donc avec douceur que je léche son épaule. En effet, léchant au niveau de l'épaule et du cou, je trouve l'endroit idéal pour planter mes crocs. Mou, tendre, c'est sans difficultés que je pénétre sa chaire et bois tranquillement son sang.
Parcouru de spasmes, je me sent aux anges vraiment. Buvant son sang enivrant, je ferme les yeux alors qu'une main vint tâter son sein. Avec amour et envie, je joue avec tandis que mon bassin donne de puissants coups de bassins.
Finalement, le plaisir est trop grand. Je finit par arrêter en douceur de sucer son sang et c'est au même moment que je jouis en la belle. Les jets puissants tapissent son intimité généreusement. La chaleur s'intensifie et s'égalise partout en elle. Doucement, donc, je me retire le sexe imbibé de ce liquide fruit de notre union. Souriant, je lui caresse la joue pour alors lui susurrer une dernière faveur.
" Ma belle.. Pourrais tu... Le nettoyer hm ? "
Lui faisant un clin d'oeil, je lui vole un rapide baiser tant le plaisir ressentit était unique.
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Ses doigts caressant son dos, la serrant avec passion, la vampire soupirait de plaisir tant que cette chaleur était délicieuse, elle l’aimait, de tout son âme, de tout son cœur, de tout son corps. Elle était simplement accro à tout ce qu’il dégageait, cela allait être si difficile de partir sans lui, partir et retourner chez son maître… Oh oui, cela allait être que trop difficile, elle aurait souhaité que son tendre vampire la kidnappe pour repartir chez lui, rester avec lui dans cette prison confortable qu’était sa maison, pour ne plus souffrir et être complètement à lui pour toujours… Elle souhaitait être à lui et rien que à lui, mais à présent elle croit que cela est peut-être impossible.
Elle voulait que son vampire la morde, qu’il plante ses crocs dans son cou, qu’il boive de son sang pour le plaisir, pour sentir à nouveau son sang couler dans la gorge de l’être qu’elle aimait, partager sa vie avec l’être qu’elle désire, un frison parcourant son corps un instant alors qu’il se redresse un peu plus. Lentement, il la colle contre lui, elle frisonne un instant et sa langue vint se poser entre son cou et son épaule, sa langue si chaude et si confortable cherchant l’endroit à mordre et d’un coup, transperce la peau de ses dents et doucement du sang coula. Un léger gémissement sortant de la bouche de la vampire qui frisonne de plaisir, un plaisir si grand et si plaisant qu’elle ne pouvait s’empêcher d’en frissonner.
Puis sa main caressa l’un de ses seins, envie, plaisir et passion se mêlait ensemble à ce moment même, donnant des coups de bassin au plus profonds d’elle qui lâchait de doux gémissement de plaisir, fermant lentement les yeux pour que ce plaisir s’accentue. Elle sentait la jouissance arriver bientôt, c’était si fort, si puissant, si formidable… Puis il retira ses crocs, ses coups plus puissants, elle ne put résister plus longtemps, ses doigts serrant son dos, un long et délicieux râle quittant ses lèvres, leurs jouissances en union… Plaisir si élever qui rassemblait ses deux cœurs… Lentement il se retire, caressa sa joue d’un sourire pour murmurer :
" Ma belle.. Pourrais-tu... Le nettoyer hm ? "
Un léger sourire vint sur ses lèvres alors qu’il vint l’embrasser, un doux baiser, la vampire eut un léger soupire et l’observa calmement avant de reposer un rapide baiser sur ses lèvres et débuter une douce descente vers son membre, ses lèvres caressant son torses avec douceur et passion, pour lentement arriver à se membre couvert de la douce passion qui s’y démontrait en l’union de leurs deux liquides de plaisirs, lentement elle sort la langue et caresse d’un rapide coup de langue, le gland de ce membre qui avait perdue de la rigueur. Ce fut alors qu’un autre coup de langue vint, puis un autre, elle lappait avec délicatesse et passion son membre de long et doux coups de langue, son regard légèrement fatiguée se leva vers Iruka, mais démontrait en même temps un plaisir à ce qu’elle lui faisait. Elle continua lentement son traitement, jusqu’à ce que le liquide d’union soit complétement remplacer par la salive de la vampire qui essuya légèrement le coin de ses lèvres avant de regarder Iruka droit dans les yeux et aller doucement sur, comme pour faire un peu de dominance et lui murmura avec douceur et passion :
« Iruka… Mon amour… Pou…pourrais-tu aussi… me nettoyer? »
Elle rougit rapidement à sa demande, se disant qu’il allait peut-être refuser ce qu’elle lui avait demandée, mais espérait qu’il le fasse.
Désoler, c'est tout court et tout nul >.<''
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Après l'effort, le réconfort. J'avais demandé à la belle de pouvoir lécher mon membre, histoire de le nettoyer. En effet, ce plaisir était une gâterie que je demandais simplement. Un petit plaisir final, une sucrerie délicieuse. Souriant comme pas deux, j'attendais que la miss s'éxécute. Je savais qu'elle ne me le refuserais pas, du moins, j'espérais. Doucement, alors qu'elle m'offrit un rapide baiser, je me laissais emporter par cette délicatesse dont elle faisait preuve. Souriant comme pas deux là encore, j'observais la miss effectuer sa descente vers mon membre. Encore tendu, celui-ci perdait en vigueur de secondes en secondes. Souriant de bonheur, je la laissais se mettre face à l'objet de ses désirs et la laisser faire par la suite.
Doucement, elle vint lécher ce barreau de chaire. Lentement, avec précision. Sa langue s'appliquait totalement à l'acte. Elle y mettait tout son amour, ou du moins, je le ressentais ainsi. Sourire aux lèvres, je laissais la miss s'appliquer à la tâche tandis que moi, je laissais filer quelques plaintes de plaisir démontrant qu'elle faisait sa bien. Dommage qu'elle ne le mettait pas en bouche, mais au moins, sentir sa langue serpenter sur mon chibre, cela était un plaisir divin. Souriant, je la sentais s'arrêter une fois que le boulot était finit. Me surplombant quelque peu telle une dominatrice, je re ouvris les yeux pour l'écouter. Hm ? Une demande de nettoyage aussi ? Voilà qui m'étonnais venant d'elle. Mais comment lui refuser sincèrement ?
Faisant un simple oui avec la tête, je vins délicatement embrasser ses lèvres au goût si plaisant, puis je descendis. M'occupant un bref instant de la pointe de ses seins, je laissais ma langue serpenter et glisser jusqu'à son petit ventre. Là, je fit une pause au nombril qui eu droit à des léchouilles bien placées, puis finalement, j'arrivais au creu de ses cuisses. Le fameux creu, la saint des saints, l'antre de la belle. Souriant, je ne perdis pas de temps. En appétit à jamais pour ce genre de chose, je me mis à embrasser et lécher ses lèvres intimes. Comme elle, je ne m'occupais que de l'extérieur. Souriant, je léchais de haut en bas cette gente mouillée de jus d'amour. Puis je me permis un petit bonus en allant titiller le clitoris lui aussi souillé. Le prenant entre mes lèvres, je le nettoyais remplaçant ce liquide de notre union par ma salive chaude et bien épaisse.
Une fois terminé, je souriais à la belle me demandant si on allait pas encore le faire. Au final, j'étais fatigué, mais bon... Qui sait. La serrant alors dans mes bras, je nous allongeais tendrement sur ce lit réfléchissant à la suite. La belle était dans une impasse. Demain, elle devrait retourner à son maître et moi, j'allais être encore séparé d'elle. Non... La solution, je l'avais. Mais j'allais devoir... Jouer avec notre couple. Dieu que je me détestais...
" Viens me voir là où tout à commencé d'ici deux lunes... Je t'attendrais ma belle... Là bas ou chez moi... Jour et nuit s'il le faut... Rejoins moi et je te jure que d'ici ce temps, j'aurais trouvé une solution..."
Triste sort qui l'attendait, mais s'était ainsi. Si je voulais la sauver, alors qu'il en soit ainsi. Au pire, le destin me punira de mon audace et mon inconscience. J'utiliserais ce sort pour elle.... pour nous. Que notre amour puisse renaitre et que la belle puisse être libre.
L'emprisonnant dans mes bras chaud, je commençais à fermer les yeux, posant mon front contre le sien, je souriais en coin. Je l'aimais plus que tout et mine de rien, avoir pu se revoir, ça n'avait pas de prix pour moi.
" Je t'aime Arashi... "
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Sa tête vint répondre à sa question, elle rougit lentement alors qu’il vint se saisir de ses douces lèvres qui réclamait si souvent de l’attention de la part de leurs jumelles, sentir ses douces lèvres contres celle de son amant, contre celle de l’être qui faisait vibrer son cœur corps et âme, lui faisait un plaisir si incroyable. Oh oui, cela allait être dure de devoir partir, se séparer encore de cet être qu’elle souhaitait que rendre heureux en restant avec lui pour toujours, toujours pouvoir s’engouffrer dans ses bras lorsqu’elle avait peur ou quand elle souhaitait seulement de l’amour… Tant de souhait, mais est-ce qu’il serait réalisable pour l’être qu’elle était? Elle osait penser que oui, souhaitant qu’elle aille raison.
Lentement les lèvres de son amant descendirent, glissant sur sa peau, allant à ses seins pour les occuper qu’elle que peu, un doux frison parcourant son corps à ce contact, mais ce ne fut qu’un simple contact, ses lèvres continua sa descente et vint doucement caresser son ventre avec sa douce langue et une nouvelle halte se fit à son nombril qu’il offrit qu’elle que coup qui la fire frissonner. Puis lentement, sa langue et sa bouche vinrent à l’endroit tant désiré, son intimité. Elle eut un léger frison et un rougissement au niveau de ses joues vint apparaître. Lentement sa langue vint caresser ses lèvres si secrète et un léger soupire quitta sa bouche. Elle adorait cela, puis lentement elle le sentie titiller son bouton de plaisir avec sa langue et ses lèvres, elle trembla sous la dose de plaisir. Se mordant légèrement la lèvre sous ce délicieux nettoyage qui termina trop vite, malheureusement.
Il lui sourit et vint la serrer dans ses bras, elle ferma légèrement les yeux, profitant du moment, son cœur battant doucement, tout un plaisir étant présent, elle ne voulait que cela s’arrête, mais malheureusement cela devras arrêter pour revenir au temps normale, elle allait devoir retourner chez Stephen… Mais pas tout de suite, elle pouvait encore rester, au moins pour cette nuit, pour être avec lui, l’être qu’elle aimait tant. Lentement elle se fit allonger avec lui contre elle, elle trembla légèrement.
" Viens me voir là où tout à commencé d'ici deux lunes... Je t'attendrais ma belle... Là bas ou chez moi... Jour et nuit s'il le faut... Rejoins moi et je te jure que d'ici ce temps, j'aurais trouvé une solution..."
Ses bras l’emprisonna un peu plus, ne voulant pas qu’elle parte comme la dernière fois, elle eut un léger sourire, ne ce doutant pas de ce qui pourrait arriver à leurs prochaines retrouvailles. Elle sentit son front contre le sien, elle sentie à nouveau son cœur battre au plus vite dans sa poitrine. Elle frémit légèrement.
" Je t'aime Arashi... "
Son sourire s’agrandit et elle l’entoura doucement de ses bras, déplaçant sa tête pour la cacher dans le cou de son tendre y posant un léger baiser, tremblant un peu malgré toute la chaleur qu’elle pouvait retrouver en étant dans ses bras, elle qui était si bien en se moment, elle ne voulait pas que ce moment s’arrête… Mais tous les bons moment ont une fin et bientôt leurs douce rencontre va s’arrêter… Mais au moins, ils pourront passer la nuit ensemble, ils seront bien, coller ensemble jusqu’au lendemain, sans que personne n’ose les déranger pendant cette nuit…
« Je t’aime aussi Iruka… » Murmura-t-elle.
Lentement elle frotta ses lèvres sur son cou pour aller l’embrasser directement sur les lèvres, un doux et long baiser, tendre avec la langue, la caressant doucement avec la sienne pour la faire entrer dans une douce valse timide et amoureuse. Puis, un dernier rapidement baiser avant qu’elle repose sa tête sur l’oreiller et se colle un peu plus à lui, fermant ses yeux doucement tout en laissant un doux soupire de bien être sortir de ses lèvres et lentement elle s’endormit dans les bras de son amour vampirique. Espérant qu’il ne fasse pas comme elle la dernière fois et qu’il ne soit plus là le lendemain…
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Après tant d'ébats, nous nous devions de prendre repos. Pourtant, prendre repos signifierais dormir et qui dit dormir... Tout ceci me rappelais trop cette dernière fois. La dernière fois qui désormais à mes yeux me disait que je l'avais perdue. Perdue car ne pouvant plus être mienne dans l'immédiat, je la considére comme tel. Un être que j'aime mais qui est enchaînée. Mais malgré ce fait là, elle semble apprécier ce statut. Sûrement est-ce la chose la plus incompréhensible que j'ai à faire face en cet instant. Pourquoi accepte-t-elle son sort ? Pourquoi ne veux-t-elle pas d'elle même me suivre ? Pourquoi me dois-je de faire tout ça ? Après tout, limite quand on y repense, on n'y voit pas le lien qui nous relie. Ce raisonnement d'elle me fait presque croire l'inverse de ce qu'elle me dit. M'aime-t-elle vraiment ? Il serait logique de dire que si elle m'aimait vraiment, alors qu'importe le maître, elle aurait fuit. Mais au plus profond de mon être, j'ai un doute. Doute de sa loyauté. Est-ce vraiment la peur qui la force à ne pas bouger ? Ou bien au fond est-ce autre chose ? Allez savoir.
Ne pouvant pas donner de réponse à cette question dans l'immédiat, je me dois de souffrir en silence en l'admirant et en me disant que demain, nous nous tournerons le dos sur le chemin du retour. J'en ais mal d'avance, je n'en ais pas l'envie, et pourtant... il faudra le faire. Je me devrais de le faire. Mais là encore, je ne la comprenais pas. Elle y arriverait demain à partir, retourner à son maître sans pleurer... Rien que cette vérité, cela me mettais hors de moi au plus profond de moi. Cachant cette rage et cette tristesse, je la gardais bien contre moi.
Son corps chaud était le plus doux des baume que mon coeur pouvait avoir. Sa présence me calmait en même temps qu'elle m'énervait. Après tout... Je la perdrais encore demain. Pourquoi est-ce si dur hein ? Ne pourrait-on pas lui foutre la paix ? Parce qu'elle a des gros seins et qu'elle est bien golé, le monde est obligé de lui sauter dessus ? ... Plus je pensais, plus je me rendais malade de toutes ces histoires. Si elle n'était pas là, j'aurais déjà commencé la chasse aux enfoirés qui l'ont touchés.
Soupirant, je laisse la belle se blottir contre moi. Lentement, ses paroles se font entendre et me font plaisir. Aussi vraie ou fausses soient-elles, j'aime entendre cela venant d'elle. Je me maudit d'oser douter au fond de moi, mais à ma place, sûrement que la belle comprendrait ma situation. Je me bat pour elle et de son côté, j'ai l'impression qu'elle ne se bat pas... Est-ce si injuste ? Pourquoi hein ? Frissonnant de plaisir, je la laisse m'embrasser pour me dire bonne nuit. Répondant à ce baiser charnel, je vins même me mordre légèrement la langue qu'elle puisse goûter une goutte de sang histoire de rendre ce baiser ultimement plaisant. Suite à tout ceci, nous nous endormons tranquillement malgré toutes les émotions qui nous envahissaient.
Le lendemain arrivait plus vite que prévu. Le matin se faisait sentir et mon premier réflexe fut de palper un peu. Par chance, je pu constater que la belle était là. Son corps, sa chaleur, sa respiration.. Tout était là. Elle était avec moi. Plus j'y pense, moins j'ai envie que notre départ ait lieu. Je veux être avec elle bon sang !!! La regardant dormir, je me dit qu'il vaudrait mieux que je parte. Me redressant en douceur, je vins passer une main sur sa joue murmurant quelques paroles.
" Pardonne moi Ara..."
Doucement, je remet lentement mon boxer puis regarde le reste de mes habits. Ceux de la belle sont là aussi. Regardant derrière moi, je l'admire encore dormir. Son corps magnifiquement sculpté par ces draps, au final... j'hésite. Non. Je ne suis pas cruelle comme elle l'a été en fin de compte avec moi ce soir là. Je ne peux pas l'abandonner comme ça. Pas de mots, pas de sang, rien. Juste ma présence. Je me remet contre elle la serrant tendrement dans mes bras. Fermant les yeux, je laisse une larme couler le long de ma joue profitant du fait qu'elle soit encore endormie.
" ... Pourquoi est-ce ainsi hein... Pourquoi est-ce que je ne peux pas te kidnapper là.. maintenant... Pourquoi... ais-je peur de te faire souffrir tandis que d'autre n'ont pas cette peur... Devrais-je te reprendre qu'importe les conséquences ? "
Murmure à moi-même, au final.. Je ne sais pas quoi faire. La belle et moi, peut-être qu'au fond ce n'est qu'un rêve. Une relation impossible. Peut-être devrais-je me faire plus ferme. Sûrement devrais-je m'amuser à simplement l'emmener loin d'ici et la libérer de ces soucis. Là est la bonne solution, mais non... Je n'y arrive pas. Je la respecte trop et là est ma faiblesse. Je céde à ses caprices d'être dit " faible ". Ainsi, je le devient aussi. Je m'en veux tellement de ne pas avoir cette force que de la prendre avec moi sans lui laisser le choix.
" ... Jte jure qu'un jour... On sera ensemble à jamais..."
L'embrassant sur la joue, je loge ma tête au creux de son cou séchant ainsi mes larmes. Attendant son doux réveil, je vins embrasser sa nuque si délicieuse. Dieu que j'aimerais m'y connaitre en magie. Pouvoir lui donner le pouvoir de se protéger de tous. Jj'aimerais la rendre forte, la rendre confiante. Mais ça, c'est impossible. Me mordant une lèvre, au final, je me recule la laissant à côté de moi. Le grand départ s'annonce pour bientôt. Une fois réveillée, il faudra se dire de plus belle au revoir si ce n'est pas adieu... J'ai pas envie. Pourquoi Ara ? Pourquoi fais tu tout ça ? Pourquoi es tu fidèle à ce maître ? Pourquoi ?
Tant d'incompréhension dans ma tête et pourtant... Cet amour persiste. Malgré mes doutes, malgré ma colère... Je la veux pour moi à jamais.
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Le sommeil, qu’elle doux réconfort on peut y trouver en sachant qu’on dort avec l’être tant désirer, l’être qui a le mérite de ce faire nommer son amoureux ou son tendre. L’être qui fais battre le cœur de la vampire pour plus qu’une chose, celui qui lui a ravi tout son être. Arashi était à ce moment dans un bien-être total, se sentant bercer dans la douce chaleur qu’était celle d’Iruka. Elle aurait voulu que ce moment reste pour toujours, mais hélas toute chose à une fin, même ces retrouvailles tant attendus devait se finir bientôt… Mais est-ce qu’elle pourrait le revoir aussi tôt que deux lunes? Elle ne sait point, mais elle espérait tant pouvoir… Mais le temps le dira si leurs retrouvailles se fera à la date prévu.
Secondes et minute ne fait qu’un pour avancer ensemble et former des heures…
La vampire sentie pendant un instant une tristesse l’envahir pendant qu’elle dormait, un petit sentiment d’abandon, mais qui ne la sortie pas du sommeil, malgré son inquiétude, Iruka partait se demanda-t-elle inquiète? Elle ne sait pas, mais pendant un instant elle se sentie très mal et laisser seule avant de ressentir à nouveau la douce chaleur réconfortante de l’homme, un léger sourire vint sur ses fines lèvres alors qu’elle se colla un peu plus à lui inconsciemment. Son cœur battait doucement, elle se sentait bien, mais pourtant le sang de son amant disait le contraire, elle comprit.
" ... Jte jure qu'un jour... On sera ensemble à jamais..."
Ses lèvres sur sa joue, sa tête allant se cacher dans son cou, avait-il pleurer? Oui… Elle le sentait, elle eut un léger tremblement, oh Iruka, si tu savais comme elle désirerait être avec toi pour toujours! Si seulement tu savais! La jeune femme trembla légèrement alors qui se décolla d’elle… Lentement elle se mit à se réveiller les paroles du garçon résonna dans sa tête et la vampire entre-ouvrit les yeux avant de se recoller contre l’homme, passant ses bras autour de lui, embrassant un peu de sa peau du bout de ses lèvres.
« Iruka…Ne soit pas triste…Ne pleure pas…Je le sais que nous serons un jour ensemble... mais vraiment ensemble… J’ai déjà si hâte… »
Elle continua doucement ses légers baiser sur la peau chaude de son amant vampirique après sa courte phrase et elle chercha les lèvres de son amant, se mordant un coin de la lèvre pour saigner légèrement et lui donner un peu de son sang à travers le doux baiser qu’elle lui offrit. Caressant doucement son visage de sa main, l’observant par la suite d’un regard légèrement triste, elle savait que les au revoir arrivaient et elle ne voulait pas… Mais ils le devaient, avant leurs futurs retrouvailles qui se feras surement plus joyeuse...
« Ah!!! Il ne faut pas que j’oublie!!! »
Elle se leva rapidement, partant fouiller dans ses vêtements, plus précisément son pantalon, cherchant dans sa poche de côté qu’elle que chose qu’elle sortit rapidement, des colliers avec une sorte de petite fiole qui remplaçait le pendentif. Elle ouvrit une des petites fioles et se mordit un peu de la langue, du sang sortant et elle fit couler un peu de son doux liquide vie pour remplir toute la petit fiole de ce fluide sanguinaire. Elle referma le bouchon fermement et sourit en l’observant avant de se retourner vers Iruka et revenir sur le lit pour se coller à lui, lui montrant le collier avec le sang à l’intérrieur.
« Cadeau! Comme sa tu auras le temps de sentir mon odeur et de ne pas trop t’ennuyer de moi d’ici 2 lunes! »
L’autre collier avec la fiole était resté sur son vêtement, ne voulant pas être déçu si Iruka ne voulait pas de la fiole. La vampire regardant l’homme d’un petit regard timide et légèrement triste en sachant que cela s’approchait un peu trop vite à son goût du départ qu’elle redoutait fortement.
|Désoler c’est nul nul nul comme post Y^Y|
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Pourquoi avais-je tant mal ? Pourquoi je ne pouvais pas faire comme 99% de ceux de ma race ? Se taper quarante personnes à la fois, ne pas être fidèle et considérer les filles comme de simples bout de viande ? Je m'en voulais d'aimer tant Arashi. Je la voulais rien qu'à moi, si bien que j'aurais été capable de tuer pour elle. Seulement là, je voyais bien qu'elle appréciait son maître et sa situation. J'étais trahis et même avec cela, je n'acceptais pas de la rejeter, de la quitter. Je m'accrochais à elle incapable de la laisser. Je voulais qu'elle soit mienne à jamais et j'y croyais. Stupidité qui m'envahissait, je croyais finement en ce rêve. Je la voulais pour moi et je savais qu'un jour peut-être ce sera le cas.
Soupirant, je la tenais proche de moi. La belle dormait encore, mais après un certain moment, elle se réveillait. Elle se remis contre moi et m'enlaçait avant de m'embrasser. Je ne voulais pas que ce soit celui d'au revoir, je voulais la garder encore et encore. Pourquoi suis-je si faible hein ? M'aurait-elle contaminé ? Quoi qu'il en soit, je suis toujours fou d'elle malgré mes remords. Remords de l'avoir laisser partir ce soir là, remords de l'avoir entraîné dans tout ça. J'aurais jamais du entrer dans sa vie, sans doute que tout serait plus simple. Ou pas...
Me taisant, je profitais de ses baisers les trouvant magique. J'en profitais car je savais que je devrais encore attendre du temps. Peut-être pas une année, mais qui sait... Pour l'heure, je frissonnais en sentant son sang parcourir mes lèvres. Non.. J'allais être accroc à la longue. Silencieux, je la vis alors soudainement se retirer semblant chercher un truc. Hm ? ... La voyant revenir, quand elle remplit la petite fiole de sang, je cru comprendre où elle voulait en venir. Quel cadeau... J'avais presque envie d'annuler notre départ. Lui demander de s'enfuir avec moi en échange de ma protection éternelle. Prenant le pendentif, je le mis autour du coup à la place de mon petit chapelet et... Je vis l'autre pendentif similaire sur ses habits. Alors qu'elle était encore nue, je vins l'embrasser langoureusement. Liant ma langue à la sienne, je soupirais d'aise pour alors murmurer.
" ... A mon tour..."
Allant chercher le pendentif similaire, je me mordis de sorte à ce que la fiole soit aussi remplit. Il n'y avait même pas de quoi combler une soif, mais au moins, cela pourrait nous apaiser... A moins de vraiment faire l'effet inverse. Chose que je ne voulais pas. La regardant, je vins laisser mes mains agir. Lui mettant le collier, je l'admirais tomber presque entre ses seins. Voilé ainsi, il était dicret. Souriant par la suite tristement, je l'enlaçais dans mes bras. Respirant son parfum, je me permis de lui mordre la nuque pour une dernière fois prendre de son sang. Suite à quoi, je léchais cette nuque si délicieuse, puis je lui caressais la joue en lui faisant face.
" ... J'aimerais tant pouvoir te ramener là, dès maintenant chez moi... T'arracher de leurs griffes... Pouvoir être seul avec toi à jamais... J'espère vraiment qu'on se retrouvera vite... Et si ce soir là tu n'es pas là... Crois moi que je viendrais pour toi, quoi qu'il arrive, car je t'aime Ara... "
Passant mon pouce sur sa joue, je finissais par l'embrasser. Bien qu'elle soit encore nue, nous nous devions de partir non. La regardant encore et toujours triste, je posais mon front contre le sien et fermais les yeux. Elle allait me manquer pour sûr... Mais c'est ainsi.
" ... Soit forte Ara..."
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Le regard de la vampire analysait celui de son amant d’un air tender et attendant une réaction à son présent. Il regarda un instant le sanglant cadeau, cadeau pour un vampire très significatif. Puis après qu’elle que seconde de son regard figer sur ce présent, il s’en saisit pour lentement remplacer cette croix qui ornait son cou par cette petite fiole remplie du sang de la polymorphe qui fut heureuse qu’il accepte son présent. Il la regarda un instant et vint se saisir de ses lèvres pour y partager un baiser remplie de sentiment à son égard et elle en vibra légèrement de plaisir, leurs langues partant à la rencontre de leurs amantes pour une douce dance qui ne dura pas assez longtemps. Après un instant elles se quittèrent, un léger soupires sortie des deux bouches alors qu’Iruka murmura d’un ton doux :
" ... A mon tour..."
À son tour? Il allait donc faire la même chose pour elle! Elle sentie son cœur bondir de joie alors qu’elle le vit se diriger vers ses vêtements et prendre le collier pour se mordre et la remplir, l’odeur du vampire la fit frissonner légèrement. Elle aurait eu le goût de venir mordre sa douce gorge pour gouter un peu de son sang si envoutant. Il vint alors vers elle et d’un doux geste installa le collier à son cou, la fiole ce glissant légèrement à la naissance de ses seins, s’y cachant timidement. Son sourire fut triste alors et le cœur de la vampire se serra, ce qu’elle détestait ce sourire qui montrait que la tristesse…
Lentement il s’approcha d’elle et l’enlaça tendrement, elle fit de même pour sentir sa peau glisser sous ses doigts, elle ferma doucement les yeux à l’instant du câlin et lorsqu’elle sentie les crocs percer sa chair, elle lâcha un léger soupire, montrant son appréciation à la morsure vampirique. Lentement se fut sa langue qui remplaça ses crocs et sa main qui caressa tendrement sa joue, leurs regards se regardant doucement.
" ... J'aimerais tant pouvoir te ramener là, dès maintenant chez moi... T'arracher de leurs griffes... Pouvoir être seul avec toi à jamais... J'espère vraiment qu'on se retrouvera vite... Et si ce soir là tu n'es pas là... Crois moi que je viendrais pour toi, quoi qu'il arrive, car je t'aime Ara... "
Elle eut un léger frison à ses paroles, elle espérait pouvoir le retrouver ce soir-là, elle fera tout pour être à cette endroit, pouvoir être contre lui à nouveau et peut-être même pour toujours, son cœur n’attendais que cet évènement! L’homme passa lentement son pouce sur la joue de la jeune femme, leurs front se collant légèrement, leurs nez se frôlant le bout. Leurs regards triste s’entremêla un instant avant qu’Iruka ferme les yeux un instant…
" ... Soit forte Ara..."
Elle eut un triste sourire à son tour, décollant leurs front pour le regarder un instant, son regard au douce couleur montrait l’envie de pleurer de la jeune femme, mais elle tentait de rester forte face à son amant. Lentement elle revint l’embrasser avec douceur, ses lèvres glissant contre sa peau de sa joue, puis lentement sur son cou pour aller le mordre à son tour, le goûter légèrement pour ce souvenir de son goût si délicieux.
Lentement ses crocs furent remplacés par sa langue qui caressa doucement les trous qu’elle avait laissée, de tendre coup de langue démontrant ainsi son affection envers lui et lentement elle redressa sa tête pour l’observer un instant, ses doigts parcourant doucement son torse, son cou, ses joues, un peu de ses lèvres, elle allait s’ennuyer de lui… Deux lunes, elle espérait que cela passe vite…
Elle recula alors, tentant de cacher sa triste sous un doux sourire. Allant lentement chercher ses habits, s’habillant lentement, son regards allant se poser sur celui de son amant de temps en temps, au final elle fut habiller complètement, une cape qu’elle trainait sur elle se tenait sur ses épaules, lentement elle revint proche d’Iruka posa un doux baiser ses lèvres.
« Je t’aime Iruka, dans deux lunes nous nous retrouverons à nouveau… »
Lentement elle recula et lui offrit un doux sourire avant d’ouvrir la porte et partir… Le cœur serrer sous la souffrance de ses au revoir malgré qu’elle savait qu’elle le retrouverait bientôt elle savait qu’il pouvait se passer beaucoup de chose en deux lunes… Mais elle espérait que rien ne compromette ses plans de le revoir.
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Donnation. J'avais donné à la belle le même cadeau qu'elle m'avait fait. Après tout, il serait injuste de ne pas le lui rendre non ? La regardant droit dans les yeux après l'avoir mordu, je soupirais d'aise. Le collier lui allait mieux qu'à moi Caché entre ses seins, il faisait parfait sur elle. Elle allait me manquer ô que oui. La laissant entre mes bras, je respirais son parfum à plein poumons. Je ne voulais pas la quitter, pas partir sur ces bases. Je voulais vraiment l'avoir que pour moi. Frissonnant, je la laissais m'embrasser de nouveau. Rougissant de bonheur, j'appréciais cette douceur inimitable. Par la suite, elle vint baiser ma joue puis descendit sur mon cou. Je savais ce qu'elle allait faire et je la laissais prendre.
Quand mon sang coulait dans sa nuque, ce fut comme une part de moi qui allais réellement en elle. Soupirant de joie, je la serrais plus fortement dans mes bras. Je ne voulais pas... Je ne voulais pas qu'elle parte. Pourtant, je devais m'y résoudre. Me sentant mal, je le cachais à la belle. Se retirant, elle léchait ma plaie pour retirer l'excès de sang. Ne bougeant pas, je passais ma main sur la marque de ses crocs.
Son doux sourire démontrait clairement qu'elle était triste comme moi. Non... Je ne veux pas qu'elle soit triste. La regardant s'habiller avec soin, je rougissais. Son fessier, son corps... tout était parfait. La regardant avec admiration, je fut surpris quand elle revint à moi pour m'embrasser. Me sentant mieux, je fermais les yeux doucement.
Quand ses lèvres se séparèrent des miennes, je restais un instant complétement inactif. Elle partait, le bruit de la porte, son coeur, son odeur, tout ceci s'éloignais. La laissant faire un instant, je lui laissais dix secondes d'avances. Puis après un temps, je lui couru après. Sortant, je tournais la tête à droite et à gauche. Elle n'était plus là. ... Encore une fois j'avais été faible et je l'avais laisser partir. Me mordant la lèvre, je serrais la fiole qui contenait son sang. Jurant intérieurement, je regardais le ciel doucement et tendrement une larme coulant sur ma joue.
" Arashi... Reviens moi vite..."