Le Grand Jeu
Plan de Terra => Territoire de Tekhos => Prison Eternum => Discussion démarrée par: Ludmilla le dimanche 04 janvier 2009, 20:29:47
-
Il y avait des moments où on se demandait pourquoi on était là, ainsi, à marcher dans les dédales d'une prison sombre. Il y avait des moments où on tremblait quand on entendait des bruits dont on avait peur.
La jeune Ludmilla - vêtue comme une chanteuse des années CHarlestone, comme à son habitude - errait dans cette prison pour chercher à aider des gens qui avaient besoin d'aide, et surtout de nourriture. Elle avait une grande cape noire qui cachait son visage, et un petit panier dans sa main gauche, et marchait, marchait, jetant des regards un peu partout.
Un homme lui fit un signe, un garde, il lui indiqua une geôle, au loin, isolée des autres. Elle eut un sursaut et se dirigea à contrecoeur vers cette geôle, serrant dans sa main le panier. Elle se mit devant les grilles, abaissa son capuchon pour dévoiler son visage clair et s'accroupit, se tenant aux barreaux, et cherchant un signe de vie à travers cette grille.
ON la lui ouvrit en riant. Elle entra en grommelant.
DONG!
On avait refermée la porte. Elle tressauta. lle était dans une geôle, avec quelqu'un qu'elle ne connaissait pas ... elle eut un tremblement plus fort encore.
-
Cette musique s'approche plus de la scéne que j'ai écrite:
http://www.dailymotion.com/relevance/search/ost%2Breborn/video/x7djpd_ost-reborn-rokudo-mukuro-2_music
Dans la sombre prison glaciale de Tekhos, des cris de douleurs et de dépression y régnèrent. Mais, jour comme la nuit, un des détenus sortait de son cachot humide. Marchant droit vers la porte en acier dite "la sortie", ses yeux se remplirent de peur et d'angoisse. Mais, lors d'une nuit fortement sombre, cette "tradition" se rompit, recommencant le lendemain. Ouvrant la grande porte d'acier surnommé "L'au-delà" par les détenus, quatres hommes en uniformes rentrérent et, au milieu d'eux, avait un homme habillé différement. Celui-ci avait gardé ses vétements, mais, était solidement attaché. Un collier de métal au cou comme si c'était une laisse, des bracelets en metal trempé aux poignets et aux talons, une sorte de ceinture à la taille qui, elle, est en chrome, c'était la venue d'un "nouveau" pensionnaire. Cette homme avait le regard vide et effrayant en même temps. Regardant la piéce de ces yeux rouges-sang, le jeune homme avait ses vétements libres qui flottérent en l'air ainsi que ses cheveux bordeaux. Son cache-oeil avait un crâne de mort chromé qui apparaissait, brillant de la lumière des petites fenêtres dont les hommes ne pouvaient ateindre. Son écharpe, troué par des balles, semblait raide comme un baton se courbant de temps en temps. Le bas de son manteau volait et le métal, avec une croix au milieu, brillait comme le crâne de mort à la lumière des fenêtres ainsi que la fermeture éclaire et la laguette autour. Ses drôles de bottes, eux, retentirent dans la prison. Les chaînes qui, jusqu'ici, bandouillaient commencérent à se mettre droit, signe que les hommes tirérent sur la jeune pour que le jeune homme pressait le pas. Ses dents de vampires qui, jusqu'ici, étaient blanche brillérent d'un rouge flachant comme le sang et, pour finir, il restait calme, comme si ce n'était qu'une supercherie. Entendant une porte en acier s'ouvrir, il leva la tête un peu vers le haut et vit une cellule vide. Ayant les personnes qui, jusqu'ici, l'avaient escorté le pousser, il était obligé de s'assoir dans un coin. Un des hommes prit deux bracelets fixés au sol et, d'un regard peu chaleureux, les mit aux poignets du jeune homme qui ne fit rien. Etant caché dans l'ombre, seul ses yeux resortaient, des yeux rouge comme le sang qui se condense pour former un joyeux. La porte en acier se referma, laissant le jeune homme seul dans cet obscure céllule. Il n'avait que les voix d'autres personnes qui essayérent de le rassurer, mais, se découragérent eux-même à cause du manque d'attention de ce dernier. Levant ses mains, celui-ci regarda les chaînes qu'il avait aux poignets quand, subitement, la porte s'ouvrit dans un grincement d'outre-tombe. C'était un des gardes qui venaient apporté un repas pour le jeune homme qui, après l'avoir mit à ses pieds, donna un coups de pied dans le plateau qui vola dans la figure du garde. Fou furieux, celui-ci prit une des seuls armes qu'ils pouvaient avoir, un révolver et, posant celui-ci contre l'épaule du détenu, appuia sur la gachette, délivrant une balle qui transperça le jeune homme qui, après qu'il soit parti, se régènera instantaner. Baissant la tête vers le sol et fermant les yeux, trois jours et deux nuits s'écoulérent lorsqu'il entendit la porte s'ouvrir et se refermer. Levant les yeux de son obscurité, ne montrant que ses yeux remplis de sang, celui-ci remarqua une jeune fille n'étant là surement à cause d'un des sales coups des gardiens. Bougeant un de ses bras, faisant retentire le bruit des chaînes, celui-ci parla quand les gardes reférmerent "la sortie", laissant la jeune fille à son triste sort :
- Pauvre Terranne, enfermée ici juste pour être utilisé comme un banal objet. Les Terrans qui sont les hommes de cette prison ne te délivront qu'à l'unique condition, que tu sois leur objet du désir. Ils sont tellement prévisible qu'ils me rendent malade....
Se relevant, brisant ses chaînes, les yeux du jeune homme devinrent plus ensanglantés qu'avant. S'avançant petit à petit de la lumière, les bruits de bottes retentirent dans la prison. Etant complétement sorti de son sombre coin, celui-ci n'avait que l'apparence d'un jeune garçon de 15 ans. Le métal de ses épaules, de sa fermeture éclairs, des languettes argentées juste à côté et, pour finir, le crâne de mort chromé de son cache-oeil brillérent. Celui-ci n'avait qu'un oeil et pourtant, on pouvait voir deux yeux rouges, ceci reste un mystére. Le bas de ses vêtements volérent tandis que son écharpe troué de balles flottait. D'un air détendu, celui-ci regarda la jeune fille qui allait surement servir de menu aux gardiens.
- Pauvre terranne, car, ici, tu ne seras pas qu'un simple objet. Les cupides Terrans de cette prison te violeront telle une bête sauvage se défoulant dans une cage jusqu'à ce qu'ils se lasseront de toi et qu'ils auront trouvés une autre proie. Mais, lorsque ce moment sera venu, leur méthode ne consiste pas à délivrer la jeune terranne violée, mais, à la supprimer. Même en les suppliant, les terrannes qu'est ta génération d'avant finiront six pieds sous terre, là d'où elles sont venues au départ.
Tendant le bras vers celle-ci, le jeune garçon n'eut aucune émotion, comme si la vie de cette fille ne l'intéressait pas. Possitionnant la paume de sa main vers le plafond, celui-ci l'ouvra et, regardant la jeune fille, atendit la réponse après avoir terminer ce qu'il disait:
- T'autant plus que, pour une jeune terranne, tu n'es guére repoussante. Si tu veux survivre de ces terrans pervertits, prends ma main et rejoinds-moi. Car, malgré les apparences, je ne sais avoir aucun manque, vu la situation de mon expérience qui n'est que le simple nombre "0". Acceptes-tu, jeune terranne, de passer un pacte de sang et corps avec moi juste pour survivre du destin-pêcheur que ton menteur de dieu t'a donné sachant qu'après le pacte, tu m'appartiendras à soixantes pourcent et, à chaque danger, tu seras saine et sauve à condition de consacrer du temps en ma compagnie? ou bien, est ce trop pour une simple terranne de suivre un méthuselas, enfin, chez vous, vous appellez ma raçe "Vampire"
-
http://fr.youtube.com/watch?v=wskVvqibY7s--> Ma petite musique
La jeune Ludmilla déglutit difficilement. Elle était réellement étonnée, pétrifiée. Elle n'aurait pas du venir ici, elle n'aurait pas dû placer son âme charitable en cette prison. Elle n'aurait pas du faire confiance, et suivre aveuglément son instinct charitable. Elle passa sa main sur son front, le peu de peur qu'elle contenait en elle battant son coeur. Elle se releva, passa sa main sur sa robe. Elle ne voulait certes pas être violentée par les gardes, l'expérience avec Don l'ayant frappée violemment. Elle inspira un grand coup.
Elle était comme plongée dans un univers terrifiant, sa peau se couvrant de frissons de peur et d'incompréhension, même si une portion infime d'elle lui ordonnait de suivre ce vampire. Elle eut un soubresaut en approchant sa main de celle du vampire, silencieusement. Elle ne sait pas tellement quoi faire, quoi dire ... sinon lui obéir.
-
Voyant la jeune humaine approchée sa main de la sienne, celui-ci eut un sourire moqueur avant de prendre sa main. La serrant, il la tira à lui avant de la rattraper, la faisant basculer en arriére et approchant ses crocs du jeune cou de la jeune fille. La tenant pour pas qu'elle tombe, le jeune garçon lui planta délicatement ses canines pour lui éviter d'avoir affreusement mal au cou et, absorbant un peu de sang, la fit passé un pacte avec lui. Corps et ame lui appartenait, au clair, la jeune fille entiére lui appartenait. Mais, il n'était pas si "monstre" que ça et ne la fit passé un pacte de 60%, la laissant faire ce qu'elle veut (les 40%). Retirant ses canines, celui-ci redressa la jeune fille avant de se relécher les lévres et ses dents comme si c'était un chien. Il a beau être un méthuselas qui boit le sang des vampires, il est comme même un méthuselas, un suceur de sang. La regardant, celui-ci se tourna vers la grille et, prenant une simple pierre, une lumière apparut. La lumière avait, pour ceux ayant mérité un peu des pouvoirs de vampires, mais, aussi ceux du pacte, une luminosité proche de l'arc-en-ciel. Lorsque la vue refit surface, un maillet fit son apparition, remplacant la petite pierre. Fermant les yeux, le jeune methuselas se dit à lui-même :
-Grandis.........Grandis.......Petit Maillet......Délivres ton seul maître.....de ce cachot!
Ouvrant brusquement les yeux, le maillet s'allongea et grossisa, devenant "normalement" une arme à fort poids. Regardant les grilles, le jeune garçon leva son maillet avant de l'abaisser sur celles-ci. De la fumée apparut, mais, ce n'était pas tout. En plus de cette fumée blanche tel un drap de soie, un bruit sourd fit son entrée. Une silhouette, dégageant une aura noirs, sortit de ce cachot quand, soudainement, la porte claqua. C'était les gardes qui, bien sur, avaient entendus le bruit et avaient prévenus l'extérieur. Prenant révolvers et autres armes, ceux-ci tirérent sur le jeune garçon qui, lui, les évita. Des fois, il se prit quelques balles pour protéger la jeune fille qui était derriére lui, mais, comme il a souvent "tué" des vampires, sa régènération augmenta. Aussitôt touché, la balle resortit et la plaie se ferma à une vitesse hallucinante. Pointant sa paume de la main vers eux et tendant son bras, celui-ci les regarda d'un regard fort ensanglanté en disant :
- Pauvre Terrans absorbés par les pêchés...Ce monde n'a nullement besoin de vous et encore moin.......
Le jeune garçon disparut pour réapparaitre derriére les quatres hommes dont un avait perdu la tête. Les trois autres tombérent comme des mouches. Se retournant, celui-ci tenait, par le cou, la tête du décapité avant de le recracher sur le cadavre. Se reléchant les lévres et les canines, celui-ci regarda le groupe avant de continuer :
- ....de vulgaires méthuselas se croyant, dû à leur pouvoir, des êtres eternels.
Regardant la jeune fille, son regard n'avait toujours pas changé. Il était froid et sans émotion, un vrai regard d'assassin que les plus témèraires pouvaient avoir. Tendant la main vers celle-ci, il lui dit :
- Prends ma main, jeune terrane, car, parmis ces terrans se cachent des méthuselas n'ayant aucun rapport avec moi. En plus, je te conseille de pas me quitter, fille du pacte. Toi et moi sommes liés par le sang, mais, tu ne seras pas une esclave pour autant. J'avoue que cette idée me plairait bien, mais, un méthuselas ne possède aucunement de besoins primaires. Toute fois, curieusement, j'ai été séparé de ma soeur. Même si elle sait se défendre, j'ai bien peur qu'elle ne fasse pas le poids. Je vais te demandé une chose que je ne demanderais guére à une terrane, puisque la loi du pacte m'y oblige. Aide-moi et, en échange, je ferais ce que tu veux.
-hj- désolé du retard. En fait, quand je dis "tout", c'est tout sauf se faire tuer ou mourir ^^ et bien sur, dans la possibilité. Donc, à toi de faire ta décision ^^ (tu peux vraiment tout demandé sauf la mort ^^)
-
Un bruit. Un battement de coeur. Un cri. Le sol.
Jamais au grand jamais la petite Ludmilla n'avait eu si peur, au point de serrer si fort entre ses mains son porte bonheur, au point de le briser et de se retrouver les mains en sang ( le porte bonheur est un pendule en verre ). Jamais elle n'avait vu autant d'agitation, de violence ... Elle posa sa main sur son coeur, reculant sous le choc. Non pas l'histoire du maillet, non, ça ça pouvait passer, mais le voir tuer ces gardes, voir leur sang repandu sur le sol et les murs, et sentir la peur, cette peur nauséeuse qui la prenait à la gorge, le voir violent lui faisait quelque peu regretter le pacte. IL allait peut-être lui faire subir la même chose ... une boule se forma dans sa gorge. Elle n'avait plus de douleur au niveau de son cou. Mais son coeur donnait l'impression qu'il allait bondir de sa poitrine et partir dans le ciel. Quand les cadavres des gardes s'écroulérent, et qu'elle distingua le regard du cadavre sur elle, avec ses yeux vides, elle laissa sortie un cri, qui lui donna l'impression de lui brûler la gorge.
Chaque fois qu'elle ouvrait la bouche pour dire quelque chose, il n'en sortait qu'un râle irrégulier et étrange. Elle l'entendit lui parler, à elle ou à lui même, elle n'était pas en état de le savoir. Elle eut un soubresaut et quand il s'approcha d'elle, elle se sentit défaillir. Elle l'ecouta à peine et s'ecroula sur le sol.
Petite nature ...
-
Voyant que celle-ci s'écroula sur le sol, le jeune Lavi soupira. Mettant ses mains en dessous de la jeune fille, il la leva sans trop de difficulté. Malgré l'apparence qu'elle avait, la jeune fille était plutôt légère et assez mignone. Se retournant, celui-ci marcha, passant au dessus des corps et, durant des heures et des heures, trouva un lieu tranquille où il déposa la jeune fille sur une des chaises en piteuse état. La regardant, celui-ci remarqua qu'elle avait une beauté incomparable à une déesse et, pourtant, elle n'était qu'une simple humaine. Mais, petit à petit, le jeune garçon redevint lui-même normal, son apparence humaine expulsa celui du methuselas, apparaissant comme si ce n'était qu'une simple illusion. Regardant celle-ci, le jeune garçon, par l'état actuel des objets, murs et barreaux, alla cherché de l'eau, la laissant seule. Après une trentaine de minute, celui-ci arriva avec 3 gourdes d'eau et s'installa, atendant que la jeune femme reprit conscience causée à la vue des méthuselas morts.
-
Ludmilla ouvrit finalement les yeux. Elle était ... épuisée. Sa tête lui tournait. petite nature ... " Personal Jesus ( http://www.youtube.com/watch?v=1JFyIaybXbU&feature=channel) " lui trottait dans la tête, sans raison apparente d'ailleurs. Elle secoua ses cheveux, remarquant l'homme devant elle. Elle serra les dents, eut un sourire forcé. Elle ne reconnaissait pas les lieux autour d'elle ... elle inspira un grand coup et remarqua son regard sur elle. Elle toussa, gênée.
- Je ... sais, je suis une petite nature. Je n'ai pas l'habitude de voir ce genre de ... scéne. Cela me .. traumatise ? Non, le terme est exagéré. Me fait relativement peur. Me fait ..bizarre.
Elle passa ses mains sur ses bras.
- Je ... vous pouvez me passer une gourde s'il vous plait ?
Cet homme avait une beautée froide, ce genre de beautée qui vous ordonne de baisser les yeux, de ne pas regarder cette personne. Une beautée froide. Qui vous attire mais vous fait peur. Ell no'sait pas prononcer un mot...
-
L'écoutant, le jeune homme prit une des gourdes, se releva et alla vers la jeune fille, lui tendant cette gourde. Celui-ci, après avoir laché lorsqu'elle la prit en main, regarda de l'autre côté. Malgré son air, elle lui faisait comme même de l'effet et, s'éloignant un peu d'elle, la regarda. Lorsqu'elle eut fini de boire, le jeune méthuselas ne reprit pas la gourde, mais, dit d'une voix normale et sans peur avec une once de géne:
-Les méthuselas femmes sont ravisantes, mais, elles ne différent pas des terranes. Seul leurs soifs de sang les différencient avec vous. Toute fois, pour quelqu'un ayant sa vie dedans, je me vois mal d'essaier de comprendre vos sentiments. Et puis, pourquoi êtes-vous venue ici?
Le méthuselas regarda vers elle, mais, quelques minutes plus tard, il tourna son regard de l'autre côté, ne pouvant la regarder quelques minutes de plus. Il atendit tout simplement sa réponse
-hj- désolé du court rp
-
Ludmilla se mordit la lévre inférieure. Quelle question saugrenue ... Elle ne savait pas tellement pourquoi elle même ... Elle se frotta les mains nerveusement, posant la gourde sur le sol. Et releva ses yeux vers lui. POurquoi l'évitait t'il ainsi ? Avait-il peur d'elle ? Elle eut un rougissement nerveux.
- Je venais aider ... les gens. Les conditions de vie dans cette prison sont déplorables, et je viens de temps à autre donner des repas, des boissons , un peu d'argent à ces gens. Ils ont besoin ne serait-ce qu'un peu de ... vie. On a sûrement qu'une vie, et selon moi, on doit recevoir un soupçon de bonheur durant cette vie. Quoi que la personne puisse faire. Tout le monde mérite de vivre.
Elle renifla, frotta ses bras. Il ne la regardait toujours pas. Il avait le regard tourné sur le côté, à regarder le mur. Ce qui énervait sérieusement la petite Ludmilla. Elle bondit sur ses pieds, se levant d'un seul coup.
- POurquoi tu me regardes pas ??Léve les yeux, merde ! Je te fais peur à ce point ?! hurla t'elle presque, tandis que ce son résonnait dans les entrailles de cette piéce close et triste à mourir.
-
Regardant toujours le mur, le jeune methusela mit ses mains dans ses poches. Regardant toujours sa même cible, il écouta sa jeune compagne qui n'avait d'autres pensées que celles d'aider des personnes. Ne faisant attention qu'à elle et non ce qui les entourait, le jeune methusela répondit après qu'elle est terminée.
-Depuis un certain temps, cette prison est sous l'emprise des methuselas. Vous, terrans, vous n'aviez guére vus la différence entre nous et les vôtres. Pourquoi garder des créatures comme vous? Je me le demande bien. Pourquoi j'aide ces cloportes quand, après, ils me trahissent? Je me le demande. Et pour finir, pourquoi Je ne peux vous tuer alors qu'à cause de votre sombre soif, vous aviez mené ma famille à sa perte. Vous, êtres recherchant la richesse et la force, avez détruit notre village par peur et par richesse...
Celui-ci ne fixa que le mur lorsqu'il détourna son regard vers la jeune fille derriére lui. Sans bouger, sans se retourner, il pouvait la voir se relever ou plutôt, bondir comme si une souris était là. Se tenant droit derriére lui, il l'écouta. Mais, comment ne pas l'entendre? Elle absorbait tout le son et on pouvait, surement, l'entendre de l'extérieur.
-J'ai beau être d'une raçe opposée à vous, je ne puis resentir les mêmes sentiments que ceux de mon espéce. Les méthuselas sont avec les méthuselas, les terrans avec les terrans, mais, où sont situés les maudits? Les méthuselas qu'on appelle Crusnik? Entre les deux. Mais, leurs sentiments sont opposés. Il se peut que, des fois, un Crusnik comme moi et ma soeur trouve un terran ou une terrane attirante. Je ne suis pas quelqu'un qui montre ses sentiments et on ne peut rien deviner avec mes pupilles noirs et le blanc rouge. Vous veniez de dire que vous me faisiez peur? Mais, aucun terran ne peut m'effrayer. Pour être honnête, ce n'est que l'effet inverse de votre pensée.
Celui-ci retira ses mains, les croisa et se retourna, regardant la terrane dans les yeux. Le jeune méthuselas ne fit aucun mouvement et, d'un sourire, posa à son tour des questions à la jeune terrane.
-Et vous? Pourquoi me regardiez vous depuis tantôt? Au début, je resentais de la peur, mais, maintenant, je n'en ai plus aucune réaction organique de ce sentiment. Vous fais-je peur? Je ne pense pas. Et puis, pourquoi êtes-vous resté avec moi? Si vous décidiez de partir, je ne vous en empécherais pas. Et puis, vous aviez aussi la possibilité de me tuer. Ce sont les deux questions dont je me pose. Pourquoi vous me regardiez depuis tantôt et, surtout, pourquoi êtes-vous resté avec moi?
-
Prise à son propre jeu. Ludmilla eut un mouvement de recul et croisa les bras sous sa modeste poitrine. Elle ne connaissait pas l'histoire de ce jeune homme, elle ne le connaissait pas. Il venait de lui resumer quelque peu sa vie. Elle se mordit la lèvre inférieure, et le fixa. mais détourna le regard. Il avait des yeux de fous, comme dirait sa mère adoptive. Des yeux de tueurs. Elle ne pouvait pas tellement le fixer plus de 1à secondes.
- Pourquoi je vous regardait ? Parce que les yeux sont faits pour voir.
Elle s'installa en tailleur sur le sol, et plissa le front. Ce n'était pas une reponse, mais bon... un début de reponse. Cette phrase venait des 10 commendements de libertins. Elle ne connaissait que les deux premiers : le libertin doit connaitre ses limites et les yeux sont fait pour voir.
- Je ne sais pas pourquoi je reste avec vous, ça ne s'explique pas. Je ne pense pas que vous me ferez du mal. Si vous aviez l'intention de me broyer, je le devinerez. Vous m'avez aidé, ce n'est pas pour me faire du mal ensuite.
-
Laissant ses bras croisés entre son estomac et son torse, celui-ci regarda la jeune fille parlée. Ses yeux ne changérent d'expression lorsqu'elle termina, se taisant quelques minutes. Regardant vers l'entrée où ils sont arrivés, celui-ci décroisa les bras et, d'une voix sombre, ferma les yeux. Sans même revenir à sa position initiale, celu-ci prit le maillet se trouvant sur son pantalon et dit :
-Les intentions ne sont jamais ce qu'on pense. J'ai trés bien pu vous sauver pour, ensuite, vous utiliser. Ne mêlez ma raçe avec la votre ne sciera point les autres invités qui, avec le temps, on dut vous entendre.
Celui-ci sortit son maillet et, le faisant tournoyer, l'aggrandissa. Il réouvrit ses yeux qui s'étaient encore plus gorgé de sang, sa peau devena subitement plus bronzée et des crocs dont le bout était ensanglanté resortérent de sa bouche. Son expression était devenu un peu plus effrayante tout en étant plus inébranlable qu'auparavant. Pour terminer son tournoyement, il fit un mouvement vers l'avant avant de l'arréter avec son épaule. Toujours fixé par la porte, celui-ci demanda:
-Je n'ai remarqué nullement une once de combattante en vous, mais, si vous vouliez vous battre, je vous conseille de vous préparer ou sinon, rester derriére moi.
-
Se battre ? Encore ? Devoir subir de la violence, la voir éclater sous ses yeux ? Elle ne s'en sentait pas tellement capable. Chacun des mouvements de l'inconnu, certes, la faisait trembler, mais lui donnait envie de rester, emplie d'une curiosité étrange, une curiosité suicidaire ou - si vous préférez - masochiste. Elle resta donc un instant interdite, et faillit s'evanouir à nouveau en voyant les yeux injectés de sang, les canines sanglantes. Mais elle decida de tenir bon, et se glissa derriére lui. Elle ne savait pas trop quoi faire, elle ne savait pas ce qui arriverait, mais préférait lui faire confiance. Elle appuya doucement ses mains dans le dos de l'homme, et d'une voix un peu tremblante :
- Je ne pense pas que vous auriez fait cela. Vos yeux, bien que quelque peu effrayant, ne me dites pas que vous m'auriez fait du mal. Je ne me fie qu'a mon instinct.
-
Le jeune méthuselas regarda la porte, ne faisant plus attention à sa compagne, avec des yeux gorgés de sang. Celui-ci enleva son maillet de son épaule et déposa le bout sur le sol, plantant la partie piquante dans une des lignes entre chaque pierre. Il ne quitta pas les yeux de la porte, ni même pour cligner des yeux. Son regard affuté et gorgé d'un liguide sanguin indiquait clairement la once de combattivité régnant en lui. Rien ne le déconcentra jusqu'au moment où il laissa tombé son maillet, yeux grand ouvert, bouche buée comme un idiot et les mains ouvertes et crispées. Ce dernier fut surprit par l'action de sa compagne, n'était ce que la premiére fois qu'un terran lui faisait ça. Elle avait pousée ses mains sur son dos et, malgré que sa voix était tremblante, fit comprendre qu'elle avait comprit qu'il ne lui fera rien. Les yeux redevinrent normaux, le sang partit et les crocs rentrérent, celui-ci ferma les yeux avant de se retourner, enlevant ainsi les mains qu'il avait sur le dos et reprit le maillet qui redevint minuscule. Dés qu'il rangea le maillet et regarda la jeune fille, ils entendirent des voix à l'arriére. Retournant son regard vers la porte, il vit tout un groupe de méthuselas qui, eux, lécherent leurs lévres comme des loups. Jetant un coups d'oeil en arriére, le jeune méthusela regarda droit devant lui avant de dire :
-Hum....Coton....
Celui-ci se retourna, porta la jeune fille dans ses bras et courra dans le sens inverse. Montant les marches, il défonça chaque porte métalissée avec son pied avant de resortir à l'extérieur de la prison, s'enfermant dans une ancienne cabane avec sa compagne.
-.....On devrait être tranquille....Et votre instinct ne vous a point trahi. Vous semblez connaitre les méthuselas malgré que vous ne le paraissiez pas. C'est principalement ce que vous aviez dit à propos de mes yeux, seul un méthuselas pouvait faire ça...Enfin, pour les informations sur les terrans, je ne sais pas si vous en aviez. C'est vrai que je vous ai mordu, tantot et donc, que vous deviendrez une methuselas et une humaine en même temps, mais, ce n'est pas avec mes 30% qui vous ont donnés cette lecture dans l'âme qui est souvent aperçevable par les yeux. Sinon....Je ne vous ferais aucun mal, bien du contraire, car, je ne comprends pas moi-même. Un coeur détraqué comme le mien bat la chamade prés de vous, de votre beauté et jusqu'ici, de votre caractére. Je....c'est idiot à dire, mais...je ne sais pas ce qui se passe avec mon propre organisme...
-
Rooh ... la deuxieme fois de sa vie que la petite discrete sensible bonne poire laissait quelqu'un dans cet etat. Elle ne savait pas tellement ce qu'elle avait fait, elle ne savait pas pourquoi ni comment, seulement quelques mots, quelques gestes, ses mains tremblantes contre son dos rude. Seulement ça ... une terrane lui avait fait quelque chose, si bien qu'il ne contrôlait plus son organisme, qu'il se retrouvait tel qu'il était maintenant. défait, a ne plus se comprendre lui même ... elle renifla un instant, pour briser un silence apres les mots du jeune methulesas. Elle s'approcha de l'homme, le fixant dans ses yeux sombres et mysterieux.
- A cause de moi ?
Elle avait un air plutôt ennuyé - culpabilité sans doute - et était nettement bloquée en cet instant, ne sachant pas trop quoi faire. Son instinct. Un instant, elle ferma ses yeux, inspirant un grand coup.
- Je ne veux pas vous mettre mal à l'aise ...
Elle appuya une de ses mains contre le buste du jeune homme, l'autre serré sur son ventre, les yeux et le visage levé vers lui. Que lirait-il dans ses yeux ? De la tristesse ? De la culpabilité ? De la peur ? Non. Il y lirait juste un sentiment de tendresse, melangé à un triste douceur. Sa main tremblante se detacha de son ventre et se plaça sur l'epaule du methuselas, et elle se serra contre lui.
-
Le jeune méthuselas la regarda après que cette derniére ait reniflée. Celui-ci ne savait plus trop où se mettre, encore moin à la regarder dans les yeux. Toute fois, il s'y força, ne lui donnant pas de fausses idées et la vit le fixer dans ses propres yeux. Celui-ci ne bougea pas, pétri comme un arbre quand il entendit : "A cause de moi ?". Bien sur que non, se disait il. Mais, comment le dire sans la vexer? Celui-ci la regarda, puis, regarda sur le côté quelques minutes avant de la regarder denouveau dans les yeux en lui disant :
- Ce n'est pas à cause de vous, plutôt à cause de votre charme. Je dois vous avoué une chose, votre charme est une de vos plus précieuses armes dont je ne peux que m'y résigner...
Il constata qu'elle avait un air ennuyé, pensait elle toujours que ce n'était que sa faute? Mais, dés qu'il termina d'y penser, elle prit une grande respiration après avoir fermer les yeux et parla. Regardant vers le sol, celui-ci leva sa tête brusquement vers elle pour, ensuite, lui dire :
-Vous ne ...
Il n'avait même pas commencé qu'il ne pouvait terminé. Aussitôt il voulut parlé, il se fit surprendre avec l'action de cette derniére. Une main sur son buste, l'autre sur son ventre (qui, au passage, j'ai pas comprit. Sur le ventre de qui? le tien?), il regarda la jeune fille dans les yeux dont il ne pouvait décrire. Tendresse, gentillesse, douceur, ces sentiments se mélangérent? Non, c'était bien plus que ça, mais, les mots l'échapérent. Toute fois, il aperçut la main tremblante de Ludmilla qui se plaça sur son épaule et elle le serra contre elle. Lui, il ne bougea pas, comme pétrifié lorsqu'il arriva enfin à poser une question tout en la prenant d'un air hésitant dans ses bras :
- Pourquoi aviez-vous les mains qui tremblent...? Aviez-vous peur?
Les sentiments de la jeune fille l'atteignaient, mais, il ne comprenait pas le sens du tremblement des mains. Celui-ci se dégagea un peu de Ludmilla après qu'elle ait dit quelques mots et sans plus répondre, déposa sur ses lévres un baiser doux tout en le serrant doucement contre lui.
-
( son ventre a elle ;D )
Non, effectivement, il n'avait pas pû parler. Aucun mot, aucune phrase, rien ... En tout cas elle n'y avait pas tellement prêté attention. La seule chose qu'elle entendait, c'était son propre coeur qui battait comme un fou, prêt à bondir hors de la cage thoracique. Elle était stressée, elle avait peur de mal faire, de faire ou une dire une bêtise ou n'importe quoi d'autre. Elle savait qu'il ne lui ferait rien, qu'il ne lui ferait pas de mal. Mais elle avait peur d'elle même, de ses propres gestes, même de son propre regard. Alors elle avait preférée de serrer contre lui, c'était chaud et protecteur. Elle se sentait en sécurité ici ... Elle ne reagit pas tout de suite au baiser, elle était trop pensive pour ça. Non, elle se concentait sur une énergie qu'il degageait, une sensation qu'il offrait ... elle lui rendit son baiser, avec un peu plus d'entrain, glissant ses mains dans le dos du jeune homme, caressant le long de sa colonne vertebrale. Et puis elle se recula un peu, pour lui repondre :
- Je n'ai pas peur ... sinon de moi, et pas de vous. Je ne voudrais pas faire une chose qui vous deplaise ... annonça t'elle en rougissant, les yeux brillants d'une sensation étrange et d'un ressentiment tendre.
Elle deposa un doux baiser dans le cou du jeune homme, papillonnant doucement , et remonta a la bouche calmement, pour un baiser doux mais pas " guimauve ". Juste doux ...
-
-hj- okai^^
Après avoir senti les sensations qu'elle lui offrait ainsi qu'une chaleur humaine, elle recula pour lui dire quelque chose qu'il écouta. Mais, dés qu'il entendit "Je ne voudrais pas faire une chose qui vous deplaise", celui-ci fit des grands yeux comme si il fit éttonné. Elle rougissait avec des yeux brillants et lui ne pouvait que détourner le regard pour pas trop rougir à son tour. Mais, au moment où il voulait dire quelque chose, la jeune fille déposa un doux baiser dans son cou suivit d'un baiser doux sur les lévres. Comme toujours, il n'avait pas pu dire un mot et après quelques minutes, celui-ci se retira et la regarda avant de dire :
-Une action qui me déplaise ou qui me mettrait en danger? Je ne pense pas. Jusqu'ici, toutes vos actions me plaisaient...énormément... Sinon, je vous aurais déjà abandonné si ce n'était pas le cas...
Celui-ci lui souria avant de redéposer un doux baiser sur les lévres de sa compagne pendant une à deux minutes pour, ensuite, l'embrasser dans le cou, n'osant aller plus bas.
-
Elle laissa sa bouche echapper un " Aah !" de surprise et de plaisir quand elle sentit sa bouche sur son cou. Ses mains volérent un instant dans le vide, prise de surprise, puis s'aggrippérent avec force au tissu du vêtement de l'homme. Elle tremblait un peu, mais tentait de le dissimuler, en glissant ses mains sous le haut du méthuselas, les laissant glisser sur son torse, avec calme et douceur, et inspira violemment. Elle était toute serrée contre lui, ne voulant pas le lâcher, comme s'il allait s'envoler... Non, il ne le ferait pas. Elle eut un petit soupir.
- Vous m'auriez ... abandonnée ... ? lança t'elle d'un ton inquiet, tandis qu'elle se resserait contre lui. Je ne veux pas vous ennuyer, ni vous deplaire ... ça ne me vexera pas si vous ... me jetez ...
Culpabilité + humilité + rougissement ardent, voir gêne. Elle ne savait plus ce qu'elle disait, elle ne comprenait pas cet homme, et c'était surement pour ça qu'elle le trouvait attirant. Parce qu'il était mystérieux, incompréhensible ... Elle fit glisser doucement ses doigts au niveau de la taille et du bas ventre du methuselas, sans descendre plus, comme une caresse , un voile léger et doux qui vous effeuille doucement.
-
Le jeune méthuselas la regarda, puis, d'un sourire suivit d'un soupir, il prit le menton de la jeune fille tout en levant doucement la tête de celle-ci avant de lui dire d'un sourire :
- Si je ne me trompe guére, je ne vous ai pas abandonné. Même si j'abandonne rarement des gens, ceux qui ont eu droit étaient des personnes qui le méritaient, des personnes sans scrupules et abjets ne pensant qu'à leur profit et non au malheur des autres. Miss Ludmilla, si je ne vous ai pas abandonné, c'est qu'une raison existe. Vous me plaisez et vous n'êtes, pour moi, qu'une methuselas attirante comme les arbres fleuris de fleurs.
Celui-ci lui souria, puis, déposa un baiser doux sur les lévres de cette derniére avant de l'entrainer par terre. Non pas couché, mais, assit. Ce dernier leva le vêtement de la jeune mi-terrane pour une unique raison, caresser son dos nu dont il était difficile, pour lui, avec le vêtement de la jeune fille. Aucune vue sur sa poitrine, encore moin plus bas pour ne pas gener sa compagne, celui-ci retira ses lévres avant d'embrasser dans le cou, déscendant un peu jusqu'à l'embrasser sur quelques centimétres de la partie au milieu de sa poitrine, ne regardant toujours pas et lui faisant comprendre qu'elle ne ferait que l'embrasser pour pas qu'elle se fasse des fausses idées "perverses" à son sujet, ce qui, craignait il, l'éloignerait de lui. Toute fois, il continua aussi à caresser le dos de la jeune fille tout en suivant la ligne de la colonne vertébrale.
-
Et bien ce n'etait pas Don ce methuselas !! Malgré les premiéres idées que l'ont pouvait avoir vis a vis de cet homme - les yeux injectés de sang et les caninces qui auraient fait fuir n'importe quelle adolescente normalement constituée - il se revelait que c'etait un homme plutôt doux. Vraiment une extrême différence ... Il lui avait fait un compliment qui l'avait fait rougir extrêmement. Ce genre de remarques étaient rares pour une fille qui voulait rester discrete. Comment en était-elle arrivée là ? Elle en était arrivée au point de ne plus vouloir quitter la piece, de vouloir rester, stagner.
- Je vous ... plais ? Oh ... Si je m'attendais ...
Non pas que le moment la gênait particuliérement, mais ce moment, avec cet homme qui lui avait fait peur au debut, etait quelque peu bizarre, voir unique. Elle n'avait pas peur de lui, ni de ce qui suivrait. Ses petites mains glissérent le long de son torse, sans timidité, ne lâchant pas ses lèvres, pour rien au monde.
-
-hj- Tu as l'air de t'en sortir à merveille ^^ En fait, je ne sais pas si tu as remarquée, mais, L'avatars de Lavi a changé. Quand il est en methuselas, c'est comme sur l'image qui suivra, mais, les ailes sont noir : http://e9.img.v4.skyrock.net/e99/dnangel11/pics/213409457_small.jpg
Le jeune methuselas tentait de ne pas gacher cet intimidé entre lui et la jeune fille. Celui-ci ne regarda que quelques minutes plus tard la jeune fille avant de plonger ses yeux dans ceux de la ravisante créature qui se trouvait sur lui qui, lui, était contre la paroi d'un des quatres murs juste à côté de la porte. Il avait arrété ses actions sauf celui de sa main qui continua à caresser le dos de cette derniére et lui demanda tout en la regardant dans les yeux :
- Et vous?...Que ressentez-vous vraiment pour moi...?
Celui-ci la regarda, glissant la main se trouvant sur le dos de la jeune fille vers sa hanche avant de recommencer à la caresser (la hanche, lol ^^). Il glissa, cependant, sa deuxième main sur le corps de celle-ci, frolant la poitrine couverte de cette derniére avant de la déposer sur sa joue et de l'embrasser non sur les lévres, mais, sur le front, attendant la réponse. Il ne savait plus ce qu'il devait faire, encore moin ce qu'il pouvait faire. Tout ce qu'il faisait, c'est laisser ses mouvements agir, n'étant pas particuliérement l'auteur.
-
Tout était à la fois lourd et léger. Chaque mouvement semblaient fantôme, comme si un être vous frôlait et que vous ne pouviez pas le voir. Ce n'était pas désagréable, plutôt doux même, et une sensation etrange amplissait chacun des muscles de la jeune fille. Sa peau était douce et tendre, comme une plume, le contact de sa main sur sa joue la faisait sourire avec tendresse. Elle se laissa embrasser sur le front, ne sachant pas tellement ce qu'elle devait repondre au methuselas. Rester naturelle était important ... elle inspira doucement, comme pour essayer de ressentir l'air caresser ses poumons, et passa une de ses mains dans la nuque de Lavi.
- Mystérieux, attirant. Une beauté particuliére, une de ces beautés qui vous font baisser les yeux pour les relever ensuite. Une de ces beautés qui mettent mal à l'aise mais qui attire avec une force sublime. Une de ces beautés que l'on veut toucher une fois dans sa vie.
Des paroles biens claires, une franchise a toute epreuve. Elle n'avait pas peur de sentir la contact de sa main sur sa hanche ou autre part sur son corps, elle n'avait pas peur de lui. Elle approcha son visage qui ne tremblait plus vers celui de l'homme et lui offra un baiser magique et doux, dont elle seule avait le secret ...
-
L'écoutant, le jeune méthuselas rougissa à la fois aux compliments de cette derniére, en tout cas, c'est comme ça qu'il les prit et au contact de sa nuque et la main de cette derniére. Celui-ci fit obligé de détourner le regard et voulait dire la même chose, mais, n'osa pas. Où plutôt, il la fait, mais, sous une autre façon, celle des arbres fleuris de fleurs (Je suis au courant que ce n'est pas du français :P). Celui-ci, ensuite, se fit embrasser par la belle créature, non un baiser normal, mais, un baiser magique. Celui-ci la serra contre lui, poitrine contre torse, mains froides caressant le dos de cette derniére, il essayait de lui faire un peu de plaisir jusqu'au moment où il ne se sentit pas bien. Ce n'était pas une maladie, ni un malaise, rien, juste sa géne masculine qui réagissait. Géné, mais, ne voulant pas la froiser, celui-ci retira ses lévres de Ludmilla avant de la pousser doucement, mettant, par la même occasion, ses mains sur son entre-jambe pour cacher la réaction et détournant le regard comme si rien ne s'était passé. Pour lui, en tout cas, en réalité, ce n'était que la première fois, ormis sa soeur, qu'il toucha une femme ou même qu'il en embrassait une. Mais, tournant quelques fois son regard vers celles de Ludmilla, il ne fit plus aucun geste, de peur d'éloigner la jeune fille qu'il appréciait :
- Pardonnez-moi ma maladresse, mais....pou...pouviez-vous atendre...quelques minutes le temps...le temps que je me remets des émotions.......?
Celui-ci, ce qui était fort rare pour un méthuselas, rougissait discrétement avant de la regarder dans les yeux. Mais, il se fit absorbé par ce regard qu'il aimait assez et, après quelques minutes, se souvient que la jeune fille savait lire dans les yeux. Aussîtôt, il tourna la tête, mais, etait-ce trop tard? Avait elle lu qu'elle lui faisait de l'effet à son coeur, mais, aussi à son intimidé? Va-t'elle partir à cause de cet affront qu'il venait de faire? Il ne pouvait même plus la regarder dans les yeux à cause de ça.
-
Dans la genre rougissement rapides et souvent, la jeune femme battait des records. Son regard et sa gestuelle traduisait tout chez lui. Elle avait était blessée qu'il la pousse ainsi, elle était si bien contre lui, et avait froncé les sourcils, jusqu'a ce qu'elle comprenne pourquoi il avait fait ça. Il était mal à laise, gêné ... C'etait bien la premiere fois qu'un homme se cachait de son envie dans un moment si ... enfin bref. Elle se mordit la lèvre inferieure, et se rapprocha de lui, se collant sa poitrine contre le dos de Lavi. Son rougissement stagnait sur ses joues toutes brûlantes.
- Ne soyez pas ainsi. Ce n'est pas grave, c'est plutôt flatteur je trouve.
Elle se voulait une voix calme et tempéré, mais l'excitation prenait le dessus. C'etait comme un compliment. Elle cala une de ses mains sur le ventre de Lavi, et laissa l'autre se poser sur son entrejambe, comme pour faire envoler la gêne. Elle deposa un baiser sur son cou, et une volée de baisers sur sa nuque, tandis que sa petite main caressait sa bosse. Elle ne voulait pas qu'il la prenne pour une perverse de secondes zone, non. Elle ne lui voulait pas de mal, justement. Tout en elle faisait comprendre qu'elle lui voulait du bien.
-
Le jeune méthuselas comprit l'action qu'elle entreprit juste après avoir poser sa poitrine contre son propre dos. Celui-ci rougissa violemment, ne le montrant pas directement étant justement façe au mur et resentit une main sur son entre-jambe. Des spasmes (si je me trompe pas) se fit resentir dans la main de cette derniére tandis que le jeune méthuselas tremblait un peu, ce qui était normal, puisque c'était sa première fois. Celui-ci, ensuite, regarda la jeune fille caresser sa bosse avant de fermer les yeux sous les baisers de cette divinité. Oui, même si elle était mi-terrane, mi-méthuselas (à cause de Lavi), il la comparait à un dieu ou pas loin d'eux. Tremblant, mais, ne voulant pas la vexer, il se retourna avec sa rougeur au visage et regarda la jeune fille. Puis, survint une embrassade, il posa délicatement ses lévres pour, ensuite, faire comme elle, lui montrer un baiser secret qu'il avait lui-même créer. Un baiser à la fois sucré, mais, doux et rafraichissant, un baiser qu'on pouvait croire qu'il venait d'un dieu. Celui-ci, ensuite, alla en avant avec Ludmilla, se coucha sur le sol avant de relever le soutien-gorge pour masser un des tétons de cette divinité. Retirant doucement, mais, légèrement ses lévres, il la regarda dans les yeux et lui répondit :
-Ce...c'est ma première fois....Mais, je serais...honoré si vous la preniez....
Celui-ci déposa denouveau le même baiser après avoir entendu ce qu'elle lui disait.
-
Sa premiére fois ? Elle ne s'attendait pas à ça. Lui qui semblait si dangereux, si sûr de lui, peu à peu baissait son masque pour devoiler une partie de lui infiniment secrete. Elle eut un hocquet de suprise, et attrapa son baiser comme on attrape une feuille en plein vol, avec sûreté mais douceur pour ne pas l'abîmer. Elle passa sa main dans la nuque de Lavi, un regard plein de tendresse, un regard doux et rassurant. Il lui faisait confiance, c'était un honneur pour elle. Elle eut un petit soupir quand elle sentit sa main sur sa poitrine, et a nouveau ce sourire. Il baissait sa garde. Elle n'avait plus qu'a se laisser aller, et à lui faire comprendre que tout irait bien ... Elle deposa une volée de baisers doux dans son cou, des baisers qu'elle voulait rassurants, descendant petit à petit le long de son torse, de son ventre, et glissa sa main dans le bas de Lavi doucement, pour ne pas le brusquer, ne pas lui faire peur ni mal. Elle se plaça au dessus de lui ( si j'ai bien compris, Ludmilla est en dessous ... ) l'allongeant sur le sol en caressant son torse pour le calmer et recommença ses baisers papillonants.
Elle ouvrit son pantalon avec douceur, et balada ses mains comme des caresses sur l'entrejambe du methuselas. Ne pas le brusquer ... Elle avança sa bouche avec tendresse pour venir embrasser le membre de Lavi, puis laissa balader sa langue le long de son sexe, toujours avec cette même douceur. Chacun de ses mouvements étaient doux, sa bouche comme sa langue s'occupait à le rendre heureux.
-
-exact, tu étais en dessous ^^
Le jeune méthuselas ne savait pas quoi faire. Il savait que c'était sa première fois, mais, craignait qu'il ne fasse qu'échouer. Toute fois, regardant le regard ainsi qu'en sentant les doux baisers de Ludmilla, il comprit qu'il ne devait pas s'inquietter, qu'en cas de pépin, elle lui expliquerait et qu'elle craignait surement plus que lui sur le plan Echec. C'était deux réactions qui la rassuraient, puis, fermant les yeux, celui-ci s'allongea convenablement sur le sol avant d'avoir une réaction. Il ferma les yeux avec force, créant des "rides" jusqu'au moment où il s'est habitué. Ayant toujours un oeil de fermé, mais, l'autre d'ouvert et mettant ses mains à l'arriére du crâne de la divinité, celui-ci caressa les cheveux de cette derniére. Son membre durçit tout en grandissant et en grossisant pour ateindre un 25 cm de long et 5,5 cm de large. Mais, dés que la langue caressait doucement le long du membre, celui-ci commença à trembler, des spasmes se firent de plus en plus fort et il se releva un peu, la regardant s'occuper de lui et lui demandant :
- Ludmilla...Je...Vous...
Par le premier plaisir, il ne pouvait rien dire de plus précis. Mais, une chose la fit comprendre qu'elle était vraiment au goût du méthuselas, celui-ci, malgré la rapidité, jouissa déjà sur son visage, sa langue, ses cheveux et un peu sur son dos nu. S'assayant tout en tremblant, celui-ci la regarda et put parler normalement :
-E...excusez-moi...je...je n'ai pas...su me retenir...J'ai voulu vous prévenir...mais...je n'ai pas eu le temps et encore moin la force...Pardonnez-moi encore...
-
Ouhla ! Effectivement, Lavi était rapide. Une surdose d'excitation, la premiére fois tout les sens sont en eveil et quand on a pas l'habitude de ressentir ce genre de plaisir, il est tout a fait legitime de reagir ainsi. Non, elle ne lui en voulait pas, cela ne la gênait absolument pas. Elle passa sa main blanche sur son visage, esssuyant quelques traces, et releva son regard vers le jeune methuselas, avec un doux sourire.
- Il ne faut pas que tu t'inquiétes. Je te jure. Ne t'excuse pas, laisse toi aller, sois à l'aise, ça ira mieux.
Elle avait pris un ton rassurant et presque protecteur, elle lui faisait confiance et lui de même. Elle avait bien ressentie qu'il avait eu du plaisir, et cela l'avait rendue toute heureuse elle aussi. Elle se rapprocha de lui, recollant sa poitrine contre son torse et l'embrassa comme jamais, une main sur celle de Lavi, la caressant doucement, et l'autre dans sa nuque à lui. Elle n'avait pas peur, vraiment pas peur ... il fallait juste qu'il prenne un peu les choses en main, qu'il ne soit pas si timide, il était presque pire qu'elle. Elle serra doucement la main de Lavi, faisant passer ses doigt entre les siens, sans lâcher ses lévres.
-
Le jeune methuselas rougissa de sa rapidité lorsque celle-ci le réconforta avec un de ses doux sourire dont elle seule avait le secret. Souriant aussi, il ne réagissa pas lorsqu'elle colla sa poitrine sur son torse et l'embrassa. C'était pas un baiser comme les autres, c'était plus un baiser sensuel. Mais, le jeune methuselas ne pouvait pas dire si c'était un baiser rien que sensuel ou un baiser d'amour. Cependant, il continua à faire confiance à sa jeune compagne lorsque celle-ci, toujours les lévres contre les lévres, mit une de ses mains dans une de celles du méthuselas tandis que l'autre main alla sur sa nuque. Elle serra doucement et sensuellement sa main avec celle du methuselas, jouant avec ses doigts qui, lui, joua au même jeu sans décaller ses lévres. Fermant les yeux, il utilisa sa deuxiéme main pour caresser un des seins de la belle créature, s'attardant spécialement au massage de tétons avec sa main froide. Toujours sans décoller ses lévres de celles de Ludmilla, il glissa sa main sur son corps nu et longea le haut de sa robe (enfin, je crois) avant de traverser le tissu, touchant la cuisse doucement, froidement et tendrement tout en faisant des petits cercles avant de remonter lentement jusqu'au sous-vétement de cette derniére, caressant son sexe à travers le tissu. Il remarqua qu'il était un peu mouillé et décida de descendre un peu le sous-vétement pour pas qu'il soit sali par la mouille de cette derniére et recommença à caresser, cette fois, son sexe chaud, humide et nu avec sa main froide, donnant un peu plus de plaisirs qu'à la normale. Il retira ses lévres de celles de Ludmilla et, tout en la regardant dans les yeux avec un regard rassurant et chaleureux tout en chauffant un peu les émotions de sa protectrice, lui demanda :
-Tu....Vous vouliez...que je continue ou bien....dois-je arréter?
-
Une sorte de petite victoire, de le voir ainsi reagir et prendre en main les evenements. Elle eut un leger frisson quand elle sentit sa culotte glisser le long de ses jambes, et un autre plus violent mais tout aussi delicieux quand elle sentit sa main froide qui jouait avec son intimité avec un calme et une douceur adorable. Elle eut un leger petit soupir, au fur et a mesure qu'elle avait envie de lui , et qu'elle recevait du plaisir ne serait-ce que par le contact de sa main. Un sourire tendre vint naitre sur ses lévres. Elle etait tout de même gêné qu'il lui pose cette question, ne sachant pas trop quoi repondre. Elle serrait un peu plus la main du methuselas, chaque contact de sa peau contre elle lui donnait des frissons extêmes, il était si doux ...
- Faites comme vous voulez ... Je vous fais confiance, je vous l'ai dit, dit elle dans un soupir.
Elle attrapa les lévres de Lavi avec une violence tendre.
-
Entendant ce que cette derniére lui avait dit, celui-ci rougit encore un peu plus, puis, se fit surprendre lorsqu'elle l'embrassa violemment et tendrement. Toujours en continuant de l'embrasser, celui-ci continuait de caresser l'intimité de sa divinité lorsqu'il remarqua qu'elle avait serrer un peu plus sa main. Mais, il n'avait pas le temps de se poser des questions lorsque ce dernier enfonça un doigt, doucement en Ludmilla et le bougea en elle tout en faisant des va et vient. Est ce qu'elle aimait ce que le jeune méthuselas lui faisait? Ne voyant pas une réaction brusque pour dire qu'il devait arrété, celui-ci continua jusqu'au moment où il mit un deuxiéme, toujours en l'embrassant. Il continua pendant 5 minutes avant de mettre un troisiéme doigt en elle. Il retira ses lévres de celles de Ludmilla et l'embrassa dans le cou, puis, descendit tout le long pour, ensuite, suçer un des tétons de cette derniére tout en continuant de faire des vas et vient avec trois doigts. Après quelques minutes, le jeune méthuselas recommença sa descende, embrassant ou léchant les parties où il passa jusqu'à ce qu'il commence à lécher son petit bouton rose tout en continuant à faire des vas et vient. Puis, il arréta, leva la tête et la regarda tout en lui demandant quelque chose :
-Tu...vous aimiez...? Enfin, je veux dire....
Il ne pouvait pas terminer sa phrase, mais, il continua de faire des vas et vient en elle tout en atendant la réponse, puis, il entreprit de sucer son petit bouton rose, toujours en atendant la réponse.
-hj- Désolé, mais, je me souviens plus du nom "^^ (pour le petit bouton rose)
-
Ah ... evidemment qu'elle aimait ;D ! La jeune fille était même interdite devant les effluves de plaisir qu'elle ressentait en elle. C'etait comme un ascenceur demonté : ça montait, ça redescendait , ça rebondissait pour mieux se nicher en elle. Ses membres se tendaient, puis redevenait normals, sa peau était couverte de frissons. C'était comme un vent delicieux ... Elle poussait des petits soupirs et ses joues rougissaient, sa respiration s'accelerait ... Elle caressa les cheveux et la nuque de Lavi, les paupiéres mis closes.
- Vous ... faites ... du bien ...
Elle eut un nouveau soupir plus grand, les muscles de ses cuisses de tendirent, tandis qu'elle sentait ses cheveux se dresser sur sa nuque avec delice. C'etait une douce sensation ...
-
Le jeune méthuselas continua à suçer son petit bouton rose durant quelques minutes, puis, il alla vers son intimité et commença à lécher pour, ensuite, terminer à le sucer jusqu'à l'orgasme de cette derniére. Mais, sans s'en rendre compte, il caressa un peu l'anus de cette divinité pour y entrer un doigt, créant être une autre partie du vagin de celle-ci. Mais, lorsqu'elle eut un orgasme (désolé d'aller si vite "^^), il retira son doigt ainsi que ses lévres et regarda la jeune lycéenne avec le membre gonflé à bloc
- Je....enfin...Vous aviez...du aimer....puisque vous veniez de jouir -^^- *rougit*
Celui-ci lécha les parties du corps de Ludmilla tout en remontant pour, ensuite, l'embrasser sur les lévres, partageant ainsi sa propre semence avec lui. Son sexe, quand à lui, touchait celui de Ludmilla et bougeait comme si c'était un gode vibromasseur tellement il durcit
-hj- désolé pour faire si court "^^
-
Effectivement, il était rare que la jeune femme est un si bel orgasme que celui là. Elle avait sentit en elle une explosion de sensations et de chaleur, et avait adoré ça. Elle s'etait aggripée à lui, n'avait ensuite pas lâché ses lèvres pour l'embrasser tendrement, tout contre lui, le corps tremblant d'envie et de plaisir. Elle lui transmettait dans chacune de ses caresses un delicieux plaisir, laissant ses mains voguer doucement sur tout les endroits sensible de l'anatomie de Lavi. Puis elle l'avait entraînée au sol, elle contre le parquet, lui sur elle, pour l'entourer delicieusement de ses cuisses brûlantes. Elle le voulait, et tentait de ne pas être violente ou impulsive, mais elle debordait tellement d'envie ... Elle laissa doucement le membre de Lavi entrer en elle en donnant un coup de hanches, en l'embrassant dans le cou et le mordillant.
-
Le jeune Methuselas la regarda, ensuite, il se coucha sur le sol poussiéreux de la cabane, ou plutôt, il se coucha sur Ludmilla qui, elle, se coucha dans la poussiére. Heureusement, ce n'était pas pour tout le corps, puisqu'il y avait les vétements par terre. Mais, en sentant celle-ci l'embrasser dans le cou ou le mordiller, celui-ci rougit violemment avant de lui dire tendrement et chaudement :
- Lu....Ludmilla....Je ne sais pas pour vous....mais.....je......vous aime........
Mais, comprenant ce qu'elle faisait, il comprit qu'elle n'avait qu'une chose en elle, l'envie. Mais, elle n'aurait jamais fait ça si elle ne l'aimait pas? En tout cas, c'est ce qu'il se disait. Répondant à son acte, il prit la poitrine de Ludmilla dans ses mains et commença à caresser, puis, hésitant quelques minutes, enfonça son membre dans celui de Ludmilla, sentant une sorte de sensation et touchant le fond de son utérus tout en donnant des coups brutaux pour lui donner un peu plus de plaisir avant de redevenir doux.
-
Ludmilla eut un petit sursaut en entendant ses paroles, elle s'apprêtait à repondre quand elle le sentit entrer en elle, et la sensation qu'elle ressentit en cet instant lui cloua un sourire sur les lévres, et sa seule reponse fut un doux petit gemissement. Ses mains se pressérent dans le dos de Lavi, et sa bouche chercha doucement celle du methuselas pour venir l'embrasser, tandis qu'elle bougeait doucement contre lui a chaque coup de bassin, son ventre frolant le sien. Elle bloqua son visage dans son cou, chacun de ses soupirs effleurant la nuque de Lavi. Elle n'arrivait pas à parler, elle était trop bien, trop heureuse ...
-
Le methuselas fit quelques vas et vient lorsque celui-ci entendit les soupires de bonheur émise par sa divinité. Celui-ci souria, puis, arréta un court instant, laissant son sexe en elle et laissa parler la jeune fille. Aussitôt qu'elle termina, il recommença à faire des vas et vients tout en serrant la jeune fille en lui. Tout comme elle, c'était un vrai bonheur. Le faire était déjà agréable, mais, le faire avec une personne qu'on aime était un vrai délice. Soudain, il commença à masser les tétons de cette derniére, faisant des vas et vients de plus en plus rapide et l'embrassa sur les lévres d'un geste inattendu, un baiser doux, sucré et divin comme celui d'un dieu.
-
Un instant divin, à marquer d'une pierre blanche ... chaque mouvement la faisait gemir de plus en plus fort, il prenait de l'assurance, elle etait en plein bonheur. Un delice ... qui peut dire que c'est un péché ? Qui peut dire que c'est mal ? Quand quelque chose vous fait du bien, elle ne devrait pas s'estimer mal. La jeune fille eut un gemitssement plus fort que les autres en le sentant accelerer, ses doigt grifférent le dos de Lavi, puis aggripérent sa nuque pour l'embrasser plus fort encore.
- Je ... moi ... aussi ...
Sous le frenesie de l'instant, elle ne pouvait pas dire autre chose, elle ne pouvait pas repondre autre choses ...
-
Continuant les vas et vient en la jeune fille, le méthuselas continua de l'embrasser, sentant les griffes (acérées XD) de Ludmilla sur son dos avant de s'aggriper à sa nuque pour lui donner un baiser encore plus fort. Celui-ci, ne cassant pas le baiser, la prit dans ses bras et continua jusqu'au moment où il le resortit, coupant un peu le plaisir en un coups. Décollant ses lévres de celles de Ludmilla, il lui souria avant de se redresser, restant sur les rotules et lui dit :
- Ludmilla...Tu es vraiment une beauté venant des dieux.
Il souria et rougissa lorsqu'il l'embrassa sur les lévres quelques minutes avant de se remettre sur les rotules.
-
Elle ne savait plus trop quoi repondre apres ça. IL lui disait qu'elle était belle, et elle était assez shootée, au point de n'être concentrée que sur sa peau qui frissonnait, son coeur qui battait a chamade et les baisers que lui offrait Lavi. Ses mains douces ne le lâchait plus, elle tenait beaucoup trop à lui en cet instant precis. Elle inspira un grand coup, se collant davantage à lui, avec un plaisir singulier.
- Toi aussi ... un ange ...
Elle reprit ses lèvres et sentit un plaisir immense attraper son corps à nouveau.
-
Le jeune methuselas réenfonçait son sexe en Ludmilla lorsqu'elle se recolla contre lui, debout elle aussi. Ayant un peu de mal, celui-ci faisait comme même des vas et vient en elle tout en l'embrassant. Carresant sa poitrine avec une main et l'autre la tenant par le dos, il n'en pouvait plus. Sans sortir, il se coucha sur le sol tout en continuant le baiser avant de décoller ses lévres pour lécher les tétons de cette derniére et la laisser, ainsi, faire un peu le travail tout en continuant à faire des vas et vients en elle. Lui était couché et essayait que la jeune déese se relevait.
-hj- Désolé pour un aussi court rp "^^