(http://img98.xooimage.com/files/1/c/8/white-rabbit-02-3dce713.png) | 1°) White Rabbit Après avoir été scellée pendant des millénaires, White Rabbit est une femme qui a envie de profiter de la vie. Elle est donc terriblement insouciante et provocatrice. Elle se moque de la loi et des autorités, et applique à fond la philosophie du « Carpe Diem ». Reniant totalement ses origines, White Rabbit est ainsi une femme manipulatrice et frivole, qui ne prend rien au sérieux. Sa plus grande passion est de commettre des vols, et de narguer la justice. Parfois, il lui arrive de tuer. Comme on dit, on ne fait pas d’omelettes sans casser des œufs. Après avoir passé des millénaires dans un tombeau, White Rabbit a développé une sorte de profond égoïsme, et se moque de la plupart des mortels. Elle ne respecte que ceux qui sont capables de la défier, et se définit, en somme, comme une « joueuse-séductrice ». White Rabbit est, en somme, une sorte de super-vilaine. Elle aime aussi participer à des show de magiciens, où elle joue délibérément avec le public, utilisant des sorts sur eux, ou n’hésitant pas à créer des orgies. La vie est pour elle un jeu, et le sexe est le pilier de la vie. Le sexe est donc un jeu. Totalement amorale, elle est une sociopathe qui n’hésite pas à développer des énigmes mortels, à tuer ses amants, ou à utiliser sur eux des potions afin de les améliorer, d’en faire des larbins à sa solde. Elle se définit par sa forte imprévisibilité, qui peut autant l’amener à coopérer avec les forces de l’ordre qu’à semer le chaos dans la ville. Tel le lapin blanc de Lewis Carroll, elle récompense ses plus fidèles amants en les envoyant dans un monde imaginaire, fait uniquement de magie. 2°) Jaina Hudson Jaina Hudson, elle, a un tempérament relativement similaire. Les deux femmes étant une seule et même personne, ce n’est pas très surprenant. Là où White Rabbit est plus portée sur le sexe comme une manière de provoquer les autres, ce qui l’amène notamment à faire l’amour en pleine rue, à embrasser de simples inconnus, afin de les amener à copuler avec elle, Jaina, elle, est plus réservée. L’amour, elle le fait de manière discrète, en y incluant souvent une bonne dose de BDSM. Jaina est attirée par la beauté juvénile, ce qui explique pourquoi elle est devenue une professeur. Elle peut ainsi séduire des élèves, utilisant, soit son corps, soit sa magie, soit les deux. Jaina a cependant un caractère très joueur, et il peut volontiers lui arriver d’utiliser sa double personnalité pour s’amuser avec des amants qu’elle rencontre. Comme pour White Rabbit, son intérêt principal va vers les justiciers, que ce soit des policiers ou des super-héros. D’un point de vue extérieur, Jaina apparaît à ses élèves comme une femme sérieuse et respectable, qui oscille entre des conférences à l’université de Seikusu, où elle assure un cours sur les anciennes religions, et ses cours au lycée Mishima, qui sont des cours d’Histoire. Comme vous l’aurez peut-être compris, Jaina souffre d’un cas assez atypique de dédoublement de personnalité, puisque deux âmes coexistent dans le même corps (cf. infra). |
Libérée de sa prison, White Rabbit tomba sur des pêcheurs peu scrupuleux, puisqu’il s’agissait en réalité de pirates, qui se rendaient dans les hautes mers, afin de chasser les requins. Les pirates enfermèrent la jeune femme, rabougrie et affaiblie, à fond de cale. Cette dernière devait sortir de son monde imaginaire pour revenir dans la réalité, et c’est ce qu’elle fit. Elle se réveilla pleinement lorsque plusieurs pirates tentèrent de la violer, tuant une bonne partie de l’équipage. Elle lut dans les esprits des survivants pour acquérir suffisamment de connaissances sur le monde qui l’entourait. Elle apprit ainsi que les pirates tuaient les requins pour revendre leurs ailerons à des restaurants japonais, et devaient faire escale à un port s’appelant Seikusu. Elle offrit aux marins, outre son corps, un cadeau précieux : elle enferma leurs esprits dans un monde imaginaire, similaire à la prison qu’on lui avait confectionné. A Seikusu, elle passa plusieurs mois à se renseigner sur ce nouveau monde. Elle fut déboussolée au début, mais savoir lire dans les esprits aide beaucoup à rapidement s’intégrer. La magie la sauva des portes de la folie, et ce fut en lisant « Alice au pays des merveilles » qu’elle vit des échos à son propre monde. Elle ne s’identifia pas à Alice, mais plutôt au lapin blanc, qui emmène Alice dans le monde imaginaire. Elle aussi avait conçu, durant sa captivité dans le sarcophage, un monde imaginaire, un joli monde de conte de fées, et elle trouvait, en comparaison, le monde réel bien triste. | (http://nsa33.casimages.com/img/2013/05/03/mini_130503124917663026.jpg) (http://nsa33.casimages.com/img/2013/05/03/130503124917663026.jpg) |
Ooooh une supervilaine !