Farrah Faye
Jeudi 15 octobre 2012, 15h30
Commissariat de Seikusu, région du Japon.
Comme toujours, mon rôle de commissaire m’aller comme un gant, jonglant entre affaires étouffer et affaires closes, sans provoquer un doute perplexe de la part de mes collègues de travail. Jusqu’ici personne ne connaissait le véritable but : celui de protéger mère contre les filets de la justice. Chaque jour je recevais de nombreux rapports concernant la disparition mystérieuse de civils et comme toujours, je me débrouillais pour étouffer les affaires et je dois dire que je suis assez doué dans la pratique. Évidemment, tous finissaient généralement dans mon estomac ainsi que celui de mes sœurs ainsi que de ma mère. Moi-même je me suis bien régalé de ces deux humains issus de la mafia locale qui trainaient dans une sombre ruelle de la Toussaint, après m’être fait pénétrer comme une grosse salope. Je repense à leurs bites enfoncer profondément dans mon cul et ma moule, tout en sentant leurs semences inonder mes parties intimes, Mhuuum, je mouille ma culotte rien qu’en y pensant. Quelle vilaine pute je suis, huhuhu.
Mais aujourd’hui il fallait que je règle une affaire de disparition causée par ma chère petite sœur, Scourge. Je lâchai un soupir d’agacement dès que mes pupilles fixèrent le nom du porter disparue. Takeaki Inosuka. Je lui avais pourtant dit de ne pas toucher aux élèves et lui avait conseillé les clochards. Meuh non ! Mademoiselle n’écoutait rien et n’en faisait qu’à sa tête. C’est donc moi qui vais devoir m’arranger pour la sortir de ce guêpier, mais tout d’abord il fallait s’occuper de cette affaire.........
À travers une vitre devant moi je fis signe de la main à un homme obèse et au visage joufflus de venir. Le fonctionnaire se présenta devant moi.
- Oui mademoiselle ?
- Oui, pourriez-vous me faire venir l’inspecteur Nathan ? Dites-lui que je souhaite le voir dans mon bureau.
- Bien madame, je vais lui faire part de votre demande.
L’agent Nathan n’est pas réputé pour ses brillantes compétences en matière d’enquête, considérer comme un inspecteur de seconde zone auprès de ses collègues de travail. Je l’ai même souvent aperçut en train de prendre des médicaments contre la dépression et le stress. En dehors des investigations je l’envoyer faire le sale boulot, consistant simplement à rafler des PV et eux petites altercations. Bien que je ne le connaisse pas trop, il représentait le type idéal à coller pour cette enquête de disparition, plutôt que de sélectionner un enquêteur professionnel. Ça valait mieux pour mes grosses pommes.
Ma porte d’entrée s’ouvrit et l’agent Nathan se présenta devant moi. Comme je mis attender, il n’avait pas très bonne mine. Comme s’il venait de chopper une maladie assez virulente. N’importe quel commissaire qui aurait vu leur inspecteur se présenter avec une dégaine aussi sobre qu’un alcoolique aurait viré ladite personne comme un malpropre. Sauf que moi je n’étais pas une commissaire ordinaire et encore moins comme les autres. Je me montrais beaucoup plus clémente envers lui, mais je tâchais de ne pas en faire trop pour éviter tout soupçon de mes supérieurs. Tenant un dossier entre mes mains délicates, je pose donc le dossier sur le bureau que je glisse du côté de Nathan pour connaître les détails de l’affaire.
- Je ne vais pas vous mentir en vous disant que vos talents d’enquêteur sont loin d’être flambants, pour ne pas dire déplorable ! Néanmoins, vous faites de votre mieux pour vous montrer à la hauteur de votre tâche si ardue soit –elle et ça, c’est ce que j’aime chez les inspecteurs de votre trempe. C’est pourquoi je vais vous confier une nouvelle affaire que je viens tout juste de recevoir de ma hiérarchie.
Je glissai le dossier vers Nathan afin qu’il jette un bref coup d’œil sur le résumé sur la disparition de l’élève de Seikusu.
- Tous les détails de l’affaire sont réunis dans ce dossier. La victime faisait partie de ce lot d’élève prépubère qui achète secrètement des produits de consommations réserver exclusivement aux personnes adultes. On aurait retrouvé chez lui des magazines pornos, des produits stimulant les organes génitaux et autres produits estampillés « Yoshikawa’s Zaibatsu ». Impossible d’établir des certitudes exactes si ces produits sont la cause de sa disparition ou non, néanmoins cette multinationale a certainement quelque chose dans cette histoire. Votre mission consistera à enquêter au lycée de Takeaki Inosuka pour questionner les amis de la victime. Vous avez 48 heures pour me faire un compte rendu ! Des questions ? Non ? Dans ce cas vous pouvez disposer !
Comme toujours, je parlais toujours avec une voix chaude et autoritaire. Un mélange harmonieux qui faisait tout son mon charme. J’ai l’œil vif pour remarquer la belle protubérance qui se formait sur l’entrejambe de mes sous-fifres qui m’écouter. Qu’est-ce que c’était bon de charmer mes jouets, de les voir bander sous mes yeux. Je devais me faire violence pour ne pas succomber à cette envie de leur tailler des pipes bien juteuses et de me faire enculer en plein travaille. Alors là je risquerais d’être très mal vu par ma hiérarchie !
Alors que Nathan prit le dossier avant de quitter mon bureau, je saisis le téléphone et composa le numéro du portable de ma p’tite sœur, histoire de la mettre au courant pour l’inspecteur…….
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Tashigi Asegawa
Jeudi 16 octobre 2012, 17h50
Lycée de Seikusu, Japon
- Oui allô !.......meuh soeureeette, je……uugghh bon d’accoord, je tacherais de faire plus gaffe la prochaine fois et……..oui…….okay frangine, merci d’m’avoir prévenue ! Répliquai-je avant d’éteindre mon portable et le ranger dans mon sac d’un geste nonchalant. Affichant une moue boudeuse puérile.
« Modérer mon appétit » elle était drôle celle-là ! Cela faisait déjà 1 mois que je ne m’étais pas tapé un joli « plan cul » avec un mec bien monté comme un âne. Surtout que mère ainsi que mes sœurs cadettes gardaient les meilleures proies pour elles. Et ça, ce n’est pas JUSTE ! Moi aussi je voulais me faire pénétrer le minou par une verge bien grosse et bien juteuse. Je ne me suis donc pas privé de ce plaisir en sélectionnant l’un des accros aux produits érotiques de ma mère. Takeaki. Ce dernier misait beaucoup d’argent pour avoir un pénis de cheval au sens figuré du mot et faut croire qu’il n’y soit pas allé mollo. En même pas une semaine, une sacrée bosse s’était formée au niveau de son entrejambe, parfaitement visible à travers son pantalon. Comme pour une entreprise agroalimentaire, j’engraisser la clientèle de maman avec des produits de maman afin d’accroitre la qualité de leurs semences laiteux et blanchâtre, jusqu'à ce qu’il soit prêt à être traire comme des vaches. Des vaches a laits, du bétail, voilà ce que moi ainsi que mes sœurs et ma mère voyait en l’humanité.
C’est en quelque sorte ce rôle d’éleveuse d’humains que ma mère m’avait confié, surtout que ma beauté physique et le charme qui en découlait m’aider grandement dans ma tâche lucrative. Je n’étais pas une super bombe anatomique comme ma mère, mais pour l’âge qu’avait mon hôte, les critères physiques que je lui ai octroyés pouvaient rivaliser face aux tops modèles mondiaux. Oooh détrompé vous. Mère n’est pas assez folle pour supprimer toute sa clientèle, cela ne serait pas rentable et lucratif pour l’entreprise familiale. Seulement voilà, je n’ai pas pu résister à cette envie irrésistible baiser comme une truie si bien que mon pauuuvre petit partenaire n’a pas pu tenir une heure à faire craccrac. Au moins il est mort dans la luxure la plus totale, c’est déjà cela. Et pour me débarrasser du cadavre, quoi de mieux que d’en faire mon plat de résistance ? Il n’y avait pas meilleure cachette que mon estomac.
A présent, sa carcasse était complètement dissoute dans mon organisme.
Mais alors que je quittais ma dernière heure de cours d’anglais pour rentrer chez moi en traversant les couloirs, avec une démarche sensuelle et provocante faisant virevolter ma minijupe d’écolière, il a fallu qu’un pion se mette en travers de mon chemin. Bof ! Derrière mon air faussement confus, tète pencher sur le côté, je n’étais pas surprise de son arriver.
- Ah, te voilà ! Justement j’étais en train de te chercher. Il y a un flic qui veut te voir.
- Moi ? Pourquoi ?
- Ne me dis pas pourquoi je n’en sais rien du tout et je me fiche éperdument de c’qu’il te veut.
J’ai donc suivie le surveillant qui me conduisit à l’autre bout du bahut, précisément la salle de chimie. Pénétrant dans la classe en poussant la porte, un individu se tenait au milieu de la salle qui n’était d’autres que le flic en question. Bon ben niveau dégaine il ne reflétait pas du tout l’image soignée du flic en uniforme. Mes prunelles fixèrent l’insigne sur sa veste dégagé qui me donna une idée à qui j’avais à faire : un inspecteur.
- Bonsoir !
Ce simple mot était suffisamment pour débuter les présentations. Inutile de gaspiller sa salive dans des phrases inutiles. Je m’approchai de lui jusqu'à être à un mètre de lui puis d’un mouvement détendu je posai mon sac sur le pupitre sur sa gauche avant de tourner mon regard d’amande sur ceux du représentant de la justice.
- Vous vouliez me voir ? Demandais-je tout simplement avec un ton plat et neutre.
Farrah Faye
Vendredi 17 octobre 2012, 22h30
Commissariat de Seikusu, région du Japon.
- Oui allô ?.....mhuum…….oui……..c’est du bon travail Scourge, je prend le relais. Concluai-je avant de raccrocher mon téléphone fixe.
J’esquissai un sourire vicieux à la fin de ma phrase, car oui…..j’ai déjà une bonne idée en tête de ce que je vais faire.
Apparemment, l’inspecteur semblait plus nul que je ne l’aurais imaginé. 5 minutes, ce fut la durée de son interrogatoire communiqué par ma chère petite sœur. Est-ce les effets de ses médicaments responsables de ce bâclage cruel ou bien le résultat de son incompétence ? Peu importe la raison, ce qui compte c’est qu’il avance à pas de tortue.
Toujours installer dans mon bureau, je grattai mon la paperasse en faisant danser mon stylo entre mes doigts fins, pourvu d’une dextérité rivalisant avec les meilleurs doigtés. Ma tête se reposa sur ma main, soutenue par mon coude posé sur le bord de mon bureau tandis que mon regard enjôleur sembla être ailleurs, perdu dans des images coït. L’une d’elle, extrêmement sensuelle, me fait rougir tout en gonflant mes lèvres intimes, une sensation de plaisir que je savoure en lâchant un looong soupire enivrant. Faut croire que le quotidien d’un commissaire est très monotone et ennuyeux à tel point que les journées de travail paraissaient si longues lorsqu’elle ne l’était pas pour mes collègues qui triment dans les occupations. Une majeure partie de cette paperasse était purement administrative et logistique, un coup de stylo par-ci par-là est basta ! Elles étaient vite classées et archivées dans l’armoire métallique derrière moi. Je zieute l’horloge accrochée au-dessus de la porte d’entrée de la pièce se trouvant en face de moi, 22h30. Un sourire vicieux de dessina sur mes chaudes lèvres africaines que je lèche avec concupiscence, mon heure favorite était arrivée. En effet, l’effective du commissariat se réduisait de moitié en cour de soirée, laissant ainsi un total d’une dizaine de personnes dont la moitié était des agents de terrain. Le restant du personnel était la brigade scientifique qui travaillait exclusivement dans les sous-sols du commissariat, là où se trouvaient les laboratoires d’analyse. Au final, le commissariat devenait presque désert, laissant libre cours à mes pulsions sexuelles au cours de mes pauses. Car oui, c’est à cette heure-ci que je me tape une sauterie bien torride avec mes subordonnées, du moins ceux dont leurs horaires les obligent à travailler de nuit. Généralement, je leur demande de ne pas ébruiter les faits parmi les collègues et tous font « motus et bouche cousue ». Mais aujourd’hui, il n’y avait personne à me mettre sous la dent, pas même un de ces bourreaux du travail consacrant leurs entièrement leurs vies au boulot. Quant à mes collègues ayant trempé leurs biscuits dans mon pot, disons qu’ils ont démissionné pour des raisons familiales dont je soupçonne éventuellement leur conjointe ayant découvert le poteau rose de leurs maris.
Mais je ne pouvais pas attendre, j’avais besoin de ma dose de SEXE ! J’avais une soif d’érotisme intense à étancher à tel point que je serais prête à baiser avec n’importe qui : un vieux, un geek, un gros, tout ce qui passerait dans mon champ de vision. Pour compenser ce manque, je décide donc de glisser une main ma culotte en passant par ma jupe moulante pour ensuite me masturber avec délectation. Rien que le fait de taquiner et de titiller mes lèvres intimes me donne des soubresauts jubilants qui lubrifient à profusion mon clitoris, souillant ma culotte de cyprine onctueuse. Et ça, ce n’est rien comparé aux l’extase incandescente de sentir une bonne verge s’enfoncer dans mon vagin. Mes joues rougissent de plus belle et de petits soupirs s’échappèrent de ma bouche entrouverte à mesure que j’accélérais le mouvement de mes doigts. Oh ouuiiii, ah qu’est-ce que c’était bon !!! L’insonorisation de la pièce camouflait mes cris de plaisirs à merveille, seule la porte d’entrée ne l’était pas afin que mes collègues puissent m’entendre lorsque je leur demande d’entrer. La salle était à peine éclairée par ma lampe de bureau et la vitre incruster dans la porte d’entrée était si floue que l’on distinguait à peine les silhouettes des autres.
Mais très vite, j’interrompis mon petit moment de plaisir par mes tourments de la porte. D’un geste vif j’essuyais ma sécrétion vaginale sous mon siège avant de lâcher un « Entrée ! » marquant le retour de ce chère Nathan, pas pour faire un compte rendu de son enquête, mais bien des renseignements. Je me redressai de mon siège, s’adossant parfaitement avec ce dernier pour ensuite croiser mes bras, faisant support à ma poitrine opulente. Je fixai mon inspecteur dans le blanc des yeux.
- Je vous écoute……..
J’écoutai attentivement les informations de Nathan, montrant clairement qu’il était loin d’être aussi nulle que je m’y attendais. Un pincement au cœur se fit sentir en moi, il se débrouillait plutôt bien pour un inspecteur de seconde zone. Un trafic de stéroïdes anabolisants ? C’était bien pensé venant de Scourge, mais cela ne règle en rien la situation auquel elle vient de mettre la multinationale de mère dans le collimateur de l’inspecteur. La Yoshikawa’s saibatsu avait subi moult enquêtes à son effigie dans le passé et les dossiers, entamer par les prédécesseurs de Nathan sont légions. Maman s’était donc débrouillé pour graisser la patte a des mafieux pour les éliminer tandis que de mon côté je m’arrangeais pour étouffer l’affaire et bâcler les dossiers à coup de millions de Yens, de relation sexuelle intense ou encore les deux. Et si Nathan souhaitait jeter un œil sur les dossiers classifiés, il n’aurait pas pu le faire, de même pour moi, puisque je l’ai ai tous détruit secrètement et éliminer tous les mafieux impliquer dans l’assassinat des enquêteurs charger de l’affaire. C’est comme si les enquêtes de la Yoshikawa’s Saibatsu n’avaient jamais existé. Justifiant ainsi mon sang froid implacable.
Je pris un faux air de réflexion quelque instant avant de répliquer.
- Des anabolisants de la yoshikawa’s Saibatsu vous dites ?.....mhum…..nan pas ce que je sache…….On a bien eu d’autre d’accusation plus ou moins semblables concernant d’autres produits vendus par la Yoshikawa’s Saibatsu, mais aucune enquête ne fut lancé par vos collègues. Mais si vos pistes s’avèrent exactes, alors c’est bien là-bas que vous devriez enquêter. Il est probable que la personne vendant ces anabolisants travaille pour le compte de la multinationale. Dans le cas contraire, cela pourrait être un élève qui achète ces produits pour les revendre plus cher à ses clients, mais cela n’est qu’une supposition………
J’avoue que je ne pouvais pas prendre le risque de lui dire tout simplement que l’entreprise familiale était blanche comme neige après avoir trouvé une preuve matérielle apportant du poids à ses arguments. Cet individu est une menace potentielle pour ma famille et je n’ai aucun argument suffisamment constructif pour réfuter ses trouvailles. Pour la première fois de ma carrière, j’étais dans une impasse. Je n’ai donc pas d’autre choix que de confier cette tâche à mère.
Je me levai de mon bureau avec nonchalance, faisant rebondir gracieusement mes groslolo, pour me diriger vers l’armoire métallique avec ma démarche féline faisant rouler mes grosses fesses fermes et bien galbées, entreposant la paperasse que je venais de remplir en prenant soin de classer chaque fiche à son étagère respective. Certaines d’entre elles nécessitaient que je me lève de la pointe des pieds, cela devait être un régal pour les yeux de Nathan, car je sentais que ma jupe moulante et extensible s’insinuait bien dans la raie serrée qui séparaient mes deux globes fessiers, huhuhuhu !
- Votre prochaine mission consistera d’aller voir la PDG de la Yoshikawa’s saibatsu par rendez-vous ou par un autre moyen dans le cas contraire. Questionnez-la et rapportez-moi un rapport détailler sur votre investigation. Disais-je en rangeant la pile de feuilles dans mes bras.
À cet instant, ma soif de sexe atteignit le seuil critique et l’idée d’assouvir mes basses pulsions sur Nathan me vint en tête. Étant donné qu’il était la seule personne présente dans les bureaux du commissariat, autant ne pas me priver de cette occasion ! Je crois même que c’est l’un des rares collègues avec qui je n’ai pas établi de relation sexuelle, raison de plus de me faire sauter par lui.
Mes yeux de biche firent mine de fixer l’horloge avant de marcher sensuellement en direction de l’inspecteur.
- Je vais devoir vous laisser, ma journée de travail s’achève ici. Mais je ne suis pas pressé de rentrer chez moi. Ajoutai-je avant de plaquer mes seins contre le torse de Nathan,de sorte qu’il savoure la douceur intense de mes airs bagues biologiques, et mon entrejambe contre la sienne, posant mes mains entre ses joues que je caressai. J’ai toouuus mon temps et puis j’ai besoin de décompresser ma rude journée de travail ♥
Sur cette dernière phrase avec un ton suave et sensuel, je l’embrassai passionnément en pressant mes lèvres onctueuses contre la sienne sans aucune retenue, roulant ma langue dans sa bouche avec une finesse et une dextérité inégalable. Il ne le savait peut-être pas, mais dès qu’il a pénétré dans cette salle, il fut exposé à une forte dose de phéromone accumuler aux fils des heures que l’atmosphère en était quasiment saturée. Si son désir de vouloir faire l’amour avec moi était fort au milieu de la journée, il devait être tellement puissant, après avoir respiré les bouffés d’airs, qu’il était presque impossible d’y résister. D’ailleurs, je sentis sa protubérance toute dure s’appuyer contre mes lèvres intimes.
Cette nuit-là allait être une nuit chaude comme la braise.
Oooooh oui !! Qu’est-ce que c’est si bon de sentir toutes ces claques qui fouettent mon boule de déesse !! C’est tellement excitant…… Tellement jouissif, comme toujours ! Je laisse toujours ce soupir de plaisir s’échapper entre mes lèvres grandes ouvertes, haletant comme une cougard en chaleur qui savoure chaque instant que procure ce gourdin bien dur de mon vilain petit inspecteur bien coller à moi ! Chaque minute qui passe, l’étreinte de mes bras et de mes jambes se resserre de plus en plus à mesure que la dopamine produite abondamment par le cerveau de mon hôte ! Mais dit donc, c’est qu’il est vachement balaise pour un humain ! Je sais bien que les hommes ont plus de force brute que le beau sexe, mais quand même ! Néanmoins cela n’a aucune importance, il en faut plus pour me briser et…..
- !!!! ♥
Ca y est ! Il a enfin déversé sa semence en moi, inondant chaque centimètre carré de ma moule assoiffée de spermes ! Ça se remplit vite à tel point que je suis en extase, je jubile dans un rugissement léonin : tête penchée en arrière, bouche grande ouverte et langue toute sortie ! Il y a beaucoup de choses d’irrésistibles dans la baise, mais aucune ne procure autant de pur plaisir sexuel dans sa puissance le plus pure que le remplissache de l’utéruse par des litres abondants de spermes ! J’ai chaud ! si chaud ! Tellement chaud ! Je suis en extase de sentir ce long filet de foutre déborder hors de ma chatte pour couler le long de mes cuisses pulpeuses ! J’ai même ma tenue complètement souillée par ma transpiration grandissante, mais je m’en fiche, peu importe que chaque fibre en soit imprégnée, ça n’a plus aucune importance : je suis en train de vivre ma plus grande relation d’amour de toute mon existence de symbiote ! Personne, je dis bien personne, ne m’avait fait autant d’effet de ma vie ! Si j’avais su plus tôt que ce type irait jusqu’à me faire gouiner à ce point je l’aurais promu dans un poste plus rémunérer. D’ailleurs c’est ce que je compte faire dès que notre copulation aura pris fin. Car oui je compte bien le préserver ! J’espère juste que je saurais convaincre Venomess de le laisser en vie, si je me débrouille pour étouffer l’affaire par la magie de la corruption financière et le confort d’un poste rémunérer. Pourquoi se casser la tête à supprimer un excellent jouet quand on peut le rendre plus docile, hum ?
Outch ! Et bein….. Il y va pas de main morte lui ! Sitôt avoir retiré son phallus qu’il pose ses mains autour de ma taille pour me jeter par terre, me mettant en position de levrette. En même temps ça n’a rien d’étonnant puisqu’il est sous l’emprise de mes phéromones. Exprimant tout son amour pour moi sous de jolis noms qui me font glousser sensuellement, huhuhuh ! Évidemment la position est volontaire puisque j’ai eu le réflexe de me réceptionner à temps par un geste coordonné faisant passer pour un mouvement maladroit. Il ne met pas longtemps pour palper ma croupe entre ses paluches viriles pour fourrer un unique coup de dard qui me fait pousser un unique et long crie concupiscent de grosse gouine que je suis. Oui car c’est ma nature : je suis né gouine et je mourrais gouine !
- AAAAAAAHHHUUUUUUUUUMMMMPPFFFFFFFFFFFF !!!! ♥♥♥♥
C’est tout ce que je réponds aux jurons ordurier et pervers de ma proie en extase et ça suffit amplement. Pas besoin de gaspiller inutilement de la salive dans cette situation.
Encore un moment, rien qu’une seule fois et je prendrais fin cet instant palpitant !
http://hentai.forum-rpg.net/index.php
D’un geste aussi souple que puissant j’exécute une prouesse physique en attrapant sa ceinture abdominale entre mes jambes puis d’une impulsion montreuse je l’étale par terre comme si ce n’était qu’un fétu de paille, pour changer nos positions. Visuellement c’est maintenant MOI qui est la dominante et lui le dominé ! Alors qu’il se trouve à plat dos, je me mets en position couchée de sorte qu’il puisse enfourcher sa langue au plus profond de mon intimité tandis que je lui offre la pipe de sa vie. Et elle commence ici et maintenant ! J’engloutis son membre dans ma bouche, débutant des vas et vient de ma tête tout en l’enroulant autour de ma langue préhensile dans des bruits gluants. Jonglant ainsi entre deux actions qui démultiplient mon plaisir comme le sien.
Mon cul lui, tortille et frétille d’impatience devant ma proie……
HRP : Désolé pour la (très très) longue absence, mais j'avais eu de grs soucie IRL qui m'ont sapé toute envie de vouloir rp....
C’est moi où bien son manche est en train de revêtir une membrane étrange ? Non je ne rêve pas ! Son sexe est en train de grossir, mais ce qui me met la puce à l’oreille sont ses veines noirâtres qui en ressortent sur tout le contour. Je ne crois pas me souvenir qu’il existe de maladie donnant un tel aspect aux veines chez les humains, alors qu’est-ce que cela pouvait bien être ? À moins que……. Serait-ce possible que Nathan ne soit pas un humain lambda, qu’il soit autre chose ? Cette hypothèse tient la route vu qu’il ne semble pas être encore mort par cette jouissance brulante que je lui offre. Pas évident d’être choqué de croiser le premier être inhumain de ma vie avec toute cette délectation charnelle extrême qui me submerge, néanmoins Un sourire de dessine au coin de mes lèvres glissant le long du phallus inhumain, teinté de curiosité. La substance qui recouvre l’organe géniteur de ma proie semble indépendante de la volonté de Nathan. De plus, par le contact de ma langue sur cette matière, je détecte une odeur singulière. Pour ne pas dire familière……..
Cette chose…… est un symbiote.
Alors pour une surprise c’est une surprise ! Je ne m’attendais pas ça, pas même ma très chère mère ! Ce qui change TOUT ! C’est donc lui qui confère cette endurance surhumaine à son hôte, bien que sa conscience n’a pas était fusionnée, contrairement au mien. Il faut que la prévienne de cette nouvelle incroyable, d’être tombé sur l’un des n’autres ! Mais mhuuuuumm……. Je ne peux pas interrompre cet ébat maintenant ! Ce n’est pas tous les jours que je vis une telle expérience avec quelqu’un sort du lot de ce menu fretin que j’ai l’habitude de me taper ! Là c’est un tout autre niveau qui dépasse l’entendement ! D’ailleurs, voilà que son gros canon organique déverse un geyser de spermes qui remplit l’intérieur de ma bouche à une vitesse affolante, mais un truc de malade ! Et le gout….. Oooooh dieu qu’est-ce qu’il est bon !! La saveur a changé, elle est plus succulente et délicieuse qu’avant ! J’engloutis tous ces litres dans des bruits de déglutissions bruyant tous les dix secondes, tout en lâchant toute une série de soupirs sensuels qui témoigne ce torrent de plaisirs me plonge dans l’extase la plus luxuriante dont je n’aurais jamais cru vivre de mon vivant ! Et……
BON SANG !!! Aaaaaah !!!!
Visiblement, même sa langue a changé puisqu’elle a atteint le fond de mon intimité, allant jusqu'à titiller son point sensible !! Je jouiiiiiiitttt !! C’est si intense que me yeux grands ouverts, levés vers le plafond, verses des larmes abondantes ! Mon cœur tambourine si vite et si fort que je suis presque convaincu qu’il va réellement exploser d’une minute à l’autre. Il y aussi mes mamelons qui se sont érigés encore plus, alors que mes seins gigotent ! Je ne parle même pas de la température infernale de mon corps qui m’oblige à déchirer mon tailleur d’un geste sec et vif de mes mains. Oui chuis toute nue et ça m’est égal !
Il faut que cet instant soit inoubliable ! INOUBLIAAAAAABLE !!!!
[……..]
Venomess (PJ)
Ainsi donc, Nathan serait l’hôte d’un des nôtres, hein ? Voilà qui est très intéressant. Et moi qui croyais que nous tous, moi et mes rejetons sérions les seuls symbiotes de cette planète. Cela explique bien pourquoi elle était si enthousiaste à l’appareil. Sultry, Sultry……. Quelle ravissante petite salope tu fais…….. C’est bien ça que j’aime bien chez toi comme chez tes sœurs. Finalement je vais revoir ma décision sur son élimination, mais d’abord j’aimerais le rencontrer en personne. C’est pourquoi j’ai ordonné à Sultry de lui révéler sa véritable nature ainsi que sa famille dont l’un de ces membres aimerait le voir ici, à la Yoshikawa Zaibatsu : C'est-à-dire moi. La PDG assit sur ce fauteuil en cuir de luxe, vêtu du tailleur dont j’estime avoir le plus sensuel, le plus luxuriant et de loin le plus provocateur qui soit et qui fait partie intégrante de moi. Plus moulant et confortable que le plus moulant des latex, plus élastiques que le plus élastique des spandex sur terre, réfléchissant la lumière ambiante sans pour autant jouer les miroirs. La fente de ma croupe incendiaire s’insinue bien dans mon fondement, au même titre que le clivage séparant ma paire de gros seins parfaitement sphérique et harmonieux.
Alors que je m’occupe actuellement de la paperasse dont j’ai l’habitude de gratter avec la pointe de mon stylo bille en main, quelqu’un toque à la porte. Enfin ce n’est pas trop tôt
Entrez !
Il est 10 heures du matin et ma voix mielleuse est prête pour l’entretien qui va avoir lieu.
Je rêve ou bien le petit Nathan compte me tuer en dégainant son arme de poing de son étui ? On dirait bien, pourtant il pue l’hésitation visible à travers les tremblements de sa main. Mais c’est en focalisant mon ouïe sur lui que c’est ce congénère qui l’oblige à n’pas lever la main sur moi. J’en déduis donc qu’il a succombé à mes charmes de créature plantureuse. J’aime ça ! Mais vu qu’il n’a pas fait de liaison chimique avec son hôte, ce dernier conserve toujours sa nature d’humain qui entre en conflit avec sa partie inhumaine. Ugh……. On dirait une mise en scène théâtrale typique. Il se secoue violemment sa tête de gauche à droite, il se débat de l’emprise du symbiote dont j’ignore toujours l’identité. En faite, l’inspecteur n’a toujours pas répondu à mes questions. Du moins, il empêche son habitant de m’parler.
Il trouve quand même la volonté pour sortir son arme conventionnelle, sans pour autant la braquer sur moi. Le truc, c’est qu’il pas de m’éliminer avec ce joujou. A ce distance je peux esquiver sans problème la balle, m’approcher de lui assez vite pour qu’il ne puisse esquiver un revers de main à lui dévisser la tête de son cou. Mais serait tellement dommage de gaspiller une aide précieuse, en particulier quand celle-ci est l’hôte d’un semblable. Je suis peut-être une vicieuse inhumaine, une manipulatrice perverse marquer par une arrogance exacerber, mais pas un monstre sans cœur. Je sais me montrer généreuse, trèèès généreuse avec ceux qui me servent avec fidélité. Je peux offrir une nouvelle vie et offrir une situation financière, comme je peux châtier dans la cruauté la plus totale ceux qui me trahissent. Quand je fais les choses, je me donne à fond ! C’est tout moi. Sauf que cette hôte ne semble pas l’savoir, voyant en moi un vulgaire psychopathe en puissance qui tue pour le simple plaisir de faire souffrir. Me comparer à eux est presque une insulte !
Il veut la vérité !? Ainsi soit t’il !
Je m’lève du rebord de mon bureau, puis ma démarche chaloupée me ramène devant un Nathan en conflit perpétuel avec lui-même. Allant me coller contre lui, pressant de nouveau mes seins sur son torse, tandis que ma main délicate glisse sur l’arrière de son crâne que je penche à mon niveau pour lui susurrer sur son oreille droite…….
- Oui je suis lié au meurtre, et je n’éprouve aucun regret mon poussin. Tu sais pourquoi, hum ? Parce que cela fait bien trop longtemps que je ne suis plus innocente. De plus, tu n’es ni le premier ni le dernier à vouloir m’a peau. Bien des personnes avant toi on essayer de m’arrêter, et tous on finit là, dans mon estomac. Après avoir échoué en m’conduisant sur les carreaux de la justice ♥
La pression de ma poitrine se fait plus forte, puis mon autre main empoigne le gros dard de Nathan dont le pouce titille gentiment le bout. Je fais venir son front contre le mien, plantant mon regard hypnotique sur le sien.
- Puisque tu es le premier hôte humain que je rencontre, je peux te récompenser grassement, t’offrir le luxe et une vie meilleurs. Si tu veux, je peux aller jusqu'à consoler ton joli manche dans mon intimité toute chaude et douillette ♥ Tu as trouver la sauterie de ma fille inoubliable ? Avec moi tu me suppliera de recommencer encore et encore ♥.……… Mais à une condition : que tu me serves pour toujours. Et quand je dis ça, j’entends bien sûr, une soumission totale à moi ! Rassure-toi, je ne suis pas de celle qui se montre très exigeante et qui tue ses serviteurs pour la moindre broutille. Ce n’est pas comme ça que je fonctionne. Tu auras toujours droits a aller où bon te semble, satisfaire toute tes envies. Le seul moment où tu sera contraint de m'obéir sera quand je te confierais une tâche. Et Quand je récompense mes sujets, je le fais mieux que quiconque ! Tout comme je peux me montrer très cruel quand on me trahit……
Ma poigne sur son phallus se resserre lentement, mais fortement.
- Mais si tu refuses cette proposition en or dont tu es l’unique humain à recevoir, et bien……..Ton espérance de vie ne durera qu’une fraction de seconde, avant de finir en charpie. Et ta disparition sera vite oublier, comme si tu n'avais jamais existé sur terre. Donc, réfléchis à deux fois avant de commettre l’irréparable ! Tu ignores tout de moi et ce dont je suis capable…….
Si ma voix transpirait la sensualité et gaité au début, celle-ci est devenue plus sombre, plus menaçante au moment ou j'ai serrer le membre bien dur de l'inspecteur. Je lui offrait le choix entre vivre dans une soumission pas si restreinte qu'elle n'en a l'air, ou bien la mort.
Huuum ♥ comment puis-je retenir ce soupir coquin que j’expire spontanément lorsque mon nouveau serviteur me palpe l’une de mes fesses ? J’aime tellement que des beaux gosses tels que Nathan Joyce ma caresse mon postérieur tortillant de plaisir. Mais ce n’est pas ça qui fait naître ce sourire maternel s’épanouir de ma bouche velouteuse. Non ! C’est bien ce baise-main séduisant de Nathan, digne d’un roman classique de l’ancien temps, qui vient sceller son allégeance à moi et avec préméditation. En position de révérence obséquieuse, tête baissée devant moi, il présente tous les signes d’une soumission digne d’un fidèle serviteur à son seigneur. Le cœur palpitant d’enthousiasme de vivre une nouvelle vie à mes rangs. Une vie de luxure et de perversité abondante ! Aaaaah….. Je ne me laisserais jamais de cet instant jouissif !
Je finis donc par sortir l’une de mes mains de son futal pour la poser sur sa joue gauche, à l’instar de ma main droite sur l’autre joue. Puis je relève sa tête vers moi, le dévorant de mon regard de croqueuse d’hommes des plus perverses alors que mon entrejambe se plaque contre le bout de l’énorme bosse de l’inspecteur. Alors qu’un pouce caresse l’une de ses joues.
- C’est bien mon chou ♥ Tu as fait le bon. À partir de maintenant tu m’appartiens désormais, et je peux t’assurer que tu ne vas pas le regretter ♥ Comme promis, tu auras droit à une belle somme bien clinquante. Assez pour te payer l’un des meilleurs appartements de la ville, avec le mobilier digne de cet habitat. Et pour couronner le tout………
J’embrasse brusquement et sensuellement la bouche charnue de Nathan. Tournoyant ma langue contre la sienne, caressant chaque paroi buccale par une finesse résultante d’incalculables siècles d’expérience dans le domaine ! Avant d’interrompre cette minute intime en retirant mes lèvres, vide de substances sédatives. Sans déloger mes mirettes mi- closes de prédatrice sexuel hyperséducteur, au même titre que ma bouche entrouverte.
- Je t’offre cette chance unique de pouvoir copuler avec moi ♥ d’ailleurs ça tombe bien, je suis toute en chaleur ♥ J’ai follement envie de m’envoyer en l’air, d’engloutir des litres et des litres de spermes par ta bite que je veux me fourrer profondément dans mon sanctuaire intime ♥♥ J’aime me faire pénétrer par les gros engins, surtout quand ils viennent de beau mâle comme toi, huhuhuuhu ♥
Petit clin d’œil adorable que je lui adresse, avant de retourner à mon bureau. Non pas pour m’assoir dessus, mais bien pour appuyer sur une touche de mon téléphone fixe qui me met en ligne avec ma secrétaire.
- Fushimi. Veuiller à ce que personne ne me dérange. Si quelqu’un souhaite un rendez-vous, dites-lui qu’il devra attendre demain soir.
- Bien, madame.
Et pour conclure le tout, je m’approche d’un bouton poussoir mural à l’entrée de mon vaste bureau circulaire, abaissant un long rideau de stores sur l’immense baie vitrée panoramique donnant une vue imprenable de Seikusu. Laissant ainsi une pièce éclairer par une applique au plafond. Ni trop forte, ni trop faible. Parfaitement adapté pour des moments érotiques voir pornographique.
Enfermer tous les deux dans une vaste pièce dont personne ne risque de nous déranger, je finis par revenir en face de Nathan. Avec toujours cette démarche à faire damner un saint. Puis je n’hésite pas à revêtir ma Forme symbiotique (http://img11.hostingpics.net/pics/913583BlueandBlackbytasuku13.jpg) devant lui. Je ferme les yeux alors que mon tailleur prend vie, ondule et enveloppe l’intégralité de mon corps sous la forme d’une substance visqueuse et noirâtre. Moulant, épousant chaque nanomètre carré du corps qui appartenait jadis à mon hôte, et s’y colle parfaitement. Chaque trait, chaque relief, chaque définition physionomique de mes muscles sont représentés. Je peux même sentir mes yeux de symbiote apparaitre sur le visage de mon corps, recouvert entièrement par ma masse constitutive propre. Puis c’est ma large bouche garnie de longs crocs effilés qui se dessine jusqu’aux oreilles de ma tête lisse, dépourvue de pilosités quelconques. À la fin, c’est bien plus qu’une seconde peau qui, c’est pratiquement une seconde nudité que je dévoile à mon serviteur !! Oh ! Je constate aussi que mon motif stylisé, représentant une créature de mon monde natal ressemblant comme deux gouttes d’eau à une araignée, contraste toujours aussi bien avec le fond noir et luisant de ma forme !! Et QUEL délice d’être sous cette forme !!! C’est si excitant d’exposer ma moule dégoulinante de cyprine, ma poitrine opulente avec les tétons pointe, ainsi que ma croupe incendiaire balloter en l’air.
Le terme anglais « Sexy and deadly » me va à ravir !
Sitôt fait, je tends mes bras pour former un V, tirant du revers de mes poings une série de toiles d’araignée aux plafonds pour former un véritable hamac organique gigantesque. Puis d’un salto arrière j’atterris dessus pour m’installer dessus en tailleurs, donnant une vue jouissive sur mon intimité si attrayante à voir et ma posture aguichante, limite outrageuse. J’enroule également un sain autour de ma langue préhensile toute baveuse qui me procure une sensation électrisante. Muumm ♥
- Vient ♥ Montre-moi que tu vaux mieux que ces pitoyables humains en matière de sexe ♥
Ma voix, bien que féminine, était plus inhumaine.
Haaan !! Aaah que c’est bon de se faire malaxer le popotin par les mains viriles de ce mâle bien monté qui me baise lourdement et avec toute sa puissance sous les claquements sec et rapides de ses coups de hanches sur moi. La couche de sueur qui suinte mon épiderme symbiotique, au lieu de mon hôte, devient de plus en plus humide et abondante sous cette décharge foudroyante de plaisir incommensurable par mon partenaire qui me suspend en l’air, comme du tripotage de mes tétons érigées et durcies par mes mains habiles. Ma chaleur corporelle est tellement bouillante que je suis certaine qu’on pourrait faire fondre de la raclette dessus. Décidemment, je passe un moment unique….. TELLEMENT unique !! Par la Grande Dévoreuse que je l’aime !!! Ce brave petit symbiote est à la hauteur de toutes mes espérances. Il est même digne d’avoir une place privilégié dans mon estime ! Et ça, je ne le donne pas à n’importe qui……
Comme voulut, Nathan obéit à ma demande impérieuse en générant une protuberence prenant la forme d’une nouvelle verge aussi grosse que celle d’un cheval et que ma bouche accueille à mâchoire grande ouverte. Mhuuuum…. MHUUUUM !!! Elle s’enfonce facilement jusqu’au tréfonds de ma trachée élastique, à l’instar de ma gorge. Et ce gros dard je le pompe férocement, l’enroulant autour de ma langue préhensible. C’est dur de respirer avec un engin pareil. Mes gémissements sensuels et puissants en sont étouffés. Heureusement, ma gorge arrive quand même à filtrer de petites bouffées d’airs et d’expirer par le nez avec plus ou moins de difficulté. Néanmoins, j’opte pour de l’apnée. Va falloir que j’améliore mon corps pour permettre une respiration cutanée. Cette troisième protubérance et tellement puissante qu’elle balance ma tête de haut en bas avec force, chose qui m’excite encore et toujours plus. Mes mains cessent de titiller mes seins pour venir empoigner fortement le tentacule phallique pour le masturber avec une dextérité surréaliste. Peut-il lui aussi gicler du sperme ? J’espère bien !
Tiens !? Mon petit Nathan génère deux autres excroissances de même formes que celle qui me martèle mon orifice buccale. A une différence près qu’elles ont chacunes un trou avec une myriade de dents en lamelles. Oh oui….. Han wouiii !!! Elles engloutissent la moitié de mes seins opulents et je sens aussitôt mes tétons se faire lécher par les milliers de langues triangulaires !!
- MhuuuuUUUUUMMMMMMMMMHHHHHHhhhhhhhmmmm !!!!!
Oh putin !! Celles-ci me font cambrer en deux sous cette pulsation violente produite par cette explosion de jouissance, alors que je suis allongée en l’air, sanglée par les extensions de Nathan comme une esclave SM ! Bon sang… avec ça, ainsi que les coups de queues violentes et le jus de sperme que mon partenaire déverse en moi… j’en pleure de joie comme pas possible !! Des larmes coulent à flots des yeux de mon hôte, mais remontent jusqu’aux « mes » yeux symbiotiques écarquillé sous la vague de plaisir, pour ensuite perler abondamment le long de mes joues. Ce combos…. il…. il me fait pousser un long gémissement sensuelle, mais très résonnant. Et parallèlement, j’évacue de mon vagin un abondant jus de ciprine jaillir, mêlée à du sperme. Non seulement plus long que le précédent, mais également et surtout plus puissant. Avec la verge faisant office qui obstrue partiellement ma paroi vaginal, il est normal que cela génère de la pression. Le liquide salit davantage le local en s’étalant de partout. Je plains déjà la femme de ménage qui risque d’avoir toute la journée pour nettoyer la pièce, huhuhuhu.
Toute cette apprivoisement en sperme et en dopamine me donne largement de qu’il me faut pour envisager une amélioration évolutive du corps de mon hôte. Seulement voilà…. comme je suis une grosse boulismiste, je ne vais pas m’arrêter là. Même si l’horloge digitale accrochée au mur m’affirme que cela fait déjà dix heures qu’on baise comme des bêtes. Ce qui fait qu’il est déjà vingt heures du soir.
CLAP !!!!
Haaan, cette claque virile sur mes vilaines fesses comme je les aime !! Elle m’excite tellement ! Un nouveau couinement coquin sort de ma bouche qui finit de sucer le troisième membre phallique. Je retire ce dernier d’un geste de la main, puis c’est à mon tour de générer deux tentacules gros comme des bras humains à partie de mes flancs et de m’en servir pour me rapprocher au torse de Nathan en l’agrippant par la taille. Mes bras viennent s’enrouler autour du cou de taureau de mon partenaire adoré puis je l’embrasse langoureusement, pendant que la partie inférieure de mon corps et contorsionner en arrière. Jambes écartées parallèlement, non pas par les sangles de Nathan, mais par moi-même. Roulant sensuellement mon boule actuellement pilonné et farcir par les deux grosses verges ayant élargir facilement mes intimités sans difficulté, en raison de leurs élasticités remarquable. Mon ventre gonflé et qui pend dans le vide.
Le baiser dure une dizaine de secondes avant que je recule légèrement ma tête pour faire face à un Nathan tout joyeux de m’engrosser dont je caresse tendrement sa tête.
- Ô Nathan….. tu peux pas savoir à quel point je t’adore, huhuhuhuhu ♥
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Vendredi 19 octobre 2012, 7h30
Limousine de Kasumi Yoshikawa | en route pour son domicile |
Et bien dit donc…. quelle instant inoubliable ! Nous sommes déjà le 19 alors que j’ai la sensation qu’une minute plus tôt j’étais encore en train de faire l’amour avec mon associer qui se tient assis devant moi, dans ma limousine. Peu de temps après notre ébat exotique, soit une heure plus tôt, j’ai taché de contacté Tashigi Asegawa pour lui confier la charge ingrate de nettoyer mon bureau littéralement souillé par ma ciprine et la semence de Nathan, en plus d’empestait atrocement la luxure pure et dure. Une heure plus tard, je porte toujours cette odeur sur moi.
Ayant toujours mon tailleur en matière symbiotique que je prends, jambes croisées aguicheusement et bras croisées pour faire support à ma lourde poitrine, je passe une main dans mes cheveux pour recoiffer une mèche rebelle. Puis mon regard de velours se colle à mon invité, plongeant une main entre mes deux seins pour y faire sortir une enveloppe que je tends à Nathan. Contenant un présent que j’ai pris soin de placer pendant que Nathan avait le dos tourné.
- Comme promis mon beau Nathou, je t’offre l’équivalent en Yens de dix millions de dollars. Au début j’avais prévu un million à la base…. mais comme ta performance fut au-delà de tout ce que j ‘estimais, je me suis montré généreuse en montant la somme.
Une fois qu’il la prise, je me détourne de lui pour fixer les immeubles urbains de Seikusu défilée.
- L’une de mes filles, Sultry, te contactera lorsque j’aurais besoin de toi. Pas besoin que tu notes ton numéros de téléphone sur un papier, elle saura se débrouiller pour trouver le tiens. Elle est très douée pour ça. Je suis même certaine qu’elle l’a déjà.
C’est même pas certain : c’est évident ! Après tout, ne travaille t’il pas dans la police de Seikusu ?
Une minute plus tard, je me tourne de nouveau vers Nathan.
- Où dois-je déposé ?
Nathan ne reprit réellement ses esprits que dans la limousine de la femme… Et même là, il était encore enivré par cette femme, par son odeur, par son corps, par sa présence. On ne pouvait pas parler d’amour, car ce n’était pas vraiment ce sentiment-là qui prédominait. C’était plus… Et bien, comme une sorte d’adulation, de vénération profonde. La Bête, si autoritaire, était ici totalement écrasée par cette femme, encore plus depuis qu’elle savait que, dans le ventre de la femme, un symbiote était en train de pousser. Ils avaient fait l’amour toute la journée, le soir, puis la nuit, dans chaque partie de l’appartement de la femme, au sommet de sa tour. Le policier se rappelait de chaque moment, des longs baisers, des orgasmes à répétition, des flaques de foutre et de mouille s’étalant contre le sol et les murs. Il l’avait prise contre les solides baies vitrées de son bureau, sur le sol, dans toutes les positions possibles… La Bête s’était surpassée, et, dans la limousine, Nathan comatait à moitié. L’homme accusait le contrecoup de cette activité physique intense et infernale dont il avait fait preuve dans cet appartement, avec cette femme. Une Matriarche… Pour le sommeil qui végétait en lui, c’était comme rencontrer une divinité. Il l’avait pris avec toute la force dont il était capable, uniquement dans le but de l’honorer, et son objectif suprême avait été atteint quand il l’avait fécondé. Maintenant, un bébé symbiotique allait jaillir de son ventre… Nathan aurait dû en être horrifié, mais sa conscience humaine était comme anesthésiée quand il était face à cette femme. Il ne s’était pas attendu à ça… Dès le début de leur confrontation, il avait été perdant. Comme une paire de deux face à un flush royal, il n’avait rien pu faire d’autre que laisser ses pulsions profondes s’exprimer, et ce de la plus intense des manières. Ils avaient couché comme des bêtes, et Nathan peinait à revenir à lui.
La limousine roulait tranquillement, tandis que le soleil, paresseusement, était en train de se lever. La femme lui remit une enveloppe comprenant de l’argent, mais, à ce stade, Nathan n’en avait que cure. Son corps était épuisé, mais la Bête avait encore envie de cette femme. Une envie lancinante et prenante, qui remuait dans ses entrailles, et qui l’incitait à se rapprocher d’elle. Ce qu’il fit d’ailleurs. Elle lui annonça que Sultry le recontacterait pour les revoir, et sa main alla ensuite caresser le ventre de la femme, tandis qu’il s’installait à côté d’elle, l’embrassant dans le creux du cou, reniflant son odeur, humant cette dernière.
« Hum… Dépose-moi où tu veux, ça n’a aucune espèce d’importance… La seule chose qui compte, mon amour, c’est notre bébé… »
Pour vivre et pour s’épanouir, un symbiote avait besoin d’un hôte. Et Nathan savait que cette femme, avec sa richesse et son influence, aurait des candidates possibles. Et lui ne voulait pas rater ça, car il estimait que ce symbiote était aussi le sien. Dans les tréfonds de son esprit, Nathan se révoltait contre cette situation. Cette femme symbiotique ne pouvait être que mauvaise, il en avait conscience… Mais il était incapable de lutter.
« Je veux le voir pousser, ma belle… » affirma-t-il.
Une longue langue reptilienne sortit de sa bouche. Nathan avait repris forme humaine, mais c’était encore la Bête qui le contrôlait. Il l’embrassa sur les lèvres, se montrant assez… Collant. Nathan était comme un pervers sexuel en manque, chose encore plus surprenante qu’ils avaient couché et baisé comme des hyènes pendant des heures. Il en avait encore des frissons dans tout le corps, mais Nathan savait que la Bête était insatiable, et que, plus on la satisfaisait, plus elle en demandait encore.
« Tu es magnifique… »
En fin de compte, Nathan s’en tamponne le coquillard du million de yens enfermé dans l’enveloppe que je lui offre généreusement !? Et bien.... ce n’est pas le genre de réponse qu’on peut s’attendre venant d’un inspecteur pas aussi clean qu’on le croit. Remarque, je ne vais pas m’en plaindre ! Et puis ça peut se comprendre rien qu’en voyant l’état semi-comateux où se tient Nathan. N’ayant pas l’habitude de baiser comme un symbiote, son mental n’a pas supporté aussi bien la durée que le rythme sauvage de notre copulation. Je n’ai même plus affaire avec le Nathan de la première rencontre, au point de ne plus le reconnaitre. Comme s’il ne faisait plus qu’un avec son symbiote, mais avec la mentalité de ce dernier ayant l’ascendance.
Que c’est si beau de voir ça. J’en reviens à le regarder avec un sourire amusé et d’un regard attendrissant, alors qu’il se rapproche instinctivement de moi en allant s’assoir à côté pour ensuite poser une main paternaliste sur mon ventre encore gonflé par la gestation de mon premier enfant issue du premier non-humain que je croise depuis le début de mon séjour sur terre. Mhuum... son baiser sur mon cou et son avis sur l’importance plus grande que tous pour ma progéniture et moi m’envoie ravi. Car encore une fois, il a amplement bien mérité ce privilège.
C’est dans mon geste spontanée et gracieux de ma tête sur le côté, histoire de faire virevolter mon élégante chevelure pour accentuer d’un coup mon charme, que je m’installe sur les genoux de Nathan en me mouvant agilement par un habile jeu de jambes latéral. Posant mes grosses fesses bandantes pile au-dessus de son barreau de chaise entre les jambes, tandis que mon buste se penche vers lui et que mes mains se place contre celle de mon nouvelle agent sur mon ventre fécond.
- Comme tu voudras mon chou. Je reste néanmoins touché que tu portes une telle importance pour ma progéniture. Tout simplement parce que tu en ai le père. Mais après ce que tu viens de m’offrir, je t’offre ce privilège inestimable d’être.... mon Amant. OUI ! Tu m’as parfaitement entendue : Moi, Grande Matriarche Supérieur du clan Zéra’ghul, je t’aime au point de t’informer que j’éprouve un profond attachement envers toi. Et de t’avoir à mes côtés le plus souvent possible.
Et ce n’était pas des paroles en l’air juste pour lui faire plaisir, sachant que je n’en suis pas à mon premier amant à avoir menti et manipulé avant de m’en débarrasser tel une vieille chaussette trouée qui n’est bon qu’à aller rejoindre les poubelles avec sa sœur jumelle. Avec lui à mes côtés, finis les mâles lambdas dont les trois quarts meurent de plaisir dès le premier quart d’heures et où je dois harceler Sultry d’étouffer ces affaires ! D’ailleurs il était temps, car en ce moment c’est de plus en plus compliqué d’étouffer les affaires de disparitions qui commencent à être présente sur les médias mainstream du Pays.
De plus.... je ne serais plus la seul Symbiote sur Terre, en dehors de mes filles. Huhuhuhu !
Au même moment, ma langue s’allongent et vient s’enrouler sur celle de Nathan qui, elle aussi, veut gouter une nouvelle fois aux douces étreintes d’un baiser de symbiote. Mon visage s’appuie fortement contre celui de l’homme en face moi. Au même titre que ma poitrine. Mon popotin, lui, se dandine sensuellement et joyeusement sur les jambes de l’hôte du symbiote. Baiser qui semble avoir été si cour mais qui, en regardant bien l’heure sur ma montre, a déjà duré plus de cinq minutes. Petit arrêt en plaçant sa tête entre mes mains.
- Et tu auras toute l’occasion pour assisté à sa sortie de mon ventre..... une fois l’hôte trouver.
Seikusu regorge tant de malheureuse personne dont la vie a été si pute avec eux,certes. Mais les meilleurs cibles de choix sont AVANT tout les orphelins qui, n’ayant ni parents ni amies pour les soutenir, n’ont plus rien à perdre pensent sérieusement à vouloir mettre fin à leurs jours. Aaaah, difficile de trouver mieux. Et j’ai déjà de bonnes pistes par où commencer mes recherches. Huhuhuhuhu ♥
- Moi aussi je t’adore..... trésor ♥
C’est alors que je l’invite à me suivre dans ma villa de mille mètres carré (la superficie de l’habitation), mélangeant architecture japonaise traditionnelle et futurisme des plus innovant. Dans une pièce où nulle ne pourra nous déranger, idéal pour ne passer des journées... que dis-je.... des mois entiers à baiser comme des bêtes. Sans interruptions.
Ô.... et ma progéniture semble avoir encore faim. Ça tombe bien, c’est l’heure de souper !
FIN DU RP