Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Nathan Joyce le lundi 15 octobre 2012, 12:53:18

Titre: The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Nathan Joyce le lundi 15 octobre 2012, 12:53:18
« Tu es sûr que personne ne tournait autour de Takeaki ?
 -  Non, Monsieur... Je... Je comprends pas ce qui s’est passé... Il a sûrement du tomber sur un pervers... »

La voix du jeunot était précipitée, son regard fuyant. Nathan était sûr que ce gosse lui cachait quelque chose. Il y a des années, à une autre époque, il aurait sans doute cuisiné un peu le lycéen. Son regard était fuyant, signe qu’il ne se sentait pas bien. Il y a des années, il aurait joué là-dessus, sur son sentiment de culpabilité. Il lui aurait dit que Takeaki avait probablement de gros problèmes, et que Nathan ne voulait pas le punir, mais simplement le retrouver, afin de s’assurer qu’il allait bien. Il aurait renchéri en disant qu’ils étaient dans le même camp. Il était un peu comme une espèce de grand-frère protecteur. Oui, il aurait sans doute agi comme ça il y a des années... Seulement, Nathan avait du mal à retenir un mal de crâne lancinant qui s’insinuait en lui. Il avait fini sa bouteille hier soir, en regardant une émission incompréhensible, un énigmatique talk-show où il avait eu l’impression que les petits bonhommes se mettaient à sauter et à l’agresser. Une véritable épave, qui s’était affalée dans son canapé, avant que la sonnerie ne vienne le réveiller.

Il fit donc la moue, et hocha la tête. Rikuo était l’un des meilleurs amis de Takeaki, qui était maintenant porté disparu depuis cinq jours Aucune trace, aucun indice, rien. La famille était aux abois, et avait déposé plainte. Le dossier avait échu entre les belles mains du commissaire Faye, qui avait hier convoqué Nathan dans son bureau. L’inspecteur faisait dix ans de plus. Il avait la mine creusée, et traînait sa lourde et impressionnante carcasse, des cernes noirs sous les yeux. Qu’il soit encore en activité n’était lié qu’à deux choses : l’extrême indulgence du commissaire Faye, et ses états de services à Seattle. Il prenait des antidépresseurs, et aurait tout à fait pu obtenir un congé maladie... Ce à quoi il n’avait pas tenu, car il s’était dit que, s’il restait seul dans son appartement miteux à boire toute la journée, il finirait par se tirer une balle. Au commissariat, il s’occupait essentiellement des infractions routières... Pas spécialement les affaires permettant de tenir en haleine la famille le soir, autour du dîner. Il s’occupait des excès de vitesse, des conduites en état d’alcoolémie, et des mises en danger.

Hier, Faye lui avait offert l’occasion, selon elle, de prouver sa valeur. Elle lui avait parlé de ce gosse qui avait fait la Une des journaux locaux, et même du journal télévisé, Takeaki Je-sais-plus-quoi. Nathan était à moitié défoncé quand Faye lui avait parlé, et, dans son esprit embrumé, tout ce à quoi il pensait, en hochant la tête, c’était à quel point la commissaire était sexy dans son tailleur, et à quel point il aurait aimé le lui déchirer sur place pour la baiser sauvagement... Ou, du moins, c’est ce qu’il croyait. Il n’avait pas couché au corps d’une femme depuis maintenant un ou deux mois. La seule fois où il avait tenté d’aller voir une pute, il s’était écroulé, ivre mort, dans le caniveau. Impossible de dormir ; quand le sommeil venait, les cauchemars venaient avec... Sa femme, mais aussi la créature, le virus qui sommeillait en lui, et qui voulait prendre le contrôle... Il buvait pour oublier, et songeait de plus en plus à se suicider.

Après sa conversation avec Faye, il avait croisé le regard d’un autre inspecteur... Celui qui était responsable du pansement que Nathan avait en ce moment sur le nez. Manien. Pas vraiment un nom de Japonais, mais Manien restait un bon flic. Un immigré qui venait de France, et qui avait fusillé Nathan du regard. Joyce savait que Manien voulait le renvoyer, car il était inacceptable, pour lui, qu’un flic se bourre la gueule.

« Et qu’est-ce que tu peux me dire sur la relation entre... Miss Asegawa et Takeaki ? »

Il vit le jeune tressauter sur place, et comprit qu’il devait avoir touché au but... Là encore, il aurait jadis creusé, car il était clair que ce sale morbac lui dissimulait quelque chose. Nathan connaissait suffisamment les adolescentes et les jeunes pour savoir qu’ils étaient toujours au courant de tout. Un lycée foisonnait de rumeurs, de racontars, de commères... Un autre camarade de la classe de Takeaki lui avait confié qu’il était assez proche d’une belle petite lycéenne, Tashigi Asegawa. Il lui avait même dit qu’il pensait qu’ils sortaient ensemble, mais, à chaque fois que Nathan parlait de Tashigi, soit on ne lui répondait rien, soit on semblait gênés.

« Je... C’est une copine de lui, Monsieur... Une bonne copine, même, mais elle a rien à voir avec...
 -  Ai-je dit qu’elle avait quelque chose à voir avec la disparition de Takeaki ? » répliqua rapidement Nathan.

La riposte était venue toute seule, au-delà des nuages embrumés de l’alcool qu’il avait ingurgité la veille. Le jeune semblait de plus en plus nerveux, et secoua rapidement la tête.

« Non... Non, bien sûr, j’ai jamais dit ça, mais... »

Il y a des années... Il y a des années, il l’aurait cuisiné, il aurait continué. Ce gars mentait bien mal, mais l’imagination de Nathan était bloquée par l’alcool. Il avait du mal à se concentrer, et passa une main sur son front en soupirant.

« Je... Est-ce que je peux retourner en cours, Monsieur ? »

Nathan soupira en grognant. Dans les profondeurs de son esprit, une petite voix lui dit de lui ordonner de s’asseoir, et de le cuisiner, de taper du poing sur la table. Ils étaient seuls dans la salle de cours, Nathan assis à la place du prof’, ayant devant lui un dossier très léger : tout ce qu’on avait réussi à obtenir. L’emploi du temps de Takeaki. La déposition des parents. Nathan n’avait pris aucune note. Il avait déjà du mal à lire la déposition. Il devait froncer les sourcils, les ;mots semblant animés d’une volonté propre, et se déplaçant de gauche à droite.

*A quoi bon ? lâcha une voix défaitiste dans sa tête. Est-ce si important de se ménager pour lui ? Si tu le cuisines, ta migraine va revenir, et tu as besoin de prendre tes antalgiques pour la faire disparaître. Que Manien aille se faire foutre !*

Il ferma lentement les yeux, ayant un bref flash, un souvenir de sa folle soirée.

Une soirée sacrément festive ! Il avait été réveillé par des coups sourds tapés à la fenêtre, et s’était redressé, une musique lui hurlant aux oreilles. Un clip musical psychédélique défilait à l’écran, des images incohérentes, incompréhensibles, formant un flux discontinu. Un kaléidoscope d’images agressives qui lui brûlaient la cornée. Une musique de K-Pop, le phénomène sud-coréen en vogue. Il le savait pour avoir été réquisitionné, il y a quelques semaines, à la surveillance d’un concert d’un groupe de K-Pop, Girls’ Generation... Une surveillance qu’il avait passé entre le bar du concert et les toilettes, à vomir ce qu’il buvait au bar.

On frappa à la porte. Lourdement. Ce n’était sûrement pas le propriétaire ; Nathan payait ses factures. Le loyer, au moins. Même si cet endroit était un taudis crasseux près du métro aérien, il devait quand même payer. Il tourna lentement la tête sur la droite, observant, à travers une fenêtre, les panneaux clignotants et fluorescents du club pourri à côté. Les coups redoublèrent à sa porte, et Nathan grogna.

« Ouais, ouais, j’arrive... » bougonna-t-il de manière inaudible.

Il renversa quelque chose en se levant, son pied heurtant la table basse, et s’avança vers la porte d’entrée de son studio, à côté de la cuisine. Nathan l’ouvrit misérablement, avec sa barbe mal rasée, pour voir le visage furieux de Manien.

« Tu viens à la fête, Manien ?! » s’était exclamé Nathan avec un sourire de défoncé.

Ce dernier avait poussé la porte, manquant renverser Nathan.

« Cette enquête, elle ne te revient pas, Nathan ! avait-il hurlé en entrant sans invitation.
 -  Oh, oh, de quoi tu me...
 -  Elle n’aurait pas du te la confier ! Confier cette enquête à un pochetron comme ça, c’est le meilleur moyen de s’assurer qu’on ne retrouvera jamais ce gosse ! »

Nathan ne répondit rien, ayant du mal à comprendre ce que Manien disait. Ses oreilles sifflaient, et il haussa les épaules. L’homme continuait à gueuler, et il crut percevoir le mot «
baiser ».

« Tu veux un verre ? » finit par demander Nathan.

C’est à cette occasion que Manien l’avait frappé.


Plus il y repensait, plus il se disait qu’il devait lui en être reconnaissant. Nathan s’était écroulé sur son tapis, et Manien était reparti. Il ne se souvenait pas d’avoir vomi, mais, comme il s’était réveillé avec la joue baignant dans une flaque de déjections, il en avait conclu qu’il avait vomi. C’était le bruit du train qui l’avait réveillé. Le métro filait si rapidement par ici qu’il en faisait trembler les murs. Nathan s’était lentement réveillé, et avait pris une douche, sentant une migraine atroce l’envahir. Dans la douche, il avait cherché dans l’armoire à pharmacie ses antalgiques, et en avait enfilé deux, sentant la migraine disparaître, perdre du terrain... Mais elle revenait, maintenant.

Il s’était proprement habillé, et s’était vaguement rasé. Il avait ensuite filé au lycée Mishima, où Takeaki travaillait. Il avait reçu un appel sur son pager, du commissaire, lui rappelant de se rendre au lycée pour interroger individuellement les membres de la classe de Takeaki, afin d’obtenir des pistes. Il s’était installé dans une salle au fond du couloir, et recevait un par un les camarades. La disparition de Takeaki les troublait, mais, plus il les interrogeait, plus il avait vaguement conscience de trois choses :

1°) On lui cachait quelque chose. Les lycéens étaient généralement inhabituellement nerveux. Certes, la présence d’un flic, ça avait de quoi angoisser, mais il y avait quelque chose d’autre. Son instinct le lui soufflait à l’oreille. Ses gosses savaient quelque chose, ou pensaient savoir quelque chose, mais il n’avait pas pu, ou pas voulu, creuser plus loin.
2°) Cette Miss Takishi Asegawa avait côtoyé Takeaki, et Nathan la soupçonnait d’en savoir bien plus que les autres sur sa disparition. Il y avait quelque chose sur elle que les gosses ne le lui disaient pas, mais, connaissant la réputation de ce lycée, un baisodrome ambulant, il devait sûrement s’agir d’un secret sexuel, ou une connerie de collégiens comme ça. Elle devait planquer des mangas pornos dans son casier, ou une connerie inutile de ce style.
3°) Il avait un besoin monstrueux d’un antalgique.

« Monsieur ? Il faut vraiment que je retourne en cours, sinon, je vais louper l’énoncé de la...
 -  Ouais, ouais... Va... »

Casse-toi, petit connard de menteur, aurait-il voulu dire, mais il se contenta de grogner, et l’élève se retira. Le surveillanrt qui les accompagnait entra ensuite dans la pièce, et, en soupirant, Nathan demanda qu’on lui amène cette fameuse Takishi... Mais après le début du prochain cours, histoire qu’elle ne loupe pas l’énoncé de l’exercice, et qu’il puisse s’enfiler un antalgique. La porte se referma, et Nathan soupira. Il sortit sa boîte de comprimés, et sortit l’un des petits objets blancs, avant de le foutre entre ses lèvres, et de boire de l’eau, l’envoyant dans sa gorge.

*Quelle journée de merde...*
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Venomess le samedi 01 décembre 2012, 20:47:57
Farrah Faye

Jeudi 15 octobre 2012, 15h30
Commissariat de Seikusu, région du Japon.



Comme toujours, mon rôle de commissaire m’aller comme un gant, jonglant entre affaires étouffer et affaires closes, sans provoquer un doute perplexe de la part de mes collègues de travail. Jusqu’ici personne ne connaissait le véritable but : celui de protéger mère contre les filets de la justice. Chaque jour je recevais de nombreux rapports concernant la disparition mystérieuse de civils et comme toujours, je me débrouillais pour étouffer les affaires et je dois dire que je suis assez doué dans la pratique. Évidemment, tous finissaient généralement dans mon estomac ainsi que celui de mes sœurs ainsi que de ma mère. Moi-même je me suis bien régalé de ces deux humains issus de la mafia locale qui trainaient dans une sombre ruelle de la Toussaint, après m’être fait pénétrer comme une grosse salope. Je repense à leurs bites enfoncer profondément dans mon cul et ma moule, tout en sentant leurs semences inonder mes parties intimes, Mhuuum, je mouille ma culotte rien qu’en y pensant. Quelle vilaine pute je suis, huhuhu.

Mais aujourd’hui il fallait que je règle une affaire de disparition causée par ma chère petite sœur, Scourge. Je lâchai un soupir d’agacement dès que mes pupilles fixèrent le nom du porter disparue. Takeaki Inosuka. Je lui avais pourtant dit de ne pas toucher aux élèves et lui avait conseillé les clochards. Meuh non ! Mademoiselle n’écoutait rien et n’en faisait qu’à sa tête. C’est donc moi qui vais devoir m’arranger pour la sortir de ce guêpier, mais tout d’abord il fallait s’occuper de cette affaire.........

À travers une vitre devant moi je fis signe de la main à un homme obèse et au visage joufflus de venir. Le fonctionnaire se présenta devant moi.

-   Oui mademoiselle ?
-   Oui, pourriez-vous me faire venir l’inspecteur Nathan ? Dites-lui que je souhaite le voir dans mon bureau.
-   Bien madame, je vais lui faire part de votre demande.

L’agent Nathan n’est pas réputé pour ses brillantes compétences en matière d’enquête, considérer comme un inspecteur de seconde zone auprès de ses collègues de travail. Je l’ai même souvent aperçut en train de prendre des médicaments contre la dépression et le stress. En dehors des investigations je l’envoyer faire le sale boulot, consistant simplement à rafler des PV et eux petites altercations. Bien que je ne le connaisse pas trop, il représentait le type idéal à coller pour cette enquête de disparition, plutôt que de sélectionner un enquêteur professionnel. Ça valait mieux pour mes grosses pommes.

Ma porte d’entrée s’ouvrit et l’agent Nathan se présenta devant moi. Comme je mis attender, il n’avait pas très bonne mine. Comme s’il venait de chopper une maladie assez virulente. N’importe quel commissaire qui aurait vu leur inspecteur se présenter avec une dégaine aussi sobre qu’un alcoolique aurait viré ladite personne comme un malpropre. Sauf que moi je n’étais pas une commissaire ordinaire et encore moins comme les autres. Je me montrais beaucoup plus clémente envers lui, mais je tâchais de ne pas en faire trop pour éviter tout soupçon de mes supérieurs. Tenant un dossier entre mes mains délicates, je pose donc le dossier sur le bureau que je glisse du côté de Nathan pour connaître les détails de l’affaire.

-   Je ne vais pas vous mentir en vous disant que vos talents d’enquêteur sont loin d’être flambants, pour ne pas dire déplorable ! Néanmoins, vous faites de votre mieux pour vous montrer à la hauteur de votre tâche si ardue soit –elle et ça, c’est ce que j’aime chez les inspecteurs de votre trempe. C’est pourquoi je vais vous confier une nouvelle affaire que je viens tout juste de recevoir de ma hiérarchie.

Je glissai le dossier vers Nathan afin qu’il jette un bref coup d’œil sur le résumé sur la disparition de l’élève de Seikusu.

-   Tous les détails de l’affaire sont réunis dans ce dossier. La victime faisait partie de ce lot d’élève prépubère qui achète secrètement des produits de consommations réserver exclusivement aux personnes adultes. On aurait retrouvé chez lui des magazines pornos, des produits stimulant les organes génitaux et autres produits estampillés « Yoshikawa’s Zaibatsu ». Impossible d’établir des certitudes exactes si ces produits sont la cause de sa disparition ou non, néanmoins cette multinationale a certainement quelque chose dans cette histoire. Votre mission consistera à enquêter au lycée de Takeaki Inosuka pour questionner les amis de la victime. Vous avez 48 heures pour me faire un compte rendu ! Des questions ? Non ? Dans ce cas vous pouvez disposer !

Comme toujours, je parlais toujours avec une voix chaude et autoritaire. Un mélange harmonieux qui faisait tout son mon charme. J’ai l’œil vif pour remarquer la belle protubérance qui se formait sur l’entrejambe de mes sous-fifres qui m’écouter. Qu’est-ce que c’était bon de charmer mes jouets, de les voir bander sous mes yeux. Je devais me faire violence pour ne pas succomber à cette envie de leur tailler des pipes bien juteuses et de me faire enculer en plein travaille. Alors là je risquerais d’être très mal vu par ma hiérarchie !
Alors que Nathan prit le dossier avant de quitter mon bureau, je saisis le téléphone et composa le numéro du portable de ma p’tite sœur, histoire de la mettre au courant pour l’inspecteur…….



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Tashigi Asegawa
Jeudi 16 octobre 2012, 17h50
Lycée de Seikusu, Japon



-   Oui allô !.......meuh soeureeette, je……uugghh bon d’accoord, je tacherais de faire plus gaffe la prochaine fois et……..oui…….okay frangine, merci d’m’avoir prévenue ! Répliquai-je avant d’éteindre mon portable et le ranger dans mon sac d’un geste nonchalant. Affichant une moue boudeuse puérile.

« Modérer mon appétit  » elle était drôle celle-là ! Cela faisait déjà 1 mois que je ne m’étais pas tapé un joli « plan cul » avec un mec bien monté comme un âne. Surtout que mère ainsi que mes sœurs cadettes gardaient les meilleures proies pour elles. Et ça, ce n’est pas JUSTE ! Moi aussi je voulais me faire pénétrer le minou par une verge bien grosse et bien juteuse. Je ne me suis donc pas privé de ce plaisir en sélectionnant l’un des accros aux produits érotiques de ma mère. Takeaki. Ce dernier misait beaucoup d’argent pour avoir un pénis de cheval au sens figuré du mot et faut croire qu’il n’y soit pas allé mollo. En même pas une semaine, une sacrée bosse s’était formée au niveau de son entrejambe, parfaitement visible à travers son pantalon. Comme pour une entreprise agroalimentaire, j’engraisser la clientèle de maman avec des produits de maman afin d’accroitre la qualité de leurs semences laiteux et blanchâtre, jusqu'à ce qu’il soit prêt à être traire comme des vaches. Des vaches a laits, du bétail, voilà ce que moi ainsi que mes sœurs et ma mère voyait en l’humanité.
      
C’est en quelque sorte ce rôle d’éleveuse d’humains que ma mère m’avait confié, surtout que ma beauté physique et le charme qui en découlait m’aider grandement dans ma tâche lucrative. Je n’étais pas une super bombe anatomique comme ma mère, mais pour l’âge qu’avait mon hôte, les critères physiques que je lui ai octroyés pouvaient rivaliser face aux tops modèles mondiaux. Oooh détrompé vous. Mère n’est pas assez folle pour supprimer toute sa clientèle, cela ne serait pas rentable et lucratif pour l’entreprise familiale. Seulement voilà, je n’ai pas pu résister à cette envie irrésistible baiser comme une truie si bien que mon pauuuvre petit partenaire n’a pas pu tenir une heure à faire craccrac. Au moins il est mort dans la luxure la plus totale, c’est déjà cela. Et pour me débarrasser du cadavre, quoi de mieux que d’en faire mon plat de résistance ? Il n’y avait pas meilleure cachette que mon estomac.

A présent, sa carcasse était complètement dissoute dans mon organisme.

Mais alors que je quittais ma dernière heure de cours d’anglais pour rentrer chez moi en traversant les couloirs, avec une démarche sensuelle et provocante faisant virevolter ma minijupe d’écolière, il a fallu qu’un pion se mette en travers de mon chemin. Bof ! Derrière mon air faussement confus, tète pencher sur le côté, je n’étais pas surprise de son arriver.

-   Ah, te voilà ! Justement j’étais en train de te chercher. Il y a un flic qui veut te voir.
-   Moi ? Pourquoi ?
-   Ne me dis pas pourquoi je n’en sais rien du tout et je me fiche éperdument de c’qu’il te veut.

J’ai donc suivie le surveillant qui me conduisit à l’autre bout du bahut, précisément la salle de chimie. Pénétrant dans la classe en poussant la porte, un individu se tenait au milieu de la salle qui n’était d’autres que le flic en question. Bon ben niveau dégaine il ne reflétait pas du tout l’image soignée du flic en uniforme. Mes prunelles fixèrent l’insigne sur sa veste dégagé qui me donna une idée à qui j’avais à faire : un inspecteur.

-   Bonsoir !

Ce simple mot était suffisamment pour débuter les présentations. Inutile de gaspiller sa salive dans des phrases inutiles. Je m’approchai de lui jusqu'à être à un mètre de lui puis d’un mouvement détendu je posai mon sac sur le pupitre sur sa gauche avant de tourner mon regard d’amande sur ceux du représentant de la justice.

-   Vous vouliez me voir ? Demandais-je tout simplement avec un ton plat et neutre.
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Nathan Joyce le dimanche 02 décembre 2012, 14:09:23
Tandis qu’il attendait, Nathan, assis, se laissa aller à quelques rêveries solitaires. Curieusement, ses pensées revinrent bien vite sur le commissaire, Faye. Il y avait quelque chose de particulier chez cette femme, de troublant... Et ce n’était pas lié qu’à son corps de mannequine, à ses robes moulantes serrées, à ses longues jambes de déesse africaine qui se croisaient nonchalamment, ou à sa poitrine superbe... Il avait eu une érection face à elle, mais avait eu bien du mal à en trouver les raisons. Elles n’étaient pas que sexuelles. Il y avait autre chose derrière ça. Mais quoi ? Comment l’expliquer ? Nathan soupira, se passant la tête entre les mains, grognant à moitié. Cette femme était un mystère à part entier, et il ressemblait à un cadavre sur pattes. Les effets de l’alcool, les effets d’insomnies chroniques. A chaque fois qu’il essayait de dormir, ses cauchemars, récurrents, revenaient l’agresser, raccourcir ses nuits drastiquement. Il se passa une main sur le front, continuant à réfléchir.

*Il y a quelque chose de curieux dans cette histoire...*

Quand on était un policier, il n’y avait pas que les preuves matérielles, les témoignages, sur lesquelles il fallait se reposer. La force du flic, c’était son nez, son flair, son instinct. A force d’enfiler les enquêtes, les procès-verbaux, les affaires, on finissait par développer une espèce de sixième sens. Et Nathan avait une bonne expérience au sein de la police. Ce sixième sens était en lui, et lui disait que cette affaire puait. La disparition de ce gosse dissimulait quelque chose, un truc qui terrifiait les mômes. Un pédophile ? Possible. Ce serait le scénario classique, digne d’un roman pour adolescents. Un professeur pédophile qui terrorise ses élèves, et les enferme dans sa cave pour les torturer. Rien de surprenant, quand on connaissait la réputation du lycée Mishima.

Nathan évaluait dans sa tête toutes les possibilités, quand on frappa à la porte. Il sortit immédiatement de ses pensées, et vit une belle petite adolescente débarquer. Il regarda brièvement ses fiches. C’était bien elle : Tashigi Asegawa. Son sailor fuku lui allait plutôt bien, et elle arborait une longue chevelure rousse. Plutôt mignonne. Elle se rapprocha de Nathan, qui lui fit signe de s’asseoir. Vive et énergique, elle alla droit au but. Curieux. Généralement, les adolescents, filles ou garçons, étaient plutôt nerveux devant un policier, surtout devant un lycée si respectable. Mais pas elle. Elle s’avança en conquérante, et prit même la parole. Traite-moi comme ton égal, car c’est ce que je suis, semblait-elle vouloir dire.

« Vous vouliez me voir ? »

Elle posa cette question sans aucun accent de nervosité, sans aucune fioriture, avec le ton froid et professionnel qu’un médecin pouvait adopter quand il vous annonçait un rendez-vous. Nathan, légèrement surpris, se reprit rapidement.

« Je voulais te poser quelques questions au sujet de Takeaki... Si ça ne te pose aucun problème... »

Elle n’avait pas l’air particulièrement affecté.

« On m’a dit que tu avais bien fréquenté Takaki, et je cherche à comprendre qui l’a kidnappé, et pourquoi. Je me disais que tu saurais peut-être des choses... Sur ses autres amis, sa famille, ses fréquentations... »

Encore une fois, Nathan avait la désagréable impression que quelque chose sonnait faux avec cette fille. Il était perturbé, et essayait de ne pas le montrer, mais les intonations de sa voix témoignaient de sa curiosité. C’était... Et bien, c’était comme avec Faye. Une espèce d’attirance, de fascination étrange, inexplicable, qui s’exprimait par une attirance sexuelle. Il la regarda sans trop comprendre pourquoi elle l’attirait autant, mais eut les mêmes flashes qu’avec la commissaire. Des désirs sexuels qui firent naître une érection.

*Bordel, Nathan ! C’est quoi cette merde ?!*

D’où venait cette attirance ? Elle n’était pas que sexuelle, il le sentait, mais n’arrivait pas à se l’expliquer. De plus, il avait l’impression que cette femme mentait. C’était curieux, car elle n’avait encore rien dit, mais il savait à l’avance qu’elle mentait, et n’était pas honnête. Pourquoi ? Qu’est-ce qui l’amenait à croire ça ? C’était son instinct, mais il n’avait aucune raison logique de le penser. Son trouble était persistant, et il regardait avec une fascination de plus en plus prononcée le visage de cette dernière, ses lèvres, ses joues, son cou, son nez... C’était troublant, et particulièrement irritant.
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Venomess le dimanche 02 décembre 2012, 22:34:34
Dès qu’il me fit signe de m’assoir, je me suis installé sur la chaise la plus proche, sans afficher des signes de nervosité sur mon minois. Il faut bien l’avouer que cela peut paraître étonnant pour un flic de croiser une petite adolescente aussi calme et détendue fasse à un représentant de la loi. D’habitude, très peu d’élèves discutaient avec un flic sans trahir son sang-froid par une intonation nerveuse ou stresser dans leurs tons. Mon secret ? Ni plus ni moins qu’une confiance aveugle en soi couplée à une foi inébranlable en la protection policière de Sultry, telles sont les deux piliers de mon optimisme grandissant. C’est toujours comme ça lorsque je suis convoqué par la directrice ou encore par mes professeurs. Je ne parle même pas du nombre incalculable d’altercations subites et accumuler a Seikusu pour diverses raisons qu’on me reprochait : disparitions, meurtre, trafic de stimulant aux effets obscurs et bien autres qui fusent. Les accusations pleuvent tellement qu’elles ne se comptent même plus, tant elles sont ramassées à la pelle. C’en est devenu une habitude, alors ce n’est pas un petit inspecteur qui risque de me stresser.

-   Pas du tout monsieur, cela ne me pose pas problème. Disais-je avec un ton légèrement plus chaleureux, tout en conservant son air perplexe, une main plaquée sur l’une de ses cuisses fuselée tout en s’amusant à enrouler une de ses mèches avec l’index de sa main libre.

L’inspecteur ouvrit l’interrogatoire en me demandant si je connaissais quelqu’un qui aurait enlevé Inozuka, ainsi que des informations sur ses proches et ses fréquentations. Rien de bien surprenant me diriez-vous, sauf que je me trouvais dans une situation plus ou moins tendue. Si je trainais régulièrement avec la victime, c’est tout simplement parce qu’il venait sans cesse à moi. J’étais un véritable aimant et lui un bout de métal. C’est d’ailleurs pour ça que la plupart des élèves me voyaient souvent avec lui. En réalité, ce n’était rien de plus qu’un pion que je manipulais aisément avec mes atouts physiques couplés à mon charme phéromones, et non à un ami.

Attentive aux dires de l’inspecteur, je posai l’index de ma main libre contre mon menton, penchant ma tête vers le bas pour prendre un moment de réflexion. Aie, qu’est-ce que j’allais bien pouvoir dire ? Bien que je fréquenter souvent Takeaki, je ne connaissais pas trop ses parents puisque j’allais rarement chez lui. Pour quelqu’un comme moi qui est vue comme une amie du portée disparue, connaître très peu les parents du garçon risque d’être fatale risque de me mettre dans la liste des suspects. Quoique……il est même probable que je le sois déjà. Quant aux restes, il n’y avait aucun bémol là-dessus, il faut juste que je me débrouille pour adapter le peu que je sais sur les parents de mon pseudo-ami avec le reste. Je pestais intérieurement pour n’avoir pas pensé à mieux faire connaissance avec ses parents. D’autant plus que je n’étais pas une excellente menteuse comme maman, mais je connaissais deux voire trois p »tit trucs qu’elle m’a apprise : mélanger le vrai au faux. Ouais, c’est pas mal ça !

-   Pour être franche avec vous je n’en sais pas plus que vous sur qui pouvait bien vouloir enlever Takeaki ! C’est vrai quoi ! c’était un ami qui n’avait de compte à ne rendre à personne, il n’était pas chiant et en plus de cela je riais très souvent sur ses blagues. Bon d’un côté ce n’était pas un saint dépourvu d’aucun défaut. Je sais juste qu’il était devenu accro à ces produits que la plupart des élèves se payent en cachètent. Vous savez……Ses produits anabolisants qui stimulent les parties génitales ? Je ne sais pas si vous en avez entendu parler. Je ne sais pas quel genre de produit c’est, mais ce dont je suis sur……c’est que ce n’est pas de la drogue licite ou illicite qu’on trouve chez le dealeur du coin. Répliquais-je en accompagnant mes paroles par des gestes.

Je laissai un moment de silence pour déglutir ma salive, puis je  me suis redressai et je fixai de nouveau l’inspecteur avant de reprendre.

-   Pour ce que j’ai à dire sur ses parents, pas grand-chose ! J’ai rarement vu ses parents étant donné qu’ils terminent leurs journées de travail tard le soir. Je venais chez lui que pendant la journée et les seuls moments rares où j’ai pu croiser son père et sa mère, c’est uniquement pour récupérer quelque chose d’important qu’ils avaient oublié chez eux. Et encore, c’est lui qui me demandait d’aller le voir et non l’inverse. En ce concerne ses amis, c’était quelqu’un de particulièrement timide qui n’allait jamais vers les autres. S’il venait généralement à moi, c’est juste parce que je l’avais aidé en chassant une petite bande qui le chambrait parce qu’il avait l’habitude de zozoter. Mais……depuis qu’il a commencé à consommé ces produits bizarres, il venait me voir moins souvent, jusqu’à ne plus donner signe de vie. Il devenait injoignable sur son portable et chaque fois que je le croisais à l’école pour lui demandais la raison, il changeait toujours de sujet. Ajoutai-je avant de pousser un soupir morose, rivant son regard dans le vide. Je me demande si ce n’est pas un coup des Yakuza……..

Évidemment, ce n’était pas un, mais bien une dealeuse qui se chargeait de vendre sa marchandise. Moi. Jusqu’ici je me suis bien débrouillé à inventer mon histoire en y mêlant la vérité et le mensonge. C’est maman qui va être  fière de moi ! C’est à ce moment-là que mon ouïe assez sensible sentit le rythme cardiaque de l’inspecteur accélérer subitement. De la peur ?! Non, car sans détourner mon regard je remarquai une belle bosse qui se forma au niveau de son entrejambe, grâce à ma champ visuel supérieur à un humain. C’est bien ce que je pensais : le flicard avait la gaule, la grosse gaule même.  Visiblement, l’individu était victime de mes substances phéromonales qui s’échappaient des pores de mon épiderme. Tant mieux, cela va me permettre d’être plus convaincante ! Mais si elles présentent un avantage considérable, elles peuvent également être une gêne pas possible lorsqu’il s’agit de se montrer discrète auprès de la gent masculine. En effet, je suis incapable de refermer volontairement mes pores, comme c’est le cas pour Sultry et Lust. Seuls Venomess et Envy en étaient capables. Quoi qu’il en soit, vaut mieux que je me tienne à carreau en évitant de poser mes prunelles sur sa verge qui, je dois bien l’avouer, me donnait l’eau à la bouche.
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Nathan Joyce le mercredi 05 décembre 2012, 00:12:08
Tout sonnait faux dans cette pièce. A commencer par son érection. Tashigi était jolie, oui, plutôt mignonne pour son âge, mais Nathan avait été marié. Il ne donnait pas vraiment dans les plaisirs pédophiles, ou pédérastiques. D’où venait donc la fascination qu’il éprouvait pour cette fille ? Cette envie, ce désir, cette fascination ? Il n’y comprenait rien. L’alcool pouvait provoquer bien des effets, mais il n’avait encore jamais ressenti ça... Il y avait quelque chose de curieux, d’inexplicable, et Nathan en vint à se demander si ce n’était pas lié au pensionnaire qui se tenait dans ce corps, ce monstre qui avait sa volonté propre, et qui pouvait parfois se révéler surprenant.

*Mais pourquoi donc ressentirait-il du désir pour cette fille ?*

Tout ça n’avait pas de sens, et Nathan avait bien du mal à se concentrer. Il savait que Tashigi lui mentait. Elle parlait rapidement, lançant un petit scénario qui était bien trop élaboré pour être crédible. Lors des interrogatoires, Nathan savait que, quand un témoin était trop convaincant, c’était à coup sûr qu’il mentait, et récitait un scénario, un mensonge qu’il avait inventé à l’avance, et qu’il ressortait tel quel. Tashigi lui apprit néanmoins plusieurs choses intéressantes. L’adolescent prenait des produits anabolisants, probablement des stéroïdes, afin de renforcer la taille de son sexe. Était-il complexé ? Tashigi affirma ne pas savoir de quoi il s’agissait, tout en indiquant que ce n’était pas le genre de produits qu’on trouvait à la supérette du coin. C’était une forme de manière détournée d’avouer qu’elle savait de quoi il s’agissait. Elle avait encore des progrès à faire pour le leurrer. Nathan prit rapidement quelques notes, des mots rapides, afin de guider son enquête : se renseigner sur les anabolisants, ainsi que sur le fait qu’il semblait être une tête-à-claques.

Tashigi affirma l’avoir protégé d’une bande, ce qui surprit un peu Nathan. La jeune femme ne payait pas de mine, et il la voyait mal se heurter à des caïds ou à des petites frappes. Il n’y avait que dans les films pour enfants que les hommes écoutaient sagement l’avis des femmes... Surtout au Japon. Si des hommes avaient voulu corriger Takeaki, ce n’était pas Tashigi qui les aurait repoussé, à moins de les frapper. Ceci dit, vu son petit corps fin et svelte, il imaginait mal cette dernière se battre contre une bande. En somme, elle lui mentait délibérément, masquant la réalité. Il soupira lentement, laissant un court silence s’écouler. Son membre lui faisait toujours aussi mal, et il avait une envie de plus en plus pressante de le tenir, de le presser.

« Très bien... », lâcha-t-il.

Il avait plein de questions à lui poser, mais n’était pas en état de le faire.

« Je... Je te remercie pour ton aide. Je vais enquêter là-dessus, et retrouver Takeaki. Tu peux y aller. Merci encore. »

Ça n’allait pas bien du tout. Il aurait du la cuisiner, profiter de leur confrontation pour l’interroger, en savoir plus sur elle, sur ce qu’elle lui cachait, mais il était excité. Bien trop excité pour réfléchir consciemment, et chaque minute de plus passée avec elle lui donnait envie de lui sauter dessus, et de la baiser contre le tableau. Ses mains en tremblaient nerveusement, et il n’arrivait plus à penser consciemment.
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Venomess le jeudi 06 décembre 2012, 18:28:32
Quoi, l’interrogatoire était déjà terminé !? Pas d’autres questions, d’interpellations ou encore de pratique interrogatoire intimidant quelconque pour me faire cracher le morceau ? Il bâcla l’interrogatoire en me donnant la permission de quitter la classe. Je n’arrivais pas y croire, c’est pratiquement l’interrogatoire le plus court que j’ai eu tout le long de mon existence. Je devais bien admettre que Sultry marquait un sacré point de son côté : cet inspecteur était une vraie bite. J’ai donc hochai ma tête en signe d’approbation avant de me lever, prendre mon sac et je m’en allai en refermant la porte derrière moi. Un sourire arrogant se dessina sur mes douces lèvres, finalement il ne valait pas mieux que les autres inspecteurs, alors pas de quoi s’inquiéter. Mes chaussures claquèrent en direction de la sortie du bahut, tandis que je me fondai parmi les élèves rejoignant chacun leurs domiciles. L’inconvénient d’avoir des sens surdéveloppés, c’est qu’on à toute nos chances de subir une grosse migraine suite au viol auditif du brouhaha de mes camarades. Mes lèvres crispèrent tandis que mes yeux plissèrent, marchant d’un pas effréné pour soulager mes pauvres tympans. Ça me donnait autant d’effet que d’avoir passé une journée entière à côté d’un réacteur d’un A380.

Un quart d’heure plus tard, la migraine disparait et je reprends une marche plus sereine dans Seikusu. Le ciel était éclairé par un beau coucher de soleil, signe qu’il allait faire nuit dans très peu de temps. Un instant magique et romantique idéal pour un couple d’amoureux, mais pas pour moi. Non ! Moi mon instant magique c’est le sexe pur et dur, sur toutes les coutures et les positions. Le romantisme c’est bon pour les petits joueurs et joueuses coincés du cul. D’ailleurs en parlant ce ça, je passe tout juste à côté d’un couple de lycéens en train de converser sur leurs centres d’intérêt personnel, sur un banc public. Le grand classique quoi. C’est là qu’un étudiant possédant la même tranche d’âge que moi, ou plutôt de mon apparence féminine, courra vers moi tout en faisant signe de sa présence. Criant « Tashigi-chan ! ». C’était Toji, un élève de ma classe qui était aussi l’un des nouveaux consommateurs des produits de ma mère. Je soupirai profondément, le tout avec un air d’agacement, depuis que je lui ai fait découvrir les bienfaits enivrants de mes marchandises depuis déjà 2 semaines, celui-ci était devenu un véritable pot de colle, un boulet sur patte. Aujourd’hui il voulait sa dose, sauf que j’étais en rupture de stock en ce moment. Sans m’arrêter, je me tournai vers lui. Mon interlocuteur m’imita.

-   Si c’est encore pour m’réclamer des pilules « Stormtonic » tu peux déjà rebrousser chemin. Je te l’ai déjà dit ce matin que je n’ai plus de produits sur moi. Alors, sois patient comme tout le monde et attend la fin de ce week-end et je pourrais te vendre ce que tu désires.
-   Oui je sais, Tashigi-chan, mais ce n’est pas pour ça que je suis venu te voir.
-   Alors c’est quoi ?
-   Et bein…….ça te brancherait si je t’invitais dans un restaurant ? Pour être honnête, tu es vraiment trop canon et ça,  je l’ai su dès que je t’ai vu.

M’inviter dans un restau ? oooh que c’est meugnon, le seul problème c’est que c’est l’endroit idéal pour me taper un ennuie total avec une causette pour seule occupation. De toute façon il n’était pas mon genre de mec, tant sur le plan physique que morale. À mes yeux il ne valait pas mieux qu’un puceau prépubère, mais peut-être qu’il  pouvait se montrer utile en jouant le dealeur cité lors de l’interrogatoire de l’inspecteur. Cela apporterai de la véracité dans ma fausse histoire. 

Je lui pris la main et l’invita à s’enfoncer dans une ruelle adjacente entre deux immeubles avec moi. Toji obéit sans hésiter, pensant que c’était son jour de chance pour conquérir mon cœur. Une fois sur place je me plaque contre lui, poitrine appuyée contre son torse, mon entrejambe collé contre la sienne ainsi que l’index de ma main droite poser entre ses lèvres. La température corporelle de Toji grimpa en flèche tandis que sa verge entra en érection. Je pouvais déjà sentir le bout de son gland pointer l’entrée de mes lèvres intimes. Une personne exposée à mes phéromones de si près était influencée plus efficacement.

-    C’est adorable de me le dire ! J’accepterai volontiers à t’ouvrir mon cœur si tu me rendais un service trèèèès important.  Tu veux ? ♥
-   Oooh oui Tashigi-chan, je ferais tout ce que tu me demanderas ! Dis-moi ce que je dois faire et je le ferais sans la moindre hésitation ! ♥

Une expression mi- coquine et mi- envoutante se dessina lentement sur mon visage. Comme toujours, les effets de mon charme restent toujours aussi redoutables. Je sentai son cœur battre la chamane et l’érection de sa bite plus intense. J’agrippai ses épaules et me souleva hors du sol par la seule force de mes bras, sans que Toji y soit concentré, pour m’approcher de son oreille gauche et lui susurrer :

-   Il y a un inspecteur qui vient tout juste d’arriver au Lycée. Je veux que tu prennes le rôle du dealeur qui vend les marchandises que tu aimes prendre pendant un certain temps. Cinq jours exactement. Si cet inspecteur te coince, tu lui avoues que c’est bien toi qui deal les produits que je vais te confier. Tu ne dois en aucun cas me dénoncer et si tu mènes a bien ta mission. Disais-je avant de déplacer ma main droite et l’enfoncer délicatement dans le pantalon de Toji, empoignai son engin et l’astiquer avec une dextérité et une finesse hors du commun. Je te garantis que nous passerons une nuit bien chauuuude, rien que toi et moi. En es-tu capable ? ♥
-   Oui Tashigi chaaan ! Je ferais tout pour mener à bien votre volonté ! ♥

Sur sa dernière parole, le jeune garçon éjacula dans son caleçon, affichant une joie béante et jubilante a tel point qu’il se contrefichait éperdument de s'être faire dessus. Je retirai ma main pour lécher sensuellement le doux nectar pâteux et blanchâtre qui l’avait souillé.

-   Cool, dans ce cas suis moi. Je vais te donner ma marchandise qui doit être prête à l’heure qu’il est.

Tel un chien docile et obéissant, il me suivit sans la moindre hésitation vers mon domicile fixe en taxi: La Yoshikawa’s saibatsu. Arriver à destination, nous empruntâmes une sortie de secours derrière le siège social haut de cinquante étages, avec le « must » en matière de sécurité. Jusqu’ici, personne ne nous avaient suivies. Je traversai de longs couloirs, ressemblant plus à un labyrinthe intérieur qu’autre chose, pendant 10 minutes avant d’atteindre une porte blindée. Tapant rapidement une série de code, un déclic se produisit et la porte coulissa, révélant une immense pièce auquel sont entreposées des cargaisons imposantes de produits dopants. J’ordonnai à Toji de m’attendre et celui-ci exécuta l’ordre. J’entre dans le petit entrepôt, je saisis un sac plastique parmi d’autres sur un support calé près de l’entrée puis j’ouvris une caisse contenant des boites et des flacons divers et varier. C’est ici où je me ravitaillais dès que je vendais toutes les marchandises de mère.

Ceci fait j’enferme le sachet dans le sac de Toji et je le raccompagne vers la sortie de secours, lui demandant de retourner chez lui au plus vite, car le manteau de nuit s’étendait à présent dans le ciel étoilé.
 
-   À présent, retourne chez toi. Et surtout, ne dis à personne de notre accord, y compris de l’endroit où je t’ai emmené. D’accord ?
-   C’est comme si c’était déjà fait, Tashigi chan ♥

Je rendis le salut de mon esclave avant de faire mon rapport à mère. D’ici demain, ma marionnette de paille se fera arrêter à ma place et l’affaire sera close. Si cela arrive, je me chargerais d’offrir à Toji le plus beau moment de sa vie, ainsi que le dernier…………
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Nathan Joyce le vendredi 07 décembre 2012, 23:08:25
C’était l’interrogatoire le plus mauvais qu’il ait jamais passé. A tel point qu’il s’en serait fouetté, s’il l’avait pu par lui-même. La femme s’en alla rapidement, et, une fois qu’elle fut partie, il entreprit de se soulager. Grognant et éructant, l’inspecteur posa sa main sur sa virilité, la pressant, se masturbant rapidement. Il ferma les yeux, et se sentit traversé de vertiges curieux, où il se voyait... Dans un autre endroit... Avec d’autres pulsions, d’autres envies. Il grognait, éructait comme une bête sauvage, dans une espède de grotte noire aux parois visqueuses, et avait l’érection du siècle. Il en avait mal à force de jouir çà répétition, et voyait des formes grotesques, glissantes, cauchemardesques, s’approcher de lui, le prendre. C’était une partouze géante, curieuse, difforme, aux visages sordides et grimaçants. Quelle était cette vision d’horreur ? Cette vision que cette lycéenne lui inspirait ? Nathan soupirait, comprimant son sexe, et ne tarda pas à jouir. Son sperme éclata contre le bureau dans un soupir, et Nathan rouvrit les yeux... Avant d’avoir un sursaut d’horreur en voyant son bras droit, celui qui avait tenu son sexe fièrement dressé au garde-à-vous... Il était recouvert d’une grosse membrane noire visqueuse avec des reflets dorés, et avec des doigts griffus qui avaient meurtri son sexe.

« BORDEL ! »

Surpris, Nathan tomba à la renverse, basculant sur sa chaise, et roula sur le sol. Surpris, il regarda son bras, et vit que ce dernier reprenait forme normale, tandis que les ecchymoses et contusions sur son sexe se soignaient rapidement. Nathan secoua la tête, extrêmement perturbé. Qu’est-ce qui venait de se passer ? A quoi diable avait-il assisté ? Une espèce de transe euphorique... Comme si la créature en lui essayait de prendre le contrôle. Il redressa la chaise, réalisant qu’il était en sueur, et entendit des bruits de pas. Se dépêchant, il reboutonna son pantalon. Son sperme était contre le bureau, sur une face opposée à la porte. Le surveillant entra.

« Qu’est-ce qui vient de se passer ? »

Il avait du entendre Nathan tomber.

« Rien, rien... répondit précipitamment ce dernier. Une mauvaise chute.
 -  Oh... »

Nathan ramassa ses notes. De Tashigi, il n’avait quasiment rien eu, si ce n’est des informations sur des anabolisants. Il contempla le surveillant. Ce dernier était un étudiant à l’université, qui faisait ce boulot pour payer ses études, travaillant à mi-temps. Nathan hésita brièvement.

« Vous... Vous avez terminé ?
 -  Pour les interrogatoires, oui... Dites-moi... Est-ce que vous avez déjà saisi des stupéfiants chez les élèves ? »

Surpris par cette question, le surveillant cligna des yeux à plusieurs reprises, et haussa les épaules :

« Ben... On a pas le droit de fouiller les casiers, vous savez... Mais on tombe parfois sur des sachets dans les poches, les sacs à dos, et même dans les trousses. »

Nathan hocha la tête.

« Est-ce que vous avez trouvé des... Des anabolisants ?
 -  Pardon ? s’exclama le surveillant, incrédule.
 -  D’après ce que les élèves m’ont dit, Takeaki prenait… Des anabolisants. Vous savez que leur usage est extrêmement réglementé, et que les mineurs n’ont pas le droit d’en prendre.
 -  Vous pensez que ça aurait un lien avec... ? »

L’homme était nerveux, et son regard fuyant. Inconsciemment, il s’était rapproché de la porte. L’instinct du flic, le prédateur, le justicier, revenait en Nathan. Ce pion allait payer pour son incompétence face à la fille. Il savait des choses, et Nathan n’avait plus la patience d’attendre patiemment qu’on daigne faire preuve de bonne volonté envers lui. Le respect de la justice, parfois, imposait de contourner les règles de bienséance.

« C’est moi qui pose les questions. Il y a un trafic d’anabolisants dans ce lycée, et quelque chose me dit que vous en savez plus sur la question que vous ne sauriez l’admettre.
 -  M’accuseriez-vous ? Enfin, c’est insensé, je... »

Nathan s’avança vers lui, agressif, nerveux.

« Est-ce que c’est lié à cette fille ?
 -  Je... »

Nathan se rapprocha de lui, et le poussa contre le mur, l’empoignant par le col.

« Mais vous êtes fou, arrêtez ça !
 -  Quelque chose me dit que, si je fouillais ton casier et tes affaires personnelles, j’y trouverais des objets qui n’ont rien à faire là... »

Le ton de Nathan était menaçant, mais il n’y avait que dans les films que ça marchait.

« Vous n’avez pas le droit ! Il vous faut une autorisation pour ça ! Lâchez-moi, espèce de psychopathe ! »

L’étudiant se démenait. La trouille se lisait dans ses yeux. Nathan fut bien tenté d’insister, mais le relâcha.

« C’est parce que t’arrives plus à niquer, hein ?
 -  Mais de quoi...
 -  Tu rêves de la faire grimper aux rideaux, ta grosse, mais elle se fait chier au lit avec toi...
 -  Je vous...
 -  Non… Je pense pas que tu shootes, t’en as pas les caractéristiques. Un camé m’aurait déjà attaqué. Tu dois avoir ta petite part dans l’affaire.
 -  C’est de la diffamation, je...
 -  Tu ne feras rien du tout, connard. Tu vas rentrer chez toi, et réfléchir au sens de ta vie. Quand je reviendrais te parler, tu seras beaucoup plus coopératif. Maintenant, casse-toi. »

Le surveillant avait raison. Nathan n’avait aucune preuve, rien d’autre que des soupçons. Fort heureusement, il n’y avait pas de caméra ici, et il ne l’avait pas touché. Si le surveillant portait plainte, Nathan contre-attaquerait en disant que ce gars mentait, et n’était pas net. Avec un peu de chance, ça lui donnerait même l’autorisation de fouiller ses biens. Le surveillant s’écarta, et Nathan regroupa ses affaires, puis entreprit de faire le flic.

Il sortit de la salle, et composa le numéro de l’un des inspecteurs s’occupant de l’affaire. Ce dernier avait interrogé les parents de Takeami, et put rapidement lui fournir quelques informations précises. Takeami était de plus en plus agressif depuis quelques semaines. Rien de bien choquant, mais, dans la mesure où il était un lycéen plutôt calme et renfermé, ses crises de colère avaient un peu surpris ses parents.

« Il se serait même battu, affirma son collègue. Une histoire de filles, probablement... »

Nathan hocha la tête, se mordillant la langue.

« Tu as pu te procurer des examens médicaux ?
 -  Des examens médicaux ? Le dernier qu’il a fait remontait à plusieurs mois pour une histoire de toux, ou une connerie de ce style... »

Nathan étouffa un juron. Impossible d’avoir la certitude médicale qu’il se dopait. Les anabolisants entraînaient des effets secondaires variés, dépendant des gens qui les utilisaient, mais aussi des produits en eux-mêmes. De manière générale, certains spécialistes considéraient que les stéroïdes pouvaient accroître l’agressivité de ceux qui en prenaient. Aux Etats-Unis, on appelait ça roid rage. Nathan remercia l’homme, lui demandant ensuite si on avait trouvé des anabolisants en fouillant le casier de Takeami, ainsi que sa chambre.

« Des stéroïdes ? s’étonna l’homme. Non… Rien de tout ça. Il y avait les conneries habituelles des gosses. »

Hochant la tête, Nathan lui demanda l’adresse de la maison de Takeami, et s’y rendit sur-le-champ. Il sonna, et tomba sur des parents effondrés. La mère avait les yeux rougis, et le père était clairement en train de faire une dépression. Nathan leur montra sa plaque, expliquant qu’il avait besoin de fouiller la chambre de Takeami. Bien que surpris, les parents acquiescèrent à sa demande, et Nathan, quelques instants plus tard, se retrouva à fouiller la chambre de Takeami. Le flic n’avait aucune piste sérieuse, aucun indice concret... Même en supposant que ce trafic de stéroïdes était établi, il était tout à fait possible que ce soit une fausse piste. Il savait néanmoins que les autres agents enquêtaient déjà sur un possible pervers de passage, un serial killer. Nathan s’occupait donc des pistes annexes.

La chambre de Takeami était en ordre, même après le passage des flics. Ses parents avaient du la mettre en place. Il vit une série de mangas sur une bibliothèque, des livres, des cahiers, des manuels, un ordinateur éteint... Et entendit le bruit d’une porte qui coulissait. Tournant rapidement la tête, il eut le temps d’apercevoir une petite fille en train de l’observer, avec une peluche dans l’une des mains. Cette dernière referma immédiatement la porte, et Nathan considéra cette dernière silencieusement. Sûrement la petite sœur de Takeami. Il en arriva rapidement à la conclusion, en fouillant la chambre, qu’il n’y avait pas de stéroïdes ici. C’était curieux... Très curieux. Takeami était décrit comme un jeune garçon introverti, plutôt timide. Or, s’il était tombé amoureux de cette fille, il aurait probablement du avoir des photos d’elle, des traces quelque part. Sans doute voulait-il cacher cette union qui bouleversait ses habitudes, en l’amenant à se doper pour satisfaire les pulsions de la belle...

*Si j’étais un garçon amoureux, où planquerais-je mes petites collections ?*

Sûrement pas sous le lit. Et il n’y avait pas de lattes en bois brisées ici, des caches dans le sol. Nathan redescendit voir les parents, et on l’autorisa à aller dans le grenier. Il était poussiéreux, et, comme tout grenier, rempli de bric-à-brac. Des jeux de sociétés, une raclette, une fondue, des matelas dans du plastique, des toiles d’araignées dans le coin, des conserves, des cartons... Il écarta un peu tout ça, et se mit à chercher pendant de nombreuses minutes. Il finit par trouver un petit coffret avec une serrure, et le remua, afin de savori ce qui se trouvait à l’intérieur. Rien de concluant... Il conserva le coffret avec lui, et descendit dans le salon.

« Vous savez à qui est ce coffre ? »

L’homme et la femme se regardèrent mutuellement, surpris.

« Je... C’est probablement Takeami qui l’a acheté, mais... Mais pourquoi ? »

Nathan le retourna, et vit une petite étiquette. C’était un coffre récent.

« Vous avez la clef ?
 -  Non... »

Nathan pesta. La serrure n’était pas terrible. Il sortit ses rossignols, et entreprit de la crocheter. L’expérience lui prit quelques minutes, mais il put ouvrir le coffre. Un sourire victorieux se dessina sur ses lèvres.

« Mais qu’est-ce que c’est que ça ? » s’exclama le père, surpris.

Il y avait plusieurs photos de Tashigi, confirmant que les deux avaient été très proches, une série de poèmes à l’eau-de-rose écrits par Takeami. Il y décrivait Tashigi comme « la flamme de sa vie », « le soleil illuminant sa morne vie », et toutes ces conneries habituelles. Plus on avançait dans les poèmes, plus Takeami était passionné. Ses parents, eux, semblaient complètement surpris. « Elle est le poumon qui fait battre mon cœur, et je suis son samouraï. Je me sacrifierais pour son regard d’ébène ».

« Mais qui est cette femme ? »

Nathan continua à écarter les papiers. Il y en avait toute une liasse, et il vit, enfin, des petits flacons, et en attrapa un. Il n’y avait pas d’étiquettes, mais il savait déjà de quoi il s’agissait. Les fameux stéroïdes.

« Mon fils ne nous a jamais parlé de cette fille... Qui est-elle ?
 -  Vous ne l’avez jamais vu ? »

Le père dut faire un effort de mémoire.

« Et bien... Takeami a beaucoup d’amies au lycée, mais...
 -  Oh oui, je me souviens ! Il... Il prétendait qu’il l’aidait à faire ses devoirs. »

Nathan lut l’un des poèmes : « Je lui ai offert le plus précieux de mes dons, et je suis Sienne. »

« Ses... Ses devoirs, vous dites ? »

Son ton était sceptique. Le père agit :

« Vous pensez qu’elle est liée à sa disparition ?
 -  Je ne peux pas en dire plus, Monsieur... je vais devoir emporter ce coffre et son contenu, ce sont des pièces à conviction... »

Son objectif était aussi de demander un prélèvement des empreintes de cette fiole. Avec un peu de chance, on aurait les empreintes du dealer. Nathan remercia la famille déboussolée, et appela le commissariat. Il avait des pièces à apporter au dossier, et des éléments à faire analyser. Dans la voiture, il attrapa à nouveau la fiole qu’il avait touché, et l’étudia plus attentivement. Sur le socle de cette dernière, il put voir le nom de l’entreprise qui avait fabriqué cette fiole, ainsi que les références. Il les nota sur un calepin, puis retourna au commissariat. Les fioles avaient été fabriquées par une entreprise japonaise qui avait ses usines délocalisées en Thaïlande. Il obtint rapidement un responsable, et lui indiqua les références de la fiole. Ce dernier effectua une recherche sur son ordinateur. Nathan avait eu de la chance. Il n’était pas tombé sur un petit cadre procédurier qui l’aurait ralentie n exigeant un mandat. De toute manière, ce genre de renseignement pouvait s’obtenir sans difficulté. Il ne s’agissait pas d’obtenir une information confidentielle, simplement le nom d’un cocontractant dans le cadre d’une vente d’objets.

« Je l’ai, inspecteur. »

La manière dont ce dernier disait « Inspecteur » laissait entendre un homme très respectueux de la police.

« Alors ?
 -  C’est l’un de nos plus gros clients. Je ne peux malheureusement pas, en raison de notre politique de confidentialité, vous divulguer les détails de ce contrat, sauf si vous...
 -  Je veux juste le nom de votre client, le coupa Nathan, agacé.
 -  Euh... Bien sûr… Il s’agit d’une personne morale, Yoshikawa’s Saibatsu. »

Nathan le remercia, et fit une rapide recherche sur Internet, qui lui permit de voir que Yoshikawa’s Saibatsu était une influente entreprise japonaise, spécialisée dans le sexe. C’était l’un des leaders du domaine. Une entreprise influente et puissante, qui vendait des stéroïdes. Rien d’illégal, en soi, leur vente n’était pas interdite, mais faisait simplement l’objet de règlementations strictes. L’entreprise pouvait aussi les vendre dans des pays où leur usage était libre. Nathan se redressa, quittant son bureau, et alla se payer un café. Il avait besoin d’en savoir plus sur cette entreprise, et considéra le bureau du commissaire.

*Elle pourra sûrement me dire s’il y a des enquêtes en cours...*

A l’idée de la revoir, il sentit un frisson la parcourir, et secoua la tête. Ce n’était pas le moment ! Il finit son café, et se rapprocha du bureau du commissaire Faye, et tapa à la porte. Il entra ensuite.

« Commissaire, je voulais vous voir, car j’aurais besoin de quelques renseignements... »

Il ménagea une courte pause, avant de poursuivre :

« L’évolution de mes investigations m’amène à penser que la disparition de Takeami pourrait être liée à un trafic d’anabolisants dans le lycée Mishima. Mes courtes recherches en la matière indiquent que ces stéroïdes pourraient venir d’une entreprise, Yoshikawa’s Saibatsu... J’aimerais savoir s’il n’y a pas des enquêtes actuellement en cours sur cette entreprise... Histoire de relier nos dossiers... »

Et, accessoirement, il voulait bien savoir quel effet ça ferait de se glisser entre les deux seins très attirants du commissaire, mais il choisit de rester professionnel.
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Venomess le dimanche 16 décembre 2012, 19:23:53
Farrah Faye

Vendredi 17 octobre 2012, 22h30
Commissariat de Seikusu, région du Japon.



-   Oui allô ?.....mhuum…….oui……..c’est du bon travail Scourge, je prend le relais. Concluai-je  avant de raccrocher mon téléphone fixe.

J’esquissai un sourire vicieux à la fin de ma phrase, car oui…..j’ai déjà une bonne idée en tête de ce que je vais faire.
Apparemment, l’inspecteur semblait plus nul que je ne l’aurais imaginé. 5 minutes, ce fut la durée de son interrogatoire communiqué par ma chère petite sœur. Est-ce les effets de ses médicaments responsables de ce bâclage cruel ou bien le résultat de son incompétence ? Peu importe la raison, ce qui compte c’est qu’il  avance à pas de tortue.

Toujours installer dans mon bureau, je grattai mon la paperasse en faisant danser mon stylo entre mes doigts fins, pourvu d’une dextérité rivalisant avec les meilleurs doigtés. Ma tête se reposa sur ma main, soutenue par mon coude posé sur le bord de mon bureau tandis que mon regard enjôleur sembla être ailleurs, perdu dans des images coït. L’une d’elle,  extrêmement sensuelle, me fait rougir tout en gonflant mes lèvres intimes, une sensation de plaisir que je savoure en lâchant un looong soupire enivrant. Faut croire que le quotidien d’un commissaire est très monotone et ennuyeux à tel point que les journées de travail paraissaient si longues lorsqu’elle ne l’était pas pour mes collègues qui triment dans les occupations. Une majeure partie de cette paperasse était purement administrative et logistique, un coup de stylo par-ci par-là est basta ! Elles étaient vite classées et archivées dans l’armoire métallique derrière moi. Je zieute l’horloge accrochée au-dessus de la porte d’entrée de la pièce se trouvant en face de moi, 22h30. Un sourire vicieux de dessina sur mes chaudes lèvres africaines que je lèche avec concupiscence, mon heure favorite était arrivée. En effet, l’effective du commissariat se réduisait de moitié en cour de soirée, laissant ainsi un total d’une dizaine de personnes dont la moitié était des agents de terrain. Le restant du personnel était la brigade scientifique qui travaillait exclusivement dans les sous-sols du commissariat, là où se trouvaient les laboratoires d’analyse. Au final, le commissariat devenait presque désert, laissant libre cours à mes pulsions sexuelles au cours de mes pauses. Car oui, c’est à cette heure-ci que je me tape une sauterie bien torride avec mes subordonnées, du moins ceux dont leurs horaires les obligent à travailler de nuit. Généralement, je leur demande de ne pas ébruiter les faits parmi les collègues et tous font « motus et bouche cousue ». Mais aujourd’hui, il n’y avait personne à me mettre sous la dent, pas même un de ces bourreaux du travail consacrant leurs entièrement leurs vies au boulot. Quant à mes collègues ayant trempé leurs biscuits dans mon pot, disons qu’ils ont démissionné pour des raisons familiales dont je soupçonne éventuellement leur conjointe ayant découvert le poteau rose de leurs maris.

Mais je ne pouvais pas attendre, j’avais besoin de ma dose de SEXE ! J’avais une soif d’érotisme intense à étancher à tel point que je serais prête à baiser avec n’importe qui : un vieux, un geek, un gros, tout ce qui passerait dans mon champ de vision. Pour compenser ce manque, je décide donc de glisser une main ma culotte en passant par ma jupe moulante pour ensuite me masturber avec délectation. Rien que le fait de taquiner et de titiller mes lèvres intimes me donne des soubresauts jubilants qui lubrifient à profusion mon clitoris, souillant ma culotte de cyprine onctueuse. Et ça, ce n’est rien comparé aux l’extase incandescente de sentir une bonne verge s’enfoncer dans mon vagin. Mes joues rougissent de plus belle et de petits soupirs s’échappèrent de ma bouche entrouverte à mesure que j’accélérais le mouvement de mes doigts. Oh ouuiiii, ah qu’est-ce que c’était bon !!! L’insonorisation de la pièce camouflait mes cris de plaisirs à merveille, seule la porte d’entrée ne l’était pas afin que mes collègues puissent m’entendre lorsque je leur demande d’entrer.  La salle était à peine éclairée par ma lampe de bureau et la vitre incruster dans la porte d’entrée était si floue que l’on distinguait à peine les silhouettes des autres.

Mais très vite, j’interrompis mon petit moment de plaisir par mes tourments de la porte. D’un geste vif j’essuyais ma sécrétion vaginale sous mon siège avant de lâcher un « Entrée ! » marquant le retour de ce chère Nathan, pas pour faire un compte rendu de son enquête, mais bien des renseignements. Je me redressai de mon siège, s’adossant parfaitement avec ce dernier pour ensuite croiser mes bras, faisant support à ma poitrine opulente. Je fixai mon inspecteur dans le blanc des yeux.

-   Je vous écoute……..

J’écoutai attentivement les informations de Nathan, montrant clairement qu’il était loin d’être aussi nulle que je m’y attendais. Un pincement au cœur se fit sentir en moi, il se débrouillait plutôt bien pour un inspecteur de seconde zone. Un trafic de stéroïdes anabolisants ? C’était bien pensé venant de Scourge, mais cela ne règle en rien la situation auquel elle vient de mettre la multinationale de mère dans le collimateur de l’inspecteur. La Yoshikawa’s saibatsu avait subi moult enquêtes à son effigie dans le passé et les dossiers, entamer par les prédécesseurs de Nathan sont légions. Maman s’était donc débrouillé pour graisser la patte a des mafieux pour les éliminer tandis que de mon côté je m’arrangeais pour étouffer l’affaire et bâcler les dossiers à coup de millions de Yens, de relation sexuelle intense ou encore les deux. Et si Nathan souhaitait jeter un œil sur les dossiers classifiés, il n’aurait pas pu le faire, de même pour moi, puisque je l’ai ai tous détruit secrètement et éliminer tous les mafieux impliquer dans l’assassinat des enquêteurs charger de l’affaire. C’est comme si les enquêtes de la Yoshikawa’s Saibatsu n’avaient jamais existé. Justifiant ainsi mon sang froid implacable.

Je pris un faux air de réflexion quelque instant avant de répliquer.

-   Des anabolisants de la yoshikawa’s Saibatsu vous dites ?.....mhum…..nan pas ce que je sache…….On a bien eu d’autre d’accusation plus ou moins semblables concernant d’autres produits vendus par la Yoshikawa’s Saibatsu, mais aucune enquête ne fut lancé par vos collègues. Mais si vos pistes s’avèrent exactes, alors c’est bien là-bas que vous devriez enquêter. Il est probable que la personne vendant ces anabolisants travaille pour le compte de la multinationale. Dans le cas contraire, cela pourrait être un élève qui achète ces produits pour les revendre plus cher à ses clients, mais cela n’est qu’une supposition………
   
J’avoue que je ne pouvais pas prendre le risque de lui dire tout simplement que l’entreprise familiale était blanche comme neige après avoir trouvé une preuve matérielle apportant du poids à ses arguments. Cet individu est une menace potentielle pour ma famille et je n’ai aucun argument suffisamment constructif pour réfuter ses trouvailles. Pour la première fois de ma carrière, j’étais dans une impasse. Je n’ai donc pas d’autre choix que de confier cette tâche à mère.

Je me levai de mon bureau avec nonchalance, faisant rebondir gracieusement mes groslolo, pour me diriger vers l’armoire métallique avec ma démarche féline faisant rouler mes grosses fesses  fermes et bien galbées, entreposant la paperasse que je venais de remplir en prenant soin de classer chaque fiche à son étagère respective. Certaines d’entre elles nécessitaient que je me lève de la pointe des pieds, cela devait être un régal pour les yeux de Nathan, car je sentais que ma jupe moulante et extensible s’insinuait bien dans la raie serrée qui séparaient mes deux globes fessiers, huhuhuhu !

-   Votre prochaine mission consistera d’aller voir la PDG de la Yoshikawa’s saibatsu par rendez-vous ou par un autre moyen dans le cas contraire. Questionnez-la et rapportez-moi un rapport détailler sur votre investigation. Disais-je en rangeant la pile de feuilles dans mes bras.

À cet instant, ma soif de sexe atteignit le seuil critique et l’idée d’assouvir mes basses pulsions sur Nathan me vint en tête. Étant donné qu’il était la seule personne présente dans les bureaux du commissariat, autant ne pas me priver de cette occasion ! Je crois même que c’est l’un des rares collègues avec qui je n’ai pas établi de relation sexuelle, raison de plus de me faire sauter par lui.

Mes yeux de biche firent mine de fixer l’horloge avant de marcher sensuellement en direction de l’inspecteur.

-   Je vais devoir vous laisser, ma journée de travail s’achève ici. Mais je ne suis pas pressé de rentrer chez moi. Ajoutai-je avant de plaquer mes seins contre le torse de Nathan,de sorte qu’il savoure la douceur intense de mes airs bagues biologiques, et mon entrejambe contre la sienne, posant mes mains entre ses joues que je caressai. J’ai toouuus mon temps et puis j’ai besoin de décompresser ma rude journée de travail ♥

Sur cette dernière phrase avec un ton suave et sensuel, je l’embrassai passionnément en pressant mes lèvres onctueuses contre la sienne sans aucune retenue, roulant ma langue dans sa bouche avec une finesse et une dextérité inégalable. Il ne le savait peut-être pas, mais dès qu’il a pénétré dans cette salle, il fut exposé à une forte dose de phéromone accumuler aux fils des heures que l’atmosphère en était quasiment saturée. Si son désir de vouloir faire l’amour avec moi était fort au milieu de la journée, il devait être tellement puissant, après avoir respiré les bouffés d’airs, qu’il était presque impossible d’y résister. D’ailleurs, je sentis sa protubérance toute dure s’appuyer contre mes lèvres intimes.

Cette nuit-là allait être une nuit chaude comme la braise.
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Nathan Joyce le mercredi 19 décembre 2012, 00:30:41
Quand il était entré dans le bureau du commissaire Faye, ce fut comme si son instinct de flic s’était envolé. Il fut remplacé par une espèce de désir primaire et furieux, une envie de sexe qu’il avait déjà ressenti aujourd’hui, quand il était venu la voir. Ce désir revenait en force, bien plus vivace, le troublant. Il avait réussi à exposer son affaire, et, s’il ne ressentait pas cette furieuse envie, il aurait probablement remarqué que le comportement de Farrah était troublant. Il était venu la voir sans prévenir, et cette dernière lui avait affirmé qu’il n’y avait aucun dossier en rapport avec la Yoshikawa’s, tout en lui disant que le PDG de cette entreprise était une femme. Comment pouvait-elle le savoir ? Cependant, la seule chose qui traversa l’esprit de Nathan, quand le commissaire se retourna pour ranger les dossiers, ce fut l’observation de son cul. Sa belle robe verte courte moulait ses fesses à la perfection, le tissu s’enfonçant dans sa raie. Il sentit son sexe se tendre sous son jean, et dut fermer les yeux.

*Bordel... Si je ne pars pas maintenant...*

Il savait qu’ils étaient seuls. A cette heure, il n’y avait personne dans les bureaux. Les policiers encore en faction étaient au rez-de-chaussée, ou dans des endroits spécifiques : le Central, les salles d’interrogatoire... Mais ici, il n’y avait personne. Nathan était revenu pour peaufiner son enquête, et parce qu’il n’avait aucune envie de retourner dans son studio. Il resta au garde-à-vous, et Farrah se retourna vers lui. Elle se mit à lui parler, et il ferma lentement les yeux, les plissant, en soupirant. Elle parlait d’une voix suave et hypnotique, envahissante. Chacun de ses mots l’envoûtait, et il sentit le temps se ralentir, lorsqu’elle se rapprocha de lui.

Nathan n’eut pas le temps de réagir qu’elle l’embrassa. Sur le coup, il se demanda s’il n’était pas en train de rêver, mais non... Elle avait une bouche merveilleuse, des lèvres magnifiques, et il sentit les lourds seins de cette femme se presser contre son torse. Impossible de faire le réfléchir, impossible de faire le point sur ce qui se passait, impossible de se contrôler. Il ne pouvait que goûter à cette bouche magnifique, en soupirant. Chaque seconde passée contre ses lèvres envolait au loin la conscience, réveillant la bête tapie au fond de lui. Cette femme... Elle le rendait fou, ivre de désir, mais c’était ce même désir à la nature incertaine qu’il avait ressenti avec cette étudiante, Tashigi.

Le sexe de Nathan, dur, douloureux, pressait contre le bassin du commissaire, et, quand le baiser se rompit, Nathan était subjugué. Il ne restait plus de lui qu’un atome de plaisir et d’envie, un mâle en rut qui n’avait qu’une envie en tête : baiser sauvagement. Son sexe tendu et assoiffé le faisait souffrir, et il maintint le corps de la commissaire contre lui, caressant son dos, ses hanches, et glissant ses mains le long de son corps, jusqu’à presser ses fesses. Elle était un peu plus petite que lui, et il la poussa, la plaquant contre son propre bureau, ses fesses s’enfonçant contre ce dernier. Il retourna l’embrasser, soupirant dans sa bouche, toujours sans dire un seul mot, enfonçant sa langue en elle, caressant ses dents, jouant avec sa bouche, son sexe continuant à l’élancer, comprimé sous ses vêtements. Il glissa ensuite ses mains sur les belles jambes du commissaire, les remontant sous sa robe, caressant avec ses pouces l’aine de cette dernière, et rompit encore son baiser, le temps de reprendre son souffle.

*C’est fort, bordel... Je n’avais pas ressenti une telle envie depuis… Depuis longtemps…*

Ayant du mal à se retenir, il enleva sa chemise d’un mouvement sec, finissant torse nu, et aventura ses mains sur les seins du commissaire, les pressant à travers sa robe. Ses mains étaient moites, sa gorge sèche. Il avait chaud, et brûlait d’envie. Difficile de se retenir. Il parla rapidement, se pressant contre elle. Curieusement, il n’avait jamais entendu parler de rumeurs concernant les activités sexuelles du commissaire. Or, vu comment elle l’avait pris, ce ne devait pas être la première fois qu’elle s’envoyait en l’air avec un inspecteur. Soit elle était discrète, soit il était vraiment enfermé dans son monde.

« J’en rêve depuis des jours, glissa-t-il. Je vais te baiser fort. »

Une réplique digne d’un film porno, qui sonnait faux dans les oreilles de Nathan, mais réfléchir lui était impossible. Il sentait la Bête en lui se réveiller, et devait se retenir pour ne pas se transformer. Son sexe l’élançait douloureusement, mais, encore une fois, il ressentait en lui une espèce de bouclier instinctif l’empêchant de prendre cette fille... Tant qu’elle ne le lui aurait pas montré expressément. C’était une sensation troublante, mais il se sentait comme bloqué. Il avait envie de la retourner sur son bureau, de la plaquer contre le mur, de lui faire le tour intégral du propriétaire, mais quelque chose l’en empêchait. Quoi, il n’aurait su le dire avec précision, mais cette chose était bien là.

« Tu la sens, hein ? Ma grosse queue... Elle n’a qu’une envie : te défoncer ! »
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Venomess le samedi 26 janvier 2013, 14:51:11
Mais c’est qu’il était coquin ce petit inspecteur ! Voilà maintenant qu’il pose ses paluches sur mes deux globes fessiers avec une avidité qui me fait pousser un soupir concupiscent résonnant dans la pièce cloitrer, frétillante délicatement mon postérieur de gauche à droite comme une petite coquine bien chaudasse du cul. Quand je goute aux nectars onctueux de luxure, je savourais toujours chaque fraction de seconde comme si c’était mon dernier instant à vivre. Le bel homme n’opposer aucune résistance à se laisser enrouler sa langue contre la mienne dans une danse buccale endiablée, insinuant ma langue dans des endroits qu’aucune langue humaine n’aurait atteints. Nous nous échangions des soupirs suaves dans nos bouches respectives avant d’entrecouper ce moment pour reprendre nos souffles, dégageant une atmosphère des plus torrides par l’augmentation de la chaleur corporelle par l’activité lascive. Mon cœur continuait toujours de battre à cent à l’heure, tandis que la respiration se faisait plus courte et plus répétitif sans m’arrêter de caresser sa figure virile.

Toujours avec ce regard de prédatrice sexuel dévorant les prunelles envouter de cet humain comme tant d’autres avant lui. Toujours en appuyant ma paire d’obus contre son torse taillé en V que je frottais sans aucune retenue. Dans son élan de bestialité, il me poussa brutalement contre le bureau sans que cela me fasse mal. J’étais habitué à pire maltraitance physique et puis cela ne faisait que m’excitait davantage. Une bête de sexe, voilà ce que j’étais tout comme l’était ma famille. J’ai du mal à comprendre qu’il existe des gens éprouvant une répulsion affolant pour cet acte magnifique qu’est l’amour charnel. Ce moment intime vaut tout l’or du monde. Que dire, un bonheur infiniment plus durable ! D’autant plus que c’est ce qu’il y a de plus naturel chez tous les êtres peuplant ce vaste univers. J’ignorais si c’était mon imagination, mais j’avais l’impression qu’il retenait son instinct primaire en retenant certains faits et gestes de ses mains. Était-il puceau ? Non cette hypothèse est impossible, autrement il ne se serait pas laissé faire dès l’instant du baiser. C’était autre chose. Quoi qu’il en soit je comptais bien rompre cette défense psychique en décuplant l’accumulation de mes phéromones en faisant durer le plaisir.

Je voulais que ça dure longtemps, le plus longtemps possible. Même s’il faut que ça dure jusqu’au p’tit matin !

Et effectivement, cela allait se produire ! Même Nathan l’avoua haut et fort en admettant qu’il attendît ce moment depuis fort longtemps ! J’esquissai un sourire vicieux, rapprochant de très près ma tête vers son oreille, une main posée sur sa joue, pour lui susurré un :

-   Je n’attends que ça, trésor

Lentement mais surement, sa barrière instinctive lier à une quelconque éthique ou morale à deux balles qui commençait à s’effriter, se dégager. D’un geste aussi sec que brusque de la main, Nathan arracha mon chemisier dans un déchirement aigue, mettant à nue mon buste finement musclé auquel trônaient mes bigs boobs qui rebondirent deux fois. Poursuivant son geste indécent en massant et en malaxant cette arme de séduction redoutable de la gente féminine qu’était la mienne. Je laissais mon esclave sexuel satisfaire le plaisir de ses mains humide et quel délice ! La sensibilité très développer au niveau de cette partie physionique érigea mes tétons a vu d’œil et qui se durcir par la suite, alors que mes joues virèrent de plus belle aux rouges tomates. Yeux extasier et bouche entrouverte filtrant des soupirs plus chauds, plus sensuels que précédemment, entrecouper de « oooooh oui ! ». Je sentais d’ici l’odeur exquise de son petit soldat rêvant secrètement de visiter ma somptueuse gare, tendue à l’extrême, mais entraver par le tissu encombrant de son jean.  Mes yeux de velours le fixèrent avec pour unique but de sentir ce gros manche glisser le long de mon intimité.

Intimité qui s’impatientait énormément elle aussi, souillant complètement ma culotte dont quelques filets de cyprine clapotèrent au sol, lèvres intimes distendues comme des ballons de baudruche. Presser par la verge pointée vers elle, mais bloquer par cet obstacle vestimentaire. Mon regard se fit plus séducteur, plus aguichant lorsque l’appel à la chair de Nathan se libéra dans ses derniers mots. Toujours plaqué sur mon bureau en acajou massif, je léchai sensuellement mes lèvres pulpeuses, ôtant délicatement ma jupe moulante suivie de ma culotte trempée en disant :

-   Oui je la sens, je la sens même très bien mon lapin……..et ma chatte n’attend que ça ♥

 À la fin de ma phrase, j’exhibais une moule dégoulinante de mouille entre mes lèvres intimes gonflées à bloc que j’écartai entre l’index et le pouce de ma main droite, au même titre que mes jambes fuselées sur mes épaules. Formant un V avec mes membres inférieurs.

-   Qu’est-ce t’attend babyboy, le déluge ? Ne fais pas attendre ton p’tit frère ♥

Vas-y avoir du sport de chambre ! Ou plutôt, de bureau !
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Nathan Joyce le dimanche 27 janvier 2013, 14:57:55
Il était comme un possédé, soumis aux plaisirs traîtres et totalitaires de son corps. Comment dire non ? Nathan ne comprenait pas ce qui lui arrivait. C’était comme s’il était envoûté, comme si, enfin, il comprenait tout le sens de la passion sexuelle. Cette femme... Il l’avait dans la peau, il voulait la baiser, tout simplement. Il n’y avait rien de plus. Nathan ne voulait pas d’une relation sentimentale avec elle, ni s’en faire une amie, il voulait simplement niquer. Comme une bête, un vulgaire animal. C’était assez effrayant, car il n’avait jamais ressenti un tel désir physique absolu, détaché de toutes contraintes, ou de tout désir subsidiaire. Même quand Nathan avait été en manque, il préférait s’astiquer la queue devant un film porno, et encore... Généralement, il s’écroulait, le pantalon sur les genoux, la bouteille d’alcool dans la main, son érection mourant misérablement dans ses doigts. Mais là... Putain, ça le démangeait tellement qu’il en avait mal, qu’il avait envie d’hurler, de la gifler, de la plaquer contre son bureau, de lui déchirer ses vêtements, de lui déchiqueter les seins, et de l’entendre hurler... Oh ça oui, il voulait qu’elle hurle, cette salope ! L’animal qui sommeillait en Nathan se réveillait, dynamité par une envie de baiser fulgurante.

Elle se déshabillait devant lui, le narguant, titillant son excitation. Retenant sa respiration, Nathan voyait sa mouille tâcher le sol, tandis qu’elle était toute nue. Farrah Faye... Il bandait en pensant à elle. Elle était d’une telle beauté. Une saloperie de beauté africaine, avec un cul de Déesse. De quoi déchaîner tous les fantasmes. En temps normal, il se serait probablement senti honoré, mais, ici, tout ce qu’il pensait, c’était à la défoncer. De la baiser fort. Avec violence. Qu’elle sente sa virilité, qu’elle comprenne qui était le mâle, cette petite salope de commissaire. Et, pour le coup, elle agissait vraiment comme une salope, écartant ses lèvres intimes, glissant ses dents entremêlés de mouille, observant le flic avec ses yeux envoûtants.

« Qu’est-ce t’attend babyboy, le déluge ? lâcha-t-elle, d’une voix mi-moqueuse, mi-séductrice. Ne fais pas attendre ton p’tit frère » enchaîna-t-elle, avec un accent d’envie.

Ils étaient seuls dans le bureau. La porte était fermée, et Nathan s’avança, se déshabilla rapidement. Son jean glissa le long de ses cuisses, et il ôta également son sous-vêtement. Ses mains tremblaient, et il prit ensuite son sexe dans sa main. Son érection était forte, et son membre dur. Avait-il déjà ressenti une telle excitation ? Une telle souffrance ? Sa queue était en feu, tout simplement. Son sexe le démangeait follement, à un point où il se sentait sur le point de perdre le contrôle. Il s’avança lentement vers la femme, le bout de sa queue caressant ses cuisses. Elle n’était plus le commissaire Faye à ses yeux, simplement un morceau de chair qu’il allait sauter toute la nuit.

« Je vais te baiser bien fort, petite salope... »

Il l’embrassa brièvement, puis la retourna, observant son dos, et gifla ses fesses, posant sa main sur son cul. Elle avait vraiment un très beau postérieur, et elle était contre son bureau. Nathan aurait pu lui défoncer le cul, mais il se réservait ça pour plus tard. Il glissa certes son sexe le long de ses fesses, mais uniquement pour atteindre son intimité. Le flic s’enfonça dans cette fente bien humide. Effectivement, elle mouillait, et il porta ses mains sur les hanches solides et chaudes de la femme, ne tardant pas à la défoncer, à remuer son corps rapidement, lui donnant parfois de nouvelles gifles sur les fesses. Il grognait longuement, son membre étant dur, douloureux, bien enfoncé en elle.

« Hum... Hum... Oh putain, c’est si bon, bordel ! »

Nathan la gifla à nouveau, adorant ça. Il voulait l’entendre crier, hurler, et il lui défonçait la chatte, la bourrant fort, ses testicules claquant contre ses fesses, son délicieux cul qu’il allait également défoncer avec joie. Fermant les yeux, Nathan soupirait, la baisant.

« Vas-y, ma salope, couine, je veux t’entendre hurler, allez !! »
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Venomess le mercredi 06 février 2013, 17:03:31
Inutile de vous faire dessin pour vous dire qu’après avoir excité profondément l’instinct bestial de mon partenaire tel la plus chaudasse des putes au monde, Il répondit avec la tonalité qu’un violeur sortit tout droit de la série « prison break ». Mes lèvres gourmandes et épaisses esquissèrent un sourire malicieux : excellent. Ce mot injurieux pour la grande majorité de la gent féminine humaine était pour moi un doux compliment qui me fait chaud au cœur. Là c’est clair et net, je n’avais plus devant moi le petit Nathan coincé du cul que je rencontrais tous les jours. Non ! Ce n’était rien de plus qu’une nouvelle proie parmi tant d’autres que j’ai dégusté et savourée dans des ébats à faire damner un saint. Voilà le Narthan que je voulais et pour une fois j’étais heureux de passer du temps avec lui. Sans plus attendre, il retira son futal en quatrième vitesse, m’embrassa fougueusement une énième fois avant de me retourner comme un saucisson pour me coller une belle claque sur mes fesses. Comment ne pas résister aux claques ? C’est le genre de chose qui m’excite le plus avec la pénétration, le genre de chose qui me fait pousser un « Mhuuumm » des plus sensuels suivi d’un rire des plus coquins qui soit, frétillant mon postérieur telle une salope accro aux gros bites. Cette claque avait frappé de pleins fouets mes nerfs supra sensibles au niveau de cette partie physionomique, faisant battre mon cœur à un rythme qui aurait tué un humain normalement constitué. Plaqué contre le bureau, mon regard concupiscent obersva que le chibre de Nathan et…mhuum ça c’est un gros diamètre ! Une belle queue bien grosse comme je les aime. Le genre de queue qui me transporte pendant un bref instant au nirvana de la luxure absolue.

Tandis qu’il tenait fermement mes hanches bien pleines, je sentais, quelque chose s’insinuait, brusquement entre mes deux globes de chaires pour pénétrer violemment les portes de mon intimité qui se traduisit par un éclair de jouissance foudroyant de plein fouet chaque fibre de mon être. Cette sensation est un pur délice enivrant !!! Impossible de retenir des râles de plaisir lubrique puissant ! De douleur !? Nannn pas celui-là, mais bien de jouissance !!! Oui, c’est bien des cris de jouissance qui résonne dans toute la pièce sans pour autant être audible de l’extérieur. J’empoigne le bord de mon bureau avec une pression tellement forte que des fissures et autres craquelures se forment autour de mes mains refermé. Ce que mon cher partenaire ne savait pas, c’est que mes parois vaginales étaient tellement lubrifiées qu’il n’offrait aucune résistance à l’engin sexuel de l’agent, en plus d’être élastique. Ce n’est donc pas une expression crispée et souffrante sur mon visage, mais bien d’un plaisir jubilant. Bouche grande ouverte dans un sourire béant de joie, joues totalement roussies, et tête penchée vers l’arrière. Une myriade de gouttes de sueur s’échappèrent des pores de mon épiderme, signes d’une transpiration massive laissant refléter quelques traits lumineux du néon accrocher au plafond, accentuant davantage la luxure de mon corps. Ce n’était pas une gêne, bien au contraire, cela apportait son lot de plaisir. Sentir mes gouttes de sueur suintaient le long de mon corps me procurait plus de jouissance, recouvrant ma peau luisante d'une fine couche de sueur. De son côté, Nathan prenait presque autant de plaisir que moi à bourriner mon cul au rythme des coups de fouet de ses couilles. Souvent accompagné par de nouvelles gifles sur mon popotin vaniteux qui rebondissait sous les coups, Plus ! J’EN VOULAIS PLUS !!! BEAUCOUP PLUS !!!! TOUJOURS PLUS !!!! Je tremblais de plaisir entre mes respirations à la fois profondes dans une cadence exponentielle comme une truie en chaleur, mêlée a de l’excitation à tel point que mes jambes se refermèrent sur la taille de Nathan, l’enserrant entre mes jambes dans une étreinte surhumaine, sans interrompre les coups de bassins. Mieux encore, elles forcent mon partenaire à me pénétré sans ralentir le rythme. Ma moule dégoulinait toujours plus abondamment de cyprine, souillant d’avantages le sol de mes fluides corporels. Je jouissais d’un coït d’une bestialité extrême !

-   Oh oui ! OH OUI !! OOOHHH OUIIIIIII !!! CONTINUE !!! SURTOUT NE T’ARRETENT PAS !!! JE TE L’INTERDIT !!! BOURRINE MOI LE PLUS LONGTEMPS POSSIBLE ET N’HESITE PAS NON PLUS A EJACULER A L’INTERIEUR DE MOI !!!! 



Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Nathan Joyce le mercredi 06 février 2013, 21:52:27
Il ne se reconnaissait plus. Il savait ce qui se passait, mais il était comme un observateur, un étranger dans son propre corps, quelqu’un qui ne pouvait pas aller contre ce qu’il ressentait. C’était comme être dans une barque, et affronter des rapides. On ne pouvait pas remonter la rivière, simplement la suivre, en évitant de se manger les récifs. Nathan était dans la position du rameur, manœuvrant son plaisir, son envie, pour ne pas se fracasser en route. Son sexe était terriblement tendu, une vraie matraque, dopé par ce plaisir inhabituel qu’il ressentait, mais aussi par le symbiote qui vivait en lui, et l’animait, le dirigeait, lui ordonnait de la baiser. Il ne se contrôlait plus, entièrement dominé par une envie maîtresse : la baiser violemment. Là. Dans ce bureau. Son sexe s’enfonçait en elle, un pieu douloureux. S’il avait été moins excité, plus calme, plus réfléchi, il aurait sans doute trouvé bizarre que le commissaire Faye enfonce ses doigts dans le bureau, tout comme il aurait trouvé bizarre cette attirance inexplicable, cette attirance qui transformait le solitaire Nathan Joyce en une bête de sexe, avec un membre énorme. Il sentait en lui la Bête l’appeler, l’ordonner de la défoncer, d’y aller plus fort, il se délectait des hurlements, de la manière dont son sexe, sans aucune difficulté se glissait dans le vagin de cette femme noire. C’était une vraie salope ! Ses lèvres intimes étaient tellement lubrifiées qu’il n’avait aucune difficulté à y entrer. Il la pénétrait ainsi, par l’arrière de son corps, glissant sa longue queue le long de sa croupe, savourant son corps, sa peau nue et chaude, couverte de sueur. Elle était follement excitée. Chacun de ses hurlements résonnait délicieusement dans ses oreilles, les faisant presque siffler. Il se délectait de la voir ainsi, courbée, désireuse, une femme forte, mais rien de plus, en ce moment, qu’une pute à ses yeux. Il lui défonçait le vagin, mais ne comptait pas s’arrêter là. Il ressentait en lui une telle envie de baiser que c’en était difficilement croyable. Ça le démangeait, le dévorait de l’intérieur, comme un feu ardent et totalitaire. C’en était presque dangereux, une telle attirance. Il la gifla à nouveau, fort, suffisamment fort pour qu’une humaine normale en tombe sur le sol. Son corps se recouvrait en effet ici et là de petites tâches noires, le signe que la Bête se réveillait, et qu’elle était le moteur de cette excitation surhumaine qu’il ressentait. Mais pourquoi ? Que lui voulait-elle ? En quoi cette femme pouvait-elle à ce point exciter le symbiote ? Il ne le comprenait pas, et n’était de toute façon pas dans un état propice à la réflexion.

Elle lui ordonnait plus, elle en voulait plus, le criait d’une voix forte, qui résonnait dans toute la pièce. Est-ce qu’elle avait joui ? Difficile à dire. D’une part, il était aveuglé par son propre plaisir, et, de l’autre, il y avait tant de mouille là-dedans qu’il ne savait pas trop si elle jouissait ou non. Il ne s’attendait vraiment pas à ce que cette fille soit une telle salope, mais, dans le fond, ça l’excitait plus qu’autre chose. Nathan la défonçait, envoyant le bassin de cette dernière heurter le bureau. Des coups de queue forts, avec une bonne amplitude, dans un vagin étroit, très étroit, qui le faisait grogner. Il sentait des pulsions de violence s’emparer de lui, et, à chaque fois qu’il fermait les yeux, les mêmes flashs venaient à son esprit. Des corps gélatineux, noirâtres, faisant l’amour pendant des siècles. De longues bouches avec des crocs interminables, des queues qui se caressaient, s’enfonçaient, des gémissements de monstres lovecraftiens. Des images qui venaient de la Bête, de ses pensées, voire même de ses fantasmes. Pourquoi maintenant ? La réponse était à portée de mains, mais il n’arrivait pas à la saisir, il n’arrivait pas à comprendre le sens de ce message. Tout ce qu’il voyait, c’était qu’il avait la trique, une formidable envie de baiser, comme si on l’avait drogué au viagra pendant des heures. Sa queue concentrait son sang, formant une espèce de puits qui happait tout, et déchaînait sa rage. Il n’arrivait pas à jouir, et ça le frustrait, l’énervait.

« HAAAAAAAAAAAAAA !! SALOOOOPEEE !! SALE PUUUTE !! »

Il la gifla à nouveau, et sentit la douleur dans sa main, tout en continuant à laisser parler la Bête. Elle prenait le contrôle, ce sexe brutal et intense détruisant les barrières qui la contenaient. Elle lui ordonnait de la défoncer, de la pilonner, de la baiser avec la force d’un babouin en rut. Nathan leva la main, et lui offrit une autre gifle, toujours plus fort. Il se plaqua contre elle, et poussa alors un grognement de bête sauvage.

*Nique-là, nique-là, elle ne demande que ça ! Allez, empoté, sers-toi de ce membre, et défonce-là ! Crois-moi, plus tu y iras fort, et plus elle aimera ça ! Défonce-là !!*

Cette voix était impérieuse, et Nathan ignorait d’où elle venait, mais il la suivit, haletant, soupirant, également en sueur, chaque coup de reins faisant balancer sa sueur depuis ses mèches de cheveux. Les soupirs et les cris de la commissaire l’absorbaient, l’enivraient, de même que son aura. Sa queue se contorsionnait, s’enfonçait en elle, et il finit par avoir sa première éjaculation, crachant en elle des litres de sperme, giclant dans son vagin. Il l’inonda furieusement, jouissant pendant une longue minute, sentant, à chaque fois que la fin des secousses approchait, une autre vague, qui le galvanisait encore. Son sexe était plein, et il l’évacuait en elle, la remplissant, son sperme se mettant à jaillir hors de son vagin pour glisser sur ses jambes. Ceci dura ainsi une bonne minute, une performance exceptionnelle, mais, le plus étonnant était sans doute que sa queue, elle, était toujours aussi dure. Il ne laissa pas au commissaire le temps de réagir, et retira sa queue, avant de la pousser, l’envoyant sur le sol, à quatre pattes, visant une autre partie de son corps : ses fesses.

« Sois ma petite chienne, petite pute ! C’est tout ce que tu mérites, que je te défonce le cul !! »

Il la gifla encore, puis enfonça son membre imposant dans son fondement, d’un coup assez sec. Il s’y enfonça rapidement, avec brutalité, poussant un long soupir, un halètement sonore et fort, rauque.

« Allez, allez, hurle, hurle, ma salope ! Hurle ton plaisir, allez !! »

Nathan, à ce moment, se moquait alors bien que quelqu’un puisse les surprendre. Rien d’autre n’avait d’importance qu’eux. Rien d’autre.
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Venomess le lundi 18 novembre 2013, 20:22:17
Oooooh oui !! Qu’est-ce que c’est si bon de  sentir toutes ces claques qui fouettent mon boule de déesse !! C’est tellement excitant…… Tellement jouissif, comme toujours ! Je laisse toujours ce soupir de plaisir s’échapper entre mes lèvres grandes ouvertes, haletant comme une cougard en chaleur qui savoure chaque instant que procure ce gourdin bien dur de mon vilain petit inspecteur bien coller à moi ! Chaque minute qui passe, l’étreinte de mes bras et de mes jambes  se resserre de plus en plus à mesure que la dopamine produite abondamment par le cerveau de mon hôte ! Mais dit donc, c’est qu’il est vachement balaise pour un humain ! Je sais bien que les hommes ont plus de force brute que le beau sexe, mais quand même ! Néanmoins cela n’a aucune importance, il en faut plus pour me briser et…..

-   !!!!  ♥

Ca y est ! Il a enfin déversé sa semence en moi, inondant chaque centimètre carré de ma moule assoiffée de spermes ! Ça se remplit vite à tel point que je suis en extase, je jubile dans un rugissement léonin : tête penchée en arrière, bouche grande ouverte et langue toute sortie ! Il y a beaucoup de choses d’irrésistibles dans la baise, mais aucune ne procure autant de pur plaisir sexuel dans sa puissance le plus pure que le remplissache de l’utéruse par des litres abondants de spermes ! J’ai chaud !  si chaud ! Tellement chaud ! Je suis en extase de sentir ce long filet de foutre déborder hors de ma chatte pour couler le long de mes cuisses pulpeuses ! J’ai même ma tenue complètement souillée par ma transpiration grandissante, mais je m’en fiche, peu importe que chaque fibre en soit imprégnée, ça n’a plus aucune importance : je suis en train de vivre ma plus grande relation d’amour de toute mon existence de symbiote ! Personne, je dis bien personne, ne m’avait fait autant d’effet de ma vie ! Si j’avais su plus tôt que ce type irait jusqu’à me faire gouiner à ce point je l’aurais promu dans un poste plus rémunérer. D’ailleurs c’est ce que je compte faire dès que notre copulation aura pris fin. Car oui je compte bien le préserver ! J’espère juste que je saurais convaincre Venomess de le laisser en vie, si je me débrouille pour étouffer l’affaire par la magie de la corruption financière et le confort d’un poste rémunérer. Pourquoi se casser la tête à supprimer un excellent jouet quand on peut le rendre plus docile, hum ?

Outch ! Et bein….. Il y va pas de main morte lui ! Sitôt avoir retiré son phallus qu’il pose ses mains autour de ma taille pour me jeter par terre, me mettant en position de levrette.  En même temps ça n’a rien d’étonnant puisqu’il est sous l’emprise de mes phéromones. Exprimant tout son amour pour moi sous de jolis noms qui me font glousser sensuellement, huhuhuh ! Évidemment la position est volontaire puisque j’ai eu le réflexe de me réceptionner à temps par un geste coordonné faisant passer pour un mouvement maladroit.  Il ne met pas longtemps pour palper ma croupe entre ses paluches viriles pour fourrer un unique coup de dard qui me fait pousser un unique et long crie concupiscent de grosse gouine que je suis. Oui car c’est ma nature : je suis né gouine et je mourrais gouine !

-   AAAAAAAHHHUUUUUUUUUMMMMPPFFFFFFFFFFFF !!!! ♥♥♥♥


C’est tout ce que je réponds aux jurons ordurier et pervers de ma proie en extase et ça suffit amplement. Pas besoin de gaspiller inutilement de la salive dans cette situation. 

Encore un moment, rien qu’une seule fois et je prendrais fin cet instant palpitant !
http://hentai.forum-rpg.net/index.php
D’un geste aussi souple que puissant j’exécute une prouesse physique en attrapant sa ceinture abdominale entre mes jambes puis d’une impulsion montreuse je  l’étale par terre comme si ce n’était qu’un fétu de paille, pour changer nos positions. Visuellement c’est maintenant MOI qui est la dominante et lui le dominé ! Alors qu’il se trouve à plat dos, je me mets en position couchée de sorte qu’il puisse enfourcher sa langue au plus profond de mon intimité tandis que je lui offre la pipe de sa vie. Et elle commence ici et maintenant ! J’engloutis son membre dans ma bouche, débutant des vas et vient de ma tête tout en l’enroulant autour de ma langue préhensile dans des bruits gluants. Jonglant ainsi entre deux actions qui démultiplient mon plaisir comme le sien.


Mon cul lui, tortille et frétille d’impatience devant ma proie……

Citer
HRP : Désolé pour la (très très) longue absence, mais j'avais eu de grs soucie IRL qui m'ont sapé toute envie de vouloir rp....
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Nathan Joyce le mardi 19 novembre 2013, 02:17:34
Terrible. Incroyable ! Nathan était dans le bureau de sa supérieure, la commissaire Faye, et était en train de lui défoncer le cul, claquant ses fesses. L’homme ne se contrôlait plus, ne se retenait plus, se laissait pleinement aller, guider par ses pulsions primaires. Et, pourtant, la Bête ne s’était pas réveillée. Il n’arrivait pas à le comprendre, car c’était bien l’excitation sexuelle de la Bête qui le motivait, renforçant le désir naturel que le policier ressentait pour son commissaire. Cette femme avait la réputation de coucher avec beaucoup de monde, et Nathan constatait que cette réputation n’était pas liée qu’au sexisme ambiant en vigueur dans le Japon. Son membre la perforait, et il soupirait de plaisir devant les gémissements de cette dernière, ses soupirs et ses couinements. Elle l’enivrait, elle le domptait. L’homme était surexcité, son sexe lui semblant sur le point d’exploser, quand il sentit les jambes de la commissaire l’attraper, et le renverser.

En quelques secondes, Nathan se retrouva au milieu du sol, couché sur le dos, et sentit Farrah venir sur lui. Son corps confortable, cette chaleur qui se dégageait d’elle, cet odorat sensuel... Il se sentit écrasé, soumis devant elle, sentant son corps sur le sien, avant de se retourner lentement, lui présentant ses jambes, ainsi que sa moule, dégoulinante. Sa robe verte était tellement courte qu’il pouvait voir cette intimité sans difficulté. Un liquide tomba sur son nez et ses lèvres. Sperme ? Mouille ? Mélange des deux ? Il soupira en sentant son sexe disparaître dans la bouche de la femme, et posa ses mains sur ses fesses, l’amenant à s’abaisser pour pouvoir la lécher.

Son sexe disparaissait dans cette bouche, et Nathan sentit une espèce de longue langue de serpent qui comprimait son sexe. Il soupira, ses doigts moites tremblant sur le postérieur de la femme. Le brave homme n’y comprenait plus rien, et était totalement largué par les émotions intenses qu’il recevait. Il gémissait et soupirait, et fourrait sa langue dans l’intimité de sa partenaire, pressant sa robe verte. À son tour, une longue langue de serpent se mit à jaillir, la langue reptilienne de la Bête. Elle s’attaqua à son clitoris, heurtant le bouton de plaisir de la femme, se délectant de la cyprine qui glissait sur sa bouche, filant entre ses lèvres. Nathan soupirait longuement, son chibre tendu, dur comme la pierre, s’enfonçant dans la gorge de la femme.

Il eut ainsi rapidement un nouvel orgasme, crachant dans sa bouche des filaments et des jets de sperme, soupirant en remuant un peu son corps. Il était couché sur une sorte de tapis, et ses quelques soupirs étaient étouffés par les cuisses de la femme. Sa mouille était vraiment délicieuse, et il continuait à appuyer sur le clitoris, se délectant de cette mouille. Il avait beau avoir joui, son membre était toujours aussi tendu, ce qui, selon lui, était lié à l’influence de la Bête. En réalité, le fait que son membre soit toujours aussi tendu s’expliquait très certainement aussi par les phéromones que cette femme dégageait.

*Elle est comme nous, Nathan... Tu le comprends, maintenant ? Tu le sens bien, n’est-ce pas ? Elle n’est pas humaine, elle est comme nous... Mais je sens autre chose en elle... Une influence lointaine et forte...*

La Bête parlait en lui, tandis que sa queue remuait dans le corps de la femme, et se transformait, se recouvrant d’une excroissance noirâtre, une seconde couche de peau qui la grossit encore, facilitant le glissement dans la bouche de la femme. Des veines noirâtres ressortaient de son sexe, pour glisser dans la bouche de la femme, alors que son pénis continuait à cracher son sperme. La Bête était terriblement excitée, et jouissait sans relâche, comme une espèce de fontaine, remplissant la bouche de la femme, alors que, sous l’effet du plaisir, Nathan voyait de lointaines images subliminales... Des souvenirs d’un monde d’orgie perpétuelle, où des symbiotes ayant des formes vaguement humanoïdes jouissaient pendant des heures sans relâche en prenant le contrôle d’organismes vivants.

*C’était le rôle des symbiotes masculins… Les nourrir de liquide sexuel pour les engrosser… Nous les ensemencions, et nous les servions fidèlement en ce sens...*

Et la Bête pompait, continuant à remplir la bouche de la commissaire, à l’inonder, alors que lui se nourrissait de sa cyprine, le temps défilant à toute allure.
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Venomess le dimanche 24 novembre 2013, 21:36:32
C’est moi où bien son manche est en train de revêtir une membrane étrange ? Non je ne rêve pas ! Son sexe est en train de grossir, mais ce qui me met la puce à l’oreille sont ses veines noirâtres qui en ressortent sur tout le contour. Je ne crois pas me souvenir qu’il existe de maladie donnant un tel aspect aux veines chez les humains, alors qu’est-ce que cela pouvait bien être ? À moins que……. Serait-ce possible que Nathan ne soit pas un humain lambda, qu’il soit autre chose ? Cette hypothèse tient la route vu qu’il ne semble pas être encore mort par cette jouissance brulante que je lui offre. Pas évident d’être choqué de croiser le premier être inhumain de ma vie avec toute cette délectation  charnelle extrême qui me submerge, néanmoins Un sourire de dessine au coin de mes lèvres glissant le long du phallus inhumain, teinté de curiosité. La substance qui recouvre l’organe géniteur de ma proie semble indépendante de la volonté de Nathan. De plus, par le contact de ma langue sur cette matière, je détecte une odeur singulière. Pour ne pas dire familière……..

Cette chose…… est un symbiote.

Alors pour une surprise c’est une surprise ! Je ne m’attendais pas ça, pas même ma très chère mère ! Ce qui change TOUT ! C’est donc lui qui confère cette endurance surhumaine à son hôte, bien que sa conscience n’a pas était fusionnée, contrairement au mien. Il faut que la prévienne de cette nouvelle incroyable, d’être tombé sur l’un des n’autres ! Mais mhuuuuumm……. Je ne peux pas interrompre cet ébat maintenant ! Ce n’est pas tous les jours que je vis une telle expérience avec quelqu’un sort du lot de ce menu fretin que j’ai l’habitude de me taper ! Là c’est un tout autre niveau qui dépasse l’entendement ! D’ailleurs, voilà que son gros canon organique déverse un geyser de spermes qui remplit l’intérieur de ma bouche à une vitesse affolante, mais un truc de malade ! Et le gout….. Oooooh dieu qu’est-ce qu’il est bon !! La saveur a changé, elle est plus succulente et délicieuse qu’avant ! J’engloutis tous ces litres dans des bruits de déglutissions bruyant tous les dix secondes, tout en lâchant toute une série de soupirs sensuels qui témoigne ce torrent de plaisirs me plonge dans l’extase la plus luxuriante dont je n’aurais jamais cru vivre de mon vivant ! Et……

BON SANG !!! Aaaaaah !!!!

Visiblement, même sa langue a changé puisqu’elle a atteint le fond de mon intimité, allant jusqu'à titiller son point sensible !! Je jouiiiiiiitttt !! C’est si intense que me yeux grands ouverts, levés vers le plafond, verses des larmes abondantes ! Mon cœur tambourine si vite et si fort que je suis presque convaincu qu’il va réellement exploser d’une minute à l’autre. Il y aussi mes mamelons qui se sont érigés encore plus, alors que mes seins gigotent !  Je ne parle même pas de la température infernale de mon corps qui m’oblige à déchirer mon tailleur d’un geste sec et vif de mes mains. Oui chuis toute nue et ça m’est égal !

Il faut que cet instant soit inoubliable ! INOUBLIAAAAAABLE !!!!

[……..]

Venomess (PJ)


Ainsi donc, Nathan serait l’hôte d’un des nôtres, hein ? Voilà qui est très intéressant. Et moi qui croyais que nous tous, moi et mes rejetons sérions les seuls symbiotes de cette planète. Cela explique bien pourquoi elle était si enthousiaste à l’appareil. Sultry, Sultry……. Quelle ravissante petite salope tu fais…….. C’est bien ça que j’aime bien chez toi comme chez tes sœurs. Finalement je vais revoir ma décision sur son élimination, mais d’abord j’aimerais le rencontrer en personne. C’est pourquoi j’ai ordonné à Sultry de lui révéler sa véritable nature ainsi que sa famille dont l’un de ces membres aimerait le voir ici, à la Yoshikawa Zaibatsu : C'est-à-dire moi. La PDG assit sur ce fauteuil en cuir de luxe, vêtu du tailleur dont j’estime avoir le plus sensuel, le plus luxuriant et de loin le plus provocateur qui soit et qui fait partie intégrante de moi. Plus moulant et confortable que le plus moulant des latex, plus élastiques que le plus élastique des spandex sur terre, réfléchissant la lumière ambiante sans pour autant jouer les miroirs. La fente de ma croupe incendiaire s’insinue bien dans mon fondement, au même titre que le clivage séparant ma paire de gros seins parfaitement sphérique et harmonieux.

Alors que je m’occupe actuellement de la paperasse dont j’ai l’habitude de gratter avec la pointe de mon stylo bille en main, quelqu’un toque à la porte. Enfin ce n’est pas trop tôt


   Entrez !

Il est 10 heures du matin et ma voix mielleuse est prête pour l’entretien qui va avoir lieu.
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Nathan Joyce le mardi 26 novembre 2013, 02:44:30
De cette nuit, Nathan ne se rappelait pas grand-chose. Il se « réveilla », si on peut dire, dans un lit énorme et très confortable, qui n’était pas chez lui, mais dans la maison du commissaire Farrah Faye... Ou, plutôt, de Sultry. Quand Sultry avait réalisé que Nathan était un symbiote, la Bête s’était imposée, et il s’était transformé dans le bureau de la jeune femme. À partir de là, ses souvenirs étaient flous, car ils étaient partagés entre les siens et ceux de la Bête. Il savait qu’il avait sévèrement tringlé Faye, probablement comme jamais aucun mâle terrien n’aurait pu la prendre. Une humaine normale aurait d’ailleurs sans doute eu quelques os brisés, vu les assauts de la créature sur elle. Mais Sultry n’était pas vraiment une humaine normale. Ils avaient continué à baiser dans son bureau, mais, quand elle-même était devenue une symbiote, excitant encore plus la Bête, ils avaient eu besoin d’un endroit tranquille pour pouvoir faire l’amour, sans être surpris par les humains. De fil en aiguille, Nathan s’était ainsi retrouvé dans la maison du commissaire, qui, au vu du confortable salaire qu’elle recevait, était une très belle maison. Là encore, ses souvenirs étaient fragmentaires. Il se souvenait de sa salle de bains, d’une eau bouillonnante coulant sur eux, alors qu’il prenait la femme dans sa grande douche, contre le mur, enfonçant sa queue symbiotique en elle.

Avait-il seulement dormi ? Il regardait autour de lui, et prit progressivement conscience que Sultry était toujours là, enfouie sous la couverture, à astiquer son membre. Nathan se mit à soupirer faiblement, avant de fermer les yeux, et de laisser sa mémoire revenir. Tout ça était surréaliste, et, tandis qu’ils faisaient l’amour, Sultry lui avait expliqué que Mère voulait le voir demain. À cette idée, la Bête avait redoublé d’ardeur, atteignant un niveau d’excitation insoupçonnée. Nathan avait toujours su que le symbiote en lui était un prédateur sexuel terrifiant, mais il ne se doutait pas encore de sa force... Jusqu’à cette nuit. Un véritable océan de luxure, de bestialité, et de débauche, faite de coups de queues intenses, de griffes, et de morsures. Les deux symbiotes avaient copulé ensemble, et la Bête aurait tout à fait pu enfanter Sultry, si elle ne s’y était refusée, préférant d’abord savoir ce que Mère attendrait de lui. Rien que de penser à cette femme déclenchait en Nathan une sorte de sentiment de soumission, confirmant que le symbiote venait d’une société très matriarcale.

Sultry le fit à nouveau jouir, et Nathan se sentait apaisé. Non, il n’avait pas dormi de la nuit. Lui et elle avaient fait l’amour, sans intérêt, simplement pour le plaisir du sexe. En consultant le réveil, il vit qu’il était 9h du matin. Le rendez-vous était à 10h, et, d’après ce que Sultry lui avait expliqué, « Mère » était la PDG de la Yoshikawa’s Saibatsu, et elle l’avait appelé par son vrai prénom : « Venomess ». Pour Nathan, il ne faisait plus aucun doute que cette famille de symbiotes était liée à cette histoire de stéroïdes, ainsi qu’ à la disparition de Takeaki. Sultry s’était révélée assez loquace, en lui expliquant notamment que Tashigi était l’une des filles de Venomess, mais sans lui en dire trop sur son enquête... Et Nathan n’avait de toute façon guère été en état de la soumettre à un interrogatoire. Il savait que ces femmes étaient probablement des tueuses, en plus de droguer des élèves, mais il ne ressentait aucune force. La Bête le dominait sur ce point, et l’appétit sexuel qu’il ressentait avec elle était tout simplement trop fort pour qu’il puisse se concentrer, et pouvoir penser à autre chose.

Ils étaient partis vers les locaux de la Yoshikawa’s Saibatsu. Le chemin, qui n’aurait du prendre qu’un quart d’heure, leur prit en réalité tout l’heure. Ils firent encore l’amour à plusieurs reprises, Nathan se surprenant à avoir une sorte de libido complètement déboussolée, une soif de sexe insatiable... Et il en allait de même pour Faya, qui finit par se mettre entre ses jambes et par lui faire une intense fellation, pendant qu’il conduisait sur l’autoroute urbaine. Que Nathan ne se soit pas écrasé tenait du miracle. Sur le parking de l’immeuble, ils avaient encore fait l’amour une énième fois, confirmant que Sultry était visiblement gourmande, et fière à l’idée de le présenter, lui, à Venomess.

Tout en montant dans l’ascenseur le menant vers les ultimes étages de la tour, là où il pensait pouvoir trouver la dirigeante, Nathan essayait de faire taire sa mauvaise conscience. Après tout, il n’avait encore aucune preuve réelle que ces femmes avaient réellement provoqué la disparition de quelqu’un. Naturellement, seul un niais aurait pu encore croire qu’elles étaient innocentes, mais Nathan était perturbé par les pulsions qu’il ressentait.

*Les Matriarches sont les pondeuses de notre civilisation... Les mâles mourraient pour elles...*

Il ignorait comment de tels souvenirs pouvaient lui venir à la tête. C’était comme si la perspective de voir cette femme sortait son symbiote d’une longue léthargie, d’une sorte d’hibernation dans laquelle il s’était plongé. Les secrétaires de Venomess le laissèrent passer sans aucune difficulté, et, au bout de quelques minutes, il finit par se retrouver dans le vaste bureau de la PDG.

Dès qu’il la vit, serrée dans une espèce de tailleur noir en latex, Nathan déglutit. Cette présence, cette force. Alors qu’il s’avançait, un vertige le saisit soudain, et il se mit à tituber, une forte migraine le saisissant, si forte qu’il tomba à genoux, se retenant de s’affaler en posant l’une de ses mains sur le sol. Il voyait des images, des visions sombres et noirâtres, émanant des profondeurs de son symbiote, et qui furent si fortes, si intenses, qu’elles provoquèrent en lui une éjaculation précoce. Il se mit à jouir sans comprendre, et resta avec une érection de tous les diables, et un jean avec une belle tâche sombre.

« Vous..., réussit-il à articuler en se relevant. Venomess... Je suis... Nathan Joyce... »

Difficile de dire quoi que ce soit, quand on avait une érection qui vous déformait le jean, et qu’on lisait dans vos yeux une envie de lubricité phénoménale.

Nathan n’arrivait plus à se comprendre, son symbiote était en train de déconner totalement.
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Venomess le samedi 30 novembre 2013, 20:05:55
Ô…..Huhuhuhuhu  ! On dirait bien que le petit Nathan vient de s’éjaculer subitement à la vue de ma beauté enchanteresse, allant même jusqu'à tomber à genoux par des sensations de vertige. Comme c’est mignon…..... Ça me fait glousser délicatement. Mais je sais très bien que c’est le symbiote en lui le responsable de sa situation. Je le sais, car d’ici je peux sentir l’odeur particulière de cette créature s’accroitre à mesure qu’elle me regarde. Une chose est certaine j’ai bien affaire au symbiote quand celui-ci se présenta, non à l’humain. Ce dernier semble même envouter par mon Sex Appeal monstrueux, sa voix fébrile transpire l’admiration qui chasse l’hypothèse d’avoir affaire à un symbiote puissant. Il tient plus du serviteur soumis qu’au prédateur. Voilà qui m’rassure, mais en attendant c’est de la curiosité qui brille dans mes yeux de biche, alors que je me lève tranquillement mon postérieur de mon siège pour m’avancer vers l’hôte du symbiote. Mes hanches voluptueuses se balancent dans une sensualité et une souplesse naturelle tandis que je tourne autour de lui, bras croisés contre ma poitrine rebondissante et index replié sur mes lèvres pulpeuses. Mon regard glisse de haut en bas et de bans en haut histoire de le jauger, vérifié si cette hôte n’avait pas un signe particulier qu’un symbiote habite en lui. À part son entrejambe anormalement gros, rien. Je fais signe à Sultry de nous laisser par un geste subtil de la tête, chose qu’elle exécute aussitôt, avant de faire deux pas de plus vers lui. Toujours cette curiosité qui me titille au visage.

-   Visiblement, ma chère fille ne m’a pas menti quand elle disait que vous étiez bien l’hôte d’un symbiote. L’odeur que votre compagnon dégage en est la preuve. Je m’approche légèrement pour poser une main délicate sous la mâchoire anguleuse du bel homme qui se tient devant moi, appuyant mes deux obus sur son torse viril. Cela fait bien longtemps que je n’avais pas croisé l’un des miens. C’est un immense plaisir…….

Et non, pas de baiser langoureux ! Ma main se retire puis le claquement de mes talons aiguilles claques se dirige vers l’avant du bureau pour que je me m’assois dessus, jambe croisée l’un par-dessus l’autre qui cache toujours mon intimité dépourvue de culotte, mains posées sur le rebord. Pour se finaliser par un sourire coquin, mais sincère.

-   Comme tu as dû l’apprendre, je suis moi aussi une symbiote. Mais une symbiote qui ne fait plus qu’un avec son hôte. Sa conscience s’est assimilée à la mienne et son corps m’appartient depuis longtemps : elle est tellement heureuse avec moi. Mon arrivée sur terre remonte depuis presque un millénaire. Avant ça j’étais l’impératrice d’un puissant empire qui s’étendait sur des dizaines de mondes, la Mère Suprême du clan Zéra’ghul ! La suite  et bien……. C’est un peu trop long à expliquer, mais si tu préfères, mon vaisseau mère de nature bio-organique a subi l’attaque d’une flotte ennemie qui m’a expulsée sur l’orbite de cette planète, à des trilliards d’années-lumière de mon monde natal. Il ne reste plus rien de mon vaisseau………

Je soupire profondément, laissant le temps à mon invité d’honneur d’assimiler tout ça avant de poursuivre.

-   En ce qui concerne la disparition de Takeaki, disons que l’une de mes filles avait les yeux plus gros que le ventre  et n’en a fait qu’à sa tête en assouvissant sa soif de sexe, même après avoir baisé toute une journée entière. Donc OUI….. C’est bien Asegawa la responsable de sa disparition, ou devrais-je dire Scourge. Son véritable nom. Où est le corps du petit ? Disons que ça fait bien longtemps qu’il est dissous dans l’estomac de Scourge. C’est un bien regrettable accident, mais ce n’est ni la première ni la dernière fois que cela arrive. J’ai fait en sorte de punir mon insolente fille comme il se doit et je doute fort qu’elle refasse deux fois la même erreur.

Ma voix était évasive, témoignant la futilité et l’insensibilité de cet acte qu’une personne lambda de nos jours qualifierait de crime abominable. Nouveau silence, tandis que je me lève de nouveau pour me tenir droite, mains posées sur mes hanches.

-   Et toi, jeune symbiote ? Qu’elle ait ton véritable nom ? De quelle planète vient ? Quel est ton clan ?
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Nathan Joyce le dimanche 01 décembre 2013, 16:22:48
Le brave Nathan n’allait effectivement pas très bien. La Bête s’agitait nerveusement en lui, et il avait l’impression de baigner dans une aura de sexe. Cette femme... Elle n’avait rien à voir avec Sylvie. Lui et Sylvie n’étaient que des contrefaçons, des créations symbiotiques créées par des forces obscures du gouvernement américain. Elle, en revanche, était réelle, et ce n’était pas un vulgaire symbiote. La Bête le ressentait, et, dans une société profondément marquée par les castes, elle était en effet soumise, ce que Nathan ressentait. C’était impensable. Comment imaginer que la Bête, cette créature monstrueuse, qui ne laissait personne se soumettre, puisse être aussi muselée ? Elle était comme un chien de guerre venant de tomber sur son maître. La femme tournait autour de lui, appétissante, délicieuse. Nathan avait une érection de tous les diables, qui déformait son pantalon, une queue renforcée par la Bête, et, tandis qu’elle se glissait autour de lui, des images torrides se glissaient dans sa tête, des images de symbiotes se faisant copieusement et outrageusement l’amour. Nathan respirait lourdement, et, quand la femme se planta devant lui, que son opulente poitrine heurta son torse, l’homme laissa s’échapper de ses lèvres un léger soupir. Il s’attendait presque à ce qu’ils fassent l’amour, mais, au lieu de ça, la femme le laissa pantoise, et se mit à marcher, de cette démarche sensuelle et provocante, en remuant des hanches.

*Elle sent le sexe et la force... La puissance et le pouvoir...*

Incapable d’ordonner à son sexe de se calmer, de décroître un peu, Nathan entreprit de la suivre. Son esprit était bien trop embrumé, l’empêchant de réfléchir. Il n’essaya même pas de savoir, restant à distance respectable du bureau. Trop près de cette femme, ce n’était tout simplement pas possible. Il serait incapable de conserver le contrôle, et il ne voulait pas penser aux conséquences que ça engendrerait. Il fallait qu’il arrive à se calmer, qu’il arrête de penser au corps magnifique de cette femme.

Sa voix était terrible, sensuelle, magnifique, prenante, mais les mots qu’elle employait n’étaient pas mielleux. Elle expliqua qu’elle était ici depuis plus d’un millénaire, une ancienne impératrice, soit un symbiote extrêmement influent, qui avait fini par échouer sur Terre. De tels aveux continuèrent à chaudement exciter le brave symbiote, qui se tortillait dans le corps de Nathan. Ce dernier soupirait faiblement, ayant chaud.

*C’est une Matriarche, Nattie-boy... Planter ma queue en elle, c’est un grand honneur pour un mâle... Le simple fait de respirer son propre air, de pouvoir la voir, de la sentir nous toucher... Si tu étais moins frustré, Nattie-boy, j’en jouirais sur place.*

Nathan déglutit à nouveau. La femme se mit alors à parler de Takeaki, et confirma que c’était l’une de ses filles qui l’avait tué. Aucun reproche dans cette voix mielleuse, et Nathan se surprit à estimer que, fondamentalement, ce n’était pas si grave... Comme si cette femme lui était supérieure.

*NON ! Non, Nathan, non ! C’est une folle, une psychopathe ! Parce qu’elle a des nibards, il faudrait tolérer ÇA ?!*

Le flic soupira, incapable de se décider. Son sexe continuait à le démanger, et il en aurait chialé. Comment pouvait-il même se poser cette question ? Il sentait la Bête hurler en lui, lui rugir de se mettre au service de cette femme, de lui obéir, de se laisser faire. C’était encore bien plus douloureux que face à Sylvie, et Nathan se sentait presque vaciller, comme un homme accroché au bastingage d’un navire abandonné en plein cyclone. Il secoua la tête, essayant de reprendre le contrôle, et porta sa main vers sa ceinture, où se trouvait son Glock.

« Je... »

Nathan secoua la tête, regardant la femme. Ce n’était pas que sa beauté physique... C’était aussi l’aura qui se dégageait d’elle.

« J’appartiens... J’appartiens à l’humanité, Madame, à la police, et je... »

Le symbiote se mit à hurler, à tonitruer en lui.

*NATTIE-BOY !*

Là, la Bête était furieuse, furieuse à l’idée que Nathan puisse hausser le ton contre cette femme... Mais elle était une criminelle,e t lui un policier.

« Si vous êtes liée d’une manière ou d’une autre dans un meurtre, il est de mon devoir de vous... »

Il porta une main à son front, en tenant son arme. Avec son érection, il avait l’air de tout, sauf crédible, à pointer son Glock vers la femme. Qui était-il ? Nathan Joyce ? Ou un symbiote sexuel venant de retrouver sa Déesse ? Qui était-il ? C’était comme une perte d’identité. Il voulait tirer sur cette femme, la détruire, mais aussi coucher avec elle, se perdre contre elle. Son esprit lui semblait être un radeau flottant à la dérive, et tout devenait flou. Il secoua la tête.

Nathan Joyce ? Ou la Bête ? Tout ça ressemblait à un putain de conte pour enfants.
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Venomess le samedi 14 décembre 2013, 14:33:19
Je rêve ou bien le petit Nathan compte me tuer en dégainant son arme de poing de son étui ? On dirait bien, pourtant il pue l’hésitation visible à travers les tremblements de sa main. Mais c’est en focalisant mon ouïe sur lui que c’est ce congénère qui l’oblige à n’pas lever la main sur moi. J’en déduis donc qu’il a succombé à mes charmes de créature plantureuse. J’aime ça ! Mais vu qu’il n’a pas fait de liaison chimique avec son hôte, ce dernier conserve toujours sa nature d’humain qui entre en conflit avec sa partie inhumaine. Ugh……. On dirait une mise en scène théâtrale typique. Il se secoue violemment sa tête de gauche à droite, il se débat de l’emprise du symbiote dont j’ignore toujours l’identité. En faite, l’inspecteur n’a toujours pas répondu à mes questions. Du moins, il empêche son habitant de m’parler.

Il trouve quand même la volonté pour sortir son arme conventionnelle, sans pour autant la braquer sur moi. Le truc, c’est qu’il pas de m’éliminer avec ce joujou. A ce distance je peux esquiver sans problème la balle, m’approcher de lui  assez vite pour qu’il ne puisse esquiver un revers de main à lui dévisser la tête de son cou.  Mais serait tellement dommage de gaspiller une aide précieuse, en particulier quand celle-ci est l’hôte d’un semblable. Je suis peut-être une vicieuse inhumaine, une manipulatrice perverse marquer par une arrogance exacerber, mais pas un monstre sans cœur. Je sais me montrer généreuse, trèèès généreuse avec ceux qui me servent avec fidélité. Je peux offrir une nouvelle vie et offrir une situation financière, comme je peux châtier dans la cruauté la plus totale ceux qui me trahissent. Quand je fais les choses, je me donne à fond ! C’est tout moi. Sauf que cette hôte ne semble pas l’savoir, voyant en moi un vulgaire psychopathe en puissance qui tue pour le simple plaisir de faire souffrir. Me comparer à eux est presque une insulte !


Il veut la vérité !? Ainsi soit t’il !


Je m’lève du rebord de mon bureau, puis ma démarche chaloupée me ramène devant un Nathan en conflit perpétuel avec lui-même. Allant me coller contre lui, pressant de nouveau mes seins sur son torse, tandis que ma main délicate glisse sur l’arrière de son crâne que je penche à mon niveau pour lui susurrer sur son oreille droite…….

-   Oui je suis lié au meurtre, et je n’éprouve aucun regret mon poussin. Tu sais pourquoi, hum ? Parce que cela fait bien trop longtemps que je ne suis plus innocente. De plus, tu n’es ni le premier ni le dernier à vouloir m’a peau. Bien des personnes avant toi on essayer de m’arrêter, et tous on finit là, dans mon estomac. Après avoir échoué en m’conduisant sur les carreaux de la justice ♥

La pression de ma poitrine se fait plus forte, puis mon autre main empoigne le gros dard de Nathan dont le pouce titille gentiment le bout. Je fais venir son front contre le mien, plantant mon regard hypnotique sur le sien.

-   Puisque tu es le premier hôte humain que je rencontre, je peux te récompenser grassement, t’offrir le luxe et une vie meilleurs. Si tu veux, je peux aller jusqu'à consoler ton joli manche dans mon intimité toute chaude et douillette ♥ Tu as trouver la sauterie de ma fille inoubliable ? Avec moi tu me suppliera de recommencer encore et encore ♥.……… Mais à une condition : que tu me serves pour toujours.  Et quand je dis ça, j’entends bien sûr, une soumission totale à moi ! Rassure-toi, je ne suis pas de celle qui se montre très exigeante et qui tue ses serviteurs pour la moindre broutille. Ce n’est pas comme ça que je fonctionne. Tu auras toujours droits a aller où bon te semble, satisfaire toute tes envies. Le seul moment où tu sera contraint de m'obéir sera quand je te confierais une tâche. Et Quand je récompense mes sujets, je le fais mieux que quiconque ! Tout comme je peux me montrer très cruel quand on me trahit…… 

Ma poigne sur son phallus se resserre lentement, mais fortement.

-   Mais si tu refuses cette proposition en or dont tu es l’unique humain à recevoir, et bien……..Ton espérance de vie ne durera qu’une fraction de seconde, avant de finir en charpie. Et ta disparition sera vite oublier, comme si tu n'avais jamais existé sur terre. Donc, réfléchis à deux fois avant de commettre l’irréparable ! Tu ignores tout de moi et ce dont je suis capable…….

Si ma voix transpirait la sensualité et gaité au début, celle-ci est devenue plus sombre, plus menaçante au moment ou j'ai serrer le membre bien dur de l'inspecteur. Je lui offrait le choix entre vivre dans une soumission pas si restreinte qu'elle n'en a l'air, ou bien la mort.
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Nathan Joyce le lundi 16 décembre 2013, 01:41:54
Les lignes n’étaient plus clairement établies. Tout était désormais flou. Nathan était face à une femme particulièrement dangereuse, une meurtrière, une tueuse d’enfants, mais il se dégageait d’elle une aura formidable, un tel charisme qu’il était incapable de se contrôler. Il savait qu’il y avait là quelque chose de profondément primal et de profondément bestial, ce qui le faisait rager encore plus. Ce n’était même pas comme si cette femme essayait de le manipuler, elle se contentait juste d’être . La Bête, ce symbiote si monstrueux, si dominateur sur les autres femmes, était ici totalement écrasé, et se révoltait à la simple idée que Nathan puisse menacer Venomess. Son petit pistolet ne pourrait rien faire contre elle, ce que Nathan savait, mais il l’avait brandi comme un symbole, une sorte de manière de se rappeler que c’était lui qui dominait les choses. Lui, Nathan Joyce, et non la Bêta. Malheureusement, son pistolet tremblait, instable, et son trouble s’accrut quand la femme, nullement impressionnée, se pressa contre lui. En sentant ses lourds seins s’enfoncer contre son torse, ses mains glisser sur son corps, Nathan déglutit. Que pouvait-il faire ? Son sexe le démangeait. Son chibre avait envie d’hurler, alors que la voix sensuelle de la femme inondait son esprit.

*Tu es fou, Nathan ! Que crois-tu donc pouvoir faire contre elle ? C’est une Matriarche ! Même Sylvie ne pourrait rien contre elle ! J’ai été conçu et créé pour la servir, pour l’enfanter, et pour mourir à son service. Penses-tu pouvoir me NIER ce DROIT ?!*

Dans sa tête, la Bête s’excitait furieusement, comme un monstre prêt à exploser, poussant au paroxysme la schizophrénie de Nathan. Son regard croisait celui de cette femme, et il lâcha son pistolet. Désarticulé, le Glock tomba sur le sol, et ses mains se posèrent sur les hanches de la femme. Elle lui expliquait qu’il devait, soit la servir, soit trépasser en essayant de la tuer... Comme ceux qui avaient essayé autrefois, et qu’elle avait mangé. Nathan savait que c’était monstrueux, mais cette monstruosité avait aussi quelque chose de délicieusement excitant. Son sexe lui faisait toujours terriblement mal, et son souffle vint à lui manquer quand la main de la femme, habile, chaude, douce, fila sous son jean pour le presser. Dans sa tête, ils e revoyait coucher avec Farrah, cette folle nuit vouée à la luxure, alors que la femme continuait à lui parler. Se soumettre... Se soumettre à elle... Oh, comme cette perspective était tentante ! Que pouvait-il faire, pour la repousser ? C’était comme si toute sa volonté s’envolait au soleil, brûlant comme les plumes des ailes d’Icare.

« Mais si tu refuses cette proposition en or dont tu es l’unique humain à recevoir, et bien……..Ton espérance de vie ne durera qu’une fraction de seconde, avant de finir en charpie. Et ta disparition sera vite oublier, comme si tu n'avais jamais existé sur terre. Donc, réfléchis à deux fois avant de commettre l’irréparable ! Tu ignores tout de moi et ce dont je suis capable... »

Non, il ne l’ignorait pas. La Bête le savait. Un humain normal n’avait aucune chance contre elle, mais Nathan n’était pas un humain normal. Seulement, la Bête refuserait de se battre contre une telle femme. Nathan ne pouvait pas dominer la Bête, surtout pas devant cette femme. Il ne pouvait pas lutter. C’était là une tâche impossible. Nathan soupira faiblement. Coucher avec elle... La servir. La Bête ne voyait pas une meilleure autre approche, et, alors que Nathan croisait le regard de la femme, il comprit qu’il allait définitivement se perdre. Il était comme un deux essayant de se battre face à un flush royal étalé devant lui, une misérable petite brise sur le point de disparaître en mille morceaux.

« Je... Venomess... »

Il soupira à nouveau, observant ses lèvres, et l’une de ses mains vint à se déplacer, glissant le long de sa chute de reins, attrapant ses fesses. Il les caressa délicatement, et remonta l’une de ses mains, attrapant la main de Venomess qui n’était pas occupée à le masturber, et la baisa lentement.

« Je suis... Je suis... »

Il déglutit encore, incapable de détourner le regard.

« Je suis né pour servir des femmes comme vous, Matriarche. C’est là ma vocation première... Comment pourrais-je me révolter contre vous ? »
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Venomess le mercredi 18 décembre 2013, 22:47:13
Huuum ♥ comment puis-je retenir ce soupir coquin que j’expire spontanément lorsque mon nouveau serviteur me palpe l’une de mes fesses ? J’aime tellement que des beaux gosses tels que Nathan Joyce ma caresse mon postérieur tortillant de plaisir. Mais ce n’est pas ça qui fait naître ce sourire maternel s’épanouir de ma bouche velouteuse. Non ! C’est bien ce baise-main séduisant de Nathan, digne d’un roman classique de l’ancien temps, qui vient sceller son allégeance à moi et avec préméditation. En position de révérence obséquieuse, tête baissée devant moi, il présente tous les signes d’une soumission digne d’un fidèle serviteur à son seigneur. Le cœur palpitant d’enthousiasme de vivre une nouvelle vie à mes rangs. Une vie de luxure et de perversité abondante ! Aaaaah….. Je ne me laisserais jamais de cet instant jouissif !

Je finis donc par sortir l’une de mes mains de son futal pour la poser sur sa joue gauche, à l’instar de ma main droite sur l’autre joue. Puis je relève sa tête vers moi, le dévorant de mon regard de croqueuse d’hommes des plus perverses alors que mon entrejambe se plaque contre le bout de l’énorme bosse de l’inspecteur. Alors qu’un pouce caresse l’une de ses joues.

-   C’est bien mon chou ♥ Tu as fait le bon. À partir de maintenant tu m’appartiens désormais, et je peux t’assurer que tu ne vas pas le regretter ♥ Comme promis, tu auras droit à une belle somme bien clinquante. Assez pour te payer l’un des meilleurs appartements de la ville, avec le mobilier digne de cet habitat. Et pour couronner le tout………

J’embrasse brusquement et sensuellement la bouche charnue de Nathan. Tournoyant ma langue contre la sienne, caressant chaque paroi buccale par une finesse résultante d’incalculables siècles d’expérience dans le domaine ! Avant d’interrompre cette minute intime en retirant mes lèvres, vide de substances sédatives. Sans déloger mes mirettes mi- closes de prédatrice sexuel hyperséducteur, au même titre que ma bouche entrouverte.

-   Je t’offre cette chance unique de pouvoir copuler avec moi ♥ d’ailleurs ça tombe bien, je suis toute en chaleur ♥ J’ai follement envie de m’envoyer en l’air, d’engloutir des litres et des litres de spermes par ta bite que je veux me fourrer profondément dans mon sanctuaire intime ♥♥ J’aime me faire pénétrer par les gros engins, surtout quand ils viennent de beau mâle comme toi, huhuhuuhu ♥

Petit clin d’œil adorable que je lui adresse, avant de retourner à mon bureau. Non pas pour m’assoir dessus, mais bien pour appuyer sur une touche de mon téléphone fixe qui me met en ligne avec ma secrétaire.

-   Fushimi. Veuiller à ce que personne ne me dérange. Si quelqu’un souhaite un rendez-vous, dites-lui qu’il devra attendre demain soir.
-   Bien, madame.

Et pour conclure le tout, je m’approche d’un bouton poussoir mural à l’entrée de mon vaste bureau circulaire, abaissant un long rideau de stores sur l’immense baie vitrée panoramique donnant une vue imprenable de Seikusu. Laissant ainsi une pièce éclairer par une applique au plafond. Ni trop forte, ni trop faible. Parfaitement adapté pour des moments érotiques voir pornographique.

Enfermer tous les deux dans une vaste pièce dont personne ne risque de nous déranger, je finis par revenir en face de Nathan. Avec toujours cette démarche à faire damner un saint. Puis je n’hésite pas à revêtir ma Forme symbiotique (http://img11.hostingpics.net/pics/913583BlueandBlackbytasuku13.jpg) devant lui. Je ferme les yeux alors que mon tailleur prend vie, ondule et enveloppe l’intégralité de mon corps sous la forme d’une substance visqueuse et noirâtre. Moulant, épousant chaque nanomètre carré du corps qui appartenait jadis à mon hôte, et s’y colle parfaitement. Chaque trait, chaque relief, chaque définition physionomique de mes muscles sont représentés. Je peux même sentir mes yeux de symbiote apparaitre sur le visage de mon corps, recouvert entièrement par ma masse constitutive propre. Puis c’est ma large bouche garnie de longs crocs effilés qui se dessine jusqu’aux oreilles de ma tête lisse, dépourvue de pilosités quelconques. À la fin, c’est bien plus qu’une seconde peau qui, c’est pratiquement une seconde nudité que je dévoile à mon serviteur !!  Oh ! Je constate aussi que mon motif stylisé, représentant une créature de mon monde natal ressemblant comme deux gouttes d’eau à une araignée, contraste toujours aussi bien avec le fond noir et luisant de ma forme !! Et QUEL délice d’être sous cette forme !!! C’est si excitant d’exposer ma moule dégoulinante de cyprine, ma poitrine opulente avec les tétons pointe, ainsi que ma croupe incendiaire balloter en l’air.

Le terme anglais « Sexy and deadly » me va à ravir !

Sitôt fait, je tends mes bras pour former un V, tirant du revers de mes poings une série de toiles d’araignée aux plafonds pour former un véritable hamac organique gigantesque. Puis d’un salto arrière j’atterris dessus pour m’installer dessus en tailleurs, donnant une vue jouissive sur mon intimité si attrayante à voir et ma posture aguichante, limite outrageuse. J’enroule également un sain autour de ma langue préhensile toute baveuse qui me procure une sensation électrisante. Muumm ♥

-   Vient ♥ Montre-moi que tu vaux mieux que ces pitoyables humains en matière de sexe ♥

Ma voix, bien que féminine, était plus inhumaine.
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Nathan Joyce le samedi 21 décembre 2013, 02:04:19
En d’autres circonstances, la Bête aurait pu trouver offensant que la Matriarche lui propose de l’or... Cette chose-là était bonne pour les humains, pour ces espèces faibles. En d’autres circonstances, il aurait pu se demander si la Matriarche méritait vraiment son respect et sa soumission, ou si, à force de côtoyer les humains, elle avait fini par être corrompue. Était-il venu à elle comme un vulgaire mendiant ? Il était venu au nom de la seule force qui le motivait, de la seule chose qui existait chez lui : l’envie de coucher avec les femmes, de procréer, de remplir son serment avec une Matriarche. Il voulait la baiser sauvagement, tout simplement, et, à défaut, se taper ses filles. La Bête n’était rien de plus qu’un prédateur sexuel, dont la seule finalité de son existence était de coucher avec d’autres femmes, et d’enfanter ses maîtresses. Si elle ne respectait pas son vœu, son agressivité pouvait alors refaire surface, mais elle était ici très tempérée par le désir immense que la Bête recevait.

Venomess se mit à l’embrasser, après avoir promis qu’ils allaient coucher ensemble. Nathan soupira de plaisir, et posa ses mains sur les fesses de la femme, continuant à les palper, à les caresser, ses mains tremblant légèrement. Que Venomess ne pense pas que sa soumission l’amènerait à être tendre avec elle. La Bête avait une sorte de vision égalitaire du sexe, et ne considérait nullement la femme comme une partie faible qu’il fallait ménager. S’il se restreignait en couchant avec de simples humains, c’était pour évident de les briser, mais, avec Venomess, il n’aurait pas la moindre restriction. Elle était la Matriarche, et il sentait en elle aussi bien le désir que l’expérience. Oh oui, il allait la tringler, et ce serait prodigieux, il se le promettait ! Il en tremblait de partout, et répondit volontiers à son baiser... Jusqu’à ce que la femme ne s’écarte, et n’appelle sa secrétaire, lui disant de n’être dérangée sous aucun prétexte. Un choix judicieux. Nathan soupira silencieusement, et, tandis que Venomess fermait les volets, il commença à se déshabiller.

La voir revêtir sa forme symbiotique était délicieusement excitant, un spectacle merveilleux, comme de voir une espèce d’offrande. Nathan déglutit devant cette vision. Le symbiote moulait parfaitement les formes de la femme, permettant de voir son intimité, humidifiée. Il pouvait en sentir l’odeur, et acheva de totalement se déshabiller, finissant tout nu, avec une belle érection. Lentement, l’homme se masturbait en la regardant, entreprenant de se rapprocher. Déployant ses toiles, la femme forma un hamac dans lequel elle alla élégamment se mettre. Nathan salivait sur toutes les parties du corps de la femme : ses dents aiguisés, ses doigts, ses jambes, es seins, le symbole de l’araignée sur son torse, son ventre, ses pieds, sa tête... Elle était d’une telle beauté qu’il se sentait presque sur le point de jouir, et sentait la Bête hésiter. Fallait-il qu’elle se réveille maintenant ? Ou est-ce que la Matriarche préférait, pour l’heure, coucher avec sa forme d’humain ? À défaut d’indication expresse de sa part, il décida de rester ainsi, et se rapprocha lentement.

« Viens, susurrait-elle, de cette voix mielleuse et autoritaire qui le faisait bander. Montre-moi que tu vaux mieux que ces pitoyables humains en matière de sexe. »

Il sourit silencieusement en se rapprochant. Oui, Nathan se souvenait... Les Matriarches, ainsi que la Bête les appelait, étaient des reines, des Impératrices, presque des Déesses, en fait, d’un point de vue humain. Leur appétit sexuel était insatiable, et les mâles s’entretuaient pour leurs faveurs, les Matriarches ne copulant qu’avec les mâles les plus vigoureux, ceux qui absorbaient les hôtes les plus forts. La plus belle mort d’un symbiote était de mourir entre les cuisses d’une Matriarche, et Nathan, sur le coup, ne doutait nullement que Venomess avait du tuer bon nombre de ses amants ainsi. Curieusement, il était incapable de voir en elle un monstre, rien d’autre qu’une femme qu’il allait devoir honorer par son chibre.

Assise en tailleur, elle avait sorti sa longue langue, et s’en servait pour lécher l’un de ses seins. Nathan la rejoignit, et posa une main sur son torse, la poussant, l’envoyant se coucher sur le dos, sur le hamac. Il était fait de toiles d’araignées, très résistantes.

« Je sens votre frustration, ma Reine. Combien de temps avez+vous simplement du vous contenter des queues rabougries des humains ? De leur endurance minable ? Les symbiotes ont toujours su comment pousser la fougue de leurs hôtes dans leurs derniers retranchements, et cet hôte est aussi têtu qu’endurant, je puis vous l’assurer. Et, pour vous le dire très concrètement... Je vais vous défoncer pendant toute la foutue journée »

Il lui sourit, et se pencha sur elle. Son sexe lui faisait atrocement mal, et il n’avait qu’une envie : passer enfin aux choses sérieuses, et l’exploser. Au sens le plus poussé du terme. Des excès de virilités bestiales s’emparaient du corps de Nathan, qui s’allongea sur elle, savourant ce contact organique, gluant, gélatineux. Il lécha sa nuque, et, autour de son sexe, des tentacules noirs jaillirent de son propre corps, afin d’orienter son sexe. Le symbiote de Venomess y répondit favorablement, car de petits tentacules jaillirent autour de son intimité, afin d’orienter le vit de Nathan, pour qu’il s’enfonce en elle. Son sexe se perdit assez rapidement, se glissant en elle, et il commença à donner des coups de reins, avant de remuer son corps, le soulevant de haut en bas, savourant ce plaisir exquis qui s’échappait de son sexe, une sorte de long frisson délicieux. Ses mains virent se presser contre les seins de Venomess, se glissant contre eux, ses pouces glissant sur ses tétons.

« Oh, putain, ce que c’est bon ! lâcha la Bête. Je vais adorer vous baiser, ma belle petite pute de Reine ! »
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Venomess le samedi 21 décembre 2013, 22:38:41
Aaaah, quelle jouissance !! C’est avec les jambes toutes écartées que je m’laisse pénétrer sauvagement par le pieux de mon nouveau serviteur ! Allonger à plat dos, mes jambes s’agrippent agilement autour de la taille de Nathan, puis vient le tour de mes bras qui viennent enlacer le cou de mon partenaire en chaleur. Afin de favoriser l’enfonça de son sexe au plus profond de ma moule toute gonflée par la production accrue de dopamine ! Mes parois vaginales très sensibles se contractent férocement autour de la grosse queue qui….Hummm….. Me font cracher des râles de grosse cochonne entre chaque va-et-vient !! Et encore c’est loin d’être le mot exact, tant je suis bien plus que ça ! Je suis une adepte émérite de la luxure dans sa bestialité pure et dure !

-   Ouiiiii !! OUIIIIIIII !!! UGGGHHH QUE C’EST BOOON ♥♥♥ !!! Je sens ta bite m’inonder de plaisir !!

Mais comme chuis une véritable ogresse hyper vorace, je continue de m’faire baiser tout en rapprochant la figure de mon partenaire contre la mienne pour s’embrasser fougueusement, langoureusement et bestialement à la fois ! S’accentuant de minute en minute ! Soupirant dans sa bouche avec une sensualité purement animal ! Caressant sa langue, l’enroulant, la léchant ! À peine nos ébats commencer que j’étais déjà hors de moi. Ma croupe se tortille, frétille et se balance sous chaque caresse de ses mains sur mes grosses pommes !! Sans oublier mon cœur qui fait la samba à un rythme assez rapide par toute cette jouissance lubrique qui envahit mon être !! Chaque assaut me fait cambrer sensuellement, soulevant mon ventre qui soulève également l’hôte d symbiote comme s’il ne pesait rien ! Est-ce que ça l’étonne ? Je l’ignore, mais c’est un détail sans importance. Après tout, il sait déjà qu’il a en face de lui une puissante Matriarche, alors pourquoi serait-il donc étonné !?

À peine ma langue de sa bouche que j’enchaine par des suçons et des léchouille autour de son cou pendant quelques minutes, Pour ensuite lui susurrer un sensuel……

-   Aller mon petit Nathouney ♥ Fait sortir ton adorable symbiote de son corps ♥ laisse le t’envelopper, que nous puisons passer à la vitesse maximale ♥ TA MAITRESSE DE L’ORDONNE SUR-LE-CHAMP ♥♥♥♥

Car en ce moment, je savoure un festin d’impératrice avec toutes ces hormones que produit mon corps !! En particulier la dopamine que je consomme chimiquement avec une voracité monstrueuse ! 
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Nathan Joyce le lundi 23 décembre 2013, 02:48:54
La manière dont la Matriarche se tendait sous lui, et acceptait sa présence, galvanisait Nathan. Il se retrouvait dans la même sensation qu’avec Farrah Faye... Mais en pire. Face à Faye, le désir avait été comme un feu sans fin, une soif inextinguible. Continuellement, il l’avait baisé, sans relâche, lui défonçant tout le corps, et, face à la Matriarche, le désir était encore plus fort, dominateur, totalitaire. Sa queue lui faisait atrocement mal, et rien d’autre, absolument plus rien d’autre, ne comptait. Une force inépuisable s’emparait de lui, et il s’imaginait volontiers lui faire l’amour pendant des heures et des heures, durant toute la nuit. Cette créature était la raison d’être de son symbiote, et le policier en lui s’était tu, impuissant, écrasé par les pulsions sexuelles de la Bête. La Matriarche le tentait énormément. C’était même plus que de la simple tentation. Venomess s’écrasait contre lui : sa peau, son symbiote, son intimité dans laquelle il s’enfonçait. Il donnait énergiquement, galvanisé par le symbiote, ne sentant pas la fatigue, rien d’autre qu’une terrifiante excitation, qui s’insinuait dans les profondeurs de son corps. Il continuait à s’enfoncer en elle, frissonnant contre ses doigts sur son dos, contre ses seins sur lui. L’une de ses mains agrippa sa tête, et il la laissa alors l’embrasser.

Sa langue s’enfonça dans sa bouche. L’humain gémit de plaisir, au contact de cette langue de serpent, longe et énorme. Le corps du symbiote se collait contre lui. Il collait très légèrement, ce qui faisait que sa chair et la texture du symbiote claquaient ensemble, et que, à chaque fois qu’il se redressait, le symbiote le suivait, avant de se décoller. La sueur du corps de Nathan renforçait cet effet adhésif. Sa peau était chaude, mais la peau symbiotique, elle, restait délicieusement fraîche, tendre, et accueillante. Elle était légèrement gluante, gélatineuse, comme une espèce de long chewing-gum un peu dur et doux. Il pressait sa tête, répondant à son baiser. Les longues dents acérées de Venomess raclaient contre ses lèvres. S’il aventurait sa langue, elle risquait de se faire couper en deux.

Son sexe lui faisait un mal infernal, se perdant dans les profondeurs du corps de Venomess. Sa partenaire et Déesse se laissait pleinement faire, se blottissant joyeusement et sensuellement contre son corps. Elle retira sa langue, pour la glisser sur son cou, répandant un peu de salive sur sa peau. Il frissonnait à nouveau, de plus en plus excité. Ses mains remuaient nerveusement sur elle. Son sexe était dur, douloureux, énorme, et il continuait à donner de puissants coups de reins, éprouvant la solidité de la toile. Nathan grognait et soufflait, lourdement. Les minutes s’écoulèrent ainsi. Il se retenait de jouir, jusqu’à ce que la femme, entre plusieurs hurlements, et de sa voix sensuelle, ne dicte de nouvelles instructions :

« Allez mon petit Nathouney ! Fait sortir ton adorable symbiote de son corps ! laisse le t’envelopper, que nous puisons passer à la vitesse maximale ! TA MAITRESSE DE L’ORDONNE SUR-LE-CHAMP !! »

Le symbiote se contenta de déglutir, et obéit assez rapidement. Il se mit à pousser le long de son corps, depuis son dos, son ventre, ses bras, ses jambes, des tâches noires le recouvrant, des espèces de fibres reliant entre eux les différentes parties. Nathan se mit à grossir, et, au bout de quelques secondes, une masse épaisse de plus d’une centaine de kilos s’abattit sur Venomess. Son sexe grossit également, devenant un beau chibre noirâtre, long et palpitant, avec des veines qui saillaient à sa surface.

« Voilà, ma Reine, lâcha la voix caverneuse du symbiote. Maintenant, je vais te baiser, comme la pire de toutes les putes ! »

L’épais symbiote s’écrasa sur elle, des tentacules jaillissant de son corps pour s’enrouler autour du symbiote. Les deux étaient en osmose, et Nathan se mit à donner des coups épais. Son sexe lui faisait un peu moins mal, sous cette forme, car il se contrôlait mieux. Il fourra sa langue dans la bouche de la femme, donnant des coups de plus en plus intenses, tout son symbiote œuvrant dans un seul et même but, une seule et même fonction : défoncer Venomess, la baiser comme on ne l’avait jamais baisé auparavant. Il n’y avait donc aucune restriction dans ses agissements.

Son éjaculation vint au bout de quelques minutes, et son vit balança des chapelets de sperme dans son corps. Ce fut si intense, les vibrations étaient telles, que la toile commença à se fissurer... Et finit par se rompre. Les deux symbiotes tombèrent sur le sol, et Nathan continuait à la prendre, s’écrabouillant contre elle, ses épais muscles s’écrasant contre son corps, ne cherchant aucunement à la ménager.

Bien au contraire, même.
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Venomess le samedi 23 août 2014, 23:26:51
Ca y est, le symbiote décide enfin à se révéler au grand jour en commençant par engloutir Nathan d’une myriade étouffante de fibres noires s’échappant simultanément sur différentes parties de son corps. Son gabarit devient plus massif à vue d’œil et le poids se fait sentir, bien qu’il reste toujours aussi léger pour moi. Mais la partie intéressante reste ce  magnifique appendice phallique striée de veines qui le parcoure, encore plus large que celui du plus imposant des étalons foulant ce bas monde. Par la Grande Dévoreuse, qu’est-ce qu’il est BEAU !!! Je tremble d’excitation par sa vue tant, il est magnifique, tellement sublime, tellement……..

-     HAAAANNWWOUUUUIIIIIIIIIIIIIIIII…….. HAAAAAAAAAAAAA !!!!

Pas le temps de finir qu’un lot d’excroissances tentaculaires me sangle et me fasse coller fermement contre le torse muscler et viril de Nathan, formant une synergie corporelle rendant cet ébat encore plus épicé qu’il ne l’est déjà ! Mes bras enroulent fermement son cou massif, dont l’épiderme bouillant est aussi dur que du cuir épais, tout en étant aussi souple et lisse que du vinyle. Je ne résiste pas non plus à accueillir sa langue serpentine offrir un joli patin acrobatique avec la mienne, pendant que son entrejambe pilonne massivement ma moule gonflante et humide, mais d’une FORCE………
Hanwoui ! hanwouiii !! HANWOUIIIIIIII !!!! Sa grosse bite libère un torrent de sperme infernal sous pressions qui me procure une sensation tellement électrisante !!! Et encore c’est un euphémisme tellement c’est….. UUGHH, quelle puissance !!! Chaque respiration me fait cracher des gémissements sensuels surpuissants allant jusqu’a faire vibrer les murs et vitres par des vrombissements graves. Mon corps surchauffe comme jamais auparavant, pas depuis des temps immémoriaux !! Comme si cela ne suffit pas, pour la première fois depuis presque une éternité : je transpire. Et en abondance en plus !! Cette combinaison « desserrage corporel + baiser hyper langoureux + pénétration ultra hardcore » me rend folle, mais folle à un POINT dont vous n’imaginez même pas tant c’est indescriptible !!
Jusqu’ici mes périples sexuels ne duraient pas assez longtemps ou n’étaient pas suffisamment intenses pour me faire un tel effet ! Ça m’avait manqué, TELLEMENT manqué !! Depuis le temps que j’attendais de vivre un tel instant…. mon vœu fut finalement exaucé.
Ma raison se noie rapidement par mes pulsions…… mes mains tremble frénétiquement, se crispe…… Je…. je suis sur bientôt sur le point d’atteindre un pallier encore jamais atteint !! A ce rythme-là je….. je vais…….♥

-   VAS Y !! VAS YYYYY !!! UUGGHHHH !!!! DONNE TOUT CE QUE T’AS, NATHAN !!! HUUMMMFFF !!!! BAISE-MOI DE TOUTE TES FOOOORCES !!! T’ENTENDS !!? PLUS FOOORT !!! ALLEEEEEEEEEEER !!!!

Je n’tiens plus ! Toute ces lourds spasmes de plaisirs me fait perdre les pétales ! Humpfh…… j’en ai la bouche grande ouverte….. Suffisamment pour avaler un nouveau-né tout rond si j’en tenais un sur moi !!! Je frotte mon opulente poitrine contre son torse, caresse langoureusement son cou et sa tête de mes mains souillées de fluides corporelles que j’aime sentir coulées le long de mes membres comme de mon corps…….

Ow….. OOWWW…… Ca arrive….. Aller… Aller… ALLERR…….Aaaah…… AAAAAH !!!!

-   HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAMMMMMMMMMMMMMMMPPPPPPPPPPPHHHHHHHHHHHHHHHFFFFFFFFF !!!!!!

Nathan vient de percuter mon bouton du plaisir….. me foudroyant par des gigawatts de jouissances qui…… Haaaann ! Sur ce coup-là, c’est une véritable fontaine de siprine sous pression que ma vulve éjacule à profusion sur Nathan, tels un supervolcan en éruption. Ce raz-de-marée de plaisir va même jusqu’à relâcher l’intégralité de mes muscles, sphinctérien inclus. En d’autres termes : je me chie sur moi, libérant un monticule de déjections que sont devenus les restes de mes dernières victimes. Mais contrairement aux humains, mes déjections sont bien différentes que c’est dernier. En effet ils sont d’un blanc immaculé, sont aussi solides que des os humains avec des fluides laiteux et gluants, sans parler de cette forte odeur de fraise qui s’en dégage. En plus d’avoir des effets aphrodisiaques assez puissants.

Comme quoi, rien dans l’ensemble de mon corps n’est inutile ♥
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Nathan Joyce le mardi 26 août 2014, 01:25:39
Leur fusion devenait une assimilation. La Bête s’emparait de lui, le symbiote prenait le contrôle sur l’hôte en trouvant ce qu’il assimilait à une Reine... Nathan n’arrivait plus à lutter, vaincu comme un deux face à un flush royal. Le symbiote le dominait, et baisait sèchement cette femme, remuant profondément et douloureusement en elle, son vit tendu se perdant dans son organisme. La chair gélatineuse noirâtre des symbiotes claquait entre eux, et il l’embrassait sans relâche, sa longue bouche édentée et ses dents pointus glissant ensuite sur sa nuque, frissonnant à ce contact. Pour Nathan, tout devenait flou et indistinct. Il revoyait des images d’un passé lointain, préhistorique, quand le symbiote qui le contrôlait couchait avec d’autres symbiotes, se mélangeant entre eux, colonisant des mondes entiers. Sa passion pour le sexe... Paradoxalement, Nathan commençait à y voir plus clair dans les motivations de la Bête, dans ce que cette créature cherchait, mais il était incapable de repousser cette pulsion. La Bête prenait le contrôle, et il devenait un étranger dans son propre corps, ressentant tout ce que son corps ressentait, mais sans pouvoir faire quoi que ce soit.

Venomess hurlait de manière hystérique, son tendre corps se tortillant contre le sien, contre ses assauts musclés. Son sexe aurait percé le bassin d’une autre femme, mais, ici, le symbiote et l’hôte étaient tellement imbriqués l’un à l’autre que l’organisme en était modifié, permettant à cette verge noire de s’enfoncer dans ce mélange de chair humaine et symbiotique. La mouille de l’hôte se mélangeait à des tentacules noirâtres évoquant vaguement du slime. C’était des sensations exquises, ô combien jouissives, et, surtout, le sentiment de faire plaisir à sa Reine provoquait un sentiment d’allégresse sensationnel dans le corps de la Bête. Elle hurlait comme une démente, comme une possédée.

L’une de ses mains saisit son cul, se crispant sur sa fesse, et l’autre s’agrippa à sa nuque.

« OUUUUUUUIII !! JE VAIS TE BAISER COMME LA REINE DES PUUUUTES, SALOOOOOPE !!! TE DÉFOOOOOONCEEEEEEEEEER COMME AUCUN DE CES HUMAINS NE T’A JAMAIS EXPLOOOOOOSÉÉÉÉÉÉÉÉ !! »

La langue de Nathan glissait le long de sa bouche... Ou, plutôt, celle de la Bête. Nathan était comme enfermé à l’intérieur, sentant les sensations, sentant le plaisir exploser. Il ignorait qui était cette femme, mais ce contrôle presque inné qu’elle semblait exercer sur la Bête était effrayant. La Bête ne tarda pas à jouir à nouveau, en même temps que Venomess, qui en profita allègrement pour chier. Nathan se déversa en elle, balançant des giclées de sperme. Il y eut une première explosion, comme si une boule de sperme venait d’exploser en elle, arrondissant son ventre, lui donnant l’apparence d’une femme enceinte de plusieurs mois. Son symbiote ingéra ensuite ce sperme, ainsi que les autres filaments que la Bête venait de larguer, se mélangeant avec la mouille de cette femme, une mouille généreuse que la Bête avala quand elle glissa le long de sa verge.

« Tu es enceinte, ma Reine, ricana-t-il en léchant son oreille. C’est si bon de vous engrosser... J’en avais presque oublié à quel point ça l’était... Et vous avez sali le sol. »

Les tentacules retenaient toujours le corps de la femme. Elle était enceinte, et accoucherait d’un symbiote, qui devra ensuite avoir un hôte pour survivre. La Bête aimait tant le sexe, car elle recherchait quelqu’un avec qui procréer. Elle n’avait aucune autre raison d’exister au monde, et, pour l’heure, Nathan ressentait en elle quelque chose d’inattendu... Un sentiment de plénitude et d’accomplissement que la Bête n’avait encore jamais ressenti auparavant.

« J’engrosserai toute votre famille si vous me le demandez, ma Reine... Mais, pour l’heure, je crois que je vais encore vous tringler sévèrement afin de renforcer la force de votre petit bébé... »

Joignant le geste à la parole, Nathan recommença à la prendre, mais en la changeant de position. En fait, il alla la plaquer contre l’une des baies vitrées de son bureau, et enfonça sa verge dans son cul, tout en sécrétant un tentacule en forme de verge, qui s’enfonça dans l’intimité de la femme. Des tentacules jaillirent de son corps, et se saisirent encore de la femme, la plaquant contre son torse, la faisant rebondir contre la vitre, la baisant de plus en plus fort, l’empalant sur sa verge, si bien que les jambes de la femme ne touchèrent progressivement même plus le sol.

La Bête ne s’était jamais autant donnée à fond !
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Venomess le vendredi 29 août 2014, 19:25:00
Humpf ♥ mais c’est qu’il aime bien palper ma fesse droite le petit coquinou, hein !? Ugh, par contre cette poigne sur mon cou est un peu désagréable. Même si celui-ci résiste sans crainte à la force surhumaine de mon partenaire fétishe……
 
Blourgh !

HUUMPHH !!! Ça c’est le bruit du plaisir ! Le bruit de cette violente explosion spermique voluminant mon ventre plat devenue aussi gonflé  que celui d’une mère enceinte de triplé. La puissante vibration qui eut lieu à l’intérieur me fait gémir de plus BELLE par une voix langoureuse et sensuellement chaude sur un fond de feulement de monstre xénomorphe !! Une transe d’une intensité monstrueuse maintenue par ce maelstrom de jouissances charnelles imbibant chaque fibre subtile de mes cellules, vibrant à l’unisson sur l’autel du sexe dans sa forme la plus pure, mais aussi la plus brute qui soit. Voilà un luxe digne d’une Matriarche Suprême digne de ce nom, comme il se doit et qui mérite d’être vécue pleinement !
En effet mon cœur, je suis enfin « enceinte » pour la première fois depuis des lustres…… et quelle joie m’enivre ! J’ai bien sentie cette impulsion particulière, semblable à une douleur très courte mais horriblement puissante au niveau de mes innombrables ovules, tels des grappes de raisins. Un nouveau membre de la famille va bientôt nous rejoindre ♥ Comme cela m’excite, huhuhuhu ♥ Mais le plus excitant dans l’histoire, c’est qu’il y a de très grandes chances que ce/cette symbiote naisse avec un matrimoine génétique beaucoup plus élevée que l’était celui de ses grandes sœurs, du fait que c’est à partir du sperme de simple humains qu’elles doivent leurs existence. Hors, ma nouvelle progéniture est le fruit d’une copulation des plus exotiques avec un humain génétiquement amélioré par un autre symbiote. En plus d’hérité de mon matrimoine génétique, il ou elle bénéficiera également du patrimoine génétique du symbiote et de son hôte. VOILA la différence.
Ce moment doit être immortalisé OBLIGATOIREMENT ! ! Et la meilleure façon est de prolonger cette relation le plus l-o-n-g-te-m-p possible. Ô oui…..♥
Je me languille bestialement tout en gloussant quand la léchouille exquise du symbiote glisse sur mon oreille. Que je lui rend bien par un baiser langoureux, mains plaqué sur chaque côté de sa tête et mes seins s’appuyant sur son torse virile, avant de plaqué mon front penché contre le sien comme le ferait une marié pour son fiancée. Bien que le mariage est un concept inexistant chez les symbiotes. 

-   Ô ouiiii….. Et tu n’as pas la moindre idée de l’immense jouissance que je ressens là, ici et maintenant. Je n’aurais jamais crue, ne serais-ce qu’un instant, à regouter une nouvelle fois cette délectation enivrante sur cette planète, avec un autre symbiote. J’en jouie teeellement que je m’en suis fait dessus, quelle vilaiiine fille je fais, huhuhuhuhu ♥


En effet, nourrir un nouveau-né nécessite beaucoup…beaucoup…BEAUUUCOUUP de nutriments. Principalement de spermes pour être exacte. Et en ce moment, mon bébé adoré à vraiiiment très faiim.

Je le sais car je ressens ce qu’il ressent…….

-   C’est exacte. Et je compte sur toi pour te surpasser…. Ce n’est pas une demande, c’est un ORDRE ! Parce qu’en ce moment, ma progéniture est en phase de développement. Et réclame BEAUCOUP de semanses !

Changement de position cette fois ! Me laissant toujours faire, me voilà retourné et plaqué vivement contre la baie vitrée blindée, Pour commencer une nouvelle manche de sauterie de l’extrême. HAANWW, humhumhum….. c’est donc une belle sodomie que tu me fait Nathan, hein ? Je ne me souviens plus quand remonte ma dernière pénétration rectale, faut croire que toute mes relations étaient purement vaginales. Peu importe, ce qui compte c’est que ça me procure encore et toujours plus de plaisir, et mon vœu est exaucé ! Je peux sentir les fluides lubrifiant sécréter par mes glandes de Bartholines facilite davantage le glissement de la verge massif de Nathan. Mais on dirait bien que je ne suis pas au bout de mes surprises en faisant volteface : une nouvelle verge vient de se former à partir d’une de ses protubérances et vient se loger au fin fond de mon vagin surgonflé à bloc !

-       HAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNNNWWWWWWWWWWWWW !!!!!

Et encore le mot est FAIBLE !! Une double pénétration comme j’en avait jamais goutter d’aussi BOOOONN !!! Bon,n ca fait quand même pas mal de « je n’en ai jamais vécue depuis… » quand même, mais faut voir la vérité en face : c’est un moment exceptionnelle que je vis ! Je goutte à un festin unique au monde, le genre de chose qui n’arrive qu’une fois tout les 1000 ans au moins ! Je gémis toujours aussi bruyamment que tout à l’heure, je jouit comme la grosse gouine que je suis et mon cœur doit être à ses 100 000 battement par minute à l’heure actuelle. Je me retrouve même embrocher par les deux énormes membres phalliques qui me mitraille le fondement de mon intimité à plus d’un mètre au-dessus du sol. Mes muscles sont décontractés à un point que j’ai la flemme total de me retenir de pisser et déféquer, juste pour ne pas laisser échapper la moindre miette de ce festin sensuelle. JAMAIS, et je ne pourrais jamais le dire assez, JAMAIS je n’ai vécue pareil moment. Et quand une telle chose arrive, je me donne obligatoirement à fond dans mon hystérie démeursurée !

Plaqué à même contre la vitre, toujours en me laissant faire, je me sert de la vitre comme appui pour alterner des positions outrageuses, provocatrices et scandaleuses par des jeux de jambes, de bras et de silhouette contorsionnée sensuellement par pur fantasmes obsessionnelles. Boostée par cette perte de la raison qui vient de poser ses 15 jours de grèves. Jambes écartés et postérieurs penché puis courbé pour faciliter la dilatation de mes orifices, auto-palpage de mes gros obus, titillage abusif de mes mamelons en pleine érections, je me permet TOUT, absolument TOUT !

Chaque coup de rein fait glouglouter mon ventre fécond, chargé de spermes très riche en nutriment, pour moi comme pour mon bébé adoré. Parce que OUI, c’est bien beau tout ça mais une telle relation sexuelle, qui doit durer depuis pas mal d’heures déjà, donne faim ! En plus de la fécondation de ma descendance, je digère également cette réserve de spermes qui diminue à vue d’œil par le rétrécissement du volume de mon ventre. Quelque chose me dit qu’il va falloir augmenter la dose ♥

-   Je commence à avoir vraiment très FAIM ! Il me faut plus, BEAUCOUP plus de semences !!! Vue que tes tentacules peuvent se transformer en bite, fait en une autre bien grosse que je pourrais sucer ♥ 
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Nathan Joyce le dimanche 31 août 2014, 01:47:23
Nathan comprenait mieux l’appétit sexuel insatiable de la Bête. Cette femme était gourmande, terriblement gourmande, et son symbiote, celui qui était en train de pousser dans son ventre, avait un fort besoin de sperme pour survivre, se nourrir, et pouvoir accoucher. Dans sa tête, le policier revoyait le passé ancestral de la Bête, une sorte de mémoire collective. Les symbiotes s’assemblaient ensemble, fusionnant pour se reproduire, ce qui pouvait durer des semaines, ne sortant de leur primaire fusion que pour donner naissance à un autre symbiote. Une relation extrêmement fusionnelle, qui était légèrement modifiée quand les symbiotes avaient des hôtes. Le bébé de Venomess aurait rapidement besoin d’un hôte pour survivre, car lui et Venomess ne pouvaient pas l’enfanter en suivant la vieille méthode. Autrement, les symbiotes devaient se séparer de leurs hôtes respectifs, et ils n’en avaient pas spécialement envie. Autrement dit, Nathan allait devoir continuer à faire l’amour à cette femme, à la tringler violemment... Et c’était tout ce qu’il espérait faire.

Maintenue au-dessus du sol par les mains solides de Nathan, Venomess rebondissait contre la solide vitre, mettant cette dernière à l’épreuve, ses seins heurtant la paroi. Il lui défonçait les fesses et le vagin, la pénétrant lourdement, probablement avec une intensité inédite pour lui. Il n’avait jamais baisé avec une telle force une simple humaine, car elle en aurait eu les os brisés. Ses coups étaient rapides, violents, profonds, intenses. La Bête usait de toute sa force dans ce geste, afin de faire hommage à sa Reine. Dans sa psychologie primaire, la baiser était lui faire honneur. Il grognait et éructait dans le dos de la femme, jouissant en elle, à chaque fois généreusement, et des tentacules supplémentaires jaillissaient de son corps, venant s’enrouler autour des jambes de la femme, afin de renforcer leur symbiose.

Pétrir le cul de cette femme ne répondait à aucun besoin sexuel primaire. C’était une perversion, une déviance sexuelle qui tirait son origine dans la fraction d’humanité que la Bête avait acquise en possédant Nathan. Encore une fois, ce dernier se rendait compte qu’il disposait d’un moyen de contrôler la Bête... Théoriquement, du moins. Ici, la Bête était complètement lâchée, pleine de joie à l’idée de rencontrer une femme aussi puissante, remplie de plaisir à l’idée d’accomplir ce pour quoi elle avait été conçue et programmée. Rien ne pourrait détourner ce monstre de son but : défoncer Venomess, faire hurler cette salope, la défoncer, la baiser, encore et encore. Il pilonnait son cul, remuant en elle, donnant des coups de reins rapides, de plus en plus féroces.

« Hummm... Rraaaahh !! »

La Bête beuglait, grognait, baragouinant son plaisir. Venomess finit par donner un ordre auquel la Bête obéit sans hésitation. Un nouveau tentacule jaillit hors de son corps, en forme de verge, et s’enfonça dans la bouche de la femme, frappant si fort en elle que sa tête en fut soulevée, basculant en arrière. Le symbiote ne comptait cependant pas s’arrêter là, l’excitation intense et inouïe qu’il ressentait l’amenant à générer d’autres tentacules, qui se déplacèrent à leur tour. Ils s’attaquèrent aux seins de la femme, et, contrairement aux trois qui étaient en train de la pilonner, ceux-là avaient une sorte de trou à la place d’une verge, un trou avec une multitude de petits dents roses triangulaires faisant office de langues, qui s’acharnèrent sur chacun des tétons de la femme, avalant une partie de ses seins pour lécher leur pointe.

Une grosse claque s’abattit alors sur le cul de Venomess. Nathan grognait et éructait, remuant profondément en elle, la défonçant joyeusement, observant toujours son dos magnifique, cette superbe chute de reins, ce corps symbiote et langoureux. Cette peau noire, gélatineuse, avait quelque chose de magique, étant à la fois fraîche, chaude, dure, et molle. Ses doigts s’enfonçaient en elle sans peine, remuant longuement. Il continuait à la prendre, sans relâche, de plus en plus agressif, continuant à jouir en elle, déformant son ventre, avant que le bébé symbiotique ne vienne se nourrir.

Cette sensation était merveilleuse, magnifique... Nathan peinait à se retenir. Dans le corps de la Bête, il était un prisonnier heureux de son sort, à tel point qu’il en oubliait même l’omniprésent souvenir de Sylvie. Seul comptait sa mission, son objectif primaire... Servir sa Reine. Et l’aider à fonder une famille.
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Venomess le vendredi 15 mai 2015, 20:04:13
Haaan !! Aaah que c’est bon de se faire malaxer le popotin par les mains viriles de ce mâle bien monté qui me baise lourdement et avec toute sa puissance sous les claquements sec et rapides de ses coups de hanches sur moi. La couche de sueur qui suinte mon épiderme symbiotique, au lieu de mon hôte, devient de plus en plus humide et abondante sous cette décharge foudroyante de plaisir incommensurable par mon partenaire qui me suspend en l’air, comme du tripotage de mes tétons érigées et durcies par mes mains habiles. Ma chaleur corporelle est tellement bouillante que je suis certaine qu’on pourrait faire fondre de la raclette dessus. Décidemment, je passe un moment unique….. TELLEMENT unique !! Par la Grande Dévoreuse que je l’aime !!! Ce brave petit symbiote est à la hauteur de toutes mes espérances. Il est même digne d’avoir une place privilégié dans mon estime ! Et ça, je ne le donne pas à n’importe qui……

Comme voulut, Nathan obéit à ma demande impérieuse en générant une protuberence prenant la forme d’une nouvelle verge aussi grosse que celle d’un cheval et que ma bouche accueille à mâchoire grande ouverte. Mhuuuum…. MHUUUUM !!! Elle s’enfonce facilement jusqu’au tréfonds de ma trachée élastique, à l’instar de ma gorge. Et ce gros dard je le pompe férocement, l’enroulant autour de ma langue préhensible. C’est dur de respirer avec un engin pareil. Mes gémissements sensuels et puissants en sont étouffés. Heureusement, ma gorge arrive quand même à filtrer de petites bouffées d’airs et d’expirer par le nez avec plus ou moins de difficulté. Néanmoins, j’opte pour de l’apnée. Va falloir que j’améliore mon corps pour permettre une respiration cutanée. Cette troisième protubérance et tellement puissante qu’elle balance ma tête de haut en bas avec force, chose qui m’excite encore et toujours plus. Mes mains cessent de titiller mes seins pour venir empoigner fortement le tentacule phallique pour le masturber avec une dextérité surréaliste. Peut-il lui aussi gicler du sperme ? J’espère bien !
Tiens !? Mon petit Nathan génère deux autres excroissances de même formes que celle qui me martèle mon orifice buccale. A une différence près qu’elles ont chacunes un trou avec une myriade de dents en lamelles. Oh oui….. Han wouiii !!! Elles engloutissent la moitié de mes seins opulents et je sens aussitôt mes tétons se faire lécher par les milliers de langues triangulaires !!

-   MhuuuuUUUUUMMMMMMMMMHHHHHHhhhhhhhmmmm !!!!!

Oh putin !! Celles-ci me font cambrer en deux sous cette pulsation violente produite par cette explosion de jouissance, alors que je suis allongée en l’air, sanglée par les extensions de Nathan comme une esclave SM ! Bon sang… avec ça, ainsi que les coups de queues violentes et le jus de sperme que mon partenaire déverse en moi… j’en pleure de joie comme pas possible !! Des larmes coulent à flots des yeux de mon hôte, mais remontent jusqu’aux « mes » yeux symbiotiques écarquillé sous la vague de plaisir, pour ensuite perler abondamment le long de mes joues. Ce combos…. il…. il me fait pousser un long gémissement sensuelle, mais très résonnant. Et parallèlement, j’évacue de mon vagin un abondant jus de ciprine jaillir, mêlée à du sperme. Non seulement plus long que le précédent, mais également et surtout plus puissant. Avec la verge faisant office qui obstrue partiellement ma paroi vaginal, il est normal que cela génère de la pression. Le liquide salit davantage le local en s’étalant de partout. Je plains déjà la femme de ménage qui risque d’avoir toute la journée pour nettoyer la pièce, huhuhuhu.
Toute cette apprivoisement en sperme et en dopamine me donne largement de qu’il me faut pour envisager une amélioration évolutive du corps de mon hôte. Seulement voilà…. comme je suis une grosse boulismiste, je ne vais pas m’arrêter là. Même si l’horloge digitale accrochée au mur m’affirme que cela fait déjà dix heures qu’on baise comme des bêtes. Ce qui fait qu’il est déjà vingt heures du soir.

CLAP !!!!  

Haaan, cette claque virile sur mes vilaines fesses  comme je les aime !! Elle m’excite tellement ! Un nouveau couinement coquin sort de ma bouche qui finit de sucer le troisième membre phallique. Je retire ce dernier d’un geste de la main, puis c’est à mon tour de générer deux tentacules gros comme des bras humains à partie de mes flancs et de m’en servir pour me rapprocher au torse de Nathan en l’agrippant par la taille. Mes bras viennent s’enrouler autour du cou de taureau de mon partenaire adoré puis je l’embrasse langoureusement, pendant que la partie inférieure de mon corps et contorsionner en arrière. Jambes écartées parallèlement, non pas par les sangles de Nathan, mais par moi-même. Roulant sensuellement mon boule actuellement pilonné et farcir par les deux grosses verges ayant élargir facilement mes intimités sans difficulté, en raison de leurs élasticités remarquable. Mon ventre gonflé et qui pend dans le vide.

Le baiser dure une dizaine de secondes avant que je recule légèrement ma tête pour faire face à un Nathan tout joyeux de m’engrosser dont je caresse tendrement sa tête.

-   Ô Nathan….. tu peux pas savoir à quel point je t’adore, huhuhuhuhu ♥


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Vendredi 19 octobre 2012, 7h30
Limousine de Kasumi Yoshikawa | en route pour son domicile |

Et bien dit donc…. quelle instant inoubliable ! Nous sommes déjà le 19 alors que j’ai la sensation qu’une minute plus tôt j’étais encore en train de faire l’amour avec mon associer qui se tient assis devant moi, dans ma limousine. Peu de temps après notre ébat exotique, soit une heure plus tôt, j’ai taché de contacté Tashigi Asegawa pour lui confier la charge ingrate de nettoyer mon bureau littéralement souillé par ma ciprine et la semence de Nathan, en plus d’empestait atrocement la luxure pure et dure. Une heure plus tard, je porte toujours cette odeur sur moi.
Ayant toujours mon tailleur en matière symbiotique que je prends, jambes croisées aguicheusement et bras croisées pour faire support à ma lourde poitrine, je passe une main dans mes cheveux pour recoiffer une mèche rebelle. Puis mon regard de velours se colle à mon invité, plongeant une main entre mes deux seins pour y faire sortir une enveloppe que je tends à Nathan. Contenant un présent que j’ai pris soin de placer pendant que Nathan avait le dos tourné.

-   Comme promis mon beau Nathou, je t’offre l’équivalent en Yens de dix millions de dollars. Au début j’avais prévu un million à la base…. mais comme ta performance fut au-delà de tout ce que j ‘estimais, je me suis montré généreuse en montant la somme.

Une fois qu’il la prise, je me détourne de lui pour fixer les immeubles urbains de Seikusu défilée.

-   L’une de mes filles, Sultry, te contactera lorsque j’aurais besoin de toi. Pas besoin que tu notes ton numéros de téléphone sur un papier, elle saura se débrouiller pour trouver le tiens. Elle est très douée pour ça. Je suis même certaine qu’elle l’a déjà.

C’est même pas certain : c’est évident ! Après tout, ne travaille t’il pas dans la police de Seikusu ?
Une minute plus tard, je me tourne de nouveau vers Nathan.

-   Où dois-je déposé ?
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Nathan Joyce le dimanche 17 mai 2015, 01:28:30
Nathan ne reprit réellement ses esprits que dans la limousine de la femme… Et même là, il était encore enivré par cette femme, par son odeur, par son corps, par sa présence. On ne pouvait pas parler d’amour, car ce n’était pas vraiment ce sentiment-là qui prédominait. C’était plus… Et bien, comme une sorte d’adulation, de vénération profonde. La Bête, si autoritaire, était ici totalement écrasée par cette femme, encore plus depuis qu’elle savait que, dans le ventre de la femme, un symbiote était en train de pousser. Ils avaient fait l’amour toute la journée, le soir, puis la nuit, dans chaque partie de l’appartement de la femme, au sommet de sa tour. Le policier se rappelait de chaque moment, des longs baisers, des orgasmes à répétition, des flaques de foutre et de mouille s’étalant contre le sol et les murs. Il l’avait prise contre les solides baies vitrées de son bureau, sur le sol, dans toutes les positions possibles… La Bête s’était surpassée, et, dans la limousine, Nathan comatait à moitié. L’homme accusait le contrecoup de cette activité physique intense et infernale dont il avait fait preuve dans cet appartement, avec cette femme. Une Matriarche… Pour le sommeil qui végétait en lui, c’était comme rencontrer une divinité. Il l’avait pris avec toute la force dont il était capable, uniquement dans le but de l’honorer, et son objectif suprême avait été atteint quand il l’avait fécondé. Maintenant, un bébé symbiotique allait jaillir de son ventre… Nathan aurait dû en être horrifié, mais sa conscience humaine était comme anesthésiée quand il était face à cette femme. Il ne s’était pas attendu à ça… Dès le début de leur confrontation, il avait été perdant. Comme une paire de deux face à un flush royal, il n’avait rien pu faire d’autre que laisser ses pulsions profondes s’exprimer, et ce de la plus intense des manières. Ils avaient couché comme des bêtes, et Nathan peinait à revenir à lui.

La limousine roulait tranquillement, tandis que le soleil, paresseusement, était en train de se lever. La femme lui remit une enveloppe comprenant de l’argent, mais, à ce stade, Nathan n’en avait que cure. Son corps était épuisé, mais la Bête avait encore envie de cette femme. Une envie lancinante et prenante, qui remuait dans ses entrailles, et qui l’incitait à se rapprocher d’elle. Ce qu’il fit d’ailleurs. Elle lui annonça que Sultry le recontacterait pour les revoir, et sa main alla ensuite caresser le ventre de la femme, tandis qu’il s’installait à côté d’elle, l’embrassant dans le creux du cou, reniflant son odeur, humant cette dernière.

« Hum… Dépose-moi où tu veux, ça n’a aucune espèce d’importance… La seule chose qui compte, mon amour, c’est notre bébé… »

Pour vivre et pour s’épanouir, un symbiote avait besoin d’un hôte. Et Nathan savait que cette femme, avec sa richesse et son influence, aurait des candidates possibles. Et lui ne voulait pas rater ça, car il estimait que ce symbiote était aussi le sien. Dans les tréfonds de son esprit, Nathan se révoltait contre cette situation. Cette femme symbiotique ne pouvait être que mauvaise, il en avait conscience… Mais il était incapable de lutter.

« Je veux le voir pousser, ma belle… » affirma-t-il.

Une longue langue reptilienne sortit de sa bouche. Nathan avait repris forme humaine, mais c’était encore la Bête qui le contrôlait. Il l’embrassa sur les lèvres, se montrant assez… Collant. Nathan était comme un pervers sexuel en manque, chose encore plus surprenante qu’ils avaient couché et baisé comme des hyènes pendant des heures. Il en avait encore des frissons dans tout le corps, mais Nathan savait que la Bête était insatiable, et que, plus on la satisfaisait, plus elle en demandait encore.

« Tu es magnifique… »
Titre: Re : The Dark Side of the Man [Venomess]
Posté par: Venomess le samedi 14 novembre 2015, 01:19:42
En fin de compte, Nathan s’en tamponne le coquillard du million de yens enfermé dans l’enveloppe que je lui offre généreusement !? Et bien.... ce n’est pas le genre de réponse qu’on peut s’attendre venant d’un inspecteur pas aussi clean qu’on le croit. Remarque, je ne vais pas m’en plaindre ! Et puis ça peut se comprendre rien qu’en voyant l’état semi-comateux où se tient Nathan. N’ayant pas l’habitude de baiser comme un symbiote, son mental n’a pas supporté aussi bien la durée que le rythme sauvage de notre copulation. Je n’ai même plus affaire avec le Nathan de la première rencontre, au point de ne plus le reconnaitre. Comme s’il ne faisait plus qu’un avec son symbiote, mais avec la mentalité de ce dernier ayant l’ascendance.
Que c’est si beau de voir ça. J’en reviens à le regarder avec un sourire amusé et d’un regard attendrissant, alors qu’il se rapproche instinctivement de moi en allant s’assoir à côté pour ensuite poser une main paternaliste sur mon ventre encore gonflé par la gestation de mon premier enfant issue du premier non-humain que je croise depuis le début de mon séjour sur terre. Mhuum... son baiser sur mon cou et son avis sur l’importance plus grande que tous pour ma progéniture et moi m’envoie ravi. Car encore une fois, il a amplement bien mérité ce privilège.

C’est dans mon geste spontanée et gracieux de ma tête sur le côté, histoire de faire virevolter mon élégante chevelure pour accentuer d’un coup mon charme, que je m’installe sur les genoux de Nathan en me mouvant agilement par un habile jeu de jambes latéral. Posant mes grosses fesses bandantes pile au-dessus de son barreau de chaise entre les jambes, tandis que mon buste se penche vers lui et que mes mains se place contre celle de mon nouvelle agent sur mon ventre fécond.

-   Comme tu voudras mon chou. Je reste néanmoins touché que tu portes une telle importance pour ma progéniture. Tout simplement parce que tu en ai le père. Mais après ce que tu viens de m’offrir, je t’offre ce privilège inestimable d’être.... mon Amant. OUI ! Tu m’as parfaitement entendue : Moi, Grande Matriarche Supérieur du clan Zéra’ghul, je t’aime au point de t’informer que j’éprouve un profond attachement envers toi. Et de t’avoir à mes côtés le plus souvent possible.

Et ce n’était pas des paroles en l’air juste pour lui faire plaisir, sachant que je n’en suis pas à mon premier amant à avoir menti et manipulé avant de m’en débarrasser tel une vieille chaussette trouée qui n’est bon qu’à aller rejoindre les poubelles avec sa sœur jumelle. Avec lui à mes côtés, finis les mâles lambdas dont les trois quarts meurent de plaisir dès le premier quart d’heures et où je dois harceler Sultry d’étouffer ces affaires ! D’ailleurs il était temps, car en ce moment c’est de plus en plus compliqué d’étouffer les affaires de disparitions qui commencent à être présente sur les médias mainstream du Pays.

De plus.... je ne serais plus la seul Symbiote sur Terre, en dehors de mes filles. Huhuhuhu !

Au même moment, ma langue s’allongent et vient s’enrouler sur celle de Nathan qui, elle aussi, veut gouter une nouvelle fois aux douces étreintes d’un baiser de symbiote. Mon visage s’appuie fortement contre celui de l’homme en face moi. Au même titre que ma poitrine. Mon popotin, lui, se dandine sensuellement et joyeusement sur les jambes de l’hôte du symbiote. Baiser qui semble avoir été si cour mais qui, en regardant bien l’heure sur ma montre, a déjà duré plus de cinq minutes. Petit arrêt en plaçant sa tête entre mes mains.

-   Et tu auras toute l’occasion pour assisté à sa sortie de mon ventre..... une fois l’hôte trouver.

Seikusu regorge tant de malheureuse personne dont la vie a été si pute avec eux,certes. Mais les meilleurs cibles de choix sont AVANT tout les orphelins qui, n’ayant ni parents ni amies pour les soutenir, n’ont plus rien à perdre pensent sérieusement à vouloir mettre fin à leurs jours. Aaaah, difficile de trouver mieux. Et j’ai déjà de bonnes pistes par où commencer mes recherches. Huhuhuhuhu ♥

-   Moi aussi je t’adore..... trésor ♥

C’est alors que je l’invite à me suivre dans ma villa de mille mètres carré (la superficie de l’habitation), mélangeant architecture japonaise traditionnelle et futurisme des plus innovant. Dans une pièce où nulle ne pourra nous déranger, idéal pour ne passer des journées... que dis-je.... des mois entiers à baiser comme des bêtes. Sans interruptions.

Ô.... et ma progéniture semble avoir encore faim. Ça tombe bien, c’est l’heure de souper !

FIN DU RP