Le Grand Jeu
Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Discussion démarrée par: Charis le lundi 01 octobre 2012, 16:59:34
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Sur le flanc d'un volcan, en activité, se mouvait une forme, drapée d'une longue cape de tissu de la couleur du sable. Cette forme avait fait tout le tour du géant de feu, préservant le plus possible sa détection en usant d'une magie d'interférence, empêchant ceux et celles pratiquant la magie de détection de repérer sa présence. La chaleur faisait transpirer l'intrus, qui se mit d'un coup à poser genoux à terre, observant les gardes, mais aussi les civils. Sur cette terre leur chef était connu et presque adulé, hors l'intrus comptait faire tomber ce masque adorateur, car derrière se cachait un chef qui esclavagiste les êtres, un être des plus abjecte qui méritait cent fois la mort.
La forme attendis pendant près d'une heure avant de se faire tomber dans le vide, usant furtivement une magie du vent, pour éviter de se briser les jambes à l'atterrissage, puis se mit maîtriser un garde qui allait crier. Un simple chiffon aspergé de chloroforme était plus efficace qu'une magie de sommeil, comme quoi la science sur Terre avait plus d'avantage que d'inconvénient. Entrer dans le village ne fut pas difficile ne soit, même si sa présence suffisait à poser des question, mais se cacher davantage aurait été une insulte même à son esprit chevaleresque. C'est alors qu'un garde se mit à saisir la capuche, dévoilant le visage d'une magnifique blonde aux yeux rouges.
- Présentez-vous et dîtes ce que vous faites ici.
Charis se mit à regarder avec fierté le soldat.
- N'est-il pas coutumes de se présenter soi-même avant de demander telle choses à une étrangère ? Je passerais volontiers ce manque de respect en répondant à votre question fort simple. Charis du Lac, une historienne qui souhaite en apprendre un peu plus sur cette civilisation si atypique qui c'est érigé en si peu de temps comme l'une des plus puissante en terme de politique. Mais cela doit être du charabia à votre oreille.
- Vous avez un laissez-passer ?
Une seconde se mit à passer, pour Charis cela semblait durer une éternité, puis elle se mit à fouiller dans une petite sacoche en lin, dissimulant aux yeux du garde son armure et surtout son arme. C'est alors qu'elle sortie un laissez-passer en règle, vous me direz comment elle l'a obtenue ? La magie des illusions peut servir aussi à faire croire à l'existence d'objet dont on ne détient pas, comme un laissez-passer qui ne doit circuler qu'à de très peu exemplaire. Le garde ne posa pas plus de question et laissa la blonde continuer sa route. La créature put voir que cette cité était vraiment une sorte de dictature centralisée dans un Enfer, ce qui eut comme effet d'énerver davantage la chevalière. Elle se mit à regarder les divers boutiques de ventes, on trouvait bon nombre d'articles, dont de pâles imitation d'armes venant de la Terre, comme un lance-roquette à palsma ou encore un colt tirant des balles causant divers maladie, en somme ce n'était que des armes de mort que seul des fous manipuleraient. En jetant un rapide coup d'oeil sur le côté, elle vit bien que les gardes se rassemblaient. Dans leurs yeux on pouvait y discerner une flamme malsaine, Charis savait que la situation avait changée, il n'était plus l'heure de se cacher.
D'un geste ample, elle défit la cape, dévoilant sa tenue de chevalier. Tout en avançant vers les gardes, elle se mit à sortir l'arme de son fourreau, la lame sonnant comme du crystal une fois sortie de son entrave.
- Vous qui désirez m'affronter, sachez qu'il faudra venir pour croiser le fer.
Folie ? Non, car la créature avait prévu de se battre sur un autre terrain que celui-ci où la population pouvait être victime. Elle pouvait engendrer un conlit, mais pas dans le cas où les dégâts collatéraux étaient des êtres innocents. Sans annonce la de la chevalière se mit à émettre une lumière aveuglante, paralysant les soldats qui essayaient de voir où était Charis. Quand la vue leurs revint la blonde avait prit une grande longueur d'avance.
On pouvait voir de fluctuations magiques apparaitre sur ses jambière. La magie de vent opéra et offrit à Charis une vitesse pouvant rivaliser celle des vampire, devant de temps à autres sauter pour éviter une collision. Les gardes furent surprit de voir un adversaire aussi polyvalent et usant de la magie comme l'on respire, pas un seul mot n'avait été prononcé, pas une seul geste. Charis n'avait pas été la disciple de Merlin, le surpassant même, pour rien.
Avec sa vitesse il fut aisé de se trouver devant le temple, la magie de vent s'annulant pour que derrière les garde surveillant la porte apparaisse la créature.
- Je souhaiterais passer, me laisserez-vous cette action ou devrais-je lutter dans un combat inutile contre vous ?
Les armes sortir et Charis agis avec vivacité, tapant avec le plat de sa lame et sa garde pour rendre inapte au combat les quelques gardes. La créature voulut ouvrir la porte, mais quelque chose semblait empêcher son ouverture de l'autre côté. N'aimant pas se faire passer pour une brute, mais elle n'avait plus tellement de choix, elle devait occire le chef rapidement avant de d'avoir toute la troupe sur le dos et souiller ses mains de sang qu'elle aurait put éviter de verser.
- Excalibur
Une énergie dorée se mit à se déposer sur la lame et elle se mit dans une posture pour trancher de haut en bas la porte. Faisant le geste une vague d'énergie impressionnante se mit à déferler sur la porte, brisant ses dernière en mille morceaux. Il ne s'agissait qu'une pâle imitation, bien diminuée, du pouvoir de l'épée légendaire, mais elle avait de quoi être impressionnante. N'attendant pas de voir à travers le brouillard de poussière, elle se mit à dire d'une voix forte et claire.
- Que ceux qui veulent m'empêcher de tuer votre chef et sont prêt à donner leurs vies s'approche, que les autres restent en retrait, je ne souhaite pas faire de mort inutile.
Cette phrase pouvait sonner comme un aveux de faiblesse, mais pour le cas de Charis il s'agissait de sa grandeur d'âme qui ne pouvait pardonner de tuer des personne innocentes voulants vivre, refusant les combats mortels.
Le brouillard se dissipa et elle fit face à ...
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Dans Inferis, ceux qui pensent réchapper aux commissaires sont des insouciants. Réchapper à eux est comme réchapper à la fournaise. Des litres d'eau glacée ne vous en protégerait que quelques minutes. Et bien c'était le cas avec elle... Sa protection magique n'avait fonctionné qu'un temps. Les gardes affluaient et malgré tout, sa présence devant le temple du feu, cette grande construction d'obsidienne, avait amené Charis dans la gueule du loup. Les grandes portes du temple avaient lâchées sous la magie de cette épée, mais une fois dedans et la poussière levée, c'est un grand hall qui se dessina devant elle. D'imposantes colonnades taillées en dragons soutenant le plafond, l'endroit éclairé par des brasero et une chaleur intense en émanait. Quelques braises brûlantes voletaient dans les airs. Les soldats arrêtèrent d'avancer... Ce lieu leur était interdit... Quelques mages en chasuble de cuir, ou portant juste des bikini, à l'ample chevelure chatoyante et à la peau sombre et brillante se poussèrent sur les côtés, derrière les colonnes. Une voix s'éleva dans les airs, imposante mais féminine, un peu charmeuse.
"Tu as demandé à me voir, cochon rose ?..."
Comme souvent dit, Ishtar voyait les humains comme des cochons. La raison ? Leurs organes étaient compatibles. Ca ne faisait donc pas de doutes, les cochons étaient compatibles avec les humains, car ils venaient de la même espèce. Calmement, Ishtar approcha de la jeune femme. Portant une robe fendue sur les côtés en latex et enveloppant son corps de manière sexy, toute en latex noir, avait de quoi émoustiller n'importe qui. Portant un monocle et une casquette militaire, elle s'approcha. Ses grandes ailes s'ouvrirent, dévoilant une lanterne dans sa serre gauche. Mais le plus inquiétant c'était son katana dans sa main gauche et son pistolet à plasma dans sa main droite. Ishtar n'était pas d'humeur... Sa sieste après les éprouvants jours dans le bastillon de Sylvandell avait été interrompue. Fronçant les sourcils, elle avança d'un pas décidé vers Charis.
"Et bien me voila. Malheureusement, je suis en rogne ! Je ne t'offrirait pas la mort si tu perd aujourd'hui ! Mais tu as le droit à un avantage... Je te laisse me voir arriver."
Rageuse, Ishtar fonça sur son ennemi, gonflant ses grandes ailes pour se donner plus de rapidité et le rabattant violemment pour booster. Forcément, l'humaine eut le temps de donner le premier coup, facilement paré par une dragonne rageuse. Un violent coup d'épaule expédia Charis dans le mur. Coup de pied dans le flan gauche puis coup de queue pour l'envoyer au sol, son armure craqua sous les assauts. Les plates de l'armure cédaient une à une sous les coups avant de retenir son poignet d'une main tenant son épée, et sa gorge avec l'autre. Elle la serra un peu et... sentant sa victoire trop facile, rejeta l'humaine au milieu de la pièce. Furieuse, Ishtar s'approcha de l'humaine et tira avec violence sur l'encolure de son armure, arrachant le plastron et révélant la poitrine de l'humaine.
"Et bien et bien... Tu es bien faite pour une humaine... Après ta défaite, je te conserverai comme trophée !"
Elle ne se priva par pour la peloter un peu en empoignant ses gros seins. Mais elle relâcha vite son emprise, récupérant ses armes. Ishtar l'invitait à continuer le duel !
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Charis ne fut pas dupe sur les propriétés pour le moins spectaculaires, qui en plus d'offrir une très bonne résistance physique, encaisse durablement les assauts magiques, le prix étant bien évidement le poids considérable de ce minerais. Les piliers draconiennes ne surprirent pas la créature, à croire qu'elle s'y attendait, mais en vérité les décorations elle en avait vu énormément et presque plus aucune architecture ne pouvaient attirer un regard interrogateur de sa part.
Elle fut par contre plus regardante sur la tenue de ce qui semblait être des prêtresses ou des magiciennes, en tant que pratiquante elle savait qu'une tenue comme celle-ci était plus approprié pour combattre avec agilité.
Malgrés cela elle ne porta pas le regard sur l'atour des femmes, mais leurs gestes, comprenant directement à leurs attitudes qu'elles allaient laisser place à une personne importante et cette personne en question ne fut rien de plus qu'Ishtar Naviento. Charis la reconnue immédiatement, restant fidèle aux description qu'elle avait put avoir en déboursant de l'argent et en participant à des duels. Le terme "cochon rose" ne fut que peut apprécier par la chevalière, qui d'un autre côté ne s'attendait pas à plus venant d'une esclavagiste que l'on disait sans le moindre scrupule.
Charis se demanda si cela n'avait pas un rapport avec l'histoire de la compatibilité des humains avec les cochons, elle l'avait apprit il y a peu, mais jugea que l'heure n'était pas à se poser des questions, mais rester sur ses gardes. La chevalière se mit à observer la tenue de son adversaire, une tenue qui pouvait attirer les hommes et les femmes, mais qui visiblement n'avait pas un effet d'attraction sur Charis qui trouvait cette robe vulgaire, dévoiler ainsi ses formes la dégoutait. Elle se savait vieux jeu sur la mode, mais ce genre de vêtement était plus repoussant qu'attirant. Ce dont elle se méfiât fut tout d'abords de l'arme, un pistolet à plasma, une arme redoutable couplé à un katana dont la lame était apparemment aussi tranchant que le rasoir.
Quand les ailes se déployèrent, elle se mit immédiatement en garde, la chevalière ne comptait pas tout donner pour l'instant, voulant jauger son adversaire. Bien mal lui en prit de vouloir attendre car l'accélération fut surprenante, ne laissant à Charis le temps de porter une véritable attaque. Le premier échange put commencer.
Le coup d'épaule fut encaissé par le plastron. Le choc au mur fut amortis par un sortilège de vent en forme de bouclier, faisant l'effet d'un airbag. Si le coups de pieds sur sa hanche gauche fut paré par simple réflexe, ne pouvant pas agir suffisamment vite pour éviter le coup de queue qui la fit mordre le marbre avec une certaine violence, une blessure à la tempe saignant légèrement. Heureusement Charis n'en était pas à sa première blessure et savait que cela n'allait pas l'handicaper dans l'immédiat.
Toujours au sol, elle se mit à encaisser les coups, son armure de métal ayant le choix entre se fendre ou se plier. La prise au cou ne fut pas répondu par un gémissement, sa fierté était en jeu et elle préférait mourir que d'offrir à Ishtar un joli spectacle, cependant elle ne pouvait cacher que la situation était en sa défaveur. Charis aurait put changer la tendance, si la prise à la gorge n'était pas une entrave pour parler.
En voltigent au centre de la salle, Charis en appris beaucoup sur son adversaire, en plus d'être rapide, sa force semblait égaler celui d'une créature mythique, de quoi prendre en considération qu'à présent le combat serait certainement à mort.
Elle fut surprise de voir son plastron se faire arracher, l'équipement étant pourtant conçus pour résister à ce genre d'action, le seul soucis fut les attaches qui arrachèrent un peu le tissu en dessous, faisant sauter les agrafes de son soutient-gorge. On comprend donc que dans cette situation le visage de la créature se mit à devenir coloré, un rouge pâle traduisant une certaine honte, mais surtout une colère qui allait exploser. Ishtar remit de l'huile sur le feu en se mettant à toucher la merveilleuse poitrine de la chevalière.
Ishtar put récupérer ses armes et des flammes léchèrent le corps de la dominatrice, laissant non pas une sensation de brulure, mais plutôt la sensation qu'un glaçon lui avait été appliqué à même la peau.
Les vêtements de la chevalière se mirent à bruler, ne laissant cependant à personne la possibilité de voir sa poitrine et son intimité. Des flammes jaillirent une tenue sombre, de près comme de loin on pouvait voir une veste noir à manche longue, suivit d'une parie de gant en cuir noir. Par-dessous une autre veste sans manche, d'un ton plus tiré vers le bleu, recouvrant une chemise grise et une cravate noir. Pour le bas se trouvait un pantalon bleu nuit avec une ceinture en cuir et des chaussures de ville. Sa chevelure fut tenue par un élastique, formant une queue de cheval.
Vous me direz que cela n'est qu'une tenue de ville provenant de la Terre et bien non, il s'agit d'une vêtement spécialement conçu pour l'héritier, dans ce cas là l'héritière, du seigneur d'Avalon. Nul autre personne ne pouvait la porter et personne ne pouvait l'invoquer, étant lié à l'âme de Charis.
Sa première spécificité est de prendre l'apparence que son maître désire, aussi le choix de cette tenue est pertinente car Charis excelle plus dans le combat à main nue qu'en possession d'une arme quelconque. Ce genre de vêtement possède aussi des contraintes, mais seul Charis les connaissaient. Une chose de sûr Ishtar n'allait pas pouvoir de si tôt dénuder la chevalière avec un sort magique ou sa force monstrueuse.
Image de l'armure de Charis (http://www.heberger-image.fr/images/66324_saber.jpg.html)
Son arme avait disparu, consumé par les flammes, cependant la main gauche de la créature fut pointé vers le ciel où une dizaine de cercle magique apparurent, laissant voir l'extrémité de lances diverse. La main droite fut par contre pointé vers Ishtar.
- Lug !Philènedreamor !
Les lances se mirent à tomber sur Ishtar chargé de la magie de la lance de Lug, objet légendaire druidique en référence au dieu Lug, ayant la capacité de tuer d'un seul coup la personne touchée par la pointe de la lance. Pour corser le tout des lianes se mirent à défoncer le marbre pour jaillir vers Ishtar, le but étant de l'immobiliser.
Charis savait la faiblesse de lancer deux sort en simultané, c'est-à-dire être moins agile, car devant garder une part de concentration dans les sortilèges lancées, sa tenue offrait sans doute une protection contre la magie, mais n'empêchait en rien de souffrir.
Ayant conscience de tout cela, elle était prête à annuler le sort des lianes pour ériger une barrière d'obsidienne, profitant que cet élément soit à porté. Serrant les dents telle un chat enragé, Charis se mit à déverser un peu de venin à l'encontre de la créature en latex.
- Vous paierez cet affront de votre vie, même si je dois y perdre la mienne.
Les choses étaient dites, Charis allait y aller sérieusement et ne comptait pas une seconde fois se laisser dominer ou malmener par Ishtar
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La dragonne assista à la transformation de l'humaine pour revêtir un costard pour femme. Dommage, elle qui avait une si magnifique poitrine la cachait à nouveau pour ne pas avoir à se battre nue. C'était bien dommage... On avait rarement l'occasion de mater une personne ennemie ainsi. L'affront l'avait visiblement assez mit en rogne pour employer une magie plus puissante que ce qu'elle avait utilisé plus tôt. Des lances de Lug, c'était déjà plus intéressant. Ishtar savait ce que c'était et la magie blanche ne lui faisait pas peur. Une nécromancienne de ce nom exploitait toutes les façons de faire revenir des morts à la vie et ça comprenait aussi la magie blanche. En plus de ça, elle employa la magie verte pour faire pousser des plantes et des lianes vinrent emprisonner Ishtar. La dragonne savait que la magie verte face à la magie rouge n'était qu'une piètre arme.
"Oh je te rassure, tu ne perdras pas la vie... Oh non."
Ses cheveux s'électrisèrent de magie et ses yeux prirent une teinte violet byzantin même au niveau de la sclérotique. Les sorts magiques d'Ishtar apparurent sur sa peau et entre sa poitrine se dessina la forme fantomatique de sa rune magique, celle qui ornait tout les drapeaux d'Inferis. Lâchant ses armes qui disparurent dans un nuage noir, les lianes prirent aussitôt feu. Lorsque les lances chutèrent, Ishtar en attrapa une avec une rapidité incroyable, avant de frapper les autres descendant avec. Une des lances eut la chance d’érafler son épaule, la faisant saigner en partie. Elle regarda son fluide vital s'écouler alors qu'elle changea la lance dans ses mains en boule d'énergie blanche et la jeta rageusement sur Charis. C'est sans attendre qu'elle fonça sur l'humaine qui eut tout juste le temps de dresser son mur d'obsidienne pour éviter la boule d'énergie. Ishtar avait contourné ce dernier et foncé vers elle avant de saisir sa gorge à nouveau et de la jeter contre une colonnade. Rageuse, Ishtar lâcha un cri de dragon. Ce dernier fit fuir toute magie dans le secteur. C'était un sort de malédiction, très fatiguant à faire pour la dragonne, mais elle en avait déjà assez de ce duel.
"Voyons ce que tu vaux au corps à corps sans aide de la magie, cochon rose ! Approche !"
Elle se mit aussitôt en position de combat, prête à affronter l'humaine au combat rapproché. Faisant signe de venir, il l'invita à se battre !
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Charis eut un frisson à sa nuque, la magie faisait son apparition dans le côté adverse. Ainsi elles étaient toute deux des guerrière pratiquant la magie ? N'entendez pas par là les magelames qui sont experts dans l'armement magique, car ce que la créature légendaire cachait au plus profond était les faiblesses que son armure de tissu imposait. Elle se mit à fixer avec insistance les éléments qui apparurent sur le corps d'Ishtar. Tout d'abord la magie crépitant dans la chevelure bi-color de son adversaire, la magie vint même à tatouer son apparition sur la peau sombre de la dragonne.
Il ne fallait pas être sortie d'une école de magie pour savoir que les runes sont dangereuse par leurs puissance, mais aussi faible face à l'altération.
La fumée noir empestait la magie rouge, le combat se promettait d'être rude si les deux parties avaient de solide connaissance en magie générale. La malchance voulut que la lance la moins chargé en magie de Lug effleure la peau obscure d'Ishtar, une autre aurait sans doute réduit son bras en poussière.
La chevalière put voir les autres lances ressortir du nuage noir, la seule possibilité à cela étant que son adversaire avait trouvé un moyen de les repousser et ce n'était pas de la magie, ce fut en pensant au mot magie qu'elle détecta un sort en préparation et pas un petit. Aussitôt la formation de ses mains changèrent, se tendant vers le danger invisible, prête à réagir au quart de tour, annulant les lianes qui ne pouvaient pas traverser ce brouillard ardent.
La boule d'énergie se mit à partir, balayant une partie du nuage noir au passage. Immédiatement un mot sortie de la bouche de Charis, pour beaucoup les mots qu'elle prononçait ne voulait rien dire, quoi de plus normal quand il s'agit du langage d'Avalon.
- Miglof
Le mur d'obsidienne prit la forme d'un bouclier et le choc fut assez violent, suffisamment pour que la chevalière mette un pied en arrière pour ne pas se faire repousser par la boule blanchâtre. Dans cette situation elle ne pouvait se défendre efficacement à une attaque physique, se faisant saisir de nouveau à la gorge. Cette fois ce ne fut non pas un sol de marbre, mais littéralement une petite colonne, de quoi tout de même mettre à mal le corps de la créature.
Elle allait lancer un sortilège en draconique, prenant en compte le contre-coups de cette action, quand le cris d'Ishtar mit fin à toute magie. Charis le cachait, mais elle était impressionnée qu'une personne puisse user de se sortilège. Dans des temps anciens se cris était conféré aux dragons les plus sages, évitant ainsi les dragons de s'entre-tuer en usant de leurs sortilèges les plus puissants. Maintenant ce savoir est perdu car les humains ont plus pensés à tuer des reptiles volants qu'à tenter de partager leurs savoirs. La chevalière savait ce que cela voulait dire et était aussi rassuré par le fait qu'à présent al magie n'allait plus interférer, sans parler qu'elle put remarquer que ce cris avait quelque peu affaibli Ishtar.
Vint une provocation en règle, même si l'emploi encore de "cochon rose" ne fut pas reposant.
L'espace d'un instant, elle se mit à prendre une profonde inspiration et expira avec autant de profondeur, elle retira sa cravate, la laissant tomber sur le sol, tout comme sa veste à manche longue et déboutonna le premier bouton de sa chemise. Cela n'avait pas pour but de séduire, mais d'être plus à l'aise dans ce combat.
- Mon nom est Charis du Lac, habitante d'Avalon et non "cochon rose". Puisque vous m'invitez, je me dois de répondre à cette invitation.
Elle se mit à tirer sur ses gants et les serrer fermement, pour s'assurer qu'ils étaient bien mit, émettant un léger bruit sous la torsion du cuir. Puis elle se mit à plier légèrement ses jambes, pour prendre une soudaine impulsion, la distance entre les deux combattantes se réduisit en quelque seconde. Charis fit une feinte, ne s'arrêtant qu'à quelque millimètre du visage, alors qu'un autre frappa avec violence dans la gorge, la chevalière fit un rapide pas en arrière pour enchainer avec un coup de pied dans l'estomac. Viser ses points étaient prévue, tout d'abord le choc à la gorge allait engendrer une gêne, si Ishtar ne suffoquait pas en ayant un mal de chien à chaque respiration. Le coups à l'estomac était dans le but de la torde en deux, exposant plus facilement la nuque aux prochains coups que la chevalière porterait.
Charis ne savait pas si Ishtar était une véritable dragonne ou non, ne sachant donc pas si ses coups avaient été amortis pas de fines écailles ou au contraire avaient fait l'effet escompté. Quoi qu'il en soit elle prit un peu de distance dans le cas où Ishtar voudrait user une nouvelle fois de sa queue.
Son esprit était redevenu calme, devant garder son sang-froid face à un adversaire de taille, qui n'allait laisser passer aucune ouverture.
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Le duel fut accepté. Les coups suivant, portés par l'humaine, n'avait pas de quoi mettre au sol une femme aussi forte qu'Ishtar. Les coups à la gorge et au ventre eurent assez peu d'écho malgré la puissance donnée. La nature de dragon de son adversaire avait été plus que vérifié. Par contre, même si l'adrénaline de Charis avait été à son comble pour permettre de tels coups, c'est une vive douleur à la jambe et au poing qui la tira de ses espoirs de victoire. Elle devait avoir l'impression d'avoir essayé de casser des murs de briques avec des coups au corps à corps. La puissance colossale des coups sur Ishtar eurent pour cause de la faire reculer d'un pas. Heureusement, elle n'avait pas mit son collier à pic car sinon la main de Charis aurait été dans un piteux état.
"Bien essayé, cochon rose... Mais mes écailles sont en obsidienne ! Toute rapide que tu puisse être, tes coups ne me porteront pas préjudice !"
Déployant ses ailes, elle les rabattit d'un coup pour se propulser vers Charis. La charge fut feinté au dernier moment car la queue d'Ishtar faucha les jambes de l'humaine. La redressant d'une poigne solide pour la remettre sur ses jambes, c'est un phénoménal direct dans le ventre qui rappela à Charis que son ennemi était d'un tout autre niveau. Relevant son minois, la suite fut un spectaculaire uppercut. Le coup frappa juste sous la mâchoire de l'humaine et fit décoller ses pieds du sol. Effectuant un vol en arrière de deux mètres, elle retomba sur le dos, crâne frappant le sol. Ishtar s'approcha de l'humaine, l'observant avant que les gardes et mages infernois n'approchent. Elle regarda la belle femme avant de claquer des doigts.
"Déshabillez-la, conformez-la et amenez-la moi."
Ca tombait bien, Ishtar avait besoin de distraction. Les mages ouvrirent sa chemise alors qu'elle était dans le vague et posèrent une étrange gemme rouge sur son sternum. Cette dernière se colla d'elle-même et quelques marques magiques et incantations la fit briller. C'était un gobe-force, une gemme de négativité qui absorbait l'énergie vitale et la mana en la laissant à des stades critiques sans entraîner la mort. Pour la retirer, un sort de désenvoûtement serait nécessaire, mais avec le peu de mana qui lui resterait, ce serait impossible. Une fois ça d'assuré, on l'amena dans une salle où elle fut déshabillée, puis on lui plaça gants, bas et petite nuisette en latex. Un collier en cuir avec une laisse lui fit installé avec un cadena. Cela prit encore quelques heures pour son réveil, mais elle fut enfin conduite dans la chambre d'Ishtar qui attendait son esclave du soir. Ses appartements luxueux, avec un lit gigantesque recouverts d'une housse en vinyle, des étagères remplit de sex toy et surtout, la dragonne qui finissait... un niveau sur sa 3DS. Vous êtes surpris ? Même les dragonnes aiment cette console de jeu. Elle avait débuté sur une DS normale et quand la dernière fut sortit, elle avait été s'en prendre une. Les gardes poussèrent Charis dans la pièce, refermant la porte.
"Tient tient... Tu voila mieux disposée, cochon rose..."
Elle referma sa DS, la posant sur une table basse avant de prendre la laisse en douceur. Passant le dos de sa main sur son visage, elle lécha ensuite son cou. Bien sûr, elle eut des réticences de son esclave.
"Allons, cochon rose ! Arrête de gigoter ! Si tu ne te montre pas plus obéissante, je vais devoir sévir..."
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Charis se mit à serrer les dents pour en pas montrer que les coups avait tout de même occasionnés une légère douleur. La douleur Charis pouvait la gérer, mais dans un combat il était nécessaire de la ressentir pour ne pas dépasser la limite que le corps imposait, une fois cette limite dépassée le pronostique vital était engagé. Elle apprit qu'elle avait affaire à un dragon d'obsidienne, n'ayant jamais entendu parlé d'un pareil dragon, la chevalière ne pouvait que supposer sa rareté et la cohérence du milieux où Ishtar avait décédé de vivre, les dragons aimant vivre dans leurs éléments. Ne pouvant pas lutter contre ce mur vivant et encaisser indéfiniment les coups, Charis se mit en tête d'esquiver pour épuiser la dragonne. Vint une nouvelle fois la charge d'Ishtar, on ne pouvait avoir la chevalière par une technique qu'elle avait subit. Aussi se prépara-t-elle à faire une esquive sur le côté, prenant en compte de possible coup d'aile pour freiner sa course.
Quant Ishtar vint à porter son coup de queue, Charis ne possédait aucun appui sur le sol, étant en plein milieu de son bond de côté, faisant une cible facile pour la dragonne qui ne rata pas son coup en la fauchant à l'atterrissage. La chevalière tomba sur les fesses et se fit relever ilico presto, heureusement la tenue de la créature résista merveilleusement bien à la poigne titanesque de la dragonne. Le coup porté au ventre fut mal perçu par le corps de Charis, cette dernière eut le souffle coupé, s'en suivit un coup au menton. L'onde de choc remonta jusqu'à cerveau, causant des interférence et paralysant le corps de la chevalière, aussi en fut-il pas surprenant de ne pas la voir amortir le choc au sol ou être à la merci des mages.
Elle ne pouvait même pas parler, sa bouche refusant de souffrir. L'avalonienne frémit en sentant la pierre rouge s'approcher de son corps, elle ressentait l'aura maléfique de cette pierre magique.
La seule chose qui permettait de voir que Charis souffrait de l'aspiration de son énergie vitale, fut les yeux grand ouverts et des larmes, il y eut aussi quelque signe de convulsion. Les avaloniens avait une plus grande réserve magique et vitale qu'un humain classique, aussi la souffrance de l'absorption ne fut que plus violente. Malgré la douleur et sa faiblesse pleinement visible, son esprit luttait pour ne pas se perdre dans les méandre de l'inconscience, ne pouvant pas se concentrer pour faire bouger son corps.
Elle fut conduite dans une salle où ses vêtement furent retirés, voilà une autre contrainte de ses vêtements, s'ils résistent à la destruction, ils sont totalement sans défense à un déshabillage forcé. Charis put plisser un peu des yeux, essayant d'intimider les personnes en charge de son relookink, mais cela ne fit pas du tout l'effet escompté.
Vint un moment où la lutte mentale fut trop importante et elle sombra dans l'inconscience. Bien lui en fit, car ainsi elle allait pouvoir récupérer plus rapidement des divers coups porté par Ishtar et augmenter ses réserves d'énergies vitales, jugeant que la pierre, comme tout outils magique d'absorptions allait réduire un peu sa consommation pour éviter de saturer.
Son réveil fut accompagné d'une mauvaise surprise, son accoutrement, qu'elle trouvait à la limite du dégoût le plus profond. La chevalière ne pouvait pas supporter le contact du latex, elle avait l'impression qu'on lui tartinait le corps d'une espèce de colle. Ce qui la rendit encore plus rageuse fut certainement le collier autour de son cou. Elle n'était pas une esclave et comptait bien le faire comprendre à Ishtar.
Une fois que les gardes se rendirent compte du réveil de Charis, se traduisant par des insultes en avalonien, les pauvres ne savait pas la quantité de venin craché à leur encontre et celui de la maîtresse de maison. Si sa magie tardait à vouloir revenir, elle fut suffisamment sur pied pour marcher, grogner et emmerder les gardes en gardant une certaine fierté, même si la tenue n'aidait franchement pas.
Quand elle vit la chambre d'Ishtar, la chevalière ne fut nullement surprit de voir une dragonne dans un environnement luxueux, même si elle ne porta pas un regard sur les sextoys, pensant qu'il s'agissait d'une simple décoration comme une autre. Autant de luxe tira un rictus de dégout, comme tout dictateur, Ishtar semblait posséder une vie formidable au détriment de ses sujets. La créature affaiblie se tenait droite, dans sa tête et ses yeux cela se voyait qu'elle n'allait pas rester sur une défaite et qu'une immense joie cela serait de la tuer du regard.
Quant Ishtar saisit al laisse, Charis tendit ses muscles pour ne pas être facilement manipuler, elle lança un regard noir quand la dragonne se permit de la toucher et recula à chaque fois qu'Ishtar voulait la goûter. Bien qu'épuisée par le joyaux qui pompait continuellement son énergie, elle se mit à donner un coup de boule fort faible, niant la douleur de se taper des écailles solide et parla avec une intonation bien venimeuse.
- Je me nomme Charis et non cochon rose. Frappez moi autant que vous voulez, je préfèrerais largement me transpercer le coeur que d'obéir à vos ordre. Je ne suis pas une Tkabol.
Ishtar devait se demander ce qu'était une Tkabol, il s'agit d'une créature domestiquée sur Avalon. Ayant l'apparence d'un furet il est très obéissant mais très fragile d'un point de vu émotionnelle, pouvant mourir d'un simple cris.
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Ishtar voyait bien que sa nouvelle soumise était en réalité encore bien rebelle. Tant mieux, c'était plus agréable avec une victime qui résistait comme ça. Elle pourrait lentement briser sa volonté et en faire la chose qu'elle désirait. Pour le moment bien sûr, c'était quelqu'un, mais d'ici peu, elle serait quelque chose. Ca c'était bien plus intéressant pour Ishtar qui voyait bien que taper son adversaire était des plus inutile. Non, ce genre de soumise en puissance demandait autre chose que juste la baffer, ce qui aurait ruiné la qualité de l'esclave. Ishtar l'écouta parler avant de la saisir par la gorge, la soulevant avec aisance légèrement en l'air.
"Charis la cochon rose... Oublie ton passé, ton fameux "grand avenir" qui n'arrivera jamais. Tu as échouée dans ta conquête du mal et ta quête d'achève ici. En fait, elle s'est achevée depuis cet uppercut. Dès l'instant où tu as été assez dans les vappes pour que l'on pose cette pierre sur ta poitrine, tu as tout perdu. Ta vie, ton avenir, ton âme... Tout ceci est entre parenthèse pour mon seul usage. J'ai gagné, c'est donc tout a fait légitime, non ?!"
Elle la posa sans ménagement sur une chaise avant de coincer ses bras dans des entraves sur les accoudoirs. Ce fut ensuite le tour des chevilles, attachées par des entraves au niveau des chevilles. La chaise en question était entièrement en métal et articulée. Des pistons et des engrenages permettaient de la positionner exactement comme on voulait, que ce soit à plat ou en forme de chaise, voir en table inclinée la tête en bas. Pour le moment, Ishtar resta avec la position assise standard et, prenant du matériel de coiffure, elle commença à brosser les cheveux de Charis dans un triste état, lui faisant un bien plus belle coupe. Gentiment, elle lui brossa ses noeuds, fit deux belles couettes retenues par d'amples noeuds de rubans rouges. Ishtar était très satisfaite. Prenant un miroir, elle montra le résultat à Charis.
"Regarde comme tu fais féminine maintenant. C'est bien mieux. Maintenant ne bouge pas, je vais te maquiller et c'est délicat. Si tu bouge trop ce sera laid et ça te feras mal. Tu n'as pas envie de voir à quoi tu peux ressembler en belle femme ? Je vais ressortir de toi tout cette féminité qui ne demandait qu'à s'échapper."
La dragonne prit une palette de maquillage et commença le travail. Il fallut faire beaucoup de retouches à cause de la non coopérativité de la personne, mais au final, ce fut une réussite. Le visage de Charis exprimait la beauté fatale qui dormait en elle. Comment allait-elle réagir après avoir vu ses yeux soulignés de noir, ses paupières légèrement violacées, ses pommettes un peu plus rose et ses lèvres dans un rouge intense et passionnel. Ishtar prit le miroir et le plaça devant elle à nouveau.
"Regarde-ça... Je n'ai fait que te maquiller et te coiffer et déjà tu montre ce dont ton corps est capable... Tu en veux plus ?"
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Charis n'était pas en état de pouvoir se défendre face à une nouvelle prise à la gorge, devant donc subir une troisième fois l'humiliation de se faire traiter de cette manière, ce qui avait le dont d'énerver davantage la chevalière. Elle comptait bien détruire cette dragonne, même si pour cela elle doit passer par des moyens bas. Ce qu'elle savait pour e moment n'était pas suffisant pour pouvoir percer à jour les points faibles de la dragonne. Tout ce qu'elle pouvais savoir était sa force titanesque qui pourrait la broyer si Ishtar le désirait, une protections écailleuse des plus pénible à supporter et aussi un esprit qui semblait plus machiavélique que les autres adversaires à ce jour. Charis ne fut pas une seule seconde dupe, penser pouvoir la faire perdre espoir sous prétexte, qu'elle était dans une mauvaise situation n'était en rien comparable à ce qu'elle était prête à perdre pour voir son objectif atteint. La chevalière savait que son action pour purifier ce monde du mal allait lui attirer irrémédiablement un nombre croissant d'ennemi, qu'au final elle ne pourrait être considérée que comme un être démoniaque qui a voulu dominer le monde. Mais même en comprenant les conséquences de ses actes, elle c'était jetée dans cette quête et ce n'est pas une dragonne qui allait la détourner de son droit chemin.
La créature légendaire ne fut pas surprise de se voir attachée à ce qui semblait être un outils de torture et à ce moment là un léger sourire apparut, non pas qu'elle était folle, mais pour la chvalière la torturer était un aveu de faiblesse. La surprise se dessina dans sa pensée quant la dragonne se mit à coiffer ses cheveux. Il était vrai que depuis son départ d'Avalon, elle ne prêtait plus grand attention à sa beauté féminine, car une chevalière qui e pouponne tout les cinq secondes c'est idiot et peut crédible. Le plus humiliant fut sans doute de faire des couettes, cela donnait à Charis une image de femme-enfant, ce qui la fit légèrement rougir de honte, cette dragonne allait chèrement payer le fait de la tourner en ridicule.
Le maquillage ne fut pas aisé, car Charis offrit de la résistance, elle détestait le maquillage pour plusieurs raison, la première étant que cela n'était qu'une artifice pour cacher sa beauté naturelle et que les femmes qui l'employaient n'assumaient pas pleinement leur beauté naturelle. C'est aussi pour cela qu'elle ne portait jamais de maquillage. Le résultat choqua plus la chevalière que ne la surprit et la question eut une réponse sec.
- C'est quoi la prochaine étape … me faire porter une mini-jupe ? Vous êtes pitoyable, penser pouvoir me déstabiliser avec une simple illusion. Me féminiser ne vous apportera que plus de mépris de ma part, plus vous jouez à la poupée plus je voudrais vous tuer. Certes la pierre m'empêche de vous lancer un sort draconique dans votre face hideuse, mais je finirais bien par trouver une de vos faiblesse pour vous faire regretter cette mascarade de mauvais goût.
Charis assumait pleinement son corps, étant sans doute une des rare femmes à se contenter de ce qu'elle possède sans chercher à modifier son corps par le biais de sort magique ou d'artifice. C'est pour cela qu'Ishtar allait avoir grand mal à la séduire par un simple maquillage. La peau de Charis frissonnait, n'ayant pas l'habitude de porter de pareille tenue, la chevalière cachait une gêne, en temps normale elle portait une tenue couvrant sa peau, similaire au pyjama sur Terre et puis la latex était une texture si bizare.
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Ishtar écouta la belle prisonnière faire sa rebelle. Que pensait-elle faire comme ça ? Allons allons, elle était cuite et elle ne comprenait pas encore ça ? Jamais elle ne laisserait Charis retirer cette pierre. S'il le faut, elle ferait fusionner cette gemme dans son coeur et la priver définitivement du luxe qu'est la magie. Ca la condamnerait à rester une faible créature jusqu'à la fin de ses jours. Calmement, elle caressa le visage de Charis malgré le poison qu'elle lui lançait sous forme de parole. Mais cette joute verbale fit bien rire la dragonne qui caressa le corps de l'humaine en profitant de ses gros seins. Elle ne pouvait pas se débattre alors autant profiter de sa grosse poitrine qui eut de quoi lui faire plaisir. Tout doucement, elle continua les ronds qu'elle faisait avec ses mains tenant ses gros obus. Souriant, elle répondit enfin aux interjections de l'humaine.
"Allons, cochon rose... Huhuhuhu. Tu ne vois pas dans quelle situation tu es ? Tu as besoin que je te le rappel ? Fort bien..."
Elle s'arrêta de la peloter avant de prendre sa pipe dans une boîte en bois ouvragée. Curetant l'intérieur avec l'outil adapté, elle plaça enfin le tabac et l'embrasa en plaçant simplement son index sur l'embouchure. Inspirant, le visage de la dragonne s'éclaira de la braise de tabac avant de recracher la fumée par ses nasaux. Tout doucement, elle se mit devant elle, la dominant de sa hauteur, tenant sa pipe d'une main et l'autre posée sur sa hanche.
"Tu as échoué... Ta vie m'appartient, c'est ainsi. Tu ne pourras jamais retirer cette gemme, tu pourras jamais me tuer, tu ne pourras jamais retourner chez toi, voir ta famille, ton pays, ta quelconque contrée... Il ne te reste rien désormais, juste ce que je t'accorde à avoir. Maintenant que cela est clair dans ton esprit, sache que tu as perdu autre chose que ta dignité. Tu as perdu ton avenir. Si j'avais consentit à te laisser partir, tu aurais encore put partir pour ton pays, finir femme de ménage ou paysanne et vivre humblement, rejetée par tes proches qui verraient en toi un échec cuisant, souillée par le mal... Mais tu ne partira pas. Comprends-tu maintenant ?..."
Ishtar caressa les cheveux de la jeune femme, soufflant sa fumée autre part avant de déposer sa pipe sur une table basse voisine, sur un reposoir prévu à cet effet. La belle dragonne caressa la jeune fille, passant sa main entre les cuisses de Charis avant de caresser sa fente intime sans ménagement. Son doigt recouvert de latex passa sur son clito en douceur alors qu'elle pelotait encore la poitrine de Charis avec son autre main.
"Si tu es sage, je te traiterait autrement qu'en cochon rose... Il se pourrait même que j'évoque ton prénom... Huhuhu... Tout ce que tu as à faire, c'est comprendre ton sort, l'accepter, et finir tes jours sous mon emprise. Ton avenir ne sera pas si mal... Quand je vais sur terre, mon répondeur est plein de messages de gens désirant ta place..."
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Le visage de Charis se mit à prendre une teinte, couleur tomate, très rapidement alors que sa tortionnaire se mit à toucher sa poitrine avec un amusement certain. La chevalière préféra taire une remarque et essayer de dissimuler la gêne que ce genre d'attouchement produisait. Après tout elle était encore vierge de tout rapport, même Merlin n'avait put toucher sa poitrine avant d'y perdre la vue et c'est ce qui serait arrivé à la dragonne si la pierre n'était pas là. La chevalière se retenu de cracher encore plus d'injure, mais jugea que cette dragonne en plus d'être fort la considérait comme un simple pantin.
Elle profita d'un répit de courte durée pour se mettre à ralentir son rythme cardiaque, elle se savait dans une posture humiliante et aussi inconfortable, qu'elle ne pouvait être libre qu'à la condition que la dragonne daigne offrir un peu de liberté, mais pour cela il faudrait se soumettre à ses ordres et ça Charis préférait ne pas y penser. Son raisonnement ne fut pas de longue durée, l'odeur du tabac chaud titillant son nez assez délicat, la faisant légèrement toussoter. Décidément les humains avaient créer une chose immonde et qui en plus provoquait des maladies pour les plus gros fumeur, elle aurait été ravie qu'Ishtar meurt rapidement avec sa pipe à la main, mais c'était aussi possible que de se faire frapper par la foudre.
Vint un petit monologue qui fit sourire Charis, elle se retenait à vrai dire de rire sous le nez de la dragonne, sachant qu'une telle action aurait comme conséquence de se faire encore étrangler ou que sais-je encore. L'utilisation excessive du mot "jamais" était amusant, car si Charis devait l'user à tord, elle aurait dit que jamais elle ne se plierait à la dragonne, cependant ce mot était usé pour simplement tenter de soumettre psychologiquement la chevalière. Cette dernière savait qu'il y avait toujours une infime chance que ce que dise Ishtar ne se produise pas, car le destin n'est pas figé comme le sont les lettre sur une feuille de papier, un élément extérieur pouvait la venir en aide. Le fait de prédir un avenir médiocre énerva Charis au plus haut point, vivre comme une simple femme, c'était pour elle une perspective pire que la mort, elle avait envie de vivre comme une chevalière et non une femme soumise.
Charis devint plus agitée quand sa tortionnaire se mit à l'aise en caressant des zones fort sensibles, la chevalière essaya de garder un visage fort, mais son inexpérience parlait d'elle-même en plus de son visage qui reprit vite des couleurs amusante. La chevalière entendis la proposition et se mit à se mordre sa lèvre inférieur pour anéantir l'espace de quelque seconde le sentiment qui naissait dans son corps et qui commençait déjà à dévoiler sur les cuisses de Charis. Le corps de la prisonnière commençait à légèrement trembler.
- Les êtres dans votre ... genre ... n'ont aucune ... parole. Allez au Diable.
Pour une fois Charis avait usé d'un terme issu de la Terre, sans doute Ishtar l'avait-elle entendu jadis, encore une fois la dragonne avait tendu la main et la chevalière l'avait mordu sauvagement. Elle ne comptait pas abandonner sa liberté de choisir et encore moins l'abandonner à Ishtar.
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Cette imprécation ne fit nullement peur à Ishtar. Le sourire de Charis ne semblait montrer qu'un manque de respect qui fit froncer les sourcils d'Ishtar. Cela gâchait un peu les caresses qu'elle lui faisait mais elle comprit rapidement quel était le talon d'achille de sa nouvelle esclave... La sexe. Ca la gênait, elle le cachait sous des monceaux d'insultes, de cris et de coups... Mais là elle était totalement sous son emprise, cette humaine. Comment le pouvait-elle après tout ? C'était une petite fille encore, car elle n'avait pas passé le cap. défaisant d'une main le noeud retenant sa culotte de chaque côté de son bassin, elle révéla au grand jour le vagin de Charis. S'amusant à l'ouvrir et le fermer d'une main, elle lâcha un sourire amusé.
"Tu ne connais pas le diable aussi bien que je le connais, ma chère... Y aller est un véritable plaisir !"
La chaise s'inclina pour se mettre en position table, puis bascula soudainement vers l'arrière, de manière à ce que Charis ait la tête en bas très légèrement. La partie jambe se sépara en deux, écartant les cuisses de Charis. S'abaissant, la dragonne à la peau noire enfonça son muscle rose dans sa fente maintenue ouverte. La pointe de sa langue caressa son hymen, encore bien large et pur. Cela amusant fortement Ishtar qui rentra sa langue après en avoir fait le pourtour longuement, appréciant la sensation de cette fine membrane. La dragonne suçota ensuite le clitoris de l'humaine avant de se redresser, regardant l'humaine en faisant des ronds avec son index sur son ventre.
"Les humains sont connus parmi les dragons comme étant la race avec la plus courte durée de vie... Même un gobelin peut vivre plus longtemps que vous. Votre vie si courte et fragile est normalement rythmée par une sexualité courante. C'est pour ça que vous êtes si nombreux. Vous gangrenez ce monde par votre nombre. Mais toi, tu semble un peu différente. Tu as plus de la vingtaine d'années derrière toi et encore vierge... Ou alors tu as été mariée jeune et réservée à un riche ou un seigneur qui a seul droit de cuissage sur toi ? Enfin, peut importe. Je n'abîmerais pas ton précieux hymen et ne ruinerait pas ta virginité si tu répond à ma question..."
Ishtar prit doucement la direction d'une tablette à côté de son grand lit à baldaquin. Les grands rideaux de latex sur le lit et l’alèse en vinyle symbolisaient bien ce lit gigantesque. Ishtar ouvrit une délicate boîte en obsidienne, sortant un gode posé sur la parois rembourrée en vinyle rouge. L'ensemble noble de la chose prouvait que c'était le gode favoris de la dragonne. C'était un jouet en obsidienne, avec une force quasiment humaine, mais déformé dont les bras et les jambes avaient fusionnées. La tout était comme figé, mais luisait une étrange lueur à l'intérieur, avec des runes draconiques sur les côtés. Ishtar lécha le gode avant de coller le bout contre la fente intime de Charis, léchant ses lèvres intimes, l'autre main caressant sa cuisse. En un instant, elle briserait la virginité de Charis...
"Ta condition d'humaine te rend déjà impure par nature... Veux-tu... devenir quelque chose de meilleur ?... Car au fond ce que tu aspire c'est d'être libre et de porter la justice... La justice des hommes est corrompue. Nous, les dragons, avons équilibré ce monde il y a longtemps. Si ce sont les deux choses auxquelles tu aspire tant... Je peux le faire pour toi... Ma question est donc... Souhaites-tu la liberté et apporter la justice ?"
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Charis se mit à lancer un regard noir à la dragonne quand celle-ci se permit, sans son autorisation, de l'alléger de quelque vêtements. Son visage prit une teinte en sentant la main baladeuse d'Ishtar s'amuser avec elle. La chevalière ne savait pas pourquoi son bas-ventre se réchauffait, enfin non elle avait une idée de ce qui se passait, mais ne voulait pas l'admettre.
La créature prisonnière se mit à pousser un cris de surprise quand la table manque se mit en mouvement. Elle se mit à tenter une résistance face à la force des ressorts et vit sa tentative échouée à cause de sa faiblesse, la pierre continuant d'absorber son énergie pour la maintenir en position de faiblesse. Le corps entier de la chevalière se mit à se contracter pour sortir de cet étaux, voulant éviter que la dragonne continue de jouer avec sa langue dans son intimité. Une frayeur se mit à faire son apparition quand Ishtar fit mumuse avec la preuve de sa virginité. Son petit bouton fut aussi victime d'un harcèlement,Charis avait des larmes qui lui venait, elle voulait nier que cela l'affectait, mais son corps montrait la vérité des choses.
En voyant le prochain outil de torture, Charis ne put contenir sa peur et se mit à bouger avec force, n'hésitant pas à puiser dans ses réserves pour essayer de sortir de cette chaise et partir en courant. Elle avait très peur de ce que cette dragonne était capable de faire. Vint le choix que proposa Ishtar, mais Charis ne pouvait pas choisir, l'un et l'autre était si important pour elle. La peur transpirait cette créature asservie, la chevalière se mit à dire la vérité.
- Arrêtez, si vous me dépuceler, je ne pourrais plus être initié à une haute magie.
Charis l'avait caché jusqu'à présent, mais le choix de devenir vierge était tout simplement d'apprendre une magie qui pouvait changer le destin des êtres en offrant leur corps. Mais ce dernier détail, la chevalière ne la connaissait pas. L'esprit chevaleresque semblait avoir été balayé par la peur, Charis ne savait pas quoi choisir, céder sa liberté ? Céder son sens de la justice ?
- Prenez ce que vous voulez, mais gardez moi vierge.
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Ishtar sourit perversement, victorieuse... Charis avait donc un talon d'Achille, le sexe ! Si elle cédait sa virginité, adieu les cours de magies d'une gamme bien supérieure. C'était intéressant la croyance des gens des fois, mais ça allait faire l'affaire d'Ishtar qui, de toutes façons, allait cueillir sa fleur. Il fallait juste la faire languir car quand elle le feras, le dialogue de Charis devras être une imploration... pour se faire baiser ! Dans tout les cas, il fallait maintenant préparer cette petite créature à la peau tendre pour la suite. Retirant ce gode de devant ce sexe offert, Ishtar se permit de lécher d'avantage ce sexe, mais cette fois avec une certaine habilité. Gémissante, elle suça son clito, caressa ses lèvres intimes, ou sa fine parois intime... Elle n'eut pas de mal à trouver l'endroit qui faisait le plus de plaisir à l'humaine et la stimula en priorité. La dragonne noire s'appliqua à le faire longuement jusqu'à ce que Charis ne tremblote de son premier orgasme. Ishtar la regarda, le bas du visage plein de mouille.
"Hora hora... On dirait bien que tu as eut ton premier orgasme... C'était bon, hein ?... Je vais t'en offrir bien plus maintenant..."
Ishtar se rendit à ses étagères de jouets, déposant son gode favoris dans sa boîte avant de prendre une série de vibrateurs et un rouleau de ruban adhésif médical waterproof. La dragonne revint auprès de Charis après ses emplettes terminées. Posant deux vibrateurs sur ses tétons avant de scotcher les télécommandes en place, elle les activa. les vibrations allaient tout de suite à ses seins qui reçurent une stimulation des plus appréciables. Elle passa au reste du corps avant de poser un vibrateur sur son clito, le scotchant efficacement avant de le mettre en route aussi. Plusieurs vibrateurs furent enfoncer dans son anus, un par un... Quatre au total furent mit en elle et Ishtar conclua par un très fin vibrateur, écartant an grand sa chatte.
"Ne t'en fait pas, il est trop fin pour briser ton hymen... Je le fait passer par le pertuis pour tes règles... Ne bouge pas cependant, ne veux pas briser ta pureté..."
Doucement, elle amena le bout du vibrateur éteins dans ce petit trou et le glissa en elle. Une fois bien placé, elle activa la télécommande avant de voir Charis vibrer de mille orgasmes sans pouvoir lutter contre. La belle Ishtar la caressa doucement avant de lui sourire.
"Profite, profite... Je dois retourner à mes obligations alors... Nous nous reverrons dans deux heures. A plus tard ma belle..."
Elle fut laissé en table inclinée vers le bas, ses fluides sexuels coulant lentement sur elle... Ishtar laissa un babyphone dans la pièce pour pouvoir écouter ses tourments à loisir. Charis fut laissée seule avec ses orgasmes à répétition. Ce n'est que bien plus tard que la dragonne revint, souriant de plus belle.
"Tu dois être épuisée ma chérie... Tu veux que je les retire ?"
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Charis, bien qu'ayant au final offert tout à Ishtar, restait quand même tendue, elle ne pouvait pas lutter contre cette peur de l'inconnu qu'était le sexe. Aussi fallut-il plus de temps pour Ishtar pour la faire jouir. La chevalière était perdue, elle sentait un sentiment bizarre s'introduire dans sa tête, tentant de dominer sa raison. Cependant malgré sa tentative, elle finit par avoir un premier orgasme, ce qui se traduisit par le dos qui fit une jolie courbe et un petit cris tout mignon. Le rougeur de la prisonnière ne se dissipas nullement. Charis ne saurait dire si elle avait honte, si elle était gênée ou encore un peu sous l'effet de l'orgasme.
La chevalière voulut parler, mais ses lèvres tremblante furent suffisant pour la faire comprendre que sa voix serait chevrotante. Elle n'eut pas le loisir de répondre que déjà elle se mit à parler en voyant Ishtar revenir avec un drôle de matériel.
- Cela v-va servir à qu-quoi.
Comme la chevalière sa voix tremblait comme une chèvre, de quoi la gêner encore un peu plus. Elle n'eut pas vraiment de réponse à ses sujet et eut très vite la solution. Ses téton se mirent à réagir au contact froid du plastique, la chevalière se mit à pousser un petit gémissement en sentant les vibrations traverser ses seins et remonter. La sensation de plaisir, s'il n'augmentait pas, était contenu à un certain niveau. Elle se mit à légèrement frissonner en sentant le vibrateur sur son clitoris, poussant un gémissement plus fort lors de sa mise en route. Elle se mit enfin à parler quand elle sentit la dragonne vouloir insérer le premier vibrateur dans son anus, car après tout elle ne savait pas que presque n'importe quelle partie du corps humain pouvait servir pour le sexe, sans compter que mettre quelque chose là la paraissait impossible.
- Attendez, je ...
Peine perdu la dragonne inséra le vibrateur, la chevalière se mit à se sentir encore plus honteuse, sentant l'objet se faire pousser par les suivants et la forme des objets sexuelles étant encore perceptible à l'intérieur d'elle. Le corps de la prisonnière tremblait légèrement, les vibrateurs en route amenant la demoiselle à avoir un niveau de plaisir assez haut, sa chatte mouillant et facilita l'insertion du petit vibrateur derrière l'hymen, la tâche étant rendu difficile par le corps de Charis qui tremblait, mais heureusement la chevalière se mit à lutter pour immobiliser au mieux son corps.
Vint le coup de grâce avec l'activation de tout les vibrateurs, faisant cambrer d'un coup le corps de Charis, la chevalière voulut se mettre à demander d'arrêter, mais le flux de plaisir fit office de bâillon. Charis voulut lutter, mais au bout de vingt minutes, elle céda totalement. Ihstar put entendre la voix pendant une bonne heure, puis ne vint que des gémissements qui finirent par disparait. Quand Ishtar vint voir la prisonnière, elle ne fut pas déçue.
Charis était totalement humide, par les fluides sexuelles, mais aussi par la transpiration. La chevalière avaient des trace rouge sur son visage, signe de larmes, sa bouche était ouverte d'où s'échappait de la vapeur d'eau. Ses yeux montrèrent que la flamme qui animait sa volonté avait disparut, elle était entre deux frontière, celui de la conscience et celui qui conduit à l'état de légume facile à rééduquer.
La dragonne se mit à pose une simple question, mais la prisonnière semblait trop faible pour permettre une réponse, ayant de grande difficulté à ne serait-ce que bouger ses lèvres ou sa mâchoire. Le corps se tendait de tend à autre mollement, étant trop épuiser pour réagir avec vigueur à chaque orgasme.
L'esprit de Charis était lui aussi épuisé et il était difficile de savoir si elle souhaitait continuer ou non. La prisonnière était à présent une simple esclave prête à subir un peu n'importe quoi, il allait être facile de changer sa mentalité et d'en faire ce que bon lui semblait.
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Ishtar se rendit rapidement compte en revenant que Charis était brisée. Son esprit avait cédé sous les tortures qu'elle lui avait affligé. La découverte du plaisir l'avait complètement vidée. Fière de sa réussite, la dragonne caressa ses cheveux avant de la remettre en position neutre, sur le dos, la table à niveau, parallèle au sol. Cette peau brillante, recouverte de sueur, de transpiration, de fluides sexuels... plus l'odeur qui se dégageait d'elle et qui mélangeait le tout avait augmenté de façon drastique le plaisir sexuel d'Ishtar qui se put se retenir...
"Hmm... Que voila un magnifique bonbon à déguster..."
La dragonne se pencha et fit courir sa langue sur cette peau souillée. Ishtar ne s'attendait visiblement pas à un tel résultat et ça la rendit énormément excitée. Passant sa langue sur elle, insistant sous les aisselles pour profiter pleinement de cette saveur méconnue des humains et pourtant employée par les bêtes depuis des millénaires, Ishtar augmenta sa libido... Puis enfin, elle passa au plat de résistance. Doucement, elle poussa son sous-vêtement de latex sur le côté pour déguster sa chatte. Elle ne prit pas sa virginité, mais léchait et pourléchait ce sexe malmené, sentant le fil de son vibrateur glissé sur sa langue. Elle léchait même son anus, dont les quatre fils des vibrateurs dépassaient. Une fois rassasiée, et un nouvel orgasme procuré, Ishtar se redressa.
"Je vais étendre un peu les préliminaires. Te voir ainsi m'excite tellement !"
Elle redressa la jeune fille après l'avoir détacher. Vidée de sa force par la gemme et par les orgasmes, Ishtar n'eut aucune rébellion. Redressant complètement son corps, elle la caressa avant de la prendre dans ses bras. Ses pas l'amenèrent lentement vers son harem personnel. Mais elle n'eut pas le luxe de voir les personnes travaillant là. A la place, Ishtar l'amena dans une pièce sombre avec étrangement des trous dans le mur. Un appareil au centre de cette toute petite pièce attira certainement le regard de Charis. Ishtar lui souria avant de l'asseoir sur cette étrange scelle, faisant entrer soudainement un gode dans son petit cul. Il poussa les vibrateurs plus loin en elle. Dans cet angle, Charis faisait face à un trou dans le mur et Ishtar termina de fixer les nombreuses attaches pour la maintenir sur la machine (comme ceci) (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1585908).
"Ceci est une sybian ma belle... Les vibrations de cette machines sont capable de faire jouir les femmes à la répétition, les faisant devenir folles... Ce sera parfait pour te faire aimer le sexe jusqu'au bout maintenant, en particulier la sodomie... Pour le moment tout vas bien, cette machine n'est pas activée, mais après cela, tu seras incapable de réfléchir... Amuse-toi bien !"
Ishtar attendit un seconde que Charis ouvre la bouche pour poser une question, mais un gag ring vint aussitôt emprisonner sa bouche en position ouverte. Ne pouvant attendre, la dragonne activa les vibrations de sybian, rendant déjà son esclave folle de plaisir. Puis doucement, elle apposa un bandeau de latex sur ses yeux, très moulant... Une fois mise sous contrôle, La dragonne n'eut à approcher sa tête du trou pour y faire passer sa tête avant d'abaisser une sorte d'entrave en latex très épais pour bloquer sa tête derrière le mur. Une fois les cadena mit en place, elle mit la sybian au maximum et fit le tour... La tête de l'humaine sortait à hauteur de pubis... Une nouvelle sangle passa de derrière à devant sa face, avec un petit crochet pas du tout pointus en deux parties se mettre dans ses narines, la forçant à lever la tête bien droite et lui faire un groin de cochon.
"Huhuhu ! Voila un beau cochon rose !!! Ma collection s'agrandit..."
Ce couloir avait plusieurs têtes dépassant du mur... de belles humaines transformée ainsi en cochon. La sybian avait finit de rendre certaines folles et ne servaient plus que de décoration et de suceuse aux clients de ce petit bordel qu'Ishtar nommait "le mur des cochons". Ishtar n'accorda déjà plus d'importance à Charis... Soit elle résistait à la folie et dans une semaine elle reviendrait la voir pour s'en assurer... soit elle se brisait totalement et elle resterait ici à compter une cochonne rose de plus à ce mur. Dans tout les cas, Ishtar savait qu'elle ne sera plus saine d'esprit après ça. Il n'y aura qu'à constater les dégâts. En plus... Ne croyez pas qu'on ne les nourrit pas. Un esclave leur donne un litre et demi d'eau par jour, leur fait des perfusions et leur donne une assiette de soupe à chacune... Charis serait maintenue en vie !
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Charis ne put dire qui la trimbalait, jouait avec son corps, la mit dans une posture des plus inconfortable, cependant son corps ne pouvait qu'être manipulé, n'ayant pas la force de bouger, désirant, plus que l'esprit, un instant pour pouvoir se reposer. Ishtar semblait vouloir s'amuser davantage négligeant la fatigue physique et mentale de l'esclave, élément qui allait produire des effets dont la dragonne ne soupçonnait pas encore l'existence. Le corps se mit a réagir dès qu'Ishtar se mit à mettre en route l'outil de torture, bien que les mouvements furent moins rapide qu'une personne en pleine santé et aussi en pleine possession de ses moyens, ce qui n'était pas le cas de Charis.
Le temps combinée à la machine eut tôt fait de mettre la prisonnière à rude épreuve. Tout d'abord il y avait la résistance physique, en restant immobilisée de la sorte les muscles se mirent automatiquement à s'adapter, perdant pendant ses sept jours la force que Charis avait acquit en plusieurs dizaines d'année. Cela ayant une incidence sur son poids qui fut plus allégé, plus en accord avec ce que doit être une femme lambda. Mais il ne faut pas oublier que la poitrine est aussi victime de cette perte de poids, cela n'était pas forcément visible, mais Charis avait perdu légèrement de sa poitrine. Le corps s'adaptait selon les conditions où il était soumis.
L'apport en eau fut suffisant, même si la prisonnière avait tout le temps d'avoir les lèvres sèches. La soupe était un bien maigre repas, quand aux perfusions elles eurent le mérite de fragiliser un peu plus l'organisme.
Cependant sous cette situation, peu enviable, son corps se mit lentement à changer pour s'adapter aux décharges constante que la machine procurait. Le corps voulait bouger à chaque orgasme, mais les entraves empêchait les mouvements, vint donc naturellement des périodes où les muscles étaient douloureux, se combinant aux orgasme, n'aidant en rien Charis à garder l'esprit claire.
Parlons donc de l'état psychologique de Charis, tout d'abord vint la peur, la peur de ne pas résister à cette machine démoniaque, par cette peur elle fut les premiers jours tellement tendue qu'il fut difficile pour les clients de pouvoir s'amuser complètement, la prisonnière étant totalement sur la défensive. Lors qu'elle n'était pas sollicité par les clients, elle devait lutter contre la folie qui était très proche, devant aussi essayer de ne pas s'oublier. Charis eut très souvent des crises de larmes, elle ne voulait pas rester là, elle avait envie de fuir, fuir aussi loin que possible, mais chaque visite démontrait la triste vérité.
Elle se mit à éprouver au fil des jours un peu plus de plaisir sous la douleur, mais cela était aussi une chose qu'elle s'interdisait de penser, non elle ne pouvait aimer souffrir, encore moins aimer sentir le gode vibrer au rythme du sybia. Ce conflit entre vérité et refoulement ajouta un peu plus avec la folie.
Les sept jours se mirent à passer et Charis ne semblait pas brisée, mais son apparence en avait prit un coups. De la radieuse chevalière on ne pouvait la reconnaître qu'à une apparence approximative.
Ses cheveux semblaient avoir perdu leurs vigueurs, des poches sous les yeux montraient que le sommeil était difficile, voire impossible à trouver. Son visage bien entretenu portait les marques de la visite de client.
En entendant Ishtar approcher la chevalière se mit à trembler de peur.
Elle ne pouvait pas voir la dragonne, mais quelque chose en elle permettait de savoir que cette démarche était celle de sa tortionnaire. Charis, bien qu’exténuée se mit bouger, comme si elle espérait que les entraves allaient céder sous sa demande silencieuse. Plus Ishtar s'approchait, plus Charis sentit la peur s'enrouler autour de sa gorge, ayant des larmes aux yeux à l'idée qu'elle veuille encore jouer avec Charis.
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Ishtar revint une semaine plus tard... Une semaine avait été nécessaire pour réduire une cochon rose rebelle qui avait attaqué son temple en une loque. Elle regarda cette tête émergeant du mur, les yeux bandés, le nez retroussé pour servir de groin, la bouche grande ouverte par un anneau et enfin son faciès recouvert de semence séchée. Elle avait été utilisée, encore et encore... Calmement, Ishtar enfonça deux doigts dans sa bouche, caressant d'abord sa langue avant de les avancer progressivement vers le fond de sa gorge. La dragonne ne put s'empêcher de lâcher un rire de plaisir en sentant ses doigts au contact de la luette de sa soumise sans voir de réflexe de vomissement plus fort que ça.
"Une semaine ici... Tu sais que désormais tu ne pourras plus vivre autrement ? Lorsque je te retirerais de cette machine, tu te sentiras mieux... mais très vide, tu sentiras un vide en toi... Tu voudras revenir ici... Même si je te libère, dans quelques jours tu m'imploreras pour redevenir une tête suceuse de mon tableau de chasse... Je le sais bien... tes voisines ont fait la même chose !"
Elle passa derrière le mur, ouvrant la cellule de Charis pour trouver son corps contraint au plaisir. Doucement, elle retira les attaches avant de désactiver la machine. Je passe les détails sur une semaine de besoins naturels fait sur place. Ishtar dégagea Charis avant de la mettre loin d'elle, gardant ses yeux bandés et les mains dans son dos. La donnant à une servante, Ishtar grogna.
"Nettoyez cette cochonne et faite le ménage dans cette cellule... Quand ce sera fait, amenez-la moi, sans enlever son bandeau."
Le temps de faire prendre une douche à Charis, de brosser ses cheveux, huiler son corps et l'habiller avec des bas, des gants, une culotte et un petit top en latex comprimant le peu de poitrine qui lui restait, la pierre ornant toujours sa poitrine, Ishtar fumait tranquillement sa pipe avant de caresser les joues de Charis, mise à genoux, les mains dans le dos. Ishtar apprécia son regard avant de passer ses doigts sur son bandeau de latex sur ses yeux.
"Tu n'as pas vu depuis une semaine... Tu sais combien de temps ta race met pour devenir aveugle quand leurs yeux ne servent à rien ?... Ma servante m'a dit que ton anus était encore tout dilaté... et le frotter te provoque des orgasmes... Je vais te laisser cinq minutes pour m'implorer de retirer ce bandeau sur tes yeux... Si je ne suis pas convaincue, tu refera une semaine au mur... Go !"
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Charis se mit presque à retenir sa respiration, sentant les doigts de la dragonne continuer à s'avancer avec sadisme vers le fond de sa gorge. Même la chevalière se surprit à ne plus avoir de réelle nausée quand Ishtar se mit à jouer avec la luette. Les dires de la dragonne eurent tôt fait de faire naître une peur.
La peur qu'Ishtar est raison, qu'elle soit devenue une simple bête de foire.
La servante semblait être assez forte, Charis ne sentait plus vraiment les odeurs, ayant été exposé pendant une semaine à des odeurs fortes. L'air frai la prit aux narine comme si on lui faisait boire par le nez de l'eau sortit d'un réfrigérateur. La servante émit comme un grognement, était-ce une terranide-tigre ou un autre félin puissant ? Elle ne pouvait le dire, mais très vite l'odeur du savon se mit à picoter son nez.
La prisonnière avait la sensation que son ouïe et son odorat était plus sensible qu'avant sa capture. Elle se souvint, fébrilement, que dans des situations extrême le corps s'adaptait, était-ce qui se passait ?
Charis se mit à sursauter au premier contact de l'eau, une douche tiède, cela semblait une éternité que son corps n'avait pas eut le droit de se faire nettoyer. Elle eut le droit de bouger un peu son corps, étirant ses muscles endoloris par l'inactivité, cependant cet étirement fut minime, ne voulant pas se froisser un muscle. Elle eut un autre sursaut en sentant des mains expertes huiler son corps, Charis n'avait jamais mit d'huile sur sa peau, aussi l'expérience fut troublante.
En marchant, elle se rendit compte que sans sa vue le monde semblait différente, elle devait se fier à ses autres sens, ce qui était pour le moins difficile. La prisonnière avait de bons yeux et y avait trop longtemps compté dessus.
Charis pouvait savoir que la salle où elle était entrée appartenait à Ishtar, la même odeur de tabac, sauf qu'ici elle était chaude et fit un peu tousser Cahris, qui n'était pas une fumeuse et se préservait de toute substance nocive pour son corps.
La prisonnière se mit à avoir peur en sentant Ishtar balader ses doigts sur le bandeau. La dragonne se mit à poser une question qui nécessitait des connaissances que Charis n'avait pas. La remarque sur la dilatation de son anus fut très vite effacé par les cinq minutes de plaidoyer.
Charis ne savait pas trop quoi dire, une simple mauvaise remarque suffirait à la renvoyer au mur. La prisonnière savait d'office qu'une semaine de plus la rendrait folle, elle avait drainé toute ses forces pour ne pas succomber jusqu'à maintenant. Tellement de questions se mirent à transpercer son esprit de toute part.
Fallait-il dire ça ? Ne pas le dire ? Fallait-il la flatter ou plutôt se rabaisser ? On voyait bien que la panique prenait Charis, elle ne savait pas quoi dire, au final ce ne fut pas la raison qui triompha, mais la peur. La peur de perdre ce qui restait d'elle, la peur de finir en simple divertissement dans le mur des cochons.
D'un coups, elle mit sa tête au sol, dans une posture de pleine soumission et elle se mit à sangloter comme une vulgaire gamine.
- Utilisez-moi comme servante ou comme outils, prenez ma vue si vous le désirez, torturez-moi si cela vous plait, mais ne me laisser pas y aller de nouveau. J ... Je ne pourrais pas le supporter.
La prisonnière savait qu'en disant ceci elle perdrait tout droit sur elle-même, mais mieux valait pour Charis de perdre ses droits plutôt que de perdre le peu de santé mentale qu'elle possédait.
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Ishtar souria de plus belle en voyant Charis se mettre face contre terre, effrayée et visiblement réduite à l'état de jouet. Elle avait peur, elle tremblait. La dragonne avait introduit dans le coeur de Charis une notion qu'elle ne possédait pas avant : la terreur ! Mais elle n'était pas brisée. Il y a une différence entre une personne qui a peur et une personne brisée. Charis n'aimait pas le traitement qu'on lui faisait subir, voila tout. Il fallait lui faire aimer et qu'elle s'abandonne à ça.
"Hahahaha ! Tu résistais comme une diablesse la semaine dernière. Maintenant tu implores comme une chienne ! Je vais faire quelques modifications sur toi ma belle... Tu ne vas pas les regretter, ou au contraire les maudire. Mais tu y prendras goût, huhuhu ! Tu es déjà allé trop loin sur la route de la perversion pour revenir en arrière."
Ishtar alla chercher une panoplie avant de demander à des servantes de venir. On immobilisa Charis debout, solidement à la force des bras avant qu'Ishtar n'arrive en face. Elle commença par l'embrasser, ayant mit un aphrodisiaque sur ses lèvres. Puis doucement, Ishtar caressa le visage de Charis.
"Ferme les yeux... Si je les voit s'ouvrir, je les mange à la petite cuillère..."
La dragonne retira le bandeau calmement, constatant que l'humaine l'écoutait... Puis doucement, elle sentit quelque chose sur sa tête... Ishtar tira dessus et petit à petit, il englobait sa tête entière... Une cagoule ! Gardant cette dernière en place, Ishtar fit coïncider parfaitement le latex avec les reliefs de son visage. Juste deux trou pour ses narines et un pour sa bouche, mais Ishtar appliqua une gag ball dans cette dernière, la nouant derrière sa tête. Le bas de la cagoule comportait des passe-ceintures, comme sur un pantalon. Un collier en cuir passa dedans, se fermant avec un cadenas. Visiblement cette cagoule était permanente ! Ses cheveux noués en queue de cheval passa par un orifice à l'arrière. Ishtar claque des doigts et les servantes finirent la pratique en habillant Charis. Ce fut long, mais il s'agissait d'une authentique robe de mariée, toute en vinyle et en latex ! Charis avait même un voile en mousseline noire. Ishtar se mit à rire.
"Je connais vos préceptes chez le catholicisme... Je vais t'unir par les liens sacrés du mariage, hahaha ! En tant que Tsarine, je peux célébrer des mariages... Plus personne ne te voudra comme une femme... Tu devras prêter allégeance à Inferis si tu ne veux pas perdre la face !"
Ishtar mit la mariée à genoux et la dragonne s'installa dans un fauteuil en face. Sa face recouverte en latex, la rendant anonyme, faisait son effet... Ishtar se lassait des cochons roses, ils avaient tous la même face, sans originalité... Rien ne les rendaient attirant des fois, tellement communs. Là c'était déjà plus excitant. Ishtar se mit à lécher cette face recouverte de latex avant de coller son visage contre sa chatte. La dragonne frottait la tête de Charis sur sa fente humide, la tenant solidement par la queue de cheval. Une traînée de mouille apparue sur son arrête nasale, son front, descendant sur sa bouche. Les rires d'Ishtar se muèrent en couinement...
"Huh... Putain... Ca m'excite... Je me suis dégotté un nouveau jouet !"
Ishtar ria à gorge déployée alors qu'elle couina à se frotter sur le visage de Charis. La stimulation était surtout visuel. Ecraser sa fente sur la face d'une humaine deshumanisée, anonyme... Voila ce qui fit mouiller Ishtar qui continua vingt longues minutes jusqu'à jouir d'un puissant orgasme fontaine, recouvrant l'humaine et sa robe de mariée, heureusement waterproof avec les matériaux utilisés.
"Bordel ! Hmmm... Te voila baptisée ! Hahahaha !"
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Charis se mit à écouter la réponse de sa tortionnaire, la chevalière continuait de trembler de peur, ses mains tremblantes, les larmes continuant de chercher une issue de secoure, s'infiltrant où elles pouvaient passer. La prisonnière se mit à frémir en entendant que cette dernière arpentait le chemin de la perversion, ne pouvant contredire par crainte d'être sanctionner, elle resta prostrée au sol serrant, avec une certaine forme de violence, ses mains. Lors de son nettoyage ses ongles avaient été coupé comme il faut, cette initiative évita à Charis de se blesser, les phalanges blanchissant sous la pression qu'elle exerçait sur ses doigts. Elle sentit deux formes s'approcher de son corps et la soulever, mettant cette dernière dans une posture similaire aux crucifiés, seulement ce ne fut pas une lance qui transperça son cœur, mais des lèvres saupoudrées par le fruit de la tentation qui caressa les siennes, comme pour fusionner leurs empreintes.
La chevalière n'offrit aucune résistance quand la dragonne vint à retirer ce qui cachait ses yeux, laissant voir une sublime trace rouge là où la matière avait étouffé la peau. Elle ne réagit pas plus quand Ishtar mit la cagoule. Charis n’aimait pas vraiment la matière, mais ne s'en plaignait pas, à présent qu'elle ne possédait plus aucun droit sur sa personne, elle se devait de s'adapter pour éviter de retourner sur le mur des cochons. Cependant on voyait bien une légère peur à l'instant où la cagoule passa sur ses yeux, les paupière tressaillant légèrement, la chevalière eut un instant d'hésitation entre garder ses yeux ouvert et les ouvrir, sachant pertinemment que toute trace de luminosité allait l'éblouir. Charis fut troublée de n'avoir que son nez pour respirer, sa bouche étant bloquée par un objet dont elle ignorait l'existence, après tout le sexe n'est pas une matière bien connu chef cette femme droite. La prisonnière put sentir ses cheveux saisit pour en faire une queue de cheval, la cagoule semblant adapté. Sa gorge fut un peu serrer, rendant tout déglutisse ment un peu plus dure, sans parler du bruit distinctif du cadenas. Charis tentait de cacher sa peur, elle avait peur que la dragonne joue avec pour le terroriser davantage. Des pensée négatives se mirent à investir son esprit, Ishtar allait-elle réellement la rendre aveugle ? Allait-elle la transformer en un simple jouet. Charis se rendit vite compte que sous la peur elle avait agit bêtement, elle voulait revenir sur sa parole, ce que l'ancienne Charis n'aurait pas fait sans se châtier.
La chevalière ne put savoir quel genre de vêtement on la forçait à porter, ne connaissant pas vraiment la cérémonie catholique du mariage. Car après tout les légende arthurienne sont pour la plupart d'origine celtique, rien qui ne ressemble vraiment au catholicisme. En effet Merlin l'enchanteur aurait été traité de sorcier sous cette religion idiote. En disant que Charis ne sera plus apte à se marier, la dragonne avait enfoncer une autre dague dans le cœur de la prisonnière. Cette dernière se rendait compte que sa tortionnaire s'amusait avec elle, comme l'on s'amuse à tendre un bout de viande à une clébard sans pour autant le lui donner. Trahir sa patrie faisait mal, mais la peur de savoir ce qu'Ishtar serait capable de la faire la rendit plus apte à accepter d’appartenir à Inferis.
Elle ne se rendit pas compte de ce qui se passait, pensant que le fait de l'agenouiller consistait à cette cérémonie. Mais très vite elle se rendit compte que cette dernière n'était pas normal, son corps réagissait bizarrement, elle se sentait chaude à l'intérieur, sans parler d'idée obscène qui se mirent à apparaître de ci de là pour qu'au final se fut la jouissance de la dragonne qui la fasse comprendre ce qui se passait. Charis pouvait sentir la cyprine couler le long de la cagoule, imbibant son cou, passant sur les extrémité comme entre ses seins. Oui la tenue mettait clairement sa poitrine en évidence les comprimant l'une contre l'autre. C'est ainsi que l'on put voir un petit lac se former entre ses seins, le liquide se déversant sous le vêtement, longeant son corps, créant des sensation déroutante. Elle se sentait bizarre, ayant un frisson visible quand la cyprine se mit à frôler son clitoris ou encore se glisser entre ses fesses. C'était humiliant et pourtant son corps semblait apprécier. Charis ne comprenait pas, ou plutôt, ne voulait pas comprendre. Mais plus elle y pensait, plus son corps semblait se réchauffer, déstabilisant encore plus la chevalière, cette dernière se demandait si elle n'était pas corrompus par le Mal, si elle n'avait pas choppé une maladie. Son ignorance créait la peur. Charis sentait un envie naître, mais elle ne pouvait y placer des mots, cela était trop vague, trop … inconnu.
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Ishtar voyait bien que Charis ne pouvait plus se contrôler. Malgré sons silence, son absence d'identité, elle savait fort bien que tout ceci devenait désuet... En parlant bien évidemment de son passé. Charis avait disparu dès l'instant où la cagoule fut placée sur sa tête, la rendant totalement anonyme, inexpressive, bonne à rien. Elle ne le savait peut être pas... mais cette humaine venait de tout perdre. Heureuse du résultat, Ishtar souriait et riait sadiquement en regardant l'état de sa soumise, devenue sex toy. Frotter sa fente sur le visage recouvert de latex de cette cochonne donnait à la dragonne des pulsions inavouée qui la laissait un peu perplexe quant à la suite... Et si elle concluait ce dressage maintenant et résumait Charis à ça ?... Cette humaine n'avait plus aucune importance... plus aucune identité. Pourquoi ne pas la garder juste pour se frotter la chatte encore et encore sur cette face rendue noire et lisse. Une mannequin, voila ce qu'était actuellement Charis. Ishtar pourrait lui faire mettre tenue sur tenue, se frotter encore et encore sur ce visage. Sûrement même qu'Ishtar se trouverait une remplaçante pour ce supplice, afin de le refaire encore et encore... Elle regarda ses gardes, surprise elle-même du plaisir qu'elle en avait tiré avant de saisir solidement la queue de cheval de Charis et le plonger de nouveau sa face entre ses cuisses luisantes de mouille.
"J'aime trop ça en réalité ! Hahaha ! Je pourrais définitivement devenir accro à ça ! Tu n'as rien à regretter. Avant tu étais une énième aventurière sotte et étroite d'esprit. Des comme toi j'en ai croisé un millier pendant ma longue existence. Tu entends ? Tu n'étais qu'une sotte ! Une naïve ! Sauver le monde du mal... Hahahaha ! Même toi, en ce moment même, tu dois comprendre à quel point c'était futile ! Han chiotte... Ca recommence... Bordel !"
Ishtar lâcha un nouvel orgasme, transportée par ce qu'elle venait de dire, se stimulant le clitoris en frottant la face de Charis sur sa fente intime. Elle relâcha enfin la queue de cheval de l'humaine et alors que l'humaine retombait sur ses genoux face au fauteuil d'Ishtar, la dragonne lâcha un rire profond avant de prendre à côté d'elle un gag ring. Défaisant la gag ball de Charis, elle la remplaça aussitôt par cet anneau lié à deux bandes de cuirs qui firent le tour de sa tête et liées solidement ensembles par une boucle de ceinture. L'anneau ainsi disposé dans sa bouche maintenait sa mâchoire grande ouverte, comme quand elle était au mur des cochons roses.
"Rends-toi utile ! Quand je jouis au moins deux fois, je veux pisser..."
La tsarine noire attrapa sa queue de cheval à nouveau avant de coller l'ouverture de sa bouche à sa fente. Lâchant un soupire d'aise, elle se laissa aller. Le jet doré rejoignit aussitôt le fond de la bouche de Charis. Son urine n'avait pas objectivement un goût aussi déplaisant qu'on pouvait l'imaginer. En réalité, celle d'Ishtar était même un peu... agréable. Peut être le fait qu'après une semaine de soupe pas forcément bonne, l'urine de la dragonne n'avait rien de dérangeant, si ce n'est qu'il s'agissait d'urine. Et quand on est déshydratée, tout fluide est bon à prendre. Ishtar termina de se soulager avant de repousser Charis avec son pieds.
"Mettez-la en cellule avec des belles filles et quelques traps avec ordres de ne pas prendre sa virginité vaginale. Je dois finir des préparatifs pour ce jouet."
C'est après ces mots que Charis fut amenée dans une pièce dans laquelle on sélectionna plusieurs femelles et de garçons efféminés en chaleur. Ces derniers câlinèrent Charis dans tout les sens, la léchait pour s'abreuver de la mouille d'Ishtar. Leurs doigts effleuraient la peau de Charis et elle se reçut plusieurs baisés de la part des filles et des garçons. Quand, deux heures après, Ishtar ouvrit la porte, Charis était agenouillée au centre, un garçon derrière elle à lécher son cou en la sodomisant, deux autres filles à sucer ses tétons et une dernière qui caressait et léchait son ventre et son vagin. Elle était agenouillée au dessus d'un garçon qui la sodomisait en même temps que l'autre garçon. La dragonne leur fit signe de s'éloigner de Charis avant de prendre sa laisse, la tirant vers elle. Lorsque les deux pénis sortirent de son anus, la semence blanchâtre s'évacua de son anus. Son vagin préservé était encore bon pour le mariage.
"Vient-la ma jolie... Il te faut deux hommes maintenant pour te remplir ?... Quelle cochonne tu es devenue ! Tu es prête à abandonner toute trace de ton humanité maintenant ? J'espère... car j'ai décidé d'en finir avec Charis l'aventurière. Ton dressage va toucher à sa fin, tout comme ta vie !"
Elle l'arrêta dans une des pièces du palais d'obsidienne d'Ishtar avant de la pousser vers une foule alignée, lui retirant son ring gag.
"On dit que l'amour est aveugle... Je vais te laisser choisir ton maris. Ce dernier prendra ta virginité dans un lit nuptial que nous avons préparés rien que pour vos noces ! Tu peux les toucher et leur parler... Il n'y a aucun humain, j'ai choisit de belles créatures de mon volcan, hahaha !"
En effet, Charis ne caressa pas des hommes, mais des créatures vaguement humanoïdes, avec une carapace d'obsidienne, des cornes un peu partout, une peau écailleuse épaisse, mais ne manquant pas d'affection et d'amour pour le sexe vaginal ! Dur de décrire correctement chacune de ces bêtes. Ca allait du dinosaure type raptor combiné à des mutations type carapaces et cornes diverses, aux salamandres de feu à la belle crinière de flammes spirituelles, ou encore des bêtes caparaçonnés tels de gros cloportes, mais en obsidienne noire et aux couleurs chatoyantes... En réalité, il s'agissait de la faune d'Inferis adaptée aux climats volcaniques avec un intellect plutôt bien développé. Bon, discuter avec eux était un peu sur-fait, mais leur apprendre des tours était possible. Chacun avait comprit qu'ils avaient la chance de se farcir une humaine et de l'implanter avec leurs gênes. C'était suffisant pour les avoir fait s'aligner. Charis eut la tâche compliquée de palper ces monstres et de choisir son futur maris, dans cette parodie de mariage qui la menait à sa fin de son existence humaine.
"Choisit... et si tu fais la fine-bouche ou la coincée, je choisirait personnellement ton maris et je peux te promettre que celui-ci n'a pas la gentillesse de ces spécimens et encore moins leur QI... S'il te dévore ce sera ta faute parce que tu ne sais pas choisir ton amoureux, huhuhu."