Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Takenawa Saeko le mercredi 04 janvier 2012, 05:36:35
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Saeko était toute prête pour sa sortie, elle devait bien s'amuser un peu en l'absence de Yuri. Elle avait enfilé un jean taille basse et un t-shirt moulant et court avec décolleté qui mettait ses formes en valeur, si son accoutrement n'avait pas la classe d'une robe, ses généreuses montagnes ne manqueraient pas d'attirer les regards, moulées par son chandail. Sourire aux lèvres, l'étudiante se rendit dans le quartier chaud, où les belles voitures s'arrêtaient devant les clubs pour y débarquer les personnes les plus belles et les plus branchées de la ville. Saeko, elle, choisit un club bien modeste mais branché néanmoins. La musique emplissait la pièce, des gens se déhanchaient sur la piste de danse et l'alcool coulait à flot. Saeko se rendit au comptoir pour commander, son grand canyon bien en vue malgré elle après s'être penchée en avant. Elle dû élever la voix un brin pour être entendue.
-Un soda à l'orange s'il-vous-plaît!
Malgré le contraste, Saeko pu tout de même avoir sa boisson, les clients prenant en général de l'alcool. Elle n'avait jamais essayé et n'en n'avait pas spécialement envie. Elle comptait profiter de son soda avant d'aller bouger un peu. Elle chercha une table libre du regard mais il y avait beaucoup de gens. Elle eût toute une surprise en trouvant une table où il n'y avait qu'une seule personne et ce n'était rien de moins que la surveillante du lycée, Yumiko. Souriant, la futa s'approcha de la table, saluant la surveillante chaleureusement.
-Yumiko-sama! Vous allez bien?
Saeko n'attendit qu'un signe de la part de la surveillante pour prendre place à sa table, décapsulant son soda.
-On a du personnel branché au lycée, hihihi!
Lorsque l'on voyait un professeur, un surveillant ou tout autre personnel du lycée, il était difficile de les imaginer porter des vêtements à la mode et s'amuser dans un club de nuit, Yumiko était une preuve que la carrière et la vie personnelle étaient deux choses bien différentes.
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Ce soir, j'ai envie de me dégourdir un peu. Au diable la surveillance du dortoir, ce soir les élèves auront carte blanche pour allez s'amuser avec les filles si ils en ont envie. Je troque ma tenue habituelle (http://nsa27.casimages.com/img/2011/12/13/111213030548834919.png) pour une autre, plus décontractée (http://nsa27.casimages.com/img/2011/12/13/111213042330674867.png), avant de me rendre dans le quartier chaud de la ville, pour une soirée endiablée entre dance et alcool. Et pourquoi pas passer une nuit torride avec une autre personne ? Je fini par arrivée au milieu des loves hôtels, des boites de nuits et des clubs de prostitution, et décide d'entrer dans le seul bar dansant où on peut commander de l'hydromel, ce délicieux alcool à base de miel, en concurrence direct avec le cidre dans mon top 5. A peine suis-je dans la place, que je me dirige vers le comptoir pour commander.
- De l'hydromel s'il vous plaît.
Après tout, c'est aussi pour ça que celui-ci est connu. C'est sa boisson phare. Une fois le verre en main, je me dirige vers une table libre pour le savourer. Il n'est jamais bon de boire trop vite. De même, c'est moins amusant de danser sans avoir bus un peu d'alcool. Mais moi qui pensais faire une nouvelle rencontre, j'eu l'étonnante surprise de voir arrivée à ma table une des élèves du lycée, après avoir bus quelques gorgées.
- Yumiko-sama ! Vous allez bien ?
J'eu une petite rougeur au visage. Je me tue à demander aux élèves de me nommer Yumiko-san, mais Saeko-kun est la seule à utiliser le terme "sama", que je trouve bien trop honorifique pour moi. Certes, je suis une magicienne assez forte, mais tout de même... Néanmoins, je fait signe à l'élève en sortie pour qu'elle puisse prendre place à ma table.
- On a du personnel branché au lycée, hihihi !
- Tu sais, tout le monde ne ressemble pas à un vieux croulant... Bon, disons que certains profs passent du temps à faire des échecs pendant leurs soirées, mais pas tous... Et toi aussi, ça change de te voir plus... décontractée.
Il est évident que son T-shirt moulant et décolleté change agréablement de l'uniforme scolaire. Mais au moment précis où je lui demandais ce qu'elle avait prit comme boisson, une autre connaissance arriva à notre table. Décidément, cette soirée risque de devenir une réunion profs-élèves arrosée.
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Le vampire était content de récupérer le contrôle du corps, il n'avait plus été le dominant depuis trois jours seulement mais ça lui paraissait une éternité et il pouvait enfin enlever les vêtements ridicules que portait constamment Boris. Le châtain avait remplacé l'uniforme de l'école par une tenue beaucoup plus adaptée pour sortir en ville, il avait mis un débardeur, un pantalon moulant et une veste totalement noir. Il avait également échangé ses chaussures de tous les jours contre une bonne pair de bottes qui était prévue pour la marche ce qui promettait une longue nuit d'alcool, de liberté et peut-être même de luxure. Il n'y avait qu'une ombre au tableau, il n'avait plus beaucoup d'argent à cause d'une invitée indésirable et il fallait très vite qu'il se refasse, il parti donc dans certains quartiers bien connu pour leurs paris et décida de faire rentrer un peu d'argent.
Il participa à différent jeux d'argent tel que le poker, le 21 ou encore le black jack ,mais la monnaie ne montait pas très vite et il ne tenait pas à passer toute sa nuit dans cet endroit il parti donc dans un pari beaucoup plus intéressant et qu'il était sur de gagner. Le jeu de celui qui boit le plus et de par sa nature vampirique il ne pouvait jamais être repus, il pouvait donc boire pendant des heures et des heures sans problème et il devenait beaucoup moins vite saoul que ses adversaires il empocha donc un bon paquet d'argent après une heure de compétition intense. Il allait partir quand la police arriva car le lieu était totalement illégale et malheureusement bien connu des forces de l'ordre. Deux agents s'approchèrent du vampire et ils voulurent l'arrêter.
-Laisse toi faire et tu auras une jolie cellule sinon je te promets un compagnon de cellule très peu sympathique.
Le policier avança mais il fut saisi poignet et l'instant d'après il fut projeté plus loin et il retomba lourdement sur une table qui se brisa sous le poids de ce dernier. Son partenaire appela des renforts mais il n'attaqua pas tout de suite et il préféra suivre à distance le rebelle qui se dirigeait tranquillement vers la sortie. Il ouvrit la porte et il se retrouva face à une unité de six hommes tous armés de matraque et de tasers ,mais il en fallait plus pour inquiété l'être de la nuit et il continua d'avancer sans la moindre peur. Les sept hommes chargèrent et quelques secondes plus tard il était tous à porter de coups de l'enseignant, ils formèrent une mêlée pour tenter de l'immobiliser ,mais peu de temps après il retombait tous sur le sol assommé. Ils avaient tous été frappé au niveau de l'estomac et il n'avait pas supporté la douleur et c'était évanouit sous le choc.
*Bien je vais maintenant me faire oublier un peu et allez boire dans mon bar préféré*
Il disparut discrètement et avec de grands saut à tel point que si quelqu'un l'avait remarqué on l'aurait pris pour un ninja. Le vampire arriva finalement devant le bar et il rentra pour se désaltéré un peu. L'agitation l'avait fait un peu dé-saouler et il avait encore trois nuits de débouche et d'alcool à récupérer alors autant commencé tout de suite sans perdre de temps. Il arriva devant le bar et le patron voulu le sortir directement mais une fois qu'il sorti quelques billets de sa poche la tension redescendit.
-Maintenant que tu as payer ton ardoise, tu veux quoi? enfin s'il te reste de l'argent.
-Oui il m'en reste un peu pour boire mais plus beaucoup je me rappelait pas que ma notes était aussi salée. Je vais prendre du vin si tu en as.
-Il m'en reste une ou deux bouteilles. Tu veux commencé par un verre?
-Oui donne moi un verre et une bouteille et ça ira très bien.
Le barman sorti un coupe de vin et il décapuchonna la bouteille avant de la tendre à son client qui paya directement pour évité d'avoir trop de dettes. L'enseignant aimait particulièrement le vin car sa couleur et sa texture rappelait un peu celle du sang par contre le gout était assez éloigné mais il ne pouvait pas tout avoir non plus et il se contenterai de cette petite douceur. Boris chercha une table et il n'en restait pas une seule de libre mais son regard s'arrêta sur une ou deux jeunes femmes semblaient particulièrement appétissante et il se dirigea vers elles.
L'une des deux femmes lui était familière mais pas la seconde et au vu de son âge elle devait certainement pas avoir la majorité japonaise mais c'était le problème de celle au cheveux noir si elle se faisait agressé. La femme au cheveux châtain par contre lui était plus familière, il l'avait rencontré plusieurs fois dans la salle des professeurs ou dans les couloirs, même si c'était sous forme humaine et pas vampirique, cependant il n'avait pas beaucoup discuté avec cette dernière en raison de ses diverses absences souvent injustifiées à telle point que des rumeurs circulait sur une quelconque maladie qu'il aurait attrapée.
-Bonsoir, Yumiko-san c'est bien ça? Et je ne pense pas que nous avons eu le plaisir d'être présenter. Je suis Boris enchanté de vous connaitre Mademoiselle.
Le nouveau venu avait posé sa bouteille et son verre sur la table avant de s'approcher de l'étudiante et de lui déposé un simple baiser sur sa main après l'avoir attrapé dans l'une de ses paumes. Il prit place ensuite à côté de la surveillante et il se mit à se versé un verre de vin avant d'en boire quelques gorgées pour se rafraichir le gosier.
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ce soir là, je n'avait pas envie de rester chez moi et surtout pas être seule, quoi de mieux pour voir du monde que d'aller dans un club branché, surtout que j'avais entendu des filles aux lycée parler d'un de ces club, le problème c'est de ne pas en avoir l'age, mais m'étant déjà préparer à cette éventualité, je me suis habiller en conséquence pour paraitre plus âgée, string et soutient gorge en dentelle noir, petit haut moulant noir à manche courte qui laisse mon ventre plat apparent et un petit décolleté avec un "A" anarchique dessiner en rouge, une mini jupe noir arrivant à la naissance de mes petite fesses, des bas noir avec des tête de mort blanche arrivant à mis cuisse et des chaussures noir avec lesquels je puisse danser, finissant avec deux élastiques à tête de mort formant deux couettes sur ma tête.
pour le maquillage j'avais opter pour quelques chose de provoquant, contour des yeux assombris, un peut de fond de teins et un rouge à lèvre rouge sang pour s'accoupler avec ma tenu.
une fois prête je partie sans attendre, arriver devant le club dont j'avais entendu parler, je fis la queue comme tout le monde, arriver à mon tour le portier me regarde de haut en bas, je commence à douter qu'il me laisse rentrer, mais en fin de compte lui faisant les yeux doux il me fit tout de même rentrer.
enfin à l'intérieur, je me décide d'aller directement sur la piste de danse pour commencer, bougeant mon corps aux rythme de la musique pendant près d'une demi heure, je commence à avoir soif, quelques peut luisante de sueur, je me dirige vers le bar et m’assis sur l'un des sièges.
qu'est ce que se sera madame?
me demande le serveur.
un coca s'il vous plais.
il me le sert dans une verre remplis de glaçon et me laisse le reste de la bouteille en verre à coté, après lui avoir payé.
j'apporte alors le verre à mes lèvres et en bois de petite gorgées avant de me retourner pour regarder les gens dans la salle.
je manque d'avaler de travers quand je vois assis à une table une des surveillantes du lycée, je ne reconnais pas les autres à sa table, mais elle je la connais, Yumiko-san si je me rappelle bien, qui doit connaitre pratiquement tout les élèves de l'établissement.
me tournant sur le coté, je continue de boire ma boisson à petite gorgé, zieutant de temps à autre sa table, en espérant qu'elle ne me reconnaisse pas sous peine qu'elle me dénonce aux videurs.
pourquoi faut-il qu'elle soit là ce soir?
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Ça fait quelques jours qu'Ulrique c'est installé à Seikusu. Et changer de pays ce n'est finalement pas aussi simple qu'on pourrait le croire entre la paperasserie, l'absence de garant pour le loyer, le déménagement proprement dit et bien d'autres tracas c'est un casse tête qui peut rapidement donner des mots de tête, même si le jeune dragon n'a pas hésité à prendre quelque "raccourcie" au travers des nombreux ordinateurs qui jongle le parcoure.
Il vient d'ailleurs de passer l'après-midi à jongler entre les administrations avec métro, bus et autre Taxi, fessant à chaque fois sensation en dépassent nettement de la foule. Ça a ses avantages mais niveau discrétion, il faut admettre que l'on fait mieux. Après un énième entretien avec un fonctionnaire au sujet de son contrat d'électricité pour son logement, le voilà donc en route pour son chez lui ... Du moins en théorie.
Es son accent ? Une erreur de mot ou tout simplement d'étourderie ? À moins que le contrôleur l'ai tout simplement mal orienté. Toujours est-il qu'il descend à la mauvaise station de bus en ce début de soirée. Mais il lui faut un moment avant de comprendre qu'il n'est pas à sa destination, certes c'est bien le centre-ville a priori mais sans doute pas le bon quartier. Ce dernier est d'ailleurs bien remplie, ce qui colle avec les boites de nuits et autre bar qui éclairent les trottoirs de leurs enseignes.
Renseignement pris, il n'y aura pas de transport vers sa rue avant un moment. Ce n'est pas spécialement le genre de quartier où Ulrique se serait rendu seul, mais vu que le destin l'a mis là autant visité en attendent plutôt que de rester comme un idiot assis à la station de bus. Il déambule donc parmi les autres passants, profitant de l'occasion pour parfaire sa maîtrise du japonais écris, surtout sur les enseignes qui se forment parfois de jeu de mots abscons pour lui.
Petit à petit, le soleil se couche sur un quartier qui ne semble jamais dormir. Les files d'attantes grossissent devant les discothèques qui semblent branchés. La faim et la soif se fessant sentir Ulrique fini d'ailleurs par s'engager dans l'une d'elle.
Plus que sa taille, c'est sa tenue qui fait un peu tache dans l'ensemble multicolore qui forme la queue. Basquette, jean noir, chemise blanche et blouson sombre. Bien que le tout soit évidemment sur mesure et suffisamment bien tailler pour laisser deviner un physique avantageux, ce n'est pas tout à fait la tenu de rigueur pour ce genre d'établissement. Malgré tout, le videur le laisse entrer sans le moindre problème, probablement qu'un européen attirerait du monde ... Ou juste qu'Ulrique étant à la fois plus haut et plus large que l'employer, ce dernier a fait profil bas aller savoir.
Finalement il va s'asseoir au bar à l'une des places libres. À coter de lui se trouve une jeune fille aux cheveux noir et au look inhabituelle (du moins celons ses standards). D'ailleurs elle lui semble un peu jeune pour pouvoir entrer en boite de nuit, quoi que les lois japonaises divergent peut-être de leur équivalant française sur ce point. C'est d'ailleurs avec un accent qui sent bon les rillettes sarthoises qu'il commande un coca light, histoire de calmer sa soif. Pour la suite, il verra en temps utile ...
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Saeko prit place près de la surveillante, si en général les élèves n'appréciaient pas spécialement le personnel de leur école, Saeko, elle était ravie de voir une des personnes les plus gentilles de l'école prendre du bon temps comme les élèves qu'elle surveillait chaque jour.
-Ah, merci, je n'aurais peut-être jamais porté ça avant de rencontrer une amie très chère. Ça fait du bien de se sentir belle.
Saeko porta son verre à ses lèvres, souriant, elle en venait à se demander comment elle faisait pour ne porter que son uniforme scolaire ainsi que les chandails simples qui ne la mettaient pas en valeur. Elle avait maintenant des camisoles et des chandails moulants, des jeans qui moulaient son joli fessier et des soutien-gorge qui mettaient ses obus en valeur. Tinuviel savait décidément comment s'y prendre avec les petites écolières timides et complexées. L'étudiante et la surveillante furent rejoint par une autre personne, qui se présenta sous le nom de Boris.
-Moi c'est Saeko, enchantée, Boris-san.
C'est avec un joli sourire que Saeko se présenta. Elle devait faire pitié à voir, un verre de soda en main alors que tout le monde avait de l'alcool, elle paraissait comme une vraie gamine. Elle n'avait jamais goûté à l'alcool, en vérité et avait souvent hésité à essayer. Il lui fallait un peu d'encouragement, tout simplement.
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J'ai invitée Saeko-kun à s'assoir à ma table, tout en la complimentant sur sa nouvelle apparence. Compliment auquel elle répond avec le sourire, avant de boire un coup.
- Ah, merci, je n'aurais peut-être jamais porté ça avant de rencontrer une amie très chère. Ça fait du bien de se sentir belle.
- C'est sûr que ça te change grandement. Elle a eue une bonne influence sur toi. Ah ? Un revenant !
Je voyais en effet un enseignant, rarement présent au lycée, faire son entrée à notre table, un verre et une bouteille de vin dans les mains. Le peu que je le voyais en salle des proffesseurs, il était toujours avec son éternel uniforme vert. Le voir vêtu ainsi le changeait également. Comme quoi...
- Bonsoir, Yumiko-san c'est bien ça ? Et je ne pense pas que nous avons eu le plaisir d'être présenter. Je suis Boris enchanté de vous connaitre Mademoiselle.
- Enchantée de pouvoir enfin vous adresser la parole, Boris-san. Je vois que vous avez fini par quitter votre uniforme, vous aussi.
- Moi c'est Saeko, enchantée, Boris-san.
J'en profite pour jeter un œil à son verre. Un soda, comme c'est triste... Je sens qu'à ce niveau là aussi, il va falloir la décoincée un peu... Du coin de l'œil, je vis également une autre élève s'assoir le plus discrètement possible à une autre table, ce qui me fit sourire. J'ai d'ailleurs l'impression d'être la seule à savoir ce qui va se passer à minuit. J'en connais qui vont être surprises...
- Au fait Saeko-kun, t'es sûre que tu ne veux pas gouter d'alcool ? Une soirée sans, c'est un peu triste. Bien sur, tu n'est pas obligée de commencer fort. Moi par exemple, j'ai mon p'tit top 5. L'hydromel, qui est un alcool de miel, le cidre, à base de pomme, le kir royale, du cassis, le vin, inutile de te dire avec quoi c'est fait, et le plus fort, le Sake. J'aime les autres évidement, mais ceux là sont vraiment mes favoris.
Je lui propose mon vers avec un sourire.
- Tu veux gouter ? Allez, au moins une gorgée.
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La soirée promettait d'être assez bonne pour le vampire. Il n'avait eu aucun mal à se placer à la table de la surveillante et de l'élève et il avait tout le temps de pensé à les séduire et ça devrait être assez facile pour Yumiko si elle passait sa soirée à boire. Il ne tenait pas à la forcée à boire mais si elle buvait de son propre gré il pourrait toujours tenté de la faire boire un petit verre de plus de temps à autre. Le vampire sourit face à la remarque de sa collègue car il était vrai qu'il ne s'était pas croisé mais il ne mettait pas toujours son uniforme c'était juste en journée mais elle ne pouvait pas le savoir bien sur.
-Je ne met mon uniforme que lors des horaires scolaire sinon je porte les vêtements que tu vois actuellement.
Le châtain senti un regard en direction de la table et il porta immédiatement son regard sur l'étudiante qui en était responsable. Elle était fortement appétissante également mais elle avait voulu trop en faire pour rentrer dans le club et c'était fortement dommage car elle devait être encore plus belle au naturelle. Après quelques secondes, l'être de la nuit se rendit compte que c'était pas lui qu'elle regardait mais Yumiko, il décida donc de l'ignoré et faire semblant de n'avoir pas vu le regard de cette dernière au cas ou il échapperait à celle visée. Cette dernière fut vite rejointe par ce qu'on appelle communément une armoire à glace. En effet, un humain d'une taille assez impressionnante était venu commander mais le vampire n'avait pas une ouïe assez bonne pour entendre jusque là par contre il put sentir qu'il n'était pas totalement humain et ça le perturba un peu mais tant qu'il ne venait pas l'ennuyer n'importe qu'elle monstre avait sa place parmi les humains.
-Un membre du corps professoral qui essaye de faire boire une mineur et au vu de ta réaction une de nos étudiantes?
Boris eut un petit rire amusé et il reporta son attention sur la salle, il n'avait pas adresser un reproche à la concernée c'était plus un point qu'il voulait relevé et son ton signalait également que s'il fallait il essayerai lui aussi de convaincre la jeune femme. Il n'était pas ici en tant qu'humain mais en tant que vampire et pour lui le plus important c'était de s'amuser et de se laché totalement. Si Saeko savait le faire sans boire alors il la laisserai tranquille mais s'il fallait la faire un peu boire pour l'aider alors il trouverai certainement un ou deux argument assez convainquant.
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jetant de petit coups d’œils à la table de la surveillante, tout en faisant semblant de regarder dans la salle, buvant mon verre à petite gorgées, je vis au bout d'un moment le jeune homme assis en face d'elle, que je voyais de dos, se retourner.
surprise, je détourne le regard à ce moment là, mais j'ai eu le temps de voir son visage que je ne connais que de vue, je sais juste qu'il travaille aussi au lycée en t'en que prof de sport, il ne m’a pas comme élève, mais à dû entendre des échos d'autre profs sur mon cas, surtout de mon prof de math et mon prof de musique qui ont abuser de moi l'année dernière, ou à peut être même vue la vidéo de mes ébat avec eux.
totalement dans mes pensées, alors que je me tourne vers le bar pour remplir mon verre du reste du coca, je constate que je n'avais pas vue arriver à coté de moi cette armoire à glace, levant le regard pour voir sa tête, il est d'une grandeur impressionnante, sans parler de sa carrure, je ne me gêne pas pour le regarder alors qu'il commande un coca light.
je me met à le détailler, habiller simplement, je me focalise plutôt sur son visage, il me semble mignon de profil avec ces cheveux en bataille, mais je ne vois pas ces yeux, j'attends un petit moment avant qu'il ne daigne me jeter un regard, un regard d'un bleu profond, je lui souris et amène à nouveau mon verre à mes lèvres zieutant toujours de temps à autre la table de la surveillante.
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Il n'y a pas à dire, ça fait du bien de se désaltérer. Ce n'est pas Ulrique qui va dire le contraire en sirotant tranquillement son soda allégé en sucre (sûr qu'il en a besoin ...) assit au bar. Il profite de la musique en observant les occupants de l'établissement qui bougent sur le rythme qui manque celons lui sérieusement de classique. Zut quoi, c'est trop demandé un bon Daft Punk ?
Au bout d'un moment, il s'aperçoit que la jeune fille à ses côtés s'intéresse à lui comme il s'intéressait à elle un peu plus tôt. Leurs regards respectifs se croisent un moment, lui permettant de constater la présence de deux yeux marron qui se perdent dans la couche de maquillage un peu trop présente et qui lui donne un air artificiellement vieillie. Mais ça doit être la mode qui veut ça. Pourtant, une fois rhabiller de façon plus convenable (du moins, toujours celons ses standards) elle pourrait être une mignonne jeune fille sans doute.
Le plus étrange c'est quelle semble mal à l'aise, observant un petit groupe assis à une table un peu plus loin. Peut-être qu'elle ne les apprécie pas, peut-être que ça n'a rien à voir aussi et qu'il se fait des idées allez savoir. Quoi qu'il en soit elle vide son verre, tout comme lui d'ailleurs, en l'observant comme si elle appréciait la vue. Il y a de quoi à vrai dire ...
Bonsoir, vous venez souvent ici ?
Plus bateau comme amorce de conversation, difficile à faire. Mais il y a deux petites choses qui changent tous, un fort accent étranger et une voix plaisante à entendre, peut-être plus que la musique en fonction des oreilles. Pour peu que l'on ait un peu de jugeote, il parait donc évident qu'il n'est pas originaire de la région. Il se commande entre-temps un autre verre, proposant en passant de remplir celui de sa voisine de siège et interlocutrice.
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La table n'était plus vide, la surveillante était en compagnie d'une élève et d'un collègue. La soirée allait être agréable, puisque Saeko était avec au moins une personne qu'elle connaissait un peu, enfin, surtout de vue. Mais ça restait un visage familier et Yumiko avait toujours semblé sympathique. Et visiblement elle avait remarqué les changements que Tinuviel avaient apportées chez Saeko. Si elle savait ... la futa avala une gorgée de cola lorsque la surveillante lui offrait une gorgée de son hydromel. Saeko n'avait jamais touché à l'alcool, à vrai dire, elle n'y avait jamais songé, bien satisfaite avec ses boissons gazeuses.
-Eh, je veux bien essayer.
Boris fît une remarque sur le fait que Yumiko offrait à boire à une mineure, c'était un brin agaçant pour Saeko, qui avait tout de même 19 ans, c'était une question de mois avant qu'elle ait le droit légal de consommé.
-Je fait juste goûter, hein. Et puis, j'aurai vingt ans dans quelques mois ...
Saeko goûta l'hydromel et grimaça un brin. Il y avait bien un goût sucré mais c'était enterré sous un autre goût moins agréable. C'était une question d'habitude, peut-être, puisqu'elle n'avait jamais bu d'alcool auparavant, que ce soit un alcool fort ou un plus doux.
-C'est bizarre ... J'en commanderais un verre mais le barman ne voudra pas m'en servir sans que je lui montre mes cartes.
L'étudiante n'avait d'autre choix que de s'en tenir à sa boisson gazeuse, ce qui n'était pas plus mal. Et si d'autres voyait ça d'un autre oeil, Saeko croyait bien pouvoir s'amuser sans alcool, même si la curiosité la poussait à tenter de commander un verre d'hydromel, en espérant que le barman oublie de la carter.
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- Eh, je veux bien essayer.
La jeune étudiante semblais surprise que je lui propose mon verre et même Boris en ria, avec une remarque à laquelle je lui répondis bien vite.
- Et que devrais-je dire moi ? J'ai beau travailler au lycée, je n'ai que 19 ans et des brouettes. De toute manière, c'est seulement pour goutter. Si elle n'aime pas, rien ne l'oblige à commander un verre.
Je fis un clin d'œil à Saeko-kun à la suite de ce commentaire, tandis qu'elle approchais ma boisson des ses lèvres.
- Je fait juste goûter, hein. Et puis, j'aurai vingt ans dans quelques mois...
Je sourie. Alors comme ça, je serrais son ainée de quelques mois seulement ? Voici une information qui risque d'être intéressante pour la suite des évènements. En effet, personne à ma table ne semble avoir pris en compte l'affiche à l'entrée de l'établissement. A savoir, qu'à minuit est organisé une sex party. En d'autres termes, une grande majorité des jeunes présents vont s'envoyer en l'air dans un gang bang bien arrosé. Comme je l'ai déjà dit, j'en connais au moins deux qui vont avoir une grosse surprise. En reportant mon attention sur l'étudiante, j'eue un petit sourire face à sa légère grimace.
- C'est bizarre ... J'en commanderais un verre mais le barman ne voudra pas m'en servir sans que je lui montre mes cartes.
Traduction : elle aime plus ou moins, mais elle aime comme même. Concernant le barman, je savais qu'il s'en fichait. Pour lui, du moment qu'on passe le videur, on peut commander n'importe quoi. Et puis... certaine filles comme Saeko et moi, avons des atouts naturels qui trompent aisément sur notre âge réel. Je jeta un œil à ma montre. 22h30... Ce qui nous laisse encore 1h30 pour danser avant la grande orgie.
- Bon, moi je vais faire un tour sur la piste. A tout à l'heure.
Et c'est sur un dernier clin d'œil que je me lève pour allez me déhancher sur la piste.
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Saeko était moins jeune que le vampire l'avait penser mais elle restait quand même une gamine dans sa tête. Elle avait tant de chose à apprendre sur le monde de la nuit et le vampire ne tenait pas à lui expliqué tout de A à Z, il n'était pas venu pour faire du babysitting mais pour boire, draguer une ou deux jeune femme et plus si affinité. Le barman n'allait surement pas posé de problème pour la soirée arrosée mais l'étudiante était quand même avec deux adultes, même si Boris faisait encore plus jeune que Takenawa, donc elle pourrait toujours avoir de l'alcool même sans carte avec un peu de fourberie et de pratique c'était dans la poche. Enfin, c'était surtout vrai pour les filles moches et qui faisait vraiment trop jeune ce qui n'était pas le cas de la personne concernée.
-Amuse toi bien Yumiko-san.
C'était la seule chose que l'enseignant n'aimait pas dans les boites modernes. Il maitrisait presque toute les anciennes danses tel que la valse, le tango et autre danse en couple. Les danses sur des chanson aux rythme totalement chaotique par contre n'était pas vraiment son fort, il savait faire deux ou trois pas sans être ridicule mais après ça finissait souvent en bagarre car il se mettait à bousculer tout le monde et il ne prenait même pas la peine de s'excuser.
*Si Saeko-san veux aller danser qu'elle le fasse moi je garderai la table*
Le vampire se contenta de regarder de loin sa collègue se trémousser sur la piste en buvant lentement sa bouteille de vin. Il n'était en train que d'entamer son deuxième verre, il avait donc encore pas mal de marge et si l'étudiante le trainait sur la piste il pourrait encore danser convenablement mais si elle revenait trois verres plus tard c'était déjà beaucoup plus drôle à voir.
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mon regard passe de la table à l'homme qui est à coté de moi, remarquant que lui aussi regarde dans la salle.
quand sans que je ne mis attende, il m'adresse la parole dans un accents dont je ne serais dire la provenance, il me demande si je viens souvent ici.
le regardant d'abord avec de grand yeux, je fini mon verre, avant de lui répondre d'une voie quelques peut gêné.
heu... moi? non c'est la première fois que je viens ici... je... des amies à moi m’ont on parlé et je suis venu...
je n'arrive pas encore à croire qu'il met adressé la parole, il aurais put allé parler avec n'importe qu'elle autre femme, mais c'est bien à moi qu'il c'est adressé.
son verre étant aussi vide que le mien, il redemande une bouteille au barman et se propose de me servir d'un simple geste.
oui... merci j'en veut bien un autre...
je lui répond avec un grand sourire aux lèvres, avant de lui demander.
et... et vous? c'est la première fois que vous venez ici? vu votre accent vous ne devez pas être de la région? d’où venez vous?
le cœur battant, j'espère au font de moi ne pas le faire fuir avec toute mes questions, surtout qu'il me fait oublier complètement la présence des personnes à la table non loin de là.
attendant sa réponse en buvant une gorgé de mon verre à nouveau plein.
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Si Ulrique a vu une pancarte ? Il répondrait que oui. L'a-t-il compris ? Non, pas du tout. Vu qu'elle a été écrite avec une police de caractère stylisé, le jeune homme n'est pas parvenu à la lire en passant. Et il est loin d'imaginer ce qu'il pouvait être écrit dessus, les établissements similaires en France étant loin de s'afficher de la sorte s'il existe ...
Qui vivra verra, dans l'immédiat il a d'autre chat à fouetter celons l'expression consacrée. En l'occurrence une jeune fille assise à coter de lui et qui semble un peu gêné d'être l'objet de l'attention d'Ulrique. A-t-il fait une erreur ? Peut-être que ça ne se fait pas d'aborder les gens de cette façon au Japon, mais si tel est le cas il n'en avait pas été fait mention dans ses cours de japonais.
Le bouche à oreille alors, on n'a pas encore trouvé mieux pour obtenir des avis fiables à vrai dire.
Très bateau comme réponse, ça manque autant d'originalité que la musique qui berce les oreilles de l'assistance. En parlent des occupants, l'une des jeunes filles qui était à la table qui attirait l'attention de son interlocutrice se détache de ses compagnons pour aller se trémousser sur la piste de danse. Mais cela ne semble pas préoccuper plus que ça son interlocutrice quand il commande de nouveaux verres. Une bière pour lui et un cola pour la jeune fille qui l'accompagne actuellement.
Finalement elle se débloque et pose les questions qui lui brûlent les lèvres, révélant en passant que l'accent d'Ulrique n'est pas très discret sur son pays d'origine ... Du moins celui qui est inscrit sur ses papiers d'identités. Ça le fait doucement sourire qu'elle semble hésiter à lui demander ça, ce n'est pas un secret d'état pourtant.
En fait je suis français, je viens de m'installer en ville. Je bosse dans la maintenance informatique et je devrais entrer au lycée la semaine prochaine en programme aménager. C'est la première fois que je découvre la ville de son côté nocturne en fait.
Toutes les réponses condensée en quelques mots. Que dire de plus ?
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Après avoir goûté à l'hydromel, Saeko hésitait un peu à commander un verre. Le barman lui demanderait-il ses cartes? Comme bien des hommes étaient du genre pervers, peut-être que le chandail moulant bien rempli de l'étudiante parviendrait à faire oublier cette formalité au vendeur de boissons ... C'était une chance à prendre et Saeko décida de tenter le coup. Elle se rendit donc au comptoir, essayant d'avoir l'attention du barman.
-Eh, je voudrais un verre d'hydromel, s'il-vous-plaît!
Surprise, le barman lui indiqua le montant de son verre au lieu de lui demander ses cartes d'identité. Ravie, Saeko paya son verre et retourna à la table. Si l'alcool avait du mal à passer, Saeko s'habitua peu à peu au goût du breuvage et, une fois son verre fini, Saeko s'en commanda un autre. En buvant sa boisson, elle observa les gens qui dansaient, spécialement Yumiko. Difficile de croire qu'une fille ayant le même âge que la futa pouvait avoir un boulot dans le personnel du lycée. Mais Yuiko faisait bien son travail et elle était sympa ... et plutôt belle, d'après Saeko. Les verres s'enchaînaient et la tête commençait à lui tourner, elle commençait à rigoler pour n'importe quelle raison. Elle ne vit pas le temps passer et ignorait bien qu'une sex-party était organisée. Elle fût surprise sur le coup en voyant quelques filles se dévêtir avant de se mettre à sucer les queues les plus proches.
-Eeeeh? Alors c'est c'genre de -hic!- fête? hihihi!
Visiblement de bonne humeur après quelques verres, Saeko retira son chandail, sa belle grosse poitrine maintenue par un soutif rose. La soirée devenait chaude et une futa ivre n'allait pas rester là à boire pendant que les gens s'envoyaient en l'air.
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Durant un long moment, je me suis bien éclatée sur la piste de dance, aussi bien avec les filles que je croisais qu'avec les mec. Mais lorsque vint le moment le plus chaud de la soirée, j'eu la joie de sentir deux belles queues frotter mon arrière train. Un sourire aux lèvres, j'ai retirée mon haut pour laisser mon énorme poitrine libre de tout tissu, avant de prendre les deux membres en main sans m'arrêter de danser. C'est donc toujours en rythme sur la musique que je commence à les branler, commençant à me mettre à genoux pour les prendre sans attendre en bouche à tour de rôle, jouant de la langue sur les glands gorgés de sang. Un troisième mandarin fit son approche près de mon intimité et il ne me fallu que quelques secondes pour me retrouvée complètement nue, une bite jusqu'au fond de la chatte. Quand on viens spécialement pour ce genre d'occasion, on fait en sorte d'être excitée avant le début de la fête, et c'était justement mon cas. Les vas et viens se firent plus intense et une des queues quitta ma bouche pour rejoindre mon cul. Durant ce bref moment d'inactivité, je pu voir que de nombreux jeunes s'envoyaient déjà en l'air. L'énorme sexe entra par ma porte arrière et je me sentis partir dans de merveilleuses contrés de plaisir.
- Haaaaaan... Humpfff... Mmmmmmm....
Les trois phallus s'activaient rapidement en moi et il ne me fallu qu'une dizaine de minutes pour atteindre un premier orgasme, avec trois giclés de sperme en moi. Les mecs se désintéressèrent vite de moi pour se trouver une autre fille et je retourna rapidement avec mes vêtements sous le bras, évitant les couples qui s'activaient un peu partout, pour les poser dans un coin et retrouver mes compagnons de table. Je me dirigea vers Saeko-kun qui semblais plutôt bien s'amuser, et me glissa derrière elle.
- Un peu de compagnie peut être ?
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Boris n'avait aucune idée du temps qui s'écoulait et c'était pas en minutes qu'il comptais mais en verre de vin et c'était des calculs pas trop compliqué pour se dernier. Il avait toujours était doué en mathématiques et il n'avait eu aucun mal à calculé le temps moyen du nombres de verre qu'il buvait en une heure. Il était plus ou moins à 2 verre par heure et venait de terminer son 5ème ça faisait donc 2h30 que Yumiko-san était partie danser. Elle avait une sacrée endurance pour tenir aussi longtemps sur une piste de danse sans éprouvé la moindre fatigue. Minuit approchait surement et l'évènement de la soirée allait bientôt commencé. C'était ce qu'attendait la plupart des personnes présentes à la fête car très peu étaient venus pour danser, beaucoup étaient la pour boire mais c'était seulement en attendant la sex-party.
Les petits rires périodiques de Saeko commençait à énerver le vampire, il n'était pas partisan pour qu'elle ne boivent pas, ni même pour qu'elle soit aussi triste et blasée que lui mais il n'appréciait pas vraiment sa manière de s’enfiler des hydromel sans même prendre le temps de les savourer. Elle était en train de se prendre une sacrée cuite et elle ne semblait même plus s'en rendre compte ce qui était fort dommage car le réveille le lendemain serait brutal. L'être de la nuit réussi tout de même à garder son calme mais il dut pour cela vidé la moitié de la bouteille d'une gorgée et maintenant il n'avait plus rien à boire et il commençait à avoir la gorge un peu sèche.
Il alla jusqu'au comptoir et il demanda une nouvelle bouteille de vin qui lui fut servie assez rapidement. Sans même attendre il se mit à boire au goulot et il but 1/4 de son précieux liquide rapidement.
*ça désaltère pas vraiment mais au moins j'ai plus la gorge sèche*
Il retourna s'assoir sur sa chaise et l'alcool commençait à faire ressortir ses mauvais côtes. Il était assis sur sa chaise comme un seigneur sur son trône et c'était avec des manières dignes d'un noble et un regard assez hautain qu'il balayait l'assistance. il avait son verre entre ses doigts et il le faisait tourné de temps en temps avant de boire sa coupe. Lorsque minuit approcha une jeune femme s'approcha de lui et elle semblait avoir but encore plus que l'étudiante, sans demander la permission elle ouvrit la tirette du pantalon du vampire et après avoir descendu les sous-vêtements de ce dernier elle commença à lui faire une gâterie buccale. Elle était vraiment soule et pas douer si bien qu'après une ou deux minutes le vampire la força à arrêté le traitement et il se mit à genoux devant cette dernière avant de l'embrasser dans le cou.
C'était en tout cas ce que l'assistance pouvait voir car il était en réalité en train de se nourrir et après une dizaine de baiser dans le cou sa victime reparti un peu plus loin mais elle ne fit que quelques pas avant de s'écrouler quelques mètres plus loin. Elle passa totalement inaperçue car c'était pas la première à tomber sur le sol et s'évanouir à cause d'une consommation excessive d'alcool. L'instant d'après elle fut d'ailleurs rejointe par 3 types qui ne se génèrent pas pour se faire plaisir avec le corps inconscient de cette dernière.
-Eeeeh? Alors c'est c'genre de -hic!- fête? hihihi!
Saeko semblait tout à fait prête à se joindre à la fête car quelques secondes plus tard elle enleva son chandail mais elle garda tout de même son soutien gorge. La vue était appétissante et le rire avait vraiment énervé le vampire, ainsi que la réplique de cette dernière, il avait donc décidé de tester le corps de la futanari. Il s'approcha sans faire de bruit de la jeune femme et après avoir placé une main sur les fesses de cette dernière il se mit à les frotté pour vraiment chauffé l'étudiante. il utilisa ensuite sa main libre pour s'occuper de la généreuse poitrine de Takenawa et c'était à travers le tissus qu'il tentait de découvrir la montagne de chair de cette dernière. Il donnait également des baisés dans le cou de cette dernière et parfois il le léchait même l'oreille, tout en se débrouillant pour ne pas se faire voir de celle à qui il faisait du bien.
Il restait un mystère pour la jeune fille, elle se faisait allégrement tripoté mais elle ne pouvait pas savoir qui lui faisait du bien et c'était ça qui était amusent, elle sentait le plaisir monter petit à petit et c'était une personne totalement inconnue qui lui faisait éprouvée se genre de sensation. Boris arrêta de caresse les fesses fermes de l'étudiante et il utilisa sa main pour dégrafé le soutien gorge de cette dernière pour ensuite s'occuper de manières efficace, avec ses deux mains, des anciens prisonniers. La technique semblait efficace car des petits gémissent commençait à se faire entendre et la jeune femme devait certainement commencer à produire de la cyprine en tout cas c'était ce que pensait le vampire qui ne pouvait pas savoir qu'il avait à faire à une Futanari.
- Un peu de compagnie peut être ?
L'enseignant avait maintenant deux choix, soit il répondait et il se trahissait soit il préférait l'ignoré mais comme la question semblait être posée à son nouveau jouet elle essayerai forcement de se retourner et le jeu finirait de toute façon. Il préférait garder un certain contrôle et il décida de répondre après avoir lécher du cou jusqu'à l'oreille sa partenaire.
-Il me semble quelle es en bonne compagnie et très occupée mais merci de le proposé.
Le visage de l'étudiante devait vraiment être amusant à voir et c'était précisément pour cela que l'enseignant avait décidé de retourner Takenawa pour pouvoir voir l'expression de son visage et effectivement il était vraiment hilarant de la voir sous un nouveau jour et l'être de la nuit décida de poussé le vice encore plus loin et il s'empara des lèvres de la mineur. Après quelques efforts, il réussi à la faire écarté les dents et il alla cherché la langue de cette dernière avant de l'embrasser et commencer un ballet buccale avec leurs langues. Pendant le baisé, il était toujours occupé à s'occuper de la généreuse poitrine de sa victime mais il fut surpris lorsque sa main se faufila dans le jeans de cette dernière.
-Tiens c'est surprenant ce que je viens de trouvé. Veux tu que je m'en occupe?
Il ne l'aurait certainement pas proposé à un homme car il s'imaginait mal avoir un jour ce genre de rapport avec un être du même sexe que lui mais il n'était pas trop dégouté de s'occuper de la verge de la futanari et bien évidemment elle devrait son contenté de sa main car il était hors de question qu'il lui fasse un plaisir buccal si elle en voulait vraiment un elle aurait cas demander à son enseignante favorite qui lui avait proposé son aide.
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le jeune homme me réponds qu'il est français, qu'il viens de s'installer en ville, qu'il travaille dans la maintenance informatique et qu'il devrais rentrer au lycée la semaine prochaine.
s'il on m'avait dit en croisant cette montagne de muscles dans la rue qu'il travaillait dans l'informatique, je ne l'aura pas cru, me faisant une fausse idée sur les informaticiens avec des lunettes, maigrichon, habiller d'un style ringard.
il me dit ensuite que c'est la première fois qu'il découvre le coté nocturne de la ville, je lui lance un sourire, alors commence à connaitre assez bien ce qui se passe en ville la nuit depuis quelques temps.
nous continuons de discuter de tout et de rien après nous être présenter l'un l'autre au bout d'un moment, complètement absorber par son regard, je ne fait plus vraiment attention à ce qui se passe dans la salle, m'offrant verre de coca sur verre de coca, je ne me rend pas compte du temps qui passe.
ce n'est qu'au bout d'un moment sentant une sorte d'agitation, mais surtout une odeur que je connais bien, celle du mâle, que je tourne la tête vers la piste de danse.
je reste bloquer de longue secondes en voyant ce qui se déroule devant mes yeux, Ulrique à dû le remarquer, certaine des filles sur la piste de danse et en dehors sont à genoux face à des hommes qui ont leurs pantalons aux chevilles, se faisans sucer alors que d'autres continue de danser.
je ne comprends pas, personnes n’a l'air choqué, plus loin sur la piste de danse toujours, je vois la surveillante faire de même et prendre en bouche un homme qui à l'air d'apprécier.
je tourne le regard vers Ulrique, les joue quelques peut rosé par ce que je viens de voir avant de lui dire.
heuuu... tu connais le thème de la soirée?
c'est alors qu'un homme d'une cinquantaine d'année s'approche de nous et sans hésiter caresse ma cuisse tout en me disant.
salut bébé, sa ne te dirais pas... HIC... de me faire plaisir...
amenant mes mains à cette main sur ma cuisse, j'essaie de la repousser, mais il ne veut pas lâcher prise, lui répondant poliment.
n... non monsieur... je... je n'ai pas envie... pouvez vous enlever votre... main...
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Discutions somme toute banal entre deux personnes fessant connaissance. Voilà comment la soirée s'annonce entre lui et Lili Ivanes, tel est son nom. Au fil de l'échange il apprend qu'elle est aussi élève au lycée, comme quoi le monde est petit. S'en suis une rapide description de l'établissement et d'autres choses anodines du style qu'il ne serait pas forcement intéressent de relater.
Visiblement, les yeux bleus du jeune homme plaisent à Lili, c'est du moins ce que suggère le regard insistant de cette dernière. De son côté Ulrique essai d'imaginer la jeune fille sans les tonnes d'artifices dont elle a fait preuve pour entrer dans cette boite de nuit qui n'a pas encore délivrée toutes ses surprises.
Extrême, c'est le mot qui décrit le mieux la société japonaise dans l'imaginaire collectif du monde, au moins en France. À une rigueur à toute épreuve jusqu'à s'en briser la santé, le peuple répond par des loisirs aussi déments que légendaires pour évacuer la pression. Mais même en sachant ça il est difficile d'imaginer que l'on puisse tomber par hasard à ce qui ressemble beaucoup à une orgie publique.
Heuuu... tu connais le thème de la soirée?
A priori, ça semble asse clair et ... Surprenant je dois dire.
Lili semble gênée par le spectacle, visiblement elle n'était pas plus au courant que lui de la tournure de la soirée. Pourtant, contrairement à lui elle est venue sur conseille ... Ses amies se sont-elles jouées de la lycéenne ? À moins qu'elle se soit trompé de jours, difficile à dire.
Le spectacle à beau être atypique, il fait son effet sur l'organisme nouvellement fonctionnelle d'Ulrique. À sa déchargé, la quasi-totalité des représentants du sexe mâle (toutes races confondues) réagirait d'une façon similaire que ce soit volontaire ou non. Quoi qu'il en soit il ne peut empêcher la formation d'une bosse significative (et d'une taille sans doute alléchante pour beaucoup ici) au niveau de son entrejambe. C'est peut-être même un peu trop pour certaines, quoi qu'il en soit il est relativement tranquille malgré tout.
Ce n'est pas le cas de sa compagne de soirée, abordé par un homme d'un certain âge probablement fortement alcoolisée et dans le plus simple appareille, prouvant qu'on peut avoir 50 ans et toujours "avoir la trique". Malheureusement pour lui l'attirance ne semble pas réciproque. Pourtant malgré le refus clair, le papy insiste bien décidé à obtenir ce qu'il veut de la part de la Lycéenne quitte à la pousser contre son gré. Il continue donc d'ennuyer Lili qui ne semble pas parvenir à se dépêtrer de la situation.
La scène se poursuit quelques minutes, jusqu'à ce que le grand-père ce retrouve avec l'épaule enfermée dans une large main sans aucun doute capable de la réduire en miette. Ulrique ressert sa prise, juste asse pour ramener l'homme sur terre sous la pression très désagréable et aussi inflexible que l'acier
Je pense qu'il y a d'autres jeunes filles qui seront nettement plus réceptive à votre charme, aussi je vous propose de les rejoindre ... Immédiatement.
La "proposition" ressemble plus à un ordre qu'il fait mettre à exécution en tirant doucement mais fermement l'inopportun pour le diriger vers la piste transformer en baisodrome. Malgré les brumes de l'alcool, le ton sec d'Ulrique a sans doute été parfaitement perçu avec la fermeté qu'il y a mit. Un ton très différant de celui qu'il a employé avec Lili ... Et qui, utilisé par un géant de plus de 2 mètres, se trouve être très persuasif.
Malgré l'incident, le dragon caché sous les traits du jeune homme n'a rien perdu de son excitation, rendant son pantalon plus qu'étroit ... Es que quelqu'un si intéressera, rien n'est moins sur ... En attendent, il repose le bleu de ses yeux sur Lili.
Ça va ?
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(Boris, merci de ne pas décrire les actions/réactions de mon perso avant que je les fasse, aussi prévisibles soient-elles.)
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L'endroit sombrait dans des tréfonds plutôt surprenant pour un lieu public, v'était soirée gang-bang et Saeko n'était même pas au courant, elle qui croyait que c'était un simple club pour boire et danser. Elle ne se doutait aucunement qu'une orgie devait avoir lieu. Mais dans son état, Saeko n'était pas en position de se plaindre, si elle aurait tout d'abord été un peu gênée de voir la soirée virer en orgie sexuelle de façon aussi spontanée, dans ce cas-ci, elle était plutôt enclin à s'y joindre et d'ailleurs, son alléchante poitrine ne manquait pas d'attirer les regards et les mains baladeuses. La futanari profitait des caresses d'une paire de mains qui jouaient avec sa poitrine, elle rigola un brin, soupirant de plaisir par la suite. toujours assise à la table, elle continua de boire son hydromel pendant que les mains inconnues la tripotait et elle fût bientôt débarrassée de son soutif, ses deux grosses montagnes enfin libres. L'excitation montait en elle, ses tétons devenus durs, ainsi que l'engin qui reposait entre ses cuisses. Yumiko arriva à la table, sentant la sueur et le sexe, nul doute qu'elle s'était bien amusée puisqu'elle était flambant nue. Elle offrait sa compagnie et Saeko, avec un sourire, alla répondre positivement ... mais l'inconnu derrière elle lui coupa la parole, refusant l'invitation. Saeko fronça les sourcils dans une expression qui ne lui ressemblait pas, jetant un regard vers l'inconnu, qui n'était nul autre que Boris. L'étudiante ne repoussa pas le professeur possessif mais elle le priva d'un baiser pour se tourner vers Yumiko pour accepter son offre.
-Tu peux-hic!-rester, Yumiko-san!
Saeko lui sourit de plus belle, la surveillante avait un corps délicieux. Saeko la voyait d'un autre oeil, maintenant, ne voyant plus simplement la surveillante de son école mais une belle femme sexy qui adorait s'amuser. D'ailleurs, Saeko voulait goûter aux lèvres de la surveillante, lui faisant signe d'approcher pour un langoureux baiser. Pendant ce temps, Boris retira une main de sa poitrine, la glissant dans son jean. Il découvrit ce que Saeko cachait dans sa culotte, c'est-à-dire, une belle grosse verge qui feraient saliver les femmes, si elle passait outre l'étrangeté de la chose.
-Si tu-hic!-veux, mais laisses-moi goûter à la tienne! Et partage avec-hic!-Yumiko-san, d'accord?
Sans gêne, Saeko déboutonna son jean et l'abaissa, en plus de sa culotte, sortant sa grosse queue bien dure, de quoi surprendre les gens présents. Mais probablement que les curieux la prendraient pour une transsexuelle alors qu'en réalité, Saeko avait été une femme avant de se retrouver avec cet engin ...
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Mon collègue de travail semblait particulièrement bien s'amuser avec Saeko-kun... ou Saeko-chan, puisqu'elle avait le même âge que moi au final, mais ma participation aux échanges ne semblait pas convenir à l'intéressé.
- Il me semble qu'elle est en bonne compagnie et très occupée mais merci de le proposer.
Malheureusement pour lui, cette réponse semblait être la mauvaise aux yeux de l'élève, qui lui refusa un baisé, avant de m'inviter avec joie.
- Tu peux -hic!- rester, Yumiko-san !
Hic ? Je comprend mieux sa spontanéité... elle est saoul. Dommage, j'aurais préférée la voir en pleine forme. Au moins, elle a l'alcool joyeux, c'est déjà ça... Avec un plaisir non dissimulé, je m'approche de ses lèvres pour l'embrasser langoureusement, pendant que Boris malaxe l'un de ses monts de chair tout en envoyant une main baladeuse dans sa culotte.
- Tiens c'est surprenant ce que je viens de trouvé. Veux tu que je m'en occupe ?
Surprise, je me détache de ses lèvres pour observer l'engin entre les jambes de l'étudiante. Jamais je n'aurais crus l'existence des futanari possible. Pourtant, j'en avais bien une devant moi. Avec un sourire, j'attrape le sexe dur de Saeko et glisse doucement ma main dessus dans de lents vas et viens.
- Si tu -hic!- veux, mais laisses-moi goûter à la tienne ! Et partage avec -hic!- Yumiko-san, d'accord ?
- C'est ça... Je vais te tailler une pipe pendant que tu t'occuperas de Boris-san...
C'est peut être un langage un peu cru, mais voir un membre si gros sur une fille, ça ma franchement excitée... Sans attendre plus longtemps, j'enfourne le membre de Saeko entre mes lèvres, léchant le gland avec ma langue gourmande, juste entre mes deux seins. Lui offrant ainsi une magnifique branlette espagnole, couplée d'une fellation. Il ne manquerais plus que Boris fasse de même et ce serra parfait pour la jeune futa.
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La futanari était soule mais pas assez pour accepté toutes les avances de l'enseignant à moins qu'elle soit plutôt homosexuelle qu'hétéro ce qui ne serait pas surprenant avec l'immense membre qu'elle tentait de dissimulé habituellement. Même le vampire ne pouvait pas rivalisé avec elle dans ce domaine la mais il savait si faire aussi et il trouverai bien un moment de s'occuper de la Futanari même si pour sa il devait demander l'aide de sa collègue qui semblait avoir plus de succès que lui. En se moment, tout le monde avait plus de succès que lui et ça avait tendance à lui taper un peu sur le système.
Il c'était cru un tomber grâce à sa condition vampirique, normalement il devrait avoir n'importe qu'elle femme à ses pieds et pourtant ces derniers temps le seule qui arrivait à avoir des parties de jambes en l'air c'était sa partie humaine et il ne pouvait même pas dire que c'était des filles moches qu'il avait ferrer. Déçu le vampire, alla se rassoir pendant que Yumiko passait un bon moment avec la cible qu'il aurait voulu.
Il vida d'un trait son verre et il se décida enfin à retiré son pantalon ainsi que ses sous-vêtements libérant son organe masculin qui était aussi dur que celle de la Futanari, en tout cas il semblait l'être, mais c'était assez dur de jugé alors que l'engin se trouvait emprisonné entre les seins de Yumilo-san.
-Je partagerai vu que c'est ta décision et je te laisse faire ce que tu veux avec mon membre.
Boris était assez curieux de voir comment l'élève allait si prendre. Mettrait-elle autant de vigueur que l'enseignante ou bien lui avait-elle proposé une fellation juste pour la forme?
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Malgré mes demandes polis ainsi que mes tentatives pour repousser sa main, l'homme continue d’insister, pensant peut être que je joue la comédie pour l'exciter, mais ce n'est pas le cas.
Son allène est chargé en alcool, sa main remonte jusqu'à mon entre jambe, il caresse ma petite fente, mes grande lèvres et mon petit bouton par dessus mon string, me glissant à l'oreille en chuchotant.
Laisse... hic... laisse toi faire chérie... hic... papa vas bien s'occuper de toi... hic...
Gêné par ces attouchements, je serre les cuisses, je ne sais plus ou me mètre, le rouge me monte au joue, je le sent, essayant encore et toujours de repousser son bras, mais il est trop déterminé pour que je puisse l'arrêter seulement avec la force de mes bras.
Le mieux serrais que je puisse utiliser un de mes pouvoirs, mais il y a trop de monde ici, je tente encore une fois de le résonner.
Mon... Monsieur... Non vraiment arrêté s'il vous plais,... Je ne suis pas intéressé...
Mais malgré mes paroles, il ne s'arrête pas, sentant ces doigts agiles monter et descendre le long de ma petite fente par dessus mon string toujours, je sent mon bas ventre se réchauffer, il se colle à moi, son sexe tendu venant se presser contre ma cuisse.
Si personne n'interviens, il va m'avoir à l'usure, mais heureusement Ulrique interviens posant sa grande main caleuse sur l'épaule de l'homme qui se colle à moi avant de lui dire sur un ton quelques peut autoritaire, mais tout en restant courtois qu'il y a d'autre filles qui serons plus réceptif à ces charmes, lui proposant ensuite de rejoindre la piste de danse immédiatement.
Ulrique gardant sa main sur l'épaule de l'homme jusqu'à ce que celui ci se dirige vers la piste.
Soulagé, je ferme les yeux et tente de me calmer, de faire partir le rouge que j'ai sur les joues, les doigts de cet homme mon rendu toute chose, c'est presque sur qu'il doit avoir une grande expérience des femmes pour être arrivé à m'exciter en quelques minutes juste avec ces doigts.
Je respire profondément plusieurs fois à la suite, avant d'entendre la voie d'Ulrique me demander si je vais bien.
Rouvrant les yeux, je me retrouve à nouveau devant ces beaux yeux bleu et lui réponds d'une voie rassuré.
Oui... Sa vas mieux... Je te remercie d'être intervenue Ulrique... Je ne sais pas si quelqu'un d'autre serais intervenue si tu ne l'avais pas fait...
Finissant le reste de mon verre de Coca, tout le monde peux entendre les cris et gémissements de plaisir des gens qui participes à l'orgie sur la piste de danse et ces alentours, les odeurs d'alcools, de transpirations, de spermes et de mouilles emplisse la salle, tout sa commence à m'exciter un peut plus à chaque minutes qui passe. Je jette de rapide coups d’œil, entre la piste de danse et Ulrique avant de remarquer la déformation de son jean au niveau de son entre jambe.
Un sourire en coin, je descends de ma chaise et viens me coller à lui, ma tête arrivant en dessous de ces pectoraux, je relève la tête avant de lui dire tout en caressant cette déformation d'une main par dessus son jean.
Je vois que le spectacle ne te laisse pas indifférant. Il n'y à pas ce genre de soirée en France?
Continuant de caresser cette déformation ma fois impressionnante, essayant d'imaginer la taille de son membre une fois libéré, j'en deviens toute émoustillé et curieuse.
Je te propose de te remercier à ma manière, pour m'avoir sortie des griffes de cet homme, au moins toi tu sera soulagé et moi je ne me sentirez pas redevable, tu es d'accord?
N'attendant pas sa réponse, après tout s'il n'était pas d'accord, il suffirais qu'il le dise, je commence à déboutonner le bouton de son jean, puis à descendre doucement sa fermeture éclair, avant de faire descendre son jean jusqu'à ces genoux en passant mes mains entre lui est le jean, caressant au passage ces fesses musclées.
Ce que je vois me laisse rêveuse, son sexe encore emprisonné dans son boxer déforme grandement celui ci, j'ai l'impression qu'il vas craquer à tout moment, je descends doucement son boxer rejoindre le jean, quand sa queue jaillie d'un coup alors qu'elle était retenue sous tension par l'élastique de son boxer.
Je reste quelques secondes bouche bée à la vue des proportions monstrueuse de son braquemart, il fait presque la taille de mon avant bras, aussi bien en longueur qu'en diamètre.
Mais il en faut plus pour m'impressionner après tout ce que j'ai déjà vue, finissant de descendre son boxer, je caresse ces cuisses musclé tout en remontant vers son monstrueux phallus, regardant en même temps pour cerner son regard avant de lui dire un sourire en coin.
Tu es équipé comme un cheval Ulrique.
Mon regard revenant sur sa verge, je me met à genoux, une main venant prendre la base de son membre, alors que de l'autre, je décalotte son prépuce pour libérer son gland, je commence alors à laper de coups de langue sa grosse hampe veiné, la partie inférieur pour commencer en partant de son gland jusqu'à sa base, passant ensuite à la partie supérieur avec le même procédé, avant de faire de même pour les deux cotés, laissant sur toute sa hampe une fine pellicule de salive.
L'odeur qu'il dégage est celle d'un mâle, un vrai, ce qui fait monter mon excitation alors que je viens concentrer mes coups de langue sur son gros gland, jouant avec celui ci dans des caresses circulaires, avant de me concentrer sur la partie inférieur très sensible chez les hommes, mettant son gland sur ma langue avant de la faire bouger de droite à gauche très rapidement, récoltant au passage du liquide séminal qui s'écoule de son urètre.
Les minutes passe avant que je ne délaisse son gland pour venir m'occuper de ces bourses, soulevant son membre lourd d'une main, j'approche mon visage de celles ci, de mon autre main, je les caresses délicatement avant de les soupeser.
Elle sont chaudes et lourdes, s'en doute remplis de foutre chaud et épais, j'approche mes lèvres, il doit sentir mon souffle chaud, je les lèches l'une après l'autre, masturbant en même temps son membre de ma main qui le maintiens relevé, avant de les prendre l'une après l'autre entre mes douces lèvres, la chaleur de ma bouche doit le rendre fou, je les suçotes, les aspires, les caresses de ma langue et les fait rouler dans ma bouche, avant de doucement les relâcher enduites de salive.
Je me redresse, arrêtant de le masturber et ramenant sa queue devant mon visage, je lève alors mon regard pour croiser le siens avant de lui demander.
Sa te plais Ulrique? Tu apprécie mes remerciements?
Je lape encore quelques fois son gland avant d'ouvrir en grand la bouche et de le faire glisser entre mes douce lèvres, je fait tournoyer ma langue sur sa verge, je la réchauffe, la suçote, l'aspire et commence à faire de petit vas et viens avec ma tête en poussant de petit gémissements, une main toujours à la base de son sexe alors que de l'autre, je caresse ces abdominaux et ces fesses fermes.
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Ulrique persuasif ? Oui on peut dire, mais une armoire à glace dépassent les deux mètres est toujours persuasive sur Terre, même avec quelques grammes d'alcool dans le sang. Ce que devient le papy ? Aucune idée, sans doute partis embêter une autre jeune fille qui sera sûrement nettement plus alcooliser.
Une fois qu'il est parti, Lili se met à respirer profondément pour se calmer alors que ses joues sont toujours rouges de gène ou d'autre chose sous le maquillage excessif. Peut-être quelle regrette d'être venu ce soir allez savoir, Ulrique n'est pas télépathe. Finalement sa voix la tire de ses pensées alors que leurs regards ce croisent à nouveau. Les yeux bleus semblent la rassurer, à moins que ça soit son aspect général. En garde du corps le jeune homme se débrouillerait sans doute très bien même si l'idée ne lui a jamais traversée l'esprit. Qui ne se sentirait pas plus en sécurité avec une montagne du genre après tout ?
Oui... Ça va mieux... Je te remercie d'être intervenue Ulrique... Je ne sais pas si quelqu'un d'autre serait intervenue si tu ne l'avais pas fait...
Pas de quoi va, c'est normal après tout.
Oui, si on oublie qu'ils sont au milieu d'une partouze géante et arrosée, ce qui pour certain change sans doute la donne. L'atmosphère continue de se charger de l'odeur et de la chaleur des corps qui se mêlent les un aux autres dans un tableau des plus suggestifs, même si certaine chose échappe à sa compréhension. Dans l'agitation ambiante il a du mal à distinguer ce qui se passe à la table qui était l'objet de l'attention de Lili un peu plus tôt. Qu'es que pouvait bien faire les deux jeunes femmes ? Il avait bien une idée mais ça supposait que l'une des deux ai une bizarrerie physique.
Quoi qu'il en soit, ça n'a rien retiré à l'excitation de son organisme, dont la pousser ce fait toujours aussi insistante sur la braguette sous tension. Le vêtement devient d'ailleurs de plus en plus inconfortable à mesure que le temps passe, empêchant son membre de prendre ses aises faute de place pour son extension. Mais il en est pas encore au point de tout déballer sans complexe, non pas qu'il ait à rougir sur ce point-là, c'est seulement culturel dira-t-on.
La bosse proéminente ainsi former ne passe cependant pas inaperçu pour tout le monde. Une fois son verre fini Lili viens observer de plus près le phénomène, venant se mettre debout à ses coté en se pressant contre lui sans vergogne alors qu'il s'est accoudé au bar. Difficile d'ignorer la présence de la jeune fille collée à lui, surtout sa main qui va à la rencontre de son érection encore dissimulée.
Je vois que le spectacle ne te laisse pas indifférant. Il n'y a pas ce genre de soirée en France?
Je ne suis même pas sûr que l'on puisse le faire légalement. On est loin d'être aussi ... Ouvert qu'au Japon.
Ouvert, déluré, chaud du cul ? À vous de choisir l'expression qui vous parait coller le mieux. Dans son cas entre la situation et la petite main qui caresse la bosse de plus en plus dur de son entre-jambe il a un peu de mal à avoir un avis trancher, d'autant que son membre commence à être douloureux à force d'être comprimé dans le vêtement trop étroit.
Je te propose de te remercier à ma manière, pour m'avoir sortie des griffes de cet homme, au moins toi tu seras soulagé et moi je ne me sentirai pas redevable, tu es d'accord?
Tu n'es pas obligé mais ...
... Il ne l'empêchera pas non plus à vrai dire. En même temps excité comme ça qui refuserait une proposition pareille ? De toute façon il n'a pas vraiment le temps d'y penser, car Lili ne perd pas de temps en détachant le bouton tendu de son jean. Elle s'attaque ensuite à la fermeture qui n'oppose aucune résistance à libérer la pression qu'elle retient. Elle n'attend pas une seconde de plus pour faire tomber le pantalon gênant, provocant un gémissement de soulagement de la part d'Ulrique.
Au passage elle tâte sans-gêne le postérieur dur comme le fer comme pour tester la marchandise, mais ce n'est manifestement pas ça qui retient son attention. Poussé par les battements accélérés de son coeur, son membre envahi rapidement l'espace nouvellement disponible dans la pièce de tissu noir orné d'une belle déformation plaquer le long du corps. Déjà que le boxer est trop petit faute de taille adaptée, il est ici clairement bien trop étroit pour ce qu'il contient au grand dam d'Ulrique à nouveau comprimer.
Ça n'empêche pas sa compagne du soir de poursuivre ses opérations de libérations. Le sous-vêtement fini au bas des jambes comme le pantalon, non sans un temps d'arrêt lorsque l'engin bondi littéralement au visage maquiller qui y fait face. La lycéenne finit de le débarrasser du synthétique gênant non sans avoir l'air d'apprécier les proportions inhabituelles de la verge qui achève de se remplir du sang bouillant, rougissant la grosse prune qui en orne le bout qui oscille doucement à chaque contraction cardiaque.
Tu es équipé comme un cheval Ulrique.
Peut-être bien oui, difficile à dire vu qu'il ne c'est jamais amusé à aller vérifier. En tout cas il est certain qu'il est au-dessus de la moyenne ... Comme presque tout dans son corps en fait, mais difficile de comparer à un homme lambda vu qu'il n'est pas lui-même un humain. Mais ce n'est pas comme si on en avait quelque chose à faire dans la situation présente. Leurs regards se croisent à nouveau, les yeux marron cherchant à percer les pensées cachées par les yeux bleus qui l'encourage à poursuivre.
Il ne répond donc rien quand les mains de Lili viennent prendre possession de la longue hampe dont elles ne peuvent faire le tour, mais ça n'arrête pas la jeune fille qui n'a visiblement pas froid aux yeux en découvrant le bout de l'épaisse lance de chaire. Le géant ne peut empêcher une contraction en réaction à la plaisante sensation de la langue qui découvre le goût de l'objet de toutes les attentions de la Lycéenne.
Un goût fort à vrai dire, aussi puissant que le sang des dragons qui coule dans ses veines. L'odeur qu'il dégage est à la hauteur, bien que différence de celle des humains elle envahie sans mal le petit nez si proche de la colonne brûlante avec laquelle elle fait connaissance à son rythme en arrachant des gémissements de plaisirs au mâle auquel elle est raccrochée.
Ulrique doit se faire violence pour ne pas craquer tout de suite, ça serait dommage de ne pas profiter du petit cadeau jusqu'au bout. Mais c'est loin d'être facile quand l'amante qui joue avec ses sensations se révèle être douée dans son art. Ce n'est probablement pas la première fois qu'elle se prête à l'exercice qu'elle connaît à merveille alors que le temps passe et que la peau devient luisante de ce traitement. La température monte comme son excitation, provocant une abondante "fuite" de liquide au bout de son membre surchauffé, preuve s'il en faut qu'il apprécie grandement les caresses buccales de Lili.
Cette dernière finit finalement par se lasser de la tige, la délaissent quelques secondes. Ulrique en profite pour se débarrasser de son t-shirt qui lui tient trop chaud, dévoilant son torse qui attire les regards, du moins un peu plus que jusque-là. Les scènes parmi d'autres dont il est l'acteur avec Lili augmentes encore l'excitation des autres participants de la soirée qui se donnent encore plus dans leurs activités de groupe qui charge l'atmosphère de l'odeur et de la chaleur caractéristique d'une soirée de débauche, confirmées par les sons plus qu'explicites.
La lycéenne s'est trouvée une nouvelle cible qu'elle découvre en soulevant son sexe dur pour livrer passage à ses bourses imposantes. Légèrement couverte de poiles court qui remonte le long de son pubis, elles sont aussi chaudes que la hampe puissante qu'elles se préparent depuis un moment à alimenter de la crème épaisse qui les alourdissent. La plainte qu'il émet en sentant le souffle de Lili sur ces parties sensibles s'amplifie quand elle leurs administres un traitement des plus plaisants, confirmant que le géant le trouve à son goût.
Tout son corps se contracte à nouveau, retardant encore un peu le moment où la pression sera trop forte quand elle se met à gober les testicules l'un après l'autre. Il pause d'ailleurs ses larges mains sur ses épaules, l'incitant à ralentir un peu la cadence pour évite une explosion prématurée bien qu'inévitable. Il lui aurait bien fait autre chose à vrai dire, mais la différence de taille est trop grande pour qu'il puisse atteindre d'autre partie de la jeune fille. Ce n'est que partie remise.
Après ce traitement aussi efficace que plaisant, elle relâche les deux boules brillantes de salive pour s'intéresser à nouveau au tronc et à son propriétaire qui en a perdu la notion du temps et de l'endroit où ils se trouvent. L'instant de répit accordé permet à la pression de retomber un peu dans le corps d'Ulrique, bien que son excitation soit entretenue par la douce main qui caresse sa verge toujours aussi droite et dur.
Ça te plait Ulrique? Tu apprécies mes remerciements?
Je ne sais pas où t'a appris tout ça, mais t'est sacrément douée ça c'est sûr. Putain ce que c'est bon ...
Les effets commencent à se ressentir sur son esprit, lui fessant perdre quelques peu la notion des langues. Il parait que jurer dans sa langue maternelle est plus facile et naturelle que dans tout autre langage, c'est sans doute ce qui explique l'apparition d'un terme en français, sans doute parfaitement compréhensible malgré tout.
Honnêtement Ulrique pensait qu'elle allait s'arrêter là, ce qui est un traitement déjà honorable pour une si petite broutille. Mais Lili semble être maintenant aussi excité que lui, il faut au moins ça pour s'attaquer au défi que représente l'organe du jeune homme. Il ne pouvait évidemment savoir qu'elle en avait vu d'autre, peut-être même des plus imposante encore.
Elle passe une dernière fois sa langue sur le gland comme pour l'apprivoiser une dernière fois avant de le gober comme un oeuf. C'est à ce moment-là qu'il prend vraiment conscience d'être véritablement monstrueux, obligent Lili à ouvrir la bouche à la limite de ce déboîter la mâchoire pour l'engloutir. Un manche de pioche c'est de la rigolade à ingurgiter à coter de ça, mais ça ne l'arrête pas pour autant, trahissant une certaine expérience de la chose.
Malgré tout elle semble apprécier comme semble le prouver ses gémissements et ses coups de langues. Les mains d'Ulrique quittent les frêles épaules qu'il tenait depuis tout à l'heure. L'une viens se poser sur la tête de Lili, la guidant au rythme qui lui fessait le plus de bien tout en l'encourageant à l'avaler un peu plus sans vraiment forcer son terrible engin à chaque fois qu'il touchait doucement le fond de la bouche chaude. L'autre vient prendre celle qu'elle promène sur son ventre maintenant couvert d'une fine pellicule de sueur à la découverte des creux et bosses formés par ses muscles puissants, formant des reliefs habituellement peu visible à certain endroit de son corps.
Quelques minutes supplémentaires et il est au bout de sa résistance. Il se contracte à nouveau et envoie sa crème brûlante et odorante dans la gorge de Lili. Une quantité aussi importante que l'organe qui la crache dans un profond râle de libération d'Ulrique. Mais même débarrassé de cette dose qui lui encombrait les bourses depuis un moment, le mât reste toujours aussi dur et imposant, prêt à servir à nouveau.
T'est ... T'est une sacré suceuse Lili, il y a pas à dire.
[Les mots soulignés sont exprimés en français]
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La soirée devenait plus torride que ce qu'avait imaginé Saeko mais elle était trop ivre pour s'en soucier. après tout, elle allait pouvoir se laisser aller et goûter à ce que les clients du bar avaient à lui offrir. Elle pouvait déjà goûter aux lèvres de la belle Yumiko qui, elle, alla goûter à l'engin dressé entre les cuisses de Saeko. Les cris, gémissements et grognements des autres fêtards rendaient la soirée très excitante et Saeko profita bien des caresses buccales de la surveillante qui, en plus, gardait le membre bien au chaud entre ses deux gros seins. Boris, après avoir bu un verre, libéra son engin, que Saeko s'empressa de branler doucement. Plutôt que de commencer par quelques coups de langue, elle enfourna direct la queue dans sa bouche, suçant avec gourmandise. Ses inhibitions avaient complètement disparues et elle n'allait pas s'empêcher de jouer les dévergondées face aux clients du bar. D'une main elle caressa la chevelure de Yumiko alors que l'autre caressait la verge tendue.
-Hmmm ... -hic!- ... j'en veux ... -hic!- ... plus!
L'étudiante avait l'impression d'être différente après avoir bu cet alcool, elle voulait qu'on la prenne, qu'on la touche. Elle voulait branler, sucer, embrasser. Elle ne l'avait fait qu'avec des filles, dernièrement, excepté John, qui lui avait offert une petite baise anale dans les douches de l'école mais cette fois, Saeko voulait avoir plusieurs verges à partager avec Yumiko. La futanari continua à tailler sa propre pipe, elle porta une main derrière la banquette, au cas où quelques pervers seraient en train de regarder ce qui se passait entre la surveillante, l'enseignant et l'étudiante. Elle branlerait la première verge qui se poserait dans sa main, bien que doigter une chatte ne la dérangerait pas plus.
-Si bon, Yumiko-hic!-san ... encore! .... hmm ...