Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Shunï le mercredi 02 novembre 2011, 01:33:16
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Le Mp3 sur les oreilles, Shunï fonçait sur son vélo dans la voie réservée expressément pour ces engins à deux roues, située entre le trottoir et la rue, se dirigeant vers le camp paramilitaire, en dehors de la ville. Elle avait fait sa dernière mission il y a de ça deux mois, et l’index commençait à lui démanger… Mais ce n’était pas pour ça qu’on lui avait demandé de se rendre à la base, un Lundi matin à six heures tapante. On lui avait demandé de devenir l’institutrice de certaines recrues TDE, pour un mois entier. Ce n’était pas le meilleur job qu’un tireur d’élite pouvait avoir, mais elle ne s’en plaindrait pas, tourner en rond dans son appartement allait la rendre folle, d’ailleurs, à ce qui parait, l’armée avait fait une journée de porte ouverte, la semaine précédente, histoire d’avoir quelques inscriptions en plus. En effet, il semblait bien que certains civils avaient décidé de s’inscrire pour une séance complète, un mois, à voir exactement ce que les soldats subissaient. Évidemment, ils ne pouvaient pas avoir un entrainement complet, ils devaient choisir une discipline, TDE étant l’une de celles-ci.
Bon, allez, ressaisi-toi, ma vieille, ou tu vas te ramasser devant tes étudiants!
Le feu était tombé vert pour les vélos avant même qu’elle n’ait eut le temps de ralentir, elle était trop loin pour l’avoir fait avant. Elle ne pouvait pas prévoir qu’un ouvrier de la ville était en retard et qui avait décidé de brûler le feu rouge…
La voiture heurta de plein fouet la roue arrière de Shunï. Alors que le vélo s’envolait dans un sens alors que la rousse tombait dans l’autre. Si elle avait ralenti, elle serait probablement allongée sur le capot de la voiture en ce moment, mais, par chance, elle s’en tire avec simplement quelques petites égratignures au niveau des genoux et des mains. Pleine d’adrénaline, elle se releva, alors que le conducteur sortait de sa voiture, fou de rage.
BON SANG, MAIS REGARDES AVANT DE FAIRE QUELQUE CHOSE D’AUSSI DANGEREUX!
Sans répondre, elle marcha rapidement jusqu’à sa hauteur…Avant de lui mettre son poing au visage. Le pauvre bougre, ne sachant pas à qui il avait à faire, n’aurait pas dû tenter de mettre ce qui était arrivé sur son dos. Maintenant, il était étendu au sol, le nez cassé, du sang tachant l’asphalte gris.
Ne grilles plus les feux rouges, tu veux?
Jetant un coup d’œil à son vélo, Shunï se dit qu’elle manquait de chance; il était inutilisable. Soupirant, elle marcha jusqu’à un arrêt de bus, laissant son moyen de locomotion et l’idiot où ils étaient, bien décidée à ne pas attendre l’arrivée des policiers. Tiens? Voilà le gros engin bruyant et malodorant qui apparait au coin de la rue, au moins lui n’est pas en retard!
Montant dans le bus, elle déposa un billet de 20 Yens dans la jarre.
Je vais à la sortie de la ville… Combien de temps ça va prendre?
20 minutes.
Alors qu’elle vérifiait l’heure indiquée sur son Mp3, un air lourd tomba sur son visage; il était 5 heures trente… Lorsqu’elle arriverait à sa base, après encore une dizaine de minutes de marche, et ce, si elle courrait, il lui resterait à aller s’enregistrer à l’accueil et se rendre à la salle de cours. Bon sang, quand on dit que les choses arrivent mal!
Après la vingtaine de minutes de bus, qui avaient plus semblé être des heures pour la militaire, elle descendit les trois marches avant de retrouver le sol de béton et de se mettre à courir en direction de la base.
Soufflant, Shunï écarta les portes de verre de son chemin avant d’arriver vers la secrétaire, qui la regardait froidement.
Li… Lieutenant Azikamü… Je… dois donn… donner un cours à des recrues… un cours de TDE
Sans vouloir vous offenser, Lieutenant, vous êtes en retard et semblez bien essoufflée, c’est sur cet étage couloir 4, troisième porte à droite.
Après un petit sourire de remerciement, elle fonça vers la classe trois du couloir quatre. Par chance, il n’y avait personne dans les couloirs, elle ne voulait pas avoir à se confondre en excuses pour avoir bousculer un Major alors qu’elle était en retard pour son propre cours… Ce n’était pas digne d’un Lieutenant décoré!
La jeune femme s’arrêta tout juste avant d’arriver à la porte de sa classe, dans le but de reprendre son souffle et de ne pas montrer à la classe qu’elle s’était dépêchée. Expirant une dernière fois, elle entra dans la pièce, droite. Posant son sac en bandoulière sur le bureau, elle jeta un coup d’œil à la classe. Quatre hommes y étaient dont deux étaient debout, droit comme des barres de fer, saluant leur professeur.
Repos, et rassoyez vous… N’êtes vous pas censés être six?
Ils ne sont toujours pas arrivés! Mon lieutenant!
Sur ces propos, un homme aux cheveux blonds et un autre au crâne rasé entrèrent dans la pièce, saluant l’institutrice avant d’aller s’asseoir sur les deux chaises encore libre. Souriant légèrement, je croisai les bras, les fesses posées sur le bureau, face à mes six nouveaux élèves.
Je suis le lieutenant Shunï Azikamü, je serai votre institutrice pour le prochain mois dans la classe de TDE.
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Il n'était que 5h30 du matin pourtant Boris était déjà devant sa classe et était prêt à avoir son premier cours de TDE. Il entra dans la salle encore vide à cette heure aussi matinale et il eut tout le temps de porter son regard sur la pièce. Il n'y avait que 7 banc et 7 chaises, seule l'élite avait obtenu le droit de participé à ce cours et certains en avait forcément bavé pour en arrivé là.
Comment Boris, prof de gymnastique dans un collège, c'était retrouver dans cette pièce au lieu de donné cours et pourquoi avait-il suspendu 1 mois de court? C'est une bien longue histoire qui à commencé de manière des plus banal qui soit à vrai.
C'était lors d'une belle journée, il y a 2 semaines de cela alors que l'humain c'était rendu à sa librairie pour acheter son magazine hebdomadaire préféré. C'était un magazine sur tout ce qu'il y a sur les sports et sur les équipements en rapports avec ceux-ci. Dans un article, on parlait d'un nouveau sport assez tendance en se moment: Le tir.
Le prof de gym lu l'article et il alla payer son magazine pour ensuite rentrer chez lui. C'est alors que son regard se posa sur l'affiche au fond du magasin. Il y avait souvent des promotions d'un mois, d'une semaine ou de quelques jours pour certains sports, cours de cuisines, cours de pilotage d'avion.
Bref, c'était une affiche qui donnait les principaux stages formatifs de la ville et un stage militaire allait bientôt commencé. Il y avait bien sur des frais financiers et administratif mais il y avait surtout un test qui se déroulait une semaine à l'avance qui opposerait ceux que le stage intéresserait.
Durant toute une semaine, Boris, ne fit que se remettre en forme, bien qu'il n'en au pas vraiment besoin, et il s'occupa de réglé tout les problèmes administratifs pour pouvoir suivre la formation. Il avait aussi demandé la fiche de tout les officiers instructeurs pour pouvoir ensuite choisir une discipline.
Parmi tout les instructeurs possible, c'est le lieutenant Shunï Azikamü qui retint le plus l'attention du jeune homme. La fiche ne disait pas si c'était une femme ou un homme surement pour évité que des critères sexiste se forme mais c'était surtout la carrière militaire de cet officié qui intéressait le futur étudiant. Dossier exemplaire et déjà gradé alors qu'il ou elle devait avoir le même âge que lui.
-Bien je serais chargé aujourd'hui de vous faire passé le test qui vous permettra ou pas d'assisté au cours durant un mois la semaine prochaine. Si vous réussissez alors bienvenu parmi nous si vous échouez vous pourrez revenir la prochaine fois que nous feront un stage mais vous serez pas rembourser pour les sommes déjà données.
Il y avait beaucoup de monde et il n'y aurait surement pas beaucoup qui serait reçu et histoire de mettre un peu plus de piments dans la compétition les disciplines ne pouvait être choisie à l'avance, seule l'élite pouvait vraiment choisir les autres devait se contenté des choix restant.
-Et vous là. C'est quoi cette tenue, allez immédiatement au vestiaire et mettez un uniforme militaire comme les autres.
*Dommage je pensait qu'il ne le remarquerait pas avec tout ce vert.*
A contre coeur le récidiviste entra dans le vestiaire et échangea son uniforme scolaire contre celui de l'armée mais c'est totalement débraillé qu'il ressorti car il ne voulait pas faire attendre les autres qui voulait commencé. Il n'avait donc pas eu le temps d'attaché correctement sa ceinture et une partie de sa chemise ressortait de son pantalon. Les lacets de ses chaussures était également attaché n'importe comment et risquait de le faire tomber à tout moment.
-Bien maintenant que vous êtes tous conforme au règlement. On va commencé par un petit échauffement.
Ce qu'appelait un petit échauffement l'instructeur était en réalité faire courir ses étudiants pendant une heure non stop en faisait des tours de piste, une chose déjà assez fatigante en soit mais il fallait en plus avoir fait au moins 60 tour de pistes. Une minute pour avoir fait 400 mètres c'était au-dessus de la moyenne mais il fallait quand même savoir suivre le rythme.
Il y eut beaucoup d’abandon après une demi-heure de course et encore une bonne partie un quart d'heure avant la fin de l'échauffement. Sur les 2000 candidats il n'en restait déjà plus que 500 à la fin de la course à pied. Boris arriva dernier avec tout juste 60 tour de piste, il venait de le finir au moment où sonna la fin de l'heure.
*A la seconde, près je dois donc avoir fait une minute tout pile comme c'était demandé*
Parmi les qualifiés beaucoup était déjà trempé de sueur et était sur le points de s'écrouler sur le sol, leurs respirations était assez saccadée et ont voyait très bien qu'il avait fait un effort surhumain pour se qualifié.
-5 minutes de pause et on se retrouve ici.
Alors que la plupart des survivants en profitèrent pour s'assoir et retrouver un second souffle, Boris lui se contenta d'aller cherché une bouteille d'eau, qu'il but et il passa ensuite les secondes restantes à mettre sa tenue dans un état largement potable.
Cette fois sa tenue était parfaite ce qui réjouit le prof de gym, il n'était pas très exigeant en matière d'ordre, il était le premier à jeté ses affaires sales par terres dans un coin de son appartement mais il ne supportait pas avoir une tenue dépareillé et ça lui avait trotté en tête durant une heure mais il n'avait pas le temps de l'accordé pendant qu'il courait.
La seconde partie de l'examen fut fatale pour presque tout les candidats, c'était un simple parcours d'obstacle obligatoire pour ceux qui voulait rentré dans l'armée mais seule une petite centaines d'élève avait réussi à faire le parcours en entier.
La troisième épreuve quand à elle était un test médical et c'est celui que le jeune homme eut beaucoup de mal à passé car il était assez petit, il faisait quand même 1m70, et n'était pas particulièrement bien bâti mais les médecins devait quand même avoue qu'il était en parfaite santé, malgré que la température corporel de ce dernier était plus bas que la norme.
Pour cette épreuve seule 2 ou 3 personnes furent refusé car après le test d'effort très peu était considéré en mauvaise santé mais certains ne pourrait pas participé pendant un mois à se genre d'activité sans tomber malade ont les refusa donc mais très poliment.
Avec le derniers test, celui de connaissance, le nombre de rescapés passa de 97 à 36. Il y avait une question piège parmi l'examen qui avait surement fait tomber la plupart des candidats mais à présent les 36 présents était acceptés. Il y avait donc 6 élèves par classe et chaque étudiants devait se présenté en début d'après-midi pour choisir sa classe.
Après un petit discours sur le déroulement du mois à venir et les règles à respecté durant le stage, comme lorsque l'instructeur rentre il faut le saluer, les officiers chargés de l'examen commencèrent à appelé les élèves.
Boris termina 10/36 ce qui était tout à fait correct il eut néanmoins beaucoup de chance car il eut la dernière place dans le cours de Shunï Azikamü. S'il n'avait pas put participé à cette discipline il aurait directement quitté le stage même s'il devait être mal vu et perdre une bonne partie de l'argent donné.
-Bien vous devez tous être dans vos classes à 6 heures tapante demain.
Boris arriva donc le lendemain à 5h30 devant la classe et il prit la peine de s'assoir à une des chaises libres. il avait choisi une place entre le bureau contre celui de la fenêtre et les deux devant celui de l'instructeur. il avait préféré évité de se placé du côté de la porte pour ne pas donné l'impression qu'il voulait partir à tout pris, ni contre la fenêtre pour ne pas donner l'impression d'être continuellement distrait, les deux places devant le prof était à oublier aussi, le fayotage très peu pour lui.
Petit à petit la classe se rempli et il n'y eut que des hommes dans cette section pourtant il y avait eut 4 femmes qui avait réussi à se qualifié mais il semblerait qu'aucune n'ait voulu de ce cours car 2 parmi les 4 avait fini avant Boris.
Finalement l'officier instructeur rentra dans la pièce et Boris se leva et salua la jeune femme qui venait de rentré. Il n'avait pas eut besoin qu'elle se présente, ni même d'attendre avant de savoir si c'était bien elle. Il avait retenu les 35 visages des autres qualifié et cette jolie demoiselle n'en faisait pas partie elle ne pouvait donc être que l'instructeur.
Repos, et rassoyez vous… N’êtes vous pas censés être six?
Parmi les chaises encore disponible il restait encore une à droite et à gauche de Boris c'est à dire une contre la fenêtre et une devant le bureau de la rousse. C'était l'étudiant qui se trouvait tout juste en face d'elle qui avait répondu.
*Pur fayot celui-là*
Il avait même prit la peine de se relevé et de saluer son instructeur et c'était mit à parler. Le parfait exemple de soldat mais après tout rien n’empêchait les professionnels à participé au stage, il n'était mis nulle part que c'était accessible qu'au civil.
-Je suis le lieutenant Shunï Azikamü, je serai votre institutrice pour le prochain mois dans la classe de TDE.
Le cours allait enfin commencé et c'était avec une certaine hâte que le professeur de gym attendait se cours. Il avait toujours aimé apprendre et bien qu'il ne supporte pas vraiment à rester assis sur une chaise à "ne rien faire" il avait un prix de consolation pour une fois il n'aurait aucun mal à suivre le cours sans décroché le regard de son instructeur car il fallait le dire c'était un canon.
La nature était parfois totalement injuste envers certains individus, il avait donné à Shunï non seulement l'intelligence et un talent militaire hors du commun mais elle avait en plus poussé le vice à lui donner une corps de rêve.
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Bon! Comme tout le monde semblait arrivé, on pouvait enfin commencer le cours. Les hommes qui se trouvaient devant l’instructrice étaient tous des athlètes, sachant qu’ils avaient dû passer une série de tests pour pouvoir se qualifier. Probablement que beaucoup d’entre eux se disaient qu’ils pourraient savoir comment tirer du fusil de précision d’ici mercredi. Cependant, le travail d’un TDE est beaucoup plus complexe et exigeant que celui d’un soldat de front. Attrapant un manuel à peu près aussi gros qu’un dictionnaire, Shunï le laissa tomber sur le bureau dans un bruit sourd.
Pour ceux qui avaient prévu que leur entraînement ne serait que de l’exercice physique, voilà de quoi vous démentir. Durant ce mois, je peux vous dire que au maximum trois semaines seront considérées pour l’enseignement sur le terrain, donc une semaine ou plus pour les cours en classe. Ne vous en faites pas, je n’ai pas l’intention de vous faire poireauter ici pendant toute la semaine. Dès demain, vous aurez votre premier entraînement de TDE, mais pour l’instant…
Sa main glissa dans l’ouverture du sac, où elle alla chercher une copie du manuel qu’elle venait tout juste de poser sur la table.
Comme vous pouvez le constater, j’ai apporté des livres pour tout le monde, sachant que l’armée ne paierait jamais pour de la documentations pour des stages.
Distribuant un livre par personne, Shunï regardait chacun de ses étudiants, les détaillants. En un coup d’œil, un bon TDE doit savoir à qui il a à faire, et c’est généralement un seul coup d’œil qu’il a, les combats au corps à corps étant très rares. Elle retourna alors à son bureau, passant derrière celui-ci et attrapa une craie avant de se retourner, faisant face aux six hommes qui survolaient déjà le livre.
Durant ce mois, vous apprendrez les rudiments des TDE, communément appelé Snipers. Vous apprendrez entre autre comment assembler un de ses monstres avec lesquels j’ai l’habitude de partir, comment vous rendre d’un point A au point B sans que personne ne se rende compte de votre présence et, si vous êtes assez doué, je vous apprendrai à tirer.
Évidemment qu’ils tireraient, Shunï n’avait pas l’intention de donner un cours sur comment être un bon sniper sans qu’ils aient tirer une seule balle avec un fusil de précision. C’était peut-être ça d’ailleurs qui déclencherait la passion à l’un de ses élèves, tout comme elle, il y a de ça huit ans. Mais pour aujourd’hui, l’instructrice devra leur donner les outils nécessaires pour pouvoir faire un bon tir… Mais pas maintenant. Baissant les yeux sur sa feuille, elle regarda le second nom qu’il avait sur la liste.
Vous quatre, je sais que vous êtes des recrues, pour vous avoir souvent vu dans les murs de l’enceinte… Domôchi, Izaak?
Oui, mon lieutenant?
Vous n’êtes manifestement pas soldat, quel est votre métier?
Je suis un étudiant, j’étudie en droit à l’université de Tokyo, je suis ici en vacances
Un stage militaire en guise de vacances? Ça doit être sacrément dur d’étudier en droit!
Tous s’esclaffèrent légèrement avant que la rouquine ne nomme le second nom.
Crudelis, Boris? L’ai-je bien prononcé? Que faites vous dans la vie?
Après avoir écouté l’homme, qui semblait à peu près de son âge, Shunï adressa un sourire poli à sa classe avant de se retourner vers le tableau, les cordialités, ainsi que l’échange de banalités, étaient terminées, et il fallait à présent se mettre au travail, il était déjà six heures trente après tout. La jeune femme, écrivant les mots « TIREUR D’ÉLITE = ÉQUIPE » au tableau, se disait que les étudiants devaient croire que ce serait une partie de plaisir d’être dans cette classe, alors que la première journée ne semblait pas tellement épuisante. Elle sourit au tableau, pensant qu’ils n’étaient même pas près de la vérité, et qu’ils allaient en suer plus que leur dû. Frappant le tableau noir avec sa craie blanche à la suite de ce qu’elle venait tout juste d’écrire pour attirer l’attention de tous ses élèves, elle se retourna pour enfin commencer son cours.
Oubliez tout ce que vous avez vu sur les Snipers dans les films d’actions Hollywoodiens. Jamais un Tireur d’élite ne sera seul, il sera toujours accompagné d’un autre soldat, qui sera sa couverture, le défendant si jamais les ennemis viennent à eux alors que le tireur est concentré, lui donner la position des cibles à atteindre ou encore lui dire si la cible a été touchée et, si non, où la balle a atterri par rapport à la cible; On l’appelle l’observateur.
Pendant l’avant-midi, la TDE de profession expliqua l’importance du travail d’équipe, de l’équipement général d’un sniper ainsi que des cas spéciaux qui amènent les tireurs d’élite à emmener un équipement plus lourd, comme un fusil de précision Barrett avec des balles à haute perforation, généralement utilisé pour dégommer des tanks ou des hélicos de combat.
Rapidement, l’heure du dîner arriva, et tous partirent déjeuner à la cafétéria militaire alors que la rouquine allait au restaurant des gradés. Eh oui, les grades peuvent servir à plus que la reconnaissance.
Le reste de la journée passa tranquillement, où Shunï les avait emmené au gym, faire des exercices de routine sur des tapis roulant, du vélo stationnaire ou encore des exercices pour la musculature dans le haut du corps.
À la fin du cours, vers 20 heures, la jeune femme demanda à ses étudiants de grimper sur un des sept tapis roulant, avant de s’exécuter aussi.
Messieurs, avoir un bon cardio est vital pour un tireur d’élite, car si jamais il se fait compromettre, il doit courir, pour éviter les balles. Tout le monde à sprint, vous courrez aussi longtemps que vos jambes vous le permettent!
Pour la première fois de la journée, elle allait faire avec eux l’exercice qu’elle leur demandait d’accomplir. Par professionnalisme, et aussi par soucis d’aider ceux qui avaient du mal à accomplir les choses, elle n’avait pas voulu faire les autres exercices, mais, pour celui-ci, elle voulait qu’ils voient ce dont un TDE accompli était capable.
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Le lieutenant commença directement par donné les manuels utiles pour la formation. C'était d'énorme manuel et à moins d'utiliser toute les nuits jusqu'à la fin du stage, il devait être impossible de le lire en entier mais c'était pas un problème pour le vampire qui ne dormait presque jamais il aurait donc le temps de se renseigner sur chaque partie du sniper. Il aurait le temps de lire et d'étudier chaque page pour ainsi avoir une meilleur notion de sa futur arme.
Pendant que la jeune femme interrogeait un jeune homme qui faisait des études de droit, Boris se mit à feuilleté son livre de manière extrêmement avide, il n'avait pas une mémoire photographique il ne pouvait donc pas retenir chaque information sur les pages qu'il retournait de toute façon il allait beaucoup trop vite même s'il avait eut ce fabuleux avantages pour tout retenir.
-Crudelis, Boris? L’ai-je bien prononcé? Que faites vous dans la vie?
-Vous l'avez prononcé parfaitement lieutenant! Je suis professeur de gym dans un lycée lieutenant!
La réponse de l'enseignant provoqua une réaction de surprise chez la plupart des candidats après tout il ne semblait avoir que 17 ans et il n'avait pas vraiment le profil pour être un grand sportif et certains se demandait même comment il avait réussi à passé le test. Même l'étudiant en droit avait une corpulence beaucoup plus impressionnante que le vampire pourtant il n'était pas particulièrement musclé.
Une fois que la rousse eut fait le tour des candidats elle commença finalement à distribuer le cours. Elle savait capté l'attention de ses étudiants et elle expliquait son cours avec beaucoup de passion preuve qu'elle aimait ce qu'elle était entrain d'enseigner. Elle avait énormément de qualité et elle aurait pu faire cours à des étudiants durant toute sa vie mais le jeune homme sentait que le terrain lui plaisait beaucoup trop pour pouvoir renoncé à ce plaisir et rester à enseigner au autres.
La pause de midi fut assez bienvenue car même si le cours était intéressante et que le stagiaire n'en avait pas perdu une miettes, il commençait en avoir un peu marre de rester sur une chaise sans rien faire. Son sang de vampire l'incitait à la liberté, au mouvement à se être un prédateur et étudier était le parfait contraire.
Bien évidemment il mangea comme tout les autres le repas qui lui était servi, même s'il n'avait plus besoin de manger la nourriture humaine il ressentait encore son gout et il aimait manger de la bonne nourriture cependant il est dur d'aller au restaurant en sachant que même le met le plus raffiner ne pourrait comblé sa faim.
L'après-midi plus énormément au sportif qui put se délier les jambes mais fidèle à sa couverture, il ne se démarquait pas du lot, il s'arrangeait toujours pour ne pas mettre la vitesse du tapis au-delà d'un certains niveau qui était une moyenne humaine, il ne soulevait pas des poids aussi important que les militaires confirmés mais pour son gabarit il faisait preuve d'une force et d'une endurance assez peu commune.
Par contre le vélo lui posa un peu plus de problème que les autres exercices, il n'aimait pas vraiment ce moyen de transport qui lui donnait une fausse impression de ne pas faire d'effort et qui ensuite faisait souffrir le martyr au jambes et au genoux le novice. Il fut d'ailleurs un des seuls à ne pas aller au bout de l’exercice en s'arrêtant 10 minutes avant que son examinateur ne le lui dise.
-Messieurs, avoir un bon cardio est vital pour un tireur d’élite, car si jamais il se fait compromettre, il doit courir, pour éviter les balles. Tout le monde à sprint, vous courrez aussi longtemps que vos jambes vous le permettent!
Le petit concours d'endurance commença donc parmi les différents stagiaire mais pour une fois, Shunï ne se contenta pas juste de donner des ordres elle allait participé également ce qui pimenterai un peu l'exercice car l'endurance avait toujours été le point fort de Boris.
En temps qu'humain il était déjà redoutable cependant la transformation en vampire l'avait rendu presque increvable étant donné qu'il se fatiguait beaucoup moins vite d'un humain normale. Il commença donc à courir au même rythme que ses camarades puis il augmentait progressivement la cadence toute les demi-heures.
Au bout de 2h il courait largement plus vite que le seuil de départ pourtant il ne ressentait encore aucune fatigue et il pouvait encore continuer pendant toute la nuit à cette vitesse même si le lendemain il serait sur les rotules.
Les temps passait assez rapidement avec cette exercices qui était fort libérateur et qui nécessitait une énorme concentration si bien que sans s'en rendre compte ça faisait déjà 4h qu'il était sur le tapis et il commença un peu à regarder qui il restait autour de lui. Il espérait seulement qu'il n'était plus le seul sur le tapis.
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Ça faisait quatre heures que la classe courrait, une demi-heure que la rouquine était en plein sprint, et, pour être honnête, elle commençait à fatiguer. Un seul avait réussi à la suivre, c’était ce professeur de gym, qui courrait comme un déchaîné depuis aussi longtemps qu’elle, peut-être même plus, tandis que trois avaient abandonné et que les trois autres avaient ralenti la cadence. Bref, tout le monde commençait à être sur les rotules, à part Boris, ce qui intrigua la jeune femme, mais n’en fit pas de cas.
Descendant de son tapis d’exercice, elle appuya à répétition sur le bouton qui faisait diminuer la vitesse de chaque tapis de ses élèves.
Ça suffit messieurs, si vous voulez tenir le mois en entier, vous devrez prendre une pause… En fait, le cours d’aujourd’hui va se terminer ainsi. En rang, près de la porte, j’ai une dernière chose à vous offrir avant que vous ne partiez.
Alors que ses élèves s’exécutaient, Shunï alla dans la petite pièce, comme un bureau, attraper six clefs, puis revint faire face à eux. Leur tendant chacun une clef, elle expliqua la manière dont le mois allait se passer.
Comme vous le savez peut-être, il y a un couvre-feu sur cette zone, personne ne peut en sortir, ni y entrer, de 21 heures à 4 heures du matin. Or, il est 20 heures, le temps que vous alliez vous doucher et vous changer, peut-être même tenter de relaxer un peu, on oublie l’idée de rentrer chez soi, ce sera ainsi tout le long du stage; vous serez confiné à la base. Cette clef ouvre le dortoir des recrues, comme ils ne sont pas là ce mois-ci, vous l’aurez pour vous six. Je m’attends à ce que votre lit soit fait tous les matins. Quand aux vêtements et au lavage, nos employés vont s’en occuper… Vous sentez la sueur de vaches, mesdames, allez vous doucher! Des uniformes propres seront déjà à votre disposition dans le dortoir. Rompez!
Alors que les six hommes s’apprêtaient à quitter, la jeune femme ajouta, un petit sourire aux lèvres.
Une dernière chose, il arrive parfois que je me sente peau de vache, et décide qu’un entraînement nocturne serait le bienvenu… Il se peut que je vous réveille à 2 heures du matin pour un exercice surprise, en plus de votre enseignement quotidien, bien évidemment. Je ne vous retiens plus. On se revoit demain, devant le secrétariat à six heures pile, pas une seconde de retard, compris messieurs?
Affichant un petit sourire elle regarda les deux hommes qui étaient entrés en retard le matin. Peut-être avait-elle même été en retard, mais s’était quand même son cours. Allant à sa chambre personnelle pour les quatre prochaines semaines, chambre qui possédait une salle de bain privée, Shunï retira ses vêtements trempés de sueur, les mis dans une petite corbeille qui servait à recueillir les vêtements souillés, pour ensuite aller dans sa salle de bain, nue comme un ver, entrant dans la douche.
Les cheveux défaits, séparés de l’élastique jaune et de la pince, la militaire ferma les yeux, laissant l’eau chaude lui masser la nuque et les épaules. Comme ça avait été une longue journée, elle était heureuse de pouvoir se détendre un peu. Elle eut une petite pensée pour ses étudiants, qui devaient se contenter de douches collectives, de nourriture infecte de la cafétéria, de dortoirs aux lits dur comme le rock, alors qu’elle avait tout ça… Ça l’amusait beaucoup, car, il n’y a pas si longtemps, elle aussi était dans la même situation. La roue tourne, comme elle a toujours tourné et tournera toujours.
Malgré la difficulté et le stress qu’il y avait à enseigner aux militaires et à des civils en même temps, Shunï avait adoré sa première journée, et espérait simplement qu’ils aient au moins retenu quelque chose.
La douche étant terminée, elle ouvrit alors le placard, regardant ce qu’elle pourrait mettre pour le dîner… Finalement, elle opta pour un shorty noir ainsi qu’une chemise blanche. Bien sûr que non, elle n’irait pas manger à la table des officiers ainsi, mais elle était beaucoup plus exténuée qu’elle avait faim, donc, on zappe le repas et on file directement au lit.
Le lendemain était une journée grise, où le ciel semblait vouloir nous tomber sur la tête. Ce n’était pas l’idéal pour une journée qu’ils allaient passer dehors, mais, en même temps, les missions ne se passent pas toujours au grand soleil, sans un nuage dans le ciel. Se dirigeant vers le point de rendez-vous, la sniper sourit en se remémorant la galère qu’une tempête avait apportée à une mission; la pluie faussait les données tant elle était constante, le fusil s’enraillait fréquemment… Bref, elle avait failli y rester, si elle n’avait pas été accompagnée de son observateur. Une fois devant les six hommes, dont trois avait l’air d’avoir passé une très mauvaise nuit. Leur expliquant qu’ils allaient au champs de tir, elle les entraîna à l’extérieur, leur montrant un petit chemin de poussière de roche, qui menait jusque là.
Vous allez devoir courir une nouvelle fois, messieurs
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Il y avait beaucoup de règles à respecter et c'était assez éprouvant pour un esprit comme celui de Boris qui n'avait presque jamais eut de contrainte durant toute sa vie. La rigueur il connaissait mais il n'avait pas un horaire réglé comme du papier à musique cependant il se soumettrait au règle tout du moins il ne se ferrait pas prendre en train de les transgresser.
Les visites surprises et l'obligation de s'arrêter avant d'avoir dépenser toutes son énergie irritait certainement le vampire mais en même temps c'était assez intéressant de voir à quelle point la jeune femme aurait un contrôle sur la vie du marginal.
La douche fit beaucoup de bien au vampire même s'il n'avait pas transpirer car sa condition ne lui permettait plus, il aimait encore ressentir cette douche chaude après avoir fait un effort physique. Certains de ses camarades commencèrent même à chanté sur la douche ou discuté de leurs journée et de leurs examinatrice, discutions qui n'intéressait pas Boris, il décida donc de partir avant les autres et il fut même coucher avant que ses derniers n'arrive dans leurs dortoirs respectif.
Le vampire dormit de 21h à 22h puis il se releva et sans faire de bruit il monta sur le toit de son baraquement avec une agilité d'un chat et la discrétion d'une souris. Il ouvrit ensuite son énorme manuel, remit au début de la journée, et il commença à le lire dans le noir complet.
C'était encore une preuve qu'il n'était plus tout à fait humain, il pouvait lire facilement alors qu'il faisait extrêmement noir et que même avec une lampe de poche parfois on ne pouvait pas voir tout ce qui se passait autour de soit. Boris lui n'avait aucun problème à voir tout ce qui avait autour de lui comme s'il était en pleine journée et son oreille était extrêmement affutée, il pourrait donc entendre si son examinatrice approchait.
Durant une bonne partie de la nuit le professeur lut son manuel, retenant chaque page, relisant certaines pages qu'il avait du mal à saisir mais aucun schéma ni inscriptions ne lui résistait longtemps.
Lorsqu'il fut 5h du matin, le vampire retourna dans ses couvertures pour se rendormir. En tout et pour tout il avait dormis 1h45 mais c'était pas inhabituel pour ce dernier, il lui arrivait de ne pas dormir pendant 2 à 3 semaines parfois mais ici il ne pourrait pas sauf si on lui servait de la viande saignante pour qu'il puisse refaire ses forces. Fidèle au instructions, il fit son lit et il mit son nouvel uniforme avant de se rendre devant le point de rendez-vous avec 2 minutes d'avances.
Certains de ses camarades-dont l'étudiant en droit- se plaignait de la dureté de leurs matelas et il demandèrent son avis au nouveau venu qui leurs répondit qu'il avait connu pire. 2 parmi ses camarades approuvèrent en silence puis il se mirent au garde à vous.
Boris fit de même car il avait entendu le pas léger de son inspectrice et maintenant qu'il pouvait le reconnaitre elle ne pourrait pas le surprendre en train de fraude sauf si se dernier lui permettait de le faire bien évidement.
Shunï emmena ses recrues vers leurs nouveaux lieu d'entrainement. Elle courait devant et ses élèves la suivait 2 par 2 certains discutait mais d'autres se contentait de courir pour la suivre et il éprouvait des difficultés.
Le lieutenant aurait pu réprimander les deux jeunes mais après tout il ne faisait rien de mal à part tissé des liens et crée une confiance entre eux deux ce qui était principalement ce qui était rechercher entre un duo de Sniper. Le chemin montait assez et avant d'arriver au dessus certains ressentait le contre coup de la vieille.
Isaak commençait même à se plaindre d'avoir un peu mal au jambe. Quand à lui l'enseignant ne put réprimé un sourire devant le parcours diabolique de son instructeur, il était pas très dur au premier abord mais il montait presque tout le temps ce qui était un supplice pour les jambes surtout en sachant qu'elle les avaient déjà bien fait travaillé sur le tapis le jour avant mais il y avait au milieu du parcours un faux plat et c'était à se moment que c'était redoutable.
Lors de se passage les muscles des jambes ont tendances à se relâcher un peu suite à une facilité or comme le passage est toujours en montée c'est exactement l'inverse qu'il faut faire et donc cette exercices met tout le corps à rude épreuve.
Pas étonnant que la jeune femme ait pu suivre le vampire sur le tapis roulant si elle est venue tout les jours s'entrainer ici, il n'y as pas de meilleurs lieu pour les jambes et le léger manque d'oxygène est excellent pour entrainer l'endurance et augmenter la capacité respiratoire de ses candidats.
Le vampire fit tout le parcours avec un petit sourire et lorsqu'il arriva finalement devant son instructrice qu'il ait atteint l'objectif il ne put s'empêcher d'interroger la rousse.
-Que faisons nous à présent mon lieutenant?
Il voyait les autres en train de reprendre leurs souffle mais le vampire lui se contenta de faire des étirements pour chauffé ses bras qui n'avait pas encore eut le loisir d'utiliser. Il fit aussi quelques étirements des jambes mais juste pour garder le muscle chaud.
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Ce Boris était tout simplement surprenant; après cette course qui jamais n’avait cessé de monter, le champ de tir étant en hauteur, cette recrue était à peine humide de sueur, alors que les autres de la classe étaient tous trempés, tentant tant bien que mal de reprendre leur souffle. Il osa même aller jusqu’à demander ce qu’il y avait pour la suite à la Lieutenant.
Bon sang, mais t’es increvable, toi! Il y a quatre soldats de profession dans ma classe, et un professeur de gym les bats tous? Ou alors ce sont tous des fillettes qui n’ont jamais tenu de flingues, ou c’est toi qui ne me dis pas tout…
Fronçant légèrement les sourcils, les deux mains sur les hanches, Shunï regarda un instant le jeune homme avant de se retourner vers une table, où il y avait six grosses caisses d’armement. Ouvrant les caisses, contenant chacun une Dragunov en plusieurs morceaux, elle se demandait qui était ce Boris, comment se faisait-il qu’il ait la même endurance qu’elle et, pour une musculature très peu imposante, qu’il soit aussi fort et puisse courir aussi vite. Attrapant le canon de l’arme.
Ceci, messieurs, est un fusil de précision que tous les TDE ont dans leur arsenal de base. Ce modèle, comme plusieurs ont dû le remarquer, de par sa popularité, est un Dragunov, une arme soviétique. Pendant toute la durée de votre stage avec moi, vous aurez cette arme, vous en occuperez et la comprendrez. Pour l’instant’ je vais vous donner un cours sommaire sur cette arme.
Elle passa donc l’heure suivante à leur parler de tout ce qu’il y avait à savoir sur cette arme; passant de la cadence de tir jusqu’au poids de l’arme complètement chargé, en passant par la distance de feu optimale et maximale. Tout en leur expliquant chaque pièce de l’arme, la jeune femme leur montrait aussi comment assembler le fusil, prenant bien soin de le faire plusieurs fois d’affilée pour qu’ils comprennent comment l’assembler, mais aussi la séparer. Au bout de l’heure, la Dragunov entièrement assemblée entre les mains, généralement il ne fallait que quelques minutes, voire moins d’une seule, elle regarda chacun de ses élèves.
Voilà comment on assemble notre fusil de précision. Des questions?
Soudain, quelque chose au sol, à quelques mètres de distance se mit à bouger, faisant arracher un petit hoquet de surprise à la rouquine. La personne cachée dans les buissons, portant une tenue de camouflage très réaliste, se leva et se dirigea vers l’instructrice.
J’en ai une moi, pourquoi tu m’as demandé?
Éclatant de rire, elle frappa dans le ventre de l’homme qui cachait toujours son identité, avec son poing avant de lui taper dans le dos.
Messieurs, je vous présente, Ayô Shung, mon observateur depuis cinq ans… Shung, attrape une paire de jumelles sur la table, je veux montrer à ses hommes l’importance du travail d’équipe en TDE.. Approchez vous messieurs, je vais vous enseigner comment bien se positionner pour tirer
S’exécutant, l’homme retira le masque d’herbes et de plantes qu’il avait sur la tête avant de s’allonger au sol, alors que Shunï posait un genou au sol. Elle appuya sa joue sur le tissu rembourré du manche et expliqua à ses recrues qu’il ne fallait jamais, à cause du recul de l’arme, accoter son œil sur la lunette de visée.
Alors que son observateur lui donna la distance, il se tourna la tête de gauche à droite et jurant entre ses dents, il la tourna vers les stagiaires, qui les regardaient faire.
Selon l’étudiant qui a les cheveux les plus long, le vent souffle à environ quatre km/h… C’est quand tu veux.
Alors qu’elle retenait son souffle depuis quelques secondes, Shunï appuya sur la détente, laissant son corps reculer mollement avec l’arme.
Alors?...
La hauteur du tir était parfaite, mais tu a trop tenté de contrebalancer le vent, t’es un poil trop à droite.
Se relevant, la rouquine regarda ses recrues, tendant le fusil à un des soldats.
Voilà comment travaille une équipe de tireurs. Avant que vous n’ayez le droit de tirer avec votre arme, vous devrez tout savoir d’elle d’ici vendredi. Maintenant, on va voir ce que vous valez…
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Le vampire écouta les réprimandes de son instructeur mais il ne prit pas la peine de répondre à cette dernière. Tout le monde avait des secrets et il ne voyait pas pourquoi il devait les dire devant son assemblée si elle voulait tellement les savoir, il faudra qu'elle vienne seule pour discuté avec le jeune homme.
La rousse semblait fortement intriguée par son nouvel élève et elle aurait très bien put faire peur à la plupart des personnes qu'il connaissait cependant ce petit air intrigué la rendait absolument sublime au yeux de ce dernier qui eut du mal à la regarder dans les yeux mais pas pour les raisons qu'elle aurait put envisagé.
La jeune femme présenta une caisse avec un fusil à monter à chacun de ses élèves et pour une fois depuis le début du stage, il commençait à se sentir un peu mal à l'aise. Il n'avait jamais été douer pour les puzzles ou toute les opérations qui demandait un certains doigtés. Il n'était pas un homme qui réglait tout par la force sans savoir faire preuve de finesse mais il n'avait pas ce qu'on appelle communément des doigts de fée.
Elle fit ensuite un cours en parlant de tout les points forts et les points faibles de l'arme, elle expliqua sa provenance ainsi que la manière dont il fallait le monter. Un amas de pièce se trouvait devant le jeune homme et il semblait totalement perdu.
Il écouta les instructions plusieurs fois, mémorisant chacun des mouvements de Shunï pourtant lorsqu'il essaye de le monter il n'y arriva pas. Il retenta sa chance plusieurs fois mais sans aucun résultats probant.
Certaines pièces semblait tellement similaire pour ce dernier qu'il n'arrivait pas à les distingues et il se trompait souvent d'emplacement rendant la pratique extrêmement difficile. Boris passait son temps à monter et à démonter le fusil en espérant qu'en repartant de zéro il aurait plus de chance mais à chaque fois il n'allait pas très loin.
Pourtant il essayait toutes les pièces dans tous les sens possibles mais rien n'y faisait il n'arrivait pas à monter le fusil correctement, il n'avait jamais eut une arme en main et n'en avait jamais eut et il commençait à se dire qu'il serait peut-être le seul de toute la section à ne pas tirer avec une arme.
Les militaires avaient déjà fini depuis longtemps et il roulait un peu des bras pour prouver à leurs officié qu'elle s'était tromper sur eux et qu'il était pas aussi nul qu'elle l'avait sous-entendu. Isaak éprouvait également quelques difficultés à monter son fusil mais lui y était presque alors que Boris n'avait même pas monter la moitié de son fusil.
Il se concentra ardemment sur sa tache lorsqu'il entendit un bruit de pas un peu plus loin, il senti également l'odeur du nouveau venu mais il fut le seul qui sentit l'approche de se dernier, il fit donc comme si de rien n'était. Inutile d’alimenté encore les soupçons de son instructeur.
Shunï finit finalement son cours et les militaires commencèrent à faire un concours de vitesse entre eux pour voir qui montait le fusils le plus vite alors que l’intrus se fit remarquer faisait sursauté le lieutenant. La manière dont elle montrait son affection dérouta un peu le châtain mais il se replongea très vite sur son arme à feu.
Après une courte présentation du nouveau venu, la rousse passa à la suite de la présentation et il firent une démonstration assez impressionnante du comportement qu'un binôme devait opéré. Le tir de la jeune femme était impressionnant mais selon son partenaire elle avait raté sa cible de peu.
*Une leçon à retenir ne jamais être trop sur de soit, même le meilleurs peux commettre des erreurs.*
-Voilà comment travaille une équipe de tireurs. Avant que vous n’ayez le droit de tirer avec votre arme, vous devrez tout savoir d’elle d’ici vendredi. Maintenant, on va voir ce que vous valez…
Boris ne comprenait pas exactement ce que la jeune femme attendait de ses recrues mais pour ce dernier le problème ne se posait pas encore. Tant que son fusil n'était pas monter il était inutile de penser à la suite des événements.
Lentement, le jeune homme défit le morceau de fusil qu'il avait crée et il commença à se concentrer et à se rappelé chaque détails du cours, chaque mouvement que la jeune femme avait fait, chaque mouvement du vent qui avait fait bouger les pièces devant elle, etc.
Il recommença à le reconstruire avec les souvenirs du cours en mémoire et c'était très lentement qu'il progressait néanmoins il commençait à avoir quelques chose qui ressemblait à un fusils contrairement au fois précédente.
Pendant que lui restait les yeux fermés et ne montant qu'un morceaux de pièces toutes les minutes, les militaires avait commencer à tenir leurs fusils comme-ci il était près en s'en servir, il tentait de faire en sorte qu'il devienne le prolongement de leurs bras, il tendait d'imaginer le recul de l'arme, les dégâts et les cibles virtuelles qu'il était en train de touché ou de raté.
Isaak réussit finalement à monter son fusil 5 minutes après que son instructeur leurs ait demander ce qu'il avait dans le ventre. Il alla ensuite rejoindre les autres laissant le vampire tout seul dans son coin. C'était pas vraiment dans l'esprit de camaraderie cependant il devait également maitriser son arme.
L'arme était presque fini, il ne restait que 4 pièces pour terminer cet immense puzzle. Boris commençait à se dire qu'il allait peut-être y arriver lorsqu'il eut un blanc immense. Il n'arrivait plus à se souvenir du nom des pièces qu'il avait devant lui, ni ou il fallait les mettre.
*C'est vraiment trop con ça. Butté au dernier moment*
Il tenta de "jouer" avec les pièces les mettant où il y avait de l'espace et dans tout les sens possible mais il n'arrivait plus à rien. Il dut se résoudre à redemander des explications à son instructeurs car il n'avait pas penser à prendre son livre avec lui.
-Lieutenant si ça vous dérange pas vous pouvez me ré expliquer les dernières actions pour terminer de monter mon Dragunov.
Tout les regards se tournèrent vers lui au même moment et quelqu'un de plus timide que Boris aurait certainement voulu s'enfuir immédiatement ou se caché sous terre mais il préférait passer pour un élève inattentif que pour un incapable.
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Comme il aurait été facilement prévu, les soldats se débrouillaient très bien, ayant eut de bonnes bases avec les fusils automatiques qu’ils avaient eu la chance d’assembler et désassembler, les deux autres, cependant, semblaient avoir du mal avec leur fusil de précision…Boris, d’après l’allure qu’avait la Dragunov, était celui qui avait le plus de difficulté. Souriant légèrement en le voyant se battre contre son arme, Shunï se dit qu’il n’était pas si au-dessus des autres que ça, qu’il n’était rien de plus qu’un humain. De toute façon, pour elle, les vampires, monstres tentaculaires et humain aux attributs animaliers n’existaient pas. Les deux civils étaient à peine rendus à la moitié de leur arme, alors que les trois soldats étaient déjà en train de l’assembler une troisième fois, faisant une course les uns contre les autres.
Mon lieutenant, quand allons-nous pouvoir tirer avec ces fusils?
Lorsque je l’aurai décidé, maintenant, continuez, j’ai une autre surprise pour vous, plus tard.
Soudainement, la voix de Boris se fit entendre, légèrement gêné, interpellant l’instructrice afin qu’elle vienne l’aider, car il avait du mal à comprendre. Lui souriant, la jeune femme vint se poster à ses côtés.
Excellent, recrue Crudelis. Messieurs! Lorsque vous faites quelque chose dans ma classe, vous le faites bien, si vous ne savez pas comment bien faire, ou vous avez oublié, vous me le demandez. Il n’y a aucune gêne à ne pas savoir dès le début.
Prenant gentiment l’arme assemblée au trois quart, la rouquine l’examina quelques instants, avant de donner son diagnostique, pointant du doigt le bout du canon, plus précisément, le viseur manuel qu’il y avait juste au-dessus de l’embouchure.
Tu as bien fait la majorité des choses, mais c’est le viseur qui est mal inséré. En fait, il est à l’envers. Je te parie que tu as du mal avec ton percuteur… Un viseur placé ainsi empêche le percuteur d’arriver au bout, et donc jamais tu ne pourrais tirer. À part de ça, le fusil est très bien assemblé… Ne t’inquiètes pas, la première fois que j’ai monté un fusil, ça ressemblait plus à une chaise!
Riant légèrement de sa propre bêtise, il fallait dire que la première fois qu’elle avait assemblé une arme, elle devait avoir 10 ans maximum… Soudain, alors qu’elle regarda Boris terminer l’assemblage de la Dragunov, un soldat l’interpella. Un genou au sol, il regardait dans le viseur de son arme, vers les cibles et appuyait sur la gâchette et reculait le percuteur manuellement, comme si il tirait réellement.
La raison pour laquelle il l’avait interpellé était simple; il voulait avoir des critiques sur la manière dont il était placé. D’un coup de botte, Shunï lui faisait reculer le genou posé au sol, d’une parole elle lui disait de se poster sur la pointe de son pied, ou encore de redresser le dos.
Ne vous inquiétez pas, messieurs, vous tirerez assez tôt avec votre sniper. Isaak, tu pourrais me passer la caisse d’armement qui est sous la table?
S’exécutant, l’étudiant en droit attrapa la caisse de plastique avant de la poser devant son instructrice. Ouvrant la caisse, Shunï fut la seule à voir son contenu, les autres ne voyaient rien, puisque la caisse leur faisait dos. Comptant en pointant quelque chose, elle en dénombra six. Parfait.
Comme vous le savez, nous ne sommes pas la seule classe à être en stage pendant le mois, l’une des autres classes sont pour les équipes tactiques, ils font de la recherche et destruction. Or, ce que nous allons faire, c’est jumeler nos deux classes pour pouvoir faire un exercice qui sera bénéfique pour tout le monde. Donc, voici votre armement
Après son explication sommaire, la jeune femme retourna la caisse pour laisser sa classe voir le contenu. Si on y jetait un coup d’œil rapide, on aurait pu croire que la caisse était remplie de carrés d’herbe et de plantes. Mais il s’agissait en fait de combines furtives.
En tant que snipers, vous serez amenés à travailler en portant ce genre de choses, c’est ce que mon observateur portait tout à l’heure, qui est parti sans crier gare d’ailleurs… Donc, voici votre mission; Rester cachés. Il y a un boisé, à cinquante mètres au Sud d’ici, une prairie d’herbes hautes au Nord, et quelques bosquet, tout près. Vous devrez resté cachés aussi longtemps que vous le pourrez alors que les soldats de l’autre classe vous chercheront. Ils seront dix, quatre de plus que vous… L’exercice durera jusqu’à Midi. Donc, oui, vous devrez rester cachés pendant cinq heures… Et ça commence maintenant! Mettez vos uniformes aussi vite que vous le pouvez, et partez avant qu’ils n’arrivent!
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La rousse reprit les explications pour aider le jeune homme à finir son arme mais lorsqu'elle utilisa les termes militaire, il fut totalement perdu heureusement qu'il avait prit un peu d'avance sur le livre et qu'il se souvenait des explications sur chaque pièces car retrouver les pièces à partir de termes technique n’était pas une chose facile à faire.
Un autre étudiant appelant officié à l'aide et cette dernière partie l'aidé en gardant son grand sourire. Boris n'eut pas le temps de tester son arme puisque l'exercice changea subitement lorsque l'un des militaire eut finit d'accaparer l'enseignante.
Shunï expliqua alors que la classe de TDE devrait affronté une autre classe pour tenter de repéré les points forts et les points faibles de chacun de ses membres ainsi que de les faire progresser plus rapidement. En plus, un peu de rivalité entre classe ne ferrait pas de mal au élément les plus mou et rien ne valait l'expérience sur le terrain pour progresser. Bien que le risque de mort serait peu probable contrairement à une vrai mission.
Le professeur de gym mit sa combinaison de camouflage et il attendit ensuite les directives de son instructeur et il fut assez content d'entendre la disposition des lieux, une carte aurait été bienvenue aussi mais ils n'avaient pas le temps de se préparer pour connaitre le terrain.
*On a donc pas le droit de se défendre je présume, il faut rester caché pas s'arranger pour vaincre l'autre équipe de manière musclée. J'espère seulement que l'autre équipe à pas eut le temps de faire du repérage*
Boris, et les autres étudiants, placèrent leurs fusils, grâce à la bandoulière, sur leurs épaules et ils partirent en courant en direction des forêts et des herbes hautes. Le jeune homme préféra partir en direction de la forêt et rejoindre ensuite les herbes hautes en faisant différents détour pour ainsi entremêles ses traces de pas.
Il atteint le couvert des arbres juste au dernier moment. Déjà l'autre équipe était arrivé à leurs ancien campement et une faible lueur lui fit comprendre qu'il épiait les alentours avec des jumelles. Néanmoins même si l'un des étudiants de TDE étaient déjà découvert, il avait le temps de se caché avant que les soldats ennemis n'arrive après tout il n'avait pas d'arme assez précise pour arrêté.
Le vampire marcha, sans faire de bruit pendant plusieurs minutes au milieux de la forêt faisant exprès de laissé de belle empreinte sur le sol. Il entendait des pas se rapprocher rapidement de lui, en suivant ses traces, cependant il avait encore bien une minute d'avance et il aurait donc le temps de se caché.
A sa droite un étudiant seul arrivait alors qu'un groupe de deux soldats arrivait de l'autre côté. Écoutant son instinct, il se rua vers la droite et il se plaça devant l'étudiant de son groupe. Il lui fit signe de se taire et de le suivre. Ce dernier ne discuta pas et a pas lourd il le suivit.
Le vampire et l'humain laissèrent des empreinte un peu partout autour des arbres, formant des cercles au pied de certains, puis ils retournèrent sur leurs pas en marche arrière pour ne pas être surprit à rebroussé chemin.
Boris se plaça sur une de ses empreintes et il fit un petit saut pour atteindre une branche il aida ensuite son camarade à monter sans faire de bruit et ils attendirent que le danger s'éloigne.
-Je t'assure que j'ai entendu du bruit en plus regarde ses traces de pas, elle sont fraiches on va bientôt les avoir.
-Le prix si on les attrapes tous c'est un meilleurs repas ce soir c'est ça?
-Il me semble mais c'est pas sur.
Les deux soldats repartirent en jacassant comme des pies.
*Ils sont pas du genre discret et heureusement pour nous.*
Le soldat professionnelle redescendit de l'arbre et il commença à se mettre à courir, de manière assez bruyante en direction d'un des bosquet, laissant le vampire seul dans son arbre. Après une légère inspiration il commença à saute d'arbre en arbre avec la souplesse d'un chat et la discrétion d'un écureuil.
Il passa au dessus de deux groupes composé de trois et de quatre étudiant avant de bifurqué en direction des hautes herbes. Lors d'un de ses saut, il senti son arme se décroché de son épaule et ses de justesse qu'il la rattrapa cependant il dut se retenir à une branche pour évite de tomber sur le sol.
La branche émit un bruit de craquement et elle se rompit alertant les deux étudiants tout près. Pendant la chute Boris prit impulsion sur le tronc de l'arbre et il réussit à atteindre une branche, plus solide, pour évité la chute. Quelques feuilles tombèrent sur les soldats qui levèrent les yeux vers la branche.
Le vampire n'était pas particulièrement bien caché mais sa tenue de camouflage l'aida un peu néanmoins les deux soldats étaient en train de décidé celui qui devrait monter pour vérifié lorsqu'un écureuil passa entre les jambes du jeune homme pour aller cherché un gland au milieux de l'arbre.
-Tout cette agitation pour un écureuil. Je pensais qu'on en aurait une cette fois. L'autre nous à semer à la course.
-Tu trouves pas ça étrange que la branche ait cédé toi. On devrait monter juste pour être sur.
-Si tu veux mais tu monte.
-Non t'as raison ça devait être qu'un écureuil.
Les deux soldats avancèrent à la recherche d'un autre membre des TDE en espérant en avoir un et recevoir une double ration. Boris se laissa tomber, discrètement, sur la branche et il en profita pour soufflé.
*Cette fois j'ai eu chaud, tout seul j'aurais pu l’assommé mais à deux sa fait beaucoup trop suspect.*
Lentement, il se remit en route et il atteignit finalement les hautes herbes, il fit ses dernières bouger et il put donc connaitre plus ou moins la disposition de ses adversaires. Il se mit à descendre de l'arbre lentement, après avoir vérifié que personne ne venait et il avança en direction des herbes.
Depuis son point de vue, il avait repéré un endroit où l'herbe était assez haute et semblait être l'endroit idéal cependant personne ne semblait la fouillé. Il faut qu'il était rester presque une demi-heure, caché par les feuilles à analyser les différents chemins à prendre.
Il fit bouger quelques herbes mais le bruit n'alerta pas ses poursuivant, il arriva finalement dans un lieu un peu moins fourni avec un tout petit arbre et une buche. Il rampa et il se plaça dessous au moment où deux des ses poursuivants s'installèrent dessus.
-Il sont 6 et selon les dire des autres, il n'y en a aucun qui s'est fait avoir. Ils se défendent bien mais il reste encore quatre heures pour les avoir.
Les deux membres de l'équipe tactique partirent vers la gauche à la poursuite d'un bruit assez proche. L'un deux marcha sur la main de Boris en repartant et il eut du mal à ne pas laissé sortir une plainte.
*Deux fois que la chance est de mon côté, dépêchons nous avant que celle-ci décide de tourné*
Lors de son parcours, le vampire, tomba sur Isaak qui semblait assez panique et il lui fit signe de le suivre. Ils partirent donc en direction du lieu qu'il avait repéré mais il avait plu quelques jours avant le début du stage et il restait parfois quelques flaques.
Isaak marcha dans l'une d'elle,laissant entrevoir sa position, et un soldat se rua vers les deux étudiants. Il se rua sur Boris et il s’apprêta à s'en emparer, seulement ses bras se refermèrent sur du vide et la seconde d'après il bascula.
Le professeur de sport c'était laissé tomber et il avait ensuite donner un violent coup de pied rotatif au niveau de la jambe de son adversaire le faisant basculé en arrière. Ce dernier tomba lourdement sur le sol mais il ne put pas laissé la douleur se manifester à grand bruit car le vampire plaça sa main devant la bouche de se dernier.
En utilisant son bouche le combattant appuyant sur une partie du coup de son adversaire ce qui l'endormit momentanément néanmoins il fallait décampé et vite car les autres ne mettrait pas longtemps avant de retrouver leurs amis assommé.
Isaak prit peur en voyant son compagnon de stage étalé un adversaire, 2 fois plus musclé et qui faisait bien 2 têtes de plus que lui, aussi rapidement et il s'enfuit seul de son côté. Au loin, le jeune homme entendit sa capture et il s'en attrista.
*S'il était resté avec moi, il aurait tenu jusqu'à la fin. Enfin, peut-être en tout cas il se serait pas fait avoir ici*
Le membre du TDE avança encore pendant presque 1h avant d'arrivé à sa cachette. En arrivant, il comprit pourquoi personne ne la fouillait, les herbes cachait un minuscule fossé de plusieurs mètres de profondeur, où il était impossible de se caché sauf au milieux de la grotte.
Opération presque impossible car il fallait descendre grâce à des racines d'un arbres tout proche et la pluie rendait la terre extrêmement glissante, il fallait ensuite sauté de l'autre côté, ce qui faisait une distance de plus ou moins 2 mètres, se rattraper et ensuite rentrer dans la grotte et tout ça sans faire de bruit.
Opération qui n'était pas à la porté d'un étudiant qui venait d'arrivé en stage depuis seulement une journée. Shunï y arriverait peut-être mais c'était pas certains et l'absence de bruit rendait l'opération des plus délicate.
Des bruits de pas se rapprochait et le vampire n'avait plus le choix, c'était tenter sa chance ou être trouver. Il descendit donc lentement en faisait le moins de bruit possible mais il arrivait parfois qu'un horrible, mais très discret, bruit de suçon s'échappe des bottes de ce dernier. Il arriva finalement un peu plus haut que l'entrée de la grotte et après avoir prit son courage à deux main il sauta.
La main du jeune homme s'agrippa au rebord de la grotte mais il commençait à glisser vu que c'était plus de la boue que de la terre. Tentant le tout pour le tout il donna un violent coup de pied dans la terre meuble et un son puissant se fit entendre.
Seul une partie de la terre était molle le reste était dur et c'est en rentrant en contact avec que le bruit de choc se fit entendre. Le vampire se hâta et il rentra dans la grotte trempé de sueur, fait assez rare chez lui et tremblant de peur.
-Je crois qu'il y a quelques dans la grotte.
-Presque impossible même un soldat entrainé aurait du mal alors un simple étudiant c'est peu probable.
-Il me semble qu'il y a 4 soldat professionnelle dans le lot.
-Bon je vais vérifié.
Le soldat descendit prudemment le long de la racine mais il ne vit rien. Il hésita quelques secondes avant de sauté mais il ne fit pas la moitié de la distance avant de retomber au fond du trou.
-Je remonte comment maintenant?
-Attends que l'un des instructeurs vienne te chercher. Merci quand même de nous avoir prouvé que c'était pas possible.
Le soldat poussa un juron et il s'assit sur le sol, il lui restait 3h à attendre et il comptait pas les passé debout. Boris quand à lui décida de rester caché contre la paroi en attendant d'entendre la fin de l'épreuve, il ira ensuite cherché le pauvre soldat et il l'aidera à remonter.
*S'il n'avait raté son saut que de 1 ou 2 centimètres je l'aurais rattraper car la terre est beaucoup plus dur et il aurait pu se faire mal. J'aurai perdu l'épreuve mais j'aurai eu la conscience tranquille.*
Il faisait assez froid dans le trou cependant Boris n'aurait aucun mais a tenir les 3 heures et ensuite il serait libéré.
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À peine les recrues étaient parties que les étudiants de la classe des fantassins arrivèrent, accompagnés de leur instructeur; le capitaine Khan. L’instructrice des TDEs se mit alors au garde à vous, la main près du front devant le capitaine.
Repos, lieutenant… Mesdames, je vous présente le Lieutenant Azikamu, une Tireuse d’Élite, la femme TDE la plus décorée de la section de Seikusu. Ce seront ses recrues que vous devrez trouver messieurs! Rappelez vous, si vous réussissez à les trouver, vous avez droit au ticket doré, donc un dîner de haut gradé, vous mangerez quand même dans l’étable à cochons qu’on appelle une cafétéria, mais c’est déjà ça. Allez, ils sont déjà postés. N’oubliez pas, si vous les voyez mais que vous n’arrivez pas à les atteindre avec votre fusil à ‘’ paintball’’ ça ne compte pas, n’oubliez pas qu’ils peuvent quand même se défendre et ce, même s’ils ne sont pas armé. Allez-y mesdames!
Les soldats partirent tous, deux par deux, dans la direction de la forêt, se disant qu’il y avait plus de couverture entre les arbres. Amusé, le Capitaine regarda ses recrues partir.
Le faucon cherche là où il aurait l’idée de se cacher, dans la forêt.
Shunï, sans même regarder le capitaine, vérifiant l’allure des hommes de son Capitaine, termina sa phrase.
Mais il y a tellement d’endroits où le faucon n’aurait pas l’idée de se cacher, endroits que le serpent connaît.
Le Capitaine se retourna vers le Lieutenant, souriant légèrement. Tous deux avaient assez d’expérience pour savoir qu’il ne fallait pas, pour un TDE, se cacher dans la forêt, à moins d’avoir la combinaison de camouflage de forêt, celui où les feuilles mortes séchées sont entremêlées aux fausses branches très réalistes.
Tu te rappelles, Shunï, ta première mission en tant que TDE? Lorsque je n’étais qu’un Sergent…
La jeune femme se mit à rire. Oui elle s’en rappelait comme si c’était hier; ils venaient tout juste de couvrir la retraite de quelques soldats et, alors qu’ils se retiraient pour pouvoir atteindre le point d’extraction, ils se firent découvrir et poursuivis par des gardes. Soudain, à la croisée des chemins entre une forêt et la prairie, où patrouillaient plusieurs gardes. La TDE et son observateur avaient décidé de filer vers la forêt, alors qu’ils portaient des tenues de camouflage pour les herbes hautes, le même que les recrues de la rouquine portaient en ce moment.
Si je m’en rappelle! J’ai encore trois cicatrices dans le mollet droit pour me le rappeller!
Les deux gradés se mirent à rire ensemble. Le reste des heures, ils les passèrent à se raconter leurs missions, où ils étaient allés, à quels endroits ça avait été la galère, d’autres comment ça avait été du gâteau. Les deux s’étaient perdus de vue, alors que le Capitaine Khan avait quitté les TDEs au profit d’un grade d’infanterie, où il commandait désormais trois sections de quatre unité chacune.
Et puis, après la moitié de la séance, Isaak revint, seul, mort de honte. Les bras croisés, Shunï regarda son élève, ses yeux noisettes durs comme le roc.
Il te reste deux heures, tu vas me faire 200 pompes, et le reste du temps, tu va le passer à assembler et désassembler ton arme, me suis-je bien faite comprendre?
Euh…. Oui, mon lieutenant!
Répondit-il avant de se mettre à la tâche. Un autre homme, une recrue du Capitaine, vint voir son instructeur.
Capitaine! Irano est tombé dans un fossé, creux d’environ trois mètres, et ne peut plus en ressortir! Nous avons besoin d’aide!
Le capitaine n’eut même pas le temps de réagir que Shunï sauta sur l’occasion. Demandant les directions à la jeune recrue, le lieutenant se dirigea vers le lieu de l’accident, si on pouvait appeler cette erreur un accident.
Une fois arrivé, Shunï remarqua rapidement l’homme, prit au piège dans le fossé. Descendant rapidement pour rejoindre l’homme à sauver, la rouquine lui fit signe de monter sur ses épaules; ainsi, il pourra agripper le rebord d’une pierre et pouvoir remonter sans trop de mal. Seule dans le fossé, la jeune femme s’écria aux deux autres, qui se demandaient bien comment elle allait sortir de là.
Regardez, et apprenez, les recrues!
Sur ses mots, elle sauta, avec la meilleure explosion que ses jambes pouvaient produire, avant d’atteindre la racine d’un arbre. S’y agrippant, elle réussit à poser ses pieds sur des pierres solides, avant d’entreprendre une escalade, lente et sûre, pour finalement atteindre le rebord.
Retournez à votre mission, messieurs, et gardez l’œil ouvert. Les TDE sont comme des serpents…
L’instructrice était revenue auprès de sa recrue et du capitaine peu de temps après son départ, et avait recommencé à attendre les autres. Au fil des deux heures qui avaient suivis, elle vit trois autres de ses recrues revenir, une ou plusieurs taches de peinture sur leur tenue de camouflage, l’air honteux. Leur infligeant aussi le même sort qu’au premier, Shunï attendait la fin de l’exercice, pour voir si au moins une recrue TDE s’en sortirait. Tous étaient revenus seuls, et non deux par deux, signe qu’ils avaient été seuls tout le long de l’épreuve…
Voilà, c’était au terme de l’exercice, et tout le monde avait été rameuté autour de son instructeur respectif. Deux recrues n’avaient pas été retrouvées, ça aurait pu plaire à la Lieutenant, mais non.
Quelle est la première phrase que j’ai écrite? TDE égal TRAVAIL D’ÉQUIPE! Je vous l’avais dit que ce n’était pas un travail seul qui vous conduirait au succès! On va devoir travailler là-dessus apparemment… Même vous deux, Boris et Feûng, je ne crois pas que vous méritez votre récompense, mais je vais tout de même vous la donner, car vous avez réussi… Voilà un ticket doré pour chaque, vous aurez droit à un repas de haut gradé, lorsque vous le voudrez, tant que ça reste dans les heures de repas, bien évidemment.
Un « rompez! » fût le signe pour les recrues TDE qu’ils pouvaient aller retirer leur tenue de camouflage et rentrer se restaurer pour l’heure.
L’après-midi fût très semblable à celui du jour d’avant; de l’entraînement. Cependant, l’instructrice leur avait demandé de rester deux par deux, de s’encourager, de communiquer. C’est la clé du succès pour un TDE.
Shunï, pour leur échec, s’était décidé de les faire travailler; il était maintenant 23 heures et ils étaient toujours dans la salle d’entraînement. Il fallait qu’ils comprennent la gravité de leurs actes. Alors qu’il venait de boire sa dernière gorgée d’eau, Isaak appela son Lieutenant.
Lieutenant! Je ne crois pas pouvoir terminer…
Il ne reste que dix minutes, Isaak… Messieurs, vous savez, si ça avait été une véritable mission, des trois équipes tactiques envoyés, une seule serait revenue? Ce sont des statistiques que l’armée n’aime pas avoir, vous avez donc intérêt à pouvoir vous cacher dans un verre rempli d’eau sans vous faire remarquer, la prochaine fois, sinon c’est moi qui vous tue de mes propres mains!
La dizaine de minutes passée, Shunï demanda à ses recrues de venir près d’elle, un genou au sol. L’entraînement d’aujourd’hui s’était achevé et, malgré qu’elle soit en colère après les six hommes devant elle, la Lieutenant avait une bonne nouvelle à leur annoncer… Peut-être bien deux.
Messieurs, demain je veux vous voir à 7 h 00 dans la salle de classe; Je dois rendre service au Capitaine et l’assister dans son cours, vous aurez donc une heure de plus pour dormir… Soyez en forme demain, car vous allez décider de votre coéquipier pour le reste du stage et, si je suis de bonne humeur, vous pourrez tirer avec votre fusil avec des munitions. Rompez messieurs, allez vous doucher et dormir.
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Le temps passa lentement pour Boris qui l'avait utilisé de manière constructive. Il avait d'abord vérifié qu'il n'avait rien casser sur son dragunov puis il avait commencer à le remonter et le démonter plusieurs fois lorsqu'il entendit des bruits de pas. Il s'arrêta et reposa le dernier morceau de sniper qu'il s’apprêtait à utiliser et il attendit en silence.
Il avait reconnu le pas de son instructeur mais le temps n'était pas écoulé il n'allait donc pas se montrer et faire plaisir à ceux qui devait remporter l'épreuve. Shunï commença par faire sortir le pauvre étudiant avant de se hisser toute seule en haut.
*Au moins je n'aurais pas à le secourir et lui faire sentir l'humiliation de ma cachette à 4 mètres de lui*
L'épreuve s'acheva finalement et Boris redescendit de sa cachette avant de sauté pour attraper une des racines et remonté. Il était passé à côté d'un rôle essentielle d'un TDE et il le savait très bien mais en même temps les autres c'était dispersés et les deux seul qu'il avait retrouver était parti ensuite sans demandé leurs reste. Il ne pouvait pas non plus se permettre de chercher les autres au risque d'amener ses poursuivants sur ses camarades où de tomber lui même sur ses poursuivants.
Un peu avant d'arrivé le vampire tomba sur Feûng et ce dernier lui serra la main et lui adressa un grand sourire.
-Merci de m'avoir aider en début d'épreuve grâce à toi j'ai tenu jusqu'au bout.
-De rien mais prépare toi à entendre le lieutenant nous crié dessus.
-Pourquoi?
Boris ne prit pas la peine de répondre à la question. Le soldat allait bientôt l'apprendre et s'il ne s'était pas rendu compte de son erreur à propos du rôle de TDE rien ne servait de lui remonter les bretelles maintenant.
Le jeune homme le plaça le plus loin possible de son lieutenant et attendit que cette dernier finisse de se défouler sur ses étudiants avant de se rapprocher de cette dernière pour aller chercher son bon en or.
Les soldats partirent en direction de la cafétéria et Boris se plaça à côté de Isaak et de Feûng.
-Désoler c'est ma faute si tu as été éliminé.
-Non c'est pas ta faute, j'ai réagi de manière idiote alors que tu m'as protégé tout à l'heure.
-Bah faut dire que le gars était énorme. J'arrive toujours pas à croire que je l'ai battu d'ailleurs.
-Battu qui?
Boris chercha les recrues du capitaine Khan des yeux et lorsqu'il trouva son ancien adversaire, il le détailla au blond pour qu'il puisse voir de qui il s'agissait. Lui aussi eut une réaction assez inattendue.
-Tu as battu ce type tout seul?
-Chut parle moins fort, on va t'entendre.
Le regard du soldat passa respectivement de son camarade à son ancien adversaire. Il tentait de imaginé comment le gringalet s'y était pris pour réussir à battre le molosse en face de lui. Boris se contenta de soupiré et de finir son plat avant d'aller chercher le bon dans sa poche et le tendre à Isaak.
-Je peux pas accepté, le lieutenant ne serait pas d'accord.
-C'est mon bon et j'en fait ce que je veux. En plus, tu aurais pu avoir se bon si je ne t'étais pas tomber dessus et personne n'as respecter la première règle du TDE donc techniquement personne ne le mérite donc tu peux l'avoir aussi.
-Mais et si elle refuse.
-Alors tu me l'envoie et j'irai discuté avec elle.
Isaak tremblait de toute ses membres et il n'osait pas prendre le bon, le châtain du donc lui mettre le bon dans les mains de force. Il demanda ensuite la cruche d'eau à un de ses camarades et il but lentement son verre d'eau.
L'après-midi fut un jour d'entrainement comme les autres et comme la fois précédente Boris arrêta son vélo 10 minutes avant les autres. Isaak lui c'était plains mais avait continué de pédalé, le jeune homme, lui, était un peu plus marginal et il n'avait pas prit la peine de demander l'autorisation à son supérieure.
La nouvelle ne semblait pas faire très plaisir au recrues. Certes il avait une heure pour dormir en plus mais qui choisir pour être le meilleurs coéquipier. Certains voulait avoir Boris car après avoir entendu parler de son exploit il se disait qu'il préférait l'avoir comme observateur plutôt que tomber dessus mais ils avaient également remarqué sa faiblesse au niveau des armes.
Beaucoup ne donnèrent pas leurs réponses tout de suite, il prirent d'abord une douche puis ils demandèrent à la personne choisie s'il voulait bien faire partie du binôme généralement tout le monde acceptait mais Isaak et Feûng n'eurent pas autant de chance et il se trouvait sans coéquipier ce qui intrigua assez le vampire.
Il était un nombres pair comment pouvait-il rester 3 personnes sans partenaire, il manquait forcément quelqu'un et finalement la dernière personne sorti des douche. Il avait refusé tout le monde, il se pensait meilleurs tout seul et il comptait bien défendre son point de vue à son instructeur.
-Je peux te parler une minute.
-Non je ne ferrai pas équipe avec toi.
-C'est pas ce que j'allais te demandé, j'aurai préféré que tu fasse équipe avec Isaak.
-Pourquoi avec lui et pas avec Feûng?
-Parce que c'est un civil comme moi et en regrouper deux dans la même équipe est pas l'idéal en plus il a pas un point de vue militaire il pourrait donc t'apprendre beaucoup de chose bien plus utile que le maniement des armes.
-Je ne l'accepterai dans mon équipe que s'il parvient à me battre.
Boris accepta et il rendit compte de la situation à Isaak qui commençait à paniqué. Il ne savait pas vraiment se battre et Peter était le soldat le plus musclé de leurs unité. En l'espace de 2 ou 3 minutes, le vampire expliqua à l'étudiant en droit ce qu'il devait faire et il le lança face à son adversaire.
Le but n'était pas de le faire gagner mais de montrer à son partenaire qu'il en avait dans le ventre et qu'il ne serait pas un poids pour lui. Le combat ne dura pas très longtemps, les conseils du vampire n'avait pas aidé la recrue et il c'était vite retrouver avec un coup de poing au niveau du ventre et il s'était écroulé sur le sol.
-Pas terrible ton camarade. Je prends ton partenaire avec moi.
-Pas possible il vient d'accepté mon offre. C'est soit Isaak soit tu peux faire ta valise.
Peter devint rouge et sans réfléchir il se rua sur son adversaire, il fit un feinte à gauche et il donna un violent uppercut au niveau du menton de celui qui l'avait tromper néanmoins il trouva que la sensation était bizarre et après avoir regarder il se rendit compte que le vampire avait arrêté le poing avec sa paume.
-C'est pas fini. Tu vas voir.
-Au fait, avant que je l'étale. Tu veux bien faire équipe avec moi Feûng?
-Oui pas de problème. Ca te dérange pas si je fait le tireur.
-L'un comme l'autre rôle me convenait donc tu peux faire tireur.
Peter voulu donner un violent coup de pied au niveau du visage de son adversaire mais son coup n'atteignit jamais son adversaire. En l'espace d'une seconde, Boris c'était déplacé vers la droite et avait placé son pied derrière celui de son adversaire, il avait ensuite donner deux violent coup de poing, un au niveau du ventre et un au niveau du thorax. Son adversaire fut instantanément repousser 5 mètres en arrière car il avait perdu son sens de l'équilibre à cause du pied de son adversaire ce qui lui avait fait faire un sacré vol plané.
-C'était pas un coup de chance tout à l'heure.
-Non absolument pas. J'ai été entrainé à me défendre lorsque j'étais au lycée. Mes parents en avait marre que je me fasse raqueté il m'ont donc inscrit à quelques cours d'art martiaux.
Les partenaires soulevèrent Isaak et l'amenèrent jusqu'à sa chambres puis il rentrèrent dans leurs chambres respectives. La nuit était superbe et Boris décida d'aller continuer son livre dehors.
à 7h du matin, il attendit devant la classe avec son partenaire. Il entama les modalité d'usage en attendant la rousse.
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L’entraînement des fantassins durait deux heures. Donc, à 5 heures, Shunï se tenait, droite, aux côtés du Capitaine Khan, attendant qu’il finisse d’expliquer l’entraînement, qui servait principalement à reconnaître les ordres donnés par un supérieur sans qu’il ne parle, et aussi apprendre l’importance du travail d’équipe et de faire exactement ce que le chef d’unité dit.
Si Shunï avait été demandée pour cet entraînement, c’était évidemment pour qu’elle joue le rôle d’un des deux chefs d’unité. Quelques minutes plus tard, les équipes étaient formées, les hommes étaient parés, tant au niveau armure qu’au niveau arme et tous partirent avec leur chef respectif. Pour la rouquine, ce n’était pas vraiment un entraînement; ça ressemblait plutôt à une partie de paintball en équipe… Mais bon, qui était-elle pour critiquer les enseignements du Capitaine, lui qui avait été son mentor, il y a de cela quelques années?
Deux heures furent vite passées où Shunï faisait tous les mouvements que les chefs d’unité utilisaient, pour donner les ordres aux recrues, qui les comprirent et obéirent presque tous… Remerciant la lieutenant, le Capitaine lui donna congé pour pouvoir retourner auprès de son groupe de TDE avant de poursuivre son cours.
Il était 7h00 tapante, et toutes les recrues étaient assises, bien tranquilles à leur place. Se frottant les mains, Shunï avait bien hâte de savoir les binômes qui avaient été créés dans le court laps de temps qu’avait séparé les deux cours. Attrapant un crayon et une feuille de papier, elle marqua dans l’en-tête les mots « Tireur » et « Observateur »
Alors, avec qui est-tu en équipe, Gorou?
Avec Allan, Mon Lieutenant, et je suis l’observateur!
Écrivant les notes, elle fit de même avec les deux autres groupes, identifiant rapidement que Peter et Isaak étaient ensemble et que ce dernier était l’observateur.
C’est très bien, Peter semble plus quelqu’un d’instinctif, et ça prend quelqu’un de réfléchi comme observateur, et notre futur juge est un excellent candidat!
Souriant, Shunï commença le cours, donnant toute la matière à savoir sur les autres armes que la Dragunov, un TDE se devant de savoir utiliser plus qu’une seule arme. Puis suivit de dîner, mais, avant de les laisser partir, elle donna rendez-vous à ses recrues au champ de tir, leur disant que ce serait leur première balle tirée.
26 jours plus tard
Les six hommes étaient allongés au sol par groupe de deux par deux, l’un avec une lunette de visée, l’autre sa dragunov dans les mains, dans l’herbe chaude de l’après-midi; l’avant-dernière journée était presque terminée. Les cheveux rouges ballotant avec légèreté dans le vent, les bras croisés, Shunï prit la parole.
Isaak, qu’est-ce qu’un angle de tir optimal?
Un angle ouvert sur la position ennemie, à l’abri de son regard. Les buissons en sont, mais pas les tours ou les structures hautes, à cause du fait qu’on se met à découvert, mon Lieutenant!
Shunï sourit. Ce Isaak était revenu de loin dans sa formation, lui qui se plaignait du moindre effort qu’il faisait, aujourd’hui il pouvait courir pendant trois heures de temps sans jamais relâcher un seul râlement. Il fallait dire que ses muscles étaient plus saillants. Même la relation avec son coéquipier était passée de conflictuelle à amitié pure et simple.
Très bonne réponse, mais rappelez-vous que ce qui est évident pour vous l’est aussi pour l’ennemi, alors gardez en tête qu’il est possible que quelqu’un vous épie… Feûng, toi qui as un silencieux équipé sur ton fusil de précision, de quelle vitesse est la restriction de ce silencieux?
Immédiatement, et sans même détacher son œil de la lunette de visée, la recrue interpellé me donna la réponse juste; l’arme voit, avec le silencieux, sa vélocité diminuer de 5 mètres/seconde.
Comme vos observateurs vous ont déjà donné la position de votre cible, messieurs, prenez une grande respiration… Et feu.
Le vacarme assourdissant de trois snipers faisant feu emplit la plaine, alors que trois cibles se firent percer à peu près tous au centre. Souriant, l’instructrice reprit alors un monologue.
Lorsque vous partez en mission, vous devrez vous trouver cet angle de tir optimal, mais vous devrez aussi trouver une position corporelle que vous pourrez tenir pendant des jours… Je sais ce que vous pensez, et certains TDE n’y vont pas avec le dos de la cuillière; ils vont jusqu’à carrément pisser dans leurs pantalons. Pour ma part, je préfère réduire dramatiquement ma consommation d’eau avant et pendant ma mission. Pour les autres besoins naturels, tel que manger ou dormir, ça doit attendre après la mission. Maintenant…
Se mettant bien droite, l’air solonnel, elle croisa les bras derrière son dos avant de regarder les six hommes allongés. C’était la dernière balle de leur chargeur.
Prenez une grande respiration…Il ne faudrait pas que vous ratiez votre dernier tir… Feu.
Un dernier coup de tonnerre et les recrues se levèrent, partant pour les quartiers des soldats, probablement pour prendre leur douche, la dernière ou presque, après que leur lieutenant leur en ait donné la permission. Évidemment, Shunï ne mangeait pas avec eux, elle était plutôt avec le Capitaine Khan, dont le comportement lui semblait plutôt curieux.
Shunï, il y a une mission que vous devez remplir cette nuit et votre observateur est déjà parti en mission… Vous prendrez donc vos deux meilleures recrues.
Bien mon Capitaine, mon choix est déjà fait…
Voilà la raison pour laquelle il semblait si nerveux; c’était la première fois que la jeune femme et son observateur étaient séparés! Donc les résultats n’étaient pas garantis avec d’autres personnes…
Il était environ 2 h 00, quand la jeune femme, portant son habit de camouflage, entra dans le dortoir, sans un son. Les six hommes étaient endormis, parfait. Se rapprochant du tireur et de son observateur, endormis dans leur lit voisins, elle attrapa Feûng et Boris par le collet. Contrairement à la dernière fois qu’elle les avait réveillé en pleine nuit, qui avait été souligné par des bruits caquophoniques , Shunï se fit très discrète, ne réveillant personne d’autre que ces deux là.
Messieurs, en uniforme, voici votre examen final, à tous les deux.
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L'entrainement touchait presque à sa fin à présent. Depuis 26 jours, les membres du TDE vivait ensemble et était devenue presque une famille même s'il se mélangeait pas encore tous parfaitement. Comme Feûng et Boris, Isaak et Peter était devenu inséparable si bien qu'on ne voyait jamais l'un d'eux sans les 3 autres, hormis lors de mission individuel, l'autre binôme était très souder aussi mais il restait un peu dans leurs coins établissent entre eux un monde et un lien que personne d'autre ne pouvait voir ni comprendre.
Tous les camarades de Boris avaient fait beaucoup de progrès et avait gagner en muscle et en endurance seul Peter et Boris n'avait pas évoluer depuis le début. La force et l'endurance de ses deux recrues était déjà excellente et suffisante pour tenir le mois alors les différences était tellement minimes qu'on ne les voyait pas.
Peter avait un peu gagner en endurance il pouvait à présent courir 4h sans problème, si besoin était, au lieu de 3h 30. De son côté Boris avait un peu gagner en muscle mais il n'y avait rien de très impressionnant et seul Feûng avait pu constaté la différence, étant donné qu'il était presque toujours avec le vampire.
Depuis un long moment, les étudiants s'entrainait et les équipes étaient parfaitement rodées, la théorie et les exercices étaient parfaitement encrée dans tous les étudiants et le châtain se demandait s'ils allaient un jour faire une vrai mission même si ça devait pas être prévu dans le programme. Après tout c'était plus du paintball, sauf quand il tirait sur des mannequin, qu'autre chose et le cas de conscience de tuer quelqu'un ne s'était jamais vraiment présenté chez les étudiants.
Feûng et Isaak avait profité de cette belle soirée pour utilisé leurs bon d'or après tout c'était peut-être la dernière fois qu'il revenait au camps avant la fin du stage et il comptait bien tester la nourriture un peu plus reluisante que celle qu'on leurs avait servis. Peter et Boris se mirent donc côte à côte pour manger et discuté tranquillement de la meilleurs manière de touché la cible s'il était piéger à telle et telle endroit.
Cette amitié était assez étrange mais relaxante pour le jeune homme. Durant presque 15 jours ils s'étaient affronté après chaque journée se soldant par l'échec de Peter mais lorsqu'il fit enfin confiance à son partenaire les tensions disparurent toute seul. Il comprit enfin pourquoi le vampire lui avait mit Isaak entre les pattes et il se trouvait bien bête de certes emporter contre un alliés.
Dès le lendemain, leurs duels avaient repris mais c'était plus dans le même états d'esprit c'était une amitié musclée et virils plutôt qu'un vrai combat. Boris enseignait ensuite à son adversaire comment ne plus se faire avoir par le même contre et ils allaient tous se couché de bonne humeur.
Shunï venait parfois les réveillés en sursaut en plein milieux de la nuit mais jamais Feûng et Boris n'était de mauvaise humeur le matin pour les autres candidats ça dépendait de l'heure que officié choisissait pour venir leurs faire une surprise.
Après une nouvelle longue journée, avec combat et bon repas pour les deux heureux propriétaire des bons ils allèrent tous se couché mais la nuit de sommeil ne fut pas très longue pour le binôme du vampire.
Shunï était venue les réveillé mais une chose inquiéta le châtain elle n'avait pas réveiller tous le monde et même si elle semblait le caché au mieux, dans la nuit le plus totale, elle était forte inquiète. La voie de la jeune femme était rassurante et autoritaire mais son visage et ses yeux ne pouvait mentir.
-Messieurs, en uniforme, voici votre examen final, à tous les deux.
Le vampire observa de la tête au pied la jeune femme et il remarqua sa tenue de camouflage et il décida de prendre exactement la même, elle n'avait pas voulu leurs donné tout les détails de la mission dans le dortoir mais c'était pas facile de choisir la tenue de camouflage adéquate sans aucune information. Il se référa donc à celle de son supérieur qui elle devait savoir mieux que n'importe qui d'autre comment s’habiller.
Feûng s’apprêtait à s'habiller lorsque le vampire attrapa son bras et redirigea sa main sur ce qu'il devait mettre. Depuis le temps il avait apprit à faire confiance à son observateur et il mit le tenue indiqué par ce dernier sans même se poser de questions et remettre en jugement l'avis de ce dernier. Même si la tenue indiqué était pas celle qu'il devait mettre d'habitude.
Le binôme ressorti donc habillé exactement pareil que leurs instructeurs et sans faire de bruit il l'a suivirent. L'équipement de l'équipe était toujours prêt au cas ou il serait sorti du lit en hâte et il n'eurent qu'à le saisir au moment ou il sortirent de leurs baraquement.
L'équipe suivit la rousse en silence sans même se posé de question. Elle leurs avaient apprit à se déplacé sans faire de bruit et en silence jusqu'à ce qu'elle donne l'ordre contraire. Ils avaient également apprit les signaux de base qui était utiliser dans une équipe de TDE et lors des missions le vampire et l'humain ne communiquait que de cette manière et parfois même pendant 1 ou 2 jours après par habitude avant de retrouver un système de communication plus normale.
*Cette fois c'est certainement plus un entrainement classique. On va devoir se donner à fond et une erreur signifiera l'échec de la mission et peut-être bien notre mort également*
La jeune femme s'arrêta finalement et les étudiants attendirent en silence la suite des événements pour savoir de quelle manière il fallait agir au mieux ensuite.
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La jeune femme avait laissé l’équipe choisir eux-mêmes la tenue qu’ils devraient utiliser dans cette mission. Bien qu’il s’agissait plus que d’un simple entraînement, elle savait qu’ils pourraient relever ce ‘’défi’’, bien petit comparé à ce qui les attendait, hors du village de Seikusu. Shunï n’était pas d’accord avec l’idée d’éliminer une cible accompagnée de deux recrues, dont une qui ne retournerais probablement jamais en mission militaire. Pourquoi n’avait-elle pas emmené avec elle les deux militaires qui faisaient équipe dans son cours? Parce que la tireuse voulait revenir en vie, et avoir avec elle sa meilleure équipe donnait plus de chances de pouvoir entrer à la maison en vie. Feûng avait déjà probablement tué, s’il était déjà parti en mission…
Feûng, équipe ton arme du Suppresseur et de la vision nocturne, Boris, prends les jumelles à détection thermique, ça pourrait être utile.
Attendant que les deux jeunes gens ne continuent de mettre leur équipement dans leur sac, Shunï attrapa son I-pod, mettant un écouteur dans l’oreille droite, mais pas dans la gauche, pour pouvoir entendre les questions ou commentaires. Alors qu’ils n’étaient toujours pas fin prêts, la chef d’équipe sortit de la pièce pour pouvoir étudier une nouvelle fois la cible à traiter. L’homme était un membre d’une cellule terroriste, celui qui s’occupait de la division ‘’finance’’ de la cellule. Il était évident que les deux recrues ne verraient pas ce dossier, pour la simple et bonne raison qu’elle était confidentielle, et qu’ils ne seraient là qu’en tant que couverture.
Une fois leur besogne terminée, les coéquipiers rejoignirent le Lieutenant, laissant les autres recrues à leurs rêves. Amenant Boris et Feûng à l’extérieur, Shunï leur expliqua quelle serait leur mission; à savoir une couverture alors qu’elle s’infiltrerait en territoire ennemi, qu’ils ne seraient là qu’en soutient et qu’à moins d’ordre contraire, ils n’avaient pas le droit de tirer.
Messieurs, dans le Humvee.
Souriant légèrement, elle ouvrit alors la porte arrière du gros quatre par quatre, inclinant légèrement la tête vers l’engin, les invitant à s’asseoir. Alors qu’elle prenait place sur le siège passager avant, permettant ainsi au conducteur de mettre le camion en route, Shunï se retourna vers les deux passagers, à l’arrière.
Voyez ceci comme un examen, où vous devrez mettre tout en œuvre ce que je vous ai enseigné pour pouvoir réussir. Si vous échouez, ce sera la mort, pour nous trois. Je compte sur vous, Messieurs.
Le reste du chemin, qui dura environ trois quart d’heure, se passa dans le silence complet, si ce n’était du rugissement du moteur. Une fois arrivé, les trois militaires sortirent avant que le conducteur ne reparte avec son véhicule, dans le sens inverse.
Les trois TDE entrèrent dans la forêt, rampant dans les herbes, les feuilles. Un feu… Là-bas, à une dizaine de mètres derrière le buisson. Leur faisant signe d’aller se cacher à l’intérieur desdits buissons. Se penchant vers les deux recrues, alors qu’ils allaient la dépasser, elle leur murmura.
Restez là, je vais libérer la voie, en espérant que ça vous donne le courage de pouvoir aller jusqu’au bout.
Se relevant, les genoux fléchis, Shunï attrapa son couteau, attaché à son mollet droit, puis entra dans la clairière. Il y avait trois hommes, dont un qui était en retrait, en train de… faire son activité de mec, debout devant un arbre, alors que les deux autres étaient assis sur une chaise, devant le feu.
Arrivant derrière l’homme, le lieutenant passa sa man sur sa bouche et lui trancha sa pomme d’adam comme on tranche un fruit, le laissant s’écrouler au sol, le retenant toutefois légèrement afin que le bruit n’alerte pas ses collègues.
Un de moins…
Oh, ça lui prend sacrément du temps, à Shawn! Il revient ou pas?
L’autre n’eut pas le temps de répondre que le même couteau qui avait tué le dénommé Shawn s’enfonça dans sa gorge, lancée à quelques mètres plus loin. Alors que le dernier allait donner l’alerte, deux balles lui traversèrent la poitrine et une se coinça dans son cervelet. La jeune femme reprit sa lame et cacha les corps à l’opposé d’où les recrues étaient cachées. Éteignant le feu avec le café d’un d’eux, elle fit signe à Boris et Feûng qu’ils pouvaient sortir de leur buisson.
Bon, une bonne chose de faite! Vous allez vous poster là, comme ça vous pourrez voir le site en entier, et me donner la position des ennemis si jamais ceux-ci s’approchent trop de moi. Je sais que je vous ai dit de ne pas utiliser un point en hauteur, mais on a l’avantage sur eux, ils ne savent pas que nous sommes là. En position.
-
Boris ne s'était pas tromper ce n'était pas un simple parcours de survie où il fallait ensuite tuer un mannequin ou une cible mobile mais avec des geste prédéfini. C'était une mission militaire officiel cette fois et une chose interpella le vampire. Pourquoi prendre une équipe avec un civil dans le lot? Elle avait choisie l'équipe la plus équilibré donc la plus efficace néanmoins mettre devant des corps mort un personne qui n'était pas censé en avoir vu avant pourrais mettre en péril la mission.
*Elle a surement soupeser chaque argument avant de prendre une décision pareil, après tout même si elle est plus expérimenté que nous elle est pas immunisée contre la mort non plus*
-Feûng, équipe ton arme du Suppresseur et de la vision nocturne, Boris, prends les jumelles à détection thermique, ça pourrait être utile.
Les soldats retournèrent dans leurs baraquement et allèrent cherché ce que leur officié demandait. Boris ressorti en plus avec un paquet de chewing-gum qu'il mit dans sa poche près de son coeur. C'était pas un élément essentielle pour la mission mais le civil en avait toujours un sur lui au cas où il partirait en chasse durant la mission et qu'il ne voulait pas qu'on sente l'odeur du sang à travers son haleine.
Boris s'installa du côté du conducteur, il tenait pas à se retrouver derrière son officié au cas où cette dernière serait une cible. Mettre deux éléments importants du même côté était assez suicidaire et le vampire était un peu superstitieux il préférait donc évité de tenter le diable.
Durant les 3/4 d'heure qui suivirent, Boris fit une petite sieste prouvant qu'il n'était nullement inquiété de se retrouver sur le terrain. Feûng lui réfléchissait en silence et se remémorait tout ce qu'il avait apprit. C'était pas la première fois qu'il allait sur un champs de bataille mais avant d'être au milieux de l'action il ne pouvait s’empêcher de stresser.
Shunï semblait se méfié de la fiabilité de ses recrues dans une mission réel et surtout devant un meurtre cependant le civil ne lui en tint pas rigueur après tout c'était normal de s'inquiéter pour des bleus. La rousse parti donc seul, après avoir laissé ses élèves de caché, en direction du camps.
*Ils ne sont que trois. Il ne devrait pas y avoir trop de problème*
Le massacre commença et dès que le premier soldat perdit la vie, Boris commença à devenir extrêmement pale et à trembler de tout son être. Il n'y avait aucune peur dans la réaction du jeune homme seulement un envie de tuer et de boire du sang qui traversa tout son être au moment où le précieux nectar se répandit sur le sol.
*J'espère que notre lieutenant ne se blessera pas près de moi car avec elle je pourrais pas résisté longtemps à ma soif*
En temps normal, le vampire n'aurait même pas ressenti une petite soif devant un telle spectacle surtout qu'à l'odeur il savait déjà que c'était du sang infecte mais ça faisait presque un mois qu'il n'avait rien manger et sa résistance était à bout.
Sans grande difficulté la jeune femme fit le ménage et demanda à ses recrues de la rejoindre. Véritable supplice pour le professeur de gym mais il ne pouvait pas refuser un ordre si simple. Ne pas vouloir approché des cadavres aurait fait échoué la mission directement et la rousse aurait remit beaucoup trop vite son jugement en question or elle en aurait besoin pour sa mission.
*Elle n'a pas le temps de s'inquiéter pour nous, de faire la mission et se demandé si elle n'aurait pas du prendre le groupe de pro en même temps*
Boris avait reprit un peu contenance mais son poing tremblait toujours cependant c'était une nuit extrêmement sombre et la jeune femme ne remarquerait pas les tremblements de son élève sauf si elle posait la main sur son épaule ou si elle se mettait à sortir ses jumelle thermique.
Boris repéra 3 points élevé dans la direction qui lui était indiqué 2 était très peu camouflé mais offrait un angle de vue et de tir impeccable le dernier était la cachette idéal mais il était impossible de tirer de la à cause d'arbre et de l'alignement du bâtiment.
Après avoir pesé le pour et le contre, l'observateur décida finalement du meilleur endroit et il donna ses instructions à son tireur. Avec ses jumelles et son oreillette, pour donner les instructions de loin au lieutenant, le vampire avait vraiment l'air d'un pro néanmoins c'était pas parce qu'il avait l'apparence qu'il avait comme par miracle le talent il se força donc à rester concentrer.
-Lieutenant vous avez 4 gardes à l'entrée. En fonction de leurs déplacement et de votre vitesse je vous conseil de passez par la droite d'où vous avez le plus d'endroit ou vous caché. Cependant faites quand même attention car vous arriverez plus ou moins en même temps que le garde contre le mur droit du bâtiment.
C'était la seul chose que l'étudiant pouvez faire pour son supérieur pour le moment, lui indiqué avec précision le meilleurs itinéraire, ainsi que les variables de la mission au fur et à mesure. La tache de Boris était assez compliqué il devait être les yeux et les oreilles non seulement de son tireur mais aussi de son supérieur. Une lourde charge mais il ne devait pas tuer de soldat ce qui devait un peu rassuré la rousse.
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Shunï s’était avancé jusqu’à environ deux mètres de la clôture, évaluant les forces en présence à l’intérieur de l’enceinte, elle n’avait pas l’intention de se frotter à autant de soldats en même temps, connaissant très bien ses capacités, qui étaient loin d’être aptes à se frayer un chemin jusqu’à la cible… Soudainement, la radio dans son oreille se mit à grésiller, la lieutenant put reconnaître la voix de Boris, lui affirmant qu’un garde s’approchait d’elle.
Se jetant dans le fossé, elle put voir une ombre se détacher de la nuit, alors qu’il ne passait qu’à quelques mètres de la crevasse. Attendant qu’il ne s’éloigne pour sortir de sa cachette, Shunï se mit en retrait des gardes et appuya sur le bouton de l’émetteur dans son oreille.
Merci… Il y a une trop grande concentration d’ennemis, je vais devoir traiter la cible à distance… Couvrez-moi.
Shunï ayant été entraînée à être préparée à toute éventualité, elle avait déjà pris un point, dans un buisson, où elle avait mit tous les effets qu’elle aurait besoin pour ce genre de tir; silencieux, lunette infrarouge… En plus de son Sauer 200 qui était dans sa mallette, l’avantage d’être un haut gradé était qu’on pouvait utiliser autre qu’une Dragunov… D’ailleurs, la jeune femme n’avait jamais vraiment aimé les armes soviétiques, privilégiant les armes d’origine européenne de l’Ouest... Ou encore les armes Allemandes, comme celle-ci.
Regardant dans le viseur, une fois l’arme entièrement assemblée, Shunï cherchait sa cible, qui était censée se trouver au deuxième étage. D’un petit sourire, elle concentra son attention sur quelque chose qui venait de bouger dans le bureau de la cible. Activant la vision thermique de sa lunette de visée, elle remarqua une concentration de chaleur, signe qu’il y avait bel et bien quelqu’un à l’intérieur; la TDE n’avait désormais qu’à attendre qu’il allume la lumière pour avoir la confirmation que c’est bien sa cible… Chose étonnante, il ne l’avait pas fait, il restait dans le noir, mais il alluma son ordinateur, qui donnait une lumière assez puissante pour qu’elle puisse reconnaître l’homme à abattre. D’une balle, tirée dans l’ouverture de la fenêtre qu’avait négligemment laissé un garde, la cible s’écroula au sol, le bruit rendant suspicieux les gardes qu’il y avait près du bureau.
Maintenant, vous me couvrez jusqu’à la forêt, je dois fuir sans être vue!
Prenant son temps, pour ne pas être repérée, Shunï rampa sur le sol, en direction de la lisière de la forêt. De là, elle pourrait aisément filer vers le point d’observation, là où Boris et Feûng étaient cachés. Elle eut à peine le temps d’atteindre la forêt que la sirène se fit entendre, ensuite une voix forte donna les indications à suivre pour ses hommes, tentant de retrouver l’assassin. Filant jusqu’à ses recrues, le chef leur fit signe de la suivre.
Se déplaçant sans bruit dans le bois, ils finirent par semer leurs poursuivants, mais la nuit n’était pas encore terminée, et il était hors de question qu’ils aient un point d’extraction avant l’aube.
J’espère que vous aimez le camping… On va passer la nuit ici, personne ne pourra venir nous chercher avant demain.
Comme ils n’avaient qu’une tente, ils devraient se contenter de dormir deux par deux, alors que le troisième resterait éveillé pour jouer le rôle du guet. Les trois se mirent alors à la tâche, montant rapidement la tente. Ce serait leur seul effet de camping, un feu pourrait donner la position à l’ennemi, et pouvoir ainsi se faire capturer, probablement tuer… Alors que les trois étaient debout, devant la tente, Shunï donna ses ordres.
Donc, il nous reste quatre heures avant que le soleil ne se lève, vous pourrez donc dormir alors que je surveille. J’ai déjà dormi dans le Humvee, ça va donc aller.
Alors que les deux hommes, sous la surveillance de la jeune femme, entraient dans la tente, Shunï s’assit alors au sol, avant de nettoyer les pièces de son arme désassemblée. Au bout d’une heure, n’entendant plus un bruit, l’envie prit au lieutenant d’aller se rafraîchir un peu… Elle savait qu’il y avait une rivière non loin car elle avait entendu le bruit de celle-ci, et comme les gardes ne s’aventureraient pas si loin en forêt, les recrues n’avaient rien à craindre. Se levant donc, elle partit en direction de la rivière.
Elle venait tout juste d’enlever ses bottes qu’elle avait les pieds dans l’eau fraîche… C’était si bon, si relaxant, après une mission si stressante; la mission en elle n’était pas si compliquée, mais le fait qu’elle dût amener avec elle deux recrues l’avait beaucoup stressé. Donc, retirant tous ses vêtements, elle entra dans la rivière tranquille, nue comme un ver, ne se préoccupant que d’elle-même, seule… ou pas?
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La mission ne prit pas énormément de temps à la jeune femme malgré le fait qu'elle dut s'occuper du rôle de l'observateur et du tireur. La mission fut rapidement emballée et le vampire sentait presque déjà son lit près de lui avant le levé du jour.
Il garda néanmoins sa concentration et heureusement car quelques instants plus tard l'alarme se mit à retentir. Le cadavre de la cible n'avait même pas eut le temps de refroidir qu'il avait déjà été découvert car c'était certainement pas la fuite de la rousse qui était en cause juste une sacré mal chance.
Bien que la mission se soit bien déroulé, il était pourtant évident que la mal chance poursuivait le groupe et particulièrement le lieutenant. D'abord elle apprit qu'elle devait faire une mission alors qu'elle avait des élèves à s'occuper ensuite que son observateur était indisponible. Elle dut ensuite amené un civil sur le champs de bataille et finalement le corps de sa cible fut retrouver même pas 5 minutes après son assassinat.
Néanmoins la jeune femme prit assez bien ce petit contretemps et proposa un camping improvisé à ses recrues. La nuit était magnifique cependant les chansons, le feu de camps et les marshmallow n'allaient surement pas être invité à cette nuit "à la dur".
La rousse n'était pas vraiment épuisée en revanche elle avait pas mal transpiré et son corps gardait l'odeur du sang, de la boue et de ses efforts. Odeur au combien alléchante pour un prédateur qui était au régime depuis plus de 3 semaines pourtant Boris restait étrangement calme même si son estomac le faisait souffrir et que tout son corps avait une irrésistible envie de se courbé pour "attaqué" la jeune femme et lui volé le précieux nectar qui coulait dans ses veines.
Shunï prit le premier tour de garde au soulagement du vampire qui n'aurait pas pu résisté à une cible endormie. Une cible alléchante et sans défense était une sensation beaucoup trop forte pour un prédateur tel que lui. Après avoir dormi une grosse demi-heure il se réveilla et il aperçu la jeune femme au coin la tente mais il ne bougea pas et il attendit que cette dernière lui demande de prendre la relève.
Une demi-heure plus tard, officié se leva en silence mais elle ne se dirigea pas vers la tente mais en direction d'une petite mare. Chose peu prudente car une fois nue elle n'avait plus aucun moyen de se défendre contre sa jeune recrue à part avec ses techniques de combat.
Lentement, il s'approcha de l'eau et il pouvait à présent rejoindre la jeune femme en un seul bond. Elle ne ressentirait aucune douleur et il s'arrangerait pour croire qu'elle avait rêvé. C'était le plan initial lorsqu'il senti une proie un peu moins alléchante tout près. C'était une simple biche mais elle lui apporterait une bonne dose de sang frais et il pourrait ainsi évité toute une mise en scène.
Utilisant ce qui lui restait de raison et de volonté, il se dirigea en direction de la forêt et se mit à la poursuite de sa proie. Cette dernière parti en direction de l'eau en espérant que son prédateur ne la poursuivrait pas mais ce dernier l'attrapa en plein milieu de son saut et retomba avec cette dernière dans l'eau.
Énormément préoccupé par son repas, il ne se rendit pas compte qu'il vidait le sang de sa victime à quelques emplacement seulement d'où la jeune femme prenait son bain. Il relâcha sa proie et il posa ses yeux, rouge sang, sur la jeune femme et il l'observa avec intérêt.
Il avait bien manger et il était presque reput mais une nouvelle faim commençait à naitre en lui et c'était pas du sang qu'il voulait à présent mais quelque chose que seul une femme pouvait lui apporté et son instructeur était particulièrement à son goût.
De plus il était sur son terrain de chasse préféré, la nuit, ce qui lui procurait un sacré avantage car contrairement à la jeune femme il voyait parfaitement malgré l'immense pénombre. Aucun mouvement ne pouvait lui échappé, même un simple battement de cils était immédiatement repéré par le prédateur par excellence.
L'être de la nuit s'avança d'abord lentement comme-ci l'eau lui opposait une énorme résistance et pour faire monter un peu la tension. L'attaque le rendrait vulnérable un faible moment mais tant qu'il planchait sur sa stratégie il ne craignait rien n'y personne.
Surtout que contrairement à la plupart des vampires, il ne craignait pas l'eau en effet Boris avait un certains avantages il n'était n'était pas un vampire de sang pur, il était un dégénéré. Avec tout les inconvénients que ça lui opposait car il n'avait pas beaucoup de pouvoir comparé à ses congénères de pur souche et si on ajoutait le fait qu'il ne se nourrit que très rarement de sang humain, on peux dire qu'il est même faible pour les dégénérés.
Les pas se firent un peu plus rapide puis sans prévenir, il sauta directement sur la rive sur les vêtements de la militaire pour l'empêcher toute fuite. Elle ne devait pas être très pudique mais de la à se baladé nue en forêt il y avait une sacré différence.
Le vampire commença à courir, à une vitesse proche de 90 kilomètres heures, autour de sa proie et chaque cercle se rétrécissait de plus en plus. il arriva finalement devant la jeune femme et il tenta de la serré dans ses bras.
L'étreinte du vampire n'était pas cependant innocente, sa main droite était parti en direction du menton de la jeune femme pour lui relever la tête et pouvoir plus facilement l'embrasser alors que ça main gauche était partie en direction des fesses de cette dernière tout en faisant bien attention à ce que le bras passe autour de la taille de cette dernière et qu'elle ne puisse plus s'échapper.
Une fois immobilisée, il serait facile pour le vampire de boire son sang ou de lui déposé un simple baisé sur les lèvres, simple mais particulièrement efficace car comme tout les vampires les siens avaient une propriété hautement aphrodisiaque.
Pour être plus exacte, il s'arrangeait toujours pour laissé sortir ses canines indolores au moment du baiser pour prélevés un peu de sang chez sa victime lorsqu'il posait ses lèves sur celle de sa proie.
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Shunï l’avait sentie, cette perturbation dans l’eau calme, ainsi que le bruit d’une masse solide qui rencontre le liquide de la rivière. Sa curiosité attirée par la chose qui venait tout juste de perturber sa quiétude, elle s’avança juste assez pour voir une ombre en chevaucher une autre, probablement un loup qui tuait un de ces herbivores qui rôdaient dans les alentours. Décidant de ne pas perturber l’animal pendant son repas, chose qui aurait pu lui coûter très cher, la rouquine retourna à son point de départ pour continuer sa baignade nocturne.
Bon sang, il va falloir que je me fasse discrète, sinon je risque de me retrouver entre les griffes d’une de ces bêtes
Shunï ne parlait pas fort, murmurant ces paroles pour elle-même. Cependant, elle ne savait pas que la soit disant créature était l’une de ses recrues qui avait décidé de se trouver un repas peu conventionnel. Bon, il commençait à être plus que temps qu’elle rentre, pour ne pas effrayer les recrues si jamais l’une d’entre elle en venait à se réveiller et ne plus voir l’instructrice, censée de surveiller le camp de fortune. Elle n’eut par contre pas le temps de sortir de l’eau que la créature l’avait repérée et fonçait droit sur elle.
Shunï n’avait même pas eut le temps de réagir qu’elle se retrouvait coincée entre une paire de bras aux muscles fins, mais possédant une puissance qui l’empêchait de bouger… Un homme? Se dit elle. Non mais c’est impossible, personne ne peut aller aussi vite!
Soudainement, sa tête se mit à tourner légèrement, comme si un fluide étranger s’était inséré par lui-même dans son corps, faisant poindre un feu dans son bas-ventre, chose dont elle aurait très bien pu se passer…
Mais qu’est-ce que vous m’avez fait?...
Shunï regarda alors vers l’autre bout de la marre, espérant se voir, allongée sur le sol, endormie. Ça ne pouvait être qu’un mauvais rêve, impossible que ce soit la réalité! Elle tenta de se réveiller, mais en vain… Peut-être qu’en regardant le visage de son agresseur…
Boris?! Mais, qu’est-ce que tu fais là… Qu’est-ce que tu es?…
Voilà, maintenant la militaire était vraiment confuse, Boris était censé dormir dans la tente, avec Feûng, mais elle l’avait bien vu, courir à une vitesse folle, et même en train de se nourrir d’un animal, alors qu’elle croyait que c’était une bête sauvage. Mais qu’est-ce que c’était que tout ce foutoir?! Il faudrait avoir des réponses, mais pour le moment, Shunï doutait qu’il allait répondre à ses questions, mais qu’allait-il faire au juste? Si seulement elle le savait…
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Le baiser du vampire sembla faire son effet sur la rousse après tout c'était une simple humaine elle était donc par nature sensible au manifestation paranormal cependant il n'y avait rien de magique dans le baiser donc même les créatures doté d'une puissance protection à celle n'aurait pas pu non plus s'en protégé.
lorsque la jeune femme put identifié enfin son agresseur, elle sembla perplexe et une tonne de question semblait lui traverser l'esprit ce qui était tout à fait normal mais c'était ce genre de sentiment qui plaisait le plus à la créature. Voir ses victimes avec un visage étonné, en colère ou ravagé par la peur plaisait énormément à ce dernier et dans très peu de temps, il s'arrangerait pour faire passer le jeune fille par les 3 stades.
Boris lâcha le menton de son instructeur pour posé un de ses doigts, avec une élégance et une délicatesse qu'il n'avait jamais fait preuve avant, sur la bouche de la cette dernière pour lui demandé de manière très polie de ne pas parlé. Il aurait pu le faire avec un autre baisé mais il trouvait se procédé un peu moins amusant.
-Il faut pas parler si fort Shunï, tu vas réveillé notre ami qui dors.
De la où était Feûng il n'aurait certainement pas pu entendre la proie de Boris mais il avait décidé de confirmé les soupçons de cette dernière. Tant qu'il ne parlait pas, il y avait toujours un petit doute sur l'identité de l'agresseur mais une fois que les mots étaient sorti il n'était pas dur de reconnaitre la voie de la personne surtout quand on l'avait côtoyer pendant presque une trentaine de jours.
La main de la créature passa de la bouche au front de Shunï, il se contenta juste de bouger un mèche de cheveux qui s'était placé devant les yeux noisette de sa futur amante. Elle y passerait forcément à un moment où à un autre néanmoins il s'arrangerait pour être consentante car le vampire ne faisait pas de viol.
Il n'avait pas vraiment le choix car son côté humain était un grand romantique cherchant encore l'âme soeur et celle qui porterait ses enfants. Enfin tout les conneries du genre quoi ce qui freinait largement le vampire dans ses ébats amoureux mais il ne pouvait aller contre toute les volonté de son réceptacle sous peine de se faire détruire.
La créature recolla ses lèvres contre celle de sa captive mais cette fois-ci il ne se contenta pas d'un simple baiser, il força la jeune femme à écarté légèrement ses dents pour aller s'amuser avec la langue de cette dernière. L'haleine et le goût du baiser devait être désagréable pour la rousse étant donné qu'il venait de manger et que sa salive était encore imprégné de sang.
Il mit fin au baiser après un moment et il décida de répondre à Shunï.
-Je t'ai transmit un puissant aphrodisiaque Shunï,il n'y a rien de dangereux vous vous en remettrez très vite.
Durant toute la discussion, le vampire, n'avait pas cessé de caresser et de peloté légèrement les fesses de la jeune femme. Il espérait provoqué un peu de désir chez cette dernière, même s'il savait que ce simple geste serait pas vraiment efficace, et ainsi la mettre plus à l'aise.
Boris vola un seconde baisé à la militaire et tendant d'en faire un extrêmement passionné et langoureux néanmoins elle pouvait lui compliqué la tache car elle n'était pas maintenue fermement. Elle pouvait certes pas s'enfuir mais elle pouvait reculer le haut de son corps comme elle le voulait.
-Je vais répondre à ta seconde question si tu le permet.
Il était bien sur évident que l'autorisation de la jeune femme n'était pas en cause car elle devrait de toute façon entendre le fond de la pensée de son élève quelle le veuille ou non.
-Je me suis dit qu'après une si longue journée vous auriez besoin de vous détendre et que j'étais le celui qu'il vous fallait.
Le vampire avait de nouveau apprécié ses lèvres de la jeune femme mais cette fois-ci il ne se dirigea pas vers les lèvres de cette dernière mais de son cou.Il n'allait certes pas la mordre, il posa juste un baiser avec un nouvelle dose d’aphrodisiaque.
En tant normal, un seul de ses baisé suffisait à donné un orgasme à une femme mais dans le cas de Boris il en fallait 3 cependant une nouvelle dose devrait produire un merveilleux effet sur la rousse d'autant plus que les lèvres glacée du vampire sur la peau chaude de cette dernière avait du lui provoqué des frissons.
L'être de la nuit retira ses dents de la peau de sa futur amante, laissant de fine trace qui disparaitrons au levé du soleil, et il plongea ensuite son regard dans les yeux de cette dernière avant de posé sa main libre sur la poitrine de cette dernière.
Alors que les doigts de la main droite de Boris titillait les seins et les tétons de sa supérieur, ceux de sa main gauche eux s'amusait avec les fesses bien rebondie de cette dernière. Par moment il poussait même le vise jusqu'à titillé l'anus de cette dernière mais il ne la pénétrait jamais avec ses doigts.
Il aurait pu également s'emparer des lèvres de cette dernière mais il voulait que celle-ci lui offre un baisé de sa propre initiative ou lorsqu'elle ne serait plus capable de contenir des cris de plaisir et ainsi étouffé grâce au lèvres de son "bourreau" le son qui en sortait. Ni l'un ni l'autre n'avait envie de se faire repéré en pleine nuit sur un territoire ennemis.
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Ce baiser avait été insupportablement délicieux, comme si, avant qu’il ne l’embrasse, elle aurait pu le frapper en pleine poire, mais qu’ensuite elle n’en redemande encore. Vraiment, ce moment est le plus bizarre que la militaire eut la chance, ou la malchance, de vivre. Depuis combien de temps ce petit salaud avait préparé son coup? Était-ce préparé d’avance, ou s’il n’avait agit que sur l’instinct du moment… Enfin, ça avait peu d’importance étant donné que la Lieutenant était vulnérable face à lui, et les deux le savaient très bien, Boris commença même à la tripoter, lui disant que ce qu’elle ressentait, c’étaient les effets d’un aphrodisiaque.
Mais… comment as-tu réussi à me le faire boire ou injecter?
Il était sacrément fort, cet aphrodisiaque, car même s’il ne faisait que la toucher, même pas à son intimité, la jeune femme ne pouvait réprimer des petits gémissements, alors que ses doigts titillaient ses mamelons, tout en l’embrassant et apposant de petites morsures sur son cou. Elle était totalement à la merci de l’envie qu’il y avait en elle; Shunï n’avait même pas la force de résister, succombant presque instantanément à ses pulsions animales, ne se doutant même pas que l’aphrodisiaque lui était injecté en se moment même, voguant dans les veines comme un navire sur les eaux d’un fleuve. Soudain, elle sentit quelque chose venir titiller son anneau rectal. Instantanément, sa main attrapa celle de Boris, qui draguait avec ses fesses avant de la mettre à hauteur de son visage et d’embrasser sa paume. En général, une bonne gifle aurait été la réaction de Shunï, mais l’aphrodisiaque lui donnait une toute autre personnalité, étant plus attentive au toucher, voulant donner et recevoir du plaisir…
N’entre pas là, pas maintenant, en tout cas… Tes mains sont gelées… Réchauffes les donc.
Sur ces mots, la jeune femme, la main de son partenaire toujours entre les mains, la glissa entre ses jambes, la faisant caresser son intimité, ou seule une ligne de poils traversait le pubis, dans un petit gémissement de plaisir. Posant ses deux mains sur les épaules de sa recrue, elle lui murmura à l’oreille.
Bon, maintenant, tu vas me retirer ces vêtements, ils deviennent superflus pour la prochaine mission…
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Le prédateur s'attendait à quelques résistance de la part de la jeune femme mais pas du tout et il elle l'obligeait presque à rester très attentionné et gentil avec elle ce qui était un risque pour lui car c'était les qualités de l'autre et pas les siennes et il pourrait revenir s'il lui laissait trop de terrain.
le châtain fut très surprit lorsque la jeune femme porta ses lèvres sur la paume du vampire. Qu'elle repousse la main du vampire, qu'elle le gifle passait encore mais ce genre de réaction était assez déroutante pour ce dernier.
-N’entre pas là, pas maintenant, en tout cas… Tes mains sont gelées… Réchauffes les donc.
Le vampire commença à s’interroger sur la façon de réchauffés ses mains car même s'il se jetais dans un feu sa peau ne pourrait pas être plus chaud c'était une malédiction qui lui rappelait constamment son état vampire ce qui avait tendant d'ailleurs à exaspéré son réceptacle.
La main, glacée, rentra en contact avec quelques chose de chaud et humide néanmoins il n'eut pas besoin de regardé pour savoir où sa main se trouvait. La rousse "montra" même à son partenaire comment lui faire plaisir au niveau de son entre jambe et elle le laissa ensuite continué tout seul.
Shunï posa les mains sur les épaules du vampire avant de lui parler au creux de l'oreille, chose facile pour la jeune femme qui faisait 5 cm de plus que lui, pour tenter de lui expliqué ses intentions.
La phrase était clair et sans équivoque et collait parfaitement avec les plans de la créature sauf pour une partie. Il voulait mener la danse or son supérieur elle le voulait également et il commençait à hésité sur le fait de lui obéir ou pas.
Certes il aimait qu'elle soit coopérative et la tentation de la terre promise si proche était largement alléchante mais il n'était pas aussi faible que l'humain qui l’accueillait et il ne comptait pas cédé juste pour les beaux yeux et les formes de sa partenaire.
Elle attendrait donc un tout petit peu plus longtemps car il ne voulait pas simplement satisfaire ses pulsions et celle de la jeune femme, il voulait également la comblé entièrement de manière à ce qu'elle se rappelle de cette nuit.
*Ce genre de sentiments ne m'appartienne pas il commence à reprendre le dessus sur moi, il faut que je me dépêche mais sans la brusqué et sans lui obéir*
L'être de la nuit continua donc de faire plaisir à sa partenaire avec une main au niveau de son entrejambe et l'autre au niveau de sa poitrine. Il approcha ensuite ses lèvres de l'autre montagne de chair et il donna d'abord de simple petit coup de langue au niveau du point de son sein et lorsque se dernier durci un peu il commença à le lécher et même le sucé avec beaucoup d'ardeur.
Lorsqu'il estima que la Shunï comprit que c'était lui qui décidait du rythme, et lorsque que ça patiente fut à bout, il déplaça ses lèvres de la montagne de chair pour les placés contre celle de sa partenaire. il commença ensuite lentement par retiré ses vêtement, tout en prolongeant le baisé.
Lorsqu'il ne lui resta plus que son pantalon et écarta ses lèvres de la rousse pour lui posé une question décisive pour la suite.
-Tu as des préservatifs sur toi?
Boris en gardait toujours dans son sac mais il était dans la tente avec Feûng car il n'avait absolument pas prévu de terminé la soiré comme ça. Le vampire avait trouver idiot que son double emporte une boite de capote avec lui en mission avec comme seule femme son instructeur.
*Dire que je pensait que je me la ferrais pas et que maintenant ses préservatifs qu'il a mit pas habitudes pourrait très bien être une excellente idée pour la suite*
L'être de la nuit attendait la réponse de son supérieur avec une certaine impatience et d'ailleurs le bâton qui se trouvait dans son pantalon aussi car depuis un petit moment il commençait timidement à réagir mais il n'était pas encore près pour la suite.
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Non, il ne fallait pas que Shunï agisse ainsi, ce n’était pas elle qui agissait en ce moment; il lui avait fait quelque chose qui la rendait ainsi, car jamais elle n’aurait fait ce genre de choses. Il fallait combattre ce qu’il y avait en elle, mais éteindre un feu que même l’eau ne peut contrôler, ce n’est pas une chose facile à faire. Pour la première fois depuis qu’elle était devenue une militaire, la jeune femme se sentait seule, sans défense, inoffensive et elle détestait ça. Surtout qu’elle savait que la chair était faible, et que bientôt elle ne pourrait plus combattre l’envie qu’il y avait en elle.
Puis, soudainement, Boris décida de prendre possession de son corps, après avoir retiré son chandail, caressant son sein droit avec sa main gelée, et utilisant sa bouche pour son autre sein, arrachant des gémissements, autant de plaisir que de négation à la jeune femme. Il pouvait aisément voir le combat que Shunï avait dans sa tête; un moment elle acceptait de se faire tripoter, et même caressait les cheveux ou encore le torse dénudé de son amant, et l’autre moment elle retournait les mains vers elle, ne faisant que subir les assauts pervers de son bourreau. Dans un petit cri de surprise, la sniper ne put que laisser la langue du vampire venir caresser la sienne, paralysée par la rage, mais aussi la peur qu’il ne lui fasse quelque chose si elle décidait de le mordre. Puis, mettant fin au baiser, le partenaire de Shunï lui demanda si elle avait des préservatifs. Si elle avait été dans son état naturel, à ce moment, elle lui aurait foutu son poing au visage, quoique rien n’aurait été moins sûr qu’elle l’aurait laissé aller jusque là, mais voilà, elle n’était pas dans son état normal.
Des habitudes qui pourraient nous sauver la vie, que disait son instructeur, alors qu’elle n’était qu’une simple recrue, il les incitait à apporter n’importe quelle protection pouvant aider le TDE dans sa mission; capotes comprises. Sauf que là, son habitude s’avérerait être un moyen pour le vampire de pouvoir continuer ses sombres desseins…
Oui… Dans ma poche extérieure, le pantalon… Je n’en ai qu’une seule par contre…
Shunï n’avait pas envie de lui mentir, elle avait abandonné tout espoir de s’en sortir. Il fallait bien que l’un d’eux cède et ce n’était très certainement pas l’aphrodisiaque, carburant pour le feu au creux de son ventre, qui allait abandonner… D’ailleurs elle n’avait plus la force de retenir ses élans, son envie…
Il revint alors enfin, le sachet entre les mains. Elle n’était pas du genre à faire ça, baiser dès le premier soir, bien que ce n’ait pas été un rendez-vous avec le vampire, qui ne s’était contenté que de la faire supporter le viol, car c’en était bien un. L’envie ne venait pas d’elle, mais bien du poison qui lui avait été administrée, et la forçait à faire des choses que jamais elle n’aurait osé faire avec un de ses élèves, surtout en territoire hostile, mais elle ne pensait même pas à la personne qu’elle avait devant elle, seulement à ce qu’il avait dans les pantalons, ce qui pourrait lui permettre d’éteindre ce feu le plus vite possible et le plus agréablement possible aussi. Donc, il était face à elle, le sachet entre les mains, mais avant qu’il ne puisse faire un autre mouvement, la jeune femme s’agenouilla devant lui, supposant que c’était la bonne chose à faire et détacha les pantalons de Boris.
Attrapant la verge en mi-érection, elle commença à la caresser de la main droite, l’autre glissant sur son ventre, ou encore sur les cuisses du jeune homme, résignée à ce qu’il la prenne bientôt, à moitié impatiente et apeurée. Approchant son visage du phallus qui commençait à prendre de la grandeur et à devenir dur, elle glissa sa langue du bout jusqu’à la base avant de revenir pour finalement enfourner le gland dans sa bouche, caressant toute sa circonférence avec son appendice buccal, alors que ses doigts fins commençaient une série de lents va et vient.
Même si elle n’aimait pas être dans cet état, Shunï ne put s’empêcher d’être allumée par cette fellation qu’elle s’était elle-même forcée à faire, et sa main gauche de quitter le corps du jeune homme pour aller s’activer contre son intimité, étouffant quelques gémissements grâce à ce qu’elle avait en bouche.
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Durant la première partie des préliminaires, Shunï tenta de résisté et le vampire en avait bien conscience d'ailleurs. Comment aurait-il put l'ignoré alors qu'elle passait respectivement d'une personne excitée qui aimait les sensations que lui procurait l’aphrodisiaque et son élève à une personne qui faisait de la résistance mais sans le repoussé et laissait son corps se faire tripoté comme ci elle était une vulgaire poupée gonflable. Le duel interne était féroce et l'être de la nuit appréciait énormément de la voir se torturée toute seul car résisté était inutile.
Plus le temps passait plus le produit se répandait dans les veines de la rousse. Le produit était comme le venin d'un serpent qui prenait son temps pour prendre possession de son hôte et le faire mourir à petit feu sauf que ce type de poison ne tuait que la raison de son propriétaires et la libérait totalement pour lui laissé seulement ses pulsions les plus profonde ressortir. Le procédé n'était pas douloureux et généralement ont y succombait assez vite mais chez le lieutenant c'était contraire à ses principes ce genre de rapport et elle avait un caractère fort et une volonté d'acier ce qui rendait le processus plus lent et plus pénible pour elle.
La réponse de la jeune femme ne plut qu'à moitié à Boris. Il appréciait la réponse franche de la TDE et le faite qu'il n'aurait pas à perdre de temps pour la suite en devant retourné au campement en cherché bien qu'il se demandait si un seul serait suffisant. La jeune femme lui plaisait beaucoup et arrivé à l'orgasme avec cette dernière une seule fois lui laisserait un gout d'un peu peu. Par contre il n'apprécia pas l'hésitation de cette dernière et le timbre de sa voie. Pour un observateur aussi perspicace que le vampire, il put se rendre compte qu'elle était presque contente qu'il n'en ai qu'une car son supplice n'en serait que plus court ou plutôt son viol serait terminer plus vite.
La rousse résistait encore et toujours au plus grand malheur de ce dernier, si elle se laissait un peu allé elle pourrait en profité un maximum mais elle s'entêtait à résisté et limité son plaisir et lorsqu'elle lâcherait prise elle ne ressentirait qu'une plus profonde humiliation par la suite. L'humain lui aurait déjà donné au lieutenant la troisième dose ce qui aurait annulé totalement les effets de plaisir et le poison qui circulait dans ses veines par contre le vampire avait moins de scrupule à aller jusqu'au bout et de la violé si c'était nécessaire néanmoins ce serait le viol le plus doux et plaisant qu'elle subira dans sa vie.
La jeune femme revint avec le préservatif et lorsqu'il admira le visage de cette dernière, il vit qu'elle était seulement résignée mais sans plus cependant la résistance de cette dernière diminuait ce qui laissait présagé qu'elle céderait à ses pulsions à un moment ou a un autre. Sans qu'il ait eu besoin de dire quoi que ce soit l'officier prise les choses en main et elle ôta les derniers vêtements de son amant avant de s'emparer de la verge de ce dernier et de lui accordé un petit plaisir avec ses mains et sa bouche.
La fellation de Shunï n'était pas particulièrement mal exécutée mais le vampire n'en ressentait qu'un faible plaisir devant le petit manque de motivation mais compréhensible de sa partenaire. Elle par contre semblait ressentir assez de plaisir dans l’exécution de cette dernière ainsi que grâce à ses doigts qui s'occupait de son antre. Elle était sur la bonne voie mais il lui restait encore pas mal de chemin à faire avant que le vampire décide de ne formé plus qu'un avec la rousse. Un coup vite fait n'était pas ce que voulait le vampire, en tout cas pas ce soir, il ferrait donc tout son possible pour que le plaisir soit partagé de manière équitable.
-Tu te débrouille bien Shunï, tu es très adroite pour ce genre de chose mais c'est pas juste que je sois le seul à en profité veux tu que je te fasse également plaisir avec ma langue?
Il ne connaissait pas la réponse de la jeune femme néanmoins il ne la brusquerait pas car contrairement à ce quelle semblait pensé il ne comptait pas la violé même si elle le ressentait ainsi. Elle avait son mot à dire dans leurs préliminaires et il se plierai également à ses exigences, tant quelle essayait pas de prendre totalement le contrôle des opération. Le fait qu'il appréciait les caresses buccal de la jeune femme n'était pas un mensonge car son membre était de plus en plus dur mais ce qui termina de le durcir fut la pensée qu'il pourrait peut-être s'occuper de l'antre brulante de sa partenaire. L'odeur de la jeune femme était des plus succulentes pour un vampire et si sa cyprine et son sang était tout aussi bon qu'elle le laissait pré sentir il se régalerait.
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L’attitude de la jeune femme avait totalement changé depuis le début de la fellation; étant résignée à ce qu’elle s’apprêtait à faire, elle était désormais plus gourmande, amenant la verge jusqu’au plus loin qu’elle pouvait aller sans s’étouffer, caressant d’une main le corps du vampire et de l’autre son intimité avec frénésie, ayant du mal à contenir tout l’envie qu’elle ressentait. Puis, soudain, la proposition du jeune homme la fit sourire intérieurement; il voulait s’occuper d’elle! Pourquoi pas?
Oui, pourquoi pas…
Se relevant, la jeune femme prit bien soin de restée près de Boris, afin que sa verge puisse restée collée sur son corps nu et bouillant. Une fois à la même hauteur, elle poussa doucement sur ses épaules jusqu’à ce qu’il soit allongé au sol. L’envie d’avoir quelqu’un qui s’occuperait d’elle la faisait déjà presque gémir, alors qu’elle s’allongeait sur le ventre, le visage aux joues roses au-dessus de sa verge. La caressant de sa main droite, Shunï tourna la tête vers son partenaire, un petit sourire aux lèvres.
Je suis déjà si mouillée que tu peux y aller comme tu le sens, je ne vais sentir que le plaisir!
Puis elle retourna son attention sur le phallus qui n’attendait qu’on s’occupe de lui. Léchant tranquillement le bout, la rouquine y allait tranquillement; elle voulait laisser à son partenaire un bon souvenir de leur ébat, qu’il sente absolument chaque mouvement de doigt, de bouche ou encore de bassin. Gémissant quelque peu en sentant Boris s’occuper de son antre, Shunï prit une nouvelle fois son barreau en bouche, essayant de l’enfoncer toujours plus loin dans sa gorge.
Au bout d’un moment de gémissements et de soupirs de plaisir, elle sentait le ver qu’elle avait en bouche tressauter. La jeune femme n’eut pas besoin qu’on lui dise pour comprendre que le jeune homme était sur le point de jouir. D’un petit sourire amusé, Shunï se retourna pour regarder l’homme qui s’occupait de son intimité.
Ouiii… j… joui dans ma bouche… je veux pouvoir te goûter!
Puis elle recommença à pomper le nectar hors de l’endroit où il était caché. Il ne fallait pas être un magicien pour se rendre compte que la jeune femme n’était pas dans son état normal, mais à ce stade, elle s’en foutait, tout ce qu’elle voulait, c’était prendre son pied, et ce, peu importe la personne concernée.
Elle accéléra donc la cadence, sentant la verge tressauter de plus en plus, avant qu’elle ne finisse par relâcher le liquide blanc entre les dents de la belle… Finissant de retirer tout le sperme qui aurait pu tomber sur la verge ou encore les cuisses, à l’aide de sa langue, de Boris, la jeune femme se redressa sur ses pieds et baissa la tête, regardant le jeune homme à l’œuvre contre son intimité.
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La jeune femme faisait preuve d'une docilité peu commune depuis qu'elle avait commencé la fellation mais c'était nullement dérangeant et ça faciliterait les choses car à présent qu'il commençait à ressentir un peu de plaisir il ne voulait pas devoir bataillé durant de longue minutes pour finalement en arrivé à son objectif. S'il avait gardé son côté humain, il aurait été chagriné de voir que la rousse aurait accepté n'importe qui pouvant lui donner du plaisir et pas lui en particulier en revanche le vampire lui n'avait pas aucun de préoccupation.
A présent, Shunï avait une meilleurs position et elle put donc octroyer encore plus de plaisir à son partenaire qui pouvait ressentir chaque geste qu'elle faisait pour lui l'approché de l'extase. Il aurait pu être égoïste et rester sans rien faire en se concentrant juste sur toutes les sensations de plaisir qui l’asseyait mais la jeune femme était vraiment douer et elle mettait du coeur à l'ouvrage elle méritait donc bien une petite récompense.
Le vampire commença donc simplement par utilisé sa langue et lécher le contour des lèvres vaginales de sa partenaire. Dès qu'il senti la première goutte de cyprine sur sa langue il sut qu'il aurait pu en devenir accro. Le goût était vraiment succulent et le vampire se régalait vraiment, a chaque coup de langue il vivait un bonheur. Il sentait l'officier mettre de plus en plus entièrement sa verge à l'intérieur de sa bouche, augmentant le plaisir des caresses buccales que cette dernière lui offrait.
Malgré lui, il avait d'ailleurs des soupirs de plaisir et parfois même des manifestation sonores preuve de la grande dextérité de cette dernière. Le vampire lui était un peu à la traine au niveau du plaisir donné à l'autre car il ne procurait qu'un faible plaisir avec sa langue néanmoins il allait se rattraper bien vite. Il se mit à lécher les lèvres vaginales de la rousse de manière plus consciencieuse et plus rapide, il titillait également le clitoris de temps à autre. N'allant pas trop vite et laissant monté le plaisir lentement, la faire jouir trop vite n'était pas ce qu'il souhaitait après tout il lui restait encore 2h30 avant le levé du soleil.
Il ne fallut pas très longtemps au lieutenant pour arrivé à faire presque jouir son élève et elle le sentit également et elle donna son autorisation pour qu'il éjacule dans sa bouche avant que ce dernier ne prévienne de l'arrivée de cette dernière ou qu'il lui demande l'autorisation. La simple phrase le mit dans tout ses états et il faillit tout relâché directement, la voie de la jeune femme n'était plus aussi dur et sévère qu'avant et cette nouvelle voie existait beaucoup l'être de la nuit. Et la simple idée d'imaginé la suite mis sa résistance à l'épreuve.
Pendant que Shunï mettait plus d'ardeur encore pour recevoir le contenu des bourses du vampire, ce dernier se mit sérieusement au travail et il utilisa sa main gauche pour caresser et écarté les lèvres inférieur de la jeune femme. Permettant ainsi à la langue de ce dernière de rentrer sans difficulté dans l'antre de cette dernière. Il léchait l'ensemble des parois vaginal de la belle sans négligé ses efforts et les petits sons de plaisir occasionnelle lui indiquait qu'il était en bonne voie c'était néanmoins largement insuffisant pour la faire jouir avant lui et même en même temps d'ailleurs car lorsqu’elle fit un ultime va et viens il relâcha tout dans un soupir d'intense bonheur.
L'officier lava correctement le phallus de son partenaire et elle décida de regarder comment lui il s'en sortait dans sa tâche. Il venait de jouir néanmoins il était encore dur cependant il pouvait bien attendre un petit moment car c'était maintenant à son supérieur de ressentir un grand plaisir la submergé. Le vampire continua de faire plaisir avec sa langue à sa partenaire, ne négligeant aucun petit centimètres qu'il pouvait atteindre, sa main gauche continuait de faire plaisir à cette dernière et par moment il allait même un peu jouer avec l'anus de cette dernière, il ne mettais jamais un doigts bien sur mais chez certaine femme le plaisir augmentait quand on s'occupait des deux orifices en même temps. La main droite vint rejoindre le vagin de la rouge et elle s'occupait du clitoris de cette dernière.
De temps en temps, il inversait et il utilisait ses doigts pour pénétré sa partenaire et lui faire éprouvé du plaisir et il utilisait sa bouche pour jouer avec le clitoris de cette dernière. Il sentait très bien que le plaisir de sa partenaire augmentait et quelle ne devait plus être très loin de l'orgasme. Il accéléra alors la vitesse et la dextérité de la pénétration avec ses doigts. Il se servait à présent de ses doigts , de la main gauche,et de sa langue pour pénétré le vagin de sa partenaire et il s'occupait intelligemment et habilement le clitoris qui était facilement repérable depuis un long moment. Il entendit Shunï jouir et il attendit que cette dernière lui dise ce qu'elle voulait faire ensuite.
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Les joues roses, la lèvre inférieure coincée entre ses deux mâchoires, les poings qui serraient les cuisses de son partenaire… On peut dire que Shunï avait eut du mal à retenir un sourd gémissement alors qu’elle atteignait l’orgasme, laissant tout de même aller une longue plainte entre ses lèvres. En général, l’orgasme ne s’atteignait jamais aussi rapidement, mais là, avec l’aphrodisiaque qu’il lui avait administré, c’était différent…
Malgré l’orgasme que Boris lui avait procuré, l’appétit de la jeune femme était toujours bien présent, et cette petite entrée n’avait servie qu’à augmenter le désir de plaisir chez Shunï, qui ne comptais pas s’arrêter en si bon chemin. Voyant que son partenaire n’attendait que ses « instructions » pour agir, elle attrapa l’enveloppe carrée, arracha un bout et en retira le contenu pour finalement bien envelopper le barreau de chair de la jeune recrue. Allant s’empaler dessus, sentant déjà la cyprine se remettre à couler, elle leva la tête vers le visage du vampire.
Désolée si ce n’était pas ton avis, mais je prends les rennes pour tout de suite.
Dans un petit gémissement, elle se laissa descendre tranquillement le long de la verge pour finalement atteindre la base. À ce moment, elle posa les deux mains sur son torse avant de commencer à faire onduler son corps, parfois tranquillement, lentement, et d’autres moments plus rapides et sauvages, laissant une salve de gémissements se perdre dans la grandeur du bois. Il était bien, ce Boris, mais il semblait mal à l’aise, comme s’il avait deux côtés, l’un étant sauvage et l’autre trop doux… Alors qu’elle continuait à onduler son corps contre le sien, Shunï attrapa ses mains et les posa sur ses seins, comme une invitation à les caresser, malaxer, ou encore en faire ce qu’il veut; tout ce qu’elle voulait, c’était qu’il s’en occupes.
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Les préliminaires étaient à présent fini et le plat de résistance commençait enfin. Le vampire avait apprécié la première partie mais la suite était plus qu'attendue et la jeune femme prit l'initiative que lui offrait l'être de la nuit. Elle utilisa le moyen contraceptif et elle décida de faire qu'un avec son amant sur le champs. Les parois vaginales se resserrait sur le bâton de chair procurant un certain plaisir à ce dernier. La jeune femme se mit ensuite à bouger tantôt lentement tantôt rapidement essayant de varié la vitesse et le frottement pour ressentir plus de plaisir. Elle voulait également que la partie supérieur de son corps soit câlinée et pas seulement la partie inférieure.
*Je pense que la dame veux un peu plus d'initiative et de sauvagerie alors au revoir*
L'humain ne répondit pas mais le vampire senti l'emprise de ce dernier diminué lentement avant de disparaitre et laissé une totale liberté d'action à son côté vampirique. Ce dernier commença par donné quelques petits mouvements de basin pour accentué les vas et viens. Lorsqu'il trouva le bon rythme il s'occupa avec ses mains de la généreuse montagne de chair de la rouquine. Les doigts du vampire commencèrent par faire de petit cercle au niveau de l'aréole de cette dernière. Les mouvements et les doigts froids, rappelant la sensation d'un glaçon, semblait faire plaisir à la jeune femme mais c'était que le début et le meilleurs restait à venir. Il s'empara ensuite des seins de cette dernière avant de les pressé et les tirés un peu mais sans lui faire mal. il se montrait à la fois doux et brutal, il ne tenait pas à faire mal à sa partenaire mais il ne comptait pas non plus y allé à tâtons.
-J'adore la forme et la douceur de ta poitrine Shunï je pourrais en devenir accro.
Boris se redressa pour avoir une meilleurs vue sur son objectif et pour augmenté encore un peu l'effet de la pénétration. il allait un peu moins mais les vas et viens se faisait de plus intense ce qui compensait largement. De plus, il aimait sentir les fesses, bien ferme, de sa partenaire tapé sur ses cuisse à chaque fois que son barreau de chair s'enfonçait profondément en elle. Les doigts et les paumes du vampires s'occupait de manière assidue de l'ensemble de la montagne de chair procurant le plus de plaisir possible en haut et en bas.
-Montre moi ton joli visage déformé par le plaisir. Cette nuit, je vais te faire monté au septième ciel et je compte bien le faire plusieurs fois.
Les paroles avaient été chuchotée à l'oreille de l'officier car certaines femmes avait énormément de plaisir à ressentir le souffle de leurs partenaires au creux de leurs oreilles ainsi que d'entendre des paroles dites de manière "confidentielle". Le vampire mordilla ensuite le lobe de l'oreille de cette dernière, zone sensible chez certainement femme avant de descendre au niveau de son cou pour y déposé des baisés stimulant ainsi une nouvelle zone érogène.