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La bibliotheque en milieu de journée....
En fait, qu'importe l'instant, que se soit le jour, la nuit, le matin, le soir, les lieux paraissaient tellement grands et immenses que l'on avait toujours l'impression de trouver l'endroit quasi desert, baigné dans un silence religieux. Quelques lycéens apparaissaient de-ci de-là, mais guère assez pour donner ne serai ce qu'un soupçon de vie à tout ça. Et au milieu de ce dédale de papier et de couvertures, un jeune homme solitaire déambulait.
Cette fois, Belial arborait une éclatante chevelure dorée, qui flottait derriere lui tel une trainée lumineuse. Ses yeux verts étincelaient au milieu d'un visage assez bien découpé arborant des traits profonds et mysterieux, comme contenant un aspect surnaturel invisible à l'oeil nu mais decelable par instinct. Un large sourire enjôleur semblait s'adresser aux rayonnages qu'il parcourait paisiblement, une sorte de lenteur gracieuse empreinte à ses pas et à sa demarche. Sa taille n'était en rien sensationnelle, voir même plus petite que la normale pour un homme, mais il degageait une certaine grandeur par son port de tête altier, son expression indecelable ancrée sur son visage et son attitude sûre et inconfortable. Le genre d'homme à degager un charisme naturel propre à voir s'effacer devant lui toute contrariété. Ce jeune homme, portant avec une grâce distinguée et soigneuse le costume reglementaire du lycée, semblait avoir un but précis en fendant les rangs de la bibliotheque.
Il erra ainsi un petit moment, s'enfonçant toujours plus loin dans les entrailles du batiment, mais ne perdant visiblement jamais son objectif de sa tête, continuant inlassablement à chercher. Il finit par toucher au but après une bonne petite demi heure de recherches assidues, en tombant sur d'antiques armoires soutenant de vieux ouvrages. Son sourire devint éclatant, rayonnant d'un plaisir evident, et il s'immobilisa devant le rayonnage tout en commençant à feuilleter la relique qu'il venait de debusquer....il savait qu'un tel genre d'oeuvre ne pouvait qu'être present, à condition de chercher au bon endroit, et il avait fini par le trouver. Tout un petit ensemble de livres consacrées à des pratiques inavouables en public, oubliés là comme des torchons. Qeul manque de gout, mais qui leur avait permis de survivre en un tel lieu, ce qui était fort appreciable, en fin de compte. Belial se rejouissait d'avoir retrouvé ces oeuvres non pas pour apprendre leur savoir deja present en lui depuis bien longtemps, mais par pur désir de retrouver sur cette bonne vieille Terre les oeuvres du vice dont il était le prince. Que de plaisir lui procurait la vue de l'oeuvre des hommes sur le sujet, touchante de par son intention. Il sembla alors totalement absorbé par sa lecture, comme occultant le reste du monde.......du moins en apparence...
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« Ah! » s’exclama doucement Kenza en faisant tomber les livres.
Enfin les livres, quelques dizaines de gros pavés qu’elle s’était efforcée de contenir dans ses deux bras fins et pâles. C’était vers l’accueil et la bibliothécaire ne manqua pas de lui faire rappeler son manque d’adresse et de discrétion. La jeune rousse s’agenouilla pour ramasser les bouquins sous l’œil furtif de deux ou trois lycéens qui en avait profité pour reluquer son petit chemisier et cette jupe trop courte qui dans cette position menaçait de faire des heureux voyeurs.
C’était plus une punition en fait, Kenza étant dans une branche littéraire, elle devait aider à la bibliothèque comme deux autres élèves de sa section. C’était une corvée collective. Ca ne la dérangeait vu qu’elle adorait lire, cependant, elle n’en avait nullement le temps avec le travail qu’on lui donnait. Elle devait être présente un après-midi sur deux et ranger les libres, dépoussiéré etc. Une tâche très palpitante, et le pire, elle n’était pas payée à part en sarcasme ou en boudes comme maintenant.
Une fois les livres de nouveau en main, elle les posa sur un table plus proche et se dirigea vers les grands rayons du fond, chiffon en main dans le but de nettoyer un peu ses œuvres oubliées auxquelles personne ne prenait garde. Elle non plus, elle ne les lisait pas, par manque de temps sinon elle y aurait déjà jeté un lourd coup d’œil. Elle du déambuler quelques minutes tant la bibliothèque était grande, ou plutôt immense.
Telle ne fut donc pas surprise lorsqu’elle déboucha sur les vieilles armoires du fond, de découvrir un bien étrange lecteur. Jusqu’ici, elle n’avait croiser personne. Elle rougit un peu - pour rien il fallait dire, et baissa son regard avant de se donner du courage et d’avancer pour exécuter son travail.
« Excusez-moi. »
Sa voix fut presque inaudible, mais elle avait eu cette politesse exagérée de s’excuser alors qu’elle ne el dérangeait pas vraiment. Elle leva son bras et commencer à astiquer une partie de l’armoire avec application. Au moins, elle était sérieuse dans son boulot. Du coin de l’œil, elle l’apercevait lire un de ces vieux bouquins mais ne dit rien car après tout ça ne la regardait pas ne ? Même si quand on avait dix-sept ans et toutes ces dents, on était une vilaine curieuse.
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Belial avait décelé la presence de la jeune femme depuis qu'elle s'était approchée de sa position, ses sens toujours aux aguets quels que soit son occupation. Il prit d'ailleurs un malin plaisir à estimer la trajectoire de cette nouvelle venue, s'amusant à parier si elle allait tomber sur lui ou non.
Et pour une fois sans influence de sa part, ce fut le cas. Apparemment elle venait depoussierer les livres qu'il venait de denicher, et qui en avaient rudement besoin, il fallait bien l'avouer. Le coin semblait avoir été deserté depuis des lustres, et ce n'était pas du luxe que quelqu'un se souvienne enfin de leur existance. Il leva alors le regard de son ouvrage afin de mieux l'apercevoir, et surtout de lui faire savoir qu'il la regardait. Et il devait avouer qu'elle offrait un spectacle apreciable. Car bien que chetive, son corps, peut être de part justement son apparante faiblesse, appellait à être decouvert, exploré et révélé à ce monde. Decidement, l'esprit du demon n'avait aucunes limites dans son imagination, tout le monde y passait! Et manque de chance (ou pas?^^) pour cette jeune dépoussiéreuse, elle se retrouvait seule dans les environs auprès de Belial.
Celui referma d'ailleurs doucement son livre, pour le garder ensuite sous un de ses bras. Le titre de l'oeuvre seule fut alors clairement visible pour la nouvelle venue: "l'art du bonheur" . Seulement rien d'autre ne revellait de quel bonheur precis le livre parlait, et qui était en fait pour Belila le seul veritable. Il se tourna alors entierement vers Kenza, et lui dedia un fin sourire enjoué et amical, ses yeux etincelants sous un rayon de soleil qui charmait aussi ses cheveux mordorés. Il se trouvait juste à coté d'elle et se pencha donc légèrement en avant pour lui adresser ces quelques mots d'une voix douce et entêtante.
Bonjour à vous, mademoiselle...que vaut l'honneur à ces rayonnages oubliés de tous d'être ainsi dépoussiérés? S'est-on enfin rendu compte de leur valeur, ou bien cela n'ece qu'un curieux hasard?
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Quand elle sentit le regard du bel inconnu se poser sur elle, Kenza eut la bonne idée de vite détourner le sien, se concentrant sur son armoire. Elle tenta de calmer les battements de son cœur. En fait, elle ne trouvait pas ça désagréable de se retrouver seule avec un jeune homme aussi beau et bien fait, il avait tout l’allure d’un héros de roman que toute fille rêverait d’épouser - elle comprise, malheureusement. Elle s’attarda sur une tâche imaginaire, histoire de se distraire pour ne pas avoir la tentation de regarder le beau blond.
Lui avait pourtant l’air décidé à entamer une conversation et elle frissonna quand il se rapprocha, livre sous le bras. Elle n’eut d’autre choix que de lui accorder son attention et ses yeux tombèrent sur le titre du livre. L’art du Bonheur ? Elle sourit alors légèrement, totalement absorbée par l’aura radieuse qu’il dégageait. Elle se sentait tellement petite face à lui. Son bras arrêta tout mouvement, et elle se figea doucement pour le contempler, totalement captivée. Et s’il n’avait pas parler, elle se serait perdue dans son charisme.
Il parlait tellement bien et sa voix grave était si envoûtante. Un vrai plaisir pour les oreilles sensible de notre jeune rousse. Elle entrouvrit les lèvres, ne sachant quoi répondre par peur de briser l’espèce de magie offert par ce tableau. Mais la politesse - encore une fois la força à être un peu plus réaliste.
« C’est…c’est ma tâche de les nettoyer Monsieur. »
Son cœur battait trop vite, il s’était penché vers elle et la pauvre ne savait plus quoi faire, elle retenait son souffle par peur de le perdre vers l’inconnu. Elle s’humecta les lèvres et en pinça une pour cacher son trouble et sa petite nervosité. Elle s’obligea donc à plus de répartie et ferma les yeux pour les ouvrir à nouveau et dire d’une voix douce :
« Vous honorez ces livres en les lisant, moi-même..je..j’ai jamais eu le temps de m’y attarder. »
Elle loucha discrètement vers « L’art du bonheur » et sourit pour mettre fin à cette brève entrevue. Elle s’inclina poliment.
« Excusez-moi, je dois finir ce travail au plus vite. »
Elle tendit le bras et tira l’une des grandes échelles pour atteindre le haut des immenses rayons. Elle monta jusqu’à la moitié de l’étagère et recommença à dépoussiéré avec zèle. Kenza ne pouvait bien évidemment pas être en bas et remarquer que depuis le sol, n’importe qui pourrait avoit une vue plongeante sur sa petite culotte qui couvrant chastement et sensuellement son entre jambe. Son seul soucis était de dépoussiérer. D’ailleurs, quelques vagues de poussières lui tombèrent dessus, ses étagères étaient vraiment laissées à l’abandon. Son chemisier blanc était à présent tâché de gris et elle passa sa main sur sa poitrine pour y chasser la poussière. Rien y faisant, elle redescendit de son perchoir dépitée.
Décidément, tout était conter elle aujourd’hui. Ayant totalement oublié la présence du jeune homme. Oui, les deux faiblesses de Kenza étaient son mauvais sens de l’orientation et sa rêverie encline à lui faire oublier certaines choses. Elle déboutonna son chemisier et le retira avant de le secouer, détournant son visage.
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La timidité de la jeune femme faisait sourire gentiment Belial, et l'amusait follement. Elle faisait partie de ce monde et pourtant, si elle savait au milieu de quels ouvrages elle se trouvait, elle aurait put alors se rendre compte que l'intruse en ce lieu était peut être elle, finalement, Belial comme un poisson dans l'eau au milieu de toute cette littérature divertissante.
En tout cas, le caractère de celle qui venait de le dénicher dans cette mer de livres était bien dissociable du sien. Mais cette timidité instinctive, naturelle, lui plaisait assez, dans le fond. Cela rendait après tout les choses d'autant plus simples, l'agnelle venait de tomber dans l'antre du loup, et elle n'avait aucune chance de s'en sortir indemne.
Déjà, sa première approche avait fonctionnée au delà de ses espérances. La jeune femme était visiblement sous le charme de son enveloppe corporelle, bien que sa nature réservée la préservait encore un peu. Il était d'ailleurs visible qu'elle faisait des efforts méritoires pour ne pas succomber, mais c'était inutile, l'emprise du démon sur elle avait commencée, et finirait par prévaloir, quel qu'en soit le moyen.
Quand elle s'esquiva temporairement, Belial la laissa faire avec un vague sourire enjoué. Rien ne pressait après tout, et brusquer cette personne ne serrait guère amusant pour l'instant. Autant continuer dans cette voie et voir ce qu'elle réservait. Aussi se contenta-il de l'observer quand elle se hissa sur une échelle afin de poursuivre son travail de dépoussiérage. Chose qu'il avait bien fait de faire vu que, levant les yeux vers le haut, il eut une vue imprenable sur son délicieux sous-vêtement. Ce qui agrandit d'autant son sourire et alluma une étincelle malicieuse au fond de son regard. La vision de ces délicates jambes, de cette peau claire, de ce dessous entêtant ne demandant qu'a être retiré, tout cela rendit Belial d'autant plus ravi. Il attendit de voir la jeune femme redescendre avant de passer à son tour à l'action.
Mais là, elle le surprit totalement en retirant son haut pour se mettre à l'épousseter, restant en simple soutien-gorge devant lu! Impossible de songer à une idée perverse venant d'elle, ce n'était pas son genre. La seule explication, après une brève cogitation interne de la part du démon, était apparemment que Kenza l'avait oublié, carrément!
Si Belial était du genre vexable, il aurait eu de quoi s'indigner qu'il soit sorti aussi vite de la tête de la lycéenne. Mais étant assez dénué d'amour propre, il ne voyait là qu'une situation étrange, mais fort intéressante! Il n'attendit d'ailleurs pas un instant pour réagir.
Il s'avança donc silencieusement dans le dos de Kenza, pour finir par arriver sans qu'elle s'en rende compte juste dans son dos, à quelques centimètres d'elle, pour le moment masquant sa présence physique derrière un écran. Avec un mince sourire malicieux, il pencha alors sa tête par dessus l'épaule de la jeune femme, et passa délicatement son bras par dessus, pour venir essuyer d'un geste délicat et sensuel de la main un reste de poussière tombé sur la peau nue de la lycéenne. Il effaça son écran et elle ressentit alors d'un coup la présence très proche de Belial, son corps presque collé au sien, un musc séduisant émanant de lui. Il murmura alors à son oreilles des mots doucereux et séduisants, empreints de séduction et de sensualité.
He bien, si tu avais besoin d'aide, il fallait le dire, tout simplement.
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Kenza s’apprêtait à remettre sa chemise, une légère grimace de satisfaction flottant sur son visage. Elle observa tout d’abord son petit chemisier blanc sous toutes ses coutures avant de voir que malheureusement la poussière avait fait quelques dégâts et qu’il faudrait le nettoyer. Elle était au comble de l’irritation avec ses taches de poussières.
Ce fut alors, que cherchant une solution de ménagère, elle sentit quelque chose lui frôler la peau pour en chasser la poussière. Elle se posa le début d’une question avant d’avoir rapidement la réponse qui n’était autre que cette chaleur qui pressait son dos. Elle eut d’ailleurs le mauvais réflexe de reculer, butant légèrement contre le torse de l’inconnu. Elle se rappela alors brusquement sa présence et lâcha le chemisier qui alla se salir un peu plus à terre.
He bien, si tu avais besoin d'aide, il fallait le dire, tout simplement.
Elle renversa un peu sa tête en arrière et jeta un regard en coin pour apercevoir le doux visage du jeune homme presque contre le sien. C’était si agréable cette sensation de sensualité chaste. Il suffisait de ça pour la rendre totalement mièvre. Confuse par sa position à présent et constatant que son buste était découvert, elle releva les mains sur ses épaules, croisant les avant bras sur sa poitrine pour cacher cette dernière. Elle avait son soutien gorge, mais ce dernier se composait de dentelle fine, ne suffisant guère à occulter les alléchants détails.
La rouquine retint alors son souffle, consciente alors que son dos était plaqué contre le torse du beau jeune homme. Elle s’enivra à présent de son odeur, se réfugiant dans cette aura particulièrement charmeuse et envoûtante. Doucement, elle ferma les yeux et se força à oublier tout ce charme qui gagnait son âme et sa volonté.
« Je…je vais récupérer ma chemise…je crois. »
Lentement, elle s’en extirpa, se laissant tomber à genou. Une fois à terre, elle se pencha vers son chemisier plus loin, basculant à quatre pattes. Une nouvelle fois sa jupe se releva, montrant sa petite culotte blanche déjà un peu humide sans qu’elle ne s’en rende compte. Sa main se referma sur son chemisier, et toujours dans cette provocante position qui était presque une incitation, elle observa à nouveau les dégâts sur son chemisier le laissant pendre au bout de bras, avec une légère grimace.
Elle se tourna vers l’inconnu, toujours à terre, et posa sur lui un grand regard brillant. Elle lui montra le chemisier en le tendant cette fois-ci vers lui.
« Dîtes…vous pensez que c’est récupérable ? Vous savez, il faut prendre soin des uniformes ici… »
C’étai le règlement oui, et l’uniforme ils n’en avaient qu’un. Elle était d’ailleurs sur le pont d’éclatant en pleurs et son regard s’inonda de larmes prête à couler. Kenza était bien trop sensible à ce genre de petites contrariétés. A genou devant lui, séparés par un mètre de distance à peine, elle continuait de se cacher la poitrine avec un bras.
Elle sécha ses yeux humides et étouffa un sanglot avant de laisser tomber son chemisier. Elle n’était décidément pas bonne à grand-chose et faisait tout de travers.
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Sa surprise, sa gêne, son corps tout contre le sien, sa réaction confuse et perdue....tout cela satisfaisait grandement Belial! Il la regardait commencer à se débattre dans les rais tenus naturellement par son propre corps, et qui attirait naturellement la jeune femme vers lui. Profitant de ce contact direct avec elle quand elle s'adossa à lui sous le coup de la surprise, il gouta à la douce sensation de la peau de la fille contre la sienne à travers ses vêtements.
Il eut même un sourire amusé au su de la situation.
Et quand Kenza a entreprit de récupérer son bien sali, cela ne fit qu'exagérer les choses, vu la vue magnifique qu'elle offrait à son insu. Cette posture qui demandait tellement d'être exploitée sur le champ...mais Belial savait se contenir, sachant que tout pouvait être bien mieux avec un poil de patience. Il profita donc pleinement de la vue plongeante qu'il avait sur les arrières de la lycéenne. L'humidité suspecte de son sous-vêtement fut une preuve flagrante de ses émotions pour le démon, qui se félicita de la chose qui rendrait la suite encore plus intéressante. Qu'elle désire ne serai ce qu'un peu cela, et cela le réconforterait dans son attente.
La réaction qu'eut ensuite la jeune femme devant l'état de son chemisier le surprit un peu, mais il n'en montra rien et s'y adapta en un clin d'oeil. D'autant plus qu'ainsi agenouillée devant lui, elle ne pouvait cacher tout le haut de son corps dénudé, et il en profitait allégrement sans le montrer le moindre du monde. Visiblement, l'état de ce simple vêtement importait beaucoup pour elle. Si il ne fallait que cela pour lui rendre service, qu'a cela ne tienne!
Belial se pencha donc gracieusement en avant pour récupérer la chemise à terre, adressant au passage un franc sourire enchanteur à Kenza. Il avança ensuite d'un pas vers elle et tendant tranquillement sa main en avant, ses doigts caressèrent le visage de la jeune femme et en récupérèrent les larmes qui y perlaient. Il lui adressa alors les mots suivants avec tendresse et calme.
Ne vous en faites pas comme ça pour rien, voyons. Je connais un bon moyen de rendre cet uniforme comme neuf, faites moi confiance, attendez içi un instant et ne vous souciez plus de rien à présent, d'accord?
Belial fit alors un soule et élégant demi-tour avant de partir d'une allure gracieuse et élégante au bout du rayonnage, avant de disparaitre à l'angle, le chemisier dans les bras. Une fois ainsi hors de vue, le démon majeur usa alors de sa magie. La poussière fut ainsi chassée en un instant, et le haut d'uniforme retrouva sa splendeur d'antant. Plus que la touche finale....le jeune homme rendit ainsi d'un tour de main le vêtement aussi humide que si il venait de faire une bonne trempette. Il attendit ensuite quelques instants afin de laisser un temps crédible pour la réalisation supposée de son nettoyage manuel, puis resurgit à l'angle du rayonnage et revint d'un pas leste et détendu vers Kenza. Une fois devant elle, il reprit la parole, parlant d'une voix réjouie et enjouée, tout en désignant le chemisier humide encore entre ses mains.
Et voila! Il ne manque plus qu'a le laisser sécher, et il sera comme neuf. Mieux vaut que vous attendiez ici, cela ne vous exposera pas à la vue de tous comme ça, du coup.
Belial suspendu alors sans attendre le vêtement au sommet d'une étagère vide de livres, non loin. Il pourrait ainsi sécher tranquillement sans rien abimer par l'eau qui en découlait. Le démon adressa alors un regard amical et rassurant à la lycéenne à ses cotés, et entreprit ce qui devait normalement être une longue attente. Seulement voila, quasi torse nue dans une bibliothèque, qui plus est dans sa partie la moins utilisée, on a de forte chances d'attraper froid. Lui guettait donc sans en avoir l'air les premiers signes d'incommodité de la jeune femme, qui ne tardèrent guère. Dés que cela fut clairement visible, il s'adressa de nouveau à elle, conciliant et bienveillant, un sentiment d'inquiétude tellement vrai dans le regard qu'il lui adressa.
Vous devez avoir froid dans un tel accoutrement..laissez moi donc vous réchauffer en attendant...
Sans même attendre sa réponse, Belial se glissa furtivement et délicatement derrière elle. Il l'entoura ensuite tendrement de ses bras, et la posa ainsi doucement contre lui. Là, elle était comme insidieusement prisonnière, prisonnière de sa chaleur enviable, de son corps contre le sien, de la douceur de son étreinte, de l'intensité et de la séduction que recelait son regard fixé sur elle, de ses douces mains reposants sur la délicieuse peau de Kenza, et surtout de ce désir attirant qui émanait du Prince du Feu.....
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Ne vous en faites pas comme ça pour rien, voyons. Je connais un bon moyen de rendre cet uniforme comme neuf, faites moi confiance, attendez içi un instant et ne vous souciez plus de rien à présent, d'accord?
Kenza leva son visage vers l’inconnu, appréciant le contact doux avec ses doigts. La voix du jeune homme la charmait et la transportait dans une chaude sérénité qu’elle ne souhaitait plus quitter. Il était tellement bon, et en lui annonçant qu’il partait nettoyer l’uniforme elle aurait aimé le supplier de rester et surtout, de ne pas la laisser seule, privé de sa présence fantastique. C’est donc avec peine qu’elle le vit disparaître au détour d’un rayon, seule avec ces chastes fantasmes. Elle avait imaginé, inconsciemment, la main douce de l’inconnu glisser sur son cou puis sur son décolleté pour frôler la naissance de ses seins.
A cette pensée, elle serra un peu plus son bras conter sa poitrine, pour la presser et étouffer son désir. Ses yeux se fermèrent, alors qu’elle grimaçait pour faire taire un ou deux gémissements. Et elle ressentit de nouveau sa présence, levant ses prunelles pour l’admirer gracieux et splendide s’avancer vers elle avec les allures d’un Prince. Il était si désirable pour une petite poupée comme elle.
Et voila! Il ne manque plus qu'a le laisser sécher, et il sera comme neuf. Mieux vaut que vous attendiez ici, cela ne vous exposera pas à la vue de tous comme ça, du coup.
« Vous êtes trop bon, Monsieur. » souffla-t-elle pour ne pas offenser ses oreilles de leur faire entendre autre chose que la voix du beau blond.
Kenza n’arrivait pas à détacher son regard du corps parfait de son « sauveur ». Et elle lui en était redevable de prendre soin d’elle ainsi. Tout autre en aurait vulgairement profité. Elle était prête à laisser sécher son chemisier, elle était capable de croire tout ce qu’il lui dirait. Elle ne s’était d’ailleurs pas posée la question de où il avait trouvé toute l’eau nécessaire. Elle était restée à terre, à genou et n’avait pas besoin.
Vous devez avoir froid dans un tel accoutrement..laissez moi donc vous réchauffer en attendant...
La jeune rousse se perdit dans son regard inquiet. Il était tellement attirant, et elle ne pouvait empêcher son corps de tendre vers lui, totalement subjuguée. Avant même qu’elle puisse répondre, sa peau se dressa en petite chair de poule, signe qu’elle avait effectivement froid. Néanmoins, il y remédia en se glissant contre elle pour l’emprisonner tendrement de ses bras. Elle ne put résister plus longuement et se retourna tout contre lui avant de tendre le bout de sa petite langue. Elle leva un pe son visage pour arriver à la hauteur du coup de son inconnu, qui était assurément plus grand qu’elle, et donna un timide coup de langue sur sa peau blanche et devenue soudainement aussi délicieuse que de la crème sucrée. Elle finit par y opser ses lèvres, baisant le cou du blond avant de l’étreindre à son tour.
Ken-chan ne savait même plus ce qu’elle faisait, on lui avait jeter un sort et tout ce qu’elle désirait c’était écouter et soulager cette petite chaleur proche de son bas-ventre, qui implosait et manquait de la faire gémir au contact doux du corps de l’inconnu. Elle passa sa petite main de poupée sur le torse du jeune homme, y devinant la peau à travers le tissu, pliant ses doigts tentant d’atteindre cette douceur. Ses lèvres remontèrent sur le menton du visiteur et elle y passa sa langue avant de l’embrasser maladroitement. A terre, elle s’enhardit et grimpa même à califourchon sur les genoux de son bienfaiteur l’acclamant par ce baiser ses caresses.
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Le baiser que Kenza déposa sur son cou électrisa les sens de celui qui la tenait dans ses bras. Il ne s'était pas totalement attendu à une réaction aussi franche de la part d'une jeune femme aussi timide qu'elle. Mais apparemment, sa séduction avait fonctionnait bien plus qu'il ne l'imaginait, et la lycéenne oubliait sa retenu pour répondre à l'attention du démon.
Il la laissa d'abord faire, entamer les premiers gestes, commencer à se faire à son corps posé contre le sien. Les lèvres de la jeune femme sur sa peau produisirent un bref frisson de désir à son corps, et il en savoura l'inexperimentation et la délicatesse. Quand elle l'embrassa pour la première fois, maladroitement, il répondit alors, réajustant d'une main son visage pour appuyer et intensifier leur baiser, soudant temporairement leurs lèvres les unes aux autres dans une tendre douceur.
Son autre main, elle vint effleurer la peau à découvert du ventre de Kenza. Avant de se mettre à le caresser tendrement, ses doigts commençant à parcourir les traits de son corps avec légèreté et délicatesse, y imprégnant un désir fugace, une chaleur envoutante, sur leur passage. Il fit ainsi le tour de la personne de la jeune femme de sa main vagabonde, imprimant des caresses devenues plus sensuelles à sa chair tendre. Pendant ce temps, on autre main qui avait redressé la tête de Kenza vint se placer derrière son visage afin d'appuyer d'autant plus leurs deux bouches dans leur union. L'instant semblant se prolonger indéfiniment, Belial arrêta alors temporairement de parcourir le corps de la lycéenne de ses attentions, pour se mettre à dégrafer et retirer le haut de son uniforme d'une seule main.
L'acte eut lieu à une rapidité presque floue et l'instant suivant, leurs deux corps découverts en hauteur se retrouvaient de nouveau l'un contre l'autre, cette fois sans la barrière des vêtements du jeune homme. Il out ainsi partager avec Kenza la chaleur qui l'habitait, la douceur de sa propre peau alliée à un corps bien dessiné venant à la rencontre du sien pour en épouser les formes, se fondre en lui. Son baiser sembla alors lentement croitre en intensité, son regard plongeant dans le sien avec enchantement.
Il redressa alors les jambes juchées sur lui de sa compagne, les faisant passer autour de ses hanches, lui donnant une meilleur assise et la tenant ainsi encore plus proche de lui. Sa main descendit à le découverte de ce nouveau territoire, et glissa sur les hanches de la jeune femme dans un frisson, avant de venir reposer sur ses fines cuisses. Ses doigts se mirent aussitôt alors à travailler la chair sous eux, la parcourant tantôt d'une caresse légère, tantôt la serrant tendrement en une étreinte enivrante, malaxant ces jambes avec attention et passion...
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La jeune rouquine en ronronnait presque, les caresses de l’inconnue devenaient presque vitales et ressentir sa peau chaude et douce tout contre la sienne la rendait pour ainsi dire totalement folle. Elle avait l’impression de s’offrir ) un délice exquis s’offrant la possibilité d’explorer à son tour, de manière timide, le torse du jeune homme plaqué contre sa poitrine. Elle dessina maladroitement le contour de ses jolis pectoraux, frôlant cette peau palpitante qui respirait l’envie et le désir.
Car le désir, il était bel et bien présent et transportait Ken-chan dans des chaleurs parfois peu catholiques. Elle aurait aimé en avoir plus et en même temps, sa conscience se défendait des caresses enivrante de cet inconnu. Et le fait qu’il soit justement inconnu rajoutait à l’excitation. Il était un homme avant tout et répondait apparemment à ses attentes de femme de la plus délicieuse des passions.
Néanmoins, Kenza crut bon de ne pas se laisser emporter par ce genre désir et avec difficulté, elle appuya légèrement sur le torse de l’inconnu pour rompre lentement le baiser - éloignant son visage du sien. Elle resserra pourtant la prises de ses jambes autour de la taille du joli blond et murmura en rougissant :
« Nous..ne devrions pas.. »
Elle se mordit ensuite la lèvre, elle en crevait d’envie mais sa pudeur et sa conscience avaient une maîtrise non négligeable sur elle. Levant discrètement le visage, elle pouvait apercevoir son chemisier tout en haut, qui séchait encore. En souhaitant se détacher complètement de lui, son mouvement de bassin fit frotter son intimité conter le bas-ventre du jeune homme. L’effet fut électrocutant et elle gémit un peu avant de recommencer inconsciemment et d’onduler son bassin pour que son entre-jambe, protégé par le fin voile de tissu, s’entrechoque contre la virilité couverte de l’étrange lecteur. Elle trouvait ça si bon, si délicieux, que parfois, elle appuyait sa pression. Ses mains remontèrent d’ailleurs sur la nuque de l’inconnu qu’elle caressa.
La rouquine était de nouveau transpercée par le plaisir, elle embrassa le cou du jeune homme, le lapant avec de petits coups de langue, et se pressait contre lui tout en rougissant, yeux clos pour apprécier les sensations qui se dégageaient de cette étreinte torride.
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Belial fut touché par les caresses hésitantes de la jeune femme, par cette marque de timidité au sein d'un acte de plaisir. Il l'encourageait du regard, la poussant à aller plus loin par ses yeux envoutants, son souffle effleurant sa peau, ses mains caressant son corps. Quand elle voulut se détourner, Belial vint au contraire plus prés d'elle, collant doucement son torse contre le sien, ses reins à ses hanches, tout en prenant la parole d'une voix douce, charmeuse, agréable, bienveillante.
Et pourquoi donc? Pourquoi ne pas faire ce que nos corps réclament? Il n'y a aucun mal à cela, bien au contraire, c'est ce pour quoi nous sommes faits....
C'est alors que, comme par accident, le membre du démon rencontra l'intimité de Kenza. A travers leurs vêtements respectifs, certes, mais assez pour que cela déstabilise complètement la jeune femme. Elle oublia alors totalement ses paroles précédentes pour au contraire s'approcher de cette source de plaisir. Belial eut un large sourire enjoué lorsqu'il répondit à ce geste. Ces baisers avaient provoquées de doux frisons dans son corps, et le "jeune homme" gouta un instant au bien que cela lui procurait avant d'agir.
Son corps se rapprocha encore plus de celui de la lycéenne. Confrontant leurs chaleurs respective, il cherchait à se coller totalement à elle, sentir la douceur de sa peau offerte, frotter leurs deux corps lentement l'un contre l'autre. Son bassin s'éleva, afin de tenir son membre contre l'intimité de la jeune femme, afin que chaque frisson, chaque mouvement de leurs corps, se répercutent en mouvements enivrants de leurs deux sexes l'un contre l'autre. Les deux se frottèrent ainsi avec plus d'insistance alors que Belial accentuait cet effet par de lentes montées de reins. Ses bras, quand à eux, avaient entouré Kenza pour la serrer délicieusement contre lui, ses bras rassurant l'encerclant tels de gracieux anneaux venant glisser le long du corps de la jeune femme. Ses mains s'activèrent aussi en caressant passionnément le dos offert de sa compagne. Ce fut d'abord de simples effleurements, puis un franc contact avant de devenir un véritable massage des dorsaux de la lycéenne. Le démon abaissa alors son visage vers celui de Kenza, et délicatement, avec gentillesse et sensualité, vint embrasser de nouveau cette bouche offerte, ces lèvres soyeuses ne demandant qu'a êtres couvertes.
Quand sa bouche s'unit ainsi la sienne d'un souple mouvement du poignet et des doigts, Belial dégrafa le soutien gorge de sa victime, qui glissa lentement, laissant à présent la totalité du tronc de la jeune femme nu. L'autre main était pendant ce temps descendue et avait fait glisser le pantalon du "jeune homme" sur ses jambes, de même que son sous-vêtement. Le sexe dressé du démon excité vint donc caresser la perle de la jeune femme, mais avec cette fois plus que la fine culotte de cette dernière entre eux, obstacle qui sembla quasi inexistant quand leurs deux sexes se frôlèrent, se caressèrent sensuellement. Le baiser de Belial sembla alors s'accentuer, traduisant l'émoi des deux protagonistes, et ce plaisir diffue et intense qui semblait envahir les lieux.
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Ils étaient faits pour cela ? Kenza, dans sa bonne éducation ne put se permettre de douter ouvertement bien que le doute fut là. De toute manière, elle ne put plus réfléchir avec cohérence. Elle était si facile à influencer et également si douce qu’elle ne voulait porter offense à personne. Néanmoins, elle s’offusqua elle-même d’un petit gémissement lorsqu’il la débarrassa rapidement de son soutien-gorge. Les lents et succulents mouvements de bassin du démon n’arrivaient qu’à attiser le feu contradictoire en elle.
Elle remarqua à peine quand il se déshabilla, trop occupée à ferme les yeux pour savourer le contact de sa poitrine nue contre le torse également découvert de l’inconnu. La rouquine avait du mal à le croire, et ce fut alors que se présenta tout contre son intimité, abolissant les frontières jusque là encore présente, un objet raide et taquin qui la fit longuement gémir.
La jeune fille se perdit un instant dans le baiser de Bélial avant d’hésiter à nouveau. Aller jusqu’au bout lui faisait peur et elle ne souhaitait pas affronter ce qu’elle avait provoqué chez elle, comme chez lui. Elle avait peur de cette nouvelle découverte, de ce plaisir qu’on lui avait jusque là caché et qu’elle n’avait jamais recherché. Elle rompit alors le baiser, hoquetant de surprise et appuya ses deux mains biens à plat contre le torse du « jeune homme » blond.
« Nous devrions vraiment arrêter…je…ce n’est pas bien… » gémit-elle.
Sa jupe était presque entièrement relever suite aux langoureux coups de reins et elle sentait toujours la virilité dure tout conter son propre sexe, la faisant frémir. En bonne petite fille, elle était consciente que c’était mal de se lancer ainsi avec un inconnu alors qu’elle était inexpérimentée. Ce n’était pas de son âge et ce n’était pas sa préoccupation première. Elle avait cependant peur qu’il le prenne mal ou qu’encore il l’accuse de l’avoir fait exprès. Mais, c’était plus fort qu’elle, en ressentant le membre de cet inconnu, elle en devinant les proportions plus qu’agréables et devenait terrifiée, voire paralysée par son imagination de jouvencelle.
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Hum, voila donc de la résistance un peu plus sérieuse? Cela ne faisait qu'accroitre son plaisir quand elle céderait et serait à lui. Visiblement, sa bonne éducation bien rangée semblait avoir un peu reprit du poil de la bête, assez pour qu'elle se refuse temporairement à lui. Il lui dédia alors un large sourire bienveillant et charmeur, ses traits soulignant avec panache ce signe d'affection. Et ainsi, dans un premier temps, il ne chercha pas à combler la distance entre eux imposée par les mains de la jeune femme, se tant ainsi en quelque sorte en retrait. Mais son corps était toujours aussi enivrant, attirant, séducteur que Kenza pouvait le sentir d'ici. Son visage s'approcha alors lentement, pour parvenir finalement dans le cou de la lycéenne. Là, il s'enfonça dans les replis chauds de sa gorge, les caressant de ses mains, de ses lèvres. Et dans le même temps, il délivra sa requête, aussi fugace et douce qu'un soufle de vent, porteuse de désir et d'envie enamourée.
Nombreuses sont à avoir connu cela avant toi même, il est temps pour toi d'apprendre à être vraiment femme, ne t'en fais pas, tu vas adorer cela, fais moi confiance....
Sur ces mots, Belial accentua sa pression et son visage s'enfonça encore plus sur cette tendre gorge, déroulant lentement sa langue pour lécher et recouvrir la peau de la jeune femme, sa bouche venant apposer de passionnés baisers sur ce cou dressé devant lui, ne laissant plus la moindre parcelle de peau non traitée par ses délicates attentions. Ses mains ne resterent pas non plus inactives, et l'une d'elle revint à nouveau serrer le corps de la jeune femme contre le sien, caressant au passage sensiblement ces hanches et ces reins. L'autre main pendant ce temps, elle, vint s'égarer sur la poitrine de Kenza. A présent dégagée, elle offrait d'ailleurs une telle vue qu'il était impossible d'y résister. La main du démon vint ainsi pétrir lentement les seins de la jeune femme, les étreignant lentement et les resserrant avec un désir croissant. Son membre continua encore plus activement ses affaires, venant se plaquer tout contre le sexe de la lycéenne et aller et venir sur sa surface, caressant l'intimité de la jeune femme du bout de sa verge. Son sous-vêtement était d'ailleurs irrémédiablement mouillé, et cela poussa le démon à aller plus loin. Tout en continuant donc à se frotter sur le bas-ventre de la jeune femme, la virilité de Belial commença à glisser sur les bord du sous-vêtement. Il écarta même ce bout de vêtement et vint se frotter directement contre la perle de la jeune femme. Il la poussait à aller plus loin, à ne plus lutter et à se laisser guider, et cela faisait affluer en lui des sentiments de passion dévorante.
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Lui faire confiance ? Kenza déglutit discrètement, prunelles vacillantes de désir. Décidément, elle ne pouvait plus résister à cette appel impétueux que hurlait son corps, transcendant son être et bientôt les scrupules de sa conscience se turent. Aidés par le visage de l’inconnu dans le creux de sa gorge, chaque souffle qu’elle ressentait sur sa peau la faisait tressaillir de chaleur. C’était une sensation transportant et elle avait l’impression d’atteindre les rives du plaisirs, celles d’où on ne revenait pas.
« Hum..Mon…sieur »gémit-elle dans un souffle alors qu’il prenait un malin plaisir à lécher son cou, et à baiser sa beau.
C’était chaud, humide, doux et tellement bon qu’elle renversa sa tête en arrière pour lui tendre plus de surface, souhaitant qu’il l’égorge de ses coups de langue. Elle rougit quand sa poitrine se durcit au contact des mains habiles du « jeune homme ». Chaque caresse dressait la peau de la petite lycéenne en chair de poule. Elle gémit, bouche ouverte, le visage figé dans une expression d’agréable stupeur. C’était l’une des premières fois qu’on s’attardait ainsi sur sa poitrine.
Pourtant, le pire se déroulait sûrement plus bas. Là où la verge, qu’elle trouvait imposante, se frottait à son propre sexe. Elle se sentait trop humide, et mouillait bien plus que lorsqu’elle était seule chez elle à fantasmer car ce qui se pressait contre intimité était réel. Si dur, si tendu alors qu’il l’avait invité à se serrer contre lui pour sentir cette excitante menaçante assaillir son intimité.
Alors, une fois qu’il eut réussi à franchir la barrière de sa petite culotte trempée, elle lâcha un cri étouffé tant le plaisir fut fulgurant. A peine eut-il caressé sa fleur de chair qu’elle s’était raidie, se cambrant un maximum, appréciant trop pour se taire.
« Han…c’est…humm… »
Inéluctablement, elle fut poussée à en vouloir plus, maladroitement, elle ondula sur lui. Enserrant sa prise autour du cou de blond, elle se pencha vers son oreille qu’elle baisa avant de déclarer d’une voix qu’elle ne se connaissait pas :
« Prenez-moi… »
Sa main droite descendit le long du torse de l’homme et malgré la grande proximité entre leur corps, réussit à se frayer un chemin jusqu’à la verge pour l’enserrer de ses petits doigts fins, qui peinaient à en faire le tour. Elle tira doucement sur le membre, pour le positionner vers l’entrée de son intimité et acheva sa phrase :
« Sauvagement… »
Plus rien ne l’étonnait. Sûrement l’envie de se faire dévergonder.
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A tes souhaits....
La réponse de Belial fut douce, soyeuse, agréable, délicate...tout le contraire de ce qui allait suivre. Les dernières résistances de la jeune femme s'étaient effondrées, et plus rien ne l'empêchait désormais de la prendre. Mieux, elle appelait cela de tout ses voeux, le poussant à la prendre sans retenues. Que d'écart avec la gentille petite lycéenne de tout à l'heure, rencontrée par hasard dans cette bibliothèque. Le charme du démon agissait à présent pleinement, et il allait pouvoir faire pleinement tout ce qu'il désirait. Les petits doigts de la jeune femme qui vinrent même enserrer son membre lui apportèrent un doux plaisir attirant. Sa voix aussi était extrêmement stimulante, et l'entendre encore et encore allait d'autant plus le stimuler. Voix qui risquait d'ailleurs d'avoir de très bonnes raisons de s'exprimer...
Car Belial obéit à l'injonction de Kenza à la lettre! Dés qu'elle en prononça le souhait, il la pénétra subitement d'un coup de reins, rapide, brutal, puissant. Sans prendre en considération son état ou son apparente fragilité, il la pénétra directement de sa verge, rentrant en elle brusquement. Il débuta ainsi de courts vas et viens en elle, son sexe se frottant ainsi contre les parois de son intimité, glissant toujours plus sous l'impulsion de ses hanches puissantes. Le membre conséquent du démon s'était frayé un passage en elle par la force, et continuait avec cette même force à pénétrer en elle. Il n'allait pas encore trop profondément en elle, mais l'ardeur de ses pénétrations contrebalançait largement ceci. Les mains de Belial avaient glissés sur les cotés du torse de la jeune femme, et l'entrainait au rythme des vas et viens à se mouvoir elle aussi, la hissant et la redescendant sur ce membre dressé.
Sa bouche, elle, était venue cueillir les lèvres de la lycéenne et les étreindre passionnément. Le baiser fut intense, ses lèvres embrasant sans retenues celles de Kenza, sa langue entrant dans sa bouche pour se frotter à sa consoeur et y pratiquer des moulinets aguicheurs. Sa bouche se mouvait sur celle de sa victime, changeant constamment de position pour embraser ces lèvres sous un angle toujours différent. Ses mains se resserrent sur le corps de la jeune femme et commencèrent à l'enserrer langoureusement de leurs doigts, caressant et pétrir sa chair délicieusement tout en continuant à la soulever et l'abaisser au rythme de son membre. Il le prenait sans pudeur ni délicatesse, mais cela ne faisait pourtant que commencer...
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Kenza ne s’attendit pas du tout à une pénétration aussi brusque, bien qu’elle l’eût demandé et qu’elle eût récolté là les fruits de son désir. L’imposante verge de l’inconnu s’invita en elle de manière brutale, sans préalable, ni cérémonie et elle retint un cri de douleur qui mourut dans sa gorge. Sa tête, renversée en arrière, abordait un visage figé d’une plaisante souffrance. Elle ne s’était jamais sentie aussi remplie, et pourtant, il n’était vraiment pas au fond de son être.
Elle, la petite lycée, qui avait certes un corps de petite femme, mais que l’on qualifiait juste de petite, douce et fragile. Elle navait pas de grande force et il était facile de la déchirer par cette simple pénétration. Une pénétration qu’elle adora par-dessus tout, car cette douleur s’accompagnait d’un paradoxal plaisir qui la faisait frémit. Les allées et venues en elle furent d’autant plus effroyable qu’elles étaient d’une force monstrueuse obligeant son vagin de jouvencelle à s’écarteler pour faire de la place. Et faute de pouvoir le faire, ces même parois enserraient le phallus dressé en elle à chaque de hanche donné par le beau blond.
« Ah..Aah….Ah!! »
Elle ne pouvait s’empêcher de gémir et voix enfantine se perdait dans l’air alors qu’il ramenait son corps à elle et la faisait s’empaler brutalement sur lui par des mouvements possessif. Il la poignardait exactement comme elle l’avait souhaité, coulissant sans délicatesse dans son intimité. Pour elle, c’était bien trop brutale et a petite intimité, abusée et molestée, manquait de saigner légèrement par les frottements douloureux et pourtant si plaisants de ce pénis imposant.
Et son baiser sauvage finit de l’achever. Elle était entièrement à lui et réussit même à emprisonner la langue de l’inconnu entre ses lèvres pour la suçoter légèrement avant de continuer d’embrasser sa bouche, se laissant transportant par son rythme torride. A chaque fois qu’elle redescendait sur le membre tendu, sa poitrine se frottait contre le torse du « jeune homme » et elle gémissait d’autant plus fort.
« Plus…loin! » s’entendit-elle gémir.
Elle planta ses ongles dans son dos pour le griffer légèrement, signe qu’elle se forçait à l’inviter plus loin en elle.
« Plus…fort… » supplia-t-elle dans un souffle.
Elle était totalement dépendante de cette situation. C’était si torride, si brûlant, elle se sentait imploser de l’intérieur et finit par donne elle-même de vigoureux coup de bassin qui se perdaient contre ceux de son amant inconnu. Elle désirait une fusion violente, elle qui avait toute sa vie vécut dans la douceur, elle souhaitait du changement et voulait se savoir vivre en étant littéralement « défoncée » comme se plaisaient à dire ses copines qui avaient connu ça.
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Ah, que de plaisants gémissements! Ils étaient à l'oreille de Belial comme de douces cantiques, ravissant son coeur et attisant sa passion. Il se sentait entre violement en elle, sans retenue ni douceur, et cela l'excitait grandement. Ne pas se soucier de ces contenances d'humains et la prendre à son grés, voila qui était toujours plaisant. D'autant qu'elle semblait apprécier le traitement, malgré tout! Le démon sentait les parois de l'intimité de la jeune femme se resserrer autour de son sexe comme un étau, investissant son corps de frissons de plaisir. Cette poitrine se frottant à lui avec délice, ces ongles griffant agréablement son dos, ce corps l'appelant à entrer plus fort et plus loin en elle, tout cela ravissait les sens du démon.
Il eut donc un large sourie enjoué en continuant sa tache. Belial continua à pénétrer Kenza, mais ses excursions se firent plus poussées. Il se dressa alors subitement sur ses jambes, soulevant la lycéenne par sa ferme poigne sur son corps et la poussée de ses reins puissants. Sa langue emprisonnée dans sa bouche s'y mut avec prestance, s'enfouissant entre ses lèvres pour en caresser les muqueuses offertes, ainsi que la propre langue de la jeune femme. ce baiser s'intensifiait alors que le "jeune homme" se mit à faire basculer le corps de sa victime, la tenant fermement dans ses bras, continuant à entrer puissamment sa verge en elle, mais désaxant le corps de Kenza pour le présenter de coté face à lui, toujours suspendue en l'air, sa force démoniaque lui permettant cela sans le moindre effort. Les coups de sa dague de chair devinrent ainsi plus aisés, rentrant plus profondément en elle, se frottant brusquement contre les parois de son vagin.
Mais il n'allait pas s'en tenir là, et décernant un dernier baiser profond à la jeune femme, baiser qui vit sa langue s'enfoncer jusqu'a sa gorge dans un claquement sensuel et tortueux, il continua à tourner le corps de la lycéenne, afin qu'elle se retrouve ainsi dos à lui, jambes écartées en arrière autour de ses hanches. D'un élan en avant, il la plaqua alors contre l'étagère qui leur faisait face. Les mains et la poitrine de Kenza, ainsi que tout le haut de son corps, reposèrent ainsi contre les rayonnages, le corps de Belial la soutenant par derrière. Mais qui ne se contentait nullement de soutenir.
Ainsi positionné, le démon majeur put ainsi passer à un acte encore plus poussé. Ses mains enserrant fermement les hanches de la jeune femme, il se mit à la pénétrer brutalement avec une vigueur accrue, rentrant en elle bien plus aisément, et cette fois enfouissant tout son membre dans ses entrailles à grands coups en force de reins. Il se frayait un chemin en elle sans délicatesse, écartant ses lèvres pour faire tâter de sa virilité toute son intimité. Elle se fit ainsi prendre comme une quelconque servante, sans retenue, le pénis du démon créant de rapides allers et venus en elle avec une énergie débordante, qui semblait fouiller en elle à grands coups puissants. Ses mains s'étaient resserrées sur les hanches de la lycéenne et accompagnaient en force le mouvement, la plaquant contre l'étagère à chaque venue. Son bas-ventre venait en brutale butée contre le sien, rentrant en elle avec une passion débordante.
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Le visage de Kenza se figea dans une expression d’extase et de douleur quand il alla plus loin en elle, la soulevant pour la faire basculer alors qu’elle s’amusait d’autant plus avec la langue de son compagnon, l’embrassant avec une soudaine fervent, lui prouvant par là qu’elle aimait ce qu’il lui faisait subir. Elle n’avait bien évidemment jamais connu ça et ce changement de position provoqua un spasme de plaisir en elle.
Tout son corps réclamait l’inconnu, et ainsi maintenue, elle ne pouvait qu’apprécier la belle verge qui en trait en elle mais également en souffrir et ce mélange amer qui la piquait et la caressait en même temps ne cessait de l’étonner; Car oui, elle découvrait ce genre de plaisir et bizarrement, elle ne voulait qu’une chose: que ça ne s’arrête pas. Il était vigoureux et ses coups de reins puissants réussissait à la transpercer avec aisance et quand aux muscles de son propre vagin, au lieu de s’écarter ils s’entêtaient follement à se resserrer autour du membre imposant et étranger.
« Aah… » fut le long cri qu’elle lâcha quand il la plaqua contre le rayonnage.
C’était si bon, elle aurait aimé le hurler mais elle ne préférait pas attirer l’attention, bien que personne ne traînait dans ce coin de la bibliothèque, un hurlement de jouissance était si vite entendu. Alors, elle se fit violence pour ne pas hurler et criait ou encore se débattre pour échapper à ce plaisir supplicié.
Il était clair que la délicatesse ne faisait pas partie du jeu, mais elle n’en voulait pas. Tout ce qu’elle souhaitait c’était ressentir cette chaude violence au fond d’elle. Il arrivait à entrer facilement, alors qu’elle avait posé ses mains sur l’étagère pour s’y agripper se blanchissant les phalanges. Elle n’arrêtait pas de couiner, comme un véritable hochet, accentuant cet effet de prise sur le coup sans réelle préparation et tant mieux.
Elle se sentait exploser, et bientôt les rives de l’orgasme menacèrent de se présenter. C’était définitivement trop pour elle et elle n’arrivait pas à tenir cette cadence passionnée qui la rendait totalement dingue. Elle ne put donc contenir son orgasme qui la frappa aussi violemment que les coups de reins et elle perdit franchement pied se laissant transporter. Elle était sûrement venue trop tôt mais c’était impossible pour elle de garder une once de lucidité ainsi prise.
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Ce cri, ces gémissements, ce vagin qui se resserrait autour de son membre, tout cela excitait prodigieusement Belial. Il n'en continuait alors son oeuvre qu'avec plus d'ardeur, plongeant profondément en elle de tout son sexe, pénétrant au plus profond de son intimité, enhardissant ses coups de bassin toujours plus rapides et plus intenses. Rentrer si facilement en elle, avec une violence en partie non retenue, celait envahissait ses sens de plaisir, le poussant toujours plus en elle, gorgé de désir. Il la prenait sans retenue, la plaquant contre le meuble sous la puissance de ses vas et viens, venant percuter le fond de son intimité de sa verge dressée.
Alors qu'il se sentait si bien, oeuvrant consciencieusement à son oeuvre, il sentit la jeune femme se lâcher, et sa jouissance apparaitre en elle pour s'y déverser. Un tantinet surpris d'y arriver si tôt, le démon s'aida néanmoins de cela pour son propre plaisir, sentant les effluves de la lycéenne couler sur son sexe, il l'emboutit plus fort encore, glissant encore plus en elle par le fruit de sa jouissance, et arquant son propre corps en un tour de hanches pénétrant, il laissa sa propre semence se déverser à son tour, et son propre plaisir affluer en un intense jet puissant déversé par son membre surtendu. Le plaisir qui envahit son corps était aussi délectable que d'habitude, et il y gouta sans retenue un instant.
Mais il n'avait pas finit sa tache avec elle, loin de là. Son oeuvre pour les enfers était accompli, sa semence coulait en elle, fertile, et pouvait ou non donner ensuite naissance à un démon. Mais à présent venait le plaisir purement personnel du prince de feu, et il n'allait pas écourter la séance.
Aussi Belial se retira de Kenza, la portant dans le même temps au sol. Elle se retrouva ainsi à terre devant lui, debout et dominateur, et c'est en la toisant d'un large sourire séducteur, désirable et sensuel, qu'il reprit la parole, d'une voix harmonieuse, douce et caressante comme le vent, mais insidieuse et grisante.
A présent, abordons la suite....tu verras que tu aimeras tout autant, voir plus....et pour commencer.....
Aussi, sans prévenir, ni laisser le temps à la lycéenne de se remettre de ses émotions, Belial avança sur elle, séducteur et désirable d'un bout à l'autre de ce corps finement sculpté, et plaça subitement son membre directement entre les seins de la jeune femme. Ses mains vinrent attraper délicatement sa tête, comme une douce étreinte, et penchèrent cette bouche soyeuse sur la verge prête à l'accueillir. Dans le même temps, par un lent vas et viens de ses hanches, son sexe à nouveau dressé vint se mouvoir sur la poitrine accueillante de la jeune femme. La seconde étape ne faisait que débuter...
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Elle avait joui, et pour elle ce fut une véritable explosion de plaisir. Elle crut néanmoins que tout s'arrêterait là, à sa propre jouissance. Ainsi, hoqueta-t-elle de surprise en sentant toujours les va et vients puissants de son partenaire glisser en elle. La jeune lycéenne se mordit la lèvre en continuant de s'agripper à l'étagère du mieux qu'elle pouvait. La douleur fut d'abord aisément remarquable mais le plaisir, tout comme quelques instants auparavant, revint au rendez-vous et après quelques secondes à ce rythme infernale où elle couinait d'extase, il vint en elle. Elle grimaça de plaisir une énième fois alors que son intimité savourait ce nectar onctueux qui se déversait copieusement. Fermant les yeux pour déglutir et apprécier ce moment, elle crut en voir définitivement la fin.
Ce n'était sans compter sur son compagnon du jour qui en avait décidé autrement. Alors que la semence du démon coulait encore à l'intérieur de ses cuisse, ruisselant doucement sur sa peau blanche, elle fut mise à terre. Une position dont elle ne se plaint pas car assez harrassée par l'exercice précédemment effectué. Elle était à genou, et ressemblait à une poupée avec ses yeux brillants, et ses joues rosies par l'effort. Un peu indélicate, et ne sachant pas trop ce qu'elle devait faire à présent, elle leva des prunelles timides sur l'inconnu et tenta un sourire. Ce à quoi, il répondit explicitement en lui parlant d'une suite. Elle arqua les sourcils, inquiète, povuait-il y avoir une suite à ce qu'il venait de se passer. Néanmoins, elle ne put rien interprter et sentit l'imposante verge s'inviter entre ses seins. Elle rougit et crut s'évanouir d'embarras, pourtant, elle ne trouvait pas réellement cela déplaisant.
Alors qu'il avait doucement placé ses mains sur sa tête pour pencher son visage vers le bout du membre, elle détourna les yeux, assez sotte pour ne pas assumer ce genre de jeu. Pourtant, elle avait compris et mourrait d'envie de tester. Oubliant donc sa pudeur et ses petits principes, après tout, il venait de la prendre assez brutalement contre un rayon de livre, elle reposa un regard confiant sur lui et embrassa, sans lâcher le visage de son compagnon du regard, le gland avec douceur. Cette d'abord une légère caresse de ses lèvres et elle fut encouragée à aller plus loin avec les mouvements qu'il faisait pour faire aller et venir son sexe entre ses seins.
Elle avait chaud, et son bas-ventre de femme brûlait de plus en plus. en fait, il se consumait littéralement de désir au fur et à mesure alors suçotait timidement le bout de ce sexe qui reprenait de la vigueur. Et de nouveau, sa mouille vint se mêler au sperme toujours présent dans son intimité. Elle se sentit si humide, et contemplait le beau jeune homme pour s'enquérir de ses réactions. Elle espérait qu'il appréciait le traitement car elle n'était pas vraiment doué. S'humectant les lèvres, elle s'enhardit, et alla plus loin dans cette fellation particulière, osant aspirer avec ses jouesfaire jouer sa langue sur le frein usant d'une lenteur exacerbée.