Le Grand Jeu

Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => Discussion démarrée par: Liam Eckart le jeudi 06 octobre 2011, 15:42:43

Titre: En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le jeudi 06 octobre 2011, 15:42:43
La ville, cet endroit fourmillait de personne dont la disparition ne gênerait personne ! C’était une véritable réserve de chasse pour lui, quitte à piocher dans la masse. Une ou deux personnes par ci par là….cela ne faisait pas de mal ! Et on trouvai rarement les plus belles et les plus douces des jeunes humaines ailleurs que dans cette grande ville. Bref c’était comme le coffre de picsou pour un cupide, un paradis du vice !

Ici, le vampire avait un jeu bien particulier, il s’amusait à jouer de ses sorts pour se rendre assez charismatique pour presque forcer l’attention de ses interlocuteurs. IUn charme bien pratique. Il en devant tellement charismatique que certains pères de famille lui avait céder leur s filles pour qu’il leur enseigne les joies de la servitude, et ce, à titre gratuit. L’avantage de les choisir jeunes, c’est qu’il avait le temps de les formater ainsi mentalement. Une fois qu’elles atteignaient l’âge de vente qu’il s’imposait, environ seize ans, il les brisait corporellement ou les faisait briser, recréait l’hymen par magie métamorphique et vendait les femmes comme vierges. Les esclaves masculins servaient plus pour les arènes où il les vendait à prix d’or pour qu’ils se fassent mettre en pièce par un quelconque monstre pour l’amusement du public.

Il « bichonnait » tellement les esclaves qu’il n’en produisait qu’une  soixantaine par an, mais c’était de la super qualité et il gagnait plus que ceux qui en vendaient plusieurs centaines par ans.

Le temps était frais par ce jour d’automne. Cela n’avait aucune incidence sur lord Eckart, il aurait pu se plonger nu dans un lac de montagne sans ressentir à quel point il était froid. : c’était pratique tout de même le vampirisme ! Vêtu d’une tenue de velours d’un vert très siombre, presque noir, rehaussé avec du fil d’argent et d’émeraudes, comme quoi les affaires marchaient bien, très bin même, trop bien sans doute pour la concurrence.

Le soleil était levé depuis un bon moment puisqu’il approchait lentement mais surement de son zénith. N’appréciant pas la forte chaleur, et le soleil était d’une influence néfaste sur sa santé. Il avait tendance à fumer, les pores de la peau se désagrégeant lentement. Oh, il ne pouvait pas en mourir, mais en être sévèrement blessé, oui, ça c’était certain. Aussi, c’était dans une sorte de petit carrosse, sans blason pour une question de discrétion, qu’il se déplaçait, il en avait les moyens. Mais quelque chose attira son regard. Une magnifique jeune femme, blonde. Qui semblait seule. Elle, il donna un léger coup de canne à pommeau sur le toit et le cocher fit s’arrêter l’attelage. Il en descendit, déployant une ombrelle pour le cacher du soleil et s’approcha de la jeune femme. Oui, plus il s’approchait, plus il se disait qu’elle ferait une victime de choix et une potentielle esclave qui vaudrait physiquement du moins, son poids en or. Et encore une fois, il allait tenter les résultats de ses compétences magiques quand à son sort de charme.

« Une âme seule dans une ville bourdonnante d’activité…chercheriez vous un sens du miraculeux dans votre morne existence, milady ? Car à n’e pas douter tel est votre rang. »
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Flagornerie, gentillesse et autres douceurs aussi sucrées que le miel, voila les beautés dont il était capable. La manipulation passait par là très régulièrement, et tout l’art de briser une victime se faisait dans un délicat mélange entre ça, l’humiliation, et la violence. Une bonne esclave devait savoir faire ce qu’on voulait avant même qu’on n’éprouve la nécessité d’ordonner.  Et c’était cette qualité qui faisait la renommer de sa marchandise, et accessoirement sa fortune déjà colossale.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le jeudi 06 octobre 2011, 16:36:55
Aloysia attendait depuis un bon moment déjà sa maitresse. Elle lui avait dit qu'elle revenait dans dix minutes et ça faisait deux heures ! La jeune femme s'était appuyée contre le mur d'un bâtiment et attendait patiemment. Au début du moin... Elle resserra son châle car il faisait vraiment froid. Elle portait un bustier bleu virant sur le noir et une jupe au dessus du genoux, de la même couleur. Si bien qu'elle n'était repérable que par sa chevelure dorée.

Elle avait les yeux baissée quand un inconnu s'approcha d'elle et la tira de ses réflexions. Elle releva vivement la tête. Sa maitresse lui avait dit de se méfier des hommes qui pourrait l'accoster aussi beau soit-il. Mais qu'est-ce qu'il était beau ! Elle se perdit dans l'examen des traits du visage de ce jeune homme. Il dégageait quelque chose d'extraordinaire. Elle se sentit immédiatement attiré par lui. Mais Aloysia préférait rester sur ses gardes. Sofia, sa maitresse, lui avait parlé de ces ces personnes qui sont irrésistibles, les succubes... L'esclave frissona et espéra vivement que ce n'était pas une de ces créatures. Alors que sont cerveau tournait à plein régime, elle se rendit compte que l'homme lui avait parlé.

" Je ne crois pas vous connaitre Monsieur ? Et j'attends seulement une personne. Vous devez certainement la connaitre, Sofia Maédra ? Elle ne devrait plus tarder."

Elle espérait que la seul mention de sa maitresse lui permettrait de faire fuir le jeune homme, ô combien séduisant. Mais elle avait une sorte de sixième sens qui la prévenait si quelqu'un avait de bonne ou de mauvaise attention. Et elle penchait pour l'instant plus pour la deuxième. Depuis qu'elle était devenue esclave, elle était devenue très méfiante. Sa méfiance envers les hommes s'était accuenté au coté de sa maitresse. Aloysia croisa ses bras tenant le châle et le resserrant, l'empêchant de voir son bustier qui dévoilait ses formes.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le vendredi 07 octobre 2011, 10:19:56
Le jeune  vampire, puisqu’on pouvait le qualifier de jeune pour un membre de sa race, continuait de sourire aussi chalereusement qu’il en était capable. L’importance de ce sourire était très grande puisque c’était lui qui ferait sans doute pencher la balance. Il fallait refouler  ses lubies, ses envies les plus discernables, dans le fond de son âme. S’il parvenait à la convaincre de sa fausse bonne fois, elle serait sienne.

Car autant vous le dire en face, c’était son but, non avoué bien sûr, mais en même temps comment annoncer à quelqu’un pour foutre tout en l’air tout en disant à son interlocutrice qu’elle était destinée à une vie de chose et de sous homme, vouée à servir son maitre ou sa maitresse avec diligence, et ce même dans les plus basse besognes ? Non, il fallait mieu se taire, c’était préférable….

Il plongea son regard dans le sien quand elle leva la tête. Ses yeux étaient aussi somptueux que sa chevelure, et s’accordait avec une grande beauté, ses traits étaient doux, et si la douceur inscrite sur son visage ne faisait que ressortir son caractère, ce serait une vraie rigolade, une promenade de santé. La douceur, il trouvait, était vite matée par la douleur.

« Je ne crois pas vous connaitre Monsieur ? Et j'attends seulement une personne. Vous devez certainement la connaitre, Sofia Maédra ? Elle ne devrait plus tarder.»

Il la vit resserrer son châle. Avait-elle peur ? Ou était ce juste de la méfiance ?   il n’en n’avait aucune idée. E au fond cela ne changeait pas grand-chose. Elle ressera son châle sur ses épaules, reflexe féminin….avait-elle froid. Un peu de gentillesse ne ferait pas de ma. Il retira son manteau richement décoré. Et le posa sur les épaules. Manteau de velour doublé de fourrure, elle ne devraiypas aveoir trop froid avec. Etant donné la taille du manteau, il trainait un peu par terre, mais qu’importe.

« Hum…sofia Maédra vous dites ? Hum…non, jamais entendu parler, qui est ce ? »

En réalité, même si elle lui avait cité le nom de l’empereur d’Ashnard, qu’il aurait répondu non.. C’était une autre façon de la rabaisser, mais de manière plus indirecte et beaucoup plus subtile. Lui faire comprendre que ses relations ne valaient rien.

« Ce que je constate toutefois, c’est que la personne que vous attendez n’est pas là. Permettez-moi donc de vous tenir compagnie jusqu’à son retour, et je m’éclipserait au moment même ou votre amie apparaitra dans le coin, après tout, même en attendant un domestique, une lady ne devrait pas sortir sans un chevalier servant ! »

Il prit sa main dans la sienne avec délicatesse et dans une distinction et une classe des plus grandes, il se fendit qu’une légère courbette assortie d’un baisemain. Il avait courbé l’échine une fois devant elle, elle le supplierait en rampant  de la laisser embrasser ses orteils. Il se le promettait.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le vendredi 07 octobre 2011, 15:10:53
Aloysia fut franchement surprise quand le jeune homme posa son manteau sur les épaules de l'esclave. Elle le toucha du bout des doigts et su, en tant que princesse, que l'inconnu qui lui faisait face était riche... Très riche. Une lueur d'espoir apparut dans son regard. Elle qui avait attendu de rencontrer l'homme de sa vie... Il lui avait prêté son manteau sans même réfléchir. Il avait sans doute un bon fond mais son sourire était trop beau pour être vrai. Elle avait envie d'y croire en l'amour mais tous les hommes étaient plus ou moins pareil. Elle pencha la tête vers le col du manteau et pût sentir l'odeur du jeune homme. Elle ferma les yeux appréciant le parfum qui se dégageait du manteau un peu trop long pour elle. Elle releva la tête et plongea dans son regard dans celui de l'inconnu. Elle pouvait y voir de la gentillesse mais une drôle de lueur brillait dans son regard. Celle qu'elle avait appris à déceler: de la convoitise... Aloysia releva fièrement sa tête, habitude qu'elle n'avait pas perdu de son ancienne vie de château.

« Hum…sofia Maédra vous dites ? Hum…non, jamais entendu parler, qui est ce ? »

Elle fut étonner que cet homme ne connaisse pas sa maitresse. Elle était pourtant réputé pour sa maitrise parfaite du couteau... Qu'elle n'utilisais pas pour cuisiner d'ailleurs...

" Ce n'est pas grave... Disons qu'il vaut mieux pour vous ne pas la connaitre."

Aloysia sourit en disant ces paroles. Elle s'était vraiment attachée à sa maitresse. Mais elle devait éviter d'évoquer son statut d'esclave, cela pourrait lui nuire gravement, elle le savait.


« Ce que je constate toutefois, c’est que la personne que vous attendez n’est pas là. Permettez-moi donc de vous tenir compagnie jusqu’à son retour, et je m’éclipserait au moment même ou votre amie apparaitra dans le coin, après tout, même en attendant un domestique, une lady ne devrait pas sortir sans un chevalier servant ! »

Et là il fit une chose qu'Aloysia ne s'attendait pas du tout. Il lui fit un baisemain comme elle avait l'habitude dans recevoir avant de devenir. Elle en fut bouleversée et les larmes lui montèrent aux yeux qu'elle s'empressa de cacher. Elle avait garder sa fierté de princesse.

" Cela faisait si longtemps que..., Aloysia se reprit rapidement changeant de sujet. Je suis la princesse Aloysia Weber, enchanté. À qui ai-je l'honneur ? Ne vous inquiétez pas si vous avez affaire vous pouvez partir. Elle ne devrait plus tarder."

Elle lui avait annoncer son rang comme elle le faisait autrefois et préférait passer sous silence qu'elle était maintenant une vulgaire esclave. Elle se surprit à penser qu'elle voulait lui plaire, le séduire... Comme tous les princes qu'elle avait mis à genoux pour lui demander sa main. Elle avait besoin de trouver des bras fort qui la réconforterait et qui la ferait quitter son nouveau statut d'esclave. Elle avait de la chance. L'inconnu en face d'elle était riche, beau à se damner et paraissait sincère même si la princesse préférait rester sur ses gardes. Mais elle ne se doutait absolument pas ce que ce beau jeune homme avait en tête...
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le vendredi 07 octobre 2011, 15:50:42
La surprise sur la méconnaissance de l’idéentité de cette Maédra sembla la surprendre, bon en même temps si elle parlait de cette personne, elle estimait celle-ci importante, et quand bien même si il la connaissait, jamais on ne se vanterait de la connaitre, ce qu’elle appuya d’alleurs, mieux valait donc ne pas la connaitre. Ce n’était pas plus mal. Le manteau, quant à lui était aussi un élément qui l’avait déstabilisé, mais il était plus logiquement déstabilisant. Personne ne donnait sa pelisse à quelqu’un d’autre comme cela dans la rue. Sau avec une mauvaise intention, ou alorz c’était en toute naïveté. Il appartenait à la première catégorie. Et il l’assumait complètement. Quand elle le comprendrait, ce serait trop tard.

Mais rien ne sembla la décontenancer davantage. Que le baisemain, pourquoi ? La il ne comprenait pas. Voir ses yeux briller ainsi était charmant, ce n’était toutefois ce but qui l’intéressait. Ses yeux étaient ravissants. Le seraient ils autant une fois inondés de larme de douleur, et de supplique muettes de la laisser s’en aller. Oui, à n’en pas douter. Et c’était ainsi qu’ils montraient toute leur beauté. Ça aussi c’était un fait.


" Cela faisait si longtemps que...

Elle changea de sujet subitement. Note personnelle : revenir là-dessus une fois qu’ils seraient seuls., une fois qu’elle aurait compris qui est le maitre. Lui, bien évidemment.

 Je suis la princesse Aloysia Weber, enchanté. À qui ai-je l'honneur ? Ne vous inquiétez pas si vous avez affaire vous pouvez partir. Elle ne devrait plus tarder."

Il s’inclina dans une révérence parfaitement maitrisée. Encore une nouvelle chose qu’elle paierait chèrement. Mais au fond, ce n’était pas plus mal. Il prendrait davantage son pied pour la dresser. Oui, il s’en chargerait sans doute personnellement. Il ne posa ^pas un genou à terre, mais presque.

« Veuillez excuser le manat que je suis, altesse, de vous avoir ainsi abordé, je ne suis pas digne de m’adresser à vous ainsi ! »

Il fuit son regard, son sourire disparaissant. Que de talent, il aurait du devenir comédien….il aurait fait un ravage !  Il aurait été le plus fgrand acteur de toute l’histoire de terra !

Inclinant toujours la tête il lui dit.

« Je ne suis que votre humble serviteur, votre altesse. Sire Varyus, désormais votre épée lige, votre grandeur. Ordonnez, j’excuterai. Mais si votre altesse me permet de lui dire le fond de ma pensée, attendre ici est indigne. Mon fiacre attend. La personne qui est assez sotte pour faire attendre une altesse ne mérite pas que vous vous intéressiez à elle. Mon fiacre est juste ici, et malgré l’inconfort qu’il doit représenter par rapport à vos habitudes, je ne peux que vous inviter instamment à monter pour vous reconduire chez vous, ou à n’importe quel endroit que votre altesse désire. »

Oui, il jouait très bien son rôle. Restait à voir de quele trempe était son « Altesse ». Comme si il avait entendu les propos de cet homme, le cocher fit avancer son attelage vers la princesse.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le vendredi 07 octobre 2011, 16:20:30
L'inconnu la surprit encore en faisant une belle révérence. cela lui faisait drôle et avait l'impression d'avoir remonté le temps. Et le discours de cet homme, finit de la faire tomber sous son charme.

« Veuillez excuser le manat que je suis, altesse, de vous avoir ainsi abordé, je ne suis pas digne de m’adresser à vous ainsi ! »


" Oh mais non ne vous excusez pas ! Vous ne pouviez pas savoir. Et puis...cela ne me déplait pas d'être abordé par un mystérieux inconnu."

Elle lui fit un lumineux sourire. Cela faisait trop longtemps qu'elle n'avait pas été aussi heureuse.

« Je ne suis que votre humble serviteur, votre altesse. Sire Varyus, désormais votre épée lige, votre grandeur. Ordonnez, j’excuterai. Mais si votre altesse me permet de lui dire le fond de ma pensée, attendre ici est indigne. Mon fiacre attend. La personne qui est assez sotte pour faire attendre une altesse ne mérite pas que vous vous intéressiez à elle. Mon fiacre est juste ici, et malgré l’inconfort qu’il doit représenter par rapport à vos habitudes, je ne peux que vous inviter instamment à monter pour vous reconduire chez vous, ou à n’importe quel endroit que votre altesse désire. »

Aloysia laissa un rire cristallin s'échapper de ses lèvres. Il avait l'air vraiment embarrassé de se trouver en face d'une princesse. Ses joues rosirent de plaisir lorqu'elle entendit sa proposition. Il voulait lui rendre service et sans doute passé un peu de temps avec elle.

" Sire Varius, c'est vraiment gentil mais vous en faite beaucoup trop. Je ne suis pas encore la reine de cette planète ! Mais je dois avouer que votre proposition me tente. Mais serait-ce possible que vous envoyez un messager ici pour attendre ma...mon amie. Je ne voudrais pas qu'elle s'inquiète."

Elle vit le fiacre s'avancer alors que le sire n'en avait pa encore donner l'ordre. Aloysia fronça les sourcils. On aurait dit que le cocher avait comment dire...l'habitude. Elle se tourna vers le jeune homme prête à le suivre malgré tout. Le cocher avait peut être simplement compris la situation...

Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le vendredi 07 octobre 2011, 22:13:45
Bon sang mais quelle crédulité ! Quelle naïve petite princesse, si elle était seulement princesse….sa tenue aurait du être plus riche, mais non, elle portait des mouvements du commun, seule la cape qu’il avait déposé sur ses épaules lui donnait un brin e majesté, et peut-être aussi ses traits délicats Le reste ne laissait pas présager que l’on s’adressait à une altesse. Il estimait peut être mal les choses, mais une altesse sans escorte, et sans un minimum vestimentaire était soit en fugue, soit une menteuse, au choix !

" Oh mais non ne vous excusez pas ! Vous ne pouviez pas savoir. Et puis...cela ne me déplait pas d'être abordé par un mystérieux inconnu."

Raison de plus de croire à un mensonge ; Une princesse lui aurait ri au nez. Ou aurait demandé qu’on «éloigne l’importun. Autre chose, on ne faisait jamais attendre une princesse ! C’était un principe fondamental ! Une princesse était presque autant respectée qu’un monarque !
Son sourire tait radieux. Elle y croyait vraiment la gourdasse ! Il ne pensait pas qu’autant d’innocence et de niaiserie dans une seule personne était possibe !  Il avait tort….preuve en était la jeune femme devant lui.

Pauvre petite aurait pu penser quelqu’un de connaisseur. Mais voila, la plupart des gens ne savaient pas ce qui se tramait. Le cocher lui-même était un free-lance, il avait été choisi pour sa discrétion et son ouïe fine. Il avait horreur de rabacher un ordre. C’était aussi l’une des vertues des esclaves venant de chez lui, la promptitude d’execuion.                                                                                                                                                                                 

" Sire Varius, c'est vraiment gentil mais vous en faite beaucoup trop. Je ne suis pas encore la reine de cette planète ! Mais je dois avouer que votre proposition me tente. Mais serait-ce possible que vous envoyez un messager ici pour attendre ma...mon amie. Je ne voudrais pas qu'elle s'inquiète."

Il releva la tête et sourit doucement, presque pus timidement en sachant à qui il avait à faire Enfin, c’était le but recherché pas la vérité. Le fiacre s’arrêta et le cocher en descendit.

« j’attendrai moi-même ici pour la prévenir, lord Varyus est tout à fait capable e gérer lui-même l’attelage. Je me trouverai bien un moyen de vous retrouver. »

Il eut l'air surpris de cette proposition et accepta d'un hochement de tête lent, hébété.

Il n’en attenait pas moins de lui, pauvre ignorant. Il se releva, et ouvrant la porte du fiacre, il déplia le marche-pied avant de proposer sa main pour l’aider à monter.

« Je prie votre altesse de bien vouloir excuser ce contact outrageant pour elle. Si vous daignez vous donner la peine de monter et de me dire ou aller… je vous y conduirai et vous suivrai jusqu’au bout du monde ! »
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le samedi 08 octobre 2011, 00:32:13
« Je prie votre altesse de bien vouloir excuser ce contact outrageant pour elle. Si vous daignez vous donner la peine de monter et de me dire ou aller… je vous y conduirai et vous suivrai jusqu’au bout du monde ! »

Le jeune homme était plein de délicate attention mais elle hésita quelques secondes, regardant la main que lui tendait le jeune homme. Elle n'était plus tout à fait sûre de vouloir monté dans le petit carrosse. Mais elle savait que il était maintenant trop tard pour reculer. De plus, elle ne savait pas où aller. Retourner chez sa maitresse était me choix le plus judicieux. Elle donna donc l'adresse où elle vivait maintenant depuis plusieurs mois et donna sa main avec grâce et sans lui accorder un regard monta dans le fiacre.

" Merci, sire."

Celui-ci était petit et le confort y était modeste. Mais ne fit pas de remarque. Elle réfléchit soudainement qu'elle n'avait pas décrit sa maitresse au cocher et qu'il ne saurait donc pas à quoi elle ressemblait.

"Attendez, je dois parler au cocher !"

Elle se rapprocha de la porte pour ouvrir celle-ci...
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le samedi 08 octobre 2011, 01:40:42
« Je prie votre altesse de bien vouloir excuser ce contact outrageant pour elle. Si vous daignez vous donner la peine de monter et de me dire ou aller… je vous y conduirai et vous suivrai jusqu’au bout du monde ! »

Toujours incliné, il ne la regardait pas non plus et se contenta d’acquiescer à la mention de l’adresse, quelle importance de toute manière ? Il ne la mènerait bien évidemment pas où elle le demanderait mais là où il voudrait aller. C’était là toute la beauté de la chose après tout.

" Merci, sire."

« C’est un honneur votre altesse ! »

Il avait dit ça avec ferveur. Il se fondait presque ans le rôle, il ne lui manquait plus que la sincérité avant de refermer la portière du fiacre avec douceur. Il ne devait pas abîmer ses augustes doigts. Ce serait contre-productif ! Et puis, il la briserait bien assez comme ça ! Autant ne pas commencer tout de suite. Mais à peine avait-il fermé la porte qu’elle s’écriait :

"Attendez, je dois parler au cocher !"

Il lui ouvrit la porte avec diligence pour l’aider à en descendre.

« Si je puis me permettre, votre grandeur, vous devriez aussi lui donner l’endroit où vous vivez, qu’il nous rejoigne là-bas. Cela simplifierait longuement largement les choses, non ? »

Il lui proposa son bras pour l’accompagner, comme tout chevalier servant qui se respecte. L’épée lige d’une princesse devait être l’équivalent de dlle du prince, à la fois conseiller, confident et protecteur. Mais le savait-elle ?
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le samedi 08 octobre 2011, 10:29:11
La porte s'ouvrit et Aloysia soupira intérieurement. Elle avait cru un instant qu'elle était enfermé et que le sire n'était pas ce qu'il prétendait être.


« Si je puis me permettre, votre grandeur, vous devriez aussi lui donner l’endroit où vous vivez, qu’il nous rejoigne là-bas. Cela simplifierait longuement largement les choses, non ? »

Elle prit le bras qu'il lui proposait et se dirigea vers le cocher. Encore une fois elle trouvait qu'il en faisait trop. Elle avait remarqué que certains hommes en faisait des tonnes en présence de son père, le roi. Bien sur cela n'avait rien d'anodin. Le pouvoir était ce qui les motivaient. Mais quel était les motivation de ce jeune homme ? Sa franchise lui poussait à le questionner mais elle se retint. Elle décrit sa maitresse fidèlement et lui donna l'adresse. Sa maitresse allait vraiment être en colère, elle le sentait... Elle la traiterai d'imprudente, ça elle en était sûre.
Elle retourna alors dans le fiacre sans un mot et le sentit démarrer. Elle se perdit dans le paysage et dans ces pensées. Elle était dans le fiacre d'un inconnu... Avant elle aurait trouver sa romantique... Aujourd'hui, elle trouvait cela imprudent. Elle réfléchit à la scène qui s'était déroulé, l'analysant. Elle le revit s'avancer vers elle avec une...ombrelle. Pourquoi un homme se promenait-il avec une ombrelle pour se protéger du soleil. Protéger du soleil... Peur du soleil... Vampire ! Aloysia paniqua. Un vampire l'enlevait, elle en était sûre. Tout ces discours, ces attentions était calculés.

" S'il vous plait ! Arrêtez vous ! Je veux descendre !"

On pouvait entendre de la panique dans sa voix. Et elle espérait que celui ci l'entendrait et se révèlerait être un vrai chevalier servant. Mais elle ne prendrait pas de risque. S'il s'arrêtait, elle rentrerait à pied. Homme bien attentions ou pas... Elle s'en voulait d'avoir été naïve et berné. Elle voyait toujours de la bonté dans les gens et l'espoir l'avait aveuglé sur la triste réalité.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le samedi 08 octobre 2011, 12:05:53
Il la laissa faire et l’aida à remonter avant d’enfiler une longue cape de voyage qui le couvrait intégralement. Ainsi il n’avait pas besoin de son ombrelle et pouvait la bazarder. Puis il ferma la porte, verrouillant celle-ci de l’extérieur par un léger mécanise se trouvant tout en bas de la portière, au niveau du marchepied. Puis il monta à la place du cocher et lança les chevaux, et le carrosse s’ébranla. Il fit accélérer les chevaux jusqu’à une allure raisonnable et souleva une légère trappe permettant de communiquer avec l’intérieur. C’était au cas où son « altesse » ait quelque chose à dire. Un ordre quelconque.

Un bon moment passa. Bien évidemment, il ne la conduisait pas chez elle mais dans un centre de dressage qui lui appartenait, et là-bas, il la dresserait lui-même, comme un grand ! Et elle le supplierait de lui faire pire !

" S'il vous plait ! Arrêtez vous ! Je veux descendre !"

Trop tard…ou pas. Oh certes ils étaient prsques arrivés désormais. Mais quelqu’un ayant entendu cet appel, il se post face au carrosse qui fut forcé de s’arrêter. Le vampire fit pivoter le carrosse de manière à ce que sa captive voit toute la scène. Puis il descendit.

« Vous gênez le passage ! Ecartez vous ! » lança-t-il.

« Certes pas maraud !  Sauf si votre captive est lib…. »

Il ne finit pas sa phrase, le vampire lui avait sauté dessus et avait, à mains nues, arraché la jugulaire de l’importun. Et sans cérémonie, il prit l’homme agonisant  par les ceheveux et le souleva de terre pour que la jeune femme voit son hypothétique sauveur expirer. Puis il le rejeta da,ns le bas côté avant de remonter et de dire par la petite trappe.

« Un homme mort par votre faute, cela suffit à vous calmer ? Si vous vous étiez tue, il aurait vécu…ah oui et pendant que j’y pense, vous savez, votre podeur de panique est délicieuse, altesse… »

Il reprit sa route, fouettant les chevaux, fermant la trappe, jusqu’à arriver devant l’entrée de son centre. Il descendit et ouvrit la portière.

« Si son altesse se donne la peine de descendre de son carrosse pour lui montrer ses appartements. »

Ceux deux fois là, il avait prononcé le mot altesse avec ironie, et ses appartements se réusaient à une cellule dans laquelle elle serait provisoirement pendue au plafond par des chaines  liant ses poignets.

Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le samedi 08 octobre 2011, 17:34:34
Alors qu'Aloysia essayait d'ouvrir la porte du carosse, celui-ci s'arrêta et elle pût voir qu'un homme ayant entendu ses supplications avait décidé d'intervenir en leur bloquant la route. Elle vit le sire s'avancer vers l'homme et ce qu'elle vit lui glaça le sang. Elle hurla à plein poumon et tapait furieusement contre la vitre. Après s'etre débarrasser du corps de l'homme, le jeune homme remonta sur le fiacre.


« Un homme mort par votre faute, cela suffit à vous calmer ? Si vous vous étiez tue, il aurait vécu…ah oui et pendant que j’y pense, vous savez, votre podeur de panique est délicieuse, altesse… »

Elle se retint avec difficulté de l'insulter de tous les noms. Commen pouvait-il oser dire qu'elle était responsable ! Ce n'était pas elle qui avait tué l'homme et elle se refusait de culpabiliser comme le jeune homme le voulait. Il referma la petite trappe l'empechant ainsi de hurler une nouvelle fois pendant le reste du trajet. Elle ne comptait pas se laisser faire comme il le souhaitait. Le fiacre s'arrêta et la porte s'ouvrit.

« Si son altesse se donne la peine de descendre de son carrosse pour lui montrer ses appartements. »

La façon dont il prononçait altesse était vraiment insultante. Son comportement avait changé du tout au tout. Très bien... Elle allait s'adapter. Elle descendit sans l'aide du sire et de posta devant lui. Elle le gifla avec force. A sa mine surprise, elle vit qu'il ne la croyait pas d'une telle chose. Elle paraissait si douce et si fragile. Elle prit un ton acerbe en s'adressant à lui.

" Vous m'avez enlevé, tué un innocent... Et je sais qui vous êtes un vulgaire vampire. Vous ne méritez pas de vivre. Vous n'avez donc plus d'âme ? Plus de compassion ? De pitié ? Maintenant relâchez moi où vous le regretterez amèrement. L'amie que j'attendais vous lancera un pieu en plein cœur et m'avoir enlever sera la chose que vous regretterez le plus au monde."

Aloysia ne l'avait pas quitté du regard. Elle releva fièrement la tête à la fin de son discours lui prouvant qu'elle ne lui appartiendrait jamais.

Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le samedi 08 octobre 2011, 20:45:08
La gifle qu’il se prit lui fit le même effet que si la jeune femme l’avait insulté. Et si surprise il y avait sur le visage du vampire, ce n’était pas tant le fait qu’elle soit capable de le faire, c’était plutôt qu’elle ait eu l’audace de le faire. N’importe quelle garce peut donner une gifle à un goujat. Mais qu’il soit cette personne se prenant la gifle, il l’acceptait beaucoup moins aisément. Le ton qu’elle prit pour lui parler. Mais tout venait à point à qui savait attendre, il la briserait et la réduirait à l’état de loque humaine au niveau psychologique. De là,, la modeler selon ses désirs seraient facile.

" Vous m'avez enlevé, tué un innocent... Et je sais qui vous êtes un vulgaire vampire. Vous ne méritez pas de vivre. Vous n'avez donc plus d'âme ? Plus de compassion ? De pitié ? Maintenant relâchez moi où vous le regretterez amèrement. L'amie que j'attendais vous lancera un pieu en plein cœur et m'avoir enlever sera la chose que vous regretterez le plus au monde."

Il sourut. Un air goguenard paru sur ses traits fins et délicats alors qu’il lui rendait sa gifle à sa mesure et du revers de la main. Puis il fit signe à un homme qui vint lui saisir les poignets et les lui rabattre dans le dos pour les enchainer. Il contunait de sourire, rapprochant son visage du sien au point qu’elle puisse sentir son nhaleine sur son visage.

« Mon âme m’appartrient et elle est présente, la preuve, je n’ai pas tué celle qui vient de me frapper. Quand à la pitié et la compassion….ce sont des mots qui sont comme l’honneur, ils n’ont de sens pour les faibles. Je suis bien meilleur que cela, moi, je suis dur et inflexible, froid comme le métal. Je n’ai aucune raison de faire preuve de faiblesse devant celle qui bientôt me suppliera de lui donner un ordre, quel qu’il soit. Ah, oui, et sachez que personne n'est innocent ! »

Il se recula et siffal à nouveau, et quelqu’un d’autre arriva.

« Prends deux hommes avec toi et chevauche à bride abattue vers nexus. Quand tu auras dépassé la troisième fourche, regarde dans le bas côté pour me retroyuver le cadavre de l’homme qu’elle m’a forcé à tuer, et ramèhe moi sa tête. »

Il sourit avant de prendre  une lanière en cuir, et alors qu’il tirait sa tête en arrière en tirant sur sa chevelure d’or, il lui passa ladite lanière autour du cou et la ferma. Quelque chose pendait de cette lanière. Un autre, plus longue, d’un bon mètre de long.

« Voila, maintenant, je vais montrer sa chambre à ma nouvelle invitée. »

Il ricana en tirant un bref mais violent coup sur la laisse. Il espérait ainsi la faire trébucher, ayant un sens de l’équiibre réduit par le manque de mouvement de ses bras.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le dimanche 09 octobre 2011, 09:55:37
La gifle qui s'ensuivit fit l'effet d'une bombe en Aloysia. Jamais personne ne l'avait frappé. Il serait le premier mais le dernier. Elle le vit s'approcher de son visage et sentit son haleine sur celui-ci. Elle ne recula pas mais un frisson lui parcourut le dos.

« Mon âme m’appartrient et elle est présente, la preuve, je n’ai pas tué celle qui vient de me frapper. Quand à la pitié et la compassion….ce sont des mots qui sont comme l’honneur, ils n’ont de sens pour les faibles. Je suis bien meilleur que cela, moi, je suis dur et inflexible, froid comme le métal. Je n’ai aucune raison de faire preuve de faiblesse devant celle qui bientôt me suppliera de lui donner un ordre, quel qu’il soit. Ah, oui, et sachez que personne n'est innocent ! »

Elle lui cracha et au visage et lui répondit sur le même ton, souriant elle aussi.

" Tu devrais avoir honte de frapper une femme. Je sais que tu vas te rabaisser à la violence pour essayer de me dompter. Sache juste que la violence est le pouvoir des faibles sire de pacotille !"

Aloysia ne le vouvoyait plus car elle n'avait plus aucun respect pour ce goujat et il n'était rien comparé à elle. Un homme arriva après le sifflement du jeune homme. Celui-ci lui attacha les poignets. Elle ne dit rien mais lui écrasa le pied de son talon, si fort qu'elle finit par entendre un grognement de l'homme. Elle rit silencieusement. Elle ne quittait pas du regard celui qui voulait de venir son maître. Il lui attrapa les cheveux pour dévoiler son cou. Elle grogna comme un animal, ses origine neko ressortait lorsqu'elle était en colère. Il était en train...de lui mettre une laisse ! Elle n'était pas un animal !

« Voila, maintenant, je vais montrer sa chambre à ma nouvelle invitée. »


Il tira violemment sur la laisse pour essayer de la faire tomber. Ce qu'il ne savait pas c'était qu'elle avait toujours une grands agilité presque féline du à ses origines. Elle ne tomba pas et suivit le jeune homme. Elle s'arrêtait par moment obligeant le vampire a tiré plus fort pour la faire avancé. Elle ne savait pas ce qui allait se passer dans cette "chambre" même si elle s'en doutait. Il pensait l'avoir attaché et arrivé à la soumettre à lui, mais son esprit lui serait toujours libre. Elle s'en fit la promesse.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le dimanche 09 octobre 2011, 10:55:54
" Tu devrais avoir honte de frapper une femme. Je sais que tu vas te rabaisser à la violence pour essayer de me dompter. Sache juste que la violence est le pouvoir des faibles sire de pacotille !"

Il n’essuya même pas le crachat qu’elle lui avait envoyé dans la figure.  Il Savait, ou, quand, et comment elle le regretterait. Et c’était d’ailleurs pour ça qu’il lui avait attaché la laisse, pour la forcer à le suivre dans son humiliation.

Devant son côté récalcitrant, il soupira. Mais pourquoi avaient-elles toutes les mêmes réflexes ? C’était désespérant, pas une once d’originalité, rien ! Du coup, à chaque fois qu’elle s’arrêtait, il  donnait un violent coup de collier pour la forcer à repartir. Ne voyait elle pas qu’elle luttait contre le destin ? Qu’elle luttait contre un avenir certain et nécessaire qu’elle endurerait de gré ou de force ? Alors pourquoi lutter, cela le dépassait ! Finalement, excédé, il s’arrêta, se tourna vers elle et dégaina son poignard qu’il lui brandit sous le nez, comme une menace.

« Attention, tu ne me laisse pas le choix, princesse !  Je n’ai pas encore été violent avec toi et ne me force pas à le devenir !  Tu y laisserais des plumes sois en sure ! »

Il laissa glisser la pointe de sa dague le long de sa joue avant de commencer à lacérer ses vêtements pour qu’ils tombent en charpie et qu’elle se retrouve nue dans le froid, alors que le vent se levait. Il palpa rapidement sa poitrine d’une main distraite avant de reprendre son chemin.

« J’ai changé mes plans, tu ne vas pas aller dans ta chambre, mais ailleurs, tu verras, ce sera bien plus amusant ! »

Il  souriait tout en dent en poussant une porte en bois, donnant sur une pièce ou la chaleur d’un feu ne faisait que du bien aux personnes sensibles au froid comme au chaud. Il s’agissait sans doute d’une salle commune avec une vingtaine de tables et le double ou le triple de personnes.

« Messieurs, j’ai un cadeau !  Rappelez-vous des consignes, ni eau, ni nourriture, ni mutilation, le reste, c’est à vous de voir !  Ah oui, et on se déverse sur et pas en elle ! »

Sur ses mots il se dirigea vers un coin ou un anneau et une chaine (d’environ 3 ou 4 mètres de long) qui était reliée à un gros collier en métal  était fiché dans le mur, au-dessus d’une paillasse plus que miteuse. Une fois là-bas, il  la força à se mettre à genou, et essuya son visage contre les derniers lambeaux de vêtement, qui ne cachaient plus rien, avant de lui appliquer celui-ci sur le visage consciencieusement.

« Bon, et bien j’en connais une qui va bien s’amuser ! »

Il lui passa le collier de metal, mis le cadenas et récupéra la clé qu’il rangea. Sur lui, avant de lui retirer le collier en cuir. Puis il partit sans oublier de lancer le départ en disant

« Messieurs, amusez-vous ! »

A peine avait-il fermé la porte derrière lui qu’une demi douzaine d’hommes se levaient et s’approchaient...
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le dimanche 09 octobre 2011, 14:01:06
Aloysia le vit dégainer un couteau et le pointer sur elle. 

« Attention, tu ne me laisse pas le choix, princesse !  Je n’ai pas encore été violent avec toi et ne me force pas à le devenir !  Tu y laisserais des plumes sois en sure ! »

Elle rit, le prenant pas du tout au sérieux. Elle savait qu'elle devait gardé une certaine valeur. Mais elle poussa un cri indigné lorsque celui-ci lui déchira ses vêtements et rougit violemment lorsqu'elle sentit la main sur sa poitrine. Elle refusa de se dire que cela était agréable et elle détourna la tête cachant ainsi sa gêne. Ce qu'il ne savait pas, c'est qu'elle était vierge. Aucun homme ne l'avait toucher ainsi auparavant. Elle le suivit alors sans broncher jusqu'où il le voulait. Elle avait à peine froid, elle n'était pas 100% humaine et cela avait des avantages. 

« J’ai changé mes plans, tu ne vas pas aller dans ta chambre, mais ailleurs, tu verras, ce sera bien plus amusant ! »

Mais l'horreur la saisit lorsqu'ils rentrèrent dans une salle remplit d'hommes. En quelques minutes, elle fut attaché dans la salle devant tous ces hommes, nue. De plus, il essuya son visage avec les lambeaux de son vêtement et l'appliqua sur le visage de la princesse. Heureusement pour elle, une grande partie avait séché et une autre était resté sur le tissu. Elle avait vraiment trouvé son geste petit. 

« Messieurs, j’ai un cadeau !  Rappelez-vous des consignes, ni eau, ni nourriture, ni mutilation, le reste, c’est à vous de voir !  Ah oui, et on se déverse sur et pas en elle ! »

Les hommes la regardait maintenant avec un intérêt non dissimuler. Elle pouvait voir des bosses se former au niveau de leur entre-jambe. Certains étaient vraiment horrible et d'autres étaient plus...passable. 

« Bon, et bien j’en connais une qui va bien s’amuser ! »
 
"Plus que toi en tout cas !"

Elle faisait la fière mais intérieurement elle n'en menait pas large. 

"Je pensais que tu préfèrerais t'occuper en premier de moi !"

Aloysia avait hurler cette phrase pleine de rage et en quelques sortes d'envie. Elle le préférait aux hommes qui lui faisait face. 

« Messieurs, amusez-vous ! »

Et il referma la porte sur une princesse furibonde.
Les hommes se rapprochait d'elle mais elle eue une idée. Elle ne lui plaisait pas trop mais elle n'avait pas trop le choix si elle voulait limité les dégâts. 

"Une précisions, je suis vierge et le maître veut s'occuper en premier de ma virginité, même s'il a omis ce détail. Et la bouche serait un choix vraiment risqué si vous souhaiter rester en entier." 

" Il ne reste donc plus que ton derrière ! Moi ça me va, pas vrai les gars ! Si elle est vierge aussi derrière, elle sera bien serré !"

Les hommes rigolèrent et se positionnèrent près d'elle. L'un d'eux avait déjà baissé sa braguette, imité par les autres. Un des hommes lui arracha les restes de ses vêtement. L'homme qui avait parlé la força se relevé et se mît derrière elle, la maintenant fermement par les épaules. Elle sentit le sentit frotter son sexe contre son entre jambe. Un autre homme s'était emparer de ses lèvres et lui massait les seins. Quatre hommes regardaient la scène en se masturbant et attendant leur tour. Aloysia hurla de douleur quand l'homme lui pénétra son anus. Elle avait limité les dégâts mais bon dieu ! Comme ça faisait mal ! Il commença des va et vient qui devinrent de plus en plus puissant. Aloysia lâchait des petits cris de douleur mais bientôt le plaisir prit le dessus. L'homme se déversa sur elle et fut remplacer par un aure et encore un autre. Elle avait eue plusieurs orgasmes anales et elle n'en pouvait plus. Un homme s'aperçut de sa fatigue et tenta de rentrer son membre dans sa bouche et elle trouva la force de la mordre assez fort pour qu'il hurle de douleur. Les hommes rigolèrent mais plus aucun ne tenta de pénétrer sa bouche, se contentant de son anus qu'ils avaient l'air de trouver à leur goût. Étonnement aucun d'eux n'avait essayer de la pénétrer par son vagin. Ils l'avaient donc cru. Au bout du énième homme qui de déversait sur elle, elle se sentait salit et épuisée...

Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le dimanche 09 octobre 2011, 15:02:30
Ni le cri, ni la gêne qu’il lui imposait ne l’avait troublé, quand à la laisser seule avec les gardes, ceux-ci étaient habitués et savaient que si certains allaient au-delà des limites ordonnées, ils n’auraient plus ce genre de petits plaisirs. Cette règle instaurée, le reste venait tout seul ! Aussi partait il la mine réjouie par son « acquisition » et des fruits qu’elle pourrait donner en cas de vente.. De très beaux profits, ne serait-ce qu’en location.

Quand la jeune femme prit la parole, se doutait-elle de ce qui allait arriver ? Sans doute. Mais au dela de ça, personne n’aurait pu penser qu’elle oserait mentir, cela semblait si difficile à croire.

« Une précisions, je suis vierge et le maître veut s'occuper en premier de ma virginité, même s'il a omis ce détail. Et la bouche serait un choix vraiment risqué si vous souhaiter rester en entier. »

En tout cas, la majorité ne se posa même pas de question la dessus et semblaient se satisfaire de cela. Preuve en fut le premier des gardes à approcher, sourire lubrique aux lèvres.

« Il ne reste donc plus que ton derrière ! Moi ça me va, pas vrai les gars ! Si elle est vierge aussi derrière, elle sera bien serré ! »

Celui-ci s’installa et se prépara à se faire plaisir avec la catin prêtée par le seigneur des lieux. Le vampire était malin, il savait très bien que certaines esclaves œuvraient de leur charme pour tenter de sortir, mais comment faire pour que cela ne se produise pas ? Tout simplement en offrant aux gardes des possibilités de se vider les bourses sur des échantillons de la marchandise. Aussi, chaque jour mettait-il à disposition une esclave de très bonne qualité à la disposition de ces sauvages, et eux en profitaient pendant leur temps libre. Problème résolu.

Alors qu’une petite foule commençait à s’amasser autour d’elle le premier garde à être intervenu la força à se mettre en position, à quatre pattes, comme une petite chienne, une esclave n’avait pas le droit à mieux après tout,  et après quelques frottements, il pénétra son derrière d’un seul coup de rein, sec et brutal, sans avoir ne serait-ce que préparé la vierge à un tel traitement, non, pas le moindre préliminaire, juste un coup de rein.
Sa douleur les fit rire et chacun, à tour de rôle, vint jouer avec son fondement. Des mains s’égaraient parfois entre ses cuisses, mais si elles passaient sur ses lèvres intimes, jamais elles ne s’y attardaient. Le plan de la petite princesse, même si pour le coup elle ne valait pas mieux que la dernière des prostituées, avait fonctionné, mais à quel prit. Si elle s’en sortait déchirure anale elle aurait de la chance.

Ses reins, ses cheveux, sa poitrine, ses lèvres, son visage en général, autour de son anus, sur ses cuisses, la bonne cinquantaine de gardes présente lui couvrit le corps de ce liquide épais et gluant qui sortait de leur sexe. Ils riaient à chacun de ses orgasmes. Elle semblait vraiment faite pour ce travail. Elle leur auraient affirmé qu’elle était une princesse qu’ils en auraient ris en ne la croyant pas.

Et quand enfin ils la laissèrent pour partir rejoindre leurs postes, ele put savourer un bon quart d’heure de silence et de calme avant qu’un autre groupe prenne la relève. Autant vous dire que son corps fut vraiment maltraité surant cette journée, car oui, elle dut y passer la journée, le vampire ne vint la chercher que le soir, se contenant de lui remettre son anciuen collier alors qu’elle se faisait besogner. La prenant par les cheveux il ofrit aux derniers gardes en train de se masturber une cible de choix en son visage avant de tirer sur la laisse et de la faire sortir.

« Alors, on se sent plus calme et plus humble, petite princesse ? Est-ce que la petute Aloysia a décidé à obéir maintenant ? »

Ce fut à son tour de lui cracher au visage avant de faire le tour du propriétaire avec son esclave en laisse, couverte de foutre, et toujours aussi nue. Et vu la force avec laquelle certains avaient dû la besogner, marcher devait être assez douloureux, non ? Enfin, il parvint devant ses appartements. Une simple cellule de pierre froide avec de fers qui pendaient du plafond. Ils touchaient presque le sol, mais il ne fallait pas s’y fier. Lui tenant les poignets d’une main de fer, il lui emprisonna les poignets dans des anneaux reliés aux chaines et il fit monter la jeune femme à l’aie d’une manivelle jusqu’à ce qu’elle soit à une vingtaine de centimètres du sol.

« Alors, j’imagine que tu as gouté à ce qui te couvre. Tu apprécies j’espère, car tu y retournes demain ! »

Il se plaça là, devant elle, la regardant ainsi en l’air, pendue par les poignets, en l’état.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le mercredi 12 octobre 2011, 16:14:10
Aloysia n'en pouvait simplement plus. Ils l'avaient utilisés pendant une journée entière ! Elle avait horriblement mal aux fesses. La seule chose qu'elle avait pu conservé était sa virginité. Ça, ils ne l'avaient pas eu. Elle s'était évanouit lors de la seule pause qui lui avait été accordée. Elle avait eue orgasme sur orgasme et son corps était fatigué. Puis la relève était arrivée et tout avait recommencé. Jusqu'au soir... Aloysia était couverte de sperm et l'odeur la répugnait. Des larmes d'épuisement coulaient sur ses joues. Elle n'éprouvait aucun plaisir et chaque va et vient la faisait grimacer de douleur. Elle se retint de crier tant bien que mal car les gardes auraient redoubler d'ardeur en sachant qu'elle souffrait. Alors qu'un énième garde prenait du plaisir en elle, elle sentit quelque chose se mettre autour de son cou. Elle n'avait plus aucune réaction... Elle se sentait vide. Elle sentit qu'on lui empoignait les cheveux et un je de foutre s'écrasa sur son visage. Le maître des lieux la tira par la laisse et la fit sortir de la salle.

« Alors, on se sent plus calme et plus humble, petite princesse ? Est-ce que la petute Aloysia a décidé à obéir maintenant ? »


"Obéir à qui ? Je n'ai personne au dessus de moi a part Dieu."

Elle avait dit cette phrase avec le peu de force qu'elle pouvait. Elle savait que son corps lui ferait défaut mais pas son esprit. Il ne pouvait pas la formater comme un robot. Elle reçu un crachat en sur la figure. Aloysia sourit.

" Copieur ! Tu aurais pu trouver autre chose !"

Elle suivit l'homme en rigolant nerveusement. Elle avait besoin d'évacuer et seul le rire pouvait l'aider. Il l'a prendrait pour une gamine et alors ? Elle savait que cela l'énerverait et il la prendrait pour une sotte et cela serait à son avantage pour la suite. Alors qu'elle échafaudait un plan, ils arrivèrent dans une pièce avec des chaînes. Encore des chaînes... Aloysia sentit une boule de former dans son ventre. Il lui attacha les poignet et la suspendu au dessus du sol. Elle tourna la tête ne voulant pas voir les yeux du jeune homme se poser sur son corps.

« Alors, j’imagine que tu as gouté à ce qui te couvre. Tu apprécies j’espère, car tu y retournes demain ! »


Elle ne dit rien. Elle ne voulait pas y retourner. Elle se sentait mal et au bord de l'évanouissement mais ne fit rien paraitre car cela n'aurait servit à rien. Au contraire, cet homme s'appliquait à trouver toutes vos failles et les exploitaient.

"Sire, je vous propose de me laissez aller me laver pour que je sois plus présentable devant vous avant d'entamer autre chose."

Elle avait reprit le vouvoiement en signe de respect. Elle n'en éprouvait aucun pour lui. Elle avait choisit ses mots avec soin, lui montrant qu'elle me laissait choisir et qu'elle n'imposaut rien. Elle changeai d'attitude pour lui plaire. Elle voulait lui plaire. Elle avait compris qu'elle n'obtiendrait rien par la force. Elle devait attendre que la chance tourne.

Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le mercredi 12 octobre 2011, 16:49:44

"Sire, je vous propose de me laisser aller me laver pour que je sois plus présentable devant vous avant d'entamer autre chose."

Bon, le vouvoiement était un bon début, mais le reste n’allait pas. Il la regarda dans les yeux de sourit en coin avant de répondre sur un ton doux, presque comme si il cachait sa joie, un seul mot, très simple, très clair, et impossible de ne pas le comprendre. Il se résumait en trois petites lettres :

« Non. »

Non, il ne la laisserait pas aller se laver comme ça. Il avait d’autres projets. Elle n’apprécierait peut être pas, mais au fond, avait-elle le choix ? Ou plutôt, lui laissait-il le choix ? Pas vraiment. Et puis, c’était tant une question de forme qu’une question de fond. Aussitôt, il s’expliqua.

« Tu ne mérite pas de récompense. Tu n’as pas répondu à ma question, et tu n’emploies pas les bonnes formules ! On m’appelle maitre, et non sire ! Et en plus, ici, si on veut me parler ou me demander quelque chose on me supplie, et si possible en s’affublant d’un surnom ! »

Il prit une cravache, posée dans la pièce intentionnellement, et s’approcha de la jeune femme et levant la badine, comme si il allait frapper. Ce qu’il fit, sur les fesses.

« Comme ça tu n’oublieras pas la leçon, c’est pour ne pas avoir répondu à ma question ! »

Il réitéra son acte sur son ventre plat ; la cravache s’enduisant de liquide masculin au passage.

« Et ça, c’est pour avoir dit sire au lieu de maitre ! »

Il porta la cravache au niveau de ses lèvres , la posant contre, sans violence .

Maintenant tu vas la nettoyer, puis c’est moi qui te nettoierai et tu ne seras propre que si tu avales tout la semence qu’ils t’ont offert de si bon entrain ! »

Si elle lécha la cravache, il continua ainsi jusqu’à ce u’elle n’ait plus une seule goutte de foutre sur le corps. Pour les cheveux, il lui faudrait un bain.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le mercredi 12 octobre 2011, 17:34:27
« Non. »


Sa réponse était claire, il aimait la voir ainsi. Son ton était doux mais Aloysia ne s'y trompait plus. Il jouait à manipuler les gens. Elle en subissait les conséquences mais elle ne s'y trompait plus.

« Tu ne mérite pas de récompense. Tu n’as pas répondu à ma question, et tu n’emploies pas les bonnes formules ! On m’appelle maitre, et non sire ! Et en plus, ici, si on veut me parler ou me demander quelque chose on me supplie, et si possible en s’affublant d’un surnom ! »


Aloysia sourit intérieurement. Il s'imaginait déjà qu'elle était soumise. Elle pourrait mieux le tromper ainsi. Et il semblait avoir un ego surdimenssioné comme tous les gens de son espèce. Donc autant s'en servir. Elle dit ces deux phrases avec beaucoup de sensualité et sur un ton suppliant.

"Je suis désolée, mon beau maître. Veuillez s'il vous en plait, excusez une petite princesse perverse. Je ferais tous pour vous plaire. Ordonnez et j'obéirais."

Elle le vit se saisir d'une cravache et lui frappa les fesses.

« Comme ça tu n’oublieras pas la leçon, c’est pour ne pas avoir répondu à ma question ! »


Et il la frappa ensuite sur le ventre, recouvrant la cravache de foutre.

« Et ça, c’est pour avoir dit sire au lieu de maitre ! »


Aloysia retint une grimace de dégout en sentant la cravache remplit de foutre sur ses lèvres. L'odeur parvenait à ses narines et elle eut subitement très envie de vomir.

Maintenant tu vas la nettoyer, puis c’est moi qui te nettoierai et tu ne seras propre que si tu avales tout la semence qu’ils t’ont offert de si bon entrain ! »

Elle ouvrit la bouche docilement et lécha avec application la semence des hommes. Elle fixait les yeux du maître et léchait la cravache de façon sensuelle. Elle devait lui plaire à n'importe quel prix. Elle lécha, suça la cravache à chaque fois que le jeune homme la lui présentait couverte de foutre. Sa détermination l'empêcha d'abandonner sa tâche et ainsi que de tout vomir sur son nouveaux maître. Ce qu'il aurait moyennement aimé, elle s'en doutait.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le mercredi 12 octobre 2011, 18:40:31
Bon, elle ne s’était pas trop mal rattrapée, c’était pas mal, elle en faisait un peu trop par contre, et ça avait été si facile de lui faire dire les choses convenablement…bref, c’était de quoi se méfier, personne n’avait aussi vite craqué. Elle n’avait pleuré, elle n’avait rien supplié…bon, il aviserait par la suite…mais bon, il allait continuer comme il l’aurait fait normalement, et on verrait bien ce que cela donnerait.

Il lui fit donc lécher et avaler l’intégralité du sperme qui lui couvrait le corps, pelleté de cravache après pelleté, ne la frappant pas puisqu’il n’y avait aucun motif à frapper. Enfin, il la vit lécher les dernières gouttes de semence. Puis il attendit qu’elle ait dégluti pour lui examiner la bouche ; Bon ? pas le moindre reste, c’était bon. Il fit descendre la chaine pour la détacher et repris la laisse en main.

« Bon tu as mérité un lavage intégral ma petite princesse perverse. ! »

Il l’emmena dehors, vers le lavoir. Etrangement, l’eau fumait délicieusement en cet endroit. Il se dévêtit et  la fit entrer dans le grand baquet de pierre avec lui. A proximité, il y avait un baquet qui sentait fort et quelques choses flottaient dedans. Mais il ne semblait pas même l’avoir remarqué (t’inquiète, c’est pas un des tabous mentionnés par MP). Il prit l’éponge et le savon et commença à la nettoyer de pieds en cape, s’attardant particulièrement sur ses cheveux, qu’il eut beaucoup de mal à rendre correcte, quand à la remettre dans l’état d’avant son arrivée ici, plusieurs lavages seraient nécessaires.

L’éponge passa de partout, il fit bien attention à cela, la lavant, comme il l’avait dit, intégralement, avant de la rincer. Ce devait être étrange, tant de douceur venant de lui. C’était presque quelque chose de pas naturelle. Il lui fredonna même à un moment un léger morceau de musique pour qu’elle reste calme pendant qu’il défaisait les nœuds et les agglomérats provoqués par le foutre dans ses cheveux, ce qui devait, il en convenait, ayant lui-même les cheveux longs, faire relativement mal. Puis il donna l’éponge et le savon à la jeune femme.

« Tiens, nettoies moi maintenant, petite chienne. »
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le mercredi 12 octobre 2011, 19:12:20
Après avoir examiner sa bouche, il la détacha et la fit sortir de cette pièce lugubre en laisse. Il l'amena jusqu'au lavoir. Elle le vit se dévêtir et détourna le regard, rouge de gêne de voir un homme nu. Aloysia remarqua qu'une drôle d'odeur flottait dans l'air. Mais elle ne s'attarda pas et plongea dans l'eau. Elle poussa un soupir d'aise et s'installant comme le maître le voulait. Chose qui la surpris, c'est qu'il la lavait lui même. En étant à sa place, elle n'aurait jamais lavé elle même son esclave. Il devait vraiment avoir une idée derrière la tête. Aloysia se raidissait en sentant l'éponge sur certaines parties de son corps et elle avait les joues maintenant cramoisies. Ensuite il passa un long moment à nettoyer et dévétir ses cheveux. Aloysia sursauta quand il commença à fredonner. Il avait une très belle voix, étrange pour un être tel que lui. Elle ouvrit la bouche pour le lui dire mais la referma aussi tôt. Elle ne voulait pas prendre des coups inutilements même si elle ne disait rien de mal. Elle allait vraiment avoir du mal à éviter d'être top franche. Des frissons de plaisir la parcourait de temps à autres en sentant la main du vampire dans ses cheveux... Non, il ne fallait pas qu'elle se laisse dominer par ses sentiments. Elle sentit à regret que la tache du jeune homme était terminé.

« Tiens, nettoies moi maintenant, petite chienne. »


Elle n'apprécia pas mais alors pas du tout son surnom. Mais encore une fois, elle resta impassible. Mais elle le devint moi quand elle réalisa qu'elle devait le laver. Entièrement. Ses joues étaient en feu et cela devait certainement beaucoup amuser le maître. Elle prit l'éponge et commença s'atteler au dos. Au moin, ici, elle n voyait pas l'attribut masculin du jeune homme. Elle frottait doucement mais efficacement son dos. Il était fin mais bien bâtit. Elle s'attarda ensuite sur le torse puissant et musclé du maître. Elle posa une main sur celui-ci et continua de l'autre main de nettoyé les épaules et le haut du corps. Elle releva son regard et le rebaissa, après avoir croisé le regard du vampire. Elle ne voulait pas qu'il comprenne ce qu'elle pensait de son physique. Elle nettoya ensuite les jambes et les bras évitant le sexe de l'homme. Elle ne savait pas si elle avait le droit de le nettoyer. Elle releva un regard inquisiteur et se mordillant la lèvre inférieur pour savoir si elle devait le faire ou non. Elle avai l'éponge situé près de l'entrejambe du jeune homme de sorte à lui faire comprendre la question qu'elle se posait. Elle n'avait pas ouvert la bouche depuis qu'il m'avait sortit de la salle. Elle de disait que moin elle parlerait, mieux ce serait. Elle préférait attendre que l'homme lui donne un ordre ou lui pose une question.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le mercredi 12 octobre 2011, 22:43:45

Le surnom de petite chienne était volontairement blessant et vexant, volontairment humiliant et avilissant. Mais c’était ça qui s’avérait le plus réaliste, quoiqu’il arrivât qu’il traitât moins bien ses esclaves que ses chiens. Mais c’était une belle façon de montrer sa domination, l’humiliation psychologique était la pire de toute, et la plus efficace.

Elle s’exécuta de bonne grâce, en même temps avait-elle le choix    ? Ses joues cramoisies le faisait sourire, tout comme sa manière déviter une certaine zone… il sourit, ne la forçant pas. Un moment viendrait où elle le ferait de son plein gré. Il ne put s’empêcher toutefois une remarque quand elle hésita à laver cette partie :

« Tu sais, tu en as pris des trucs comme ça toute la journée dans ton derrière, et tu en prendras encore plus demain ! Qui sait ce que je te réserve d’ici le moment où tu iras te coucher, alors si j’étais toi je ne ferai pas trop cas de tout ça. Mais bon, ça passe pour cette fi !  La prochaine fois que je dis, de me laver, c’est tout ! Pas que ce qui t’intéresse. Compris petite chienne ? »

Ce faisant, il attrapa un de seins de la princesse perverse et le serra fort entre ses doigts glacés, jusqu’à lui en faire tirer une larme, avant de la lacher. Puis il sourit et lui indiqua un coin du baquet qui semblait avoir été poli et préparé pour y poser son bassin.

« Sors de l’eau et installe toi ici. Je vais terminer de te purifier…. »
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le jeudi 13 octobre 2011, 18:18:45
« Tu sais, tu en as pris des trucs comme ça toute la journée dans ton derrière, et tu en prendras encore plus demain ! Qui sait ce que je te réserve d’ici le moment où tu iras te coucher, alors si j’étais toi je ne ferai pas trop cas de tout ça. Mais bon, ça passe pour cette fi !  La prochaine fois que je dis, de me laver, c’est tout ! Pas que ce qui t’intéresse. Compris petite chienne ? »


"Oui maître."

Elle prononça ces deux mots sur un ton neutre cachant l'horreur qu'elle ressentait en pensant au lendemain. Elle avait beaucoup souffert et elle ne voulait pas y retourner pour rien au monde. Et la seule façon d'y échapper était celle de se rendre indispensable au maître et qu'il n'est plus envie qu'elle le quitte, ne serais-ce qu'un instant. Elle ne relevait plus le surnom qu'il lui donnait. Elle savait ce qu'elle valait et sa valeur était supérieur à un chien. Alors qu'elle était dans ses pensées, elle sentit une main se poser sur son sein et un petit cri de souffrance sorti de ses lèvres lorsqu'il le pinça. Elle sentit une larme coulé sur sa joues et se retint de le frapper. Elle avait eue vraiment très mal.

« Sors de l’eau et installe toi ici. Je vais terminer de te purifier…. »


Elle sortit de l'eau et s'installa sur le baquet, attendant le maître, inquiète par ce qu'il appelait "purifier". C'était forcément quelques chose de douloureux.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le jeudi 13 octobre 2011, 21:11:20
« Oui maître. »

Il sourit. Bien, mais ça manquait de conviction. Il ne le lui fit pas remarquer, préférant savourer el délice des cris qui allaient suivre. Elle aurait tout le temps de se repentir et d’accepter la grande vérité : elle était désormais à lui. Rien n’était plus simple que cette vérité, et aucune n’était aussi absolue à l’heure actuelle.

Il sortit de l’eau, non sans caresser son visage de sa hampe molle et glaciale, mais fugacement, pas de quoi lui laisser le temps de le mordre. Au cas où. Puis il se glissa derrière elle et donna une bonne fessée à la demoiselle avant d’aller chercher l’espèce de grand seau dont l’odeur piquait le nez. Du vinaigre sans doute.  Deux objets trônaient à la surface, un plug anal de taille très (trop) conséquente, et un autre objet : une sorte de tuyau accompagné d’une poire. Il plaça le baquet juste à côté d’elle et glissa un doigt le long de la raie de ses fesses, titillant doucement sa rosette anale.

« Ce point est encore sensible ? Attends, je vais te le nettoyer et ça ira mieux. »

Il prit le tuyau et l’enfonça sans douceur ans son anus, laissant l’autre extrémité dans le vinaigre, et commença à pomper. Le bt : lui remplir le ventre et les boyaux de se liquide, qui, vu le dosage, allait bien décaper l’intérieur. C’était un vin aigre qui datait d’il y a plusieurs années.

Pendant qu’il utilisait la poire pour faire venir le liquide dans son fondement, il lui caressait les fesses, la fessant de temps à autres.

« Si ça ressort, je te ferai subir un tel chatiment que tu me suppliera de te tuer. »
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le vendredi 14 octobre 2011, 15:02:42
Aloysia attendait maintenant le jeune homme avec appréhension. Qu'allait-il encore lui faire subir ? Elle savait qu'elle devait réussir les "épreuves" qu'il lui imposait. Elle voulait gagner sa "confiance". Ou plutôt qu'il n'ait plus aucun doute de sa loyauté. Jusqu'au moment où elle s'enfuirait. Il sortit de l'eau en tenu d'Adam et caressa son visage avec son membre. Aloysia ne réagit pas, mais ces joues s'enflammèrent. Il lui donna une claque sur les fesses et elle dût se mordre la langue pour ne pas l'invectiver. Elle l'entendit s'activer derrière elle mais elle ne se retourna pas, préférant ne pas savoir ce qui allait se passer. Elle le sentit revenir près d'elle et caresser son anus, ce qui lui déclencha un frisson tellement que ce point était devenue extrêmement sensible. Ce qu'il lui fit remarquer.

« Ce point est encore sensible ? Attends, je vais te le nettoyer et ça ira mieux. »


Aloysia reconnu l'odeur de toute à l'heure... Du vinaigre ! A peine avait elle définit ce qu'elle sentait qu'une chose longue rentra sans douceur dans son anus. Elle se mordit la lèvre jusqu'au sang et ferma les yeux, s'empêchant au maximum de ne pas hurler de douleur. Elle sentit tout doucement un liquide entré en elle. Et elle regreta amèrement le sperme. Elle avait l'impression d'avoir tout le bas du ventre en feu. Une perle de sang s'échappa de sa lèvre qu'elle mordait toujours. Mais des gémissements de douleurs s'échappait malgré tout de ses lèvres. Des larmes inondaient son visage. Elle ne sentait même plus les caresses ou les fessée car elle avait l'impression de bruler de l'intérieur.

« Si ça ressort, je te ferai subir un tel chatiment que tu me suppliera de te tuer. »


Elle voulait déjà qu'il la tue plutôt que de subir de tel torture. Elle se força néanmoins de garder le liquide atroce à l'intérieur d'elle. Elle savait qu'elle devait rester en forme pour s'échapper donc pas question qu'il réduise ses chances de s'en sortir vivante de là. Elle attendait donc sans un mot la suite des ordres du maître.

Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le vendredi 14 octobre 2011, 15:52:19
Son frisson le convainquit malgré son absence de réponse. Il sourit. Décidément, la sensibilité était telle qu’il ne regrettait pas du tout son idée. Un bon petit lavement, et le moindre toucher de sa rosette la mettrait dans ous ses états, mais attention, dans quels états, ça, ce n’était pas précisé ! Mais bon, il y avait une chance sur deux pour que le moindre contact la rende frigide pour la soirée à cause du traumatisme causé par cette s éance. Et encore, si elle savait toutes les idées sadiques qu’il avait encore en tête….pour la santé mental du lecteur je m’abstiendrai de les décrire….bon okay, c’est surtout par flemme.

La sentir souffrir était si agréable…un vrai délice, un vrai bonheur. Il continuait donc à faire rentrer le liquide, la remplir de vinaigre à en faire gonfler son ventre jusqu’à l’éclatement. Il sentait le sang de la jeune femme couler. Elle se retenait de dire quoique ce soit…dommage…

« Ne retiens pas tes cris, sinon, quand est ce que je saurai ou m’arrêter ? »

En fait il savait que si il l’avait écouté, il n’aurait jamais commencé et l’aurait laissé partir dès qu’elle l’avait demandé…peine perdue en somme.  Maintenant qu’elle était bien pleine du liquide, il retira le tuyau et le replaça par un énorme plug anal, forçant le passage si besoin est. Il laissa ensuite glisser son doigt le long de son intimité avant de se mettre à appuyer avec l’autre main sur ses reins, écrasant de facto son ventre gonflé tout en maintenant le plug en se calant contre  celui-ci.

Avec une certaine douceur, il enfonça son doigt dans son intimité, allant voir si l’hymen était bien en place.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le vendredi 14 octobre 2011, 16:12:34
Aloysia n'en pouvait plus, elle avait l'impression qu'elle allait éclater.

« Ne retiens pas tes cris, sinon, quand est ce que je saurai ou m’arrêter ? »

 
Il n'aurait pas ce qu'il voulait. Elle ne hurlerait pas sa douleur car ce monstre s'en délecterait. Elle coninua ainsi à retenir des cris. Puis il retira le tuyaux, qu'il remplaça par quelque chose de gros, très gros. Aloysia ne pût retenir un petit cri de douleur. Elle n'en pouvait plus... La chose, bouchait son anus empêchant le liquide de s'échapper qu'elle souhaitait de débarasser le plus vite possible. Le vinaigre allait attaqué ses parois intestinal en restant ainsi dans son ventre. Et cela faisait un mal de chien ! Elle sentit une main se diriger vers son intimité. Elle commença a resserrer les jambes mais se reprit à temps. Une main appuya sur son ventre et elle poussa un gémissement de douleur.

Sa main se posa sur son intimité et elle ne pût s'empêcher de rougir de gêne. Elle avait réussit à préserver cette partie de son corps mais apparemment pas pour longtemps. Elle sentit un doigt rentrer en douceur dans son vagin et elle se tendit, attendant le nouveau supplice que le maître des lieux allait lui infliger.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le vendredi 14 octobre 2011, 19:31:10
En sentant la résistance des  cuisses de la jeune femme, il força un peu jusqu’à atteindre l’hymen qu’il effleura avec douceur avant d’apposer le bout du doigt contre celui-ci.

« Ah, tu es donc bien vierge…je n’y croyais pas vraiment petite chienne ! Mais bon, tu sais, je pense que ça sera pas le cas bien longtemps. Nous verrons tout à l’heure quoi faire de cela ma petite chienne. »

Il lui caressa la croupe avant de se remettre à presser son ventre contre le béton en lui appuyant sur les reins. Puis, doucement, il se mit à griffer cette même zone avec ses ongles, pas de quoi faire saigner, mais de quoi laisser de belles marques. Il sourit avec plaisir avant de retirer son doigt de son intimité et de le lécher, puis il sourit avant de se pencher au-dessus d’elle et lui retirer le plug anal pour la laisser évacuer le liquide.

« Voici ta délivrance…remercie moi en aboyant petite chienne et revient dans l’eau  bien chaude pour te détendre, et accessoirement pour me détendre  accessoirement. »

Il  lui souleva les jambes et la poussa dans l’eau avant de la rejoindre, la saisissant doucement, l’asseyant sur ses genoux. Puis il lui prit les cheveux et se remit à les laver pour enlever le foutre.

« Je crois que tu ferais bien de me faire de même ma grande, aller, mes cheveux ont besoin d’un bon lavage aussi. »

Pendant qu’il nettoyait les cheveux de la demoiselle, une main s’égara sur sa poitrine avec laquelle il s’amusa à jouer avec douceur, puis il stoppa rapidement pour la saisir par la taille, la gardant contre lui. Elle pouvait sentir la larve glaciale qui se trouvait entre les jambes du vampire. Peut $être le fait que ce soit tout mo avait de quoi la rassurer, peut être que pas…pour cela aussi, tout dépendrait de son  interprétation.   
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le samedi 15 octobre 2011, 10:03:29
« Ah, tu es donc bien vierge…je n’y croyais pas vraiment petite chienne ! Mais bon, tu sais, je pense que ça sera pas le cas bien longtemps. Nous verrons tout à l’heure quoi faire de cela ma petite chienne. »


Tout à l'heure... Elle allait donc perdre sa virginité... Elle sourit tout de même au maître, un sourire forcé mais il devait croire qu'elle essayait de faire des "progrès". Elle avait toujours aussi mal au ventre. Mais le doigt à l'intérieur de son intimité la distrayait. Elle le sentait contre son hymen... Puis il lui appuya sur les reins et elle poussa un nouveau gémissement de douleur. Il la griffa ensuite mais heureusement pas à sang. Elle se dit que celui-ci était vraiment un être dérangé pour faire de telle choses à une femme. Elle le vit ensuite sortir son doigt de son vagin et le lécher. Aloysia sentit ensuite qu'il retirait la chose qui lui servait de "bouchon" et elle évacua rapidement le liquide immonde. Elle soupira de soulagement après avoir finit. Elle n'avait pratiquement plus mal au ventre mais les fesses restaient douloureuses.

« Voici ta délivrance…remercie moi en aboyant petite chienne et revient dans l’eau  bien chaude pour te détendre, et accessoirement pour me détendre  accessoirement. »


 Aloysia n'avait pas le choix de s'exécuter mais elle le lui ferait payer...plus tard.

"Wouhaf ! Merci mon maître."


Il la remit à l'eau et il la mît doucement sur ses genoux. Aloysia ne comprenais pas bien le jeune homme. Il pouvait être violent, lui faire enduré des souffrances inimaginable et l'instant d'après être doux et prévenant. Elle le préférait quand il était dans la deuxième catégorie. Aloysia marchait en quelque sorte à la tendresse... On pouvait tout lui obtenir en étant doux et tendre. Mais ce maître là ne l'avait pas encore compris. Il réfléchissait à ce qu'il pourrait lui faire endurer alors Aloysia nourrissait une rage profonde pour cet être. Il commença à lui relaver les cheveux car ils devaient être dans un état abominable !

« Je crois que tu ferais bien de me faire de même ma grande, aller, mes cheveux ont besoin d’un bon lavage aussi. »

Elle commença donc son travail. Le vampire avait de long cheveux brun soyeux. Elle les lavait avec précaution,faisant bien attention à ne pas lui faire mal. Oui elle lui massa la tête doucement, elle savait que cela permettait de détendre. Elle sentit une main s'attarder sur sa poitrine mais ne dit rien. Il arrêta au grand soulagement de la princesse. Mais elle le sentit attraper sa taille et la coller contre lui. Et ce qu'elle sentait ne lui plaisait pas vraiment. Elle rougit et raidit attendant la prochaine torture. Certes il ne paraissait pas excité mais elle ne savait pas si c'était une bonne ou mauvaise nouvelle. Au lieu de réfléchir, elle préférait parler d'autre chose.

" Vous avez de très beau cheveux mon maître."

Il allait vraiment se moquer d'elle car il devait sentir sa gêne et sa tentative de ne plus penser à ce qu'elle sentait était ridicule. Mais elle avait dit cela avec un véritable sourire et elle le pensait vraiment.mais elle ne savait toujours pas ce que le maître allait encore exiger d'elle.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le samedi 15 octobre 2011, 20:07:00
Patiemment et gentiment, il s’occupa de ses cheveuxx pendant qu’elle s’occupait des sien, les nettoyant avec douceur et soin, alors qu’il lui avait laissé le soin des siens. Une marque de confiance en somme, puisque chez l’être humain normalement constitué, une traction exercé à ce genre d’endroit et bien exécutée ainsi qu’une bonne position du bras contre sa nuque offrait une facilité conséquente de  briser les cervicales au point d’entrainer la mort instantanée.

Une fois la première marque de soumission placée,  le vampire se laissait aller à plus de gentillesse, mais la peur qu’il recommence restait souvent marquée dans ses esclaves et cela se voyait dans la diligence avec laquelle ceux-ci accomplissaient leur tâche. C’était une mauvaise passe, et c’est tout. Une mauvaise passe traumatisante, certes, mais qui, jamais, n’était inutile.

Une fois sur ses genoux il sentit sa gêne et sa raideur. Il lui sourit de la manière la plus rassurante qu’il pouvait faire sans paraitre faux.

" Vous avez de très beau cheveux mon maître."

Il Lui caressa avec douceur une mèche de ses cheveux, aussi fine que si jamais de toute sa vie ses cheveux n’avaient été salis, avec douceur. Puis, pour calmer la gêne et la raideur de la jeune esclave, il se mit à lui masser les épaules, pour la détendre.

« Merci ma grande, mais…tssss…tu est toute nouée, je sens des raideurs partout, détend toi, je ne ferai rien de ce genre là ce soir, c’est promis. »

Il continua à lui masser les épaules, s’attaquant aussi à la nuque, la massant elle aussi avec douceur.

« Et ce soir, tu dormiras avec moi, ma belle. Sois en honorée, c’est rare que je dorme avec une esclave pour compagnie. »

Et avat qu’elle ne stresse et n’angoisse, il rajouta, sur un ton incroyablement doux :

« Je ne chercherai ni à te blesser, ni à te fouetter ou te cravacher, je te le promets. Je ne te forcerai pas non lus par derrière, et je te promets que tu seras encore vierge demain matin au réveil si  tu veux. »

Il sourit en finissant par lui caresser la joue avant de finir par dire.

« Je n’aime juste pas dormir seul…et tu auras l’impression d’être dans un lit royal, avec des draps de soie parfumés, des oreillers moelleux, une jolie moquette… »


C'était vrai, il n'avait pas l'intention de prendre de suite sa virginité.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le dimanche 16 octobre 2011, 09:15:22
Son comportement avait changé du tout au tout même si cela n'était pas pour déplaire à Aloysia.

« Merci ma grande, mais…tssss…tu est toute nouée, je sens des raideurs partout, détend toi, je ne ferai rien de ce genre là ce soir, c’est promis. »


Autre étrangeté, il ne m'appelait plus par le surnom de chienne... Mais qu'avait-il dans la tête ? Il commença à lui masser les épaules et Aloysia se détendit d'elle-même. Il voulait vraiment qu'elle de sente bien... Lui, qui lui avait fait enduré des choses abominables voulait être "gentil". Et puis il avait promis qu'il ne lui ferait rien ce soir. Elle soupira soulagée et se laissa masser les épaules et la nuque. Elle avait toujours adoré les massages et celui-ci était divin.

« Et ce soir, tu dormiras avec moi, ma belle. Sois en honorée, c’est rare que je dorme avec une esclave pour compagnie. »


Il avait bien quelques chose dans la tête... Pourquoi était-ce rare qu'il prenne une esclave dans son lit ? Et puis qu'avait-elle d'exceptionnel par rapport aux autres ? Sa virginité peut-être... Elle ne dit rien pour autant, hochant juste la tête. Mais le vampire compléta vite ses propos.

« Je ne chercherai ni à te blesser, ni à te fouetter ou te cravacher, je te le promets. Je ne te forcerai pas non lus par derrière, et je te promets que tu seras encore vierge demain matin au réveil si  tu veux. »


Il était un être incompréhensible. Il aimait pourtant voir souffrir et là il lui offrait une nuit sans rien en retour. Aloysia n'avait pas oublié ce qu'il lui avait fait suibir et n'oublierait pas. Il gagnait des points mais ceux-ci ne serait jamais suffisant pour rattraper ses précédents actes. Elle voulait toujours fuir et retrouver de maitresse.

« Je n’aime juste pas dormir seul…et tu auras l’impression d’être dans un lit royal, avec des draps de soie parfumés, des oreillers moelleux, une jolie moquette… »


Il lui caressait la joue avec beaucoup de douceur. Elle lui sourit timidement. Elle appréciait ce nouveau comportement... Mais combien de temps durait-il ?

"J'ai hâte mon maître."

Il était vrai qu'elle était pressée d'aller se coucher après ce qu'il lui avait fait enduré. Mais elle voulait que cet homme pense qu'elle ne se méfiait plus de lui.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le dimanche 16 octobre 2011, 19:05:29
"J'ai hâte mon maître."

Il lui sourit, presque un sourire affectueux selon certains. Et quiconque aurait dit que sous ce sourire, de nouveaux plans vicieux et retors se mettaient en place auraient eu raison. Mais pas pour ce soir. Non, ce soir, il voulait de la douceur et un sommeil doux et mérité dans les bras d’une jolie jeune femme.

« Je te remercie. »

Il déposa un chaste baiser sur ses lèvres avant de l’entrainer hors de l’eau et commencer à sécher la jeune femme avec un linge blanc comme neige. Il y allait avec douceur, passant de partout, certes, mais sans arrière-pensée puisque même son corps ne trahissait pas le moindre désir pour elle. Puis il commença à se sécher et lui indiqua une pile de vêtements.

« Tiens, apporte les moi s’il te plait, et habille moi pendant que tu y es, pour le souper. Aimerais-tu diner avec moi ? Au menu , on m’a dit qu’il y avait de magnifiques morceaux de dinde en sauce blanche, relevée avec talent. Ça te tente ? Je crois que mon cuisinier a prévu du riz pour accompagner cela. Qu’en penses-tu ? »

Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le mardi 25 octobre 2011, 22:37:45
Il lui souriait comme si rien ne s'était passé. C'était cela qui révoltait le plus Aloysia. En plus elle devait lui faire le plaisir de dormir avec lui. Au moins, elle connaissait un de ses points faibles: la solitude.

« Je te remercie. »

Il l'embrassa doucement, furtivement. Une personne extérieur les aurait vu ainsi collé l'un à l'autre qu'il aurait pensé à un couple amoureux. Aloysia ne se méfiait pas moins de sa nouvelle douceur. Elle préférait le voir ainsi mais que cachait-il ? Il la sécha rapidement et lui indiqua des vêtements.

« Tiens, apporte les moi s’il te plait, et habille moi pendant que tu y es, pour le souper. Aimerais-tu diner avec moi ? Au menu , on m’a dit qu’il y avait de magnifiques morceaux de dinde en sauce blanche, relevée avec talent. Ça te tente ? Je crois que mon cuisinier a prévu du riz pour accompagner cela. Qu’en penses-tu ? »

Elle l'habilla prestement, évitant de regarder la partie intime du maître, fixant son attention sur le beau torse musclé. C'est vrai le torse était ce qu'elle aimait le plus chez un homme.

Ce sera avec plaisir que je dinerais avec vous mon maître. Mais que porterais-je le souper ?

Elle désigna le linge qu'elle avait enroulé automatiquement autour de sa poitrine. Elle n'aimait pa se ballader nue et exposer son corps. La nourriture que lui proposait le jeune homme la dégoutait mais elle devait prendre des forces et manger. Elle aimait la nourriture qu'il lui proposait mais elle avait toujours très mal au ventre après ce qu'elle avait subit.


Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le mercredi 02 novembre 2011, 15:18:47
Il se laissa faire. C’était un peu rapide…il n’avait pas le temps de sentir le velours et la soie caresser sa peau….mais bon, elle avait obéi, et c’était l’essentiel !  Il continuait de voir sa gêne. Mais ne se rendait-elle pas compte de l’inutilité de sa méfiance dans ce domaine. Il n’en avait pas envie. C’est tout. Il sourait devant sa gêne, à force cela passerait. Avec le temps, elle serait sans doute habituée à ce spectacle. Enfin bon, il faudrait bien, sinon les nuits allaient être longues.

"Ce sera avec plaisir que je dinerais avec vous mon maître. Mais que porterais-je le souper ?"

Ah oui, c’est vrai !  Il avait oublié de lui parler de cela !  Il sourit en la fixant, la détaillant du regard en tournant autour d’elle avec l’air d’un vautour regardant une charogne. Puis il finit par ouvrir la bouche pour parler :

« Ah oui, je ne t’ai pas parlé de ça ! En fait ici, en fonction de la qualité physique de l’esclave il y a différent rangs, et donc des tenues associées. Il n’y a que moi qui puisse te changer de catégorie si je le désir. Les différents groupes ont des vêtements distinctifs. Dans ton cas, tu seras vêtue de voiles diaphanes, juste de quoi couvrir le haut, et encore, pas tout. Tu démarre tout en bas de la chaine et tu ne peux que remonter. Tu es mon jouet, mon esclave, et à ce titre, je suis le maitre de ta vie. Puisque tu fais partie des diaphanes, je ne vais pas te le cacher, tu dois te soumettre aux moindres désirs de toute personne ici. Les membres du personnel, quelque soit le niveau hiérarchique ont les mêmes ordres que ceux que j’ai donné dans la salle tout à l’heure. Quelque soit le moment, tu n’auras pas le choix, sauf si bien sur, je t’accorde du répit ou une promotion. Ah oui, et sache que si le plaisir c’est de te tordre les membres, sans les casser, et voir qui parviens à te faire hurler le plus fort possible, et bien…leurs désirs sont des ordres ! »

Comme si tout avait été calculé par avance, un jeune domestique arriva avec une autre pile de vêtements. Il s’agissait d’une simple tunique en voiles à peine opaque, bien assez transparent pour que tout soit visible. Le décolleté descendant jusqu’au nombril, la tunique s’arrêtant à mi cuisses, voir raz le terrain de jeu…qui était à découvert au passage…pas de sous-vêtements.

« Ah oui, et tu viendras tous les soirs à cette heure-ci pour que je te lave, personne d’autre ne devra le faire. Tu pourrais être gluante de foutre, complètement ointe, ça ne changerait rien, et je te nettoierai intégralement, te purifiant au passage…mais rien d’aussi douloureux que cette fois-ci… »

Il faisait bien évidemment référence au lavement. Il allait le lui faire subir tous les jours. Mais pas avec du vinaigre, juste de l’eau….à différentes températures…
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le jeudi 03 novembre 2011, 14:52:40
Aloysia le vit sourire...ce n'était pas bon signe... Il lui tourna autour la détaillant des pieds à la tête. Aloysia le regardait faire, retenant sa respiration. Il n'allait quand même pas lui dire de manger nue ! Une fois son inspection faite, il lui répondit.

« Ah oui, je ne t’ai pas parlé de ça ! En fait ici, en fonction de la qualité physique de l’esclave il y a différent rangs, et donc des tenues associées. Il n’y a que moi qui puisse te changer de catégorie si je le désir. Les différents groupes ont des vêtements distinctifs. Dans ton cas, tu seras vêtue de voiles diaphanes, juste de quoi couvrir le haut, et encore, pas tout. Tu démarre tout en bas de la chaine et tu ne peux que remonter. Tu es mon jouet, mon esclave, et à ce titre, je suis le maitre de ta vie. Puisque tu fais partie des diaphanes, je ne vais pas te le cacher, tu dois te soumettre aux moindres désirs de toute personne ici. Les membres du personnel, quelque soit le niveau hiérarchique ont les mêmes ordres que ceux que j’ai donné dans la salle tout à l’heure. Quelque soit le moment, tu n’auras pas le choix, sauf si bien sur, je t’accorde du répit ou une promotion. Ah oui, et sache que si le plaisir c’est de te tordre les membres, sans les casser, et voir qui parviens à te faire hurler le plus fort possible, et bien…leurs désirs sont des ordres ! »

Aloysia n'en croyait pas ses oreilles. Elle était au plus bas de la chaîne et ce que cela entrainait lui glaça le sang. Elle ne voulait pas subir les assauts continuels des hommes. De plus, elle ne pourrait pas sauvegarder longtemps sa virginité car elle savait que son mensonge ne marcherait pas à chaque fois. De plus, il attribuait la catégorie à l'esclave selon sa qualité physique. Aloysia ne comprenait donc pas vraiment pourquoi elle était au plus bas. Elle était jeune, jolie et surtout vierge. Et puis il avait pris le risque de l'enlever en pleine rue et il ne l'avait pas aborder par hasard. C'est qu'elle l'avait attirer. Mais elle avait compris l'intérêt de cette hiérarchie. Ainsi les esclaves faisaient tout pour être apprécier par leur maître, leur évitant ainsi certaines...corvées. Mais pour son plan Aloysia devait monté dans la hiérarchie du maître et cela l'aiderait non seulement à tenir dans ce lieu affreux et aussi peut être à s'échapper. Aloysia rit intérieurement Quand il dit qu'elle était SON esclave et son jouet. Elle n'appartenait qu'a Sofia Maédra, sa maitresse mais cela il l'ignorait. Sa maitresse se mettrait à sa recherche et tuerait l'être qu'elle avait en face d'elle.

Un domestique arriva avec la fameuse "tunique" en voile diaphane. Aloysia comprit alors qu'être nue ou porter ce genre de chose revenait au même. Elle se demanda ce que les autres esclaves au dessus d'elle pouvaient bien porter mais elle n'osa pas poser la question. Pendant qu'elle l'enfilait son maître fit allusion au lavement.

« Ah oui, et tu viendras tous les soirs à cette heure-ci pour que je te lave, personne d’autre ne devra le faire. Tu pourrais être gluante de foutre, complètement ointe, ça ne changerait rien, et je te nettoierai intégralement, te purifiant au passage…mais rien d’aussi douloureux que cette fois-ci… »


Aloysia grimaça intérieurement. Elle ne voulait pas non plus re-subir les lavements. Elle en avait toujours très mal au ventre. En attendant, elle devait continuer à jouer la comédie. La princesse passa en mode séduction. Elle tournoya sur elle-même faisant voleter sa tunique.

"Cela vous plait maître ?"

Aloysia avait toujours les joues légèrement rosé mais elle essayait de s'imaginer que le vêtement qu'elle portait était opaque et faisait abstraction qu'elle n'avait pas de sous vêtement. Elle s'approcha du maître d'une démarche féline et se colla contre lui, collant ainsi innocemment sa poitrine contre son maître. Elle le regarda avec de grands yeux bleus naïfs et dit doucement:

"Nous allons manger, mon maître ?"

Il allait sans doute être surpris de ce nouveau comportement mais il mettrait sans doute cela sur son système de chaîne. Il savait qu'elle était une princesse et donc que sa motivation serait le confort et le luxe, et donc de beaux habits et des privilèges. Seulement ce n'était pas sa motivation première mais cela, le vampire l'ignorait...
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le samedi 05 novembre 2011, 11:05:53
« Cela vous plait maître ? »

Il ne la regarda même pas, ayant déjà ses pensées ailleurs. Oh, elle pouvait faire étalage de sa beauté, elle en avait sous le capot si l’on pouvait se permettre un peu d’humour terrien. Et puis, l’avoir vu nue, avait été plus que suffisant, et les voiles ne cachant rien, il savait déjà de quoi elle avait l’air après tout…le vampire souriait intérieurement. Ainsi, elle se plaisait à espérer monter en grade, lui, il était ravi si elle se prenait au jeu, c’était le but  de la manœuvre. Cela créait une envie incessante de plaire à Liam, pour conquérir de nouveau privilèges, puis, après, pour les conserver, parce que rien n’tait définitivement acquis, et on recommençait en bas de l’échelle…ça avait le don de motiver ceux qui le découvraient.

Et après, allez dire que Liam n’avait rien à faire de ses journées….mais cette façon de faire avait le don de flatter son ego, et ça, autant vous dire qu’il adorait…

"Nous allons manger, mon maître ?"

Il fut surpris par sa soudaine docilité. Il n’allait pas s’en plaindre. Bien au contraire, mais si elle croyait couper ainsi au reste…elle se trompait lourdement. Il avait encore bon nombre de choses à faire pour lui faire regretter certaines manies. C’était obligatoire. Elle n’y couperait pas, et elle en souffrirait. Normal.

« Oui, ma petite princesse. »

Une petite carotte pour la peine…puis, sans rien dire de plus, il  donna une petite impulsion sur la laisse, qu’il n’avait jamais retiré du collier de son esclave, puis il se dirigea, en l’entrainant dans ses pas, vers le manoir, dans lequel il l’amena à la salle à manger. Une vaste salle munie de nombreux candélabres. Sur la longue table, il n’y avait qu’une seule assiette. Le vampire frappa dans ses mains et on apporta le plat principal. L’odeur était légèrement relevée, tout comme le gout qui était prévu…il s’attendait à un pur festin des plus délectables.

Par terre, à côté du haut dossier, se trouvait un petit tapis très joliment brodé. D’un mètre carré sans doute. Autant ne pas se faire d’illusions, c’est là qu’elle mangerait. Une gamelle en argent était là aussi, sans couverts par contre. Elle devrait manger comme un chien. Il accrocha la nchaine au siège et s’installa, non sans quelques caresses désinvoltes à la jeune femme. On le servit, et lui-même, dans son infinie gentillsse en donna à la jeune femme depuis son assiette. Du riz, de la dinde, de la sauce. Et bon appétit bien sur.

« Tu vois, tout est affecté par ta tenue et ton grade, au grade le plus haut, on mange à table avec moi, au grade le plus bas, même un chien a plus de chances que toi. Donc tu vois vite où est mon intérêt…oups ! »

Une petite quantité de sauce avait joué les évadés et était tombée sur son pantalon. Une belle tâche de sauce se forma sur sa cuisse. Il tourna la tête vers la jeune esclave.

« Je pense que tu sais ce que tu as à faire pour ne pas gaspiller la sauce…étant donné sa qualité il ne faudrait pas la gâcher !  Considère ça comme un cadeau de ma part ! »

Il sourit avant de finalement commencer à manger, faisant mine de se désintéresser d’elle, mais attendant de voir si elle allait obéir, et comment elle allait manger !
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le samedi 05 novembre 2011, 13:55:27
Aloysia vit très bien qu'il n'en avait rien à faire d'elle lorsqu'elle lui demanda ce qu'il pensait d'elle dans cette tenue. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi il l'avait enlevé alors qu'il ne semblait pas du tout lui porter un grand intérêt. Aloysia sourit joyeusement comme si elle était heureuse qu'il l'appelle aussi. En réalité, elle n'en avait rien affaire. Elle se faisait passé pour une fille fragile mais il verrais à qui il avait affaire plus tard. Il ne savait pas qu'elle n'était pas 100% humaine et ce serait à son avantage. Elle était souple et plus rapide que les humains et surtout plus maligne. Elle ne se laisserait pas abuser une nouvelle fois aussi facilement par eux. Elle le suivit sans rien dire en sentant la pression exercé par la laisse.

Quand ils arrivèrent dans la salle à manger, elle observa très attentivement l'emplacement de chaque porte, fenêtre et quand elle vit la gamelle, elle comprit à qui elle était destiné. Pourquoi n'avait-il pas pris un chien plutôt qu'une jeune femme ? Celui-ci aurait été beaucoup plus obéissant car il n'avait pas la capacité de penser. Il l'attacha à sa chaise et lui mit une partit de son repas dans sa gamelle. Il voulait l'humilier jusqu'au bout pour qu'elle perde toute fierté et toute dignité. Mais il n'avait sans doute jamais dressé de princesse auparavant car cela ne suffirait pas à l'affaiblir mentalement. Elle ferait honneur à sa véritable maitresse, elle se le jura. Il fallait juste qu'elle soit plus maligne que lui.

« Tu vois, tout est affecté par ta tenue et ton grade, au grade le plus haut, on mange à table avec moi, au grade le plus bas, même un chien a plus de chances que toi. Donc tu vois vite où est mon intérêt…oups ! »


De la sauce alla tacher le pantalon du maître des lieux. Elle regarda le pantalon taché du jeune homme sans bouger mais elle avait compris où il voulait en venir. Elle s'approcha lentement de lui et mit sa tête au-dessus de la cuisse de l'homme. Elle n'avait vraiment pas envie de lui faire plaisir mais elle voulait s'échapper et il fallait donc qu'elle augmente dans l'estime du vampire. Elle posa ses deux mains de chaque coté de la tâche et approcha ses lèvres. Elle leva les yeux vers lui et elle lécha docilement la tâche. Une fois qu'elle eue finie, elle se lécha coquinement  les lèvres et tout cela sans le quitter des yeux. Puis elle  mangea ce qu'elle avait dans sa gamelle en faisant attention de manger proprement. Il n'aurait rien à lui reprocher. C'était déjà ça. Le goût était un peu trop relevé pour Aloysia mais elle n'allait pas se plaindre car il aurait pu lui donner quelque chose d'horribles à manger. Elle finit sa gamelle en entier même si elle n'avait pas très faim.

"C'était très bon mon maître, presque aussi bon qu'un repas royal."

Aloysia s'approcha doucement de son maître encore assis et s'assis par terre, les jambes sur le coté, dos à lui. Elle posa sa tête sur les genoux du jeune homme. Aloysia se mordit la lèvre, dans son désir de séduire le vampire, elle allait loin, très loin, quitte à se faire punir. Elle ferma les yeux dans l'attente d'une correction, le coeur au bord des lèvres. Il interpréterait ce geste comme un désir d'être près de lui. C'était quitte ou double... Soit il la punissait, soit il ne disait rien. Elle ne bougeait plus la tête sur une cuisse du vampire, attendant la suite.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le lundi 07 novembre 2011, 11:16:34
Il lui souriait en coin, lui rendant son regard avec une étincelle de malice dans l’œil. Allait-elle le faire comme il le pensait, avec les doigts, ou allait-elle nettoyer avec la langue ?

Elle lui apporta donc la réponse assez vite en y allant directement avec la langue. Bon et bien il fallait croire qu’elle avait compris quelque chose. Bon et bien il avait bien fait  d’agir de la sorte. Si elle apprenait dans la douleur, il n’y avait aucune raison d’agir autrement. C’était juste que ces  réactions étaient soudaine. Une telle obéissance, et certaines autres petites choses…c’étaient ces autres pettes choses d’étrange.

Il s’agissait d’exemples flagrants comme ce regard et ce passage de langue ses lèvres, comme une invitation à plus… puis elle se mit à manger, il en fit de même, la couvant du coin de l’œil, faisant attention à ce qu’elle n’utilise pas ses mains. Cela n’aurait pas été intéressant. Mais au moins, elle pouvait poser ses mains sur les côtés pour s’appuyer. Normalement, il aurait du lui attacher les mains dans le dos, et elle aurait du  devoir se débrouiller. Donc elle avait de quoi être chanceuse.
 
« C'était très bon mon maître, presque aussi bon qu'un repas royal. »

Il sourit…elle ne savait pas d’où venait le cuisinier…c’était le cuistot licensié par un grand restaurant terrien, un restaurant absolument divin et le cuistot était digne de préparer la nourriture des dieux. Alors si ce n’était pas bon, ça aurait été par de la mauvaise volonté, tout simplement !

Il sentit quelque chose sur sa cuisse ; Il baissa les yeux. La jeune femme venait d’y poser sa tête. Non mais elle était en train de faire quoi au juste ? Elle s’installait comme ça, sur lui, ou plutôt contre lui. C’était quand même assez sans gêne ! Mais bon, en même temps cela partait d’un bon sentiment…enfin, elle en avait l’impression.

Le vampire leva la main, comme pour la frapper mais finalement, il posa sa main sur la joue de la jeune femme avant de la repousser.

« Je n’aime pas que l’on prenne des libertés ainsi, mais puisque tu sembles si attachée à moi, et si fiévreuse d’en avoir plus, je pense que je vais changer le programme de la nuit…après tout, si tu sembles déjà prête à passer aux choses sérieuses, nous n’allons pas nous en priver ! Ah, pendant que j’y pense, j’ai un cadeau pour toi !  Un cadeau que désormais tu auras matin, midi et soir. Non, en fait ce sont les gardes qui ont eu cette idée et cette envie de te faire un cadeau. Je me suis dit que tu apprécierais ! »

Il frappa dans ses mains et on apporta deux plateaux, sur le premier, un verre à pied et une dague, sur le second un pot en terre cuite et un petit gobelet. Les deux plateaux furent déposés devant Liam, l’un à l’écart, l’autre juste devant lui. Doucement, il prit la dague et le verre à pied. Il tendit le verre à pied et dit à son esclave.

« J’ai soif, remplis moi le verre à raz bord. Si tu ne comprends pas où si tu ne tiens pas à te blesser, je me servirai à la source, tout simplement… »

Il attendait clairement qu’elle remplisse le verre  de son ichôr. Il avait soif de sang. Il avait soif de son sang.

(PS : si tu le demande gentiment, il peut te prêter la petite dague. Pas la peine d’attendre ma propre réponse pour en être sur. Ne le fais juste pas parler^^)
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le lundi 07 novembre 2011, 18:30:36
 La princesse sursauta lorsqu'elle sentit la main froide du maître sur sa joue. Son contact lui était de plus en plus désagréable et il faut croire que pour lui aussi car il la repoussa et elle s'éloigna autant que sa chaîne le pouvait. Elle l'avait mis en colère alors qu'il était calme, en tout cas en apparence avant qu'elle ne fasse cette bêtise. Elle avait compris. Mieux valait rester loin de ce être abjecte. Mais il ne comptait pas la laisser s'en sortir comme ça.

« Je n’aime pas que l’on prenne des libertés ainsi, mais puisque tu sembles si attachée à moi, et si fiévreuse d’en avoir plus, je pense que je vais changer le programme de la nuit…après tout, si tu sembles déjà prête à passer aux choses sérieuses, nous n’allons pas nous en priver ! Ah, pendant que j’y pense, j’ai un cadeau pour toi !  Un cadeau que désormais tu auras matin, midi et soir. Non, en fait ce sont les gardes qui ont eu cette idée et cette envie de te faire un cadeau. Je me suis dit que tu apprécierais ! »


Aloysia se figea en voyant ce qui arrivait sur les plateaux. Il fallait à tout prit qu'elle se rattrape d'une manière ou d'une autre.

" Je suis vraiment désolé maître, je cherchais juste à être une agréable compagnie. Je pensais que vous aimiez le contact des femmes. Mais je me suis trompée, mon souhait était de vous faire plaisir."

Aloysia se tenait toujours aussi loin de lui qu'elle le pouvait mais elle s'était relevé pour lui parler. Elle le dominait maintenant et soutenait son regard glacé. Puis elle regarda le verre à pied qu'il lui tendait et ne fit aucun geste pour s'en saisir.

« J’ai soif, remplis moi le verre à raz bord. Si tu ne comprends pas où si tu ne tiens pas à te blesser, je me servirai à la source, tout simplement… »


Aloysia pencha la tête sur le coté, pensive. On murmurait beaucoup de chose sur les vampires. Certaines était farfelu d'autre un peu moins. Elle avait entendu dire qu'une plante pouvait empoisonner le vampire et l'affaiblir... Un souvenir remonta à la surface. Elle se revoyait de promenant avec sa mère et elle s'était arrêté devant une plante possédant de petite fleur blanche. Aloysia sourit, se souvenir lui redonnait confiance en elle.

" Maître puis-je avoir la dague ?"

Le vampire la lui tendit et sans attendre elle entailla son poignet. Mais elle ne mit pas son sang dans le verre prévue à cet effet, elle le laissa couler par terre. Elle sourit au vampire avant de dire d'une voix douce:

" Je m'appelle Aloysia... Vous l'avez déjà compris, je pense. Mais vous ignorez sans doute d'où viens mon nom... Ma mère a eu une histoire personnel avec un vampire, et elle m'a donné ce prénom pour une raison simple. Saviez-vous que l'Aloysia citrodora était une plante à fleur ? Une plante fine, fragile, avec des petites fleurs blanches. Elle fait partie de la famille des verveines... Je ne sais pas si cela vous dit quelques choses... Mais il s'agit d'une plante inofencive pour les humains mais pas pour les vampires. Mon sang en est d'ailleurs infecté. Car comme le souhaitait ma mère, je prend une infusion de verveine à tous les repas. Allez-vous prendre le risque d'être contaminé et d'être impuissant pendant plusieurs longues minutes ? Et j'aimerais éviter à mon maître un...empoisonnement."

Aloysia disait vrai. Cette plante était réputé pour ces vertus anti-vampire. Mais elle bluffait par contre sur son efficacité. Son sang aurait peut être juste un goût détestable, enfin pour un temps. Elle n'en avait pas prit depuis plusieurs heures et la verveine c'était peut être éliminer de son sang. Elle espérait juste que les croyances payennes était vrai et qu'elle ne passerait pas pour une idiote. Mais elle ne voulait surtout pas que le vampire boive son sang car cela lui apporterait des ennuis puisqu'elle avait aussi du sang de neko. Le vampire mettrait peut être en doute son titre de princesse car elle était une hybride. Elle se tenait debout devant le maître sans le quitter du regard, le sang goutant sur le sol et la dague dans son autre main.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le mardi 08 novembre 2011, 13:08:34
" Je suis vraiment désolée maître, je cherchais juste à être une agréable compagnie. Je pensais que vous aimiez le contact des femmes. Mais je me suis trompée, mon souhait était de vous faire plaisir."

Elle aimait aggraver son cas celle là… bon et bien tant pis pour elle, elle l’aurait cherché ! Elle mériterait une bonne correction, correction qu’elle allait subir, ça elle pouvait en être sure. Mais bon, en même temps, elle l’avait si bien mouché qu’elle avait au moins le mérite d’avoir dit cela. Mais ça s’arrêtait là. Elle avait eu le mérite, elle aurait aussi le blâme ! Logique.

Le plus pénible fut de la voir ainsi se lever et le toiser de haut. Mais elle enchainait les âneries, c’était pas vrai ! Bon, elle finit par prendre la dague pour s’ouvrir les veines du poignet, pour obtenir le précieux ichôr. Mais finalement, elle se mit  à le laisser gouter sur le sol, et en l’occurrence un magnifique tapis….ça allait remuer dans les brancards ! Il était un homme sympathique, mais encore fallait-il le mériter ce qui n’était pas le cas ici. Et elle ne remplissait pas le verre la garce !

" Je m'appelle Aloysia... Vous l'avez déjà compris, je pense. Mais vous ignorez sans doute d'où viens mon nom... Ma mère a eu une histoire personnel avec un vampire, et elle m'a donné ce prénom pour une raison simple. Saviez-vous que l'Aloysia citrodora était une plante à fleur ? Une plante fine, fragile, avec des petites fleurs blanches. Elle fait partie de la famille des verveines... Je ne sais pas si cela vous dit quelques choses... Mais il s'agit d'une plante inofencive pour les humains mais pas pour les vampires. Mon sang en est d'ailleurs infecté. Car comme le souhaitait ma mère, je prend une infusion de verveine à tous les repas. Allez-vous prendre le risque d'être contaminé et d'être impuissant pendant plusieurs longues minutes ? Et j'aimerais éviter à mon maître un...empoisonnement."

Sa phrase le fit éclater de rire, mais pas un rire joyeux, non, un rire sadique ! Ah c’était drôle !  Quelle idiote elle faisait ! Bon, en même temps, elle ne pouvait pas savoir. Mais il n’avait pas aimé cette menace à peine dissimulée, mais pas du tout, enfin, c’était comme ça qu’il avait compris les mots de la jeune esclave. Et ce, tant pis pour elle !

Il claqua des doigts et un soldat arriva, tenant la main d’un enfant, un jeune garçon qu’il tirait presque  derrière lui.

« Et bien, j’ose espérer que tu  as tort, sinon il tuera une personne par minute ou je serai dans les vappes, car crois-moi, je n’ai pas eu la chance de mourir la dernière fois que j’en ai pris…ah mais non, suis-je bête, c’est que je suis déjà plus ou moins mort. Et l’ennui c’est que le sang ne circule même pas dans mes veines, pas comme chez vous du moins…chez moi il est froid comme la mort, empêchant  ainsi toute propagation intraveineuse. Au pire ton truc me brulera l’estomac à un point assez infâme, mais je finirai par m’en remettre …et trop tôt pour toi m’est avis car juste après tu gouteras à ma colère ! Et crois moi, tu n’apprécieras pas du tout ! »

Il donna un violent coup sur la chaine, plus fort et c’était la nuque qui se brisait, dans le seul but de la faire retomber par terre, à ses pieds. Puis il lui donna le pot qui semblait être son cadeau.

« Les gardes se sont dis que puisque tu avais adoré en être recouverte, tu voudrais en gouter davantage !  Du coup, j’ai demandé au gardes de te préparer cela matin, midi et soir, tu le boiras jusqu’à la dernière goutte ou c’est avec ça que je te ferais ton lavement ! Je voirais ton sang après…»

Il sourit sadiquement, espérant qu’elle ne le boive pas jusqu’au bout, pour pouvoir jouer…  il ne lui proposa d’ailleurs pas de moyens de se soigner. Elle pouvait bien devenir exsangue qu’au final, cela ne le dérangerait pas !
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le mercredi 09 novembre 2011, 17:09:04
Après avoir claquer des doigts, un soldat arriva trainant prsque derrière lui...un petit garçon ! Aloysia se figea en le voyant. Il était très jeune... Qu'est-ce qu'un enfant pouvait faire dans le domaine de ce monstre ?! Il n'abusait pas quand même de lui ! Il paraissait à peu près en forme. Aloysia tourna la tête vers le jeune homme, le visage rouge de colère. Il avait dépassé les bornes. La princesse fit un effort pour ne pas se jeter sur le vampire. Cela ne lui ferait qu'aggraver son cas et peut être celui de l'enfant. La suite le lui confirma. Elle avait les poings serrés et n'avait qu'une envie, lui sauter à la gorge et lui la déchiqueter.

« Et bien, j’ose espérer que tu  as tort, sinon il tuera une personne par minute ou je serai dans les vappes, car crois-moi, je n’ai pas eu la chance de mourir la dernière fois que j’en ai pris…ah mais non, suis-je bête, c’est que je suis déjà plus ou moins mort. Et l’ennui c’est que le sang ne circule même pas dans mes veines, pas comme chez vous du moins…chez moi il est froid comme la mort, empêchant  ainsi toute propagation intraveineuse. Au pire ton truc me brulera l’estomac à un point assez infâme, mais je finirai par m’en remettre …et trop tôt pour toi m’est avis car juste après tu gouteras à ma colère ! Et crois moi, tu n’apprécieras pas du tout ! »


Aloysia se retrouva en une seconde par terre après que ce monstre est tiré sur la chaîne pour la faire tomber. Mais elle se redressa et le toisa du regard. Il lui tendit un pot rempli d'un liquide dont l'odeur lui donna de violent haut de cœur. Elle se tourna vers l'enfant et but cul sec le contenu. Elle savait que si elle s'arrêtait, elle ne pourrait pas finir le pot. Une fois finis, elle reposa violemment le pot sur la table et s'essuya la bouche d'un revers de manche.

" Voilà maître, cela vous convient-il ?"

Aloysia sentait son poignet lui picoter mais grâce à la douleur, son esprit était plus clair. Elle n'avait fait cela que pour l'enfant. Elle savait qu'il pouvait très bien bluffer sur la vie de cet enfant mais elle prenait ça au sérieux. On ne joue pas avec la vie des autres.

Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le jeudi 10 novembre 2011, 09:54:32
Oh, elle était en colère pour ça ? Mais comprenait-elle qu’il avait horreur des menaces, et elle venait clairement de le menacer, ce qui, avouons le, était assez grave pour entrainer une punition sévère. Cette nuit ne serait pas aussi douce que prévue, elle serait violente et cruelle, et personne ne dormirait à cause des cris de douleur que la jeune femme pousserait. Mais elle dépassait les bornes, et ce, beaucoup trop pour qu’elle ne puisse pas subir de châtiment…

Quand il lui avait tendu le pot rempli de foutre, elle l’avait bu cul sec…à croire qu’elle aimait vraiment cela… bon et bien il augmenterait la dose ! Demain matin elle aurait carrément un litre à boire. Et elle aurait intérêt à le boire jusqu’à la dernière goutte. Il souriait tout en dents.

" Voilà maître, cela vous convient-il ?"

Elle avait raison de prendre ses précautions, il n’aurait pas hésité une seule seconde à le faire tuer, et la goule ne lui poserait pas le moindre problème quant à l’exécution puisqu’elle était mentalement soumise à sa volonté, par nature. Ainsi, l’enfant apparaissait comme otage. Lui il était ravi !

« Non, cela ne me convient pas, petite chienne ! Tu as intérêt à vite revenir à ta place si tu ne veux pas coucher chez les gardes et qu’ils te brisent complètement car la seule limite que je leur imposait sera le fait que tu ne meurs pas…alors rappelle toi vite de ta place, sinon, je te promets que tu n’apprécieras pas ! »

Forçant sur la chaine, il  rapprocha son esclave de lui  avant de saisir le poignet qui tenait l’arme et serrer dessus jusqu’à ce que l’arme tombe au sol. Il récupéra la dague et la posa sur la table avant de saisir l’autre poignet, celui qui était entaillé et il le porta à ses lèvres. Et d’un coup de dents, un seul, il pénétra sa chair de ses crocs pour commencer à boire, instillant en elle son aphrodisiaque par sa salive en énorme quantité tant le sang lui avait manqué, et cette fois ci, c’était bien malgré lui…

Bien vite, l’estomac le brûla mais il n’arrêta pas pour autant. Il voulait la laisser avec assez de sang pour rester consciente, mais tout juste. Et vu comme il était vorace, cela arriva bien vite. A ce moment-là,  il retira ses crocs de sa chair et articula à l’attention de la goule :

« Cell…cellule numéro huit, préparez là comme vous voulez… »

Puis, se tenant le ventre, titubant, il sortit et le garde relâcha le gosse le faisant sortir pour venir prendre Aloysia par les cheveux. Il avait bien l’intention de l’attacher au-dessus du sol par les poignets, comme promis, avant de jouer avec son corps. Tant qu’il ne laissait pas de marques qui allaient plus loin que les rougeurs simples…
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le jeudi 10 novembre 2011, 17:17:49
« Non, cela ne me convient pas, petite chienne ! Tu as intérêt à vite revenir à ta place si tu ne veux pas coucher chez les gardes et qu’ils te brisent complètement car la seule limite que je leur imposait sera le fait que tu ne meurs pas…alors rappelle toi vite de ta place, sinon, je te promets que tu n’apprécieras pas ! »


Aloysia tourna la tête et sourit pour rassurer le petit garçon encore présent dans la pièce. Elle n'avait que 18 ans mais elle possédait un instinct maternel déjà développer et un amour pour les enfants. Elle articula silencieusement, faisant attention que le maître ne voit rien en lui cachant son visage grâce à ses cheveux. Le petit garçon lui pouvait voir ce qu'elle articule avec les lèvres: " Ai confiance en l'avenir.". Elle le sauverais d'un bout d'un autre lui aussi. Mais cela voulait peut être dire qu'il y en avait d'autre. Elle se remit en face de son maître au moment où celui-ci la força à se rapprocher.

Il lui saisit le poignet et la força à lâcher l'arme. La princesse poussa un grognement à peine audible alors que la dague s'échappait de sa main. Elle était en rogne et elle ne comptait pas le cacher. Le maître se saisit de son autre poignet et Aloysia tira de toute ces forces sur celui-ci pour échapper à l'emprise du vampire. Mais celui-ci planta ses crocs dans sa chair et Aloysia poussa un hurlement.

" Non arrêtez ! Lâchez-moi ! Vous allez vous empoisonnez !"

Aloysia ne voulait pas que le garçon en subissent les conséquences. Après la douleur, elle sentit une drôle de sensation l'envahir. Elle ressentait du plaisir, beaucoup de plaisir. Elle sentait que son intimité devenait de plus en plus humide et sa conscience s'effilochait de minute en minute. Ses forces la quittaient doucement mais c'était une période de répit agréable... Elle regardait son maître sans vraiment le voir. Son visage n'exprimait que du plaisir et ses joues rougissaient doucement. Elle haletait et sentait sa température augmenter sensiblement. Puis il cessa. Aloysia eut du mal à récupérer et la dernière image qu'elle eut de lui, c'était un vampire se tenant le ventre et titubant comme s'il était complètement soûl. Aloysia ne pût s'empêcher de rire en le voyant ainsi, plié en deux. Elle murmura alors, mais assez fort pour que seul un vampire puisse l'entendre.

" Chacun son lavement. Et ce n'est que le début..."

La jeune princesse voulait se venger et lui pourrir la vie. Mais quand sa maitresse la retrouverait, il regretterais de s'être arrêté devant elle. Un garde vint la saisir par les cheveux pour l'emmener dans une cellule apparemment.

" Lâcher moi, grosse brute ! On vous a pas appris à les bonnes manières avec les femmes !"

Il l'attacha sans plus de cérémonie au-dessus du sol. Mais même dans cette position, sa colère n'était pas calmer. Loin de là. Et elle le faisait savoir.

" Votre abruti de maître doit souffrir en ce moment... Il va passer le restant de la nuit, allongé et se tordre en poussant des cris de femmelette. Son ego le perdra... Il doit se sentir bien seule dans cette demeure. En même temps aucune femme ne pourrait aimer vivre avec ce vampire égocentrique, violent et sans respect pour les femmes."

Le garde bien sur n'accordait aucune importance à son discours et il semblait même ne pas l'entendre. Son regard était vide et c'est geste, mécanique. Aloysia attendait donc suspendit et attendit sa sentence la tête haute.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le samedi 12 novembre 2011, 19:28:31
« Votre abruti de maître doit souffrir en ce moment... Il va passer le restant de la nuit, allongé et se tordre en poussant des cris de femmelette. Son ego le perdra... Il doit se sentir bien seule dans cette demeure. En même temps aucune femme ne pourrait aimer vivre avec ce vampire égocentrique, violent et sans respect pour les femmes. »

L’homme ne répondit pas, et pour cause, il n’avait plus de langue, il émit juste un grognement assez significatif sur l’intérêt qu’il portait à ses paroles. Sa langue, il l’avait déjà perdu avant de devenir la goule docile et obéissante du seigneur Eckart, et ce, de son plein gré. En échange d’un salaire confortable, d’un gain de force physique conséquent et de la sécurité de l’emploi, il avait accepté de se soumettre. Mais il avait gardé sa volonté propre, il ne pouvait pas aller contre celle du maître, c’est tout !  Mais tant qu’il allait dans son sens, dans les grandes lignes, et qu'il obéissait aux ordres, c’était bon il pouvait faire ce qu’il voulait. Mais inutile de tenter de le subordonner à quelqu’un d’autre, il ne voulait que servir maitre Liam Eckart.

Il sortit une sorte de petit flacon et un couteau qu’il déposa sur un très léger feu afin de faire chauffer la lame à blanc, pour les opérations à venir, ce serait bien plus simple ! Et comme ça, les plaies seraient cautérisées plus vite. Ainsi, pas d’infections, c’était l’idée générale, mais bon….

Le garde prit le poignard dont la lame était brulante, et il entailla légèrement l’aine de la jeune femme, y collant le flacon pour un échantillon de sang et s’en alla avec, la laissant seule, pendue par les poignets, la laissant ainsi lentement souffrir de la pendaison, ses poignets devant supporter le poid du reste du corps.

Il revint un petit quart d’heure plus tard avec un petit sac de toile. Il avait déposé chez le mage l’échantillon sanguin pour avis concernant le poison. En voyant la fiole, le mage avait compris et avait tout lâché pour d’occuper de ça. Et avait donné aussi, comme à chaque passage de cet homme pour sa tâche habituelle, le petit sac en toile en lui précisant qu’il faudrait attendre deux semaines pour en avoir à nouveau.

Il s’approcha de la jeune femme, et après avoir humidifié ses doigts dans le très mince filet de sang, il les glissa dans  le petit sac et les ressortit. Ils étaient devenus bleus ! La poudre ressemblait à un ersatz de sulfate de cuivre mais dont les propriété, outre la teinture, étaient toutes autres….

Doucement, il les approcha de l’abdomen de la jeune femme, et passant une main derrière elle, sur ses reins, il commença à tracer un symbole sur elle, prenant son nombril comme centre pour celui-ci. Puis il continua jusqu’à ce qu’elle porte une série de figures mystiques de son pubis à son cou, du haut de la raie de ses fesses jusqu’à sa nuque. Et c’était alors qu’il apposait la touche finale, peignant ses mamelons aussi que tout cela prit son sens. En effet,  les lignes bleus commencèrent à être parcourues d’un léger courant électrique, puis lentement les traits rongèrent la peau qui étaient en dessous, la remplaçant, avant de s’enfoncer plus, et quand ils dépassèrent le derme la peau se reconstitua par-dessus. Rien n’était indolore dans cette pratique, c’était tout son intérêt. Bientôt, la marque devint invisible, comme si elle n’avait jamais existé, çà une exception près, chaque contact de peau à peau la brulerait pour une quinzaine de jours. Jamais de marques, juste de la douleur. Et devinez qui était la seule personne à pouvoir faire s’atténuer la douleur…sas ce contact, la moindre douleur resterait, s’amplifiant de manière très variable. Ainsi, si elle ne réclamait pas ce contact apaisant, la jeune femme souffrirait chaque instant avantage d’un contact physique…
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le dimanche 13 novembre 2011, 13:05:54
Aloysia vit l'homme sortir une dague et... un couteau ! La princesse paniqua et de débattit dans les airs. Peine perdu. Il l'avait solidement attaché et elle commençait déjà souffrir de la douleur en étant ainsi accroché. De plus, son poignet était toujours ouvert et le sang coulait plus abondemment en étant pendu par celui-ci. Elle vit l'homme s'approcher d'elle avec le couteau et ne pût s'empêcher de gémir de douleur. Il lui avait ouvert l'aime et récoltait maintenant son sang. Le vampire voulait sans doute savoir ce que son sang contenait et découvrir les verrues de la verveine. Malheureusement son effet n'était pas éternelle et elle savait qu'ici elle n'en trouverait pas.

L'homme partit avec la fiole et revint quelques minutes après avec maintenant un petit sachet. Qu'allait-il encore lui faire ? Qu'il la tue sur le champs et on n'en parlerais plus. Sauf que le maître des lieux ne tolérait pas un échec vu la dimension de son ego. Il ferait tous pour qu'elle rampe. Mais Aloysia préférait mourir que ramper. Elle avait voulu essayer de s'échapper mais il valait mieux attendre que sa maitresse vienne la chercher. Car si elle s'échappait, elle n'aurait pas le droit à l'erreur. La princesse vit l'homme sortir ses doigts recouvert de poudre bleu du sachet. Un sort ! Elle en était sûre. Elle avait étudier rapidement la possibilité d'accomplir des sorts mais sans rentrer dans les détails. Son précepteur l'avait évoquer juste à titre d'information.

Il approcha ses doigts du corps de la la jeune femme et commença a tracer des symboles mystique sur pratiquement la totalité de son corps. Aloysia frissonnait d'horreur en voyant ses marques prendrent forme sur son corps. Puis quand il eut finit, Aloysia sentit une légère décharge électrique dans tous son corps qui lui arrachèrent des des gémissement de douleur et quelques larmes. Puis une douleur atroce remplaça ces décharges. Aloysia se cambra sous la douleur et hurla. Elle avait l'impression qu'on lui dévorait la chair. Elle hurlait à en perdre la voix et de débattait comme une furie. Il fallait a tous prix que cela s'arrête. Elle hurla même à l'homme présent dans la cellule.

" Tuez-moi !!! Je vous en supplie !!!"

Elle avait l'impression que ces épaules allaient se déboiter tellement elle se débattait. C'était sans doute ce qui allait arriver. Puis la douleur cessa et la tête d'Aloysia retomba, inerte. Elle s'était évanouie. La douleur, la fatigue et la perte d'une bonne partie de son sang avait eu raison d'elle. Son corps ne bougeait plus et son pouls était très faible. Avant de sombrer dans l'inconscience, le visage du petit garçon et de sa maitresse s'étaient imposer à elle. C'était pour eux qu'elle tenaient bon. Sinon, il lui aurait fallu de mordre la langue et s'étouffer avec et elle en était capable.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le lundi 14 novembre 2011, 15:32:13
Elle avait beau hurler, le garde ne réagit pas le moins du monde. Idem quand il s’agissait de la voir se tordre de douleur, bien au contraire, il croisa les bras sur son poitrail et attendit. Il attendait juste une chose : que la jeune femme se calme et arrête de se débattre. D’ici là, il sifflotait gentiment. Non, il n’allait rien faire, il attendait juste le bon moment pour commencer la torture permanente. Il fallait commencer par de la douleur de partout, comme des brulures. Et comme le maitre devait toujours toucher la zone douloureuse pour que cela disparaisse. Elle oserait lui dire peut être de lui toucher le visage ou la main, mais à un moment où à un autre, elle aurait mal dans des endroits que l’on qualifierait de gênant, non, qu’elle qualifierait de gênant !
 
" Tuez-moi !!! Je vous en supplie !!!"

Oh non, pas de gâchis. Il se contenta de commencer à lui caresser le visage, le cou, les épaules, et il descendit, n’oubliant aucune zone jusqu’à la taille, attendant qu’elle hurle encore au contact de ses paumes. Puis il passa ses mains entre ses cuisses, effleurant ses lèvres intimes aussi, les rendant bien évidemment douloureuse, comme une intense brûlure qui ne s’en irait pas avec de la glace, bien au contraire. Qu’elle tente quoique ce soit pour apaiser la douleur autrement que par le contact du maitre et elle subirait les effets dix fois plus fort. Il recommença dans son dos, passant partout, ou point de pénétrer même son fondement avec deux doigts pour que ce soit douloureux dedans tant que dehors. Il passa un bon moment à caresser ainsi sa douce peau, sans arrière pensées. Il ne pouvait de toute
 façon pas aller bien loin en étant eunuque…

Finalement, il la laissa glisser sur le sol, la relevant par les cheveux. Il la traina dans la chambre du maitre et la laissa là, dans cette chambre plus luxueuse que celle d’un roi ! Le vampire tait sur son lit, assis, en train de vomir quelque chose de noirâtre après s’être donné un puissant vomitif. Il releva la tête vers la jeune femme. Il était pâle, plus pâle qu’avant, et il suait légèrement. Mais au dela de cela, tout allait bien.

Il repoussa la bassine et posa sa main sur son estomac, y enfonçant les ongles avant de se concentrer. Il grimaça et gémit très légèrement de douleur avant de  retirer sa main, haletant, mais souriant.

« Bon, voilà, c’est fini. Dès demain je saurai si tu es buvable ou pas !  Et si tu l’es, je me nourrirais tout mon saoul, crois-moi !  Je ne me gênerai pas ! N’étant pas tombé dans les vapes, il n’y aura aucune punition ni aucun mauvais traitement sur l’enfant. Allez, viens-là ! »

Il s’étendit sur le lit et lui tendit la main, voulant apparemment qu’elle vienne le rejoindre. Il lui tendait même sa main  pour l’y inviter.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le lundi 14 novembre 2011, 18:28:04
La princesse reprit rapidement ses esprit en sentant des brulure sur son visage et sa nuque. Il la brulait ! Il passa ses mains partout où il le pouvait et Aloysia de tordait et hurlait de douleur en sentant les mains de l'homme se poser sur son corps. Mais elle vit qu'aucune marque n'était présente sur son corps. Mais la douleur était bien là, elle ! Aloysia n'avait plus assez de force pour donner des coups mais elles cambra en sentant les doigts se poser sur son intimité. Cela venait du sort ! Il voulait la faire souffrir sans l'abimé. Elle supplia les larmes aux yeux, l'homme qui lui imposait cette torture.

" Je... Je vous en supplie, arrêtez... J'ai de l'argent, beaucoup d'ar... Aaaaaaaaahhh !"


Il n'en avait rien à faire de son argent. Il continuait son manège faisant hurler la princesse esclave. Il enfonça même deux doigts dans son fondement qui lui arracha des cris aigus à percer les tympans. Elle n'en pouvait plus lorsqu'il la détacha. La douleur persistait dans tout son corps, la rendant folle. Il la traina jusqu'à la chambre du maître et Aloysia aperçu le vampire en train de vomir et de pousser des gémissements plaintifs. La princesse sourit malgré la douleur. Lui aussi en avait bavé apparemment. Le seul problème était qu'il avait l'air d'aller mieux...mais pas elle. Il le confirma d'ailleurs.

« Bon, voilà, c’est fini. Dès demain je saurai si tu es buvable ou pas !  Et si tu l’es, je me nourrirais tout mon saoul, crois-moi !  Je ne me gênerai pas ! N’étant pas tombé dans les vapes, il n’y aura aucune punition ni aucun mauvais traitement sur l’enfant. Allez, viens-là ! »


Aloysia soupira de soulagement en sachant que l'enfant allait bien. Lui au moins s'en sortait bien. Elle était à genoux par terre, regardant le maître s'allonger sur le lit. Il lui tendit la main, attendant qu'elle le rejoigne. Ses brulures continuaient de la faire souffrir et des larmes coulaient sur ses joues. Elle avait mal partout et il allait encore en profiter. Elle se mit debout, les jambes tremblantes et s'approcha du lit. Sa démarche était chancelante et son souffle était rapide et irrégulier. Elle prit la main que lui tendait le jeune homme et il se passa quelque chose d'étrange. La douleur de la brulure de sa main disparut. Elle monta sur le lit, interloqué par le phénomène. Voilà à quoi servait le sort... Elle avait des brulures partout, vraiment partout... Le vampire devrait la toucher intégralement pour arrêter la douleur. Aloysia s'allongea près du vampire mais sans le toucher. Elle avait compris qu'il n'était pas vraiment...affectueux. Ou alors il préférait quand c'était lui qui prenait les devants, pas l'inverse. Aloysia grimaça de douleurs en sentant les draps contre sa peau. Elle n'avait qu'une envie qu'il la touche...partout où elle avait mal. La princesse était gêné et surtout attristé par ce constat car il obtenait ce qu'il voulait. La princesse le réclamerait de force puisque ce n'était pas de gré.

Elle le regardait allongé. Il était si dure de savoir que "l'antidote" de trouvait à porté de main mais qu'elle serait punit sans avoir au préalablement demander et supplier. Elle ne le supplierait pas. Sa fierté était plus forte que la douleur mais elle lui parlerait franchement comme elle avait l'habitude de le faire dans la vie courante. Plus de jeux, plus de faux semblant. Elle lui dirait ce qu'elle pensait. Soit il apprécierait sa franchise, soit il essayerait à nouveau de la "dresser".

" Je vois que vous savez vous rendre indispensable, maître. Quand j'ai sentis que la brulure à la main disparaissait à votre contact, je ne vais pas vous mentir, je souhaites qu'une chose depuis, me jeter et me blottir dans vos bras. Vous avez réussit votre coup. Je n'ai qu'une envie que vous me touchiez...partout..."

Aloysia arborait un sourire amère sur les lèvres. Elle ne l'aimait pas mais le désirait car elle le savait le seul capable de calmer le feu qu'elle ressentait sur sa chair. Elle le regardait sans ciller, attendant de voir la suite des événements. Il la laisserait peut être souffrir ainsi toute la nuit... Si c'était le cas, elle sauterait par la fenêtre car elle ne supporterait pas la douleur bien longtemps. Mais des larmes continuaient d'inonder les joues de la princesse signe de douleur et de tristesse...
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le mardi 15 novembre 2011, 13:27:00
Son soupire de satisfaction le fit sourire. Quelle générosité vis-à-vis de personnes qu’elle ne connaissait pas  !  Elle n’avait peut-être pas compris mais le vampire était tout aussi capable de cette générosité. C’était vrai, après tout, il aurait pu la faire coucher chez les gardes, et là elle aurait été traitée de manière bien pire, mais non, il l’avait juste invité dans sa chambre, à proximité de la seule personne sur cette terre à pouvoir la soulager de ses maux. C’était sa forme de générosité.

Il fut ravi de voir que le sort faisait effet, cela se voyait à sa démarche, elle titubait presque, normal, chaque recoin de son corps était sans doute soumis à une forte chaleur. Et qu’elle attende le lendemain, elle verrait ce qu’attendre trop signifiait !  Ce ne serait plus des brûlures, mais carrément l’impression que si elle s’enfonçait des punaises dans le corps. Et là, elle le voudrait enfin sans doute. Il se doutait qu’elle finirait par craquer. Ses larmes montraient que sa résistance était bien entamée.

Et hop, au travers du contact entre leur main, il lui offrit un petit échantillon de sa salvation ! Mais c’est tout puisqu’il ne fit aucun geste de plus, regardant le plafond, la laissant dans ses ennuis douloureux. Il n’avait aucune intention de faire le premier pas, ou du moins, pas avant qu’elle ne le supplie vraiment, pas avant qu’elle ne mette fin à ses dernières formes de fierté qu’il lui restait. Il fallait qu’elle abandonne tout sans exception pour lui !
 
« Je vois que vous savez vous rendre indispensable, maître. Quand j'ai sentis que la brulure à la main disparaissait à votre contact, je ne vais pas vous mentir, je souhaite qu'une chose depuis, me jeter et me blottir dans vos bras. Vous avez réussit votre coup. Je n'ai qu'une envie que vous me touchiez...partout... »

Il sourit, mais contrairement à Aloysia, qui arborait un sourire amère sur les lèvres, lui il était ravi de cela. C’était un début, et même si c’était loin d’être suffisant, c’était pas trop mal pour commencer. Il ne cherchait pas à se faire aimer, non, il cherchait juste à lui faire comprendre qu’elle avait besoin de son existence, besoin d’être à portée. Le vampire, réfléchit bien aux mots pronconcés par la jeune femme et finit par la saisir par la main purgée de sa douleur et il se leva pour l’emmener dans un coin de la pièce pour accrocher son collier à une chaine. Le coin était vide et assez près du lit pour qu’elle puisse, en se roulant en boule, se coucher dessus, mais de là où il dormait, le vampire pourrait la voir tenter de le toucher sans résultats., elle était pile poil asse longue pour être incapable de l’atteindre, lui.

« C’est très gentil à toi de dire ça, mais j’espère mieux de toi !  Rappelle toi qui tu es, qui je suis, et comment agir en conséquence. Si tu parviens à tut faire dans les règles de l’art, alors oui, je te toucherai où tu le demanderas. Sinon,…et bien disons que tu devras prendre ton mal en patience ! »

Il voulait des suppliques, des vrais, et non juste une demande ! Puis, sans demander son reste, le vampire s'installa dans les draps et se coucha, éteignant la chandelle.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le mardi 15 novembre 2011, 23:37:32
La princesse le voyait sourire de contentement...pendant qu'elle souffrait ! Sur quel être abominable elle était tomber ?! Comment pouvait-on se réjouir de la douleur des autres ? Aloysia ne comprenait pas comment on pouvait devenir...un monstre. C'était le mot !

Elle le vit se lever et il la prit par la main déjà soigner puis l'entraina dans un coin. Qu'allait-il encore lui... Et elle vit le collier accrocher à une chaîne. Elle essaya de se débattre, elle ne voulait pas finir attacher. Elle avait horreur de cela.

" Maître, je ne suis pas un chien..."

Sa voix était faible, presque suppliante... Presque. Sa fierté était encore là et elle ne comptait pas l'abandonné pour le vampire. La chaîne était courte, trop courte pour atteindre le jeune homme qui lui faisait face. Elle pouvait tout juste se coucher sur le bout du lit. Il s'assurant ainsi qu'elle ne pourrait pas le toucher. Elle jeta un regard à la fenêtre. Elle ne pouvait maintenant plus l'atteindre. Et puis...elle n'étai pas sûre de vouloir mourrir... Enfin, pas de cette façon là en tout cas. La princesse reporta son attention sur le vampire, écoutant ce qu'il avait à lui dire.

« C’est très gentil à toi de dire ça, mais j’espère mieux de toi !  Rappelle toi qui tu es, qui je suis, et comment agir en conséquence. Si tu parviens à tut faire dans les règles de l’art, alors oui, je te toucherai où tu le demanderas. Sinon,…et bien disons que tu devras prendre ton mal en patience ! »


Elle s'assit difficilement par terre et s'appuya contre le mur. Autant rester loin de lui avec ce qu'elle voulait lui dire. On ne sait jamais. De toute façon, elle n'avait plus de force et ne pouvait plus bouger de la place où elle était. Elle le regarda se coucher et éteindre la bougie sans un mot. Elle prit alors la parole avec l'énergie qu'il lui restait.

" Je sais qui je suis, je suis la princesse Aloysia Weber. Et vous, vous êtes le maître de ces lieux. Voilà ce que je sais. Autant me tuer tout de suite puisque je ne compte pas mettre la fierté de coté.
 Je ne céderais pas et puis je mourrais peut être d'ici quelques jours de faim, de soif et de fatigue dû à la douleur de mes brulures. Et j'aurais au moins une satisfaction, que vous n'ayez pas réussis à me dresser. Je ne vous supplierais pas. Je ne suis pas une jeune femme comme les autres et je n'ai pas reçus la même éducation. Chez les rois et reines, nous ne cédons pas au chantâge et faisons passer le bien des autres avant le notre.
D'ailleurs, nous nous ressemblons sur un point: nous sommes fier. Imaginez que la situation est inversé, céderiez-vous ? Je n'ai pas besoin de votre réponse car ma réponse est la même que la votre. Alors le jours où vous comprendrez comment je fonctionne, vous aurez tout de moi, absolument tout. Mais apparement une seule personne la compris jusqu'ici...
Et pourquoi moi d'ailleurs ? Pourquoi avoir voulu faire de moi votre esclave ? Autant acheté un chien ! Vous voulez que vos esclaves se comporte comme des...chiennes, et pas comme des humains, quel est la satisfaction que vous en tirez ? Cela est plus agréable de vivre et de coucher avec une chienne plutôt qu'avec une femme ? Je ne vous comprend pas...

Aloysia savait qu'elle ne parlait pas dans le vide. Depuis quand un vampire dormait réellement ? Elle lui disait la vérité à un point près. Même s'il changeait complètement de façon de procédé avec elle, elle n'oublierait pas. Elle avait fait un long discours et la fatigue étai plus que présente. Elle avait mal, très mal mais ne voulait pas supplier. Elle avait demander, c'était déjà beaucoup. Elle regardait le lit, le regard dans le vague. Elle ne pourrait pas dormir... Elle avait trop mal...

Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le jeudi 17 novembre 2011, 15:31:36
Elle prétendait de ne pas être un chien et c’était vrai, c’était une chienne, pardon pour cette monstrueuse erreur de langage de cette nouvelle petite esclave. Il lui tourna le dos et s’installa sous les draps. On pouvait dire ce qu’on voulait, le fait qu’il maitrise sa soif de sang et la saleté qau’il avait chopé à cause d’elle l’avait assez fatigué pour qu’il puisse dormir comme n’importe quel crétin de mortel.

" Je sais qui je suis, je suis la princesse Aloysia Weber. Et vous, vous êtes le maître de ces lieux. Voilà ce que je sais. Autant me tuer tout de suite puisque je ne compte pas mettre la fierté de côté.
 Je ne céderais pas et puis je mourrais peut être d'ici quelques jours de faim, de soif et de fatigue dû à la douleur de mes brulures. Et j'aurais au moins une satisfaction, que vous n'ayez pas réussis à me dresser. Je ne vous supplierais pas. Je ne suis pas une jeune femme comme les autres et je n'ai pas reçus la même éducation. Chez les rois et reines, nous ne cédons pas au chantâge et faisons passer le bien des autres avant le notre.
D'ailleurs, nous nous ressemblons sur un point: nous sommes fier. Imaginez que la situation est inversé, céderiez-vous ? Je n'ai pas besoin de votre réponse car ma réponse est la même que la votre. Alors le jours où vous comprendrez comment je fonctionne, vous aurez tout de moi, absolument tout. Mais apparement une seule personne la compris jusqu'ici...
Et pourquoi moi d'ailleurs ? Pourquoi avoir voulu faire de moi votre esclave ? Autant acheté un chien ! Vous voulez que vos esclaves se comporte comme des...chiennes, et pas comme des humains, quel est la satisfaction que vous en tirez ? Cela est plus agréable de vivre et de coucher avec une chienne plutôt qu'avec une femme ? Je ne vous comprend pas..."

En effet, il ne dormait pas, pas encore. D’ailleurs elle le remarqua bien vite puisque ce fut un grand éclat de rire qui retentit dans la chambre, un rire franc et clair, et chose étrange, il venait du vampire, il en riait à se contorsionner sur son lit, se tenant les côtes, ayant même des larmes aux yeux. Il lui fallut de très longues minutes pour qu’il se calme. Puis il se redressa et s’assit sur le lit face à elle.

« Ah quel beau discours, et tu vois, il a su me toucher droit au cœur. Je ne t’avais pas compris en effet. Mais avant cela, il y a une ou deux choses que je vais préciser… »

Il se leva, nu, et s’approcha de la jeune femme à qui il ôta le collier. Puis, la prenant par les cheveux, il l’approcha de la fenêtre pour enfin la saisir par la gorge et la soulever de terre, pour la maintenir au-dessus du vide proposé par la fenêtre ouverte. Oui, il la tenait à une vingtaine de mètres du sol pavé. Autant dire que la chute aurait de fortes chances d’être mortelle.

« Regarde, je tiens ta vie entre mes mains, il ne me suffit que de peu pour pouvoir pour t’envoyer ad patres. Tu prétends avoir de al fierté, mais tu as déjà oublié ce que cela veut dire. Tu te dis princesse, mais franchement, toi comme moi savons qu’on ne laisserait pas sortir une princesse sans escorte, sans fiacre et sans domestiques. De même, tu sais qu’une princesse ne se » serait pas laissée abusée et encore moins abordée de la sorte  en pleine rue, notamment pour la première raison donnée. Ne me parle pas de fierté alors que tu mens comme tu respires ! Même moi je tiens plus d'un prince que toi ! Ne cherche pas à me comprendre tant que tu ne seras pas honnête avec toi même ! Je suis ce que je suis, et je l'assume ! »

Il la fit rentrer et la projeta sur le lit. Avant de s’approcher d’elle, menaçant, la toisant de toute sa hauteur.

« Tu veux savoir pourquoi je t’ai enlevée, je me suis dit qu’une fille comme toi ne manquerait à personne et serait assez joli pour valoir un minimum d’argent. Et comme tu l’a remarqué, je n’ai pas couché avec toi petite chienne. Je ne prends pas de force les garces dans ton genre par plaisir, mais juste pour remettre à sa place les petite chienne dans ton genre ! »
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le jeudi 17 novembre 2011, 16:59:20
La princesse sursauta lorsque le rire du vampire résonna dans la pièce. Elle n'avait rien dit de drôle et pourtant cela paraissait hilarant pour le jeune homme. Aloysia se vexa et tourna la tête vers la fenêtre sans dire quoi que ce soit. Il n'avait qu'à mourir de rire, cela lui ferait des vacances. Finalement, elle entendit un froissement venant des couverture et elle tourna la tête dans sa direction. Il s'était assis dans le lit et répondit en partie à son long discours.

« Ah quel beau discours, et tu vois, il a su me toucher droit au cœur. Je ne t’avais pas compris en effet. Mais avant cela, il y a une ou deux choses que je vais préciser… »


Aloysia vit le maître se lever, nu, et s'approcher d'elle. Aloysia ne bougea même pas. Elle n'avait de toute façon plus beaucoup de force alors autant les économiser. A son plus grand soulagement il défit son collier. Ah... Il avait enfin compris...

Mais apparemment non car il la saisit sans ménagement par les cheveux et la conduisit jusqu'à la fenêtre. La princesse esclave gémissait de douleur et cherchait à se dégager. Il la saisit à la gorge et la souleva de terre. Aloysia s'agrippa au poigne de l'homme pour ne pas être étouffer. Elle le regardait sans ciller. Étonnement, elle n'avait pas peur. La chute serait rapide et elle n'aurait pas le temps de se sentir mourir. Mais bon, elle ne voulait pas mourir non plus.

« Regarde, je tiens ta vie entre mes mains, il ne me suffit que de peu pour pouvoir pour t’envoyer ad patres. Tu prétends avoir de al fierté, mais tu as déjà oublié ce que cela veut dire. Tu te dis princesse, mais franchement, toi comme moi savons qu’on ne laisserait pas sortir une princesse sans escorte, sans fiacre et sans domestiques. De même, tu sais qu’une princesse ne se » serait pas laissée abusée et encore moins abordée de la sorte  en pleine rue, notamment pour la première raison donnée. Ne me parle pas de fierté alors que tu mens comme tu respires ! Même moi je tiens plus d'un prince que toi ! Ne cherche pas à me comprendre tant que tu ne seras pas honnête avec toi même ! Je suis ce que je suis, et je l'assume ! »

Aloysia sentit la rage et la colère monter en elle. Il l'accusait de menteuse, ce qu'elle n'était aucunement. Pas sur cela en tout cas. Si elle mentait parfois à cet être, c'était juste pour préserver sa vie. Elle ne voulait pas lui dire qu'elle avait une maitresse. Elle avait peur de sa réaction alors elle allait déformer la vérité. Mais elle n'eut pas le temps de répliquer qu'il la jeta sur le lit. Aloysia le regardait une lueur de haine dans les yeux. Il la prenait pour une moins que rien ! Il continuait sur le même ton, persuader d'avoir en face de lui une roturière. Il manquait vraiment de jugeote ce vampire. Elle le lui fit savoir sans tarder.

" Vous n'avez vraiment rien compris. Ce que vous n'avez pas comprit, c'est qu'une esclave humaine, jolie, vierge et princesse vaut plus chère que la plupart des esclaves. Vous croyez être le premier avoir des projets d'enlèvement me concernant ?! Détrompez- vous ! Il y a peu de temps je me suis fait enlevé dan le parc du château où je résidais et cet vermine avait pour projet de me vendre. Malheureusement pour lui, je me suis échapper et retrouver à la rue. Et quand j'ai vu un beau jeune homme m'accoster avec des manières qui me laissait penser que vous étiez un noble, ce que vous m'avez confirmer là-bas, je me suis dit que mon calvaire était enfin finit. Voilà vous savez tout. Alors croyez moi ou pas, je m'en fiche !

L'histoire d'Aloysia avait des accent de vérité et cela le vampire l'entendrait peut être enfin. Elle avait par contre modifié la fin de son histoire. Mais elle était une  princesse et cela rien y personne n'y changera. Aloysia le regardait avec véhémence mais s'il s'approchait d'elle, elle le frapperait avec la force qu'il lui restait. Elle détestait la violence mais celle-là était justifié. De plus elle souffrait de ses brulures, ce qui la rendait agressive.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le mardi 22 novembre 2011, 13:48:27
Oh !  Elle se mettait en colère, le chiot arrêtait de japper pour aboyer, comme c’était mignon…mais réalisait-elle sa situation ? Réalisait-elle qu’elle était en train d’enguirlander son unique chance de survie quand elle prit la parole ? Que croyait-elle ? Qu’il allait gentiment hocher la tête et dire « oui, je te crois sur parole ? » Elle se mettait le doit dans l’œil jusqu’au coude ! C’est dire !

« Vous n'avez vraiment rien compris. Ce que vous n'avez pas comprit, c'est qu'une esclave humaine, jolie, vierge et princesse vaut plus chère que la plupart des esclaves. Vous croyez être le premier avoir des projets d'enlèvement me concernant ?! Détrompez- vous ! Il y a peu de temps je me suis fait enlevé dans le parc du château où je résidais et cet vermine avait pour projet de me vendre. Malheureusement pour lui, je me suis échapper et retrouver à la rue. Et quand j'ai vu un beau jeune homme m'accoster avec des manières qui me laissait penser que vous étiez un noble, ce que vous m'avez confirmer là-bas, je me suis dit que mon calvaire était enfin finit. Voilà vous savez tout. Alors croyez moi ou pas, je m'en fiche ! »

Nouveau rire sonore de la part du vampire. Il n’y croyait pas un seul instant, et c’était logique. Elle voulait, qu’elle le veuille ou non, le convaincre, sinon elle n’aurait pas tant insisté là-dessus. Elémentaire ma chère ! Il resta sur sa position, à sourire en coin, il préférait l’observer.

 « Puisque tu ne comprends pas toi non plus, je vais t’apprendre quelque chose. Première chose, pour vendre comme esclave une princesse et la présenter comme telle, il faut des preuves, n’importe qui peut prétendre avoir une esclave qui était princesse, donc la valeur est moindre, sauf pour les imbéciles. Secundo, la virginité n’intéresse que les lubriques, ce n’est pas mon fonds de commerce, la virginité d’une esclave ne vaut pas assez cher pour que je la préserve à tout prix. C’est seulement un bonus substanciel concernant mes bénéfices, mais complètement superflus. Ta beauté est ta seule valeur ! Et crois-moi, ce sera bien vite de l’histoire ancienne, à côté d’autres esclaves, comme Aenetelia, tu es un vrai laideron. Tu tiens à savoir pourquoi je t’ai enlevée, toi ? Parce que tu as été trop idiote pour te méfier de moi, parce que ta naïveté vaut de l’or à mes yeux, et ce, pour la simple et bonne raison que tu n’auras pas d’idée assez évoluée pour t’échapper d’ici. »

Il sourit et fit un pas en avant, lentement, puis un autre, s’arrêtant à un bon mètre de la jeune femme. Il avait frappé dans son égo, et qu’elle le veuille ou non, elle devait vite comprendre que son seul moyen de survie était sa docilité et son zèle pour la moindre tâche qu’il lui demande d’exécuter. C’était la qualité qu’elle devait montrer pour valoir le moindre copeck, et ça, elle ne pouvait pas encore le savoir. Le plus dur restait à lui faire apprendre certaines choses. Mais avant, il fallait qu’elle comprenne sa place, une place, qui, semblait-il, lui échappait complètement.

 « J’ai changé mes plans, ce soir, tu perdras ta dernière trace de fierté, et ta virginité. Tu seras dans la nécessité de me supplier d’arrêter à à un moment ou à un autre ! Crois-moi, tu seras ravie de devoir me supplier, parce que tu sauras que c’est en me suppliant que j’arrêterai, tu hurleras pitié, et quand ton corps et ton âme seront brisés, nous reparleront de tout cela ! »
Le vampire continua alors d’avancer vers la jeune femme, s’approchant davantage d’elle….
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le mardi 22 novembre 2011, 23:20:22
A nouveau le vampire rigolait pour se moquer de sa poire. Ce qu'elle n'apprécia pas du tout.

« Puisque tu ne comprends pas toi non plus, je vais t’apprendre quelque chose. Première chose, pour vendre comme esclave une princesse et la présenter comme telle, il faut des preuves, n’importe qui peut prétendre avoir une esclave qui était princesse, donc la valeur est moindre, sauf pour les imbéciles. Secundo, la virginité n’intéresse que les lubriques, ce n’est pas mon fonds de commerce, la virginité d’une esclave ne vaut pas assez cher pour que je la préserve à tout prix. C’est seulement un bonus substanciel concernant mes bénéfices, mais complètement superflus. Ta beauté est ta seule valeur ! Et crois-moi, ce sera bien vite de l’histoire ancienne, à côté d’autres esclaves, comme Aenetelia, tu es un vrai laideron. Tu tiens à savoir pourquoi je t’ai enlevée, toi ? Parce que tu as été trop idiote pour te méfier de moi, parce que ta naïveté vaut de l’or à mes yeux, et ce, pour la simple et bonne raison que tu n’auras pas d’idée assez évoluée pour t’échapper d’ici. »

Ce fut au tour d'Aloysia de rire. Elle en avait vu d'autre. Elle connaissait maintenant sa technique de dressage d'esclave. Il rabaissait ceux-ci plus bas que terre de sorte à ce qu'ils perdent toute fierté et toute confiance en eux, et surtout tout espoir. Si l'esclave se montrait récalcitrant alors il employait la manière forte. Typique de celui qui a lu le manuel: comment dresser un esclave pour les nuls.

" Je me fiche que vous me croyez ou pas, je vous l'ai déjà dit. Le seul avantage que je peux en tirer, c'est que je sais maintenant qu'un vampire ne peut pas distinguer la vérité du mensonge. Merci pour l'info. Quand à m'échapper, ne vous inquiétez pas je suis plus intelligente que cela. Mais j'y pense... Que vaut une esclave qui n'en fait qu'à sa tête et qui prend son maître de haut ? Pas grand chose, je suppose. Alors réfléchissez bien... La manière forte ne vous sera d'aucune utilité."

Elle n'avait même pas relever les pics qu'il lui avait lancer dans les dents, preuve qu'elle n'accordait aucune importance à ce que pourrait dire cet être. Elle se leva doucement du lit en le voyant approcher. Elle avait envie de se jeter sur lui pour lui faire payer tout ce qu'elle avait subit. Seulement, elle savait que cela se retournerait sans doute contre elle. Et c'est vrai qu'elle avait penser à s'échapper mais elle avait eu la confirmation que son autre méthode serait beaucoup plus efficace. Il l'avait enlevé en pensant qu'aucune personne ne soucierait d'elle. Sinon il n'aurait pas pris un tel risque. Donc il serait possible pour sa maitresse de venir la récupérer. L'objectif de la princesse était maintenant de tenir le plus longtemps possible. Elle ne pensait même plus à ses brûlures. Chaques pas que faisait le vampire, Aloysia le faisait en reculant de sorte à garder une certaine distance entre eux.

« J’ai changé mes plans, ce soir, tu perdras ta dernière trace de fierté, et ta virginité. Tu seras dans la nécessité de me supplier d’arrêter à à un moment ou à un autre ! Crois-moi, tu seras ravie de devoir me supplier, parce que tu sauras que c’est en me suppliant que j’arrêterai, tu hurleras pitié, et quand ton corps et ton âme seront brisés, nous reparleront de tout cela ! »

Aloysia sentit des frissons lui parcourir l'échine. Elle n'avait pas peur pour sa fierté mais plutôt pour sa virginité. Une fois qu'elle l'aurait perdu, elle ne pourrai la retrouver. Elle devait tenir bon pour Sofia, sa maitresse. Aloysia ne prit pas la peine de répondre au vampire et à force de reculer, elle se retrouva vite adosser au mur. Aucune sortie ne s'offrait à elle. Cette fois, elle était coincée.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le mardi 29 novembre 2011, 15:18:41
Et maintenant il avait droit à des menaces. C’était intéressant, très intéressant, il lui fallait changer de comportement pour avoir ce qu’il voulait ? Pas vraiment, combien de temps encore avant qu’elle ne supplie notre cher vampire de mettre fin à la doueleur qui allait en empirant avec le temps, comme le voulait le sort ?  Cette seule pensée avait de quoi réjouir le vampire. Elle pouvait dire ce qu’elle voulait, il allait lui montrer ce qui arrivait aux esclaves ui osaient se comporte ainsi de manière trop prononcée.

Il avait continué d’avancer et maintenant, elle était faite comme un rat, elle était dos au mur et ne pouvait plus fuir, la pauvre, auraient pu dire les lavettes, allait découvrir quelque chose, et elle comprendrait vite où était son propre intérêt. Pour cela, il suffisait de l’emmener  dans l’un des tiunnels jusqu’à une certaine salle…

« Je vais te montrer ce qu’il est advenu des esclaves qui font ce dont tu parles, et crois moi, tu n’as pas envie de le faire, ou du moins, tu voudras être bien sage une fois que je te l’aurai montré. Et si tu vomis, je te fais digérer de nouveau ce que tu as dégobillé ! c’est clair ? »

D’un geste vif il la saisit par les cheveux et l’attira vers lui pour attraper son collier et l’emmener dans un passage secret derrière le tableau le représentant dans la chambre qui s’ouvrit par une poussée sur une brique en hauteur. La tirant par le collier il l’emmena dans un dédale d’escaliers, jusqu’à un sous-sol d’où provenait de l’air frais, un bon petit courant d’air frais. Il la força à marcher, quitte à la trainer durant plusieurs minutes avant de déboucher dans une salle à ciel ouvert et qui donnait sur l’extérieur par une ouverture à même le roc.

« Voila l’endroit ou j’expose un peu le mur de la honte, la honte pour les corps des esclaves qui ont tenté de s’enfuir ici même. »

Des torches brûlaient, et dans des espèces de cercueils en verre, une dizaine tout au plus, on pouvait apercevoir des corps atrocement mutilés, en général était déposées en tas sur l’abdomen à vif des victimes un petit tas composé de très fines bandelettes de peau, chaque os était brisé très méthodiquement.

« Alors vas y si tu veux t’échapper, je te promets que si tu arrives à sortir de l’enceinte du domaine, je ne te poursuivrais pas. »

Il la lâcha. Mais il était sur de lui, en effet, le sortkilège encré en elle était en résonnance avec celui des murs, ce dernier bridait ce premier, en effet, si la douleur était déjà forte ainsi, elle aurait du être cinquante à cent fois plus forte en dehors des murs du manoir, de quoi rendre inconscient n’importe qui…et allait en s’augmentant si on s’éloignait. Ainsi, rien que de rejoindre le mur d’enceinte (une centaine de mètre des murs du manoir, serait une véritable torture physique tant que morale, et si cela ne suffisait pas, les gardes patrouillaient.

« Et si tu te fais attraper, tu dormiras avec les gardes, enfin, si ils te laissent un instant pour dormir…et cette fois ci, je préciserai que je ne fais pas grand cas de ta virginité… quand tu seras écrouée par la douleur de tous les contacts, on en reparlera… »

Oui, elle ne franchirait pas les limites du domaine. Et elle « dormirait » avec les gardes. C’était certain. Secalant contre un mur, il sourit avant de rajouter :

« Et bien, qu’attends-tu ? Vas y ! Je n’ai qu’une parole ! Je le jure sur mon sang ! »

Ce faisant, il entailla sa paume. Et le pire, c’était qu’il était sincère, encore fallait-il qu’elle ne tombe pas inanimée à peine le seuil franchi, terrassée par la douleur, inconsciente…

Le vampire ne souriait pas, il se contenta d'éteindre les torches. Sur un toit, un archer banda son arc, il s'agissait du signal, abattre le ou la fuyarde sans le ou la tuer...
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le mardi 29 novembre 2011, 23:29:55
Le vampire s'approchait, doucement et sans bruit d'elle. La princesse ne le quittait pas du regard, puis il fut tout près d'elle. Aloysia ne baissa pas son regard pour autant continuant de le fixer.

« Je vais te montrer ce qu’il est advenu des esclaves qui font ce dont tu parles, et crois moi, tu n’as pas envie de le faire, ou du moins, tu voudras être bien sage une fois que je te l’aurai montré. Et si tu vomis, je te fais digérer de nouveau ce que tu as dégobillé ! c’est clair ? »


Aloysia le regardait sans comprendre. Comment ça vomir ? L'esclave sentit une boule de former dans son ventre et ne pût qu'hocher la tête positivement à ses paroles. Mais elle n'avait pas envie de le suivre. Quelque chose lui disait qu'il allait s'assurer par tout les moyens à ce qu'elle obéisse. Elle le laissa m'attacher comme un vulgaire animal. Le seul point positif était que le collier ne lui faisait pas mal car à cette endroit, sa peau ne la brulait plus. Lorsqu'il l'avait maintenue au dessus du vide, sa main s'était refermée sur sa gorge.

Elle le vit actionner un passage qui se trouvait derrière un tableau le représentant. Quel narcissisme ! Elle le suivit dans un long couloir où un air frais la fit frissonner. Elle suivit le vampire sans broncher et ils atterrirent dans une pièce étrange. Mais la jeune femme ne prit même pas le temps de la détailler qu'une vision d'horreur s'imposait à elle.

« Voila l’endroit ou j’expose un peu le mur de la honte, la honte pour les corps des esclaves qui ont tenté de s’enfuir ici même. »


Aloysia mit une main devant sa bouche, saisit d'horreur, comme pour empêcher un hurlement de sortir. Elle pouvait voir dans chaque cercueil en verre, des corps mutilés. Celui qui l'avait enlevé était un malade, un vrai boucher.

" Oh mon dieu... Ce...ce n'est pas possible...

Son corps tout entier tremblait, elle avait envie de vomir, de hurler... Et pourtant, elle restait là sans bouger à observer le sort qui lui sera peut être un jour réservé. Puis des larmes coulèrent sur les jours pales de la jeune femme. Des sanglots lui échappèrent et elle se mordit le pouce pour ne pas hurler sa haine et l'horreur qui l'emplissait. Elle ne lui donnerait pas ce plaisir.

« Alors vas y si tu veux t’échapper, je te promets que si tu arrives à sortir de l’enceinte du domaine, je ne te poursuivrais pas. »


Aloysia n'avait même pas vu la sortie dont le vampire parlait. Elle ferma les yeux, immobile, dos au maître. Mais la vision d'horreur s'imposait sans cesse à elle. Elle respirait avec difficulté et continuait à mordre son pouce droit. Son autre main était serré en un poing le l'on de son corps. Sa tunique se soulevait doucement au rythme des courant d'air.

« Et si tu te fais attraper, tu dormiras avec les gardes, enfin, si ils te laissent un instant pour dormir…et cette fois ci, je préciserai que je ne fais pas grand cas de ta virginité… quand tu seras écrouée par la douleur de tous les contacts, on en reparlera… »


Aloysia réfléchissait mais pris rapidement sa décisions. Elle était beaucoup trop faible pour entreprendre quoi que ce soit et encore moins essayer de s'échapper. Le vampire l'interpella à nouveau. La princesse avait pris sa décisions. Sans même, un regard pour la sortie, elle se dirigea vers le tunnel qu'ils avaient emprunté et retourna dans la chambre. Aloysia s'assit, les jambes tremblantes, sur le lit. Son choix était justifié et elle avait ses raisons. Mais lui ne comprendrait sans doute pas. Elle essuya ses joues puis regarda par la fenêtre, essayant d'oublier ce qu'il venait de se passer. Mais quelque chose s'était brisé en elle. Elle ne ressortait pas indemne de cette salle des horreurs. Certes, elle allait devoir lui obéir. C'était la seule façon pour qu'elle reste envie pour que sa maitresse vienne enfin la chercher. Mais elle ne mettrait pas sa fierté complètement de côté. Elle obéirait mais garderait cette fierté qui la caractérisait et surtout la haine qu'elle ressentait pour cet homme.

Elle l'attendait patiemment, ses cheveux doré encadrant un visage remplis de haine. Ses yeux bleus se perdant dans le vague. Elle avait de plus en plus mal à cause des brûlures mais la douleur restait supportable. Pour l'instant...

Elle ne tourna pas la tête quand il arriva, l'ignorant royalement. Aloysia en avait plus que marre de ses sarcasmes et il allait être fier comme un coq de lui avoir montré l'œuvre d'un monstre...   




Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le mercredi 30 novembre 2011, 12:19:44
Tout avait été fait pour choquer, même le sortilège qui avait conservé les cadavres en l’état, les lambeaux de chair semblaient avoir été arrachés il y a quelques minutes à peine. Il avait œuvré de manière géniale pour créer cette salle ! Et l’effet n’avait jamais manqué !

Le vampire était ravi, il semblait avoir réussi son œuvre puisqu’il avait vu le regard de la jeune femme, il savait ce qu’elle avait ressenti, il savait que désormais, elle cesserait de le défier, c’était le principal intérêt de ce musée des horreurs. C’était de faire comprendre que s’échapper ou décevoir le maitre ne mènerait qu’à de la souffrance. C’était aussi simple que ça.

Il souriait tout en dent, attendant que la jeune femme sorte pour la voir se tordre de douleur, mais rien ne vint…en effet, celle-ci, une fois le choc apparemment passé, préféra retourner dans la chambre, attendre le maitre…qui resta sur le carreau. Il ne s’attendait pas à ce que l’effet soit dissuasif à ce point… c’était rare mais la surprise pouvait être agréable. Il la laissa rentrer seule, il n’y avait pas moyen de se perdre, pas vraiment du moins… ou peut être était-ce parce que cela faisait presque un siècle qu’il habitait en ces lieux.

Enfin, il parvint à la chambre. Elle était sur le lit, les yeux bleus glacés par un sentiment ô combien partagée par ses prédécesseuses. Il fallait reconnaitre qu’il pensait bien imaginer sa réaction. Mais le plus important était encore à faire !  Il voulait voir sur le moyen long terme les influences de cette salle sur la façon de se comporter de la jeune femme.

Regardant dans le vide quand il arriva, elle semblait avoir été plus choquée qu’il ne le pensait. Mais bon, il allait bien voir sa réaction…il était un monstre, eut être, mais au moins il était là et c’était qui qui avait la donne. Il contrôlait le jeu, il la contrôlait, ou du moins, il était persuadé que maintenant elle serait obéissante et bien docile !

« Tiens donc, notre…princesse…a perdu de sa superbe…comme c’est dommage, moi qui commençait à peine à m’amuser… »

Il sourit comme un gamin, une lueur cruelle dans le regard. Son regard en était presque malsain…mais il s’en fichait, ce qu’il voyait, c’était que sa petite chienne était là où elle n’aurait pas dû être. Le lit était réservé au maitre, et avec un accord clairement exprimé, avec une esclave de temps à autres. Là il n’avait pas donné son accord. D’une voix dénuée de toute chaleur il lui dit, fermement

« Descend du lit et viens vite au pied, j’ai besoin d’aller faire un , faire une petite inspection du service de nuit, et tu vas m’accompagner. Désormais, en ma présence, tu resteras à quatre pattes comme une bonne petite chienne, et tu aboieras pour signaler que tu vas parler. Allez, dépêche-toi et habille-moi que je puisse sortir de manière décente ! »

Il souriait. Cet ordre elle le lui aurait envoyé à la figure il y a quelques minutes, comment allait-elle le prendre ? Ce serait intéressant. Oh et puis tant qu’à faire, il avait bien une petite idée de quoi faire pour rendre la chose encore plus humiliante !  Il s’approcha d’elle et lui retira tous ses vêtements, les arrachant, malgré le fait que cela ne cache absolument rien, avant de lui dire.

« Ah oui et dernière consigne, tu as tout intérêt à allumer tous ceux que tu rencontres. Montre leur qui tu es vraiment, montre leur qu’au final, tu ne vaux pas mieux qu’un sac à foutre, d'ailleurs, je pense que le crier haut et fort t'aidera… »

Et paf, là c’était une belle humiliation en règle qu’elle allait subir si elle se plairait à ses ordres. Mais il y avait toujours cette question en suspens :  allait-elle obéir ? Il allait vraiment très loin, mais il voulait voir si les cadavres étaient assez dissuasifs ou s’il lui en fallait plus. Il lui ferait ravaler les derniers restes de sa fierté, et là, elle serait complètement anéantie !
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le jeudi 01 décembre 2011, 16:57:06
« Tiens donc, notre…princesse…a perdu de sa superbe…comme c’est dommage, moi qui commençait à peine à m’amuser… »


Aloysia ne sursauta pas en entendant sa voix. Aucune réaction à ses paroles ne se lisait sur son visage. Tout bonnement parce qu'elle ne l'écoutait pas. Elle réfléchissait une nouvelle fois sur quelle technique a adopté. Elle n'avait qu'une envie...le tuer lentement, mais elle n'en avait pas la force, ni les moyens. La princesse esclave ne doutait pas que Sofia ne vienne la chercher, mais pour cela, elle devait lui faciliter la tache. Pour cela, il faudrait qu'elle soit en forme pour aider la jeune femme, ou tout du moins pour ne pas être un boulet. Elle devait donc garder ses forces et surtout éviter d'être blessé. Il allait aussi falloir qu'elle trouve une solution à ce sort. Si personne d'autre le jeune homme ne pouvait la toucher, cela deviendrait un sacré handicap. Il fallait donc qu'elle trouve une solution pour s'en débarrasser avant que de maitresse ne vienne la sauver.

« Descend du lit et viens vite au pied, j’ai besoin d’aller faire un , faire une petite inspection du service de nuit, et tu vas m’accompagner. Désormais, en ma présence, tu resteras à quatre pattes comme une bonne petite chienne, et tu aboieras pour signaler que tu vas parler. Allez, dépêche-toi et habille-moi que je puisse sortir de manière décente ! »


L'esclave ne tourna même pas la tête vers la créature, se contentant de se lever tel un robot. Elle devrait pour les prochains jours se montrer soumise et écouter l'homme qui de croyait son maître. Il penserait alors que son musée des horreurs l'aurait assez effrayée pour qu'elle deviennent une chienne, comme il le désirait tant. Mais elle allait pour cela changer radicalement son comportement. Autant jouer le jeu à fond. Elle devrait jouer une jeune femme presque traumatisée par ce qu'elle a vu et qui souhaite qu'une chose, plaire au vampire. Aloysia savait qu'il ballait mieux se passer pour plus faible qu'on ne l'était, il aurait une sacrée surprise en voyant qu'on venait la chercher. Aloysia savourait la scène d'avance.

Elle alla chercher les vêtements du maître poser dans un coin de la chambre et l'habilla doucement. Elle souffrait de plus en plus de ses brulures mais elle serra des dents et ne dit rien. L'intimité du jeune homme la dégouta plus qu'elle ne la gêna. Une fois qu'elle eut finis sa tache, il lui arracha la tunique qu'elle portait. Aloysia, une fois de plus ne réagit pas, et resta debout devant le maître, sans dire un mot, le regard fixe et vide. Il avait une esclave soumise devant ses yeux, qu'elle joie devait-il ressentir ! Enfin c'est ce qu'elle pensait. Il apprécierait sa nouvelle docilité, au début. Puis avec un peu de chance se lasserait d'elle pour aller torturer une autre femme. Et puis peut être que leur joute verbale lui manquerait et cela lui ferait les pieds.

« Ah oui et dernière consigne, tu as tout intérêt à allumer tous ceux que tu rencontres. Montre leur qui tu es vraiment, montre leur qu’au final, tu ne vaux pas mieux qu’un sac à foutre, d'ailleurs, je pense que le crier haut et fort t'aidera… »


A nouveau aucune expression, toujours ce même regard dans le vide. Il allait vraiment s'interroger sur ce nouveau comportement. Mais pour l'instant, elle ne pensait qu'à une chose dormir et les paroles du jeune homme ne l'atteignait même plus. Elle avait déjà servit de "sac à foutre" comme il disait. Et si cette nuit, elle devait le resubir, elle savait qu'elle perdrait connaissance rapidement, vu l'état de fatigue dans lequel elle se trouvait. Ses brulures la firent souffrir quand elle posa les genoux par terre. Elle avait mal, très mal... Mais comme toujours il ne s'en souciait pas. Elle le suivit donc à quatre pattes sans un mot. Son esprit s'était comme détaché de son corps. Une partie d'elle ne rêvait que de vengeance et sa fierté était toujours intacte. Elle avait réussit à prendre une certaine distance avec elle-même comme si ce n'était pas elle qui était en laisse et à quatre patte. C'est sans doute à cause de la fatigue que plus rien ne l'atteignait vraiment. Elle avait juste l'impression de cauchemarder...
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le samedi 03 décembre 2011, 11:18:50
Il sourit quand elle obéit ans même parler, mais en même temps, il en fut peiné, il avait suffi de si peu pour la briser moralement…c’était plus facile que de voler une sucette à un bébé, cela perdait peut être un peu de son charme, mais bon, il avait réussi et en tirait une grande fierté, ou du moins, était-il content de sa performance. Il regarda l’heure. Bon, ce n’était pas son meilleur score, loin de là, mais c’était toujours ça !  Avec douceur, il souleva le menton de la jeune femme de la main, lui caressant doucement le visage dans son intégralité, soulageant la douleur de cette zone de son corps.

Puis, doucement, il fit descendre ses mains dans son dos, palpant chaque zone de celui-ci avec douceur. Il avait bien l’intention de la soulager de la douleur désormais inutile, mais pas du sortilège, aussi ses mains passèrent avec douceur et délicatesse sur tout son corps, omettant volontairement les parties intimes tant de devant que de derrière, mais il passa ses mains partout ailleurs, et une fois cela fait, il lui dit, d’une voix douce et posée, presque affectueuse si on  ne le connaissait pas !

« Tu vois, ma petite chérie, une bonne action mérite récompense, c’est comme ça que ça marche partout, et ma récompense pour ton obéissance soudaine, quoique peu surprenante, est la disparition de la douleur. Tu vois, je reconnais volontiers le mérite de chacun. »

Il sourit avant de se mettre à avancer, tenant la laisse fermement, sans tirer de manière abusive sur celle-ci. Il la força tout de même fermement à la suivre, lui faisant donc visiter par la même occasion le manoir dans son intégralité. Puis il l’emmena dehors. Sa proximité jouait le rôle d’un relai, aussi il n’y aurait aucune douleur tant qu’hors des murs, du manoir ou hors de l’enceinte du domaine. Il souriait, exposant sa nouvelle chienne bien soumise avant de revenir vers la porte du manoir, dans l’entrée de celui-ci, il y avait une porte dérobée, à droite, qui donnait sur une petite pièce avec une paillasse et un peu de nourriture, ainsi qu’un baquet d’eau propre. Il détacha la laisse.

« Tu dormiras ici, c’est ta chambre. Dans ma maisonnée, tu seras chargée de l’accueil des invités. A partir de demain tu commenceras, et Aenetelia te chaperonnera les premiers temps, concernant les manières et le comportement que tu devras manifester en tant qu’esclave. Elle est supérieure à toi dans la hiérarchie, aussi tu devras lui obéir, quand bien même elle demanderait ça – il passa sa main sur ses lèvres intimes – ou ça – il fit de même le long de sa raie des fesses.- Et si tes analyses sont bonnes, tu viendras m’offrir ton sang tous les midis. Tu as compris ton rôle ? »

Il sourit avant de commencer à faire demi-tour, la laissant dans sa chambre, puis il se ravisa et se retourna vers elle.

« Ah oui, ta tenue de fonction et ton nouveau collier sont dans le placard, et ma proposition pour ta fuite tient toujours !  Elle tient n’importe quand. Bonne nuit ma petite chérie ! »

Il sourit avant de sortir, sachant pertinemment  que  la douleur lui vrillerait les tympans si jamais elle n’atteigngait ne serait-ce que la moitié de la distance séparant le  manoir et le mur d’enceinte du domaine.

 
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le dimanche 04 décembre 2011, 16:32:25
Une déception furtive passa sur le visage du vampire et Aloysia le remarqua. Il était déçu qu'elle est craquée si vite, enfin c'est ce qu'il croyait. Elle le sentit soulevé son menton et Aloysia dû se retenir pour ne pas se dégager. Il passa ses mains sur l'intégralité de son visage et Aloysia ferma les yeux, appréciant de ne plus ressentir cette continuelle brulure sur celui-ci. Puis ses mains descendirent et la princesse ne pût retenir des soupirs de soulagement en sentant ses brulures s'estomper au fur et à mesure. Seuls deux endroits furent éviter mais Aloysia ne lui en fit pas la remarque. Ces endroits étaient plutôt intimes et elle ne comptait pas le supplier, elle gardait un minimum de fierté. C'est peut être aussi pour cela qu'elle ne parlait pas, elle ne voulait pas aboyer comme l'aurait fait un chien.

« Tu vois, ma petite chérie, une bonne action mérite récompense, c’est comme ça que ça marche partout, et ma récompense pour ton obéissance soudaine, quoique peu surprenante, est la disparition de la douleur. Tu vois, je reconnais volontiers le mérite de chacun. »

Son nouveau surnom lui hérissa le poil mais encore une fois, elle se concentra pour ne pas le montrer et à la place sourit presque joyeusement au jeune homme. Elle devait jouer son rôle à la perfection et peut être comme elle l'espérait il la laisserait tranquille pour le moment.

Elle le suivit ensuite dans sa promenade. Elle avait remarqué qu'il était plus doux avec elle depuis qu'elle avait céder. Mais la haine grandissait en elle comme une mauvaise herbe. Elle savait très bien que cette "promenade" lui permettait de de pavaner avec sa nouvelle esclave. Mais elle le suivit sans un mot jusqu'à une petite pièce qui sentait quelque peu le renfermer. Elle était composer d'une paillasse, de nouriture et d'eau. Elle allait devoir sans doute dormir là dedans. Ce qu'il confirma après l'avoir détaché.

« Tu dormiras ici, c’est ta chambre. Dans ma maisonnée, tu seras chargée de l’accueil des invités. A partir de demain tu commenceras, et Aenetelia te chaperonnera les premiers temps, concernant les manières et le comportement que tu devras manifester en tant qu’esclave. Elle est supérieure à toi dans la hiérarchie, aussi tu devras lui obéir, quand bien même elle demanderait ça – il passa sa main sur ses lèvres intimes – ou ça – il fit de même le long de sa raie des fesses.- Et si tes analyses sont bonnes, tu viendras m’offrir ton sang tous les midis. Tu as compris ton rôle ? »

Aloysia poussa un long soupir de soulagement en sentant les douleurs de son intimité et de ses femmes diparaitre. Elle se sentait désormais beaucoup mieux, mais èpuisée. Elle hocha la tête après la question du maître, toujours décider à ne pas parler. Alors qu'il s'en allait, Aloysia était debout, regardant sa chambre, elle entendit de nouveau la voix du vampire et se retourna.

« Ah oui, ta tenue de fonction et ton nouveau collier sont dans le placard, et ma proposition pour ta fuite tient toujours !  Elle tient n’importe quand. Bonne nuit ma petite chérie ! »


Aloysia se força à sourire et s'inclina légèrement avant que le maître ne sorte. Il allait penser qu'elle était vraiment brisée mentalement. Mais quelque chose l'intriguait, il avait l'air de souhaiter à ce qu'elle essaye de s'échapper. Ce qui n'était pas logique après tout le mal qu'il s'était donné. Il s'était forcément assurer que quoi qu'il arrive, elle ne puisse pas quitter aussi facilement sa demeure. Comment ? Cela la princesse l'ignorait. Elle enleva rageusement son collier et le jeta dans un coin de la pièce puis s'allongea sur la paillasse, morte de fatigue. Elle s'endormit aussitôt mais elle de réveilla à l'aube en hurlant et en sueur. Les esclaves torturées, était venue la hanter dans ses rêves.

Aloysia se leva et de rafraîchit avec l'eau puis mangea un peu de la nourriture même si elle n'avait pas faim. Il lui faudrait des forces pour tenir. Elles e dirigea vers le placard et sortit sa tenue, simple tenue de servante, robe noir et tablier blanc accompagné d'un serre-tête. Elle mit le tout puis vit un collier au fond l'armoire. Elle le mit avec amertume et s'assit ensuite sur sa paillasse, attendant cette futur Aenetelia. Elle sentait bizarrement qu'elle n'allait pas s'en faire une amie. Elle paraissait proche du vampire et ce que le jeune homme lui avait préciser ne présageait rien de bon...

Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le mardi 06 décembre 2011, 16:06:15
La porte fut poussée de manière énergique, trop peut être vu qu’elle claqua. Aenetelia était dans la pièce ! Une jeune femme se tenait devant elle, tout sourire, de beaux yeux rouges encadrés d’une souple chevelure auburn était là, dans une robe noire sans ornements et recouvert d’un tablier blanc, mode soubrette. Elle n’avait aucun serre tête par contre. Exceptionnellement, mais ça, Aloysia ne pouvait pas le savoir, elle avait remis un collier bateau, un collier de cuir brodé d’argent sur les bords, le même qu’Aloysia d’ailleurs.

« Bonjour ! La belle au bois dormant à bien dormi ? Désolée y a pas de prince mais on va faire sans ! »

Beaucoup d’énergie déployée pour trois fois rien. Et puis il était encore le matin de très bonne heure, donc normal que tout le monde ne supporte pas tant d’activité à cette heure, mais bon, ce matin, Aenetelia était pleine de vie. Trop peut être… Elle lui sourit avant de lui  tendre un pot en terre cuite.

« Je sais que les amusements du maître ne sont pas de très bon goût pour tout le monde, alors je suis allé vider le pot de semence qu’il m’avait fait porter ici j’y ai juste laissé une gorgée que tu devrais boire si tu veuxx que le maitre ne soupçonne rien, une question d’haleine ! »

Menteuse !  Elle avait goulument avalé le reste ! Bon et bien bon début de journée n’est-ce pas ? Elle s’approcha et voulut prendre la jeune femme par le bras, avant de se retenir au dernier moment. Elle oubliait facilement qu’il avait tendance à  lancer un certain sort sur le corps des nouvelles esclaves pour les briser…

« Alors, tu es prête pour une journée de folie ? u as d la chance quand même parce que ti tu as une guide exceptionnelle !  Moi j’ai dû tout découvrir toute seule et puis, en même temps, je dirai que tu es aussi chanceuse, le maitre aurait pu s’amuser à te faire souffrir toute la journée comme il le aime le faire la première semaine. »

Elle sourit et lui dit en ouvrant la porte.

« Si tu veux y a les bains reservés aux esclaves, si y a encore de l’eau chaude, tu peux t’y laver plus tranquillement qyue dans ta piaule. Ah mais non je suis bête tu as peut être faim…Au fait je m’appelle Aenetelia, ravie de te rencontrer, j’espère qu’on va vite bien s’entendre, tu verras, je suis sur qu’on deviendra de très bonnes amies. Ton nom c’est Aloysia  c’est ça ? C’est un nom très doux et je trouve qui apaise rien qu’à le prononcer, comme les vertus de la verveine dont tu portes le nom ! »

Une vraie ptite pie cette Aenetelia.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le mercredi 07 décembre 2011, 14:59:35
Aloysia sursauta vivement en entendant la porte claquer. Elle leva les yeux et vit qu'une jeune femme se tenait dans la pièce. Elle était plutôt jolie et prtait une tenue semblable à la pincesse.

« Bonjour ! La belle au bois dormant à bien dormi ? Désolée y a pas de prince mais on va faire sans ! »
 
Aloysia était sidérée par l'énergie que dégageait cette esclave. Elle n'eut pas le temps de répondre que la jeune femme enchaina en lui tendant un pot en terre cuite. L'odeur qui s'y dégageait lui souleva le coeur, surtout de si bon matin.

« Je sais que les amusements du maître ne sont pas de très bon goût pour tout le monde, alors je suis allé vider le pot de semence qu’il m’avait fait porter ici j’y ai juste laissé une gorgée que tu devrais boire si tu veux que le maitre ne soupçonne rien, une question d’haleine ! »


Aloysia n'en revenait pas. Elle regarda attentivement la jeune esclave avant de lui sourire. Si elle l'avait aidé après tout, c'est qu'elle n'était pas méchante. La princesse vit la main de la jeune femme s'approcher de son bras mais elle arreta son geste. Ah... Elle devait être au courant pour le sort. Elle ne souhaitait donc pas lui faire de mal. Aloysia prit enfin la parole.

"Merci beacoup..."

Aloysia but ce qui restait cul sec mais n'eut pas le temps d'en placer une autre qu'elle reprenait ensuite la parole.

« Si tu veux y a les bains reservés aux esclaves, si y a encore de l’eau chaude, tu peux t’y laver plus tranquillement qyue dans ta piaule. Ah mais non je suis bête tu as peut être faim…Au fait je m’appelle Aenetelia, ravie de te rencontrer, j’espère qu’on va vite bien s’entendre, tu verras, je suis sur qu’on deviendra de très bonnes amies. Ton nom c’est Aloysia  c’est ça ? C’est un nom très doux et je trouve qui apaise rien qu’à le prononcer, comme les vertus de la verveine dont tu portes le nom ! »


Aloysia sourit alors franchement. Cette jeune femme lui plaisait. Ellle était joyeuse, direct... Comme elle ! Enfin avant qu'elle n'atterrisse dans ce manoir. Mais sa haine s'était envolé au contact d'Aenetelia et elle souriait maintenant. Elle ne serait pas si seule que ce qu'elle croyait. Elle n'irait pas jusqu'à lui faire confiance mais si elle avait quelqu'un avec qui échanger, cela lui donnerait la force de continuer à se battre en attendant qu'on vienne la chercher.

"Merci, mais ton prénom est très jolie aussi. Je suis vraiment contente de te rencontrer. Pour ce qui est de manger, ne t'inquiètes pas, j'ai mangé la nourriture qu'il y avait dans la chambre. Et pour ce qui est de me laver, c'est le maître qui doit me laver le soir. A moins qu'il ait changer d'avis ? Autement je suis prête. Je te suis.

Aloysia souriait à Aenetelia et avait oublier la méfiance qu'elle avait envers la jeune femme. Elle était sans doute proche du maître mais semblait heureuse... Cet humeur parraissait un peu décalé dans un lieu comme celui-ci mais sa bonne humeur était communicative et sa journée ne lui paraissait plus aussi sombre. Travailler n'était pas quelques chose d'insurmontable pour la princesse, au contraire, ses journée passerait plus vite. Et ouis elle préférait s'occuper du manoir plutôt que le vampire s'occupe d'elle. Elle avait assez donner. Mais elle redoutait le midi car elle devra aller lui servir son sang et elle espèrait que les résultats sanguins montrerait que la verveine ne s'était pas complètement dissipés de son sang. Mais les chances étaient minces et elle préferait ne pas y penser.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le jeudi 08 décembre 2011, 09:58:26
« Merci, mais ton prénom est très jolie aussi. Je suis vraiment contente de te rencontrer. Pour ce qui est de manger, ne t'inquiètes pas, j'ai mangé la nourriture qu'il y avait dans la chambre. Et pour ce qui est de me laver, c'est le maître qui doit me laver le soir. A moins qu'il ait changer d'avis ? Autrement je suis prête. Je te suis. »   

Elle fit non de la tête, en gros le maitre n’avait pas changé d’avis, mais Aenetelia n’était pas au courant de tout, ou du moins si, mais elle testait la nouvelle, elle voulait voir les limites de l’obéissance de la jeune femme. Elle, elle avait passé la nuit dans les cachots du maitre, à subir quelques tortures pour son plus grand plaisir. Elle adorait certains traitements….mais là n’est pas le sujet.

Elle lui rendit son sourire e lui indiquant la porte, l’œil pétillant. Elle avait plein de choses à faire, et montre à la nouvelle son lieu de travail faisait partie du lot. Elle voulait faire son travail correctement, et peut être que pour la récompenser de cela, maitre eckart voudrait bien la prendre dans son lit…

« Tu vois, je suis sure que tu plairas à travailler à l’accueuil, oh, certes on est près de la salle des gardes, mais bon, c’est bien isolé phoniquement et le bureu près de leur porte toi tu sensée rester debout, mais il y a une chaise, donc, quand ce sera calme tu pourras t’asseoir. Tu verras, c’est pas la mort, le seul ennui peut être la lubie des gardes qui passent ici. Après tout, on a pas vraiment notre mot à dire sur les sévices. Mais laisse moi te donner un léger conseil. Si jamais  on tente de forcer l’ouverture de tes cuisses, choppe les bourses à pleine mein, serre le plus possible en les tordant. Ça devrait suffire. Sinon, tu lui mets ton pied ou ton genou entre les gambettes. L’ennui c’est que ça marche que pour les cuisses, derrière ou en haut, on a pas le choix, mais t’en fais pas. Ils se lassent assez vite… »

Elle lui souriait toujours avant de lui dire sur un ton toujours aussi enjoué.

« Je suis née ici, donc ça fait des des piges que j’explore partout, que je connais tout le monde. En cas de pépins, il ne faut pas hésiter un seul instant !  Je suis là pour ça. Je suis ta guide et ton mentor, enfin, j’espère être capable de le devenir. »

Elle continuait à lui sourire et sortit de son bureau deux belles pommes. Et elle croqua dans l’une avant de lui tendre l’autre.

« Tu es sure que tu n’en veux pas ? C’est plein de vitamines ! Bon, écoute je te laisse ça là et tu te sers si tu veux ! »

Elle déposa la pomme en évidence sur le bureau et s’assit pour commencer à trier des documents. Soudain deux gardes entrèrent et s’approchèrent des deux jeunes femmes, l’œil lubrique.

Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le jeudi 08 décembre 2011, 11:46:48
« Tu vois, je suis sure que tu plairas à travailler à l’accueuil, oh, certes on est près de la salle des gardes, mais bon, c’est bien isolé phoniquement et le bureu près de leur porte toi tu sensée rester debout, mais il y a une chaise, donc, quand ce sera calme tu pourras t’asseoir. Tu verras, c’est pas la mort, le seul ennui peut être la lubie des gardes qui passent ici. Après tout, on a pas vraiment notre mot à dire sur les sévices. Mais laisse moi te donner un léger conseil. Si jamais  on tente de forcer l’ouverture de tes cuisses, choppe les bourses à pleine mein, serre le plus possible en les tordant. Ça devrait suffire. Sinon, tu lui mets ton pied ou ton genou entre les gambettes. L’ennui c’est que ça marche que pour les cuisses, derrière ou en haut, on a pas le choix, mais t’en fais pas. Ils se lassent assez vite… »


Aloysia hocha la tête, pas du tout rassurée par les propos de la jeune femme. Elle n'avait pas envie de subir les assauts de ces hommes brutaux à nouveau. Mais si Aenetelia restait dans le coin alors peut être que ça irait. Elle la suivait, attentive au parcours qu'elles empruntaient. Aloysia essayait d'être attentive pour connaitre au mieux le manoir. Cela pourrait sans doute être utile plus tard.

« Je suis née ici, donc ça fait des des piges que j’explore partout, que je connais tout le monde. En cas de pépins, il ne faut pas hésiter un seul instant !  Je suis là pour ça. Je suis ta guide et ton mentor, enfin, j’espère être capable de le devenir. »


Aloysia regarda l'esclave sous un autre œil. Alors comme ça, elle n'avait connue que cette vie là. Voilà peut être la raison de sa bonne humeur en ce lieux. Pour elle, tout devait être normal. Pour Aloysia, tout ce qui de déroulait ici n'était pas normal, loin de là.

" Je suis sûre que tu seras parfaite dans ce rôle."

La princesse le pensait vraiment mais elle commençait à se poser des questions quant à l'équilibre mental de la jeune esclave. Pouvait-on vivre ici et être "normale" ?
Elle la vit sortir deux pommes de son bureau et lui en tendit une qu'Aloysia refusa en la remerciant.

" Je la mangerais plus tard dans la matinée, lorsque j'aurais besoin de vitamines."

Aloysia lui sourit puis de retourna vers la porte, attendant un éventuel invité. Mais les personnes qui rentrèrent ne lui plurent pas du tout. Elle reconnu un des gardes de la veille et elle le vit se pencher vers son collègue pour lui chuchoter quelque chose, regardant dans sa direction. Aloysia baissa la tête pour éviter leur regard déplacer. Elle espérait qu'ils allaient passer et ne pas essayer quoi que ce soit. Le plus âgé, celui qu'elle avait reconnu s'arrêta devant elle.

"Alors tu ne dis pas bonjour, chienne ! Et regarde moi quand je te parle !"

Aloysia leva les yeux puis s'inclina et un "bonjour" timide et apeuré sortit de sa bouche. L'homme sourit et lui caressa la joue. Une brûlure se fit tout de suite sentir sur sa joue et Aloysia eut un mouvement de recul. L'homme fronça ses sourcils épais et la plaqua au mur sans aucune douceur.

"J'ai envie de toi petite chienne, et tu vas me donner ce que je veux."

Aloysia vit du coin de l'oeil que sa guide était occupé par l'autre garde. Elle devait donc de débrouiller seule. L'homme lui caressait le visage et s'empara de sa. Il força la barrière de ses lèvres et commença à l'embrasser langoureusement. Aloysia ne pouvait pas bouger et sentait son visage bruler sous les caresses de l'homme. Une main baladeuse s'introduisit dans son décolleter et caressa un de ses seins qui lui brula instantanément. Des larmes de douleur coulaient sur ses joues puis l'homme se sépara d'elle, la laissant respirer quelque secondes, il commençait à baisser son pantalon avec précipitation. Ces secondes furent suffisante pour Aloysia qui décocha un violent coup de genoux dans les parties du garde.
Celui-ci se plia en deux sous le coup et poussa un cri de douleur. Mais elle n'avait pas frapper assez fort apparemment car celui-ci se releva trop vite pour qu'Aloysia est le temps de fuir et la gifla le plus fort qu'il pût pour se venger de ce qu'elle lui avait fait subir.
Aloysia perdit l'équilibre et son front heurta le bureau d'Aenetelia. Elle tomba à terre, complètement sonner. Elle mit plus d'une trentaine de secondes pour reprendre ses esprit. Le garde avait disparut, normal il allait avoir du mal à réutiliser son sexe tout de suite et il avait sans doute perdu toute l'excitation qu'il ressentait précédemment.

Aloysia se mit à genoux, les fesses sur les talons, attendant que le sol arrête de tanguer. Puis elle sentit quelques choses de chaud couler sur son front. Elle porta sa main sur celui-ci puis la vit couverte de sang.

"Oh mince !"

Elle avait dû s'ouvrir le front en heurtant le bureau. Elle savait que la tête saignait beaucoup donc ce n'était pas la quantité du sang qui l'effrayait mais plutôt ce qui allait sa passer ensuite. De plus son visage la brulait horriblement.

Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le samedi 17 décembre 2011, 00:43:06
Aenetelia avait posé la pomme sur le  bureau et commenécé à parapher de »s documents au nom du maître, sans se poser de question ni sur le contenu, ni sur la destination. Elle signait juste au nom du maître. La raison pour laquelle elle ne réfléchissait pas était parce qu'elle connaissait très bien ces documents, l'intendante les avait rédigé, et elle était l'intendante. Elle était remplacée le temps qu'elle exécute une autre tâvche pour le seigneur des lieux, et ce genre de tâche, elle les exécutait avec plaisir ! Une tâche dont le sadisme fascinait notre chère Aenetelia, voilà de quoi l'enchanter !

Le plus drôle allait venir sous peu, le plus drôle, c'était ce que le maître lui avait promis pour sa collaboration...mais bon bref, passons plutôt à ce qui arrivait ici même. Deux gardes arrivaient devant elles,  et à leur regard elle  comprit ce pourquoi ils étaient là, mais étrangement, aucdun n'osa s'approcher de la jeune femmen ils se contentèrent d'Aloysia, peut être était-ce par le regard glacé d'Aentelia, mais celui qui se dirigea vers elle eut un gros frisson, avant de s'éloigner à pas rapides, ne laissnt bien vite qu'un seul garde dans la pièce.

« Alors tu ne dis pas bonjour, chienne ! Et regarde moi quand je te parle ! »

Un point pour lui, il fallait du respect si on viulakit survivbre, et si elle se permettait de ne pas en éprouver, c'était parce que son rôle était non seulement primordiual, mais aussi parce qu'elle pouvait obtenir la tête de d'importe qui ici. En gros, être agréable avec Aenetelia était primordial, mais plus vicieuse que cela, on mourrait, cette femme avait l'âme viciée par nature, quoiqu'elle veuille, elle l'obtenait, quitte à menacer insidieusement, à faire compendre qu'elle avait tout intérêt à obéir, si on l'appelait la reine putain ce n'était pas pour rien, cette femme était le diable incarné !

Aentelia allait aider sa protégée, mais pas tout de suite, elle voulait voir la jeune femme se débrouiller d'abord par elle même. Elle voulait la voir réagir et après, elle ferait en sorte qu'Aloysia lui soit reconnaissante , assez reconnaissante pour lui être redevable., et les dettes elle adorait ça....car ça amenait plein de choses intéressante quand elle était créancière....

« J'ai envie de toi petite chienne, et tu vas me donner ce que je veux. »

Cela devenait intéressant....frapper là où ça fait mal...allait-elle le faire ??? Elle se le demandait....enfin, elle le saurait bien vite...aussi reprit-elle ses papiers et recommença, comme si de rien était son travail, et ce, jusqu'à ce qu'elle entende le mâle émettre un glapissement de douleur en se courbant en deux, non sans une gifle qui envoya balader la jeune femme, qui heurta l'angle du bureau avant de tomber, groggy, au sol, le garde s'en fut en boitant, jurant dans sa barbe...La pauvre, elle saignait, enfin, bon, ce n'était pas grave, le câne, ça saignait toujours un peu beaucoup, Aenetelia se leva et vint la rejoindre.

« Oh mince ! »

Enfin bon, ce n'était pas non plus la fin du monde, un petit pansemanet et ce serait bon. Elle se pencha vers elle et examina la plaie sans toucher la jeune femme, elle ne voulait pas lui infliger davantahe de douleur que ce qu'elle pouvait sentir jusqu'alors, avant de prendre la parole.

« Bon, c'est le crâne, ça saigne facilement, attends, je vais me charger de tout ça ! »

Elle sortit une petite flque et un pansement.

« Ferme l'oeil ! »

Et elle appliqua en faisant ruisseler de la bouteille, une petite quantité d'alcool assez fort, avant de, en tentant de ne pas toucher la peau, appliquer un petit pansement. Puis elle lui sourit avant de lui taper dans le dos, au travers des vêtements normalement ccela ne devait pas provoquer de douleur, mais si le but était qu'elle ait mal, ce n'était pas difficile, mais ce n'était pas le but actuel. Le maître lui avait promis bien mieux, beaucoup mieux ! Et elle avait grande hâte d'en arriver là !

« Tu t'es bien débrouillée, ce fut tardif, mais on apprend de nos échecs, n'est ce pas ? Leçon numéro deu donc !  Faut que tu apprennes à être plus vive, plus souple, plus agile, il faut que tu sois une véritable anguille, contrarement à toi, moi j'ai eu tout mon temps pour me faire craindre d'eux, j'ai été obligée de faire des choses horribles dont tu n'avais pas idée, alors, pour que cela ne recommence pas, j'ai du gagner les faveurs du maitre au point qu'il me voue une confiance absolue. Du coup, si tu as besoin de quoique ce soit, nhésite pas, mais c'est à une seule condition ! »

La formuler, ne pas la formuler. La formuler, ne pas la formuler,...quel dilemme, non pas de savoir si il fallait le dire, mais plutôt quand le dire, il fallait qu'elle croit qu'elle hésite à lui demander cela, une comme si il s'agissait d'une telle faveur qu'elle ne serait pas capable de refuser...là était  toute la nuance à réussir à faire passer....

« Je...non...enfin...je sais que c'est beaucoup demander mais....tu pourrais en échange me parler de...de comment c'est dehors ? S'il te plait... »
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le mardi 20 décembre 2011, 12:43:38
« Bon, c'est le crâne, ça saigne facilement, attends, je vais me charger de tout ça ! »

Ca elle le savait. Elle avait déjà vu un de ses cousins se blesser la tête et la quantité de sang qu'il avait perdu était impressionnante. Ce n'était pas vraiment cela qui l'inquiétait. C'était plutôt les vertiges qu'elle ressentaient et qui ne s'arrêtait pas qui l'inquiétait. Elle sentait que cela n'allait pas être facile de travailler en ayant l'impression que tout tanguait autour d'elle.

« Ferme l'oeil ! »

Aloysia s'éxécuta et sentit un liquide couler sur son frot qui la brûla à l'endroit qui était ouvert. Elle serra des dents et n'émit aucune plainte. Elle avait subit bien pire et elle n'allait pas se plaindre pour si peu. Un autre soucis la tracassait aussi. Elle avait quand même frapper le garde et elle sentait qu'un jour elle ne pourrait pas échapper à ses représailles. Elle sentit qu'on lui appliquait un pansement puis l'eclave lui tapota le dos en lui souriant.

« Tu t'es bien débrouillée, ce fut tardif, mais on apprend de nos échecs, n'est ce pas ? Leçon numéro deu donc !  Faut que tu apprennes à être plus vive, plus souple, plus agile, il faut que tu sois une véritable anguille, contrarement à toi, moi j'ai eu tout mon temps pour me faire craindre d'eux, j'ai été obligée de faire des choses horribles dont tu n'avais pas idée, alors, pour que cela ne recommence pas, j'ai du gagner les faveurs du maitre au point qu'il me voue une confiance absolue. Du coup, si tu as besoin de quoique ce soit, nhésite pas, mais c'est à une seule condition ! »

Aloysia tendit l'oreille. Quel chose inavouable avait-elle pu faire ? La méfiance de la jeune femme revint au galops mais le montra nullement, continuant de lui sourire. Ce qui la dérangeait aussi, c'est qu'elle était extrêmemnt proche du maitre. Il ne fallait donc pas qu'elle fasse un mauvais pas. Qui c'est si cette fille n'était pas aussi dérangé que le maitre des lieux ? La princesse se doutait aussi la jeune esclave avait été prête à tout pour obtenir sa confiance. Mais la condition que lui posa Aenetelia la surprit vraiment. Elle avait l'air curieuse de savoir ce qu'il y avait réellement dehors. Cela ne posait pas de problème à Aloysia mais il allait falloir aller sur la pointe des pied et en dire le moins de chose possible et s'attarder sur les détails futils. Elle ne voulait pas qu'elle sente qu'elle n'avait qu'une envie: quitter ce lieux d'abomination.

- C'est vraiment beau dehors. C'est dommage que tu n'es jamais pu aller te promener avec le maitre. Ce que j'aime le plus, ce sont les couché de soleil au dessus de la mer. Je ne sais pas si tu sais ce que c'est mais c'est une étendue d'eau salé à perte de vu. Quand le soleil se couche, les couleur orangé du soleil se reflète sur l'eau et c'est tout bonnement magnifique. Tout le monde devrait pouvoir un jour assister à ce spectacle. La ville est ensuite un lieu que j'aime beaucoup. Il y a des gens de toutes les races et Nexus par exemple est toujours grouillante d'activité. Tu peux aller dans les magasins ou sur les marcher et choisir tes fruits qui seront frais et sucrés et aussi acheter les plus belles étoffes... Si un jour tu as la chance de sortir te promener, essaye à tout pris d'aller sur le bord de mer, tu verras, c'est quelques chose qu'on ne peut pas oublier. Et ne t'inquiète pas cela ne me dérange pas du tout de répondre à tes questions, au contraire, j'aime faire partager.Si j'ai pu un peu te faire voyager rien qu'avec mes paroles, cela me procure un plaisir immense.

Elle allait lui caresser la joue mais se ravisa en sachant qu'elle aurait la main qui la brulerit ensuite. Elle posa sa main sur son épaule et lui sourit gentiment. Elle était vraiment triste pour elle, qu'elle ne soit jamais sortit de son manoir. Mais elle avait vécu toute sa vie ici et elle paraissait conditionné pour cette vie là. Aloysia ne lui proposerait donc pas de partir avec elle. Elle paraissait presque heureuse ici. La princesse n'arrivait pas à la comprendre mais elle la respectait.

Aloysia se releva et chancela. Le sol ne lui paraissait pas stable et elle s'appuya au ur pour ne pas tomber. Elle ferma les yeux, ne supportant plus de voir ainsi tanguer le sol sous ses pieds et tout doucement ses vertiges se calmèrent. Elle rouvrit les yeux et sourit à l'esclave. Elle se sentait faible et elle prit donc la pomme qui était rester sur le bureau. Elle la mangea doucement et une fois qu'elle eut finit, elle se sentit un peu mieux. Il fallait juste qu'elle ne fasse pas de mouvements brusques sinon tout tournait de nouveau autour d'elle.
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Liam Eckart le lundi 26 décembre 2011, 23:44:14
« C'est vraiment beau dehors. C'est dommage que tu n'es jamais pu aller te promener avec le maitre. Ce que j'aime le plus, ce sont les couché de soleil au dessus de la mer. Je ne sais pas si tu sais ce que c'est mais c'est une étendue d'eau salé à perte de vu. Quand le soleil se couche, les couleur orangé du soleil se reflète sur l'eau et c'est tout bonnement magnifique. Tout le monde devrait pouvoir un jour assister à ce spectacle. La ville est ensuite un lieu que j'aime beaucoup. Il y a des gens de toutes les races et Nexus par exemple est toujours grouillante d'activité. Tu peux aller dans les magasins ou sur les marcher et choisir tes fruits qui seront frais et sucrés et aussi acheter les plus belles étoffes... Si un jour tu as la chance de sortir te promener, essaye à tout pris d'aller sur le bord de mer, tu verras, c'est quelques chose qu'on ne peut pas oublier. Et ne t'inquiète pas cela ne me dérange pas du tout de répondre à tes questions, au contraire, j'aime faire partager.Si j'ai pu un peu te faire voyager rien qu'avec mes paroles, cela me procure un plaisir immense. »

Oh comme c'était intéressant, mais Aenetelia, au fond, n'en avait cure, pour elle, toutes ces raisons étaient futiles pour la simple et bonne raison que Liam n'avait pas sa place là bas et que si la place du maître était ici à les diriger, et bien c'était là qu'Aenetelia avait sa raison d'être. Maître Eckart aurait été marchand de légume alors elle aurait été le légume qu'il fait pousser dans son jardin pour sa consommation personnelle.

Aenetelia lui sourit et s'acarta quand elle tenta de lui caresser le visage, pour elle, il fallait qu'elle la croit la plus gentille fille du monde, enfin, façon de parler, elle devait avoir toute confiance en elle pour la suite, absolument toute confiance. Il ne fallait pas qu'elle puisse douter du fait qu'Aenetelia s'était attachée à la jeune femme assez pour l'aider autant qu'elle le voudrait. Quand  elle sentit la pression sur son épaule elle sourit davantage. Mais elle retint doucement Aloysia en la tenant pas un endroit où le vêtement la couvrait, avant de l'aider à se redresser, elle semblait chacncelante et limite  proche del'évanouissement, aussi, qu'elle mange la pomme fut une bonne chose.

« Tu sais, tu devrais t'asseoir et signer les papiers, moi je vais rester debout, non ? Peu importe qui fait le travail, tant qu'il est fait en temps et en heures... et que le maître n'a pas à se plaindre, ça devrait être bon ! Et si tu ne vas vraiment pas bien, je te conseille d'aller à l'infirmerie, le maitre fait en sorte que ses esclaves gardent la santé, alors si besoin est l'une de nous deux peut s'absenter un curps laps de temps, c'est pour ça qu'on fonctionne par paire !»

Elle lui souriait toujours elle était tellement amusée par le spectacle, mais hormis un sourire rassurant et un air compatissant, elle n'exprimait rien d'autre, elle n'était rien d'autre de toute manière, que cruauté, jalousie et perversité. Parmi le nombre d'arts qu'elle maitrisait, il y avait celui de la manipulation, et elle en abusait très largement !

« Tu m'a dit e belles choses sur le monde extérieur, mais dis moi, pourquoi est ce que les marchés dont tu parles sont si agréables ? Je veux dire...ici aussi j'ai la possibilité de choisir mes fruits, de choisir les étoffes pour confectionner les vêtements  des autres, et puis en haut de la falaise, je t'y emmènerai si tu veux, il y a une vue sur toute la forêt, et les rayons de soleil couchant  jouant avec les bra,ches des arbres ou se freflètant dans la mare, c'est magnifique aussi ! Et le doux bruissement du vent dans les feuilles et les branches vient embellir cette vision des choses ! Mais qu'est ce qui différencie donc le monde extérieur d'ici à part sa taille ? Je ne comprends pas... »

Elle prit une pause, cette fois ci, elle cherchait vraiment ses mots, elle devait être précautionneuse dans son choix pour exprimer la pensée que la blondinette devait supposer qu'elle avait.

« Est-ce que c'est cette fameuse liberté ? Même si je ne sais pas ce que c'est, cette liberté  doit être une femme extraordinaire pour qu'on la veuille à ce point...non ? »
Titre: Re : En plein jour comme en pleine nuit, la rue reste dangereuse (Pv Aloysia Weber)
Posté par: Aloysia Weber le mercredi 28 décembre 2011, 11:08:15
« Tu sais, tu devrais t'asseoir et signer les papiers, moi je vais rester debout, non ? Peu importe qui fait le travail, tant qu'il est fait en temps et en heures... et que le maître n'a pas à se plaindre, ça devrait être bon ! Et si tu ne vas vraiment pas bien, je te conseille d'aller à l'infirmerie, le maitre fait en sorte que ses esclaves gardent la santé, alors si besoin est l'une de nous deux peut s'absenter un curps laps de temps, c'est pour ça qu'on fonctionne par paire !»

Aloysia le cacha mais elle trouvait hilarant que le maître fasse attention à leur santé. Il n'en avait sans doute rien à faire de leur santé mais si elle se retrouvait incapable d'effectuer des taches dans le manoir, là oui cela l'embêterais. La princesse esclave ne désirait pas aller à l'infirmerie de peur qu'il lui arrive encore quelque chose. Elle était devenue extrêmement méfiante. Pour l'instant il valait mieux rester avec l'esclave favorite du maître, au moins il ne lui arrivait rien de grave pour l'instant. Elle ne savait pas encore si elle pouvait lui faire confiance mais elle ne lui avait pas encore fait de mal et cela suffisait à la jeune femme.

- Non ça va aller. Ça ira mieux demain.

Aloysia alla tout de même s'asseoir à la place d'Aenetelia. Elle avait des sueur froides par moment et la tête lui tournait toujours. Mais avec du repos cela passerait sans doute.

« Tu m'a dit e belles choses sur le monde extérieur, mais dis moi, pourquoi est ce que les marchés dont tu parles sont si agréables ? Je veux dire...ici aussi j'ai la possibilité de choisir mes fruits, de choisir les étoffes pour confectionner les vêtements  des autres, et puis en haut de la falaise, je t'y emmènerai si tu veux, il y a une vue sur toute la forêt, et les rayons de soleil couchant  jouant avec les bra,ches des arbres ou se freflètant dans la mare, c'est magnifique aussi ! Et le doux bruissement du vent dans les feuilles et les branches vient embellir cette vision des choses ! Mais qu'est ce qui différencie donc le monde extérieur d'ici à part sa taille ? Je ne comprends pas... »

Quoi de plus normal. Elle n'avait jamais vécu en dehors de ce manoir. Elle ne savait pas combien c'était bon de changer d'air et de se promener pour rencontrer de nouvelle tête, avoir le choix de faire ce que l'on veut dans la journée. Mais l'esclave lit le doigt sur une chose importante. Oui en effet la liberté avait une grande place dans la recherche du bonheur d'un individu. Mais la question d'Aenetelia était dangereuse et elle ne voulait pas sauté à pied joint dans un piège. Elle restait la favorite du maître et ce n'était sans doute pas pour rien.

 "La liberté peut contribué au bonheur de certaines personnes, c'est certain. Mais je pense que la liberté ne vaut rien si l'on est pas avec l'être aimé. Et à mon avis si l'on est avec la personne que l'on aime le plus au monde, la liberté n'est que superficielle. C'est mon avis après je n'ai jamais connu l'amour alors... Ma théorie est peut être fausse.

Aloysia lui sourit gentiment. Elle avait bien sur évité de dire qu'elle ne rêvait que d'une chose: partir loin d'ici et retourner avec sa maitresse. Mais elle pensait quand même ce qu'elle disait tout en évitant de vraiment parler d'elle. Depuis qu'elle était avec sa maitresse, elle était heureuse même si elle avait perdu une certaine forme de liberté. Mais quand elle était encore princesse, elle avait encore moins de liberté, donc elle n'allait pas s'en plaindre. Aloysia signait et ratifiait les documents. Cela n'était pas du tout un travail difficil pour la jeune femme. Elle avait par le passé rédigé elle-même des traités, des textes de lois... Donc ce n'était pas une tache déplaisante et difficile pour la princesse. Lorsque midi approcha, elle leva la tête des papiers et posa son regard sur l'esclave.

- Je dois donner mon sang au maître ce midi si les résultats de mon sang sont bon. Est-ce qu'il fait que tu m'accompagne jusqu'à lui ou viendra-t-il uniquement s'il peut boire mon sang ?

Aloysia sentai son ventre se nouer en sachant qu'elle allait devoir laisser le vampire boire de son sang. Elle n'en avait pas envie et si les résultatsde l'analyse montrait que la verveine se trouvait toujours dans son sang alors ce serait vraiement un grand soulagement pour elle.