Le Grand Jeu

Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => Place publique => Discussion démarrée par: Kohana le jeudi 09 octobre 2008, 20:55:33

Titre: retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Kohana le jeudi 09 octobre 2008, 20:55:33
Kohana n'en pouvait plus de tout ses voyages. Après de longues périgrinations, elle pensait que cela lui ferait du bien de se retrouver dans un endroit peuplé. Mais n'étant toujours pas d'humeur à rentrer sur Terre, elle se dirigea vers la place publique de Nexus, lieu qu'elle n'avait pas encore visité.

La jeune demoiselle marchait la tête basse, espérant ne pas recontrer Don ou tout autre homme de son espèce. Elle avait eu le temps de réfléchir, mais n'avait pu se résoudre à prévoir comment elle réagirait face à son maître... Alors elle marchait le plus discrètement possible, se faufilant entre les badauds.
Soudain elle s'arrêta devant un étalage... de nekos !


"Chattes en chaleur ! Pucelles dressées n'attendant qu'un maître ! Vous monsieur ? Venez approchez ! Elles ne griffent ni ne mordent ! Ce sont des démons domptés ! N'hésitez pas venez acheter !"

Le marchand d'esclave faisait sa promotion du jour. Le lot était d'ailleurs fort joli : une jolie neko à la peau blanche, les oreilles et la queue de la même couleur, les habits savament déchirés de façon à attirer l'oeil sur les atouts de la petite chatte ; une autre avec une tunique si transparente qu'elle aurait été plus habillée si elle n'en portait pas ; une troisième sortait sa langue pour se lécher les lèvres telle un chaton attendrissant ; et une dernière un peu plus âgée dont une profonde cicatrice barrait la poitrine, mais dont les fesses étaient si rondement jolies qu'elle donna même des idées à Kohana.
Comme elle admirait la marchandise depuis quelques instants déjà, le marchand d'esclave l'apostropha.


"Hey toi ! Tu achètes ou tu viens te joindre à elle ?! Qui est ton maître ?"

A ces mots, Kohana aurait aimé se faire toute petite, mais elle était là et l'imposant bonhomme n'avait pas l'intention de la laisser filer. Si elle ne lui parlait pas de son maître, celui-ci deviendrait le sien ; et si elle en avait un, le marchand s'empresserait de le retrouver pour lui rendre cette esclave esseulée et lui en fournir d'autre mieux dressées !
L'humaine était dans une impasse et avec la foule qui l'entourait, prendre la fuite n'aurait fait qu'aggraver les choses. Tout ces gens étaient complices des marchands d'esclaves et l'auraient attrapé avant qu'elle est fait un pas !


*Que faire ?*

Alors Kohana lança une sorte d'appel au secours en espérant que la déesse Aphrodite serait de son côté.

"Maîiiiiître ! J'arriiiiive, je regardais les Nekos !"

cria Kohana avant de se retourner précipitament et de courir dans une direction inconnue, espérant que son subterfuge lui laisserait quelques minutes d'avance et lui permettrait peut-être de trouver une autre solution, ou un portail pour la Terre.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Namy Aya le jeudi 09 octobre 2008, 22:29:10
Les jours de marché, toutes les semaines, Aya descendait dans les étales d'esclaves a la recherches de terranides et de faibles. En general on lui sourait, les vendeurs connaissaient la succube maintenant, elle oeuvrait pour son fils, l'Affranchisseur. Elle avancea dans les étales, avant de s'arreter net, une femme était en train de se faire deshabiller par un proxenette, il n'y allait pas de main morte, lui donnant des claques severes alors que les autres regardaient presque émerveillé. Aya claqua des doigts et deux hommes monterent sur l'estrade et se saisissaient de la jeune femme pour l'arracher des griffe du vendeur.

Elle appartient a la famille Namy maintenant.

L'homme lacha la prise sur la femme a moitié nue alors qu'un sac de piece d'or pour payer la prostitué. Les hommes attraperent la jeune femme et la couvrirent avant de descendre de l'estrade avec la jeune femme avant de la conduire dans la residence où elle passerais le restant de sa vie, si elle ne trouvait pas un meilleur endroit.

Madame, vous continuez seule?

Moouais, je devrais m'en sortir, ramenez la a la résidence et instalez la confortablement, elle doit vraiment etre mal.

Bien madame.

Les 3 hommes partirent alors que la succube avanceait en se gavant des désirs pervers des futurs maitres quand tout a coup, une jeune femme lui rentra dans le jambes et la fit tomber a terre.

Hééé! Regarde où tu.... cour...

Cette odeur? Elle sentait Kurumu, elle avait couché avec sa fille et visiblement elle n'était vraiment pas en bon état, comme térrorisé, Aya savait que sa fille était assez étrange depuis qu'elle avait quitté le nid, mais de la a briser le mental d'une enfant, franchement, c'était trop. Comme une mere qu'elle était, la succube se redressa et pris la jeune femme halletente et térrifié dans ses bras.

Chut... c'est fini, Kurumu ne te fera plus rien, reste avec moi, ca va aller, je te le promet, elle ne peut rien faire tant que je suis pres de toi.

En la bercant au milieux de la foule Aya donnait une drole d'impression, mais qu'est ce qu'elle en avait a faire? C'était le cadet de ses soucis de savoir qu'on la regardait. Elle prit lentement la main de la jeune femme et la fit se relever avant de la serrer contre sa poitrine.

Ca va aller, tu veux que je te donne a manger? a boire? un coin où passer la nuit? Je m'appelle Aya, je suis la mere de Kurumu, si je peux la racheter d'une quelconque maniere, je serais ravie de le faire.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Kohana le vendredi 10 octobre 2008, 10:40:25
Kohana n'eut pas le temps de s'enfuir bien loin que déjà quelqu'un l'attrappa, ou plutôt... qu'elle renversa une jeune femme. L'adolescente se sentit tomber sur le sol, dans les bras d'une inconnue, qui le rappelait étrangement quelqu'un qu'elle avait connu, il n'y a pas si longtemps.
D'ailleurs la belle inconnue aux cheveux bleus évoqua le souvenir de Kurumu. Elle pensait que la succube lui avait fait du mal. Pourtant c'était en partie l'inverse... même si Kurumu avait tout de même violé la jeune fille, ce n'était pas le souvenir le plus important que Kohana gardait d'elle.

Les bras de cette femme entourèrent le corps de Kohana qui se laissa bercer quelques instants. Son coeur retrouvait ainsi un rythme de battement calme et régulier. Pourtant la peur n'avait pas totalement disparue de la jeune fille : vers qui se trouvait-elle à présent ? qu'allait-il lui arriver si elle ne fuyait pas de cet endroit rapidement ?
Cependant, ce contact maternelle faisait du bien à Kohana et elle n'avait pas envie d'interrompre ce moment. Sa mère lui manquait tant... elle savait qu'elle ne la reverrait peut-être jamais et que c'était surement la dernière occasion pour elle de se faire choyer comme une enfant. Alors Kohana se détendit et profita de cette simple embrassade.

Mais bientôt, trop rapidement à son goût, la mère de Kurumu, car c'est ainsi qu'elle s'était présentéé, se releva et aider Kohana à se remettre sur pied, tout en lui proposant des vivres.
Le ventre de Kohana gargouilla à ce moment précis.  Rougissant, l'humaine baissa les yeux. Elle ne savait comment l'exprimer mais ses préoccupations n'étaient pas tournées vers les besoins naturels de son corps. Plus que tout, Kohana voulait fuir mais... il était déjà trop tard. Le marchand d'esclave s'approchait des deux femmes, un sourire goguenard sur les lèvres.


"Alors ma belle, tu t'es trouvée une compagne ? C'est gentil de vous offrir toutes les deux. Les duos marchent bien en ce moment, les maîtres en sont friants !"

A ces mots, il empoigna fermement le bras de Kohana, dont la main était restée dans celle de la succube. L'homme commença à tirer l'humaine ne direction de l'étal de nekos, Aya se trouvant obligée de suivre.

Alors l'adolescente tourna son regard vers cette femme aux milles ressources : ses yeux brillaient d'une lueur désespérée de vaincue. On pouvait sentir que l'humaine n'avait plus l'âme d'une battante et qu'elle avait accepté son sort misérable depuis longtemps. Toutefois, ses gestes n'étaient plus ceux d'une esclave soumise. Elle était toujours perturbée et en désaccord avec elle même, mais son esprit n'avait plus la force de lutter pour connaître la vérité.
Elle murmura tout de même, assez fort pour qu'Aya l'entende, mais trop faiblement pour le marchand d'esclave :


"Je suis Kohana et vous n'aurez pas à racheter votre fille."

Puis elle abandonna son corps à l'emprise du marchand d'esclave et se laissa traîner, se meurtrissant les pieds contre les pavés de la place.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Namy Aya le vendredi 10 octobre 2008, 13:24:27
Aya fulminait de rage a la remarque du marchand, lui, la prendre elle pour une esclave? C'était sans doute la meilleure de la semaine. Elle se laissa pourter par la jeune femme qui lui murmura son nom avant de lui dire que ce n'était pas Kurumu qui avait misecette petite beauté dans cet état pitoyable. A ces mots, la jeune femme pressa le pas et pris l'humaine dans ses bras, faisant arreter net le marchand qui manqua de tomber sous l'arret brutal, la force de la succube dépassait de loin celle de 100 hommes en age de porter les armes et donc c'est comme si il tirait une masse d'une tonne derriere lui.

Ecoute moi bien paysan, si tu tiens a ce que ta tete reste sur tes épaules tu ferais mieux de lacher l'affaire, j'appartiens déjà a quelqu'un et si tu ose encore me traiter de marchandise je te broie le crane.

Elle montra le dos de son poignet qui portait le tatouage de son fils, mais visiblement le marchand peut scrupuleux et surtout tres con s'entéta a vouloir en faire une esclave. Il tira le fouet qui avait rendu ses nekos dociles et frappa violement, mais le cuir ne toucha pas les jeunes femmes. Enfin, une aile noire seulement. Lorsqu'elle se remila dans le dos de la succube cette dreniere lacha l'humaine avant d'approcher d'un pas menacant. Il  voliat foueter? Tres bien. En un tour sur elle meme, la queue e la jeine demme entailla profondement  la poitrine de l'esclavagiste qui tomba au sol, tétanisé.

Un conseil, si tu ne sais pas voir au dela des simples apparences, change de travail.

Elle tourna les talons, daidaignant l'homme qui hurlait sa rage et sa douleur avant de prendre, maternelement, la jeune femme dans ses bras et de lui caresser les cheveux alors que sa tete se pressait contre son opulante poitrine. Elle n'avait pas oublié les gargouillis, ni les pieds meurtris et encore moins les haillons qu'elle portait.

Viens Kohana, je t'emmene chez moi, on va te vétir, te laver et te faire manger. Tu n'aura rien a payer, tout les esclaves qui viennent dans le manoir avec des fer en sortent libre, aujourd'hui tu es mon invité, tu peux meme rester autant que tu le voudra.

Elle décocha un sourire radieux et sensuel a la jeune femme, attendant sa réponse pour s'envoler aveca tire d'aile dans les cieux et rejoindre la résidence par le chemin le plus court. Ce gros porc avait completement ruiné ses envies de sortie, elle ne voulait plus qu'une chose, rentrer, se délasser et oublier cette journée avec un ou plusieurs partenaires...
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Kohana le samedi 11 octobre 2008, 11:54:32
Kohana, en tombant sur cette femme, ne s'attendait pas à être en présence de quelqu'un d'important. Son air maternel et ses gestes affectueux avaient eu tendance à rassurer la jeune fille. Lorsque le marchand d'esclave l'avait tiré de force, Kohana n'avait pas cherché à résister : que pouvais bien faire deux femmes face à un homme aussi bien entouré ? Mais l'adolescente n'avait pas l'habitude d'avoir à faire à des succubes et avait oublié la façon dont elles pouvaient surprendre les humains !
En l'occurence, la mère de Kurumu était très forte et lorsqu'elle décida que le petit jeu avait assez duré, le petit jeu s'arrêta, presque tout naturellement. Presque est un bien grand mot car le marchand d'esclave a quand même tenté de résister... mais que faire face à une succube en colère sinon se plier à sa volonté ?

A cet instant précis, Kohana réalisa à quel point elle avait été inconsciente lors de sa rencontre avec Kurumu. La fille d'Aya ne plaisantait pas quand elle affirmait pouvoir tuer l'adolescente, ou l'homme qui était présent... et pourtant, dans sa naïveté, la jeune fille avait osé lui tenir tête ! Mais bien évidemment, les choses avaient été bien plus compliqué...

Kohana revint à la situation actuelle lorsqu'elle sentit la poitrine de la succube lui entourer la tête et la main d'Aya lui caresser les cheveux. Ce geste n'avait aucune connotation sexuelle, il était juste agréable et rassurant. Comment résister face à de telles caresses ? Que rétorquer quand une mère vous invite chez elle pour vous restaurer ?
Ce n'est ni la faim, ni la fatigue, ni la souffrance qui poussa Kohana a accepté la requête de la femme, mais bien le réconfort maternel qu'elle lui procurait. L'adolescente était restée si longtemps lovée et chouchoutée chez ses parents qu'elle avait du mal à se sentir forte seule. Elle avait besoin d'encouragements et de soutien, de conseils ! Mais dans le plan Terra, personne n'était là pour aider personne ; chacun essayait juste de sauver sa peau !


"Votre invitation me touche beaucoup, mais je ne sais pas si je dois..."

Allait-elle risquer une fois de plus de tomber dans un piège ? Don n'avait-il pas été un être doux lorsqu'elle l'avait rencontré ? Ne l'avait-il pas aidé ? Comment savoir quelles étaient les réelles intentions d'Aya ?
Cependant, Kohana n'avait plus la force de réfléchir. Son esprit avait bien trop carburé ces derniers temps, alors elle s'abandonna aux caresses de la succube et murmura simplement :


"Emmène-moi avec toi..."

Kohana savait ce qui allait se passer : la succube déplorait ses ailes et s'envolerait avec la jeune fille dans ses bras. A l'idée de voler, Kohana s'emplit de joie et de curiosité ; elle n'avait jamais quitté le sol terrestre, cette première envolée allait sans doute lui réserver bien des surprises.
Alors la jeune fille ouvrit les bras et entoura bien fermement la taille de la succube, lui broyant quelque peu les côtes. Puis, comprenant que ce n'était pas la bonne solution, l'adolescente aux cheveux noirs s'écarta légèrement d'Aya et la regarda.
La succube avait l'air fragile, pourtant elle semblait avait une force colossale. Kohana inspira un grand coup, espérant que cela suffirait à soutenir son poids (qui n'était pas négligeable)... puis elle sauta dans les bras de la mère aux cheveux bleus, comme l'aurait fait un petit singe. Elle lova sa tête dans le cou de la femme, s'agrippa avec ses mains et ses jambes autour du corps de la femme, essayant de s'applatir le plus possible et d'épouser les formes de la succube au maximum pour ne pas offrir trop de résistance aux vents.
Puis, profitant que sa bouche n'était qu'à quelques centimètres de l'oreille d'Aya, elle susurra, presque pour elle-même :


"Je suis prête"
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Namy Aya le samedi 11 octobre 2008, 13:27:28
Il t avait une autre alternative pour l'homme qui les retenait autre que de se plier a la succube, mourir. Mais dans son bon sens, le marchand avait laché prise, il restait la main sur sa poitrine en criant sa douleur alors que la jeune fille se posait mille et une questions a savoir si Aya n'était pas un véritable monstre. Pas vraiment, c'était un démon, un puissant démon, bien placé dans la hierarchie par son age. Tout en maternant la jeune femme, Aya étirait ses ailes sans se soucier des passants qui les entouraient, la plupart prenait garde a ne pas la gener car apres sa démonstration avec l'homme aux idées mal venues, plus personne ne voulait la provoquer. Kohana ne savait pas quoi faire, elle le montrait bien, c'était meme normal.

Puis, dans une inspiration, elle murmura a sa "maman" de l'emmener, la succube en avait le sourire aux levres alors qu'elle lui embrassait le front, elle aimait voir de la confiance dans ces yeux pleins de terreur. Si elle le souhaitait, la succube serait ravie de rendre peut de chaleur a son regard triste et terne. L'étreinte était sans doute un peut plus forte que la normale vue que la jeune femme se décola un peut avant de sauter dans les bras d'Aya et de lui dire qu'elle était prete, la succube eut un rire doux et lui murmura en lui caressant l'arriere du crane

Je crois que je l'avais compris Kohana...

Lentement, Aya détacha la jeune fille et la prit dans ses bras, comme on porte une pricesse avant de donner deux battements d'aile.

Accroche toi bien a mon cou, ca risque de te secouer un peut quand ca commence.

Et elle avait raison, dans un tourbillon de poussiere, la succube et son passager décollerent comme si on les avait tiré d'un canon, apres seulement une seconde, la jeune femme était au niveau de la plus haute fleche du palais de nexus. Elle regarda tendrement la petite humaine lové entre ses bras et lui posa un baiser, tout aussi maternel, sur ses petites levres pour la rassurer un peut. En resserant le corps de Kohana contre elle, la succube se lanca a une vitesse incroyable, faisant défiler les maisons sous les yeux de  la petite humaine comme si il s'agissait de petites vaguelettes avant de remonter et de descendre en piquet, ailes replié, dans un conduit sombre. Une fois au bout de la cheminée, Aya tomba au sol avec élégance dans les douches privé du manoir.

Tu veux commencer par un bain? Tant qu'a etre ici, profite en, je peux te laver et te masser si tu le veux, je suis une succube, les plaisirs de la chair c'est mon cheval de bataille.

Elle la posa en douceur sur les pavé glissants en lui adressant un sourire doux et tendre, un sourire que la pauvre jeune fille ne devait pas voir souvent ni arborer d'ailleurs.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Kohana le samedi 11 octobre 2008, 20:15:58
[HRP : j'ai eu un petit problème, mon message s'est effacé, je vais donc le réécrire... pardonne-moi si le post n'est pas très bon, c'est parfois décourageant de réécrire les mêmes choses -_-]

Apparemment, la position prise par Kohana ne convenait pas à la succube qui choisit de la prendre dans ses bras, comme on mène une mariée à l'hôtel. Loin d'être rassurée par cette attention maternelle, l'adolescente eut l'impression d'être tombée dans un piège. Aya était à présent aux premières loges pour se rincer sur la poitrine généreuse de Kohana, et ceci la mettait mal à l'aise.

Cependant, l'enfant n'eut pas le temps de désespérer bien longtemps. Le décollage démarra. Heureusement qu'Aya lui avait conseillé d'entourer son cou de ses bras, parce qu'effectivement cela secoua la pauvre fille. De la poussière s'éleva et entra dans la bouche et les narines de l'adolescente. L'air tourbillonnait tellement violemment autour d'elle que ses yeux se retrouvèrent compressés à l'intérieur de leurs orbites. La peur saisit le coeur de Kohana qui sentit les larmes lui monter aux yeux.


"AAAAaaah !"

La jeune fille ne put s'empêcher de crier quand elle sentit son corps à demi en suspension dans les airs.
Voyant sa détresse, Aya lui déposa un baiser sur les lèvres pour la rassurer. A ce moment, le corps de Kohana se rendit. Bien que déposé avec douceur, ce baiser lui donnait encore plus la pensée qu'elle avait été trop naïve une fois de plus. Elle se retrouvait dans une position d'infériorité et dans les lieux où elles se trouvaient personne ne pourrait venir l'aider.
L'adolescente essaya de se contrôler et pencha la tête sur le côté pour admirer le paysage et cacher à la succube son désarroi. Mais lorsqu'elle vit les pointes des toits des maisons défiler sous ses yeux à une vitesse phénoménale, l'adolescente en eut la nausée. Alors, bien vite, elle replongea son regard dans les cieux afin d'éviter de dégobiller le peu qui lui restait dans l'estomac.

Maintenant elle était complètement perdue. Jamais elle ne pourrait retrouver son chemin, jamais elle ne pourrait s'enfuir de l'endroit où la succube la menait car aucun être humain n'était capable de mémoriser un initinéraire qui défilait aussi rapidement.
Mais les malheureuses pensées de la fillette n'eurent pas le temps de se développer que déjà, Kohana se sentait happée à travers un conduit noirâtre.

La succube la déposa sur des pavés blanc glissants qui carrelaient les douches de l'habitat. Cette fois, le sang de la jeune fille se glaça. La situation qu'elle avait connue avec Don était en train de se reproduire, quasiment à l'identique : la "maman" l'invitait à prendre une douche puis elle lui suggérait qu'elle pourrait la masser, parce qu'elle était experte en la matière ! Bien pire que Don, cette femme n'hésitait pas à afficher clairement ses intentions.


*Que faire ?*

Piégée, l'instinct de survie de Kohana reprit le dessus. Préférant obéir à sa récente éducation plutôt que de mourir, la jeune fille inclina légèrement la tête en signe d'acquiescement et entreprit de se déshabiller. Pourtant, elle se garda bien d'afficher sa soumission, se rappelant de la réaction de Kurumu, la fille de cette mère, lorsque Kohana avait voulu la satisfaire.
N'ayant que peu d'habits sur elle, l'adolescente se retrouva rapidement dans le plus simple appareil. Don lui avait appris à ne plus être pudique et se retrouver ainsi ne la gênait pas. La chose qui la mettait mal à l'aise, c'est qu'elle ne savait pas quoi faire pour ne pas s'attirer la colère de la succube.

Alors, elle décida d'attendre sagement, un tendre sourire sur les lèvres, qu'Aya lui montre la voie à suivre.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Namy Aya le samedi 11 octobre 2008, 20:52:21
Aya ne savait pas, elle ne se doutais pas que la petite humaine avait subis un traitement semblable plus tot et que ce traitement avait détruit sa ve a jamais. Mais il était certain que la salle de bain de son souvenir douloureux n'était pas aussi spacieuse que celle ci, la baignoire était une sorte de piscine relativementt profonde, un bain turc emplissé la moitié de la salle alors que l'autre moitié était sous une douche chaude et tropicale. Attendrie par ce petit bout de femme, la succube pris bien soin de la regarder dans toute sa beauté et sous toutes les coutures avant de retirer ses habits, de les plier et de faire de meme avec ceux de l'humaine. Accroupie devant la jeune femme Aya la regarda tendrement.

Bien que ce ne soit que des haillons, je vais te les ranger dans un caisson, tu semble avoir la meme poitrine et les memes fesses que moi, je peux me déparer de quelques tenues si tu veux, ce sera avec plaisir que je te les donnerais, entre ex esclave c'est normal.

Aya se releva en lui montrant le dos de sa main, marqué d'un tatouage que rien ne peut enlever, tel une marque au fer rouge, avant de passer la main sur la fesse droite de la terriene et de caresser les boursouflures de chairs sur sa fesses droite, marque de l'abominable Dorian sur toute ses esclaves (j'ai pas lue si il te l'avais mise, mais normalement c'est fer rouge sur la fesse droite). Lorsque la succube revint, elle ne portait plus ses ailes ni sa queue ni ses oreilles allongés, la succube était parfaitement humaine et l'eau chaude coulait divinement dans la piece sous la forme d'une douche dellassante.

Viens Kohana, n'ai pas peur, quoi qu'ait put te faire ma fille, il y a peut de chance que je me montre aussi brutale et violente, cette fille est assez étrange, elle traine avec les mauvaises personnes, je lui ai pourtant appris a vivre comme une vraie succube, en séductrice, attirant ses proies dans son lit et les soumettants comme ses esclaves quelque soit la personne. J'aurais peut etre due éviter de parler de les soumettre... Lui dire de savoir rester maitresse de la situation aurait peut etre évité tout ses dérapages. Couche toi sur cette table, je vais te masser.

Lorsque Kohana se coucha, Aya s'instala a qualifourchon sur ses fesses puis posa ses mains sur ses épaules, la pauvre était tres tendue. Les noeuds de ses musckes montraient que la situation l'effrayait plus que toute chose. Lentement, elle commenca a appliquer une pression tendre sur la peau de la jeune femme alors que l'eau ruisselait le long de sa chevelure démeusuré.

Ne sois pas aussi stréssé Kohana, je suis pas un monstre, un démon seulement. Détends toi, profite d'un massage unique que seul les succubes savent faire. Enfin, je pourrais te montrer la totalité du massage, mais tu ne porte que des souvenirs de viols et de douleur dans tes désirs, je doute que tu sois prete a avoir des rapports avec qui que ce soit avant un long moment, meme moi. Et crois moi, pour ne pas etre apte a coucher avec moi, c'est que je te considere vraiment tres tres mal en point. N'ai crainte, je ne te violerais pas comme celui qui t'as marqué ni comme ma fille. Je ne ferais que ce que tu voudras.

C'était d'une franchise et d'une si grande sincérité qu'il était impossible a Kohana de ne pas croire a ce que la succube disait, peut etre que c'était surtout parce que c'était la vérité, Aya était si vieille que son pouvoir était maintenant démeusuré, elle se gavait des désirs et des plaisirs malsains mais en plus elle pouvait voir la mémoire sexuelle des personnes qu'elle touchait, plus le temps passé et plus elle voyait loin. Soudain, une grande douceur l'envahis, un souvenir tendre et profond. Elle lacha les épaules de la jeune femme et lui chuchota avant de lui embrasser tendrement l'oreille

Qui est cette Hazel qui t'as donné tant de bon souvenirs? On dirait que ces souvenirs te tiennent vraiment a coeur. J'ignore si je suis capable de les rendre plus présent que ceux du monstre sans visage qui t'as marqué, mais je peux toujours te parler d'elle pour que tu ne pense qu'a elle si tu veux.

La succube déploya sa queue tranchante comme un rasoir et caressa, comme du bout d'un ongle, les cuisses de la jeune femme pour lui offrir un peut de douceur érotique, rien de plus, comme elle le lui avait dit, elle ne ferait rien pour la forcer. Ce serait juste si Kahana le voulait qu'elle lui offrirait ses talents.


(je connais tres bien rassure toi^^ mais c'est parfait)
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Kohana le dimanche 12 octobre 2008, 11:31:48
Kohana restait là, ébahie devant la beauté de la salle de bain au sol carrelé de blanc et au bain aussi large qu'un lac. Elle n'eut aucun regard pour la succube qui se déshabillait, mais ses yeux ne pouvaient s'empêcher de desceller les formes généreuses du démon. Lorsqu'elle fut à nue, Kohana se tint face à elle et eut l'impression de faire face à son propre reflet dans un miroir. La même idée traversa l'esprit de la succube qui lui proposa de lui prêter quelques habits après s'être lavées.

Même dénudée, la succube restait impressionante et l'adolescente se sentait toujours aussi inférieur. Mais n'était-ce pas là normal puisqu'elle était esclave et la succube maîtresse ?
Mais les soupçons de l'adolescente firent face à un profond doute quand Aya se qualifia elle-même d'ex-esclave et lui montra sa marque sur le dos de sa main. A ces mots, Kohana eut l'impression de sentir sa fesse droite brûler, la chaleur l'envahissait. Mais la succube calma cette désagréable sensation en déposant sa main contre la marque de la jeune fille [Don n'a pas encore eu le temps de me la faire, le RP n'est pas fini, mais j'y aurai droit je pense^^].
La succube reprit un air, un ton et des gestes maternels et l'invita à lui faire confiance. Elle parlait avec sincérité, et même si Kohana ne voulait pas la croire, elle ne pouvait faire autrement. Certaine de se faire encore avoir, la jeune fille se laissa tout de même rassurer. Lorsqu'Aya lui suggéra de s'allonger sur la table, elle obtempéra. Son esprit n'avait pas la force de lutter contre les assauts si tendres et doux d'une mère. Une mère qui d'ailleurs savait qu'elle avait fait du mauvais travail en élevant sa fille, et essayait de réparer les dégâts, une mère qui se sentait fautive des actions de sa fille... Kohana avait envie de lui dire des mots gentils, de lui expliquer qu'elle n'était pas responsables des mauvais traitements qu'elle avait subi par Kurumu, mais sa bouche articula des mots sans sons, et donc incompréhensibles.

Alors Aya s'installa précaussionneusement sur les fesses rebondies de l'humaine et déposa ses mains sur ses épaules. Kohana n'était toujours pas à l'aise. La succube, quoi qu'elle fasse, restait toujours en position de supériorité et l'humaine n'était que l'esclave. Pourtant, la maîtresse semblait vouloir lui faire du bien. Elle ne chercha pas à appuyer sur les nerfs noués de la jeune fille, mais essaya au contraire de la détendre avec de tendres pressions.
L'entreprise de la maman réussit. Kohana ne pouvait résister, elle avait besoin de se laisser aller et c'est ce qu'elle fit. Elle se sentait étonnament proche de la succube et avait envie de tout lui révéler de ce qu'elle avait vécu. Mais des sanglots lui bloquaient la gorge et empêchaient sa voix de s'exprimer. Pourtant, par un quelconque artifice, la succube semblait comprendre ce que Kohana avait vécu.

Revivant en souvenir ce qu'elle avait subi, Kohana se laissa transporter par ses remémorations jusqu'à retrouver l'image de Hazel. Son corps aux traits fins, sa voix douce, ses doigts habiles, ses lèvres tendres, ses gestes inexpérimentés, tout comme l'étaient ceux de la lycéenne, à l'époque. L'humaine se laissa bercer et envahir d'une sensation de tendresse chaleureuse. Elle ferma les yeux et sentit la présence de Hazel contre son oreille, lui susurrant des mots doux et lui embrassant le lobe. Elle sourit.

"Hazel..."

Puis, ouvrant les yeux, Kohana frissonna. Tout ceci n'était que souvenir, et la femme qui se trouvait sur son dos n'était pas Hazel mais un démon. Celle-ci déploya une queue avec laquelle elle effleura ses cuisses. Kohana frissonna à nouveau. Non parce qu'elle était revenue à la réalité, ni parce qu'elle avait peur, mais parce que cette queue lui avait provoqué un frisson de plaisir, tout comme avait pu le faire autrefois les baisers de Hazel...
La jeune fille savait qu'elle ne reverrait jamais sa première partenaire et que la succube ne la remplacerait jamais, pourtant elle se laissa bercer d'illusions. Elle désirait plus que tout au monde retrouver le plaisir d'antan, et elle avait l'impression que les pouvoirs d'Aya pourraient lui redonner...

"Aya... aide-moi à retrouver le plaisir... de la douceur..."

Soudain, Kohana se raidit à nouveau. Que faisait-elle ? A quoi pensait-elle ? Etait-elle en droit d'exprimer des sentiments ? Si la succube désirait la violer c'était son droit ! Pourtant, tout laissait à penser que ce n'était pas son intention. L'intimité de l'humaine était encore à vif des blessures que lui avait infligé les tentacules de Kurumu, et quiconque essayerait de s'y introduire réouvrirait les plaies et ferait saigner la jeune fille.
Mais Aya avait l'air d'avoir compris naturellement cela. Elle ne s'était pas approchée d'un endroit que la jeune fille ne voulait pas voir habité. Elle lui avait simplement procurer du... plaisir ! Mais par une caresse sur ses cuisses !

L'humaine se détendit à nouveau. Décidément, son esprit réfléchissait trop pour ce qu'elle était capable de supporter. Elle voulait remercier la succube, mais dans cette position, elle ne pouvait rien faire. Elle s'offrait à Aya mais rien ne pouvait faire comprendre à cette femme que c'était le cas. Une solution apparaissait à Kohana de se faire comprendre mais elle ne savait comment s'y prendre... après quelques minutes elle se décida tout de même.


"Aya... j'aimerais... te remercier... Merci Aya"

Cela fut tout ce que Kohana réussit à articuler. Ensuite, elle posa sa joue droite contre la table et ferma les yeux. Elle était détendue, ses épaules étaient lâchées, ses cuisses posées à plat contre la table, son coeur battant calmement dans sa poitrine. Hazel n'était plus là, mais les souvenirs que l'humaine avait d'elle ne s'effaceraient jamais, et rien que ceux-ci pouvaient l'aider à aller mieux.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Namy Aya le dimanche 12 octobre 2008, 14:02:58
C'est fou comme un simple mot peut rendre une personne totalement differente, en prenant Kurumu pour exemple, il suffit de se comporter en esclave et de sortir maitre ou maitresse pour la transformer en véritable monstre, Kohan c'est pareil, en pronnoncant le nom de son premier et sans doute seul amour de sa courte vie, Aya l'avait plongé dans une extase sans commune mesure. Elle la sentait frémir de plaisir alors que sa queue ne faisait qu'errafler la peau de sa cuisse, longeant les principaux nerfs de cette partei anatomique. Elle lui caresser en douceur les épaules avant de descendre dans le creux de ses homoplates pour allonger la surface de ses caresses et la détente de ses muscle et de son esprit.

Me remercier? C'est mignon ca mon petit coeur, mais je ne vois pas comment remercier une succube autrement qu'en lui offrant son corps, je sais que tu n'es pas encore prete a ca, tes remerciements peuvent attendre encore un peut, laisse moi te donner un peut de douceur et de plaisir encore, apres, tu pourra faire de moi ce que tu souhaite. Je peux meme te ramener sur Terre, tu y retrouvera sans doute Hazel, cette fille m'a l'air tres douce et gentille, tout tes désirs d'elle sont sain et tendre, c'est beau a voir, comparé au monstre sans visage qui t'as marqué ces jolies petites fesses. Les hommes sont vraiment des brutes...

Soudain, la succube s'arreta de parler, meme si sa voix était génétiquement faite pour plaire et séduire, la démone de la luxure avait peur que ka jeune humaine ne veuille pas en parler, voire ne pas parler du tout. Aya baissa la tete, presque honteuse d'etre une telle pipelette.

Pardon, je parle trop, je suis désolée, si tu prefere que je me taise, dis le.

C'était sans doute ce qui allait achever les doutes de l'humaine sur la succube, elle ne penserait plus que c'est une maitresse qui la violerait quand bon lui semblerait, meme si elle en a la force pour y arriver et l'expérience pour bien le faire. Sa queue osa un peut plus ses caresses, plongeant plus profondement dans ses jambes et remontant plus sensuelement vers son intimité encore chaude de mauvais traitements. La jeune femme ailé ne parla plus, comme promis a Kohana, elle la massait en silence et en douceur, seuls les soupirs d'aises de la jeune femme et la respiration de sa masseuse troublaient le bruit de l'eau qui tombe uniformement sur les pavés.

Lorsque le dos de Kohana était plus semblable a un paquet de guimauve qu'a une pierre brute et dure, sa masseuse se leva, mettant une toute petite tape sur les fesses de sa cliente, avant de s'avancer vers le bain, l'eau chaude était un délice. D'une démarche que certaines femmes étudient durant des années, la succube marcha sensuellement dans l'eau en s'enfoncant de plus en plus. Tout dans ses gestes et dans ses formes appelaient au péché originel, mais apres tout, que pouvait elle faire contre? Elle était l'incarnation de ce péché et s'en portait pas plus mal pour autant. Se retournant et tendant la main a l'humaine, la succube parla toujours aussi maternellement et amoureusement:

Viens, maintenant que je t'es massé, délasse completement ton corps dans l'eau, si tu veux, je pourrais te parler de mon "maitre" actuel et de ce qu'il fait pour les esclave et aussi du tatouage que j'ai sur la main.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Kohana le lundi 13 octobre 2008, 14:34:48
Les massages de la succube étaient vraiment relaxant. On aurait dit qu'elle savait exactement où trouver les endroits qui gênaient Kohana, comme si elle les ressentait elle même. Mais peut-être que ses dons de démons y étaient pour quelque chose. Quoiqu'il en fut, l'adolescente se sentait bien et n'éprouvait nul autre besoin. Elle se laissait bercer par la voix d'Aya, n'écoutant qu'à demi ce qu'elle disait. Mais lorsque la succube s'arrêta, une inquiétude saisit Kohana : qu'allait-il lui arriver à présent ?
Elle se tint sur le qui vive et écouta avec attention la phrase suivante.


Pardon, je parle trop, je suis désolée, si tu préfères que je me taise, dis-le.

La jeune humaine écarquilla les yeux. Ce n'était pas la première fois qu'une maîtresse lui laissait le choix, mais bien souvent le choix était influencé et revenait à une menace. Alors qu'ici, rien n'était sous-entendu. Kohana était libre de faire et de dire ce qu'elle voulait. Cela la surpris tellement  qu'elle ne dit rien et la succube plongea dans le silence.

Mais ses gestes redoublèrent de tendresse et d'attention. La queue d'Aya vint frôler les cuisses de l'adolescente avec une intention nouvelle. La maman ne cherchait toujours pas à exciter la jeune fille, mais ses caresses devenaient un peu plus érotiques et désirables, moins maternelle.
Kohana n'en fut pas déçue. Sa vraie mère lui manquait et la succube ne la remplaçait pas réellement. Même si ses gestes étaient maternels et procuraient du réconfort à Kohana, tout était différent. L'adolescente se détendit encore plus lorsque la queue remonta un peu plus haut vers son intimité. Cela n'était pas suffisant pour lui donner des envies, mais cela la fit tout de même frissonner. Elle serra ses petites fesses rebondies.
C'est alors qu'Aya décida que la partie massage était terminée. Elle tapota les fesses de Kohana, qui se serrèrent à nouveau, puis elle se dirigea vers les bains. Sa démarche chaloupée fit naître un sourire sur les lèvres de la jeune fille. Bien que leur corps se ressemblait fortement, l'adolescente savait qu'elle était loin d'être aussi attrayante et attirante que la succube.

Lorsque l'eau recouvrit le postérieur d'Aya, l'humaine ne put s'empêcher d'avancer, essayant de rejoindre ce qu'elle ne voyait déjà plus qu'à travers une eau chaude et miroitante. La succube l'invitait à se prélasser en lui tendant la main.
Kohana déposa sa paume dans celle d'Aya et leva les yeux vers elle. Mais elle ne put soutenir ce regard s envoûtant, alors elle baissa la tête et rougit pendant qu'elle entrait dans l'eau. L'eau était juste à la bonne température, légèrement plus chaude que les corps des deux femmes ce qui provoque chez Kohana une montée de plaisir. Elle aimait l'eau, mais elle adorait encore plus la chaleur douce de ce liquide. Avançant dans le bain, elle sentait de légers clapotis venirent s'écraser contre son corps et offrir un aperçu de la tentation aux parties encore sèches de son anatomie.
Ne pouvant résister à l'appel plus longtemps, elle plongea sous l'eau, basculant le poids de son corps en avant, ses fesses étant les dernières à disparaître sous les remouds. Elle fit quelques brasses puis se retrouva face à l'intimité de la succube. Avalant une goulée d'eau, Kohana dut remonter pour reprendre sa respiration et éviter de s'étouffer.

Elle était maintenant si proche de la succube que leurs tétons se frôlaient. Ceux de Kohana se durcirent légèrement au contact du corps étranger. De plus, la vue qu'avait eu la jeune fille sur l'endroit le plus secret du démon avait fait naître en elle une petite envie. Elle ne voulait pas faire l'amour, elle n'était pas assez excitée pour cela... ce qu'elle désirait c'était toucher ce bout de chair caché entre les jambes, y enfouir ses doigts et plus encore.
Se laissant portée par les ondulations, la main de l'adolescente vint se poser sur le bas ventre de la succube. Ses doigts caressaient ce qu'ils touchaient avec une finesse aussi infinie que l'eau. Pourtant le contact établi était fait de chair.

Kohana ferma les yeux et respira calmement. Elle ne se sentait plus en position d'esclave pourtant ses envies étaient toujours identiques : elle voulait combler la maîtresse de plaisir. La peau de la succube sentait bon et attirait l'humaine.


*Comment résister à un tel appel ?*

Avant même qu'elle puisse réagir et se rendre compte de ce qu'elle faisait, l'humaine plongea sa tête dans le cou du démon et lui déposa de tendres petits baisers. La main qui n'était pas encore en contact avec la succube était jalouse. Alors Kohana vint la déposer sur le sein d'Aya. Elle ne pressa ni ne tira cette poitrine, mais elle la malaxa affectueusement, jouant du bout de l'index avec le téton qui en dépassait.
Alors qu'elle était si proche du démon, l'humaine sortit sa langue et alterna coup de langue et baisers dans le cou. Puis une idée lui vint, mais avant, elle se devait de répondre à la question de la succube.


"Raconte-moi. Parle-moi de ce maître... pendant que je m'occuperai de toi."

Ayant fini de parler, Kohana plia les genoux et approcha sa tête du deuxième sein de la succube. Elle sortit de nouveau sa langue et titilla le téton de quelques petits coups avant de l'engloutir entre ses lèvres. Ainsi piégé par sa bouche, le sein du démon subissait les attaques irrégulières de la langue de l'adolescente. Elle ne cherchait plus à "bien faire" mais à "faire du bien". Or, comme ses actions lui procuraient des frissonnements bien précis qu'elle commençait à reconnaître, elle savait qu'Aya était satisfaite.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Namy Aya le lundi 13 octobre 2008, 15:33:13
(arf me suis mal exprimé, la piece est comme une immense douche, il pleut comme si on avait déclanché l'alarme incendi^^ donc normalement, t'es déja trempé :p)

C'était des plus étrange, Kohana avait des désirs, des pulsions, comme tout le monde, mais elles étaient graduelles, elle ne voulait pas de sexe a proprement dit, mais juste l'étage inférieur, de quoi trouvler plus d'une succube, comment satisfaire une personne qui ne veut rien prendre mais tout donner? Cette impression était loufoque, mais peut importe. Aya regarda la jeune femme venir pres d'elle, son corps était attirant, mais elle n'avait pas le truc, le charme, évidemment, on l'avait dréssé a etre une parfaite petite pute servant un maitre, une pute n'a pas besoin de grace,d'élégance et de charme, seulement d'ouvrir les cuisses. Cette proféssion était une concurance directe avec Aya, mais elle n'avait rien a voir avec la séduction, c'était bas et simpliste, on paye, on baise, rien a voir avec ce qu'elle offre, il faut la mériter pour l'avoir. Doucement, elle laissa la jeune femme prendre sa main et entre en rougissant un peut dans l'eau. Le silence pesait, mais Aya n'avait pas eut la demande de la jeune femme pour parler, alors elle se taisait.

Piquant une tete dans ce bain qui était plus une piscine qu'autre chose, elle fit une longueur avant de se retrouver juste devant Aya. La succube s'aprétait a la laisser passer, comme si de rien était, mais la jeune femme se releva en éttoufant un peut. Ce qui fit rougir la succube, elle savait qu'elle était attirante, mais au point d'en provoquer un étouffement! Elle se releva et fit face a la succube, sans pour autant la regarder dans les yeux, comme si elle avait peur de tomber sous une hypnose tentatrice. Leurs seins se frolerent, provoquant un doux frisson a la succube, elle était esclave de cette maudite sensibilité au niveau de sa poitrine, c'était son point faible. C'est alors que la main de l'étudiante tomba dans l'eau pour caresser son pubis imberbe avant de descendre entre ses levres intimes, cette caresses, semblable a un mince courant marin la fit rougir, que pouvait elle faire? Rien, elle ne voulait pas briser ce sursaut de tendresse, se doutant bien que ce n'était pas Aya la démone qu'elle caressait mais Hazel son premier amour.

Comme si ca ne suffisait pas, la jeune femme vit l'humaine fermer les yeux, probablement pour apprecier la caresse, puis tomber dans son cou et l'embrasser, Aya était tétanisé, premiere fois de sa longue vie qu'elle se sent aussi mal, si elle pensait a cette fille, que devait elle faire? On a toujours pensait a elle en la touchant!  Après tout, qui dit qu'elle ne pensait pas a elle? C'est alors que la seconde main de kohana vint se poser en douceur sur le sein de la succube qui poussa un gémissement, elle adorait qu'on s'occupe d'elle, surtout a vet endroit la. La malaxant avec tendresse, la petite humaine jouait a appuyer sur son teton, le laissant s'enfoncer pour mieux se revigorer par la suite. En suite vint les coups de langues en alternance sur sa jugulaire. Là, elle ne pouvait plus etre passive, alors la succube déploya ses ailes, fermant le monde autour d'elles dans une pénombre intime alors qu'elles se caressaient avec douceur. Ses mains glisserent dans son dos et sur ses fesses pour décrire de petits cercles du bout des doigts.

Elle lui demanda de lui parler de son maitre, enfin si on peut dire, alors qu'elle allait s'occuper d'elle, c'était lour de sens tout ca! Aya eut un autre soupir passif quand les levres se déplacerent sur son autre sein et monta une main dans la nuque de la jeune femme pour la masser en signe de gratitude.

Mon... Ha.... premier maitre... était un homme... violent, froid, méchant et qui voulait a tout prix que moi, succube, je soit son jouet, pour pouvoir assouvir ses pulsions, il me droguait, me faisait tenir par des eunuques et me violait. Un jour... Il m'a forcé a ovuler... et mon second "maitre" est née, Akira... Il est doux, gentil, profondement bon, mais comme je ne voulais pas que ce salaud ait un démon pour enfant, j'ai coupé le lien de pouvoir... et je le regrette. Il a tué son pere et m'a posé cette marque sur ma main, maintenant que je la porte, je suis libre. Hihi ca chatouille! Enfin... il m'a rendue ma liberté et m'a demandé de l'aider a liberer plus d'esclave, il a utilisé sans compter la fortune collossale de son pere, je me suis meme prostitué pour l'aider a avoir plus d'argent pour liberer le plus d'esclave possible... je ne me suis jamais sentie aussi vivante que depuis cette marque.

Elle s'épenchait sur la jeune femme sans arriere pensé, sans craindre que peut etre elle oeuvrait pour quelque personne mal intentionné et cachait son jeu. La confiance de la succube était trop grande parfois, sa force monstrueuse la rendait un peut trop imprudente parfois, mais bon, que pouvait elle craindre de ce petit bout de tendresse?

La main sur sa fesse glissa lentement entre ses cuisses et frotta tendrement sa perle de plaisir pour lui faire profiter un peut de ce qu'elle subissait en ce moment meme. Aya baisait la tete de la jeune femme avec tendresse, comme une mere alors qu'elle restait passive sous ses caresses excitante et érotique, Qu'est ce qu'elle aimait les femme, rien que pour cette douceur.

(impressionant, j'ai du mal a t'égaler niveau post, je me sens mauvais T.T)
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Kohana le lundi 13 octobre 2008, 16:51:35
(je suis peut-être déjà mouillée mais.... ouai bon ok^^ par contre, te crois pas mauvais ! A chaque fois que tu posts je me sens plongée dans l'histoire ! Du coup, ben j'essaye d'être à la hauteur... :$ donc bon, profitons simplement de ce RP parce que je n'arriverai pas à te convaincre que tu écris mieux que moi, et tu ne pourras pas non plus^^ soyons imaginatifs :p)

Au fur et à mesure qu'elle découvrait la peau de la succube, sous les multiples caresses qu'elle lui procurait, Kohana se sentait plus proche, plus attirée, mais surtout plus elle-même. Donner du plaisir à quelqu'un, parce qu'elle le souhaitait et non parce qu'il le fallait était quelque chose de particulièrement appréciable. Cela permettait de se sentir... humain, vivant. La petite fille qui s'était échappée du corps de l'adolescente lorsqu'elle était tombée entre les bras de Don, reprenait sa place. Bien sûr, tout ceci lui rappelait Hazel... mais c'était en même temps complètement différent.
Avec Hazel, Kohana découvrait tout, pour la première fois. Maintenant, après plusieurs jours passés en Terra, elle connaissait tout cela, mais elle avait l'impression de redécouvrir. Elle n'avait jamais pris le temps de comprendre pourquoi tout ceci était agréable, elle se contentait de procurer le plaisir qu'on lui demandait. Avec Hazel, elle avait été brusque car peu expérimentée ; aujourd'hui, elle était douce et prenait son temps. Elle avait appris à résister à ses pulsions. Tout ceci lui avait été enseigné par Don. Et la petite humaine ne pouvait pas s'empêcher de lui être reconnaissante et de l'aimer en tant que son maître, malgré la peur incommensurable qu'il lui infligeait.

Bien qu'elle avait les yeux fermés, Kohana se sentit enveloppée d'une douce noirceur. L'air autour d'elle se faisait plus chaud, et plus sec. Elle regarda en biais et aperçut les ailes de la succube. L'atmosphère ainsi crée était agréable car elle éloignait les deux femmes du reste du monde. Ainsi protogées, elles auraient pu faire tout ce qu'elles désiraient.
Kohana sentait les doigts de la succube passer dans ses cheveux, lui prodiguer des caresses pour l'inciter à continuer son action, mais aussi s'arrêtant brutalement parfois, quand Aya avait besoin de reprendre son souffle. Parce que l'adolescente s'en donnait à coeur joie, rien ne la retenait si ce n'était la peur de faire mal, et elle savait qu'elle procurait totalement le contraire.
Tout en promenant ses mains dans le dos de l'humaine et en décrivant des petits cercles avec ses doigts jusque sur les fesses de l'enfant, Aya commença à délivrer sa vie. Elle parla longuement. Kohana pouvait sentir la souffrance que la succube refoulait. Pourtant celle-ci ne pleura même pas. C'était une femme forte, une mère, qui avait fait des erreurs certes, mais qui ne tenterait pas de revenir sur le passé.


"Tu es une bonne mère Aya"

Kohana n'avait aucun moyen de rassurer la succube mais elle s'efforçait de lui rendre le poids du passé moins lourd. Pourtant, elle savait que rien ne pourrait l'aider.

Alors, le démon se dirigea vers l'intimité de la jeune fille, vers une petite perle affreusement sensible. Lorsqu' Aya la toucha, Kohana ne put s'empêcher de gémir. Elle n'avait pas mal, au contraire, cet endroit était le seul qui avait été épargné par la violence de Kurumu. Petit à petit, les mouvements de la succube faisait monter en l'adolescente une chaleur qu'elle ne pouvait contrôler. La jeune fille était à nouveau perdue. A peine lui procurait-on du plaisir qu'elle n'arrivait plus à maîtriser son corps. Elle mordilla le téton d'Aya.


"Pardon"

Ayant peur d'avoir blessée sa partenaire, Kohana passa un coup de langue autour du téton, l'embrassa puis se retira. Ensuite, elle enleva sa main de l'intimité de la succube, espérant que celle-ci ferait de même et l'empêcherait d'être complètement excitée. Mais cela ne fut pas le cas. Alors, l'adolescente fit quelque chose qu'elle n'aurait jamais osé faire si elle ne s'était pas sentie libre de tout mouvement.
Elle prit la main qui torturait les pulsions de Kohana et la plongea dans sa bouche, savourant les liquides mélangés. Puis elle s'accroupit plus encore, plongea la tête sous l'eau et alla trouver la grotte d'Aya. Celle-ci s'était élargie sous les caresses de l'adolescente alors cette dernière y enfouit sa langue. Elle l'enfonçait plus ou moins profondément, longeait les parois, remontait vers l'entrée, en faisait le tour, puis repartait visiter l'intérieur.
Puis, à bout de souffle, elle remonta vers la succube. Elle n'osait la regarder en face et ne savait plus que faire, réalisant qu'elle avait peut-être été un peu trop loin. Alors elle resta là, la tête baissée, à quelques centimètres des lèvres d'Aya, toujours entourée de ses ailes, au chaud et à l'abri de tout.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Namy Aya le lundi 13 octobre 2008, 18:21:48
(han strop mignon ce que tu as écrit, on s'y croirais, dis moi tu as déja couché avec une succube allez avoue x] en parlant ro; je crois que ma tortionaire tendre de file t'attend ^^)

Se faire réconforter dans un moment pareil, c'était vraiment des plus étranges pour Aya, en général, on lui disait des mots cru et on ne s'embarassait guere de paroles et de préliminaires, n'en fut pour lui déplaire, bien au contraire. la vie d'une succube se résule a une chose: enfanter. Et pour trouver l'homme capable de lui prodiguer un héritier ou une héritiere, il faut en essayer... Et elle en a essayé en pres de 7 siecles, ses deux enfants sont née dans une periode de moins de 20 ans. Enfin, se faire rassurer sur le fait d'etre une bonne mere donna des ailes a Aya, facon de parler bien sur. Elle en fut tellement heureuse qu'elle martyrisa de plaisir la perle des passions de sa partenaire. Elle prenait son plaisir elle aussi, en l'écrasant sous de legeres pressions avant de le pincer en douceur et de le masser pour apaiser ses sensations, elle prenait toutes les précautions pour ne pas la blesser, elle aimait l'entendre gémir. Soudain, ce fut la morsure, Aya poussa un petit cri, plus de surprise que de douleur, mais la jeune fille interpreta mal ce signe et s'excusa profondément. Aya lui sourit tendrement sans lacher sa tete et lui chuchota avant de lui lecher l'oreille

Ce n'est pas grave, je suis une incarnation des désirs, ce que tu me fais ne me fait que du bien, tu peux me mordre tant que tu veux, j'aime les petites douleurs charnelles.

Et c'était vrai, ce n'était pas le masoshisme de la femme aimant se faire fouetter et battre, mais se faire mordre tendrement parce que sa partenaire subis de si profonds assaut, la rend toute folle, du coup, elle ne peut lui en vouloir, a juste titre. Mais ce n'était pas suffisant pour la rassurer, Kohana embrassa et lecha la blessure de la succube, comme si c'était un animal qui se lechait ses plaies, Aya en était toute frissonante, ces caresses avaient maintenant de plus en plus d'effets, non pas sur son intimité, don les levres se retroucaient lentement sous les caresses de la petite fille, mais surtout des caresses sur sa poitrine, sur son ventre... De la présence coupable de cette fillette au coeur d'or.

C'est alors que leur étreinte prit fin, l'intimité de la succube commencer a déverser un liquide legerement teinté d'or dans l'eau alors que la main douce de l'étudiante la quittait, sa poitrine était gorgé de sang au point de lui faire presque mal d'une telle dureté, ses tétons étaient a leur sommet d'excitation et d'une immence sensibilté. Tout, absolument tout, son corps demandait a aller plus loin mais toutes les caresses s'estomperent comme la brume chassé par le vent. Aya soupira, il semblait clair qu'elle avait peur de faire mal et par consequant elle s'arretait tout simplement. Mais le succube insista de son coté, ne voulant pas que la chaleur qui montait en fleche dans son corps ne la brule, elle déchargeait toute son envie dans des caresses sur la perle rose de l'antre des désirs de sa partenaire.

Peut etre que ce n'était pas pour s'arreter, mais plus pour se faire désirer que Kohana avait mis sa distance, elle lui attrapa la main, trempé d'eau et aussi legerement souillé par le plaisir de la jeune fille avant de se mettre a sucer goulument ses doigts, envieuse de combler cette dame qui offrait son savoir sans rien attendre en retour. Aya retira lentement sa main pour venir l'embrasser, mais le baiser qu'elle recut ne fut pas sur ses levres, enfin si, mais sur les levres intimes de son corps, retroucé de plaisir et pretes a acceuillir le providenciel plaisir. La langue fine et douce de l'humaine glissa en elle sans difficulté et entama un petit tour du proprietaite en faisant gémir Aya qui griffa les épaules de sa compagne sous l'immense plaisir de cet acte incongru et d'une longueur éphemère, il ne fallait pas non plus qu'elle se noie en voulant plaire.

C'est alors que kohana se redressa, inspirant de maniere sonnore, les yeux rivé sur ses pieds, cachant sa vue brune aux bleu azur d'Aya. Amusé, la succube passa la main sur l'intimité de la jeune femme, caressa les levres de cette petite humaine pleine de surprise, puis remonta, tournant autour du nombril, passant dans le creux de sa poitrine et enfin, lui ris le menton. Elle la releva, la forcant a soutenir ses yeux mi clos alors que leurs levres se scelerent dans un doux baiser, nul langue tenta une aventure en terre promise, c'était un simple baiser plein de tendresse qu'elle lui offrait. Ses ailes frémirent de plaisir alors que ses mains s'appuyaient sur ses hanches pour la coller contre elle.

Laissant sa queue derriere elle, la succube passa une cuisse entre les jambes de la jeune fille et lui frotta tendrement son intimité alors qu'elle décolait ses levres d'elle.

Si... si tu veux me faire l'amour Kohana, dis le moi, ne te jette pas sous l'eau comme ca, il y a moins profond si tu le désire... Enfin, je sias pas comment dire ca... Tu veux vraiment me faire l'amour? je... je ne sais pas si je serais a la hauteur, en... En général c'est moi qui choisie mes proies, pas l'inverse, donc je ne sais pas si je te plairais...

Elle avait peur, c'était une grande premiere, elle n'avait jamais été soumise a ce point! La plupart du temps, ce que les gens prenaient pour un heureux hasard était en fait le fruit de son machiavélisme, chaque homme ou femme qu'elle avait rejoint dans un lit était murement calculé, Kohana était totalement imprévue, ce qui la rendais un peut nerveuse, mais terriblement envieuse. Sans attendre la réponse de la jeune femme, la démone garda sa prise sur ses hanche en reculant vers des eaux moins profondes et aussi bien plus chaudes. Les vapeurs s'insinuaient entre les grandes ailes noires de la succube alors qu'elle n'avait de l'eau qu'a mi cuisse. Pourtant, elles n'avaient pas froid, la piece était concue de telle sorte qu'il fasse toujours une grande chaleur a l'interieur.

Kohana, avant que tu n'aille plus loin, essaye de ne pas tomber amoureuse de moi, je ne suis bonne que pour briser des coeur, je ne voudrais pas que tu souffre de ma sautise.

Elle l'embrassa tendrement, laissant ses seins se frotter aux siens avec une pointe d'envie, l'humaine pouvait seentir sans mal les courbes dures du démon qui lui prodiguait des caresses interdites, laissant une de ses mains caresser son anneau de velour alors que l'autre montait sur sa nuque.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Kohana le lundi 13 octobre 2008, 21:27:20
La succube semblait apprécier de recevoir quelques marques de violence et être habituée à en donner. Lorsque Kohana plongea sous l'eau, elle sentit les ongles du démon s'enfoncer dans sa chair et lui lacérer les épaules. La douleur n'était pas insurmontable et la blessure ne l'avait même pas fait saigner, cependant, sous cette action, l'adolescente perdait toute la confiance et la tendresse qu'elle avait retrouvée. Le moindre signe de violence était synonyme de relations esclave-maître, même si ce n'était que de la violence affectueuse.
En remontant, elle se laissa guider jusqu'aux lèvres de la succube et obéit docilement. Evidemment, elle éprouvait toujours du plaisir. Mais c'était différent. Le plaisir qu'elle ressentait était redenu celui d'une esclave. Avec Don, elle s'était sentie bien, il ne l'avait pas fait souffrir au début, il lui avait même donné beaucoup de plaisir. Maintenant, la même impression s'installait en Kohana, comme si l'histore revenait et se répétait, sous d'autres traits.

Alors la succube passa une jambe entre celles de Kohana. Elle gémit une fois de plus. Le baiser tendre est doux qu'elle recevait ne suffisait pas à appaiser ses désirs. Mais la jambe qui caressait maintenant tranquillement son intimité était parfaitement située. Cette présence faisait du bien à l'adolescente. Elle savait que le genou de la succube n'entrerait pas en elle et cela la rassurait, elle pouvait se détendre sans craindre que ses blessures ne se rouvrent.
Mais un sentiment de vrainte commença à reprendre le dessus quand le démon proposa d'aller plus loin dans leurs expériences. Faire l'amour ? Est-ce que la jeune fille savait seulement ce que cela voulait vraiment dire ? Mettre des mots sur ses actions la refroidit quelque peu. Elle ne réfléchissait pas à ce qu'elle faisait, c'était son instinct qui la guidait, et en parler rendait ça si concrêt... Kohana revenait petit à petit dans sa peau d'esclave. Dans la peau de quelqu'un qui obéit et qui fait l'amour parce qu'on lui fait comprendre qu'on en a envie.

La succube l'entraînait vers des eaux moins profondes, alors elle se laissa faire. Elle embrassa la démone tendrement comme celle-ci le faisait. Ne s'échauffant plus par ces baisers mais par la température ambiante. De la sueur perlait au front de l'adolescente, mais plus aucune goutte n'affleurait de son intimité.
Soudain Kohana se raidit complètement. La succube s'était aventurée trop loin. L'adolescente était loin d'éprouver des sentiments amoureux puisqu'elle se sentait toujours en infériorité. Et ce sentiment s'accentuait maintenant que la démone avait trouvée refuge entre ses jolies fesses rondes. Pourtant, l'humaine ne pouvait plus refuser, si la succube le voulait elle avait tous les droits pour emprunter cette voie.


"Que désires-tu ? Je te l'offrirai."

Kohana était sincère. Elle voulait faire plaisir à la succube. Elle lui reprit d'ailleurs les seins et recommença à s'amuser à enfoncer les tétons, l'un après l'autre, puis à tourner autour, à la pincer légèrement, à les tirer, à presser les seins sous ses mains, à décrire des cercles, etc... Pourtant, imperceptiblement, dans l'esprit de l'humaine rien n'était plus pareil : elle obéissait, elle ne cherchait plus à répondre à ses questions, elle faisait ce dont la maîtresse ressentait le besoin.

Puis, soudainement, comprenant le sens caché des gestes de la succube, elle dirigea ses mains vers l'entrée privée de la démone. Apparemment, cette femme avait des besoins tout à fait élémentaire, et Kohana avait été dressée pour les lui offrir. Ce qu'elle fit. Elle malaxa les fesses de la succube, les écartant petit à petit. Puis elle suça l'un de ses doigts avec amour, l'introduisant par la même occasion dans la bouche d'Aya puis le repassant dans la sienne, avant qu'il n'humidifit le trou qui n'était pas fait pour être mouillé. Puis elle recommença la même manoeuvre avec l'autre main, rendant cet acte illégal dans certain endroit plus sensuel. Mais ce doigt ne fit pas que s'attarder à l'entrée, il s'introduisit doucement à l'intérieur. La succube était plutôt serrée, alors Kohana continuait d'humidifier l'entrée en allant maintenant se servir vers les autres lèvres d'Aya et en continuant d'écarter les fesses.
Enfin, l'humaine passa sous les jambes de la succube. Au lieu de venir se poster dans son dos, elle replaça ses doigts enfin d'être plus à l'aise, puis, assise sous l'intimité d'Aya elle commença à titiller la perle humide de la succube, tout en enfonçant plus profondément son doigt là où il ne fallait pas. Si la démone choisissait d'essayer d'atteindre Kohana pour lui prodiguer du plaisir, l'humaine pourrait s'introduire encore plus en avant ; et si la démone préférait profiter simplement de l'instant, la jeune fille continuerait sa progression, plus lentement, mais en donnant des coups de langues et des sucsions au niveau des lèvres intimes de la succube.


Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Namy Aya le lundi 13 octobre 2008, 23:15:40
Mais quelle horreur! D'un coup, les messages tendre et doux de l'esprit de Kohana disparurent, laissant place a tout les ciols et toutes les tortures que subissait l'humaine si elle ne contentait pas son maitre. Meme si elle ne montrait rien dans ses geste, son esprit était brutalement passé des désirs simples et innocent d'une jeune fille s'offrant a une femme a celle d'une esclave se soummetant a sa maitresse. Aya eut une larme qu'elle réprima avec difficulter. Les ongles qui s'étaient enfoncé dans ses épaules sous le coup de la surprise avaient détruit la confiance et l'envie de douceur de la jeune femme. Quel dommage. Alors que la succube caressait l'intimitait de la jeune femme, elle s'assechait.

Je... Non Kohana...

Comment lui dire qu'elle s'en moquait? Comment lui faire comprendre qu'elle ne voulait pas de plaisir? Ma succube était une femme née pour lui faire plaisir, sa vie était plaisir, alors pourquoi voulait elle lui faire plaisir? Ca ne servait a rien ce genre de chose. Mais comment pouvait elle le montrer? En serrant les cuisses peut etre... Mais malheureusement, tout ses gestes étaient mal interprété, alors qu'elle s'écartait de l'humaine, cette derniere comprit qu'elle voulait avoir tout le plaisir, prendre de maniere égoiste sans donner alors que c'était tout l'inverse!

Meme si elle était sensuelle en sucant son doigt et en le faisant entrer dans la bouche, devenue réticenate, de sa partenaire, Kohana était une automate. C'était si triste, voir ces deux grand yeux brun éteint, ce corps réagir mécaniquement aux souhaits des "maitres". C'est alors que, les fesses écarté, le doigt de la jeune femme entra profondément en elle, lui faisant pousser un petit glapissement de plaisir avant de le sentir sortir et s'humidifier sur ses levres qui s'assechaient lentement a cause de la perte de magie de ce rapport. Puis la jeune femme se glissa entre les jambes écarté de la succube, qui en profita pour laisser ses larmes de douleurs couler le long de ses joues. Meme si elle s'y prenait bien, Aya souffrait, elle avait mal de se voir dans l'esprit de la jeune femme comme le Sans Visage, son bourreau, celui dont elle avait si peur qu'elle n'osait pas se souvenir de son visage.

Alors qu'elle s'attendait probablement a un ordre de soummission de la part de sa "maitresse", celle ci éclata en sanglots et lui retira sans douceur la main de son anus en enroulant la queue autour. Une fois lebre de ses déplacements, elle entra dans l'eau, s'immergeant au plus profond de l'étendue aqueuese avant de se mettre en tailleur, les ailes autour d'elle, la masquant. N'étant pas humaine, sa respiration n'était pas la meme, elle pouvait rester plus de 20 minutes sous l'eau sans que le besoin de charger ses pumons s'en fasse sentir. Et elle pleurait, laissant les perles salé de sa tristesse et de sa confiance détruite se perdre dans le bleu clair des eaux douce de la salle.

*Pourquoi j'ai fait ca! Pourquoi je l'ai touché! C'est entierement ma faute si elle a peur de moi, je suis horrible, je me pensait supérieure aux hommes, mais non, je suis comme ce monstre, je suis âreille, je lui brise son coeur sans arret.*

Pauvre succube, avoir des sentiments n'est pas une chose facile quand on appartient a cette race de voeuve noire. Surtout quand on se voit comparer a un homme qui ne vit que pour briser et torturer les ames faibles. Comment se faire pardonner? Sur le coup, Aya se voulait égoiste, s'isolant la ou personne ne pourrait lui parler, au fond des eaux. Ici, elle n'aurait pas a affronter cette soumission écoeurante contre laquelle elle lute depuis tant d'année, ici elle ne pourra pas dire des paroles qui briseront le coeur de la jeune femme ni commetre de gestes fourbes et incomprit. Ici, elle est seule.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Kohana le mardi 14 octobre 2008, 12:38:38
Lorsqu'Aya s'écarta violemment et la priva de son corps, Kohana resta assise, les bras suspendus dans le vide, le regard figé. Que s'était-il passé ? Qu'avait-elle fait de mal ? Des larmes lui montèrent aux yeux... ses joues se tintèrent d'un rouge tomate...

"A...Ay... Aya ?"

bredouilla l'adolescente. Elle ne savait plus que faire. Sa maîtresse était partie loin. Elle était retournée dans l'eau et avait plongé. Depuis combien de temps ? De nombreuses minutes déjà. Mais Kohana n'avait aucune notion du temps. Son esprit était torturé de toute part. Elle éprouvait une sincère inquiètude pour Aya, qui n'avait rien à voir avec ce que Don lui avait enseigné. Mais en même temps, elle n'osait pas bouger, de peur d'aggraver la situation et que sa maîtresse la tue.
Elle resta là sans bouger pendant de longues minutes. Puis, petit à petit, ses craintes s'effacèrent et laissèrent la place à l'inquiètude et à la pitié. La succube semblait être une femme forte, mais les caresses de Kohana avait brisé la glace. L'humaine remua les bras, et s'appuyant sur le sol, elle se releva. Elle n'avait rien remarqué de la détresse de la démone pendant que lui donnait du plaisir, et la voir ainsi annéantie, tout d'un coup, plongeait la jeune fille dans un profond désarroi.

L'enseignement qu'elle avait reçu ne lui était plus utile. Elle n'avait jamais appris à faire face à cela. Et puis, était-ce la réaction normale d'une maîtresse ? N'était-ce pas plutôt la réaction de quelqu'un comme Hazel ?


*Hazel avait pleuré quand je lui avais fait mal... lui aurais-je fait mal ?*

Bien qu'elle ne comprit pas comment, elle savait qu'elle avait blessée la succube. Pourtant, jamais elle ne l'aurait voulu. Cela lui était égal de faire mal à une maîtresse (si elle l'évitait c'était pour ne pas être tuée après), mais elle ne voulait pas faire de mal à Aya.
Tout doucement, avec le moins de bruit possible, elle s'approcha des ailes noires de la démone, dans lesquelles celle-ci s'était réfugiée. Désemparée face à ce mur de plume, Kohana déposa sa main sur les ailes et les caressa comme on le fait avec un chat : il n'y avait aucun plaisir sensuel, juste de l'attention, de l'affection. C'était un message pour dire à la succube que Kohana était prête à l'écouter.
Mais la démone se sentait toujours aussi mal et ne relevait pas la tête. Alors l'adolescente prit la parole.


"Lorsque j'étais petite, mes parents prenaient toujours bien soin de moi. Jamais ils n'auraient levé la main sur moi, si ce n'était pour me prendre dans leurs bras et me réconforter. Ils passaient leur doigts sur mes bras, me caressaient la nuque et m'embrassaient les cheuveux pour que je sache qu'ils étaient là pour moi."

Tout en parlant, Kohana exécutait les mêmes gestes que le faisaient ses parents sur elle. Puis elle continua.

"J'ai rencontré Hazel juste avant d'arriver sur Terra. Avec elle j'ai découvert des douceurs que je ne connaissais pas. Elle réprésente la tendresse pour moi. Mais l'amour, ce sont mes parents qui me l'ont donné. Je leur en suis reconnaissante."

En disant cela, l'adolescente exprimait des sentiments profonds et montrait à la succube à quel point elle tenait à elle. Les mots qu'elle prononçait lui permettait d'y voir plus clair dans sa tête. Et elle compris que ce n'était pas Hazel qu'elle désirait revoir mais sa mère et son père. C'est pour cela qu'elle s'était sentie si bien avec Aya et qu'elle n'avait pas envie de perdre la complicité qu'elles avaient trouvé.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Namy Aya le mardi 14 octobre 2008, 13:09:51
Les longues minutes de mutisme et d'aphasie de l'humaine lui furent bénéfique, en effet, la succube arrivait en limite et était donc ressortie de l'eau, s'instalant sur un rebord de cette piscine qui servait de bain, dos au mur et ses ailes au cuir tendu la cachant completement de la vue de la jeune femme. Aya n'en voulait pas a Kohana, transformé en esclave, formaté pour servir et baiser, puisque c'est le terme le plus explicite pour ses actes, la petite humaine n'était en rien fautive. La femme de luxure regarda ses ongles où il y avait encore une petite trace de la peau de l'humaine. Honte et tristesse l'envahirent, elle murmura pour elle meme.

Qu'est ce que j'ai fait? Qu'est ce que je lui ai fait? Elle n'avait pas assez souffert comme ca entre la brute et mon idiote de fille? Pourquoi j'ai brisé son envie avec ces ongles... Je suis un monstre...

Ses larmes redoublerent, Aya ne pleurait jamais, si bien que lorsque des larmes saignaient ses yeux c'était pour un long moment et a cause d'un sentiment tres fort. Les sanglots et les chouinements pitoyables de la succubes l'empecherent d'entendre la petite humaine, mais lorsqu'elle posa timidement la main sur son aile, cette derniere se raidit, rétrécissant l'espece que ses deux immences voiles d'un noir pétrole lui donnait. Presque sanglé par ses membrures ailé, la jeune femme ne voulait plus etrre touché par la petite Kohana, pour dire a quel point elle boudait. C'est alors que le silence se rompit; c'était le tour de l'humaine d'épencher sa courte vie, joignant les caresses aux mots et détendant peut a peut la grande succube.

Alors qu'elle reprenait son souffle, les ailes démoniaques se désagrégerent, laissant une fumé noire acre s'éparpiller dans l'air et dévoilant une femme faisant pitié, les yeux rouges, de long sillons coulant sur ses paumettes écarlate de douleur, les jambes replié, la tete sur ses genoux et les bras croise devant ses tibias. Elle se balancait d'avant en arriere, se bercant pour essayer de se calmer alors qu'elle écoutait Kohana parler d'amour, mais faire l'amour n'était pas du tout semblable a cet amour là! Elle le savait que trop bien, étant femme et mere, elle n'ignorait pas la violente difference entre amour charnel et maternel.

Ah..snnrf, je voix, tu me considere juste comme bonne a baiser. Tres bien, baise moi, toute facon, j'ai l'habitude, je suis née pour ca...

Il y avait une cinglante vérité dans ses propos, oui elle était brisé de s'etre fait comparé a une simple cliente, oui elle avait bien compris que Kohana ne lui ferait pas l'amour, pourtant, la jeune fille avait si bien commencé, melant tendresse et passion dans de douces caresses legerement hésitante, mais maintenant, Aya en était sur, ce serait un robot et non une femme qui la touchera. Sans lelle relever la tete, la succube écarta les cuisses pour exhiber son intimité seche, vide de toute envie, chose extremement rare chez un etre de sa catégorie.

Allez, puisque tu ne me considere pas mieux qu'un travail qu'il faut vite expédier, fais toi plaisir, j'men fou, je suis habitué a souffrir, de corps et de coeur.

Les remarques étaient profondément méchantes, mais peut on vraiment lui jeter la pierre? Aya avait tout fait pour rendre heureuse la jeune femme et finalement, elle était pire qu'a son arrivé, la succube lui en voulait grandement de ne pas lui faire confiance, de ne pas l'apprécier comme une femme normale, pas forcement de vouloir lui faire l'amour, mais de l'avoir comme amie. Elle sentait tout ses efforts, toute sa tendresse anéantie et n'en devenait que plus mordante, mais derriere cette facade de rage boudeuse, il se cachait une femme profondement triste qui ne voulait rien de plus qu'etre prise par les bras freles et doux d'une certaine petite humaine qui avait sue, un instant lui faire oublier  sa position dominante dans les jeux de chair... Mais le comprendrait elle?
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Kohana le mardi 14 octobre 2008, 22:12:25
Les sanglots de la succube commençaient à s'estomper après une cascade de pleurs, entrecoupés de silences oppressants. L'adolescente avait endossé le rôle d'une mère rassurante, malgré le fait qu'elle ne l'avait jamais été. Un sentiment de satisfaction s'insinua en elle lorsqu'elle vit les yeux de la démone s'assècher. Elle savait que ce n'était pas grâce à elle, mais savoir qu'Aya allait mieux la mettait de meilleure humeur.

Elle allait la prendre dans ses bras, au moment où ses ailes disparurent. Elle voulait se réfugier contre ce coeur mit à rude épreuve qui avait fait coulé les larmes. Elle voulait réconforter cette âme en peine et continuer à lui prodiguer des douceurs pour la mettre en confiance. Lui montrer que c'était pour elle que Kohana avait de la peine, que tout cela était sincère, et que Don n'avait plus rien à voir là-dedans.
Mais alors, la succube se mit à parler. Cependant, au lieu d'entendre des remerciements, ou des mots tranquilisateurs, Kohana fut aggressée, humiliée, blessée... la démone voulait se faire passer pour de la chair à baiser. L'adolescente n'en crut pas ses oreilles !


*Comment une femme si forte peut-elle se sentir si faible et si peu en confiance pour se considérer comme tel ?*

Tout ceci restait une énigme pour Kohana.
Elle avança sa main vers l'épaule de la succube pour lui montrer ses intentions amicales. Mais Aya se méprit une fois de plus. Elle s'écarta sans ménagement et continua à lancer des propos déplaisants. Se faisant elle ouvrit les cuisses et montra à Kohana une chose qu'elle n'avait jamais vu d'aussi près, sans être plongée dans un état second, celui de l'esclave qui accomplit son travail.
A cette vue, Kohana ressentit comme une cassure en elle même, comme si quelque chose se scindait en deux et anéantissait tout ce en quoi elle croyait. La succube était un modèle pour Kohana et voilà qu'elle essayait de se faire passer pour un travail ?!

L'adolescente avait envie de se maltraiter. Elle avait besoin de frapper, de se frapper, de voir couler le sang, son sang... elle voulait se vider de cette haine qu'elle se mettait à ressentir envers elle même. De tout ce qui était excécrable chez elle. Elle ne se savait pas capable de faire souffrir. C'était toujours elle qui avait souffert et elle trouvait cela normal. Voir la succube dans un tel état la rendait proche de la folie.
Elle ne pouvait cependant rien faire. La démone ne se laissait pas approcher. Et les paroles que l'humaine prononçait n'avait plus aucun effet ; la succube n'y croyait plus.
Alors, désemparée, l'esprit tiraillé de toute part, le corps tremblant de désir d'action, non amoureuse mais violente, elle ne trouva qu'une unique solution.

Sans prévenir, sans un mouvement au préalable, sans aucun changement dans sa respiration, elle s'effondra d'un seul coup dans les bras d'Aya et éclata en sanglots. Cela faisait longtemps que cela ne lui était pas arrivé. Kohana était en faite une fille plutôt forte. Evidemment, elle se faisait manipuler ce qui faisait d'elle quelqu'un de profondément naïf et influençable. Cependant, toutes les méchancetés subies, elle les emmagasinait dans un coin d'elle même, dans une partie de son inconscient, elle les refoulait ; et voilà maintenant que tout ressurgissait sous forme de larmes torrentielles.
N'ayant d'autre réconfort que la démone, Kohana s'agrippa à ses bras comme à une bouée et pleura sur son épaule.

Ses larmes finirent par s'étancher, mais ses sanglots étaient toujours présents, à un rythme irrégulier et rendait sa respiration saccadée. Elle posa une main sur le sein d'Aya et commença à s'amuser avec. Elle n'avait aucun intention perverse, c'était la seule chose qu'elle avait trouvé pour se raccrocher au monde vivant et ne pas sombrer dans la folie.


"Aya... tu... tu n'imagines même... même pas com... combien je peux... peux... peux m'en vouloir... ni... ni ce que... ni ce que tu représentes po... pou... pou... pour moi."
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Namy Aya le mardi 14 octobre 2008, 22:53:30
Elle avait mis le temps, mais finalement, elle avait réussit son coup. Malgré la violence des propos de la succube, plutot grace a cette violence sans nom et a ses gestes ignobles, la jeune femme qu'était Kohana était de retour, boutant l'esclave robotique de ce corps et redevenant humaine. Elle fondit dans les bras d'Aya qui se mis a sourire, toujours triste d'avoir été victime d'amalgame entre elle et le sans visage. Mais elle était heureuse de retrouver la petite Kohana timide et tendre qui lui avait fait tant de bien un temps plus tot. Elle la sentie poser sa main sur un de ses seins, mais que dire? Elle avait besoin de contact et sa poitrine était parfaite dans cette optique que sont les caresses et la douceur. Puis elle s'expliqua, prise par les sanglots et les larmes, voulant lui faire comprendre qu'elle était désolé, qu'elle s'en voulait de lui avoir brisé le coeur et fendu l'esprit. Aya agrandit son sourire, elle passa ses bras autour de la jeune femme et lui caressa tendrement le dos avant de recréer cette enveloppe noire intime autour d'elle.

Ne t'en fais pas, je sais tout ca. Je suis heureuse que tu sois enfin redevenue toi, pleure sur mon épaule, ca ne te fera pas de mal, je sais écouté, si tu veux me parler de ta tristesse tu peux.

Lentement, elle recomenca son manege sensuel, mais pas avec une quelconque perversion, elle voulait juste la réchauffer, lui faire comprendre que c'était fini, qu'elle ne lui en voulait plus et qu'elle était prete a partir de zero une fois de plus. C'est alors que les cuisses de la jeune femme se mélangerent avec celle de l'humaine. Elle monta sa cuisse entre celles de la jeune humaine puis caressa son intimité avec sa cuisse. Elle l'embrassa tendrement pour la calmer et lui caressa la nuque avec tendresse.

Ca va mieux ma belle?

La jambe de la petite fille appuyait contre son intimité, elle pouvait sentir le nectar de la succube se répendre sur la cuisse de Kohana, la caresser, se jetter dans ses bras, pleurer sur son épaule... Tout ca lui donnait envie, mais pas forcement sexuelement, juste envie de sa présence et de ses caresses. La succube détacha la main qui s'amusait avec son sein pour l'embrasser tendrement a son tour, en ce moment, Aya, la succube perverse était douceur et tendresse pure, elle était tout ce qu'il manquait au bonheur de Kohana et était fiere de la remettre lentement sur pied, de la rendre humaine avec ses désirs propres et un coeur vivant.

Je crois qu'on est assez propre, suis moi mon coeur.

Elle sécha les dernieres larmes de la petite fille en pleur du coin de son pouce avant de lui mebrasser le front. Les ailes protectrices disparurent et la succube se leva avec toute la grace donné a son espece. Elle pris la main de l'étudiante et la hissa avec une force tranquille, maternelle, avant de la prendre dans ses bras pour lui donner une derniere marque d'affection. Tenant toujours cette petite main, Aya partit droit vers sa chambre, pas pudique pour deux sous, en traversant un long couloir dont le sol était fait de moquette rouge et la décoration plutot luxueuse. En se retournant pour adresser un sourire a la pauvre humaine completement paumé elle la tranquilisa en ouvrant une porte.

Ne t'inquiette pas, meme si je suis une succube, je ne laisse que tres peu de personne entrer dans mon lit, il n(y a que toi et moi dans toute cette aile qui m'est réservé.

Et elle la tira dans une chambre sentant la framboise et transpirant l'élégance. Une immence penderie couvrait un mur entier, dedans il y avait de tout, du cosplay sexy aux robes mondaines en passant par les tenues paysannes. Aya ferma derriere Kohana et lui ouvrit une pourte coulissante.

Ce sont mes plus beaux habits acheté sur Terre, tu peux prendre ce que tu veux, je te les offre de bon coeur. Apres, si tu a envie d'une vraie tendresse, ou de me remercier comme tu me l'a dit plus tot, je suis derriere les baldaquins blancs.

Elle lui souria tendrement puis l'embrassa sur la joue en levant une jambe, un peut comme une amoureuse qui se met sur un seul pied en embrassant celui sur lequel elle a flashé. Et elle alla là où Kohana pourait la trouver, s'étendant sur son lit de plume et laissant ses ailes et sa queue revenir au grand galop, elle était si décontracté maintenant que Kohana était a peut pres humaine qu'elle en paraissait shooté.

(c'est peut etre un peut pourri, j'avais pas trop la tete dedans quand j'ai fait la premiere moitié désolé)
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Kohana le mercredi 15 octobre 2008, 10:51:59
Dans les bras d'Aya tout ses soucis s'envolaient comme s'ils avaient pris peur. Il ne restait alors plus que deux femmes qui se ressemblaient en apparence, serrées l'une contre l'autre. Elles étaient si proche qu'il n'était pas évident de distinguer qu'elle jambe appartenait à qu'elle fille. Leurs cuisses se croisaient, celle d'Aya passait entre celle de Kohana et inversement.
Sans s'en rendre compte, la cuisse de la démone frotta l'intimité de la jeune fille. C'était quelque chose de réconfortant et de tendre. Cela lui procurait une sensation de chaleur supplémentaire. Une chaleur interne cette fois. Alors Kohana soupira et garda les yeux fermés même une fois que ses pleurs se furent calmé. Elle profitait simplement.

Puis, décidant qu'il était temps de passer à autre chose, la succube l'ammena jusque dans ses appartements privés. La chambre était luxueuse : tapis, broderies, tentures, armoires gigantesques, soies... Bien plus beau encore que chez Don. Pourtant, la jeune fille frissonna. Tout ce luxe était de mauvaise augure pour elle.
Mais elle ne sombra pas à nouveau dans sa folie d'esclave. Elle resta maîtresse d'elle même, sachant que la démone était là. Aya lui rappelait tellement sa mère que l'adolescente se sentait humaine en sa présence, et non plus esclave.
Lorsqu'elle lui montra la multitude d'habits qu'elle avait, Kohana choisit tout naturellement des habits de lycéenne. Alors Aya l'embrassa sur la joue et parti se réfugier sur son lit, l'humaine s'habilla tranquillement. Elle était ravie de pouvoir sentir un morceau de tissu fin contre son intimité, un tissu si fin qu'il ne l'empêchait pas de se sentir libre et de pouvoir "respirer". Elle enfila des chaussettes montantes, allant jusqu'à mi-cuisse, et blanches. Puis elle mit une petite jupe, un chemisier et elle se réserva une veste, qu'elle n'enfila pas car il faisait bien assez chaud comme ça.
L'adolescente semblait redécouvrir les joies de l'enfance. Elle se plaça devant un miroir et fit des tours sur elle-même, ce qui soulevait sa jupe et laissait apparaître ses cuisses bien en chair et son nouveau souvêtement.

Le baiser d'Aya avait été si amical que maintenant, Kohana la considérait à la fois comme une mère et comme une amie. Elle se précipita donc sur le lit pour montrer ses nouveaux atours à la succube. Elle se mit à genoux sur le lit et ouvrit les bras, un large sourire sur le visage. Ses yeux étaient toujours rougit par les sanglots qu'elles avaient eut mais maintenant, ils respiraient la gaiété.
Rapidement, Kohana se mit debout sur le lit et recommença à faire des tours sur elle-même pour montrer la légèreté de la jupe. Puis elle se laissa tomber lourdement sur les fesses, levant les jambes en l'air et les écartant pour qu'Aya puisse admirer la culotte qu'elle avait choisi. L'adolescente posa sa main dessus et promena ses doigts sur le tissu.


"Ce tissu est tellement que je ne me rends même pas compte que je porte quelque chose ! Touche !"

Elle se rapprocha de la démone et lui prit la main pour qu'elle puisse en juger par elle-même. Il n'y avait plus rien de sous-entendu dans ce geste. Ce n'était que le geste d'une petite fille qui ne connait rien aux pratiques sexuelles et qui, dans toute son innocence, dévoile ses parties intime à une mère amie.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Namy Aya le mercredi 15 octobre 2008, 12:58:56
Aya était partie se couché dans son immence lit glacé, enfin vautré est plus exact comme terme. La succube s'était couché en gémissant un grand plaisir que de se retrouver sur ses plumes fraiches et douces. Alors que la jeune fille faisait un cinéma d'ombre chinoise pendant qu'elle s'habillait de maniere digne, la jeune femme se prélassait tel un gros chat aux formes rebondi dans le grand lit double, voire triple vue sa taille. De sa position, seul l'ombre de la fillette était visible, elle se donnait en spectacle a la succube en rayonant de vie, son corps bougeait comme celui d'une enfant qui porte quelque chose de nouveau et qui fait d'innombrables gestes innutiles pour enfin trouver la posture où elle peut s'admirer en se mettant bien en valeur.

Cette petite va me manquer...

Soupira elle alors que le baldaquin laissait une tignasse noire lisse et lumineuse percer la grande blancheur pure de ses rideaux fin. Kohana sauta sur le lit, comme une enfant, on aurait presque dit que mentalement elle avait fait un bon de 10 ans en arriere, libre, saine, pure... Elle se comportait enfin de maniere saine. C'est alors qu'elle lui ouvrit grand ses bras, victorieuse de son choix en montrant sa belle poitrine et ses petites épaules, enjolivé de son sourire radieux.

Elle se leva et fit le tour du proprietaire, si on peut dire, laissant les volants plissé de sa jupe tournoyer avec elle dans ce qui ressemblait a une danse. Elle s'exibait a sa compagne comme le fait une petite fille qui veut impressioner ses amies. Puis elle tomba sur le dos.
Un saisisement inconnu s'empara d'aya, elle mit sa main a la bouche en étouffant une exclamation de terreur, elle avait peur que la petite ait fait un malaise et se soit blessé en tombant. Mais non, les james écarté en l'air, elle se caressa la petite culotte blanche qu'elle avait choisie dans l'armoire d'Aya. Celle ci eut un sourire en passant les doigts dessus tout en lui caressant la moitié supérieure de sa cuisse avant d'embrasser sa chair.

Je sais que c'est doux Kohana, ce sont mes vêtements a la base tu sais...

Avec un leger sourire, mais les paumettes toujours rouges de ses récents pleurs, la succube glissa tel un serpent sur le corps de la petite lycéenne avant de venir l'embrasser dans le cou puis de lui dévorer tendrement l'oreille. Elle s'arreta un instant pour lui souffler tendrement dans le creux de son lobe

Je suis contente que tout ca te plaise mon coeur, je me sens si bien avec toi, si... banale que j'aurais du mal a me séparer de toi quand tu voudra partir.

Apres ces douces paroles, la belle femme aux cheveux bleu lécha le bout du nez de la petite étudiante avant de l'embrasser tendrement en glissant une main dans ses cheveux, comme pour les peigner. Elle prenait grand plaisir a l'embrasser et a la caresser aussi simplement, ce rapport féminin n'avait rien de pervers, or mit le fait que la succube était nue, ses ailes étiré de plaisir et sa queue s'enroumant affectueusement le long d'une des cuisse de l'ancienne esclave, la deshabillant tres sensuellement, et que Kohana, dans sa tenue de lycéenne soumise présentait le parfait fantasme de l'écoliere. Mais dans l'esprit des deux femmes, car c'est les seuls qui compte, il s'agissait juste d'un moment de pure tendresse apres une dispute et de grosses larmes...
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Kohana le mercredi 15 octobre 2008, 15:58:18
Les cheveux un peu en bataille après sa chute précipitée, Kohana gardait toujours un sourire rayonnant. Elle portait les habits d'Aya ! Evidemment, elle n'y avait pas pensé lorsqu'elle avait montré sa culotte. Elle était fière d'avoir choisi un vêtement confortable et saillant, elle n'imaginait pas que la succube l'avait sûrement déjà porté.
A cette pensée, l'adolescente rougit légèrement. Ce n'était pas vraiment de la gêne, plutôt comme une sorte de fierté timide qui n'oserait pas s'exprimer librement. Elle posa le regard sur la démone qui caressait le haut de sa cuisse. Malgré le fait qu'elle était habillée, Kohana semblait toujours être inégale face à cette femme. Rien ne pourrait la rendre aussi attirante elle le savait, mais cela ne la rendait pas jalouse pour autant. Elle était, au contraire, encore plus fière d'être amie avec une telle personne.

Elle bascula en arrière et apprécia les plumes douces qui rendaient le lit moelleux sous elle, quand la succube l'enjamba et lui embrassa le cou. Elle en profita même pour lui mordiller l'oreille. Tout ces gestes étaient tendres et attentionnés, ce qui faisait que Kohana se sentait bien. Egayée par ses nouveaux habits et sa nouvelle amie, elle eut envie de jouer. Elle avait passée son enfance seule, entre les livres, puis elle avait rapidement grandit au contact de Hazel et de Don. Elle était passée à côté des jeux pour enfants, et son esprit semblait en avoir une envie pressante à l'instant.
Feignant de ne pas être consentente, elle commença à battre des bras et des jambes et à crier à pleins poumons.


"AAAAhhh ! NOOON s'il vous plaît ! Je ne veux pas ! Laissez-MOIIII !"

Mais lorsqu'elle proférait cela, un large sourire se peignait sur son visage. Elle bougea la tête en tout sens quand la démone lui souffla dans l'oreille. C'était chaud et le frisson provoqué se prépitait dans tout son corps. Sa frénésie redoubla et elle commençait même à repousser amicalement la démone.

C'est alors que la démone évoqua l'idée de séparation. Kohana n'y avait pas pensé, il est vrai, mais elle ne pouvait pas rester là indéfiniment, cela allait de soi. Mais, une fois lancée, l'adolescente ne voulait plus s'arrêter. Elle s'agrippa au cou de la succube, souleva son buste et déposa un baiser bruyant sur les lèvres de la démone.


"T'inquiètes pas ! Je t'aime moi !"

Kohana était toujours plongée dans le jeu, et même si ses paroles étaient sincères, elles ne le semblaient pas parce que l'adolescente exagérait les choses.
Soudain, prise d'une envie subite, elle se mit à couvrir la peau de la succube de milliers de petits baisers rapdie et légers qui ne laissaient pas de trace. Elle était rapide et agile, et la démone n'eut pas le temps de l'arrêter. Kohana s'attaqua à toutes les parties du corps qu'elle pouvait atteindre, même si elle devait se déplacer pour cela : visage, cou, épaules, seins, ventre, dos, hanches, cuisses, mollets, pieds... puis elle remonta, plus ou moins par le même chemin et termina sa course folle sur les lèvres de la démone.
Là, elle reprit son souffle quelques instants, puis elle entrouvrit les lèvres, la bouche toujours collée à celle d'Aya. Sa langue frôla ses dents vint "toquer" aux lèvres de la succube.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Namy Aya le jeudi 16 octobre 2008, 11:34:17
Alors que la succube se mettait a embrasser tendrement sa compagne humaine cette derniere se mis a se débatre faussement, faussement car elle ne cherchait en aucun cas a se défaire de son étreinte en donnant de vrai coups, non, elle semblait jouer avec Aya, qui commencait a tomber dans son jeu. Avec son sourire d'ange, le démon de la luxure se mis alors a la plaquer et a la mordiller dans le cou tout en parlant d'une voix rauque et machiavélique

Tu n'as pas le choix! Tu sera la mere de mes enfants et mon futur repas... Attends une seconde, comment je vais te faire un gosse?

Aya se laissa repousser amicelement en restant dubitative sur ce qu'elle venait de dire, c'est vrai ca, elle pouvait pas avoir d'enfant, enfin en faire. Mais bon, ce n'est pas la mort, de toute facon elle ne se prenait pas au serieux. Aya fut tiré de sa reverie par un baiser de grand mere aussi bruyant qu'il était baveux, mais étrangement, cette attention, bien que purement puérile, la fit sourire de tendresse. Elle lui dit alors qu'elle l'aimait, le gelant sur place. Pourtant elle l'avait prévenue, elle lui aavait dit de ne surtout pas tomber amoureuse d'elle, qu'une succube ne savait rien faire de mieux que de briser le coeur de ceux qui s'accroche a elle... Mais c'est une adolexcente, depuis quand ca écoute les adultes a cet age?

Avant meme de pouvoir répondre, d'innombrables baisers se déposerent sur son cou, glisserent dans son épaule puis descendit vers sa poitrine avant de se loger sur son ventre. Ce n'était qu'un début, les levres de la jeune femme se firent savoir le long de la colone de la succube, puis sur ses haches, ses cuisses, ses molets avant d'achever leur course sensuelle sur son pied. Aya se mis a sourire, la petit kohana était belle comme ca, avec le pied de sa maman entre les mains et ses levres tendrement posé dessus. Mais cette immage ne dura pas, la petite, prise de droles d'envies coquines, remonta sur les levres de sa compagne qu'elle embrassa, un baiser aussi fort que les milliers de caresses qu'elle avait déposé plus tot sur son corps.
C'est alors qu'une nouvelle chose se produisit, elle sentit conte ses levres la langue toute timide de la petite fille, allons il ne fallait pas etre si timide Kohana, c'est avec un immence plaisir qu'elle libéra le champs avant de venir l'éffleurer de sa langue en douceur. La prenant tendrement dans les bras et passant ses jambes autour de ses hanches pour ne plus la quitter, la succube mis finalement fin a cet échange de salive.

Kohana, il ne faut pas que tu tombe amoureuse de moi, je sais que je suis désirable, je suis née pour ca, mais je ne veux briser ce coeur que j'ai mis tant d'acharnement a reconstruire. Et puis je dis n'importe quoi, rien ne toblife a partir, tu es ici chez toi, dans le refuge de tout les esclves devenu libre...

Tout en parlant, elle caressait sa tete d'un geste maternel et affectueux. Elle se mis soudain a rougir lorsque leurs seins se frotterent, excitant encore un peut plus la flamme de la démone.

Si... Si tu es prette a faire l'amour Kohana, tu me ferais pas de plus grand honneur que de m'accorder le privilege d'etre ta compagne, au moins pour une nuit...

Le temps avait passé, il était déja tard dans l'apres midi, les deux femmes avaient passé plus de temps qu'il n'y paraissaient dans les douches du manoir avant de venir dans cette piece où une succube entierement nue n'essayaot pas d'abuser de force d'une autre créature de chair mais lui proposait de la choisir elle pour faire l'amour, elle avait bien choisi son terme, on ne sort pas "faire l'amour" comme on sort son chien, mais quand c'est vraiment sincere, qu'il y a de la tendresse et de la passion dans les gestes.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Kohana le jeudi 16 octobre 2008, 20:34:55
Sa langue pénétra à l'intérieur de l'antre, maintenant béante, de la bouche de la succube. Elle y trouva un refuge chaleureux et humide. La maîtresse de maison l'invita à danser avec elle et l'hôte s'en donna à coeur joie. Elles effectuèrent des pas de valses, quelques mouvement de rock avant de terminer par un slow langoureux. Puis la langue de Kohana fut congédiée et la demeure referma sa porte.
L'adolescente n'était en rien blessée par cette mise à la porte. Elle était au contraire toute frémissante des désirs que cette intrusion avait provoqué en elle. Les jambes de la démone s'étaient accrochées à ses hanches. Alors Kohana enserra la succube dans un énorme câlin et lui souffla dans l'oreille quelques mots.


"Je serais comblée de porter notre enfant. Mais n'espère pas que je me laisserais engrosser si c'est pour que tu me dévores après."

Puis, se méprenant, la succube lui conseilla de ne pas tomber amoureuse. Elle ne voulait pas que Kohana s'attache à elle, parce qu'elle la ferait souffrir. La démone s'était écartée quelque peu et cela refroidit l'adolescente.


"Ainsi, tu ne vois donc en moi, qu'une amoureuse transi ? Ne t'ai-je pas dit que l'amour que je te portais n'avais rien à voir avec tout cela ?"

Kohana était subitement redevenue sérieuse. Elle ne se comportait ni comme une esclave, ni comme une enfant ; mais comme l'adolescente intelligente, dont la vie se résume à un entassement de connaissances livresques, et dont la pensée à déjà parcourut un bon bout de chemin. Elle était peut-être très naïve, et peu expérimentée dans certains domaines, il y a quelque temps ; mais elle était aussi très curieuse et très cultivée pour son âge.

Cependant, Kohana retrouva vite son calme. Les douces caresses prodiguées par Aya l'auraient fait ronronner si elle était un chant. Mais elle était humaine, alors elle ne put que pencher sa tête en direction de la main de la succube, fermer les yeux et sourire. De cette façon, elle n'était concentrée sur rien d'autre que sur les doigts maternels de la succube.
Puis vint une question qe l'adolescente ne s'attendait pas à réentendre. Pourtant elle n'eut pas un effet de peur ou de surprise. Elle ouvrit simplement les yeux et plongea son regard dans les grand yeux d'Aya. Elle tendit la main, la passa derrière la tête de la succube puis avança vers elle, exerçant une légère pression sur la nuque de sa compagne. Elle l'embrassa sensuellement, avec tout le désir qu'elle ressentait et tout l'amour qu'elle pouvait lui transmettre. Puis, avant la fin de cet échange, elle ouvrit les yeux et observa la réaction de la mère de Kurumu.

Celle-ci semblait épanouie et étrangement sereine. Ses ailes étaient lâches et sa queue battait l'air avec complaisance. Alors Kohana sourit et défit son étreinte. Puis, sans un mot, elle déposa son index sur les lèvres de al succube lui donnant l'ordre de rester muette. Elle s'appuya contre sa poitrine, poussant ses épaules d'une main, retenant son dos de l'autre, elle l'allongea avec douceur.
La jeune humaine baisa le front, le nez, la bouche, le menton, le cou, la gorge, la poitrine, l'estomac, le nombril, le ventre, le pubis, et enfin, les lèvres d'Aya. Ensuite, elle s'allongea à ses côtés. Toutes deux avaient la tête tournée vers le plafond, mais leur perception était concentrée sur le corps de l'autre.
Kohana attrapa la queue de la démone et la caressa tendrement.


"Je passerai la nuit avec toi Aya. Nous avons tout notre temps. Mais au petit jour, je partirai."

L'humaine avait pris sa décision. Elle n'était pas certaine de se mettre tout de suite en route pour la Terre, mais ce qui était sûre, c'est qu'elle ne tarderait plus avant de rentrer chez elle. De plus, les cours au lycéen continuaient sans elle et il ne fallait pas qu'elle prenne trop de retard.

Une atmosphère lourde enveloppa les deux femmes. Mais cet air était pourtant embaumé de framboise et respirait le désir et l'affection. La nuit les entourait peu à peu, et accentuait le contraste avec la lumière de la chambre. La mère et la fille, qui n'étaient pas de la même famille, était là, simplement étendue sur un lit de plume, avec pour seul lien de contact : la queue de la succube.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Namy Aya le vendredi 17 octobre 2008, 00:57:39
Aya eut comme un coup de froid, elle l'avait donc fait passé pour une fille folle d'elle qui ne pouvait rien faire d'autre que penser a elle. Bléssé, Kohana était bléssé de se voir consiféré comme tel. Aya s'en mordit aussitot les doigts, mais ce qu'elle prédissé était arrivé, elle l'avait bléssé parce que cette petite l'aimait. C'était toujours comme ca avec Aya de toute maniere, chaque fois qu'elle s'attachait a une femme, ou un homme, elle ne faisait que la blesser en parlant de travers.

Je... pardon, tu vois, je t'ai encore bléssé, je le savais que je n'aurais rien due te dire. Je suis vraiment une femme méprisable. Ke me méprend sur tout tes dires... Pardonne moi Kohana, je fais une femme pitoyable....

Visiblement, le désir d'Aya était la cause de ses bourdes, la premiere lorsqu'elle lui griffa amoureusement le dos de plaisir, la seconde lorsqu'elle parla de faire l'amour et la troisieme quand elle réitéra la proposition, agrémenté d'un tres grand compliment. Mais ce n'est que la premiere partie que la jeune fille avait comprit. Elle traca une ligne sur le corps de la succube avec ses levres, passant par le front, le nez, la bouche, le nombril et enfin le bijoux le plus précieux d'une femme. Puis elle se coucha pres d'elle, sur une de ses ailes en faisant gémir tendrement la succube, elle était un peut maso et sentir une pression excéssive sur son elle l'excitait quelque peut, étrange?  C'est ce qu'elle est non? la queue de la succube se fit tendrement caresser par la jeune fille, sans que l'appeindice ne lui oppose une résistance quelconque. Apres un long silence, elle lui dit que ce soir, elle serait a elle, mais apres elle partirait.

Je suis triste, je voulais passer plus de temps avec une personne aussi géniale que toi Kohana, tu es la premiere a me mettre nue, a me résister et a me rendre folle d'un désir que tu me refusera toujours. Je crois que je tombe amoureuse de toi...

Elle ouvrait son coeur a la petite humaine qui était a coté d'elle, mais malheureusement, les caresses de l'humaine ne faisait rien a la succube, ce membre de cuir était une arme, en aucun cas, il était initialement consu pour le plaisir de chair, la perversion d'Aya était au fait de son actualisation, mais ce n'était pas une partie sensible, elle était en cuir apres tout.

Ko...kohana...est ce que je peux te demander un service... meme si ca ne dure que pour une nuit... pou... pourrais tu m'aimer, comme la femme de tes reves... ju...juste cette nuit, j'ai peur de ne jamais te revoir apres.... j'aimerais que tu me fasse l'amour comme si j'étais la femme de ta vie... je t'en pris, donne moi ton coeur une nuit, un instant. Aime moi s'il te plais.

Cette déclaration décousu et timide ne lui ressemblait pas, mais elle était sincere, elle ne touchait pas l'humaine, laissant sa maitresse prendre ses marques, se laisser porter par son envie. Aya serait sienne ce soir, elle le lui avait clairement dit, elle voulait lui prouvait qu'elle l'aimait plus que comme une mere ou une amie. C'était étrange, elle était en train de tomber amoureuse, mais d'un amour encore une fois impossiple...
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Kohana le vendredi 17 octobre 2008, 11:12:08
Kohana jouait avec la queue de la succube : elle déplaçait ses mains de bas en haut, comme si elle essayait d'en extraire une quelconque matière. Ses caresses ne donnaient aucun plaisir à Aya, mais l'adolescente ne pouvait pas en avoir conscience. Elle écouta la démone parler, sans la regarder, toujours la queue entre les mains.
Puis, elle se tourna sur le flanc et se colla à la succube. Son poids s'étant déplacé, son corps tirait encore plus sur l'aile sur laquelle était couchée Kohana, mais celle-ci ne le soupçonnait pas. Elle posa une main sur le ventre de la démone et sa tête sur le haut de la poitrine. Elle pouvait ainsi écouter son coeur battre, assez rapidement, empli de désir. La requête de la démone était sincère et semblait importante pour celle-ci, pourtant Kohana n'y répondit pas entièrement.


"Je t'aimerais Aya... je t'aimerais toute la nuit... et sûrement plus encore... Mais tu ne seras jamais la femme de mes rêves."

Elle s'arrêta quelques instants, laissant à Aya le temps d'assimiler ses paroles. Elle savait que cela la blesserait, elle qui ne désirait qu'être aimée de la plus pure façon qu'il soit. Pourtant, Kohana en était incapable. Ce qu'elle demandait était impossible. Elle ne pouvait transférer l'amour qu'elle portait à Hazel sur cette femme allongée à côté d'elle, cette femme particulièrement désirable et qui ne demandait que d'être aimée pour ce qu'elle était intérieurement, et non pour son physique ravageur.

"Je te ferais l'amour... Je te ferais l'amour comme personne ne te l'a jamais fait... parce que moi, je t'aimerais... Je t'aimerais pour ce que tu es... et c'est à toi et à toi seule que je ferais l'amour... Tu n'es peut-être pas la femme de mes rêves, mais ça ne m'empêche pas de t'aimer profondément... et c'est avec ses sentiments réels et sincères que je te ferais l'amour cette nuit."

Achevant son petit discours, Kohana s'appuya encore un peu plus sur l'aile, mais brièvement, pour venir se placer au-dessus de la succube. Elle avait maintenant chacune ses mains posées sur une aile, ce qui entravait la démone et devait être douloureux pour elle. Mais, d'un autre côté, le désir devait bientôt s'emparé d'elle.
L'humaine téta les seins d'Aya, faisant se durcirent les tétons encore plus qu'ils n'y étaient. Elle n'hésitait pas chatouiller ces bouts de chair avec sa langue. Tandis qu'elle suçait, aspirait, léchait, Kohana reprit la queue de la succube dans sa main.
Elle arrêtait de torturer de plaisir la poitrine de la démone puis descendit doucement vers l'intimité d'Aya. Se faisant, elle laissait glisser la main qui tenait l'appendice de cuir sur le torse de la succube. La pointe de la queue était tranchante et griffa légèrement le ventre d'Aya sur toute la longueur.

Quand elle se trouva entre les jambes de la démone, Kohana s'installa confortablement, allongée sur le ventre et, de sa main libre, toucha les quelques arbres restés plantés dans cette forêt [perso, j'en ai un peu marre que tout le monde complètement rasé dans ce forum :p j'espère que ça te dérange pas d'avoir un petit ticket de métro... ou autre]. Elle s'empara de la cîme de l'un d'entre eux et tira dessus comme si elle voulait le déraciner. Cela souleva une des lèvres de la succube et laissa entrevoir un liquide visqueux un peu coagulé.
L'adolescente sourit et rapprocha son autre main, celle qui tenait l'arme sortie du postérieur de la succube. Le bout ressemblait à un as de pique et pouvait s'introduire facilement à l'intérieur d'une femme. Kohana lui fit faire le tour de la perle humide d'Aya. Elle n'appuya pas du tout et ne fit que frôler la peau, ainsi, la queue ne devenait pas blessante. Ensuite, elle approcha l'appendice de la gouttière qui laissait s'échapper le liquide recueillit après la pluie de caresses.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Namy Aya le vendredi 17 octobre 2008, 13:49:08
Ne pas etre la femme de sa vie? Elle le savait qu'elle ne serait pas cette chimere, en fait Aya savait que cette chimere n'existe que dans les contes pour enfants, il n'y a pas d'etre aussi parfait que le désire l'esprit dans ce monde. Mais certaines personnes s'en rapprochent plus que d'autres. Etant succube, elle était tres proche de l'idéeal féminin du grand commun et ses milliers de partenaires au cours des siecles peuvent témoigner en sa faveur.

Ce n'est pas si grave, je ne te demandais pas tant tu sais...

Elle repris la parole en écrasant davantage les ailes de la pauvre succube au coeur d'ange, ca faisait un mal de chien, mais notre jeune femme ne montrait pas sa souffrance, il se pourrait que Kohana reprenne la mouche en voyant de la tristesse et de la douleur sur le visage de la belle aux cheveux bleu. C'est donc un visage tendre qui accueillit les paroles douces et matures de sa femme d'un soir.

Je sais tout ca Kohana, ton coeur est pur et tu es douce. Je sais que tu m'aimera sincerement et que tu m'aimera plus qu'une nuit. En fait, tu es la seconde a me faire cet effet la... La premiere avait pas plus de 11 ans a l'époque, maintenant je ne sais pas ce qu'elle fait ni où elle est, ni si elle est encore en vie....

Elle repensait au passé, a l'amour et a la désolation d'un abandon toujours incomprit aux jours d'aujourd'hui. C'est alors que la jeune femme se positiona d'une maniere parfaitement dominante mais extremement douloureuse pour la pauvre succube dont les ailes bougeaient faiblement de douleur sur les pointes. Alors la petite fille descendit, lentement, presque sadiquement pour venir enfin eter le sein de la succube, comme un bébé, mais un bébé vachement pervers! Elle tourna autour de sa chair en donnant de petits coups de langues qui étaient un franc suplice pour la femme a la poitrine si sensible. Aya ne pouvait rien faire contre, si en fait. Elle gémissait et riait en se débatant faussement devant les attaques dévastatrices d'envie de la petite humaine.

Mettant fin a ce redoutable supplice, la belle kohana descendit la longue courbe qui menerait ses levres aux intimes de la succube. Sa main la griffa, non, ce n'était pas sa main, mais sa queue. Etait elle au courant que cette chose était d'un danger énorme? Les "griffures" de la pointe tranchante et acéré de l'apeindice d'Aya lui ouvrirent sans mal la peau, comme un laser chirurgical. Mettant une longue trainée de sang et forcant la femme a se mordre un doigt pour ne pas crier sa douleur. Cette nuit c'était sa chose, elle ne devait donc rien faire contre Kohana, si elle voulait la blesser elle pourait, de toute facon il est tres rare que son corps garde une cicatrice au dela d'une semaine...

C'est alors que ses levres capturerent la toison rectiligne et bien entretenue de fin poils bleu (au fait, je l'avais mis dans les premiers posts quand nous étions a la douche, faut lire les post namého! et non ca ne me gene pas du tout, meme au contraire, je trouve ca mignon de faire mumuse avec ces petits poils (au passage j'adore ta description de ce moment, meerveilleux, je me sent tout nul avec mes méthaphores)) pour tirer dessus, c'est presque aussi douloureux que de se faire arrcher une touche de cheveux, mais visiblement la manoeuvre de la jeune fille était murement réfléchié. C'est alors qu'elle fit ce qu'il ne fallait pas faire. Bien sur, a premiere vue, uste errafler du bour de la queue ca ne ferait qu'une petite marque rougis comme si il s'agissait d'un ongle. Le seul hic de l'histoire c'est que la nuance entre ongle et scalpel est énorme. Les simples palpitations intimes a cause de l'excitation firent saigner la jeune femme, et pas qu'un peut, ses muqueuses ravagé par cet apeindice qui ne servait pas a ca, elle écarta violement la main de la jeune fille, les larmes aux yeux.

Fais...fais... pas comme ca... tu fais mal... tres mal... surtout ne suce pas mon sang!...

La succube était serieuse, si elle sucait son sang, ce qu'elle appelait Esclave deviendrait synonyme du vol d'une palombe, la soumission du sang de ces etres était si grande que si on ne fait pas attention, un simple baiser peut signer la mort de toute une conscience. Surtout que ce sang la n'était pas seul, avec ce mellange détonant qui sait quel serait les ravages que subirait la petite humaine??

C'est alors que la succube croisa sa main avec celle de Kohana, laissant ses doigts s'emmeler a ceux de sa compagne avant de replier sa queue sur elle meme et de la torsader, elle avait doublé de volume et était maintenant innofensive, enfin elle ne l'empalerais pas de maniere littérale. C'ést ca de pris.

C'est comme ca que tu transforme une arme de mort en arme de plaisir, ne touche jamais la pique, c'est tres dangereux.

le sang avait coagulé sur son ventre et sa blessure n'était déja qu'un souvenir, mais c'était bien plus difficile pour son intimité qui subissait des coups dur pendant la gérison. Lentement, Aya fit entrer son apeindice en elle et avec une voix douce, alors que le sang glissait en perlette sur le lit balnc, la belle succube chuchota d'une voix suave mais parfaitement audible

Sois douce avec moi ma reine.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Kohana le vendredi 17 octobre 2008, 16:29:39
Kohana s'écarta rapidement lorsqu'elle vit du sang couler. Elle avait à peine effleurer la perle de la succube, mais cela avait suffit à faire jaillir du sang. La jeune fille posait sa main dessus pour l'empêcher de couler, mais la démone la rappela à l'ordre. Il ne fallait surtout pas qu'elle suce le sang, que sa salive entre en contact avec... c'était si tentant pourtant d'éponger tout ce liquide avec la bouche.
Mais Kohana obéit et s'écarta. Alors la succube lui conseilla de ne jamais toucher la pointe de sa queue, que cela pouvait être dangeureux. L'adolescente, qui ne connaissait rien aux succubes, avait du mal à imaginer comment, mais elle préféra écouter sa "maman".

C'est alors que Kohana vit la queue se transformer et devenir tresse. Elle était à présent inoffensive et... elle entra en Aya. L'adolescente assista en spectatrice crédule à ce petit accomplissement. La voix de la succube devint alors encore plus irrésistible et enseigna à Kohana... la douceur.
Le sang continuait de couler de la dernière blessure mais il n'était déjà plus très abondant. Des traces rouges commençaient à s'étendre sur les draps, formant de joyeux motifs : un coeur prenait place sous les fesses de la démone. Kohana ne put s'empêcher d'y déposer un baiser. Heureusement, le sang avait déjà imprégné le tissu et ne se déposa pas sur ses lèvres. Pourtant, à cet infime petit acte suffit à redonner du désir à l'adolescente, qui, s'étant sentie coupable de la douleur de la succube, avait légèrement perdue ses envies quelques secondes plus tôt.

Maintenant, Kohana se sentait habitée d'une flamme tremblotante qui lui léchait l'intérieur du corps et ne semblait pas prête de vouloir s'éteindre. Elle eut envie de partager quelque chose avec la démone. Alors elle se leva du lit et partit fouiller la chambre. Avant cela, elle déposa quelques baisers sur le ventre d'Aya, prenant soin d'éviter la blessure déjà coagulée. Puis, donnant une petite tape affectueuse sur le sein gauche de la succube elle se leva, décidée.
Elle arpenta la pièce puis, finit par trouver quelque chose qui semblait convenir. Elle s'en saisit et le cacha dans son dos.

Kohana revint vers la succube, un sourire malicieux dessiné sur le visage. Elle s'assit à califourchon au niveau du nombril de la démone et écarta ses lèvres en un large sourire, presque effrayant. Puis doucement, elle tendit une main vers la queue plongée en Aya et l'en retira, doucement, millimètres par millimètres, rebroussant parfois chemin par inadvertance, puis la fit sortir complètement. Elle la plongea denouveau, avant de la ressortir.
Puis de plonger profondément... autre chose. Cette chose était plus dure, plus ronde, comme la sucette d'un homme qui aurait rétrécit en diamètre, une longue sucette toute sucrée. Kohana recula et laissa la démone apercevoir l'objet : un bâton de majorette que la jeune fille avait trouvé parmi les habits cosplay de la succube. Tenant le bâton d'une main, elle commença à lui donner des mouvements, d'avant en arrière, évidemment, mais aussi circulaires. De son autre main, elle se caressa la fente. Puis, avant qu'Aya est eu le temps de protester, elle introduisit en elle l'autre extrêmité du bâton.

L'adolescente ne pouvait venir se placer au-dessus de la succube car le bâton était rigide et il aurait déchiré ses entrailles. Alors elle s'allongea entre les jambes de la démone et saisit les mollets de celle-ci de ses mains. Ainsi positionnée, elle put effectuer des mouvements de va et vient avec tout son corps, enfonçant et retirant à moitié le bâton de majorette. Elle se tirait grâce à la force de ses bras, et s'approchait de la succube jusqu'à ce que leurs intimités se frôlent ; puis elle se propulsait en arrière avec l'aide de ses pieds, posés à plats au niveau des côtes de la démone.
Le plaisir commençait à l'envahir et sa flamme brûlait ardemment. Cependant, elle se sentait trop loin d'Aya. Alors, après quelques minutes, elle se retira du bâton et revint se placer au-dessus de sa partenaire pour l'embrasser amoureusement. Une de ses mains abandonnée prêt du bâton continuait à faire plaisir à la succube.
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Namy Aya le samedi 18 octobre 2008, 14:05:44
(désolé, je fais pas grand chose, mais j'espere que ca t'inspirera, sinon hésite pas je devrais pouvoir cherger un peut plus)

La queue ainsi tréssé par les soins de la succube devenait un formidable sex toy, il n'était enfoncé en elle que de quelques petits centimetres et appellait la petite Kohana a venir lui donner une impulsion de plaisir, mais contrairement aux attentes si grandes et a l'excitation de se sentir totalement soumise a ce petit bout de choux tout en tendresse et douceur, la jeune fille ne s'amusa pas. Aya avait elle perdu de son charme a cause de ses legers segnements? Et le pire c'est qu'elle vit la bouche pulpeuse de l'humaine descendre entre ses fesses, là où son sang était encore. Il avait la propriété d'un aphrodisiaque, mais a consomer avec modération extreme, presque personne ne supporte ce genre de shoot et devient dans l'instant jouet et esclave de la porteuse de ce sang. Enfin si il est mélé a la salive et au souffle de la succube, si c'est avec ses secretions, elle risque de devenir un sex toy ambulant en manque perpetuel...

Fort heureusement, elle eut juste une petite piqure d'envie. Lentement et tout aussi sensuellement que le disait l'esprit embrumé de désir, la jeune fille se redressa en embrassant le corps cour de petites traces de sang, elle était tres vieille et ses plaies disparurent presque sous les yeux de la petite humaine alors qu'elle lui giflait avec amusement le sein de la démone. Cette derniere se cambra et la regarda partir incrédule. Kohana était toute habillé et quittait le lit, allait elle... L'abandonner? Cette simple supposition la mis dans un état de tristesse profond et sans nom commun. Mais le retour de la jeune fille, les bras dans le dos et un sourire lumineux aux levres lui fit perler des larmes de joies, elle restait, elle était serieuse dans ses paroles... Que de joie!

C'est alors qu'elle s'instala en souriant sur les abdominaux de la succube en lui souraiant, toujours les mains dans le dos. Aya commencait a se demander ce qu'elle voulait faire dans cette position, la réponse fut rapide, une main se glissa sur sa tresse et commenca a la faire reculer en douceur, procurant de doux soupirs de plaisirs a la jeune femme qui la sentait parfois revenir en elle avec douceur. Puis elle la sortit entierement avant de la replonger et de la ressortir en jouant. Et soudon elle fut remplacer par un objet froid, circulaire et dont le bout était une sorte de bole parfaite. Qu'est ce que? Un baton de majorette! Mais où vas t elle chercher ca??? Enfin... C'était pas si desagréable en fin de compte, elle pouvait user de l'artifice qu'elle désirait apres tout, tant qu'elle y mettait du coeur a l'ouvrage. C'est alors que Kohana se leva legerement en donnant des mouvements parfaits, visiblement dans son passé d'esclave on lui avait apris a jouer avec des objets sexuels. Pas si grave, elle usait de son malheur passé pour son bonhuer et Aya en soupirait de plaisir, laissant meme quelques gémissements percer entre ses levres alors que cet objet inhumain entrait et ressortait sans mal de son temple des plaisirs. Elle vint ensuite la caresser avec douceur. Mais c'était trop, trop bon pour elle, elle ne pouvait plus s'en empecher, de petits gémissements de plaisir sortirent de ses levres a chaque mouvement de la belle Kohana.

C'est alors qu'elle s'empala sur l'autre extrémité de l'outil, en soupirant de plaisir et avec un visage radieux de son idée. Aya avait les yeux écarquillé, qui l'aurait cru, cette petite fille était une si grande perverse? C'est a ce demandé qui est la succube et qui est la frele humaine dans ce duo.

Ahh attention aux habits mon coeur... Ne les tache pas...

Mais a part ces paroles, la succube était totalement soumise, les jambes écarté, encéré par les cuisses et les pieds de la belle brune, Aya ne pouvait bouger, elle ne faisait que faire des mouvement d'oscilation avec son bassin pour pouvoir donner le plus de plaisir possible a sa compagne qui était décidément pleine de surprise.
Mais elle se lassa, la présence des levres de Kohana contre les siennes manqua peu a peu, Aya se senti vide, elle s'apréta a retirer l'objet de son intimité quand elle vit que sa partenaire avait la meme idée qu'elle et qu'elle s'était empréssé de se retirer l'objet pour sceler les levres féminines l'une contre l'autre dans un tendre baiser alors qu'une de ses mains continuait son acte pervers sur le bas ventre du démon. Quel plaisir de se sentir ainsi en confiance, contiante au point de se laisser parfaitement dominer, sans échafauder un plan pour dominer sa partenaire, juste prendre du plaisir comme il venait.

La succube n'est pas  une créature passive de nature, au contraire, ce sont des dominatrices née. C'est donc en se rappelant sa place que notre créature aux yeux d'aciers changea les roles, elle coucha Kohana sur le dos en la plaquant tendrement avant de se retirer l'objet circulaire dont son intimité était l'hote. Lentement, elle descendit sur son intimité avant de passes le bout du baton sur ses levres puis de le déposer entre ses deux seins. Aya n'avait nul besoin de cet artifice, mais de préliminaires! Elle écarta ses levres avec douceur avant de se jeter comme une affamé sur un morceau de viande sur son objectif. Elle dévora son intimité avec plaisir en ne prenant pas de temps pour respirer entre chaque gorgé de nectar, elle s'empifrait de plaisir dans ce geste si bénin  et si simple qui était le plus grand moment d'une partie de jambe en l'air, enfin selon elle. Lentement, et perfidement, elle poussa deux de ses doigts dans son anus pour pouvoir commencer a la préparer et a tater le terrain. Kurumu avait laissé sa marque, elle lui avait rendue la pureté de son antre interdite, tout comme les douceurs de son intimité qui glissait sous les coups de langues assoifé d'Aya...
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Kohana le samedi 18 octobre 2008, 19:15:34
Kohana faisait ce qui lui passait par la tête, mais elle ne se sentait vraiment pas douée. Une vraie girouette qui ne savait que faire et passait d'une idée à l'autre comme on saute du coq à l'âne.
Elle essayait d'être la plus sensuelle possible mais elle se rendait bien compte que ses gestes étaient quelques peu maladroits ; personne ne lui avait jamais rien montré alors c'était normal. Même Don avait considéré qu'elle était plus habile lorsqu'elle apprenait sur le tas.

Placée au dessus de la succube, la jeune fille ne savait que faire, alors elle embrassait Aya tout en agitant le bâton. Heureusement, la démone n'avait pas l'air de remarquer l'inexpérience de l'adolescente et semblait heureuse d'être avec elle.
Soudainement prise d'une pulsion, la succube fit rouler Kohana qui se retrouva sur le dos, prise au piège. Dans un agréable piège fait de chair et de peau succubiennes. Avant même qu'elle eut le temps d'en prendre conscience, l'humaine sortit sa langue et montra à quel point elle était avide de se faire dominer.

La démone ne se fit pas prier. Elle écarta le bâton et plongea, affamée, sur l'intimité de l'adolescente qui ne put retenir un cri de surprise. Telle une ogresse, la succube dévorait ce qui lui tombait sous la bouche. Sa langue s'introduisait entre les lèvres de la jeune fille pour venir y gober la moindre parcelle de nectar.
Alors qu'Aya était à genoux entre ses jambes, dans une position féline, le bassin en l'air, Kohana se pinçait les lèvres pour se retenir de crier et laissait donc échapper des petits gémissements de plaisir.

Quand elle sentit les doigts de la succube s'approcher d'un endroit dont la dernière personne à avoir visité le lieu était Kurumu, l'humaine serra les fesses. Mais les doigts de la succube ne se laissèrent pas rebuter et franchir l'obstacle avec aisance pour aller se nicher vers l'antre interdite de la jeune fille. Ses doigts écartaient doucement l'entrée et commençait à l'élargir.


"Nnnon..."

Laissa échapper Kohana dans un soupir. Le désir lui montait à la tête et le repas que faisait la démone empêchait la jeune fille d'articuler. D'ailleurs, des petites gouttes de salive perlaient au coin de sa bouche, incapables de retourner à l'intérieur de son estomac.
Mais son refus n'était pas réel. C'était juste la peur d'avoir mal qui s'insinuait en elle. Son vrai désir quémandait d'autres caresses inconnues.

La main de la jeune fille se posa dans les cheveux de la succube et lui malaxa amoureusement le crâne, suivant les coups de langues qu'elle recevait. Kohana ne pouvait rien faire, elle ne pouvait plus bouger, pourtant elle mourrait d'envie de se venger et de faire ressentir à Aya ce qu'elle même ressentait.
Alors... Kohana remonta les jambes, offrant une vue et une prise bien plus importante sur son entrejambe, et une meilleure possibilité d'accès au chemin boueux. Puis, elle se lâcha : elle desserra les lèvres et laissa des petits sons s'échappés de sa gorge et venir ricocher jusqu'aux oreilles de la succube, lui montrant à quel point son dîner donnait l'eau à la bouche. Après quelques minutes elle n'en pouvait plus.


"Viens à moi Aya ! Je... je ne peux en supporter plus ! Reviens moi ! aaAAhhhh...."

Les yeux de la jeune fille s'exhorbitèrent, ses fesses se contractèrent ainsi que ses abdos, ses mains se crispèrent, l'une sur le lit l'autre dans les cheveux de la succube, manquant d'en arracher une partie. Le coeur de l'adolescente sembla s'arrêter de battre pendant quelques instants puis il reprit sa course folle. Des tremblements parcoururent le corps de Kohana, ses dents claquèrent les unes contre les autres, comme un marteau-piqueur.

"A..Aya... J'ai froid... réchauffe-moi"

C'était un supplice déjà un supplice d'être éloignée de la succube, mais c'était encore plus horrible d'être priver d'elle dans un moment aussi intense pour l'humaine, alors que c'était grâce à la démone qu'elle se trouvait dans un tel état.

[en manque d'inspi j'ai fait ce que je pouvais pour écrire un post... j'espère que tu sauras quoi faire... :$]
Titre: Re : retour à la civilisation [pv : Aya]
Posté par: Namy Aya le vendredi 07 novembre 2008, 14:49:09
Elle pouvait crier, supplier, son corps et son esprit était un livre ouvert pour cette femme des plaisirs. Kohana ne voulait pas sentir de doigts fins et agiles entraient par l'entrée interdite, mais comment dire, son corps le réclamait ainsi que son esprit, quelques couches plus bas. Les coups de langues et le doigté expert de la succube la firent vite rendre l'ame en offrant un beau petit orgasme innocent. Elle la supplia de la réchauffer. Déja? Cette enfant était une sorte de jeune vierge. Pourtant sa mémoire avait plus d'une expérience, mais c'est comme si elle repartait a 0 avec la succube.

Je viens, je viens...

La voix maternele et rassurante de cette femme si douce monta dans les aires alors que sa langue passait sur ses levres pour recueillir un peut de ce liquide si fin et si doux que l'humaine avait laissé coulé sous les violences de sa compagne.
Une fois a sa hauteur, Aya l'embrassa tendrement, délivrant un peu de son nectar dans la bouche de la lycéenne, qu'elle goute a sa propre jouissance. Le baiser était pour assurer sa présence, mais son corps nu se collant impécabelement a celui de la jeune fille la réchauffait, bien que cette chaleur la ne soit pas la bonne. Aya mit fin au baiser et la regarda avec des yeux humides, plein de plaisir et d'envie. Le soucie de sa race réside dans l'ampathie sexuele des démones, chaque orgasme est rescenti, moins fortement, mais il est ressenti par la succube qui l'a produit.

Kohana...

Ce prénom soupiré avec une telle envie était une preuve, preuve que ce n'était nullement une comédie qu'elles se jouaient mais qu'il y avait plus que du simple désir charnel entre elles, Aya apréciait vraiment cette enfant, comme une femme, comme sa fille, mais maintenant comme sa femme. Lentement, la queue de la succube se replia sur elle meme, s'entortillant pour se donner une forme phalique imposante et glissa entre les douces fesses de la jeune femme.
Mais le moment redouté n'arriva pas, la succube s'arreta net, tapotant son menton devant le regard étonné de Kohana, qui ne le serait pas? Apres un instant de réflexion, la succube sourit a la belle femme en lui caressant a nouveau la joue avec tendresse avant de prendre ses deux jambes et de colles les gnoux derriere ses oreilles. Ce qui ne fut pas une simplé métaphore a la vue de la souplesse de la danseuse. Maintenant, la position était parfaite pour que ce moment soit bien plus jouissif et moins douloureux pour la belle brune.

Je vais faire attention, je te le promets.

Les succubes sentent tout, la douleur fait parti du tout. Aya recouvrit leur couple de ses deux grandes ailes noires pour rendre le moment plus chaud, plus intime, plus unique... Puis, dans un mouvement lent mais continue, elle déchira les chairs de son entrée interdite, passant lentement comme une foreuse entre ses douces fesses, sans arreter de la caresser, léchant ses seins avec douceur et titillant sa perle de plaisir pour que les décharges de plaisirs surpassent cette douleur legere mais refroidissant bien des envies. Une fois en elle, la succube fit de petits mouvement de queue pour toucher les parois externes de son vagin, pratiquant tout l'interet de la sodomie chez une femme, se faire combler par l'extérieur...