Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Hermine / Blanche-Neige le lundi 06 juin 2011, 21:25:37
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Hermine fut convoquée d'urgence, dans la salle de réunion, là se trouvait les maîtresses et maîtres les plus influent de l'hôpital, elle ne savait pas encore pourquoi elle avait été appelée, mais très vite elle reçu la raison de sa convocation.
- Hermine, la salle d'arcade où tu vas souvent est fermé, comment comptes-tu nous amener de l'argent aujourd'hui.
Tous savaient pertinemment ce qu'allait répondre leur esclaves, car après tout ce sont eux qui l'on formés pour qu'elle amasse de l'argent par tout les moyens, la jeune femme se mit à répondre simplement.
- Je peux vendre mon corps, avec vos autorisation bien sûr.
- Voilà une bonne idée, nous te donnons l'autorisation, mais va dans le quartier mal famée, tu trouveras là-bas plus de clients que si tu te permets de te balader dans le centre ville.
Toute les personnes cherchant une putes ou encore une personne pour combler ses pulsions sexuelles savaient que le quartier de la Toussaint était le meilleur endroit, sans oublier que les prix étaient très bas, souvent rentabilisé par la quantité de pipes que les prostituées se faisaient à l'heure.
Hermine reçu sa tenue habituelle (celle de l'avatar), plus une petite sacoche pour y mettre son argent. Trente minutes plus tard elle fut dans le quartier et eut son premier clients. L'esclave misait sur sa mobilité, ne restant pas au même endroit trop souvent, ainsi elle pouvait tomber sur les même clients qui oubliaient vite les visages, recevant souvent un peu plus d'argent sachant les postures préféré et les zones les plus sensibles de la personne.
Après s'être fait prendre en simultané par pas moins de trois personnes, elle alla vers un point d'eau et se lava un peu, pour ne pas dégoûter les clients, puis elle repartie vers le coeur du quartier, ne sachant pas qu'elle allait croiser un prédateur et pas un petit.
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Comment je décrirais ma journée si je n'avais droit que d'utiliser un seul mot? Merdique. Si seulement j'avais eut une seule cause d'intéressante… Ma journée s'était déroulée ainsi: de 9 h00 à 12h00 c'était des ententes à l'amiable que je supervisais, à 13 h00, je me devais d'aller à la cour des PC (petites créances) pour une histoire de fraude d'une entreprise de plomberie vis-à-vis une petite famille, dans le centre-ville. En gros, cette histoire, commission et salaire, m'a rapporté environ 1% de ce que je fais avec la vente d'esclaves, pour plus d'heures de travail. Je déteste les journées dans ce genre.
C'est alors que la soirée prit un tournant plus intéressant.
Elle faisait le trottoir près de mon cabinet. Une petite blondinette qui avait tout à fait le mérite d'avoir la possibilité de me faire oublier la journée que je venais tout juste de passer. Je venais de terminer ma journée, et j'avais tout à fait besoin de distraction. Je marchai alors vers elle, qui me faisais dos, puis passai un bras autour de sa taille un léger sourire en coin.
Toi, tu viens avec moi, j'ai besoin d'oublier ma journée.
Probablement qu'elle s'était dite qu'elle avait touché le gros lot, vu de la manière dont j'étais habillé: complet Armani, chaussures Prada et clefs de voiture ornant quatre petits cercles insérés l'un dans l'autre, emblème de la marque de voitures de luxe Audi. Par contre, ce qu'elle ne savait pas, c'était que je ne comptais pas payer un sou pour ses services… Mais il ne fallait pas qu'elle le découvre, avant que je lui annonce, bien évidemment.
Je la menai alors dans mon cabinet. Je la fis s'asseoir sur un divan, généralement destiné à mes clients, lui offrai un verre puis je refermai les rideaux, je me retournai.
Alors quels sont tes tarifs? Oh, mais j'y pense…
Je m'approchai alors de la jeune femme, une seringue derrière mon dos.
Je ne vais pas payer!
Comme j'allais planter ma seringue dans son bras, elle réussi à se défaire de l'impasse que je créais avec mon corps, sortit par la fenêtre et fuit par la ruelle. Ce qu'elle ne savait pas, c'était que la chasse à la proie faisait aussi partie du jeu que je m'étais imaginé.
Décidément, je crois que cette chasse va me plaire!
Une fois la fenêtre passée, je souris en m'élançant vers la jeune gazelle, comme un fauve affamé. Attention, jeune pute, tu vas bientôt devenir mon jouet…
[HRP] Désolé, court! [/HRP]