Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Salles de cours et bibliothèque => Discussion démarrée par: Sibylle le dimanche 21 septembre 2008, 10:29:18
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La jeune femme appuya sa tête sur sa main, les sourcils froncés. Qu'est ce que ça signifiait tout ça ? aucune idée. Des signes, des paroles, des... elle releva les yeux de son bouquin, enlevant les petites lunettes fines posées sur son nez. Toujours vêtue de milliers de bijoux, avec sa longue toge et ses cheveux fins et ondulés, Sibylle lisait sans lire, ne comprenant rien, non, rien. Elle tourna la page, espérant tomber sur quelque chose de plus compréhensible cette fois.
" L'exactitude de ces mots reflétent encore dans notre société une admirable et terrifiante réincarnation du ciel " Elle leva les yeux au ciel. Pour tout dire, depuis qu'elle avait eu cette "entrevue" avec Aphrodite...tout avait changé. Tout. Elle se frotta les mains et regarda autour d'elle. Elle était tellement prise dans sa lecture qu'elle avait oubliée où elle était. Dans une bibliothéque qui sentait le moisi. Elle retourna à sa lecture, tentant de comprendre.
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Lucian était de passage à la bibliothèque cela était loin de lui faire plaisir mais il avait besoin d'information que personne n'avait pu lui donner il ne lui restait donc plus que les livres, heureusement que sa mère lui avait apprit à lire sinon il serait mal. Il eu une bouffée de nostalgie en pensant à elle mais secoua la tête se n'était pas le moment, il avait passé un long moment à chercher et avait trouvé ce qu'il voulait, il s'apprêtait à partir mais un bruit attira son attention, tournant machinalement les yeux il vit alors une prêtresse.
Il s'arrêta nette et se demanda s'il n'avait pas d'hallucination, une prêtresse, ici ? Il la regarda attentivement se demandant à quel ordre elle appartenait, il ne connaissait pas bien la religion. En tout cas la jeune fille était recouverte de bijoux il trouvait ca étrange. Pour le moment c'était surtout la curiosité qui dictait ses actes il s'approcha d'elle
"tu es une pretresse n'est-ce pas ? Que fait tu ici"