Le Grand Jeu
Préliminaires => Prélude => Discussion démarrée par: Calypso Wymfire le mardi 23 novembre 2010, 19:46:48
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Ancienne fiche:
*Vous entendez une voix lointaine résonnée dans votre tête...*
Bonsoir...Mon nom est Calypso Wymfire. Je viens d'avoir 19 ans il y a exactement 26h. Et oui, je suis née le jour de la Sainte patronne des musiciens. Je peux vous assurer que je suis une fille, ou peut-on parler d'une femme déjà à mon âge?
*Vous vous imaginez la jeune fille ? Pas la peine, vous avez une vision d’elle,comme si Calypso était devant vous*
Comme vous pouvez le voir, je ne suis pas très grande...Un pauvre petit 1m59. Et je ne suis pas très grosse non plus...Enfin, je ne suis pas maigre non plus! J'ai un visage plutôt pâle. Oui,j'ai une peau des plus blanches, et je ne bronze jamais (ou je deviens rouge écrevisse au soleil!). J'ai des yeux dont l'iris n'est pas commun, d'un violet foncé. Ma chevelure n'est également pas commune, d'un rose pâle, et qui retombe jusqu'au niveau de mes omoplates. Pour ce qui est de ma poitrine, disons qu'elle n'est ni cachée ni proéminente, un 85 C, que je souligne simplement avec des corsets (je hais les soutien-gorge !). Pour mes fesses, elles ne sont pas très rebondies mais assez pour faire détourner les yeux d'un homme. Et pour finir, je m'habille dans les tons foncés, à la manière d'une goth si vous voulez.
Pour mon caractère...Voyons voir...Je suis quelqu'un d'assez solitaire. Disons que pendant mon enfance, je n'ai pas su me faire des amis. Je suis quelqu'un d'assez "nature" aussi, j'aime me contenter d'un simple lever de soleil ou bien d'une rosée du matin. Un rien suffit à m'émerveiller. Je suis une grande rêveuse dans l'âme. Je suis une personne indécise, qui hésite pas mal avant de prendre une décision. Je ne suis pas méchante ni quelqu'un qui s'énerve facilement, mais lorsque l'on me cherche vraiment, je peux devenir féroce, limite sauvage! Je n'ai pas vraiment une force herculéenne, mais je ne me laisse pas faire!
Je crois que pour mon caractère,je vous ai raconté les grandes lignes...
Pour ce qui est de mon histoire, elle révèle ce qu'il y a de plus « banal »... Je ‘suis’ de sang noble du côté de mon arrière-grand-père, Stavinsky Wymfire. Peut-on prétendre encore aujourd'hui que je puisse porter le titre de noble? Enfin, peut importe. Je suis née en France un jour de Sainte Cécile. Rien de plus merveilleux pour mon père, un musicien. C’est avec lui que j’ai appris le solfège, et la flûte traversière par la suite. J’adorait mon père. Mais hélas, il nous a quitté il y a environ un an. Ma mère, femme au foyer, ne pouvait plus supporter notre famille financièrement. Il nous fallu donc revenir dans la famille de mon père en Russie. Ah ? Je ne vous avais pas dit ! Mon père était russe et ma mère française. Un beau petit mélange d’amour en tout cas…Alors oui, je disais ? Ah ! Nous sommes donc revenues dans la famille de mon père, plus exactement chez le cousin Nicolas (il faut prononcer le « s » sinon il n’apprécie pas !). Les Wymfire russes ont gardé quelques titres, dont Cousin Nicolas.
Nous vivons donc depuis un an dans la grande maison de campagne de Nicolas, proche de la frontière finlandaise. Cousin Nicolas vit seule avec sa femme Strida. De temps à autre, des autres membres de la famille Wymfire viennent nous rendre visite…Enfin, plutôt à notre cousin…Mais depuis hier, nous avons la visite d’un ami à Nicolas, Kravitz. Il a amené son fils également, un beau jeune homme (je dois bien l’avouer) de 21 ans : il se nomme Robs. Ils ont prévus de rester une petite semaine avant de repartir pour la capitale. Je trouvais Robs plutôt charmant. Nous nous sommes promenés tous les deux dans la grande demeure et on passait notre temps à parler. Aujourd’hui, jour de mes 19 ans, j’ai eu droit à un grand dîner avec notre petite famille et les invités de Cousin Nicolas. A la fin de la soirée (il faisait déjà nuit depuis un bon moment !), Robs m’emmena faire un tour dans la demeure pour enfin arriver jusqu’à ma chambre. Il me porta comme une princesse, me posa sur le lit et s’assied à côté de moi. À ma grande surprise, il m’avait apporté un cadeau pour mes 19 ans. Je l’ouvris et y découvris une jolie chaîne avec un crucifix, d’un argent tout brillant. Il me l’accrocha dans les cheveux pour faire ressortir la noirceur de mes vêtements. Il me chuchota à l’oreille quelques mots, inaudibles pourtant pour moi, et posa ses lèvres sur mon cou…
J’ai 19 ans depuis 26h maintenant, et j’aurais toujours cet âge-là désormais…Robs est parti et je me suis réveillée dans une grotte. Dehors, il neige et vente mais je ne ressens plus le froid. Mon corps est Froid. J’ai l’impression que mon corps brûle, prisonnier d’une léthargie permanente…Mes yeux rougissent ardemment, tandis que mon nez flaire des choses qu’il n’avait jamais senti auparavant. Il ne faut pas que je sorte de cette grotte…Surtout pas…
[ Vous avez compris, je ne suis plus une humaine mais un sang-froid…Je ne connais vraiment rien à ces êtres…Je ne connais donc pas encore l’ampleur de mes pouvoirs…Ah oui ! J’oubliais ! Je suis vierge !]
Autres : Doublette
Identité : Calypso Wymfire.
Âge : 19 ans, éternellement...
Sexe : Féminin.
Race : Vampire (créature).
Sexualité : Hétérosexuelle, sans aucune expérience.
Physique :
Si on ne devait prendre en compte que la taille de Calypso, elle serait du genre à passer inaperçu, d'une taille assez petite, à peine un mètre cinquante-quatre. Du genre à se faufiler tel un souffle dans la foule. Ni frêle, ni imposante, elle passe tel un fantôme entre les regards à condition que ceux-ci ne se baissent pas. Sa peau est d'une pâleur presque spectrale, incapable de retenir le soleil. Le fuyant comme la peste pour garantir sa survie, elle ne risque aucune de ses brûlures que les gens qualifient de bronzage, même si en réalité, c'était déjà le cas lorsque le souffle de vie l'habitait encore. Sa pâleur diaphane, semblable au marbre glacé, est parcourue ici et là de fines veines presque translucides qui accentuent son apparence d'outre-tombe. Sa silhouette n'attire pas l'attention à excès, d'une corpulence plutôt fine. Sa poitrine est d'un taille que l'on peut considérer de moyenne, ni grosse ni petite, qu'elle s'amusait autrefois à garder dans un corset. Quant à ses hanches, elles tracent une courbe agréable mais assez discrète, suffisante pour troubler quelques regards égarés.
Son visage n'a jamais été très rempli. Ses yeux intrigants sont d'un vert pâle vitreux, presque fané, semblant avoir oublié ce qu'était la lumière, comme s'y éternisait une tristesse ancienne dans un halo d'ombres. Ils vous observent comme à travers un voile lointain, un peu absent. Son nez est légèrement dodu, finissant sur une bouche d'une petite courbe douce, qui a perdu de son éclat rosé naturel lors de sa transformation, aujourd'hui blême, comme si le sang y circulait à peine. De longs cheveux arrivant jusqu'à ses omoplates, d'une blancheur aux reflets cendrés, encadrent ce visage avec la fluidité d'un brouillard silencieux. Ils tombent en vagues légères, comme la caresse du vent sur une surface figée.
D'un point de vue vestimentaire, si auparavant la demoiselle s'habillait avec des vêtements d'un style gothique, aujourd'hui, elle ne se balade qu'en haillons. Ses différents voyages ont fortement abîmés les habits dans lesquels elle s'était réveillée. Ce ne sont que des bouts de tissu difformes, sales, couverts de taches de sang ou de boue séchés. Son aspect général ferait presque peine à voir, ressemblant plus à une sauvageonne à la Tarzan, qu'à un véritable être humain...Enfin, à une créature humanoïde.
Caractère :
Quant à son caractère, il est teinté d'ombres douces et de silences choisis. Déjà lorsqu'elle était humaine, Calypso Wymfire était de nature solitaire, non pas forcément par rejet du monde, mais plutôt parce qu'elle n'y avait que rarement trouvé sa place. Et c'était toujours le cas aujourd'hui. Depuis l'enfance, les liens sociaux lui ont semblé complexes, comme des langages codés qu'elle n'avait jamais vraiment su déchiffrer. Les amitiés lui échappaient, se dissipant comme des rêves au réveil. Ce sentiment de profonde solitude n'a fait que s'accentuer lorsqu'elle a dû faire face à sa nouvelle nature, ne l'acceptant pas du tout, et se retirant de toute vie « intelligente » proche d'elle.
La demoiselle trouve son apaisement dans les choses simples, en général, de ce que la nature peut lui offrir : le frisson discret de la rosée sur l'herbe, le bruissement des feuilles dans le vent. Elle a toujours été du genre à s'émerveiller d'un rien. Le monde, dans ses détails les plus infimes, lui parle plus que mille discours. Rêveuse invétérée, Calypso se perd souvent dans ses pensées, qu'elles soient bonnes ou mauvaises d'ailleurs. Cette tendance à la rêverie va de pair avec une indécision presque chronique : chaque choix devient un carrefour, chaque décision une aventure en soi. Elle pèse longtemps le pour et le contre, comme si chaque geste devait porter un lourd lot de conséquences qui lui échapperaient forcément. Cette indécision est nourrie par une anxiété, pour ne pas dire une peur constante que lui a provoqué sa transformation. Sa nouvelle condition, qu'elle ne connaît qu'à travers les contes fantastiques et le peu de semblables qu'elle a pu brièvement rencontré, l'effraie plus que tout et une ombre, un son inconnu, peuvent devenir sources d'immense stress pour la demoiselle qui, dans ces cas-là, cherchera à fuir et se cacher...
Si autrefois, Miss Wymfire était une âme à ne pas se laisser faire, à faire preuve d'une grande patience, souvent avec une douceur instinctive, aujourd'hui, il en est tout autrement. Discrète, la jeune éternelle est du genre à encaisser silencieusement, prendre les coups, trouvant que son existence même est une ineptie. Certes, elle ne cherche pas à mourir une deuxième fois, mais d'une certaine façon, elle accepte les punitions comme si elle pensait les mériter...
Histoire :
À première vue, l'histoire de Calypso semblait des plus banales. Elle était issue d'une famille noble, remontant à des générations et des générations en arrière, ce sang ancien provenant du côté de son arrière-grand-père, Stavinsky Wymfire. Ce nom gardait des résonances aristocratiques, bien que le temps ait effacé l'éclat de ce titre. Pouvait-elle encore se prétendre noble aujourd'hui ? Elle-même en doutait.
Fabuleux cadeau d'une union entre un Russe et d'une Française, la demoiselle vu le jour en France, un jour de Sainte Cécile, patronne des musiciens. Ce fut un signe heureux pour son père, passionné de musique, qui lui transmit dès l'enfance son amour pour le solfège et notamment, la flûte traversière. Calypso adorait ses parents, même s'il est vrai qu'elle avait une nette préférence pour son père. Son enfance et adolescence furent teintées de merveilleux moments de partage et d'amour, jusqu'à ce jour fatidique, à la veille de son dix-huitième anniversaire, où son père succomba à une terrible pneumopathie, laissant derrière lui un silence pesant et les femmes de sa vie désorientées.
La mère avait depuis longtemps abandonné son travail en tant que directrice d'un musée d'art moderne, afin de prendre soin de leur fille, et n'étant malheureusement qu'une femme au foyer désormais, elle alla demander de l'aide à sa belle-famille. Elle ne se sentait pas capable, à l'époque, de subvenir aux besoins de la famille, d'un point de vue financier mais aussi d'un point de vue moral et sentimental, elle aussi au bout du rouleau, pour ne pas dire en pleine dépression. Elles furent accueillies chez le cousin de son père, un certain Nikolas, habitant en Russie occidentale, non loin de la frontière finlandaise. Lui et sa femme, Strida, y menaient une existence calme, ponctuée parfois par les visites sporadiques d'autres membres de la famille ou de ses proches.
Cela faisait déjà un an qu'elles vivaient au sein de la résidence du cousin Nikolas, mais un jour, peu de temps avant le dix-neuvième anniversaire de Calypso, un duo peu commun poussa les portes de la maison. Un vieil ami de Nikolas, prénommé Kravitz, ainsi que son propre fils, Robs, âgé de vingt-et-un an, étaient venus présenter leur respect, et demandèrent également l'autorisation de séjourner dans la demeure une petite semaine, avant de reprendre le chemin de la capitale, chose que le cousin Nikolas accepta.
Calypso eut presque un coup de foudre, le jeune homme faisant preuve d'une élégance discrète et son regard ne la laissa pas indifférente. C'est-à-dire que Robs était plutôt...charmant (https://i.pinimg.com/736x/d9/f2/d0/d9f2d05b41ac2e66b375053f1e2b5aea.jpg). Ses cheveux bruns mi-longs tombaient sur son visage, cachant ses sourcils un peu fournis, ses yeux foncés et sa bouche qui appelait avidement à des sourires et des baisers...Suite à cette rencontre, la demoiselle et l'éphèbe passèrent le plus clair de leur temps ensemble, à discuter de longs moments, se promener dans les couloirs anciens de la maison ou à dos de cheval sur les bois du domaine, échangeant des mots, des confidences, des sourires...Miss Wymfire trouvait Robs fascinant et que tous les deux avaient un certain nombre d'atomes crochus. Pour la première fois depuis longtemps, la demoiselle se sentait à l'aise avec quelqu'un, qui plus est avec une personne du sexe opposé et d'à peu près son âge. Dans l'esprit de la jeune femme, c'était comme si elle s'allongeait dans du coton, avec toute sorte de guilis dans le ventre.
Enfin, le grand jour arriva : celui de l'anniversaire de Calypso. Celui-ci tombait la veille du départ de Kravitz et Robs. Bien que triste de cette nouvelle, la jeune fille voulait profiter de cette dernière journée et soirée, en la compagnie de son nouvel ami Robs. Le damoiseau s'occupa de Calypso comme d'une véritable princesse, aux petits soins de bout en bout. Un souper des plus extravagants avait été organisé en son honneur, réunissant tout le monde autour d'une grande tablée bien fournie. Lorsque la nuit fut bien avancée, Robs invita Miss Wymfire à marcher un peu avec lui dans la demeure bien endormie. Se laissant porter par leurs pas, ils finirent presque naturellement devant la porte de chambre de Calypso. Là, il l'attrapa pour la porter dans ses bras, poussant doucement l'entrée sans se faire entendre de ses voisins, avant de la déposer sur le bord de son grand lit, tel un prince galant, puis prit place à ses côtés. Ainsi, dans ce nouveau refuge, ils commencèrent à se toucher timidement les mains, jusqu'à partager un regard profond qui disait pourtant beaucoup...Jusqu'à partager le tout premier baiser de la demoiselle. C'était aussi sensationnel qu'on lui avait raconté ! À sa grande surprise, Robs lui tendit un cadeau d'anniversaire : une magnifique chaîne fine ornée d'un crucifix en argent étincelant. D'un ton doux, il demanda à ce que Calypso pivote et se retourne pour qu'il le lui mettre. Il le plaça délicatement dans sa nuque, relevant ses cheveux blancs cendrés le temps de le lui accrocher sans abîmer sa chevelure soyeuse. Calypso ne put que le remercier rapidement, celui-ci venant lui chuchoter quelques mots à l'oreille dont elle ne comprenait pas un traître mot, puis il se pencha davantage jusqu'à déposer ses lèvres sur le cou de la jeune fille, et là...Le trou noir.
Lorsque Calypso reprit ses esprits, Robs avait disparu. À son réveil, elle n'était plus chez elle, ou plutôt chez le cousin Nikolas, mais plutôt perdue à l'entrée d'une grotte, quelque part au cœur d'un paysage glacé. La neige tombait au-dehors, le vent hurlait, mais étrangement, la demoiselle ne sentait guère la morsure du froid, même en étant si peu vêtue. Dans un instinct de survie, elle se passa les mains sur tout le corps, à la recherche de la moindre blessure, et ce qu'elle découvrit la prit au dépourvu : deux petites blessures dans son cou, dans un espacement tel qu'on pourrait croire à une morsure de quelque chose...Mais le seul souvenir qui lui vint à l'esprit était le baiser de Robs, avant de sombrer dans les ténèbres. C'était là, une mauvaise blague, n'est-ce pas ? Si elle ne ressentait pas la morsure du froid, n'était-ce pas justement parce qu'elle commençait à souffrir d'hypothermie ? Cette sensation de brûlure interne n'était-elle déjà pas la preuve de sa folie naissante, présente ? Allait-elle mourir ?
C'est l'irrépressible envie de boire qui la fit se relever difficilement, pourtant à bout de force. Une soif qui lui arrachait littéralement le fond de la gorge. C'est alors qu'elle comprit ce qu'elle était devenue, ce qui avait changé en elle lorsque, poussée par cette soif puissante, elle se jeta sur un renne perdu dans la neige tombante, un jeune qui passait par là. Son corps se mit à se mouvoir par un violent instinct. Le sang coulait à foison de sa bouche assoiffée, des crocs fortement pointues avaient transpercés la gorge du pauvre animal. Ce n'est qu'une fois rassasiée qu'elle comprit son terrible geste. L'horreur se lisait sur son visage. La bête inanimée, le sang qui rougissait la neige pourtant si pure...La panique la gagne, ainsi que le dégoût, puis une vive colère l'embrasa, prenant ses jambes à son cou comme elle le pouvait pour fuir cette scène, théâtre de sa nouvelle identité...
Après cette découverte, Calypso apprit à fuir à tout prix le soleil, ainsi que les gens. L'envie de boire leur sang était puissant, mais cette idée filait de fortes nausées à la demoiselle devenue immortelle. Il n'était plus question de rentrer à la maison, de peur de faire du mal au peu de proches qui lui restaient. Il n'était pas question de s'approcher de quelconques lieux civilisés, de peur de déraper...À force de fuite, elle fit la connaissance de personnes comme elle, du moins, de par leur nature de sang-froid, mais Calypso ne garda jamais les liens. Au contraire, elle comprenait qu'elle n'était pas comme les autres, à ne boire que du sang d'animaux, et plus petits ils étaient, mieux c'était, selon sa conscience. Elle apprit l'existence d'un autre monde, une autre Terre où des créatures toutes plus farfelues que les autres, vivaient simplement. Là-bas, personne ne la connaîtrait, personne ne la chercherait. Elle s'était alors promis une vie d'errance, de simplicité, à vivre dans l'ombre sans jamais s'approcher de qui que ce soit...
Autre :
En tant que vampire, Calypso se découvrira des dons qui seront inscrits ici en fonction des RP.
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Bienvenue à toi ^^
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Merci beaucoup ^^
*s'incline devant la jeune femme*
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benvenuto signorina =)
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Gracie Mile ^^
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Bienvenido ^^
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Bienvenue et validé ^^
Bon jeu ;)
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@Anéa: Merci ^^
@Marine: Je vous remercie infiniment Matriarche
*S'incline devant la jeune femme*
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Ré-bienvenue
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BIenvenu ^^
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Re-bienvenue dans l'asile de fou.
T'as essayé de t'échapper, d'où le "re".
Personne n'échappe à l'asile.
...
Personne.
* se fait sortir du topic par des gros bras avec une camisole de force *
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@ Ares et Kaely: Je vous remercie *S'incline devant les deux personnes*
@ Seishin: Oui, je suis folle, je l'admet mais je n'ai jamais tenté de m'enfuir :P