Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Dortoirs et douches => Discussion démarrée par: Bleiz le dimanche 10 octobre 2010, 15:02:45
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Bleiz quitta le gymnase en plein air, saori à sa suite. Il entra dans les couloir du lycée, complètement vide. Le concierge lui avait laissé les clefs à condition qu'il ferme derrière lui.
Suivez-moi je connais le chemin. Ce n'est pas la première fois que je m'entraine ici.
Il marchèrent un instant cote à cote, Bleiz en profitant pour admirer les formes de la belle saori cachées par sa robe d'été. Il arrivèrent assez vite devant l'entrée des douches.
Voilà. Vous pouvez m'attendre ici je ne serais pas long. Si jamais vous croisez quelqu'un même s'il y a peu de chance, vous lui expliquer la situation et au pire vous m'appellez.
Bleiz entra dans les vestiaires et déposa ses affaires sur le banc. Il enleva ses chaussures,son débardeur et son pantalon en dernier. Son membre toujours aussi tendue par le spectacle de la charmante jeune fille. Il se demandais jusqu'où elle irai mais il imaginai déjà tout ce qu'il pourrai faire avec un si joli corps et banda encore plus. Il ce dirigea vers les douches et commença à faire couler l'eau. Il se sentait tout de suite mieux, moins poisseux de transpiration. Et se détendais même si les images à répetitions dans sa tête ne l'aidèrent pas à ce détendre...là.
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Ne connaissant pas parfaitement les lieux, miss Kido suivit donc le jeune homme dans les méandres des différents couloirs. Marchant parfois à un pas derrière lui, elle en profitait pour jeter un coup d’œil au fessier de son compagnon. Il semblait bien ferme et une partie d’elle lui soufflait d’aller y passer sa main. Mais la jeune déesse s’abstint. Les règles de la bienséance s’appliquaient encore. Et puis, malgré les regards qu’il lui lançait, elle n’était pas tout à fait certaine de sa réaction.
Arrivés devant les douches, il lui demanda de l’attendre le temps pour lui de se doucher et de changer de vêtements. Elle acquiesça en souriant et le regarda alors qu’il franchissait les portes du vestiaire. Elle resta un instant à la porte. La jeune fille se remémorait la bosse du pantalon de Bleiz. Elle avait vraiment été tentée d’y toucher mais s’était retenue.
Cependant, elle mourrait d’envie de voir son corps. Oui, cela faisait vraiment longtemps, deux ans, qu’on ne l’avait pas touchée, donnée du plaisir et là, ça lui manquait plus que jamais.
*Et si j’allais le voir. Juste jeter un coup d’œil ! Juste voir son corps*
L’envie était trop forte et miss Kido franchit les portes battantes. Elle entendit l’eau couler et se dirigea vers l’origine du bruit. Elle passa une tête dans la salle de douche tout en se cachant derrière le mur carrelé. Elle le vit alors, dans sa plus complète nudité, le sexe en érection, l’eau coulant sur lui faisant ressortir sa musculature magnifique. Son corps ne put s’empêcher de réagir. Elle commençait à avoir chaud et son sexe mouillait horriblement. Ses joues rouges témoignaient de sa gêne alors que ses yeux bleus montraient toute l’envie qu’elle avait de cet homme.
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Bleiz commença à prendre du savon et à se frotter le corps. Il se frictionnait tranquillement quand son ouïe développé par une vie de traque et de nuit dans la nature lui fit entendre le bruit de la porte de la douche.
Il savait très bien qu'il n'y avait personne d'autre dans le lycée aujourd'hui. Ainsi donc la gentille miss Saori, avait décidé de venir jeter un coup d'œil ? Il avait fini par comprendre qu'une coquine ce cachait sous ce masque de bonne manière. Il allait voir jusqu'où ça allait.
Il sentit son sexe qui durcissait encore plus de ce savoir observé et il ce laissât aller à le prendre en main pour ce faire du bien. ça main gauche commença alors à faire de lent va-et-viens sur ses 18cm de chaire. Il c'était tourné juste assez pour qu'une personne guignant par la porte puisse voir ce qu'il faisait mais pas assez pour qu'il la vois et donc qu'elle comprenne qu'il savait qu'elle était là.
Il continua à ce faire plaisir un moment puis arrêta. Sans ce retourner il prit alors la parole.
Vous aimez ce que vous voyez mademoiselle Kido ? Vous savez que c'est vous la cause de cette excitation ?
Il ce retourna alors pour la regarder dans les yeux. Il s'approcha alors d'elle tout doucement, tout en lui parlant
Vous savez c'est plus fort que moi. De savoir qu'une aussi joli jeune femme m'observai, je n'ai pus m'empêcher de me faire du bien
Il s'arrêta à quelques centimètre d'elle, son sexe toujours en érection frôlant légèrement sa robe.
J'espère que je ne vous choque pas ?
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Le demoiselle le regardait toujours et le vit se saisir de son membre. Il se tourna de manière à ce qu’elle ne puisse pas bien voir ce qui se passait mais elle devinait. Il se masturbait c’était évident. Cette idée l’excita encore un peu plus et elle chercha à se dévisser le cou pour essayer de l’apercevoir mais rien n’y fit.
Mais toute à son observation, elle sursauta quand elle l’entendit l’interpeller. Miss Kido devint cramoisie mais ne bougea pas d’un pouce pour autant. Elle rougit encore plus, dans la mesure où cela était encore possible, quand il dit qu’elle était la seule et unique responsable de son état. Même si elle était n peu gênée, elle se sentait aussi flattée et sourit alors qu’il s’approchait d’elle, le sexe toujours au garde à vous. Elle s’écarta et se montra finalement totalement.
« J'espère que je ne vous choque pas ? »
La choquer ? Non, aucun risque. Après tout, chaque matin pendant plus d’un an, elle avait vu son majordome se branler devant elle avant de lui faire du bien par derrière. Alors non, il ne la choquait pas. Elle passait successivement des yeux de Bleiz à sa queue tendue. Son envie devenait de plus en plus forte.
« Non, non, y’a pas de mal. Je ne suis pas choquée. C’est normal ! »
Son regard plongea de nouveau vers le sexe masculin. Visiblement, elle lui faisait de l’effet, il ne serait donc pas contre si elle prenait un peu les devants. Sa verge était trop tentante et ça faisait si longtemps qu’elle n’en avait pas profité.
Sans une once d’hésitation, la jeune fille s’agenouilla sur le sol carrelé et se mit à doucement caresser le membre avec sa main fine. Puis sa langue vint donner quelques coups sur le gland lisse. Enfin, c’est toute sa bouche qui aspira la verge. Hummm… comme c’était bon. Son sexe tressaillait d’envie et mouillait terriblement son sous-vêtement à présent.
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Voilà quelque chose auquel Bleiz ne s'était pas attendu. Il avait cru devoir encore titiller un peu la jeune fille, mais elle s'était d'elle même mis à genoux pour entamer une caresse qui donna suite à une fellation des plus agréable.
Il la vus s'affairer avec douceur mais aussi avec passion. Cela devait faire longtemps qu'elle n'avais plus fait cela car elle semblait en manque. Il profita encore un instant de cette délicieuse fellation. Il observa se visage d'ange dans la luxure d'avoir un membre masculin en bouche. Comme il aimerai le recouvrir de sa semence.
Dites moi, si nous voulons sortir plus tard, il vaudrai mieux ne pas mouiller votre robe vous devriez l'enlever.
Il se recula pour l'admirer retirer ses vêtements et voir son corps de jeune filles. Il se demanda combien de temps il allait pouvoir ce retenir de prendre sauvagement cette petite coquine. Mais pour l'instant il s'appuya contre le mur de la douche pour etre plus à l'aise quand elle reviendrai vers lui
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Il la laissa faire un moment. A chaque seconde qui passait, elle se rappelait les moments auprès de son majordome qui lui disait comment faire, comment donner le plus de plaisir. Obéissante, elle avait appliqué chacun de ses conseils sur lui et maintenant sur Bleiz.
Elle s’attardait parfois sur le gland avant de donner de grands coups de langue tout le long de sa verge tendue. Elle ne laissait pas non plus de côté les bourses qu’elle savait très sensibles au toucher. Elle les léchait puis les gobait avant de revenir prendre le chibre dans sa bouche, le faisant aller le plus loin possible dans sa gorge. Un vrai bonheur pour elle.
Elle stoppa quand elle l’entendit lui conseiller d’enlever sa robe. Elle haussa les épaules. Oui pourquoi pas. Il pourrait ainsi lui donner du plaisir lui aussi. Son petit cul en frémissait déjà d’envie.
Miss Kido se releva et ôta rapidement ses chaussures, sa robe et ses sous-vêtements. Bleiz avait une vue totale de sa personne à présent. Les seins développés, tendus vers lui. Son ventre plat, ses jambes longues et fines. Il s’était appuyé au mur et attendait visiblement qu’elle revienne s’occuper de lui. Saori ne se fit pas prier et revint s’agenouiller devant lui pour reprendre ses activités buccales.
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Bleiz observa les formes avantageuses de la jeune fille ce dévoiler petit à petit devant lui. Il imaginais déjà le genre de chose qu'il pourrai faire avec cette poitrine, mais surtout avec une si jolie petit cul. Il repris la parole en oubliant le tutoiement.
Tu as vraiment un corps superbe Saori. Il donne envis de le voir de plus pret. Et surtout de le toucher.
Pour une fille si jeune, la demoiselle savait ce servir de sa bouche. Elle lui donnais un plaisir intense. Et bien que Bleiz avait un très bon contrôle de lui même, il savait qu'elle ne mettrai pas beaucoup de temps à le faire venir. Il lui caressa les chvx puis lui fit retirer son membre de sa bouche pour lever les yeux vers lui. Son visage avec les cheveux collés par l'eau semblait encore plus innocent. Ce qui rendais l'acte qu'elle faisait encore plus excitant
Montre moi comment tu me fait plaisir avec ta belle poitrine.
Il la regarda le masturber avec ses seins et se délecta de leur contact. Il aimait beaucoup cette manière de lui faire plaisir.
Oh oui c'est bon leche moi le bout en même temps.
Elle s'exécuta et chacun de ses coups de langue lui faisait l'effet de décharge électrique parcourant tout son corps. Il sentit son membre ce tendre encore plus, puis le plaisir monter en lui sachant qu'il ne pourrait le retarder bien longtemps
Oh saori tu me fait tellement du bien...je...je vais venir!
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La jeune déesse était ravie de faire plaisir au jeune homme. Cela lui faisait un bien fou. La situation était terriblement excitante. Personne n’imaginerait miss Kido faire ce genre de chose à un quasi inconnu dans les douches d’un lycée. Cela cassait l’image de petite fille rangée qu’on lui donnait habituellement. Aujourd’hui, elle voulait vivre comme les autres filles quitte à partir dans les extrêmes, comme en ce moment.
Elle accentuait ses mouvements de bouche et fit des allers et retours plus rapides et elle aspirait de manière intense la queue tendue de Bleiz. Obéissant à son désir, elle cala le membre entre ses deux globes de chairs aux pointes tendues. Ses mains fines et blanches vinrent tenir ses seins et elle se mit à caresser la verge avec force et rapidité. Sa langue rose pointa hors de sa bouche et alla donner de multiples coups de langue sur le gland rose foncé.
Saori se sentait bien et excitée au possible. Sa chatte tressaillait de plus en plus. La mouille coulait de ses grandes lèvres et inondait l’intérieure de ses cuisses pour finir par se mélanger à l’eau qui coulait sur son corps. Ses cheveux étaient trempés et collaient à son dos et à ses épaules.
La verge de Bleiz se tendait de plus en plus. Elle se doutait qu’il n’allait pas tarder à jouir sur elle et elle n’attendait que ça d’ailleurs. La bouche entrouverte, elle espérait bien obtenir quelques giclées laiteuses et ainsi savoir quel goût il avait.
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Qu'il était agréable de ce faire sucer par un tel visage d'ange.
Qu'il était excitant de la sentir à ce point excitée.
Qu'il était difficile de ce retenir de venir plus longtemps.
Et le fait de la voir la bouche ouverte comme attendant de recevoir sa dose, Bleiz ne put ce retenir plus longtemps et se laissa aller.
Mmmmmmmmmh c'est bon!
Il savoura avec délice chaque pulsion de plaisir remontant dans sa colonne vertébrale. observa le visage de Saori pour mieux contempler sa beautée.
C'est bien tu m'as donné beaucoup de plaisir Saori.
Il lui caressa les cheveux.
Maintenant qu'est ce qui te ferai plaisir ?
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Saori sentit la verge vibrer entre ses seins et la crème jaillit soudainement. Plusieurs jets arrivèrent dans sa bouche et elle se fit un grand plaisir en les avalant. Le goût était bon et lui rappelait le sperme qu'elle avalait deux ans plus tôt en guise de petit déjeuner.
Les sécrétions recouvrirent ses seins et sa gorge mais furent assez vite diluées par l'eau qui dégoulinait sur eux d'eux. Néanmoins, elle se mit en devoir de nettoyer le membre qui tressaillait encore un peu contre elle. Sa langue passa sur toute la longueur et élimina tout résidu de crème avant de se reculer et de sourire à Bleiz.
"Maintenant qu'est ce qui te ferai plaisir ?"
Elle réfléchit à peine une demi-seconde avant de se retourner et de se mettre à quatre pattes. Son envie était terrible. Sa petite chatte dégoulinait de cyprine. Pourtant ce n'est pas sa chatte qu'elle indiqua au jeune homme mais son petit trou qui frémissait.
"Prends-moi par là ! J'aime ça !"
Elle rougissait en disant ça mais indiqua avec ses doigts ce qu'elle voulait. Un de ses doigts vint d'enfoncer doucement dans son anus pour le dilater un peu, la faisant frémir intensément.
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Bleiz eus le bonheur de voir son sperme recouvrir le buste de cette décadente jeune fille ainsi que de la voir avaler ce qui était arrivé dans sa bouche. Elle le nettoya avec application ce qui permit à Bleiz de ne pas perdre trop de vigueur.
Mais le peu qui s'était ramolli ce redressa bien vite quand elle lui demanda de la sodomiser en disant qu'elle aimait ça.
Les apparences sont trompeuses dit le proverbe. Et bien il n'as jamais été autant dans le vrai qu'en cet instant. Cette jeune fille de bonne famille, bien sous tout rapport à première vue, demandais à un garçon qu'elle ne connaissait pas ce matin de l'enculer comme une salope.
Il s'approcha de derrière elle et la fit se redresser en la prenant par le cou pour que son dos soit plaqué à son torse. Il plaqua sa main gauche contre son fessier et commença à enfoncer doucement un doigt dans son cul tout en lui chuchotant à l'oreille.
Mais dit moi tu es bien coquine. Tu aime vraiment te faire enculer ? Et bien c'est une chance avec un cul comme le tiens. Je sens que toi et moi allons bien nous entendre
Il lui fit tourner la tête afin de pouvoir l'embrasser sauvagement tout en faisant des aller et venus à l'intérieur de son anus. Il descendis alors sa bouche vers sa nuque pour l'embrasser et la mordiller. Il enfonça alors un second doigt en elle.
Alors tu veux plus n'est ce pas ? tu veux quelquechose de plus imposant ? et bien tu vas l'avoir
Il retira ses doigts et se cambra légèrement afin de placer son sexe dans la bonne position.et commença alors à l'enfoncer tout doucement en elle prenant le temps de bien l'écarter.
Mmmmh c'est bon ça vas tout seul. On sent que ce n'est pas ta premiere fois. Tu a souvent été prise par là ?
Il commença alors à bouger en elle d'abord doucement, puis avec plus de force, s'enfonçant profondément à chaque fois qu'il venait afin de l'entendre gémire ?
Alors dit moi petite Saori ? Tu aime ce que je te fait ?
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Visiblement, le fait qu’elle lui demande de la prendre par derrière le ravi. Miss Kido avait craint de le choquer, voir de le répugner mais cela ne semblait pas à l’ordre du jour. S’il était surpris, il semblait quand même ravi.
Lorsqu’elle le vit s’approcher d’elle, son doigt se retira de son petit trou et attendit le bon vouloir du jeune homme qui l’attrapa et la plaqua contre lui, son dos épousant le torse musclé. Elle gémit lorsque le doigt masculin vint prendre la place que le sien venait de quitter. La sensation était merveilleuse pour elle, un vrai bonheur dont le souvenir remontait à si loin. Elle tourna la tête, obéissante et se laissa embrasser avec délice.
« Hummmm… oh oui… hummmmm… »
Ses gémissements s’amplifièrent quand un deuxième doigt vint rejoindre le premier, dilatant ses parois rectales et lui procurant du plaisir.
« Oui, oui, mets moi autre chose ! Quelque chose de plus gros… hummmm… oh oui vas-y… »
Les doigts enlevés, la queue imposante vint doucement s’introduire en elle la faisant frissonner de plaisir. Son vagin se contracta plusieurs fois d’impatience alors que sa mouille coulait de plus belle. Son petit cul accueillait avec bonheur le membre masculin.
« Oui, oui… hooooooooo… oui, j’ai souvent été prise comme ça… hummmmm… en fait, on m’a seulement prise comme ça… Putain c’est bon ! »
Le langage vulgaire n’était pas vraiment digne de l’héritière du grand Mitsumasa Kido mais elle s’en moquait bien. La vulgarité ne faisait que renforcer son plaisir. Tatsumi ne l’avait pas non plus ménagé de ce côté-là et au fond, cela lui faisait du bien et lui donnait du plaisir. Les gémissements qu’elle poussait prouvaient son plaisir et son envie. Sa petite chatte était bouillante.
« Oh oui… c’est si bon…. C’est même merveilleux… hooooo… oui, encore… vas-y… hummmmmm »
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Entendre des mots d'une tel vulgarité sortir de ce visage angélique était tout bonnement jouissif. Il sentait son membre comprimé dans cet étroit orifice. Mais Cela glissais malgré tout très facilement. Elle confirma sa demande d'une manière inattendue. En effet, la jeune fille n'avait jamais été prise que par là.
Attend ! Tu veux dire que personne ne t'as jamais pris par devant ? tu es encore vierge?
Une vierge de la chatte et non du cul, voilà qui était inhabituel. Elle devait avoir connu un sacré pervers pour n'avoir été prise que par le cul. Mais quand on voyais un cul comme le sien on ne s'en étonnait pas tellement. De savoir que son petit minou n'avais jamais encore connu d'homme rendis Bleiz fou de désir et le fit accélérer ses mouvements oubliant qu'il la prenait par un endroit possiblement douloureux car elle devait manifestement y être habituée.
Il se pencha alors sur elle, ce collant à son dos, et fit passer une main entre ses jambes pour commencer à lui caresser le clitoris tout en la pénétrant. Il approcha son visage du sien pour l'embrasser sur l'épaule, puis sur le cou, puis quand elle tourna son visage sur les lèvres. Il lui chuchota à l'oreil
Tu m'excite Saori. Ton petit cul est vraiment délicieux je n'aimerai jamais le quitter.
C'est pourtant ce qu'il fit en ce retirant...mais uniquement temporairement. Il la fit se mettre sur le tot et relever les jambes et le bassin suffisamment pour que ce soit son cul et non sa chatte qui soit présente devant lui. Il approcha à nouveau d'elle et retourna en elle. Il put ainsi l'enculer tout en la regardant dans les yeux.
Ton visage est si beau quand tu prend ton plaisir que je voulais le voir de plus pret
Il l'embrassa à nouveau, puis ses mains ce mirent à lui caresser la poitrine avec fermeté. Il pencha fortement sa nuque pour pouvoir embrasser et lécher ses deux appétissants tétons.
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Bleiz fut surpris de l’aveu de la jeune fille mais quoi de plus normale au fond. Tatsumi avait souvent été tenté de la déflorer mais il craignait que cela soit découvert sans compter sa crainte de mettre les dieux en colère. Après tout, Athéna était la déesse vierge du panthéon grec. Aussi s’était-il abstenu, se contentant de lui donner du plaisir par son joli petit cul.
Elle se mouvait contre lui, bougeant ses hanches au même rythme que les siennes. Le plaisir se diffusait dans tout son corps, faisant renaître des sensations oubliées. Elle gémissait sous les pénétrations anales qu’il lui imposait. Elle poussa un cri alors qu’il la défonçait plus violemment encore. La douleur était présente soudainement mais s’atténua tout aussi vite qu’elle était apparue.
Miss Kido adorait se faire baiser par son petit cul et son amant le faisait très bien. Elle adorait le sentir contre elle, en elle, entendre ses mots crus qui provoquaient de véritables décharges de plaisir. Elle cria une nouvelle fois quand il se mit à tripoter son clitoris, accroissant encore son plaisir.
« Pourquoi… pourquoi tu ?... »
La jeune déesse protesta quand il se retira d’elle mais elle comprit que ce n’était que pour mieux la prendre encore. Allongée sur le dos, les cuisses relevées et indécemment ouvertes pour lui. Son anus palpitait d’être repris. Ce qu’il fit sans attendre. Il fit de nouveau entrer sa queue dans son petit cul qui en demandait encore. Elle se cambra en sentant la bouche de son amant sur sa jeune et belle poitrine. Elle ne put alors s’empêcher de crier de plus belle.
« Ohhh… vas-y…. défonce moi le cul… j’adore ça, c’est si bon… hummmmm…. Oh oui…. Vas-y plus fort… »
Elle n’avait plus ni retenue, ni limite comme lorsqu’elle était avec son majordome. Miss Kido devenait une vraie petite putain affamée de sexe et de baise.
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Il était fou de désir en entendant ses cris de plaisir et ses encouragement. Son corps cambré de plaisir, sa poitrine bougeant au gré des pénétrations, sa peau transpirant sous l'effort, elle sombrait dans la débauche la plus totale et Bleiz l'y accompagnais volontiers
Oh t'en fait pas je vais bien en profiter de ton petit cul. ça ce voit que t'aime ça petite cochonne.
Il se redressa et se tint droit devant elle. Il la pris par les hanches et en même temps qu'il avançais son bassin, tirai le sien afin accélérer et d'intensifier ses pénétrations. L'anus de Saori était tellement dilaté que Bleiz pouvait retirer son membre et le remettre sans le moindre effort de sa part, ni la moindre résistance de la sienne
Alors tu aime ça ma petite Saori ? Tu aime te faire enculer par un homme qui était un inconnu il y a une heure ? Peut être que tu aimerai aussi que cet homme se déverse dans ton cul également ?
En effet Bleiz approchais du point de non retour. Le fait qu'il ai pus tenir aussi longtemps une situation aussi excitante était uniquement due à la fellation qu'elle lui avait faite précédemment. Il avait bien l'intention de terminer avec force et mettait tout ce qu'il avait dans ses derniers coups de reins. Chaque coup faisait de plus en plus monter le plaisir en lui, il ne pouvait plus s'arrêter
Mmmmmmh Saori je v...JE VIENS!!!.
Et dans un dernier coup il se répandis en elle.
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A priori le jeune homme appréciait fortement ce qui se passait et le fait de la sodomiser. Il y mettait beaucoup de force et de vigueur ce qui ravissait d’autant plus la jeune femme qui ne demandait pas mieux. Elle appréciait ça au-delà des mots et ses cris de plaisir ne faisaient que témoigner de son intense satisfaction.
« Oh oui… oui, oui… vas-y… hummmm… oh oui, j’adore me faire défoncer comme ça… tu… tu le fais si bien… hummmmm… oui… »
Il y allait de plus en plus intensément, encore plus violement. Heureusement que le petit cul de la demoiselle avait eu un bon entrainement avec son majordome sinon se serait de douleur qu’elle aurait hurlé mais ce n’était pas le cas. Ses intestins acceptaient sans problèmes la pénétration de son membre.
« Ohhh… je vais… je vais bientôt jouir…hummm… Tu me défonces si bien…Ohhh… »
A priori, lui aussi allait jouir. Elle n’attendait que ça. Miss Kido adorait être remplit. C’était d’ailleurs un des grands plaisirs de Tatsumi de se vider totalement en elle.
Les mouvements s’accélérèrent encore et la force fut extrême. Bleizh ne tiendrait pas longtemps à ce rythme et elle non plus d’ailleurs. Elle sentait le plaisir monter en flèche. Quand elle sentit l’homme, dans un ultime coup de rein, jouir, elle ne put réprimer son propre orgasme qui la secoua de partout.
« ARGHHHHHHHHHHHHHHHHHHH………. »
Le cri envahit les douches alors que ses muscles se contractaient. Ses sphincters se contractèrent contre la queue qui déversait son liquide en elle. Sa petite chatte se contracta aussi et déversa de vrais flots de cyprine presque comme une fontaine, coulant sur son cul, le membre de Bleizh et leurs cuisses.
« Oh… hummmmmmmmm… c’est si bon… »
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Il resta un instant comme cela profitant de la sensation de son membre serré par l'anus de la jeune fille. Chacune des saccades d'éjaculation lui fournissant un peu de plaisir en plus. Il finit par se retirer puis déverser les dernières gouttes sur les fesses de la jeune fille. Il s'allongea à coté d'elle contre le carrellage et la colla contre lui pour l'embrasser.
Et bien ma petite Saori je suis étonné par une fille comme toi. Je veux dire qu'une jeune fille de bonne famille, accepte la sodomie, réclame la sodomie, et ne connaisse même que ça ? J'avoue que j'aimerai bien savoir commet cela ce fait.
Il admira tout son corps et lui caressa le dos, puis les fesses. Il admirai ses courbes et cette beautés. Et bien qu'il ait déjà joui il savait qu'il en voudrai encore très vite. Il regarda aussi cette petite chatte. endroit encore inexploré et certainement délicieux.
Mmmmmmmmh tu es vraiment une coquine ma petite Saori. J'ai bien envi de profiter à nouveau de ton corps. Je crois même que j'aimerai...explorer ce charmant endroit
Il caressa alors l'entrecuisse encore trempé de saori avec délicatesse juste pour lui mettre l'eau à la bouche.
Mais pas ici. Des douches de lycées ne sont pas un endroit approprié pour le déflorage d'une jeune fille de qualité. Aurais tu un endroit qui te ferait plaisir ? sinon nous pourrions tous aussi bien aller chez moi.
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Encore sous le coup de la jouissance, la jeune fille de bonne fille, qui venait de se faire sodomiser comme une vraie chienne en chaleur, se laissa dorloter et caresser par Bleiz. Elle avait toujours aimé ces moments d’après l’amour où une certaine tendresse se faisait jour.
L’étonnement de Bleiz concernant ses plaisirs et ses envies la surprirent. N’ayant connu que ça, elle trouvait cela comme normal et était presque persuadée que tout le monde faisait bien ainsi. Elle sourit quand il lui dit vouloir encore profiter d’elle. Miss Kido était bien loin d’être contre. C’était la première fois depuis deux ans qu’elle avait un partenaire, elle n’avait aucune envie de le laisser partir comme ça surtout si lui en voulait encore.
Cependant, elle hésita quand il lui dit avoir envie de la déflorer. Non pas qu’elle n’en ait pas envie mais Tatsumi lui avait maintes fois répété qu’en tant que réincarnation de la déesse Athéna, elle devait rester la déesse vierge du départ. C’était quelque chose qui l’avait toujours profondément embêté. Son majordome n’étant pas là et étant donné que la paix régnait sur Terre, elle pouvait peut-être se faire un peu plaisir ! Après tout, elle était venue à Seikusu pour ça.
« Non, c’est vrai qu’il y mieux comme endroit ! Mais pour l’instant, je dois habiter au lycée, à l’internat et je ne suis pas certaine que se soit un excellent endroit non plus alors chez toi ça pourrait être très bien »
Elle tourna son visage de poupée vers lui et lui sourit avant de venir l’embrasser passionnément.
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Elle accepta de l'accompagner chez lui avant de l'embrasser. Le simple contact de ses lèvres le fit durcir à nouveau. Mais il devait ce retenir pour plus tard il avait l'intention de bien profiter de cette coquine.
Bien ! Rhabillons nous dans ce cas. Mon Môtel n'est pas loin
Il arrêta la douche et se dirigea vers sa serviette. Il se sécha vite puis s'approcha de Saori, qu'il enroula autour de la serviette avant de la frictionner avec force afin tout d'abord de la sécher mais également de pouvoir à nouveau toucher son corps. Une fois qu'il eus finis, il lui laissa le linge pour qu'elle puisse ce sécher les cheveux et il partit s'habiller.
Il mis un pantalon noir et une chemise gris foncé, puis mis sa veste par dessus. Il s'assit sur le banc du vestiaire et observa la petite Saori se sécher et se rhabiller
Si vous voulez bien me suivre damoiselle je vais vous amener dans mon modeste habitat
Il sortirent de l'école et marchèrent un moment. Bleiz la pris sous son bras durant le trajet jusqu'à ce qu'ils arrivent au petit Motel. Il Sortit sa clef et ouvris la porte de sa chambre la faisant entrer en premier. Il entra ensuite dans la pièce, une simple chambre de Motel, une petite télé devant un grand lit deux places, une petite salle de bain. Il retira ses chaussures et ce jeta sur Saori pour l'embrasser
Enfin arrivé. Je crois que j'aurais pus te prendre dans la rue.
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Saori lui sourit et acquiesça à sa proposition d’aller chez lui, au motel. Elle aurait pensé qu’il avait un appartement à lui mais une chambre d’hôtel, ça irait aussi. De toute façon, l’important c’était qu’ils soient ensemble et sans risque d’être dérangé.
Elle se releva, tout comme lui, et sortit des douches. Très attentionné, Bleiz se mit à doucement l’essuyer. C’était agréable. Trop peut-être, la jeune fille commençait de nouveau à avoir envie de lui. Cet homme était pire qu’un aphrodisiaque. Cette idée la fit sourire.
Une fois sèche, elle se rhabilla, tout comme lui, des seuls vêtements qu’elle portait un peu avant, sa robe légère, ses sous-vêtements blancs et ses jolies ballerines. Une fois prête, ils sortirent du bâtiment. Puis ce fut le lycée, lui-même, qu’ils laissèrent derrière eux. Se tenant l’un contre l’autre, comme des amoureux, le jeune homme la mena jusqu’à sa chambre de motel. Il s’effaça et la laissa entrer. La chambre était semblable à n’importe quelle chambre d’hôtel. Le seul fait intéressant était que le lit était à eux places.
Sans lui laisser le temps de continuer son inspection, Bleiz l’attrapa pour l’embrasser passionnément.
« Enfin arrivé. Je crois que j'aurais pus te prendre dans la rue »
La jeune déesse se mit à rire, les joues rouges.
« Ah oui ? Eh bien, tu aurais peut-être dû ! »
Le sourire coquin, elle se laissa glisser au sol et défit presque violemment la braguette pour en sortit le sexe de son compagnon. Sans lui laisser le temps de comprendre, elle se mit à la sucer avec passion et une envie terrible. Sa mouille trempait déjà complètement sa culotte. Son envie de lui était terrible.
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