Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Le parc et son sous-bois => Discussion démarrée par: Anastasia Baranov le mercredi 15 septembre 2010, 13:23:35
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Anastasia venais d'arriver elle décida donc d'aller voir au alentour ce qu'il pouvait y avoir à faire d'intéressant. Malheureusement elle ne trouva rien qui puisse susciter son intérêt. Les gens n'était pas expressif il semblait tous obnubiler par le travail. Elle marcha longtemps avant de tombé sur le bois qui est en périphérie de la ville elle décida d'aller y faire un tour, elle y trouverait peut être un animal à tuer, ou encor faire quelque tire pour tué son ennuie.
Cependant elle préférait rentrer ou personne ne pourrait la voir. Elle n'avait du tout envie d'être déranger par des curieux. Elle s'enfonça donc dans la forêt qui devenait de plus en plus dense. Au bout de 15min de marche elle tomba sur des cadavres de bouteille. Elle les posa sur n tronc pourris afin de perfectionné son tire. Elle les explosa toute ! Elle fut très satisfaite elle n’avait pas perdu la main !
La nuit commençais à tombé il était grand temps rentré. Malheureusement elle ne trouvait plus son chemin. Elle marcha 1heure, 2heure avant de gémir.
"je suiiiissss perdue!!!!!"
Elle commença à avoir peur la seul chose qui la rassurait c'était d'avoir ses armes sur elle. il faisait complètement nuit maintenant Anastasia était gelée, elle s'assit par terre en espérant que quelqu'un la trouverait. Mais soudain des bruits dans les buissons se firent entendre
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- On est tous perdu.
Maxence sortit des fourrés. Sa silhouette dissimulé dans l'obscurité. Il n'y avait que le bout rougeoyant de sa cigarette pour jeter une lueur écarlate sur son visage,, et laisser apercevoir des yeux luisant, comme qu'ils irradiaient leur propre lumière.
Il inspira longuement et fit ressortir la fumée en deux profonds volutes par ses narines. On aurait pu croire à quelque bête échappé de l'enfer.
Sa voix profonde et grave semblait venir de chaque arbre aux alentours.
- On tourne en rond toute notre vie pour finir égaré dans la foret. "Au milieu du chemin de la Vie, ayant quitté le chemin droit, je me trouvais dans une forêt obscure ". C'est de Dante. le premier chant de l'Enfer. Tu connais ?
Maxence ne bougeait pas. Il se contentais de regarder la jeune fille, sans pudeur, mais sans convoitise dans le regard. Il la regardait comme un morceau de viande. Depuis qu'il était devenu Lycan, il les regardait toutes ainsi. Il regardait la forme de ses seins moulés dans son habit; Ses jambes. Ses lèvres.
Il l'avait pisté à l'odeur.
- Et tu as eu beau être perdue, tu as trouvée ma petite niche secrète malgré tout. Je t'ai entendu éclater mes bouteilles. Joli carton. Neuf coups de feu, et neuf débris de verre pulvérisés.
Il mit la main dans la poche, et sorti une poignée de petits objets brillants.
- Tu as violée mon territoire... et tu as oubliée quelque chose.
Il jeta en l'air cette poignée, qui se révéla être une pluie étincelante de douilles, retombant sur la jeune fille.
Il leva l'autre main, qui empoignait son .45, et fit feu.
Une des douilles jaillit dans une gerbe d'étincelle très haut dans le ciel noir, la détonation du pistolet ne put recouvrir le tintement de cloche cristallin que produisit sa balle en atteignant sa cible.
De l'autre main, il attrapa au vol la douille encore brulante éjectée de son propre chargeur et la garda en main, jusqu'à ce qu'une fine fumerolle de chaire grillée s'échappe d'entre ses phalanges.
- Ne laisse pas de trace quand tu tires.
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quand l'homme parla Anastasia sursauta, elle ne savait pas d'où venais cette voix, une voix mystèrieuse et froide, c'était peu être une ambuscade. elle vit alors une petite lueur dans l'obscurité c'était une cigarette, puis un visage, un homme assez jeune avec des yeux perçant. Anastasia avait mauvais préssentiment ce type ne lui inspirait pas confiance. elle sera fort son arme de sa main, on ne sait jamais. elle ne disait rien ce contentant de le regarder. puis l'homme se mit à lui cité Dante, pourquoi parlait-il de ça dans une telle situation au lieu de l'aider? il se taisa à nouveau Anastasia sentie qu'il l'a fixait. d'un regard vide sans désir ni convoitise ce qui était plutôt inhabituel. elle se dit:
*cet homme est fou*
tout à coup l'homme parlait des bouteilles dans lesquel elle avait tiré c'était les siennes
*merde encore des problèmes*
elle voulu s'excuser et partir au plus vite loin de lui mais il continua. apparemment ce terrain était occupé. l'homme sortie les douilles d'Anastasia de sa poche et les laissèrent tombées sur elle. il sorti à son tour une arme pour tiré. cette fois ce s'en était trop! Avec toute l'audace qu'on lui connait elle s'approcha de lui plutôt énervée.
"écoutez je suis désolé si j'ai empiété sur votre terrain, je ne savais pas du tout qu'il était à quelqu'un désolé aussi pour vos bouteilles, mais de quel droit osez-vous laisser tomber des douille sur moi?! vous n'avez donc aucun respect!!
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Maxence se pencha vers la jeune fille, pour poser son visage au même niveau que le sien. La fumée de sa cigarette formait un voile entre leurs yeux.
- Je n'ai aucun respect pour les gamines font comme chez eux sur mon territoire, aussi douées soient-elles avec une arme. Du respect, j'en ai pour ça.
Il brandit son arme, et ouvrit sa main et montra sa douille. La paume portait un parque rouge et cylindrique de brulure.
- Et toi aussi tu devrais les respecter, ces douilles. Et moi qui suis venu te les rapporter. Mais peut-être que tu préfère respecter ceci ?
Il mit la cartouche vide dans sa poche, et en ressorti sa plaque de flic qu'il mit devant les yeux de la jeune fille.
- Je veux voir tes papiers. Carte d'identité, adresse, et et ton arme par terre en attendant de voir ton permis de port d'arme. Tout de suite.
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Anastasia examina la plaque du policer. un flic, il ne manquais plus que sa. de plus cette homme ne semblais pas facile à amadoué. Comment devait-elle faire pour réussir à se le mettre dans la poche? faire la douce et fragile demoiselle en détresse n'aurait pas fonctionné alors mieux valais joué carte sur table. elle sourrit.
"et tu pense sincèrement m'impressionné avec ta plaque? monsieur le policier"
elle se retourna et riait, ce policier l'amusait beaucoup. il ressmeblait plutôt à un mafieux de sa famille.
"pour ce qui est des armes, ne t'en fait pas pour elles je les respect bien plus que certaines personnes vivantes"
elle se retourna vers lui toujours aussi amusé pris sa plaque et la caressa doucement.
"pour ce qui est du permis de port d'arme sa va être difficile de me le procuré, cependant tu ne peut pas m'arrêté sinon je pense que ta vie ne durera pas bien longtemps. j'aime bien le flic que tu fait tu es très amusant alors prend sa pour un conseil ma famille est très dangereuse alors évite quoi que ce soit qui pourrait te m'être en danger"
elle s'écarta de lui toujours avec la plaque et toujours le sourire au lèvre
"alors qu'est ce qu'on fait maitenant monsieur le policier?
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Pour toute réponse, Maxence agrippa le poignet de la jeune fille et l'attira violemment dos contre lui, avant de la maintenir d'un bras au travers de sa poitrine. Son avant-bras vint se caler idéalement entre ses deux seins.
- Hann... Intéressant ça.. La dangereuse petite fille d'une famille de mafieux... Alors j'imagine que le fait de poser la main sur toi m'a déjà condamné à mort, hum ?...
Maxence murmurait doucement à l'oreille de la jeune fille. Il s'enivrait de son parfum qui l'avait guidé jusqu'à elle.
- Alors, puisque je suis déjà mort, autant que ça en vaille la peine...
Une de ses mains vint saisir un sein et le peloter fermement. L'autre se referma doucement sur sa gorge.
- Sache que je suis légèrement... particulier moi aussi... quand à ce que nous allons faire maintenant, c'est simple... Tu as violée mon territoire... Il faut payer pour cela maintenant... recevoir la monnaie de ta pièce...
Il inspira longuement dans le cou de la jeune fille, comme un loup flairant sa proie... la lécha jusqu'à l'oreille
- Saches qu'ici... c'est moi qui suis dangereux...
Et lui lui mordit le cou fermement
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Anastasia fut surprise d'une telle force qu'elle lui coupa littéralement le souffle. elle qui pensait que ses menaces allaient être écoutées, elle s'était bien trompée, elle n'avais fait que l'enervé encore plus elle se retrouvais maintenant toute contre lui, elle pouvait sentir son corps ferme et musclé. elle ne pouvait pas voir son visage mais elle sentait une grande agitation dans le corps de cet homme. Lorsqu'elle sentie son bras entre ses sein et elle sut à cette instant qu'il ne ferait pas que l'emmené au poste. et lorsqu'il lui murmura ses mots à son oreille un frisson lui parcouru le corps. Elle avait peur bien sur mais autre chose dans la situation l'excitait beaucoup. Pourtant elle repris ses espris et commença à brandir son arme. Malheureusement elle l'a lacha immédiatement lorsque celui-ci commença à lui peloter le sein. elle gémit malgrès elle.
"hummm.....lache-moi ou tu es un homme mort!"
cette homme n'avait définitevement pas peur des représailles de la famille de la jeune fille. Elle n'était vraiment pas tombé sur la bonne personne. cet homme était dangereux cependant il lui était impossible de se débattre. toute en continuant à la peloter, l'homme inspira dans son cou elle y ressentie encore plus de frissons, puis commença à lui lécher le cou jusqu'au oreille.sa langue était bouillante! son coeur commaça à battre tellement vite qu'il devait certainement le sentir. puis d'un cou elle sentie une vive douleur dans son cou. il l'a mordait!! pourant il lui était impossible de crier la seul chose qui pouvait sortir de sa bouche était des petits gémissement
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Sa peau était fine, tendre, et son gout enivrait Maxence. Il la mordit un long moment, en secouant doucement la tête pour en accentuer la morsure. Il sentait sous sa langue les veines de la jeune fille palpiter. Enfin, il se retira, et vit avec satisfaction la trace de ses dents dans la chaire, avec dans le creux inférieur de fines perles de sang qui se rassemblèrent pour former une légère coulure.
Il sourit, et lécha avidement ce sang, collant ses lèvres et aspirant pour en ouvrir la blessure.
Se faisant, il entendu la jeune fille gémir entre ses bras. Elle aimait ce genre de traitement... Sa main qui pétrissait son sein senti bientôt dans sa paume la pointe de ton téton se durcir...
- Alors ?... moi je suis déjà un homme mort.. Mais toi.. tiens tu vraiment à ce que je te lâche ?...
Disant cela, il prit les deux seins de la jeune fille en main, et les caressa de façon obscène et insistante, les compressant, les soulevant, tandis que ses doigts harcelaient sans relâche leur pointe...
Son bassin plaqué contre les fesses de la jeune fille commença a onduler... Il se sentait durcir lentement contre le cul tendre de sa proie...
Il attrapa la chevelure de la jeune fille, lui tira le visage en arrière, et vint violer sa bouche de sa langue.
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elle sentie les dents pénétré dans son cou mais la douleur était atténuer par le plaisir qu'elle prenait pendant qu'il lui pelotait la poitrine.lorsqu'il sortie ses cros de cou elle sentie le sang coulé, elle se ressaisit un peu. elle allé se baisser pour récupéré son arme. Mais avant qu'elle n'est eu le temps de le faire. il la lécha pour remonté jusqu'a sa blessure pour la sucée. sa respiration s'accélérait de plus en plus et elle sentie son téton durcir petit à petit. Elle éssayait de lutter contre se désiré qui s'emparait d'elle doucement, mais sa devenait de plus en plus difficile. lorsqu'il lui posa cette question elle ne répondit pas, bien trop fière pour s'admettre si facilement faible devant lui. en guise réponse elle lui prit sa main pour lui sucé ses doigts.
à ce geste le jeune homme pris sa poitrine de ses 2 mains et la caressa avec plus d'insisitance. à ce momment là, elle n'avait plus du tout froid. son corps bouillonnait entre ses mains toutes aussi chaudes. jamais un homme ne l'avait pris avec une telle violence. Cette sensation était toute nouvelle, habituellement les hommes était très doux avec elle, même des fois méfiant surment à cause des pression de sa famille. Et cette façon à lui d'être aussi violent sans avoir peur des concéquence était tellement excitante. mais elle n'était toujours pas prête à l'admettre.
"haaahumm..... non...."
lentement elle sentie une bosse par dessu le patalon du jeune homme. tout à coup il l'attrapa pour l'embrasser. ce baisé était si agressif si chaud et violent mais en même temps doux et déliceux. elle se retourna doucement et commença à lui carresser l'entre-jambre.
"mais qui es-tu?"
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- Héhéhéhé... tu es bien fière comme fille... j'ai l'impression qu'il va falloir t'apprendre l'humilité...
Pourtant elle avait commencé a se laisser aller, cette jeune fille... elle s'était mise à caresser sa braguette...
- Qui je suis ?... Tu me menace, et ensuite tu veux savoir mon nom... Hahahaha... Mais ça se mérite ça, ma petite... si tu tiens absolument ç me nommer, appelle moi "Monsieur l'agent...".. Et si tu te débrouille bien, tu auras peut-être l'honneur de connaitre mon nom...
Et pour affirmer ses dires, il lui saisit le cou de ses deux mains et explora sa bouche d'une langue bouillante, tout en savourant ses caresses sur son entrejambe.
- Humm... Continue... lui dit -il d'une voix rauque entre deux baisers profonds...
Il avait bien vu ses tentatives pour récupérer l'arme... elle était maintenant par terre à leur pieds... Et il cru bien sentir qu'elle fléchissait des genoux.. pour tenter encore une fois de le récupérer ?...
- Laisse ce Putain de FLINGUE ! Lui cria-t-il alors avant de la soulever de moitié par les hanches et de venir la jeter violemment contre un arbre derrière lui, et de la coincer avec son propre corps.... Va-t-il falloir que je te menotte pour que tu te tienne tranquille ?
Il enfoui ses mains sous sa robe sans cérémonie, et vint saisir les deux globes tendre de ses fesses entre ses mains, tandis qu'il lui écartait les cuisses de ses genoux et venait se caler entre, sa braguette gonflée tout contre son intimité... A moitiés soulevé contre lui, les pieds de la jeune fille ne touchaient plus terre que par les orteils.
- Si tu veux jouer avec un flingue, continue de t'occuper de celui que j'ai là, dit il en mettant un coup de bassin pour bien lui faire sentir la chaire ferme de sa queue qui enflait dans son pantalon...
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l'ambiance était de plus en plus fièvreuse et on sentait chez l'un comme chez l'autre l'excitation monté petit à petit. malheureusement pour elle il ne voulait pas lui donner son nom. ce qui était plutôt frustrant car en bonne petite héritière d'une famille fortuné elle avait toujours eu ce qu'elle voulait. mais bon le jeu en valais la peine. toute en l'embrassant elle commença à déboutonné son pantalon. elle voulais le caresser vraiment. elle voyait à son visage qu'il commençait à prendre du plaisir lui aussi. quant à elle elle ne devait pas se laissé envahir et tenta une ultime fois de récupéré son arme. pas de chance il s'en apperçut immédiatemment. et la jeta contre un arbre en criant. cette foi-ci elle eu véritablement peur.
"des menottes c'est hors de question et puis..."
mais avant qu'elle n'est eu le temps de finir sa phrase il était déja sur elle les mains dans sa robe. lui écartant les jambe. elle se débattait, mais elle le désirait tellement en même temps. elle le sentie contre elle. leur deux sexe l'un contre l'autre, celui du policer près à sortie gonflé et le sien s'humidifiant doucement. à son tour elle l'embrassa violemment ce qui ne semblait pas lui déplaire du tout. elle mis sa main dans son caleàçon et caressa son sexe en faisant des va et viens avec ses mains brulante.
"monsieur l'agent aime?"
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- Hannn... Oui... Enfin tu deviens coopérative...
Maxence savoura les caresses de la jeune fille sur sa queue dressée... Ses veines qui palpitaient dans ses paumes...
Tout à son plaisir, il tira brusquement sur la bretelle de sa robe, la cassant net et dévoilant un beau sein pâle orné d'une belle cerise rouge et ferme... Il se penchant et lapa avidement... Pendant ce temps, ses mains virent chercher ce cocon chaud qu'il avait sentit a travers sa braguette... le fin tissu d'une culotte qu'il écarta par ses bords...
Elle était toute humide, et sa main la massant fermement produisait d'agréables bruits de succion...
Il enfourna son majeur, provocateur, explorant sa cavité... caressant les parois de son intimité sans pudeur...
- Humm... Tu aimes ça... Petite salope... tu aimes l'idée que tu vas te faire baiser debout contre un arbre par un flic... Comme une pute trainant dans les bois...
un second doigt vint bientôt rejoindre son majeur... puis un troisième.... Il la fourrait longuement de ses mains, sentant ses muscles internes jouer sur ses phalanges...
il les crocheta en elle, et tira, la souleva presque par son sexe, en tiraillant ses chaires intimes...
- Explore bien ma queue... regarde la bien... Parce qu'après je vais te la fourrer dedans...
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il la caressait elle maintenant. devant de telles caresses elle ne pouvait plus résister il allait la prendre ici maintenant contre cette arbre à moitié pourris. ses caresses étaient magnifique l'homme était vraisemblablement très expérimenté. doucement elle sentie un liquide chaud coulé d'elle. elle se sentai honteuse de mouillé comme sa. petit à petit il mettait plus de doigts ce qui la fit gémir plus fort encore. la seule chose qui la dérangeait était sa façon de parler. Elle aimait la violence de ces acts mais pas de ses mots. ces insultes étaient pour elle assez douloureuse à entendre. elle essayé de s'exprimé elle le fit mais avec difficulté entre deux gémissements. elle lui prit le visage avec ses mains brûlante et le regardait. les yeux vague la respiration toujour haletante de désire
"hanhannn ...t..tu n'aime pas les... femmes? cette violence....tu...hummm
mais impossible pour elle de continuer. ses doigt continuait encore se promennait. il lui était donc impossible de faire de vrai phrase construite. elle l'embrassa de nouveau fougeusement préférant avoir sa langue dans sa bouche que de la laissé sortie d'aussi énorme vulgarité tout en continuant de lui carssaer le sexe mais cette fois de plus en plus vite.
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"hanhannn ...t..tu n'aime pas les... femmes? cette violence....tu...hummm"
Il la fit taire d'une brusque vrille de ses doigts dans son intimité. La bouche entrouverte de cette fille qui laissait échapper ses gémissements l'obsédait. Il l'embrassa profondément, étouffant ses gémissements qui restèrent prisonnières de sa gorge. Il léchait ses lèvres, les mordillaient, suçait sa langue, la harcelant par le haut et le bas.
Il cessa son baiser. Un mince fil de salive le reliait à elle.
- Les femmes.. Si.. j'aime les femmes.. Tu vas voir...
Il enleva ses doigts de son intimité, enfonça ses pouces souillés de mouille dans la bouche de la jeune fille, lui écartant les lèvres et dévoilant ses dents qu'il lécha.
Puis il positionna son gros gland ferme à l'entrée du vagin de celle-ci, la saisit par les fesses, écartant bien ses cuisses de chaque coté de ses genoux, et se redressa brusquement, donnant un grand coup de rein qui la souleva a demi de terre, et s'enfonça d'un coup en elle jusqu'à la garde, sans cesser de la regarder dans les yeux, dans un grognement de plaisir animal...
Il retint sa respiration quelques secondes sous le coup du plaisir qui le submergeait alors, tandis que sa queue se fichait idéalement au fond de la jeune fille.
- Haaannn.. Putain ouii... Comme ça.. c'est comme ça que j'aime les femmes...
Il sorti d'elle, et s'enfournant à nouveau au fond d'elle, savourant ses chaires intimes qui s'écartaient au passage de sa queue... Sauvagement...
Il la pénétra ainsi, vicieusement, à longs coups secs, brusques et amples, sentant cogner son gland tout au fond d'elle à chaque fois, tout en continuant de lui parler d'une fois rauque, haché par les coups de pillon qu'il lui assenait. Il sentait sa mouille couler sur ses bourses.
- Han ! ... c'est.. c'est comme ça.. Comme ça que je t'aime.. Han...
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la violence de des gestes devenait délicieusement insupportable et elle gémissait de plus en plus fort lorsqu'il s'empara de sa bouche pour qu'elle cesse de gémir elle sentait sa langue tournouillé indécement en elle. lorsqu'il lui mis après les doigts dans sa bouche elle put gouté le liquide chaud qui sortait de son intimité. lorsqu'il commença à la pénétré elle sentie d'abord une vive douleur. elle s'agrippa à lui fortement et étouffa son cris dans la chemise du jeune homme. les accoups qu'il donnait était à chaque fois plus agréable. Quel plaisir!! c'était donc comme sa qu'il l'aimait. Cependant Anastasia ne touchait le policier qu'a traver ces vêtements, elle voulait elle aussi gouter à son corp, qu'il partage sa chaire. elle commença à lui déboutonné sa chemise. il était maintenant torse nu. et tout en continuant à se donner elle lui elle commença à lui embrasser le torse, le léché.
"hannn.....tu es délicieux!"
la positon dans laquellle ils étaient lui procurait certe beaucoup de plaisir mais était pour le moins inconfortable. elle mis un violent coup de rein et les deux jeune gens se retrouvaient à présent allongé au sol. elle était sur lui et commençai ces va et viens qui ressemblé à un langoureuse danse.
"moi c'est comme sa que je t'aime...hummmm
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La sueur de Maxence perlait sur son torse, suivant le long sillon de ses abdos jusqu'à son nombril. Des gouttes de sueur restaient prisonnières dans les poils qui auréolait ses mamelons. Il laisse volontiers la jeune fille se rassasier contre son torse, tandis que son bassin continuait son mouvement inexorable.
Quand elle le coucha et le chevaucha, il ralenti sensiblement la vitesse, préfèrent apprécier maintenant chaque aspérité de son vagin s'engorgeant consciencieusement de sa queue...
- moi c'est comme sa que je t'aime...hummmm
- Huumm.. Profite en bien alors...
Il lui saisit les fesses et les pelota sans pudeur, l'aidant à s'élever et s'abaisser sur son sexe, le faisait ressortir presque jusqu'au gland,e t pesant à nouveau afin de s'enfiler chaque centimètre jusqu'à la garde. Il la regardait s'empaler sur lui un détachement vicieux, l'observant en détail laisser tomber sa gène, son "respect", pour coulisser le mieux possible sur cette grosse tige de chaire, luisante de cyprine.
Maxence attrapa la nuque de la jeune fille d'une main, l'amenant contre lui et l'embrassant à nouveau.
- Alors.. qu'est ce qu'elle penserait, ta fameuse famille, à te voir comme ça... hum ?
Il lui claqua la fesse, avant de l'embrasser à nouveau violemment. Puis il caressa un de ses sein, tandis que l'autre imprimait un mouvement giratoire à ses hanches.
- Comme ça.. Ondule bien des hanches... fait moi sentir toute ta technique ma belle...
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elle pouvais voir le plaisir dans le regard du jeune. ce qui la satisfaisait énormément. bientot elle pouvait sentir ses mains peloter ses fesse, le plaisir ne faisait qu'augmenté. Elle pouvait senir son pénis entrè plus profond en elle grâce à l'aide du policier. parfois elle pouvais même voir son liquide sur le sexe du jeune homme, magnifique. ses baisers étaient toujours plus fous, ses caresses toujours toujours fortes. leur deux corps étaient maintenant à l'unisson! lorsqu'il lui demanda comment sa famille réagirrait si elle sa voyait dans un telle situation. elle ne répondit rien évidemment elle tuerait le jeune homme sur place, mais elle ne préférait pas y penser. pourtant un moment, tandit qu'il caressait langoureusement sa pointrine, son mouvement se ralentie petit à petit, elle s'arrêta et sourrit. elle changeat de position,les rôles étaient inverser, il était maintenant sur elle. Elle l'entoura de ses bras et l'embrassa, puis elle lui murmura à l'oreille en souriant.
"ma famille... Qelle famille?
elle le regardait fixement, elle le désirait tellement qu'elle voulai lui appartenir totalement à présent. Jamais elle n'avait fait l'amour de cette façon...et elle en voulait encor plus.
"encor..."
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- Laisse tomber, c'est.. Hann.. c'est pas important...
Ses coups de reins se faisaient plus fluides, abandonnant la rudesse de pénétrations sèches pour le travail continue de sa chaire dans l'intimité de la jeune fille... Il se tenait en appuie sur ses mains, bras tendis, son bassin faisant tout le travail. Ses abdominaux se contractaient et se détachaient en cadence au dessus du ventre de la jeune fille. Des perles de sueur gouttaient sur elle.
c'était tellement bon...
Il saisit les cuisses de la jeune fille, lui coinça les genoux dans le creux de ses coups, les écrasant contre ses seins, et dévoilant ainsi son bassin et cette belle fente rosée qu'il pénétrait avec délice.
Il la travaillant longuement ainsi, dans un mélange délicieux de râles, de gémissements, de respirations hachées... Dans le bruit humide de leurs sexes s'unissant.
dans une inspiration subite, il la retourna, la mettant à quatre patte; Il prit sa cravate et en fin un bandeau sur les yeux de la jeune fille. Puis il recommença à la besogner, caressant ses cuisses, ses fesses, son dos... dos qu'il griffait parfois de son pouce... Ses mains malaxant ses épaules.... Sa nuque... Saisissant ses seins sou elle, tandis qu'il lui murmurait d'une fois chaude...
- concentre toi bien sur les sensations... Oublie ce que tu es... qui je suis... laisse exploser l'animal en toi... et en moi...
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il était sur elle. Elle pouvait sentir que ses mouvements étaient beaucoups moins brusques. Elle sentait bien que le jeune y mettait tout son être il avait l'air si concentré, il transpirait tellement. lorsqu'il lui écarta les cuisses et les écrasa contre sa poitrine il se mit le plus pronfédément possible en elle. leur gémissements à eux deux ,lui rauque et grave digne d'un animal sauvage et elle plus aigue plus doux comme un petit chaton s'harmonisait telle une merveilleuse mélodie.
"hummmm..... c'est si bon........."
lorsqu'il l'a prit en levrette et lui mit sa cravate autour des yeux, elle fut un peu surprise et destabilisé. elle ne voyait plus rien: elle sentait simplement ses mais la caresser, elle sentait juste qu'il était en elle. elle sentait à présent les chose d'une toute autre manière.
"- concentre toi bien sur les sensations... Oublie ce que tu es... qui je suis... laisse exploser l'animal en toi... et en moi... "
"hann....... l'animal?...."
elle ne comprit pas toute suite ce que le jeune homme voulait dire. Mais petit à petit elle se fit à sa situation d'aveugle temporaire. maintenant qu'elle était dépourvu de sa vue, son sens du toucher était décupler et de la même manière son plaisr. doucement elle commença à être plus à l'aise elle se cambra petit à petit pour donné plus de plaisir à son partenaire, elle se mouvait comme un petit chat. elle était taquine désormais.
"huuuummm...Mioaouuuu... j'espère que monsieur le policier aime les petite chatte..."