♫ ♥ ♂ COME AND MEET OUR NEW LITTLE SLAVE...
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- NOM|PRÉNOM|SURNOM : L'identité du diablotin lui a été octroyée par son créateur... C'est lui seul qui choisit de lui attribuer ou non un prénom, et en l'occurrence, ce fut Juanito. Délicieuse note hispanique, ne trouvez-vous pas ? ♥
ÂGE|SEXE : Cela ne doit faire que quelques mois, que Juanito vagabonde sur Terra. Il conserve cependant et invariablement l'apparence d'un jouvenceau d'à peine seize ou dix sept ans. Ses traits ronds et enfantins sont donc éternels, et son créateur pourra en jouir autant qu'il lui plaira ~
RACE : Nous dirons créature ? Juanito est en fait une sorte de diablotin, très singulier cependant. Il est en effet engendré par une créature faible, en mal d'amour, ou plutôt d'un compagnon sexuel... Si le désespoir passionnel d'une personne ici bas atteint son paroxysme, de sa frustration naîtra un être "parfait", du moins correspondant à son plus profond fantasme, qui saura le satisfaire et lui accorder la saveur des plaisirs charnels... Juanito est donc l'incarnation du désir même. Mais lorsqu'il naît, et se voit attribué de l'apparence voulue par son créateur, il se verra imposer quelques contraintes... La première étant d'éternellement conserver son apparence, et la seconde, de se faire l'esclave de celui qui lui a donné vie... Et ce, jusqu'à ce que son "père" décide de se passer de ses services.
ORIENTATION SEXUELLE : Il prendra, qu'il le veuille ou non, les penchants de son propriétaire. Dans le cas de Juanito, ce fut bisexuel, à nette préférence masculine toutefois. Il aime beaucoup entretenir des rapports avec d'autres mâles, et adore surtout être soumis à son partenaire... Il n'est d'ailleurs pas contre les gadgets en tous genres. ♥
PHYSIONOMIE : Juanito est un jeune garçon d'apparence très frêle... 'Faiblement' constitué, il est comparable à une jouvencelle svelte et fragile, qu'on craindrait de briser avec une pression trop conséquente. Notre diablotin n'est en effet pas très épais, et effectivement, il n'est pas grand chose qui le distingue d'une fille - si ce n'est sa jolie verge -. Notons également que, à l'image de ses confrères, il n'a pas de poitrine, c'est évident... Sa peau, douce et cuivrée, appelle clairement au toucher. La parcourir doucement du bout des doigts est particulièrement agréable... Elle est d'ailleurs marquée ici et là de nombreux tatouages, aussi noirs que sa chevelure. Ils s'apparentent presque à des morceaux d'étoffes déchirés. Son visage, aux traits si doux et puérils, paraît avoir été sculpté par des anges. Et pourtant... C'est bien la face d'un petit démon que nous avons là, hérissée d'imposantes cornes violacées. Émergeant de sa chevelure, celle-ci étant d'ailleurs courte et noiraude, elles se dressent jusqu'au ciel, et on craindrait presque de finir empalées sur elles. Ses épis noirs de jais dévoilent de mignonnes esgourdes de forme elfique. Ses yeux, animés de petite prunelles caramel dans lesquelles miroitent des reflets gourmands, invitent à la contemplation... On a tôt fait de se noyer dans ce regard si gracieux... ~
Mais nous n'avons pas encore abordé le sujet essentiel : Ses gênes démoniaques... Juanito est en effet doté de nombreux membres incubes inaliénables de son corps. De grandes ailes membraneuses s'étendent en effet sur son dos, et leur envergure une fois dépliées lui permettent de prendre son essor. Outre ses larges cornes écailleuses, il possède également de longues griffes effilées, dont il n'a usage qu'en cas de force majeur. Il est aussi flanqué d'une queue rouge et oblongue, dont l'extrémité forme un charmant petit cœur. Puisqu'il est un diablotin engendré par le mal d'amour, il est normal qu'il en soit ainsi... ~ Côté vestimentaire, Juanito ne s'embarrasse pas de tenues superflues. Il ne porte que le strict minimum, et parfois même rien du tout si l'occasion se présente... Souvent vêtu d'un simple cache-sexe, parfois translucide, parfois extensible, il est la plupart du temps à torse découvert. Il est également affublé d'un collier de soie, où est gravé son surnom : C'est en quelque sorte le symbole de son appartenance à son créateur... Cependant si son maître exige de lui qu'il change d'habillage, il ne rechignera bien sûr pas.
Encore faut-il que son maître puisse lui ordonner quoi que ce soit... ♥
PSYCHOLOGIE : Juanito n'est pas, comme tout être normal, doté d'une 'chasteté' que l'on possède tous au départ, et qui viendra à se modifier et à se façonner au cours de sa vie. En effet, il n'eut pas le choix, et du se conformer à celui que son créateur avait imaginé pour lui : Alloué d'une personnalité typée, et dont il ne pourra jamais se défaire tant qu'il sera sous l'emprise de son maître, le diablotin est sensé n'avoir ni libre arbitre, ni opinion. En l'occurrence, Juanito est un être ingénu, naïf et aussi doux qu'un agnelet.
Notre démon, fait on ne peut plus paradoxal, est en effet doué d'une innocence touchante, et s'avère très influençable voire malléable pour ceux qui savent s'y prendre. Il n'ignore bien sûr rien du vice et des plaisirs charnels, puisqu'il est immergé dans ceux-ci depuis sa venue au monde ; il fut d'ailleurs crée pour ceci à la base : Servir de jouet sexuel... Mais ses seules connaissances sont le vice et l'extase. En dehors de ces sujets, Juanito est doué d'une candeur propre à l'enfance, et s'émeut d'un rien. Les pièges qu'on pourrait donc lui tendre, même les plus grossiers, sont garantis de fonctionner à merveille... Et inutile de dire que le diablotin a bien des choses à apprendre de Terra, et du genre d'entités qui demeurent en ces lieux. C'est donc crédule et expérimenté qu'il débarquera ici... Une proie facile, trop facile ♥
Plus soumis que soumis, il est prompt à une grande servitude. Notre jeune démon est particulièrement servile, et son obéissance en déroute plus d'un. Il se conforme volontiers aux moindres désirs de ses pairs, sans distinction de rang : Un être inférieur en puissance à lui pourrait très bien abuser du diablotin. Cette soumission va cependant de pair avec un cruel manque d'attention : Dépendant affectif, il ferait tout contre un peu d'amour, le vrai. C'est bien peu de chose qu'une étreinte, qu'un baiser tendre... Mais ici les brutes ne mangent pas de ce pain-là. C'est pourquoi il lui est si difficile de trouver un partenaire qui saura lui dispenser un peu d'affection. Il serait prêt à accompagner pour les siècles des siècles celui qui, sans retenue, lui accordera sa passion. Même s'il s'agit d'un air laid, abject et écœurant. Drôle de visée. Mais il ne se départ pas de sa persévérance... qui sait, son souhait se verra peut-être un jour exaucé ?
Il y a cependant un petit bémol à ce tempérament doux et candide... Lorsqu'il s'éprend d'une personne, (ce qui arrive souvent puisque terriblement émotif et s'attachant vite) et que celle-ci rejette son idolâtrie sans état d'âme, Juanito se voit radicalement métamorphosé. Il prend alors la forme d'un véritable démon, qui pour sa part ne fait plus aucun sentiment. Véritable esprit malin ayant pour seul dessein de vous détruire, il usera de son esprit retors pour vous faire succomber. Cette forme, bien plus dénaturée, est également avide de sexe, et lorsque l'occasion se présente, de S.M. Mais malgré tout, elle peut également se voir dominée par plus fort qu'elle, et reprendra alors position de 'victime'. Juanito est également en mesure de reprendre son état initial lorsque la rancoeur qui l'anime s'apaise. Cette forme supérieure qui le dépasse est appelée Jealous, nom qui sied parfaitement à sa condition. On la nomme également Forme du Dépit ~
FORME DÉMONIAQUE DU DÉPIT. (http://tinyurl.com/3878f7k)
Voici une représentation de la forme déçue de Juanito... Warning, pour ceux qui préfèrent le bondage chez les donzelles ;)
HISTOIRE : Il était un être, sur Terra, dont la laideur et la disgrâce corporelle frisaient des sommets. Une entité putride, fuie et évitée par la populace de toutes les provinces, et qui n'avait pas la force d'obliger l'un ou l'autre de ces habitants à lui tenir compagnie. Ses maints et infructueux essais n'avaient que remué la frustration et le dépit de l'horrible individu, tombé alors dans un malheur et une déchéance épouvantable.
Personne à Terra n'aurait cru que le besoin d'affection de Fraüd, un vieux druide de Nexus, était si criant. Fraüd était un artisan grossier qui confectionnait depuis belle lurette grand nombre de potions, aux propriétés et facultés très disparates. Il tenait une échoppe branlante dans le coin le plus reculé du village, loin du centre de la mégalopole. C'était à l'écart du peuple qu'il œuvrait, élaborant des breuvages étranges aux couleurs peu ragoûtantes. Il se disait professionnel, et héritier d'un savoir ancestral se transmettant depuis plusieurs générations. Mais depuis plusieurs années, plus personne ne venait se présenter à son comptoir. Une rumeur prétendait qu'il y avait une décennie de cela, une jeune fille était venue lui commander un philtre de beauté. La mixture qu'elle acheta, et qu'elle engloutit goulument dans une ruelle, lui provoqua une gangrène épouvantable. Elle aurait expiré dans une ruelle, ayant contracté une maladie incurable, et fut retrouvée en lambeaux. La sinistre renommée de Fraüd fut alors faite, et la possible notoriété de sa boutique fut bien sûr compromise à jamais. Le malheureux druide ne plia cependant pas boutique pour autant : Toujours vaillant teneur d'un magasin dont plus aucun chaland ne passait la porte, il s'était décrépi au fil du temps, ratatiné au fond de son établis poussiéreux... Mais la quête de la richesse qui l'avait poussé au commerce se transforma bientôt en quête de l'âme sœur, alors que sa solitude se faisait grande, ainsi gommé par les autres.
Depuis des années, Fraüd se languissait d'un terrible mal affectif. Il se désespérait d'attendre la personne qui saurait enfin l'accepter, et dépérissait atrocement. Son homosexualité avouée, en plus de tout le reste, donnait également un sacré coup à son insuccès. Son physique en reçut un sacré coup, et l'artisan se vit si enlaidi qu'on eut du mal à y déceler la forme humaine. Il n'était plus qu'un amas de chair violacée, où palpitaient quelques veines défraîchies. Ses cheveux devinrent de longs poils blancs et graisseux, où perlait le suint de son propre corps. Son visage se fripa plus qu'une pomme flétrie, et ses yeux vitreux dégorgeaient des salves de larmes, qui s'étalaient comme une marmelade écœurante, serpentant entre ses rides de son faciès... Non, jamais à Terra, on ne vit d'être plus laid.
Fort heureusement, un dicton assure que la chance finit par sourire aux plus défavorisés... Ce fut un morne jour que l'incroyable se produisit dans la sinistre officine. Alors que Fraüd avait tenté de plonger un surin dans sa gorge, poussé par les affres de l'isolement, une apparition soudaine comme émergée due son esprit arriva sans crier gare. Enrobé d'un halo sanguin, semblable à un tissu fœtal merveilleux, un étrange petit naquit sous les yeux tout ébaubis de l'homme, dont la bouche encroûtée s'entrouvrit avec effarement. Émergeant de cette enveloppe première, le petit être impromptu rampa un instant au sol. Ce qui frappa le druide, plus encore que sa venue inexpliquée, était que l'être paraissait déjà pleinement formé : Il s'agissait sans doute possible d'un mâle, un garçonnet au corps frêle, et au visage séraphique. De longues ailes pâles et fripées l'enveloppaient, et une queue frétillante sur laquelle s'écoulaient les fluides de la vide était déjà pleine de vigueur. Lorsqu'il entrouvrit les yeux, deux membranes plus légères que des pétales de fleur, Fraüd fut pénétré par la beauté pure de son regard.
Devant lui, à présent, se tenait un être qui lui semblait fait de grâce et de perfection. Dès que le garçonnet se dressa sur ses deux pieds encore vacillants, il lui sembla que toute la tristesse, et que tout l'affliction dont s'était chargé son cœur se délestait brutalement, comme si l'on extirpait tout le poison d'une blessure purulente... Oui vraiment, il lui paraissait qu'un souffle divin s'engouffrait dans tout son esprit, dégageant à jamais cette noirceur et cette solitude qui l'avait imprégné. Il ne s'expliquait ni le pourquoi de cet évènement, ni la raison de la venue de cet être inconnu, mais il choisit de se terrer dans un mutisme ravi, tandis que des larmes, de béatitude cette fois, s'abattait à grosses gouttes sur son tablier crasseux. Ses sanglots semblaient rendre grâce à je ne sais quel Dieu, lui ayant enfin accordé le salut après ces dures années de souffrance. Peut-être que ce garçon, à l'image de ses pensées, et de l'idée qu'il se faisait de l'âme sœur, était débarqué des méandres de son esprit ? Des tréfonds de son désespoir... Cet enfant était diamétralement opposé à lui, c'était sûr. Mais ce qui l'était d'autant plus, c'est qu'il le garderait jalousement, et pour lui seul.
Les jours avaient passé depuis le miracle dans la cabane de Fraüd. Se tenant toujours à l'écart des autres, et conservant pour lui ce petit être à qui il considérait avoir donné le jour, il vivait désormais heureux et paisible, n'ayant cuire de sa laideur inconditionnelle... Car il avait découvert que, ce petit diablotin issu de son âme - qu'il avait baptisé Juanito sans tergiverser - lui était dévoué corps et âme. Il ne se priva donc en rien, et pour rien au monde, de soulager avec lui ces innombrables années de lassitude sexuelle. Tous les jours qu'il passa avec lui, il accomplissait l'acte charnel avec un plaisir et une concupiscence croissante, trop heureux de savoir que son apparence physique n'était pas un facteur pour le démon. Juanito, en effet, ne jugeait son propriétaire sur aucun critère : Sa physionomie ne l'empêchait donc aucunement de se faire prendre chaque jour par lui. Il se donnait donc à lui sans compter...
Cependant, comme le bonheur est aussi impermanent qu'infidèle, la situation se dégrada à nouveau. Fraüd était à présent passé du mal d'amour à une voracité sexuelle effrayante. Il avait tout oublié de l'affection, voyant l'obédience totale de son démon à tous ses caprices épicuriens. Ses volontés sensuelles se faisaient toujours plus barbares, et il n'y avait désormais plus aucune place à la tendresse dans cette relation. Or, le diablotin qu'était Juanito vivait avant toute chose pour cela... L'attachement, la douceur de son compagnon. Ce fut après une sodomie particulièrement intense et cuisante que le diablotin endolori fit par de son mal à son partenaire... Trop rigide et excité pour l'écouter, celui-ci ne lui accorda pas une once d'attention et lui somma d'obéir comme il le faisait si bien. Ceci se répéta sur plusieurs mois, Juanito capitulant jusqu'ici devant les appétits de son maître... Mais bientôt ce petit manège se fit trop dolent pour le petit être, qui en avait désormais assez de ployer devant les exigences toujours plus vicieuses de Fraüd.
Après une torture sexuelle bien cruelle, le druide intima à celui en qui il ne voyait plus qu'un jouet servile l'ordre de le contenter une nouvelle fois. Devant le regard goulu et affamé de son maître, l'éclat terne de ses yeux emplis de jouissance, et la salive torrentielle qui suintait de ses énormes lèvres visqueuses, Juanito finit par céder à ses pulsions démoniaques. Faisant mine d'abdiquer une nouvelle fois, il fit brusquement volte-face pour empoigner l'artisan et lui pénétrer le buste de ses ramures puissantes. Le pouvoir virulent qu'elle abritaient firent bien vite suffoquer le druide dépravé, et il expira sous les coups répétés donnés d'estoc par le petit diable. Après avoir fustigé à mort son "père", l'être à qui il devait la vie, Juanito fut bientôt envahi d'amer remords, et s'apprêta à accepter la mort, un châtiment amplement mérité pour son acte... Puisque Fraüd était son créateur, il lui sembla juste qu'il périsse avec lui...
Mais à sa grande surprise, rien de plus ne se produisit. Il se prit honteusement à se trouver tout de même soulagé, mais après mûre réflexion, le diablotin finit par se convaincre que la répression qu'il avait infligé à son tortionnaire n'était pas si vile que cela. Après tout, il n'avait pas à essuyer ainsi sa frustration sans rien obtenir en retour. Ce fut sur cet état d'esprit que le jeune démon prit alors son essor, quittant la baraque souillée et infecte où gisait encore la dépouille de son créateur... En quête de partenaires plus indulgents, il s'immisça parmi la populace de Terra, où il espérait trouver enfin la félicité à laquelle il aspirait.
Notre diablotin trouvera t-il ce qu'il cherche ?... ♥
SITUATION DE DÉPART : Juanito est d'ores et déjà défloré, bien vite dépucelé par son maître. ~
AUTRES : Mis à part que ses cornes sont enduites d'une toxine que son corps peut produire, je ne vois pas. :3
CONNAISSANCE DU FORUM : Google, tout simplement :)