Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Hirano le jeudi 11 février 2010, 13:28:33
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Hirano était enfin revenu de Terra en usant du médaillon de Moerdame. Comme pour son allé, il avait perdu la mémoire de son passage sur ce monde mystérieux et sa prendrait plusieurs jours avant que ce dernier ne se rappelle de tous les événement passé. Pour lui ce passage laisse un grand trou vide dans sa mémoire ainsi que des habilles déchiré et ensanglanté, mais aussi, contre toute attente, un étrange pouvoir se manifestant de plus en plus. À présent sur terre et à court d'argent. Hirano va se mettre en quête d'un petit travail qui va lui permettre de se faire un petit salaire.
C'était un mercredi après-midi et au lycée il n'y avait pas de cour. Hirano arpentait seul les rue de Seikuzu dans l'espoir de trouver un petit emploi. Le jeune homme avait refusé que petit démon Grendel ne l'accompagne de peur que se dernier ne le déconcentre lors d'un possible entretient ou que la gourmandise sans limite de la boule de poile ailé ne le pousse dans une autre histoire.
Cela faisait plusieurs heures que Hirano cherchait un petit job. Il est aller voir dans le centre commercial et dans divers magasin mais aucune place était à pourvoir. Même le fastfood du coin n'avait rien à lui proposé. Hirano aurait pris n'importe quoi même nettoyer les toilettes. Le jeune homme commençais à perdre espoir.
La fin de la journée approchait gentillement et Hirano n'avait rien trouvé. Le moral à plat et mort de fatigue d'avoir subit autant de refus, il entreprenait le chemin du retour pour aller au pensionnat du lycée. En prenant une petite rue, quelque chose attira son attention. La ruelle était calme et silencieuse et rien laissait présageait ce que Hirano allait vivre. Bien qu'il n'y avait aucun bruit, Hirano arrivait à percevoir quelque chose qui l'intrigua au plus haut point. Il ressentait de la peur, pas n'importe quel peur, celui que l'on ressent quand risque de se faire mal ou qu'on est en danger.
Intrigué et mettant sa sur le compte de la fatigue, il décide de pénétrer dans un dernier magasin pour une ultime tentative d'embauche.
La cloche raisonna quand Hirano entra dans le petit magasin. C'est une échoppe de vêtement assez modeste et très agréable à regarder. Le jeune homme se dit qu'il s'achèterait bien quel que t-shirtquand il aurait un peu d'argent, il lui en restait plus beaucoup après sa légère perte de mémoire. Le magasin était étrangement silencieux.
-il y à quelqu'un ?
Hirano commençais à perdre patience. Puis il décida de d'aller voire dans la remise au sous-sol derrière le comptoir si il trouvai quelqu'un. En arrivant en bas des escaliers il ne vit personne et n'entendit aucun son. Il décida de retourner au lycée et en tournant le dos il entendit un drôle de gémissements et toujours cette peur qui avait grandit en lui. La s'en été trop, sans gêne il se dirigea au font du sous-sol et poussa une porte.
Ce qu'il vit derrière cette le surprit. Il y avait une jeune femme en prise entre deux homme qui lui couvrait la bouche avec une de leur main et qui avait commencé à la déshabillait. Outré par ce qu'il voyait, Hirano ne tarda pas à réagir.
-Hé !! lâcher là ! Non mais sa... outch !!!
sans s'en rendre compte u troisième type l'attendit derrière la porte et le frappa au niveau du dos le mettant à terre. Le responsable de cette acte lâcha son bâton et s'adressa à Hirano.
-tu viens de commettre une grave erreur mon garçon. Je m'occuperais de toi après m'être amusé un peu avec elle.
En terminant avec un sourire sadique. L'agresseur se tourna vers la jeune fille et lui attrapa son visage pour lui dire des horreurs. Fou de rage, Hirano rampa jusqu'au bâton et l'attrapa. Il se releva ensuite discrètement. Les trois hommes étant totalement concentré sur la pauvre jeune fille qu'aucun ne remarqua que Hirano était debout. En réalité personne, Hirano le premier, ne s'attendait à le voir remit de son coup de si tôt. Surement la colère qui lui avait donné des ailes. Sans attendre une seconde de plus . Il abattit son arme sur le premier à sa porté. Le coup fut donné tellement fort qu'il mit l'homme k.o.
-qui est le prochain ?
La colère se transparaissait dans sa voix. L'homme qui l'avait attaqué tout à l'heure s'adressa avec un aire de défie en tenant un objet dans sa main, un objet que Hirano n'avait pas remarqué. Son complice tenait fortement la personne qui semblait être la vendeuse.
-je crois t'avoir sous-estimé, je vais te faire regretter ton arrogance.
Son complice semblait vouloir l'arrêter disant qu'il en avait trop fait. Mais Hirano n'en laissa pas le temps et se rua sur le responsable qui l'accueillit avec un coup dont un petit bruit métallique l'avait précédé. Hirano tomba au sol sans qu'il puisse donner le moindre coup. Tenant son bras gauche qui était ensanglanté. La douleur était vive et violente. L'agresseur avait usé d'un couteau à cran d'arrêt.
Témoin de cette scène, son complice fit tomber la jeune fille et agrippa le bras de l'homme au couteau. Ce dernier lui dit qu'ils avaient trop fait qu'il devaient s'en aller. L'agresseur accorda la requête de son complice et l'aida à transporter leur pote inconscient. Ils s'en allèrent en vomissant des injures et des menaces de mort.
Hirano se traina vers la pauvre victime, il était affolé et espérait qu'elle n'avait rien.
-vous allez bien ?!?
à présent la colère avait fait place à la peur et à la panique. Pourvu qu'elle n'ai rien subit. Pourvut qu'il soit intervenu à temps!
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Cela faisait quelques semaines que Kairi travaillait dans un petit magasin de vêtements. Il n’avait aucune prétention et se trouvait dans une petite rue pas vraiment passante mais ce magasin avait ces habitués. Ils savaient que les prix étaient plus que corrects et le choix était important. Kairi s’était senti bien dès le départ dans cette boutique. La propriétaire lui avait vite déléguée une partie de son travail. La jeune femme était motivée et compétente. Du coup, elle se retrouvait assez souvent seule à gérer le magasin.
Ce jour là, Kairi était seule et jonglait entre la boutique et la réserve. Un certain nombre de colis était arrivé et il fallait qu’elle vérifie chaque colis et range les vêtements. Elle avait fait ça une grande partie de la journée et la jeune femme commençait à avoir hâte que la journée se termine. Elle était au sous-sol quand elle entendit la clochette de l’entrée tintée. Elle allait remonter quand elle entendit des pas qui descendaient les escaliers.
Elle alla vers les marches et vit trois hommes qui descendaient.
« Excusez-moi messieurs mais cette partie est réservée au personnel. Tous les vêtements en vente sont au-dessus »
D’un geste de la main, elle les invitait à remonter.
« Je crois, qu’au contraire, nous avons tout ce qui nous faut ici. N’est-ce pas les gars ? »
Les deux autres hommes hochèrent la tête et se mirent à rire. Un rire qui glaça le sang de la jeune femme.
« Remontez s’il vous plait »
Kairi haussa le ton mais en pure perte. Les trois hommes l’entouraient à présent et l’un d’entre eux avait sorti un couteau à cran d’arrêt. La jeune femme recula. Elle avait peur. Elle se retrouvait seule, dans un sous-sol, avec trois voyous. Son seul salut se trouvait dans le petit bureau du fond qui servait à vérifier les commandes. Il y avait un téléphone. Elle pourrait appeler la police. Elle fit un pas en arrière. Les hommes en firent un en avant.
*Il faut que j’arrive jusqu’à la porte !*
Elle se répétait ces mots comme une litanie. La peur se lisait sur son visage. D’un coup, elle se tourna et se mit à courir en direction du petit bureau. Mais en pure perte. Les hommes eurent tôt fait de la rattraper. L’un d’eux l’attrapa par le bras et la tira en arrière brutalement. Elle atterrit contre son torse. Il lui passa le bras autour du cou et se mit à la traîner dans le bureau. Elle tenta de se dégager en lui agrippant le bras mais il était trop fort pour elle. Tenue ainsi, elle ne pouvait même pas appeler à l’aide. Les deux hommes les suivaient.
L’homme la lâcha et la jeta sur le sol alors qu’un de ses acolytes fermait la porte. Kairi toussait. Elle avait du mal à reprendre son souffle. L’homme avait serré très fort son cou.
« Alors ma jolie. Tu en a de la chance. Trois hommes pour toi toute seule »
La jeune femme, toujours au sol, se recula jusqu’au mur. Elle était terrorisée.
« Non, je vous en prie. Laissez-moi ! Ne me faites pas de mal ! »
Un des hommes rigola et avança vers elle.
« Te faire du mal ? Mais bien au contraire ! On compte te faire du bien »
Ils éclatèrent tous de rire. Tous sauf elle. Kairi comprenait ce qu’ils comptaient lui faire. Elle ne voulait pas. Elle se releva et cria de toutes ses forces.
« A l’aide ! Aidez-moi ! »
Avant qu’elle ne continue un des types alla la chercher et la gifla.
« Tais-toi ! Sale pute ! »
Le coup violent la projeta contre le mur. Il se saisit à nouveau d’elle et la tint par les bras. Un autre vint devant elle. Un sourire aux lèvres.
« Alors, voyons ce que tu vaux »
Il s’approcha d’elle et caressa sa joue. Elle tenta de s’y soustraire mais l’autre homme la tenait trop bien. Il descendit le long de son cou jusqu’à son décolleté. Là, il prit le tissu et ouvrit le chemisier en deux laissant voir son soutien gorge.
« Eh pas mal ! »
« Ouais, elle cache bien son jeu »
Kairi pleurait. Quand tout à coup, la clochette de l’entrée retentit. La jeune femme allait crier mais l’homme devant elle plaqua sa main sur sa bouche. Le troisième homme resté sur le côté, se plaça de manière à se trouver derrière la porte si on l’ouvrait.
Pendant quelques minutes aucun bruit ne se fit entendre.
« Il y a quelqu’un ? »
Une voix masculine leur parvint un peu étouffée. Kairi espérait que l’homme descende pour l’aider mais il y avait peu de chance. Il allait trouver le magasin vide et ressortir. Elle perdait espoir de se sortir de cette situation plus que délicate. Elle essaya de crier mais l’homme étouffa à moitié son cri. Cependant, elle entendit des bruits de pas emprunter les escaliers. L’homme réaffirmait sa prise sur elle. Une minute, interminable, s’écoula. Mais elle entendit soudain les pas de l’homme se rapprocher du bureau. La porte s’ouvrit et un jeune homme se retrouva dans le cadre de la porte.
« Hé !! Lâcher là ! Non mais sa... outch !!! »
Kairi aurait voulu lui dire de faire attention au troisième homme derrière la porte mais c’était trop tard. Ce dernier l’avait déjà frappé et le jeune homme se retrouva au sol.
« Tu viens de commettre une grave erreur mon garçon. Je m'occuperais de toi après m'être amusé un peu avec elle »
Il se dirigea vers la jeune femme et lui prit le visage.
« Et toi ! Tu vas être une gentille petite pute et faire tout ce qu’on te demandera ! »
Elle vit alors le jeune homme attraper un morceau de bois. Il frappa l’homme le plus proche de lui et le mit KO. Il s’écria alors :
« Qui est le prochain ? »
Le jeune homme semblait fou de rage.
« Je crois t'avoir sous-estimé, je vais te faire regretter ton arrogance »
Le voyou se jeta sur lui et lui blessa le bras avec son couteau. Le jeune homme tomba au sol. Mais l’homme qui tenait la jeune femme finit par la lâcher. Il embarqua l’autre type sans connaissance et les trois hommes filèrent sans demander leur reste. Kairi était tombé sur le sol quand l’autre type l’avait lâché.
Le jeune homme se traîna jusqu’à elle.
« Vous allez bien ? »
Il lui attrapa le bras.
« Est-ce que vous allez bien ? Mademoiselle ? Vous m’entendez ? »
Kairi semblait plonger dans un autre monde. Elle n’arrivait pas à revenir à la réalité mais la main du jeune homme sur son bras et ses paroles inquiètes la firent revenir à elle.
« Quoi ? »
« Est-ce que vous allez bien ? »
Le jeune homme semblait très, très inquiet. Il semblait craindre que les hommes lui aient fait du mal.
« Non… Non, je… je vais bien ! J’ai eu très peur, surtout »
Elle tenta de lui sourire pour le rassurer.
« Je m’appelle Kairi et vous ? »
« Hirano »
Elle lui sourit à nouveau. Elle respirait profondément. Même si elle était sauvée, elle avait du mal à se remettre de son agression. Tout à coup, ses yeux se posèrent sur le bras d’Hirano. Elle vit qu’il saignait.
« Mais… Vous êtes blessé ! Oh mon dieu ! »
Elle se mit debout rapidement et alla jusqu’au petit bureau d’où elle sortit une trousse de premier secours. Elle revint s’agenouiller près de lui.
« Je suis désolé. C’est de ma faute si vous êtes blessé. J’espère que ce n’est pas trop grave ? »
Elle regarda son bras et commença à nettoyer la plaie.
« Ça risque de piquer un peu »
Elle essaya de nettoyer la plaie le plus doucement possible pour éviter de rajouter à la douleur du jeune homme. Elle se sentait vraiment très mal. C’est elle qui aurait du être blessé, pas lui.
Par chance, la blessure était peu profonde. Kairi étala quelques compresses et se mit à bander le bras du jeune homme.
« Voilà. Ça devrait aller mais il vaudrait peut-être mieux que vous alliez aux urgences ou voir un médecin. Se serait plus sur, je pense »
Elle rangeait les pansements et les compresses dans la boite avant d’aller la remettre dans le bureau. Puis, elle retourna auprès du jeune homme.
« Je suis vraiment désolé. Je m’en veux beaucoup »
Tout à coup, elle se rendit compte que son chemisier était toujours grand ouvert. Dans son inquiétude pour Hirano, elle avait complètement oublié sa tenue déchirée. Elle se releva et tenta de refermer son chemisier. Peine perdue, le tissu était totalement déchiré. C’était inutile. Elle dut se résoudre à le tenir fermé avec la main.
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Hirano était toujours couché sur le ventre et il avait agrippé le bras de la victimes des trois homme. Il cherchait a savoir comment elle allait en lui parlant. Elle semblait ailleurs et cette état inquétait au plus haut point Hirano qui renouvela sa question deux trois fois jusqu'à ce qu'elle se mette à lui parler avec un léger sourire forcé.
-non, non je...je vais bien ! J'ai eu très peur, surtout.
A l'écoute de cette réponse, Hirano relâcha la pression qu'il avait en lui. Cela se perçut sous la forme d'un gros soupire. Puis elle continua à lui parler.
-Je m'appelle Kairi et vous ?
Instinctivement le jeune homme lui répondit avec son noms.
-Hirano.
Kairi !?! Hirano trouvait que ce nom était très jolie, puis elle se mit à sourire, mais pas un sourire comme celui d'avant, un vrai. Hirano se sentait rassuré de la voire reprendre sont calme et de commencer à se détendre. Soudainement, elle s'exclama.
-Mais vous êtes blessé ! Oh mon dieu !
Hirano regarda sont bras et le vit plein de sang. Préoccupé par l'état de santé de la jeune femme, Hirano avait complètement oublié qu'il avait reçut un coup de couteau dans le bras. Hirano voulut la rassurer en disant que ce n'était rien mais Kairi se lave précipitamment et partie rechercher de quoi le soigner. Hirano en profita pour bouger et s'assoir dos contre le mur. Elle revint avec une trousse de premier secoure et s'agenouilla à coter de lui.
-Je suis désolé. C'est de ma faute si vous êtes blessé. J'espère que ce n'est pas trop grave.
Elle commença à nettoyer la blessure laissé par la lame du couteau. Kairi prévena que sa allait piquant quand elle usa du désinfectant. Mais Hirano fut surpris de la douceur de la jeune femme qui avait réussi à appliquer le produit de désinfection sans lui faire trop souffrir. Pendant qu'elle le soignait, Hirano s'adressa à Kairi pour tenter de lui faire comprendre que se n'était pas de sa faute.
-vous n'y êtes pour rien, vous ne pouvez pas savoir que des sale types allaient vous agresser aujourd'hui.
Hirano tenta faire un sourire qu'il pensait rassureur. Kairi fini de le soigner avec des bandage autour du bras.
- Voilà. Ça devrait aller mais il vaudrait peut-être mieux que vous alliez aux urgences ou voir un médecin. Se serait plus sur, je pense
elle se retourna pour aller ranger sa boite et Hirano en profita pour se remettre debout. Quand elle fut de retour elle s'excusa encore de ce qui s'est passé.
- Je suis vraiment désolé. Je m’en veux beaucoup
Hirano voulait lui répondre de ne pas s'en faire mais Kairi avait constater que son haut été ouvert dévoilant son soutien-gorge. Elle le referma et se mit à le tenir d'une main. Hirano n'avait lui non plus pas remarqué ce détaille et il détourna la tête le joue légèrement rougeâtre de gêne. Puis il s'adressa à Kairis avec un sourire signe que tous allait bien.
-alors je vais aller regarder un peu vos articles à l'étage, enfin, je vais vous laisser un peu d'espace pour vous laisser vous changer.
On sentair clairement la gêne qui transparaissait dans le ton de sa voix. Il fit demi-tour et ferma la porte juste après lui avoir assurer qu'il serai à l'étage. Hirano remonta et regarda un moment les rayons et s'intéressa au t-shirt. Puis il leva la tête et regarda le soleil presque couché. Dehors, l'obscurité commençais à tomber dans la rue. Il tourna ensuite sont attention sur Kairi qui était revenu changé. Hirano s'approcha d'elle et lui dit avec le même sourire d'avant.
-cela vous va très bien.*il jeta un regard par la fenêtre et continua * je crois qu'il commence à se faire tard et on devrait chacun rentrer chez nous. Voulez-vous que je vous raccompagne ?jusqu'à chez juste au cas où ?
Juste au cas où ses sales types seraient de retour. Hirano préférait de loin être avec Kairi que de la laisser aller toute seul avec le manque de lumière.
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Hirano détourna le regard un instant et Kairi vit qu’il rougissait.
« Alors je vais aller regarder un peu vos articles à l'étage, enfin, je vais vous laisser un peu d'espace pour vous laisser vous changer »
Il lui souriait et elle le lui rendit.
« Merci à vous, c’est gentil »
Hirano s’en alla et referma la porte derrière lui. La jeune femme lui en était reconnaissante.
*Que d’émotions !*
Elle se laissa glisser à nouveau au sol. Ses jambes tremblaient et ne la portaient plus. Elle avait eu si peur. Elle se disait que c’était le ciel qui lui avait envoyé le jeune homme tel un sauveur. Elle soupira. Elle devait se reprendre. Tout c’était bien terminé au final.
Elle réussit à se relever. Elle enleva son chemisier. Totalement déchiré, elle ne pourrait pas le réparer. Elle le jeta tout de suite et se demanda ce qu’elle pouvait bien mettre. Elle se mit à rire. Elle se trouvait dans une boutique de vêtements et ne savait pas quoi mettre !
Au final, elle choisit une jolie robe d’été en coton bleu clair. Toute simple, la robe lui ressemblait. Elle enleva sa jupe et la plia soigneusement. Elle sortit du bureau et se rendit dans la boutique.
Le jeune homme regardait par la vitrine. Il tourna la tête vers elle et lui sourit. Il vint vers elle.
« Cela vous va très bien. Je crois qu'il commence à se faire tard et on devrait chacun rentré chez nous. Voulez-vous que je vous raccompagne jusqu'à chez vous ? Juste au cas où ? »
Kairi sursauta. Elle n’avait pas du tout réfléchi au fait que peut-être ces voyous l’attendaient peut-être dehors. La peur se lisait à nouveau sur son visage. Mais le visage souriant d’Hirano l’a rassura. Il lui proposait de la raccompagner et cela la réconfortait mais cela l’ennuyait aussi. Il avait déjà fait beaucoup pour elle.
« Je n’ai pas envie de vous embêter mais j’avoue que je serais plus rassuré si vous me raccompagniez »
Il hocha simplement la tête. Elle alla chercher son sac. Elle éteignit les lumières et mit l’alarme en route. Ils sortirent et elle referma la porte du magasin à clé. La nuit était tombée à présent. Heureusement, la ville était bien éclairée.
Ils avançaient, silencieux, dans les rues. La présence d’Hirano la sécurisait. Elle lui jettait quelques regards qu’elle espérait discrets. Il était plutôt joli garçon avec ses cheveux en bataille et ses yeux bleus.
« Je suis désolé de vous faire marcher mais mon appartement est un peu éloigné du centre ville. J’espère que je ne vous retarde pas ? »
Elle était inquiète. Sa famille l’attendait peut-être.
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-Je n’ai pas envie de vous embêter mais j’avoue que je serais plus rassuré si vous me raccompagniez
Kairi avait accepté la proposition de Hirano pour la raccompagner jusqu'à chez elle. Elle avoua être rassuré de la présence du jeune homme et se dernier le fut tous autant qu'elle. Hirano avait peur qui lui arrive un malheur en route, surtout si les hommes de tout à l'heure n'était pas loin. Hirano savait pertinemment que face au trois brigand il ne pourraient pas les battre, de plus, ils sont prouvé qu'ils pouvaient être très dangereux. Mais Hirano préféré de loin tenter de se mesurer à eux au risque d'une grave blessures, que de laisser Kairi seul et sans protection.
Après avoir pris ses affaires et fermé la boutique, la jeune vendeuse s'en alla en compagnie de Hirano pour rentrer chez elle. La rue était sombre mais les éclairages rendait le coin beaucoup moins effrayant. Kairi et Hirano arpentaient les rue qui semblaient visiblement très vides. Hirano savait souvent ce qu'il se passait le nuit, des chose auquel ce derniers c'était déjà vu confronter. La situation ne le rassuré pas le moins du monde.
-Je suis désolé de vous faire marcher mais mon appartement est un peu éloigné du centre ville. J’espère que je ne vous retarde pas ?
Pour la première fois de la marche, Hirano posa les yeux sur Kairi. étant trop occupé à regardé autour d'eux, il n'avait pas encore posé un œil sur Kairi. Quand il le fit il surpris d'un détail qu'il na lui avait pas marqué avant. Il la trouvait très jolie, de plus cette robe bleu lui allait très bien. Hirano s'était un peu perdu dans ses pensées et la question de la jeune femme le ramena à la réalité.
-ne vous en faite pas. À cette heure ci le pensionnat est déjà fermé. Mais j'ai mon petit truc pour y rentrer et en sortir sans soucie.
Il termina sa phrase avec un petit clin d'œil amicale. Cette astuce était un petit passage dans le muret qui tournait autour du lycée. Il arrivait juste à passer. Ensuite fallait rejoindre sa chambre sans se faire repérer. Une épreuve qu'il transformait en un jeu la nuit.
Les deux jeunes gens avancèrent dans rue plongé dans la nuit. Le silence avait pris part à la marche et Hirano le cassa en s'adressant à Kairi et en posant une question.
-fait longtemps que vous habitez dans ici?
Cette question avait pour but de briser le silence et de bavarder un peu ensemble. Hirano lui demanda d'où elle venait, si sa faisait longtemps qu'elle travaillait dans ce magasin. Hirano quand à lui, répondait au question que pouvait avoir Kairi, en occultant toutefois la présence du manuscrit et du démon. Il fini par lui demandait en plaisantant.
-vous pouvez m'aidez et me conseillez quand je viendrais acheter des habiles.
Pendant la marche, Hirano sympathisait avec Kairi et ce dernier appréciait de plus en plus la compagnie de la jeune femme. Enfin ils arrivèrent devant un petit immeuble au bout de vingt-trente minutes. Ce dernier n'avais pas plus de deux étage et possédait un parking droit devant. Hirano suivit Kairi qui emprunta un escalier extérieur et monter jusqu'au dernier étage. S'arrêtant enfin devant le palier de la porte.
-bin voilà, on est arrivé. Je vais vous laisser là et retourner au lycée.
Hirano voulut partir puis il s'arrêta et rajouta.
-c'est un véritable plaisir de vous avoir rencontré. Dommage que se soit dans de pareil condition. Bonne nuit à vous.
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« Ne vous en faite pas. À cette heure ci le pensionnat est déjà fermé. Mais j'ai mon petit truc pour y rentrer et en sortir sans soucie »
Kairi ne pensait pas que le jeune homme était toujours au lycée. Elle le voyait plus âgé.
« Ça fait longtemps que vous habitez dans ici ? »
« Non, pas très longtemps »
Ils continuèrent de bavarder tout en avançant en direction de son appartement. Kairi appréciait vraiment la compagnie du jeune homme. Au final, la soirée finissait plutôt bien à côté de la fin d’après-midi désastreuse.
Ils finirent par arriver dans le parking, devant son petit immeuble. Ils empruntèrent les escaliers qui menaient au deuxième étage. Kairi s’arrêta devant la dernière porte de l’étage.
« Bin voilà, on est arrivé. Je vais vous laisser là et retourner au lycée »
Hirano était sur le point de partir quand il se retourna et lui lança :
« C’est un véritable plaisir de vous avoir rencontré. Dommage que se soit dans de pareilles conditions. Bonne nuit à vous »
Hirano se retourna et se dirigea vers les escaliers. Kairi ouvrit son sac pour trouver ses clés. Quand tout à coup, elle courut jusqu’à la rambarde et regarda en direction d’Hirano qui était quasiment arrivé en bas.
« Attendez ! »
Elle se précipita dans les escaliers et les descendit à toute vitesse. Elle arriva essoufflée à la hauteur du jeune homme.
« Attendez ! »
Elle avait du mal à parler après sa course. Elle ne pouvait pas le laisser repartir comme ça après ce qu’il avait fait pour elle.
« Attendez ! Je… - elle reprenait à nouveau son souffle – puisque vous n’êtes pas attendue est-ce que je peux au moins vous inviter à dîner ? »
A nouveau, elle eu besoin de prendre son souffle à nouveau.
« Ecoutez, c’est juste pour vous remerciez. Je me débrouille pas trop mal en cuisine. Bon, faut pas vous attendre à du trois étoiles mais bon… »
Elle lui souriait. Elle avait bien sur envie de le remercier mais elle appréciait aussi sa compagnie.
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Alors que Hirano descendait les escaliers, la voix de Kairi raisonna.
-Attendez ! Je…puisque vous n’êtes pas attendue est-ce que je peux au moins vous inviter à dîner ?
Elle avait abattu les marches en courant et avait rattrapé le jeune homme qui allais prendre le chemin du retour. Kairi lui proposa de rester pour le diner. Hirano était heureux que la jeune femme lui demande cela. Il aurait accepté sans hésitait si il n'avait regardé l'heure de sa montre. Il était déjà très tard et Hirano commençais tôt les leçons. Il hésita beaucoup entre rester pour partager un diner avec une charmante et agréable personne ou aller se reposer pour suivre les cours correctement. Avec le retard qu'il a pris, Hirano ne pouvais se permettre de flemmarder en classe. Et choisi à contre cœur la voie de la raison.
-je suis sincèrement désolé, mais il est déjà très tard et demain je dois me lever tôt. Croyez-moi, c'est pas de bon cœur que je suis obligé de vous laisser. Toute mes excuses.
Hirano se baissa en signe de politesse et pris congé de Kairi. Il s'éloigna et tourna le dos en direction de la jeune femme.
-je vous souhaite une agréable soirée et dormez bien.
Le jeune homme disparu dans la nuit.
Il était très tard quand Hirano arriva dans le lycée. Discrètement, furtivement. Le lycéen rejoignit sa chambre. Il ferma la porte et loqua celle ci quand soudain, quelque chose lui tomba dans le dos.
-tes enfin rentré !!!
Grendel, le petit démon tomba sur le pauvre Hirano.
-baaa, qu'est ce que tas encore fait ?
-Grendel laisse moi, je suis fatigué.
-raconte moi tous.
Le petit démon avait aperçue la tâche de sang et la blessure. Il insista tellement que Hirano lui raconta toute l'histoire. Grendel eu un sourire malsain quand Hirano lui parla de Kairi et il ne dit plus rien. Hirano alla se coucher et s'endormit rapidement l'esprit tranquille. Le jeune homme rêva. Il rêva de sa journée, de l'agression, de Kairi... le doux visage de la jeune femme remplissait ses pensé toute la nuit. Au petit matin, son réveille sonna. Hirano s'habilla de l'uniforme scolaire et alla prendre son petit déjeuné. Pendant tous ce temps, il n'avait cesser de penser à Kairi, se posant toute sorte de question. Comment elle allait, avait-elle eu des ennuis depuis leurs séparation. Il se disait même qu'il avait fait une grosse erreur en refusant le diner. Son bras lui faisait encore mal. Le jeune homme se rappela de chaque moment de la bagarre et il en était mort de trouille. Pour lui c'était la première fois qu'il se confronter avec quelqu'un qui était humain. Hirano avait déjà échapper à la mort à plusieurs reprise mais s'était à chaque fois contre des forces mystérieuses.
Quand le petit déjeuner fut terminé, Hirano alla en cour. La journée fut longue et pénible. L'impatience se faisait sentir chez le jeune homme et quand la cloche sonna la fin des cours à seize heure trente, il fut le premier sortir de la classe. Il rejoignit rapidement sa chambre et se changea pour des habille plus conventionnelle. Il prit son porte-monnaie dans le quel il lui restait peu d'argent mais assez pour ce qu'il voulais faire. Il dit à Grendel qu'il irait chercher encore du travaille, mais le petit démon n'en cru pas une seconde. Il entrepris de suivre discrètement dans la rue. Le jeune homme faisait tous sauf chercher. Au contraire il savait ou il allait. Hirano fini sa route un petit magasin. Grendel attendit patiemment dehors.
Hirano rentra dans le magasin et se dirigea à la caisse. Il s'adressa à une femme qui semblait être la responsable.
-bonjour, est ce que Kairi et la ?
La femme me dit fit signe d'attendre et descendit les marches. Trois minutes plus tard, ce fut Kairi elle même qui remonta. Le cœur emballé Hirano s'adressa à elle avec un sourire de bonheur.
-bonjours ! Je suis venu savoir comment vous vous sentez aujourd'hui? Et peut-être,* Hirano ravala sa salive * me permettez-vous de vous inviter à diner quand vous aurez fini votre travail.
Hirano se sentait très gêner par la situation, mais ne regrettait pas son geste.
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La jeune femme espérait sincèrement qu’Hirano resterait dîner.
« Je suis sincèrement désolé, mais il est déjà très tard et demain je dois me lever tôt. Croyez-moi, c'est pas de bon cœur que je suis obligé de vous laisser. Toutes mes excuses »
Kairi en fut très déçu mais comprenais néanmoins les raisons du jeune homme. Il s’inclina.
« Je vous souhaite une agréable soirée et dormez bien »
Elle s’inclina à son tour.
« A vous aussi »
Elle regarda Hirano s’éloigner et espérait bien le revoir. Elle remonta les escaliers et ouvrit la porte de son appartement. Elle entra et, après avoir refermé la porte à double tour, s’écroula sur le sol. Elle était épuisée. Maintenant, qu’elle se retrouvait seule toute la tension et le stress accumulés ressortaient. Elle s’allongea par terre et contempla le plafond.
Tant de choses c’étaient passées aujourd’hui. Kairi n’avait pas l’habitude de tout ça. Elle menait une petite vie tranquille ou tout du moins elle essayait ce qui n’était pas forcément évident depuis son arrivé à Seikusu. Le visage de Jones lui revint en mémoire et la nausée l’a pris comme à chaque fois qu’elle pensait à lui. Elle se rassit et secoua la tête pour tenter de chasser son image de son esprit.
Poussant un soupir, elle se releva et alla regarder ses placards en se demandant ce qu’elle allait bien pouvoir manger. En fait, elle n’avait pas vraiment faim. Si Hirano était resté, elle aurait beaucoup de plaisir à manger avec lui. Mais là, rien ne lui faisait envie. Elle finit par opter pour un bol de soupe. 30 secondes au micro-ondes et le bol fumant se retrouva sur la table basse.
Kairi occupait un petit studio pour ne pas dire une simple chambre. Elle n’avait qu’une seule pièce qui lui servait à la fois de cuisine, salon, salle à manger, chambre. Elle l’avait assez peu meublée. Cela faisait trop peu de temps qu’elle vivait là et son salaire ne lui permettait pas de faire des folies. Une table basse, dans le style typiquement japonais, une étagère supportant un poste de télévision. Une bibliothèque toujours vide dans un coin. Les cartons contenant ses nombreux livres étaient sagement entassés devant. Elle allait bien devoir les déballer un jour mais là, elle n’en avait pas encore eu la motivation. La kitchenette composée d’un évier, d’un placard en dessous, de deux plaques de cuisson sous lesquelles se trouvait le mini frigo. Les placards au-dessus renfermaient les vivres non périssables et le micro-ondes était posé sur une petite desserte à roulette. Voilà tout ce qui composait son chez elle. Quand elle serait plus à l’aise financièrement, elle arrangerait tout ça un peu mieux mais pour l’instant elle s’en contentait.
Assise devant son bol de soupe, elle alluma la télé mais elle ne la regardait pas vraiment. Elle revoyait le jeune homme qui l’avait sauvé cet après-midi. Hirano était vraiment gentil, drôle et, elle devait le reconnaître, très beau.
Une fois fini son maigre repas, elle poussa sa table et installa le futon rangé dans l’armoire. Un tour à la salle de bain et sous la couette. Contrairement à ce qu’elle pensait, Kairi s’endormit en moins de cinq minutes.
Le lendemain, elle se rendit au magasin et raconta à sa patronne ce qui s’était produit la veille. Par crainte de représailles, Mme Hasuki, décida de rester au magasin pour la journée. Kairi continua de déballer les derniers colis. Malgré le travail, elle pensa souvent à Hirano.
Elle se demandait s’il chercherait à la revoir. Elle espérait bien que oui. En fin d’après-midi, Mme Hasuki descendit les escaliers.
« Kairi ! Kairi vous êtes là ? »
Kairi sortit du bureau où elle finissait de contrôler les bons de livraison.
« Oui, Madame. Qu’y a-t-il ? »
Mme Hasuki sourit.
« Je crois que votre sauveur est de retour »
Le cœur de Kairi battit plus vite dans sa poitrine. Ainsi, il était revenu. Le sourire aux lèvres, comme souvent, elle monta les marches à la rencontre d’Hirano. Il était là devant le comptoir. Il lui souriait.
« Bonjour ! Je suis venu savoir comment vous vous sentez aujourd'hui? Et peut-être, me permettez-vous de vous inviter à diner quand vous aurez fini votre travail »
Il semblait gêné de sa demande. Kairi, elle, en était ravi bien que c’était plutôt à elle de l’inviter étant donné ce qu’il avait fait pour elle.
« Merci de votre invitation mais se serait plutôt à moi de vous inviter que le contraire »
Elle appréciait vraiment son invitation. Cela ne faisait que confirmer sa gentillesse aux yeux de la jeune femme.
« Kairi »
La jeune femme se retourna vers son employeuse qui, entre temps, était remontée de la réserve.
« Oui ? »
« Vous avez bien travaillez aujourd’hui et étant donné ce qui c’est passé hier, vous pouvez prendre le reste de votre après-midi. Je finirais de ranger les derniers vêtements »
« Merci, Madame »
Kairi se retourna vers Hirano.
« Est-ce que ça vous tente d’aller manger une glace. Là, c’est moi qui offre ! »
Elle était aux anges. Hirano était revenu la voir et elle pourrait profiter du reste de l’après-midi en sa compagnie. Enfin, dans la mesure où il voudrait bien.
-
Le cœur battant Hirano observa le jeune Kairi remonter. Elle était resplendissante, comme si il n'y eu jamais eu cette agression. C'est les sourire au lèvre que la jeune femme accepta l'invitation. Elle aurait plutôt voulut que se soit elle qui l'invite pour le remercier. Hirano voulut rétorquer en lui disant que ce n'était rien, qu'il avait fait sa naturellement. Mais sa patronne remonta et l'interpella
La discussion qui s'en suivit, Hirano ne l'attendait pas dut tous. Mme Hasuki, la patronne de Kairi, permit à la jeune femme de terminer sa journée. Hirano en fut heureux, il allait passer du temps avec cette personne qu'il appréciait tant. Puis la Kairi se retourna et dit avec son sourire, un sourire auquel Hirano adorait voire sur les lèvres de la jeune femme.
-Est-ce que ça vous tente d’aller manger une glace. Là, c’est moi qui offre !
Tous souriant, Hirano répondit sans hésitait
-avec grand plaisir !
Cela dérangeait Hirano de se faire offrir une glace par Kairi, mais si cette dernière en était ravi c'était tous se qui comptait. Après avoir salué la responsable du magasin, les deux jeunes gens en sortir et Hirano se laissa guider par Kairi dans les rue de Seikusu. Pendant la marche, Hirano ne pouvait s'empêcher de regarder Kairi. Il se disait combien il la trouvait belle et combien sa compagnie était agréable, le jeune hommes sentait son cœur palpiter en sa présence. Pendant leur ballade, Kairi et Hirano discutèrent, quelques minutes de marche après, ils arrivèrent vers une petite caravane qui vendait des glaces. Après avoir choisit chacun leur glace, ils allèrent s'assoir plus loin sur un banc.
Hirano détendit les bras et s'installa confortablement sur le banc a coter de Kairi.
-je vous remercie beaucoup pour la glace.
Hirano était tous souriant. Il était heureux de voire que Kairi aille mieux qu'hier. Puis soucieux de savoir si d'un coup cette dernière c'était bien remis, il lui posa la question suivante.
-comment vous vous sentez, êtes vous remis de cette agression?
Le visage de Hirano semblait soucieux, mais après avoir était rassuré. Hirano repris son sourire et continua sa manger sa glace. Les deux jeunes gens discutèrent de tous et de rien. Puis vint un moment où Hirano lui posa une autre question.
-êtes vous seul dans la vie ? Enfin ce que je veux dire c'est si vous êtes avec quelqu'un en ce moment? Si ce n'est pas trop indiscret
le cœur de Hirano c'était mis à accélérer subitement, le jeune homme se demandait si il avait pas fait une bêtise en posant cette question. Puis il voulut se rattraper et changer de sujet.
-en faite, vous pouvez me tutoyer si vous le voulait. J'aime pas trop qu'on me vouvoie. Je ne suis pas si important que cela.
Hirano tenta de faire une petite blague mais sans succès enfin il le croyait. Le jeune homme ne semblait plus rien contrôler, il se passait quelque chose en lui qui le perturbait et le faisait faire n'importe quoi- il était très gêné par cette situation.
-
Cette fin d’après-midi avait si bien commencée. Hirano avait accepté son invitation à manger une glace. Elle aimait sa présence et lui la sienne apparemment. C’était si agréable. Kairi avait du mal à se rappeler la dernière fois où elle s’était sentie aussi bien. Mais, à croire que quand tout va bien, il faut bien quelque chose pour venir perturber la bonne humeur ambiante. Les questions que lui posait Hirano si elles étaient justifiées lui firent mal.
« Êtes-vous seul dans la vie ? Enfin ce que je veux dire c'est si vous êtes avec quelqu'un en ce moment? Si ce n'est pas trop indiscret »
Cette question, Kairi s’y attendait. Son regard se voilà et son sourire disparu.
« En faite, vous pouvez me tutoyer si vous le voulez. J'aime pas trop qu'on me vouvoie. Je ne suis pas si important que cela »
Hirano essayait de détourner un peu la conversation mais le malaise de Kairi persistait. Tout lui paru bien sombre à présent. Elle n’essayait même pas de cacher son malaise. Elle n’en avait pas la force.
« Non, je… je n’ai personne – un léger sourire aux lèvres – tu peux aussi me tutoyer »
Elle essayait de faire un effort pour Hirano. Après tout, il était revenu la voir, il l’avait invitée au restaurant. Ce n’était pas la peine de lui gâcher la soirée avec ses problèmes.
Elle se mit à regarder le sol. Les souvenirs étaient encore si douloureux. Si elle avait été seule, elle se serait mise à pleurer. Là, elle se retenait. Elle ne se rendait même pas compte de la glace qui fondait et lui coulait sur la main. Les souvenirs et le visage d’un autre homme s’imposaient à elle. Elle ferma les yeux en espérant que quand elle les ouvrirait, ses images auraient disparu. C’était stupide et inutile, la jeune femme le savait, mais elle l’espérait.
Tout à coup, elle se rappela la présence d’Hirano et dans le même temps, elle se rendit compte que sa glace fondait sur sa main.
« Oulala, ça fond vite »
Elle essaya maladroitement de plaisanter. Prenant sa glace dans son autre main, elle se mit à lécher ses doigts couverts de glace fondue. Puis, elle se mit à manger le reste de sa glace. Cela lui laissa quelques minutes pour se reprendre. Elle retrouva un peu son sourire.
« Et toi ? Tu as quelqu’un ? »
Là, c’est elle qui se mit à rougir de sa question et qui, à son tour, essaya de changer de sujet.
« Tu m’as dit que tu étais au lycée. Je te voyais plus âgé. Tu as quel âge ? »
Dans le genre indiscret, on ne pouvait pas faire entre ses deux questions. La jeune femme rougit de plus belle. Elle ne savait plus où se mettre. Mais au moins, sa gêne remplissait sa tristesse et sa douleur.
-
La question de Hirano avait créé un malaise et le jeune homme en était conscient. Bien que Kairi lui répondit avec un sourire forcé qu'elle était seul et qu'il pouvait aussi la tutoyer, mais le regard de la jeune femme s'était a présent perdu dans le vide. Il se passa un long silence qui avait mis Hirano mal à l'aise mais en sa question en avait fait tous autant pour Kairi, voir pire.
Hirano s'en voulait, pourquoi il avait posé cette stupide question? pourquoi il voulait savoir sa ? Ce n'était pas ses affaires. Pendant le cour instant que le silence avait duré, et qui avait paru une éternité pour Hirano, ce dernier s'en prenait à lui même. Puis enfin Kairi se remit à parler et fit une remarque sur sa glace. Puis enfin elle demanda à son tour.
-Et toi ? Tu as quelqu’un ?
Hirano s'attendait à cette question. Il vit Kairi rougir légèrement et elle continua avec une autre question.
-Tu m’as dit que tu étais au lycée. Je te voyais plus âgé. Tu as quel âge ?
Après cette dernière question, ses joue rougissait de plus en plus. Cela fit rire Hirano qui lui répondit le plus sincèrement possible.
-moi ?! Non je ne suis avec personne, en réalité je ne suis jamais sortie avec quelqu'un
termina avec un grand sourire. À par quel que rare aventure, le jeune homme n'avait connu personne qui lui prenait tous son intérêt puis il enchaina avec une mine un peu plus sérieuse.
-j'ai vingt-et-un an et oui je suis encore au lycée, je suis même le plus vieux de ma classe. Pour dire vrai, c'est une longue histoire qui m'a amené à terminer mes études dans ce lycée.
Hirano ne pouvais s'empêcher de penser à sa famille qui devait surement trouver un moyen de s'auto-détruire. Puis il conclut avec le même sourire d'avant.
-enfin c'est du passé sa, sa vaut pas la peine de revenir la dessus.
Malgré tous, Hirano sentait bien que ce qu'il avait dit a fait beaucoup de mal à Kairi et il s'en voulait toujours. Le cœur battant, le jeune se risqua un truc, il voulait se faire pardonner. Il laissa aller sa main qui se posa sur celle de Kairi et la referma de manière attentionnée. Il la regarda dans les yeux et avec un air sérieux il lui dit.
-Kairi! Je suis conscient que ma question de toute à l'heure t'a fait beaucoup de peine et j'en suis navré. Je ne voulais pas te faire souffrir c'est la dernière chose auquel je souhaiterai... Je te demande pardon pour le mal que je t'ai causé.
Hirano se perdait dans les beau yeux de Kairi, son cœur avait pris une vitesse phénoménale.
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Kairi fut heureuse d’apprendre qu’Hirano n’avait personne. Elle ne savait pas vraiment pourquoi mais elle était heureuse. Le fait qu’il est 21 ans le rapprochait d’elle.
Tout à coup, elle sentit la main d’Hirano se refermer sur la sienne avec beaucoup de douceur.
« Kairi! Je suis conscient que ma question de toute à l'heure t'a fait beaucoup de peine et j'en suis navré. Je ne voulais pas te faire souffrir c'est la dernière chose auquel je souhaiterai... Je te demande pardon pour le mal que je t'ai causé »
Kairi fut surprise par son attention et sa douceur à son égard. Mais cela lui faisait un peu peur. Elle avait appris, à ses dépends, que parfois la gentillesse cachait de vrais monstres. Elle espérait qu’Hirano n’était pas comme ça. Qu’il était aussi gentil et doux qu’il le paraissait. Malheureusement, il n’y aurait que le temps pour le lui apprendre.
Hirano lui plaisait. Son physique, sa douceur, sa gentillesse, sa prévenance, ses rires. Oui, elle l’appréciait vraiment beaucoup. Mais elle ne pouvait occulter une ombre qui se dessinait et se dessinerait derrière chaque homme qu’elle croiserait. Mais, malgré tout, Kairi savait aussi que tous les hommes ne ressemblaient pas au fantôme de son passé.
Elle sourit à Hirano et prit sa main. Elle appréciait son contact. Elle voulait lui donner une chance, à lui et à elle.
« Ce n’est rien. C’est ma faute. C’est une vieille… histoire. Je suis désolé de t’avoir embêté avec ça. Ça ne doit pas nous gâcher la journée »
Son sourire était revenu. Elle avait décidé de vivre au mieux cette journée en compagnie du jeune homme.
« Moi, j’ai 25 ans pour info »
Elle éclata de rire à sa propre phrase. C’était un peu bête de le dire, mais bon. Il lui avait dit le sien. Elle pouvait bien lui rendre la pareil. Mais son sourire s’effaça soudain devant une sourde inquiétude.
« Tu me trouves peut-être trop vieille ? »
Elle n’avait pas rajoutée trop vieille pour lui mais c’était le sens de sa question. Il préférerait peut-être être avec une fille de son âge plutôt qu’avec elle.
-
Kairi fut visiblement surprise de l'action de Hirano. Mais ce dernier en fut heureux de sentir la main de la jeune femme se refermer sur la sienne, Hirano n'avait pas remarqué avant combien celle-ci était une infini douceur. Puis elle sourit enfin à Hirano, c'est à ce moment là que ce dernier compris combien le bonheur de Kairi lui était important.
Il avait fini par se l'avouer à lui-même, cette belle femme avait pris une place importante dans son cœur depuis le premier jour où il l'avait rencontré et il lui fallut tous ce temps pour enfin le comprendre. Ce n'était pas évident pour Hirano, il n'avait jamais eu de petite amie et ce sentait un peu perdu. Mais une chose dont il était sur, il voulait, non... il devait la rendre heureuse.
-Ce n’est rien. C’est ma faute. C’est une vieille… histoire. Je suis désolé de t’avoir embêté avec ça. Ça ne doit pas nous gâcher la journée
-non ce n'est pas grave, et si on allait manger à se restaurant ?
Le bonheur de la début de journée était enfin revenu et les deux jeune gens se levèrent pour se diriger au lieu que Hirano pensait aller. En route, Kairi lui lâcha suivit d'un rire
-Moi, j’ai 25 ans pour info
son éclat de rire fut accompagné de celui de Hirano. Puis soudainement elle s'arrêta de rire et lui demanda un peu plus sérieusement.
-Tu me trouves peut-être trop vieille ?
Hirano pouvait sentir une certaine inquiétude. Puis pour la rassurer il éclata de rire et lui dit avec une grande gentillesse.
-mais pas du tous, tu n'es pas vieille, encore moins à mes yeux.
Puis pour continuer à rire Hirano ajouta.
-moi je t'aurais plutôt donné l'âge de quelqu'un de 18-19 ans.
C'était en réalité un compliment détourné sur sa beauté. Enfin les deux jeunes gens arrivèrent dans un petit restaurant chinois. Il furent accueillit par un serveur qui leur plaça a une table sur la terrasse et leur donna les cartes pour commander.
-surtout n'hésite pas, choisit ce que tu veux. Aujourd'hui tu te fais plaisir, tu le mérite.
Oui elle le méritai depuis sa journée d'hier où elle n'avait pas eux beaucoup de chance. Hirano n'avait pas beaucoup d'argent, mais il avait fait très attention pour en avoir assez pour offrir ce repas à Kairi. Il devrait se priver de deux trois truc, mais pour lui ce restaurant était plus important.
-tu trouve ton bonheur?
Demanda Hirano en souriant à Kairi
-
Elle fut heureuse qu’Hirano la trouve plus jeune que son âge. C’était gentil de sa part comme toujours depuis qu’elle avait fait sa connaissance. Kairi et lui marchèrent un moment en discutant de tout et de rien, en plaisantant. Finalement, ils s’arrêtèrent devant un restaurant chinois comme le signifiait l’enseigne représentant un dragon crachant le feu.
Un serveur vint à leur rencontre et les installa sur la terrasse. Il faisait si beau, ça aurait été dommage de manger à l’intérieur. Autant profiter du beau temps. La jeune femme en était ravie mais c’était surtout Hirano qui rendait sa journée plus belle. Le serveur leur apporta la carte et les laissa choisir.
« Surtout n'hésite pas, choisit ce que tu veux. Aujourd'hui tu te fais plaisir, tu le mérite »
Kairi appréciait sa délicatesse et sa prévenance. Il n’y avait pas à dire, ce jeune homme était vraiment charmant. Elle lui sourit de plus belle, illuminant tout son visage. Elle porta alors son regard sur le menu. Tout lui semblait excellent. Difficile de faire son choix. En plus, même si Hirano lui avait dit de prendre ce qu’elle voulait, la jeune femme ne voulait pas abuser non plus. Ça n’aurait pas été correct. En plus, il était au lycée, il ne devait pas avoir énormément d’argent.
Ce fait la frappa tout d’un coup. Elle avait un travail et le salaire qui allait avec même si celui-ci n’était pas mirobolant, il lui permettait de vivre correctement. Mais lui, il devait être limité financièrement. Hirano ne lui avait pas parlé de sa famille. Elle ne devait pas l’aidé. Elle ne voulait pas se montrer indiscrète. Si un jour, il voudrait lui parler de sa famille, il le ferait. Mais elle ne voulait pas le questionner. Après tout, elle aussi avait des choses dont elle préférait éviter de lui parler, au moins pour le moment.
« Tu trouves ton bonheur ? »
La question d’Hirano la sortit de ses pensées. Il lui souriait.
« Oh euh… - Elle réfléchit quelques instants – des calamars sauce piquante avec du riz. J’adore quand c’est épicée »
Elle lui souriait à nouveau. Hirano rendit les cartes au serveur et commanda leur plat à tous deux. Ils discutèrent un moment en attendant leur plat. Le serveur arriva rapidement avec ceux-ci.
« C’est délicieux »
C’était un verdict sans appel de la part de Kairi quand elle eu prit sa première bouchée. Ils mangèrent en silence un moment. Chacun d’eux appréciant son propre plat. Une idée vint à l’esprit de la jeune femme.
« Si ça te dis et si, croisons les doigts, le temps reste toujours aussi beau ça te tenterait d’aller à la plage. Samedi, je travail mais dimanche, je suis libre. On pourrait pique-niquer là-bas si tu veux ? Je préparerais tout. A moins que tu ais quelque chose d’autres de prévu ? Tu rentres peut-être chez toi le week-end ? »
Elle espérait que non. Vu qu’il ne semblait pas parler de sa famille, il restait peut-être à l’internat le week-end.
-
Le repas se déroulait plutôt bien, l'air ambiante était excellente, le repas un vrai régale et son invitée était une beauté sans égale. Si on devait demander à Hirano c'est quoi la soirée parfaite, il aurais surement répondu que c'était celle-ci.
Durant le repas, l'entente entre ces deux jeune gens était au plaisir et à la plaisanterie. Hirano n'arrivait pas à détourner le regard du visage de Kairi, il était sous le charme de cette personne. Il n'avait jamais croiser une personne avec qui il se sentait aussi bien. Pendant le repas Kairi eu une bonne idée et demanda très légèrement gêné
-Si ça te dis et si, le temps reste toujours aussi beau ça te tenterait d’aller à la plage. Samedi, je travail mais dimanche, je suis libre. On pourrait pique-niquer là-bas si tu veux ? Je préparerais tout. A moins que tu ais quelque chose d’autres de prévu ? Tu rentres peut-être chez toi le week-end ?
Hirano fut heureux de cette invitation. Le dimanche il ne faisait jamais rien et cela lui paru être une excellente idée. De plus il avait entendu que le beau temps durerais jusqu'à mardi. Sans la moindre hésitation Hirano accepta.
-non je reste au pensionnat du lycée. Sa pourrait être sympa de faire un pique-nique à la plage.
Hirano souriait. Lui qui avait prévu de passer son dimanche dans la bibliothèque pour continuer de compléter le manuscrit. Le reste de la soirée se déroula sans incident. Kairi et Hirano apprenait plus l'un de l'autre et Hirano l'apprécier de plus en plus. La fin du repas arriva et le dessert fut un vrai régale. Au moment de terminer se diner, Hirano alla à la caisse régler la note, ce restaurant lui avait laisser presque sans-le-sous mais Hirano se promit qu'à partir de lundi il e chercherait un petit travail. Puis soudainement il eu un type qui arriva dans le restaurant, un vendeur de fleur qui s'amuse à aller de restaurant en restaurant pour vendre des roses. Juste avant de se faire chasser par les serveurs et comme il restait encore assez d'argent, Hirano lui pris une fleure. Après avoir réglé la note, Hirano rejoignit Kairi et lui donna la fleure.
-c'est pas grand chose, mais je pensais que sa te ferais plaisir.
Hirano toujours gêner par ce genre de situation se disait qu'il manquait de délicatesse. Puis les deux jeune gens s'en allèrent. Hirano voulait raccompagner Kairi jusqu'à chez elle avant de retourner au lycée. Le chemin du retour fut très agréable et quand il fut enfin arrivé jusqu'au pallier de la porte de Kairi. Se dernier lui dit.
-j'ai passé une excellente journée en tas compagnie. Je vais devoir e laisser ici et rentrer au lycée.
Hirano voulait partir mais quelque chose au fond de lui l'en empêchait, il voulait encore profitait de la présence de Kairi autant qu'il le pouvait
-
Kairi était enchantée par le fait qu’Hirano veuille aller avec elle à la plage. Décidément, la journée se déroulait merveilleusement bien. Le repas était délicieux et Hirano était d’une compagnie charmante. Leur repas terminé, il s’absenta pour aller régler l’addition.
Kairi l’attendait dehors en profitant des derniers rayons de soleil. Lorsqu’il revint, il lui apporta une jolie rose qu’il venait d’acheter.
« C’est pas grand chose, mais je pensais que sa te ferais plaisir »
"Oh merci, c'est si gentil à toi!"
Il semblait un peu gêné. Mais son attention toucha beaucoup la jeune femme. Elle prit la rose qu’il lui tendait. Le jeune homme insista pour la raccompagner. Kairi ne chercha pas à l’en dissuader, elle aimait trop sa présence.
C’était bizarre. Elle se sentait si bien avec lui. Cela faisait si longtemps qu’elle n’avait pas ressentie ça. Kairi se demanda si, d’ailleurs, elle avait déjà ressentie. Finalement, sa réponse fut non. En fait, elle n’avait jamais ressentie ça pour personne.
Ils discutèrent sur le chemin menant son appartement. Le trajet lui paru extrêmement court. Trop court, à son goût. Elle aurait bien voulu qu’il se prolonge toute la soirée et même toute la nuit pour rester en compagnie d’Hirano.
Ils s’arrêtèrent devant sa porte.
« J’ai passé une excellente journée en ta compagnie. Je vais devoir te laisser ici et rentrer au lycée »
Malgré ces mots, il ne semblait pas vraiment vouloir s’en aller. Et elle, elle n’avait pas envie qu’il s’en aille.
« Ça te dirait de venir boire un café ou un thé avant de rentrer ? »
Elle baissa les yeux. Elle sentit ses joues devenir complètement rouge. Mais malgré son embarras, elle espérait bien qu’il resterait encore un peu auprès d’elle.
-
Alors que Hirano s'était enfin persuadé de repartir quand Kairi lui demanda, légèrement gêné.
-Ça te dirait de venir boire un café ou un thé avant de rentrer ?
C'était pour Hirano le même dilemme. Rentrer pour se reposer afin de rattraper son retard scolaire ou rester et profiter de la présence de Kairi. La dernière fois, il l'avait énormément regrettait et comme il voulait pas la quitter comme sa il préféra accepter.
-oui avec plaisir.
Hirano était joyeux, un peu plus il exprimait sa joie. Il avait du mal à la contenir. La jeune femme permit à Hirano de renter chez elle. C'était un petit studio qui devait se composer que d'une à trois pièces seulement. Des signes montrait que Kairi venait d'à peine emménager dans cette appartement. Des cartons pas déballé. Un cruelle manque de meuble.
Quand elle proposa qu'est ce que Hirano voulait boire, celui ci lui répondit qu'il prenait du thé. En ttemps réelle, il aurai choisit du café, mais comme Kairi était allé dans la cuisine préparer du thé il ne voulait pas trop la déranger. Cette dernière lui indiqua ou Hirano pouvait s'assoir et continua dans sa cuisine. Ce dernier s'assis sur la table basse.
Le salon et la cuisine ne faisait qu'un pièces et Hirano adorait voir Kairi bouger dans sa cuisine. Tous ses mouvements était calculé et d'une infinie douceur, du moins c'est ce que Hirano pensait. Ce dernier était littéralement sous le charmes de la belle. Quand elle revint avec du thé et qu'elle le servit, Hirano lui dit.
-merci. c'est mignon ici, tu viens d'emménager ?
Hirano regardait Kairi, il ne la lâcher pas du regard. Son cœur battait a une vitesse hallucinante. Puis Hirano senti en lui un besoin qui n'avait jamais réellement eu auparavant. Un besoin d'être proche de la jeune femme. Ce dernier se rapprocha d'elle et continua à parler.
-tu habitait ou avant ?
Hirano n'avait toujours pas décroché son regard de Kairi quand il porta sa tasse de thé à sa bouche et qu'il bu une gorgé.
-HOULA C'EST CHAUD!!
Hirano était tellement perdu dans ses pensé qu'il avait pas fait attention que le thé était encore bouillant.
-
Elle fut ravie qu’il accepte son invitation. Elle glissa sa clé dans la serrure et ouvrit la porte.
« Ne fais pas attention au désordre »
Elle ponctua sa remarque d’un petit rire. Elle déposa son sac au sol et se dirigea vers la cuisine. Elle commença à mettre de l’eau à bouillir.
« Assieds-toi où tu veux. Qu’est-ce que tu veux boire ? Café ou thé ? »
Il lui répondit du thé. Kairi prépara les tasses et choisit son meilleur thé. Elle espérait qu’il l’apprécierait. Quand tout fut près, elle déposa le tout sur un plateau et alla le poser sur la table basse. Elle s’assit sur ses genoux et commença à servir Hirano.
« Merci. C’est mignon ici, tu viens d'emménager ? Tu habitais où avant ? »
Kairi remarqua qu’il s’était rapproché d’elle. Cela l’amusa. Il semblait ne pas pouvoir se passer de sa présence tout comme elle avait du mal à se passer de la sienne. Il ne la quittait pas des yeux. Elle en était plus que flattée. Elle se sentait belle quand il la regardait ainsi. Elle pensait être une fille assez ordinaire. Mais quand Hirano la regardait, elle se sentait vraiment belle.
« HOULA C'EST CHAUD ! »
Kairi sursauta. A force de se concentrer sur elle, il n’avait pas fait attention à la température de son thé. Il reposa la tasse brutalement sur la table. L’eau était encore très chaude.
« Ça va ? »
Kairi s’inquiétait pour lui mais ne put s’empêcher de rire. Elle n’aurait jamais pensé que quelqu’un pourrait se brûler la langue juste parce qu’il la regardait. Elle se leva et se dirigea vers la cuisine. Elle prit un verre qu’elle remplit d’eau et l’apporta à Hirano.
« Tient ça calmera un peu la douleur – elle rajouta avec un sourire malicieux – je ne pensais pas que j’avais le pouvoir d’hypnotiser quelqu’un au point de lui faire se brûler la langue ! »
Elle rit à nouveau. Elle ne se moquait pas bien au contraire. Elle était désolée pour Hirano. Dans un geste spontané, elle s’approcha de lui et déposa un rapide baisé sur ses lèvres.
« C’est pour m’excuser vu que tu t’es brûlé par ma faute »
Elle lui souriait toujours, les yeux pleins d’étoiles. Elle l’avait embrassé dans un geste affectueux sans arrière pensée mais elle se rendit compte qu’elle avait apprécié le contact de ses lèvres. Elle rougit alors légèrement. Elle se sentait comme une adolescente de quinze devant le garçon qui lui plaisait et qu’elle n’osait pas abordée. Elle tenta de se donner une contenance en revenant sur le thé.
« Tu veux du sucre dans ton thé ? »
-
Hirano venait de se bruler la langue. L'attention qu'il portait à l'encontre de Kairi lui avait totalement détourné de son thé et il se brula avec.
-Ça va ?
Kairi avait sursauter autant que Hirano avait été surpris par la douleur. Puis elle se leva et se dirigea dans sa cuisine pour lui apporter un verre d'eau. La jeune femme rigolait du ridicule de la situation. Puis quand elle donna au jeune homme son verre, elle lui souriait et lui dit.
-Tient ça calmera un peu la douleur. je ne pensais pas que j’avais le pouvoir d’hypnotiser quelqu’un au point de lui faire se brûler la langue !
Kairi continuait a rire. À présent, la douleur s'était presque envolé et Hirano put se permettre de rire a son tour. Puis aussi soudainement que Hirano c'était brulé, Kairi se rapprocha du jeune homme et lui déposa sur ses lèvres un très léger baiser qui perturba Hirano. Avec son beau sourire,Kairi lança.
-C’est pour m’excuser vu que tu t’es brûlé par ma faute
puis elle se rendit compte de son acte et se mit à rougir. Pour Hirano, a jeune femme avait aussi ressenti la même chose que lui. Ce dernier se mit aussi à rougir face à cette situation. Il était très perturbait et ne savait pas quoi dire quoi faire. Ce malheureux contacte lui avait procuré tellement de sentiments. Puis, Kairi voulut changer de conversation en revenant sur le thé.
-Tu veux du sucre dans ton thé ?
-je prendrait deux morceaux de sucre dans le thé, merci.
Hirano avait répondu instinctivement. Pendant que la jeune femme lui servait le sucres. Hirano devait lutter contre lui-même. Devait-il partir?non c'est pas polie et que penserait Kairi de lui. Devait-il faire comme si de rien n'était, impossible! Le mal était fait. Alors devait-il succomber à la demande de son cœur? Hirano était complètement perdu, il avait peur et il stresser comme un ding. « tant pis » se dit-il, « je vais me laisser aller et arrêter de lutter » son cœur avait dépassé des record de vitesses.
Stressé et effrayé a la fois, Hirano se laissa aller, comme quand il avait décidé de retourner la voir. Il tendit sa main et pris celle de Kairi qui était en train de touiller dans sa tasse de thé. Leur regard se croisèrent et Hirano lui déballa ce qu'il avait sur le cœur.
-Kairi... heu...je...
Hirano éclaircissais sa gorge et repris.
-je... je dois t'avouer une chose. Depuis que je t'ai rencontré dans ce soir là, je n'arrête pas de penser à toi. Tu hante mon esprit. À chaque fois que je ferme les yeux je te vois. Quand je suis loin de toi, je me sens seul et abandonné. Tu es dans ma tête autant que tu es dans mon cœur.
Hirano se sentait libéré d'un poids qui pesait dans son cœur. Il se sentait léger. Puis la crainte survint. Hirano se douter que sa déclaration avais eu l'effet d'une bombe et qu'à partir de maintenant des choses allait changer en bien ou en mal. Il lâcha la main de Kairi et baissa la tête honteusement.
-je me rend compte à présent de la gravité de mes paroles. Si tu désires ne plus jamais me voir après sa je comprendrais. Tous ce que je désire ce n'est plus ni moins que ton bonheur.
-
« Je prendrais deux morceaux de sucre dans le thé, merci »
Son détournement de situation avait marché. Grâce au ciel ! Elle s’occupa du sucre et lui en mit deux dans sa tasse. Elle était très gênée de la situation. Son baiser avait été spontané, elle n’avait pas vraiment réfléchie à ce qu’elle faisait. Mais elle se demandait si, au fond, elle n’en avait pas eu envie. Elle se concentra sur sa propre tasse et se mit à remuer sa cuillère afin de refroidir son propre thé.
Le silence s’installa. Hirano semblait gêné, lui aussi, par la situation. Elle avait peur de l’avoir froissé. Elle craignait de le voir s’en aller. Elle se reprocha son comportement. Timidement, elle jeta un coup d’œil vers le jeune homme assis auprès d’elle. Il en fit de même.
« Kairi... heu...je... »
Elle eut très peur de ce qu’il allait dire. Elle l’entendit s’éclaircir la voix. Elle retint sa respiration, s’attendant au pire.
« Je... je dois t'avouer une chose. Depuis que je t'ai rencontré ce soir là, je n'arrête pas de penser à toi. Tu hantes mon esprit. À chaque fois que je ferme les yeux, je te vois. Quand je suis loin de toi, je me sens seul et abandonné. Tu es dans ma tête autant que tu es dans mon cœur »
Kairi ne s’attendait pas du tout à une telle déclaration. Elle qui était persuader qu’il allait s’en aller à cause de son baiser. Elle était sous le choc. Elle ne pensait qu’il ressentait ça pour elle. Elle regarda Hirano, il semblait soulagé comme débarrasser d’un fardeau. Elle-même se sentait heureuse. Même si la déclaration était inattendue, elle n’en était pas moins agréable.
Elle sourit. C’était bien la première fois qu’on lui disait ce genre de choses. Son cœur battait la chamade. Elle avait l’impression d’être sur un petit nuage.
« Je me rend compte à présent de la gravité de mes paroles. Si tu désires ne plus jamais me voir après ça, je comprendrais. Tous ce que je désire ce n'est plus ni moins que ton bonheur »
Hirano semblait inquiet par sa réaction. Il semblait avoir peur qu’elle ne partage pas ses sentiments. Kairi ne savait pas trop comment réagir. Tout son cœur lui disait qu’elle ressentait la même chose pour lui, que lui pour elle. Mais sa raison lui disait de se méfier. Une ombre se dessina soudain dans son ciel bleu. Cela la rendit particulièrement malheureuse alors.
Elle s’était trompée une fois. Son cœur ne supporterait un deuxième choc. Malgré tout ce qu’elle ressentait pour Hirano, elle devait être prudente. Elle devait se protéger. Mais elle ne voulait se séparer d’Hirano. Elle tenait bien trop à lui. Mais comment lui expliquer ?
Kairi soupira. Elle n’avait pas le choix à présent. Elle devait lui parler ou elle risquait de le perdre.
« Je… je suis très touchée par tes paroles. Vraiment ! Et je dois bien avouer – elle sourit et rougit en même temps – Que je ressens les mêmes choses pour toi. Je me sens si bien avec toi, Hirano. Je me sens heureuse et je me sens triste quand tu n’es pas près de moi »
Elle respira profondément. Sa voix devint plus faible et plus triste.
« Mais je… je sais pas comment t’expliquer… mais… j’ai connu quelqu’un, il y a longtemps, au lycée. J’étais très amoureuse de lui et lui de moi. Il était gentil et doux avec moi et puis… du jour au lendemain, il a changé. Il est parti – Les larmes commencèrent à couler sur ses joues – Je l’ai revue, ici, dans cette ville, il y a peu de temps. Mais il avait tellement changé. Il était charmant mais ce n’était plus le même. C’était un monstre, il était devenu un monstre. Il m’a fait beaucoup de mal, aussi bien physiquement que psychologiquement »
Elle éclata en sanglots. Elle n’osait même plus le regarder, tellement elle avait honte.
« Je t’apprécie vraiment, vraiment beaucoup. Mais j’ai si peur aussi. J’ai peur de me tromper. Je le supporterais pas. Si je n’écoutais que mon cœur. Je te dirais combien je tiens à toi… que je… que je t’aime… mais je ne peux pas. Je ne veux pas que tu t’en ailles, je ne veux pas te perdre mais je… je ne sais pas quoi faire. Pardonne-moi, je suis désolé. Si tu veux me quitter, t’en aller, je comprendrais »
Elle finit par s’effondrer sur la table, la tête au creux de ses bras. Elle était violement secoué par ses sanglots. Il allait s’en aller, l’abandonner. Elle le savait. Elle avait tout gâché. Mais qu’avait-elle donc fait ?
-
Kairi semblait très atteint par les paroles de Hirano. Le doute pouvait être perceptible dans son regard. Finalement, ses joue prirent une teinte rougeâtre et elle dit.
-Je… je suis très touchée par tes paroles. Vraiment ! Et je dois bien avouer Que je ressens les mêmes choses pour toi. Je me sens si bien avec toi, Hirano. Je me sens heureuse et je me sens triste quand tu n’es pas près de moi
Hirano se senti comme au paradis. Elle ressentait la même pour lui, que lui pour elle. Mais une ombre au tableau allait voilà et la joie de Kairi disparu. La tristesse ce noyait dans ses parole.
-Mais je… je sais pas comment t’expliquer… mais… j’ai connu quelqu’un, il y a longtemps, au lycée. J’étais très amoureuse de lui et lui de moi. Il était gentil et doux avec moi et puis… du jour au lendemain, il a changé. Il est parti
Kairi commençais à pleurer.
-Je l’ai revue, ici, dans cette ville, il y a peu de temps. Mais il avait tellement changé. Il était charmant mais ce n’était plus le même. C’était un monstre, il était devenu un monstre. Il m’a fait beaucoup de mal, aussi bien physiquement que psychologiquement
puis la pression vint éclater et la tristesse de la jeune femme la fit pleurer d'avantage. Hirano se sentait très mal pour elle.
-Je t’apprécie vraiment, vraiment beaucoup. Mais j’ai si peur aussi. J’ai peur de me tromper. Je le supporterais pas. Si je n’écoutais que mon cœur. Je te dirais combien je tiens à toi… que je… que je t’aime… mais je ne peux pas. Je ne veux pas que tu t’en ailles, je ne veux pas te perdre mais je… je ne sais pas quoi faire. Pardonne-moi, je suis désolé. Si tu veux me quitter, t’en aller, je comprendrais
totalement dévaster, Kairi s'effondra en sanglot sur table basse, sa tête dans ses bras. Hirano avait beaucoup de peine pour elle et pouvais que en être compréhensif. La pauvre fille avait été maltraiter parce qu'elle croyait être l'amour de sa vie, voire pire. En voyant cela. Hirano senti en lui un instinct de protecteur, il voulait être aux près d'elle pour la protéger et lui faire oublier ce lourd passé. Mais ce n'était pas un truc auquel il allait y arrivait seul. Pour cela Kairi devrait être avec lui, l'accepter. Hirano comprenait l'état, pour lui Kairi était perdu, seul, il se devait d'être là pour elle et c'est ce qu'il était décider à faire.
Il se leva et s'assit à coter d'elle. Passant sa main par dessus son épaule et lui faisant un très léger massage. Hirano lui dit tendrement.
-je comprend ce que tu ressens et je suis là. Kairi je t'aime... je t'aime de tous mon cœur. Je ne désire que ton bonheur. Jamais, tu m'entend ..?jamais je ne t'abandonnerais. À présent je comprend que tu sois perdu dans tes sentiments. Je te laisse deux choix. Si tu désires être seul se soir afin de te faire un peu de ménage dans tes sentiments, alors je m'en irais. Mais sache que je reviendrait demain pour voir comment tu te sens et si tu n'est pas à ton travail, je viendrais directement ici. Si par-contre tu n'as pas envi de rester seul. Je suis prêt à affronter la colère des professeurs pour rester avec toi cette nuit.
Hirano chercha à croiser le regard de Kairi délicatement avec sa main. Et d'une grande sincérité, il lui rajouta.
-je t'aime, je ne veux plus de voire souffrir et je suis prêt à faire n'importe quoi pour cela..
Hirano avait enfin réussi à accepter que c'était elle qui l'aimait plus que tous.
-
Kairi sentit la main d’Hirano sur son épaule. Un geste plein de douceur et de tendresse.
« Je comprends ce que tu ressens et je suis là. Kairi je t'aime... je t'aime de tout mon cœur. Je ne désire que ton bonheur. Jamais, tu m’entends ..? Jamais je ne t'abandonnerais. À présent je comprends que tu sois perdu dans tes sentiments. Je te laisse deux choix. Si tu désires être seul ce soir afin de faire un peu de ménage dans tes sentiments, alors je m'en irais. Mais sache que je reviendrais demain pour voir comment tu te sens et si tu n’es pas à ton travail, je viendrais directement ici. Si par-contre tu n'as pas envie de rester seule. Je suis prêt à affronter la colère des professeurs pour rester avec toi cette nuit »
Il l’aimait ? La jeune femme se demandait si elle avait bien compris les mots qu’il avait prononcés. Elle avait peur d’avoir mal compris à cause de ses larmes. Mais il chercha son visage, son regard. Quand elle le regarda dans les yeux, elle comprit qu’Hirano avait bien prononcés ces paroles. Il lui souriait avec une infinie tendresse.
« Je t'aime, je ne veux plus te voir souffrir et je suis prêt à faire n'importe quoi pour cela… »
Elle savait qu’il pensait sincèrement ce qu’il lui disait. La main qui lui tenait le visage était d’une grande douceur. Elle appréciait son contact. Elle se sentait si bien auprès de lui. Elle comprit alors qu’elle ne pouvait pas tout le temps se protéger. Elle allait devoir prendre un risque pour savoir si Hirano était bien ce qu’il semblait être. Elle espérait que se soit le cas.
Elle tenta de lui sourire. Ses larmes s’étaient calmées.
« Je ne vais pas te mentir. J’ai envie que tu restes avec moi cette nuit. Je n’ai pas envie de rester seule. Mais je ne veux pas non plus que tu ais des problèmes au lycée et surtout pas à cause de moi »
Elle posa sa main sur celle qu’il avait posée sur son visage. Elle la fit glisser jusqu’à ses lèvres et y déposa un léger baiser.
« Merci d’avoir compris et de ne pas être partie »
Elle lui laissait le choix à présent. Quoiqu’il décide, elle savait qu’il ne la laisserait pas et qu’il la protégerait.
-
Hirano voyait que Kairi reprenais du poile de la bête. Ses larmes avait cessé et cela enjoua Hirano. Très faiblement, Kairi sourit à Hirano et dit
-Je ne vais pas te mentir. J’ai envie que tu restes avec moi cette nuit. Je n’ai pas envie de rester seule. Mais je ne veux pas non plus que tu ais des problèmes au lycée et surtout pas à cause de moi
après cette déclaration qui avait ému Hirano, ce dernier vit que Kairi lui déposa un très léger baiser sur celle ci et continua ses remerciement.
-Merci d’avoir compris et de ne pas être partie
-rassure toi, je vais surement devoir rattraper en heure de colle. Mais cela est rien en comparaison de te savoir seul ici.
Hirano se mit à sourire et dit à Kairi.
-allez, se soir je vais m'occuper de toi.
Hirano se leva et aida Kairi à se lever aussi. comme il ne voyait ni canapé, ni lit, Hirano l'a dirigea vers une chaise et l'aida à s'installer le plus confortablement possible, Hirano hésitait a lui demander où est ce qu'elle dormait ne voyant pas de lit. Puis il alla vers la table basse et débarrassa cette dernière pour l'amener dans sa cuisine. Puis il revint vers elle en s'agenouilla au sol pour se mettre à sa auteur.
-tu veux que je te rapporte quelque chose ?
Puis il l'a regarda dans les yeux, comme si il était envouté par un maléfice quelconque. C'était pas du tous faux. Hirano était plus sous le charmes de la belle, mais il en était amoureux, un sentiment encore plus fort. Son cœur battait la chamade. Puis, doucement, tendrement. Il se rapprocha d'elle et lui dit.
-excuse moi, mais je vais de rendre quelque chose.
Il se pencha vers elle et commença à l'embrasser comme il ne l'avait jamais fait, comme il en rêvait de qu'il s'était rendu compte de combien il l'aimait. Il y mettait toute sa passion, toute sa tendresse dans se langoureux baiser. Cette grande action dura une éternité et quand leurs lèvres se détachèrent enfin, Hirano lui sourit et plaisanta.
-voila nous somme quitte à présent.
-
Elle fut heureuse qu’il décide de rester avec elle cette nuit. Il lui dit qu’il voulait prendre soin d’elle. Il l’accompagna jusqu’à une chaise et entrepris de débarrasser la table basse. Kairi se sentait un peu mal à l’aise de le voir faire le ménage. Mais cela ne semblait pas le déranger.
Elle le vit s’agenouiller devant elle. Leurs visages se trouvaient au même niveau. Il plongeait ses yeux dans les siens.
« Excuse moi, mais je vais te rendre quelque chose »
Elle le vit s’approcher d’elle. Hirano posa ses lèvres sur les siennes et l’embrassa. Ce baiser n’avait rien à voir avec celui qu’elle lui avait donné. Il était beaucoup plus profond, beaucoup plus passionné. Elle sentit sa langue s’introduire dans sa bouche et la caresser. Elle ferma les yeux pour apprécier ce baiser. Lorsqu’il quitta ses lèvres, elle était un peu déçue. Elle aurait bien aimé qu’il continu.
« Voila nous somme quitte à présent »
Il lui souriait. Elle en fit de même tout en rougissant. La jeune femme ne savait pas comment Hirano voulait passer la nuit avec elle. S’il voulait juste rester près d’elle ou s’il voulait aller plus loin. L’un comme l’autre lui convenait.
Elle se leva et se dirigea vers son armoire. Elle y prit son futon et l’étala sur le sol. Elle s’assit dessus et lui fit signe de la rejoindre. Hirano vint s’asseoir près d’elle. Elle ne savait ce dont il avait envie mais une chose était sûr, elle voulait encore sentir le contact de sa bouche. Elle se pencha vers lui et l’embrassa. Son baiser était tout aussi passionné que celui qu’il lui avait donné.
-
Quand ce doux baiser fut terminé, Kairi qui avait visiblement fortement appréciait ce baiser, au moins autant que Hirano. Se leva et alla vers son armoire. Elle en déplia un lit de cette endroit et s'assit dessus. Hirano avait enfin compris où Kairi dormait le soir. Puis, la jeune femme fit signe à a Hirano de venir s'assoir à coté d'elle. Ce que se dernier se pressa de faire.
Hirano stressait de se retrouver dans cette position. Il ignorait se qu'il allait ensuite ce passer, bien qu'une envi en lui lui disait de prendre la jeune femme dans ses bras.
Kairi se pencha et se mit à embrasser Hirano avec autant de passion que que ce dernier lui avait donné avant. Hirano adorait cette sensation. Il adorait sentir sa langue danser avec celle de Kairi. Sa respiration s'accélérer. Il se lâcha et pris la jeune femme dans ces bras. Il voulait la sentir contre lui, sentir son corps contre le sien. Respirer son odeur. Il ignora pas le faite que son corps demandait à se lier au corps de Kairi, au moins pour cette nuit. Hirano avait envi de la jeune femme. Tous en s'embrassant. Hirano se coucha sur le dos entrainant la belle jeune femme avec lui. Elle était arrivée couché sur tous le long du corps de Hirano.
Ce baiser dura encore plus long que le précédant. Quand il cessa, Hirano regarda Kairi dans les yeux et avec une main, il dégagea une mèche de cheveux qu'il plaça derrière l'oreille de la jeune fille.
-je t'aime.
Ce mot, Hirano ce l'était interdit de le dire. Mais depuis qu'il avait connu Kairi, il voulait et n'arrêtait pas de le dire. Ce qu'il ressentait pour Kairi était encore plus fort, il ne avait jamais sa jusqu'à maintenant.
Hirano se remis à embrasser Kairi. Laissant ses mains se balader sur le corps de la jeune femme. Il voulait d'elle, mais la respecter tous autant. Il n'irait pas plus loin tant que Kairi ne lui autorisait pas. Mais Hirano était fou d'elle.
-
Kairi sentit les bras d’Hirano l’entourer et la serrer contre lui alors qu’elle l’embrassait. Elle appréciait son contact. Elle aimait se sentir près de lui. La jeune femme commençait à avoir de plus en plus envie d’Hirano. Elle avait envie qu’il la touche, qu’il la caresse, qu’il l’aime. Elle sentait qu’il ferait attention à elle, qu’il serait doux avec elle.
Dans un mouvement, il bascula et se laissa aller en arrière tout en continuant de l’embrasser. Elle se retrouva ainsi allongée sur lui. Leurs deux corps collés l’un contre l’autre juste séparé par leurs vêtements.
Finalement, leurs bouches se séparèrent. Le regard de Kairi plongeait dans celui d’Hirano. Ce dernier remit une de ses mèches de cheveux derrière son oreille avec délicatesse.
« Je t’aime »
Ces trois mots, il les avait prononcés avec sérieux. La jeune femme sentit son cœur fondre. Comment en aurait-il pu être autrement ? Il était sincère, elle le voyait dans les yeux du jeune homme. Il rapprocha à nouveau son visage du sien et l’embrassa. Elle ne se fit pas prier. Elle l’embrassa passionnément. Elle aimait tellement son contact. Elle sentait ses mains sur son corps. Il la caressait. A chaque fois qu’une des mains d’Hirano la touchait, elle avait l’impression que de petites décharges électriques la parcouraient. Elle aimait ça.
Elle fit glisser sa bouche sur la joue du jeune homme puis sur son cou. Elle y déposa des baisers légers avant de remonter jusqu’au lobe de son oreille. Elle y donna de petits coups de langue et le suça quelques instants avant de revenir au creux de son cou.
Sa jupe limitait ses mouvements au dessus de lui. Elle aurait aimé être un peu plus libre de ses mouvements. Son corps commençait à désirer le corps d’Hirano. Kairi sentait ses seins poindre au travers de son chemisier blanc et de son soutien gorge. Ils se frottaient contre le torse du jeune homme.
Elle s’arracha au cou du jeune homme pour, à son tour, le regarder dans les yeux.
« Je t’aime »
Ces mots franchirent ses lèvres avec une facilité déconcertante. Elle ressentait cet amour au plus profond d’elle-même.
« Je t’aime. Je t’aime »
Elle les répétait comme une litanie. Elle se pencha alors sur lui et repris à nouveau sa bouche.
-
toujours sur lui, Kairi embrassait toujours Hirano. Il l'aimait tant, il adorait aussi sentir ses douce lèvres contre les sienne et sa langue contre la sienne. Puis Kairi se détacha de la bouche de Hirano se se laissa entrainer jusqu'à son cou. Qu'elle se mit à embrasser. Hirano avait des frissons qui lui parcourait l'échine. De délicieux frissons. Puis elle remonta jusqu'à son oreille pour lui donner quelque coup de langue dessus et enfin la prendre dans sa bouche et le lui sucer. Tous ce que lui faisait Kairi était une délicieuse torture. Elle revint enfin dans le creux de son cou pour y rembrasser à nouveau.
Elle leva sa tête et fixa de nouveau le regard de Hirano et elle lui dit avec toute sa sincérité.
-je t'aime.
Hirano était comblé avec ses paroles. Lui aussi il l'aimait. Il sentit son coeur battre à tous rompre quand elle lui avait elle aussi avoué son amour.
-Je t’aime. Je t’aime
elle le répéta plusieurs fois avant de se remettre à l'embrasser. Hirano était devenu accroc à cette fille, il ne pourrait plus s'en passer d'elle. Le jeune homme sentait la douce poitrine contre son torse ce qui créa en lui une certaine excitation. Il l'a voulait. Dans ses embrassade, Hirano se risqua de glisser sa main sous la chemise de Kairi. Il voulait sentir sa douce peau. Il voulait sentir se peau contre la sienne.
Hirano la retourna pour se retrouver au-dessus sans pour autant lâcher cette embrassade qu'il aimait tant. Puis il se détacha de nouveau pour a son tour lui embrasser son cou. Quand il eu fini, il lui murmura à l'oreille, tous gêné.
-je me sens si bien avec toi, j'ai envi de toi.
Ses joue devinrent rouge.
-
Kairi sentit la main d’Hirano se glisser sous son chemisier et poser sa main sur son ventre. Elle sentit ses muscles se tendre sous sa peau. Son contact était doux tout comme son baiser.
Dans un mouvement, il renversa la situation. C’est lui qui se retrouva au-dessus d’elle. Elle sentait le poids du jeune homme sur elle mais elle appréciait cela. A son tour, il se mit à embrasser son cou. Elle ferma les yeux pour mieux apprécier ce contact.
Les mains de la jeune fille parcouraient le corps d’Hirano, son dos, ses épaules, ses hanches.
Elle sentit son souffle contre son oreille. Il lui murmura :
« Je me sens si bien avec toi. J’ai envie de toi »
A son tour, elle lui murmura :
« Je t’aime. Moi aussi, j’ai envie de toi – son ton devint alors à peine audible et ses joues s’empourprèrent – Aime moi »
C’était une demande presque une supplique. A son tour, elle passa ses mains sous son T-shirt et se mit à le caresser. Elle sentait sa peau si douce. Avec douceur et tendresse, ses mains parcoururent son dos, le long de sa colonne vertébrale, ses côtes.
Les joues toujours aussi rouge, elle entreprit de lui enlever le T-shirt qu’il portait.
-
Dans un murmure, Kairi lui répondit avec les joue aussi rouge que celle de Hirano.
-Je t’aime. Moi aussi, j’ai envie de toi, Aime moi
les deux dernier mots était à peine inaudible, mais Hirano l'avait bien entendu. Cette invitation était ce que le jeune homme attendait. Les mains de la jeune femme avait passé sous son t-shirt et elle lui caressait son corps et l'enlaçait. Hirano adorait sentir sa douce peau contre la sienne. Il appréciait cela. Puis en se levant légèrement, Kairi lui ôta son vêtement. Hirano se retrouvait à présent torse nu.
Toujours sur la jeune femme. Hirano l'embrassa de nouveau et en même temps il se mit à déboutonner son chemisier. Doucement, Hirano descendait le long de sa poitrine et termina son déboutonnage sur le ventre. Ce ventre auquel il y baissa sa tête et commença lui déposer de très léger baiser dessus. Jouant avec son nombril en le tournant autour, il lui déposait une multitude de doux baiser. Puis Hirano remonta tous en continuant ses baiser jusqu'à sa séduisante poitrine, puis jusqu'à son torse pour passer sou son cou et enfin terminer en l'embrassant.
Hirano trouvait Kairi très belle et il arrivait à se demander comment elle pouvait le trouvait. Mais pour lui tant que Kairi était heureuse le reste ne l'importait peu. Il espérait seulement de pouvoir en être digne d'elle se soir.
Après avoir réussi à lui enlever son chemisier, Hirano la pris dans ses bras et le reembrassa de nouveau. Il caressa le ventre de Kairi avec sa main et la fit passer tous en longeant sont corps, dans son dos. Et d'une main il parvint à dégrafer son soutien-gorge. Un exploit auquel Hirano se demandait comment il y est parvenu. Chacun de ses mouvements était lent et doux, comme si il avait peur de lui faire mal.
Hirano retira le sous-vêtement de Kairi laissant dévoiler ses magnifique seins, Hirano commença à les caresser doucement, il les malaxer avec beaucoup de douceur.
-
Torse nu, Kairi trouvait Hirano vraiment beau. Il prit une nouvelle fois possession de ses lèvres tout en laissant ses doigts défaire son chemisier. Kairi frissonna lorsqu’il le lui enleva. Elle n’avait pas froid, elle était juste excitée par lui.
Hirano descendit son visage contre le ventre de la jeune femme et se mit à y déposer de doux baisers. Kairi adorait ça. Il faisait cela avec une grande douceur comme si elle était l’objet le plus précieux qui existait au monde. Il commença à remonter vers son visage en distribuant des baisers au passage jusqu’à atteindre ses lèvres.
Il glissa une main dans son dos et défit son soutien-gorge. Hirano commença alors à caresser ses seins avec une grande délicatesse. Kairi se rallongea sur le sol, se cambrant pour offrir sa poitrine aux caresses du jeune homme. C’était si agréable. Sa respiration devenait plus rapide et de légers gémissements commençaient à se faire entendre. Elle ne cherchait pas à se contrôler. Elle se laissait aller entre les mains d’Hirano. Elle lui faisait confiance.
Elle le regarda avec tout l’amour qu’elle éprouvait pour lui et caressa ses bras et ses épaules. Elle descendit le long de ses côtes pour atteindre les limites de son jean. Elle plaqua ses hanches contre celles d’Hirano. Elle sentait le désir monter en elle de plus en plus. Elle avait envie de lui.
-
Il était claire pour Hirano que Kairi prenait du plaisir au caresse que lui faisait Hirano. Elle gémissait légèrement et se cambrait sous ses caresse. Le jeune homme était très satisfait que ce qu'il créait en elle. Hirano continuait à masser ses seins avec beaucoup de tendresse. Puis il sentit les main de la belle sur ces bras qui glissèrent jusqu'à son pantalon. Il sentais que la jeune femme l'attirait contre elle. Hirano adorait se contacte de plus en plus intense. Et il adorait se perdre dans son regard amoureux.
Hirano se pencha sur ses seins et se mit à lécher le bout d'un de ses tétons qui avait durcit grâce à toute ses caresse. Il s'amusait à les titiller cherchant à lui procurer le plus de plaisir possible. Alternant d'un sein à l'autre, Hirano s'amusait beaucoup. Il les léchaient tous en les malaxant avec ses mains. Hirano mettait de petite pression sur son bassin pour sentir son intimider se frotter avec celui de Kairi, malgré la barrière de vêtements. Enfin il lâcha un des seins et alla caresser une hanche qui était à l'aire libre sous sa jupe.
Hirano se remit à descendre entre ses seins et puis vers son ventre tous en continuant ses légère léchouille. Il arriva vers son bas ventre à la limite de la jupe et il décolla sa tête de son corps.
Si Hirano avait interrompu son petit jeu là, c'était pour le reprendre sur une de ses jambes. Il remonta doucement vers sa culotte tous en continuant ses baiser. Puis une fois arrivé vers son intimité. Hirano entreprit d'enlever délicatement son sous-vêtement. Il le fit tomber a même le sol en le faisant glisser le long de ses jambes. Puis il approcha sa tête de son entré vaginal.
Doucement, mais surement, Hirano commença lécher l'entré du sexe de Kairi en y pénétrant la langue de temps à autres.
-
Elle poussa un léger cri lorsqu’il prit un de ses seins dans sa bouche. Il se mit à le lécher et à le titiller avant de passer à l’autre. Kairi aimait vraiment ça. Elle frottait de plus en plus son intimité contre celle de son compagnon. Elle sentait, malgré le tissu, le désir qu’il avait d’elle.
Il commença alors à descendre vers son bas-ventre. Elle le laissa faire. Elle sursauta lorsqu’il passa sa main sur sa cuisse nue. Il lui enleva sa culotte et entrepris de lécher son sexe humide. Kairi haletait à présent, yeux fermés, ses mains se crispaient sur le futon sous elle. Elle sentait la langue d’Hirano pénétrer son vagin avec douceur provoquant une excitation sans précédent. Il lui donnait tellement de plaisir. Elle voulait aussi lui en donner.
Elle le repoussa et se redressa. Elle l’embrassa passionnément goûtant son propre goût dans la bouche d’Hirano. En même temps, qu’elle l’embrassait, elle descendit ses mains jusqu’à son jean. Elle caressa son sexe à travers le tissu. Elle se détacha de ses lèvres et le poussa doucement sur le sol. Elle se leva et retira sa jupe, son dernier vêtement. Puis elle revint auprès de lui. Elle embrassa son torse jouant avec ses tétons comme il le fit avec les siens descendant toujours plus bas. Elle prit sur elle de déboutonner son jean et de le faire glisser le long des jambes d’Hirano. Son sous-vêtement suivis. Il se retrouva nu devant elle, comme elle devant lui. Elle appréciait son physique, fin, aux muscles finement dessinés.
Elle se pencha vers le sexe tendu de son compagnon et commença à le caresser avec sa main. Son geste était plein de douceur et de tendresse. Elle voulait lui donner du plaisir. Elle espérait qu’il appréciait sa caresse. Elle finit par se pencher sur son membre pour le prendre dans sa bouche et commencer à le lécher. Puis, elle fit des mouvements de va-et-vient avec sa bouche. Elle continua un moment. Elle ne se forçait pas à le faire, elle appréciait ce qu’elle lui faisait. Elle finit par abandonner ses caresses buccales pour revenir vers son visage et l’embrasser en se collant tout contre lui.
-
Kairi réagissait bien face à toutes les attention que lui portait Hirano. Il adorait l'entendre gémir face à ses caresses. Quand Hirano avait pénétré sa langue dans son vagin, ce dernier sentit que Kairi se cambrer dans le lit, elle devait supporté les nombreux supplices qu'elle subissait de la par de Hirano.
Puis, Kairi fit stopper son action et elle se mit debout face à Hirano pour l'embrasser langoureusement. Les corps des deux amants se trouvèrent coller l'un à l'autre et Hirano adorait sentir la saillante poitrine de Kairi contre son torse.
Enfin Kairi s'éloigna de Hirano afin de retirer sa jupe, son dernier vêtement. Hirano trouvait Kairi très belle toute nue et enfin cette dernière se rapprocha et embrassa le torse de Hirano. Elle en profita pour déboutonner son pantalon de le faire tomber au sol avec sa culotte. Puis une fois cette action fait. Kairi commença à caresser tendrement le sexe de Hirano. Ce dernier adorait la douceur des geste de sa partenaire. Puis celle ci se baissa et continua ses caresse en y mettant le membre tendu du jeune homme dans sa bouche. Hirano fut extrêmement gêner par la situation. Mais les va et viens lui procurait tellement de plaisir qu'il ne dit rien et se laisser apprécier cette instant.
Après un interminable séance de détente. Kairi se remit debout et se colla contre Hirano pour l'embrasser. Hirano la pris dans ses bras collant le plus possible son corps contre le sien. Son membre était plaqué contre le bas ventre de Kairi et Hirano se dit qu'il passerait au niveau supérieur. Doucement, il pencha Kairi et la recoucha sur le futon. Ils avaient arrêté de s'embrasser et à présent il se regarder dans les yeux. Toujours aussi doucement et à l'aide de ses jambes. Hirano lui écarta les cuisses. Gentiment, sans mouvements brusque. Hirano était en train de pénétré son sexe dans celui de Kairi. Les respirations des deux jeune gens s'accéléraient pendant cette intrusion. Des que Hirano avait mit tous son sexe en Kairi. Ce dernier murmura une dernière fois à l'oreille de Kairi.
-je t'aime.
Aussitôt et doucement. Hirano se mit à faire des va et viens. Doucement tranquillement. Hirano était en train de faire l'amour à la femme qui l'aimait plus que tous au monde.
-
Hirano la regardait dans les yeux alors qu’il écartait ses cuisses et se glissa entre elles. Le cœur de Kairi s’accéléra tout comme son souffle lorsqu’il la pénétra. Il le fit lentement, en douceur. Il laissait le sexe de la jeune femme s’habituer au sien. Leurs souffles étaient devenus haletant pour tous les deux.
Hirano se pencha et murmura à son oreille :
« Je t’aime »
Puis il commença à aller et venir en elle avec tellement de douceur, tellement de tendresse. La jeune femme se demanda commet elle avait pu douter de lui, de son amour pour elle. Seul un homme amoureux pouvait faire l’amour aussi bien, aussi tendrement. Elle aussi, elle l’aimait. Elle le comprenait à présent. Elle serait prête à tout pour lui.
Elle passa ses bras autour de la taille d’Hirano et se mit à bouger au même rythme que lui. Ses hanches calaient leur vitesse sur celle de son compagnon. Elle embrassa son cou et lui murmura à l’oreille :
« Je t’aime tant »
Elle gémissait de plus en plus à chaque coup de rein du jeune homme. La tension augmentait dans tout son corps. Elle serra ses jambes autour de celles d’Hirano pour se maintenir au plus proche de lui.
-
Rien n'est comparable que l'union de deux corps des être qui s'aime. Hirano était en plein bonheur faisant ses va et vient dans le corps de la belle Kairi. Cette dernière enlaça le jeune homme et se mit à le suivre dans ses mouvements. Le plaisirs et le bonheur était au rendez-vous. Hirano ne s'était jamais senti aussi bien. Après l'avoir embrassait dans le creux de son cou, Kairi dit d'une faible voix.
-Je t’aime tant
Hirano ignorait qu'il existait un tel bonheur dans ce bas-monde. Plus les coups répété de Hirano se faisait plus, plus Kairi gémissait. Le jeune homme senti les jambe de Kairi se refermer sur lui. Hirano quand à lui, il serrait plus Kairi dans ses bras accélérant de plus en plus la vitesse de ses mouvements. Bien que faiblement perceptible, Hirano gémissait lui aussi. Son souffle allait aussi vite que son cœur.
Hirano allait aussi vite que son corps le permettait, perdu entre son souffle et les gémissement de Kairi. Hirano sentait en lui monter une force. Une force qui lui était de loin supérieur. Ses rapide mouvements s'intensifier et Hirano sentait qu'il allait jouir tantôt. Il espérait au fond de lui que sa partenaire serai aussi prête à connaître ce bonheur en même moment que lui.
Sa faisait un long moment que Hirano était parti dans des coups de reins rapide et frénétique. Il sentait le futon trembler sous les mouvements des deux amants. tenant sa belle dans ses bras, Hirano senti un puissante force partir en lui, comme un tremblement de terre, une explosion de bonheur. Les deux amants subirent tous deux un plaisir innommable. Hirano et Kairi jouissait en même temps. Toute la tension qui c'était accumulé toute au long de cette soirée c'était libéré d'un coup. Emportant les deux amoureux dans un plaisir insoupçonné.
Hirano reprenait son souffle de l'effort qu'il venait d'accomplir. Toujours dans couché dans le futon. Le jeune homme se coucha à coter de Kairi et cette dernière vint se coller contre lui. Hirano pouvait sentir encore le cœur de Kairi qui battait la chamade. Il regarda Kairi dans les yeux. Puis Hirano essaya de couvrir leur deux corps du mieux qu'il le put avec un couverture et avant que l'effort qui qu'il venait faire ne l'emporte, il lui dit.
-Kairi... je t'aime
il ne fallut pas longtemps pour que le sommeille ne l'achève. Hirano avait fait l'amour à la personne auquel il aimait, il s'était endormi heureux
-
Elle sentait son amant intensifier ses mouvements. Il allait de plus en plus vite. Le plaisir montait en Kairi. Elle sentait qu’elle n’allait plus tenir très longtemps. Elle espérait qu’ils jouiraient ensemble.
Les coups de reins d’Hirano devinrent plus fort, plus rapides. Kairi sentit qu’elle perdait pied. Elle cria en atteignant l’orgasme. Ce plaisir fut d’autant plus important qu’Hirano jouissait en même temps qu’elle. Le plaisir absolu, l’accord parfait entre deux corps, entre deux cœurs, entre deux êtres qui s’aiment.
La jeune femme n’avait jamais vécue ça auparavant, c’était nouveau pour elle. Elle avait vraiment l’impression d’être au septième ciel, sur un nuage. Elle sentait son corps se détendre.
Hirano se déplaça sur le côté. Kairi se redressa juste le temps d’éteindre la lumière avant de le rejoindre et de se blottir tout contre lui. Le jeune homme ramena la couverture sur eux. Kairi se sentait si bien. Une douce langueur la conduisait vers le sommeil.
« Kairi… Je t’aime »
Une fois de plus son cœur bondit dans sa poitrine en entendant ces mots. Elle se serra un peu plus contre lui et avant de sombrer à son tour dans le sommeil, lui murmura :
« Je t’aime aussi Hirano. Je t’aime plus que tout, mon amour ! »
Elle s’endormit alors, le sourire aux lèvres, contre le corps chaud d’Hirano.
-
il faisait sombre... Hirano ne voyait pas grand chose. Il fermait légèrement les yeux dans l'espoir d'apercevoir ou il avait atterri, mais rien. Dans sa recherche il voyait toujours rien. Il manqua dans tomber dans un bord similaire à une falaise. En expirant de joie, Hirano se retourna et fut surpris parce qu'il vit.
-Kairi !!
la jeune femme dont Hirano était amoureux se tenait devant lui à une bonne distance. Elle lui sourit et fit demi-tour pour disparaître dans la nuit. Hirano tenta de l'appeler et il se mit à courir, trébucha et sombra dans la falaise.
Hirano venait de faire surface. Il était dans le studio de Kairi et la jeune femme dormait encore contre lui. Il devait être très tôt. Il inspira et se détendit du mieux qu'il pouvait sans déranger sa bien aimé. Il la pris dans ses bras et se mit à songer. Le cauchemar qu'il venait de faire était l'incarnation de sa plus grande peur, celle de perdre celle qu'il aime. Il la tenais comme si il avait peur qu'elle s'envole subitement. Puis il réfléchis encore un moment. Une phase lui revenait dans la tête.
-Il m’a fait beaucoup de mal, aussi bien physiquement que psychologiquement
un homme dont Kairi était tombé amoureuse lui avait fait du mal beaucoup de mal. Elle avait du être maltraiter ou bien pire encore. La pauvre femme avait eu des moment dure dans sa vie. Hirano voulais la protéger, il voulait que plus jamais elle ne connaisse ces souffrances qu'elle à subit. Tous en y déposant un très léger baiser sur son front, il lui chuchota.
-Kairi... je t'en fais la promesse... je ferais tous ce qui est en mon pouvoir... je ferai l'impossible pour te protéger. Je ne permettrais à personne de te faire du mal. Plus jamais.
Hirano posa sa tête contre celle de Kairi. Cette promesse, il le faisait à la femme qu'il aime, mais aussi à lui même. Si il devait arriver quelque chose à Kairi, Hirano s'en voudrait toute sa vie. C'est sur cette pensée que Hirano se rendormis.
Quand il se reveilla, il trouva avec une grande joie Kairi qui devait c'être aussi réveillé.
-bonjour, bien dormi?
Hirano était au paradis.
-
Kairi sombra dans un sommeil emplit de doux rêves. Hirano était près d’elle, ils vivaient ensemble, ils s’aimaient. Un rêve qui semblait à la fois bien ordinaire mais aussi si merveilleux pour elle.
Elle se réveilla lorsqu’un rayon de soleil vint lui chatouiller le visage. Elle ouvrit les yeux et vit Hirano contre elle. Il dormait. Elle n’osa pas bouger de peur de le réveiller. En plus, elle n’avait pas envie de quitter le refuge des bras d’Hirano. Elle le regarda dormir. Elle contemplait son visage, la douceur de ses courbes. Elle respirait l’odeur de sa peau. La jeune femme souriait. Elle se sentait si bien.
Il était l’homme de sa vie. Cette vérité s’imposa à elle. Elle le connaissait depuis deux jours seulement mais n’avait attendu que lui toute sa vie. Il la protégerait, jamais il ne lui ferait de mal et il ne laisserait jamais personne lui en faire. Elle en était certaine.
Hirano se réveilla alors. Il ouvrit les yeux et la contempla avec tout l’amour du monde dans ses yeux.
« Bonjour, bien dormi ? »
Il lui souriait. Elle se blottit tout contre lui.
« Oui, très bien et toi ? »
Elle se laissait aller contre lui. Elle serait bien rester ainsi toute la journée mais elle devait… Elle se redressa d’un coup et le regarda.
« Quelle heure est-il ? Il faut que j’aille au travail ! Oh mon dieu, et toi, tu dois aller au lycée ! »
-
Hirano se sentait vraiment bien. La voire sourire ainsi lui donnait en lui une certaine motivation. Il l'aimait tant et ne voulait plus la quitter.
-Oui, très bien et toi ?
-je ne me suis jamais senti autant bien
Hirano se sentait tellement bien dans ses bras. Il voulait bouger du tous mais Kairi ne l'entendit pas de cette oreille. Elle se leva d'un bond et commença à paniquer
-Quelle heure est-il ? Il faut que j’aille au travail ! Oh mon dieu, et toi, tu dois aller au lycée !
Hirano souriait en la voyant ainsi, Hirano n'avait pas prévu d'aller à l'école aujourd'hui, il voulait rester au près de Kairi, mais finalement il se dit qu'il devrait au moins finir les cours de la journée. Il se leva et pris Kairi dans ses bras. Il l'a regarda et d'une voix rassurante il lui dit.
-pas besoin d'angoisser, on à un peu de retard c'est pas bien grave.
Il l'embrassa tendrement.
-je t'aime. Allez on se retrouve ce soir ? Je viens te chercher après l'école.
Hirano voulait vraiment rester avec elle. Mais c'est cour n'était pas si évident que cela. Il s'habilla et après voir embrassé une dernière fois Kairi, il pris le chemin du lycée.
-et bin tu ne t'es pas ennuyé mon jeune ami !
Hirano fut surpris de voir Grendel le petit démon. Ce dernier n'avait pas du tous lâché Hirano de toute la soirée et il était au courant de ce qu'il avait fait ce soir là.
-alors tu as trouvé la femelle de ta vie ?
-on peu dire sa
le petit démon et Hirano discutait sur le chemin du lycée. Hirano était vraiment heureux d'avoir rencontré Kairi et il voulait ne plus jamais la quitter. Soudain Grendel souleva une question importante.
-comment pense-tu qu'elle réagira si elle découvrait ce que tu mijote avec ce manuscrit.
C'est vrai sa. Hirano n'avait jamais pensé à sa. ses rechercher le pousse souvent dans des histoires compliqué et sa lui arrivait de risquer sa vie pour parvenir à ses fins. Jusqu'à présent, Hirano eux beaucoup de chance d'être encore en vie. Il avait peur ces histoires fasse fuir Kairi ou qu'elle soit mise en danger par sa faute.
-et ta promesse que tas faite sur Terra?
-ma promesse ? Terra ?!?
Hirano était de plus en plus surpris de ce qu'il entendait.
-il semble que tu t'en souvienne pas encore, t'inquiète sa va venir.
Les dernière paroles du démon lui fit froid dans le dos. Il eu pas le temps d'y demander d'avantage car il fut arrivé au lycée. Hirano passa une mauvaise journée. Entre les professeurs qui lui prenait la tête pour son retard, les réprimandes qu'il recevait parce qu'il avait la tête ailleurs mais ce qui le tracassait le plus, c'était le faite Kairi allait apprendre tôt ou tard les rechercher qu'il mène mais aussi qu'il serai amener à retourner sur Terra. Le jeune homme était perdu. La fin des cours sonna enfin et Hirano pris quand même le temps de se doucher et de se faire beau pour aller voir Kairi au magasin. En route Grendel le suivait.
-alors tu vas tous y raconter?
-j'en sais rien
Hirano avait pas envi de la perdre à cause de sa. finalement, il préféra ne lui dire pour le moment. Il préférait attendre le bon moment. Hirano entra dans le magasin d'habile en faisant résonnait la clochettes. Son cœur battait fort à l'idée de voire la femme de son cœur.
-
Kairi paniquait. Hirano se leva et la prit dans ses bras pour l’apaiser.
« Pas besoin d'angoisser, on a un peu de retard c'est pas bien grave – il l’embrassa - Je t'aime. Allez on se retrouve ce soir ? Je viens te chercher après l'école »
Elle hocha la tête. Elle le regarda s’habiller. Elle fut prise d’une angoisse. Elle n’avait pas envie de le voir s’en aller. Lorsqu’il lui déposa un dernier baisé et franchit la porte de son appartement, elle eut envie de lui courir après et de lui dire de rester avec elle. Mais ce n’était pas raisonnable.
Elle se sentait seule. Elle alla dans la salle de bain pour prendre une douche rapide. Elle se coiffa et enfila un tailleur mauve. La couleur lui rappelait celle du T-shirt d’Hirano. Elle regarda la pièce et se dit qu’elle rangerait tout ça ce soir. Avant de partir, à son tour, elle mit la rose qu’il lui avait offerte dans un verre d’eau.
*Il faudra que j’achète un vase !*
Elle avait complètement oublié la pauvre fleur avec tout ce qui s’était passé hier soir. Elle sourit et rougit en même temps. Elle se sentait si bien, si heureuse. Elle finit par quitter son appartement et rejoignis au pas de course son magasin.
Elle franchit la porte tout essoufflée. Sa patronne leva les yeux vers elle.
« Je… je suis désolée pour le retard. Ça n’arrivera plus »
Mme Hasuki sourit, compréhensive.
« Il n’y a pas de mal »
La jeune femme se mit à rougir. Apparemment, sa patronne avait plus ou moins deviné la raison de son retard. Kairi se dépêcha d’aller déposer ses affaires avant de se mettre aux rangements des vêtements et à l’accueil des clients.
Sa journée fut bonne mise à part qu’Hirano lui manquait. Mais son travail lui permit de déverser son trop plein d’énergie et de lui occuper l’esprit. Lorsque 17 heures approcha, le cœur de Kairi battait à tout rompre et elle se mit à sursauter à chaque fois qu’elle entendait la clochette tinter.
Finalement, elle le vit pousser la porte et entrer dans le magasin. Elle aurait voulu lui sauter au cou et l’embrasser mais la présence de clients dans la boutique l’en empêchaient.
Elle se dirigea vers lui tout sourire. Elle lui parla tout bas afin qu’il soit le seul à l’entendre.
« Bonjour, mon amour. Je suis désolé, je peux pas quitter le magasin. Il y a des clients et Mme Hasuki est absente pour toute l’après-midi. Je suis bloquée ici jusqu’à 19h »
Elle était désolée de ça mais elle ne pouvait pas faire autrement.
-
Hirano avait le cœur qui battait très fort et très vite quand il l'a vit. Elle s'approcha de lui et lui parla à voit basse
-Bonjour, mon amour. Je suis désolé, je peux pas quitter le magasin. Il y a des clients et Mme Hasuki est absente pour toute l’après-midi. Je suis bloquée ici jusqu’à 19h
Hirano tourna la tête et put voir que deux trois clients attendait sur elle au comptoir. Hirano était quelque peu déçut mais en même temps c'était tout à fait normal. Elle ne pouvait pas toujours quitter son travail avant l'heure. Hirano se dit à ce moment là qu'il pourrait en profiter pour faire un tour voire si il peut trouver un petit travail quelque part. Il allait pas faire perdre plus de temps la son amour. Il lui répondit avec le sourire.
-il y à pas de soucies, je vais revenir alors.
Il n'eut peu s'empêcher le prendre dans ses bras et y déposait un rapide baiser et il lui dit à voit basse.
-je t'aime... mon amour.
C'était la première fois que Hirano appelait quelqu'un comme sa, sa lui donnait un sentiment bizarre mais pas désagréable. Il laissa aller Kairi a ses occupation et il se dirigea vers la sortie. En tournant la tête pour regarder la femme de sa vie, il ne put que constater ce cette dernière était effectivement débordé. Une idée lui vint en tête et il s'en voulait de pas l'avoir eu plus tôt. Il fit demi-tour et se dirigea vers le comptoir. Il s'y appuya dessus au détriment des autres clients et s'adressa à Kairi.
-je voit que tu es quasiment noyé sous le travail.
Il contourna le comptoir et se rapprocha de la jeune femme et l'aida avec un carton.
-si tu veux je peu t'aider au magasin, dit moi juste ce qu'il faut faire et je le ferai.
Hirano attendait la réaction de la jeune femme avec toujours le même sourire. Il était prêt à faire ce qui Kairi lui montrerai.
-
Quand il lui proposa son aide, Kairi en fut ravie. Surtout qu’elle avait beaucoup de travail.
« Je ne suis pas contre »
Elle lui demanda de ranger les vêtements pour les clients pendant qu’elle encaissait. Kairi remarqua qu’il se débrouillait très bien. Il était aimable et serviable auprès des clients. Lorsque ces derniers furent partis, elle demanda au jeune homme de l’aider à remonter les cartons de vêtements se trouvant au sous-sol. Elle devait les ranger sur les étagères du magasin. Ils n’arrêtèrent pas de travailler tout le reste de l’après-midi. Hirano acceptait toutes les tâches qu’elle pouvait lui confier.
Quand 19 heures sonna, Kairi soupira.
« Enfin, on va pouvoir souffler »
Elle sourit au jeune homme avant d’aller mettre la petite pancarte « fermé » sur la porte d’entrée.
« Je peux pas encore partir. Je dois m’occuper des comptes »
Elle s’installa au comptoir et se mit à compter l’argent de la caisse.
« Je suis désolé de te faire attendre mais Mme Hasuki me fait confiance et je n’aime pas faire les choses à moitié »
Elle lui souriait tout en comptant les billets et les reçus. Kairi le laissait libre dans la boutique. A par la comptabilité, elle n’avait plus rien à faire puisqu’il l’avait aidé à tout ranger et étiqueter. Elle en était heureuse. Son cœur battait à tout rompre quand Hirano était près d’elle. Elle levait les yeux de temps en temps juste pour le regarder et lui adresser son plus beau sourire.
Une demi-heure plus tard, elle avait terminé. Elle descendit au sous-sol pour mettre l’argent dans le petit coffre du bureau. En remontant, elle lança à Hirano d’une voix des plus joyeuses :
« Fini. Qu’est-ce que tu veux faire ? – elle se rapprocha de lui et déposa un baiser sur ses lèvres – Tu veux qu’on aille quelque part ou… tu veux qu’on aille chez moi ? »
Avant d’avoir sa réponse, elle passa ses bras autour de son cou et l’embrassa. Elle en avait envie depuis qu’il était entré dans le magasin mais le travail l’avait submergé.
-
Kairi avait accepté non sans plaisir l'aide que lui proposer le jeune homme. Hirano passa le fin de journée à rangé nettoyer et toute sorte de travaux que Kairi pouvais lui donner. Les rare moments ou Hirano avait un contactes avec un client, il se montrait toujours patient et polie. Le jeune homme savait que si il faisait quelque chose de mal, cela retomberais forcément sur la celle pour qui son cœur bat.
19 heure arriva enfin. Hirano voyait Kairi se reposer un moment. Le jeune avait vécu qu'un parti de la journée que faisait tous les jours la jeune femme. Cette dernière alla fermer la porte et posait la pancarte indiquant que le magasin était clos après lui avoir adresser un sourire que Hirano trouvait radieux. Enfin la jeune femme s'assit au comptoir et s'occupa de l'argent récolté pendant la journée. En adressant un nouveau sourire et se pardonna.
-Je suis désolé de te faire attendre mais Mme Hasuki me fait confiance et je n’aime pas faire les choses à moitié
-il y à pas de problème, prend tous ton temps.
Hirano lui souriait, il pouvais faire n'importe quoi pour elle même attendre. Pour patienter Hirano fit un tour dans le magasin. Il regarda les habilles et de temps à autres jeta un œil sur Kairi et lui répondait à ses sourire en souriant a son tour.
Enfin, la jeune femme fini son travail et alla apporter l'argent au sous-sol et remonta. Elle s'approcha de Hirano et avec un voix joyeuse et lui dit.
-Fini. Qu’est-ce que tu veux faire ?
Elle alla tout contre lui et lui déposa un tendre baisé
-Tu veux qu’on aille quelque part ou… tu veux qu’on aille chez moi ?
Sur ces mots Kairi enlaça Hirano et l'embrassa langoureusement. Hirano quand la lui l'enlaça autour de la taille pour la sentir contre lui. Quand ce doux baisé fut terminé. Hirano lui dit en souriant.
-J'irais où tu iras, on peu très bien rester ici
ces dernier mots, Hirano les prononça pour plaisanter. Pour lui tous lui convenait tant qu'il était avec la femme de son cœur.
-
« J'irais où tu iras, on peut très bien rester ici »
Il souriait en prononçant ces mots. Kairi le regarda et jeta un coup d’œil autour d’elle avec un regard malicieux. Elle considérait sérieusement la question de rester ici. Mais finalement y renonça.
« Dans l’absolu, pourquoi pas mais je ne me sens pas de le faire ici »
Son sourire espiègle ne l’avait pas quitté. Elle regardait le jeune homme qui la tenait dans ses bras, tout contre lui. Pour elle aussi, sa place était où se trouverait Hirano. Elle se blottit dans ses bras en le serrant fort comme pour s’assurer qu’elle ne rêvait pas, qu’il était bien en chair et en os.
« Si on rentrait chez moi. J’ai envie d’être seule avec toi »
Elle releva la tête et l’embrassa. Elle se dégagea, à contre cœur, de son étreinte et alla prendre ses affaires. Elle sortit et laissa Hirano sortir avant de tout fermer à clés. Pour rentrer chez elle, elle se blottit contre lui et le prit par la taille comme si elle ne pouvait se passer de son contact.
Arriver chez elle, en ouvrant la porte, elle se rappela le désordre de la pièce. Le futon et les couvertures toujours au milieu de la pièce. Elle sourit à Hirano.
« Au moins, on aura pas à les sortir ! – elle se tourna vers lui – Et maintenant, que veux tu faire, mon amour ? »
-
Kairi se mis à regarder autour d'elle comme si elle chercher le moindre signe qui pourrait trahir leur présence. Puis elle fini pour lui avouer.
-Dans l’absolu, pourquoi pas mais je ne me sens pas de le faire ici
Hirano riait du faite que la jeune femme avait pris au sérieux ce qu'il disait. Au moins Hirano savait que Kairi le suivrait mais qu'elle ferait encore preuve de bon sens, il savait aussi que si il lui arriver de prendre une mauvaise solution, il pourrait compter sur elle pour le ramener sur le bon chemin. Hirano senti la prise de Kairi de raffermir et elle se blotti contre lui.
-Si on rentrait chez moi. J’ai envie d’être seule avec toi
-oui, faisons cela, passons plutôt un soirée tranquille toi et moi.
Hirano était à cent pour-cent d'accord avec sa bien aimée. Ce dernier voulait absolument passer un moment en sa compagnie. Elle l'embrassa et s'éloigna pour terminer deux trois truc et revint se blottir contre Hirano. Tous comme la jeune femme, Hirano ne pouvait pas de se passer du plaisir contacte physique que lui procurait Kairi. Dans la rue on aurait dit deux tourtereaux. La vérité n'en était pas éloigner, ces deux personnes s'aimaient.
Les deux amoureux arrivèrent enfin dans le studio de Kairi. Hirano, tous comme Kairi, n'avait plus pensé au désordre qu'ils avaient laissé la veille. La jeune femme se tourna et lui dit avec un sourire radieux.
-Au moins, on aura pas à les sortir ! Et maintenant, que veux tu faire, mon amour ?
Hirano s'approcha d'elle et la prend par la taille. Il plongea ses yeux dans dans ceux de Kairi et lui dit.
-ce que je veux faire? Je veux simplement passer un beau moment dans avec toi mon amour.
Hirano approcha ses lèvres et les colla contre celle de Kairi. Il l'embrassa langoureusement. Le jeune homme s'amusait à introduire sa langue dans la bouche de Kairi et à aller chercher la sienne. Dans cette embrassade, Hirano dirigea doucement la jeune femme vers son futon et il s'amusa à la coucher dessus. Il stoppa ses baisé et regarda la jeune femme dans les yeux.
-je t'aime Kairi, je t'aime.
Hirano repris ses baisé. Le jeune homme ressentait le besoin de lui exprimer son amour pour elle
-
Alors qu’il l’étendait sur le futon et les couvertures froissées de leur nuit passée, Hirano lui dit à nouveau ces mots qu’elle chérissait tant.
« Je t’aime, Kairi, je t’aime »
Il reprit alors ses lèvres. Elle aussi, elle l’aimait. La jeune femme se laissa aller sous les baisers d’Hirano. Elle avait envie de se faire choyer, aimer par lui. Elle laissa les mains du jeune homme la caresser à travers ses vêtements, ses lèvres se poser sur sa bouche, ses joues, son cou. Elle fermait les yeux, se concentrant sur les sensations qu’il lui prodiguait.
« Je t’aime ! »
Elle lui murmura ses mots tout doucement, avec toute la tendresse qu’elle éprouvait pour lui.
Son corps semblait s’animer sous les caresses du jeune homme comme si chaque partie de son corps avait une existence qui lui était propre. A son tour, elle se mit à embrasser ses joues, son cou, comme il l’avait fait pour elle.
Leurs deux corps se pressaient l’un contre l’autre, voulant encore apprendre à se connaître. Ils voulaient encore goûter l’un à l’autre ainsi que deux assoiffés dans le désert qui pensaient ne jamais pouvoir calmer leur soif.
Kairi attendait le bon vouloir d’Hirano. A lui de choisir ce qu’il voulait faire d’elle. Elle voulait juste être à lui totalement.
-
aucune attente,rien. Hirano voulait de Kairi ici et maintenant. Il l'aimait et la désirait. Jamais Hirano ne se lassera de son corps et de ses baisers. Jamais il se lassera d'entendre et de lui « je t'aime. ». les caresses que lui faisait Hirano était une des meilleurs manière de lui exprimer combien il la désirait.
Ses caresses fusait sur tous le corps de Kairi tendit que les deux amants s'embrassait passionnément. Hirano adorait sentir la jeune femme contre lui, sentir sa langue contre la sienne. Hirano ne se gênait plus face à celle qu'il aime. Il voulait lui donner tous le plaisir qu'elle voudrait. Doucement, Hirano ouvrit les bouton du tailleur de Kairi dévoilant la belle dans ses sous-vêtement qui la mettait en valeur Hirano était sous le charme de la belle femme et son envi de lui faire du bien ne fut que augmenté. Il passa sa main sur son corps en lui caressant le ventre, les cotes puis enfin son dos.
Tous en douceur, le jeune homme descendit sa main le long de son ventre et s'immisça dans la jupe et la culotte de Kairi. Toujours avec la même attention, Hirano se mit à lui caresser ses lèvres internes. Puis ils quitta enfin la bouche de la jeune femme et descendit jusqu'à son cou pour l'embrasser dans le creux de cette zone.
Hirano pénétra alors, avec deux doigts, le sexe de Kairi et commença à lui faire des va et vient tout en douceur. Le jeune homme adorait la voir se cambrer ainsi sous les actions de sa main. Hirano ne voulait pas arrêter ce supplice que subissait la jeune femme. Et pour rajouter a son plaisir. De son autre main, Hirano défit le soutien-gorge de Kairi et lui ôta. Il commença à jouer avec de sa bouche avec ses seins.
-
Son corps s’embrasait toujours davantage à chacune des caresses que son amant lui prodiguait. Sa langue jouait avec la sienne alors qu’il faisait courir ses mains sur elle, défaisant ses vêtements. Elle sentit sa main s’insinuer dans sa culotte et commencer à la caresser de l’intérieur. Elle gémit et se cambra. Elle voulait sentir ses doigts encore plus en elle. Hirano préparait son sexe à le recevoir. Cela excitait terriblement la jeune femme.
Lorsqu’elle sentit qu’il lui enlevait son soutien gorge et qu’il prenait ses seins dans sa bouche, elle entoura d’une main la nuque du jeune homme et passa l’autre sous T-shirt et s’agrippa à son dos. Elle le plaqua encore plus contre elle. Lorsqu’il commença à bouger plus vite ses doigts en elle, elle s’accrocha encore plus à lui, enfonçant un peu les ongles dans la peau du jeune homme.
Elle se mit à bouger son bassin au rythme des doigts d’Hirano en elle. Elle écarta ses cuisses de manière quelque peu indécente, mais elle ne voulait pas s’entraver avec des tabous. Elle voulait juste obéir aux envies de son corps et se donner à Hirano totalement, sans fausse pudeur.
Son sexe trempé le voulait à présent. Elle glissa ses mains jusqu’au jean d’Hirano et le défit. Elle envie de lui, là, tout de suite. Elle se moquait bien des vêtements, elle le voulait en elle. Son envie de lui était plus forte que tout.
-
Hirano prenait un grand plaisir à voir Kairi dans cette état. Elle semblait vraiment apprécier ces caresse et le jeune homme en était ravi. Quand Hirano se mit à jouer avec les seins de la jeune femme, cette dernière l'enlaça et Hirano senti les ongle de son amante se planter dans son dos. Une sensations vraiment étrange que Hirano adorait. Il sentait que Kairi bougeait au rythmes de ses doigts.
Le sexe de Kairi s'humidifiait tendit que Hirano accélérait le mouvements de sa mains. La jeune femme se mit à écarter les jambes comme pour inviter le jeune homme. Et Hirano voulait la prendre la comme sa. le faite que la jeune femme lui déboutonna son pantalon donna encore plus envi à Hirano. Bon tant pis.
Le jeune arrêta ces caresses interne et retira sa main. Il retira du même coup la culotte de Kairi il la posa juste à coter du lit. Il abaissa la sienne de culotte sortant son membre tendu. Il souleva les jambes de Kairi et s'approcha de son corps. Hirano enfonça son sexe dans le vagin de Kairi. Ce coup-ci s'était moins doux et plus intense. Les deux amants ce voulait l'un l'autre et rien n'y personne ne pourrais les empêcher de s'unir à nouveau.
Hirano se lançait dans une séries de va et vient plus endiablé que la dernière fois. Sa respiration s'accélérait. Le jeune homme passa un de ses bras sous une jambe de Kairi et la souleva le plus loin possible. Hirano voulait que Kairi prenne autant de plaisir qu'il en prenait lui-même.
-
Kairi comprit vite qu’Hirano avait autant envie d’elle, qu’elle de lui. Lorsqu’il la pénétra, elle poussa un léger. Pas un cri de douleur ou de surprise, mais un cri de plaisir. Il était plus empressé, plus fougueux que la nuit dernière. L’amour qu’ils avaient l’un pour l’autre avait fait tomber toutes les barrières qui auraient pu les entraver.
Elle se mit à crier et gémir de plaisir lorsqu’il lui attrapa la jambe. Il allait tellement loin en elle, excitant son sexe à des endroits insoupçonnés de la jeune femme. Elle lui griffait le dos sans s’en rendre compte toute au prise avec la passion qui la prenait. Elle ne se contrôlait plus. Son corps s’accordait parfaitement à celui d’Hirano.
A chaque mouvement, Kairi s’approchait dangereusement de l’orgasme. Elle savait qu’elle ne tiendrait plus très longtemps. L’excitation était trop forte, l’envie de lui trop importante.
« Je… Je vais jouir - Elle le dit à voix haute sans retenue, sans honte – Je t’aime tant. Je t’aime, je t’aime »
Encore un peu et elle perdrait totalement pieds dans la réalité.
-
Les deux jeune gens faisait intensément l'amour. C'était comme si il avait été fait l'un pour l'autre. Kairi se laissait aller et criait et gémissait. Hirano sentait qu'il allait temps tôt jouir lui aussi. Ces mouvements ne ralentirent pas pour autant, le jeun homme sentait les ongle le traverser la peau tant la pression était élevé. Kairi était au bord de l'orgasme et se mit hurler
-Je… Je vais jouir Je t’aime tant. Je t’aime, je t’aime
Hirano ne pouvais plus rien dire tant la force de ses mouvements devenait intense. C'est poussant un râle de plaisir accompagné des cris de Kairi provoqué par un puissant orgasme, que Hirano éjacula avec une force qui le laissa complètement fatigué.
Le silence revint enfin dans le studio. Le seul bruit perceptible était les deux amants qui reprenait leur souffle. Les murs de ces lieux avait était, pour la deuxième journée consécutif, témoin de leur ébats. Il était plus que certain, à présent, que ces deux jeune gens était lié pour la vie.
À demi-nu, Hirano se mit sur le dos et se mit à réfléchir. Il tourna la tête et vit Kairi qui le souriait. En répondant a son sourire, Hirano la prend dans ses bras et la sert tous contre lui.
-je t'aime Kairi, je t'aimerais pour la vie, mon amour.
Bien que Hirano se montrait doux et attentionné, il y avait un truc qui le pesait, le manuscrit. Cette artefact lui avait causé beaucoup de tort et il avait peur pour Kairi. « Et si il lui arrivait quelque chose? Et si elle était blessé par ma faute » Hirano se posait des tas de questions.
-
Son orgasme fut violent et intense. Kairi se raccrocha à Hirano qui jouie en même temps qu’elle. Leurs cris se mêlèrent au même instant.
Le jeune homme s’écroula sur elle, épuisé par l’effort et le plaisir qui les avaient terrassés tous deux. Leurs souffles, comme leurs cris, se mêlaient à présent. Ils cherchaient à reprendre leurs respirations et leurs esprits. Comment pouvaient-ils être en si parfait accord ? Kairi n’avait qu’une seule réponse à cette question : c’était son âme sœur. La personne parfaite faites pour elle, son alter ego masculin, son reflet dans le miroir, l’homme de sa vie.
Il roula sur le côté. La jeune femme était toujours à moitié habillée ou déshabillée tout comme lui. Elle pencha la tête sur le côté et sourit à Hirano. Ce dernier l’attira à lui et la prit dans ses bras, tout contre lui.
« Je t'aime Kairi, je t'aimerais pour la vie, mon amour »
Elle soupira de plaisir et de bonheur dans ses bras. Ses bras étaient toujours aussi tendre et ces paroles toujours aussi vrai mais curieusement Kairi sentit qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas. Elle se recula et le regarda dans les yeux.
« Qu’y a-t-il Hirano ? Quelque chose ne va pas ? »
Son tos était doux mais inquiet tout comme son regard. Elle avait peur que quelque chose cloche.
-
Hirano était perdu dans ses pensés, quelque chose le tracassait. Kairi l'avait compris et après s'être un peu retiré pour le regarder droit dans les yeux, elle lui demanda avec un aire inquiet.
-Qu’y a-t-il Hirano ? Quelque chose ne va pas ?
Cela ramena le jeune homme dans la réalité. Il se mit à lui sourire et feint comme si de rien n'était.
-non, non, tous va très bien.
« menteur! » se dit t-il aussitôt. Pourtant, il ne semblait pas avoir laisser percevoir un moindre signe de malaise. Comment sa se fait qu'elle lui pose une telle question? A telle ressentit que quelque chose n'allait pas? Était ce le moment de lui avouer ce qu'il fait? Mais c'est que c'est pas si facile que sa. il faut pouvoir trouver le courage de le faire. Mais aussi, faut qu'elle croit a son histoire. Ce n'est vraiment pas facile.
Hirano connaissait à présent Kairi depuis deux trois jours. Il semblait tous connaître d'elle mais la jeune femme ne connaissait pas toute son histoire à lui. Hirano pris son courage à deux mains et se tourna sur le coter pour pouvoir voir Kairi en face de lui. Il posa le dos de sa main sur la joue de la jeune femme et la caressa avec une douceur.
-il faut que je t'avoue quelque chose.
Il avait pris un aire sérieux, son cœur battait la chamade sous l'effet du stresse et la peur de la perdre ce fit plus forte. Il continua ce qu'il voulait dire.
-voila... sa fait un bon moment que j'ai trouvé un objet. Je peu pas te dire se que c'est exactement ni comment sa marche, tu me croirait pas. D'ailleurs j'ai eu du mal à y croire moi aussi. Enfin, le fait est que cette objet me pousse dans des situations pas commode.
Hirano pris un air inquiet et rapprocha son visage près de celui de la jeune femme.
-Kairi... depuis que j'ai cette objet, je risque ma vie. sa attire des choses des tas de choses. Et j'ai peur... j'ai peur qu'il t'arrive quelque chose par ma faute. Je ne veux pas te perdre.
Pris par ses sentiments, Hirano embrassa celle qu'il aime comme c'était pour la dernière fois qu'il le ferais. Quand il eut fini de l'embrasser, Hirano lui.
-c'est trop compliqué à te dire se que c'est, le meilleur moyen, c'est je te le montre.
Hirano ne voulait plus avoir de secrets pour Kairi. Elle devait connaître l'histoire du manuscrit et de la responsabilité que Hirano porte telle un fardeau. Mais le jeune homme est parfaitement conscient que si il veut que Kairi soit en sécurité, il devrait ne plus la voire du tous et sa son cœur ne pourrais le supporter.
-
« Il faut que je t'avoue quelque chose »
Quand il prononça ces mots, la jeune femme eut très peur. « Lui avouer » ? Que pouvait-il bien lui avouer ? Se serait-elle trompée sur lui ? Non ! Impossible ! Son cœur ne s’était pas trompé. Elle avait confiance en lui. La preuve, il voulait lui en parler. C’était plutôt positif et plaidait en sa faveur.
« Voila... ça fait un bon moment que j'ai trouvé un objet. Je peux pas te dire se que c'est exactement ni comment ça marche, tu me croirais pas. D'ailleurs j'ai eu du mal à y croire moi aussi. Enfin, le fait est que cet objet me pousse dans des situations pas commodes. Kairi... depuis que j'ai cet objet, je risque ma vie. Ça attire des choses des tas de choses. Et j'ai peur... j'ai peur qu'il t'arrive quelque chose par ma faute. Je ne veux pas te perdre »
Il s’approcha d’elle et l’embrassa. Ce baiser fit peur à la jeune femme. Il l’embrassait comme s’il n’allait plus jamais le faire, comme si ils ne devaient plus jamais être ensemble. Kairi avait peur. Pas de ce qu’il disait mais de la manière dont il se comportait. Elle ne voulait pas le perdre, elle était prête à tout pour lui.
« C’est trop compliqué à te dire ce que c'est, le meilleur moyen, c'est je te le montre »
Elle ne savait pas de quoi il parlait mais cela semblait à la fois important et… dangereux. Hirano était devenu très grave. Elle ne savait pas de quoi il parlait mais elle était prête à le croire.
« Je ne comprend pas très bien à quoi tu fais allusion mais je te fais confiance. Je t’aime et jamais rien ne changera ça. Je veux que tu le saches. Quelque soit ton secret, le simple fait que tu es bien voulu m’en parler me touche beaucoup »
Elle lui sourit et l’embrassa.
« Je t’aime ! Ne doutes jamais de ça ! Si tu veux me montrer de quoi il s’agit, c’est d’accord. Je te suis. Mais ne te sens pas obligé »
La chose qui la tracassait beaucoup plus c’était quand il lui avait dit qu’il risquait sa vie. Ce fait ne lui plaisait pas du tout. Elle ne voulait pas le perdre. Elle l’embrassa à nouveau et se mit debout. Elle se rhabilla.
« Je suis prête à te suivre »
Elle prononça ses mots un grand sourire aux lèvres et pleine de la confiance qu’elle avait pour lui.
-
-Je ne comprend pas très bien à quoi tu fais allusion mais je te fais confiance. Je t’aime et jamais rien ne changera ça. Je veux que tu le saches. Quelque soit ton secret, le simple fait que tu es bien voulu m’en parler me touche beaucoup
bien que Kairi semblait avoir peur, ces paroles réchauffa le cœur de Hirano. Elle s'avança et embrassa le jeune homme et repris.
- Je t’aime ! Ne doutes jamais de ça ! Si tu veux me montrer de quoi il s’agit, c’est d’accord. Je te suis. Mais ne te sens pas obligé
Hirano se sentait rassuré à l'écoute de ses paroles. C'est incroyable de combien il pouvait l'aimer, Hirano était vraiment sur d'être tombé sur l'amour de sa vie.
-je ne me sens pas du tous obligé. Kairi je t'aime de tous mon cœur et je ne veux rien te cacher.
Kairi l'embrassa de nouveau et se leva avec une certaine motivation. Elle se rhabilla et, toute en affichant un sourire rassureur, elle lui dit qu'elle était prête à le suivre. Hirano sourit lui aussi et se leva pour imiter la jeune femme. Juste avant de quitter le studio, Hirano l'attrapas par derrière au et lui murmura juste avant de lui déposer un tendre baiser dans son cou.
-tu es formidable, je t'aime.
Il devait être entre huit et neuf heures quand le jeune couples se dirigea vers le lycée. Heureusement, il n'y avait pas encore eu le couvre feu et les deux jeune gens se dirigèrent vers la chambre de Hirano. En y franchissant la porte, Hirano prévint Kairi.
-heu j'ai pas eu le temps de ranger, fait pas attention.
Le lit était pas fait et divers livre emprunté à la bibliothèque trainait encore sur son bureau. Hirano et Kairi pénétra dans la chambre sous le regard malsain de Grendel. Hirano ouvrit un tiroir et en sorti un vieux livre dont la couverture de cuire noire était pas mal usé. Il le donna à la jeune femme. Le manuscrit contenais divers informations sur des créatures imaginaire et de nombreuse information indéchiffrable.
-tien c'est sa!
kairi le feuilleta un moment pendant que Hirano se plaça derrière et lui posa ses mains sur les épaule de la jeune femme, lui parlait.
-au début j'ai aussi cru à une blague, on aurait dit un livre pour jeu de rôle. Mais j'ai compris que sa été en rien une plaisanterie quand je vit sa.
doucement Hirano abaissa le livre et dirigea le regard sur le petit démon qui voletait au-dessus du bureau.
-sa y est ! Tu tes enfin décidé de lui montrer notre petit secret.
Le démon se rapprocha de la fille avec son sourire malveillant. Aussitôt Hirano la rassura.
-n'est pas peur... il est pas méchant, c'est Grendel, il est le gardien de ce livre.
Il sera plus la jeune femme dans ses bras.
-c'est là qu'on se rend compte qu'il existe des tas de choses encore inconnu et je peu t'assurer que jusqu'à présent j'ai pas encore tous vu.
Grendel s'exprima à son tour.
-enchanté de faire votre connaissance, mais c'est vrai qu'elle est jolie cette femelle
-
Kairi fut surprise de voir que l’objet qui causait tant de soucis à Hirano était un vieux livre. Elle s’assit et feuilleta l’objet de tant de problèmes. La plupart des choses qui s’y trouvaient n’avaient pas de sens pour elle. Les signes et l’écriture lui étaient inconnus. Il semblait ancien et authentique.
Elle sentait les mains du jeune homme sur ses épaules. Elle ne savait pas trop si c’était pour la rassurer ou pour se rassurer.
« Au début j'ai aussi cru à une blague, on aurait dit un livre pour jeu de rôle. Mais j'ai compris que ça été en rien une plaisanterie quand je vis ça »
Le regard de Kairi suivit le doigt d’Hirano et se retrouva presque nez à nez avec une petite bête ailée. La jeune femme ne savait pas ce que c’était mais était sur de ne jamais avoir vu une chose pareil de toute sa vie. Elle avait l’impression de rêver. Elle sursauta quand la « chose » se mit à lui parler.
« Ça y est ! Tu t’es enfin décidé de lui montrer notre petit secret »
« N’est pas peur... il est pas méchant, c'est Grendel, il est le gardien de ce livre.
C'est là qu'on se rend compte qu'il existe des tas de choses encore inconnu et je peux t'assurer que jusqu'à présent j'ai pas encore tous vu »
Si Hirano n’avait pas été là, la jeune femme serait partie en courant. Mais elle respira profondément et se rassura avec le contact du jeune homme. Un livre sortit de n’importe où avec une sorte de démon comme gardien. On voit ça tous les jours ! C’était ironique mais elle ne voyait pas comment dédramatiser la situation.
Elle se remémora les paroles de l’homme qu’elle aimait. Il lui avait dit que le démon n’était pas méchant. C’était surement vrai vu qu’elle était toujours de ce monde. Hirano était en contact avec lui depuis un moment, certainement, et il allait bien.
« Enchanté de faire votre connaissance, mais c'est vrai qu'elle est jolie cette femelle »
Elle sursauta à nouveau. Décidément, elle avait du mal à s’habituer à ce que le démon lui parle. Elle essaya de dédramatiser tout ça.
« Moi… moi de même. Merci pour le… compliment »
Elle ne savait plus trop quoi dire ou quoi faire. Elle chercha le regard d’Hirano comme pour reprendre pied dans la réalité.
« C’est… inattendu. J’avoue que je ne m’attendais pas vraiment à ça – mais à quoi s’attendait-elle ? En même temps ! – Visiblement euh … Grendel est pas méchant. Je pense qu’il va me falloir un moment pour… m’habituer à tout ça »
Elle se releva et se blottit dans les bras du jeune homme. Elle avait besoin de lui, de sa présence et de son soutien. Elle était capable de tout pour lui, par amour pour lui. S’il fallait que ça passe par un vieux manuscrit et un démon, et bien, pourquoi pas ?
« Je t’aime. Si… tout ça… c’est tout monde. Alors se sera aussi le mien – elle fit une pause – Par contre, il me faudra un moment pour m’y habituer »
Elle lui souriait. Elle aurait du être terrorisée et s’enfuir. Elle aurait du le quitter et ne plus jamais vouloir le revoir mais elle en était bien incapable. Elle voulait rester avec lui et l’aimer quelqu’en soit les conditions.
-
Kairi avait été fortement surprise en voyant le petit démon. Hirano sourit quand la jeune femme répondit au compliment de Grendel. Puis elle se retourna et s'adressa à Hirano, toujours sous le coup de la surprise.
-C’est… inattendu. J’avoue que je ne m’attendais pas vraiment à ça Visiblement euh … Grendel est pas méchant. Je pense qu’il va me falloir un moment pour… m’habituer à tout ça
elle se releva et alla contre Hirano qui la prend dans ces bras pour la rassurer. Le jeune homme souriait. Elle le prenait mieux que se qu'il espérait. Mais malheureusement, il n'avait pas fini de tous lui dire. Kair poursuivit.
-Je t’aime. Si… tout ça… c’est ton monde. Alors se sera aussi le mien... Par contre, il me faudra un moment pour m’y habituer
Hirano la tenait dans ses bras et y déposa un léger baiser sur son front.
-je suis heureux...heureux que tu le prenne aussi bien, c'est normal, a moi aussi il m'a fallut du temps pour m'y habituer.
Hirano préféra ne rien lui dire pour ce qui est de Terra et des personne qui voudrait mettre la main sur le manuscrit. Ils étaient loins de ce monde et Hirano ne savait rien d'eux. Il était donc inutile de l'inquiéter encore plus tant qu'il ne savait pas plus sur leur intention.
-moi j'ai faim !!!
la complainte de Grendel cassa le silence qui c'était installé dans la pièce. C'est à ce moment là que Hirano avait compris qu'il avait peut-être fait une erreur en lui présentant Kairi. Le petit démon allait surement devenir insupportable. Hirano sourit et lui répondit.
-c'est bon, tu peu aller au réfectoire, laisse nous un moment sil te plais.
Hirano insista du regard en voyant le refus d'obtempérer du démon. puis Grendel lui accorda son moment d'intimité et disparu. Toujours serrant Kairi dans ses bras, Hirano ce mit à parler.
-je suis si heureux de t'avoir rencontrer. Tu es tous pour moi Kairi et...
Hirano ne savait plus quoi dire, il l'avait jamais aimé quelqu'un autant que quelque fois sa lui faisait peur. Puis quand il l'a voyait, il se sentait aussitôt rassuré.
-je t'aime et je ne ferait rien qui te mettrait en danger, je tien trop à toi.
Les deux amants restèrent enlacé un bon moment. Il eut un moment ou Kairi devait partir. Le jeune homme voulut la raccompagner au moins jusqu'à l'entrée du bâtiment. Quand il furent enfin arrivé, Hirano se mit à l'embrasser sans ce soucier du regard des autres pensionnaire. Et il lui dit.
-je vais devoir te laisser ici, sa me fait mal mais j'ai pas le choix. Les surveillants vont pas me laisser sortir.
Il l'embrassa un dernière fois.
-demain je ne serai pas tous de suite là, je vais me chercher un petit travail histoire de me faire un peu de sous et je sais pas quand je serai libre. Mais dès que je le serai je passerai chez toi, sa te dérange pas ?
Hirano ne pouvait concevoir de passer une journée sans la voir.
-
Kairi avait apprécié qu’Hirano demande au petit démon de les laisser. Elle se sentait un peu déstabilisée avec lui. Et puis, elle avait envie d’être seule avec l’homme qu’elle aimait. Elle appréciait d’être dans ses bras. La jeune femme se sentait en sécurité avec lui. A l’abri de tout.
Elle était désolée de devoir le quitter. Elle l’était encore plus quand il lui dit qu’il ne pouvait pas aller avec elle.
« Demain je ne serai pas tout de suite là, je vais me chercher un petit travail histoire de me faire un peu de sous et je sais pas quand je serais libre. Mais dès que je le serais, je passerai chez toi, ça te dérange pas ? »
*Chercher du travail ?*
Elle n’y avait pas pensé mais ça se justifiait vu qu’il n’avait aucune aide de la part de sa famille. Puis elle se rappela de son aide précieuse plus tôt dans l’après-midi. Vu que sa patronne s’absentait souvent, un peu d’aide ne serait pas superflue.
« J’ai une idée ! – Elle lui sourit, si heureuse de son idée de génie – Pourquoi ne pas venir travailler avec moi ? Il faut bien sûr que je demande à Mme Hasuki mais un coup de main ne serait pas inutile. Notamment quand il faut déplacer des cartons ou remonter des vêtements. Je n’aime pas laisser la boutique sans surveillance. Ça te dirait de travailler avec moi ? »
Elle espérait vraiment qu’il dise oui. Ça lui donnerait une occasion de plus d’être avec lui. Elle regarda le visage qu’elle aimait tant.
« J’aurai bien aimé que tu rentres avec moi. J’aurai voulu passer la nuit avec toi, dans tes bras »
Elle se jeta contre lui et le serra fort comme pour s’imprégner de son corps et de son odeur jusqu’au lendemain.
-
Quand Hirano eut fini sa phrase, il vit l'œil de Kairi briller, le jeune femme avait une idée et avec une certaine enthousiasme, elle s'exprima.
-J’ai une idée ! Pourquoi ne pas venir travailler avec moi ? Il faut bien sûr que je demande à Mme Hasuki mais un coup de main ne serait pas inutile. Notamment quand il faut déplacer des cartons ou remonter des vêtements. Je n’aime pas laisser la boutique sans surveillance. Ça te dirait de travailler avec moi ?
Travailler avec la femme de sa vie !?! Hirano n'osait pas le demander, le jeune homme était tout un coup motivé, il allait pas refuser une telle offre, une nouvelle occase de se retrouver avec celle qu'il aime. Bon Hirano avait peur de faire un mauvais travail, en effet il avait de quoi détourner son attention. Hirano voulait prendre le risque.
-ho oui, sans hésiter je dit oui .
Kairi était heureuse mais exprima une petite déception.
-J’aurai bien aimé que tu rentres avec moi. J’aurai voulu passer la nuit avec toi, dans tes bras
sur ces mots elle se jeta dans les bras de Hirano et l'enlaça avec tous son amour. Hirano fit de même et lui murmura.
-moi aussi j'ai envi de passer la nuit avec toi..., attend moi dehors... d'ici quinze vingt minutes sa sera le couvre-feu. Alors je m'éclipserai en silence et je te rejoindrais.
Hirano l'embrassa une dernière fois et lui fit un clin d'œil avant de s'en aller. Il avait été difficile au deux tourtereaux de se lâcher.Le jeune homme alla dans sa chambre où le petit démon l'attendait.
-alors ce soir on va traquer quoi ?
Le petit démon était surexciter, Hirano lui répondit qu'il sortirait seul ce soir. Malgré les rouspétances de Grendel, Hirano se prépara et quand le couvre-feu fut annoncé, il sorti de sa chambre sans faire de bruit et sans ce faire remarquer. Il lui fut aisé de passer par le trou dans le mur extérieur et il lui fallut peu de temps pour retrouver Kairi. Il l'attrapa dans ses bras et l'embrassa fougueusement.
-excuse-moi d'avoir mis autant de temps mon amour.
-
« Moi aussi j'ai envie de passer la nuit avec toi..., attend moi dehors... d'ici quinze-vingt minutes sa sera le couvre-feu. Alors je m'éclipserai en silence et je te rejoindrais »
La jeune femme lui sourit. Elle était aux anges. Elle espérait seulement qu’il n’aurait pas d’ennuis à cause d’elle. Il l’embrassa avant de s’éclipser.
Elle se mit dans un coin en attendant son retour. Ces vingt minutes durèrent une éternité pour la jeune femme. Elle sentait son cœur bondir dans sa poitrine à chaque fois qu’elle entendait du bruit. Finalement, elle le vit arriver et elle respira de soulagement. Une nouvelle fois, ils se retrouvèrent dans les bras l’un de l’autre.
« Excuse-moi d'avoir mis autant de temps mon amour »
Kairi enfoui son visage dans le cou d’Hirano.
« C’est pas grave. L’essentiel c’est que tu sois là ! – elle jeta un coup d’œil autour d’eux – Tu as laissé le petit monstre dans ta chambre »
C’était un constat, non une question. Elle prit la main d’Hirano et ils partirent en direction de son studio. Elle était si heureuse de pouvoir encore passer la nuit avec lui. Une fois rentré, elle rangea le futon dans un coin provisoirement et se dirigea vers la cuisine. L’amour, c’est bien mais manger c’était bien aussi. La jeune femme n’avait pas trop envie de cuisiner mais elle fit un effort ou presque.
« Une pizza, ça te va ? »
Hirano hocha la tête en souriant. Sourire qu’elle lui rendit avant de mettre la pizza au four. Elle s’affaira à poser les assiettes et couverts sur la table. Au bout de cinq minutes, la minuterie retentit indiquant que la pizza était prête. Kairi la mit sur un plat avant de l’apporter sur la petite table.
« J’espère que ça te convient. J’avais pas trop envie de me lancer dans la grande cuisine ce soir »
Ils mangèrent en silence. Le simple fait de se regarder et d’être l’un près de l’autre leur suffisait. Une fois leur repas terminé et la vaisselle faite. Hirano aida Kairi à remettre le futon en place.
La jeune femme enleva ses vêtements avant de se glisser sous les couvertures et attendit qu’Hirano la rejoigne. Elle se lova alors tout contre lui, profitant de sa chaleur.
« Je t’aime mon amour ! »
Elle s’endormit à une vitesse fulgurante, le sourire aux lèvres. Elle était heureuse.
Ses rêves furent peuplés d’êtres étranges, de démons ailés, de livres de cuir aux signes étranges. Mais son dernier rêve fut horrible. Elle rêva qu’Hirano combattait un dragon et qu’il mourrait. Elle se réveilla alors en sursaut. Son cœur battait à tout rompre et elle avait le souffle court. Elle avait eu si peur. Elle regarda alors le jeune homme près d’elle. Elle ne supporterait pas de le perdre. Elle se rallongea contre lui mais son sursaut l’avait réveillé. Il la regardait avec étonnement et inquiétude. Elle sentit alors le besoin de le rassurer et de se rassurer. Elle se pencha sur lui et l’embrassa. Elle s’allongea sur lui et commença à le caresser. Hirano répondit bien vite à ses caresses. Une nouvelle fois, ils firent l’amour avec tendresse et passion. Une nouvelle fois, ils jouirent ensemble, preuve de leur accord parfait. Ils se tinrent dans les bras l’un de l’autre en reprenant leur souffle. Le jour se levait.
« Je veux pas te perdre ! Je le supporterai pas ! Je t’aime trop ! »
Elle regarda Hirano. L’angoisse de son rêve revenait. Elle le regardait alors que les larmes coulaient sur ses joues.
-
Kairi était heureuse de voire enfin Hirano sortir du lycée. Le jeune homme s'excusa mais la jeune femme ne lui en voulait pas, elle était contente qu'il soit là. Elle remarqua que Grendel n'avait pas suivit le jeune homme et elle en était rassuré. Kairi n'était pas à l'aise quand le démon était présent.
La jeune femme prit Hirano par la main et les deux amoureux se dirigèrent en direction du studio. Une fois chez Kairi, Hirano l'aida à faire deux-trois rangements avant de la voir aller dans la cuisine.
-Une pizza, ça te va ?
Hirano acquiesça d'un signe de tête tout en souriant. La jeune femme prépara la table et revint avec la pizza
-J’espère que ça te convient. J’avais pas trop envie de me lancer dans la grande cuisine ce soir
-il y a pas de soucies, en plus j'adore la pizza.
Les deux jeunes gens mangèrent en silence. Hirano était simplement heureux de pouvoir passer cette nuit en compagnie de sa bien aimé alors qu'il pensait le contraire. Dès que le diner fut terminé, Hirano aida dans la vaisselle et pour réinstallé le lit qui avait été rangé plus tôt dans la soirée. Kairi se déshabilla et se mit dans le lit. Hirano fit de même et la rejoignit et pris la jeune femme dans ses bras. Kairi lui lâcha un « je t'aime mon amour » juste avant de s'endormir.
-je t'aime
répondit à la femme qui dormait paisiblement dans ses bras. Hirano ne tarda pas à s'endormir lui aussi.
Hirano fut réveillé par un étrange choc. C'était Kairi qui venait de sortir de ce qui semblait être un cauchemar. Elle le regarda dans les yeux et s'appuya contre lui. Hirano la serra dans ses bras pour la comme pour la rassurer, il sentait le coeur de la jeune femme battre à tous rompre. Kairi se mit à embrasser et à caresser Hirano. Le jeune homme avait soudainement envi d'elle et la caressa aussitôt. Les deux amoureux firent encore une nouvelle fois l'amour. Hirano ne comprenais pas comment sa ce fait que sa soit toujours aussi formidable leur étreinte et leur plaisir qu'ils partageaient ensemble était innommable. Hirano l'aimait et savait le montrer dans cette situations.
Le jour commençait à se lever. Hirano reprenais son souffle avec la douce Kairi dans ces bras. Il adorait toujours autant faire l'amour avec elle, c'était un plaisir inégalable à chaque fois. Ils arrivaient toujours à jouir ensemble, c'était incroyable.
Puis Kairi se mit à parler avec une certaine forme d'inquiétude.
-Je veux pas te perdre ! Je le supporterai pas ! Je t’aime trop !
Elle le regardait droit dans les yeux et Hirano vit qu'elle était triste et inquiète, des larmes perlaient sur sa joue. Hirano le resserra dans ces bras avec douceur afin de la rassurer et lui dit de sa douce voix.
-ne t'en fais pas, je n'ai aucune intention de disparaître.
Il l'embrassa et la regarda droit dans les yeux.
-Kairi, je t'ai promis que jamais je ne t'abandonnerais et je ferais tous ce qui est en mon pouvoir pour la tenir.
Les deux jeune gens restèrent ainsi long moment. Bien que Hirano n'avait aucune envi de laisser Kairi seul, il ne pouvait s'arrêter de penser au chose qui l'avait vu, au horreur qui s'était produit. Il avait été témoins de pas moins de deux violent meurtre dont il se sentait en parti responsable avait aussi connu des personnes qui on mystérieusement disparu. Le monde qu'il côtoyait était très dangereux et il avait faillit mourir à plusieurs reprise. Il finit par chasser ces pensé de sa tête. À présent, il avait quelqu'un qu'il aime et qui à le devoir de la protéger.
Hirano était tant bien dans ses bras, mais il devait aller au Lycée. Sans rien brusquer il s'adressa avec douceur à Kairi.
-je suis désolé, mon amour, on va malheureusement devoir ce lever, sa va être l'heure.
-
Kairi serait encore bien restée contre lui mais il n’avait pas tord, elle devait aller travailler. Elle se leva à contrecœur mais elle se rappela que si sa patronne était d’accord, Hirano pourrait travailler avec elle.
« Tu as raison, il vaut mieux que j’évite d’être en retard une nouvelle fois ! »
Son sourire était revenu comme son moral.
« Tu passes au lycée avant de venir me rejoindre ? Ça me laissera le temps de voir avec ma patronne si elle veut bien t’embaucher. J’espère qu’elle sera d’accord »
Elle l’embrassa passionnément puis elle se leva et, toujours nue, plia les couvertures et rangea le futon dans le placard où il n’avait pas siégé depuis deux jours. Elle ramassa ses vêtements éparpillés sur e sol et les emmena dans la salle de bain. Elle passa sa tête par la porte.
« Tu prends une douche avant de partir ? Si oui, on peut la prendre ensemble ! »
Son sourire était devenu des plus taquins.
-
-Tu as raison, il vaut mieux que j’évite d’être en retard une nouvelle fois ! Tu passes au lycée avant de venir me rejoindre ? Ça me laissera le temps de voir avec ma patronne si elle veut bien t’embaucher. J’espère qu’elle sera d’accord
-ouais j'ai pas beaucoup de cour aujourd'hui, je pourrais être là en début d'après-midi.
Hirano sentait que Kairi allait mieux et qu'elle était rassuré. Elle se mit a embrasser le jeune homme juste avant de se lever. Kairi était resté nue pour faire ces deux-trois rangements, Hirano ne pouvait s'empêcher de la regarder avec un petit plaisir non dissimulé. Lui aussi était rester nu et commençais à récupérer ses habilles. Le jeune couple n'éprouvait aucune gêne de se voire dans le plus simple appareille.
Alors que Hirano avait commencé à enfiler son pantalon, la jeune femme passa la tête de la salle de bain où elle était aller se réfugier et lui dit d'un aire joueuse.
-Tu prends une douche avant de partir ? Si oui, on peut la prendre ensemble !
Cette idée motiva d'un coup le jeune homme qui laissa tomber son pantalon et se dirigea vers la porte entrouverte.
-sa tombe bien, j'avais besoin d'une douche.
La voix de Hirano avait le même aire que Kairi. Le jeune homme désirait son corps et sa ce voyait. Hirano approcha sa tête et embrassa Kairi. En même temps, il rentra dans la salle et enlaça l'amour de sa vie sentant ainsi son corps contre le sien. En jouant un peu, les deux amant parviennent à s'immiscer dans la douche et a ouvrir l'eau. D'abord trop froide en suite trop chaude, les deux amoureux rigolaient en même temps qu'ils cherchaient la bonne température.
Enfin, ils commencèrent des embrassade passionné. Se caressant la peau et s'embrassant dans le cou. Hirano lui caressait la hanche et remontait jusqu'au fesse, sa peau était douce et agréable au touché. Puis la plaquant contre la porte vitré de la douche, Hirano léché les tétons et jouait de ses doigts le sexe de Kairi. Il la tripota ainsi une bonne dizaine de minutes si c'est pas plus avant de finalement la pénétré de son sexe désireux se fort contacte. Toujours plaqué contre cette porte, Hirano faisait des aller et retour tous en alternant embrassade sur les seins de la jeune femme, sur sa bouche ou dans son cou,
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Kairi se rendit vite compte qu’Hirano avait envie d’elle ce qui était réciproque. Elle s’accrocha à son cou alors qu’il l’embrassait. Elle riait en même temps alors qu’ils essayaient d’entrer dans la cabine de douche. La jeune femme poussa un cri quand l’eau glacée coula sur eux. Un deuxième cri suivit quand l’eau devint brûlante. Le fait de s’embrasser fougueusement ne les aidait pas à avoir une eau tiède mais elle s’en moquait. Elle préférait être brûlée plutôt que de lâcher le corps et la bouche de son amant. Par miracle, ils arrivèrent enfin à la bonne température.
Hirano se mit alors en devoir de s’occuper de ses seins et de son sexe. Ses doigts, ses lèvres s’activaient sur ses différentes parties de son corps avec une étonnante dextérité. Le corps de Kairi réagissait sans se faire prier. Son sexe s’humidifiait, ses tétons durcissaient sous les coups de langue du jeune homme. L’eau qui coulait sur le couple rendait le moment encore plus sensuel, encore plus excitant car différent de ce qu’ils avaient déjà fait.
Au bout d’un moment, il la pénétra avec fougue. Elle s’appuya contre la porte vitrée et s’accrocha à son cou pour suivre les mouvements de bassin que lui imposait Hirano. Les lèvres du jeune homme oscillaient entre ses propres lèvres, son cou, ses seins, sa gorge. Mais elle ne voulait pas aller trop vite. Elle le repoussa et se dégagea de son étreinte.
La jeune femme se mit alors à embrasser son torse, à jouer avec ses tétons comme il l’avait fait avec les siens. Ses mains caressaient le ventre d’Hirano, ses côtes, ses hanches. Sa bouche se mit à suivre le trajet tracé par ses mains. Kairi laissa sa langue descendre le long du torse et du ventre du jeune homme. Elle se mit alors à genoux, descendant sa bouche jusqu’au bas ventre de son compagnon.
Elle commença à embrasser le membre dressé d’Hirano sur toute sa longueur. Puis se fut sa langue qui prit le relais. Elle l’excitait volontairement sans prendre son sexe dans sa bouche. Ses caresses durèrent plusieurs minutes avant qu’elle finisse par prendre le membre dans sa bouche et à faire des mouvements de va-et-vient. Ses mains caressaient les hanches et les fesses d’Hirano. La jeune femme aimait le contact de sa peau. Son propre sexe était terriblement excité par ce qu’elle faisait subir à son amant.
Elle finit par abandonner le sexe d’Hirano et sa bouche suivit le chemin inverse du bas ventre jusqu’à la bouche du jeune homme. Elle se colla contre lui, appuyant ses seins contre son torse, frottant son pubis contre le sexe dressé. Mais, une nouvelle fois, elle se sépara du corps tant aimé. Elle se retourna et appuya ses mains contre la porte vitrée, présentant ses fesses rondes à Hirano.
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Hirano donnais des coup de reins dans Kairi et cette dernière s'accrochait à son cou. S'embrassant mutuellement sur divers partis de leur corps. Puis Hirano fur surpris de la réaction de son amante. Elle le repoussa et commença à embrasser son torse. Elle jouait tous comme le jeune homme la faisait sur son corps à elle. Chatouillant les tétons et à ensuite descendre sur son ventre. Hirano se laissait faire, il adore les caresses que la jeune femme prodiguait sur son propre corps.
Puis enfin, Kairi se mit à genoux afin d'avoir son visage au niveau du sexe de Hirano. Elle se mit à donner des baiser sur le sexe tendu du jeune homme. Puis, elle continua avec des coup de langue cherchant volontairement à faire réagir Hirano. Ses caresses sur ses jambes et les soins qu'elle faisait à son membre était très agréable. Puis enfin, la jeune amante mit le membre de Hirano dans sa bouche et fit des va-et-vient avec. Le jeune homme ressentait le plaisir monter en lui. Il caressa les cheveux de la belle avec ses deux mains et faisait aller son bassin au même rythmes imposé par Kairi.
Enfin, quand le sexe fut suffisamment stimulé. Le jeune femme se releva et embrassa tous en serrant son corps contre celui d'Hirano. Le jeune homme avait envi d'elle, le faite de la sentir tous contre lui l'excitait à un point. Puis, aussi durement que insupportable, Kairi se retira de l'étreinte de son amant et fit demi-tour et s'appuya contre la porte vitré afin de lui présenter ses fesses si désirable. Hirano ne se doutait pas qu'il allait un jour faire l'amour dans de pareil conditions.
Le jeune homme s'approcha de Kairi. Il lui caressa un peu ses fesses avant d'approcher son bassin. Il y plaqua son sexe dessus, touchant les fesses ferme et parfaite de son amante. Frôlant un coup sur l'un, un coup sur l'autre avant de terminer ses caresses, avec son membre, entre ses deux fesses. Il agrippa ensuite le bassin de Kairi avec ses deux mains, et doucement mais fermement, il la pénétra. Il fit des va-et-vient qui débutèrent en douceur mais, avec l'excitation de l'instant, devinrent des coups de reins rapide et puissants. Hirano ne s'était jamais senti autant bien. Il sentait son sexe taper au fond du vagin de Kairi. Il lâchait des râle de plaisir. Il lâcha une main le bassin de la jeune femme pour posait son corps contre elle afin de la sentir encore plus contre lui-même. Cette main vint d'abord attraper un de ses seins pour le malaxer et enfin il dirigea sa main pour qu'elle puisse jouer avec le bouton d'amour de son amante.
Les coups de reins était frénétique et rapide. Autant Kairi que Hirano criait tous leur plaisir. Ces cris de plaisirs se transforma en hurlement d'extase quand Hirano se lâcha et qu'il jouissait en même temps que Kairi.
Fatigué, le jeune homme se laissa poser sur le dos de son amour et il y déposa un tendre baisait.
-on devrais dire qu'on est malade et qu'on passe la journée, toi et moi, pour se reposer.
Proposa Hirano en rigolant. Il venait de passer encore un intense moment de pure bonheur. Il savait qu'il se répétais, il adorait le dire.
-je t'aime mon amour.
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Elle sentit le sexe d’Hirano lui caresser les fesses avant de la pénétrer à nouveau. Cette position, elle ne l’avait que rarement faite mais, avec Hirano, elle se sentait si bien qu’elle avait envie de tout essayer, de tout lui donner.
Cette posture faisait entrer en contact le sexe du jeune homme avec d’autres parties de son vagin provoquant des sensations différentes de d’habitude mais toutes aussi agréables, toutes aussi excitantes. Elle gémissait plus fort à chacun de ses mouvements de bassin. Bientôt, elle cria son plaisir et jouit en même temps que son compagnon.
Ce dernier se posa tout contre son dos. Elle appréciait son contact. Elle tentait de reprendre son souffle.
« On devrais dire qu'on est malade et qu'on passe la journée, toi et moi, pour se reposer »
Kairi rit à la proposition d’Hirano. Dans l’absolu, elle n’aurait pas été contre mais ça aurait été compliqué.
« Je t'aime mon amour »
« Moi aussi. Je t’aime tant Hirano ! »
Il se redressa et elle suivit son mouvement. Elle se retourna et il la prit dans ses bras pour l’embrasser une nouvelle fois. Elle avait les joues rouges devant la proposition indécente mais au combien plaisante de la position qu’ils venaient de pratiquer. Ils finirent par prendre leur douche de manière plus conventionnelle.
Ils s’habillèrent et sortir du petit studio de la jeune femme. Ils s’embrassèrent à nouveau et se dire leur amour avant que chacun parte vers l’endroit où ils étaient attendus.
Une fois arrivée au magasin, Kairi alla tout de suite voir Mme Hasuki afin de lui soumettre l’idée d’embaucher d’Hirano. Elle n’eut pas besoin de beaucoup argumenter. Mme Hasuki savait qu’un peu d’aide ne serait pas de trop et surtout cela lui permettait de se libérer davantage. Enfin, c’était un travail à mi-temps et donc peu coûteux pour elle. Les deux jeunes gens s’entendaient en plus à merveilles ce qui mettait une excellente ambiance dans la boutique. La directrice du magasin accepta avec enthousiasme. Ayant des rendez-vous, elle laissa le plaisir à Kairi d’annoncer la bonne nouvelle à son compagnon.
Kairi était folle de joie et elle avait hâte qu’Hirano vienne la rejoindre pour lui apprendre la bonne nouvelle.
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Hirano était épuisé de cette acte si intense. Après s'être relevé, Hirano pris la belle Kairi dans ses bras et l'embrassa à nouveau. Ce contacte était des plus agréable. Ils finirent enfin de se doucher et quittèrent la salle de bain. Après s'être habillé et s'être embrassé une dernière fois. Les deux amoureux durent se séparer au grand regret du jeune homme pour s'occuper de leur emploit du temps respectif.
Hirano arriva au lycée le sourire au lèvres, il eut juste le temps de prendre ses affaires avant de rejoindre les cours. La mâtiné se passa sans encombre. Hirano ne pouvait s'empêcher de penser a celle qui fait tant battre son cœur, il se disait que serai super de travailler dans le même endroit que Kairi. La pause de midi sonna enfin et avec la fin des cours pour la journée. Hirano rejoignit sa chambre pour se préparer, il se devait d'être présentable. Grendel vint juste a ok du jeune homme.
-on se fait tous beau pour sa belle ?
-oui mais aussi pour un travail.
Grendel ne le croyait pas du tous et insista pour l'accompagner. Au d'un quart d'heure de supplication Hirano fini par craquer.
-ok ok, tu peu me suivre, mais! Je te met en garde, fait moi perdre cette super occasion et je te le fait regretter ok ?
Le démon acquiesça d'un signe de tête accompagné de son sourire malsain. Hirano parti avec le petit démon qui voletait autour de lui. Enfin Hirano arriva à l'entrée du petit magasin et avant d'y rentrer il se tourna s'adressa à Grendel de manière à ne pas paraître louche dans la rue.
-bon écoute moi bien, tu vas rester ici le temps que je vois Kairi. Si je viens pas te chercher tu auras meilleur temps de rentrer.
Hirano ne laissa pas le petit démon le temps de rouspéter. À l'intérieur, il fut content de le voir vide de client pour le moment. Belle comme toujours, Kairi se trouvait derrière le comptoir. Il s'approcha et alla prendre la jeune femme dans ses bras et la fit un rapide baiser.
-bonjour, comment vas tu ?
Il tourna la tête à gauche, à droite et continua toujours en tenant la jeune femme dans ses bras.
-elle est pas là ta patronne?
Hirano s'attendait à la voir débouler à tous instant.
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Elle offrit son plus beau sourire au jeune homme lorsqu’il entra dans la boutique. Hirano vint la rejoindre derrière le comptoir où il la prit dans ses bras et l’embrassa.
« Bonjour, Comment vas-tu ? – Il jeta un coup d’œil dans le magasin – Elle est pas là ta patronne ? »
Ces questions firent sourire la jeune femme. Elle déposa, à son tour, un rapide baisé sur ses lèvres.
« Alors pour répondre à ta première question mon amour : re bonjour et je vais très bien merci ! Et deuxièmement : non, ma patronne n’est pas là ! Mais j’ai quelque chose à te dire… »
Elle se tut quelques instants et prit un air totalement désolé comme si elle allait lui annoncer une véritable catastrophe, un cataclysme. Elle alla jusqu’à se retourner pour éviter de le regarder comme si elle ne supportait même pas de le voir. En réalité, c’était pour éviter d’éclater de rire devant lui. Elle avait la tête baissée comme si elle était accablée de chagrin.
« Écoute, j’ai bien réfléchie et… je sais pas comment te dire ça… Je suis… je suis vraiment désolé ! Mais… - elle soupira et attendit à nouveau quelques instants – j’ai parlé à ma patronne mais… oh je suis tellement désolé… - d’un seul coup, elle se retourna, le sourire aux lèvres et dit dans le même mouvement – tu vas devoir me supporter tous les jours. Tu as le job ! J’espère que t’es content ? »
Elle en tout cas, elle était aux anges. Ils allaient pouvoir passer encore plus de temps tous les deux ! C’était une chance inouïe pour elle, pour eux !
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-Alors pour répondre à ta première question mon amour : re bonjour et je vais très bien merci ! Et deuxièmement : non, ma patronne n’est pas là ! Mais j’ai quelque chose à te dire…
hou-là, Hirano ne se sentait pas rassuré du tous la jeune femme laissa un temps de silence,, comme si quelque chose n'allait pas, elle détournait la tête et la tenais baissé. Hirano craignait le pire.
-Écoute, j’ai bien réfléchie et… je sais pas comment te dire ça… Je suis… je suis vraiment désolé ! Mais… j’ai parlé à ma patronne mais… oh je suis tellement désolé…
Kairi faisait alusion a sa patronne. Hirano compris toute suite que sa ne devait pas jouer. Il se rassura que ce ne soit pas pire mais il fut triste de pas travaillait dans cette endroit. Il lui faudra surement trouver ailleurs. Puis à la grande surprise du jeune homme, Kairi se retourna et dit d'une voix enjouer.
-tu vas devoir me supporter tous les jours. Tu as le job ! J’espère que t’es content ?
Hirano enlaça Kairi tant il fut surpris de sa réaction. Elle l'avait bien eu, Hirano avait réellement cru qu'il n'avait pas le poste.
-ho oui ! Je suis heureux... mais attend deux secondes. Non seulement je t'ai tous les soir et maintenant presque tous les après-midi? Sa va être un véritable enfer.
Hirano souriait, il ne put s'empêcher d'embrasser la femme qu'il aime. Hirano se laissa guider par Kairi pour les divers travaux a effectuer, il l'écoutait avec le plus grand intérêt. Plus tard Hirano était en train de déballer des boite dans la remise quand un cri perçant se fit entendre. Le jeune homme lâcha son travail et couru aussi qu'il le put. En haut il découvrit pourquoi Kairi avait crié. Grendel était rentré dans le magasin et avait fait peur à la jeune femme.
-bin quoi? Je m'ennuyait.
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La jeune femme avait presque oublié Grendel, le petit compagnon ailé de son propre compagnon. L’histoire du manuscrit était passée un peu en second plan dans l’esprit de la jeune femme.
« Bin quoi? Je m'ennuyais »
Hirano ne semblait pas ravi de le voir. La jeune femme porta sa main à son cœur. Elle avait eu peur mais de surprise. Elle sourit au nouveau venu. Vu que le petit démon allait faire, par extension, parti de sa vie autant se montrer gentille et accepter le nouveau venu.
« Bienvenue à toi, petit démon. Ravie de te revoir »
Elle passa derrière le comptoir et commença à ranger des vêtements qu’Hirano avait remontés. Avec un ton toujours joyeux, elle regarda Hirano.
« Je ne pensais pas avoir des enfants aussi tôt – elle rit – Mais honnêtement, je trouve qu’il ne nous ressemble pas trop. Tu en dis quoi ? »
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- Bienvenue à toi, petit démon. Ravie de te revoir
Hirano n'était pas spécialement heureux de voire débouler le petit démon. Kairi semblait commencer appréciait Grendel. Puis elle se retourna et alla se mettre derrière son comptoir pour continuer son travail. Puis avec un une magnifique sourire, elle dit.
-Je ne pensais pas avoir des enfants aussi tôt...Mais honnêtement, je trouve qu’il ne nous ressemble pas trop. Tu en dis quoi ?
Hirano rigola avec la jeune femme. Il était tellement heureux qu'elle le prenne aussi bien.
-en effet, je me demande si il l'on pas échangé a l'hosto.
-c'est rigolait, mais je peu vous assurer que dans mon monde, je suis une beauté.
La bonne humeur était présent.
La journée se déroula sans encombre. Tous le monde travaillait bien, même Grendel qui donna un petit coup de main. La journée avait était très belle et le température avait été excellente. Le soir arriva enfin. Alors que Kairi rangeait deux trois affaire, Hirano profita d'avoir gagné un peu d'argent pour avoir une idée. Le jeune homme arriva par derrière prendre la jeune femme au niveau de la taille et de lui donner un tendre baiser dans le cou. Puis lui proposa.
-il fait beau ce soir! Et si on allait nous acheter de quoi se faire un pique nique et qu'on profitait de cette belle soirée pour s'installer dans le parc. Si sa te dérange pas Grendel peu nous accompagner ou si tu préfère, je le renvoi au lycée.
Comme la semaine avait enfin terminé, Hirano voulait profiter pleinement de cette soirée.
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Kairi trouvait l’idée tout à fait charmante. Ils avaient déjà prévu un pique-nique pour le lendemain mais ça aurait été dommage de se priver de ce beau temps.
« Non, laisse la petite bête nous accompagner ! »
Finalement, la jeune femme se faisait plutôt bien à la présence du petit démon ailé. Mise à part les fois où il arrivait sans prévenir et faisait peur à la jeune femme. Alors qu’elle fermait la boutique, elle dit en riant :
« Il va falloir que je fasse attention. J’imagine que nous sommes les seuls à le voir ici ? Il faudra que j’y pense avant de lui parler s’il y a du monde pour éviter de passer pour une folle qui parle toute seule »
Hirano éclata de rire en même temps qu’elle. L’image qu’elle donnerait aux personnes du magasin ne serait pas alors des plus flatteuses.
Ils se dirigèrent vers une petite superette où ils achetèrent sandwichs et boissons avant de prendre la direction du parc. Le jeune couple se tenait par la main comme des amoureux qu’ils étaient. Grendel voletait autour d’eux. Le parc, remplit dans la journée, était désert le soir venu. Ils choisirent un banc proche du sous-bois.
Une fois assis, ils déballèrent les sandwichs achetés et entamèrent leur repas en discutant de la journée qui venait de s’écouler. Kairi ouvrit une deuxième boite de sandwich et le tendit à Grendel.
« J’espère que ça te convient comme nourriture ? – Elle tourna son visage vers le jeune homme – Hirano ? Tu ne voudrais pas m’en dire davantage sur le livre et Terra ? »
Elle voulait savoir ce qu’il en était de tout ça. Hirano lui en avait parlé mais de manière très lapidaire. La jeune femme avait besoin de comprendre ces choses et elle devait surtout savoir pourquoi l’homme qu’elle aimait devait risquer sa vie et pour qui, il le faisait.
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Kairi accepta le faite que Grendel les accompagne, Hirano étais heureux de voir que la jeune femme commençait à apprécier la présence du petit démon.
-Il va falloir que je fasse attention. J’imagine que nous sommes les seuls à le voir ici ? Il faudra que j’y pense avant de lui parler s’il y a du monde pour éviter de passer pour une folle qui parle toute seule
-ho tu verras, le plus reste de te concentrer de parler à quelqu'un quand tu le voit voler derrière. Même moi je m'y suis pas encore fait a sa.
les deux jeune amoureux éclatèrent de rire. La bonne humeur était eu rendez-vous ce soir. Les deux amoureux sortir du magasin et se dirigèrent vers une petite supérette pour y acheter le pique-nique, des sandwich et des bouteille de boissons. Ensuite il se dirigèrent en direction du parc main dans la main. C'était toujours drôle de voir le petit démon volait près de quelques rares passants sans que ces derniers ne réagissent. Ils finirent par trouver un banc proche du sous-bois et ils s'y installèrent pour y pique-niquer. Kairi proposa au petit démon un sandwich, dont ce dernier ne se fit pas attendre pour dévorer. La jeune femme tourna ensuite la tête et s'adressa à Hirano.
- Hirano ? Tu ne voudrais pas m’en dire davantage sur le livre et Terra ?
-ha sa ? C'est long a expliquer...
Hirano était un peu surpris de sa question. En effet le jeune homme n'y pensait plus a cette histoire depuis qu'il avait rencontrer Kairi. Puis comme la jeune femme avait l'air intéressé par cette histoire et comme il l'aimait, il décida de tous lui raconter.
-alors voilà , sa va faire bientôt un an que je suis arrivé dans cette ville. Dès mon premier jour, j'ai trouvé ce manuscrit dans la bibliothèque du lycée. Ce livre renferme des informations sur énormément de créatures fantastiques, du vampire au loup-garous en passant par des choses dont j'ignorais tous de leur existences. Et oui! Ces monstres tous droit sortie de conte de fée existe belle et bien, mais je te rassure ils ne sont pas tousse aussi mauvais qu'on le croit. Comme le livre est incomplet ou erroné, je me suis mis en tête de le terminé. Malheureusement, une fois qu'on en devient le propriétaire, on l'es pour toute la vie et on devient responsable de ce qui peu se produire. On peu voire des chose incroyable et belle, comme Terra.
Hirano baissa la tête la mine triste, il ressentait le besoin de se confesser et pour la première fois il pouvait en parler à quelqu'un.
-mais il peu arriver que notre vie ou celle de son entourage soit mise en danger et on peu être témoin d'horrible spectacle.
Le jeune homme pris une profonde inspiration et sa voix reflétait une légère tristesse. Sa tête ne pouvais pas ce baisser plus bas qu'elle ne l'était déjà.
-j'ai vu pas moins de deux élève se faire massacrer sous mes yeux par des choses dont tu n'imagine même pas leur existences, d'autre que j'ai connu ont aussi mystérieusement disparu et j'ignore si ils sont encore en vie . Plus j'y repense et plus je me dis que j'aurais put les sauver. C'est par ma faute si ils sont morts. Tous est de ma faute!
Il y eut un long et pesant silence dans lequel Hirano revivait en lui tous ces moments. Il revoyait le corps mutilé et pendu de Kimi, de plus Hirano avait toujours sur lui le briquet rose dont il c'était servit ce soir là et qu'il avait conservé. Ou encore cet élève dont la souffrance avait été interminable dans les ruelles de la Toussaint. Il revoyait Shad Hoshisora qu'il avait rencontré dans cette même forêt et qu'il avait soigné d'une grave blessure à la tête dont il avait plus eut aucune nouvelle ou encore la pauvre Cordis Plumbum qui avait disparue dans l'incident du centre commercial. Et à cela s'ajoutait les souvenirs de Terra de son précédant passage qui commençait à revenir de manière aléatoire. Hirano avait peur, peur pour celle qui comptait tous pour lui, il voulait pas que l'amoure de sa vie ne soit victime de ce livre elle aussi. Il sécha une larme qui avait coulé sur une de ses joue et poursuivit.
-puis il y a Terra. J'ai que très peu de souvenir là-dessus mais sa revient petit à petit. En gros c'est un monde parallèle au notre. Il est magique. J'y ai rencontré des chose étranges. Il semblerait que mon dernier passage est attiré un étrange groupe qui est près à tous pour avoir ce livre. Grendel refuse de me dire pourquoi mais insiste pour faire en sorte que le manuscrit ne tombe pas en de mauvaise mains et encore moins dans les leurs.
Hirano posa deux doigts sur ces yeux et se les frotta tout en réfléchissant.
-puis il y a cette promesse. Mais quel promesse? Je ne me souvient pas. De tous mes souvenirs qui reviennent, celui-ci est encore très vague. Mais quel genre de promesse ai-je fait?
Hirano commençait à avoir mal à la tête à trop forcer de fouiller dans sa mémoire.
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Kairi écouta attentivement le jeune homme. Elle vit sa peine et sa tristesse. Elle avait si mal pour lui. Hirano semblait tellement désespéré. La jeune femme vit la larme qu’il essuya et son cœur manqua un battement. Quand il eut terminé son récit, elle l’entoura spontanément de ses bras. Elle voulait le réconforter, lui apporter un peu de bonheur. Elle n’avait jamais vécue ça. Elle se sentait un peu honteuse, ce qu’elle avait vécu n’était rien en comparaison de ce que lui avait pu vivre.
« Je suis tellement désolé pour ce que tu as vécu. Je n’aurai pas du t’embêter en te posant cette question. Excuse-moi mon amour »
Elle le serra encore plus fort contre elle pour lui apporter tout son amour et sa tendresse. Elle aussi avait les larmes aux yeux.
« Je ne pensais pas que tu avais vécu des choses aussi dramatiques et aussi dures. A côté, ce que j’ai pu vivre aussi dur que cela puisse être n’est rien en comparaison de ce que toi tu as connu »
Elle tenta alors de le rassurer. Elle se recula alors un peu et lui sourit.
« Ne t’inquiètes pas pour moi. Je suis une grande fille, je sais me débrouiller et puis côté monstre, j’ai déjà eu affaire à l’un d’entre eux. Enfin, façon de parler, il était humain, au moins physiquement, mais pourtant c’était un monstre horrible. Je suis là pour toi et jamais je ne t’abandonnerai. Je resterais toujours prêt de toi tant que tu voudras de moi. Je t’aime, je t’aime plus que tout »
Elle posa alors ses lèvres sur celle d’Hirano et lui donna le plus doux des baisers.
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-Je suis tellement désolé pour ce que tu as vécu. Je n’aurai pas du t’embêter en te posant cette question. Excuse-moi mon amour. Je ne pensais pas que tu avais vécu des choses aussi dramatiques et aussi dures. A côté, ce que j’ai pu vivre aussi dur que cela puisse être n’est rien en comparaison de ce que toi tu as connu
Kairi semblait avoir été ému par le récit du jeune homme. Elle l'enlaça avec douceur. Hirano se sentait plus rassuré par la présence de la femme qu'il aime. Après l'avoir longuement serré dans ses bras, Kairi se retira légèrement et lui dit avec toute sa douceur habituelle.
- Ne t’inquiètes pas pour moi. Je suis une grande fille, je sais me débrouiller et puis côté monstre, j’ai déjà eu affaire à l’un d’entre eux. Enfin, façon de parler, il était humain, au moins physiquement, mais pourtant c’était un monstre horrible. Je suis là pour toi et jamais je ne t’abandonnerai. Je resterais toujours prêt de toi tant que tu voudras de moi. Je t’aime, je t’aime plus que tout
puis Kairi embrassa Hirano, grâce à ce baiser, Hirano savait que Kairi serai toujours la pour lui tous comme lui le sera pour elle. Ces mots venait de faire rappeler pourquoi le jeune homme c'était jurer de la protéger coute que coute. Kairi avait été victime de quelqu'un et sa Hirano ne pouvait pas le supporter. Il regarda alors la jeune femme dans les yeux et lui dit.
-je suis désolé, je n'ai pas le droit de m'apitoyer sur mon sort. Mais ce que tu me dit me fais très plaisir. Toutefois, je n'ai aucune envie de te mettre en danger. Je sais que tu as beaucoup souffert toi aussi et je ne laisserais plus jamais t'arriver une chose pareil. Kairi... moi aussi je t'aime et je ferais tous pour te protéger...
après une cour pause, Hirano continua.
-Il commence à ce faire tard, et si on rentrait?
Le jeune couple c'était mis en route pour ramener Kairi chez elle. Après un petit moment, Hirano se risqua à une question.
-dit moi... voudrais tu un jour me raconter ce qui t'es arrivé. Enfin si sa te dérange, je n'aborderais plus ce sujet.
-
Kairi stoppa net en entendant la question d’Hirano. Elle s’attendait bien à ce qu’un jour il lui pose la question. La jeune femme reprit la route en regardant le sol. Elle lui devait une réponse. Hirano lui avait confiance en lui parlant du grimoire, du démon et des morts dont il se sentait responsable. De plus, elle l’avait dit elle-même, ce qu’elle avait vécu était différent et moins dramatique que ce que lui avait connu.
Néanmoins, elle était très gênée de lui raconter ce qui s’était passé avec Jones. Elle avait surtout très honte d’elle-même même si ce n’était pas de sa faute. Elle n’osait pas regarder le jeune homme.
« Je ne sais pas très bien comment expliquer ce qui s’est passé – elle se tut un instant, cherchant ses mots – J’ai connu Jones au lycée et on est sorti ensemble. On s’aimait. Et puis, un jour, il a commencé à changer et il a fini par me quitter sans que je sache pourquoi. J’ai mis un moment à me remettre et puis la vie a repris le dessus »
Elle fit une nouvelle pause. Là était la partie la plus épineuse et surtout la plus honteuse de l’histoire.
« Je l’ai revu un soir par hasard ici même, dans cette ville. Je l’ai reconnu tout de suite mais pas lui. Il ne m’a pas reconnu. Il a commencé à me draguer. Au départ, j’ai un peu joué le jeu mais quand je me suis rendue compte que même avec mon prénom il ne se souvenait de rien, je suis partie. Ce n’était définitivement plus le garçon gentil que j’avais connu et aimé. Il m’a… suivie et a essayé de m’aborder. Il pleuvait beaucoup cette nuit là. J’étais trempée et il s’est arrêté près de moi en voiture et m’a proposé de me raccompagner – Les larmes lui vinrent aux yeux – J’ai été si stupide, si idiote. Je suis montée avec lui. Je voulais juste qu’il me ramène, je voulais échapper à la pluie et au froid – les larmes coulaient à présent sur ses joues – Quand on est arrivé devant chez moi, je me suis rendue compte qu’il ne m’avait pas demandé l’adresse. J’ai compris qu’il avait fouillé dans mon sac. Et puis, j’ai vu qu’il avait trafiqué les fils de la voiture. Il l’avait volé. J’ai eu peur, j’ai voulu sortir de la voiture et m’enfuir mais il m’a retenu. Il… Il m’a frappé et m’a jeté sur la banquette arrière. J’étais à moitié dans les vapes. Il a commencé à me déshabiller et il m’a attaché les mains dans le dos. Il a continué de me déshabiller. Il ne m’a pas violée. Enfin, pas vraiment. Quand il a compris qui j’étais, il s’est enfui mais le mal était fait »
La jeune femme revoyait la scène. Elle entendait le bruit de la pluie et surtout le son de cette musique de jazz. Elle haïssait cette musique. Rien que de repenser à cet épisode de sa vie, Kairi avait envie de vomir. Cela lui donnait la nausée. Ils arrivèrent alors devant chez elle.
« Quand je t’ai dit que j’avais connu un monstre, c’était lui »
Elle ouvrit la porte et entra dans le studio. Elle n’avait toujours pas osé le regarder. Qu’allait-il penser d’elle à présent ? Qu’elle n’était qu’une idiote sans aucun brin de jugeote. Il ne voudrait peut-être même plus d’elle. Elle s’assit ou plutôt se laissa tomber sur le sol. Elle pleurait toujours.
« Je suis désolé de pleurer comme ça. Comparer à ce que tu as vécu, ce n’est rien. Mais ça m’a fait si mal. J’ai cru ne jamais m’en remettre. Et puis, tu es arrivé et tu m’as aimé »
Elle lui avait tout dit à présent. Il restait plus qu’à savoir comment il allait réagir. Elle avait peur de le voir s’en aller.
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Depuis que Hirano avait posé la question, Kairi que disait plus aucun mot et elle baissait la tête. Elle semblait être pris dans ses pensé. Hirano sentait que la jeune femme ne voulait pas en parler et c'était tout à fait compréhensible, rien ne leur forçait de tous se dire. Hirano lui en voudrait pas cela et pouvais attendre le temps qui faudra, sa peu être dans longtemps comme dans jamais.
Puis après quelques minutes de marche dans un silence plutôt pesant, Kairi décida finalement de tous lui dire. Elle lui raconta alors de ses années scolaire mais surtout de sa déception sentimental. Jusqu'à là rien ne semblait anormal, c'était arrivé presque à tous le monde ce genre d'histoire. Puis après une courte pause, la jeune femme entama la parti la plus douloureuse pour elle.
Kairi lui raconta alors sa mésaventure qui c'était passé pas si longtemps de sa. elle lui raconta comment elle avait recroisé l'homme dénommé Jones, qui fut son premier amoure, un soire dans un bar. Aussi comment ce dernier l'aborda sans la reconnaître, mais aussi comment il l'avait réussi à la raccompagner et à abuser d'elle pour enfin l'abandonner. Pendant le fil de son histoir, Kairi c'était mise à pleurer. Hirano était horrifié par cette histoire. Il savait qu'elle avait eu été agressé. Mais à aucun moment, le jeune homme n'avait pensé que Kairi aie été violé. bien disait le contraire, pour Hirano c'était un viole.
-Quand je t’ai dit que j’avais connu un monstre, c’était lui
Après un long silence, le jeune couple finirent par arriver chez la jeune femme. A peine fut telle rentré, elle s'écroula au sol en larme.
-Je suis désolé de pleurer comme ça. Comparer à ce que tu as vécu, ce n’est rien. Mais ça m’a fait si mal. J’ai cru ne jamais m’en remettre. Et puis, tu es arrivé et tu m’as aimé
Hirano était choqué par ce qu'il apprenait. La pauvre jeune femme avait été violenté, mais le pire ce fut son esprit. Depuis combien de temps elle garde sa pour elle? Combien de temps sa était en train de la détruire petit à petit. La jeune femme sangloté toujours au sol. Hirano se mit à genoux devant elle et il l'enlaça avec toutes la tendresse dont le jeune homme était capable et tenta de la rassurer, du moins de l'aider du mieux qui pouvait.
-vas-y, lâche toi. Sa va te faire du bien de pleurer. Je suis là, je ne t'abandonnerais pas.
Hirano savait combien se faisait du bien de pleurer. Elle peu enfin sortir se poids qui lui pesait dans son coeur. Après un long moment à pleurer dans ses bras. Hirano décida de s'occuper de la jeune femme. Après lui avoir donné un tendre baiser sur sa joue, Hirano se leva. A présent, le jeune savait ou était caché le futon et après l'avoir installé il aida Kairi à se coucher dedans. Après lui avoir retiré ses chaussures, Hirano couvrit la jeune femme. La pauvre était très affaibli par cette histoire.
-tu n'as pas à être désolé. Ce n'est pas de ta faute. Moi j'ai choisit cette voix, je suis responsable de mon choix. Mais toi Kairi... toi, tu n'y est pour rien... on tas fais du mal, ce n'est pas de tas faute. Mais à partir de maintenant, je serai toujours pour te protéger. Je t'aime
le jeune homme lui déposa un tendre baisé sur ses lèvres
-a présent repose toi. Tu verras, demain tu vas aller beaucoup mieux. Je vais rester ici et m'occuper de toi.
Sur ces mots, Hirano se leva et se dirigea vers la cuisine et s'appuya contrela cuisinière. Il sentait en lui une colère et une rancune à l'encontre de ce « Jones », comment peut-on faire de pareil horreur. Hirano se demandait si il pourrais pas utiliser le manuscrit pour venger Kairi, il chassa rapidement cette idée de la tête. Il faut pas qu'il succombe dans ce genre d'idée, se ne ferait que mener la colère et la tristesse. Le plus important était de s'occuper de la pauvre Kairi. Il ne faut plus qu'elle ne connaisse encore de souffrance. Malgré ses pensé, cela ne l'empêcha pas de frapper du poing sur son appui par pure colère. Le démon lui était resté témoin des scènes dire un mot. Il se contentait d'observer en souriant de manière malveillant.
Fatigué, Hirano s'assit sur une chaise et regarda la jeune femme dormir. Après s'être encore juré de la protéger, il s'endormit sur la chaise.
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Alors qu’elle était en larmes, Kairi sentit les bras d’Hirano l’entourer et la serrer contre lui.
« Vas-y, lâche toi. Ça va te faire du bien de pleurer. Je suis là, je ne t'abandonnerais pas »
Elle était si soulagée par ses paroles. Elle s’accrocha à lui. Maintenant qu’elle y pensait c’était la première fois, depuis cette fameuse nuit, qu’elle s’autorisait à pleurer, à se laisser aller. Ce qu’elle fit dans les bras de l’homme qu’elle aimait tant. Elle se sentait soulagée de lui avoir tout dit.
Hirano s’écarta d’elle et alla jusqu’au placard chercher son couchage. Il l’installa sur le sol avant d’aider la jeune femme se déshabiller. Il agissait avec elle comme avec un enfant. D’ailleurs, la jeune femme se laissait volontiers faire. Kairi se sentait totalement vidée, épuisée. Le jeune homme l’allongea et la recouvrit des couvertures.
« Tu n'as pas à être désolé. Ce n'est pas de ta faute. Moi j'ai choisit cette voix, je suis responsable de mon choix. Mais toi Kairi... toi, tu n'y es pour rien... on tas fais du mal, ce n'est pas de tas faute. Mais à partir de maintenant, je serai toujours pour te protéger. Je t'aime »
Ces paroles finirent de rassurer la jeune femme. Elle le regarda comme s’il était son ange gardien. Elle avait le sentiment qu’il ne laisserait plus personne lui faire du mal, jamais. Que n’avait-elle été avec lui quand Jones avait abusé d’elle ? Hirano l’aurait envoyé au tapis et, honteusement, elle y aurait pris à certain plaisir à le voir mordre la poussière.
Hirano l’embrassa avec une grande tendresse.
« À présent repose-toi. Tu verras, demain tu vas aller beaucoup mieux. Je vais rester ici et m'occuper de toi »
Kairi hocha simplement la tête et lui sourit. Il avait réussi à la réconforter et à la rassurer. Elle le vit aller s’appuyer contre la gazinière. Il semblait monter la garde. Cette idée renforça son sourire, elle avait raison, il la protégerait quoi qu’il arrive. Elle ferma alors les yeux et s’endormit tout de suite. L’épuisement nerveux l’entraîna dans les bras de Morphée.
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Hirano se réveilla doucement sur sa chaise. Le jours venait à peine de se lever et Kairi dormait encore. Il s'étendit mais s'arrêta aussitôt. Son cou lui faisait mal, pas vraiment étonnant vu la position dans lequel il dormait. Il devait pas être plus de huit-neuf heures. Hirano restait un moment à regarder celle qu'il aime dormir, il appréciait du regard la beauté de la jeune femme, mais surtout cette aspect paisible qu'elle dégageait en dormant.
Finalement, Hirano se leva et se dirigea dans la cuisine. Il avait dans la tête l'idée de préparer le petit-déjeuner. Comme le pain était pas très frais, le jeune homme se décida de sortir aller en acheter. Il ne fut absent qu'un quart d'heure, mais pour Hirano c'était quinze minutes de trop. Fort heureusement, Kairi dormait toujours et ne c'était pas aperçu de son absence, du moins c'est ce que le jeune homme pensait. Il chercha un bon moment pour tous trouver dans la cuisine. Beurre, confiture. Il prépara deux trois tartine tendit que l'eau pour le thé cuisait.
Kairi se réveilla en douceur. Hirano eut le temps de mettre l'assiette de tartine et une tasse de thé chaud sur un plateau et l'apporta a la jeune femme.
-bonjour!... comment tu te sens aujourd'hui?
Hirano se faisait toujours un peu de soucies pour Kairi
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La jeune femme eut un sommeil serein. La présence d’Hirano n’y était pas étrangère. Kairi ouvrit doucement les yeux et s’étira sous les couvertures tel un chat. Elle se sentait bien.
« Bonjour!... comment tu te sens aujourd'hui ? »
Elle sourit au jeune homme qui lui apportait le petit déjeuner au lit. Elle se rappela les évènements de la veille. Son sourire diminua mais ne disparu pas pour autant. Hirano déposa le plateau près d’elle. Elle le repoussa et attira Hirano auprès d’elle. Elle le serra contre elle, elle avait encore besoin d’être rassurée mais elle se sentait soulagée comme si on lui avait enlevé un grand poids.
Le fait d’avoir pleuré l’avait aussi libéré. Elle n’avait pas pensé que pleurer lui aurait fait autant de bien. Elle regrettait de ne pas l’avoir fait avant cependant la présence d’Hirano était ce qui lui avait le plus fait de bien. En fait c’était surtout cette présence qui lui avait été bénéfique.
« Tu aurais du venir te coucher avec moi plutôt que de dormir sur une chaise. Tu dois être tout ankylosé »
En se réveillant, Kairi avait bien sentie qu’elle était seule et la couverture à côté d’elle n’était pas froissée. Elle aurait bien voulu qu’il soit prés d’elle. Il avait dû rester sur la chaise comme une sentinelle qui garde un précieux trésor. Elle le regarda et l’embrassa.
« Tourne-toi et enlève ton T-shirt »
Hirano s’exécuta. Elle se mit alors en devoir de lui masser les épaules, la nuque, le dos. Ses mains chaudes pressaient, malaxaient la chair et les muscles d’Hirano pour les détendre et faire disparaitre les crampes.
A la fin de la séance, qui dira plusieurs dizaines de minutes, elle l’embrassa sur la nuque et l’enlaça, plaquant sa poitrine nue contre le dos du jeune homme, et elle posa sa tête sur son omoplate.
« Je t’aime tant mon amour »
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après que Hirano avait posé le plateau près de la jeune femme, celle-ci le repoussa et attrapa Hirano dans ses bras pour le serrer tous contre elle. C'était surement un besoin de se sentir rassuré.
-Tu aurais du venir te coucher avec moi plutôt que de dormir sur une chaise. Tu dois être tout ankylosé
-non non sa va, j'ai un peu mal au cou mais sa va passer. Je ne voulais pas te réveiller pour si peu.
La jeune femme le regardait, à présent, dans les yeux et elle embrassa Hirano. Elle demanda au jeune homme de se dévêtir de son t-shirt et de se retourner, c'est ce que Hirano fit. Alors Kairi se mit à masser le jeune homme. Ses mains était douce et attentionné. Hirano se sentait vraiment bien en recevant ainsi les caresses de la jeune jeu lui offrait, cela créait en lui de délicieux frissons. Hirano fermait les yeux pour mieux apprécier ce doux traitement. Après quelque minutes, le jeune homme sentait que son mal de dos et de la nuque avait disparu.
Kairi enlaça alors le jeune homme tout en appliquant sa douce poitrine contre son dos et lui déposa un doux baisé sur sa nuque.
-Je t’aime tant mon amour
pour Hirano, ces mots provenait d'une nouvelle personne. Une personne libéré de ses chaines du passé qui la retenait dans les profondeurs de la solitude et de la souffrance. Hirano l'aimait tant lui aussi. Il bougea et se retourna pour faire face à cette personne pour qui son cœur battait. Il la fixa dans les yeux.
-je t'aime, je ne peu pas vivre sans toi.
Hirano embrassa alors passionnément la jeune femme. Il avait envi d'elle ici et maintenant. Dans cette embrassade, Kairi se coucha sur le dos tendit Hirano commençait à la caresser. Il laissait glisser ses mains mains sur son ventre, sur ses hanches et sa poitrine. Le jeune homme sentait le désir monter en lui.
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Hirano se retourna et plongea ses yeux dans le regard de la jeune femme.
« Je t'aime, je ne peux pas vivre sans toi »
Il s’approcha alors et l’embrassa passionnément pour le plus grand bonheur de la jeune femme. Elle aimait tant être avec lui et le sentir contre elle. Le baiser fougueux d’Hirano fit basculer la jeune femme sur le dos. Elle le sentit s’allonger contre elle et commencer à la caresser. Kairi comprit vite qu’il avait envie d’elle et cela lui suffit pour avoir envie de lui aussi.
Avec une jambe, elle poussa les couvertures qui la recouvraient encore sans faire attention au plateau. Elle se retrouvait quasiment nue contre lui. Tout ce qu’elle portait c’était sa culotte, un bien mince rempart pour Hirano.
Elle aussi se mit à le caresser. Passant ses mains sur son torse, ses épaules, ses bras. Elle commença à le caresser sur son pantalon. Ses hanches, ses fesses, son sexe. En caressant cette partie, elle sentit son désir d’elle. Elle laissa alors sa main sur cet endroit et se mit à le caresser, à le presser avec une infinie douceur.
Elle sentait son sexe s’humidifier sous les caresses du jeune homme. Kairi quitta les lèvres d’Hirano pour lui embrasser les épaules et le cou. Elle alla jusqu’à son oreille qu’elle suça et mordilla avant de lui murmurer :
« Je t’aime mon amour, je t’aime tant, plus que tout. J’ai terriblement envie de toi »
Elle se mit sur le coté face à lui et se plaqua contre lui, se pressant contre lui pour entièrement le sentir. Elle se dégagea de ses bras pour enlever son sous-vêtement. Elle se voulait nue contre lui. Elle se rallongea et l’attira sur elle. Ils s’embrassèrent alors passionnément. Leurs mains s’égarant sur le corps de l’autre.
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Le jeune couple se caressaient mutuellement leur corps augmentant chacun leur envi de l'autre. Kairi ne possédait sur elle comme vêtement que sa petite culotte. Elle repoussa d'un pied la couverture et et attira Hirano contre elle pour l'embrasser et le caresser a son tour. Elle s'arrêta et s'appliqua sur le sexe de Hirano rendant celui ci tous dure. Puis après avoir cesser de l'embrasser, Kairi embrassa divers parti de son torse et fini par aller jouer de ses lèvres avec l'oreille du jeune homme et de lui susurrer.
-Je t’aime mon amour, je t’aime tant, plus que tout. J’ai terriblement envie de toi
c'est firent frissonner Hirano. Elle se coucha sur le coter et serra fortement Hirano contre elle. Le jeune homme adorait sentir les seins de la jeune femme contre son torse. Il sentait sa douce peau contre la sienne, une sensation inégalable. Puis cette dernière ce retira pour ôter son dernier vêtement, Hirano fit de même. Tous comme Kairi, Hirano voulait la sentir entièrement con lui. Après cela, le jeune couple se mit à se rembrasser.
Les deux amants s'embrassaient et se caressaient correctement et passionnément. Hirano quitta les douce lèvres de la jeune femme pour descendre contre ses seins. Il les malaxa et joua avec sa bouche contre ses tétons qui pointait pendant un bon moment avant de commencer à descendre le long de son ventre. Tout en déposant de doux baiser, Hirano arriva vers son bas-ventre puis dans son entrejambes.
Hirano se mit à lécher son intimité et à introduire sa langue en elle. Il voulait lui prouver par le plaisir combien il l'aimait. Fougueusement et attentionné a la fois, Hirano sentait que Kairi se cambrait sous les coups de sa langue. Tout en caressant sa jambe, Hirano s'appliquait a fond dans cette action. Cette acte dura pendant une bonne dizaine de minute, cela commençait à devenir une torture pour la jeune femme.
Enfin, Hirano se décrocha et remonta pour embrasser la jeune femme. C'est alors que Hirano pénétra la jeune femme avec son sexe, il la voulait tant, il l'aimait tant. Doucement mais surement, Hirano fit des va et bien. Ces coups de reins s'accéléraient au fur et a mesure ou le temps passait.
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Hirano commença à descendre le long du corps frémissant de la jeune femme. Il distribuait nombre de baisers sur son corps qui l’électrisait délicieusement. Il descendit jusqu’à son pubis, il écarta ses cuisses et se glissa entre elles pour prendre possession de son sexe avec sa bouche.
Il se mit à la caresser et à la pénétrer avec sa langue. Chaque mouvement provoquait de délicieuses sensations à Kairi. Elle se cambra pour mieux s’offrir à son amant. Son souffle était devenu court et rapide. Elle commençait à gémir de plaisir. Il fit durer cette douce torture de longues et délicieuses minutes avant de remonter vers son visage et de s’introduire brusquement en elle. Il bougeait en elle accélérant le mouvement à chaque coup de rein. Elle plaqua son bassin contre lui et adopta son rythme faisant monter le plaisir en elle.
Il s’empara de sa bouche et leurs langues se mirent à jouer ensemble. Leurs souffles se mêlaient tout comme leurs corps.
« C’est… c’est si bon… continue… ne t’arrêtes pas ! »
Elle voulait profiter de lui encore, de son membre en elle. Kairi savait pourtant que ni lui, ni elle ne tiendrait encore longtemps. Le désir était trop fort et le plaisir trop intense pour que cela dur. Elle s’agrippa à lui pour mieux le sentir encore.
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Les deux corps était uni dans un va et vient frénétique et intense. Hirano se c'était jamais senti aussi bien dans les bras de Kairi. Un pure bonheur qui se dégageait de la jeune femme.
-C’est… c’est si bon… continue… ne t’arrêtes pas !
Kairi autant que Hirano prenait leur pied dans cette acte. Le faite de faire le et de ressentir autant de plaisir était la preuve de leur amoure. Kairi s'accrochait à Hirano tant la pression était fort. La cadences des coups de reins s'accélérèrent encore et encore tandis que les cris remplissaient la pièces du studio. Le jeune homme adorait cela, il adorait sentir Kairi contre lui, lui faire l'amoure ainsi. Il sentait la jeune femme se contracter sous ses coups.
La pression fut trop fort et dans un cris provoqué par un puissant orgasme, les deux amants jouir à nouveau dans une parfaite synchronisation.
Se calmant et en reprenant son souffle, Hirano se coucha sur le coter et pris Kairi dans ses bras. Il voulait vraiment constamment la sentir tout contre lui. Il ne pouvait plus s'en passer la présence de la jeune femme.
-je t'aime mon amoure.
Hirano l'aimait tellement et il ne voudrait que rien au monde ne puisse l'empêcher d'être avec la femme qui l'aime. Hirano embrassa tendrement la jeune femme et fini par lui dire avec un sourire
-on avait pas prévu quelque chose aujourd'hui ?
Hirano se souvenait qu'ils avaient prévu d'aller à la plage ensemble et se demandait si Kairi se rappelait sa. bien que Hirano ne voulait quitter ce nid douillet, il se disait qu'il serai dommage de ne pas profiter de ce beau temps.
-
Kairi s’agrippait presque désespérément au jeune homme. Le plaisir montait à une vitesse vertigineuse en elle. C’était si enivrant. Les mouvements d’Hirano devinrent de plus en plus rapides, de plus en plus violents. Kairi était au bord de l’orgasme. D’un seul coup, l’orgasme arriva alors que le jeune homme jouissait en même temps qu’elle. Ils étaient toujours en parfaite harmonie.
Elle avait du mal à reprendre son souffle. Hirano bascula sur le côté et la prit dans ses bras. Elle s’y réfugia, le sourire aux lèvres. Elle se demandait comment cela pouvait être aussi intense, aussi bon à chaque fois. La réponse était pourtant évidente, parce qu’ils s’aimaient tout simplement.
« Je t'aime mon amour »
Ces mots illustraient la pensée de la jeune femme. Son sourire s’élargit.
« Moi aussi je t’aime mon amour »
Elle était dans un état de félicité immense. Il déposa un doux baiser sur ses lèvres.
« On avait pas prévu quelque chose aujourd'hui ? »
Kairi réfléchit un instant. Son cerveau avait du mal à fonctionner normalement. Il s’était tellement fixé sur son amour pour lui, qu’il avait du mal à revenir à la réalité mais soudain elle se rappela. La plage !
Elle se redressa et regarda par la fenêtre. Le soleil entrait en flot dans le studio.
« Il fait beau ! Ce serait dommage de rater une aussi belle journée ! – Elle se releva et tendit les mains à son amant pour l’aider à se relever – Préparons-nous pour la plage ! »
Alors qu’il se redressait, elle l’embrassa avant de filer sous la douche. Une fois sortie de la cabine, elle enfila un maillot de bain bleu clair et une simple robe de coton blanc. Elle partie vers la cuisine.
« Je vais préparer les sandwichs pendant que tu te prépares »
Avec un sourire des plus charmants, elle commença à préparer leur repas. Un quart d’heure plus tard, ils étaient prêt tous les deux comme le panier pique-nique. La main dans la main, ils franchirent la porte du studio pour se rendre à la plage et profiter de cette belle journée ensoleillée.