Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Le parc et son sous-bois => Discussion démarrée par: Kasuki Hitake le vendredi 18 juillet 2008, 01:01:10
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Kasuki venait d'arriver dans sa chambre. Toute la journée, il était retourné à la bibliothèque pour lire. Là-bas, il repensa plusieurs fois à ce qu'il s'était passé, quelques étagères plus loin, mais cela n'avais pas plus dérangé que ça. Il était rentré chez lui, s'allongeant sur le lit pour admirer la blancheur du plafond. Il n'était que six heures, mais Kasuki était légèrement fatigué. Il ferma les yeux quelques minutes puis les rouvrit pour se lever.
Ce soir, Kasuki allait de nouveau sortir pour aller se baigner au lac de la ville. Il se prépara donc un repas rapidement, de quoi avoir l'estomac plein. Pendant qu'il mangeait, il regardait par la fenêtre ou le soleil était encore bien haut dans le ciel. Etant en été, cela était normal, le soleil disparaissant que vers dix heures du soir. Lorsqu'il finit de manger, il débarrassa. Etant dans un endroit publique, Kasuki jugea bon de mettre directement son short de bain, remplaçant ainsi son caleçon.
Aux alentours de neuf heures, Kasuki sortit de sa chambre, la fermant à clé, puis traversa l'allée jusqu'aux escaliers qu'il descendit pour arriver devant la grande porte en bois qui servait d'entrer pour le pensionnat. Il l'ouvrit juste assez pour pouvoir passer facilement et atterrit dans la grande cour du bâtiment qu'il s'empressa de traverser pour atteindre la rue principale.
Il marcha donc tranquillement vers l'endroit voulu, regardant le paysage autour de lui, les voitures qui passaient, les volets qui se fermaient, les lampadaires qui s'allumaient. Une fois au parc de la ville, un panneau lui indiqua que le lac n'était qu'à quelque cinq minutes à pied. Le temps passé, il arriva devant l'étendue aquatique qu'il admira quelques instants avant de déposer sa serviette dans l'herbe fraîche et se mettre en tenue adéquate pour plonger. Il posa ses affaires sur la serviette, les lunettes légèrement cachées pour éviter de se les faire voler.
Il s'approcha alors de l'eau, laissant les vaguelettes toucher ses pieds. Du à la chaleur, l'eau était à la bonne température et Kasuki s'empressa d'y rentrer jusqu'au pectoraux. Il commença à faire quelques brasses avant de plonger pour ressortir quelques instants après. Se mettant sur le dos, il admira le ciel où les étoiles commençaient à apparaître et le soleil disparaître à l'horizon. Lorsqu'il se remit droit, ses pieds n'atteignaient plus le fond. Il se mit face au bord et commença à nager calmement jusqu'à avoir pied. Au loin, sur la terre ferme, une autre personne venait d'arriver. Une fois de plus, Kasuki espérait qu’on n’allait pas le déranger...
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Aya était comme tout les jours a la recherche d'une conquette, plutôt en chasse a la testostérone. Mais cette journée d'été était pour le moins lourde et chaude, c'était peut etre pas un bon jour pour elle songea-t-elle, les autres humaines lui faisait trop facilement concurence avec leurs mini jupes et leurs chemisiers court. Bien qu'elle portait elle aussi une mini jupe rose et un chemisier blanc noué sur sa poitrine -probablement pour remplacer un soutiens gorge inexistant- elle avait de bonnes rivales.
L'eau était a une température merveilleuse, si bien que le lac était bondé toute la journée. Autant dire que pour la chasse ce n'était pas une mince affaire. La succube attendit patiament, légerement aggacé par ce monde où les femmes étaient parfois bien trop belles, elle pestait que sa journée était gaché par un surcroi de beautemps.
Vers les 20 heures, la plage était enfin deserte, le lac ne présentait plus que quelques jeunes partant finir leur soiré chez eux. Rien d'interessant dans ces couples déjà formé, affligé et bléssé dans son orgueil, Aya pris le chemin du retour, elle avait traversé la moitié du chemin séparant l'allé du parc nord de l'étandue d'eau quand elle sentie la présence d'un seul etre sur son teritoire de chasse.
Tiens, j'ai dérré un poisson et il sent délicieusement bon.
Dans son aisance habituelle, la jeune démon fit demi tour et rebroussa chemin vers la ligne de peche afin d'y récuperer sa prise et de consomer son butin sur place. Lorsqu'elle arriva, il était déjà au large. Un soupir marqua le silence de la situation, il était trop loin pour qu'elle le prenne par surprise, domage elle aurait put donner une autre tournure a la situation.
Il a l'air pas mal vue d'ici, voyons si il vaut son odeur....
Il sortait de l'eau, ou du moins c'est l'impression qu'il donnait. Aya se posa sur le sable jonché de galet a coté de la serivette du jeune homme. Il n'était peut etre pas attiré par les femmes, mais qu'importe, elle ne risquerait rien en essayant. Patiament, comme une lionne a l'affut elle contemplait sa proie approchant innocement de la Mort elle-même. C'était excitant comme sensation
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Kasuki nagea encore un moment avant de s'apercevoir que la silhouette qu'il avait remarquée était toujours présente. Elle s'était d'ailleurs rapprochée de sa serviette. Il n'y fit, pour l'instant, pas du tout attention et continua de nager silencieusement, plongeant de temps à autre sous l'eau et ressortir quelques mètres plus loin.
Il ressortit après dix minutes de nage. Nageant jusqu'à avoir pied, il marcha le reste du chemin aquatique jusqu'a sortir complètement de l'eau. Malgré son jeune âge, Kasuki était très grand et la jeune fille, ou plutôt la jeune femme en vue de son physique avantageux était malgré elle, assez petite. Mais cela ne gêna pas Kasuki qui alla jusqu'à sa serviette pour s'installer.
Il tourna la tête, regardant la femme qui s'était installé à côté de ses affaires. Elle était très belle. Mais Kasuki ressentit quelque chose de, différent en elle... Quelque chose qui n'était peut être pas humain. C'était son instinct et rien ne lui disait que cela était vrai... Regardant à nouveau en face de lui, il prit un bout de sa serviette pour s'essuyer le visage et attrapa ensuite ses lunettes qu'il replaça correctement sur son nez.
Après quelques longues minutes de silence, qui n'avait pas du tout dérangé Kasuki, il préféra commencer une petite conversation pour ne pas qu'elle lui reproche quelque chose...
"Que faite-vous ici ?"
En vue de son âge, sans doute plus avancé que le sien, il l'avait vouvoyé en guise de simple politesse...
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Aya regarda le jeune homme qui se sentais comme un poisson dans l'eau, oui elle a un sens de l'humour aigue, durand le petit moment où il se rafraichissait les idées. Il semblait ne preter aucunne attention a la proximitée de la succube face a sa serviette.
Il se décida enfin a sortir, ca aurait put etre téhatral, dans le genre des surfeurs australiens super musclé qui s'exhibe, mais ce ne fut pas le cas, il sorti simplement de l'eau sans aucune envie d'impressioner Aya. C'est interessant, il ne cherche nullement a attirer l'attention. Cette petite pensé traversa l'esprit de la succube, il était donc assez réservé comme homme, ce serait un bon entrainement pour pouvoir un jour atteindre sa propre cible.
L'inconnu se posa a cotée d'elle apres s'etre néttoyé le visage et enfilé ses lunettes, il était simple et sans trop de timidité ni une trop grande confiance en lui. Son attitude détendue, elle, montrait qu'il n'était pas surpris ni anxieu de cette rencontre. Mais cette question frappa comme un fouet arrachant la peau.
Que fais-je ici? hum, laissez moi réfléchir....Je suis venu profité du couchant au bord frai de l'eau, c'est pas interdi si je ne me trompe, dans le cas contraire on est bon pour faire un tour au trou...
Elle laissa un petit sourire en coin éclairer son visage, elle avait entendu des trucs sur les prisons, mais c'était pas tant ca qui la faisait rire.
Tu sais "mon garçon" quand on engage la conversation avec une femme on commence par les formules de politesses et on décline son nom, apres on pose ta qestion. Tu t'y prend mal tu sais..
Son sourire s'élargie alors qu'elle se rapprocha de son inconnu et lui chuchotta a l'oreille sans meme l'éraffler d'une meche de cheveux
Bonjours, je me nomme Aya, l'eau est bonne?
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Kasuki écouta la réponde de la jeune femme comme si de rien été. L'homme ne cherchait en aucun cas une conversation quelconque et avait juste préféré dire quelque chose pour qu'elle ne le prenne pas pour un muet. Finalement, elle lui fit quelque remontrance au sujet de sa politesse, mais Kasuki ne chercha pas à s'excuser... Elle s'avança alors près de son oreille pour lui murmurer son prénom ainsi que de savoir son avis sur l'eau du lac.
N'importe quel garçon aurait déjà rougit comme une tomate si il s'était retrouvé à la place de Kasuki, mais ce dernier ne tressaillit même pas et continua de fixer ce qui ce trouvait en face de lui, sans bouger. Pour ne pas laisser le silence s'imposer entre eux, le jeune homme lui répondit tout aussi calmement qu'a son habitude.
"Vous m'en verrez désolé... Je suis Kasuki, enchanté..."
Enchanté... Rare son les occasions où Kasuki avait put dire ce mot. Il ne parlait que très rarement à d'autre personne, mais cela ne le gênait guère. Pour continuer la conversation, le jeune homme lui donna son avis sur la température du lac.
"L'eau est parfaite ce soir..."
Simple mais efficace. Kasuki ne cherchait jamais à faire des phrases compliquées. Il préférait dire directement ce qu'il pensait sur la question qu'on lui posait, et ne pas parler pendant de longues minutes pour dire la même chose...
Son regard restait toujours fixer sur le reflet de la lune maintenant bien visible sur la surface du lac...
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Aya ne broncha pas, elle n'en avait pas vraient l'intention. Alors le maigrichon s'appelait Kasuki, c'est un bon point, au moins il n'était pas de Terra, ca rendrait le tout plus piquant. Elle restait a le fixer, la legere brise d'était arrivait a peine a faire osciller ses lourds cheveux bleuté. C'était en effet une scene qui en aurait fait rougir plus d'un, mais elle ne sentait pas cette excitation subite, ni la réserve, d'un homme en train de rougir dans son aura.
Le tout serait donc plus complexe a obtenir, ce poisson qu'elle prenait pour une petite truite sans envergure se trouvait etre un grand espadon. C'est un défi de taille, il est simple, direct, sans crainte: Une vraie plaie pour Aya tout ca. Si seulement il avait des pulsions incontrolables....
Bien, ca te tente de venir te baigner avec moi? Kasuki?
Sa voix était douce et tendre, une arme dont elle ne s'était pas servie depuis bien longtemps de cette maniere la, c'était un délice de laisser couler ces paroles sucrée presques irresistibles. Et comme pour appuyer un peut plus l'histoire et le pousser dans ses retranchements, Le noeud du chemisié d'Aya lacha, elle se retrouva chemise ouverte.
Ce n'était pas du tout prévue, elle se retira rapidement, cachant sa poitrine dans les froissures de sa chemise blance. Elle avait le tein virant a l'écarlate, mais juste assez pour la rendre encore plus désirable alors qu'elle cachait sa généreuse poitrine dans ses cuisses qui venaient maintenant se coler a son buste.
Je suis sure que tu m'as mater!
Elle avait un ton legerement acide, evidemment elle jouait la comédie, elle n'avait que faire qu'elle le mate vue qu'il allait bientot s'imbriquer en elle. Cette manoeuvre était juste faite pour pouvoir voir si oui ou non il avait un coté pervers, si oui, sa tache serait simple, dans l'autre cas, elle devra la lui montrer dans toute sa splendeur et le pousser a palper la marchandise avec allégresse
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Poussant légèrement ses vêtements sur le côté, Kasuki s'allongea, mettant ses deux mains derrière la tête pour la surélever, assez pour toujours voir la jeune femme quand elle lui parlait. Ce qu'elle ne tarda pas à faire, lui demandant si il voulait se baigner en sa compagnie. Kasuki ne pouvait le nier. Malgré son côté renfermé, il savait que se baigner en compagnie d'une si belle femme était une situation des plus envieuses...
Avant qu'il est eu le temps de répondre, le noeud qui retenait le chemisier de Aya se défit laissant ainsi sa poitrine assez visible. Elle s'empressa d'ailleurs de remonter ses jambes pour la cacher en lui disant qu'elle était sur qu'il l’avait regardée. Malheureusement pour elle, son regard n'avait pas bougé du ciel pour admirer les étoiles. Ce n'est que quelques secondes plus tard qu'il lui dit :
"Non je ne vous ai pas regardé. Et, pour l'instant, je n'ai pas envie de retourner me baigner..."
Comme d'habitude, Kasuki était franc. Il disait toujours ce qu'il pensait et ne faisais jamais ce qu'il n'avait pas envie. En l'occurrence, il n'avait pas envie de se baigner maintenant malgré qu'en compagnie de cette charmante Aya, peu de personnes auraient refusé à sa place... Mais c'était le caractère de Kasuki, il ne changeait que très rarement d'avis et la seul façon pour lui d'aller se baigner, c'était qu'Aya le force. Gentiment bien entendu...
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Rahh c'est impossible ce genre d'homme ne peut pas exister, il resiste a tout. C'est un résumé assez simplifié de ce qui bouillonait derriere les yeux d'Aya, jamais elle n'avait été repoussé de la sorte. Son premier refus fut comme un choc pour elle. Elle ne se laissa pas abbatre pour autant, elle obtien toujours ce qu'elle veut, fut il employer la force.
C'est domage, si tu avais regardé tu n'aurais pas été aussi surpris que maintenant.
Sans la moindre pudeur, elle avait retirer ce chiffon de tissus et se tenait maintenant au dessus de lui, le forcant a la regarder. Machiavélique? Bien sur, elle savait que petit ou grand, maigre ou gros, brun ou blon, tout les hommes pensaient pareils en fin de compte, il s réflechissent tous avec leur ceinture et une paire de sein aussi imposante que celle d'Aya était une arme qui permettait au cerveau des hommes de se mettre en action avec une vitesse monstrueuse.
Poussant les tentations a leurs combles, la jeune femme se placa au dessu de Kasuki, le dominant complètement avant de descendre sur son visage et d'y déposer ses cheveux en cascades et ses levres contre son oreille
Tu sais, tu peux arreter de dire vous, je reconnais ne pas etre tombé du berceau mais je reste jeune....et je peux te le prouver de multiples façons mon coeur
La succube avait employé une voix a la fois douce, sucrée et sensuelle. Il n'était peut etre pas encore rouge, mais maintenant qu'elle avait déployé tout ses atouts il ne resisterait plus longtemps aux coups de belliers qu'elle ascené a sa reserve.
Alors, ca te tente? J'ai une connaissance assez grande dans une multitude de domaine, domaine que je serais ravie de partager avec toi.
Elle avait fait le vieux cliché des lunettes, pour elle c'était un rat de bibliotheque et, par chance, cette fois c'était le cas. Peut etre que ces propositions éveilleraient sa curiosité, mais peut etre aussi que son grand jeu ferait plus de dégats qu'elle ne le pensait sur sa jeune victime...Qui vivra verra.
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Toujours allongé sur sa serviette, il écouta vaguement ce que disait Aya. En parlant de surprise, il tourna légèrement la tête pour la regarder mais fini par se retrouver sous la jeune femme qui avait enlever ce qui lui permettait de retenir sa poitrine, le forçant ainsi à regarder. Pourtant, Kasuki n'y fit même pas attention et garda son regard posé sur les yeux de Aya.
Elle lui dit alors qu'il n'avait pas l'obligation de la vouvoyer et, quelques secondes plus tard, elle lui parla de son expérience dans moult domaines et qu'elle aurait bien voulu partager ceci avec Kasuki. Cependant, le jeune homme ne se fit pas prendre au jeu, mais préféra lui même jouer un peu. Si cette femme voulait s'amuser, il pouvait en faire tout autant. Il posa donc ses mains légèrement en dessous des côtes de Aya.
"Hé bien..."
Lentement, il caressa sa douce peau du bout des doigts. Puis, d'un coup, il la repoussa gentiment et lentement sur le côté tout en se mettant assis pour la regarder droit dans les yeux et lui dire tout aussi calmement qu'il en avait l'habitude.
"Je ne suis pas assez bête pour partager vos "connaissances". Surtout pas avec quelqu'un que je viens de rencontrer..."
Il savait que cela allait vexer la jeune femme, mais Kasuki s'en fichait. Chose qu'il été sur, il ne referait sans doute pas la même erreur que la dernière fois à la bibliothèque, surtout de soi-même...
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Il n'avait pas mordu a l'appat, mais ce n'était pas grave, ce rat de bobliotheque allait amerement regrété de ne pas vouloir partager le savoir aquis en plusieurs siecles d'étude. C'est triste a dire, mais Aya n'était pas une simple bimbo avec le feu aux fesses. Elle se mis a genoux devant Kasuki et plongea son regard azur dans les siens.
Tu connais l'histoire du japon?? Je parle de la vraie histoire, pas ce que des milliers de bouquins dans des centaines de bibliotheques raconte, l'histoire de ces quatres derniers siecles...
Elle voulait piquer sa curiositer au vif, meme si ce n'était pas dans sa nature de prendre des gants, elle ne voulait pas non plus le rendre aussi entreprenant qu'un molusque désseché en l'embrassant avec un baiser de succube, il n'y avait plus d'enjeu.
Par contre, tu m'a caressé, c'est pas la premiere fois que tu le fais. Ca ne sert a rien de mentir de toute facon, je suis assez experte dans ce domaine. Mais tu veux pas que je te les montres, c'est triste. J'ai plus que l'histoire du japon a partager, j'ai un sujet qui n'existe pratisuement nulle part dans ce monde et dont on trouve les traces dans cette ville seulement.
Elle parlait évidemment de Terra, c'était un sujet qui pourrait encore plus l'attirait car les seuls écrits qui viennent de Terra sur cette planette sont ceux écrit par les emigrants eux meme. La succube voulait l'attirer dans ses filets, mais elle pouvait lui offrir aussi un voyage pour terra: elle avait un portail stable qui la servait depuis plus de 5 ans.
Alors, intéréssé?
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Kasuki se rallongea finalement, n'ayant pas vraiment crainte que la jeune femme refasse la même chose que précédemment. Elle lui parla de l'histoire du Japon, de sa façon de caresser, puis à nouveau du Japon. Bien entendu, Kasuki n'écoutait que très vaguement ses paroles bien qu'il n'en perdait pas un bout. Kasuki était comme ça... Il faisait mine de ne pas écouter bien qu'il arrivait toujours à trouver une quelconque réponse à ce que son interlocuteur lui disait...
Elle lui demanda alors si il était intéressé. Bien sur que le jeune homme était intéressé, mais malgré ses grandes connaissances, il n'était pas un rat de bibliothèque à chercher moult information sur un sujet précis. Il aimait simplement avoir assez de connaissance pour tenir une conversation, quand ce dernier en tenait une bien entendu...
"Cela m'intéresse que très vaguement... Mais si vous aviez envie de parler, n'hésitez pas à me faire par de vos connaissances..."
Malgré qu'elle lui ait dit d'arrêter de la vouvoyer, Kasuki le faisait toujours. Non pas pour l'agacer, mais plutôt qu'il le faisait toujours lorsqu'il rencontrait quelqu'un. Il n'était pas du genre à se familiariser avec la personne dès le premier regard. Il préférait connaître la personne...
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Aya fit la moue, il la vouvoyait encore, et elle en avait une horreur sans nom. Elle croisa les bras sous sa poitrine en signe de désaprobation, puis dans son expression infantile qui lui était propre elle s'adressa d'un ton des plus glacials au jeune homme
Si tu veux te cantonner a ce petit monde, libre a toi, je t'offrait un autre monde, un monde qui n'existe dans aucun livre ni sur aucune de vos cartes...mais ca a pas vraiment l'air de t'interesser donc je crois que je vais simplement....
Elle se tu et observa un long silence face au jeune homme, en fait elle n'avait pas du tout envie de partir et il devait s'en douter, mais elle devait faire quelque chose. La succube passa vite les choix et otions en revues et les conclusions furent assez amere, soit elle partait dans l'espoir qu'il la rattrape, soit elle restait et le transformait en esclave.
Soudain, une idée des plus horribles qui soit se marqua dans son esprit, le jeune Kusiki ne regardait pas son corps mais ses yeux, pourquoi se priver de ce moyen d'addiction? Elle le teniat, il ne pourrait pas resister bien longtemps a ces propres pouvoirs, lui un simple humain, croyant etre capable de défaire une succube sur son propre terrain, faut pas réver
....Te poser une simple question. Que sais tu sur les succubes?
Avec cette questions qui pourrait passer pour une simple entame de discution, Aya voulait voir jusqu'où s'étendait le savoir de sa victime et surtout, elle voulait savoir si il connaissait les techniques d'approche de ces dernieres. C'était interessant, elle s'en léchait meme les babines
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(C’est Kasuki est non Kusiki ^^)
A nouveau, et comme d'habitude, Kasuki l'écouta parler distraitement. Elle termina sa phrase en le regardant, ce qui attira son attention. Elle lui demanda alors si il connaissait les succubes. Pour le jeune homme, c'était plutôt une drôle de question. Mais il y réfléchit quand même pour trouver quelque chose à lui répondre. Plusieurs secondes suffirent pour qu'il ouvre la bouche et lui répondre d'un ton neutre, reposant son regard sur le ciel.
"J'ai lu que c'était de très belles femmes. Leurs baisers permettent à la victime d'être son esclave... Il n'y a malheureusement peu d'ouvrage sur ces belles créatures..."
Kasuki, n'avait pas dit créature pour signifier monstre, mais plutôt pour dire des femmes d'une beauté sublime semblable à... Aya... A cette pensée, le jeune homme ferma les yeux pour chasser cette pensée. Aya ? Une Succube ? Cela aurait étonné Kasuki. Mais il savait que malgré son entêtement, il ne pourrait sans doute pas se retenir de devenir esclave... Mais pourquoi pensait-il à ça maintenant ? Le jeune homme reposa un regard interrogateur sur Aya, cherchant un quelconque moyen de vérifier si, oui ou non, elle était l'une de ses Succubes...
(dsl c'est un peu court cette fois...)
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(disons que ca 'apprendra a massacrer ton nom ptdr)
Aya pris un sourire enjoué lorsqu'il lui dit, meme sur ce ton, ce qu'il savait des succube. Elle tendi l'oreille pour entendre chaque mot mais ce fut une deception immence de voir que si peut d'ouvrage la concernait. Peut etre devait elle etre plus présente sur terre pour qu'on parle un peut plus frequamment de son espece.
Mouais, tu n'as peut etre pas cherché au bon endroit car je connais plus de choses sur ces charmantes créatures que ce que tu semble avoir aquis en effleurant la surface.
Elle s'approcha de Kasuki, toujours torse nue, et lui passa la main sur la nuque avant de lui dire tout bas l'essenciel de son savoir
J'ai connu des succubes, je peux tout te dire sur elles et crois moi, ce n'est pas du tout ce que les humains de ce monde étriqué pense, je ne suis pas de ce pays ni de ce plan d'existance. je viens d'ailleur, un monde bien different du votre.
Elle venait de vendre la meche de Terra volontairement, son identitée n'était toujours pas connue, il fallait garder un peut de surprise pour maintenitr sa proie en haleine. Lentement, elle continua son approche un peut étrange pour séduire le jeune homme, elle aborda les caracteristiques de ce monde, ses contrast fulgurants entre la féodalité et les aires futuristes qui jonchaient sans vraie frontiere les differents états de Terra. Puis sur un ton plus mieleu et sensuel
On a une maniere de faire l'amour tres differente de la votre aussi....
Sans plus de céremonie, la succube déposa un tendre baiser au coin de la machoire du jeune homme, non pas pour l'envouter, juste pour l'attirer dans ses filets avec une sournoiserie bien plus forte que n'importe laquelle de ses techniques. Si il ne cédait pas a cette proposition bien plus attrayante que "partageons nos cultures" alors elle devrait le violer...
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(quelle méchante punition XD)
Le jeune homme avait toujours les yeux rivés vers Aya qui parlait des succubes. Etrangement, il était de plus en plus intéressé par ses histoires. Kasuki n'était que rarement à l'écoute des autres, mais là, quelque chose était différent, comme si on l'attirait dans un piège quelconque... Parlant d'un autre monde, Aya attirait de plus en plus la curiosité de Kasuki qui repensait de plus en plus aux succubes et plus particulièrement au faite que Aya en sois une elle même...
La main de Aya avait passé sur sa nuque ne faisant qu'attisait le jeune homme dans ce piège, qui avait tout l'air d'en être un. La jeune femme parla alors de la façon de faire l'amour qu'elle ne tarda pas à montrer en embrassant Kasuki sur le coin de sa mâchoire. A ce moment, toute ses idées, toutes ses pensées s'envolèrent, pour laisser place à une Aya plus que magnifique dans sa tête. Son regard ébahit se ferma quelque instant, secouant la tête pour chasser cette drôle de pensée. Il revint rapidement à lui et regarda Aya. Malgré que ses doutes se concrétisaient de plus en plus, il avait l'impression de ne plus avoir besoin d'être ici... Il dit simplement, cachant avec une grande facilité le faite qu'il venait de se faire manipuler d'une drôle de façon.
"Je ne crois plus avoir quelque chose à faire ici... Bonsoir..."
Essayant de ne plus y penser, il enfila son pantalon, gardant sa chemise, sa cravate et sa serviette sur l'épaule, près à partir...
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Aya éclata de rire, il n'était qu'une facade sans sentiment derriere un corps en ébulition. Si il pouvait mentir a d'autre séductrice avec un ton détaché et apparaùent sans aucun ressentiment, son odeur ne mentait pas. Et il était de plus en plus interessé par la jeune succube. Le piege s'était refermé sur lui avant meme qu'il ne puisse s'en rendre compte.
Tu me plais, je te plais. Cetre je suis pas tout a fait humaine, mais où est le mal? Et puis, une nuit avec moi te rendra plus locasse mon garçon
Elle était profondément argneuse, tel un rauquet elle ne lacha pas sa prise d'une semelle. Il se leva pour pouvoir fuir comme un lache, chose que les hommes détestaient se faire rappeler, mais elle n'aura pas cette égard face a lui.
Lâche, tu fuis devant l'inconnu....Jamais tu ne connaitra quoi que ce soit de cette maniere.
Il était pret a partir, mais elle non, et il aalait rester, de gré ou de force. Son sourire devint large lorsqu'elle s'imagina avec quelle facilité elle pouvait le maitriser et en faire ce qu'elle voulait sans meme lui poser un baiser de succube. C'était des plus amusant pour elle et son esprit malsaint
Je vais te donner deux ou trois tuyaux sur les succubes. Le premiers, ma force croit avec les désirs ambiants, et tu es une source assez bonne de pouvoir, la deuxiemme, sur Terra je suis celle qui a alligné le plus de conquette de tout le monde souterrain sans jamais avoir recour a l'hypnose ni au baiser. La troisiemme et non la moindre, je ne suis pas une femme facile. Ressace ca, si tu ne veux plus etre ici, on peut continuer chez toi, ou alors dans mon monde, et dans mes appartements. C'est comme tu veux mon mignon
Sans meme attendre sa réponse, Aya plaqua le pauvre kasuki au sol et lui déposa un leger baiser sur les levres en arborant ce sourrire de petite fille qui lui va si bien. Puis lentement, elle revint a la charge avec un autre effleurement de ses levres sur celles de son amant. Pourquoi prendre des gants? C'est tellement mieux de vivre dans l'instant. Mais, tout le monde ne pense pas comme elle.
Rassure toi, ce que je vais te faire découvrir ce soir personne ne le verra, le parc est désert, a moins qu'avoir des oeunuques soit encore monaie courante dans ce monde....Laisse toi aller ca n'en sera que meilleur.
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Toujours en marchant droit devant lui, il écouta Aya rigoler et il s'en fichait bien. D'ailleurs, elle n'avait pas arrêtée de parler pour autant. Avançant toujours, il avait écouter sa longue phrase à propos des succubes ce qui confirma ses pensées, Aya en était bien une... Mais Kasuki ne chercha pas à s'enfuir, non. Il partait, tout simplement... Finalement, il lui dit, continuant d'avancer vers le chemin qui menait à la ville.
"Les femmes devraient penser à moins parler... Cela arrangerait sans doute les hommes..."
Malheureusement, il se fit plaquer au sol. Aya venait de courir après lui pour le faire tomber. Elle l'embrassa alors. Ce n'était qu'un très léger baisé, mais Kasuki ressentit la même situation que lorsqu'elle l'avait fait au coin de sa mâchoire. Et elle le refit une fois de plus... Kasuki comprit à ce moment la qu'il venait de se faire avoir. Il ne put rien faire pour se défendre et du se laisser faire. Son corps le voulait, mais son esprit résistait tant bien que mal... Dans ses dernières paroles avant de sombrer dans la soumission, il lui dit :
"Vous avez beau être une succube, vous n'avez sans doute jamais connu ce que nous, humain, appelons amour. Je vais sans doute faire ce que vous voulez ce soir, mais n'espérez pas pouvoir recommencer comme bon vous semblez. Je suis un humain, mais un humain a ses propres forces. Moquez vous donc, cela ne me fera rien..."
A son propre étonnement, Kasuki échapper un sourire très visible. Chose qui s'était produite que très peu de fois dans sa vie. Ses yeux commençaient à ne laisser passer plus aucuns sentiments. Il était dorénavant manipulé, et il le savait bien. Malgré qu'il tentait de résister, il savait que la succube avait le dessus sur lui...
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Aya laissa son sourire de gamine s'effacer lorsqu'il lui ascena sa phrase sur l'amour tel un jet d'acide. Si elle avait connue des rustre et autres raclures de bas étages, lui était le pire de tous, sa langue frappait comme un poignard comparé aux autres insultes qu'elle avait subis qui étaient des caresses de soie. Dans un acces de fureur elle lui ascena une violente gifle a lui en rompre la machoire. Les larmes aux yeux elle le lacha et s'en détourna presque.
Tu n'es pas soumis, abruti, je ne t'es pas fais boire mon sang, c'était un baiser tout simple...
ses sanglots étaient perceptibles, elle était brisé par ce qu'il lui avait dit, évidemment qu'elle avait connu l'amour, et meme plus d'une fois, mais sa nature était telle qu'elle ne pouvait se contenter d'aimer une seule personne et de lui rester fidelle. Plus qu'elle haissait les paroles de Kasuki elle se haissait elle meme.
...J'ai déjà aimer, dans ma longue vie j'ai déjà connu l'amour, mais c'est sur, toi tu ne vaux pas ce sentiment, tu n'es qu'un petit arrogant, tu crois que c'est ton corps qui te laissait te faire maitriser mais c'est juste ton esprit qui voulait, tu n'es pas différent des auttres.....
De chaudes larmes innondaient son visage, elle ne voulait plus jouer les calculatrices a le prendre dans ses serres avec autant d'adresse qu'un aigle, elle était simplement une femme meurtire, brisé par les paroles d'un humain sans coeur.
Aya attrapa son chemisié roulé en boule et le repassa sur ses épaules, il était gelé par les sensations que lui procuraient cette simple frappe en plein coeur, les viceres retourné, la chair de poule....Une tristesse infinie...Dans un sanglots non réprimé elle le regarda de profil, toujours en pleur
Tu as peut etre raison, je suis un monstre, je ne mérite pas de vivre....Merci....Je voulais simplement trouver l'élu, grace a toi je sais que c'est une chimere que je ne trouverais jamais, tout les humains sont des monstres, tout les humains....tous....
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Regardant son sourire s'effacer, Kasuki comprit qu'il avait touché un point sensible. Et elle parla alors, commençant à sangloter. Le jeune homme avait touché quelque chose de gros. Lui qui avait faillit se faire prendre, la situation avait complètement changé. Aya avait finalement déjà éprouvé l'amour, ce que Kasuki ne savait pas. Mais comment le savoir ? Impossible si elle ne le lui aurait pas dit...
Malgré son coeur de pierre, Kasuki éprouvait quand même une certaine compassion à l'égard de la succube qui venait de remettre son chemisier sur les épaules, pleurant à chaudes larmes. Kasuki réfléchit quand même à sa propre situation. Il avait déjà fait tant de mal à tant de personne par le passé. Et cela ne s'arrangeait guère au fil des années. Mais il restait comme ça, il n'avait pas envie de changer...
Aya lui parla alors de monstre. Qu'elle était un monstre. Kasuki comprenait qu'il l'avait grandement blessé. Une grande partie de lui n'y fit pas attention, mais une infime partie avait envie de la consoler... Il se redressa alors, prit sa chemise et fouilla dans les poches pour ressortir un bout de tissu qu'il lui tendit sans même la regarder.
"Sans doute que moi aussi j'en suis un, de monstre... Rare sont les personnes à ne pas apprécier mon caractère... D'ailleur, je commence même à me détester..."
En parlant de monstre de soi-même, il avait pensé à sa façon de vivre, sa façon de rejeter les personnes qui essayait tant bien que mal à nouer des liens. Il rajouta, quelques secondes plus tard, toujours en regardant à l'opposé.
"Désolé de vous avoir fait de la peine Aya..."
Il était sincère. Certes il s'excusait rarement, mais lorsqu'il le faisait, il fallait en être content. Content qu'il le fasse en étant sincère...
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Se confondre en excuse est innutile lorsqu'on brise une personne, mais elle n'était pas du genre a se laisser longtemps berné par son propre coeur. Il lui parla de monstruausité, mais il n'avait rien d'un monstre....Une pierre ne peut etre monstrueuse. Elle voulait lui crcher son poison avec tant de force, mais une partie d'elle meme en était incapable, elle était profondément gentille et ca meme avec le pire des salaud.
Trop tard pour les excuse, je t'ai déjà pardonné
Enfin, a moitié seulement, ses sanglots étranglaient encore ces maigres paroles mais elle se retourna vers lui, ne saisie pas le mouchoir et l'embrassa tendrement, laissant les perles de ses yeux mouiller le sol. Elle lui pris la main et la passa sur sa joue. Elle voulait tant de réconfort a cet instant là que meme un élan aurait fait l'affaire, pour dire a quel point elle était brise.
Sans plus de cérémonie, Aya se coucha en entrainant un Kasuki qui n'avait pas l'air trop farouche avec elle au sol. Elle le caressa tendrement, toute ses envies étaient passé sous silence, son seul désir était la tendresse, rien que ca, l'amour ou ce qui s'en approchait le plus.
Pitié....
Son ton suppliant était bien plus fort qu'elle ne le voulait, sa suplication était si forte qu'on aurait cru un ordre du coeur, elle était vraiment au bord du gouffre. Pourquoi? Sa sensibilité avait été mise a nue, il avait écraser sa carrapace et maintenant elle cherchait a gagner le peut de réconfort qu'une pierre pouvait lui offrir.
Aime moi, juste un instant.....
Et elle reposa ses levres sur celle de Kasuki, mais c'était pas comme elle le voulait, c'était bien moins exitant, plus désespéré qu'autre chose et ca parce qu'elle avait perdu, lamentablement face a un morveux alors que les immortels avaient déja plié depuis longtemps sous ses assauts
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Elle lui dit qu'elle l'avait déjà pardonné. Même si il n'y croyait pas vraiment, il préféra ne rien dire de peur d'empirer la situation. Ses sanglots parvenaient à ses oreilles comme le résonnement des cloches. Il n'avait jamais réalisé la peine qu'il pouvait affliger à ses interlocuteurs. Rarement Kasuki s'en voulait, mais ce soir quelque chose changeait en lui. C'est ce quelque chose qui pouvait transformer un solide en liquide, un pierre en de l'eau pur. En quelqu'un de plus abordable...
Kasuki la sentie se retourner vers lui, croyant qu'elle voulait prendre le mouchoir. Mais non, elle ne fit que se rapprocher de lui pour l'embrasser à nouveau. Le jeune homme ne chercha même pas à se défaire de l'embrassade sans pour autant la savourer. Elle le suppliait, elle le suppliait de l'aimer, juste un moment, juste ce soir. Kasuki aurait difficilement refusé. Elle reprit possession de ses lèvres. Le jeune homme sentait en elle comme quelque chose de différent. Ce n'était plus l'envie, mais la détresse, la détresse de se faire aimer un peu... Rompant délicatement le baiser, Kasuki, allongé sur l'herbe à cause de la légère poussé de la succube, ramena sa main qui tenait encore le morceau de tissu et essuya lentement les larmes qui coulaient toujours sur les joue rosies de Aya. Le laissant retomber à côté, Kasuki lui demanda, avec sa voix neutre ou un petit sentiment de tendresse était apparut.
"Arrête de pleurer maintenant... Je t'aimerais, pour ce soir..."
Il ne revenait pas de ce qu'il venait de dire, mais il s'en fichait. Il reprit lui-même possession des lèvres de la succube, l'embrassant tendrement...
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Il jouait sur un terrain miné, il ne semblait pas en connaitre des masses sur l'amour, mais cette promesse éétait creuse. Il avait probablement pas pensé qu'elle savait lire en lui comme dans un livre ouvert, meme si son coeur lui arrachait la poitrine a chaque battements. Il l'embrassa a nouveau, mais cette fois il y introduit un leger sentiment de tendresse.
Ne fais pas une promesse que tu ne peux pas tenir...
Elle forca comme jamais pour réprimer sa peine, retrouver ses yeux malicieux et son sourire infantile, mais c'était dur, il était allé profondément en elle. Mais la force de sa volonté etait plus forte que sa peine, l'éffort collossal qu'Aya fit la déchargea de sa peine, laissant place a une seule sensation, l'envie. Lenvie dévorante de sexe, le carractere le plus primere des succubes, il avait gratté la surface, mais un peut trop en profondeur avant d'eveiller le vrai démon.
Prenant de nouveau les innitatives, la succube se placa sur le corps de son compagnon et retira son chemiser avant de laisser se materialiser ses ailes noires et longues de chauve souris et sa queue dont la pointe était affuté comme une lame de rasoir.
Je suis ce que je suis.
C'était pas une explication, mais son refoulement de ses émotions lui avait fait remonter son plus bas instinc. Elle avait le regard désolé car elle était esclave de son corps, meme si il serait plus qu'enchanter par le traitement qui l'attendait, Aya, elle, était triste de ne pas pouvoir lui offrir cette nuit elle meme.
Je t'en pris, aide moi a me sortir de là...
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Kasuki avait bien vu qu'elle n'avait pas l'air de lui faire confiance sur cette phrase qu'il venait de dire. Pourtant, le jeune était tout à fait sérieux. Certes il ne pratiquait que très rarement le plaisir de la chair, et pourtant, il l'avait lui-même voulu ce soir. A nouveau, la succube reprit le dessus sur lui, enlevant son chemisier pour faire apparaître de longues ailes noirs ainsi qu'une queue, signe d'une succube. Cependant, Kasuki n'était pas effrayé du tout, on pouvait même voir, mais difficilement, qu'il était entrain d'admirer la scène, aussi drôle soit-elle.
Etant plaqué au sol, Kasuki ne pouvait pas faire grand chose. Mais dans un grand effort, il prit les poignet de la succube pour la faire balancer sur le côté. Le jeune homme se fichait des conséquences, il allait tenir sa promesse. Sérieusement il lui dit.
"Je t'ai dit que je t'aimerais ce soir. Que tu es des ailes, une queue ou tout autre chose, je t'aimerais ce soir..."
Il continuait de la regarder fixement sans bouger. Il s'attendait presque à recevoir un autre coup, mais s'y était préparé. Il lui avait dit ce qu'il pensait vraiment, maintenant, il fallait voir sa réaction pour voir si, oui ou non, elle allait le croire. Pourtant, Kasuki n'avait toujours pas entreprit une autre embrassade, préférant attendre la réaction de Aya, sachant qu'il allait sans doute se retrouver à nouveau dominé...
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Elle n'écouta pas ce qu'il lui dit, elle se contenta simplement d'aposer son index sur sa bouche. Il l'avait retourné sans aucune resistance et se retrouvé maintenant en position de dominance, mais elle n'était pas géné pour autant, au contraire, elle se laissait aller, attendant patiament que les jeux comences
Ne dis rien. Aime moi en silence, mais ne brise pas mon coeur une seconde fois.
Elle l'embrassa avec douceur et calme, laissant les larrmes remonter et couler seules, elle préférait que ce soit du chagrin qui se lise dans ses yeux plutot que d'etre prisonier de son propre corps. C'est cette sensation que lui avait procuré son rejet de sa peine qui la retenait d'user de tout ses pouvoirs faces aux compagnos et compagnes au'elle a eu avec le temps. Prisonier de sa chair et de son esprit, c'était ce qu'il y avait de pire pour un etre vivant..
Les levres de la succube quitterent celles de Kasuki, elle s'offrait maintenant entierement a lui. Elle se modit l'index en caressant les cheveux et la joue de son amant, ca lui donnait un aire tres coquin, et lui murmura sensuellement
Fais de moi ce que tu veux, je t'appartiens.
(beurk c'est cour)
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Pour répondre à la phrase de la succube, Kasuki répondit avec une grande douceur au baiser qu'elle venait de débuter. Ses lèvres ne tardèrent pas à goûter au salé des larmes de Aya. Doucement, l'une de ses mains vint essuyer ses larmes de tristesse avec le pouce. Elle rompit alors le baiser murmurant qu'elle était à lui. Il la regarda, droit dans les yeux, avant de reprendre l'embrassade de plus belle, sa langue traversant les lèvres sucrées de Aya pour rejoindre celle de cette dernière, commençant ainsi de douces caresses.
Sa main qui restait encore sur la joue de son amante, descendit lentement, caressant du bout des doigts la nuque, le contour des seins et le ventre de la succube sans toucher à sa poitrine. Kasuki avait le don de faire patienter les femmes lorsqu'il passait à l'acte, ce qu'il n'hésita pas à faire. Sa main remonta alors, encore plus doucement que précédemment, pour passer entre les deux seins, faisant le contour de l'un d'eux puis monta calmement vers le téton, sans le toucher.
Sa langue continuait de jouer avec celle de Aya entre ces deux lèvres qui se touchaient à peine. Un petit filet de bave coula lentement sur le coin de la bouche de la succube...
(Ce n'est pas grave, tout le monde à le droit de faire des post court ^^)
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(peut etre mais ca me mine le moral xD)
Aya se laissait faire avec délice, il s'y prenait si bien dans ses caresses, l'éfleurement de sa joue pour balayer sa tristesse comme le vent. La douceur de ses doigts le long de sa nuqye, l'efleurement de sa poitrine et de son ventre. Toute ces choses faisait qu'Aya était rose de plaisir, elle monta lentement sa jambe droite le long de celle de Kasuki, le caressant tendrement, comme une amante. Il y avait un pantalon entre eux, mais elle y appliqua tant de pation qu'il sentiariat la tiedeur de sa peau a travers ce tissu ingrat que porte tout les humains.
Par contre, le bal qu'intimait la langue du jeune homme laissa la succube pantoise, elle se fit entrainer sans avoir son mot a dire, sentant la salvie de son compagnon se répendre lentement dans sa bouche le long de sa langue. Elle ferma les yeux, se focalisant sur ses sens tels que le gout et le toucher, oubliant le reste. C'était si doux, et ca ne faisait que commencer.
La main de Kasuki remontant entre ses seins, ce fut un miracle qu'il ne la pellote pas, mais ce qu'il lui fit était bien meilleur ecore. Il lui caressa futilement le téton, arrachant un soupir d'allegresse et un tortillement satisfait de son corps. Elle voulait qu'il continu, mais ce ne serait pas équitable de rester sans rien faire.
Elle lui posa une main sur sa joue, le caressant tendrement, poussant ses meches de cheveux de ses doigts fins, et palpant amoureusement chaque parcelle de peau du plat de la paume, tandis que l'autre main appyait sur les fesses du jeune homme pour le rapprocher d'elle alors qu'elle se reculait de ses levres.
Fais moi rever...mon prince....
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Les caresses que faisait Kasuki sur la peau de la succube n'avait pas changer de rythme et gardaient toujours la même allure, sans aller trop loin directement. Il aimait prendre son temps, surtout quand sa compagne s'impatienter, ce qui ne faisait qu'accentuer son plaisir. Sa main, toujours autour du téton, allait le toucher, lorsqu'il fit exprès de retomber sur le ventre, faisant quelques contours autour du nombril de son amante pour remonter à nouveau vers le téton. A chaque rond qu'il faisait autour de celui ci, l'écart entre son doigt et le petit bout de chair devenu dur diminuait et Kasuki ne l'avait toujours pas touché...
Kasuki, sentit alors la jambe de la succube remonter contre le bas de son corps, commençant de douces caresses qu'il put ressentir même en ayant gardé son pantalon. Aya se détacha lentement de lui, brisant ainsi le baiser langoureux pour lui dire de la faire rêver. Ce que Kasuki n'allait pas tarder à faire, mais en prenant son temps...
Au lieu de reprendre possession de ses lèvres, la bouche du jeune homme passèrent sur la joue de la succube, goûtant ainsi au goût salé qu'avait laisser les larmes. Il l'embrassa sur la joue, passant sur son oreille pour descendre dans le cou où il fit glisser sa langue avant de suçoter la peau...
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La torture que lui infligeait Kasuli était des plus agréables, si seulement il savait qu'il pouvait la faire jouir simplement en s'occupant de la zone la pls sensible de son corps...Il ne serait que plus lent et langoureux a la tache, mais sa vitesse lui plaisit. Elle pouvait pleinement sentir cette pression futile qu'exercait son doigt sur sa poitrine en ébulition. Elle se senti mouiller, quoi de plus normal me direz vous, et pas qu'un peut, tant qu'elle craignait qu'il le sente a travers le pantalon le maillot et la culotte de la succube, mais c'était s'inquietter pour rien.
Elle se laissa lentement torturer, haletant legerement lorsqu'il se raprochait de son téton dur comme l'acier. Comment pouvait il encore soutenir ce regard empli de larme? Il était d'un vert foudroyant et ses larmes le rendait encore plus craquant, quant au contraste qu'il offrait avec les paumettes maintenant bien rouge de la succube, il n'y avait pas plus beau spéctacle sur cette terre.
Je crois que cette vue est préférable aux étoiles tu ne trouve pas?
Le champs était parfait, le soleil cuivré se couchait et offrait aux amants une intimitée toute singuliere avant de se faire faucher par la fraicheur et le draps noir de la nuit. Une soirée digne des romans d'amour mais emplie de larme et de tristesse.
Larmes qui finirent gobé par les levres douces de Kasuki, Aya pouvait le sentire, il se gavaitde sa tristesse, comme si il voulait la débarasser de son malheur. Mais il ne s'aretta pas là, il tomba sur son oreille, mais évita la zone purement érogene du lobe superieur. Ce qui laissa une moue boudeuse et arreta momentanements les caresses mais se reprit iméditaement en lachant un cri surpris lorsqu'il sucota le cou de la succube.
Ha,, tu es pas si mauvais que tu le laisse croire....continue, montre moi ce que tu sais faire....
Mais cette pensé ne la réconforta pas, enfin, rien ne la réconfortait, les larmes coulaient, c'est tout, pas de tristesse, pas de rancune, juste une exteriorisation de sa tristesse et de sa solitude interne. Il le prendrait pour lui, mais ce n'était aps le cas, il étiat le déclancheur, mais maintenat c'étiat sa simple solitude de coeur qui s'exprimait. Dur pour cette femme qui en a crever des milliers et qui voit le sien voler en éclat en un soir
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Ses baisers bans le cou de la succube se firent plus intense. Lentement, il remonta ses lèvres pour à nouveau atteindre l'oreille, suçotant le lobe intérieur et remonta tout aussi lentement vers le lobe supérieur où il fit passer le bout de sa langue. Ses doigts avaient enfin atteint le téton de la jeune femme qu'il pinçait très doucement, juste pour la faire envier. Il ne voulait pas que cela se termine rapidement et il prenait son temps, s'amusant avec chaque parcelle de Aya...
Elle lui dit alors si la vue était préférable. En effet, la succube continuait de pleurer légèrement, mais le ton de sa voix avait changé. Elle était plus calme et plus apte à l'acte. Elle rajouta, quelques geste de la part de Kasuki plus tard, qu'il se débrouillait plutôt bien et qu'elle voulait voir ce qu'il savait faire. Prenant son post de dominant à coeur joie, comme on pouvait le dire, Kasuki arrêta de pincer les tétons de la jeune femme pour faire redescendre lentement ses doigts vers le vent, puis en dessous du nombril jusqu'à atteindre la partie la plus sensible du corps de la Succube...
Comme pour les seins, sa main n'allait pas directement sur le point culminant, préférant passer ses doigts autour de la partie intime de la jeune femme, sentant qu'elle mouillait déjà. Cela n'arrêta pas les geste du jeune homme, qui, à chaque secondes, s'approchait de plus en plus du point culminant... Après s'être amusé avec le lobe supérieur de la succube, les lèvres de Kasuki repassèrent par la joue ou il reprit quelques larmes puis par la bouche qu'il ré embrassa à nouveau avant de descendre lentement vers le menton puis vers la poitrine ou il commença par lécher le sein précédemment titiller par ses doigts. Sa langue se rapprochait de plus en plus du téton déjà très dur... Arrivé sur place, sa langue appuya doucement dessus, fit quelque tours puis le prit en bouche et le suçota légèrement...
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Pour quelqun qui n'avait aucune envie de le faire, Kasuki mettait du coeur a l'ouvrage, il se preta au jeu de la séduction a merveille, meme si il ne pourrait gagner son coeur. Aya était maintenat plus que passive, elle cessé toute caresses et retomba ses mains sur le sol, il voulait jouer les dominnt, elle le laisserait donc dominer. Cependant elle restait pantoise davant ses capacitées: il était aussi doux que froid, étrange mais agréable.
Il s'acharna a sa tache en augmentant l'intensité de ses baisers, ils étaient maintenat remontant le long des nerf de la belles succube qui frissonait déjà de plaisir. Son apréhension du restant de la soirée n'en serait que meilleure. Enfin, sa langue, et donc ses levres, remonta a son oreille, mais cette fois ci, il s'occupa de toute l'oreille, et la fit soupirer d'un plaisir naissant et de plus en plus prenant.
Ce qui passa a la vitesse superieure lorsque sa poitrine subis un simple pincement, elle ne l'avait pas prévenue, mais c'est sa poitrine et non son bas ventre qui constituait la zone la plus sensible de son corps. Ces lentes caresses du vents doux et de sa main lui aracherent un petit gemissement, faible mais vrai. C'était un bon début. Et la suite n'était que meilleure, apres un jeu de ses levres sur le visage encore ruisselant de larme et de désir de la succube, Kasuki déscendit légerement sur le cou puis continua dans les parties hautes de sa poitrine avant de se concentrer sur le sein déjà martirisé par ses doigts fin et délicats. La passivité d'Aya s'arreta net quand il s'empara goulument de son téton, elle laissa un soupir de plaisir lui echpper et commenca a gémir tendrement en lui caressant la joue avec une infinie tendresse.
Et lorsqu'il aposa sa main sur son bassin, elle ne resta que peut de temps avant d'etre chassé sans le moindre tact par la main de la succube. Elle regarda son amant en train de tété amoureusement son sein et lui dit d'une voix haché de plaisr.
Ne pose tes doigts que là ou c'est découvert ett fais moi jouir...
Elle savait que c'était facile, mais surtout, elle voulait prendre son temps car, contrairement aux femmes normales, elle pouvait jouir un nombre incalculable de fois avant de se sentir tremblante et hors d'haleine, c'est l'un des points positifs du démon de la luxure...
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Le corps de la succube appréciait la lenteur et la douceur des gestes du jeune homme qui parcourait son corps. Il n'arrêta pas de suçoter le téton, faisant passer sa langue autour ou en pressant dessus. Quelques gémissements provenaient enfin de la jeune femme, signe qu'elle appréciait ce qu'il faisait. Sa main, qui venait de se poser sur le bassin, se fit retirer par Aya, lui disant qu'il ne devait que toucher les parties découvertes. Il n'avait par arrêter de lécher le sein mais arrêta, donnant un dernier coup de langue avant de lui dire.
"Tu m'avais dit que ton corps était à moi non ? Je te ferais jouir autant que tu veux, mais contente-toi d'apprécier pour le moment..."
En guise de punition, sa main sur le bassin se défit de celle de la succube pour remonter vers la poitrine, laissant ainsi la virginité mouiller de plaisir pour venir se loger sur le téton encore libre. Il ne prit pas la peine de s'amuser avec, le prenant directement entre deux doigts pour le pincer sans lui faire mal. Cela dura quelques longues minutes dans lesquelles Kasuki put entendre les gémissements provenant de la succube.
Finalement, les gestes de sa main et de sa langue s'arrêtèrent progressivement. Un filet de bave coulait du sein qu'il venait d'abandonner. Il remonta alors vers le visage de la jeune femme pour l'embrasser tendrement, mêlant sa langue à la sienne. Cela dura très peu de temps, car Kasuki finit par descendre lentement vers l'intimité de Aya, retirant très doucement la culotte qui la protégeait encore. Pourquoi doucement ? Juste pour la faire attendre d'avantage. Kasuki n'était pas pressé, et cela avait l'air de faire plaisir à la succube... Une fois retirée, la culotte tomba dans l'herbe fraiche juste à côté d'eux.
Kasuki approcha lentement son visage de ce que lui offrait Aya. On pouvait distinguer très facilement la mouille qui dégoulinait lentement. Kasuki ferma les yeux, soufflant doucement sur l'intimité avant d'y approcher sa bouche. Il l'ouvrit, laissant passer sa langue qui commença à jouer avec les lèvres, pour remonter vers le clitoris qu'il coinça entre ses lèvres pour le tirer tout doucement avant de passer moult fois sa langue dessus...
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Lorsque Kasuki arreta de lecher amoureusement le sein de la succube, cette derniere fis une moue triste et dédaigneuse. Il lui assura que qon corps lui appartenait, et que donc, il pouvait faire ce qu'il souhaiter avec. Mais Aya voulait prendre plus de temps, faire durer le plaisir éphémere avant d'entrer au fond des choses.
Je...je t'appartiens c'est vrai...Je suis désole...
La main chassé de son entrejambe vint la pincer, elle se cambra en plissant les yeux et en serrant les dents pour ne pas se montrer trop experssive, en réalité elle adorait ca, et c'est pour cette unique raison qu'elle ne voulait pas qu'il touche a la partie basse de son corps. Mais bon, il avait l'air décidé a jouer les maitres et elle n'avait pas vraiment envie de le faire fuir.Durand de longues minutes il la tortura en lui laissant tout le loisir de se tortiller comme un serpent sous son corps, Aya éprouvé du plaisir plus que de raison et elle en était heureuse. Mais lorsqu'il arreta, un soupir triste s'alliant a ses larme le rendait encore plus cruel a entendre.
Un filet chaud se déposa sur le sein abondament leché de la succube, donnant a la scene un air encore plus pervers qu'elle ne l'était déjà. Il vint l'embrasser, un tendre baiser, une simple caresse qui lui fit comprendre que quoi qu'elle disie il irait en terre promise sans détour. Elle retira sa jupe d'un geste rapide en enlacant son amant afin de faire durer un peut plus longtemps ce baiser.
Avoue que mes levres sont meilleres que mon sein.
Mais il ne répondi pas et retira, comme elle s'en doutait, la culotte de la jeune femme avec une lenteur infin, dévoilant son intimité détrampé par le désir. Il allait passer un test difficile, si il échouait il se ferait rejetter et n'aurait pas droit a son plaisir solitaire, mais pour le moment c'est le tour D'aya de prendre son pied. vant qu'il ne comence a lecher sa mouille avec tendresse, la succube attrapa l'une de ses main et la posa sur sa poitrine avant de se croiser les bras derriere la tee en remontant les cuisses pour s'offrir plus amplement.
Il entama enfin son office, une petite brise tiede entama les hostilitées avant que ses doigts écartes les levres, au moins il était dircect. Il joua un instant avec les levres dela succube avant de remonter et de pincer entre ses levres la perle de plaisir. Aya était assez peut receptive, mais c'était assez normal, il n'avait pas voulu l'écutait, il en payait le pris avec une hypposensibilité. Domage, elle aurait tellement voulu crier son nom au lieux de simplement soupirer et haleter legerement de plaisir. Personne n'est parfais, la preuve il n'a pas écouté le démon de la luxure alors qu'eille lui parlait de son propre terrain de jeu
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Maintenant, Kasuki ne se focalisait plus que sur son 'travail'. Tout ce qui l'entourait venait de se remplacer par une grande étendue de vide. Sa langue continuait de jouer avec la perle de plaisir, ses mains poussant légèrement les cuisses de la succube. Sa langue descendit lentement sur l'intimité de la jeune femme pour arriver là ou sa langue allait bientôt entrer. Ce qu'il fit, quelques secondes après s'être amuser avec ce qui l'entourait. Sa langue entra lentement, ses papilles gustatives goûtant au liquide qui coulait le long des parois. Sans timidité, sa langue bougea à l'intérieur, léchant les parois ainsi que plusieurs petits vas et vient.
Pour répondre à sa phrase, Kasuki ne fit qu'accentuer ses mouvements. Il avait remarqué que la succube se retenait de gémir, mais il s'en fichait un peu, préférant écouter ces simples petits bruits qui faisait savoir qu'elle appréciait ce qu'il faisait. Sa main se laissa guider vers la poitrine de la succube encore un peu mouillée de ses léchouilles. Il se contenta de pincer délicatement le téton, le faisant tourner entre ses deux doigts.
Sa langue continuait de lécher l'intérieur de l'intimité de la jeune femme sans aucune gêne. La froideur de Kasuki avait disparut, pour laisser place à une tendresse qui lui était étrangère. Cela ne le gênait pas maintenant, car il se contentait de faire plaisir à son amante. La langue sorti plusieurs fois pour venir lécher la perle de plaisir avant de retourner se loger à l'intérieur. A plusieurs reprises, Kasuki avala une légère partie du liquide chaud qui sortait d'Aya, ne faisant qu'accentuer son propre plaisir. Après de longues minutes, Kasuki ressortit sa langue, avalant une dernière petite gorgée avant de lui demander d'une voix très calme.
"Tu apprécie ?"
Ses doigts qui n'était pas sur la poitrine descendirent vers l'intimité, jouant avec le clitoris sans rien faire d'autre, attendant simplement qu'elle lui réponde...
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Aya soupira lentement, puis son corps devint chaud comme la braise, il était en train de lui faire un bien fou et elle le savait. Il la penetra avec sa langue et fit de legers va et viens en lui caressant les parois de sa langue. Il était méticuleu et alternait ses plaisirs avec tendresse; la succube ne put que rougir, meme si sa sensibilitée n'était pas encore vraiment a fleur de peau. Il continua sa valse étonante avec sa simple langue et lui offrit un cunilingus des plus divint alors qu'Aya ne se doutait pas de ce genre de prouesse venant de sa froideur. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, apres l'avoir presque noyé sous sa mouille abondante, il remonta en lui demandant si elle apreciait. Son visage engelique parlait pour elle.
Oui...J'aime ce que tu fais, mais fais moi jouir, avec eux, je suis plus réceptive ca set endroit là....
C'est dur d'avouer son point faible, sourtout pour elle. Avouer clairement où se situe sa zone la plus érogene est le début de la fin, car pendant tout lacte il se focalisera dessus et sur rien d'autre, il est comme tout les hommes apres tout. Mais ses doigts la penetrant balayerent ses questions et ses craintes, elle se laissait aller, tout en continuant de pleurer a chaude larme. Les vannes étaient ouvertes et coulaient sans aucune raison maintenant, la peine accumulé pendant des siecles s'ecoulait de son corps alors meme qu'elle vivait presque un reve éveillé. Etrange contraste...
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Voyant qu'elle appréciait, elle dévoila aussi son point faible. Kasuki ne sourira pas, même son visage était neutre. Mais Aya pouvait comprendre que lui aussi y éprouvait du plaisir, même si ce n'est que lui qui s'amusait à lui faire du bien. Ses doigts glissèrent à l'intérieur de l'intimité très facilement. Avec toute cette mouille qui rendait la pénétration très facilement. Son doigt se fit rejoindre par un autre. Il redescendit doucement, embrassant divers parties du corps de la succube avant de rejoindre l'intimité trempée. Sa bouche vient se coller au clitoris qu'il lécha, un peu plus puissamment que précédemment.
A plusieurs reprises, ses doigts sortirent complètement avant d'y retourner, allant plus profondément à chaque fois. Sa langue titillait la perle de plaisir et elle se fit coincer plusieurs fois entre ses lèvres pour tirer un peu avant de reprendre une léchouille. Son membre devenait de plus en plus dur à chaque mouvement qu'il faisait, mais il n'y fit pas attention, se contentant uniquement de faire plaisir à Aya, qui gémissait plus ou moins fortement. Finalement, ses doigts se retirèrent pour laisser leurs places à la langue, qui ne tarda pas à reprendre le même rythme qu'avant. De longues minutes passèrent et Kasuki avait légèrement accéléré toujours en restant très doux et très calme...
Sa langue complètement trempé par la mouille de la succube ressortit, avalant à nouveau ce qu'il avait en bouche. Il regarda alors Aya qui soufflait doucement pour reprendre une respiration normale. Il se rapprocha d'elle et l'embrassa à nouveau avant de lui dire une phrase simple mais qui avait tout son sens
"En tant que dominant, je te demande de me dominer..."
Ne s'ayant jamais vraiment fait dominer, Kasuki voulait voir ce que cela faisait, c'est pour cela qu'il l'avait demandé à la Succube, sachant très bien qu'elle n'allait pas refuser. Et si elle le faisait, il allait sans doute arrêter...
(La vache c'est super court cette fois...)