Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Le parc et son sous-bois => Discussion démarrée par: Bleiz le jeudi 14 janvier 2010, 15:42:34
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EH MERDE!
Bleiz se dit qu'il faudrait vraiment qu'il arrête de s'endormir dans ce parc. ça lui arrivait au moins une fois par semaine et comme les restaurants fermaient il mourrait toujours de faim. Le parc était plongé dans l'obscurité ce qui ne l'effrayait pas outre mesure étant donné qu'il avait survécu dans les terres sauvages de terra.
Il était arrivé plus tôt dans la journée afin de s'entrainer au parc comme il le faisait presque tout les jours. Une fois son entrainement terminés, il s'était isolé dans les bois afin de se reposer un moment. Mais ce moment avait été finalement plusieurs heures vus qu'il s'était à nouveau endormi comme un gland.
Il remballa ses affaires et rangea son arme dans son fourreau. Il ce mit à marcher afin de regagner le parc puis de rentrer à son hotêl.
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Au contraire de Bleiz, Miya n'avait pas son quota de sommeil. Comment réussir à dormir alors qu'elle ignorait totalement tout de la situation de l'homme de sa vie ? Non, Miya avait beaucoup de mal à dormir. L'effet des antidépresseurs et autres somnifères étaient généralement neutralisés au bout d'une heure maximum par l'organisme de l'immortelle. Et cette nuit, comme toutes les autres nuits depuis quelques semaines, la jeune femme avait décidé de se lever, et de sortir.
Elle laissait ses pieds choisirent leur chemin, et c'était souvent au parc qu'elle finissait... Au moins, en pleine nuit, il n'y avait personne pour la déranger. Miya éprouvait le besoin de se dépenser, de se sentir épuisée, de pousser son corps jusqu'au bout de ses limites. Remplacer une douleur par une autre. Essayer d'oublier que son cœur qui cognait si fort n'avait aucune raison de le faire. Alors l'immortelle restait dans le parc, et jouait avec le danger, s'imposa un entraînement sévère pour retrouver tous ses réflexes d'antan d'acrobate. Oh bien sûr, quand elle devait tomber, elle ne se retenait pas. Sentir sa cheville se briser, son bassin de fêler, ou voir l'os de l'avant bras lui sortir du coude était un spectacle macabre qui arrivait à la distraire quelques secondes, et oublier la douleur qui lui broyait le cœur.
Et ce soir, Miya regardait justement la plaie de sa paume, fraichement traversée par une branche, se refermer, avec un calme effrayant, lorsqu'elle entendit des pas. L'acrobate bondit sur ses pieds, sa main saignait encore, mais peu lui importait. Elle détestait être dérangée. Les pas étaient à présent trop proches pour qu'elle puisse se cacher à temps sans être vue. Quelques coups de talons et de sa main valide pour vérifier qu'elle avait bien ses dagues fraichement acquises. Bien, elle était parée à riposter contre toute attaque, son regard sombre rivé vers la provenance de l'intrus.
- C'est un peu tard et risqué, de se balader à cette heure-ci.
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Bleiz arriva à la lisiere du bois et entra dans le parc quand il entendit un mouvement rapide. Comme quelqu'un qui bonsissait sur ses pieds. Il se dirigea lentement mais surement vers la source de se bruit et entendit des bruis sourds et répétés du talon et de la main sans qu'il puisse comprendre pourquoi. Avant qu'il puisse parfaitement distinguer la forme de la personne qu'il avait en face de lui il entendis
"- C'est un peu tard et risqué, de se balader à cette heure-ci."
La voix était féminine. Il approcha plus prêt et la vis.
Belle n'était pas le mot qui pouvais la désigner. Elle était magnifique. Que ce soit du corps ou du visage, Bleiz avait en face de lui un chez d'œuvre du corps féminin. Ses formes sculpturales, ses longs cheveux bruns, son visage à la foix terrible et triste, tout lui donnais envi.
Je pourrai en dire autant pour vous mademoiselle. Il est fort risquer pour une femme de se promenenr seul dans ce parc la nuit.
Il la détailla à nouveau de haut en bas.
Surtout une femme aussi belle que vous.
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Miya saisit une première dague et la lança vers le visage de Bleiz. Heureusement, elle l'avait lancée avec sa main encore blessée, et la lame se planta derrière l'homme. Celle qui avait toujours tout fait pour qu'on l'admire et qu'on la complimente, était à présent malade qu'on lui dise à quel point elle était belle. Bien sûr qu'elle le savait. Mais ces idiots qui l'admiraient avaient tous l'air de la prendre pour une greluche. Jeu auquel elle pouvait parfaitement se soumettre. Miya prit d'ailleurs une pose idiote, appuyée sur une jambe, un bras sur le côté (déjà sur le manche d'une nouvelle dague, en fait... ) et sa main encore blessée au niveau du visage, un index sur la joue, les yeux tournés vers le ciel.
- Zut, quelle idiote. Je n'avais même pas remarqué tout ça, dites donc. Heureusement que vous êtes là.
Pour s'entraîner, Miya avait seulement vêtu un pantalon de toile assez sombre et un débardeur qui cachait seulement sa poitrine devant. Elle redevint sérieuse, quoique toujours en colère. Le trou dans sa main finissait de se refermer, et elle l'essuya sur son pantalon, prit une nouvelle dague.
- Et alors ? Je risque quoi ? Toi ?
Dernier mot prononcé avec une certaine moquerie dans la voix. Le pauvre Bleiz n'arrivait pas particulièrement au bon moment s'il avait espéré s'attirer les faveurs de la demi-déesse. Si Miya n'avait pas été si déprimée, sans doute aurait-elle rit, et se serait-elle davantage moquée de lui. Elle leva seulement un sourcil et joua habilement avec sa dague. (http://foamcastel.com/osc/images/DL-03_L.jpg)
- Ecoute, va faire joujou ailleurs. Je ne suis pas d'humeur.
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Dés qu'il vit la dague il se prépara à l'esquiver. Mais au moment ou elle la lança il vit qu'elle ne le toucherai pas et ne pris pas la peine de bouger. Cette fille n'était pas ordinaire. Peut-être venait-elle de Terra. En tout cas désormais Bleiz se méfiait d'elle et la considérai comme un danger.
Son ton était railleur. Le type de fille méprisante des autres. Vus sa musculature légere, elle devait etre très douée au combat pour se permettre une telle arrogance. Elle ris à l'idée qu'il puisse etre une menace, et lui demanda de "faire joujou ailleurs"
Parce que tu crois que moi je suis d'humeur à supporter la petite colère d'une peste dans ton genre ? Ma grande si je t'avais voulu du mal, t'aurais même pas eus le temps de sortir tes ptits joujou que tu serais déjà à porté de celui-là
Il sorti son arme. Une courte épée seulement longue comme son bras, à un seul tranchant.
C'est vrai que t'as l'air de pas mal assurer avec tes dagues mais moi...
d'un mouvement il passa sa lame dérriere lui et arracha la dague plantée dérriere lui. Il la fit voltiger dans les airs puis d'un mouvement sec, la relança dans la direction de cette damoiselle au charme acide.
...J'ai affronté des gros méchants.
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Miya rattrapa sa dague au vol. Oh, bien sûr, cette imbécile s'était coupée. Mais elle ne faisait pas attention, la plaie se refermait déjà. Sans regarder sa lame, elle la lança pour reprendre le manche en main. Elle une peste ? Cela faisait longtemps que rire la démangeait à ce point.
- Ecoute, gamin. Je n'en ai pas seulement l'air. J'assure avec mes dagues. Si tu veux rentrer entier chez toi pour aller pleurer dans les jupes de ta mère, je te conseille de passer ton chemin. Ton épée en carton ne me fais pas peur.
Et elle s'autorisa un sourire. Parce que Miya espérait qu'il s'énervait. Parce que si cette épée ne tranchait pas, elle était suffisamment plate pour faire des dégâts à un humain normal. Et sans doute assez mal à la demi déesse ; ça lui changerait des branches ou de ses dagues qu'elle s'enfonçait parfois dans la poitrine. Un poignard dans chaque main, Miya changea de position, prête à attaquer ou à parer l'éventuel assaut de Bleiz.
- Alors. Je t'attends, monsieur "j'ai affronté de gros méchants".
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"P.S: mon épée est tranchante mais d'un seul coté donc ^^ et elle est dans un très belle acier"
Elle attrappa sa dague comme il l'avait pensée. Voilà qui promettait d'être intéressant. Une belle femme et bonne combattante de plus, Il avait bien fait de s'endormir aujourd'hui.
Elle lui envoya une insulte qui ne le toucha même pas. Il n'allait pas perdre son calme pour si peu. Il se mit sa lame devant son visage en signe de salut et lui fit un clin d'oeil.
Je pourrai avoir une déesse ou un démon en face de moi que je ne reculerai pas. Combattre un adversaire doué c'est trop amusant.
Tu attends ? Et bien il me déplairait de faire attendre une si charmante demoiselle.
Il se mit en garde et chargea. Voyont comment cette beautée allait se débrouiller.
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(HJ : je sais, je me référai à l'image, en fait... Des grosses n'épées comme ça, c'est bien des fois pour trancher, mais un coup du plat, ça fait mal aussi ^^ stout ^^ )
Une déesse ? Qu'il était amusant. Miya n'était qu'à moitié divine, mais qu'importe ? Il reconnaissait, déjà, qu'elle était douée. Au moins, il n'était pas idiot, pas complètement, du moins. Son maigre sourire disparut. Il voulait s'amuser ? Il n'était pas le seul. Hélas, ils ne devaient pas avoir la même notion de l'amusement. Il était si facile, quand on avait un corps aussi parfait que celui de Miya, de déstabiliser ces farouches combattants. La demi déesse n'attendit pas longtemps pour que Bleiz charge. Elle aurait bien le temps de s'amuser à le titiller un peu. Une fois qu'il fut assez près, Miya sauta en l'air et atterrit d'une main (la dague de sa main gauche s'est plantée au sol) sur le bout de l'épée, profita de l'élan de son adversaire pour lui mettre un coup de pied dans la figure.
- Allons allons. Tu n'as pas honte d'arriver comme un bœuf sur une frêle jeune femme telle que moi ?
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Il la vit à une vitesse incroyable, sauter en l'air pour attérir d'une main sur sa lame. Dans le même mouvement elle lui envoya un coup de pied dans la figure, tout en ce moquant de lui.
Elle ne vit pas tout de suite que la main qui ne tenais pas la lame avait ammorti le coup de pied. La résistance de Bleiz avait fait le reste. Il leva les yeux vers elle et dit dans un sourire.
Vous n'êtes pas frêles. Et rien ne prouve que vous soyez jeune ou que vous soyez une femme
Dans le même mouvement il lui attrapa le pied et assoupli son poignet pour que sa prise sur son épée soit fragilisée. D'un mouvement du bras et du bassin il la projeta sur le sol, puis pointa sa lame vers sa gorge.
Il ne la mettait pas à sa merci car il savait que sa dague la sortirai de la. Il voulait juste lui faire comprendre qu'avec lui ce n'était pas gagné
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Nul besoin de sa dague. Elle aurait pu, bien sûr. Non, Miya se contenta de rouler sur le côté et se releva d'un agile coup de rein. Si rien ne paraissait sur son visage, et pourtant, Bleiz venait de la piquer à vif. Pas une femme ? Pas jeune ? Certes, elle avait quelques siècles : était-ce une raison de l'insulter de la sorte ? Miya fronça les sourcils, et glissa la dague qu'elle avait encore dans sa main sous son débardeur.
- Allons allons. Serais-tu aveugle ? (Elle coupa son débardeur entre ses seins, le laissa glisser le long de ses bras, à présent seulement vêtue de son soutien gorge comme haut.) Tu crois sincèrement qu'une poitrine aussi parfaite appartiendrait à un travelo ?
Ce que les hommes pouvaient être manipulables à souhait. Dévoilez un peu vos atouts, et ils ramperaient presque à vos pieds ! Orgueilleuse ? A 100%. Miya avait confiance en son corps, même s'il était à présent un peu trop maigre... Oh certes, couper son débardeur révélait à présent qu'elle avait deux autres dagues dans le dos, mais sur le coup, peu lui importait. La demi déesse fonça vers Bleiz, bifurqua au dernier moment pour lui entailler légèrement le poignet qui tenait l'épée et récupérer la dague qu'elle avait planté au sol ; pas question de les gaspiller. Et une fois derrière Bleiz, elle fit volte-face.
- Et on ne t'a jamais appris à ne pas parler de l'âge d'une femme ? C'est généralement un sujet qui fâche. Beaucoup. Je n'ai quand même pas l'air SI vieille que ça !
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Elle coupa de sa dague son débardeur et se retrouva en soutient gorge devant lui. Serte sa poitrine était forte appétissante mais Bleiz était concentré sur le combat et ne se laissa pas déstabiliser.
Elle fonça vers lui et sorti de sa ligne d'attaque pour lui entailler le poignet. Bleiz ramena très vite son épée vers lui et elle ne toucha que le pommeau de la lame. Elle se retrouva dos à lui et se retourna visiblement énervée par la remarque sur son age.
Tout d'abord chere demoiselle, Je ne mettais pas en doute votre féminité, mais votre humanité. Car vos mouvements et votre technique sont trop parfait pour que vous soyez une simple humaine. De plus, si votre humanité n'est pas réel, qui me dit que votre jeunesse ne l'est pas autant. Que les choses soit bien clair, votre beautée est indéniable. Mais je vous soupçonne d'être plus âgée que vous le paraissez
Etant à une distance sur, il se permis un bref coup d'oeil vers sa poitrine.
Ah oui au fait. Si vous vouliez me déstabiliser avec cette tenue appétissante, je suis au regret de vous dire que ça ne marche pas. Mais si vous y tenez vraiment...
Il fonça alors vers elle et sans lui laisser le temps de réagir, enchaina trois mouvements de lame avant de ce dégager d'un bond loin vers elle.
Elle se retourna et voulus avancer vers lui, mais au premier pas elle s'aperçut que son pantalon avait été découpé et qu'elle se retrouvais en sous-vetements devant son adversaire
...autant y aller à fond. ;)
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Bleiz avait le don de soulever les sujets qui fâchaient Miya. D'abord son âge ; ce n'est pas parce que l'on est immortelle qu'on n'est pas sensible à ce genre de chose. Et maintenant, son humanité ? Elle croisa les bras et lança un regard noir à Bleiz :
- Dis donc, toi. Que les choses soient bien claires. Je suis parfaitement humaine et... Quoi, tu vas me faire croire que tu trimballes ton joujou depuis ta naissance ? Alors oui, ma technique est parfaite, parce que je me suis entraînée.
Elle lui lança ses deux dagues au visage, et il les esquiva parfaitement ; bien sûr, elle s'y attendait, et elle n'avait même pas espéré une seule seconde le blesser ainsi. Elle saisit aussitôt les deux dagues qui étaient coincées dans pantalon.
- Et je te le répète : on ne parle pas de son âge à une jeune femme telle que moi. Si tu me crois si âgée... Tu n'as pas peur que mamie te mette une raclée ?
Et puis, malgré ses belles paroles, Bleiz restait un homme... Miya capta son coup d'oeil vers sa poitrine et ne put empêcher ses lèvres de frémir. Idiote et vaniteuse ! Elle réagit trop tard quand il fonça sur elle, et si elle cru éviter les deux premiers coups de lame, le troisième lui entailla la cuisse. Elle perdit légèrement l'équilibre, et son pantalon de toile tomba en miettes, la plaie se referma, laissant à peine une trainée de sang sur la jambe de la demi déesse. Miya resta bête et cligna plusieurs fois des yeux. Comment devait-elle réagir ? Elle cédait généralement à la colère ; mais elle avait envie de rire. Dur choix...
Pourtant elle sourit. Les quatre dagues accrochées autour de ses bottes de cuir brillaient, découvertes. Il voulait jouer à ça ? Très bien. Miya courut vers Bleiz et au moment où il levait son épée, elle s'arrêta net, tapa fort du pied pour détacher les deux dagues de sa botte. Les poignards qu'elle avait en main finirent plantées dans le sol et elle s'appuya dessus pour faire un salto et amener se jambes autour du cou de Bleiz. Les dagues qui venaient de quitter sa botte, elle les saisit au vol et d'un coup de rein, se redressa et tourna. Miya se retrouva perchée sur les épaules de son adversaire, ses longues jambes félines autour de son cou, et une dague de chaque oeil. Elle se pencha légèrement, appuyant sa poitrine sur la tête de Bleiz :
- Et maintenant, tu vas dire que je suis lourde ? Un mot sur mon poids, et je te crève les yeux.
Et si la situation l'amusait, on pouvait sentir dans sa voix qu'elle était très sérieuse.
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Il se retrouvais avec les jambes d'une fille autour du coup, ce qui vus la fille n'était pas pour lui déplaire. En revanche les deux dagues plantés sur ces yeux lui plaisaient moins. Il devait gagner du temps afin de pouvoir se sortir de là. Il dit donc le plus calmement du monde.
Vous êtes légères comme une plume. Et je puis vous assurer que je ne dis pas ça parceque j'ai une dague devant chaque oeil.
Il avait trouvé.
Et je dois avouer que vous etes redoutables...Pour une mamie
A l'instant ou ces paroles eurent effet sur elle, d'un mouvement il saisi ses poignets afin qu'elle ne puisse plus les bouger et frappa ses mains l'une contre l'autre. Le choc eus l'effet escompté et elle lâcha ses dagues. Il bascula alors en avant et la plaqua au sol. Il profita du choc pour se dégager de l'étreinte de ses cuisses (malheureusement) et les écarta en les maintenant au sol avec ses genoux afin qu'elle ne l'enserre pas au niveaux de la taille. Il la plaqua au sol par les poignets et dit dans un sourire.
Désolé pour le "mamie" de tout a l'heure mais je n'ai rien trouvé d'autre pour me sortir de là
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Au moins il n'était pas assez fou pour la provoquer davantage. Miya eut un sourire, mais déchanta rapidement. "Mamie" ! Non mais il se prenait pour qui, cette espèce de petit merdeux ! A peine la demi déesse eut-elle le temps de grogner qu'il lui cogna les mains pour lui faire lâcher ses dagues. Elle comprit vaguement se qui se passa par la suite, mais pu refaire l'enchaînement dans sa tête une fois au sol. Miya grinça des dents et servit un regard toujours plus noir à son adversaire.
- Mais qui te dit que tu es sorti d'affaire ?
Elle réussit à dégager une de ses jambes, et avant qu'il ne l'entrave à nouveau, ramena sa cuisse tout contre elle, leva le pied pour taper directement dans le menton de Bleiz, une fois assez fort avec le bout de sa botte, puis une seconde fois avec le plat de la semelle pour qu'il lâche prise et qu'elle dégage sa seconde jambe. C'est qu'elle se tordit pour faire une galipette arrière et se dégager complètement qu'elle sentit qu'elle n'avait pas eu le temps de s'entraîner comme elle le voulait ce soir. Pourtant, elle réussit à se dégager, récupérer deux dagues fichées dans le sol, et à s'éloigner en une série de saltos arrière. Elle secoua la tête pour ramener ses cheveux dans son dos et regarda Bleiz dans les yeux :
- OK. Second round.
Et avant qu'il n'ai le temps de reprendre son épée, Miya bondit en avant, les lames de ses dagues le long de ses avants bras, et sauta pour fondre sur sa proie.
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Sans qu'il puisse rien y faire elle dégagea sa jamber pour lui envoyer un retentissant coup de pied dans la machoir. Il le vit venir et la serra le plus possible. Il encaissa le premier mais au second il senti qu'il devait lacher et se dégager pour conserver son beau sourire. Une série de salot arriere lui permit a elle de s'éloigner, et a bleiz d'admirer son corps magnifique. Décidément une telle femme devait etre explosive sous les draps.
J'ose espérer belle demoiselle que vous vous amusez autant que moi
Elle lui fonça dessus et sauta dans sa direction. Mais Bleiz avait compris la manœuvre au moment même ou elle avait fléchi les jambes. Il s'approcha pour casser la distance et sauta à son tour pour à nouveau saisir ses mains. La différence de poids fit que se fut elle qui se retrouva à nouveau plaquée au sol. Cette fois Bleiz pesait de tout son corps sur elle et la maintenait afin que plus aucun geste ne lui soit possible.
Écoutez je crois que nous sommes partis sur de mauvaise base alors si nous recommencions à zéro ? Je m'appelle Bleiz et vous
Le contact de son bassin contre le sien, la légereté de sa tenue, fit que bleiz commença à durcir à un certain endroit.
Heu...désolé...la nature ^^'
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Miya se retrouva à nouveau plaquée au sol, son adversaire complètement avachi sur elle. Terrible erreur : en plus d'être lourd, il ne lui avait pas fait lâcher ses dagues. La demi déesse se força à sourire, sans joie :
- Miya. (Elle tourna ses dagues vers le visage de Bleiz) Et si tu te barres pas tout de suite, je t'assure que t'auras plus rien là en bas.
(HJ : je fais volontairement court pour savoir comment tu réagis xp )
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Ecoutez Miya si vous lachez vos dagues je promet de vous lâcher tout de suite mais je suis quand même pas crétin à ce point
Décidément il contrôlais plus la partie basse de son corps qui terminais de grossir encore. C'était pas de sa faute si cette beautés l'excitait
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Miya garda les yeux rivés sur ceux de Bleiz... et lâcha une première dague... Elle détestait se sentir en position de faiblesse, et comme il ne bougeait pas d'un poil, elle finit par lâcher la pression sur le manche de son second poignard, sans complètement le planter dans le sol.
- Bouge.
Et dès que Bleiz commença à se relever, Miya le gratifia d'un coup du plat de la main dans le menton et d'un coup de genoux dans les côtes avant de se relever et de prendre une position défensive. Elle était certes désarmée à présent, et en face d'un imbécile qui croyait qu'elle était une fille facile.
Pourtant, Miya se souvenait, il y a longtemps, d'un combat similaire qui avait fini... Disons, de la plus agréable des façons, et la demi déesse remercia l'obscurité de cacher qu'elle rougit un peu. Pas question de se laisser faire. La colère reprit alors le pas sur l'amusement.
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Dés qu'elle eus lâché ses 2 dagues il se releva. Et sans prévenir elle enchaina un coup de feinte sur le menton et un coup de genoux dans les cotes. Bleiz encaissa les coups sans broncher et la vis se remettre en garde.
-Oui bon en même temps c'est ma faute j'aurais du ajouter "si vous promettez de ne pas me frapper."
décidément cette fille ne lâchais pas le morceau. Ils risquaient de ce faire très mal si ça continuais. Il s'habitua à la douleur sur ses cotes et pris une pose détendue.
Écoutez miya moi ce petit jeux commence à m'ennuyer on pourrai pas arrêter ? Je n'aime pas me battre sans raison
Il rangea alors son épée au fourreau et la lança en direction de ses affaires.
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Miya se redressa et posa les mains sur ses hanches, dans une pose involontairement sexy.
- Tu as la mémoire courte... C'est quand même toi qui a commencé. Je t'ai dit de passer ton chemin, et tu as fait la sourde oreille.
Elle se dirigea vers les vestiges de son débardeur et l'enfila comme une veste courte... Son pantalon, par contre, était irrécupérable. Elle se retourna vers Bleiz :
- Tu ne veux pas te battre sans raison ? Parfait. Disparais.
Miya resta un instant immobile, avant de devoir s'approcher, d'une démarche naturellement féline et gracieuse, pour récupérer ses dagues au sol.
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Elle était vraiment appétissante en sous vêtements. Dommage qu'elle remette son débardeur. Elle lui dit que s'était lui qui avait commencé et lui demanda de partir.
Si je puis me permettre, c'est vous qui avez ouvert les hostilités en me lançant une dague sans raison.
Quand elle se dirigea vers ses dagues afin de les récupérer, Bleiz les saisis. Il joua avec un instant. Constatant leur excellent équilibre. Il les lui lança doucement et avec adresse, sachant qu'elle les rattraperai, puis repris la parole.
Vous n'allez tout de même pas vous balader en ville en petite culotte ? J'ai des affaires dans mon sac. Je vous les preter en attendant de vous raccompagner chez vous. C'est la moindre des choses vus que c'est moi qui ai détruit ce pantalons ^^
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Et effectivement, Miya rattrapa ses dagues, et les rangea. Deux sur les côtés externes de chacune de ses bottes, et à défaut de pouvoir en mettre dans la ceinture de son pantalon, elle les rangea dans ses bottes et en garda une en main.
- Vous la méritiez, cette dague. Et ce n'est pas comme si j'avais eu l'intention de vous blesser avec.
Oui, bon, elle en avait eu l'intention. Mais avec le trou qu'elle avait dans la paume à ce moment-là, disons qu'elle n'avait pas pu lancer sa dague comme elle l'avait voulu. Elle ne s'était même pas rendue compte qu'elle recommençait, pour le coup, à le vouvoyer. Miya plissa des yeux au discours que lui fit ensuite Bleiz, et ses lèvres frémirent d'un léger sourire :
- Comme ça j'accepte, et vous savez où je vis, et vous pensez que vous pourrez venir m'embêter quand bon vous semble. Vous me prenez d'abord pour un travelo, une vieille, et maintenant, une greluche. Et vous osez prétendre qu'il n'y avait aucune bonne raison à notre combat ? Mon pauvre garçon : vous ne devez pas avoir beaucoup de succès avec la gente féminine si vous les insultez sans même vous en rendre compte...
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J'avais juste dit que vous étiez jolie je ne vois pas en quoi ça mérite de ce faire balancer une dague sur la gueule.
Après avoir entendu sa proposition, elle parti dans trip à l'idée completement tordue. Elle commençai à lui chauffer les oreilles.
Écoutez "Miya". Faut vraiment que vous aillez l'esprit tordu pour chercher aussi loin. Moi je vous proposais juste de vous raccompagner et c'est tout. C'est vrai que physiquement vous m'attirez mais faut pas en conclure que si je vous propose de vous rendre service c'est que automatiquement je vous prend pour une greluche à sauter. Et pour l'histoire de travelo et de vieille c'est encore votre esprit tordu qui interprète à sa manière. J'ai juste sous-entendu que vous pourriez être plus qu'une humaine c'est tout espèce de timbrée. Et oui pour répondre à votre question, ça c'est une insulte.
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Esprit tordu ? Exact. Miya n'avait pas les idées tout à fait claires depuis quelques semaines... Et quand elle pouvait mal interpréter certaines paroles, elle n'hésitait pas et fonçait dans le tas. Déjà susceptible à la base, sa dépression n'arrangeait pas les choses... Et Bleiz ne faisait qu'envenimer les chose. La demi déesse colla la pointe de sa lame sur la gorge du jeune homme et le regarda droit dans les yeux.
- Mon esprit tordu t'emmerde.
Miya serra les dents et son étreinte sur la garde de son arme. Étrangement, elle ne releva pas la véritable insulte. En fait, là tout de suite, elle voulait soit le tuer, soit rentrer chez elle se bourrer de médocs qui n'auraient qu'un effet temporaire, mais qui au moins la soulagerait quelques minutes. Aussi elle reste immobile quelques secondes, et sa main commença légèrement à trembler. Miya ne choisit étrangement aucune des deux options auxquelles elle avait pensé, finit par baisser son arme et soupira. La demi déesse fit demi tour et haussa les épaules, puis dit sans se retourner :
- Mais c'était quand même sympa de se battre contre toi. Si on doit se revoir, on pourra remettre ça.
Elle s'arrêta au bout de quelques mètres et regarda par dessus son épaule pour ajouter :
- Et oui, je vais rentrer en petite culotte. Ne t'avise même pas de me suivre.
Bleiz ne pouvait pas voir qu'elle souriait.
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Lorsqu'elle fut prêt de lui à le menacer de sa dague vers sa gorge, il ne se senti étrangement pas menacé, mais bel et bien excité par cette belle femme. Elle rangea son arme, ce qui dénotait un changement de comportement.
Elle fit alors demi tour et l'invita à recommencer à l'occasion.
Pourquoi ne pas commencer tout de suite dans ce cas ? Mais cette fois pour une bonne raison.
Il l'attrapa alors par le poignet et sans qu'elle puisse rien faire pour l'empêcher, l'embrassa sauvagement.
Il avait pris soin de protéger son entrejambe d'une éventuelle riposte du genoux et tenais son autre bras pret à se défendre si besoin est. Mais allait elle vraiment mal le prendre ?
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La demi déesse resta un instant interdite, paralysée par ce qui se passait. Miya sépara leurs visages, en colère. Comment osait-il ?! Pourtant, difficile d'ignorer les besoins de son corps... Cela n'empêcha pas la jeune femme d'envoyer son poing libre dans figure de Bleiz, gratifié d'un poétique et doux "Connard". Et si elle ne réussit pas à se dégager de la poigne de l'homme, Miya lui envoya alors un coup de pied vers le visage. Il voulait se battre ? Parfait. Elle n'avait pas l'intention de lui faire de cadeau...
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Il encaissa les deux coups sans broncher. La colère déconcentrai miya et ses mouvements étaient moins puissants et donc supportables. Malgré sa réaction, il avait senti qu'elle avait apprécié et il décida de continuer sur cette voie. Il tordi donc légèrement son poignet afin de la faire à nouveau tomber à terre. Et à nouveau il se retrouva sur elle en lui maintenant les bras et les jambes.
Jamais deux sans trois comme on dit.
Et il l'embrassa à nouveau. Plus violemment cette fois ci.
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Malgré son poignet tordu, Miya ne lâcha pas son poignard. Elle hurla, les lèvres pincées, et sépara à nouveau leurs bouches, essaya en vain de se débattre.
- Ca suffit !
Son poing se resserra autour de la poignée de son arme, et elle détourna la tête, les dents serrées... Bien sûr, elle savait qu'elle n'avait aucune chance contre lui ; qu'une telle position lui rappelait à quel point il lui manquait, et combien elle était frustrée depuis son départ. Miya ne se serait jamais laissée aller à montrer à un parfait inconnu à quel point elle était désespérée et seule. Pourtant, sa main se mit à trembler, et elle finit par lâcher sa dague. Elle leva légèrement la tête, offrant son cou nu à Bleiz et murmura :
- Ne m'embrasse plus jamais...
Son pouce caressa lentement l'anneau qu'elle portait à l'annulaire gauche, et elle finit par serrer le point comme pour le cacher de sa propre vue.
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Elle ne bougait pas. était à sa merci. Elle lui demanda de ne pas recommencer mais était-ce vraiment ce qu'elle voulait ? Il sentait une faim en elle. Un désir trop longtemps inassouvi. Penser cela rendit son ardeur à son entrejambe, chose qu'elle ne pouvait que sentir. Il la vis lever la tête et ne pus résister à embrasser ce cou. Il l'embrassa le lécha mordilla. Il ne savait ou cette situation allait l'emmener mais il n'y pensais plus. Il n'était plus que désir.
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Miya était assez perdue pour ignorer si elle aimait ou détestait la façon de l'embrasser dans le cou. Elle ferma les yeux, et malgré elle, son souffle s'accéléra légèrement, ses lèvres s'entrouvrirent délicatement. La demi déesse prit seulement conscience qu'avec un tel amant, elle ne retrouverait jamais, dans le moindre de ses gestes, la douceur à laquelle elle avait goûté si longtemps avec son amant... Pourtant, elle ne put rester insensible très longtemps, et elle murmura :
- Tu m'écrases... Les jambes...
Son souffle s'accéléra encore un peu lorsque la bouche de Bleiz commença à descendre vers sa poitrine, et elle souffla :
- J'espère que tu es aussi bon... Dans cette discipline... Qu'au combat...
-
Elle commençait à céder. Il déserra un peu l'emprise de ses jambes, mais pas totalement il conservait une mainmise sur elle. Son cœur et son souffle s'accelerrait. Son corps commençai à réagir à ce qu'il lui faisait. Bientôt elle ne serait plus que désir. Elle le questionna sur ses performances et malicieux il répondit
Si ça ne te plais pas, nous n'auront qu'a reprendre le combat ;).
Il descendit vers sa poitrine à peine couverte par son soutient-gorge. Légèrement, comme pour gouter un nouveau parfum, il donna de petit coup de langue bref. bientôt les coups de langues ce firent plus lent. Plus long. Cette poitrine donnait envie et il voulait en profiter.
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Miya ne put s'empêcher de sourire à sa réponse, et elle se cambra sous les caresses de la langue de Bleiz sur sa poitrine. Il tenait toujours fermement ses poignets, et s'il avait relâché la pression sur ses jambes, elle n'en restait pas moins totalement à sa merci... Et ça avait quelque chose de terriblement excitant. Dans un nouveau soupir, se glissa un léger gémissement de plaisir et elle murmura :
- En tout cas... Tu es bien moins violent ici qu'au combat... Du nerf !
Miya avait gémit ses paroles.
-
Du nerf ? Voilà qui était intéressant comme demande. Elle semblait vouloir du sex violant, Ses désirs seraient comblés. Ses mains qui tenais ses poignets se rapprochèrent et il pris ses deux poignets de sa mains droite sans problemes.
Tu en veux plus, belle damoiselle ?
Sa main gauche descendit le long de son corps et passa derrière elle pour caresser enfin ses superbes fesses qu'il désirait depuis qu'il les avait vues. Il Remonta alors et se mit à mordre légèrement plus fort son cou et il appuya avec force, son bassin contre celui de la belle, afin de frotter son sex contre le sien à travers le tissu.
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Miya n'avait pas envie de se débattre. Elle voulait avant tout oublier à quel point elle était malheureuse, même si ça impliquait une partie de jambes en l'air avec un inconnu dans le parc. Et le-dit inconnu avait, de toute façon, la force et visiblement la volonté et l'envie de faire d'elle ce qu'il voulait. Elle serra les dents quand il mordit son cou, et la demi déesse en rougit, au souvenir d'une certaine vampire, dans ce même parc. Son souffle s'accéléra un peu plus, et elle finit par rouvrir les yeux et baisser la tête pour regarder Bleiz :
- Plus ? J'espérais que tu n'avais... pas encore commencé...
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Sentant qu'elle était désormais emportés par le désir, Bleiz lâcha prise et se leva légèrement afin d'enlever son T-shirt. Il redescendit et remis sa main sur ces superbes fesses qu'il rêvait de posséder. Son autre main passa derrière le dos de la belle se mit derrière son cou pendant qu'il l'embrassait de nouveau. Il continua par de lent et profond mouvement à caresser son entrejambe à coups de bassin. Sa bouche descendit à nouveau sur son cou et sa nuque embrassant et mordillant. Il la regarda dans les yeux.
Ne t'en fait pas. J'ai beaucoup de choses prévue pour toi.
-
(HJ : Il rêve d'avoir les mêmes fesses que Miya XD ?? )
Miya évitait chacun des baisers de Bleiz même s'il lui tenait le cou, lui laissant à peine les frôler par moment. Par contre, elle passa la main sur sa nuque pour le garder dans le creux de son cou, et tandis qu'il se frottait contre elle, la demi déesse se surprit à basculer la tête en arrière et à bouger son bassin elle aussi.
- Beaucoup de choses ? J'attends.
Et elle se cambra un peu plus face à l'assaut de ses caresses dans le bas de son dos et de ses baisers.
-
Sentant la réponse de son bassin, il s'excita de plus belle. cette créature de désir semblait pouvoir aller très loin.
Tu semble aimer ça ma belle. Je crois que tu vas aimer la suite
La main qui était derriere sa nuque passa dans son dos et d'un mouvement défit son soutien-gorge. Il libéra cette sublime poitrine et l'admira un instant avant de se mettre à l'embrasser. A la lécher.
Il se mit à sa gauche, et sa main gauche commença à descendre vers l'entrejambe de la beautée.
Il toucha le mince carré de tissu qui cachait son objet de désir et se mit à tout doucement le caresser.
Alors ? cela te plais ?
Il commença alors à sucer l'un de ces tétons.
-
Miya gémit en sentant sa poitrine libérée, et la pénombre empêcha Bleiz de la voir rougir. La voix de la raison disait : "C'est mal." et cette même petite voix rajoutait souvent : "Et tu prétends continuer à l'aimer." Bien sûr que Miya se sentait honteuse de se qui se passait actuellement. La demi déesse aurait aimé répondre à sa petite voix intérieure : "Mais si seulement je savais qu'il était en vie quelque part !". De toute façon, le mal était fait, même si tout s'arrêtait maintenant... Autant aller jusqu'au bout...
Ca n'empêchait pas la jeune femme de faire la comparaison. Bleiz n'avait pas cette délicatesse qu'elle aimait tant chez l'inspecteur de son cœur, et rien dans les manières de l'homme au-dessus d'elle ne lui faisait penser qu'elle était la femme la plus précieuse au monde. Miya n'était rien de plus qu'un passe temps qui le libèrerait de sa, disons, tension actuelle. Aussi la belle demi-déesse n'attendait rien de plus de lui que de pouvoir être, elle aussi, soulagée de sa frustration de la vie de tous les jours.
Elle serra un peu les cuisses au contact de la main de Bleiz, et même si elle gémit de plaisir quand elle sentit sa bouche prendre possession de son sein, elle murmura :
- Je crois... Que je préférai quand tu... me tapais dessus... Tu agissais un... peu plus vite...
-
Ah ces mots, Bleiz compris qu'elle ne voulais pas de douceur, mais du sexe bestial et violant. cela ne l'embetait pas le moins du monde et il se laissa aller.
Alors comme ça la petite cochonne veut aller plus vite ? fort bien
D'un geste il arracha la culotte de cette femme qui se retrouva alors complètement nue devant lui. Sans attendre il caressa à nus le sex de la femme et constata qu'effectivement elle était déjà bien mouillée.
Et bien ma coquine On dirait que ça te plait plus que je le pensais. Je pense que je n'ai pas à attendre bien longtemps
Il enfonça alors un doigt à l'intérieur d'elle et caressa son intérieur avec force mais sans brutalité. Il allait et revenais, lui caressant le clitoris du pouce, et appuyais à un certain endroit qui la faisait gémir plus qu'ailleurs.
Alors tu préfere comme ça pas vrai ?
-
La première phrase de Bleiz fit l'effet d'une douche froide à Miya, et elle serra les dents pour grogner, en se redressant sur ses coudes :
- Je ne suis pas "ta" quoi que ce soit. (Il lui arracha sa culotte à ce moment là, et lorsqu'il enfonça un doigt en elle, elle ne put retenir un léger cri) Ne fais pas le gros dur. *haa* Ne sois pas doux, c'est tout ce que je te demande.
Sa tête bascula en arrière, se cambra un peu plus.
- Fais moi oublier *haa* à quel point je suis seule.
Et une larme roula malgré elle sur sa joue.
(roh la la, désolée du temps et de la longueur -_- )
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A cette remarque il décida de réagir.
Il la pris par le coup et la maintint contre le sol.
Oh si tu es "ma" ce que je veux en ce moment. Peut m'importe qui tu semble attendre dans ta solitude, en ce moment tu t'offre à moi. Et vus l'était dans lequel tu semble etre ce ne te sera pa trop difficile.
Il enfonça alors un second doigt en elle et la pénetra plus fort afin que le plaisir lui fasse oublier sa rancune. Il retourna s'occuper de ses seins.
-
On ne se défait pas facilement de ses vieilles habitudes... Et Miya saisit le poignet qui lui sait le cou, et d'un mouvement brusque, elle envoya un pied sur l'épaule de Bleiz pour essayer de le repousser... En vain pour le moment, certes, mais au moins il ne pouvait plus non plus se rapprocher d'elle davantage. Son regard azur était sombre, et sous la lentille de couleur, Miya sentait à quel point son œil gauche commençait à la brûler. Rien de grave, qui ne menaçait point Bleiz pour le moment... La demi déesse éprouvait juste un de ses colères froides qui la rendaient si malsaine et qui emplissaient son esprit d'idées plus macabres les unes que les autres.
Pourtant, il ne lui laissa pas le temps de dire quoi que ce soit, repartant à l'assaut de son corps. Le pied de la jeune femme glissa de son épaule et pendit dans son dos, et elle ne put retenir un cri de plaisir et de rage mêlés. Les dents serrées, elle essaya bien de résister... Miya arriva pourtant à dire entre deux gémissements :
- Jamais plus je n'appartiendrai à qui que ce soit... Sûrement pas à toi... Contente-toi de finir ce que tu as commencé...
-
Il Semblerai qu'elle tienne à sa liberté. Comme si elle souhaitait se garder elle même. Malgré tout, elle faiblissait sous les assaut de Bleiz et se laissait de plus en plus aller au plaisir. entre deux gémissement elle déclara ne plus jamais appartenir à quelqu'un.
Lorsqu'on ce donne de cette manière, on appartient à cette personne. Tout comme cette personne nous appartient. Mais je te rassure ce n'est qu'un prêt. Nous nous rendront mutuellement l'un l'autre quand ce sera finit. Mais je te le promet, je te ferai du bien.
Elle était prête pour les choses sérieuses désormais. Il se remis au dessus d'elle et commença à approcher son sexe du sien.
-
- Non... souffla Miya. Ce n'est qu'un échange de bons procédés...
La demi déesse soupira au rythme tout sauf délicat des doigts de Bleiz en elle. La main qui lui enserrait le cou l'écrasait un peu, et lorsqu'il changea de position pour se mettre au-dessus d'elle, elle détourna le visage et ferma les yeux. Elle avait certes besoin du réconfort physique qu'il allait lui procurer, si seulement il tenait sa promesse. Il lui ferait du bien ?
- Prouve-le moi...
-
Le lui prouver ? Il allait le faire à l'instant. Il colla son sexe à l'entrée du sien et tout doucement, commença à la pénétrer
Te le prouver...Comme ça ?
Il s'enfonça en elle avec douceur tout d'abord. Il voulais être sur qu'elle l'accueillerai bien. Il atteignit le fond et poussa encore plus afin de la faire gémir de plaisir. Il se retira alors complètement d'elle pour revenir à l'intérieur un peu plus vite. Chaque fois il ressortait complètement, et chaque fois il revenais en allant de plus en plus vite. Rythmant ces coups au petits cris de plaisir de sa "victime".
-
Miya ne se débattit pas comme il semblait croire qu'elle le ferait. Sa jambe sur l'épaule de Bleiz rendit la pénétration plus intense, et arracha un long gémissement entrecoupé de soupirs à la demi déesse. Elle se redressa sur un coude tandis qu'il commençait à se mouvoir en elle, d'abord avec une douceur pour laquelle elle l'aurait égorgé, puis plus rapidement, mais toujours avec cette puissance qui transforma ses gémissements en des cris. Sa position l'empêchait de bouger, mais son bassin était parfois pris de sursauts. La tête de Miya bascula en arrière, et elle ferma les yeux très forts, honteuse en cet instant de s'abandonner à cet homme, de le laisser ce corps qui appartenait déjà à quelqu'un. Pourtant, entre deux cris, ce n'est pas un "arrête" qui traversa ses lèvres.
- Continue ! Plus fort !
-
Plus fort ? Comme vous le souhaitez.
Il se redressa alors et enleva la jambe de miya de son épaule. Son regard déçu fit vite place à un regard d'étonnement quand il se mit sur les genoux et lui souleva le bassin. avec ses mains il intensifia la pénétration déjà forte dans cette positions qui lui fesait lâcher un léger grognement de plaisir à chaque fois. Il profita de la position de ses mains pour caresser ses belles fesses.
ça demande d'aller plus fort l'avait forcément excité il désirait continuer le dialogue.
ça te convient mieux comme ça ?
-
(HJ : c'est "comme vous voulez" qu'il faut dire >o< !! *princess bride pawaaa*)
Il changea de position, sans doute pour se mettre plus à l'aise et satisfaire la requête de la demi-déesse. La première fois qu'il ramena son bassin violemment contre le sien, Miya ne put retenir un cri qui résonna dans le parc désert, la tête à nouveau en arrière, et cambrée à un point qu'elle dut poser un bras pour retenir sa poitrine qui ballottait au rythme effréné de Bleiz. Entre deux râles de plaisir, elle réussit à émettre un léger rire.
- Oh oui ! Ne t'arrête plus !
Et elle-même laissait son bassin bouger en rythme avec son compagnon, et le plaisir qu'elle ressentait relégua au second plan la culpabilité qui lui rongeait le cœur quelques secondes plus tôt.
-
Les encouragement de miya rendait Bleiz fout de désir. ses coups de reins faisaient claquer la peau de leur bassin respectifs l'un contre l'autre. Chaque pénétration était une décharge de plaisir pour Bleiz et faisait résonner les cris de miya.
Mmh c'est si bon! Tu semble aimer lorsque c'est violent.
L'une des mains qui tenais son bassin passa dérriere son dos et la souleva pour la ramener contre Bleiz qui se leva et se mit debout. Il appuya son dos contre un arbre et en la tenant par les fesses contrôla les allé et venus de Miya. Il profita qu'elle soit contre lui pour s'occuper de sa poitrine avec sa bouche.
-
Les rares amants que Miya avaient eus avant un certain inspecteur avaient souvent fait preuve d'une violence preque bestiale... Mais la demi déesse préférait largement la chaleur et la douceur dont avait fait preuve l'homme qu'elle aimait... Et si quelqu'un devait se charger de soulager les désirs de son corps, il n'était absolument pas question que ce quelqu'un fasse preuve de la moindre douceur envers elle... Miya aurait pu l'écorcher vif pour ça. Il la souleva, et si la demi déesse acrobate aimait ça, venant d'un autre homme, ça ne lui faisait ni chaud ni froid. Son dos rencontra assez violemment l'écorce rigide de l'arbre contre lequel la plaqua Bleiz, et après un nouveau cri étouffé, détourna à nouveau les yeux, comme si elle refusait de voir l'homme qui lui faisait tant de bien... Elle noua ses pieds dans le dos du jeune homme, se cambra pour mieux offrir sa poitrine à sa bouche si désireuse... Et ses doigts se crispèrent sur les épaules de Bleiz, y enfonçant ses ongles, haletant toujours plus fort... Et elle murmura avec une voix où se mêlaient honte et désir :
- Ne t'arrête surtout pas ! Donne tout ce que tu as !
-
La prendre debout était un vrai délice. Tout sentir sa poitrine dans sa bouche. Bleiz était enivré par le plaisir il accellerait encore et toujours ses mouvements, cherchant à percer les dernières inhibitions de la belle. Il la harassait. Ne lui laissait aucun répis. Il n'allais pas particulièrement vite, mais chacune de ses pénétrations était Forte et profonde.
Il étendait son dos afin de s'écarter d'elle et de pouvoir la regarder dans cette position d'une luxure extrême. Prise contre un arbre dans un parc. Il observa sa réaction à chacune de ses pénétrations. voyant son corps s'électriser au contact. Son souffle se renforcer. sa poitrine se soulever un instant. C'était magnifique.
-
Miya se laissait aller, laissait le seul plaisir envahir son corps, gémissait au rythme des coups de rein de Bleiz... Ses jambes se resserraient autour de sa taille chaque fois qu'il revenait puissemment en ellt. Elle laissait ses ongles s'enfoncer dans le tissu de son manteau sur ses épaules, cherchait en vain à s'abandonner à lui. Oh bien sûr qu'il devait être un excellent amant, mais... Elle avait connu tellement mieux.
Elle le sentit se détacher d'elle, et le rouge aux joues, avec des gémissements qu'elle ne pouvait réprimer, la demi déesse coula un regard vers le jeune homme... qui l'observait en souriant. L'une de ses mains quitta son épaules pour se plaquer sur son visage, et l'obliger à fermer les yeux :
- Ne me regarde pas...