Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Miguelle le mardi 29 décembre 2009, 09:52:43
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Miguelle mit très longtemps à se réveiller, comme lorsque que l'on vous à endormi artificiellement, là elle vit sur un vieux mirroir une jeune terranide-souris et comprit que la déesse lui avait joué un tour, mais il, enfin elle, était de retour dans le monde des vivants.
Sa nouvelle allait lui causer des soucis, en effet elle une terrranide, vouée à être traquer, en plus elle était des espèces des plus rares avec les terranide originels. Elle était devenue une proie, aussi elle observa le mieux qui l'entourait, de longues colonnes de marbre couleur saumon parsemaient un temple lié à la divinité, il était étrangement propre alors qu'il semblait à l'abandon. Miguelle, qui n'était rancunière envers la déesse, aluma de l'encens pour remercier la déesse d'avoir accorder sa faveur.
Elle sortie du temple,non sans un gros effort car marcher avec ce corps nécessitait une autre façon de faire que lorsqu'il était un homme, descendit la cinquantaine de marche qui menaient au temple et elle vit un bois ou une forêt au bout duquel la terranide voyait une ville étrange, ne regarda pas à ses pied et tribucha sur quelque chose. Elle vit une piège, mais pas un piège à lapins, non, un chasseur,amateur apparement, chassait le terranide. Miguelle qui se pensait un peu à l'abrit vit ce maigre espoir de tranquillité volé en éclats.
Elle décida donc de mettre à contribution ses connaissance de voleur pour ce fabriquer, d'abord des pièges grossier qui étaient digne d'une pauvre créature fuyant un danger qui n'allait peut-être pas venir à des pièges qu'il devait mémoriser afin de ne pas tomber dedans,ils étaitent dicéminés tous autour du temple, elle se retrancherait là-bas en cas de complication, elle retourna aux pieds des marches où il y avait une petite fontaine, ses sens aux aguets car elle savait que les points d'eau atirait les prédateur de toutes races.
Elle trouva un coin fermé où elle révisa ses techniques d'auto-défense, ainsi que celles que Seria lui avait apprit, c'était un style de combat qui se prêtait le mieux avec son nouveau corps, d'ailleurs il était plus facile d'utiliser ses techniques maintenant qu'avant où il perdait l'équilibre et elle se mit à penser à Seria, mais cela passa très vite car une petite sonnette se mit à tinter, un de ses pièges grossiers.
Miguelle se prépara au pire, mais ne pensa pas tout de suite que l'un des meilleurs chasseur était le prédateur. En tous cas elle avait un avantage,un bon voleur sont l'ennemi naturel des esclavagiste car ils ont souvent une bonne bourse accroché à leurs ceintures.
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L'esclavagiste, par définition, n'a pas d'ennemi naturel, son ennemi naturel il lui met des fers et le met dans une cage. L'esclavagiste, c'est l'homme, pas l'animal. Bien sur, l'homme est dominé au niveau physique par les animaux, il n'aura jamais la dextérité d'un chat, la force d'un tigre ou la puissance d'un éléphant, il n'aura jamais le vol gracile d'un oiseau ou la furtivité du serpent. Mais l'homme pourtant a réussi a dominer et a domestiquer toutes ces créatures plus puissantes que lui parce que l'homme s'adapte, l'homme evolue et l'homme reflechit. C'est comme ça que Don avait réussi a mettre sous les bareaux la plupart de ses proies. C'est en partant de cette logique là que pour le moment il demeurait invaincu.
Les cris, les pleurs, les coups de bassins, il accélère la cadence alors qu'il finit par venir en elle sous ses sanglots et relache la jeune lycéenne qu'il a capturé il y a quelques jours de celà. Elle ferait une bonne esclave sous peu de temps.
L'abandonnant a son sort Don pris une douche avant de repartir prendre un repas bien mérité après une journée de dressage, son portable se mit a vibrer et lui informa qu'un de ses pièges s'était activé.
Il avait piégé une partie de la forêt près d'un vieux temple abandonné quand il avait constaté le nombre de portails vers Terra que celle ci comprenait. Et quelqu'un venait de se prendre les pieds dedans.
Bien sur, les pieges étaient du pire type : piege a loup. Pas a ours parce qu'il ne voulait pas trancher le pied de la personne, mais a loup, pour lui permettre de rendre sa jambe inutilisable pour la journée voire pour les jours suivants.
Don récupéra son materiel et partit en forêt, déguisé en bucheron, accompagné de sa fidèle camionette il avança jusqu'au piège, faisant bien attention a avancer a contre vent et a observer si quelqu'un le regardait...
Traces de sang...On était parti vers le temple a ce qu'il voyait. Bien.
Don se mit a monter les marches du temple tandis qu'il se mettait a crier
"Ohé ? Y'a quelqu'un ? Vous avez besoin d'aide ?"
Il ne comptait pas s'avancer en discression, il comptait se faire passer pour un simple badaud...Jusqu'au moment fatidique.