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Voilà que quatre mois se sont écoulés depuis le passage si mouvementé et mémorable de Dragunov sur Terra pour aider une de ses plus fidèles partenaires commerciales à mettre la main sur un orbe offrant un pouvoir si particulier qui confère à son détenteur de transformer sa peau en bouclier. Bien entendu, lui et la sorcière qui l'accompagnait ce jour-là se sont revus entre temps pour continuer leurs échanges habituels car celle qui répond au nom de Céleste Trahan le fournit en divers objets aux natures et usages des plus diversifiés. Rien que récemment sa liste d'aphrodisiaque et filtres d'amours s'est rallongé. La même chose se produit à la même période chaque année. Dès que les fêtes de fin d'année pointent le bout de leur nez les gens se sentent comme prisent d'un besoin d'hiberner ou de se coconner chez eux en sortant le moins possible.
On a d'un côté les hommes fortunés qui veulent combler épouses et maîtresses et de l'autre les épouses qui veulent donner un coup de pouce au destin pour -enfin- toucher leur héritage grandement mérité.
Au Japon les hivers peuvent être rudes et certains secteurs des marchés clandestins voient aussi leurs volumes de ventes diminuer. Cela concerne surtout l'industrie du sexe qui perd grandement en fréquentation. Enfin... pour les petits groupes. Quand on tient des bordels de luxe pour clients influents et fortunés cela tourne à plein régime toute l'année. On pourrait même dire que cela fonctionne trop bien car il faut recruter en sécurité. Heureusement, Saeko est là pour ce genre de situation et la secrétaire de l'homme d'affaire étranger a tout anticipé depuis des mois.
Du coup, en ce 28 octobre, Dragunov est au soleil ! Dans une petite villa louée pour la nuit à proximité de Santa Barbara sur la côté ouest des États-Unis sous un faux nom car il reste recherché à l'international. Selon ses sources les autorités le pensent encore au Japon et c'est parfait pour prendre un petit week-end de détente. Qui ira le cherché là-bas de toute manière ? Il n'a effectué aucune transaction dans la région depuis quelques mois et n'a jamais fait penser que cela pourrait se produire dans un avenir plus ou moins proche.
Il est environ 8h quand on toque à sa porte.
- Monsieur, vous êtes debout ?
- Oui, tu peux entrer.
Comme suggéré, la porte s'ouvre pour laisser place à une silhouette voluptueuse dans un tailleur gris impeccable. La jeune femme en question n'est autre que Saeko qui a fait le déplacement avec son patron pour confirmer les derniers détails de leur déplacement car la fidèle secrétaire a eu droit à des congés tous frais payer par le boss. Où elle compte se rendre et ce qu'elle compte y faire est un mystère qu'elle va jalousement garder pour elle.
- A en juger par ton air satisfait, j'en déduis que tout est en ordre.
- Oui, quasiment. Il ne reste plus qu'à attendre votre invité et ce sera bon.
- Parfait.
L'endroit où les deux comparses se trouvent n'a pas été choisi au hasard. Ce qu'il faut savoir à propos des portails qui lient la Terre et Terra, c'est qu'une bonne partie d'entre eux sont volatiles et il est rare de pouvoir en trouver de régulier. Surtout dans la même journée. Alors un portail qui apparaît le même jour, chaque année et deux fois dans une journée ? Les chances de mettre la main dessus étaient aussi grande que de gagner 5 fois le jackpot au loto dans sa vie.
Histoire de se fondre encore plus dans la masse et passer inaperçu il fallait que le trop célèbre truand adapte sa garde-robe. Pour se faire il a opté pour un look qui aime qualifier de "hippie" et qui consiste en une paire de sandales, un short qui lui arrive aux genoux, un t-shirt blanc et une chemise aux couleurs chaudes. Autant dire qu'il sera impossible à identifier car il n'a pas porté un tel accoutrement depuis plus d'une vingtaine d'années.
Après avoir confirmé quelques détails et assurant à sa secrétaire de revenir comme convenu dans quelques heures pour le trajet retour, il se dirige tranquillement en direction du portail qu'il franchit dès qu'il le voit apparaître. Direction Terra donc... pour récupérer la personne avec qui il a convenu de passer les prochains jours.
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La sorcière appelée Céleste Trahan n’était pas une femme qui se liait facilement sur la durée. Peu de personnes pouvaient se targuer d’être une connaissance de la pratiquante vaudou. Encore moins pouvaient affirmer être de bonnes connaissances. Et la liste de ceux qui pouvait se vanter d’être appréciés de la belle ? Elle tenait sur les doigts d’une main.
Parmi ces quelques élus, il y avait Randal Dragunov. Un mafieux venu de la Terre avec qui elle commerçait depuis plusieurs années déjà. Leur relation s’est progressivement épanouie. De professionnelle, elle est devenue amicale. Puis, récemment, intime. L’homme que Céleste appelle « Sugar » la plupart du temps est un amant qu’elle ne regrette pas d’avoir connu. Non seulement elle a gagné la faculté de renforcer sa peau pour éviter les blessures, mais il lui avait laissé un souvenir marquant par son endurance et la qualité de leurs ébats.
Certes, il y avait la magie du rituel qui aidait lorsqu’ils avaient pour la première fois liés leurs corps ainsi. Mais le fait que la brune ait marché avec précaution pendant quelques jours témoigne de l’ardeur que l’homme avait mis à combler la belle.
Ils s’étaient revus plusieurs fois depuis. L’immortelle avait mis un point d’honneur à remercier l’homme avec une ardeur peu commune. Elle appréciait beaucoup de terminer leurs affaires par une séance de sexe sale, féroce et délicieux.
Le colosse qui la démontait si bien devait d’ailleurs passer la chercher d’ici peu. Il lui avait arraché la promesse de porter une tenue qui ne risquait ni de les faire repérer, ni de créer des émeutes. Alors la brune s’était résignée à trouver une robe digne de ce nom. Finalement, elle avait déniché un modèle qui lui convenait. Une robe longue, fendue, au décolleté généreux et avec de la dentelle noire pour trancher contre la couleur d’or du tissu.
(https://www.aht.li/3938989/Avatar_Celeste_4.png)
Elle attendait, assise contre une stèle non loin du point de rendez-vous. Allez savoir pourquoi, les coordonnées reçues était en plein milieu d’un cimetière. Pas que ça gêne la brune, ça non. Elle appréciait même le contraste entre son environnement et sa tenue.
« Sugar, s’exclama-t-elle quand elle le vit enfin apparaître. J’ai peut-être fait trop d’effort avec ma robe, on dirait, non ? »
D’un coup de hanche, Céleste s’écarta de la stèle contre laquelle elle était appuyée. Ses pieds étaient prisonniers d’élégants talons noirs que lui avait rapporté le mafieux une fois. La preuve qu’elle les utilisait, et régulièrement, était dans le fait qu’elle ne chancelait pas même sur le terrain inégal du cimetière. Ses lèvres peintes en rouge sombre s’étirèrent en un sourire chaleureux alors que ses prunelles sombres pétillaient d’excitation. Ses yeux dénotaient plus que d’ordinaire car elle avait fait l’effort d’utiliser du maquillage, soulignant son regard de khôl et allongeant ses cils avec du mascara. Enfin, des paillettes d’or brillaient un peu partout sur son corps et dans ses cheveux, accrochant la lumière par instant.
« Peu importe. Le moment le plus plaisant sera lorsque tu me la retireras, susurra-t-elle en venant coller ses lèvres contre sa joue, sa poitrine contre son torse. »
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Pour s'assurer qu'un passage entre les deux mondes est sûr (ce qui est un mot assez relatif quand on parle de Terra), plusieurs hommes ont dû l'emprunter par le passé. Vu que tous étaient revenus plus ou moins sains et saufs, Dragunov n'a pas hésité à en profiter pour cette occasion si spéciale. De l'autre côté de ce portail se trouve un cimetière. Bien entretenu en se reposant sur les critères de la région qui située bien loin de Nexus.
Fort heureusement la personne qu'il y retrouve est vivante et bien portante. Ce genre d'endroit lui ravive de mauvais souvenirs. Déjà celui de sa famille qui n'est plus de ce monde. Mais aussi cette histoire complètement folle où lui et ses hommes son tombés sur un nécrophile alors qu'ils avaient rendez-vous avec un groupe de bikers pour un échange important. Argh, les bruits dégoûtants produits par l'animal qui s'excitaient sur cette dépouille. Un frisson lui parcours le dos avant que son regard ne se pose sur un spectacle largement plus captivant.
- Pas du tout, c'est parfait.
Les gens de Santa Barbara sont un poil chic et snob. C'est pour cette raison que l'imposant mafieux a demandé à sa sorcière favorite de privilégier une robe à ses tenues habituelles le temps d'aller faire les magasins ensemble pour lui trouver des choses plus seyantes et à son goût. Son goût à elle. Même si connaissant la bête, le résultat devrait les satisfaire tous les deux.
Son simple regard se rassasie du spectacle offert par la belle qui sait comment mettre n'importe quelle tenue en valeur. Cette version sophistiquée de Céleste n'est pas pour lui déplaire et il n'est pas du genre à le cacher. A peine est-elle arrivée à sa portée pour se coller contre lui qu'une main ferme vient soulever et saisir une de ses fesses par-dessus sa robe. Il l'empoigne assez fort pour lui faire passer un message. Durant leur petite escapade il la gardera près de lui en toutes circonstances et qu'elle l'échauffe déjà. Ca fait deux messages... Après tout qui ne se laisserait pas emportée face à une femme pareille ?
- Absolument. Surtout que ce n'est pas l'envie qui manque.
Un index inquisiteur vient alors se faufiler dans le décolleté de la belle pour rejoindre un de ses seins et en titiller la pointe avec sa phalange deux petites secondes pour la titiller et voir si tout tient correctement. Ce qui est le cas, à son grand regret. Un petit accident aurait été amusant sur le moment.
Durant les minutes suivantes, Dragunov lui explique très sommairement comment vont se dérouler les prochaines heures une fois sur Terre car le portail devrait s'ouvrir de nouveau d'une minute à l'autre. Il lui détaille lieu où ils seront transportés, à quoi il sert et ce qu'ils pourront y faire avant de prendre la route le lendemain pour un petit road trip direction Los Angeles et San Diego pour y fêter Halloween de la manière la plus chaude possible.
Le tout sans bagage, sans prise de tête. La villa où ils passeront la nuit plutôt bien isolée, spacieuse et possède deux terrains pour y faire du sport et une piscine. Autant dire qu'ils y seront bien tranquilles. Puis le lendemain une décapotable les attendra devant avec le réservoir plein d'essence et une carte avec l'itinéraire à suivre.
Plus vite qu'il ne fallait pour le dire, le portail du trajet retour se matérialise à quelques pas d'eux.
- Les dames d'abord.
L'homme se penche en avant dans son étrange accoutrement tel un parfait gentlemen en prenant un air cérémonial. Une fois que Céleste a traversé, il en fait de même et le couple se retrouve avec Saeko qui les attendait de pieds fermes. Le tailleur qu'elle portait il y a encore peu de temps s'était transformé en tenue de Racing Queen comme ils aiment appeler ça.
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La voir dans ce type d'accoutrement est extrêmement rare et Dragunov ne peut retenir sa surprise un bref instant avant de se mettre à l'écouter. Cette dernière lui confirme la location de la voiture, lui tend un porte-feuilles avec ses faux papiers, deux cartes de crédit et autres cartes factices pour consolider sa fausse identité en cas de contrôle.
- Cartes de crédit, permis de conduire... Je crois que tout y est.
- Toujours aussi efficace.
- Monsieur, Madame, vous souhaite de bonnes vacances.
- Je vois que tu as déjà commencé les tiennes.
- Oui, je dois me rendre à un évènement pas loin d'ici.
- On se retrouve à San Diego pour le 1er novembre ?
- Absolument. Si jamais il y a un imprévus je vous contacterai par téléphone.
C'est assez fou de voir que sa brève carrière dans le divertissement n'a pas eu d'effet sur sa popularité auprès de ses fans de la première heure. Dès qu'elle organise un évènement ou qu'elle en participe à un autre c'est la folie. Cette fois elle doit donner le coup d'envoi d'une course de voiture et donner un petit concert. Toute l'organisation de ces évènements passe par les diverses sociétés du groupe Dragunov et les revenus vont droit dans sa poche comme une forme de bonus. Un geste pour la remercier de tout le travail solide qu'elle fait chaque année.
Après avoir salué tout le monde, Saeko prend congé dans sa tenue et Dragunov ne peut s'empêcher de jeter un petit d’œil curieux à son déhanché. Satisfait il reporte son attention à sa sorcière en lui demandant ce dont elle aurait envie.
- Petit déjeuner ? Sortie en ville ? On peut même petit déjeuner en ville.
Une fois fait ils auront tout le loisir de visiter le este du centre-ville qui ne se trouve qu'à 20 minutes à pieds de la villa.
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Le corps plaqué contre le colosse, la sorcière à tout le loisir de ressentir chaque détail de ce corps sculpté. Elle rit, ses lèvres venant se coller contre la clavicule de l’homme. Mais elle redevient -à peu près- sérieuse quand il commence à lui expliquer le déroulement des prochains jours. Ça va être une sacré découverte pour Céleste. Ce sera la première fois que la brune met les pieds sur la Terre. Ce sera un sacré choc des civilisations. Surtout que la belle sorcière n’a jamais mis les pieds à Tekhos et ne connaît guère la technologie. Les seuls exemples qu’elle a pu voir était ceux entre les mains de ses partenaires commerciaux. Randal, par exemple, lui avait fait découvrir ce qu’était une tablette. D’après ce qu’elle en avait retenu, c’était un objet qui permettait d’avoir accès au contenu de nombreux grimoires, qu’ils soient en votre possession ou pas. C’était fascinant, et un peu effrayant si on y réfléchissait bien. La brune avait insisté pour que le mafieux lui garantisse que son Livre des Ténèbres n’était pas accessibles depuis cette tablette. Sinon, elle aurait remué ciel et terre pour détruire le moindre exemplaire qu’il en existait.
Le portail s’ouvrit bientôt, et l’homme invita sa compagne à le traverser. Ce qu’elle fit, avec un bref instant de panique qu’elle réprima sévèrement. Elle était Céleste Trahan, la plus redoutée sorcière de ce côté de Terra. Elle traitait avec les plus grands, les plus cruels et les plus démoniaques. Elle n’allait pas avoir peur d’une petite visite d’un monde qui n’avait même plus la torture ou la peine de mort autorisée légalement, mh ?
Le talon de ses chaussures cliqueta quand elle arriva de l’autre côté. La séductrice chancela légèrement, perturbée par ce nouvel environnement qui l’entourait, et fit un pas sur le côté afin de dégager l’accès pour son compagnon. Elle ne porta pas ses prunelles sombres sur la femme qui les attendait, mais sur tout ce qu’il y avait autour. Ce n’était clairement pas comme sur Terra. Tout y était si… Domestiqué !
Enfin, le regard de la pratiquante vaudou glisse sur la femme qui les attendait. Et quand elle tourne les yeux vers Randal, elle arque un sourcil interrogateur, l’air de dire « Et tu disais que je risquais de choquer avec ma tenue ? ». Avant de secouer la tête avec un sourire amusé étirant ses lippes peintes en rouge.
Elle ne prête guère attention à la conversation entre patron et employée, préférant laisser ses yeux boire chaque détail qui les entourent. Cette nature domestiquée pouvait sembler fade à première vue, mais la sorcière ne regardait pas qu’avec ses yeux. Dans son corps, à fleur de peau, sa magie scannait les lieux également, recherchant la moindre petite trace de pouvoir qui se cachait à la vue de tous. Et elle n’était pas déçue. La Terre était probablement aussi magique que Terra mais, comme la pratique semblait s’être perdue, le potentiel était… Immense.
Quand la secrétaire se fut éloignée, l’immortelle reporta son attention sur le mafieux.
« Petit-déjeuner en ville me semble parfait. Surtout si tous les lieux sur Terre dégage cette… Puissance…, ronronne-t-elle en venant enrouler son bras droit autour du bras gauche de l’homme. Que propose-t-il pour manger ici ? Je doute qu’un steak de Terranide soit bien vu. De même qu’une cuisse rôtie de dragon. »
Céleste le laissa la guider mais ne lui lâchait pas le bras. Ses prunelles oscillaient entre détailler le paysage ou son guide, et le colosse pouvait remarquer le tissu de la robe au niveau de sa poitrine qui se déformait par la pointe de ses tétons érigés. Est-ce que c’était le pouvoir contenu sous leurs pieds et autour d’eux qui lui tirait cette réaction ? Ou bien la présence de l’homme à ses côtés dont elle ne cessait de reluquer les muscles puissants, se rappelant avec ferveur chacun de leurs ébats ?
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La question sur le menu fait ricaner Dragunov qui se demande immédiatement si le steak de Terranide était de toute manière courant sur Terra.Ils restent des demi-humains comme certains les qualifient. Personne ne considérerait ça comme une forme de cannibalisme ? Le pire c'est qu'il ne sait pas comment prendre la chose car avec Céleste on ne sait parfois pas sur quel pied danser.
- Les terranides se font rares et discret quand ils arrivent ou décident de s'installer sur Terre. Et les dragons n'existent que dans les récits de fiction. Mais je sais que tu trouveras de quoi satisfaire tes envies.
Très rapidement le couple décide de se lancer à l'assaut du centre-ville pour y passer le temps et manger un petit quelque chose au passage. Le soleil brille haut dans un ciel bleu azure et tout le monde semble avoir envie de sortir. Les rues sont bien fréquentée sans pour autant être bondées. Les palmiers, eux, offrent un peu d'ombre à intervalles réguliers pour toutes les personnes qui longent la rue sur le trottoir.
Avec son bras collé contre Céleste, Randal finit par remarquer que les tétons de la belle. Et il n'est pas le seul à en juger par les regards de tous les hommes qui croisent leur route. Qu'ils soient seuls ou accompagnés d'ailleurs. Il fait comprendre du regard à la sorcière de quoi il parle en décalant son regard vers sa poitrine après l'avoir fixé d'abord dans les yeux.
- C'est moi qui te fait cet effet ? C'est très flatteur.
Il marque une courte pause en lui souriant de manière sincère et amusée tout en poursuivant.
- Je sais que ça fait longtemps depuis la dernière fois. Mais ne t'en fais pas, on aura tout le temps de s'amuser après. Il ne se passera pas une journée sans que je m'occupe de toi comme tu le mérites.
Et par là il entend de la prendre comme ils l'ont toujours fait depuis qu'ils ont sauté le pas dans cette grotte. Ils aiment tous les deux le sexe sale et sauvage. Le genre à marquer les corps et les esprits pour des heures durant. Les occasions de faire des cochonneries seront nombreuses et variées durant leurs courtes vacances aux USA. Il ne fait nul doute que Céleste en gardera un souvenir des plus agréables quand viendra l'heure de se quitter.
Sauf qu'il faut manger pour maintenir son organisme à flot. Ce qui tombe bien vu qu'un petit restaurant qui fait des brunchs est déjà ouvert. Le choix sera plus que conséquent. En repérant l'endroit d'un coin de l'oeil, Dragunov indique à son invitée qu'ils sont arrivés. Le couple termine d'arriver au bout de la rue, traverse et s'installe à l'intérieur qui est climatisé pile ce qu'il faut. Une serveuse leur fait signe qu'elle les a vu et qu'elle viendra prendre leur commande dans une minute.
- On sera tranquilles ici.
Les menus sont sur la table et, gros avantage, il y a des photos pour chaque plat et dessert servis sur place. Madame est libre de prendre tout ce qu'elle souhaite et dans la quantité qu'elle désire. Durant son passage sur Terre elle pourra mettre les pieds sous la table... quand elle ne passera pas en-dessous.
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« Toi, l’aventure, le pouvoir… Qui sait ? réplique la brune avec un clin d’œil amusé, mais resserrant sa prise sur son bras. »
En tout cas, la sorcière n’a absolument aucune honte et se contente d’ignorer les regards du bas-peuple qui glissent sur son corps. Ils ne sont pas dignes de son attention, elle, l’immortelle Céleste dont les pouvoirs feraient trembler jusqu’à la cinquième génération de leurs arrière-petits-enfants. Il n’y a que Randal qui en soit digne, qui puisse supporter son intense focus. Un homme moindre que lui se flétrirait sous le regard sombre de la pratiquante vaudou.
« Qui aurait cru qu’un monde à l’allure aussi domestiquée puisse receler une telle sensation de pouvoir ? Ronronne-t-elle par la suite, expliquant son état presque fébrile. Les pratiquants qui vivent ici ne doivent pas être très nombreux. Et ils doivent profiter de la puissance qui se cache sous leur pieds. »
La belle sourit ensuite, posant à peine sa joue contre le bras du mafieux.
« Je ne doute pas que tu sauras me combler totalement et à foison, Sugar. Mais je risque d’être insatiable juste à la pensée de taper dans la magie qui abonde dans ton monde. »
Et elle lui offre un nouveau clin d’œil, plein de sous-entendu cette fois, avant de continuer d’observer les lieux à mesure qu’ils progressent dans la rue. Céleste incline la tête quand il lui présente d’un signe la taverne dans laquelle ils vont s’arrêter, et elle porte alors toute son attention sur l’endroit. Quand ils rentrent, ses prunelles sombres cherchent les runes responsables du changement de température. Elle ne trouve rien de visible. Et même en suivant les flux magiques, elle ne repère rien qui pourrait être responsable de cet étrange phénomène.
« Mmh, fredonne-t-elle en prenant place en face du colosse. Il ne s’agit pas de magie qui régule la température de ce lieu. Qu’est-ce donc ? Encore de la « tech » comme ce grimoire-qui-contient-tous-les-grimoires que tu m’as montré ? »
Bien entendu, malgré sa curiosité, Céleste reste elle-même. Aussi, alors qu’elle prend le menu entre ses mains pour le parcourir d’un air intéressé, son pied droit vient caresser le mollet de l’homme sous la table.
« Je crois que je vais prendre cette viande rouge saignante à souhait, finit-elle par choisir. Avec ces pommes de terre fines et longues. »
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La voir découvrir son monde est toujours aussi amusant à ses yeux. Sans entrer dans les détails techniques, Dragunov peut quand même lui expliquer de nombreuses choses à propos de certaines avancées scientifiques et technologiques. Et cela comprend bien entendu la clim'.
- En effet. Tu ne trouveras jamais d'installation magique à la vue de tous sur Terre. Ou alors elle sera bien dissimulée. L'objet dont on parle ici est une climatisation. Ca permet de réguler la température pour garder une pièce au frais et éviter que tout le monde suffoque et transpire à l'intérieur.
L'été ne doit pas être simple dans certaines régions hyper fréquentée et peu évoluées technologiquement sur Terra. Parce que la magie n'est pas forcément utilisée par tout le monde là-bas et Dragunov a déjà posé les pieds dans des tavernes qui puaient encore plus que les toilettes les plus mal entretenues d'une station service américaine. Ce qui est peu dire vu que le ménage y est sûrement effectué deux fois dans l'année si ils y pensent.
D'un regard, l'imposant mafieux se tourne vers sa petite camarade qui lui fait du pied tout en récupérant son menu lorsqu'elle lui montre ce qui lui fait envie. Il répond même à son geste en venant jouer avec sa fine cheville pour lui montrer à quel point il est réceptif dès que celle-ci remonte un peu trop. Tout en faisant signe à la serveuse qui se dirigeait déjà dans leur direction il lui répond avec un grand sourire et en toute liberté car la jeune femme qui arrive au coin de leur table ne comprendra de toute manière pas ce qu'ils se disent.
- Dès qu'il y a un bon et gros bout de viande bien juteux tu n'es jamais loin.
C'est alors que Dragunov passe commande, dans un anglaise solide mais à l'accent à couper au couteau, pour Céleste en ajoutant une omelette avec saucisses et bacon pour lui. En version double vu qu'il faut quand même nourrir la bête qui consomme plus de calories qu'un homme lambda. Le tout accompagné d'un café pour lui et un soda pour elle afin qu'elle puisse découvrir la beauté des boissons gazeuses. Quand la serveuse se retourne pour aller en cuisine, il l'arrête pour lui demander de leur apporter aussi du ketchup et de la mayonnaise. Comment est-ce qu'il a pu oublier des choses aussi importantes ? La sorcière mérite une expérience gastronomique américaine complète.
La moitié des tables sont occupées et l'ambiance est plutôt détendue avec un petit fond musical relaxant. Nombreux sont les établissements où ont peut se détendre pour déjeuner ou juste prendre un verre dans cette ville. Tout y est extrêmement calme. Un peu trop pour y vivre au quotidien quand on prend en compte la personnalité du bonhomme qui deviendrait fou au bout de plusieurs semaines.
Affluence moyenne ou non, leur commande arrive bien vite. Ainsi que l'heure des présentations pour chaque petite chose qui se trouve devant les yeux de Céleste.
- Là tu as le ketchup et là la mayonnaise. Ce sont des sauces dans lesquelles tu peux tremper tes frites. Ces espèces de pommes de terre qui accompagnent ton bifteck. Et pour la boisson je lui ai demandé de t'apporter un soda. C'est une boisson gazeuse, d'où les petites bulles et ce son crépitant qui s'en dégage si tu approches ton oreille.
Reste à voir comment va se dérouler le premier repas de la terrible Céleste sur Terre. Quand on l'a connait on peut se douter qu'elle a déjà causé des morts pour bien moins qu'une viande mal cuite ou un verre renversé.
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Une climatisation, songe-t-elle en écoutant les explications de son guide. Il faudrait qu’elle se souvienne de ce mot. Et peut-être même qu’elle lui demande comment est-ce que ça fonctionne exactement. Améliorer ses cercles de runes ne peut pas faire de mal après tout, et la température à l’intérieur de cette taverne est des plus agréables.
Un petit rire chaud et sensuel lui échappe alors qu’il commente sur ses choix de nourriture. Son pied, sous la table, se déchausse rapidement avant de revenir caresser sa jambe, remontant contre sa cuisse, attiser le paquet qui se cache sous ces vêtements légers. Elle le laisse reposer ainsi, appréciant le contact de la paume calleuse du mafieux contre sa peau nue, tout en l’écoutant passer commande dans une langue qu’elle ne connaît pas. Toujours en ébullition, son esprit concocte un assortiment de runes à se tatouer pour comprendre une langue étrangère. Il faudrait probablement infuser l’encre avec du sang. Une goutte, pas plus. Pour la pérennité de l’enchantement.
Elle remise cette idée dans un coin de sa tête, se promettant d’expérimenter plus tard. La brune se concentre plutôt sur le repas qui arrive. La viande encore fumante, bien saignante. Les pommes de terre luisante et croustillantes en même temps. Avec un regard curieux, elle suit sa suggestion et trempe une « frite » dans la sauce qui lui rappelle la couleur du sang. Elle goûte, ferme les yeux pour apprécier les saveurs nouvelles, et prend une gorgée de « soda ».
Un petit halètement surpris lui échappe, les bulles contre sa langue la chatouillant, passant sa gorge avec fanfare. Mais c’était bon. Sucré à foison -la belle n’était pas habituée- mais ça passait bien. Elle refait le même manège, avec la sauce jaune pâle. Fermant les yeux, elle laisse sa gorge émettre un doux son d’appréciation.
« Intéressant…, souffle-t-elle en reprenant de cette deuxième sauce après une bouchée de steak. Et cette viande est… Correcte. Il n’y a pas la saveur de la bête abattue au terme d’une chasse éprouvante, mais ça se mange plutôt bien. »
Céleste termine bien vite son assiette, piquant de temps à autre dans celle de Randal. L’omelette est bonne aussi, et elle lui sourit d’un air taquin à chaque fois qu’elle plante sa fourchette dans un morceau qu’il vient de couper.
« Est-ce qu’il y a des restaurants où la viande est marinée, ou épicée ? Je serais curieuse de voir si ça se rapproche de certains plats de Terra. Je dois admettre être une grande fan du Gombo que l’on peut trouver dans certains troquets de Nexus. »
Oui, l’immortelle est gourmande et curieuse. Et la possibilité d’assouvir cette curiosité en compagnie du colosse l’empli de satisfaction.
Elle s’adosse finalement contre sa chaise, laissant son pied agacer par moment son amant, ignorant les regards qui peuvent venir les observer d’un air désapprobateur. Elle est l’image même de la désinvolture sensuelle avec la manière dont son corps s’alanguit contre sa chaise.
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A chaque coup de fourchette dans son assiette est accompagnée d'un sourcil levé dans la direction de la sorcière en mode "C'pas bientôt fini, oui ?" même si il ne s'énerve pas plus que ça. Tout fini par se payer un jour ou l'autre et cela inclus le fait de picorer dans son repas. Cette dernière ne paie clairement rien pour attendre.
- Oui, certains restaurants sont même réputés pour ça.
L'idée de la viande consommée après une partie de chasse lui reste à l'esprit. Peut-être que lors d'un de ses passages dans son monde à elle il pourrait faire le trajet avec un chef cuisinier pour leur préparer la viande qu'ils récupéreront tous les deux. En tout cas c'est une idée à creuser même si la côté matériel pourrait causer des soucis vu qu'il serait impossible de trimballer une cuisine toute équipée d'un monde à l'autre.
Avoir commandé une double portion ne rend pas le repas de Dragunov plus long à terminer que celui de Céleste. En tout cas cela ne l'empêche pas pour encourager le petit jeu de la belle et séduisante sorcière en venant lui saisir le pied au bout d'un certain temps pour le guider plus près de sa zone sensible tout en la fixant droit dans les yeux.
- Sur Terre on a un dicton qui dit "Il faut se méfier de l'eau qui dort." Alors j'espère que tu sais ce que tu fais.
Pour le moment le petit jeu auquel le duo s'adonne reste gentillet et à base de caresses semi-innocentes. Dragunov a fini par découvrir de nombreux aspects de la personnalité de la femme avec qui il est devenu intime au cours des derniers mois. Le regard des autres ne la dérange pas le moins du monde. Sans doute même qu'il accentue son excitation. Fait qu'il faudra vérifier de bien des façons durant leurs aventures à venir.
Tout en continuant de caresser le pied délicat de la belle, il cherche la serveuse du regard et lui indique qu'ils prendront deux milkshake a emporter avec l'addition qu'il règle quelques secondes après. Le repas terminé, il se lève en encourageant sa moitié d'en faire de même en laissant ses mains se balader le long de son corps aux proportions si parfaites. C'est fou quand même. La sorcière semble dégager une aura si particulière et qui se fait de plus en plus vivace depuis son arrivée sur Terre.
Avoir des yeux derrière la tête est une qualité nécessaire à la survie de toute personne cherchant à survivre dans les milieux clandestins. Se faire surveiller par un civil sans aucune discrétion n'est donc pas compliqué pour lui. Non, ce n'est pas tout à fait exact. L'homme en question a surtout des vues sur celle qui partageait sa table jusque là.
Ce qu'ignore le pauvre bougre c'est que la femme en question est déjà prise et qu'il n'a pas la plus infime chance de s'approcher d'elle. Et pour le prouver Dragunov pose une main sur la hanche de Céleste pour lui faire comprendre de se tourner dans la même direction que lui alors qu'il fait barrage de son corps pour bloquer la vue des autres clients et du personnel. Sa main se met alors à remonter pile ce qu'il faut au niveau de cette opulente poitrine et du bout de tissu qui la garde maintenue par miracle et tire sur le tissu pour faire apparaître un se ses seins sous le regard ébahi de l'inconnu qui est à deux doigts de voir ses yeux jaillir de ses orbites.
- Arrête donc de baver. Tout ça est à moi et rien qu'à moi.
Son propos est immédiatement illustré en se saisissant de ce sein mis à nu pendant quelques secondes. Ses doigts viennent s'enfoncer dedans sans aucune douceur. La peau délicate et la texture moelleuse de cette poitrine lui avait manqué et il pourrait s'y perdre facilement si ils n'étaient pas en public. Avant de le ranger il ne perd pas une occasion de venir en titiller la pointe en la pinçant. Le clou est enfoncé quand il se penche vers Céleste pour la galocher vulgairement quitte à ce que leur salive coule rapidement dans son décolleté.
C'est alors que la serveuse les prévient que leurs boissons sont prêtes. La jeune rousse semble surprise de voir la réaction du client en face du couple qui se trouvait dos à elle tout du long. Peut-être que si elle avait été à sa place la surprise aurait été encore plus grande. Qui sait ?
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La brune aime attiser le désir qu’elle lit dans le regard de Randal. Elle aime l’aguicher alors que les regards des clients sont sur eux. Elle adore sentir la réaction qu’elle provoque en lui. Elle se régale des sensations qu’elle peut lui tirer. Oh oui, Céleste aime jouer avec le feu, flirter avec le danger. Elle sait que la récompense n’en sera que meilleure.
« J’en ai tout à fait conscience, Sugar. Je joue en connaissance de cause, réplique-t-elle en souriant, terminant de picorer dans l’assiette du mafieux face à elle. »
Elle l’observe appeler la serveuse pour l’addition et un dessert à emporter, son sourire amusé ne quittant pas ses lippes peintes en rouge. Elle se lève, gracieusement, après avoir remis sa chaussure d’un geste habile du pied. Elle se colle presque contre lui quand elle sent ses mains effleurer ses courbes et ne peut qu’attendre avec impatience la suite de ces vacances qui s’annonçaient prometteuses. Elle ne résiste pas alors qu’il lui intime par un geste de se tourner dos à lui, et elle surprend alors le regard du client qui la déshabillait du regard.
Un frisson d’anticipation parcourt son corps alors qu’elle comprend en un instant que Randal souhaite faire passer un message à l’homme qui lorgnait sur elle. Elle arque gentiment son corps sous les doigts du colosse, fermant les yeux à demi pour profiter de la chaleur de ses paumes contre elle et exhalant un petit soupir satisfait alors qu’il dévoile un sein d’un geste adroit. Un gémissement étouffé franchit même ses lèvres -qu’elle mord pour ne pas alerter tout le restaurant- quand ce même sein est pressé sans douceur. Fermement, pile comme elle aime. L’arrière de sa tête bascule contre le torse de Randal alors qu’il torture la pointe de ce sein découvert, le faisant pointer pour le regard ébahi du client voyeur.
Quand il l’embrasse, la sorcière glisse une main derrière sa nuque, se pliant sans rechigner à cette démonstration de force, de pouvoir. Elle laisse ses ongles le griffer gentiment alors qu’elle ne retient rien de ce qu’elle ressent dans ce baiser partagé.
Ils ne rompent le contact que quand la voix de la serveuse se fait entendre, et la brune attrape une serviette d’un geste leste pour essuyer toute traces compromettantes sur elle, et sur son amant. Le rouge de ses lèvres ayant en effet déteint un peu sur lui, vite nettoyé sans que la femme derrière eux ne soupçonne quoi que ce soit.
Avec un clin d’œil aguicheur à l’adresse du voyeur, la brune se retourne et remercie la serveuse, attrapant les boisson d’une main et glissant l’autre contre le bras de Randal.
« Parfait. Allons donc visiter ce centre-ville, Sugar. Tu pourras me montrer tous les coins intéressants qui s’y trouvent. Je ne doute pas qu’une ville telle que celle-ci regorge d’alcôves secrètes pour touristes curieux, mh ? »
Et elle entraine le mafieux avec elle pour sortir du restaurant, roulant des hanches sans aucune subtilité pour mieux rendre l’importun jaloux.
De nouveau à l’air libre et chaud qui règne dehors, l’impudente immortelle se colle contre le colosse en riant avant de lui susurrer d’une voix chaude et gourmande.
« J’adore quand tu te montres aussi territorial, Sugar. Il me tarde de voir tout ce que nous réserves ces vacances ! »
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On ne sent pas forcément compte ou alors on ne s'y attend pas quand on se fait prendre d'assaut par une vague de chaleur lorsqu'on quitte un lieu climatisé. Et c'est encore pire quand les sources de chaleur sont nombreuses en comprenant la personne collée à votre bras ou votre torse. Dragunov se montre rassurant sur les interrogations de Céleste lorsqu'elle lui demande si le centre-ville comporte des endroits intéressants à isolés à visiter. Ce qu'il faut savoir c'est que les gens du coin sont aussi décomplexés que coincés. Les américains ont toujours été ainsi en même temps, très contradictoires. Toujours a prôné quelque chose pour faire le contraire dès qu'ils tournent le dos. Et Santa Barbabra n'est pas très différent. La police y est plus laxiste et n'intervient que si la situation dégénère. Enfin en théorie. A vérifier ?
Désormais hors du petit restaurant, le couple est libre d'aller vagabonder un peu où ça lui chante pour passer le temps. Heureusement que les choix sont nombreux. Trop peut-être ? Leurs pas se dirigent en premier en direction de la plage sur laquelle ils peuvent marcher un petit quart d'heure pour se rapprocher de leur destination. Peut-être que la brise marine y sera plus existante. Comme trop souvent l'endroit va commencer à se remplir petit à petit. Les personnes, seules ou en couple, qui se promènent en tenue de ville sont aussi nombreuses que celles en maillots de bain. Quelques surfeurs avec leurs planches tirent la tronche à cause du manque de vagues d'un côté. D'un autre on peut voir des femmes qui sont venues travailler leur bronzage et attirer les regards par la même occasion. C'est alors que quelque chose fait tilt dans l'esprit du mastodonte.
- On devrait ajouter le, ou les, maillot de bain à notre liste de course. Piquer une tête nue comme un ver n'est pas autorisé.
Éviter de provoquer des noyades car les nageurs seraient trop occupés à se rincer l’œil est aussi un bon argument. L'autre raison de cet achat est motivée par d'autres raisons que celle de rester loin des ennuis inutiles. Le bras autour du cou de la belle sorcière, il laisse sa main revenir jouer avec sa poitrine par-dessus le tissu fin de la robe qui semble plaire à beaucoup de plagistes qui se rincent autant l'oeil que le type du restaurant. Qu'ils soient seuls ou avec une femme.
- Mon petit doigt me dit que tu serais plus sexy que toutes les femmes du coin dans le bon maillot.
Sa phrase a peine bouclée, il se penche en direction de la belle pour l'embrasser vulgairement devant des regards jaloux par dizaines. Ses lèvres douces et froides (à cause de sa boisson ?) le font légèrement frissonner et provoquent un réflexe au niveau de ses doigts qui se remettent à presser cette généreuse poitrine. La chose dure une bonne dizaine de secondes durant lesquelles Dragunov se perd totalement dans l'ambiance et les sensations qui prennent possession de son corps. Heureusement qu'il se reprend rapidement car autrement il aurait pu allonger la sorcière sur le sable chaud pour lui faire des trucs à ne pas montrer aux enfants.
D'ailleurs, en parlant d'enfants, certains ados sont scotchés sur la scène et certains shorts de bain vont avoir du mal à contenir leurs hormones.
Histoire de protéger ces pauvres âmes innocentes, le mafieux ne revient embrasser la belle qu'une seconde fois avant de leur faire reprendre leur marche en avant direction le centre-ville. Exit donc la plage et bonjour les petites rues et les coins moins fréquentés qui sont nombreux tout autour de la zone commerciale qui les attend.
Toute la ville est parfaitement entretenue. Y compris dans les endroits où le soleil apparaît le moins souvent à cause des résidences et immeubles de 4-5 étages. Comme pour la plage plus tôt, un coin fait de l'oeil à Dragunov qui laisse apparaître un grand sourire sur son visage. L'endroit est isolé, à l'ombre, avec un petit jardin derrière un muret et peu d'accès. Peu de personnes doivent y passer. Il s'avance plus vite que la sorcière qu'il tient par la main pour le suivre.
Ses fesses se posent sur le rebord du muret pour ensuite tirer sur sa partenaire afin de la faire monter sur ses cuisses à califourchon. Ses deux mains sont posées sur la peau si douce et chaude du cul parfait de Céleste par-dessous sa mini robe pour parfois descendre sur ses cuisses toniques.
- Si on reprenait un peu notre souffle après cette longue et éprouvante marche.
Jouer un peu en faisant une coupure n'a jamais fait de mal à personne.
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« Se baigner couvert ? Quelle est cette diablerie ? Demande la brune étonnée. »
Et puis son regard se pose tout autour d’elle sur les gens qui sont actuellement à la plage. Ils ont toutes et tous ce qui se rapprocherait de sous-vêtements minimalistes. De quoi masquer la poitrine (pour les femmes) et les parties génitales. Les yeux écarquillés, la brune observe tout ce petit monde.
« Ridicule ! Souffle-t-elle, ébahie. Tout simplement ridicule ! A quoi ça sert exactement ? Pourquoi cacher les seins et les parties génitales ? Tout le monde en a ! Ce n’est pas comme si c’était une nouveauté ! Là, ces… Maillots de bain, tu dis ? Mh. Ces trucs ne font qu’attirer le regard sur ce qui est caché ! »
Secouant la tête, l’immortelle ricane aux paroles du mafieux, se collant un peu plus étroitement contre lui alors que sa main agace un téton qui pointe de nouveau sous le fin tissu de la robe. Elle répond avec ferveur quand il l’embrasse, étouffant un gémissement contre ses lèvres. Elle cille légèrement quand l’étreinte buccale se rompt pour de bon après un second baiser, et essaie de reprendre ses esprits pour ne pas rester focalisée sur le désir d’arracher ces vêtements qui sont de trop.
« Si j’accepte de porter ces maillots plus tard, ce sera uniquement pour ne pas t’attirer d’ennuis, Sugar, prévient-elle alors qu’ils quittent la plage. »
Ses prunelles détaillent les bâtiments qui les entourent alors qu’ils reviennent dans la ville. Ceux qui sont aussi haut que certains manoirs semblent pourtant loger plus d’une famille. Ce pourrait être rentable de construire ça sur Terra. Les villageois pourraient se sentir plus protégés, dans ces bâtiments de…. Ce n’était pas de la pierre, d’ailleurs. De briques peut-être ? Mh. Elle garde l’idée dans un coin de sa tête et se promet d’y donner suite une fois rentrée. Mais elle se reconcentre bien vite sur son amant qui l’entraîne vers… Une petite alcôve ? Plus grand qu’une alcôve, avec le jardinet derrière le muret. Mais désert, en tout cas, et à l’ombre du soleil.
Céleste ne souffre pas de la chaleur, mais elle reconnaît que pour ceux qui n’y sont pas habitués, les rayons du soleil sont plutôt en forme aujourd’hui. Toutes pensées liées aux ressentis d’autres personnes disparurent de son esprit, cependant, quand l’homme l’attira à lui après s’être assis sur le muret. Ses genoux se glissent autour des cuisses de Randal et elle se colle contre lui, sa poitrine reposant contre son torse solide.
« Mmmh, oui. Très longue, cette marche. Très… éprouvante, susurre-t-elle en riant doucement, ses lèvres venant effleurer le lobe de l’oreille du mafieux. Il faut reprendre des forces, assurément… Le souffle, en revanche… »
Et la brune vient écraser ses lèvres contre celle du colosse, ses mains agrippant sa nuque comme pour ne pas le laisser s’échapper. Ses hanches ondulent contre lui, comme pour réveiller ce qu’elle sait se cacher sous le fin tissu qui le couvre. Sa langue se montre curieuse, audacieuse. Fougueuse. Ses ongles se crispent dans la chair de son amant. Déjà, il peut sentir qu’elle est prête pour lui, pour plus. Ses tétons s’érigent et déforment le tissu de son corsage tandis qu’une certaine humidité poisse contre sa fleur, coule contre ses cuisses.
Céleste ne relâche le baiser que pour mieux faire glisser ses lèvres contre le cou de Randal alors que ses ongles tracent un chemin depuis la nuque jusqu’au torse puissant. Trop de vêtements, encore, mais elle ne s’en offusque pas. Et puis, pour ce qu’elle a en tête, il n’est pas forcément nécessaire d’être nu. Ni lui, ni elle. Surtout pas elle, l’absence de sous-vêtements rendant la chose plus aisée.
Sans attendre, la pratiquante vaudou se souleva légèrement, ses genoux appuyés sur le muret pour la soutenir alors que ses mains venaient libérer la virilité du colosse. Habilement, et sans même laisser le temps à son amant de protester s’il souhaitait autre chose, l’immortelle le guida entre ses cuisses et laissa sa chaleur l’engloutir en se rasseyant sur lui.
Sa jupe était retroussée contre ses cuisses, certes. Mais, pour un passant lambda, rien n’indiquait que la sorcière faisait plus qu’être assise sur les cuisses de Randal. Rien ne trahissait qu’elle venait de s’empaler sur sa queue sans se soucier d’être vue. Absolument rien ne laissait à penser qu’elle comptait bien le chevaucher pour leur offrir à tous les deux un orgasme aussi intense qu’elle le pouvait.
« Fais-moi perdre le souffle, Sugar, souffle-t-elle en commençant à bouger, ses lèvres s’étirant en un sourire satisfait. »
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L'alchimie entre ces deux-là est telle qu'il ne fallait pas y mettre beaucoup d'effort de la part de l'un pour provoquer l'excitation de l'autre. Un début d'érection était déjà présent chez Dragunov lorsque la belle sorcière décide de libérer avec son habituelle habileté le chibre du mafieux qui se laisse faire volontiers en se contentant de l'embrasser avec ses mains baladeuses qui restent collées à ses cuisses tout du long.
Tout se fait le plus naturellement du monde quand le couple décide de s'envoyer en l'air depuis leur première fois ensemble dans cette grotte pleine de magie rose. Aujourd'hui ils n'ont plus besoin d'encouragement pour se faire et se donner du plaisir car leurs corps parlent d'eux même. Et si il fallait une preuve il aurait suffit de les voir depuis leurs retrouvailles. Elle se tenait toujours collée à lui alors que dans l'autre sens, les mains du grand bonhomme venaient sans cesse jouer avec les formes si attirantes de Céleste.
La petite chatte bien chaude et humide servait de parfait orifice pour la bite de Dragunov afin de gonfler et durcir tranquillement. Chaque friction aidait le membre à gagner un peu plus de volume pour l'inciter à gagner sa taille maximale. Histoire de parvenir à réaliser plus efficacement la demande de sa partenaire, ses deux mains remontent doucement pour se saisir de cette paire de fesses dont il est devenu accro pour aider le mouvement de pénétration.
- Avec plaisir. Tu es mon invitée après tout. Je suis là pour satisfaire tes besoins.
Sans lui demander son avis, ou la prévenir, les mains imposantes et rugueuses du mafieux dont il se sert habituellement pour donner des baffes ou arracher les membres de créatures dangereuses imposent un rythme de plus en plus rapide à la sorcière. L'intérieur n'est pas en reste. Sa queue n'aura pas attendue longtemps pour lui ravager l'intérieur en repoussant ses parois qui commençaient à coller un peu trop à sa peau veineuse bien sensible.
Une minute ou deux avaient suffit pour être parfaitement ancrée en elle et s'assurer qu'elle garde le rythme qu'il lui avait imposé. C'était le signe pour que sa main droite puisse voyager un peu. Sa première destination est la chevelure de Céleste dont elle se saisit pour l'empêcher de bouger alors qu'il décide de l'embrasser sauvagement quand leurs langues se trouvaient à distance l'une de l'autre. Chose compliquée à cause de ses mouvements de hanches à elle. Ou tout simplement parce que s'empaler sur une bite aussi grosse et longue demande plus d'effort. La pauvre doit davantage lever son bassin qu'avec un homme dans la moyenne.
La salive se mettait régulièrement à couler sur le col du t-shirt de Dragunov au fil des secondes. Jusqu'au moment où il décida de changer de cible. Tout aussi lentement où elle était venue se glisser dans ses cheveux, la main exploratrice descend pour lui saisir la gorge quelques secondes et attirer le visage entier de Céleste vers le sien pour échanger un véritable baiser cette fois. Sa bouche brûlante était toute à lui. Ce nouvel échange se veut long et tout aussi baveux. Bruyant. Ses lèvres ont si bon goût qu'il en venait à penser que c'était un autre de ses tours. Comment de simples lèvres pouvaient provoquer autant d'excitation ?
Si la belle pensait que le voyage de cette mimine était fini, elle se trompait lourdement. C'est d'ailleurs une cible de poids qui attendait la main du gangster car celle-ci repris sa descente, après un dernier baiser, pour dévoiler cette volumineuse poitrine.
Loin d'être satisfaite, la bouche baveuse de Dragunov plonge sur le sein droit de sa belle sorcière tout en lui malaxant l'autre nichon de sa main pour n'en délaisser aucun. En même temps, il était venu les titiller si souvent depuis leurs retrouvailles que venir s'en occuper était dans l'ordre naturel des choses.
Comme pour marquer son territoire comme elle peut le faire avec ses ongles qu'elle enfonce dans sa peau à chacune de leurs torrides interactions, les dents de Randal se plantent dans le téton érigé sur lequel il tire en cherchant son regard du sien pour voir sa réaction. Action qu'il échange ensuite pour une succion tout aussi vulgaire et forte dont les sons résonnent dans ce lieu terrien qui sera le premier à être souillé par leurs pulsions sauvages. Le premier d'une longue série.
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Ses hanches s’abaissaient avant de se relever, encore et encore, chevauchant ainsi Randal avec toute l’ardeur qu’elle ressentait. Si ses lèvres furent réquisitionnées par le malfrat, la belle n’en continuait pas moins de venir s’empaler sur cette queue aux proportions généreuses. Même sans pouvoir bouger la tête, l’agile immortelle ne laissait pas le rythme s’amoindrir. La friction la faisait frissonner et gémir contre les lèvres du mafieux, aidée par les fluides qui lubrifiaient le chemin. Sa robe autant que son short à lui seraient tâchés, c’en était certain.
Quand les mains et les lèvres du colosse furent occupées avec sa poitrine, Céleste redressa la tête, la rejetant en arrière en soupirant de délice alors qu’elle accentuait le rythme de sa chevauchée. Les muscles de ses cuisses tremblaient légèrement devant l’effort fourni, mais elle ne voulait pas s’arrêter avant qu’ils soient tous les deux en nage et satisfaits. Elle, remplie. Lui, vidé. C’était la seule option possible pour l’arrêt de ce sport intense et si agréable.
A ce moment, peu lui importait si des gens passaient, ou si on l’entendait. La sorcière donnait voix à son plaisir sans se cacher, et elle haleta le prénom de son amant d’une voix brisée alors qu’elle sentait les dents de l’homme se refermer contre son téton. Il pouvait sentir sa réaction immédiate alors qu’elle se contracta autour de lui, voyant des étoiles derrière ses paupières closes. Ses reins redoublèrent d’ardeur pour monter et descendre tandis qu’elle s’accrochait aux épaules de Randal avec plus de fermeté encore, s’en servant comme support pour faciliter l’effort.
« Aaah, Randal…Encore ! Gronda-t-elle, présentant cette fois son autre sein pour subir le même traitement. Putain… Mmmh… Je ne vais plus tenir très longtemps, Sugar… »
Est-ce qu’elle parlait du rythme fougueux imposé, ou bien de son plaisir qui enflait encore et encore, s’approchant de l’extase ultime ? Elle-même serait bien en peine de le dire. Ses ongles marbraient le dos de l’homme tandis que sa fleur noyait presque son sexe tant l’immortelle était embrasée.
Comme pour inciter l’homme à ne plus se retenir, la belle redressa la tête pour la pencher vers lui, ses mains agrippant sa nuque et son crâne pour mieux l’étouffer contre sa poitrine. Le regard sombre de Céleste était à demi voilé par ses paupières, mais ses lèvres rougies s’étiraient en un sourire gourmand alors même qu’elles étaient entrouvertes pour laisser passer son souffle court (bien que chaud contre la peau de l’homme).
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Un doux parfum et une chaleur étouffante décuplaient son excitation et cela pouvait se ressentir dans chacun de ses gestes. Et c'était sans négliger l'impact de cette chatte humide qui prenait un vilain plaisir à le comprimer pour tenter de déclencher son orgasme le plus rapidement possible. De toute manière elle venait de lui dire quelques instant auparavant qu'elle ne pourrait pas tenir.
Le couple si singulier est là en vacances. Quel est le but de ce genre de période si ce n'est de profiter de chaque instant sans s'embêter ou se retenir ? Un concept que Dragunov est sur le point de mettre en pratique dans quelques secondes. Ses mouvements continuent de suivre ceux de la belle sorcière tout en la collant contre lui en plaquant ses bras dans son dos. Chaque coup de hanche cherche à la perforer de l'intérieur. Son gland vient cogner sauvagement le fond de son antre dégoulinante et dont les fluides ont souillés le muret et sa base plus bas.
- Urrrgggh ! Mnnnnn !
Il aurait pu tenter de dire n'importe quoi que cela n'aurait pas fonctionné avec sa tête toujours logée entre les deux généreuses mamelles dégoulinantes de transpiration. De sa bouche il tentait d'embrasser sa peau entre deux respiration ou grognement de plaisir. Céleste ressemblait presque à ce serpent gigantesque qui avait tenté de le tuer il y a quelques années. A la seule exception qu'il sait exactement comment en sortir victorieux.
Sa position ne lui permet pas de stimuler avec efficacité la zone sensible de la belle qu'il avait découvert l'autre fois. Ce n'est pas pour autant ce qui l'empêche d'essayer en tentant de la stimuler un maximum de fois. Encore et encore. Plus directement, à répétition, pendant que son éjaculation arrive à grand pas. Son excitation est telle qu'il a du mal à contrôler sa force pour ne pas la broyer avec ses bras tandis que le reste de son corps se crispe. Il veut la remplir. Il VA la remplir. Dans sa tête il imagine déjà la sensation et le plaisir que cela va lui procurer.
Heureusement pour lui, la réalité rejoint son imagination dix secondes plus tard à sa plus grande surprise. Une soudaine vague de plaisir l'envahit et le surprend. Sa bite pompe, fort, rapidement et balance en grosse quantité sa sauce blanche épaisse pour inonder et tapisser les parois de la sensuelle Céleste. Le tout dans un concert de râles viriles qui s'abattent sur sa peau déjà brûlante qu'il caresse à l'aide de ses mains couvertes de transpiration. Son front et ses cheveux ne doivent pas être en meilleurs états vu le traitement qu'ils ont subis tout du long.
En tout cas l'orgasme dure une bonne vingtaine de secondes. Le sperme s'accumule dans la fente de la sorcière pour finir par dégouliner sur les derniers centimètres du chibre de Dragunov qui n'étaient pas parvenus à se réfugier au chaud en elle. Son foutre coule lentement pour suivre le même chemin que la cyprine qui avait marquée le muret et le sol pendant qu'elle s'embrochait sauvagement sur lui.
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Le moment précis où le mafieux explose en elle, la sorcière arque le dos en savourant la chaleur entre ses reins quelques secondes avant que son propre orgasme ne la terrasse. Ses mains se crispent contre le crâne de Randal comme pour le serrer encore plus contre elle, sa fleur se contracte autour de cette épaisse queue qui la pourfend et ses cuisses se resserrent autour de l’homme. Un cri rauque lui échappe, le nom de son amant pour qui veut l’entendre.
Céleste arrête de respirer un moment tant le plaisir la submerge. Quand elle reprend enfin une grande inspiration, sa nuque se détend et elle repose son front contre celui du malfrat. Elle tremble encore alors que les vagues de plaisir s’amoindrissent, alors que la petite brise paraît fraîche sur son corps échauffé.
« Randal, soupire-t-elle. J’ai bien l’impression que tu m’as ruinée pour les autres hommes. Il n’y a qu’avec toi que le plaisir est si intense, j’ai l’impression… »
Et elle ne ment même pas pour apaiser l’orgueil mâle. Depuis qu’ils ont pratiqué ensemble lors de ce rituel de magie sexuelle, la brune ne retrouve pas la même intensité avec ses autres amants humains. Elle ne parle évidemment pas des démons, qui sont une catégorie à part. Ni même des créatures.
Ses bras se reposent sur les épaules du colosse alors qu’elle reprend son souffle en souriant d’un air satisfait. Et quand enfin les dernières brumes de l’orgasme finissent par disparaître, elle redresse le dos en s’étirant à la manière d’une chatte, toujours perchée sur le sexe poisseux de Randal.
« Je t’aurais bien nettoyé avec délectation, Sugar, susurre-t-elle en remettant sa poitrine maltraitée dans son corsage. Mais je pense qu’un simple sort fera l’affaire pour l’instant. Nous risquerions de passer notre temps à forniquer comme des lapins autrement… »
Et elle sollicite encore une fois ses cuisses toujours tremblante, prenant appui sur les épaules de l’homme, pour se redresser et revenir en station debout devant lui. Avec un sourire coquin, elle se penche pour le prendre en bouche par gourmandise tandis que leurs fluides s’évaporent peu après d’un simple mouvement de ses doigts. Leurs vêtements redeviennent propres, leur état échevelé se corrige jusqu’à ce qu’ils soient aussi frais qu’avant cette petite interlude, et elle relâche enfin le gland qu’elle suçotait doucement.
« La seule chose que j’ai gardé, c’est ton foutre qui tapisse encore mon intérieur, glisse-t-elle en se redressant avec un clin d’œil. »
Lui tournant finalement le dos pour observer les alentours, l’immortelle ne voit pas de présence immédiate. Mais peut-être que, si voyeurs il y avait, ils ont déjà disparu. Dans tous les cas, elle n’est que très peu concernée. Ce n’est pas comme si elle était pudique.
« Où est-ce que tu m’emmènes à présent, Sugar ? Questionne-t-elle en tournant la tête vers lui, l’air aussi innocente qu’à son arrivée. »
-
A chaque fois qu'elle remue les doigts pour faire appel à sa magie on pourrait se croire dans un roman d'Harry Potter. Au seul détail qu'elle n'utilise pas de baguette et ne récite pas de formule pour faire bouger des objets ou modifier son environnement de manière surprenante. La seule chose sur laquelle Céleste ne peut pas influer après coup c'est l'endurance restante à son partenaire. De toute façon ce n'est pas le fait de tirer un petit coup rapide qui va entamer celle de Dragunov.
Un large sourire déforme le visage du personnage quand il entend la sorcière flatter son égo masculin en lui annonçant garder un petit souvenir de lui pour le reste de leur trajet. Les vacances ne doivent pas être tristes non plus sur Terra en sa compagnie. Peut-être qu'un jour ils tenteront l'expérience en inversant les rôles et les mondes. Qui sait ?
- Ta magie doit probablement te permettre de changer de tenue selon ton envie du moment. Mais j'ai bien envie de voir à quoi pourrait ressemble ce corps de rêve dans des vêtements d'ici.
Quitter les lieux ensemble pour rejoindre la zone commercante du centre ville ne leur prendra pas bien longtemps. Comme ce fut le cas plus tôt, les regards envieux des hommes qui croisent leur chemin sont nombreux. Le charme qu'elle dégage est presque magnétique. Son charme a beau être sans appel, la réaction qu'elle provoque chez ces hommes semble pourtant un poil exagérée. Céleste ferait appel à sa magie pour s'amuser avec les passants ?
- Au rythme où vont les choses je vais finir par penser qu'ils vont te sauter dessus sans te demander ton avis.
L'idée de tester cette théorie n'enchante pas Dragunov car cela serait synonyme de problèmes inutiles. Des hippies ou des bobos qui passent leur temps à faire de la gonflette quand ils ne servent pas de tranche de pain dans une cabine de bronzage qui ressemble à un grille-pain ne représentent pas une menace à ses yeux. Quitte à avoir des problèmes avec les forces de l'ordre il préfèrerait que cela arrive en se faisant surprendre lors d'une baise nature dans un coin par une belle jeune femme oficier qui voudrait les rejoindre. Oui, ça n'arrivera que dans un film pour adultes.
Sans faire plus attention que ça à leur entourage, il entraîne Céleste avec lui dans une des premières boutiques pour femmes qu'il trouve. Et ce n'est pas un petit endroit vu la superficie des lieux et la présence d'un escalator qui semble conduire à l'étage supérieur. Autant dire qu'ils auront de quoi passer le temps et trouver le bonheur de madame.
- C'est assez... grand. Tu veux commencer par quoi ?
-
« Elle pourrait, effectivement, si j'avais quelques talents pour la couture. Ou alors je n’ai pas encore rencontré le sort qui permet de créer n'importe quel vêtement à partir de rien. Au mieux, je peux échanger les vêtements que je porte contre une tenue si je la vois, où si je sais exactement où elle est, explique la sorcière en glissant un bras sous celui du colosse alors qu’ils reprennent leurs cheminement. »
Il est vrai que pour un acte tel que changer de vêtement comme bon lui semblerait, l’immortelle n’était pas la meilleure pratiquante. Si elle avait quelques connaissances en couture, elle passait toujours par des professionnels pour s’habiller. Ses maigres connaissances ne suffisaient pas à manifester une tenue à partir de rien. Au mieux, si elle avait l’image du vêtement en tête, la création apparaîtrait substantiellement, mais elle ne serait guère durable.
Céleste sourit, sortant de ses pensées, en voyant les réactions des autres autour d'eux. Pour une fois, sa magie n'y est pour rien. Elle suppose que c'est surtout l'aura de satisfaction après avoir été comblée qui provoque ces regards. Elle ricane quand Randal en fait la remarque, et lui fait part de son hypothèse. Sans cesser de rouler des hanches, bien entendu, appréciant sans conteste l’attention de ces simples mortels qui ne pourront jamais être digne de ne serait-ce que lui lécher les pieds.
Enfin, ils arrivent dans ce qui semble être un immense palace dédié à l'habillement. Le regard de la brune -légèrement écarquillé devant autant de créations textiles- parcourt les environs.
« Grand ? Sugar, c'est immense. On dirait presque un temple dédié à un dieu, s'il en existait un pour la création de vêtements. »
Elle fait quelques pas en plus dans le complexe, observant chaque boutique et ce qu'elles contiennent.
« Je dirais qu’il faut commencer par le commencement. Pourquoi pas ce lieu qui propose des sous-vêtements ? Il faudra que tu m’aide à choisir, je ne connais rien aux habitudes de la Terre… »
Et la pratiquante vaudou entraîna son amant vers la première boutique qui exposait des sous-vêtements dans sa vitrine. Des corsets, des guêpières, de simple soutien-gorge, des culottes et autres bas à ne plus savoir qu’en faire. L’atmosphère parfumé du lieu n’était pas la plus agréable, rappelant à la brune le parfum capiteux des bourgeoises qui tentaient de maintenir leur jeunesse à tout prix. Et elle en avait vu passer dans sa boutique, de ces femmes. Toutes à la recherche d’une solution miracle pour effacer les rides et les tâches sur la peau. Pour faire disparaître les douleurs des articulations, l’arthrite qui leur déforme les doigts ou encore la peau qui se mettait à pendre. Bien entendu, Céleste leur offrait des crèmes et des potions, à un tarif exorbitant. Mais ces solutions étaient toutes temporaires pour les inciter à revenir. Si elles voulaient du permanent, le prix était beaucoup plus cruel.
-
Commencer par une boutique de sous-vêtements et lingerie c'est prendre le bonhomme par les sentiments. Ou tout du moins la perspective de la voir essayer certaines de ces broutilles n'est pas une idée sur laquelle il cracherait. Il fait mine de cacher sa surprise et l'accompagne volontiers dans la boutique pour être accueilli rapidement par une vendeuse qui leur demande ce qui les intéresse ?
Avant de répondre à la jeune femme dans un tailleur qui semble être l'uniforme du magasin, Dragunov fait mine de réfléchir quelques secondes pour finir par lui expliquer que la personne avec qui il est vient de l'étranger et qu'elle ne parle pas un mot d'anglais. Puis il invente une pseudo excuse en prétextant qu'ils avaient perdus tous leurs bagages et qu'ils sont là pour refaire sa garde robe en plus de chercher quelques petites choses pour s'amuser.
Il n'en fallait pas plus pour que la vendeuse leur offre son plus grand sourire. Probablement parce qu'elle sent que si elle fait une grosse vente avec le couple, elle va bien se faire voir de sa patronne. La voici donc guillerette et à l'affût pour vendre quelques articles plus chers que les autres. Si seulement elle savait que l'argent n'est pas un souci et que cet inconnu habillé comme un bobo possède des fonds quasi illimité pour ce genre d'endroit.
Le panier récupéré à l'entrée du magasin est quasiment rempli à plus de la moitié. Sous les conseils de la vendeuse, le couple se dirige vers les cabines d'essayages et la jeune femme se met à rougir quand elle voit l'imposant personnage suivre Céleste à l'intérieur de la cabine sans la moindre once d'hésitation. Pourtant cela devrait être monnaie courante dans une ville pareille.
Une fois à l'intérieur, ses mains se posent sur les petites épaules de la sorcière. D'une voix douce et faible pour ne pas se faire entendre depuis l'extérieur il lui propose son aide.
- Laisse-moi t'aider à enlever tout ça.
D'un geste sûr et habile il fait descendre le bout de tissu qui couvrait les fermes si parfaites de sa partenaire. Ses mains en profitent pour venir caresser un peu ses bras alors qu'il se penche dans sa direction en restant dans son dos.
- J'espère que tu as pris la bonne taille. Car il y en des choses à faire tenir.
Pour illustrer son propos, il vient se saisir à pleines mains des lourds et voluptueux seins de Céleste une nouvelle fois. Ce contact, cette douceur... Les soulever et les posséder est un plaisir dont il ne se lasse jamais. Mais il faut savoir en profiter avec modération. Il la laisse donc tranquille au bout de quelques secondes pour la laisser faire quelques essayages tout en répondant à ses questions quand elle butait sur quelque chose.
Durant les minutes suivantes, il se contente d'esquisser des sourires ou de faire des gestes avec sa main pour exprimer son avis. Jusqu'au moment où la vendeuse demande si tout se passe bien. Elle n'attendra pas plus d'une dizaine de secondes avant que Dragunov ne tire sur le rideau pour lui montrer qu'ils sont en plein essayage après s'être assurée que Céleste était "habillée".
Sincère ou toujours à la recherche d'une grosse vente, la vendeuse reste scotchée sur place quelques secondes avant de dire à la sorcière à quel point ce qu'elle porte est fait pour elle. En même temps, qu'est-ce qui ne l'est pas ?
Une fois le rideau de nouveau tiré pour isoler la pièce, la main du mafieu plonge dans le panier pour tirer un truc qu'il a lui-même choisi. Une sorte de brassière ou de soutif, il n'est pas trop sûr, affriolant avec un trou au milieu.
- En le voyant dans le rayon je me demandais si ma bite pourrait entrer dans ce trou en forçant un peu.
La connaissant, elle va probablement lui proposer de tester sa théorie. Ce qui ne serait pas pour lui déplaire le temps d'un instant.
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Faisant entièrement confiance à Randal, et ne parlant pas un mot d’anglais, la sorcière le suit en offrant un sourire à la vendeuse qui vient à leur rencontre. Pendant qu’ils parlent, elle laisse son regard errer dans le magasin, repérant d’un coup d’œil les articles qui lui plaisent le plus. Toute cette dentelle, ce cuir, ces tissus fins… Elle se demande ce que ça donnera sur elle.
Quand ils parcourent les rayons, la brune ne perds pas de temps à s’arrêter devant chaque article qui lui fait de l’œil. Elle prend son temps pour choisir la taille, apercevant différentes lettres sur différentes itérations du même article. Elle les porte contre son corps, jugeant du regard s’ils lui vont, et les met dans le panier quand c’est le cas. Ayant repéré la lettre qui semble correspondre à sa taille, le choix des articles suivant est plus rapide.
Avec un sourire, ayant remarqué Randal mettre également quelques pièces dans le panier, la brune le suit vers la cabine d’essayage. Si ça ne tenait qu’à elle, elle se serait déshabillée sur le champs, mais quand elle avait commencé à esquisser un geste pour le faire, le mafieux lui avait fait signe d’attendre.
Enfin seuls derrière le rideau qui les séparaient du magasin, Céleste ne perds pas de temps pour retirer sa robe, tirant sur l’un des lacets qui maintenait la robe fermée dans son dos, laissant Randal faire glisser le tissu le long de son corps voluptueux.
« Oh, ne t’en fais pas, Sugar. Je pense que j’ai réussi à saisir leur façon de catégoriser les tailles. Au pire, altérer les vêtements se fait beaucoup plus facilement que les créer avec un peu de magie. »
Un soupire quitte ses lèvres lorsqu’il prend sa poitrine en main, et la brune s’appuie légèrement contre son torse alors que les premiers signes du désir réchauffent déjà ses reins.
« Mmmh, tu tiens à ce que je les souille directement, ces petites pièces de dentelle ? Questionne-t-elle avec un petit rire avant qu’il ne relâche sa poitrine. »
S’ensuivirent une séance d’essayage qui ne fit rien pour diminuer le départ du brasier au creux de ses reins. Le fait d’enfiler ces pièces de tissu si légères, et de voir le regard du colosse sur elle s’il approuvait ou rejetait son choix, étaient au contraire un doux aphrodisiaque, évoquant des images où ils faisaient bon usage de ces acquisitions plus tard.
Quand la vendeuse s’enquiert de quelque chose, et que Randal écarte le rideau pour lui répondre, la sorcière offre un petit sourire en coin à la femme, mettant en avant sa poitrine engoncée dans le sous-vêtement et roulant un peu des hanches pour mettre en valeur le petit bout de tissu qui couvrait à peine sa féminité.
Enfin, à nouveau isolés, il lui offrit une pièce qu’il avait lui-même choisi. Avec un petit rire chaud, l’immortelle se débarrasse de l’ensemble précédent -un soupçon de magie utilisé pour nettoyer le tissu- et prend entre ses doigts le soutien-gorge qu’il lui présente. Avec une dextérité née des précédents essayages, la brune enfile le tissu fin et l’attache dans son dos. Le trou au centre semble effectivement être fait pour accueillir une queue afin qu’elle se loge entre ses seins gainés de dentelle.
« Tu l’as sans doute déjà deviné, Sugar, mais je suggère que nous tentions l’expérience, mh ? »
Et sans plus de tergiversation, la sculpturale sorcière se laisse tomber sur les genoux en bombant sa poitrine. D’une main sûre, offrant un regard malicieux au colosse, elle se dépêche de faire glisser le tissu qui l’empêche d’accéder au chibre dont elle rêve encore une fois de sentir en elle. Elle repousse l’homme jusqu’à ce qu’il prenne place sur le petit banc de la cabine d’essayage. Elle ne perd pas de temps pour se glisser entre ses cuisses et approchant ses seins lourds de l’épaisse masse de chair.
« Mieux vaut lubrifier un peu l’engin, avant, non ? »
Et elle n’attend pas de réponse, venant happer le gland entre ses lèvres déjà humides. Avec un soupire qui s’étouffa contre le chibre du mafieux, elle le prend en bouche plus loin encore, imprégnant de salive la chair fine et fragile jusqu’à ce que ses lèvres se verrouillent à la base et que sa gorge soit déformée par la virilité qui y est engoncée. Elle prend soin de le lubrifier à foison pendant quelques minutes, son regard dardant parfois pour observer les réactions de son amant, avant de finalement le relâcher de l’emprise de ses lèvres gourmandes.
« Il me semble que ça devrait suffire… Souffle-t-elle d’une voix rauque avant de guider l’imposant engin vers l’ouverture qui se dessine dans la dentelle qui couvre ses courbes. »
D’un geste assuré, presque doux pour s’assurer de ne pas lui faire mal, l’immortelle entreprend d’avancer sa poitrine et de faire glisser le gland violacée dans l’accès qui semble fait pour ça. Avec soin, avec persévérance (et un brin de magie pour assouplir le tissu sans le casser), Céleste le fait passer au travers et cale le sexe rigide dans la vallée entre ses seins.
« Opération réussie, il me semble, note-t-elle avec un sourire taquin avant que ses lèvres ne viennent reprendre entre elles le gland qui dépassait d’entre ses seins. »
Il fallait, après tout, conduire le test jusqu’au bout. Ainsi, elle s’occupa de presser sa poitrine contre la queue tendue qui s’était installée et de happer ou lécher le gland à chaque fois qu’il se dessinait à portée. Elle entendait bien lui soutirer une autre cuvée de foutre pour se repaître. Et si, au passage, elle trempait complètement le petit bout de tissu qui masquait à peine sa fleur et qui se glissait dans la vallée de ses fesses ? Ce ne serait qu’un bonus.
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Aucune opposition n'est faite à Céleste quand elle décide de pousser son parternaire de jeu pour le forcer à poser ses fesses et se mettre à l'aise afin de profiter pleinement du spectacle qui va lui être offert. Ce dernier se met même à déglutir d'anticipation alors que le corps parfait qui se trouve face à lui s'agite pour libérer sa queue qui ne demande que ça.
En guise de réponse suite à ce gobage de viande en règle, l'homme ne lui offrira qu'un grognement retenu entre ses dents. Cette petite gorge étroite et humide est parfait pour contraster avec le côté impeccable et propre sur lui des lieux où ils se trouvent. Ce genre d'endroit semble supplier d'être souillé de la pire des manières.
Les instants suivants ne sont que plaisir et complicité perverse entre les deux. Se faire sucer, Dragunov en rafolle autant que de démonter brutalement celle qui l'accompagne jusqu'à la remplir. Un second cas de figure que la sorcière a déjà pu vérifier à plusieurs reprises désormais. Observer les filets de salive s'étendre et se briser quand elle rompt le contact avec sa queue le fait tressauter d'envie un bref instant.
Cette suite est toute aussi délicieuse en terme de sensation. La peau délicate, soyeuse, de cette poitrine le comprime avec une pression parfaite. Son gland gonflé à bloc et suintant de salive n'a aucun mal à perforer ce fourreau qui masse chaque centimètre et chaque veine de ce membre si imposant pour cogner un premier temps contre la cage thoracique de sa partenaire. Le contact est très bref car cette accumulation de fluide et la douceur de sa peau font glisser la pointe de sa queue vers le haut pour en trouver la sortie et se présenter à cette bouche qui s'en était si bien occupée il y a peu.
- Oui, c'est un début. Un excellent début.
Un autre soupir lui échappe en sentant de nouveau cette bouche experte se remettre au travail sur son gland sensible. Il aime voir ses lèvres s'entrouvrir pour venir dévorer le bout de sa queue tout en s'adaptant à sa forme. Les stimulations qu'elle lui offre avec sa bouche tiennent plus des caresses ou des léchouilles qu'à celles proposées lors d'une pipe digne de ce nom et cela lui convient car il a envie de jouer et faire durer le plaisir. Le plaisir se poursuit durant deux minutes encore. Puis Dragunov décide de se pencher en avant, écrasant les seins de la belle et pressant son gland sur son visage au passage pour venir lui mettre une main au cul en tapant ensuite dessus très légèrement pour ne pas qu'on les entende dehors.
Cela est infime mais du bout des doigts il a effleuré la fente de la belle et le tissu humide qui la recouvrait à peine.
- Attends ! Tu me fais tellement bander que je commence à me sentir à l'étroit.
Pas entre ses seins, non. Plutôt par le fait de passer par un trou qui se trouve devant sa poitrine et qui l'empêche de profiter pleinement de la situation. C'est donc sans regret qu'il se retire pour pouvoir mieux y retourner dans quelques instants.
La bite tenue par sa rugueuse main droite, il s'amuse à faire tapoter son gland sur sa langue après lui avoir demandé de la lui montrer. Tout est un prétexte pour jouer et tenter des trucs un peu sales dans cette cabine d'essayage. C'est alors que sa seconde main vient se poser délicatement sur la chevelure de Céleste pour lui faire comprendre d'entamer une descente en avant pour venir savourer et lubrifier de nouveau sa queue.
- Haaaa, cette bouche est faite pour sucer ma queue. Sois pas timide sur la salive. Lubrifie tout bien comme il faut avant de revenir me branler avec tes seins.
La poigne de Dragunov se veut ferme mais douce à la fois pour lui faire comprendre leur position le temps d'un instant. Il la fait descendre, remonter... Encore et encore. De manière sensuelle et sale à la fois. A chaque fois qu'elle remonte pour se retrouver avec uniquement la pointe de son gland en bouche, il en profite pour l'admirer et lui offrir un immense sourire satisfait. Pour la faire se remettre au boulot.
Une fois satisfait et la trique enduite d'une épaisse couche de salive qui s'est transformée en écume à la base de son manche, le moment semble tout indiqué pour la faire reprendre où elle en était. Cela va demander encore un peu de travail pour le faire juter. Mais nulle doute que la belle sorcière a plus d'un tour dans son sac à malice.
Ce qu'il n'avait pas prévu c'était de se mettre à gémir un poil trop fort quand les deux seins de celle-ci finissent par revenir se plaquer contre sa bite sensible. La température un poil fraîche à cause de la climatisation avait eu vite fait de faire baisser celle de son membre. Céleste avait tout juste le temps de s'y remettre que la vendeuse tire sur le rideau, inquiète, pour vérifier si tout se passait bien après avoir entendu un petit cri.
Elle a dû penser que le couple avait besoin d'aide. Plus tôt cela ne les avait pas gêné de se montrer durant un essayage et ils étaient forcément tous les deux "habillés". Autant dire qu'elle en aura pour son argent niveau surprise.
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Sans broncher, l’immortelle relâche la queue de son emprise et ouvre la bouche en tendant la langue, une lueur salace au fond de ses prunelles sombres. Elle profite qu’il tapote le gland contre sa langue pour laper parfois, comme une petite chatte, confortablement agenouillée à ses pieds.
Elle ne lui répond ensuite que par un gémissement approbateur qui s’étouffe contre la tige qu’elle a goulûment aspiré de nouveau, se faisant un plaisir de lubrifier la hampe en montant et redescendant selon le rythme intimé par la main dans sa crinière. Diligemment, Céleste bave contre le membre tendu, le fait cogner contre sa gorge avant de revenir suçoter le gland du bout des lèvres.
Enfin, Randal estima la lubrification satisfaisante et la brune ne perdit pas de temps pour venir le caler à nouveau entre ses seins quand il le demanda. Elle allait reprendre le gland en bouche quand le rideau de la cabine s’ouvrit.
La bouche ouverte, le gland tapant contre sa langue, la sorcière tourna le regard vers la vendeuse qui se trouvait être la responsable pour l’ouverture du rideau.
« Mais qu’est-ce que vous êtes en train de faire ?! C’est interdit, arrêtez-moi ça tout de s-
- Silence, coupa Céleste alors qu’elle ne comprenait pas un mot de ce que la vendeuse disait. Mais le ton strident de sa voix lui cassait les oreilles.
- Je ne vous permets pa-
- Silence, j’ai dit, intima la brune en usant de magie pour rendre la pauvre femme muette, se rendant bien compte qu’elle ne comprenait pas la langue utilisée. »
Malgré sa position, et l’activité à laquelle elle se livrait, le ton impérieux et froid de la sorcière n’en était pas moins impressionnant. D’un geste de la main, la vendeuse devint rigide, les bras plaqués le long du corps, et elle flottait légèrement au-dessus du sol. Un inclinaison de l’index la fit avancer jusqu’à ce que le rideau retombe derrière elle, et un claquement de doigt força ce dernier à se fermer.
« Je crois qu’on a de la compagnie, Sugar, reprit-elle d’une voix plus chaude. As-tu l’impression qu’elle soit du genre voyeuse ? Ou qu’elle préfèrerait… Participer ? Je peux te laisser t’en occuper, le corps féminin n’offre aucun attrait à mes yeux. Même si je reconnais qu’elle pourrait valoir son poids en or sur le marché aux esclaves de Nexus. »
Gardant toujours le sexe du mafieux entre ses seins, l’indécente sorcière le presse et le masse tout en parlant.
« Et te voir la ravager serait un spectacle délicieux, assurément. Mais là où le bât blesse, comme on dit, c’est que je n’aurais pas ma ration, muse-t-elle en venant embrasser le gland à portée. »
Elle le laisse décider. Il est chez lui, après tout. Et, dans tous les cas, la sorcière sait qu’elle pourra toujours en retirer un certain plaisir. Et puis, quand leurs affaires seront conclues dans ce magasin, elle a déjà décidé que la mémoire de la vendeuse serait modifiée. De quoi elle se rappellerait n’était pas encore décidé, bien entendu.
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Cet enchaînement d'évènement a eu raison du mafieux qui s'attendait à tout sauf à une situation aussi folle. Le voilà le cul posé sur un banc en train de se faire astiquer son manche gluant dans une succession de sons humides et des plus vulgaires sous le regard d'une vendeuse qui se retrouve suspendue dans les airs tout en étant incapable d'effectuer le moindre mouvement.
Quelle décision pourrait-il prendre ? A en juger par le ton de Céleste il a l'embarras du choix car celle-ci ne se formaliserait pas un seul instant. La femme ne doit pas avoir assez de doigts sur ses deux mains réunies pour compter les expériences sexuelles débridées vu sa façon libérée d'utiliser et montrer son corps dès que l'envie lui en dit.
Un bref instant le regard de Dragunov se pose, incrédule, sur le visage de la vendeuse entre deux remontées mammaires sur son membre glissant. Où donner de la tête ? Pour les secondes suivantes, son attention se fixe sur la sorcière qui prend si grand soin de lui.
- Si je trouve que ta bouche et tes seins sont fait pour s'occuper de ma queue, l'inverse est tout aussi vrai. Je me demande d'ailleurs si tu es partageuse de nature.
Une étincelle perverse scintille dans le regard du mafieux tandis qu'il savoure chaque seconde qui passe sous le regard désormais plus perdu que paniqué de la jeune inconnue qui va retenir une leçon inoubliable sur la curiosité et l'espace personnel pour le restant de ses jours. La température ne fait que monter crescendo sous les gémissements de la montagne de muscles, les sons visqueux qui résonnent dans cette petite cabine et les bruitages pervers générés par la bouche experte de Céleste.
Qu'est-ce qui serait encore plus excitant que de se faire sucer par une femme aussi belle que cette sompteuse sorcière venue d'un autre monde ? La réponse semble tellement évidente qu'il ne va même pas faire semblant de réfléchir avant d'en faire la proposition à sa désormais partenaire de crime terrestres.
- J'ai une suggestion. Tu la libères et vous me nettoyez la queue ensemble. En échange vous obtiendrez toutes les deux ce que vous voulez.
Sa voix est ferme en restant emplie d'envie alors qu'il annonce la couleur à chacune d'entre elle tout en se fait faisant branler et lécher. Il s'adresse d'abord à la vendeuse qui le regarde en lui suggérant du regard qu'il demande sa libération purement et simplement sans contrepartie. Malheureusement pour elle cela n'arrivera pas.
- Réaliser la plus grosse vente de l'histoire de la boutique doit te faire envie, non ? Imagine toi en train de prendre la place de ta chef et de gérer cette boutique.
Pas le temps pour l'imposant mâle de reprendre son souffle et chercher à enjoliver les choses pour sa camarade vers qui il se tourne en lui offrant un discours bien salace qui devrait la ravir et la rassurer en quelque sorte.
- Quant à toi... Je vais te cracher si fort dans la bouche que ça va en déborder. A force de jouer avec moi depuis tout à l'heure tu m'as bien trop excité. Mes couilles n'attendent que de se vider pour te remplir l'estomac. Chaque goutte finira entre tes belles lèvres de suceuse.
C'est dis avec tellement d'amour et d'envie. Surtout qu'il en pense chaque mot.
-
Un rire bref échappe à la gloutonne lorsqu’elle relâche finalement la trique érigée de son amant.
« Partageuse, pas vraiment. Mais je suppose que je peux faire une exception pour toi, Sugar. »
Elle jette un œil à la vendeuse. Céleste ne sait pas ce qu’il lui a promis, et elle s’en fiche royalement, mais elle à l’air perdue à l’instant. Tiraillée entre le désir de se barrer vite fait de la cabine et celui d’accepter la proposition du mafieux. Et pendant ce temps, la sorcière continue de lustrer le sexe épais de Randal, à grand renforts de bruits de succions et de gémissements obscènes. Elle pousse même le vice jusqu’à remuer son bassin, les genoux écartés, pour offrir à la femme la vision du sous-vêtement détrempé alors que le colosse peut voir son cul remuer de manière presque hypnotique.
Un geste de Céleste, alors que la vendeuse ouvre la bouche sans qu’aucun son n’en sorte, et la magie qui la maintenait muette se dissipe.
« Pas un cri, prévient-elle en sachant pertinemment que la femme ne la comprendrait pas. Mais l’expression de son visage devait être éloquente. Sinon, je me fiche que Randal soit d’humeur à se faire branler et sucer par deux femmes, on ne retrouvera de toi-même pas assez de sang, de chair et de poils pour remplir une petite fiole. »
Prise de court, mais intimidée par l’expression de la sorcière, la vendeuse hoche machinalement la tête.
« Je… J’accepte votre proposition, monsieur, laisse-t-elle finalement échapper, ses grands yeux bleus écarquillés autant par la peur que par une légère pointe de désir. Et d’ambition. »
Céleste, quant à elle, reporte son attention sur son amant avec un sourire dépravé.
« Tant que j’y ai mon compte, ça me va, souffle-t-elle avec un rictus amusé. »
Questionnant l’homme du regard pour savoir si elle devait délivrer la jeune femme, n’ayant pas compris un traître mot de ce qu’elle pouvait bien dire, l’immortelle agita son index devant l’acquiescement du colosse. La vendeuse retomba sur le sol et retrouva sa mobilité, perdant l’équilibre et se retrouvant à genoux aux côtés de la cruelle pratiquante vaudou.
Libérant l’imposante masse de chair qu’elle contraignait entre ses seins, la sorcière a la satisfaction de voir les yeux de la jeune femme s’écarquiller encore plus devant la taille du sexe dévoilé.
« Mmh, on dirait que tu l’impressionne, Sugar. Je ne pense pas qu’elle réussira à tout avaler, vu sa tête. »
Comme pour lui montrer l’exemple, Céleste attrapa le sexe à sa base et le guida vers sa bouche, glissant l’imposante hampe entre ses lèvres avec un gémissement appréciateur. Elle le poussa jusqu’au fond de sa gorge, et au-delà, pour terminer avec ses lèvres contre l’aine masculine. Puis elle redresse la tête, avant de retourner empaler sa gorge sur la queue érigée. Encore, et encore, et encore, jusqu’à ce qu’elle le relâche finalement totalement et tourne le regard vers la vendeuse.
« Suce, intime-t-elle en se reculant légèrement pour lui laisser la place. »
La vendeuse reste immobile, le regard allant de la virilité dressée et luisante à la sorcière indécente. Perdant patience, la brune glisse une main brusque dans les cheveux de la jeune femme et lui rapproche le visage de la trique qui n’attend qu’une bouche pour être réchauffée.
« Suce, j’ai dit, gronde-t-elle en sachant pertinemment que son dialecte n’était pas compréhensible de la pauvre petite blonde qui se retrouvait embarquée dans un scénario digne de films pornographiques. »
Et elle lui colle le visage contre l’épais mandrin, guidant ensuite le gland entre les lèvres de la vendeuse qui ouvrait la bouche pour laisser échapper une protestation devant ce traitement.
« Ces jeunes, fait mine de soupirer l’immortelle avec un air de regret. Il faut tout leur apprendre ! »
Et tandis qu’elle force la jeune blonde à enfoncer plus que le gland entre ses lèvres, qu’elle lui intime un mouvement de vas-et-viens pour lui « montrer » comment faire, Céleste penche la tête pour venir gober les couilles délaissées. Elle relâche sa prise sur la vendeuse pour se consacrer à sa tâche, laissant Randal libre de choisir s’il veut en profiter pour baiser la petite bouche étroite de la blonde ou la laisser trouver son rythme. Une chose est sûre, l’immortelle fera tout son possible pour avoir ce qu’elle désire.
-
Tout s'enchaîne bien rapidement une seconde fois avec la participation surprise de la vendeuse qui se retrouve rapidement à côté de la belle sorcière. Le contraste entre leurs couleurs de peau est aussi agréable qu'excitant pour le chanceux qui va avoir droit à une expérience tellement rare.
Est-ce une simple impression ou l'envie de montrer son territoire quand il sent une pression bien plus vivace sur sa queue quand Céleste daigne montrer l'exemple à sa nouvelle coéquipière de pipe ? Un frisson le parcours quand cette gorge étroite le masse avec vigueur à un rythme plus rapide que les fois précédentes.
Il se serait bien laissé aller à un petit commentaire pour exprimer son approbation si Céleste n'était pas déjà accaparée par l'envie de forcer la vendeuse à faire comme elle. La tâche semble presque insurmontable pour la blondinette qui n'a pas dû croiser des spécimens de cette taille ailleurs que sur internet.
Son doux visage, même frotté de force, contre sa trique est tellement agréable qu'il en sourit de façon narquoise en regardant ce spectacle se dérouler sous ses yeux sans qu'il n'ait besoin de lever le petit doigt.
- Hooo, ouais, j'aime l'idée.
Sur cette simple remarque, Dragunov écarte un peu plus les jambes pour laisser assez de place à la sorcière histoire qu'elle puisse faire opérer un tout autre type de magie dont elle a le secret. Voir son visage disparaître pour venir s'occuper de ses boules le fait trembler d'anticipation. Il savoure plus que nécessaire ce double traitement humide tel un roi sur son trône. Un trône bancal et bon marché, certes. De toutes les aventures qu'il avait pu imaginer dans sa tête, jamais il ne s'était attendu à se retrouver dans cette situation folle.
Deux femmes, deux belles femmes, dévouées à son seul plaisir. Il faudrait juste que la jolie vendeuse se lâche un peu plus car elle a encore un peu de mal à se faire à l'idée. Ou au bout de viande qui se loge difficilement dans sa gorge.
- Sois pas timide. Je m'attends pas à ce que tu puisses avaler ma queue aussi bien qu'elle te l'a montré. Par contre tu peux faire mieux que ça.
Son ton est presque rassurant alors qu'il procède de la même manière qu'avec Céleste en pressant lentement mais sûrement sur le crâne de l'ingénue qui va très vite se mettre à suffoquer sous le poids de la tâche qui lui est confiée. Cela n'arrête pas le salaud qui la maintient dans cette position car le plaisir que lui procure l'autre tentatrice le fait frémir plus que de raison. Ses doigts se crispent sur la chevelure courte de la blonde dès qu'il sent qu'on tire un peu sur une de ses couilles et il adore ça.
Le plaisir est si intense qu'il est obligé de l'arrêter dans sa manoeuvre un peu bref instant en lui ordonnant de remonter d'un niveau.
- Reviens par ici avant de me faire avoir un accident.
Son autre main libre vient chercher le menton humide de Céleste pour la faire retourner sur sa bite. Il veut les admirer toutes les deux en train de le lécher, le sucer, l'astiquer...
- Tu vas me sucer avec elle. Je veux voir et sentir vos langues glisser partout dessus jusqu'à ce que je décide qu'il soit temps de te donner ta récompense.
Pas sûr que la chose dure longtemps vu son état et l'envie si pressante qu'il a de vouloir se déverser par gorgées dans cette bouche. Ce n'est pas pour autant qu'il ne fera pas durer le plaisir autant que possible.
-
Remontant son visage sous l'impulsion de Randal, lâchant à regret les joyaux fragiles dont elle s'occupait, Céleste affiche un sourire narquois.
« Tu ne tiens pas la marée, Sugar ? Taquine-t-elle de sa voix chaude et basse. »
Elle ne se fait cependant pas prier pour venir gober le gland relâché par la blonde à bout de souffle. Elle l'avale si complètement, restant quelques longues secondes verrouillée à la base, qu'elle peut voir le regard toujours écarquillé de la vendeuse. L'immortelle a du mal à partager, mais elle se force à le relâcher pour venir laper la longueur du mandrin et laisser de la place à la petite vendeuse désemparée.
Les prunelles fixées sur Randal, la brune adopte volontairement une attitude obscène pour le régaler, intimant d'une claque derrière la tête à la blonde de faire de même. On peut voir que la sorcière n'a clairement pas la patience pour les minauderies.
« Tu as bien intérêt à m'inonder la gorge ensuite, Sugar. Je ne permettrais pas que cette petite timide en ait une seule goutte, souffle-t-elle alors que ses doigts caressent les bourses encore humides. »
Jalousie, ou bien territorialité ? Pour quiconque connaissant l'immortelle, il s'agissait bien entendu de la seconde option. La cruelle sorcière n'était connue ni pour sa patience, ni pour sa générosité quand il s'agissait de quelque chose -ou quelqu’un- à qui elle tenait.
Quand elle sent que le colosse n'est pas loin de se laisser aller, elle repousse sans douceur l'ingénue à ses côtés et reprend sa place, ses lèvres ne tardant pas à venir engloutir sa sucrerie avec voracité. Ses ongles agrippent les cuisses du colosse avec une férocité telle qu'elle en laissera des marques, et sa gorge fait son possible pour aspirer tout le jus que va délivrer son amant. Ses longues boucles brunes lui caressent la peau autant que sa langue flatte la trique fermement empalée dans sa gorge.
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Dragunov est captivé par la suite des évènements et se surprend à ricaner en voyant Céleste mettre un coup la vendeuse pour la "motiver" davantage à assumer son rôle jusqu'au bout. Comment pourrait-il en être autrement que de donner à cette belle cochonne ce qu'elle est en droit de mériter après tous ses efforts ?
- L'envie de remplir ta bouche de salope est si forte que je te forcerai à tout avaler et nettoyer de force s'il le faut. Et hors de question d'utiliser ta magie cette fois.
Bien rapidement il se retrouve de nouveau en tête-à-bite avec Céleste qui vient de repousser la vendeuse comme une pestiféré alors que la pauvre jeune femme n'avait rien demandé. Et encore moins à se retrouver prise à partie par deux affamés de sexe. Jamais de sa vie elle n'a dû voir une femme s'engloutir une queue comme peut le faire la sorcière sous ses yeux. Ses lèvres coulissent avec force et rapidité sur le chibre dur et épais dont elle se délecte. Elle suce, elle aspire, elle avale, le tout de manière grotesque et dégueulasse pour obtenir le fameux nectar.
Il grimace de douleur et d'excitation en sentant les ongles pointus s'enfoncer dans sa chair car il sait que c'est une nouvelle preuve de l'appétit dévorant et sans limite de celle qu'il commence à avoir dans la peau de bien des façons.
Sans pour autant l'arrêter dans sa manoeuvre alors qu'il a du mal à remuer les bras correctement, il parvient à glisser une main dans la poche de son bas qui est à même le sol pour récupérer son portable. En bon touriste qu'il est la logique voudrait qu'il immortalise tous les moments les plus importants de leurs vacances, non ?
- Putain ! Viens par là ! T'arrêtes pas de me bouffer la queue !
Dragunov se relève tant bien que mal en prenant appuie sur le mur derrière lui tout en déverrouillant maldroitement son martphone de l'autre main. Se tenir debout, en position de supériorité est essentiel. Non, vital même, pour la suite des évènements.
D'un coup d'oeil il regarde la vendeuse en lui faisant signe de revenir à sa place à côté de celle qui l'a envoyé paître comme une vieille caussette puante l'instant d'avant tout en lui annonçant la couleur.
- Quand je te le dirais tu vas prendre le téléphone et la filmer en te tenant à bonne distance, compris ? Tu vas l'enregistrer en train de se faire remplir la gueule, de jouer avec mon foutre épais et gluant pour finir par l'avaler comme si c'était la chose le plat le plus savoureux de son existence.
En attendant d'arriver à l'explosion, il ne va pas bouder son plaisir et leur faire comprendre de lui travailler les burnes ensemble. Si un homme est équipé d'une paire de couilles c'est pour ce genre de situation après tout. Il veut qu'elles y mettent toute leur énergie pour le pousser à les vider entièrement.
Au bout de quelques minutes à se branler d'une main tout en enregistrant une vidéo avec son portable de l'autre il se met à grogner et respirer aussi fort qu'un train chargeant à pleine vitesse. Son corps réclame sa délivrance autant que la beauté au tein caramel lui demandait de la régaler plus tôt.
Cette fois c'est lui qui tire la vendeuse le temps de lui jeter le portable dans les mains et en avoir une de libre pour venir appuyer sur la tête de Céleste afin de lui faire bouffer ses noix de force un bref instant.
- Viens ! Viens ! Ouvre bien grand ! Arrrrrgh ! Merde !
Dans un soupir d'extase terriblement long une crème épaisse et gélatineuse saute en quelques jets dans la bouche de cette gueule d'ange qu'il a tout juste eu le temps de libérer. Une main est posée sur le front de la belle pour qu'elle reste en place sans bouger. Lui continue de se branler de manière frénétique en grognant à chaque giclée. Très rapidement la bouche de la belle se remplit et le trop plein lui coule sur les joues et le menton. Il va la souiller. La marquer. Qu'elle devienne sa chose et qu'elle prenne plaisir à baigner dans ses fluides. Rien ne l'exciterai plus pour le moment que de voir son oeuvre vivre à jamais à travers cette vidéo.
Ce double pompage de couilles a fait son effet car l'imposant mafieux tout en muscles n'avait pas distribué une dose aussi généreuse à sa petite chatte espiègle quand ils avaient tirés leur coup rapidement avant de décider de faire leurs emplettes.
Même la vendeuse y va de son petit commentaire pour exprimer sa surprise alors que le robinet fini par couper l'arrivée de sauce au bout de quelques dizaines de secondes. Mais personne ne quitera cette cabine tant que tout le sperme qui a été distribué aura été avalé, léché, sucé et savouré. Qu'il ait atterit sur le faciès angélique et délicat de Céleste, sa poitrine, à même le sol ou qu'il se trouve sur le gland du beau mâle satisfait.
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Dire que Céleste était affamée aurait été un euphémisme. Elle avalait la trique de Randal comme s'il s’agissait du dernier repas qu'elle pourrait faire. Ses lèvres généreuses l’aspirent et le sucent avec tant d'entrain qu'on pourrait croire qu'il s'agissait du meilleur met du monde.
Docilement, la brune suit le mouvement quand le colosse se redresse une fois qu'il a attrapé son smartphone. Elle reste agrippée à lui, à ses hanches, comme ventousée. Elle sait qu'il n'est pas loin de relâcher sa jouissance, elle le sent à la manière dont elle sent l'engin entre ses lèvres bouger. Pourtant, il fait durer le plaisir, encore et encore.
Si l’immortelle ne comprends pas un mot d'anglais, elle comprends toutefois le regard qu'il a vers elle après avoir donné ses consignes à la vendeuse. A regret, elle relâche la tige luisante pour venir partager les bourses avec la blonde. Elle ne met pas moins d'entrain, cela dit, et elle dirige une main contre son entrejambe pour soulager le besoin pressant de se frotter contre quelque chose.
Elle est plus que trempée. Le sous-vêtement est ruiné, il lui colle à la peau. Elle glisse trois doigts dans sa fleur -dans le jus poisseux qui s'en échappe, mêlé au foutre qui y a été précédemment introduit- pour soulager la tension de ses reins. Et tandis qu'elle frotte sa paume contre sa perle, que ses doigts entrent et ressortent de son intimité, elle se régale en aspirant et martyrisant délicatement les joyaux du mafieux. Avec l'aide de la vendeuse, certes.
Rien ne lui fait plus plaisir que de sentir le colosse rejeter la blonde a nouveau alors qu'il force Céleste à aspirer les deux bourses en poussant contre son crâne. Elle s'exécute sans broncher et à grands renforts de gémissements sourds, étouffés contre la chair masculine.
Juste à temps, il repousse sa tête et la brune ouvre grand la bouche en tirant la langue pour lui offrir une cible de choix à viser. Elle se retient de déglutir pour le moment, laissant sa gorge et sa bouche se remplir, laissant le foutre couler au coin de ses lèvres pour salir son menton, sa poitrine ou encore ses cuisses écartées. Elle continue de se frotter contre la paume de sa main, de chercher à délivrer le torrent de plaisir qui ira dévaster ses veines, et son regard est fixé sur Randal comme s'il était l'unique être d'importance au monde.
Quand enfin les jets se tarissent, Céleste laisse sa langue remuer le jus qui emplit sa bouche. Elle se gargarise avec pour le spectacle avant d'avaler goulûment. Ses paupières se ferment avec délice avant que les doigts de sa main libre ne viennent essuyer son menton et se faire nettoyés entre ses lèvres affamées. Elle a promis à son amant qu'elle allait tout avaler, et elle tient ses promesses. Quand son menton est propre, ses doigts viennent contre sa gorge, sa poitrine ou encore son ventre plat. Elle récolte la moindre goutte tout en continuant de balancer ses hanches contre son autre main. Elle a le souffle court, et n'est pas loin d'inonder la cabine de sa jouissance à son tour.
Quand il n'y a plus une goutte de sperme répandue sur son corps échauffé, l'immortelle lance un regard taquin au mafieux avant de se pencher en avant. Tournant la tête sur le côté pour être sûre que l'homme ainsi que la caméra puissent voir clairement le spectacle, la brune entreprend de lécher le sol, abandonnant la tâche de se faire jouir pour l’instant. Elle se montre particulièrement obscène en fixant Randal du regard, léchant et aspirant le foutre sur le sol à grand renfort de gémissements.
Et quand, enfin, le sol fut débarrassé de la moindre goutte de semence, la brune revint s'attaquer au sexe poisseux du colosse. Avec appétit, elle suça de nouveau ce gland violacé, elle aspira de plus belle la trique jusqu’à ce que ses lèvres touchent la base, que son nez s'enfouisse dans l'aine masculine. Elle est minutieuse dans son nettoyage, et quand enfin elle le relâche totalement, c'est pour mieux se relever et plaquer son corps tremblant contre celui du colosse.
« Avec tes doigts ou ta queue, peu m'importe, commence-t-elle d’une voix basse et chaude. Mais j'ai grand besoin de ton aide pour me terminer également, termine-t-elle sur une note suppliante. »
Et il peut sentir qu'elle ne ment pas à la manière dont le corps souple de la sorcière tremble et se frotte contre lui, comme une véritable petite chienne en chaleur.
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Son sang ne fait qu'un tour devant le spectacle divinement pervers qui se joue à ses pieds. Cette bouche pleine à en déborder de tout son foutre. Ou encore cette langue qui vient s'amuser avec de manière dégradante pour satisfaire son égo masculin qui ne demande que ça. La sorcière est vraiment une incarnation humaine, si le terme peut s'y prêter dans une certaine mesure, de la luxure à l'état primaire.
L'attention qu'il lui perte est égale à la concentration dont fait preuve la vendeuse qui filme la suite sans savoir si elle est censée aller aussi loin ou non. Dans le doute elle a préféré en faire trop que pas assez. Chaque goutte ou accumulation de fluide est récupérée par les doigts fins et délicats pour finir leur chemin dans la bouche insatiable qui englouti tout ce qui passe à l'intérieur.
Voilà qui promet un premier épisode savoureux pour leur futur film de vacances. Au détail près qu'il ne devra pas être visionné en famille au coin du feu. Juste au coin du feu.
L'homme au physique si imposant n'a pas le temps de voir sa bite ramollir. Sa queue revient très vite trouver le chemin de ce trou des maléfices comme il pourrait finir par le sunommer un jour vu la magie si envoutante qu'elle pratique avec. La rigidité de son membre est de nouveau vérifiable par la langue de cette nympho qui le relâche uniquement pour en demander encore.
Cette peau si douce et brûlante se frotte facilement contre son torse humide. Tous deux ont si chaud qu'ils n'ont pas dû se rendre compte qu'ils s'étaient mis à transpirer malgré la climatisation. Ou alors ce n'est que lui. De toute manière ses pensées se trouvent ailleurs car des affaires bien plus urgentes l'attende.
Sa main droite se pose sur la cuisse gauche de la sorcière pour l'écarter un peu et se glisser sous le tissu qui protège son entrejambe. Non sans difficulté vu à quel point celui-ci colle à sa peau avec toute la cyprine qui l'imbibe. Deux doigts pénètrent son orifice sans opposer de résistance. L'intérieur est chaud, moite et... souillé. C'est vrai qu'elle avait conservé un souvenir de lui avant qu'ils ne reprennent leur route.
Les deux objets inquisiteurs s'enfoncent aussi profondément que possible en elle pour lui soutirer un soupir pour s'en échapper et se glisser dans la bouche de Céleste.
- Comment je suis censé refuser une demande pareille ? A ton tour d'être traitée comme une reine.
Ses doigts propres, il retourne se saisir du cul de la belle pour la pousser à se frotter contre lui quelques brèves secondes. Juste le temps de durcir totalement en faisant s'écraser son torse puissant sur la poitrine aux tétons pointus qui ont déjà été mis à contribution d'une autre façon quand ils étaient encore tous les deux.
Puis il l'a fait se retourner pour qu'elle se retrouve le visage face au mur. D'un geste sec il tire et arrache l'espèce de string en assurant à la vendeuse de ne pas s'en faire car il l'achètera aussi.
- Grimpe ! Je vais m'occuper de toi.
Au tour de Céleste de se retrouver sur l'espèce de petit banc. Dans l'autre sens par contre. Car Dragunov ne perd pas une seconde à venir se positionner dans son dos trique fumante et pulsant d'envie à la main. Il peut sentir son membre trépigner d'impatience à l'idée de revenir embrocher la sorcière. Son autre main se pose sur le ventre ferme et lisse. Un contact compliqué à maintenir à cause de la transpiration.
Son gland ne s'arrête même pas pour lui offrir un temps de préparation quand il entre en contact avec ses lèvres. L'imposant chibre s'enfonce directement pour venir cogner tout au fond avec force. Une petite vengeance dissimulée pour le traitement qu'elle lui a fait subir en dévorant sa queue sans ménagement plus tôt. Le plus fou c'est que dans un cas comme dans l'autre, elle est la seule à risquer de se retrouver avec le souffle coupé.
- C'est fou, tu peux pas passer une heure sans avoir envie de ma queue ?
Est-ce qu'elle aura le temps et le souffle pour lui répondre ? En tout cas il ne va pas lui faciliter la tâche en la pilonnant à un rythme effrené. On peut sentir la puissance de chaque coup de rein qu'il s'enfonce en elle à travers l'objectif du téléphone qui les filme sans interruption.
- Je veux t'entendre gémir. Fort !
La main qui se tenait sur son ventre vient imiter la seconde qui lui a saisi un poignet. Il vient plaquer les deux contre le mur comme pour lui bloquer tout mouvement. Un pas en avant. Non, avec deux pas en avant il parvient aussi à la restreindre encore davantage. La voici coincée contre le mur, les deux mains en l'air et un bassin qui cogne brutalement contre son petit cul dans des "ploc" qui résonnent dans ses tympans.
Il a chaud, il transpire rapidement en la baisant comme une bête à son tour. Elle aime avaler ? Tant mieux. Car sa seconde bouche va prendre aussi cher que la première dans une baise plus brutale que la précédente.
Son visage trouve son chemin pour se coller contre l'oreille de Céleste qui vient mordiller entre deux râles de plaisir. Il s'est souvenu qu'elle aimait bien faire ça sur lui. Peut-être que l'inverse l'excite tout autant. Désormais les rôles sont inversés jusqu'à ce qu'elle soit comblé à son tour.
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La sorcière gémit longuement alors qu’elle suce les doigts qu’il glisse dans sa bouche, goûtant autant à sa cyprine qu’au foutre qui restait encore depuis leur étape précédente. Elle sourit alors que sa langue joue autour des doigts pour les nettoyer consciencieusement. Et quand il l’incite à se frotter contre lui, elle ne perd pas de temps pour s’exécuter, adorant sentir le corps puissant du colosse contre sa peau brûlante.
Bien vite, elle se retrouve entre le mur de la cabine et le mafieux, ses genoux précairement perchés sur le banc tandis que sa poitrine s’écrase contre la paroi. Et que son cul se frotte contre l’érection qui ne tarde pas à s’enfoncer en elle d’un geste brusque.
« Oh putain oui, gémit-elle en arquant les reins pour le laisser se caler tout au fond de son antre ardente. Crois-moi, Sugar, halète-t-elle contre le mur. Je risque de passer plus de temps… Empalée sur ta queue… Qu’à côté… »
Son souffle est vite court, entrecoupé de soupirs et de gémissements. D’un geste presque inconscient, elle plie un index et la cabine se retrouve isolée, le son ne franchissant pas le rideau ou les murs légers. Elle tient à garder son colosse pour elle toute seule et ne pas voir défiler d’autres vendeuses curieuses. Une seule est bien suffisante.
« Oh, Sugar, oui ! Plus fort ! Supplie-t-elle alors qu’il vient la coincer complètement, bloquant ses poignets et ses reins pour venir la ravager avec ardeur. Aaah, oui ! Randal ! Casse-moi les reins, s’exclame-t-elle crûment sans honte. »
Et elle ne se prive pas pour vocaliser toute son appréciation alors qu’elle ferme les yeux et laisse les délicieuses sensations de se sentir ainsi remplie, ainsi dévastée, s’exprimer au travers de ses lèvres.
Bien entendu, après toute cette excitation à le presser entre ses seins et le sucer voracement, la sorcière est déjà aussi incandescente qu’après plusieurs minutes de ramonage en règle. Elle ne va pas tarder à comprimer l’homme dans ses chairs trempées, à l’inonder de son plaisir poisseux. Et quand il vient mordiller son oreille, son cou, Céleste perd la tête. Elle la penche, pour lui offrir plus d’accès, alors qu’elle laisse échapper le prénom du mâle dans un cri rauque. Elle se sent partir, ses reins se contractant autour du mandrin qui l’empale et qui la ravage.
Elle oublie qu’ils sont dans une simple cabine d’essayage et qu’une vendeuse les filme alors qu’ils s’abandonnent à leurs pulsions sexuelles. Elle n’a même plus consciente des gémissements, des suppliques et des cris qui passent la barrière de ses lèvres. Tout ce qu’elle reconnaît, c’est cette chaleur embrase son corps. Ses ongles griffent le mur au point d’écailler la peinture et de laisser des traces dans le matériel peu solide. Elle voit des étoiles, elle ne sait plus si elle respire ou si l’orgasme lui a coupé le souffle. L’immortelle ne fait que profiter de l’instant sans regrets, certaine que ça se reproduira encore souvent pendant ces quelques jours qu’elle va passer sur Terre.
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Chaque réaction de son corps. Chaque rugissement de plaisr. Tout est bon pour encourager cet homme possédé par son désir d'y aller encore plus fort alors qu'il n'avait aucun besoin de toutes ces choses pour se donner à 200%. Sa bouche collée à la peau délicate et offerte de sa nuque pour l'embrasser et la mordiller quand il s'amuse à ralentir le rythme très légèrement afin de faire onduler son bassin pour la prendre avec puissance. Allant jusqu'à soulever son corps si léger de quelques centimètres dans la foulée.
- Tu auras droit à ça tous les jours. Ma bite va ravager ta chatte... encore et encore... Jusqu'à ce que la sensation s'imprime dans ton corps et ton esprit.
Et Dragunov est un homme pour qui la parole et la réputation sont presque aussi importantes que sa vie. La belle sorcière peut donc s'attendre à vivre un passage sur Terre mouvementé. De nombreuses surprises vont l'attendre sur leur route pour fêter la fameuse fête des morts qu'est Halloween.
Pour la faire patienter il continue de la culbuter comme elle semble si bien l'aimer en l'écrasant encore un peu plus contre ce mur en venant appuyer son torse sur son dos. Ses mains s'ouvrent pour plaquer celles de sa proie dont il revient soupier dans les oreilles. Chaque gémissement est accompagné d'un coup de rein.
Au rythme où vont les choses elle risque de jouir la première. C'est de sa faute aussi à lui demander de remettre le couvert juste après avoir éjaculé de cette manière. Un second orgasme va demander plus d'effort et de temps que le premier.
Elle a beau le comprimer et jouir sur sa queue cela ne l'arrête pas. Pire, il ne ralentit pas du tout. Cette pression il y est habitué et c'est presque par esprit de compétition qu'il repousse avec vigueur et puissance les parois de cette chatte trempée qui cherche à l'étouffer de l'intérieur. Elle voulait qu'il s'occupe d'elle après tout. Autant le laisser faire et profiter comme il a pu la laisser guider les débats quand elle le suçait.
Son rôle de mâle est simple : combler de plaisir la femme devant lui. La faire trembler. La faire couiner de plaisir. La faire jouir aussi fort et souvent que possible tant que son corps à lui le permet.
Les gestes suivants ne font que confirmer son envie de la posséder. Il l'attire avec lui en arrière loin de ce mur et tient une main sur son ventre alors que l'autre prend possession de sa gorge en serrant légèrement dessus. Cette position est logiquement moins propice à une pénétration fluide vu qu'ils sont debout et pourtant il retrouve rapidement le rythme.
- C'est plus fort que moi. T'entendre gémir me donne envie de te baiser encore plus fort. Comme... CA !
Les hanches de Dragunov poussent si fort qu'il soulève une nouvelle fois le corps de sa partenaire dans son mouvement. Qu'elle jouisse. Encore et encore. Jusqu'à se sentir enfin satisfaite vu qu'il en aura encore pour quelques minutes avant de se vider de nouveau en elle.
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Inutile de dire que l'un des défauts de la sorcière était qu'elle en redemandait toujours plus. De l'or, du pouvoir… du sexe. Aussi n'était-il pas étonnant de savoir que même alors qu'elle était aux prises avec sa jouissance, son corps en demandait toujours plus.
Plaquée contre Randal, la gorge prisonnière de l'étau de sa large main, la brune se trémoussait sur le sexe qui la ravageait. Elle s'agitait tant et si bien que, lorsqu'un mouvement ample de l’homme le fit se retirer de sa chatte ruinée, elle bougea juste assez pour qu'il revienne et se retrouve à forcer les portes de son antre anale.
« Oh oui, putain, oui ! Cria l'immortelle alors que la douleur d'une entrée non préparée épiçait le plaisir qui rendait ses sens confus. »
Et l'indécente sorcière se tortilla de plus belle contre son amant pour qu'il force son passage et s'y emboîte jusqu’à la garde. La vendeuse, filmant toujours, lâcha un « C'est. Pas. Vrai. » alors qu'elle s'agenouillait pour filmer le mandrin épais du colosse déformer la rondelle serrée de la brune. Elle ajusta l'angle pour non seulement capturer l'acte obscène mais pour avoir aussi les visages des deux protagonistes dans l'objectif, saisir leurs expressions de contentement, de plaisir ravageur.
Elle n'en croyait pas ses yeux, songeant que ce film pourrait faire fureur sur les réseaux pornographiques. Elle imaginait déjà le titre : Gros mandrin détruisant la rondelle d'une nymphomane. Ou quelque chose dans ce goût-là, pour attirer l'attention de ceux qui aimaient voir du sexe hard et sale.
Céleste, loin de ces considérations qu’entretenait la blonde, avait les yeux qui se révulsaient tandis que le plaisir se décuplait durant cette sodomie intempestive. Mais elle entendait bien se faire remplir le cul autant qu’il lui avait rempli la chatte et la gorge juste avant. Et elle donnait tout ce qu’elle avait, ses reins s’arquant alors qu’elle pose les pieds contre la paroi de la cabine pour s’aider dans ses mouvements, ses mains s’arrimant à la nuque du colosse pour lui libérer assez de liberté de mouvement afin de la pilonner sans merci.
« Aaah, Sugar, oui ! Plus fort, plus… Aaah ! Ravage-moi ! Et remplis-moi ! »
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Si elle veut se faire déformer le cul alors elle est tombée sur le client parfait. Les images de leur précédente baise lui sont restés dans l'esprit durant jours. Et si il avait dû choisir un moment plus marquant que les autres cela aurait été le fait de lui déformer l'anus à coups de bite répétés. Peut-être parce que c'est une pratique peu pour diverses raisons allant d'un choix d'une partenaire au risque de voir les plus téméraires regretter amèrement leur choix plus tard.
Tout l'opposé de Céleste qui peut encaisser tout ce qui rentre dans son orifice en le suppliant d'y aller plus fort et plus vite. En sa compagnie le sexe doit être sale, sauvage et possiblement sans réelle limite. L'occasion de tester celles-ci n'est pas encore venue, mais nul doute que cela finira par arriver d'ici à la fin de leurs vacances. Cette perspective réjouit déjà celui qui commence à avoir d'horribles et perverses idées en tête alors qu'il a un cul à casser.
- Comme ça ? Tu veux que je te traite comme une vulgaire pute ? Hmmmm ? Je te baise assez fort là ? Tu me sens ouvrir ton petit cul avec ma queue ?
Il n'y a que dans les pornos, pros ou amateurs, qu'on s'imagine voir une femme en demander encore. Quoique, la chose est parfaitement possible. Mais supplier de se faire enculer sauvagement après avoir offert sa bouche pour un semi bukkake c'est complètement fou. N'importe quelle personne dotée d'un minimum de bon sens s'imagine voir débarquer quelqu'un crier "caméra cachée" ou une bêtise du genre. Cette scène est d'une folie sans nom.
La main sur le ventre de Céleste pour lui saisir un sein avec poigne alors que l'autre renforce son emprise sur sa gorge pour la presser encore un peu plus. Vu de l'extérieur on a l'impression que l'imposant mâle cherche à montrer toute sa possessivité à son égard à travers ses coups de rein ou la façon de la tenir entre ses grosses mains aux doigts épais.
Sauf qu'au bout du compte Randal Dragunov reste un homme. Un être mortel dont le corps fonctionne tout un chacun si on met de côté ses mutations dont il ne s'est encore pas servi une seule fois pour faire grimper son amante aux rideaux. Et comme tous les hommes qui baisent une chaudasse sont les couinements forment une mélodie proche de celle d'une sirène, il arrive un moment où le barrage ne pourra plus tenir ses envies.
Avec sa bouche il revient lui mordiller l'épaule en écrasant son sein qui se déforme sous ses doigts. Il fait durer la chose aussi longtemps qu'il peut en titillant aussi sa pointe dresser. Et quand ses lèvres ne sont pas collées à la peau d'ébène de la sorcière c'est pour lui balancer les trucs les plus dégueulasses qui lui passent par l'esprit.
Une nouvelle fois son corps se crispe, accompagné de son éjaculation. Le dernier coup de rein soulève complètement le corps de sa proie dont les pieds s'éloignent rapidement du sol. On dirait presque qu'il tente de l'étrangler en la privant de toute possibilité de mouvement. En même temps elle ne pèse pas bien lourd comparée à lui. Tout les oppose, physiquement parlant.
- Urrrggggh ! Ce putain... de... cul ! Je vais le déformer et... le remplir.
Comme il fallait s'y attendre sa jouissance est moins généreuse que tout à l'heure. L'inverse aurait été problématique. Cela n'empêche pas sa hampe épaisse de pulser fort dans ce rectum pour l'écarteler alors que le gland en tapissé l'intérieur de sauce blanche et chaude. Ses propres hanches convulsent en même temps que sa bite libère un jet de sperme. Idem pour ses mains qui compriment son sein et sa gorge. Le tout dans un rythme synchronisé.
Les secondes filent sous les soupirs de fatigue et de plaisir du couple. Ce n'est qu'une fois le dernier jet libéré dans son petit cul, qui ne l'est plus autant qu'à leur arrivée, que Randal la libère pour la voir tomber à même le sol. Espérant que ça la garde satisfaite pour quelques heures.
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« Aaah, Sugar, oui ! Répond la sorcière aux prises avec les vagues de plaisir qui ne perdent pas en intensité malgré l’orgasme qu’elle venait d’avoir. Si… Si bon, aaah ! »
Elle ne parvient plus à articuler grand-chose, certes. Si ce n’est des encouragements pour le colosse qui la possède aussi totalement. Qui la ravage sans douceur, juste comme elle aime. L’immortelle peut être plutôt extrême, dans ses goûts, et il semble qu’elle a trouvé le partenaire parfait pour les exploiter.
Les yeux clos, elle ne peut que réagir à chaque coup de butoir qui l’ouvre un peu plus. Elle ne peut que gémir et soupirer, malgré la main qui compresse sa gorge, alors que la sensation de l’air qui se raréfie dans ses poumons la fait mouiller de plus belle. La vendeuse, si elle n’est pas traumatisée, aura des souvenirs intenses de cette journée.
Incapable de dire combien de temps a passé depuis qu’il a investi son cul, Céleste est perdue, noyée, dans les sensations divines qui submerge son corps et son cerveau. Mais, alors qu’elle le sent finalement honorer de plus belle sa promesse de la remplir, c’est l’étincelle qui fait repartir le brasier. Et le corps souple de la sorcière, martyrisé comme il est pour son plus grand bonheur, se contracte une nouvelle fois comme il peut autour de cette trique qui la dévaste. Inutile de dire que la belle aura perdu le compte du nombre d’orgasmes procurés par son amant durant ce séjour qui vient à peine de démarrer. Il lui est impossible de réfléchir clairement et elle se contente de subir -de se délecter de- la façon dont il la ruine encore une fois.
« Aaah, Sugar… Randal… Souffle-t-elle alors qu’il la libère. »
Engourdie, les membres lourds et malhabiles comme toujours après une session de sexe intense, l’indécente brune ne peut tenir debout et se retrouve presque à quatre patte sur le sol, à peine maintenue par ses bras venus s’agripper au banc. La vidéo toujours en cours filme avec perfection son corps luisant de sueur, de foutre et de cyprine. La blonde prend bien soin de viser l’expression d’extase que l’immortelle arbore avant de tourner le téléphone vers le colosse au souffle court. Elle le filme tandis qu’il observe sa partenaire se remettre de ses émotions avant de tourner de nouveau le téléphone vers la rondelle dilatée de la belle qui suinte de sperme poisseux.
« Intense, souffle-t-elle avant de couper la vidéo et de rendre le téléphone au mafieux. Vous feriez fureur sur les sites pornos, tous les deux, complimente-t-elle. »
Elle se relève, son regard allant de la pratiquante vaudou -qui reprends ses esprits- au colosse debout à ses côtés, avant de reculer doucement.
« Je vous laisse vous rhabiller, monsieur, madame ? Et je vais préparer l’encaissement de vos achats ? Est-ce que je met tout dans un seul sac, ou plusieurs »
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Son téléphone à la main qui affiche sur son écran la dernière image enregistrée par la vidéo. L'affirmation de la vendeuse le fait ricaner et le pousse même à imaginer la chose. Est-ce que les gens viendraient le regarder en train de se taper cette bête de sexe si il décide de faire un live pour adultes durant leurs vacances ? A tous les coups oui.
Avant de poser son derrière musclé sur le banc à quelques centimètres de la tête de le sorcière il prend la peine de répondre à la vendeuse.
- Peu importe. Mais on prend tout. Et peut-être qu'on ajoutera 2-3 choses en chemin car tu as fait du bon travail jusqu'au bout.
La jeune femme n'en demande pas plus et s'enfuit rapidement avec tout ce qu'elle peut récupérer dans le panier et au sol. Certains articles ont volés lors de leurs ébats si chauds que Randal n'a pas dû faire gaffe vu qu'il était occupé à autre chose. Cette baise brutale et intense touche presque à sa fin.
- En parlant de travail bien fait, ma queue est sale. Viens la nettoyer que je puisse me rhabiller.
En grand gentleman qu'il est, sa main vient se glisser dans la belle chevelure d'ébène de son amante pour l'attirer plus près de lui afin qu'elle se mette au travail. Quand on s'engage à faire quelque chose il faut aller au bout après tout.
Une fois propre, il se relève et aide la belle à s'installer sur le banc pour souffler alors qu'il s'éloigne pour récupérer leurs vêtements. Il enfile les siens en prenant son temps tout en faisant abstraction de leur état. Un petit tour de magie fera disparaître toute la sueur dont ils sont imbibés le moment venu.
Maintenant que toute la tension sexuelle et l'excitation sont retombés, la climatisation se fait ressentir de manière plus évidente. Ce changement de température est des plus agréables. Randal savoure la chose en levant la tête en direction du plafond tout en laissant ses poumons se remplir d'une bonne bouffée d'air après cette session de sport en plein air.
Quand Céleste sera en état, le couple pourra filer payer ce qu'il a déjà trouvé et en ajouter d'autrs au passage si besoin. Puis ils iront faire une ou deux autres boutiques de vêtements par la suite sans souiller leurs cabines d'essayages cette fois. Sans oublier de prendre un ou deux maillots de bain si l'envie de piquer une tête leur en dit durant leur périple.
Une fois tous ces achats effectués il sera question de visiter un magasin d'électronique pour initier la belle sorcière aux joies de la technologie terrienne. Ce qui risque d'être un poil long.
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La dangereuse brune n’a pas à se forcer pour prendre plaisir à avoir de nouveau la queue du colosse entre ses lèvres. Même s’il ne s’agit que de le nettoyer, elle s’y attèle à cœur joie. Elle regrette un peu de le laisser s’échapper quand c’est fini, cela dit. Mais elle est repue pour le moment, et encore en train de récupérer toutes ses facultés motrices.
Elle souffle, se concentre, et les tâches et autres fluides qui souillaient leurs affaires disparurent dans un claquement de doigt. Un autre, et Randal avait l’air de sortir de la douche. Un troisième, et elle se débarrassa de sa sueur… Mais pas du foutre qui l’emplissait de nouveau.
Quand elle se relève pour finalement enfiler sa robe à nouveau, elle prend bien soin de tourner le dos au mafieux avant de se pencher en avant pour faire mine d’attraper ses chaussures, exposant son fessier bombé mais, surtout, sa rondelle encore dilatée et suintante de sperme.
Avec un sourire satisfait, la belle est enfin rhabillée. Elle glisse un bras sous celui de son amant, comme pour afficher haut et fort qu’il est à elle, et le couple finissent leurs achats dans cette boutique. Les deux autres arrêts qui suivent sont bien plus calmes que celui des sous-vêtements. Céleste ronronne presque alors qu’elle essaie quantité de tenues et que Randal approuve ou non. Elle lui fait absolument confiance, il connaît la mode sur Terre, après tout.
Finalement, ils arrêtent par là pour les fringues. Ils sont déjà alourdis d’une dizaines de sacs, après tout. Entraînant l’homme à sa suite lorsqu’elle aperçoit des toilettes, elle s’assure qu’ils sont hors de vue avant de fixer les sacs d’un air sérieux. Un mouvement de son nez -qui pourrait rappeler une série télévisée bien connue si Céleste ne venait pas de Terra- été les sacs se réduisent. A présent miniaturisés, ils tiennent dans une poche sans indiquer qu’il y aurait autre qu’un paquet de mouchoirs, par exemple.
« Voilà, comme ça, ils ne nous encombreront pas. Je te suis pour la suite de la visite, sourit-elle, satisfaite (et encore rayonnante de leur ébats plus tôt). »
Elle reprend son bras, et il la guide alors vers un magasin empli de ce qu’elle en était venue à appeler des « grimoires qui contiennent d’autres grimoires ». D’abord effarée, elle se rappela ensuite qu’il lui avait juré que son Livre des Ombres n’avait pas été copié et n’était ainsi pas trouvable sur ce qu’il appelait « le net ». Ni même sur le « dark web », quoi que ce soit.
« Oooh, il y a pleins d’appareils semblables à celui que tu as utilisé pour capturer nos ébats tout à l’heure !, s’extasie-t-elle en se penchant sur une vitrine.
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C'est face à la devanture d'une boutique d'appareils électroniques en tous genres que se trouve cette fois le couple. On peut y trouver un peu de tout car il s'agit d'une chaîne possédant des magasins franchisés dans tous les états sans exception. Un sourire s'échappe naturellement du visage de Randal quand il remarque qu'une femme, à l'apparence guindée, met la main devant sa bouche de manière offusquée en entendant la remarque de Céleste sur l'utilisation des téléphones portables.
- On peut faire tout un tas de choses avec. Par contre, la majorité d'entre elles ne fonctionneront que sur Terre. On aura tout le temps de revenir dessus dans la journée. Allons déjà à l'intérieur.
Un vendeur arbore un immense sourire en voyant ce qu'il considère logiquement comme une créature de rêve entrer dans la boutique. Pour ensuite se figer un bref instant quand il remarque que celle-ci est accompagnée par un mastodonte qui pourrait le transformer en rubik's cube à la moindre remarque qui ne lui plairait pas. Son professionnalisme prend toutefois les devants en leur demandant ce qui pourrait les intéresser.
- Bonjour ! Puis-je vous aider ?
- Bonjour. Oui, je cherche un modèle simple pour ma partenaire.
- Bien sûr, bien sûr. Quelque chose de précis ? Plus Androïd, Apple ?
- Je dirais... un modèle simple à prendre en main. Voyez-vous, elle vient de loin et il s'agit de son premier smartphone.
Le vendeur qui s'était abondamment rincé l’œil en la regardant entrer se transforme en un technicien sérieux et plongé dans son rôle plutôt que dans le décolleté de la belle. Pendant une bonne dizaine de minutes il échange avec le couple tout en présentant chaque argument et inconvénient en fonction des modèles. Comme avec la vendeuse de sous-vêtements, ses yeux se sont mis à briller légèrement quand il a entendu les mots "aucune limite de budget" ou encore "on prendra ensuite deux tablettes et des accessoires."
Pourtant les gens du coin sont réputés pour acheter toutes les bêtises à la mode qui sortent. Qu'il s'agisse d'un nouveau téléphone qui a perdu 3cm et dont il faut racheter chargeurs et protections. Ou la dernière robe, le dernier jeu vidéo d'une licence qui ne fait que recycler le contenu en changeant son titre. L'argent devrait couler à flot dans les caisses de ce type de magasin. A croire qu'on n'en gagne jamais assez.
A un moment donné Randal s'est demandé dans sa tête si un objet électronique peut aussi rapetisser comme les sacs de sous-vêtements achetés et rester fonctionnel en lui rendant sa taille normale. Un objet magique capable de modifier des marchandises de la sorte pourrait lui rendre d'énormes services dans son métier. Ou dans des situations problématiques quand il faut dissimuler une arme lors d'un échange.
Après mûres réflexions, le mafieux décide de proposer un portable coréen qui peut se plier comme les anciens téléphones à clapet à son amante pour ensuite sélectionner 2 tablettes, une perche pour des selfies, des chargeurs, des coques de protections, une sacoche et d'autres babioles. Il laisse d'ailleurs Céleste choisir certains des accessoires même si elle ne gardera sûrement le téléphone que lors de ses vacances sur Terre. Au pire elle pourra s'en servir à chacune de ses prochaines visites.
Les achats bouclés, le couple peut aller se poser dans un coin du centre commercial pour déballer, configurer et essayer le nouveau, et premier, smartphone de la belle.
- Si on allait se poser à un stand pour que je te montre comment on s'en sert ?
Cette démonstration restera simple de toute manière. Comment l'allumer, le verrouiller, utiliser les applications de base comme la météo et autre. Internet et les applications passeront après.
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La technologie était un vrai mystère pour la belle sorcière. Si elle pouvait vaguement s’en servir quand Randal le montrait comment faire, elle ignorait tout du pourquoi et du comment ces objets fonctionnaient. Elle n’était même pas forcément certaine de leur utilité. Jusqu’à présent, l’immortelle pouvait citer un sort ou un rituel obtenant le même résultat. Mais peut-être que, pour ses déplacements sur la Terre, ce serait utile.
Après avoir poliment remercié le vendeur, la brune glissa de nouveau son bras sous celui de Randal et le laissa la guider jusqu’à un petit banc adossé à une fontaine. Et la sorcière n’essaya même pas d’entraîner son amant dans un coin moins fréquenté pour le pousser à venir la remplir encore une fois. Il faut dire qu’ils devaient tous les deux être encore assez rassasié pour reporter leurs étreintes à plus tard.
Concentrée, Céleste écouta avec attention ce que lui disait le mafieux. Elle mémorisait ce qu’il lui apprenait, déterminée à ne pas se trouver démunie avec cette petite chose technologique. Et quand la leçon fut terminée, que la cruelle sorcière fut certaine d’avoir retenu l’essentiel, elle lui proposa alors d’aller manger.
Dehors, quand ils sortirent du magasin, le soleil avait traversé le ciel. Il était proche de l’horizon à présent. Pas encore un coucher de soleil, mais elle ne doutait pas que d’ici une heure le ciel se parerait de lueurs dorées, rosées et orangées. Le colosse l’emmena manger une pizza pour lui faire découvrir ce met globalement connu sur Terre. Il lui en a choisi une classique, parce que la brune avait les sourcils qui s’arquait tellement en lisant toutes les déclinaisons du plat qu’il avait probablement craint qu’ils ne disparaissent dans sa crinière brune.
« Eh bien, Sugar, ce fut ma foi délicieux ! Soupira Céleste en s’étirant sur sa chaise après avoir fini sa part. Dis-moi… Qu’est-ce que ces jeunes veulent dirent quand ils parlent « d’aller faire un barathon » ? C’est que ça à l’air intéressant. Surtout s’il y a plein d’alcools différents comme ils ont l’air de dire… »
La brune désigna le groupe de jeunes bruyant qui s’étaient installés à quelques tables d’eux. Elle avait le regard brillant, curieuse de goûter aux alcools proposés. Et s’il y avait de la musique pour danser en plus, et des endroits où s’envoyer en l’air sans forcément quitter la soirée, alors elle était plus que partante !
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Tout ce qui lui apprend Randal sur l'utilisation du smartphone devrait plus servir à des concepts récréatifs que vraiment utiles étant donné qu'elle ne va pouvoir s'en servir que quelques jours seulement. Cela reste cependant utile si jamais elle doit se faire passer pour une habitante de cette planète vu que personne ne vie sans un de ces objets aujourd'hui. Plusieurs précautions valent mieux qu'une comme on a l'habitude de dire. Et peut-être même qu'elle trouvera un moyen d'utiliser son portable de manière ludique en l'associant à ses loisirs habituels.
Le couple décide ensuite de passer un peu de temps à flâner dans les boutiques jusqu'à ce que l'heure du dîner arrive. C'est en terminant ce fameux repas que Céleste demande de quoi parle un groupe de jeunes tout juste dans la vingtaine qui se motivait pour passer une soirée ambiancé.
- C'est un autre terme pour faire la tournée des bars.
Sur Terra il n'y a que dans les grosses métropoles qu'on peut trouver plusieurs bars ou tavernes. La majorité du temps les établissements se comptent sur les doigts d'une main et on en fait rapidement le tour. Ici, sur Terre, le divertissement est devenu un loisir aussi vital que de se nourrir. Les gens sont devenus incapables de vivre sans. Et ce soir, Céleste va découvrir comment les gens qui ont baignés dans la technologie peuvent s'amuser et faire tomber leur QI dans le négatif à force de picoler.
- Tu sais quoi ? On va faire un saut à la villa pour poser nos affaires, puis on ira faire la tournée des bars ensemble jusqu'au petit matin.
De retour à la villa, Randal récupère les affaires qu'ils ont achetés et les range dans un petit coffre en ne laissant dehors que le portable, rechargé, de Céleste pour qu'elle s'habitue à l'avoir sur elle. La chose terminée, il vire ses fringues en quelques secondes histoire de prendre une douche rapide pour se revigorer. Puis... même si les sorts de la sorcière sont parfaits, rien ne vaut la sensation de l'eau sur la peau pour se sentir propre.
- On peut y aller ensemble si tu promets de bien te tenir. Garde ton énergie pour ce soir car tu en auras besoin.
A part quelques galoches et un peu d'aide pour la savonner, ils ressortent tous les deux pour se rhabiller. De son côté, le mafieux enfile une tenue plus classe que la précédente. Le short est abandonné pour un pantalon noir qui doit valoir à lui seul le salaire du personnel complet des bars qu'il va visiter. Pour le haut, une simple chemise, une chaîne en or et des lunettes de soleil pour le côté mystérieux feront l'affaire. Son choix de tenue n'aura pris que quelques secondes alors qu'il confie à sa moitié du moment.
- Voilà, je suis prêt. On peut y aller quand tu veux.
A l'instant où son regard se pose sur la sorcière, il se met à siffler sans le faire exprès. Qui n'en aurait pas fait autant devant ce spectacle ? Céleste est toujours aussi classe et sexy, peu importe ce qu'elle porte. Mais ce soir elle va en faire band-... rêver plus d'un.
- Tu es absolument parfaite. Essaie de ne pas provoquer d'émeutes si possible.
La main droite du mafieux se pose sur le menton de la belle pour le relever un peu alors qu'il l'a regarde dans les yeux avec un grand sourire. Puis il effectue un pas en arrière en lui proposant son bras comme un gentlemen comme si le couple allait rejoindre un restaurant haut de gamme alors qu'ils vont juste se souler la gueule, danser et faire des trucs peu catholiques.
Sur leur chemin ils peuvent entendre les vrombissements de voitures par dizaines ainsi que les fêtards qui commencent à se faire entendre. Toutes les personnes qui fréquentaient les même endroits dans la journée sont rentrées chez elle pour laisser la place à un autre type de population. Cela se remarque autant par leur façon de se tenir que par leurs tenues.
Homme comme femmes portent des vêtements plus légers, plus colorés et souvent plus sexy sans craindre d'attirer l'attention. Ca parle fort, ça crie, ça chante et ça s'interpelle par rues interposées pour se rassembler. A croire que le monde entier a basculé dans un autre univers le temps de leur passage à la villa.
- Si on commençait par là ?
Pour le moment les différents bars, karaokés et établissements du genre se remplissent petit à petit. Et quand le couple arrive à l'entrée, Randal remarque vite que certains des types qui sont restés près de la porte tentent de se frotter à Céleste de façon assez peu discrète. Il ne dit rien et se contente de poser une main ferme sur ce cul parfait sous leurs yeux en leur souriant tout en avançant.
Si certains d'entre eux tournent la tête par dépit, les autres sourient en retour en profitant du spectacle. Après tout ils ont le droit de se rincer l’œil. Peut-être même qu'ils auront le droit de toucher plus tard si ils arrivent à se tenir et si ils sont au goût de la belle sorcière qui n'a pas besoin d'aide pour se défendre face à de simples humains. Les pauvres ne savent pas dans quoi ils s'embarquent.
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Après être rentrée avec Randal et avoir pris une douche -qui aurait pu être plis agréable, mais qui aurait pris du temps- bien méritée, la sorcière avait déballé leurs achats sur le lit. Pendant que l’homme s'habillait, elle choisissait sa tenue. Le voyant prêt, elle le pousse hors de la chambre, lui promettant d'être prête sous peu mais tenant à lui faire la surprise de la tenue. Même s'il était avec elle quand ils les avaient achetés, il y avait tout de même une belle quantité de vêtements.
Elle ne prit pas longtemps pour enfiler ce qu'elle avait choisi et bientôt, Céleste sortit de la chambre avec un sourire satisfait. Elle portait un crop-top en cuir synthétique noir, une mini-jupe du même acabit avec une petite culotte de dentelle noire. Une veste en jean blanc avec des boutons dorés, ouverte, habillait ses épaules et une paire de cuissardes noires soulignait ses longues jambes fuselées. Sa crinière restait sauvage et indomptable, cascadant dans son dos et s'arrêtant sous ses omoplates. Enfin, quelques bijoux venant de son coffre métaphysique personnel ornaient ses oreilles et son cou.
(https://www.aht.li/3945055/Celeste-Randal.png)
Radieuse, l'implacable sorcière glissa son bras sous celui du colosse alors qu'ils ressortaient. Ses yeux curieux découvrent la différence entre le jour et la nuit. Elle apprécie un peu plus l'ambiance plus légère, la musique qu'on peut entendre de la rue ou encore les tenues portées par les gens. Suivant son amant, la belle décoche un sourire amusé au groupe qui avait tenté de se rapprocher un peu trop.
Tandis que la main du colosse se calait contre sa croupe, Céleste glissait son bras autour de la taille masculine, collant sa poitrine gainée de cuir contre le flanc dévoilé. Les talons des cuissardes la grandissait, mais pas au point d'être à la même hauteur que lui.
Finalement, après un regard appréciateur du videur sur ses courbes dévoilées, le couple entre et s'installe au bar pour commander. La brune fait confiance au mafieux pour choisir sa boisson tandis que ses hanches ondulent au rythme de la musique. Elle le remercie quand il lui tend son verre, une main glissée contre sa nuque le poussant à pencher la tête pour qu'elle puisse l'embrasser (et marquer son territoire auprès des minettes reluquant Randal d'un air un peu trop intéressé.
« C'est pas vrai ! C'est eux, les filles ! S'exclame une voix familière aux oreilles de l'immortelle. »
Derrière elle, la vendeuse du magasin de lingerie. Elle était accompagnée de trois amies et semblait leur avoir raconté son aventure dingue avec des clients « tellement excités qu'ils le faisaient dans la cabine d'essayage ».
« Ravie de vous revoir, monsieur, gloussa la vendeuse tandis que la sorcière montrait presque les dents avec son sourire faussement aimable. »
Bien entendu, elle ne comprenait toujours rien de ce que disait la vendeuse, mais ça ne l'empêchait pas de comprendre le langage corporel des jeunes femmes devant elle.
Trop intéressée à son goût.
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En arrivant au niveau du comptoir, Randal commande deux cocktails populaires qui ne devraient pas avoir de problème à correspondre aux goûts de Céleste maintenant qu'il commence à mieux la connaître personnellement. L'énergie qui règne ici est tellement communicative que le mafieux pourrait se prendre au jeu et effectuer quelques pas de danse en duo.
La chose devra attendre un moment car la belle répond à sa main au panier de tantôt avec un baiser passionné au milieu de cette foule. Ici se rouler des galôches ou se tripoter en public n'a rien de choquant et personne ne va s'en offusquer. Les gens vont plutôt se rincer l'oeil, reproduire la chose dans leur coin ou en profiter pour se lancer des défis dans le cas des personnes les plus téméraires.
Randal est aussi surpris qu'amusé de voir la vendeuse de la boutique de sous-vêtement se trouver face à lui avec deux de ses amies. Le trio en question est évidemment habillé pour faire la fête et rentrer accompagnée chacune de leur côté. Ou en groupe si c'est le genre de choses qu'elles font. Les moeurs sont plus ouvertes chez les jeunes de cette ville après tout.
- Ha ha, bonsoir mesdemoiselles. Inutile de m'appeler monsieur dehors. On peut se tutoyer, c'est ce que tout le monde fait ici, non ?
Qu'elles étaient les chances pour que cette femme en particulier recroise leur chemin le même jour alors qu'il y a des dizaines d'endroits où sortir dans cette ville ? Le destin semble leur jouer un tour des plus étranges. Ou est-ce une opportunité pour rendre leur soirée plus croustillante et stimulante que le mafieux l'avait déjà prévu initialement.
- Et à en juger par ta réaction, ainsi que par les regards de tes amies, tu leur as déjà raconté ce qui s'est passé plus tôt.
Tout mâle qu'il est, la curiosité de Randal prend le dessus et il ne peut s'empêcher de reluquer les trois jeunes femmes qui ne devraient avoir aucun problème à séduire les hommes de leur choix pour repartir avec si elles le souhaitent. Ce qui le surprend c'est le fait qu'elles ne soient aucunement gênées de tomber nez-à-nez avec l'homme qui a poussé leur copine à faire des trucs aussi fous à son boulot. Pire... Elles semblent presque curieuses d'en savoir, ou d'en voir plus.
Son bras puissant se lève pour interpeller le barman qui revient le voir après avoir servi une cliente un peu plus loin.
- Les consommations de ces demoiselles sont pour moi.
Son ego gonflé à bloc en étant entouré de toutes ces belles femmes, il leur sourit avec un air confiant. Ici personne n'est là pour juger ou jalouser autrui car tout le monde à le même objectif : s'amuser.
- Vous pouvez commander ce que vous voulez sans aucune contrepartie. Après, si vous voulez nous rejoindre sur la piste de danse... ou ailleurs, c'est à vous de voir. La soirée va être longue et nous comptons profiter de chaque seconde jusqu'au petit matin. Et mon petit doigt me dit que cette idée vous fait envie.
Son échange terminé avec les trois jeunes femmes, Randal se tourne vers Céleste et approche son visage du sien. Le baiser qu'il échange avec elle est plus baveux et provocateur que le précédent pour prouver qu'aucun d'eux n'est gêné par le fait de se montrer en spectacle. Lorsque leurs lèvres se séparent, un long et épais filet de salive s'étend pour se briser sous le regard excité et envieux du trio.
Randal en profite pour s'approcher de l'oreille de Céleste et lui expliquer qu'il leur a offert des boissons pour l'affaire du magasin et qu'il voulait que la sorcière l'accompagne sur la piste de danse dès qu'elle en aura envie.
La vendeuse (https://mega.nz/file/oGNi0KhB#SJASRhVcbgNypFP7ANInDWq7YKHeiqF4Oq_ARwJilaE) | Amie 1 (https://mega.nz/file/hCciwToS#UZXc1zuWBl28DWclbiKUwj36Gn4Nh781xrtheAl5bIc) | Amie 2 (https://mega.nz/file/cDNQlS4L#DbEO183ZSI91f764HDtWPrdjJfct3ZCEz33aqopycZw)
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Si la vendeuse blonde et ses amies étaient venues dans ce bar, c'était pas pure coïncidence. En revanche, si elles s'étaient approchées de Randal et Céleste, c'était dans l’espoir d'avoir accès à la vidéo. Pour la vendeuse, afin d'avoir un souvenir de cette journée mémorable (et de cette vente absolument indécente). Pour ses amies, c’était pour voir si l'homme était aussi bien monté qu’elle le disait. Pour voir si la sorcière l'avait aussi facilement prise dans le cul que ce qu'elle avait raconté. Peut-être aussi pour goûter à ce fruit défendu.
Elles n’avaient pas eu l'occasion de demander s'il était enclin à partager la vidéo. Mais elles avaient gagné à boire à l’œil, et une invitation à rejoindre le couple dans leurs projets pour la soirée. Si elles se réjouissaient de l'alcool qui allait couler à flot, et qu'elles bavaient presque d'envie à l’idée de goûter aux genres de festivités promises par le grand gaillard, elles se méfiaient cependant du regard sombre de sa compagne.
La sorcière les étudiait en effet avec attention, les sourcils froncés, comme si elle se demandait quels ingrédients elle pourrait recueillir de leurs corps encore chauds mais dépourvu de la moindre étincelle de vie. La belle immortelle n'offrait aucune chaleur face aux jeunes femmes. Elle n'en était pas non plus à les fusiller du regards. Mais elle faisait clairement comprendre qu'elle n'était partageuse qu'avec modération.
Et si elle profita du fait que son amant l'embrasse sans pudeur ensuite pour marquer son territoire clairement en griffant la nuque de l'homme de ses ongles longs mais dépourvus de tout ornements… C'était son affaire. Les minettes étaient mises en gardes.
Céleste sourit doucement aux mots qu'il lui glissa à l'oreille. Elle prit une grande gorgée de son cocktail, l'appréciant au plus haut point à en juger par la manière dont ses sourcils se haussèrent, et le reposa sur le comptoir.
« Allons-y sans tarder, Sugar, susurra-t-elle à son oreille après avoir passé une main contre sa joue pour lui faire pencher la tête. De quel genre de danse parles-t-on ? Rituelles ? Festives ? Certainement pas formelles, vu l'attitude des gens… »
La territoriale brune agrippa une main du colosse et l'entraîna avec elle vers les gens qui se massaient plus loin, roulant volontairement des hanches pour que Randal puisse admirer sa croupe gainée du cuir synthétique. Il ne serait pas le seul, d'ailleurs. Outre les minettes qui allaient boire aux frais du mafieux, les regards sur sa silhouette n'étaient pas rares.
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La langue de l'imposant personnage vient humidifier ses propres lèvres dans un sourire pervers alors qu'il admire le déhanché qui lui est offert tout en accompagnant la détentrice de ce cul si parfait sur la piste de danse. Juste avant il lui avait répondu en affirmant que dans ce type de lieu il n'y a aucune restriction, aucun comportement à suivre ou bonne pensée à laquelle se conformer. Les gens sont libres de faire ce qu'ils veulent sans craindre les regards des autres ou l'intervention de la police qui a mieux à faire ailleurs.
Danser n'est pas un loisir auquel s’adonne régulièrement Randal et cela se voit très rapidement car il se contente d'effectuer des gestes compacts et concentrés sur la silhouette de la somptueuse sorcière qui attire toute la lumière de la piste à elle toute seule.
Contrairement à une boite de nuit, la musique n'est pas suffisamment fort pour empêcher les gens de s'entendre. Même si pour le moment les mains larges du mafieux parlent plus que sa bouche quand elles viennent se poser sur les hanches de Céleste avec qui il remue en rythme sous les basses lourdes qui font danser pas mal de monde. On entend des rires, des gens se dire des cochonneries, soupirer dans des contacts plus rapprochés.
Après avoir passe une bonne dizaine de minutes à suivre les mouvements de sa partenaire, le temps semble être venu de renouer un contact plus direct entre eux visiblement. Tenant sa main avec la sienne, il l'a fait tourner doucement pour ensuite verrouiller la position une fois qu'elle lui tourne le dos.
D'un geste habile il parvient à repousser son épaisse tignasse tout en la gardant fermement contre lui pour initier une espèce de danse lascive plus érotique qu'autre chose. Son bassin se met à onduler tout en se frottant contre la courte jupe en cuir qui a du mal à ne pas se plisser et remonter à l'insu de son plein gré.
C'est ensuite au tour de sa bouche de venir embrasser l'épaule dénudée et offerte à plusieurs reprises. Lentement. Très lentement. Jusqu'à venir rejoindre sa nuque parfumée qu'il va même renifler au passage sans la moindre gêne.
- Alors, comment tu trouves ta première journée sur Terre jusque là ?
Randal laisse échapper quelques sourires et se laisse même aller jusqu'à ricaner en l'écoutant tout en continuant de l'embrasser et de se frotter à elle. Une main est posée sur sa hanche et l'autre sur son ventre délicat en faisant mine de remonter pour jouer avec sa poitrine sans aller au bout de la manœuvre. Ce qu'il veut pour le moment c'est jouer et faire durer le plaisir. De toute manière il a bien précisé que la soirée risquait d'être longue et que son objectif est d'en profiter sans se précipiter.
C'est alors que la vendeuse et son amie rousse (https://mega.nz/file/cDNQlS4L#DbEO183ZSI91f764HDtWPrdjJfct3ZCEz33aqopycZw) décident de rejoindre le couple en remerciant le bienfaiteur de la première pour sa nouvelle preuve de générosité. Les deux membres du couple sont d'ailleurs surpris de voir que les deux jeunes femmes avaient de l'avance sur eux en terme de consommation d'alcool. A peine sont elles à distance que leurs corps commence à s'adapter au rythme du duo qu'elles ont rejoint et leurs mains se mettent à l’œuvre... sur le corps voluptueux de Céleste.
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Si l'immortelle a l'habitude des danses rituelles ou formelles, elle n'avait jamais vraiment pratiqué ce qu'elle surnommait « les danses récréatives ». Alors son regard observait avec attention les gens autour d'eux, les mouvements qu'ils faisaient et comment ils se tenaient. Elle remarqua rapidement qu’il n'y avait pas vraiment de pas. Alors elle se laissa guider par le colosse et le rythme qui s'infiltrait sous sa peau.
Ses hanches se balançaient tandis qu'elle était presque collée à Randal. Ses bras, dont elle me savait pas vraiment quoi faire, se posèrent contre le torse de l'homme, agrippant légèrement la chemise de ses doigts, jouant parfois avec la chaîne en or autour de son cou.
Un sourire flotte sur ses lippes tandis qu'elle se laisse porter par la musique, par les mains de son amant qui la font ensuite tourner. Elle se fait plus lascive également, cambrant ses reins pour frotter sa croupe contre le bassin mâle. Sa tête se penche sur une épaule, facilitant l'accès à l'autre pour les lèvres de Randal. Déjà, la belle sent les prémices du désir trembler en son sein. De petits soupirs appréciateurs lui échappent, couverts par la musique en grande partie.
« Fascinante, répond la belle en souriant de plus belle. Et déconcertante. Tout est si différent, Sugar ! La magie y est plus puissante, et personne ne l'utilise. Et pourtant, même sans user de magie, il y a tellement de… progrès ? D'innovation ? De technicité ? Je ne saurais trouver le terme exact… »
L’immortelle avait fermé les yeux, profitant des attentions de son amant alors qu'il fait lentement monter le désir. Elle les rouvre soudainement quand des voix féminines se font entendre juste à côté. Peut-être Randal le ressent-il, mais la sorcière se tend légèrement en constatant la présence de la vendeuse et de son amie rouquine. Elle ne comprend toujours rien à leur paroles, et songe qu'il faudrait vraiment qu'elle bosse sur un sort de traduction pour les dialectes de la terre.
Céleste se crispe soudainement quand les mains des deux jeunes femmes viennent découvrir son corps. Son regard se fait menaçant, promettant des tortures aussi alambiquées qu'efficaces si elles continuaient. Mais les jeunettes n'y prêtent pas attention, trop occupées à découvrir avec ravissement les courbes de la sorcière.
Grondant sourdement, la pratiquante vaudou se dégage brusquement, s'éloignant autant de Randal que des demoiselles. Elle se tourne vivement, dardant un regard qui n'augurait rien de bon pour les audacieuses… Avant de se rappeler qu'elle était sur Terre et qu'elle ne pouvait pas faire se putréfier les mains offensantes sans créer la panique et des ennuis. Et puis son amant ne semblait pas rebuté par les jeunes femmes.
« Je vais aller finir mon verre, lui dit-elle en se forçant à calmer les pulsions cruelles qui étaient monté aussi rapidement que pouvait le faire le désir sexuel. Je te laisse t'amuser un peu, tu as l'air… entre de bonnes mains. »
Avec un sourire, elle tourne les talons et se fraye un chemin au travers de la piste de danse qui s'était remplie peu à peu. Elle évita habilement les mains baladeuses -ou foudroyait l'importun du regard- jusqu’à ce qu’elle se retrouve enfin près du bar. Elle se hissa sur un tabouret et retrouva son verre, avant de se tourner vers les danseurs pour voir si elle apercevait le mafieux et les deux jeunes femmes.
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Ce qui n'était qu'une hypothèse tantôt est en train de devenir une évidence. Lorsque la blondinette les avait dérangé dans la cabine d'essayage, Randal pensait que Céleste était surtout énervée ou frustrée de ne pas pouvoir profiter de ce moment entre eux. Mais le mafieux parvient à une toute autre conclusion lorsqu'il sent le corps chaud et guidé par l'excitation de la belle se raidir d'un seul coup quand les deux femmes ont décidé de les rejoindre.
Son sourire et sa remarque en disent long sur son état d'esprit. Avec le temps ils ont tous les deux appris à s'apprivoiser et se connaître. C'est pourquoi Randal sait au fond de lui qu'elle n'ira rien faire d'inconsidéré dans un lieu public. Son pragmatisme prendra toujours le dessus et sa promesse de lui faire passer un moment inoubliable sur Terre prendra toujours le dessus au final.
Et pour ce qui est d'être entre de bonnes mains... Celles des deux jeunes femmes ont vite trouvé un nouveau point de chute. Tout en venant se coller à la montagne de muscles, la blonde attrape une de ses mains pour la faire glisser sur son petit derrière ferme. A en juger par le manque de contact à travers sa jupe au tissu fin, elle doit porter un string.
De son côté la rouquine n'est pas en reste car elle vient écraser son opulente poitrine sur le torse musclé de l'homme face à elle tout en venant l'embrasser en faisant comme si elle voulait l'aider à se sentir mieux.
- Désolée, je ne voulais pas la faire partir. J'espère qu'elle ne nous en veut pas trop. Laisse-moi me rattraper.
La jolie rouquine a pris au pied de la lettre la demande de Randal de ne pas l'appeler monsieur en le tutoyant directement. Ses lèvres sont plus charnues que celles de Céleste. En plus de l'embrasser à pleine bouche elle prend la peine de faire frotter ses seins contre lui en forçant la chose de manière légèrement exagérée. Une prise d'initiative qui ne plaît pas à sa copine.
- Hé, pas cool !
- Bah quoi ? T'as pas dis preum's.
- Ouais, mais quand même.
La blonde prend la place de son amie en se faisant peloter allègrement le cul par l'imposante main rugueuse du mafieux. Ce qui vient investir sa bouche cette fois est moins imposant mais tout aussi stimulant à la vue de sa réaction. Elle ferme les yeux et se laisse emporter dans cette danse buccale baveuse à souhait pour laisser sa copine prendre le relai.
A danser, se frotter, s'embrasser et se coller les uns aux autres, le trio fini par se retrouver dans une position assez particulière. Ce bref moment d'accalmie permet à Randal de retrouver sa partenaire du regard alors qu'elle se trouve au bar à siroter son cocktail sans le lâcher d'une semelle. Même séparés de plusieurs mètres ils sont comme connectés l'un à l'autre. Pourtant le mafieux profite outrageusement de cette rencontre.
Sur sa gauche, la blonde se frotte lascivement contre ses hanches et ses cuisses épaisses pendant qu'il continue de frotter son cul comme si de rien n'était. Et sur sa droite, la rouquine a pris la même position que la sorcière plus tôt. Faisant dos au mafieux, on peut voir depuis le bar quelque chose remuer sous le haut de la belle. Elles sont venus s'offrir à lui et il serait de mauvais goût de les repousser. C'est donc avec une main sur les nichons de l'une et la seconde sur le cul de l'autre qu'il s'amuse à venir les embrasser chacune leur tour sans jamais rompre le contact visuel avec Céleste.
C'est à ce moment que la troisième jeune femme décide d'intervenir pour glisser directement les mains sous la chemise du séduisant personnage. De façon subtile, délicate mais passionnée en se tenant derrière lui. Le voilà pris au piège entre les trois jeunes femmes en chaleur.
L'arrivée de leur amie semble les motiver davantage. Tout en continuant d'échanger leur salive avec l'homme le plus chanceux de la soirée, les deux premières instigatrices glissent chacune une main, en même temps, dans son pantalon pour tâter les dimensions de l'objet de leur désir.
Et à en juger par la réaction de la rouquine dont le visage exprime un mélange de surprise et d'envie, elles sont satisfaites.
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Céleste continue d’observer de loin. Son verre à la main, elle ne paraît pas le moins du monde dérangée que son amant profite de la présence de ces trois créatures déjà enivrées. Si elle est territoriale, elle sait aussi se montrer généreuse. Et ce n’est pas tant pour les jeunes femmes que sa générosité est axée que pour le colosse qui en profite à pleines mains si ses yeux ne la trompent pas.
A côté, un jeune homme tente de la draguer. Il parle, et elle ne comprend rien. Elle ne dit pas un mot, ne quittant pas Randal du regard, alors que son voisin commence à glisser une main sous la veste en jean, caressant son dos exposé par le court crop-top.
« […] Si j’étais toi, ma jolie, je le lâcherais direct ! Et je me vengerais en me tapant tous les mecs du coin ! Tu sais, j’ai quelques amis qui seraient intéressés pour t’aider à te venger. Moi aussi, bien entendu, mais une femme telle que toi… On ne serait pas trop de trois pour rendre ton petit-ami jaloux. En plus, il est en train de peloter trois nanas, alors ça ne serait que justice, tu sais ? […] »
La brune tourne brièvement la tête vers le bar quand elle a fini son verre, ignorant l’homme à ses côtés et la main qui descend dans son dos pour venir palper sa croupe pour l’instant posée sur le tabouret haut. Elle agite son verre, et le barman comprend. En quelques secondes, il a échangé le vide contre un plein, notant le cocktail sur la note de Randal.
En cherchant à revenir observer le mafieux, le regard de la sorcière croise celui du jeune homme qui déploie tout son arsenal de flirt pour la séduire. En vain. L’immortelle ne comprends pas un traître mot de ce qu’il dit. Mais une idée fait son chemin dans sa tête. Elle n’avait, après tout, cessé de penser à ce sortilège de traduction dans recoin de son esprit. Son regard revenant sur le colosse qui est littéralement encerclé, Céleste lui offre un clin d’œil lubrique autant que malicieux. Puis elle revient à ce jeune homme, dont les deux amis se tenaient non loin et l’encourageaient vulgairement.
Sans décrocher un mot, la belle intima au bellâtre de se taire. Un index posé sur ses lèvres pour l’empêcher de prononcer un son, elle boit une longue gorgée du cocktail. Avec un hochement de tête décisif, elle repose le verre et se tourne complètement vers son admirateur. La main dans son dos glisse sur sa hanche avec le mouvement. Assise sur le tabouret, la brune est cependant à peine à la hauteur de son prétendant. Mais ça suffira pour le moment.
Ses doigts viennent encadrer la mâchoire du jeune homme alors que ses prunelles sombres ne quittent pas les yeux noisette. De sa main libre, du bout des ongles, elle vient tracer ce qui pourraient être des arabesques distraites contre le t-shirt moulant de l’homme. En réalité, ce sont des runes. Et quand elle a fini, son esprit peut pénétrer celui de l’insouciant mortel.
Etrangement, même si elle ne parle pas un mot de sa langue, les pensées qu’elle peut entendre son compréhensibles. Elle avait deviné les intentions du jeune homme même sans comprendre ce qu’il disait, ses pensées le confirme. Et un sourire prédateur étire ses lippes alors qu’elle se penche pour venir embrasser sa proie son prétendant. Ses lèvres se font d’abord douces, taquines. Puis sa langue quémande l’entrée, et elle s’enhardit. Bientôt, l’immortelle dévore presque les lèvres du jeune homme, ses dents venant même mordre suffisamment fort pour en tirer une goutte de sang.
Le bellâtre s’écarte d’un coup, choqué par la douleur. Mais son regard s’embrume vite alors que l’esprit de la sorcière parasite ses pensées. Elle lui intime de ramener ses amis, et de l’emmener dans la petite ruelle à côté du bar. Elle implante l’idée qu’ils vont avoir droit à un traitement de roi tandis qu’elle « se venge » de Randal. La goutte de sang que la sorcière garde sur la langue lui permet d’influencer plus durablement l’esprit faible dont elle s’est rendue maîtresse.
Avec un sourire amusé vers le colosse toujours empêtré dans les trois jeunes femmes, Céleste suit le trio qui passe par la porte derrière le bar. Ils semblent être des habitués du lieu, et de ce genre de plan, car le barman se contente de lever les yeux au ciel tandis que le videur leur ouvre même la porte en revenant de sa pause cigarette.
Une fois dehors, la belle pousse l’instigateur de ce plan contre le mur pour venir assaillir ses lèvres de nouveau. Ses mains viennent s’affairer à l’aider à déballer sa virilité tandis qu’un corps vient se coller dans son dos. L’esprit toujours fermement planté dans celui du jeune homme, elle voit par ses yeux que les deux amis la reluquent avec envie et ont déjà sorti leurs queues. Avec un sourire, et une main autour du sexe déjà raide de sa proie, Céleste s’agenouille. Sa croupe gainée de cuir synthétique attire le regard des deux autres et ils manquent l’expression béate de leur ami quand sa queue se fait avaler sans préambule par la tentatrice.
Tandis que son esprit paralyse et formate quelque peu celui du jeune homme, ses ongles s’occupent de griffer ses cuisses, traçant des runes de façon plus durables. Elle le suce, avec appétit qui plus est, mais ne perd pas de vue son objectif. Bientôt, les gouttes de sang qui perlent sont léchées par une langue avide qui a relâché le chibre tressautant, empêchant sa cible d’arriver à l’éjaculation. Elle n’a même pas à se tourner qu’une seconde queue se présente à ses lèvres désœuvrées. Elle répète le même manège, contrôlant beaucoup moins cet esprit neuf dans lequel elle se plonge après s’être assurée de la docilité du premier. Mais ce second jeune homme semble apprécier quand les femmes montrent leurs griffes parce que les runes tracées ne font qu’accélérer le moment où la sorcière doit le relâcher pour qu’il ne vienne pas remplir sa gorge accueillante.
Enfin, c’est au tour du troisième. Cette fois, Céleste s’assure que son regard ne quitte pas le sien pour éviter un rejet de son esprit quand elle commencera à marquer la chair tendre de sa cuisse. Tandis que les deux autres restent dos au mur, la tête rejeté en arrière en se remettant de leurs émotions, elle se focalise sur le dernier. Bientôt, tous les trois sont marqués et au bord de l’orgasme.
Ne perdant pas de temps, l’immortelle attrape les hanches du dernier pour le forcer à s’allonger sur le sol. Prestement, lestement, elle se retrouve à le chevaucher après avoir retiré son sous-vêtement. D’un regard, elle intime au deuxième de venir s’agenouiller derrière elle et de s’installer confortablement. Excitée comme elle l’était par la situation, et par les attentions du mafieux plus tôt, il est facile pour sa proie de venir s’introduire entre ses reins, séparés de la queue de son pote par une fine barrière de chair. Enfin, se redressant, l’exotique sorcière vient capturer le dernier chibre entre ses lèvres, entamant les hostilités d’un coup de rein qui fit grogner les deux fermement plantés en elle.
Ils étaient si près de l’orgasme que la chevauchée ne dure pas. L’indécente immortelle à le plaisir de se retrouvée remplie de chaque côté. Et, tout en avalant goulûment, ses yeux se ferment alors que son esprit s’empare des trois hommes qu’elle vide telle une succube. Dans leurs pensées, ils peuvent entendre un chant rituel entonné de sa voix chaude tandis qu’elle continue d’onduler sur eux, de les traire de la moindre portion de leur foutre. Ses ongles tirent de nouveau du sang, griffant le torse dénudé de celui qu’elle chevauche. Ce n’est pas une partie du rituel, mais la brune n’en a cure.
Son rythme accélère alors qu’elle force mentalement les jeunes hommes à lui donner toujours plus même s’ils sont vidés. Bientôt, elle se crispe, se raidit. Le chant s’interrompt dans leurs esprits alors que l’orgasme de la belle les submerge aussi bien physiquement que mentalement. Et au moment de cet orgasme, Céleste emmagasine alors toute la connaissance de la langue qu’elle a si soigneusement sélectionné pendant qu’elle faisait monter le plaisir.
En contrepartie, le trio sera béat pendant le reste de la nuit le temps que leurs esprits se remettent de la violation qu’ils ont subi. Mais, si tout s’est déroulé comme elle l’avait prévu, il n’y aurait aucune autre séquelle de leur côté. Et du sien… Non seulement elle aura apprécié cette petite interlude, mais elle aura gagné la connaissance de la langue et pourra enfin comprendre ce qui se dit, ou ce qu’elle peut lire. On ne sait jamais, ça pourrait être utile.
Finalement satisfaite, l’immortelle nettoie les fluides qui la couvre et qui couvrent ses amants sacrificiels. Elle se relève, se réajuste, remet sa culotte, et les laisse avachis dans la ruelle avec un air stupidement comblé sur les traits. Un sourire flottant sur ses lippes gonflées, elle toc à la porte de service. Le vigile passe la tête, son regard balayant la scène, et il la laisse rentrer de nouveau avec un rictus goguenard. Il allait clairement se foutre de la gueules des trois séducteurs. Mais ce n’était pas son problème à elle.
D’un pas chaloupé, la sorcière de nouveau propre sur elle vient reprendre sa place au bar. Et son verre, qu’elle ne tarde pas à vider de nouveau avant d’en redemander un. Verbalement cette fois. Puis son regard repart en quête du colosse, se demandant s’il est toujours sur la piste de danse avec les trois jeunes filles ou s’il a aussi trouvé un endroit discret pour se faire plaisir.
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La façon avec laquelle Céleste regardait Randal avant de se faufiler dans un endroit plus discret en compagnie de ses victime était assez équivoque. Cela avait même assez amusé le mâle bien entouré de laisser entrer un doigt dans le petit cul de la blonde qui a bondit de surprise sous les ricanements de ses deux amies. Et la rouquine n'était pas en reste. Son sein bondissait hors de saut haut quand l'homme qui jouait avec sa poitrine décida de ne plus avoir envie de sentir le tissu frotter contre l'arrière de sa main pendant qu'il tentait de s'amuser avec ses tétons.
- J'y crois pas ! Elle est super grosse alors qu'il bande pas encore.
- J't'avais prévenue.
- Mais... Merde, quoi ! C'est un truc de fou.
- Ah ouais ? Il est si bien monté que ça ?
- Je te jure. Mes doigts arrivent pas à en faire le tour.
- Naaaannn, tu me fais marcher.
- T'as qu'à vérifier si tu me crois pas.
- Avec plaisir. Mnnnnnn !
Les mains de la femme aux cheveux bleus dansent avec la même sensualité et audace pour faire le chemin inverse en direction du pantalon qui commence à être encore fréquenté qu'un hôtel de passe. Ça entre et sort de là-dedans comme dans un moulin. S'il n'avait pas les mains déjà bien occupées, la brute épaisse aurait aidé ses camarades de jeu sans la moindre hésitation.
- La vache, t'avais raison.
- Pourquoi j'aurais menti là-dessus ?
- J'sais pas moi.
- Pourtant vous avez vu la vidéo.
Toutes ces remarques flattent avec brio l'égo de l'imposant mafieux qui finit par intervenir quand les 3 jeunes femmes décident enfin de se taire pour couiner quand il appuie de manière plus vite avec ses doigts sur leurs corps. Les sons peuvent
bien être masqués par la musique que les réactions de leur corps parlent d'eux-même.
- J'ai comme l'impression que vous avez envie de faire une nouvelle sextape.
- Grave ! On a fait qu'imaginer la chose car jamais on se serait imaginées tomber sur toi ce soir.
- Et vous avez imaginé quoi ?
- Un duel entre filles pour savoir qui pouvait en avaler le plus.
- C'est un jeu entre nous. On adore se lancer des défis. Du genre qui va faire jouir son mec le plus souvent.
- Qui sera la plus rapide à se taper 3 mecs de suite.
- Et pour être à égalité, il arrive qu'on fasse ça au gloryhole d'un sexshop.
Cet échange a pour effet d'éveiller l'excitation de Randal. En même temps il était en train de se faire caresser par 3 femmes en même temps. Aucun mec avec un corps fonctionnel serait resté de marbre dans une situation identique. Chaque main le titille à un endroit différent, à un rythme différent et avec une envie ou une pression différente. Ce mélange de sensations en plein milieu de la foule le fait frissonner d'envie. Toute cette chaleur et cette faim de sexe dégagée par ces femmes envahit très vite la piste de danse tel une pandémie hautement contagieuse.
- Avec moi il sera pas question d'aller au Gloryhole.
- Pourquoi ? Tu as peur que ta copine ne sache pas où te retrouver ?
- Je veux voir vos bouches se déformer de mes propres yeux.
- Mnnnnn ! Arrête, tu vas me faire mouiller.
- On attend quoi pour y aller ?
- Que sa copine revienne.
- Pourquoi ? Elle a pas l'air de nous apprécier.
- Sans doute. Mais je suis certaine que ça va l'exciter à fond si il a un public.
- Il y a des jours où je me demande où tu vas chercher tout ça.
- Disons juste que je garde une oreille attentive quand je sors.
A tour de rôle les trois copines embrassent leur séduisant partenaire en continuant de se frotter contre lui pour le tenir au chaud. Elles lui racontent comment se sont passées leurs dernières rencontres directement dans ses oreilles pour ne pas que tout le monde sache à quel point elles sont délurées alors que leur gestuelle est plus qu'équivoque. Ce petit jeu dure le temps nécessaire jusqu'à ce que Céleste revienne de sa petite interlude.
- Ah, je la vois. Elle est revenue.
- Vite, va la voir. On t'attendra juste en face, BG.
Aussitôt demandé, les mains très actives quittent son pantalon qui n'avait jamais vu autant d'activité sous son tissu à ce jour. Elles lui font un petit coucou de la main en quittant les lieux pour rejoindre le prochain visiblement. Tandis que Randal se dirige au bar pour rejoindre Céleste et payer la première note de la soirée. Une fois assez proche de la belle sorcière il lui sourit.
- Alors, tu t'es bien amusée ?
Le ton de sa voix est chaleureux, un poil taquin même, alors qu'il tend une carte de crédit au barman pour lui faire comprendre qu'il est temps de payer la note. Après le bip de confirmation de l'encaissement, il range la carte dans son portefeuille et pose la main sur le visage de la sorcière qu'il caresse tendrement tout en glissant son pouce épais entre ses lèvres sucrées à cause du cocktail. D'un mouvement bien maîtrisé il le fait entrer et sortir délicatement pour mimer une fellation. Une chose qu'elle connait et pratiquement avec perfection, comme elle l'a démontré à maintes reprises désormais.
- Les filles m'attendent et elles insistent pour que tu sois là. Je pense que c'est une très bonne idée même si tu n'aimes pas leur présence. Fais-moi confiance, tu seras la première à en profiter le moment venu.
Comme convenu, le couple quitte les lieux et traverse la rue pour se trouver face à un immeuble qui se trouve sur la rue d'en face. Cela ressemble à un studio de danse. C'est ici que travaille la rousse incendiaire et elle a un double des clés dont elle se sert quand elle n'a pas envie d'attendre de rentrer chez elle avec un plan cul.
Le petit groupe est conduit à l'arrière étant donné que la devanture est en verre. Cette fois c'est la blonde qui s'amuse à expliquer qu'elles ne sont pas contre le fait d'être vues. Par contre cela pourrait faire renvoyer leur copine.
- C'est bon, on sera tranquilles ici ?
- Ouais !
Les filles commencent à se rouler des pelles baveuses sous le regard de Randal et de Céleste. Avant de les rejoindre, l'homme s'approche de sa partenaire habituelle pour lui expliquer que dès qu'il aura terminé avec elles, ce sera son tour en lui promettant une petite surprise au passage. Cela devrait l'aider à ronger son frein et éviter qu'elle lobotomise, ou pire, quelqu'un au passage.
Tout ça est bien joli, mais quelqu'un commence à avoir un début d'érection avec toute cette attention portée sans aller au bout. Un grand sourire sur le visage, Randal se lèche les lèvres et pose ses lunettes de soleil sur une table à proximité pour ensuite s'approcher du trio. Ses mains se posent sur les premières épaules qu'il peut atteindre et appuie suffisamment fort dessus pour leur faire comprendre que leur place est désormais plus bas. Au niveau du sol.
Les femmes obéissent en continuant de s'embrasser dans des sons humides qui ne sont interrompus que par le zip de sa braguette qui s'ouvre après qu'il ait débouclé sa ceinture. D'un geste habile du pouce il tire sur son boxer et libère son membre qu'elles trouvaient déjà toutes si épais plus tôt pour le glisser entre leurs lèvres.
Les paires de deux d'entre elles coulissent de chaque côté de sa hampe, tandis que le dessous de sa queue vient se frotter avec son gland sur le visage de la troisième.
- Hooo, quelqu'un est impatient de se faire pomper on dirait.
- Et dire qu'il bande pas encore.
- On va vite y remédier les filles.
- Je veux voir si elle sera aussi grosse que sur la vidéo.
- Mince, la vidéo, j'ai failli oublier. Tu veux filmer ?
Inutile de poser la question deux fois à Randal qui s'exécute en récupérant son portable dans sa poche de chemise. La première image est sa queue posée sur le visage de la belle aux cheveux bleus pendant que ses deux copines collent leur langue de chaque côté en la faisant remonter le plus lentement possible afin de le chauffer.
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Un sourire étire ses lippes quand Randal revient vers elle et paye le barman. Elle confirme qu’elle s’est bien amusée, sans en dévoiler plus. Elle ne parle pas non plus en anglais, pour garder la surprise. Quand il glisse son pouce entre ses lèvres, sa langue vient directement à sa rencontre, le flattant comme elle le ferait de son gland. Son regard sombre brille dans l’atmosphère tamisée du bar et il peut sans doute y lire la concupiscence qui ne quitte jamais vraiment ses prunelles quand il est dans les parages.
« Ce n’est pas que je ne les aime pas, ces minettes, sourit-elle en glissant de son tabouret. C’est que je n’ai aucun attrait pour la gent féminine. Et leurs mains sur mon corps ne me plaisaient pas du tout, faisant au contraire retomber tout désir qui était monté, explique la sorcière d’un ton distrait alors que son regard ne quitte pas la silhouette du colosse. »
Glissant son bras sous le sien, la brune l’accompagne tandis qu’il traverse la rue pour retrouver le trio de jeunes femmes qui semblent enthousiastes à l’idée de la suite du programme. L’immortelle lui offre un sourire entendu alors qu’il promet qu’elle aura de quoi compenser sa patience quand il en aura fini avec les demoiselles. Elle le laisse rejoindre le trio qui est déjà en train de commencer les festivités, accompagné d’une tape sur ses fesses musclées et d’un rictus on ne peut plus pervers.
Pendant qu’il se joint aux jeunes femmes, la pratiquante vaudou trouve un petit fauteuil pour s’installer. Elle s’y alanguit, une jambe posée sur un accoudoir, et porte le regard sur le quatuor qui se créé sous ses yeux. Si elle préfère d’ordinaire participer activement dans ce genre d’activités tant qu’il n’y a que des hommes, une part d’elle se satisfait tout à fait d’être simple spectatrice. Et la manière dont elle s’est installée sur le fauteuil indique bien qu’elle ne compte pas passer le temps à juste regarder. La localisation du fauteuil est choisie avec soin également, s’assurant non seulement une bonne vue sur le spectacle, mais offrant au protagoniste principale un accès direct pour observer Céleste entretenir le désir qui brûle dans ses veines.
Installée confortablement, elle ne fait que regarder dans un premier temps. Elle observe alors que la queue épaisse du malfrat disparaît sous les lèvres avides des trois jeunes femmes. Leurs rouge à lèvres de teintes différentes s’y mélange sur la peau douce du chibre qu’elles dévorent. Les trois couleurs de cheveux qui se massent devant l’entrejambe de Randal rendent le tableau encore plus exotique. Et même si l’épaisseur du vît turgescent de son amant peut impressionner, elle remarque que toutes les trois fournissent de gros efforts pour en avaler une bonne partie.
« L’alignement de la trachée est important, conseille alors la sorcière, en anglais, tandis que ses prunelles dévorent la silhouette du colosse avec un amusement non dissimulé, attendant de voir sa réaction en l’entendant parler le dialecte de ces lieux. »
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Et dire que l'imposant personnage se comparait à un roi plus tôt dans la journée quand il se faisait sucer allègrement par une sorcière aux pouvoirs impressionnant dans cette cabine d'essayage. Ce n'était rien comparé à la vision du moment. Sur ce qu'elles montrent toutes les trois, aucune ne peut égaler Céleste si il fallait les noter de façon personnelle. Sauf qu'avoir trois bouches qui viennent s'occuper de son membre ensemble fait un effet précis au mâle qui savoure l'instant en ne manquant pas de jeter des coups d’œils à sa partenaire qui s'est mise à l'aise non loin de là.
La crainte qui occupait les pensées des filles quand elles ont les dimensions du bout de viande en pleine possession de ses moyens a vite disparue une fois qu'elles y ont goûté. D'une main ferme, Randal enregistre avec précision la scène qui se déroule à ses pieds. Une bouche qui vient lui lécher la hampe par ici, une langue qui passe sous son gland par là... Tout ça est très amusant et aucune d'entre elle ne s'est encore vraiment lancé dans le vif du sujet. Elles sont plutôt occupées à prendre la température et s'échauffer la gorge jusqu'à ce que la patience du richissime mafieux le titille.
Sans trop forcer il pousse tout doucement dans la bouche de la blonde qui se doit de montrer l'exemple. Des trois c'est presque l'aînée dans un sens. Mais un sourcil se lève sur le visage du bonhomme quand il entend Céleste leur prodiguer des conseils... en anglais. Amusé il lui rétorque.
- C'est donc la première chose que tu trouves à dire dans leur langue ? Hahahaha !
Absorbé par cette surprise il en oublie la blondinette qui est en train de s'étouffer sur sa queue. Pas vraiment navré de son geste, il s'excuse pour la forme tandis que sa victime recrache ses poumons. Si les deux autres femmes espèrent qu'il prendra une pause pendant ce temps elle se trompent lourdement. Bite à la main, il la présente à tour de rôle devant leur bouche et s'y enfonce un bon tiers. Les échanges de fluides sont rapides. Ca gicle à chaque fois qu'il passe d'une bouche à une autre. Elles n'ont pas vraiment le temps de reprendre leur souffle non plus.
- Mais-mfffff !
- Dou-mfffffff-ent !
- Tu vas-mnnnnnnn !
- Trop vi-pfffffff !
Et à peine son visage apparu à côté de celui de ses amies alors qu'elle a les joues toutes rouges, la blonde y passe aussi en revenant bouffer cette queue trop grosse pour sa petite bouche dans un son étouffé. Ce jeu continue jusqu'à ce que les trois allumeuses comprennent leur erreur. Les yeux pleins de larmes et le souffle court après cette intense session qui n'aura duré qu'une minute.
- Vous avez eu le temps de vous échauffer. Maintenant on va pouvoir passer aux choses sérieuses. Voyons qui est la plus gourmande du lot.
Les minutes qui suivent son un florilèges de remarques bien dégueulasses entre filles tandis qu'elles s'entraident les unes les autres pour tenter de le pomper en allant au gros maximum jusqu'à un peu plus de la moitié. C'est sale, dégoulinant. Par instant on peut voir la rousse s'amuser à enrouler les filets de bave trop épais avec ses doigts pour les étaler sur la queue veineuse.
Après 5 bonnes minutes le couperet tombe. La fille aux cheveux bleus finis première, la blonde seconde et la rouquine bonne dernière. Un classement qui ne correspond pas forcément à leur dévouement ou leur "slutiness" comme aime le dire la blonde.
- La grande gagnante est donc...
- Shana.
- Et elle a gagné quoi ?
- La plus grosse éjac' faciale de sa courte vie.
- T'en es vraiment capable ?
- Et nous ?
- Vous aurez les miettes. Comme ça vous ferez mieux la prochaine fois.
- Et qui a décidé qu'il y aura une prochaine fois ?
- Moi !
- Ahah, je l'aime bien ton client. Reste à voir si il tient ses promesses.
Durant le quart d'heure qui suit le trio obéit de bout en bout aux demandes de leur mâle pour l'exciter un maximum et le faire éjaculer aussi fort qu'il prétend en être capable. Elles le sucent ensemble, à tour de rôle, se partagent son gland ou ses couilles pour les préparer à leur tâche.
Quand il sent que la fin approche, Randal se tourne vers Céleste qu'il regardait s'amuser dans son coin pour lui dire de le rejoindre d'un signe du doigt. Son regard s'attache autant sur son corps que sur le spectacle de débauche buccale offert par les trois suceuses qui veulent leur récompense.
Dès que la sorcière est assez près de lui le mafieux lui susurre dans l'oreille.
- Touche ma queue. Branle-moi ! Dis-moi si elle n'est pas encore plus grosse, dure et pulsante que tout à l'heure.
Sa réponse obtenue, satisfait, il décide de rappeler sa promesse faites avant leur sortie du bar.
- Quand j'aurais fini de me vider sur ces trois chiennes, ce sera ton tour. Imagine cette bite que tu caresses t'ouvrir le cul encore plus fort que dans le magasin.
Si il y a bien une chose sur laquelle Randal est intransigeant c'est sa parole. Il fait toujours ce qu'il dit. Etc e même si il doit prendre des risques fous ou se mettre dans des situations irréelles.
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La sorcière se contente d'un rire amusé devant la réaction de Randal à sa sortie en anglais. Ses prunelles sombres ne le quittent pas un instant qu'il vient finalement tester la gorge des trois jeunes femmes. Si elle connaissait l’expression « avoir les yeux plus gros que le ventre », elle pourrait penser qu'elle avait été inventée spécialement pour ce genre de scènes. N'ayant probablement jamais eu l'occasion de sucer un tel mandrin, les trois amies s'étaient montrées trop gourmandes, trop vite. Et son amant avait l'air d'apprécier les étouffer sur sa queue raide et déjà luisante de salive.
Prenant son temps, Céleste laissa sa main glisser entre ses cuisses. Écartant la dentelle qui la recouvrait, ses doigts se mirent à frotter sa fleur et son bourgeon. D'abord doucement, légèrement, puis de manière plus appuyées à mesure que son regard buvait la scène devant ses yeux. Le petit concours pour savoir qui réussit le mieux à engloutir le sexe brûlant du colosse l'excite. Deux doigts ne tardent pas à pénétrer son intimité tandis que sa paume frotte contre sa perle. La brune est alanguie dans son fauteuil, se masturbant sans honte en voyant la verge du mafieux s’enfoncer de moitié dans les gorges inexpérimentées qui sont face à lui.
Enfin, il semble qu'il ait réussi à départager les trois amies. Le regard de l'immortelle se pose longuement sur la gagnante aux cheveux bleus, amusé, alors que le prix du concours est dévoilé.
Se levant avec grâce de son fauteuil, léchant ses doigts en s'approchant de manière féline du quatuor, Céleste rejoint finalement son amant. Et quand elle enroule ses doigts graciles autour du vît turgescent et luisant, un gémissement sourd s'échappe de ses lèvres.
« Oh, Sugar… Elle est énorme et délicieusement raide ! »
Avec un sourire en coin lorsqu'il rappelle sa promesse, la brune se glisse sous son bras pour se coller à son flanc, son propre bras s'enroulant tour de la taille de l'homme tandis que l'autre main -qui le branlait fermement pour maintenir le plaisir- restait ancrée sur son sexe. S'il fallait qu'elle laisse la jeune femme aux cheveux bleus se faire recouvrir le visage du foutre de son amant, elle allait le traire elle-même jusqu’à ce que la jouissance arrive.
S'agrippant à la hanche de Randal, Céleste ne peut s’empêcher de l'encourager alors que ses doigts glissent contre l'épaisse tige de chair.
« Je veux te voir lui gicler tellement de foutre sur la gueule qu'elle aurait besoin d'une bassine pour tout récolter, Sugar. Je veux sentir chaque tressautement de ta queue tandis que tu lui repeins le visage... Oh oui, comme ça ! Vides-toi bien… »
La prise de la sorcière ne faiblit pas contre la queue qui déverse de grands jets de sperme poisseux contre la peau claire de la jeune femme. Elle se fait recouvrir le front, ses yeux fermés, le nez et les joues alors que Céleste dirige implacablement les flots qui s'échappent du sexe érigé. L'immortelle se frotte d'ailleurs contre le flanc de Randal tandis qu'elle poursuit son œuvre.
Ce n'est que lorsqu'elle sent que les jets faiblissent et perdent en intensité qu'elle change alors l'orientation du mandrin brûlant, offrant une giclée à la blonde, puis à la rousse, et ainsi de suite jusqu’à ce qu'il n'y ait plus rien.
Enfin, la gourmande sorcière se penche en avant pour venir diriger la queue entre ses lèvres, l'avalant sans sourciller jusqu’à ce que ses lèvres touchent la base. Elle fait quelques allers-retours, nettoyant de sa langue la friandise qu'elle brûle de retrouver en elle à ravager ses reins comme il lui a promis.
« A mon tour, susurre-t-elle en le relâchant et en lui prenant le téléphone des mains pour le donner à la vendeuse blonde afin qu'elle continue de filmer. Ruines-moi le cul, Sugar, qu’il suinte de ton foutre jusqu’à la fin de la nuit. »
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Ce n'est plus trois mais quatre femmes qu'il a autour de lui. Toutes plus chaudes et cochonnes que la précédente. Inutile d'aller chercher loin pour comprendre ce qui l'excite à ce point. La présence de Céleste, collée contre lui, en train de l'astiquer n'arrange rien. Et une fois de plus Randal tient parole auprès de sa partenaire. Avoir une autre main que la sienne s'occuper de tout le fait soupirer d'un plaisir non dissimulé alors que la douche blanche arrive rapidement pour la gagnante de ce challenge. La personne qui verra la vidéo terminée comprendra à quel point son éjaculation fut agréable aux angles hasardeux.
Tout le monde se fait arroser copieusement sous la direction de la sorcière qui dirige les opérations d'une main de maître. Ferme mais généreuse avec le trio de jeunes femmes qui s'en amusent. Quelques moqueries fusent sur la femme aux cheveux bleues qui ne s'attendait clairement pas à un tel résultat. A croire que les hommes qu'elle a rencontré jusque là parlaient plus qu'ils n'agissaient.
L'objectif du portable reste fixé sur les jeunes femmes qui s'embrassent entre elles. Des doigts viennent se tremper sur la couche de sperme crémeux qui est collé au visage de leur amie. D'autres viennent jouer avec son corps brûlant. Elles ont chaud et veulent plus. Mais une autre femme aura toujours la priorité aux yeux du mafieux. Elle n'a même pas besoin de le pomper pour lui nettoyer la queue pourtant. Pourtant elle semble le faire avec un certain plaisir avant de lui faire comprendre qu'il était temps de rendre les choses plus croustillantes.
- Inutile de me le demander deux fois.
Le regard de Randal est planté sur le cul rond et ferme de la belle qui a fait vriller et bander tous les hommes qui ont eu la chance de croiser sa route ce soir. Ce cul il commence à le connaître après l'avoir exploré à plusieurs reprises. Est-ce que sa forme humaine suffira à le ruiner à un degré suffisant ? Probablement que non... L'idée lui trotte dans la tête jusqu'à lui donner envie de vérifier la théorie.
D'une main il bloque la nuque de Céleste pour la refaire plonger bouche la première contre son gland. Sa bite est gonflée. Elle est dure. Chaque veine la fait pulser pour prouver son envie. Pourtant cela ne lui suffit pas. Le résultat doit être à la hauteur de ses attentes.
A peine aura-t-elle le temps de voir la chose venir qu'il vient lui foutre une claque puissante sur le cul. Allant jusqu'à faire sursauter la blonde et la rouquine qui s'échangent un regard surpris sans s'y arrêter. Et vu que les choses semblent se poursuivre, la belle créature à la chevelure de feu rejoint Céleste en ouvrant la bouche en grand pour lui gober une boucle dans un son de succion un poil forcé. Ce simple contact fait tressauter le membre de mafieux dans la bouche de la sorcière.
- Hmmmm ! C'est parfait, continuez. Faites-moi bander aussi fort qu'avant pour que je puisse lui casser le cul à l'en faire cracher ses poumons.
C'est alors que la femme aux cheveux bleus, au visage encore souillé, vient rejoindre le groupe pour lui offrir sa contribution. Avoir trois bouches s'occuper de sa queue en long, en large et en travers fait rapidement son effet. Peut-être même que sa bite est encore plus imposante ? Lui y croit dur comme fer en tout cas. Et hors de question de douter ou de perdre une seconde.
- Viens par là !
Il n'y a aucune tendresse, ni violence inutile d'ailleurs, dans le geste de Randal alors qu'il attrape la sorcière par sa crinière pour l'emmener jusqu'au sofa sur lequel il l'envoie valser tête la première. Son genou est à peine posé sur le cuir du siège qu'elle se fait déchirer brutalement le cul. La percé est soudaine et puissante. L'énorme et puissant chibre qu'elle lubrifiait l'instant précédent est entré dans son rectum aussi facilement qu'on pourrait couper du beurre avec un couteau brûlant.
Le plaisir que celui lui procure est d'une intensité folle. Le mafieux ne peut s'empêcher de souffler fort en levant les yeux vers le plafond. Une main dans les cheveux de Céleste pour lui appuyer le visage contre le cuir et l'autre sur la peau soyeuse de son cul. La tenir ainsi sous son étreinte tout en profitant de la douceur de sa peau a pour effet de le faire frémir à chaque fois. Tout son corps le ressent et l'exprime. Autant vu de l'extérieur que de l'intérieur.
Le corps étranger qui est planté en elle se met à remuer en repoussant ses parois sensibles au passage. Il tente de jouer avec les limites et la flexibilités de ces dernières pour voir jusqu'où il va pouvoir les étendre ce soir.
Si Céleste est partie s'amuser avec d'autres hommes avant de venir le retrouver, ils deviendront vite qu'un lointain souvenir. D'ailleurs, aucun autre homme ne pourra passer après lui ce soir. Car il va laisser son empreinte sur son corps de façon claire et évidente.
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Ramenée contre le chibre toujours rigide, l’immortelle n'a que le temps d'ouvrir les lèvres avant que Randal ne s'y enfourne avec appétit. Elle ne dit certainement pas non, même si elle brûle d'envie de le sentir lui ravager la croupe. Et elle s'emploie à le sucer avec gourmandise, salace et libidineuse en le gobant sans merci, frétillant presque d'envie quand il lui claque les fesses. Elle sait que ça lui plaît de se voir honoré par plusieurs femmes, et le tressautement du mandrin entre ses lèvres le lui confirme de plus belle quand la rouquine dont elle n'a pas pris la peine de retenir le nom vient rajouter ses lèvres dans l’équation. Puis quand celle aux cheveux bleus vient compléter le trio.
La blonde filme toujours, venant parfois faire des gros plans, commentant d'une voix tremblante d'envie alors que Céleste s'en donne à cœur joie pour démontrer toute la souplesse de sa gorge.
Enfin, le moment arrive. Celui où le mafieux vient saisir la crinière brune pour diriger son amante contre le sofa. Celui où il vient, sans douceur mais avec vigueur, empaler la sorcière sur son chibre érigé.
« Aaah, Sugar, ouiii ! S’exclame-t-elle, le souffle court, en arquant les reins pour qu'il se loge en elle jusqu’à la garde. »
Le corps souple de l'immortelle danse contre lui à chaque coup de rein qu'il lui offre. Le visage contre le dossier en cuir, elle ferme les yeux pour savourer l'étreinte brutale -mais tellement bonne- que lui prodigue son amant. L'esprit vite embrumé par le plaisir qui ravage sa chimie interne, la sorcière à l’impression que la queue du colosse semble enfler à chaque coup, dilatant toujours un peu plus cet orifice souple et néanmoins serré dans lequel elle se plonge.
« Oh, Randal ! Je la sens… aaaah… tellement bien ! Ne peut-elle s'empêcher de gémir en agrippant le dossier du sofa en y plantant les ongles. Si… imposante ! Mmmh…Plus fort, oui ! »
La vendeuse, toujours en train de filmer, ne peut s’empêcher de s'extasier pareillement en filmant un gros plan du chibre qui élargit le cul de la sorcière.
« C'est moi où elle paraît plus grosse ? Questionne-t-elle, les yeux écarquillés. »
Bien entendu, cela attise la curiosité des deux autres qui étaient occupées à se donner du plaisir mutuellement en observant la scène.
« Putain, les filles, je ne sais pas comment elle fait… Je ne pourrais jamais prendre tout ça dans le cul !
- Et c'est pas faute d'essayer, taquina son amie, l'air tout aussi impressionnée.
- Je vous avais bien dit que c'était du grand spectacle ! Catégorie Hard Sodomie, là ! »
Céleste était, bien entendu, à mille lieux de les écouter, focalisée sur le plaisir qui irradiait son être à se sentit ainsi écartelée par la queue du colosse. Elle gémissait tant que tant, couinant ou haletant le nom du mafieux en l'encourageant à se lâcher, sentant bien que l'orgasme n'était plus si loin. Une main restait agrippée au sofa tandis qu'il la ramonait furieusement, l'autre glissant contre sa perle pour la frotter de la paume, rajoutant des électrochocs de délice dans tout son corps.
« Aaah, Randal ! Tu vas… Je vais… Oooh, oui, comme ça ! Balbutiait l'immortelle en creusant les reins, tremblante et au bord de l'orgasme. »
Et puis elle s’envola, métaphoriquement, vers le septième ciel lors d'un autre coup de butoir. Le mafieux pouvait sentir sa partenaire se crisper autour de sa queue, se verrouiller tandis que tout son corps était la cible d'un déferlement de sensations d'extase.
« Sugar ! Parvint-elle à s'écrier avant de mordre le cuir pour étouffer ses cris. »
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Avec toutes ces jeunes femmes qui tournent autour de lui, Randal n'a que l'embarras du choix pour rendre la situation plus stimulante pour tout le monde. Y compris pour Céleste malgré qu'elle ne soit pas intéressée par la gente féminine. Le corps de la belle sorcière n'a plus énormément de secrets pour lui. Ses besoins, comment les satisfaire... Ca il sait comment s'en occuper. Et la chose se confirme rapidement quand elle atteint l'orgasme avant lui une fois de plus. De son côté, l'homme pouvait tenir encore un moment avant d'arriver au même stade car il avait donné de sa personne à plusieurs reprises au court de cette journée. L'éjaculation allait forcément lui demander plus de temps et de stimulation à force de reproduire la chose. Contrairement aux hommes, les femmes peuvent profiter pleinement de la chose à répétition.
L'épais chibre couvert de veines grotesque à cause de son excitation débordante écarte l'anus de Céleste comme jamais il n'avait pu y parvenir jusque là en dépit de leurs multiples coucheries. Ce soir est spécial pour le couple de nombreuses façons. En tout cas l'imposant personnage s'amuse à retourner avec vigueur dans son anus qui ne sait plus si il se repli ou se fait écarter de force à cause des stimulations répétés. La force d'aspiration de son orifice fait tout pour lui indiquer qu'il ne veut pas le voir sortir de si tôt. Dans un souci de faire plaisir à sa partenaire, un nouveau coup de rein vient la ravager sous les regards stupéfaits des trois spectatrices.
- Arrête de loucher sur ma bite et filme son visage aussi.
Jusque là le visage de Céleste était plus souvent coincé dans le cuir du canapé. Alors pour l'aider Randal lâche la crinière qu'il tenait avec fermeté jusque là pour poser sa paume sous le menton de la sorcière jusqu'à ce que son visage puisse être capturé par l'écran. Mais cela ne lui suffit pas. Alors pour rendre l'image plus excitante aux yeux de la vendeuse il glisse son pouce dans la bouche chaude et humide de sa victime plus que consentante afin qu'elle le suce.
Le tout accompagné de mouvements amples mais plus lent de son bassin car il continue de l'enculer sans ménagement. Jusque que cette fois il veut profiter du moment en s'enfonçant plus lentement jusqu'à la garde. Approchant, collant, son pubis contre sa croupe si parfaite et sur laquelle il se frotter quelques secondes pour repartir en arrière et revenir de plus belle quand seul son gland restera coincé don son trou. La chose dure plusieurs secondes. Ce changement de rythme a pour objectif de provoquer une envie chez elle qu'il comblera quand il reviendra la sodomiser fort.
Et l'imagination de Randal ne s'arrête par là. D'un regard et d'un signe de la tête il fait comprendre à la rouquine et son amie Shana qui prenaient du plaisir ensemble de les rejoindre. Au début elles hésitent quelques secondes avant de hausser les épaules.
Les jeunes femmes se lèvent et viennent se placer à le droite du couple. Ce petit interlude passé seules n'a pas été gaspillé vu qu'elles sont toutes les deux à moitié nues pour mieux se caresser l'une et l'autre. Et une main vient rapidement se glisser dans la culotte de la rouquine qui répond avec un couinement qui surprend la blonde.
- Aaaahnnnn ! Même ses mains sont si grandes.
- C'est vrai ? J'ai envie de vérifier.
- Ah oui ? Attends...
- Mnnnnn !
- Alors ? T'as l'air d'apprécier. Tu sers les cuisses.
- P-Pas du tout.
La main libre de Randal passe d'une culotte à l'autre et il peut glisser sans la moindre difficulté deux doigts dans leurs chattes trempées. Les deux jeunes femmes semblent même être très réceptives à ses caresses car elles s'étaient chauffées mutuellement tout en jouant avec son sperme après son éjaculation sur leurs visages.
Jouer avec elles de cette façon n'a pas pour unique but de l'amuser. Non, sa bite frétille et gonfle d'excitation à chaque fois qu'il vient visiter l'intimité de l'une d'elle alors qu'elle est bien ancrée dans le cul de la sorcière.
- Venez ! Approchez-vous ! Toutes les deux.
Curieuses de voir ce qu'il peut bien avoir en tête, elles s'exécutent sans broncher. Et là, les doigts couverts de cyprine tirent sur le soutien-gorge de la rouquine pour en libérer un de ses énormes seins qui rebondit de haut en bas sous l'effet du tissu baissé de force. Ce qui a pour effet de tendre encore plus la queue du mafieux qui effectue un mouvement avec son bassin pour tenter de soulever le corps de sa moitié si cela était possible. Et sa bite reste tendue, dure et gonflée comme jamais quand il vient malaxer le nichon désormais dévoilé. Par moments il vient même le prendre dans sa bouche quand la rouquine se rapproche assez de lui.
Avec toute cette vigueur a disposition, il est temps de revenir enculer Céleste comme une brute pour lui provoquer un second orgasme. Et rien ne lui sera épargné durant les cinq minutes qui suivront. La façon avec laquelle il s'enfonce en elle est encore plus brutale qu'avant. Si la blonde était choquée par ce qu'elle voyait, elle ne sera pas déçue du voyage d'ici à la fin de leur baise groupée.
Lui ouvrir le cul ne sera pas qu'une menace en l'air. Il va finir par y arriver à force d'insister sur son pauvre œillet et il aura plusieurs témoins pour confirmer qu'il y est parvenu. Et ce n'est qu'après lui avoir offert un nouvel orgasme que la suite de son plan peut se dérouler. Bien sûr, rien n'est réellement anticipé. Chaque décision est improvisé sous le feu de l'action.
- J'espère que t'es pas encore épuisée car je commence à peine. Et tant que je bande, tu ne quitteras pas cette pièce.
Cette fois il glisse un bras sous le ventre de la sorcière pour la ramener vers lui sans jamais sortir de son anus brûlant. Quelques secondes lui sont nécessaire pour se retrouver en position assise, elle, dos collé contre son torse. Sa bite va servir de barre de pôle dance et son cul dansera dessus. Dans une version un peu pimentée. Et pas question de la faire attendre pour perdre en intensité. A peine sont-ils en position qu'il pose ses mains sur les fines hanches de la belle créature à la peau caramel pour l'aider à lever son corps et le faire redescendre pour s'empaler sur ce long et épais bout de viande qui va revenir lui déchirer les parois du rectum.
D'une voix marquée par le plaisir, il tremble un peu entre deux respirations pour donner son prochain ordre aux jeunes femmes qui ne savaient pas trop si elles devaient reprendre leurs caresses ou les rejoindre d'elles-même.
- A vous de décider qui, mais j'en veux une à quatre pattes pour me sucer les couilles et l'autre sur le canapé à ma droite.
- Je prends le canapé.
- Okay ! Mais on échange après.
- Peut-être.
Très rapidement les filles prennent leur place devant les commentaires bien sales de leur copine blonde qui profite de la situation sans participer. De toute manière, en terme de participation il y a déjà de quoi faire. Shana a grimpé sur le canapé en se mettant à genoux dessus dans la direction de Randal. Sans attendre qu'on le lui demande, elle a ouvert et retiré son soutif pour montrer sa généreuse poitrine qui va rapidement finir entre les lèvres du mâle à ses côtés.
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L'immortelle sorcière vaudou ne redescendit pas vraiment de son orgasme alors que son partenaire s'employait à continuer de lui dilater la rondelle. Chaque nouveau coup de rein délivrait de nouveaux petits électrochocs, irradiant depuis ses nerfs abusés, inondant son cerveau d'endorphine.
Ce n'est que lorsque la large main du mafieux quitta sa crinière pour se caler sous son menton, lui relevant la tête pour offrir ses traits défaits par l'extase à l'objectif de la caméra. Ses prunelles, déjà brun sombre en temps normal, étaient complètement noires, l'iris mangé par la pupille dilatée au maximum. Il ne lui manquait que des petites cornes recourbées et un long, souple appendice caudale pour ressembler à une succube.
Céleste ne se fit pas prier pour venir sucer le pouce qui venait de se glisser entre ses lèvres, arrondissant ses lèvres pulpeuses autour pour l'aspirer, sa langue jouant contre la pulpe et l'ongle de ce doigt inquisiteur. Pour couronner le tout, pour rendre la vidéo absolument indécente, la brune aux boucles emmêlées gémissait langoureusement tandis qu'elle s'affairait à baver contre l'articulation du pouce qui ressortait d'entre ses lippes.
Les mouvements languides du colosse étaient dosés juste comme il fallait pour laisser la sorcière redescendre de son pic de plaisir, juste assez lascifs et indolents pour qu'elle soit avide du moment où il reprendrait son burinage en règle. Elle ne fait que peu attentions aux jeunes femmes. Mais son regard accroche parfois celui de la petite vendeuse qui filme sous tous les angles tout en ayant une main glissée contre sa fleur détrempée. Elle est consciente de la présence des deux autres à leurs côtés, vaguement, dans le sens où elle ressent chaque tressautement de la queue du mafieux qui coulisse voluptueusement dans ses entrailles.
Enfin, la brune sent son amant repartir en trombe, continuant de ravager férocement son anus écartelé. Et les gémissements lascifs se changent de nouveaux en petits cris affamés, en soupirs de délices, tandis que ses reins répondent coup pour coup, cognant leurs bassins brutalement. Le claquement de l'aine masculine contre son cul arrogamment bombé résonne dans la pièce. Et, une nouvelle fois, Randal réussit à ramener la belle au bord du précipice de l'extase. Avant de finalement l'en pousser d'un autre coup de bassin. Le film amateur ne manquera pas de piment, avec ce nouvel orgasme. La blonde parvient à filmer le moment où la sorcière perd pieds, ses yeux roulant dans leurs orbites, tandis que son esprit était bien incapable de la moindre pensée un tant soit peu sophistiquée.
Les prochaines paroles du colosse sont entendues sans être pleinement assimilées, alors que Céleste peine à rester consciente, à revenir sur terre. Elle finit cependant par en saisir le sens, et un sourire salace étire ses lippes toujours entrouvertes alors que son dos est ramené contre le torse puissant de son amant.
« Oooh, tu me gâtes, Sugar… On pourrait… Mmmh… Penser que l'on fête mon anniversaire… »
À présent assise sur les cuisses -et le chibre toujours vigoureux- du mafieux, la sorcière est bien contente qu'il l'aide à venir s’empaler sur sa trique. Elle tremble, la pauvre, son corps encore sous le coup des deux orgasmes presque à répétition. C'est donc sur des jambes flageolantes, ses mains venant s'agripper aux cuisses de son amant entre les siennes pour se maintenir, que Céleste s'active à venir se dilater l'anneau sur l'épais mandrin de Randal.
La blonde s'est déplacée pour venir les filmer de face, captant toute l'obscénité de la scène avec l'objectif. Elle zoom parfois sur l'intimité ruisselante, gorgée de cyprine, de l’immortelle, sur son anus étiré peut-être aux limites du possible, avant de revenir sur son visage défait par l’extase, filmant aussi bien l'expression du colosse que sa queue veineuse qui pourfend sa cible.
Quand les deux autres prennent place, la blonde filme également la façon dont le mafieux apprécie la généreuse, l'opulente poitrine de Shana. Elle enregistre la manière dont la seconde vient se mettre à quatre pattes, le cul tendu, presque en rampant pour venir aspirer les bourses remplies de l'homme. Elle s'approche même pour capturer la manière dont sa langue lape la cyprine qui goutte, qui ruisselle, depuis le con de la sorcière.
« C'est hot, putain…, hallucine la vendeuse alors que la rouquine décide de repousser les limites de la sorcière en venant donner un coup de langue sur cette petite chatte dégoulinante. Tu joues avec le feu… Prévient-elle, redoutant de voir la cruelle immortelle émerger du torrent d'extase où elle est plongée. Mmh, tu as de la chance qu'elle ne soit plus vraiment consciente de qui fait quoi, commente-t-elle finalement tandis que la seule réaction de Céleste est de rejeter la tête en arrière, contre l'épaule de Randal, en gémissant de plus belle. »
La rouquine en profite, alternant entre les joyaux viriles et cette fleur qui ne demandait qu’à être butinée. La vendeuse, amusée et excitée, colle une fessée retentissante contre la croupe offerte de son amie. Elle vient ensuite, sans cesser de filmer, glisser quelques doigts inquisiteur dans la petite chatte tout aussi gorgée d'envie, déclenchant des gémissements qui s'échouent contre les bourses de Randal et les lèvres intimes de l'immortelle.
Avec toutes ces stimulations, il n'est donc pas étonnant que Céleste atteigne une troisième fois le septième ciel, giclant presque son plaisir contre le visage de la rouquine affairée. Qui n'en perd pas une goutte.