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Tsukiyo Kaisai est une jeune femme de vingt-six ans. Officier de police depuis peu, elle est sortie major de sa promo après s’être distinguée pour ses prouesses et son esprit malin. Mais elle ne s’est pas engagée pour des raisons louables. La policière apprécie prendre et mettre de la situation. Elle a réussi jusqu’ici à contrôler son instinct tordu… Mais elle a souvent frôlé l’abus de pouvoir et la bavure.
« Tsuki-chérie ! » Je reconnais derrière moi la voix de Naho, par son ton strident et ses surnoms nazes. On est entré ensemble à l’école de police puis on a réussi notre examen la même année. Comble de mon désespoir, on a été affecté dans le même commissariat, malgré notre différence de résultat. Je subis, depuis ce jour, ce pot de colle insupportable. Mes nerfs menacent de lâcher à tout moment. « Le chef nous a assignés ensemble pour la patrouille ! » Hors de question.
Je me tourne brusquement vers elle. Mon regard noir en indique long. Elle recule de trois pas, surprise et apeurée. Finalement, j’ai craqué. J’ai besoin de me débarasser d’elle, d’aller prendre l’air. Mais Naho ne comprend guère mes intentions et reprend avec douceur : « Si tu préfères…» Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase. « Non, laisse. Je m’en occupe. Seule. » Je jette un froid dans le commissariat mais j’attrape vite les clés d’une voiture de fonction et c’est parti !
« Tsukiyo…» Une voix tente de m’appeler derrière. Mais je n’y prête guère attention. Sauf qu’au volant, je me rends vite compte que je me suis trompée. Parmi nos véhicules, y en a un avec le chauffage bloqué. C’est trop tard pour changer… Je ne vais pas retourner à l’intérieur après mon un tel départ. Alors j’ouvre grand les fenêtres, je vire ma veste pour me retrouver en chemisier court qui laisse mon ventre à l’air et dévoile les ficelles de mon string montant vers mes côtes.
Il n’y a que moi. Ce n’est pas si grave.
Je roule et patrouille quand je remarque un véhicule devant moi. Je penche un peu sur le tableau de bord. Il a un truc de la main, non ? Comme une envie de me défouler, le conducteur devient la cible. Je le suis attentivement sur plusieurs mètres jusqu’à lui demander gentiment de se ranger sur le côté. L’endroit est désert. Pas de témoin pour remarquer les abus !
Je sors de ma voiture et toque à sa fenêtre. « Alors, on utilise son téléphone au volant, Monsieur ? » Je me penche pour mieux distinguer son visage. Il est plutôt mignon ! Lui a une sacrée vue sur ma poitrine enfermée dans ma chemise. La sueur l’a rendue transparente et laisse ressortir le rose vif de mes sous-vêtements. « Ou vous jouiez peut-être avec autre chose ? Il est clair que vous n’étiez pas très concentré sur la route. »
Une amende suffirait mais j’ai envie de jouer un peu plus avec lui et j’ai vraiment besoin de passer mes nerfs sur quelqu’un. Il est le candidat idéal !. « Sortez de votre véhicule. Je vais procéder à une fouille. »
L'invitation est si généreusement faite qu'une main vient délicatement se saisir d'un de ses gros seins par-dessus son soutif l'espace d'un moment. Il ne peut en profiter qu'un bref instant car sa partenaire s'amuse à faire tomber son jean au niveau de ses chevilles.
Inutile de préciser qu'il est légèrement déçu de la voir se relever pour se retrouver face à lui. Son regard plongé dans le sien alors qu'une distance minuscule les sépare. Il devait s'attendre à autre chose vu leurs positions respectives.
Sa seule expérience à ce jour consiste à poser sa propre main sur sa bite pour s'astiquer devant des vidéos cochonnes dans sa chambre le soir. C'est probablement pour cette raison qu'il lui répond : - Bien sûr ! Je vais te faire jouir durant des heures !
Et avec une assurance non dissimulée pour ne rien gâcher.
Tout excité qu'il est, sa main vient se poser sur celle de la policière par-dessus le tissu de son sous-vêtement. Les doigts instigateurs de la femme lui font un bien fou et il ne peut s'empêcher de trembler d'anticipation. Il se met alors à appuyer dessus comme pour lui faire comprendre de façon implicite de bien le caresser. Qu'elle puisse sentir chaque veine de ce membre imposant qui n'a rien d'une exagération comme elle le laissait supposer l'instant d'avant.
Sa bouche si sèche vient se jeter sur un des gros seins de la fliquette en lui dévorant d'abord la chair à sa disposition. Rapidement sa main libre vient tirer sur le bout de tissu qui protégeait son mamelon pour venir le suçoter avec avidité à son tour.
Akane a toujours été un fan de grosse poitrine. Donc ce qui lui est offert aujourd'hui sur un plateau le fait vriller d'excitation.
- T'es tellement sexy !
Le compliment est placé entre deux léchouilles hasardeuses. Son manque de pratique est évident même si on pourrait le confondre avec une envie un peu trop forte de venir dévorer ce nichon. Quand il parvient enfin à cibler correctement le mamelon pour l'aspirer de toutes ses forces, sa langue entre dans la partie pour le titiller et le stimuler avant d'être recraché dans un bruit humide et dégoûtant.
Pourtant cela ne l'arrête pas car sa langue quitte de nouveau sa bouche pour attraper le filet de salive qui en coulait pour remonter jusqu'à son téton pour lui donner des coups répétés.
A l'étage en-dessous, son pouce vient se positionner sur l'élastique de son boxer. Puis, sans réfléchir, il tire dessus pour faire sortir sa queue dressée comme probablement jamais dans toute son existence.
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Un courant d'air frais vient s'abattre sur la peau sensible de sa queue pour le faire frissonner. Et sa réaction est de venir saisir ses deux gros seins en même maintenant qu'il a sa seconde main de libre. Ses doigts viennent s'enfoncer dans la chair moelleuse et douce de cette poitrine alors qu'il passe au second mamelon pour vérifier si il a le même goût que le premier.
A sa demande Akane se régale littéralement avec cette paire de seins qui semble être venue tout droit d'une autre dimension. Il les suces, les aspirer et bave dessus plus que nécessaire pour lui prouver à quel point cette dernière lui faisait envie depuis que sa main est venue toquer à sa vitre.
L'excitation est telle qu'il ne sens pas qu'on vient se saisir de sa bite pour en frotter le gland sur le tissu rêche du collant. Sans une intervention directe de sa part il aurait pu continuer son petit jeu durant une heure sans se fatiguer.
C'est d'abord à contrecœur qu'il se laisse repousser. La sueur revient perler sur son front et tomber sur sa joue alors que sa respiration se fait de plus en plus difficile lorsqu'il l'entend dire qu'elle veut le goûter. Généralement ce genre de remarque n'a qu'une seule signification et le fait qu'elle retourne s'asseoir pour se retrouver le visage face à sa queue tendue ne fait que le confirmer.
- Kuuuuuh ! Hoooouuuu !
De longs gémissements de satisfaction s'échappent de sa bouche lorsque l'inconnue vient lui saisir sa bite pour y déposer les premiers coups de langue. Qu'est-ce qui est le plus dévastateur dans son cerveau entre les sensations et la vue de son sexe disparaître centimètre par centimètres dans cette bouche ?
C'est alors qu'il se souvient de la fois où ses potes l'avaient averti sur le phénomène.
- Fais gaffe lors de ta première pipe, mec !
- Comment ça ?
- Moi j'ai pas réussi à tenir.
- Pareil ! C'était super chaud.
- Vraiment ?
- Après tout dépend de la nana.
- Tu crois ? La mienne était pas aussi nympho que la tienne.
- Ta gueule !
- Quoi ? J'ai tort ?
- Non, mais ta gueule quand même !
- Ha ha !
- Tout ça pour dire que c'est super dur de tenir longtemps quand c'est une toute première.
- Après il y a des astuces.
- ...
Et à en juger par ses réactions ses amis avaient raison. Car le fait qu'elle le suce lentement n'arrange pas sa situation d'un iota. Son regard de braise planté dans le sien lorsqu'elle le relève en sa direction le fait gémir de plaisir sans rater.
- Hooo, c'est trop bon.
La chaleur humide qui entoure sa tige est aussi douce qu'enivrante. Chaque caresse de cette paire de lèvre qui vient parcourir chaque centimètre de peau ou passer par-dessus ses veines épaisses le fait trembler un peu plus. C'est alors que ses bras viennent se poser sur le toit de la bagnole. L'un au-dessus de l'autre et son front en sueur encore par-dessus. De là il ne voit que la bouche et le menton de sa partenaire dépasser et sa bite qui en entre et en sort de manière répétée.
Ses propres hanches viennent alors effectuer quelques mouvement vers l'avant lorsqu'il est sur le point d'être avalé. Tout ça n'a rien de volontaire. Le plaisir est en train de guider son corps, qu'il le veuille ou pas. Si on lui avait dit que se faire sucer pourrait être aussi bon il aurait tenter sa chance avec les filles de son lycée ou de sa fac bien plus tôt.
Ses épaules finissent par se redresser afin qu'il revienne dans sa position initiale tout en poursuivant ses mouvements de bassin dans cette bouche avide et légèrement baveuse.
C'est alors qu'un mouvement un peu trop ample fait ressortir sa queue qui, dans le mouvement inverse, vient se coller sur le visage à la peau brûlante de la policière. Et le garçon semble incapable de s'arrêter pour retourner dans le bon trou. Non, sa bite visqueuse vient se masturber sur les traits fins mais si séduisants de la policière.
- T'es tellement belle, tu sais ? Et tu m'excites trop !
Sa masturbation faciale dure plusieurs secondes et ce ne sera que grâce à l'aide de la jeune femme qu'il reviendra à l'intérieur de sa bouche dans un long et puissant soupir de satisfaction. La différence de température et de sensation sont tellement flagrantes que sa queue se met à pulser de manière répétée. Voir même à gonfler un peu plus en restant coincée dans cette bouche.
- Haaa, tu vas me faire jouir !
Il ne croyait pas si bien dire alors qu'il pousse ses hanches vers l'avant comme pour l'empêcher de réagir alors que son sperme vient exploser dans la bouche déjà bien occupée de cette nympho.
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Au départ il s'était retenu une bonne semaine pour profiter pleinement de sa soirée d'anniversaire. Et malgré la frustration provoquée par cette opportunité avortée il n'avait pas eu la tête ou le temps pour se masturber. C'est donc un concentré de sperme crémeux qui vient inonder cette petite bouche dans une quantité plus que suffisante pour lui faire comprendre que si elle ne commence pas rapidement à avaler elle va devoir se libérer et recracher ce qui pourrait bien la noyer.