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Le bordel et l'anarchie on connait ça que trop bien dans le quartier de la Toussaint. Certains iraient même jusqu'à avoir le mal du pays ou ressentir une forme de malaise si il devait se passer une journée sans un échange de tirs ou une baston en bas de chez eux. C'est dire à quel point la violence est devenue vitale dans le quotidien des habitants de ce quartier.
Sauf que la criminalité commence peu à peu à toucher le centre-ville malgré le fait que les forces de police y sont omniprésente et hyper répressive. On peut très vite "louper une marche" en se faisant passer les bracelets par les flics. Ca nous est tous arrivés, moi le premier. On peut même y voir un rite de passage pour de nombreux gangs qui envoient leurs nouvelles recrues se faire tabasser et interroger par les flics pour vérifier si ils feront de bons membres ou non.
Enfin bon, c'est du passé et aujourd'hui je veux juste passer ma journée à glandouiller en ville car mon immeuble est en train de se faire "dératiser". A comprendre par là que des balances ont été repérées dans un des appartements et qu'une expédition punitive doit y avoir lieu dans la journée. Le genre de situation où on a très vite fait de se prendre une balle perdue même si on veut juste regarder un film pénard sur son canapé.
- Ah, merde, j'ai plus de clopes.
Je me rends compte que je n'ai plus de cigarettes sur moi pendant que je cherche mon téléphone. Le plus con dans cette situation c'est que je fume même pas. Si j'ai l'habitude aujourd'hui de me balader avec des cigarettes c'est parce qu'il s'agit d'un moyen infaillible d'engager le contact avec quelqu'un. Ca peut aller de la prise d'informations au fait de dégoter un boulot.
- Nikel, il y a un konbini pas loin.
Sans attendre je me dirige vers la supérette pour récupérer ce qu'il me faut et me prendre un truc à boire au passage car il commence à faire plutôt chaud pour un début d'après-midi.
- Bonjour ! Soyez le bienvenu chez Super 7 ! Nous sommes ouverts...
A peine arrivé, j'entends un message automatique qui me passe au-dessus de la tête car je suis trop occupé à profiter de l'air frais de la climatisation. Si l'homme a créé un truc intéressant à ce jour c'est bien la clim'. Parce que surveiller des baraques ou des clients en pleine chaleur alors qu'ils sont tranquille au frais à l'intérieur ça fout les glandes rapidement.
Tranquillement posé devant les vitres transparentes des frigos à chercher ce que je vais prendre, deux grosses voix se font entendre avec le son de la porte automatique qui s'ouvre.
- Bougez pas et tout se passera bien.
- Ouvre la caisse ! Fissa !
En jetant un oeil au miroir d'angle qui se trouve au bout de l'allée où je suis, je peux repérer deux mecs cagoulés qui semblent vouloir dépouiller l'endroit.
- Putain... Ils pouvaient pas faire ça après ?
L'un des braqueurs s'avance vers un couple et leur pointant la pointe de ce qui ressemble plus ou moins à une machette. Son compère étant occupé pour le moment à faire vider la caisse au gérant qui est sous la menace de son pistolet.
- C'est joli tout ça.
On pourrait croire au premier abord que le mec reluque la femme du couple. Alors que pas du tout, la seule chose qui l'intéresse sont les bijoux un peu trop voyant et de valeur que la pauvre bonne femme affiche allègrement. Sans doute qu'elle y réfléchira à deux fois quand elle voudra en foutre plein la vue à ses voisines et amies car son mari gagne mieux sa vie que les autres.
De mon côté je reste tranquillement caché dans mon coin en attendant de voir comment évolue la situation.
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Aujourd'hui est un jour plutôt tranquille et un jour où j'ai décider de vadrouiller dans le centre ville car je n'ai pas cours et que j'ai donc le loisir de faire un peu ce que je veux. Je n'ai malheureusement pas vraiment d'amis a qui proposer de m'accompagner mais ça ne m'empêche pas pour autant de profiter même en étant seule. Je suis plutôt du genre solitaire car sans doute un peu trop timide alors c'est quelque chose dont j'ai l'habitude que de me retrouver seule.
Il fait particulièrement chaud et il est difficile de supporter d'avoir des vêtements sur soi de sorte que j'ai enfiler une petite robe estivale très légère sans m'alourdir d'un soutien gorge qui a tendance à me faire transpirer plus qu'autre chose. Les pointes de mes seins sont facilement discernables à travers le tissus mais c'est un accoutrement que beaucoup de filles de mon âge portent alors je ne m'inquiète pas trop sur la décence de ma tenue.
De toute façon, ma session shopping commencera par un petit tour à la supérette du coin car j'ai vraiment besoin d'acheter de quoi me désaltérer et la clim étant très forte dans ces magasins je sais que je pourrais en profiter pour me raffraichir un peu. Je remets en place ma queue de cheval en la resserrant lorsque je rentre dans l'établissement et me dirige vers les allées raffraichies pour récupérer une petite bouteille d'eau fraîche.
Il n'y a pas beaucoup de monde dans le magasin et seulement un homme auquel je n'accorde qu'un regard en coin dans l'allée oú je suis. Je m'apprête à prendre ma boisson et me diriger vers la caisse lorsque des voix intimidantes s'élèvent du côté de celle-ci.
Je comprends rapidement ce qui se passe et je décide alors de rester dans mon coin, le visage un peu paniqué car je n'ai pas l'habitude d'assister à ce genre d'événements. Je me baisse pour m'asseoir fesses au sol et me recroqueville un peu sur moi même, ramenant mes jambes vers ma poitrine que j'entoure de mes bras. Ce faisant, ma petite robe laisse apparaître aisément les contours de mon tanga blanc en dentelle. Mais je suis trop inquiète pour m'en rendre compte.
- Oh non... pas ça...
J'entends le ou les malfaiteurs vider la caisse et je prie silencieusement pour que les choses s'arretent la et qu'ils deguerpissent. Le temps semble s'etre arrêté dans le magasin et plus personne ne bouge.
Mes yeux se portent distrairement sur l'homme à quelques pas de moi qui semble plus agacer qu'inquieté par la situation. Pourtant, lui aussi decide de ne plus bouger et rester caché.
Je tente d'appaiser la vague de panique qui me submerge et respire un peu bruyamment malgré moi.
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Tout braquage de ce type qui se respecte est censé être court et rapide pour un tas de raisons. Déjà parce qu'il y a beaucoup de passages dans des endroits de ce type et surtout parce qu'aujourd'hui tout le monde filme tout et qu'on ne sait jamais si un passant peu alerter les flics sans qu'on ne le sache. C'est d'ailleurs pour cette raison que les deux criminels du jour commencent à s'engueuler.
- On fait quoi ? Il y a quasiment que dalle dans la caisse !
- J'sais pas, moi. J'ai récupéré des bijoux sur cette conne. Regarde !
- C'est pas mal... Mais ça suffira pas.
- Je sais. On est dans la merde.
Le fait de gueuler me permet de mieux entendre ce qu'ils se racontent et à première vue ça pue les dettes. C'est limite si je ne vais pas les plaindre car je suis déjà passé par là plusieurs fois.
D'un coin de l'oeil je remarque une nana complètement flippée et je décide de m'approcher d'elle pour passer le temps. Si jamais ces deux-là ont un semblant de cervelle ils ne vont pas faire de vieux os et se tirer en troisième vitesse avec ce qu'ils viennent de récupérer.
- Salut ! Comment va ? Je peux ?
Je n'attends pas vraiment sa réponse pour m'accroupir à côté d'elle comme si le braquage n'avait pas lieu. Après ce n'est qu'une supposition de ma part, mais j'ai un énorme doute sur le fait que le pistolet qu'ils possèdent est un vrai. Le Japon ce n'est pas les USA et seuls les gangs ou les groupes avec un certain poids possèdent ce genre de matos. Les deux couillons du coin pourront, au pire, mettre la main sur des répliques de bonne qualité ou des pistolets à air comprimé. Qui feront quand même un mal de chiant si tu te prends une bille.
L'instant qui suit, le mec à la machette débarque et commence à gueuler comme un possédé.
- Hé, toi ! File ton blé !
- Il y avait des clients au fond ?
- Ouais !
- Putain ! T'es censé vérifier ce genre de truc avant !
- Ouais, ouais ! C'est bon, on s'en branle !
- ...
- Et toi, aboules le fric ! Tu m'as pas entendu, connard ? Et la gonzesse aussi !
Mon regard se tourne vers le braqueur qui donne l'impression d'être sous substance vu qu'il tremble comme une feuille. Je le soupçonne même de transpirer comme un phoque là-dessous malgré que le clim tourne à plein régime.
- Non... Je vais pas faire ça.
- C'est bien, donne... Hein, t'as dit quoi là ?
- Que je vais pas te filer mon fric.
- Mais... Tu te fous de ma gueule ? Je déconne pas ! Donne !
- Non !
- PUUUTTTAAAIIIINNNNN !
Le type commence à s'énerver de plus en plus et ses doigts enserrent davantage la machette qu'ils tiennent avec difficulté. Si l'envie de trancher quelque chose devait le démanger avant, il a désormais clairement envie de passer à l'acte.
- Tu fous quoi ? Faut qu'on se casse !
- Mais cet enculé... Il...
- Rien à foutre !
- Urgh... Toi, pétasse, balance ton sac !
- Lui donne pas.
- MAIS.... PUTAIN ! J'VAIS T'EXPLOSER !
- Je crois surtout que tu devrais te tirer si tu veux pas finir chez les flics.
- Grouille, on se casse !
- Non, mais, il, je.... Si je te croise je te bute !
L'un d'entre eux semble être moins con que son complice. Sauf qu'il a été trop lent vu que des sirènes de flics se font entendre au loin. Les mecs n'ont désormais que deux options : se barricader à l'intérieur ou se tirer. Quitte à prendre un otage en route.
Le plus intelligent ordonne alors à son partenaire de prendre la nana au fond du magasin avec lui comme sécurité pendant qu'ils tenteront de se barrer. Au pire ils l'a balanceront dans un coin pour gagner du temps.
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Les choses semblent rapidement tourner au vinaigre pour les deux malfrats et je prie silencieusement pour que l'un écoute l'autre et qu'ils finissent par déguerpir. Mais ils n'ont pas l'air de tomber d'accord sur le sujet et les deux voix s'élèvent pour se disputer sur la manière de continuer les choses. Même si je n'y connais rien, ça sent l'amateurisme à plein nez et ils semblent tous les deux assez désorganisés. Ce qui est sans doute une aubaine pour moi et les autres malheureux clients du magasin !
Le jeune homme qui se trouvait à quelques mètres de moi se rapproche et vient s'accroupir à mes côtés. Je hoche doucement la tête de gauche à droite lorsqu'il me demande si ça va, mes mains tremblant un peu malgré moi.
- Oui, vous pouvez. Ça va pas très bien, j'ai peur qu'ils fassent n'importe quoi...
Mon angoisse s'entend aisément dans ma voix mais je tente de me raisonner en me disant que ils ont tout intérêt à finir leur braquage rapidement et se tirer loin d'ici.
Mais je comprends que leurs intentions sont tout autre puisqu'ils n'ont pas trouver l'argent qu'ils voulaient et qu'ils se dirigent désormais vers nous au fond du magasin. La vue de la machette me fait ecarquiller de gros yeux et je me rapproche instinctivement de l'homme qui s'est assis à côté de moi.
Voilà le moment que je redoutais le plus, celui où ils s'en prennent aux clients inofensifs. Ils réclament son fric à celui qui m'a aborder quelques minutes plus tôt, puis c'est ensuite mon tour. Pourtant l'autre client lui tient tête, ce qui me rend un peu abasourdie et refuse de lui donner son argent. Je ne peux qu'admirer son courage mais je ne peux en dire de même pour moi puisque lorsqu'il réclame mon sac que je tenais jusqu'alors serré contre moi, je m'apprête à le lui lancer dans l'espoir qu'ils obtiennent ce qu'ils veulent et qu'ils s'en aillent enfin.
J'ai pourtant un instant d'hésitation lorsque l'homme courageux m'intime à ne pas obéir et ne pas lui donner mon sac. Les deux malfaiteurs sont entrain de perdre leurs moyens et les sirènes libératrices et annonciatrices de l'arrivée de la police n'aident pas à apaiser leurs tensions.
L'étau se resserre autour d'eux et c'est ce qui semble les pousser à réagir de manière totalement deraisonnee. Sans que je n'ai le temps de comprendre ce qu'il se passe, un des deux acolytes me tire vers lui et passe sa machette sous ma gorge pour m'inciter au silence.
Pourtant c'est l'instinct de survie qui prend le dessus et je me mets à hurler et à me débattre en mettant tout mon poids sur le bas de mon corps pour tenter de rester ancrée au sol. Le plus stupide des deux, qui a décidé de me prendre en otage pousse un cri de colère et ne fait que quelques mètres avant de me retourner une énorme claque et de me balancer au sol.
- Tu me ralentis trop espèce de petite salope ! T'as de la chance que je te coupe pas en deux !
Sans doute pressés par le temps, les deux intrus se mettent à courir à toute allure jusqu'aux portes du magasin. J'entends les voix lointaines des policiers qui les mettent en joue et qui finissent par les arrêter non sans leur abîmer un peu leur visage et leur ego.
Mais je suis bien trop en état de choc pour m'en soucier d'avantage. Étalée au sol comme une vulgaire poupée, je me redresse doucement sur mes mains, tout en peinant à ne pas m'effondrer.
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A trop jouer aux cons, le duo de comiques a fini par littéralement chier dans la colle. Même leur tentative de fuite s'est soldée par un échec car ils s'y sont pris trop tard pour tenter de se barrer avec une otage. Après, la minette a eu le bon réflexe en jouant le cadavre au lieu de les suivre comme peuvent le faire certaines personnes dans la même situation.
- Oh la vache, il t'a pas loupé.
N'importe qui d'autre aurait plutôt demandé si elle va bien. Sans doute l'habitude à force de voir les collègues se prendre des torgnoles par dizaines au boulot. Hommes et femmes compris d'ailleurs.
- Attends...
Le contrecoup d'une montée d'adrénaline n'est pas à prendre à la légère, surtout pour un petit gabarit comme celui de cette fille. J'en veux pour preuve qu'elle galère pour se redresser. Ou alors c'est la baffe qui l'a mise légèrement KO.
Toujours est-il que je me baisse à nouveau pour venir passer mon bras dans son dos afin de lui donner l'appui nécessaire pour l'aider à se relever alors que les ambulanciers accourent dans notre direction pour prendre la relève.
- Elle a prise une sacrée baffe par l'un de ces deux tocards.
L'ambulancier devait déjà s'en douter vu la marque qu'il a laissé sur sa peau délicate. Je profite de voir l'attention des intervenants sur la jeune inconnue pour m'éclipser discrètement à l'abri des regards. Les flics je les connais et... eux aussi me connaissent que trop bien pour avoir visité le commissariat de la ville à plusieurs occasions.
Les soins et la prise de déposition des différents témoins prend facilement une bonne heure que je passe éloigné de cette foule tout en observant ce qui se passe. J'attends patiemment de voir sortir... Ah, la voilà.
- Re salut ! Alors, ça va mieux ? C'était la folie là-dedans.
Si j'ai pris la peine de patienter jusqu'à ce que la jolie petite brunette en termine ce n'est pas par bonté d'âme. Il y a une partie de moi qui l'a trouvée plutôt bien foutue quand ma main est entrée en contact avec ses gros seins quand j'ai aidé à se relever. Et l'autre... bah qui a juste décidé d'exploiter cette excuse pour passer le temps car je suis toujours coincé dehors. Quitte à s'emmerder autant le faire avec quelqu'un d'autre.
- Et si je te payais un coup à boire ? Parce que dans tout ça on n'a pas pu acheter ce qu'on voulait.
Un grand sourire sur le visage et le poing levé avec le pouce qui dépasse je lui montre qu'il y a un fast-food avec des tables en terrasse à quelques pas d'ici. La chaleur qui se fait de plus en plus insistante pourrait également jouer en ma faveur.
- Ce serait l'occasion de souffler un peu. Surtout que le coin est pas sûr.
De bien des façons vu que mes intentions sont très loin d'être nobles. Mais bon, chaque chose en son temps.
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La douleur de la claque irradie dans tout mon visage et je suis persuadée que les traces de doigts de la main de ce malfrat se sont imprégnés sur ma peau laiteuse. La marque doit sans doute être bien visible vu la chaleur qui ne me quitte pas. Je remercie chaleureusement l'inconnu qui décide gentiment de m'aider à me relever et je m'appuie non sans gêne sur lui pour rétablir le poids de mon corps sur mes jambes.
- Merci de m'aider, le coup était douloureux oui.
Nous n'avons pas d'avantage le temps de discuter que les ambulanciers accourent vers nous et se dirigent immédiatement vers moi en remarquant l'état de mon visage. Je réponds avec le plus de précisions possible aux questions qui me sont posées et je les laisse faire leur travail et vérifier mon état physique. Je tente de les rassurer en leur expliquant que je n'ai rien de grave mais ils préfèrent quand même prendre le temps de vérifier mon état psychologique au vu de mon état de choc.
Néanmoins le pic d'adrénaline fini par doucement redescendre et je n'ai plus qu'une seule envie, quitter ce magasin oú je n'aurais jamais dû me rendre. Les policiers ne m'embêtent pas plus que nécessaire et prennent ma déposition rapidement. J'imagine qu'ils ont l'habitude de ce genre d'affaires qui doivent être monnaie courante dans le quartier.
Je suis finalement congédié et je quitte l'établissement en me prenant une vague de chaleur harassante dans le visage. Je grimace un peu en m'éloignant jusqu'à ce que l'homme de tout à l'heure vienne jusqu'à moi. L'étonnement doit sans doute se lire sur les traits de mon visage lorsque je suspecte qu'il m'ai attendue mais j'en suis plutôt contente. J'avais la une occasion de le remercier de m'avoir aider.
- Oui ça va mieux merci. Plus de peur que de mal comme on dit ! Merci encore de m'avoir soutenue et de ne pas m'avoir laisser seule dans mon coin.
Je l'observe un peu plus attentivement lorsqu'il me propose de me payer un verre. Je m'aperçois qu'il est plutôt bel homme et qu'il dégage quelque chose d'assez attirant. Si j'aurais d'ordinaire probablement refuser son invitation , la situation fait que je réagis cette fois ci autrement sans me douter de ses arrières pensées.
- Je veux bien, c'est vrai que je suis assoiffée et que je dirai pas non à un bon rafraîchissement.
Je tire un peu sur ma robe qui se colle d'avantage à mon corps et je me rends compte que j'ai vraiment très chaud. Lorsqu'il emboîte le pas, je le suis alors jusqu'au fast food et m'installe en face de lui lorsque nous nous asseyons.
Naturellement, je me cambre un peu en croisant les jambes, ma poitrine opulente ressortant d'avantage encore sous le fin tissus de ma robe.
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Le trajet ne dure pas plus d'une minute ou deux pour arriver à destination. Pas mal de tables sont disponibles et je laisse la jolie petite brunette s'installer tranquillement pour en faire de même. Enfin juste le temps de dire qu'on a trouvé une table car je me relève aussi vite pour aller commander à la borne automatique.
- Tu veux quoi ?
Le temps de prendre sa commande et je file m'occuper de tout en demandant d'être servis directement à notre table car j'ai franchement une flemme monstre de faire la queue, climatisation ou pas. Puis je retourne rapidement à ma table quand je remarque qu'un groupe de trois crevards a profité de l'occasion pour l'accoster. Y a pas à dire, cette ville est vraiment constitué de vautours.
- Dégagez les mecs, elle est avec moi.
Ma remarque n'a pas l'air de leur suffire car l'un d'eux me regarde de travers comme s'il cherchait à faire une baston de regard. Très bien, j'ai compris le message. Histoire d'en finir rapidement pour avoir la paix je m'avance vers le type en question tout en soupirant pour lui faire une balayette qui le fout instantanément au sol.
- Allez faire chier quelqu'un d'autre. Sérieux...
Les deux autres membres du groupe aident leur pote à se relever pour prendre leurs jambes à leur cou. Pourquoi je me retrouve mêlé à ce genre de connerie alors que j'ai justement quitté le quartier de la Toussaint pour avoir la paix ? C'est la chaleur qui pousse les gens à la connerie ou quoi ? Parce que là ça fait beaucoup.
Je me retourne rapidement vers mon date improvisé pour m'assurer que tout va bien en lui lâchant quelque chose de totalement inapproprié.
- Faut dire que ça aide pas d'avoir les seins qui débordent de ta robe. J'me plains pas de la vue, hein. Mais tu risques d'avoir de la foule aux basques.
Faut appeler un chat, un chat après tout. Elle est super bien foutue avec sa grosse paire de nibards que tous les hétéros dans un rayon d'une centaine de mètres doivent crever d'envie de jouer avec. J'en ai vue plusieurs la reluquer furtivement alors même qu'ils sont en couple.
Si elle n'avait pas cet air innocent elle passerait sûrement pour une pro car aucune nana saine d'esprit irait se balader en ville sans soutif. Ou sans protection vu le nombre de dragueur au mètre carré.
- Tu comptais aller où habillée comme ça ? Tu voulais draguer pour te trouver un plan cul ? Attention, je juge pas. Si ça se trouve je t'ai même cassé ton coup si tu voulais partir avec eux.
On vise vraiment dans la nymphomanie sévère si elle cherche à se taper un groupe d'inconnus pour passer le temps.
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- Une limonade s'il te plaît !
Je lui répond avec un petit sourire tandis qu'il a la délicatesse de s'occuper d'aller commander nos boissons directement à l'intérieur. Je dois dire qu'après ce que je viens de traverser, je n'ai pas vraiment envie de bouger mes fesses de la chaise sur laquelle je suis assise. Sauf que je n'ai pas besoin de me lever pour trouver à nouveau les ennuis puisque ceux ci viennent directement à moi.
A peine mon nouvel ami a-t-il disparu du paysage qu'une bande de mecs aux intentions clairement mauvaises vient m'accoster. Je me tends aussitôt lorsque je remarque qu'ils me dévisagent de la tête aux pieds avec un regard tout à fait malsain mais je n'ai pas le temps de réagir d'avantage que mon "sauveur" revient aussitôt.
Il prend à nouveau les choses en main et nous débarrasse rapidement des individus indésirables sans hésiter à en maltraiter un. Je dois dire que ce petit spectacle est particulièrement plaisant et que cette démonstration de force ne me laisse pas tout à fait insensible. Je le reluque à nouveau, discretement, jusqu'à ce qu'il se retourne face à moi pour m'indiquer clairement que ma tenue est à la limite de la décence.
Je rougis un peu mais prend le partie de lui répondre, de manière tout aussi naturelle que provocatrice :
- Je n'aime pas trop les soutiens-gorges, c'est vraiment désagréable et puis j'aime la sensation du tissus contre mes seins.
C'était quelque chose qui avait tendance à m'exciter un peu tout comme le regard des autres sur moi avait tendance à me réchauffer. Je ne l'aurais jamais avoué à voix haute, mais j'aimais lire dans le regard des hommes l'effet que pouvait leur faire la vue de ma plastique. Un peu comme celui qu'avait mon interlocuteur actuellement. Je pouvais remarquer que son regard s'echouait régulièrement dans mon décolleté et ça me plaisait.
Mais ce n'était pour autant pas mon style d'aller chercher directement la drague. Je le reprenais d'ailleurs à ce sujet.
- Oh, non, non bien sûr... je comptais aller faire juste un peu de shopping en realité.
Nos boissons arrivent dans des cups capuchonnées avec des pailles dans le petit interstice prévu à cet effet. Je remercie la serveuse d'un petit sourire et attrape la paille entre mes lèvres pour commencer à siroter ma boisson.
Je lève alors mon regard vers lui pour plonger mon regard dans le sien, enfoncent la paille un peu plus loin et creusant mes joues pour aspirer le liquide. Je le fixe quelques secondes en baissant et remontant mes lèvres autour de la paille, continuant mon petit manege avec l'air de rien avant de décroiser les jambes et l'interroger.
- Et sinon... quel est ton prénom ?
-
Ah ouais ? Elle sort fringuée comme ça juste pour une virée shopping ? Faut être sacrément naïve pour espérer ne pas se faire accoster par tous les mecs du coin en se baladant sans soutif et avec les tétons qui pointent autant que dans son cas.
V'la mon coca et la limonade de la mignonette qui arrivent, portés sur un plateau par une serveuse à qui j'offre un clin d'oeil car elle est vraiment pas mal. Un beau petit cul comme le sien risque de me donner envie de repasser dans le coin très rapidement pour vérifier la qualité des menus. Mais ne soyons pas impoli, j'ai déjà ce qu'il faut à portée de main pour aujourd'hui.
- Moi c'est Souta et toi ?
J'avais pas fait attention jusque là car mon regard était trop souvent porté par d'autres parties de son corps, mais elle a de beaux yeux. On pourrait presque se perdre dedans si on n'est pas assez prudent.
- Je balance ça comme ça, mais si tu veux je peux t'accompagner si t'as toujours envie d'acheter des fringues.
Alors que Manea est en train de me répondre, mon portable que j'avais déposé sur la table après m'être posé pour siroter ma boisson se met à vibrer car je reçois un appel. Sauf que je m'attends vraiment pas à voir s'afficher cette photo sur l'écran avec le nom Cosplayeuse écrit en gros.
(https://zupimages.net/up/24/13/j2pr.jpg)
Il s'agit d'une nana que je me suis tapé le week-end dernier après avoir visité une convention durant laquelle je devais protéger la fille d'un client des otakus un peu trop libidineux. On pourrait croire que ce genre d'évènement serait une galère monstre alors qu'en fait pas du tout car il y a un tas de filles toutes aussi sexys les unes que les autres qui s'avèrent être en manque d'attention.
Puis comme à mon habitude je n'ai pas pu m'empêcher de faire quelques photos et vidéos pendant qu'on s'amusait. Si ça se trouve elle a joué avec mon portable après pour mettre cette photo en ajoutant son numéro à la fin avant que je m'en aille.
- Oups...
Je prends volontairement quelques secondes de trop pour verrouiller mon téléphone afin que Manea ait le temps d'en voir tous les détails. Une nana qui a un petit côté exhib ne devrait pas être trop choquée en voyant une photo cochonne. Si ça se trouve ça pourrait même lui donner des idées pour plus tard si on poursuit cette journée ensemble.
- Tu comprends mieux pourquoi je voulais pas refiler mes affaires à ces deux types tout à l'heure. J'ai tous mes souvenirs dans mon téléphone.
Une traduction de la chose me semble inutile. Le message est assez clair sur le contenu du portable.
-
Je sirote tranquillement ma limonade en souriant. Si j'étais encore un peu sous le choc il y a quelques minutes encore, c'était un tout autre sentiment qui m'imprégnait à mesure que je discutais avec le dénommé Souta.
- C'est Manea. Ravie de te rencontrer, donc.
Il me propose finalement de m'accompagner pendant mes emplettes et je detourne le regard quelques secondes lorsque l'idée qui m'effleure l'esprit de m'exiber devant lui en sortant d'une cabine d'essayage me donne tout à coup plus chaud. Je laisse planer le doute un bref instant avant d'accepter sa proposition.
- Eh bien pourquoi pas. De ce que je vois, rien ne peut m'arriver si tu es dans les parages ! Tu as l'air de savoir te défendre.
Puis son portable se met soudainement à sonner et l'image qui s'affiche sur son écran de téléphone me fait ecarquiller les yeux. Une vague de chaleur submerge le bas de mon ventre lorsque je distingue nettement ce que je suppose être sa bite logée entre les énormes seins d'une nana au regard salace.
Je me mordille la lèvre et croise à nouveau mes jambes alors que cette vision a pour effet d'humidifier légèrement le tissus entre mes cuisses. Le rouge me monte inévitablement aux joues et je hoche doucement la tête lorsqu'il m'explique la raison principale du pourquoi il n'a pas obéit aux mecs du braquage.
- Hum... eh bien... ça se comprend en effet...
Je gigote un peu sur ma chaise et mes tetons deviennent d'avantage encore visible à travers le tissus de ma robe, signe que cette simple petite image m'a fait de l'effet.
Je ne pouvais pas me retenir de chercher à en savoir plus sur ce genre de "souvenirs" dont il parlait. J'étais de nature sans doute trop curieuse.
- Et tu en as beaucoup des souvenirssur ton téléphone ?
Je termine finalement ma boisson bien trop rapidement et je m'aperçois que j'ai presque aussi chaud qu'avant de commencer à me désaltérer. Sauf que cette fois ci ce n'est pas du qu'à la chaleur importante. Je tire alors un peu sur ma robe ce qui a pour effet de dévoiler d'avantage la rondeur de mes seins de sorte qu'il pourrait presque deviner l'ombre de mes tetons. Je rajoute même :
- Il fait vraiment très chaud aujourd'hui non ?
-
La façon qu'elle a de rebondir sur les souvenirs que je garde dans mon portable a pour effet de me faire rigoler. J'hésite à lui répondre avec un bon gros "si tu savais" vu qu'il y a facilement une bonne trentaine de nanas avec qui j'ai immortalisé notre rencontre sous forme de photos ou de vidéos. Pour les autres il y a les sextos.
- Disons que j'en ai quelques uns.
Techniquement ce n'est pas faux. C'est juste que le nombre est relativement revu à la baisse pour ne pas la faire flipper car certaines filles peuvent être choquées par ce genre de chose. La réaction de Manea semble différente ceci dit.
- Tu trouves ? En tout cas tu devrais faire gaffe en tirant sur ta robe car tu vas faire bondir tes gros seins hors d'elle. Ou alors on devrait aller dans un endroit plus isolé si tu veux tant me les montrer.
Je lâche ma remarque à la rigolade pour la titiller volontairement car j'ai vu à quel point la photo qui est apparue sur mon portable l'a déstabilisée juste avant. En tout cas ça sent l'ouverture et je ne me gêne pas pour m'engouffrer dedans et voir où ça peut me mener.
L'envie de la provoquer est tellement prenante que je poursuis sur ma lancée en revenant sur le contenu de mon portable qui semblait étrangement l'intéresser.
- Je pourrais même en profiter pour te montrer ce que j'ai d'autre sur mon portable.
Et si les choses vont dans le bon sens elle finira même dans ma collection. Car de ce que je vois elle possède tous les arguments pour que l'on passe un bon moment tous les deux. On peut rester ici et commencer cet après-midi aux chiottes. Ou alors changer de lieu pour faire les magasins comme elle l'avait prévue initialement.
L'idée de se trouver un petit love hôtel pour y passer la journée et la nuit me va tout aussi bien car j'ai assez d'énergie pour un marathon sexuel.
Il me reste encore la moitié de ma boisson dans mon gobelet. Vu que la balle est dans son camp, je peux me permettre de me rincer le gosier tranquillement en aspirant volontairement fort pour produire beaucoup de bruit. Chaque geste de ma part est destiné à la déstabiliser car ses adorables réactions m'amusent de plus en plus.
- Alors, t'en dis quoi ? On reste ici ou se tire ?
Le but n'est pas de la presser vu qu'on a tout notre temps. C'est juste qu'au final il va falloir qu'elle fasse un choix car je ne compte pas passer ma journée à boire du Coca.
-
Je vois bien que le regard de Souta se fait de plus en plus insistant sur mes attribus et cela a tendance à faire monter ma température corporelle. J'aime silencieusement la manière qu'il a de me mater et je cherche à provoquer d'avantage encore de reaction en en devoilant un peu plus sur mon corps. Il ne se gêne pas d'ailleurs de le relever ce qui me fait sourire en coin.
- Oh ce serait fâcheux effectivement... même si ils auraient bien besoin de prendre l'air.
Je lui lance un petit regard appuyé avant de détourner le mien, oscillent entre provocation et gêne. J'avais pourtant du mal à résister à son attraction ce qui me rendait sans doute plus démonstrative qu'à mon habitude.
Il me propose alors d'en découvrir d'avantage sur ce qui se trouve sur son téléphone et la curiosité m'anime à tel point que j'imagine déjà le genre de clichés qu'il peut receler. La tentation est trop grande et mon excitation grandissante de sorte que je le laisse finir sa boisson avant d'acquiescer et lui proposer de prendre le large.
- Allons-y, j'espère que tu es patient car j'aime bien essayer les fringues que j'achète.
Je me relève sans attendre mon reste, déstabilisée mais impatiente. Je m'assure que notre consommation est réglée avant de quitter la terrasse du fast-food et me diriger vers une petite boutique de prêt à porter à quelques mètres de là dans laquelle j'ai l'habitude de faire mes achats. Joueuse, je joue des hanches devant lui pour lui laisser l'occasion d'observer mon cul se déhancher.
Je ne traîne pas trop cependant pour éviter de nous attirer d'autres ennuis et disparait dans les rayons avec une petite idée en tête. L'avantage de cette boutique, c'est qu'elle propose tous types de vêtements, du plus simple ou casual au sexy à la limite de la décence. Et aujourd'hui, j'ai bien envie d'investir dans un petit ensemble un peu plus inconvenant que d'habitude.
Je m'assure qu'il est toujours derrière moi avant de lui lancer un petit :
- Tu me suis ?
Et je n'attends pas sa réponse avec de disparaître en cabine avec trois tenues à essayer. Je me fais un peu désirée mais je prend le temps d'enfiler la petite jupe moulante en cuir fendue sur le côté sans rien mettre dessous. Pour dissimuler mes gros seins, un vulgaire petit croc top noir au décolleté très échancré, dont le tissus légèrement transparent laisse une fois encore apparaître mes tetons durcis.
La tenue est outrageusement vulgaire mais je ne doute pas un instant qu'elle lui plaira. J'ouvre alors le rideau de la cabine pour sortir m'exiber devant lui, jetant tout de même un coup d'œil autour de moi pour m'assurer qu'il n'y a personne d'autre.
- Alors comment je suis ?
-
La proposition que je viens de lui faire semble clairement lui plaire car on ne fait pas de vieux os autour de la table. Au grand détriment des mecs qui se incantaient l’œil sur elle depuis un petit moment alors que certains étaient venus en couple. Dieu sait que je vous comprend les mecs. Les jolis petits lots c'est pas ce qui manque en ville. A la seule différence que celui-là a des idées salaces en tête et que vous serez pas là pour le vérifier.
- Ca me va.
La remarque sort presque machinalement lorsqu'elle me demande si je suis prêt à faire preuve de patience. A la base ce n'est pas une de mes plus grandes qualités. Par contre j'ai été forcé de la développer car sinon je me serais jeter du haut d'une résidence plus d'une fois vu à quel point il peut arriver qu'on se fasse chier durant une planque ou lors de la protection de certains clients. Le pire étant les vieux briscards qui vont faire des tournois de golf. Ces fossiles sont toujours aussi paranos que dans leur jeunesse et pensent que des gens veulent encore leur tête alors qu'à leur âge ils sont probablement tous séniles depuis une décennie.
Notre nouvelle destination n'est pas bien loin et je ne me gêne pas pour profiter du spectacle qu'elle m'offre en se dandinant sous mes yeux pour mon bon plaisir. Et celui de tous ceux qui ont eu la chance de se tourner dans sa direction. Un mec s'est même pris une baffe en pleine face car il s'est fait gauler par sa petite amie.
A peine à quelques pas d'elle, mon regard remonte quand elle me demande si je suis toujours là.
- Huhum.
Je vois bien à son énergie et sa gestuelle qu'elle ne cherche pas vraiment à ce que je m'étende sur ma réponse de toute manière. Du coup je la regarde en gardant un peu mes distances pour finir par me poser sur un des bancs qui se troue à proximité des cabines d'essayages. Pour le moment Manea est la seule à essayer des fringues donc on a toute notre tranquillité.
Au fil des secondes qui passent j'essaie de voir ce qu'elle peut bien faire dans cette cabine alors que mes regard ne parvient pas à voir grand chose de plus que des ombres et la pointe de ses pieds par instant. Mon attention est alors attiré par le son du rideau qui se tire, laissant place à une bombasse à la tenue qui feraient rougir certaines prostituées dont j'ai croisé le chemin par le passé.
- Bandante ? Ouais, je crois que c'est le terme technique.
Ma langue se passe sur mes lèvres sans même que je m'en rende compte tandis que mon regard est captivé par les courbes vertigineuses de Manea. Pourtant c'est la même nana qui était dans une petite robe classique il y a encore quelques minutes. Comme quoi les fringues peuvent vraiment changer une personne quand on sait les choisir.
- Approche un peu. Tourne-toi pour voir.
Ma main droite se lève dans sa direction pour lui faire signe d'approcher et de se tourner comme je le lui demande pour profiter un maximum du spectacle qu'elle m'offre. Bon sang, cette journée qi avait si mal commencée risque de se terminer de la meilleure des façons.
- Par contre tu peux pas sortir comme ça. Sauf si tu veux que les flics nous retombent dessus pour attentat à la pudeur. C'est criminel d'être aussi sexy, tu sais ?
Coincé sur mon petit banc, voilà que je me mets à frotter ma queue à travers mon jean comme pour chercher un moyen de me retenir de lui sauter dessus. Mais pour le moment je décide de ne pas bouger de ma place car connaissant les femmes elle a probablement plusieurs tenues dans sa cabine.
Par contre je ne me retiens pas de sortir mon portable pour prendre quelques clichés si elle décide de prendre la pose pour moi avant de retourner en cabine. Contrairement aux pervers des transports en commun qui partagent leurs photos volées sur le web, je préfère que le modèle sache ce qui se passe et accepte de poser.
-
Cette nouvelle situation totalement inattendue n'est pas pour me déplaire. Me voilà entrain d'enfiler une tenue hyper sexy qui appelle clairement à l'indécence avant de sortir m'exiber face à Souta.
Pire encore, je me mets presque à défiler devant lui alors qu'il sort son téléphone pour me prendre en photo. Cette idée ne me dérange pas, bien au contraire et je me cambre même d'avantage pour faire ressortir mon cul et mes seins, tournant sur moi même lorsqu'il me le demande.
Je rougis un peu lorsqu'il me dit me trouver bandante et mon regard se baisse automatiquement sur la bosse qui se forme sous son pantalon. Si lui se leche inconsciemment les lèvres en me reluquant, j'en fait de même en imaginant la queue qui se dissimule sous les remparts de tissus.
Je me tourne dos à lui et remonte même un peu ma jupe pour le laisser apercevoir la naissance de la rondeur de mes fesses afin qu'il puisse capturer cette image. Puis je me retourne, jouant le jeu :
- J'aime bien être sexy... par contre je ne voudrais pas me faire arrêter, dans ce cas je vais me changer.
Je ris un peu, consciente que la deuxième tenue n'est pas mieux que la première et disparaît à nouveau dans la cabine d'essayage pour enfiler un nouvel accoutrement. Cette fois ci, j'opte pour une robe rouge intense et moulante totalement ouverte dans le dos dont le décolleté plongeant laisse apparaître la naissance de mes fesses. Ma poitrine a comme toujours du mal à rester en place même si elle est un peu moins visible et je rajoute des bas resilles et une paire d'escarpins pour pimenter un peu le tout.
Lorsque je tire à nouveau le rideau, je m'affiche tout autant voir plus sexy encore que la première fois, et je défile à nouveau, me penchant face à la caméra et cette fois ci face à lui, dans une position bien plus lascive.
Je viens poser mes mains sur ses épaules et effleurer presque son visage de ma poitrine, avant de me redresser et me retourner pour que son visage se retrouve cette fois ci à hauteur de mon cul et de ma chatte qui commence à s'humifier de plus en plus à cause de ce petit jeu. J'ondule un peu des hanches, comme pour l'inciter à me toucher.
Je lui lance alors d'un ton innocent, glissant un doigt contre mes lèvres :
- Et cette fois tu penses que c'est mieux ?
-
Le fait de la voir poser et même défiler sous mes yeux et l'objectif ne me surprend pas réellement car elle n'a pas non plus été choquée par la photo qu'elle a vu sur mon portable tout à l'heure. Elle devait donc se douter dans un coin de son esprit que je profiterais de l'occasion pour prendre quelques petits clichés vu que la perche tendue était trop tentante.
- Et moi je ne bouge pas.
Sa nouvelle tenue est plus élégante que la précédente tout en restant sexy à souhait. Après j'ai envie de dire que ce n'est pas difficile quand on a physique aussi ravageur que le sien. Beaucoup de personnes disent qu'un rien suffit pour habiller une belle personne et ils ont raison.
Son parfum me fait légèrement chavirer lorsqu'elle décide de se rapprocher dangereusement de moi en déposant tout d'abord ses petites mains sur mes épaules. Entre l'attaque et la chaleur elle devrait pourtant plus sentir la transpiration qu'autre chose. Et il n'en est rien du tout. En tout cas mes sens en profitent au maximum en ne boudant pas leur plaisir.
Ma main gauche qui est encore libre profite de cette occasion alors qu'elle se dandine sous mes yeux pour venir agripper fermement une de ses fesses sans y mettre trop de force. Déchirer un peu cette robe ne me dérange pas niveau pognon. C'est juste qu'elle est tellement sexy dedans que ce serait du gâchis.
A l'aide de mes doigts je lui pétris le cul avec soin et envie durant les dix secondes qui suivent sans répondre directement à sa question. Je me contente de la regarder en souriant dans un premier temps.
Une fois ce petit massage terminé, je me penche de nouveau en arrière pour revenir frotter ma queue à travers mon jean. La bête commence doucement mais sûrement à se réveiller et la bosse qui déforme mon pantalon est clairement visible alors que je ne suis ps totalement dressé.
- Je te laisse deviner.
Je marque une très courte pause pour reprendre dans un ton qui mélange sérieux et provocation en conservant le contact visuel sans cligner des yeux un instant.
- Par contre je suis curieux de voir comment t'arrives à faire entrer tout ça dans de si petites fringues. Faut absolument que tu me montres ça.
Le message est clair : on va retourner tous les deux dans la cabine d'essayage si elle décide de jouer le jeu. Tout en sachant qu'elle n'est pas la seule à se sentir compressée par ses fringues. De mon côté aussi je peux sentir que mon boxer est en train d'atteindre ses limites et que mon gland va en déborder pour se frotter contre mon jean à tout moment.
- Je pourrais en profiter pour te montrer d'autres de mes souvenirs vu que t'étais si curieuse tout à l'heure. Ça me parait équitable comme échange.
En tout cas de mon point de vue.
-
Les réactions de Souta face à ma nouvelle tenue sont effectivement tout à fait explicites et il n'a pas besoin de me le dire pour que je saisisse facilement l'effet que je lui fais. La bosse qui se forme au niveau de son pantalon attire forcément mon oeil et ce n'est pas l'envie qui me manque d'aller tâter ce qui se cache la dessous.
Je le provoque encore d'avantage et frissonne lorsqu'il agrippe mes fesses pour en découvrir les courbes et je me cambre même un peu en arrière pour l'inciter à y aller plus franchement. Sa poigne est ferme et dominatrice, ce qui m'excite encore d'avantage.
Je me mordille un peu la lèvre, sans quitter son regard et lorsqu'il me demande de lui montrer comment je rentre dans les vêtements que j'ai choisis, je lui offre un large sourire. Je fais évidemment exprès de prendre une taille en dessous pour tenter de faire ressortir au mieux mes formes qui ont l'air de le mettre sacrément en appétit.
- Alors viens voir ça par toi même.
L'idée d'en voir également d'avantage de ce qu'il cache dans son téléphone éveille en moi une curiosité malsaine. J'ajoute donc :
- ça me paraît équitable comme marché
Et sans tergiverser plus que nécessaire, j'agrippe sa main avec délicatesse pour l'inciter à se lever et à me suivre jusque dans la cabine. Je trépigne d'impatience à l'idée de sentir ses mains partout sur mon corps, à tel point que pendant qu'il se relève, je glisse mon autre main, discrètement jusqu'à la bosse au niveau de son bassin pour l'effleurer avec envie.
Une fois que nous sommes tous les deux dissimulés derrière le rideau de la petite cabine exiguë, je me mets face à lui et tire sur le bas de ma robe pour faire remonter ma poitrine imposante. Les deux seins, bien trop à l'étroit dans cet étau de tissus bondissent par dessus la robe pour jaillir juste sous ses yeux. Je lui lance alors un petit :
- Oups... c'était vraiment trop étroit cette fois-ci...
Avant de les prendre entre mes mains et de les resserrer l'un contre l'autre, je glisse le bout de mes doigts sur mes pointes dressées qui ne demandant qu'à être stimulées. Je m'approche à nouveau un peu plus de lui pour lui laisser tout le loisir de s'imprégner de mon parfum tout en observant ses réactions, frottant très légèrement mon bassin contre le sien.
- J'ai l'impression que je ne suis pas la seule à être à l'étroit d'ailleurs.
-
Inutile de préciser que je ne me fais pas prier pour la suivre au sein de la cabine lorsqu’elle décide de me prendre la main pour nous emmener tous les deux dans un espace que je trouve finalement plus grand que je l’imaginais. J’ai déjà vu des studios plus petit que ça par le passé. Il m’est même déjà arrivé de me retrouver coincé dans des endroits bien plus rikiki pour échapper à des types qui en avaient après mon corps. Du moins… pas de la même façon qu’elle. Enfin je l’espère en y repensant.
Mon attention retourne très rapidement sur elle quand elle décide de quasiment me balancer ses nichons au visage en les faisant se balancer dans les airs en virant sa robe d’un geste d’une précision machiavélique. Et en voyant les deux bestioles jumelles je pense bien fort que, ouais, je la crois sur parole. Les pauvres ne devaient demander qu’à être libérées pour respirer enfin.
Je ne réponds pas a haute voix, trop occupé a laisser son parfum m’emplir les narines une nouvelle fois alors qu’elle s’amuse a me chauffer en jouant seule avec ses tétons.
- Tu crois ?
Ma main gauche revient lui saisir le cul avec autant de fermeté que la fois précédente pour mieux faire se coller son corps contre le mien. Son regard est captivant et je reste plongé dedans plusieurs secondes sans réagir avant d’ajouter.
- Faut dire que tu me chauffes pas mal depuis tout à l’heure. A croire que tu cherches quelque chose.
Je range mon portable dans ma poche pour venir me saisir de sa main gauche afin de la guider directement sur la bosse qui déforme mon jean. Mais je ne m’arrête pas en si bon chemin car je fais glisser celle-ci, très lentement, sur toute la longueur pour que la jolie Manea sache a quoi s’attendre.
- Et dis-toi qu’elle est pas encore totalement en condition comparé a ce que t’as vu sur la photo. Mais tu peux vérifier directement si tu me crois pas.
Reste a voir si elle en aura l’audace. Surtout que je risque de me retrouver incapable de sortir si elle me stimule trop.
- D’ailleurs, tu veux que je t’en montre d’autre ? Tu voudrais voir quoi ? La fois où j’étais avec la sœur de la nana de la première ou ma soirée avec une autre fille et sa belle-mère ?
-
La tentation est trop grande et la promiscuité entre nos corps une fois que nous nous retrouvons coincés dans cette cabine m'incite à passer à la vitesse supérieure. Je ne suis pas forcément très entreprenante d'habitude mais cette fois-ci l'envie de me faire sauter est plus forte que tout le reste.
Alors quand il m'agrippe le cul pour nous coller un peu plus l'un contre l'autre je m'en réjouis et donne des petits coups de bassin contre le sien. Je ris un peu lorsqu'il il "m'accuse" de le chauffer et prend ce petit air faussement innocent dont j'ai l'habitude.
- Je ne vois pas de quoi tu veux parler.
Les seins toujours à l'air face à lui, je frissonne un peu lorsqu'il attrape ma main pour venir la coller sur son paquet. Je devine aisément les formes de la belle queue qui se cache dessous et j'adore le sentir ainsi durcir.
- C'est vrai que c'est très prometteur. J'ai bien envie de vérifier.
Et pour joindre le geste à la parole, je viens délicatement déboutonner son pantalon et baisser sa braguette, tirant sur les pans de son jean pour laisser place à une énorme bosse que je me mets à caresser à travers le fin tissus de son boxer.
Un sourire etire mes lèvres lorsqu'il me propose de voir d'autres photos sur son téléphone.
- Je veux voir les plus salaces... pendant que j'en découvre un peu plus par moi même.
Je tire alors sur son pantalon tout en m'agenouillant pour me donner plus d'espace, avant de venir libérer l'objet de mes désirs de sa prison de tissus. Je regarde sa belle bite se dresser avec mes yeux brillants tout en lorgnant dessus.
- Elle me fait vraiment très envie.
Puis mes lèvres viennent d'elle même se poser sur la tige de chair pour la lecher de haut en bas.
-
Si il y a un moment que j’affectionne tout particulièrement c’est lorsque la fille avec qui je suis lance les hostilités. Et autant dire que je ne suis pas déçu par la façon de faire de Manea.
Je me laisse faire tel un mannequin alors quelle s’occupe avec aisance de mon pantalon pour l’ouvrir tout d’abord afin de s’offrir une vue et un accès a mon sous-vêtement qui doit déborder.
Un immense sourire pervers déforme alors mon visage quand elle me dit en vouloir plus tout en poursuivant son oeuvre. Surtout qu’elle y va plus franchement une fois à genoux face à moi pour me foutre le bordel au complet a l’air libre.
Rien n’est plus excitant qu’une nana qui sait ce qu’elle veut et qui fait tout pour l’obtenir. Et puis qui je suis pour l’empêcher de passer du bon temps avec ma queue ? Je ne suis pas un monstre.
- Fais-toi plaisir si elle te plaît autant. Surtout qu’elle adore les bonnes suceuses
Heureusement pour moi j’avais récupéré mon portable juste avant qu’elle ne s’attaque à moi de façon aussi lâche. Entre deux gémissements et frisson de plaisir a la sensation de sa langue sur ma peau sensible je parviens à accéder a mon répertoire de photos pour en sortir une et la montrer a Manea.
(https://simp6.host.church/images3/660626d78780258738393636c4e9e84d6e52d7f5127f371c.jpg)
- Regarde, c’est une nana que j’me suis tapé il y a une semaine. Je me suis tellement bien occupé d’une cosplayeuse qu’elle m’a envoyé sa frangine qui venait de rompre avec son copain.
La première photo est assez soft car on peut juste y voir une belle femme a la peau d’ébène prendre la pose pour moi. Au bout de quelques secondes je tourne l’écran vers moi pour changer de photo pour lui en montrer une qui correspond plus a sa demande.
(https://simp6.host.church/images3/sample_8b932bf886194ada7a5508c803272d13cc8f13ff619b6464.jpg)
- On venait à peine d’arriver à la piscine d’un spa qu’elle n’a pas pu s’empêcher de se frotter contre ma queue. Un peu comme toi, haha.
Histoire d’aller avec ma remarque suivante, je fais remuer lentement mon bassin pour faire frotter mon gland contre ses lèvres en cherchant par la même occasion de déborder pour glisser sur ses joues.
- Fais-moi bander bien dur pour qu’on voit si on obtiendra le même résultat avec toi.
Puis on reprendra l’histoire juste après.
-
J'adore sentir les frissons que je lui procure en laissant mes lèvres explorer sa grosse queue qui ne demande qu'à ce qu'on s'occupe d'elle. Il n'y a pas à dire il est vraiment bien équipé et cela me donne envie de mettre du cœur à l'ouvrage.
Mon regard oscille donc entre le sien et son téléphone sur lequel il pianote pour afficher les photos qui m'intéressent. Si la première ne retient pas spécialement mon attention, la deuxième elle, est tout de suite plus intéressante. Les images de ces nanas dans des positions et des situations tout à faut indélicates me donnent envie de rejoindre sa petite collection et voir même d'être au top du classement. Je lui souffle :
- Difficile de se retenir devant une queue pareille je la comprend, elle est tellement grosse que ça donne envie de la bouffer.
Et je n'imaginais même pas les sensations une fois dans ma petite chatte ou même mon cul. La chaleur grimpait encore d'un cran tandis que j'entre-ouvre les lèvres lorsqu'il vient glisser son gland sur celles-ci pour faire tout juste penetrer celui-ci entre elles. Je me mets à sucoter le bout de sa bite avant de me mettre à le lecher plus franchement, salivant sur son membre que je sens grossir encore. Je fini par le prendre en bouche et resserrer mes lèvres au maximum, entamant quelques vas et vient simplement pour le faire bien durcir.
Lorsque je le libere de ma bouche, un léger filet de bave relie encore mes lèvres à son gland.
- Je suis sûre qu'on peut faire encore mieux même.
L'excitation aidant et alors que je commence à être sacrément en chaleur, j'ecarte naturellement un peu les cuisses, venant jouer d'une main avec mes seins et caressant ses couilles de l'autre.
Mon regard chaud bouillant se plante dans le sien et je lui lance :
- Car j'ai bien l'intention de me faire remplir de sperme aujourd'hui
-
La pipe que m’offre la jolie Manea est en train de prendre de plus en plus forme au fil des secondes et je me régale presque autant qu’elle d’où je suis. La sensation de cette bouche gourmande, humide et affamée sur mon membre en évolution constante me fait soupirer d’envie.
- Et tu veux commencer par où ?
Alors que les mains de la belle sont déjà occupées a jouer avec son propre corps ou a stimuler mes boules bien pleines, les miennes ne le sont pas du tout. J’aime d’ailleurs tellement sentir ses petits doigts fins sur mes burnes que je fais en sorte de ne pas la déranger de ce côté quand j’attrape la base de ma queue qui commence presque a trouver toute son amplitude et son poids pour la faire tapoter sur ses lèvres et sa langue.
- Tu cachais bien ton jeu.
Devant elle, toujours en lui agitant ma queue pour la motiver a me pomper, je commence a enclencher le mode photo pour enregistrer sa réaction suite a mon commentaire.
- Derrière ton air innocent se cache une sacrée cochonne. Vas-y, montre-moi comment tu suces.
Je n’ai pas envie de la guider dans une direction particulière. Pas pour le moment en tout cas. Surtout qu’elle m’a l’air d’être pleine de talent et d’idées dans le domaine.
Tout ce que je compte faire là c’est savourer chaque seconde en lui exprimant autant visuellement qu’oralement mon plaisir.
Ma bite est toute à elle pour les prochains instants. La vue d’ici avec son visage fin qui remue pour satisfaire mon membre bien trop gros et grand pour elle m’excite au plus haut point. Je devrais arriver en pleine érection dans quelques secondes si elle continue sur ce rythme.
Ce n’est qu’à partir de là que les choses sérieuses commenceront.
-
Je ne cache pas mon plaisir et mon excitation grandissante malgré mon petit côté timide qui fait par moment rougir mes joues. Ce n'est pas pour autant que je m'empêche de laisser libre cours à mes envies les plus incongrues comme celle de m'adonner à des activités sexuelles au beau milieu d'une cabine d'essayage dans un magasin de prêt-à-porter.
Je n'imagine même pas l'éventualité que nous puissions nous faire attraper par le service de sécurité et jeter dehors. Je suis plutôt focalisée sur le sexe que je prends en bouche et qui grossit et s'allonge sous mes coups de langue humide. Quand il sort son téléphone pendant que je caresse ses boules pleines, je fixe mon regard sur l'objectif avant de lui répondre :
- Je suis sûre qu'une photo de mes seins remplis de ta semence agrandirait bien ta collection.
Je souris lorsqu'il me dit que je cachais bien mon jeu, je n'étais effectivement pas du genre à exhiber mes préférences devant tout le monde. Même si j'aimais bien, secrètement, attirer les regards sur mon corps.
J'obéis alors à sa demande pour passer aux choses sérieuses. J'ignore si son sexe a atteint la taille maximale de ce dont il est capable au garde à vous mais il est déjà suffisamment conséquent pour me faire penser qu'il tient là une bonne érection.
Gourmande, je fais tournoyer ma langue autour de son gland avant de l'emprisonner cette fois-ci pour de bon entre mes lèvres. Je commence à le sucer avec avidité, faisant aller et venir sa queue dure dans ma bouche lentement pour me permettre de le prendre aussi loin que je le peux. Ma bouche parait minuscule autour de sa bite et ma main, qui remonte à la base pour le branler en même temps l'est tout autant.
J'ai du mal à le prendre en entier mais je l'enfonce aussi loin que possible, lui laissant le temps d'apprécier ma gorge qui s'écarte sur son chemin, avant de le reprendre entièrement en bouche pour me donner une meilleure amplitude de mouvement. J'accélère alors le rythme, creusant mes joues sur son passage tandis que la salive générée en abondance par ma bouche rend l'acte de plus en plus bruyant.
-
En règle générale les filles que je croise décident de laisser parler leur créativité pour s'occuper de ma bite lorsqu'elles découvrent de quoi est capable l'engin. Très peu vont se forcer à m'offrir une pipe digne de ce nom pour un tas de raison que je comprends parfaitement. Dans le cas de Manea, la jolie petite brunette préfère tenter sa chance pour voir jusqu'où elle peut aller.
Vouloir se concentrer sur mon gland est une excellente entrée en matière. Entre son souffle chaud, sa respiration saccadée et l'humidité de sa bouche c'est une déferlante de sensations que je savoure en soupirant à intervalles réguliers. Voir une petite bouche se déformer lentement sous mes yeux en prenant centimètre par centimètre m'excite tellement. Je me sens tout puissant, gigantesque face à une petite chose fragile.
- Force pas trop. Pas tout de suite. Il va te falloir plusieurs sessions privées si tu veux t'adapter à un morceau pareil.
Ma main libre vient prendre position sur son crâne pour aller au rythme de ses mouvements sans effectuer la moindre pression pour l'instant car je ne veux pas l'esquinter trop rapidement. On aura sûrement d'autres occasions de lui faire travailler ses techniques de gorge profonde à l'avenir.
- T'as pas dû en sucer souvent des comme ça. Alors prends ton temps, savoure.
Le flash de l'appareil photo se fait entendre dans la cabine alors que je prends un autre souvenir de notre précieux premier échange. On peut voir une bonne partie de mon membre veineux bien gonflé au chaud dans sa bouche. En zoomant peut-être même que l'on peut voir un peu de salive s'accumuler au bord des lèvres de Manea.
Mais au lieu d'enchaîner les clichés, je décide de chercher une photo bien dégueulasse pour la lui montrer et voir l'effet qu'elle lui procurera.
(https://simp6.host.church/images3/2023_07_15_04_10_39_86121611_sento_isuzu_Patreon_34a7833e7bfb126539.jpg)
Sur le cliché on peut voir une fille à la chevelure décolorée au faciès recouvert de sperme comme si un groupe lui était passé dessus. Alors que pas du tout.
- Elle aussi m'avait tellement chauffé qu'après une bonne pipe je lui ai craché si fort dans la bouche qu'elle a pas pu tout avaler. Le reste a fini en facial et dans ses cheveux. Puis c'est pas la seule...
Quelques secondes à peine me suffisent pour retrouver des photos de la fille d'avant avec qui je m'étais amusé toute la journée dans un spa. On était en début d'après-midi dans un coin isolé pendant que la majorité des clients étaient au restaurant pour déjeuner.
- Regarde, c'est la nana des photos d'avant. Elle voulait à tout prix prendre son dessert avant le repas. Ce jour-là j'étais tellement chargé que je lui ai repeint la face et les seins.
(https://simp6.host.church/images3/sample_678bb6b1e7f9f22aca63f7585ee092749231bcfe1f90b500.jpg)
Comme le disent si bien les personnes sages, il faut faire attention à ce que l'on souhaite. Cela peut vite dégénérer.
-
Je reste attentive face à ses réactions, me laissant guider face à ce qu'il semble plus ou moins apprécier. Et le peu que l'on puisse dire c'est que le petit traitement que je lui réserve avec ma bouche semble lui plaire.
Je ne retente pas tout de suite de le prendre en gorge profonde, ma bouche étant vraiment trop petite par apport à la taille de sa queue pour que la manœuvre se fasse avec facilité. Il doit s'en rendre compte d'ailleurs et me demande de ne pas trop forcer. Alors je prends le temps de savourer, appréciant le contact de sa main sur mon crane. Je ferme les yeux par moments avant de venir à nouveau plonger mon regard perçant dans le sien.
- Hmphf... pas souvent non...
Cette fellation me provoque une excitation monstre, à tel point que je commence à être sacrément humide entre mes jambes. Sa bite est tellement grosse que j'en apprécie chaque centimètre carré, chaque veine qui pulse et qui se contracte sous les vas et vient de ma bouche. Le bruit de l'appareil photo m'interpelle et une fois encore, je tente de me montrer sous mon meilleur angle, sa queue coincée entre mes lèvres, pour lui laisser un joli souvenir qu'il pourra contempler comme il le veut.
Il me montre finalement de nouveaux clichés, et mes yeux s'arrondissent face à ces deux filles pleines et dégoulinantes de sperme. L'effet est sans appel, mon excitation double d'intensité et je me mets à le pomper avec plus de vergogne encore, augmentant la cadence en cherchant presque à le faire jouir la tout de suite pour me retrouver moi aussi avec la gueule pleine de son foutre.
Mais paradoxalement, je n'ai pas envie de mettre fin à cette pipe alors je calme le jeu et le libère même de mon étreinte buccale pour me mettre à le branler doucement, mes lèvres tout près de son gland.
- Moi aussi je veux que tu me repeigne la face... j'aimerai sentir ton sperme dégouliner jusque sur mes seins.
Je le regarde avec ce petit air hagard, presque implorante, avant de rajouter :
- Mais j'en veux aussi sur ma chatte... j'en ai même très envie. Je n'ai pas l'habitude d'en prendre des si grosses, pourtant elle me donne envie de m'empaler dessus.
Il n'avait qu'à aller vérifier par lui même pour se rendre compte l'effet que toute cette petite mise en scène me faisait. J'étais même probablement entrain de souiller la robe que je n'avais pas encore acheter. Mais je m'en fichais un peu, et au lieu de ça, je reprenais ma fellation, cherchant à nouveau à accélérer un peu le rythme sans pour autant desserrer l'étau de mes lèvres.
-
La violence avec laquelle ma bite se fait maltraiter me fait presque basculer. Si je n'étais pas certain à 100% de la chose jusqu'ici, le doute n'est plus du tout permis. Lui montrer les photos des nanas avec qui je me suis amusé par le passé et dans l'état dans lequel je les ai laissées la boost terriblement. Ce n'est plus une bouche mais un aspirateur qui me dévore depuis les dernières secondes.
Je m'attendais presque à la voir forcer la chose jusqu'à obtenir sa précieuse boisson crémeuse, alors qu'elle fini par se calmer et réduire la cadence pour laisser ses mains à la peau douce et délicate passer par-dessus mes veines en étalant sa propre salive sur mon membre. En tout cas je ne suis pas en reste et la chaleur envahi chaque partie de mon corps. Comme si quelqu'un avait allumé plusieurs chauffages. Voir carrément allumé un feu à l'extérieur de la cabine et que la chaleur est sur le point de nous dévorer tous crus.
- J'vais me faire un plaisir de remplir ta petite chatte. Mais pas maintenant... Et surtout pas ici. Ils vont se poser des questions si on reste plus d'une heure à essayer des fringues. Parce que je compte bien te baiser durant des heures. Je veux te sentir jouir, t'entendre couiner au bout de ma queue.
L'envie de répondre à ses besoins et de la souiller une première fois est tellement forte que je décide de changer d'avis et de lui imposer un peu mon propre rythme en appuyant sur son crâne afin de lui faire engloutir mon chibre tendue dont le gland vient rapidement cogner contre le fond de sa gorge pour ensuite la maintenir dans cette position pendant de nombreuses secondes. Je ne la force pas à avaler plus qu'elle ne peut maintenant que j'ai pu vérifier jusqu'à elle peut aller. Mais je tiens quand même à lui montrer que je peux prendre le dessus à tout moment et contrôler les moments où elle pourra respirer ou non.
- En tout cas tu sais comment sucer une bite. T'es belle comme tout avec la bouche pleine. Une belle petite salope.
Mon étreinte se réduit pour la laisser reprendre son souffle et un rythme plus lent alors que la salive semble s'accumuler dans sa bouche. C'est alors à mes hanches d'entrer dans la danse alors que je limite toujours ses mouvements de la main pour qu'elle ne s'arrête pas totalement de m'astiquer.
Je sens bien que l'envie de jouir approche de plus en plus et je n'ai aucune envie ou raison de me retenir pour faire durer le plaisir. La journée est encore longue et elle ne semble pas vouloir qu'on se sépare en si bon chemin.
- Branle-moi avec tes deux mains.
Mon portable passe en format vidéo pour la filmer alors que je tourne l'objectif dans sa direction. J'ai les joues en feu, le cerveau en ébullition et la bite si dure et gonflée que je me demande comment j'ai fait pour ne pas céder plus tôt.
- Force-moi à te cracher partout dessus. Viens te remplir la bouche, te recouvrir le visage ou t'en étaler sur les nichons. Je peux facilement éjaculer 5 ou 6 fois avant de fatiguer.
Ce sera alors le moment de changer de lieu pour éviter de s'attirer des problèmes inutiles. Enfin, chaque chose en son temps car elle va pas ressortir indemne de cette expérience.
-
Je prends beaucoup de plaisir à sucer sa belle queue qui s'enfonce à merveille entre mes lèvres. Même si ma bouche paraît minuscule à côté de la taille de son engin, je prends sur moi lorsqu'il s'enfonce au fond de ma gorge pour l'accueillir chaleureusement, sans jamais broncher, contrôlant le reflexe nauséeux qui vient naturellement dans ce genre de moments. Mon excitation grandissante m'aide à y mettre toute la meilleur volonté du monde et lorsqu'il m'explique qu'il va me baiser pendant des heures j'en gémis d'impatience.
Je me laisse faire et le laisse maintenir le rythme, encaissant ses coups de reins entre mes lèvres jusqu'à ce qu'il décide de ralentir la cadence pour me permettre de reprendre mon souffle. Je le sens se tendre et l'impatience de sentir son foutre m'envahir devient de plus en plus présente.
Je me mets à le branler de mes deux mains avec vigueur, comme il me le demande, tout en souriant comme je le peux à la caméra qu'il active. La salive abondante facilite grandement le mouvement de mes mains et je le fais presque sortir d'entre mes lèvres pour pouvoir lui lancer :
- Fais toi plaisir j'adore en avoir partout.
Et pour l'inciter à se libérer enfin de la pression accumulée, je me remets à le pomper, alternant entre mes lèvres et mes mains pour le stimuler au maximum tandis que je laisse quelques petits gémissements d'excitation raisonner dans la cabine. Lorsque je sens enfin qu'il va exploser et que le premier jet inonde ma gorge, je garde ce que je peux en bouche tout en commençant à avaler, avant de le libérer de mon étreinte pour que son sperme vienne gicler sur mon visage.
Je garde la bouche ouverte et la langue pendante, attrapant mes seins pour les soulever un peu afin qu'eux aussi aient le droit à leur arrosage. Lorsqu'il fini par se vider entièrement, je dégouline de son sperme et mes yeux brillent d'une intense excitation, tandis que je gigote un peu car je commence à ne plus pouvoir contenir mon désir de me faire baiser.
-
Même si mes mains étaient libres je n'aurais pas effectué le moindre mouvement pour l'aider. J'aime tellement cette sensation de supériorité et de toute puissance quand ma partenaire devient incapable de ce contrôler pour profiter de mon corps. Entre les sons humides produits par ses petites mains qui s'activent sur ma queue dégoulinante de salive et son petit commentaire, je ne peux plus retenir mon envie de lui cracher au visage.
Tenir immobile sur mes deux jambes devient de plus en plus compliqué au fil des secondes qui passent. Une énergie nouvelle et incontrôlable prend le contrôle de mon corps. Ses lèvres douces sur mon gland, ses doigts sur mes veines gonflées et ses gémissements lascifs sont trop pour le simple homme que je suis.
Ma tige est la première à trembler sous la pression quand je finis par céder à la tentation alors que mon gland est encore logé dans sa petite bouche. L'orgasme qui survient est si intense que mes mains font légèrement trembler l'objectif du téléphone alors que je grogne le moins fort possible pour ne pas gâcher la vidéo.
Je l'enregistre en train d'essayer de tout avaler avant qu'elle ne se rende compte que ce sera tout bonnement impossible. Sa bouche se fait remplir rapidement une seconde fois dès lors qu'elle fait ressortir ma queue de celle-ci pour s'en foutre sur le visage comme une bonne salope.
La petite brunette qui voulait une faciale digne de ce nom a été servie. Son visage est entièrement maculé de mon sperme sous l'objectif du portable qui immortalise son état comme cela a été le cas pour d'autres femmes avant elle. La voici désormais accrochée à mon tableau de chasse.
Mes poumons ont du mal à récupérer de l'air alors que j'halète comme si je venais de finir un sprint. Pourtant je n'ai fais que tapisser le corps parfait de cette femme de ma crème épaisse et collante en restant fixe devant elle.
Une main chancelante tient le portable alors que l'autre descend jusqu'à la commissure de ma partenaire pour lui faire comprendre d'ouvrir la bouche encore davantage pour me montrer ce qu'il reste sur sa langue.
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- Hmmmmm... Tu m'as bien soulagé les couilles.
Tout en lui annonçant à quel point j'ai aimé ça je m'amuse à faire frotter ma bite dégueulasse au gland encore suintant et dégoulinant de sperme crémeux et épais sur son visage fin et délicat.
- Mais elles sont loin d'être vides.
Mes doigts souillés par ce mélange de salive et de sperme quittent sa bouche pour se saisir de mon membre à sa base afin de le soulever et le faire retomber sur son visage brûlant dans une bifle délicate et presque sensuelle alors que je la regarde droit dans les yeux en la filmant toujours pour lui poser la question fatidique dont je pense déjà avoir la réponse.
- On sera mieux dans une chambre d'hôtel. Tu pourras y hurler aussi fort que tu veux pendant que je te baiserai comme la chienne que t'es. Parce que c'est ce que t'es, pas vrai ?
Reste par contre à remballer tout le matos et passer aux caisses automatiques pour acheter la robe qu'elle portait car on l'a salement maltraité. Je pousse d'ailleurs le vice en lui indiquant qu'elle peut s'acheter un petit truc en plus si elle veut histoire de le porter là-bas. En plus d'une tenue de rechange par sécurité. Un accident est si vite arrivé lorsqu'on s'amuse.
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Je jubile de le sentir se déverser d'abord entre mes lèvres, puis ensuite sur mon visage et mon corps. Son sperme me macule de partout quand bien même je déglutisse par deux fois pour en avaler une petite partie. Je dois dire que je suis assez impressionnée par la quantité qu'il est capable de donner et je me demande même comment il en aura encore assez pour me remplir la chatte. Car c'est désormais ce que j'attends certainement le plus, impatiente, je mouille bien trop pour me sentir confortable, quelques goutes coulent même le long de mes cuisses, signe que je suis au bord du précipice. J'ai tellement envie de sentir sa queue me labourer que je pourrais probablement me faire prendre n'importe où et n'importe comment.
Souta met quelques minutes à se remettre de son orgasme fulgurant et je lui laisse le temps de reprendre ses esprits. Même si il semble avoir l'habitude de ce genre de petite escapades, je suis plutôt satisfaite de ma fellation qui semble l'avoir mis dans tout ses états. Une sorte de petite motivation pour que nous nous amusions d'avantage encore tous les deux. La présence de la caméra ne m'aide pas à faire redescendre la pression et cette petite séance photo me plait toujours autant.
Je donne un léger coup de langue sur son gland lorsqu'il vient me bifler salement, et résiste à l'envie de me remettre à la lui bouffer. L'idée de la chambre d'hôtel fait élargir mon sourire.
- Oui j'attends que ça que tu me baises comme une chienne. Tu n'imagines même pas à quel point je mouille à cette idée...
Sauf que pour obtenir ce que je veux, nous devons sortir de cette cabine d'essayage qui transpire désormais le sexe. Sans aucune pudeur, je me dégage de la robe que je suis désormais contrainte d'acheter pour enfiler celle avec laquelle je suis venue et qui, si elle était plus ou moins innocente jusque ici se colle à ma peau à cause du sperme qui a couler dans ma poitrine. Je n'ose pas imaginer à quoi ressemble mon visage maculé mais j'attrape un mouchoir dans mon sac pour me nettoyer rapidement et retrouver un air plus décent, même si en y regardant de plus près, il n'y a aucun doute sur la faciale que je viens de me prendre.
J'espère ne pas croiser grand monde et une fois prête, j'ouvre le rideau et le tire par la main tout en lui glissant au creux de l'oreille :
- Dépêchons nous s'il te plait... Je ne tiendrais plus encore longtemps sans ta bite entre mes jambes.
Je m'active donc en faisant un petit détour par le rayon lingerie pour acheter un petit body noir sexy en dentelle, ouvert à l'entre-jambe et au niveau des fesses pour faciliter la pénétration, histoire de pimenter un peu nos futurs ébats, ainsi qu'une tenue de rechange. Je m'impatiente à la caisse automatique mais heureusement le magasin est vide et nous ne croisons personne.
Nous finissions par sortir du magasin et nous retrouver à nouveau sous l'air chaud extérieur. Cette fois-ci, il y a un peu plus de monde. Pourtant ce n'est pas ça qui m'empêche de dégouliner d'excitation. Je m'agrippe à sa main et la serre entre mes doigts comme pour lui communiquer mon envie pressante, mes jambes se mettant même à trembloter légèrement.
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Nos petits achats se terminent rapidement en passant comme prévu par les caisses automatiques. Dans un coin de ma tête je me dis qu'il s'agira probablement de l'argent le mieux dépensé de ma part pour les derniers mois. J'ai même hâte de voir ce qu'elle a pu me préparer.
La chaleur étouffante m'attaque de manière inattendue à l'instant où je pose un pied en dehors du magasin. Mes vêtements commençaient déjà à me coller à la peau après avoir été maltraité par Manea il y a tout juste quelques minutes. Sauf que cette chaleur n'était rien comparé à ce soleil qui frappe si fort de là-haut. Mon t-shirt viendrait presque me démanger la peau et je n'ai qu'une seule envie c'est de l'enlever pour le balancer au-dessus de mon épaule.
C'est d'ailleurs à cet instant que je sens sa main venir écraser la mienne de toutes ses forces. A croire que sa phrase de tout à l'heure n'était pas une exagération pour me chauffer encore un peu plus. Cette jolie brunette en a autant envie que moi et cela me fait sourire comme un idiot alors que je lui lâche :
- Je me demande comment ma bite à pu survivre avec une poigne pareille.
Heureusement, pour elle comme pour moi, que les love hôtel sont légions dans le quartier. Il ne nous faut pas plus de 5 minutes pour trouver notre bonheur. Sans avoir fréquenté cet endroit auparavant je choisis la chambre la plus grande avec toutes les options avec le forfait nuit complète.
Moi non plus je ne suis pas du genre à parler pour ne rien dire. Je compte bien m'occuper d'elle jusqu'à l'épuisement, peu importe le temps que ça prendra.
Un petit coup de carte bleue pour valider le paiement et la porte automatique s'ouvre pour laisser place à un petit hall qui mène à un ascenseur.
A peine à l'intérieur je viens glisser une main sous sa robe pour la soulever au-dessus de son cul. La transpiration rend le tissu si collant que sa robe tient tout seule alors je viens glisser quelques doigts dans sa fente aussi humide qu'elle me l'avait annoncé. Je peux sentir son excitation tant ses parois viennent aspirer mes trois doigts que j'enfonce en elle encore un peu plus.
- Je vais avoir du mal à entrer si t'es aussi serrée.
Les muscles de mon bras se contractent alors quand je démarre une session de doigtage en règle dans l'ascenseur. Elle calée le dos contre le grand miroir frais et moi sur sa gauche en train de m'acharner sauvagement sur sa petite chatte trempée qui ne semblait demander que ça.
Qu'est-ce que ce sera une fois dans la chambre ?
-
Je laisse Souta s'occuper des détails techniques et des règlements. Mon cerveau a de toute façon un peu de mal à raisonner de manière cohérente et puis je dois bien avouer que c'est agréable de se faire offrir des petits cadeaux de la sorte. J'ai bien l'intention de l'en remercier avec une partie de jambe en l'air qui n'est pas prête de se terminer. La chaleur est difficilement soutenable de sorte que je suis soulagée lorsque nous rentrons dans le hall d'un petit hôtel spécialement conçu pour ceux qui ont envie de partager un moment plus intime, comme nous.
Nous ne nous éternisons pas vraiment à l'accueil et lorsque la chambre est payée, nous nous hâtons jusqu'aux portes de l'ascenseur. Je m'engouffre dans la petite pièce avec Souta à ma suite et si je m'apprêtais presque à lui sauter dessus, il me devance pour glisser une main baladeuse sous ma robe qui trouve rapidement son chemin jusque entre mes cuisses. Je gémis lorsqu'il me pénètre et m'appuie contre le miroir, écartant les jambes pour lui donner un meilleur accès à ma chatte trempée.
- Oh oui vas y... je tiens plus.
J'ondule un peu du bassin pour l'inciter à y aller plus fort et plus loin tandis qu'il se met à me doigter pour mon plus grand bonheur, me tirant des couinements de plaisir. Je m'agrippe à ses épaules avant de venir glisser une main jusqu'à sa queue enfermée sous les différentes épaisseurs de tissus afin de la caresser et de la faire durcir à nouveau.
- Ne t'inquiètes pas tu vas rentrer. Ta belle queue va venir écarter ma chatte sur son passage et j'en salive d'avance.
Je commence d'ailleurs à être sacrément haletante, je me crispe sous son doigté expert et pour le provoquer d'avantage je me dérobe tout juste le temps de me retourner dos à lui, venant frotter mon cul contre son bassin en me cambrant suffisamment pour qu'il ai un accès à ma poitrine opulente et mes hanche voluptueuses.
-
Cette nouvelle position qu'elle nous fait prendre la positionne logiquement face au grand miroir qui se trouvait derrière elle l'instant précédent. Son petit cul rebondit semble faire des cercles contre mon jean en pressant volontairement sur la bosse qui le déforme. C'est alors que je l'entraîne de quelques pas en arrière pour qu'elle puisse admirer son propre reflet. Une de mes mains qui s'approche de son clitoris pour venir le titiller directement, pendant que l'autre tire cette fois sur le haut de sa robe pour faire sortir et rebondir et ses gros nichons qui se fait immédiatement attraper en plein vol et malaxer avec poigne.
- C'est clair que ça dégouline pas mal. J'ai rarement vu une fille mouiller autant que toi.
Mes doigts viennent alors chercher la pointe de son sein pour tirer fort dessus le temps d'une seconde pour se glisser sur sa peau transpirante et se saisir de sa gorge pour la bloquer dans ses mouvements sans forcément avoir à appuyer dessus.
Le petit jeu dure une dizaine de secondes durant lesquelles mes doigts se mettent à la pénétrer violemment pour chercher à la faire se rapprocher de l'orgasme.
C'est alors que les portes de l'ascenseur s'ouvrent sur un *DING* bruyant. Sonnant la libération de son cou délicat pour me permettre de me baisser et ramasser les sacs du magasin de fringues. Mon autre main aux doigts dégoulinant de sa cyprine viennent lui mettre une claque sur les fesses pour lui faire comprendre d'avancer en direction de la chambre qui se trouve juste sur notre droite.
La décoration se veut assez chic sans que cela ne fasse too much. Mais je ne compte pas l'admirer plus que nécessaire car j'ai beaucoup trop chaud malgré la climatisation. C'est pourquoi je récupère la clé magnétique de ma poche et l'insère dans la serrure de la chambre pour y entrer sans traîner.
Le son des sacs qui tombent au sol est le premier à se faire entendre pour me laisser les mains libres. Ces même mains viennent se saisir de mon t-shirt pour le soulever depuis ma taille et le faire passer au-dessus de ma tête. Il me colle tellement à la peau que j'ai l'impression d'être une banana qui se fait éplucher.
Et d'un geste rapide je balance ce bout de tissu inutile derrière moi pour me retrouver torse nu face à la belle Manea qui ne va pas garder sa robe très longtemps.
- Pfouuu, j'ai l'impression de pouvoir enfin respirer.
Entre les séances de sports et les missions dangereuses je peux garder un corps musclé et ferme toute l'année. Ce qui devrait combler ma partenaire du jour à laquelle je vais offrir une session d'aérobic personnelle.
Le bas à droit au même traitement avec mon jean qui tombe bien rapidement au niveau de mes chevilles pour être également propulsé à quelques mètres pour finir sa course aux pieds d'un fauteuil de ce grand salon.
Me voilà désormais en boxer, le gland sortant de plusieurs centimètres au niveau de l'ouverture du côté de ma jambe droite vu que je continue de bander après la pipe de tout à l'heure et cette courte session de doigtage dans notre ascension dans ce palais de la baise.
-
Je frémis violemment lorsque ses doigts viennent titiller mon clitoris si sensible et je m'agrippe à ce que je peux devant moi pour ne pas défaillir tout de suite. J'ai tout le loisir de l'observer entrain de découvrir mon corps dans le miroir de l'ascenseur et je dois dire que la vision est plutôt plaisante. Et ce d'autant plus lorsqu'il libère mes seins aux pointes tendues pour venir les malaxer avec ferveur.
Je me mordille la lèvre en le voyant faire, appréciant évidemment le traitement et je me mets à gémir lorsqu'il me stimule et que je me sens sur le point de décoller. L'orgasme n'est pas loin mais l'ouverture des portes de l'ascenseur me pousse à plaquer une main contre ma bouche pour ne pas faire plus de bruit. Sa main cesse d'emprisonner mon cou, petite attention qui me plait d'ailleurs beaucoup et mon cul claque pour m'inciter à nous isoler tous les deux.
Je me hâte, clairement sur ma faim, tandis que nous nous retrouvons enfin tous les deux, isolés sans plus aucune limite à ce que nous avons envie de faire. Je l'observe avec gourmandise se débarrasser de ses vêtements et j'admire son corps qui me fait tant envie. Je m'approche de lui pour dessiner le contour de ses pectoraux tandis que son gland franchit la barrière du dernier vêtement qui lui reste, puis je viens le titiller un peu avec mon pouce, glissant mes lèvres dans son cou pour effleurer sa peau de mon souffle chaud.
- Et j'ai rarement eu autant envie de me faire baiser.
Je donne un petit coup de bassin contre le sien avant de me reculer pour me séparer à mon tour de ma robe, libérant mes seins qui sont tendus à l'extrême pour me retrouver tout juste en tanga. Envieuse, je viens ensuite tirer sur son boxer pour dévoiler l'objet de mes désirs et le caresser brièvement du bout des doigts.
L'envie devient de plus en plus soutenable mais je tiens à me faire encore plus désirée. C'est de cette manière alors que je viens m'installer sur le fauteuil à quelques mètres en face de lui, glissant mon sous-vêtement jusqu'à mes chevilles pour écarter bien grand les cuisses et commencer à me caresser. J'écarte suffisamment les lèvres de ma petite chatte dégoulinante pour lui permettre de voir à quel point je suis excitée, puis je lui lance d'une petite voix suppliante.
- S'ilteplait Souta... viens me mettre ta queue...
-
Mon boxer ne restera pas longtemps en place vu que Manea vient me l'enlever de son propre chef pour venir s'installer ensuite sur l'un des fauteuils de ce que l'on pourrait sans doute considérer comme le salon de cette immense chambre. On a tellement d'espace que l'on va pouvoir bien s'amuser sans craindre de se retrouver à l'étroit. Enfin, à quelques détails près...
Mon corps se tourne dans la direction de la jolie brunette. L'excitation que je ressens est si forte que ma bite pointe en direction du plafond. Remuant parfois toute seule sous le flux de sang qui l'alimente et lui offre cette dureté à toute épreuve.
Quelques pas suffisent pour que je me retrouve devant cette chaudasse qui me supplie quasiment de la prendre.
Je m'amuse alors en me penchant légèrement vers elle pour guider mon gland violacé à l'entrée de sa petite fente en faisant signe de la pénétrer lorsque je fais en vérité glisser ce dernier pour le frotter sur ses lèvres intimes imbibées de cyprine. Mes mains se posent sur les accoudoirs du fauteuil alors que je continue de me pencher en avant.
Mes couilles se retrouvent alors à se frotter sur l'entrée de son vagin tandis que ma bite, elle, est collée sur son ventre. En baissant le regard elle peut voir que mon gland atteint facilement son nombril.
- Regarde ce que tu vas te prendre.
En me rapprochant de son visage je peux sentir l'odeur de mon propre sperme qui semble avoir imprégnée sa peau après la faciale de tout à l'heure. Ce simple détail fait pulser ma queue d'envie alors que mes hanches effectuent le mouvement inverse pour permettre à mon corps de reculer et revoir mon gland se positionner à la porte d'entrée pour la franchir sans la moindre difficulté dans un long soupir d'extase.
- Haaaaaann, ouais...
Les parois de son vagin épousent à la perfection ma tige au fil des centimètres alors que je parviens à lui enfoncer la moitié de ma bite lors de la première pénétration. Puis c'est une puissante aspiration qui prend le relai lorsque je vais pour reculer en ne laissant que mon gland au chaud dans cet antre humide et dégoulinante. Je savais qu'elle serait étroite et surexcitée. Mais pas à ce point.
Afin de voir ses réactions ma main droite quitte l'accoudoir du fauteuil pour venir lui saisir à de ses gros seins et le malaxer sans y mettre trop de force. Sa peau douce et transpirante est aussi agréable au toucher que dans l'ascenseur. Ma paume frotte son téton dressé alors que je repars de plus belle pour la planter à coups de bite.
Un rythme commence même à s'imprimer alors que je la fixe en souriant pour lui faire comprendre qu'elle est désormais coincée dans ce fauteuil qu'elle ne pourra quitter qu'une fois que je l'aurais décidé.
Et cela risque de demander un premier remplissage car j'ai aussi envie de me soulager dans sa petite chatte pour lancer cette sexcapade.
-
Je reste assise les jambes écartées à l'attendre mais je me retiens clairement de lui sauter dessus et de l'allonger à même le sol pour m'empaler sur sa bite. Heureusement, il ne se fait pas attendre bien longtemps, je sens son sexe énorme et dur dont l'extrémité vient se glisser entre mes lèvres pour venir titiller l'entrée dégoulinante de mon vagin. Je m'attends à ce qu'il s'enfonce enfin en moi mais il se montre à son tour joueur et laisse coulisser sa queue sur le bas de mon ventre pour me laisser tout le loisir d'observer ses proportions avantageuses.
Je baisse alors la tête pour constater que son gland arrive au niveau de mon nombril et je ne peut me retenir de me lécher les lèvres, si d'ordinaire pareille vision aurait pu me faire appréhender la pénétration, je suis cette fois-ci tellement excitée que j'ai hâte de le sentir m'écarter de l'intérieur.
- Ouah... Elle est vraiment énorme vu comme ça...
Son visage s'approche du mien et je lâche un puissant gémissement lorsqu'il s'enfonce de moitié en moi. La sensation est dingue, je suis tellement étroite par apport à la taille de sa bite que je sens mes parois s'étirer pour se refermer sur son pieu de chair, le tout me provoquant une sensation de plaisir fulgurante.
- Han oui... c'est trop bon... hmmmm!!
Je frémis lorsqu'il se met à venir caresser ma poitrine si sensible et pose même ma main sur la sienne pour l'inciter à continuer, la proximité de ses lèvres me donne envie d'y gouter et je m'autorise à m'en emparer pour venir jouer avec sa langue, nos lèvres se rencontrent alors dans un baiser chaud et sensuel entrecoupé par mes gémissements de plaisir.
J'ondule un peu du bassin malgré moi, trop excitée, pour le sentir épouser encore mieux les contours de ma chatte, mes mains venant se positionner dans son dos pour m'y agripper. Je n'aurais jamais penser que sa queue me ferait pareil effet. Il faut dire que je n'avais pas l'habitude de m'en prendre des si grosses, et que j'étais entrain de découvrir, pour mon plus grand bonheur, le plaisir que cela pouvait me donner.
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La position dans laquelle on se trouve tous les deux est aussi agréable qu'efficace. Pour le moment je n'ai pas besoin de forcer pour en profiter car elle a l'air de savourer ce que je lui offre le temps de s'habituer. Parce que je suis déjà passé par là en tombant sur une nympho ou deux qui voulait se faire baiser brutalement dès le départ et ça ne s'est jamais bien terminé. Il faut faire les choses progressivement, étape par étape.
La chaleur continue de grimper en moi alors que je remue les hanches à un rythme lent mais régulier afin de ne pas enfoncer plus de la moitié de ma bite en elle pour cette première fois ensemble. Il m'a d'ailleurs fallu plusieurs secondes pour trouver le bon angle et la position parfaite pour pouvoir remuer comme je le souhaitais sans trop m'appuyer sur elle.
Pourtant je n'ai qu'une envie, c'est de la prendre comme une brute et de me vider en elle encore et encore jusqu'à être complètement vidé. Que ce soit au niveau de mon énergie que de mon sperme.
Au bout d'une minute, même sans y aller plus profondément, mon corps commence à lui mettre des coups de rein plus secs pour la faire remonter sur le canapé. Mes deux mains se retrouvent désormais sur ses seins pour les malaxer avec plus de fermeté. A croire que nos corps commencent à s'habituer l'un à l'autre. Ou que le courant passe à la perfection vu qu'il n'y a pas à forcer quoi que ce soit pour en profiter un maximum.
C'est alors que ma bouche vient se coller sur son sein gauche. Je rate son mamelon sur un mouvement maladroit et pourtant cela ne m'empêche pas de lécher sa peau brûlante avec ma langue dans un premier temps. Des baisers viennent prendre la relève pour se déposer partout autour de cette pointe qui continue de m'échapper à cause des coups de rein que je lui mets de manière répétée.
Passé les dix premières secondes, je trouve plus amusant de continuer ce petit jeu que d'aller chercher son mamelon pour l'aspirer et le suçoter comme je désirais le faire au départ. A la place je m'amuse de la même façon avec son autre nichon durant une trentaine de secondes.
Si elle en doutait jusque là elle doit désormais savoir que j'adore les grosses poitrines. On peut faire tellement de choses avec durant les préliminaire ou pendant une bonne baise comme celle-ci. Chaque femme réagit différemment quand on la stimule à ce niveau et je prends un malin plaisir à le vérifier à chaque fois.
Mais assez plaisanté. Après un dernier baiser baveux sur sa poitrine je me redresse légèrement en gardant les mains sur ses cuisses pour bien lui maintenir les jambes écartées afin qu'elle puisse admirer ce qui lui arrive.
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Cette grosse queue est en train de lui limer la chatte avec une terrifiante efficacité. Promesse que de nombreuses autres sessions seront à venir lors de cette journée ou des semaines à venir en fonction de ses envies dans le cas où elle souhaiterait me revoir un autre jour. En fonction de mes disponibilités, bien évidemment.
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Je sens que mon corps s'habitue peu à peu au sien et ma chatte s'ouvre littéralement sur le passage de cette énorme queue qui n'est même pas encore entièrement enfoncée en moi. Si je craignais une sensation d'inconfort, il faut croire que mon excitation est telle que ça rentre tout seul, les mouvements qu'il commence d'ailleurs à donner avec son bassin sont tellement délicieux que tout mon corps se cambre sous ses assauts.
Sa bouche vient titillent mes tetons et m'arrache plusieurs soupirs de plaisir tandis que je me crispe sous l'effet du bien etre qui enfle dans tout mon corps, ma main vient se glisser sur sa tête pour presque le forcer à rester plaquer sur ma pointe dressee qui ne demande qu'a être stimulée. Je gémis de plus en plus fort tandis que mon regard vient à nouveau se poser sur ce qu'il se passe entre mes cuisses.
La vision de cette énorme bite qui s'enfonce à l'intérieur de moi est bien trop excitente et me fait chavirer. Je sens bien qu'un premier orgasme n'est déjà pas si loin et ma voix tremblante trahit mon état.
- Je crois que je pourrais devenir accro à ta bite.... haaan ce qu'elle me fait du bien...!
Mon corps devient peu à peu incontrôlable et le désir de le ressentir encore plus profondément aussi, je tire sur ses épaules et vient entourer son bassin de ms jambes pour l'inviter à me baiser encore plus loin. Chaque centimètre de plus de sa verge qui me penetre me tire un nouveau couinement de plaisir et je m'elargis encore plus sur son passage .
Si la journée avait mal commencer, je ne pouvais que me réjouir de la rencontre faite à cause de ce vulgaire braquage. Je n'aurais jamais cru avoir l'occasion de me faire baiser comme une petite chienne de la sorte et j'étais bien contente que les choses se déroulent de cette manière.
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Ses réactions vont dans le même sens que ses paroles vu qu'elle fait en sorte de me pousser à y aller encore plus fort avec elle. Un long et sauvage soupir de plaisir s'échappe de mes lèvres pour revenir s'écraser sur la peau de son visage lorsque Manea décide d'utiliser ses jambes pour m'empêcher de reculer. Écarteler les parois de sa petite chatte pour y imprimer les dimensions de mon propre membre est une sensation dont je ne me lasserai jamais quand la fille en face est assez réceptive.
- Faut être une sacrée salope pour pouvoir se prendre ma bite aussi profondément dès le premier essai.
Et là, sans forme de procès, je grogne en serrant les dents tout en poussant alors que je cogne contre son utérus pour forcer un baiser entre mon gland et la partie la plus intime de son corps. Nos deux corps semblent se crisper autant l'un que l'autre sans que cela ne m'arrête. Mon bassin enchaîne les coups de rein car j'ai vu l'instant d'avant qu'elle était sur le point de rompre.
Les femmes au bord de l'explosion j'en ai déjà vu un bon paquet et je suis bien décidé à l'entendre hurler son plaisir en jouissant aussi vite que possible. Chaque mouvement de mon corps est accompagné d'un "Urrgh" pour lui faire comprendre à quel point je suis concentré sur ma tâche. Et lorsque le moment fatidique arrive pour elle, je ne m'arrête pas. Je veux que son orgasme soit long et puissant. Son corps a beau se tendre je m'en moque totalement et je continue de la pilonner comme un vulgaire objet.
- Vas-y ! Jouis pour moi, Manea !
De mon côté l'éjaculation ne sera pas pour tout de suite alors que je pensais pourtant que mon corps serait autant sur le point de tout lâcher que le sien. Ma bite reste aussi dure et gonflée pour pouvoir maintenir sa petite chatte étroite bien ouverte et dégoulinante de cyprine.
- On dirait que t'as aimé ça.
Elle n'aura même pas le temps de reprendre son souffle que je repars de plus belle en me retirant presque entièrement en ne laissant que la pointe de mon gland entre ses lèvres intimes. Et là, d'un coup sec, je soulève son corps avec la puissance de mon bassin et le poids de ma bite pour lui arracher une réaction de force. Puis je recommence une seconde et une troisième fois.
- Tu ferais mieux de t'y habituer car plus aucun autre mec pourra passer derrière moi.
Si elle voulait que la baise fort avant de jouir pour la première fois, elle va être servie. Ma tête vient se loger dans son cou frêle et délicat tel un cycliste qui se penche en avant pour affronter le vent quand je me mets à enchaîner les coups de rein rapides et puissants sur son petit corps. J'y vais fort et sans aucune retenue. Mon gland me fait presque mal quand il se cogne à répétition sur son utérus.
Les seules réactions que je peux détecter dans cette position sont celles de son corps vu que ma vision est bloquée. Le mien, lui, est en transe car je veux forcer mon éjaculation. En avoir été privé il y a quelques minutes me frustre terriblement.
C'est pourquoi je persiste à la baiser de cette façon même si elle doit finir par fusionner avec ce fauteuil.
De multiples coups pleuvent sur son corps durant facilement cinq bonnes minutes. Les seules pauses auxquelles à droit sont des moments où je viens la faire se redresser pour mieux pouvoir lui refaire comprendre qu'elle n'ira nulle part tant que je n'aurais pas obtenu satisfaction. Pas un mot, pas un commentaire ne quitte ma bouche. Seulement des grognements. C'est alors que le moment fatidique arrive.
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Une explosion de sensations vient inonder chaque fibre de mon corps qui se saisit du sien. Mon éjaculation est largement plus puissante que tout à l'heure car elle me fait me figer plusieurs secondes. Ma bite se fait écraser par sa chatte... Non, on dirait plutôt que ma bite se met à gonfler plus qu'avant pour que le sperme puisse en sortir. Ca ne m'étais encore jamais arrivé avant et je ne sais pas quoi faire. D'un côté je veux sortir et de l'autre rester logé en elle pour la remplir.
C'est alors que mes hanches reprennent le mouvement pour la pénétrer de nouveau afin de laisser les premiers jets sortir et l'inonder de l'intérieur. Du sperme se met à jaillir de son trou à chaque coup de bite car je sens ma propre jouissance éclabousser mes couilles et l'intérieur de mes cuisses quand je lui remets un coup.
- Puuuuutaaaiiiin ! Cette chatte...
Impossible pour moi de formuler une phrase ou même des mots de plus de deux syllabes vu mon état d'excitation qui a du mal à retomber.
-
Je sens que mon plaisir grimpe de manière vertigineuse et toute cette excitation accumulée va bientôt me faire jouir à outrance. Mon orgasme s'annonce ravageur mais je suis bien loin du compte lorsqu'il se déclare finalement. Ses coups de bite me font perdre la tête, je le sens taper contre mon utérus à plusieurs reprises et ses coups de reins m'électrisent, m'agrippant comme je le peux à lui, imprimant même la marque de mes ongles dans sa peau, mon corps est secoué de toute part et mes seins remuent au rythme de ses coups de butoir.
Je souris même à sa petite réflexion puisque je suis la première surprise à être capable d'encaisser un engin pareil, ce que je n'aurai pas cru possible.
Et tout d'un coup, j'atteins le point de non retour, les parois de mon vagin se contractent à intervalles régulières autour de sa bite et je me mets à jouir comme jamais, hurlant mon plaisir sans aucune retenue, je sens même qu'un flot de cyprine vient maculer sa queue et éclabousse nos cuisses respectives puisqu'il continue de me baiser comme un forcené.
Je n'ai même pas le temps de redescendre puisqu'il ne cesse d'aller et venir en moi, ce qui rend ma jouissance encore plus incroyable. Je n'avais jamais ressenti pareille sensation auparavant, mon corps tremble presque sous l'effet du plaisir et je peine à reprendre mon souffle, le flot de mes gémissements ne semblant pas vouloir se tarir.
Je ne me préoccupe même pas un seul instant qu'on puisse m'entendre jouir de la sorte et j'ai même envie que tout le monde sache à quel point je prends mon pied à me faire enfiler de cette manière.
Lorsqu'il se retire presque entièrement, je me sens tout à coup vide et béante mais la sensation est de courte durée puisqu'il me soulève avant de venir s'enfoncer à nouveau, m'arrachant un cri de stupeur.
- Aaaah... mon dieu j'adore ça...
Mon souffle est court et je suis tellement dégoulinante que de la mouille s'échappe de ma chatte à chacun de ses accoups. Je sens son souffle chaud venir se perdre dans mon cou, puis tout à coup je me sens inondée de son sperme lorsqu'il fini par jouir à son tour, m'emplissant d'une quantité de foutre tellement importante que du liquide s'écoule de mon trou labouré, le mélange de nos fluides empli la pièce d'une forte odeur de sexe et je suis entièrement grisée par le plaisir intense que je viens de ressentir et qui continue d'affluer par les coups de reins qu'il continue de me mettre.
- Vas y remplis moi bien...
Les effets de mon orgasme se dissipent peu à peu mais sa queue qui continue d'aller et venir en moi me donne envie de me faire baiser encore et encore, je me mets alors à agiter mon bassin également, signe évident que j'en veux encore, tandis que je dégouline de sperme.
Il n'y aucun doute au fait que je risque de rappeler Souta pour me faire sauter plus souvent, des idées de plus en plus salaces envahissent d'ailleurs mon esprit embrumé alors qu'il me donne envie de me comporter comme une vrai petite salope.
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Cette seconde éjaculation est aussi puissante et généreuse que la précédente. De toute façon c'est toujours le même topo lorsque je me rattrape après un petit moment sans m'envoyer en l'air. Dans ce genre de cas il me faut à minima 5 ou 6 éjaculations pour pouvoir me calmer véritablement. Ce second soulagement directement effectué dans cette petite chatte qui continue de me comprimer malgré le traitement que je viens de lui faire subir dure un petit moment pour me voir me retirer très lentement pour que l'on puisse admirer tous les deux le spectacle. Chaque centimètre de ma bite s'échappe de ce piège mortel en étant recouvert de cyprine et de sperme malgré l'aspiration de son vagin qui ne semble pas vouloir de cette séparation forcée.
- C'est assez rempli pour toi ?
Ma queue semble être dans la même état d'excitation qu'à notre arrivée car elle ne me donne pas l'impression d'avoir perdue en vigueur ou en dureté. Il lui arrive même de remuer de bas en haut toute seule alors que je finis par me tenir légèrement au-dessus d'elle maintenant que je me suis entièrement séparé d'elle alors que je lui balance la question pour savoir si j'ai assez bien bossé à ses yeux.
C'est alors que je me rapproche en ouvrant suffisamment les jambes pour ne pas me coincer contre les contours du fauteuil. La pression retombe doucement pendant que j'essuie ma queue crade sur le ventre et les seins de Manea dans un premier temps. En même temps je l'avais déjà bien souillée de ce côté dans la cabine d'essayage et l'odeur de mon sperme ne doit plus vraiment la déranger maintenant.
En tout cas je ne ramollis toujours pas et mon gland a vite fait de revenir, comme guidé par sa propre volonté, au niveau de son menton.
- J'sais pas pour toi, mais j'ai besoin de boire un truc.
Tous ces grognements avaient asséchés ma gorge et cela peut s'entendre dans ma voix qui est plus rêche. Le regard plongé dans le sien pendant quelques secondes alors qu'un sourire béat déforme mon visage, je finis par m'éloigner d'elle en me remettant debout tout en effectuant quelques pas en arrière. La température semble être toujours aussi élevée.
Mes jambes me guident en direction d'un petit réfrigérateur posé sur un meuble dans lequel je récupère deux bouteilles d'eau fraiche. Un frisson me parcoure tout le corps à la première gorgée. Comme si on venait de me balancer de la neige dans la face alors que j'étais en pleine traversée du désert. Tout mon corps se met à trembler sans que je ne m'y attendre et cela me fait un bien pas possible.
Je dépose ensuite ma bouteille sur un meuble pour tendre l'autre à Manea.
- T'as soif ?
J'attends sa réponse tout en revenant finir ma bouteille d'une traite pour ensuite la balancer sur un meuble en me disant qu'on pensera au recyclage plus tard. Le fait de m'être hydraté me permet de retrouver un peu mes esprits qui avaient été obscurcis par un tsunami de plaisir en entrant dans cette chambre des déviances.
Il faut dire qu'ici on a de tout en regardant bien. Un espace chambre à coucher classique avec un lit géant, une douche et une baignoire en fonction des envies, une collection assez conséquente de films pornos, des sextoys, des costumes avec et sans perruques et même des équipements numériques pour ceux qui aiment se filmer. Autant dire que l'on ne va pas s'ennuyer aujourd'hui.
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Les effets de nos orgasmes respectifs semblent avoir du mal à se dissiper et je ne redescend réellement que lorsqu'il fini par retirer entièrement sa tige de ma petite chatte. Pourtant, elle continue de se contracter à mesure que le mélange de nos fluides s'échappe et du sperme coule abondamment d'entre mes cuisses. Je comprends alors que la sensation de me faire inonder n'était pas qu'une impression et qu'il a réellement déverser en moi une sacré quantité de liquide.
Cela a le mérite de faire remonter un peu de mon excitation et lorsqu'il me demande si c'est assez rempli je lui réponds, un peu provocatrice :
- C'est un bon début. Je suis sure que tu as encore de la réserve.
Et sa queue me le confirme en restant bien droite et tendue, signe qu'il n'est pas encore rassasié lui non plus. L'idée de se désaltérer un peu est excellente et je hoche la tête lorsqu'il me demande si j'ai soif, j'attrape d'ailleurs la bouteille qu'il me tend pour boire de grandes gorgées de la boisson fraiche qui me fait à moi aussi un bien fou. J'en laisse même un peu tomber sur mon corps souillé et frissonne au contact froid contre ma peau brulante.
Je me redresse alors totalement du petit fauteuil dans lequel j'étais installée tout en jetant un coup d'oeil vers la douche à l'italienne qui m'appelle depuis qu'on est rentrer dans la pièce. Sans un mot de plus, je l'attire contre moi pour venir frotter mon bassin contre le sien, avant de l'inviter à me suivre sous la douche dont j'allume l'eau tiède pour nous nettoyer un peu de tous nos fluides corporels. L'équipement est suffisamment grand pour nous permettre d'y faire absolument tout ce qu'on veut, il y a même une petite barre accrochée au mur surement pour permettre à qui le veut de s'y agripper.
Je viens alors poser mes mains contre son torse finement dessiné, désormais remise de ce premier round, avant que celles-ci descendent plus bas vers son bassin en direction de sa queue. Je baisse un instant le regard et ne résiste pas à l'envie de regarder mes mains se remettre à le branler doucement.
- J'ai bien l'intention de te vider au moins une fois encore.
-
Heureusement que j'avais décidé de me lever pour m'éloigner d'elle quelques instants parce que la pause est de courte durée. Mon corps n'oppose aucune résistance lorsqu'elle m'attire avec elle sous la grande cabine de douche qui doit facilement faire la taille de ma salle de bain.
Mon attention ne reste pas longtemps focalisée sur la décoration plutôt soignée de l'endroit. Pas quand je peux sentir de délicates petites mains se promener sur mon torse musclé. Entre les séances de sport et les bagarres je ne rate pas une occasion de me dépenser. Sauf que c'est cette fois elle qui ne reste pas concentrée sur un seul et même objectif.
- Si c'est juste une fois ça devrait aller.
Sa façon de rester près de moi pour me chauffer me pousse à répondre. Ma main droite vient donc se coller brutalement sur son petit cul pour lui saisir avec vigueur une fesse. Il faut dire que la nature l'a particulièrement bien lotie de ce côté et qu'il serait stupide de ne pas en profiter un peu pendant que la situation est calme.
L'eau qui s'écoule sur mon corps a un effet reposant qui est terriblement efficace. Tous mes muscles se détendent et je peux un peu plus profiter de cet échange comparé à tout à l'heure où l'on se jetait l'un sur l'autre sans réfléchir.
- Tu comptes t'y prendre comment au juste ?
La position de nos corps fait que l'eau tombe principalement sur nos épaules et notre poitrine. Ma bite reste donc encore sale et couverte d'un mélange de sperme/cyprine qui doit avoir commencer à souiller ses doigts depuis l'instant où elle s'est mise à me branler.
- Et on peut encore essayer un tas d'autres trucs. Rien que ce petit cul... j'en ferais bien mon affaire si t'aimes la sodo. Mais pas aujourd'hui. Je préfère garder ça pour un autre jour.
La main sur son adorable derrière parfaitement rond continue de caresser sa peau de pêche pendant que je m'amuse à lui balancer des saloperies sur mes envies futures. Seul un idiot laisserait passer une occasion pareille en ne programmant pas une suite face à une nympho de ce calibre. En plus rare sont les nanas à pouvoir se prendre ma queue sans hurler à l'aide.
-
J'apprécie plutôt bien la complicité sexuelle qui s'installe entre Souta et moi et ma main s'active avec envie autour de sa bite pour lui prodiguer une masturbation qui a l'air de lui faire plaisir. Je viens d'ailleurs coller ma poitrine généreuse contre son torse lorsqu'il attrape mon cul, appréciant moi aussi la détente que me procure le jet d'eau bienfaiteur qui s'écoule sur nos corps. L'envie d'essayer plein de choses n'est pas celle qui manque, mais je dois bien avouer que la petite fellation de tout à l'heure dans la cabine d'essayage m'a fait un effet de dingue. Je lui susurre avec envie :
- J'ai encore envie de te bouffer la queue.
Malgré ses dimensions peu communes et le fait que cela rend la chose un peu plus compliquée pour ma petite bouche et mes fines lèvres, j'ai clairement adorer la manière dont il m'a rempli la bouche de son sperme et j'ai vraiment envie de réitérer l'expérience. Je lui lance un petit regard aguicheur, remuant mes fesses entre ses mains. Son sexe souillé de nos fluides m'excite d'avantage encore et je viens me mettre à genoux face à lui pour me retrouver à hauteur de son bassin.
Ma petite langue vient suçoter le bout de son gland avant de remonter le long de son membre épais. L'idée de me faire sodomiser par un engin pareil me fait mouiller d'envie, mais il va falloir user de patience pour préparer mon petit trou afin que l'expérience ne soit pas traumatisante.
- Et j'aimerai beaucoup que tu me prennes le cul. Mais vu la taille de ce que tu as entre les jambes, il va falloir le préparer suffisamment.
Mon esprit commence à sombrer à nouveau à mesure que je le lèche et mon regard se teinte d'une lueur brillante de désir. Je ne tarde pas à resserrer mes lèvres autour de sa queue pour la faire pénétrer et coulisser lentement.
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De petits gémissements s'échappent de mes lèvres, signe que j'aime vraiment ce que je suis entrain de lui faire, tandis que mon regard aguiche le sien.
-
Me voilà dans une de mes positions favorites : celle du profiteur. D'un côté l'eau qui m'aide à me détendre au maximum sous sa douce chaleur. Et de l'autre une bouche gourmande et experte qui me pompe le dard petit à petit. Si il y a bien une chose à laquelle je ne pourrais résister c'est une bonne pipe. Peu importe le lieu, l'heure ou les circonstances, je ne dirais jamais non à une gâterie.
Surtout qu'il y a un petit quelque chose chez elle qui me perturbe et m'excite à la fois. Ce petit côté innocente qui masque son vrai visage me pousse à vouloir en découvrir plus. Ou alors je suis simplement incapable de la cerner correctement pour le moment et cette différence entre ces deux aspects de sa personne me stimule plus que je l'imagine.
- Ma queue est toute à toi.
D'un geste de la main je viens décaler une mèche de cheveux qui m'empêchait de la regarder dans les yeux tout en me penchant légèrement vers elle. Son regard a vraiment quelque chose de particulier.
Cela ne m'empêche en tout cas pas de me redresser pour reprendre ma position initiale. Porté par le plaisir offert par sa bouche, je ferme les yeux et lève le visage pour me faire asperger directement par le jet d'eau.
Peut-être que mon imagination me joue des tours, mais j'ai l'impression de sentir mon sexe durcir et gonfler encore un peu entre ses douces lèvres. Est-ce que ce serait l'effet relaxant de l'eau ? Dur de le vérifier car j'ai toujours les yeux fermés. Impossible donc de m'en assurer directement.
J'ai juste l'impression que ma tige est comme coincé dans un étau dont il essaie de tester l'élasticité.
- Hmmmmm ! Bordel... J'adore me sentir dans ta bouche.
Mes hanches se mettent alors à remuer très légèrement pour mimer une pénétration alors que mes mains me démangent à l'envie de lui attraper le crâne. Il n'en est rien car je parviens à me contrôler pour le moment.
Laisser ma partenaire prendre des initiatives, essayer des choses ou profiter de l'expérience est une chose que j'aime tout particulièrement. Et puis il sera toujours temps de passer à quelque chose de plus direct si jamais elle me le demande.
- Cette bouche est faite pour sucer des bites... Non, elle est faite pour sucer ma bite. Surtout que tu peux te lâcher maintenant qu'on n'a plus peur de saloper les lieux.
En gros elle peut baver autant qu'elle veut ou produire un maximum de son si c'est quelque chose qui l'excite. On est entre nous désormais. Personne pour menacer de nous surprendre ou nous déranger. Je veux voir son vrai visage.
-
Mon excitation grandit à mesure que ma langue s'étend sur son chibre et que je le sens redevenir bien dur et épais entre mes lèvres. Cette réaction m'incite à poursuivre sur cette voie la et je délaisse même par moments sa queue pour sucer ses couilles encore pleine de sperme, me retrouvant avec son sexe qui rebondit sur mon visage.
Mes mains viennent agripper ses cuisses pour me donner encore plus de marge de manœuvre et je m'essaye à nouveau à tenter de le prendre le plus profondément possible en bouche.
Cette fois ci, je parviens à gagner un peu plus de marge que la fois précédente et j'enfonce sa queue au fond de ma gorge qui se resserre sur celle-ci, tout en contrôlant le reflexe nauséeux qui me vient naturellement.
Cette pipe devient plus sonore, de la salive s'écoule abondamment d'entre mes lèvres tout en lubrifiant généreusement son engin, tandis que des bruits généreux de succion se font entendre dans cette salle de bain qui a la particularité de bien raisonner.
Mon regard perçant accroche toujours le sien, histoire de bien lui communiquer toute l'excitation qu'il fait naître en moi.
Ce désir devient d'ailleurs difficile à supporter et ma chatte, toujours aussi trempée me démange, me poussant à venir glisser mes doigts entre mes cuisses pour soulager cette tension. Je fais pénétrer deux de mes doigts, qui se mettent à remuer vivement, me tirant des gémissements à moitié étouffés par sa bite que je garde bien au chaud entre mes lèvres.
Mon bassin s'agite, avide et impatient, alors que je m'imagine à nouveau le bien être procuré lorsqu'il s'enfonce de tout son long en moi. Mes yeux se ferment par moments, quand je me laisse glisser sur la pente dangereuse des désirs les plus indécents qui naissent en moi.
Cette fois-ci, pas de retenue, je peux me laisser aller comme je le sens, alors je le suce sans minimiser le bruit que fait ma bouche lors de mes vas et vient, bavant à outrance, lui laissant entendre un bref instant lorsque je reprends mon souffle à quel point j'aime le sucer :
- Et j'adore te sucer la bite. Oh Souta vraiment elle me rend dingue ! J'en dégouline rien qu'à la voir se dresser devant moi.
-
Impossible de ne pas remarquer à quel point elle aime tailler des pipes. Déjà tout à l'heure j'avais pu me rendre compte qu'elle était clairement à l'aise avec ce genre de pratique. Jouer avec ma queue de cette façon a également l'air de lui provoquer des envies d'aller plus loin vu qu'elle va jusqu'à se doigter pour tenter de se calmer. Et l'entendre me le dire ouvertement achève ma patience.
Non sans difficulté, je parviens à atteindre le robinet pour diminuer légèrement le débit de l'eau pour la suite car j'ai tout un plan en tête. Je connais quasiment tous les systèmes disponibles dans les chambres toutes équipées comme celles-ci. Ce qu'il faut savoir c'est que chaque pièce possède des caméras qui peuvent être activées sur place pour enregistrer chaque action sous différents angles et que de nombreux interrupteurs sont disséminés pour les activer.
Il ne me faut qu'une dizaine de secondes pour en trouver un et appuyer dessus avant de retourner mon attention sur Manea qui continue de me procurer un bien fou un étage plus bas. Le fait d'avoir réduit le débit de l'eau me permet de voir toute la bave qu'elle n'avale pas couler le long de ma tige pour finir sur ses seins ou ses cuisses.
Sans lui demander son avis ni même la prévenir, je pose ma main droite à l'arrière de son crâne lorsqu'elle enclenche un mouvement de tête dans ma direction pour me prendre dans sa gorge et je la bloque plusieurs secondes ainsi. Je veux sentir sa gorge se crisper autour de mon gland. Sentir sa salive gicler lorsqu'elle commencera à manquer d'air. Puis je finis par la relâcher le moment venu dans un son dégueulasse qui s'associe à une explosion de salive toute aussi vulgaire.
Ma bite poisseuse et recouverte d'écume tenue à la base par mon autre main vient s'abattre lourdement sur son visage dans un premier temps. Ses joues semblent si chaudes et j'ignore si cela est dû à la température de l'eau ou à sa simple excitation.
- T'arrête pas !
Après un deuxième coup de bite sur ses lèvres cette fois, je reviens en forcer le passage pour lui faire littéralement bouffer ma bite autant qu'elle le peut. Après tout je ne fais que réaliser son souhait car elle a elle-même utilisée ce terme plus tôt avant de se jeter sur moi. En ma qualité de gentleman il est de mon devoir de satisfaire ma partenaire.
Mes doigts viennent alors s'entremêler dans ses cheveux pour faire remuer sa tête un peu plus rapidement au fil des secondes pour ce qui est en train d'évoluer en facefucking. Ni trop brutal, ni trop doux. Mais assez remuant pour balancer de la bave partout dans un concert de son digne d'un film porno vulgaire.
Les sensations sont d'ailleurs si intenses que je me retrouve rapidement obligé de me plaquer le dos contre un des murs de la cabine de douche si je veux réussir à rester debout.
Ce mélange entre sa langue qui stimule ma peau veinée à chaque mouvement et sa gorge qui se contracte dans la foulée me rend fou d'excitation durant les quelques minutes que cela dure. Cela doit s'entendre car je gémis forcément comme un animal.
Je ne veux cependant pas éjaculer de cette façon. Ma main finit par la libérer de mon étreinte alors que je regarde ses lèvres se séparer de ma bite centimètre par centimètre. Mon excitation a atteint des sommets et j'ai du mal à me contenir. Mon gland pointe en direction du plafond tant je bande dur.
- Putain ! C'était incroyable...
Dans l'état actuel des choses je pourrais très bien la faire se relever et la baiser une nouvelle fois ou finir cette pipe par une bonne faciale. Mais une autre idée me vient en tête histoire de rendre la situation encore plus intéressante pour nous deux. Entre sa passion pour les pipes et le fait de se retrouver couverte de sperme je pense avoir le compromis parfait pour satisfaire ses envies.
- J'ai les couilles qui me démangent. Viens les sucer que je les vide sur ton visage d'ange.
Si elle était étonnée tout à l'heure, elle n'est pas encore au bout de ses surprises. Car la chose peut devenir impressionnante lorsque je suis plus détendue et qu'on me travaille de la bonne façon pour motiver mon corps à tout donner.
-
Mon petit traitement et mes encouragements verbaux ont visiblement l'effet escompté puisque Souta, après m'avoir laisser manœuvrer comme je le voulais fini par bloquer ma tête sur sa bite afin que je le maintienne en gorge autant que possible. Je prends sur moi, parvenant non sans plaisir à le garder quand bien même je commence à manquer d'air.
La salive qui s'écoule d'entre mes lèvres atteint des quantités indécentes et sa queue est sans doute tout aussi trempée que l'est ma chatte en manque.
Je reprends bruyamment mon souffle lorsqu'il relâche sa prise tout en reprenant un rythme tranquille. Il ne me laisse pourtant pas l'occasion de continuer à le sucer bien longtemps puisque sa bite quitte mes lèvres pour s'abattre sur mon visage, me décrochant un petit sourire.
Je sens qu'il est suffisamment dur et exciter pour partir au quart de tour, pour autant il semble avoir une petite idée en tête puisqu'il me demande clairement de venir lui sucer les couilles.
Je m'exécute sans protester, délaissant mon propre plaisir en cessant de faire aller et venir mes doigts en moi, je pose d'ailleurs ma main pleine de cyprine à nouveau sur sa cuisse tout en me frayant un chemin jusqu'à ses boules que je me mets à lécher chaudement, jouant avec ma langue un moment avant de me mettre à les suçoter en les aspirant entre mes lèvres.
Je sens son corps se tendre, ce qui m'incite à continuer, et je ne le lâche pas tant que je ne le sens pas au bord de la rupture. Ma main vient se resserrer autour de sa bite pour le branler en même temps et le mélange de fluide lubrifie parfaitement son engin. Je suis particulièrement excitée à l'idée de le voir jouir à nouveau et de me prendre une jolie douche de sperme.
Cependant, je sens que mon corps devient lui aussi de plus en plus impatient et le besoin de me faire à nouveau pilonner monte en niveau, je suis obsédée par sa queue qui me fait atteindre des plaisirs indécents.
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Le moment que je passe sous cette douche est incontestablement fantastique et je ne boude pas mon plaisir alors que mon regard est plongé dans le sien pendant que je l'admire me travailler les boules comme une bonne fille dévouée à mon unique plaisir. Et alors que je sens le plaisir monter petit à petit, ma main vient se poser sur la sienne pour lui faire comprendre d'arrêter de me branler pour se concentrer sur l'unique tâche que je lui ai confiée pendant les secondes qui vont suivre.
Sentir sa langue baveuse offrir un bain chaud et gluant à mes testicules est une sensation dont je ne me lasserai jamais. Puis cette interlude me permet également de souffler un peu pour la suite des évènements car plus elle se concentre sur cette partie de mon anatomie et plus ma bite se met à pulser d'envie entre ses petits doigts qui sont toujours bloquée sur ma tige veineuse.
- Tu me rends complètement fou. Mais... arrête une seconde et relève-toi.
Faire s'éloigner sa bouche de mon corps est plus difficile que je ne l'imaginais en lui demandait de se redresser. A croire que je suis devenu accro à ses caresses si expertes.
Dès qu'elle se trouve à ma hauteur, une main vient lui saisir un de ces gros seins pour le malaxer fermement tandis que mon visage vient s'en rapprocher pour lui aspirer le téton aussi fort que je peux avant de le recracher de façon vulgaire pour retourner la regarder droit dans les yeux avec un regard enflammé et rempli d'excitation.
- Tout me fait bander chez toi.
J'effectue un pas en arrière pour me rincer l’œil une nouvelle fois sur sa plastique de rêve. En prenant un peu plus mon temps comparé à tout à l'heure où je lui étais carrément sauté dessus, je réalise que moi aussi j'aurais eu du mal à ne pas l'accoster comme l'avait fait ces types dans le fast-food tout à l'heure. Ce genre de nanas ne laisse aucun hétéro insensible.
En particulier cette grosse paire de nichons parfaite avec laquelle j'ai hâte d'essayer un tas de choses.
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Une fois rassasié et toujours désireux de repartir à l'action, une main vient se poser sur son épaule pour lui faire comprendre de se retourner et de se pencher en avant pour se retrouver le visage face à un des murs de la cabine de douche. Je peux même voir ses seins venir s'écraser partiellement sur certaines des plaques de carrelage alors que je fais approcher mon gland de sa chatte brûlante et humide.
- Changement de programme. Je vais te remplir la chatte jusqu'à la faire déborder.
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Et là, alors que je faisais tout délicatement, un coup de rein puissant vient la planter littéralement. Le tout accompagné d'un long et rauque grognement de ma part à quelques centimètres de son oreille. Mes doigts s'enfoncent dans la chair de sa fesse sous l'effet de mon excitation que j'ai du mal à retenir.
En même temps je sais que je ne vais pas tenir aussi longtemps que tout à l'heure vu la pipe à laquelle je viens d'avoir droit. C'est pourquoi cette levrette sera courte mais brutale et ma queue ira s'enfoncer aussi profondément que possible dans ce petit trou qui ne fait que commencer à s'adapter à mon membre.