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Ça, je ne l’avais pas prévu. Je prévoyais beaucoup de choses au quotidien, parce que j’avais une bonne raison de prévoir. Changer de corps était compliqué… cela me rendait dans un état particulièrement vulnérable et je ne souhaitais pas le faire hors d’un espace complètement contrôlé. Mais voilà, j’étais tombé sur plus fort que moi, et ma régénération avait largement été dépassée par mon adversaire. Ce corps était dans un tel état qu’il en était irrécupérable.
J’en avais fait le constat dans cette ambulance, déjà, et ensuite, quand on avait essayé de me mettre sous assistance respiratoire. Il fallait éviter où je me retrouverai prisonnier… alors j’avais essayé de lutter jusqu’à ce qu’ils abandonnent. Et une fois à l’hôpital, même combat. Ils étaient nombreux à regarder… le médecin chef avait toute une bande de lemmings qui singeaient ses gestes. Stagiaires ou internes, peu importait… il fallait juste que j’attendent qu’ils…. Ah voilà ils commençaient à quitter les lieux. Qu’importe que quelqu’un s’attarde, je n’avais pas vraiment le choix…
J’expirai alors fortement et je me sentis me diffuser dans l’air. D’un point de vue extérieur, une sorte de brume émeraude commença à se diffuser, remplissant presque entièrement la pièce. Il y avait deux personnes dans la pièce, je les sentais. Une femme et un homme.
Merde. Qui s’était attardé ? Je n’en savais rien…. De toute façon, je ne pouvais plus attendre et j’entrais dans la bouche et le nez de l’homme.
Le volume de brume diminua. Diminua. Et il diminua jusqu’à disparaitre complètement. Et le jeune homme inspira un grand coup.
Voilà, je reprenais « vie » …. Bon sang… ça faisait du bien…. Je bougeais les doigts, les pied… le corps était un peu petit. Pas grave… de toute façon, je ferai comme d’habitude. Je frissonnais doucement et je m’étirai…. Bon, il fallait gérer la deuxième personne de la pièce. Il s’agissait d’une jolie et plantureuse brune à la peau sombre. Une gijin, comme ils disaient sur terre ? Bref. Je me tournais vers elle. Le regard avait déjà pris la même teinte que la brume.
Sans prévenir je fonçais vers la porte de la chambre que je fermais et verrouillais pour l’empêcher de fuir. Enfin, je m’avançais vers elle.
« Je suis désolé, mais je ne peux pas te laisser parler de ce que tu as vu… pour ma propre sécurité… »
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Voila quelques temps maintenant que je m'amuse à droite et à gauche et que je passe d'avantage de temps dans le sexshop pour lequel je bosse qu'à travailler sur mes études de médecine. Seulement voila, ce n'est certainement pas de cette manière que je vais progresser sur ce cursus difficile censé me mener vers une carrière sérieuse de médecin. Alors pour me reprendre en main, j'ai sollicité de mes professeurs une immersion sur le terrain par le biais d'un stage évidemment non rémunéré mais qui me permettra d'être au plus proche du métier.
Ma demande a été acceptée et j'ai été envoyée en stage à l'hôpital du coin, en plein centre-ville de Seikusu, lequel possède une grosse unité de chirurgie et un pôle d'urgence assez impressionnant. C'est de cette manière que je me suis retrouvée ce matin affectée avec mon maître de stage à cette section afin d'observer comment se déroule la prise en charge des patients qui arrivent aux urgences.
Mon style dénote avec l'endroit, sous ma petite blouse blanche de stagiaire se cache un petit croc top qui souligne bien trop en avant ma poitrine généreuse pour la dissimuler. Celle-ci semble vouloir s'échapper de cet étau de tissus et j'ai ouvert suffisamment le haut de ma blouse pour laisser qui le veut apprécier le spectacle. Mes jambes sont également apparentes sous ma petite jupe moulante dont j'ai fait l'effort de la choisir qui tombe juste au dessus de mes genoux. Pour autant, elle est suffisamment près du corps pour laisser deviner le tanga en dentelle que je porte en dessous.
Je m'amuse comme souvent du regard scandalisé de mes "collègues" qui sont outrées de mon accoutrement, l'avantage de se taper le patron c'est qu'il ferme les yeux sur pas mal de chose !
Mais aujourd'hui ce n'est pas moi le centre de l'attention mais ce nouveau patient qui vient d'arriver aux urgences, sous assistance respiratoire et en mauvais état, il est pris en charge par l'équipe que j'accompagne et qui tente tout ce qu'elle peut pour le sauver. Amené dans une pièce à part, j'observe avec des yeux horrifiés la vie qui le quitte peu à peu. Ceux qui savent déjà qu'il est trop tard quittent rapidement l'endroit, appelés ailleurs pour d'autres urgences, tandis que mon maître de stage reste avec moi pour m'expliquer quelles sont les démarches quand un patient décède, comment prononcer l'heure de la mort et tout ça...
Sauf que mon regard est rivé sur le corps inerte et je ne parviens pas à le décrocher, peu à peu j'observe une brume qui s'élève et qui s'échappe de l'enveloppe charnel pour s'approcher de celui qui m'accompagne. J'écarquille les yeux comme des soucoupes lorsque la brume s'insinue entre la bouche et le nez de mon maitre de stage, plaquant une main sur mes lèvres pour éviter de crier.
Je n'ai pas le temps d'anticiper que je me retrouve enfermée dans la pièce avec mon tuteur dont le regard a dramatiquement changer. Ses iris ont pris la même couleur que celle de la brume et je vois bien qu'il n'est plus le même. Je comprends peu à peu à ce que à quoi je viens d'assister et recule contre le mur derrière moi sans vraiment m'en rendre compte.
- M...mais... qui êtes vous ? Qu'avez vous fait de lui...?
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J’inspirai. Cela faisait du bien de retrouver des poumons fonctionnels. Idem de pouvoir bouger plus librement… voilà un corps qui devrait aller une fois que je l’aurai un peu modifié pour qu’il corresponde à mes gouts. A commencer par le rajeunir, le grandir, l’affiner, le roussir… oui, voilà, beaucoup de choses… mais avec le temps, c’était presque instinctif. Il faudrait quelques heures pour vraiment avoir changé, mais c’était un changement déjà en cours, notamment au niveau de mes yeux.
Ma main se posa sur ses lèvres charnues et je savourai le regard effrayé qu’elle me rendait, ne comprenant sans doute pas trop ce qui se passait, en cet instant…. Enfin, elle avait de toute façon vu quelque chose qu’elle n’aurait pas dû… et rien que pour ça, j’avais déjà tué. Plus d’une fois.
Ma main comme soudée à sa bouche, je venais la repousser jusqu’à la coller au mur. Alors, ma main descendit pour venir glisser à sa gorge et serrer un peu. Pas de quoi la tuer, mais de quoi écraser un peu ses cordes vocales pour l’empêcher de crier.
Alors seulement je la détaillais. Elle avait quelque chose de vulgaire, dans sa mise, entre les seins qui semblaient vouloir se barrer de haut, et les cuisses bien visibles… la taille fine, et d’autres petits éléments visibles quand on se trouvait devant elle, je ne pouvais que la reconnaitre particulièrement affriolante.
« Chut… tu ne vas pas crier, n’est-ce pas ma toute belle ? »
Coincée au mur, elle ne pouvait rien faire. Enfin si, elle avait ses mains, ses pieds, elle pouvait tenter de frapper, ou de mordre si elle arrivait un peu plus à se dégager…
« Tout ça parce que tu n’as pas quitté la chambre à temps… »
Je souris, ricanant…
« Je ne sais pas que c’était, mais maintenant, il est là… »
Je lui orientais le visage vers le lit où la décomposition allait à toute vitesse.
« Que vais-je faire de toi ? Il va falloir que je me décide… »
Elle avait une bonne odeur et j’approchais mon visage du sien pour humer ses cheveux…
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Je tente de ne pas trop paniquer lorsque le jeune homme pose sa main sur mes lèvres et me colle au mur. Si j'ai l'habitude des contacts physiques, j'ai moins l'habitude des individus hostiles. Et je perçois facilement dans le regard de cet homme qu'il a une sacrée trempe. Je déglutis difficilement lorsqu'il serre mon cou et tente de secouer la tête pour le dissuader de s'en prendre à moi.
- Non... je ne crierai pas...
Je préfère rester docile que de prendre le risque de me mettre en danger. Je n'ai aucune conscience de ma nature divine mais je remarque le regard intéressé de celui qui me détaille avidement du regard. Instinctivement mon aura se réveille et mes phéromones emplissent la pièce. Sauf que je suis trop inquiète pour m'en apercevoir.
J'ai un haut le coeur lorsque je remarque que le cadavre derrière nous se décompose à une vitesse bien trop rapide pour être normale. Ma respiration s'accélère un peu et mon regard revient sur l'homme qui m'agrippe et qui rapproche son visage du mien. Je décèle, comme bien souvent, les petits détails excitent de ce corps jeune et en pleine forme.
Ma voix tremblote un peu mais je l'implore néanmoins :
- Ne me faîtes pas de mal... je suis juste en stage ici je ne connais personne et je ne dirai rien de ce que j'ai vu... je le promets !
Je guettais sa réaction pour voir si cela serait suffisant, sinon, j'allais devoir envisager une autre approche. Instinctivement, mon corps réagit à la proximité du sien et je sens une petite vague de chaleur qui me monte aux joues.
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Je souris à la jeune femme. Elle avait peur, et cette peur était… elle était très excitante, il fallait le reconnaitre. Et rien que pour ça, je ne voulais pas que les choses cessent. Ma main remonta sous son menton et mon pouce vint caresser ses lèvres charnues. Donc elle ne crierait pas. Bien. C’était une bonne chose.
« Très bien, je choisis de te faire confiance… »
Je sentais ses cheveux, j’adorais sentir le malaise de la situation. Elle avait vu le corps en décomposition et je savais quel genre d’émotion cela provoquait… c’était bien évident, ce genre de choses… mais c’était aussi ce qui me faisait clairement frissonner… et ses suppliques étaient un véritable nectar…. Même si, après avoir humé une dernière fois ses cheveux qui avaient un parfum qui me rendait dingue – et senti deux pointes durcir contre mon torse – je m’écartais et je laissais remonter ma main de sous son menton à sa joue, puis dans ses cheveux que j’empoignais fermement.
« Laisse-moi deviner. Tu me jures que tu ne dirais rien et tu feras tout ce que je veux pour que je ne te fasse pas de mal, c’est cela ? »
Elle rosissait un peu, au niveau des joues… mazette… la satisfaction et le délice retiré de ce moment… il semblait que je n’étais peut-être pas le seul à le ressentir…. D’ordinaire, on avait plus tendance à pâlir qu’à rosir.
« Si tu savais combien de fois j’ai entendu cela… mais c’est toujours un joli mensonge… je vais te garder avec moi, en otage, jusqu’à ce que je sois sûr d’être tranquille… qu’en dis-tu ? »
Notez qu’elle aurait pu frapper ou griffer, elle avait les mains libres… mais elle ne le faisait pas. Je lâchais ses cheveux.
« Mais allons-y, imaginons que je demande une preuve que tu ne feras pas de bêtise… qu’est-ce que tu me donnes ? »
Quoi ? Vous trouviez ça incongru, possible. Mais il y avait quelque chose en fait, ici, maintenant, qui la rendait… difficile à ignorer sur ce plan-là. Si je n’avais pas été aussi résistant à la magie j’aurais cru à une manipulation. Mais non, c’était juste que sa peur, le moment, l’impression de puissance sur elle… ça me rendait un peu marteau. Et il y avait son odeur aussi…
Toujours entre elle et la porte, je m’écartais et je la regardais.
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Difficile de rester concentrée dans une situation pareille. Mon regard affolé passe de son visage si près du mien au cadavre en décomposition derrière nous et inversement. Je parierai qu'il ressent clairement ma peur et s'en délecte, je ne sais pas de quel genre de créature il s'agit mais je ne suis pas certaine de vouloir le savoir.
Il a clairement l'ascendant sur moi et même si cela me terifie, je ne peux ignorer non plus l'excitation que cela me procure. Je frissonne lorsqu'il agripe fermement mes cheveux et ressent aussi le désir qui enfle en lui et qui se décalque irrémédiablement sur moi. Si je n'ai aucune idée de ce qui traverse son esprit, je sais néanmoins qu'il a très envie de moi.
Mon corps réagit naturellement et ma poitrine se tend, faisant se dresser mes tetons qui pointent sous ma blouse. Le bas de mon ventre se réchauffe et même si je tente d'avoir l'air normal, ma respiration saccadée me trahit également.
Je joue la carte de la proie docile mais lorsqu'il me parle d'être son otage je lâche un hoquet de panique.
- Je ferai tout ce que vous voulez, je vous l'assure mais je ne veux pas qu'on me fasse du mal...
Sauf qu'il s'en moque joliment et qu'il exige cette fois ci une preuve de ma bonne volonté. Le contact de ses mains quitte mon visage tandis qu'il s'écarte pour me laisser une meilleure amplitude de mouvements. Je sais que si je ne veux pas qu'il s'en prenne à moi, j'ai plutôt intérêt à lui donner ce qu'il veux. Et mon esprit a parfaitement capter ce dont il a envie.
De mes mains tremblantes, je viens lentement ouvrir les boutons restants de ma blouse, exposant ainsi ma poitrine presque dégagee du petit haut que je porte en dessous. Il me suffit de tirer légèrement dessus pour que mes seins se libèrent et passent par dessus celui ci, lui offrant une vue sans rempart sur mes pointes dressées et sensible, tandis que ma voix trahit tout autant ma peur que ce désir malsain :
- Je ne ferai pas de bêtises... je vous en supplie...
-
J’adorai cette situation. Elle était prenante, possessivement viscérale, et par conséquent, je me sentais en position de toute puissance. Pire encore, cette toute puissance, elle me la cédait sans condition. Ou plutôt, si, une condition ; de ne pas lui faire de mal… disons que je ne pouvais pas prétendre que je ne lui en ferai pas. Mais je pouvais prétendre sans me sentir mentir qu’elle s’en sortirait, si elle était bien sage et ne faisait pas de bêtise… un long frisson glissa le long de ma colonne vertébrale alors que je m’écartais d’elle. Elle avait la respiration saccadée de celle qui savait très bien dans quelle position elle était…
Pourtant, cette position l’excitait autant que moi. Je doutais d’être le plus malsain de nous deux. Preuve en était la pointe de ses seins, qui semblaient vouloir déchirer sa tenue… bon sang que je la voulais. C’était presque devenu la chose la plus importante en cet instant. Alors forcément, quand elle ouvrit sa blouse, baissa les bretelles de son haut, et révéla son sein lourdement galbé, à la rondeur insolente… j’y plongeais les yeux avant de remonter au sien… et jusque dans sa voix, son désir perlait. Heureusement, la peur. Sans sa peur, peut être m’aurait-elle moins plu…
« Oui… »
J’avais presque murmuré cela, la main un peu caleuse du maitre épéiste empoignant fermement son sein, le pressant, écrasant au creux de la paume le téton rigide d’envie…
« J’aime que tu supplies… »
Je relâchais l’emprise sur a rondeur qui avait sans doute été un peu plus forte que ce que l’on aurait pu espérer de ce genre de contact.
« Retire le reste de tes vêtements et montre-moi comment tu supplies celui qui t’est supérieur…. Ma toute belle… »
Je souris, prenant son mamelon, le pinçant et le tordant doucement.
« Montre-moi à quel point tu tiens à ta vie… »
-
Je prends sur moi de toutes mes forces pour calmer les tremblements de mes mains. La peur me galvanise sans que je puisse l'admettre, je capte dans son regard cette étincelle de folie lorsque je lui offre une vue parfaite sur mes deux seins tendus à l'extrême. Je sens tout l'effet que ça lui fait, je sens ce désir de possession qui le prend aux tripes. La raison me pousserait à mettre un terme à toute cette folie, à crier, me débattre, faire quelque chose de plus censé.
Pourtant je suis incapable de faire tout cela, haper par cette envie de le sentir prendre le contrôle sur moi. La supplication fait son effet, il empoigne un de mes seins et m'arrache un faible gémissement. La zone est sensible, sa poigne est dure, pourtant je suis obligée de pincer mes lèvres pour ne pas lui avouer quel effet ça me fait.
J'ai chaud, l'excitation grimpe en flèche et pour la première fois j'ai du mal à l'apprivoiser à cause de cette menace qui plane au dessus de moi. Si il était simplement fou et prévoyait de faire de moi un autre cadavre à son tableau ? Après tout il avait bien dit que ce n'était pas la première fois qu'il entendait le genre de promesses qu'on formule par instinct de survie...
Je n'ai pas le temps de réfléchir d'avantage qu'il m'incite à me dévêtir d'avantage. Je ne cherche pas à le contrarier, alors lentement, mon petit haut passe par dessus mes épaules pour venir s'échouer à mes pieds. Je glisse ma jupe jusqu'à mes chevilles pour m'en séparer également. Ne reste que mon tanga qui prend la même direction, révélant mon corps entièrement nu et l'intérieur de mes cuisses qui s'humidifie.
J'aime être nue, la sensation de l'air qui caresse ma peau est toujours agréable, meme en cet instant. Devant cet homme qui m'effraie et m'intimide, je tache cependant de ne pas me trahir et me laisse guider par ses injonctions.
Ma voix est faiblarde mais sincère :
- Faites ce que vous voulez de moi... mais ne m'otez pas la vie, pitié... j'obeirai à vos ordres...
-
Elle ne pouvait cacher les sensations qu’elle éprouvait dans cette situation… parce que même si elle tremblait, elle pointait. Même si elle avait les trémolos de peur dans la voix, elle se mettait à gémir quand je lui empoignais le sein. Ce n’était pas une mauvaise chose, loin de là. Elle savait donc où était sa place et ce qui faisait qu’elle méritait de vivre. Comment vivre, je n’en parlais pas, mais je me disais que j’allais bien m’amuser. Le tout était de préserver cette espace de terreur. Sinon, la saveur se perdrait. Oh, je la désirerai quand même, ça j’en étais sûr, mais je supposais qu’elle comme moi y perdrions quelque chose…
Je lui fis un grand sourire avant de finalement la regarder se déshabiller. Retirer le haut, faisant danser sa poitrine généreuse au gré du tissu qui la libérait en passant par-dessus sa tête. Pour le reste... eh bine je reconnus qu’elle ne perdit pas de temps. Elle se montra diligente, montrant son ventre plat, montrant ses hanches gracieuses, sa taille fine, et son sexe nubile. Oui, nubile, pas un poil ne s’y présentait a priori. C’était une bonne chose. J’avais toujours trouvé cela pénible et franchement peu esthétique…
Elle était là, nue et offerte, et elle était mienne.
« Eh bien c’est un bon début… qu’est-ce que tu es belle… »
Je m’approchais de sa nudité et je venais glisser mes mains le long de ses hanches, ayant fait mine de ne pas m’occuper de ses paroles. Tout ce que je voudrai. Je le savais. Tout ça pour vivre. Elle allait payer chèrement son droit à vivre, c’était le moins que l’on puisse dire. Je caressais ses hanches, remontait à ses côtes, descendais ma bouche pour croquer un sein, un mamelon, avant de relâcher et m’écarter…
Je l’admirai un peu. Puis je m’approchais et je plaquais mes mains sur ses fesses, attirant son bassin vers moi, puis je venais glisser une main conquérante entre ses cuisses, deux doigts inquisiteurs fouillant son sexe humide.
« Tu es en chaleur… »
Je ricanais, sortais les doigts et portais ceux-ci à mes lèvres, un petit sourire ravi.
« Tu goutes la chienne avide. Est-ce le cas ? »
J’exultais.
« Si tu obéis à mes ordres sans discuter, alors tu vivras… mais mets les mots… si tu m’obéis alors je suis ton maitre, petite chienne… n’est-ce pas ? »
Je voulais l’entendre le dire…
« Continue à me montrer ta dévotion, ma petite chérie… »
Je revenais doucement lui caresser les cheveux.
-
La caresse brûlante de ses mains sur mon corps m'incendie. Je me crispe, tendue par cette excitation mêlée de peur qui apporte un quelque chose de tout à fait nouveau à mon désir. Impossible de dissimuler mon excitation même si je ne devrais pas me retrouver dans cet état. Je m'observe dans son regard avide qui fait fit de tout le reste.
Et je me sens tout aussi coupée du reste du monde tant mon esprit est focalisé sur sa proximité, sur cette main qui glisse de mes hanches à mon ventre et qui eveille sur son passage un ouragan qui menace d'être difficile à contrôler. Impossible cette fois de dissimuler mon gémissement de plaisir lorsque ses lèvres viennent s'en prendre à mon sein. La sensation est exquise et mon corps en réclame d'avantage.
Ce désir honteux ne tarde pas à être satisfait puisque j'ecarquille les yeux lorsque après s'être emparer de mes fesses, ses doigts aventurier viennent s'immiscer dans mon antre. Je m'aggripe cette fois-ci à ses epaules sans parvenir à me contrôler alors que la vague de plaisir qui m'inonde me fait soupirer bruyamment.
Il ricane, constate ce qu'il ne peut que constater et porte ses doigts pleins de ma cyprine à ses lèvres. Mon corps est en feu et je ne peux le lui dissimuler. Une chienne en chaleur. C'est exactement ce que je suis à cet instant, prête à tout pour sauver ma vie mais prête aussi à succomber à ce plaisir sournois qui me guete.
- Oui, Maître... je suis votre petite chienne... je... je ferai tout ce qu'il faut... tant que vous ne me faites pas de mal...
-
Elle n’opposa jamais une seule résistance de bout en bout… bien, bonne petite chienne. De toute façon, à quoi bon le nier. La situation faisait d’elle la chienne, la situation faisait de moi le maitre. Et dans la combinaison des deux, elle trouvait sans doute l’équilibre de sa survie. Mais bon, qu’elle se dise entièrement forcée, complètement contre… disons que ça aurait eu du mal à passer…
Je revenais jouer avec sa poitrine, mes mains venant taquiner ses mamelons sensibles et je savourai chaque gémissement… elle était sensible de la poitrine, chose ô combien commune en ce monde… mais bon, je n’allais pas m’en plaindre…
« Vraiment une bonne chienne… »
Sa manière de s’agripper, de couiner, presque… non, vraiment… elle avait trouvé la place où s’épanouir. Entre peur et plaisir. J’en étais certain.
« Alors on va faire ne sorte de vérifier si tu fais tout ce qu’il faut… »
Il saisit sa taille et défit la ceinture. Il avait encore les vêtements de celui dont il avait pris le corps. Il sortit la ceinture des passants et glissa celle-ci autour du cou de la belle jeune femme, glissa la sangle dans la boucle, mais comme ce n’était pas fait pour ça, il ne pouvait la verrouiller autour de sa gorge. Pas très grave. C’était plus pour renforcer l’emprise. Tout ce que j’espérai c’était qu’elle essayerait de me convaincre sans que j’aie besoin de donner des ordres à chaque fois.
« Et si tu me montrais ce que ta jolie bouche est capable de faire quand elle se met au travail… je suis sûr que tu n’es pas douée que pour supplier, n’est-ce pas ? »
Je ricanais et j’émettais une petite condition.
« Mais mets les mains dans le dos. Et ne les utilise pas avant que je ne te le permette… quoiqu’il se passe… »
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Il en avait fallu si peu pour qu'il prenne l'ascendant sur moi, et voila que je me retrouvais désormais avec une ceinture en guise de symbole de soumission autour du cou. L'objet n'était pas fait pour ça, mais la représentation était là, je tentais de fuir par moment son regard. Je sentais son désir égal au mien mais je ne connaissais rien de lui, je ne savais pas à quel point il pouvait être dangereux. Et ce fameux instinct de survie qui me pousse à obéir, sachant très bien qu'il s'agit de ma vie qui est en jeu.
Pourtant mon désir en est décuplé, cet équilibre précaire entre la peur et le plaisir est sensationnel, mon corps réagit immédiatement à chacune de ses caresses et je n'ai pas la force de me dérober.
Lorsqu'il m'incite à me "mettre au travail" mon regard tombe entre ses jambes. Il est encore entièrement vêtu tandis que plus aucun bout de tissus ne couvre ma peau. Seule sa ceinture à libérer un peu d'espace pour me permettre de déboutonner son pantalon. Et c'est que je m'apprête à faire. Me laissant doucement tomber à genoux, face à lui, je viens défaire son pantalon pour tirer dessus, dévoilant son caleçon, seul rempart avec l'objet de mes désirs les plus profonds.
- A vos ordres mon Maître...
Je ne perds pas de temps, et fait glisser le long de ses cuisses ce bout de tissus qui révèle son sexe déjà dressé, preuve de l'effet évident que je lui fais. Je respecte les conditions et vient placer mes mains dans mon dos, penchant mon visage pour venir glisser ma langue le long de son membre qui tressaille presque aussitôt. Je respire son odeur masculine avec envie, me contrôlant pour ne pas me jeter sur lui. Ma nature profonde rejaillit, je suis incapable de résister à l'appel du plaisir charnel quel qu'il soit, mais pour la première fois ce n'est pas moi qui ai le contrôle. Et je ne peux cacher que cela rend les choses d'autant plus excitantes.
Alors mes lèvres se resserrent autour de cette belle queue que je fais pénétrer à l'intérieur de ma bouche en un premier vas et vient profond tandis que mon regard brulant s'accroche au sien. J'entame une série d'allers retours à mesure que je le sens durcir d'avantage, cherchant à connaitre ses sensibilités, tandis que ma propre excitation inonde l'intérieur de mes cuisses.
-
La jeune femme obéissait, elle ne luttait même pas. Comme si elle avait déjà abandonné toute idée de pouvoir s’en sortir sans ma bonne volonté. Peut être que la brume, ou serrer sa gorge, avait eu plus d’impact que je ne l’arai cru… je lui fis un air un peu mauvais. Un peu narquois aussi, ceci dit ; en même temps, niveau dignité, elle s’oubliait vite…. Facile à dessaper, facile à agenouiller, facile à faire obéir…
Comme si elle avait déjà été dressée…
Agenouillée, elle commença à sortir mon sexe. Je lui caressais les cheveux en guise d’encouragement. Elle avait compris…
Mon autre main tenait le bout de la ceinture, comme pour garder une emprise sur elle. Et rappeler pour le moment ainsi sa situation. Une situation qu’elle semblait non seulement accepter, mais, aurai-je juré vue la facilité d’exécution, qu’elle aurait même désiré, au fond. D’ailleurs, elle ne se priva pas pour se montrer diligente. Sa langue qui vint laper le chibre comme si rien n’était plus important de sa vie. En même temps, c’était aussi un peu le but.
« Exactement, ma toute belle… »
Je ne me crispais pas. Elle s’était muée dans son rôle avec tout le naturel de celle qui avait savouré cela par le passé t s’était mise à pied d’œuvre. Et cela m’encourageait à la considérer comme ma petite chienne.
« Allez, prends tout et bouffe moi la bite, chiennasse… »
Je lui tapotais la tête doucement alors qu’elle commençait à aller et venir dessus, me raidissant de plus en plus, emplissant sa petite bouche de plus en plus… je me demandais sincèrement ce qu’elle pourrait encaisser…
De la main, j’accompagnais ses mouvements, soupirant de plaisir. Je sentais la langue jouer contre mon sexe, avait-elle remarqué comme j’aimais qu’elle titille le frein ? Possible. Elle s’emblait s’y attarder…
« Oh putain… tu sais bien sucer… t’es vraiment faite pour ça… À croire que t’as déjà été dressée comme fourre pine… »
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Impossible de dissimuler à quel point j'aime ça. Dès lors que son sexe traverse la barrière de mes lèvres, je me met à le sucer avec un plaisir non feint, fermant les yeux par moment, me laissant porter par l'excitation de l'instant, frémissant lorsqu'il tire légèrement sur la ceinture pour me rappeler qui dirige les choses.
Sa main accompagne mes mouvements et je note intérieurement ses petites préférences au gré de ses soupirs de plaisir. Je le titille là où cela semble lui plaire et insiste même jusqu'à le sentir se tendre à son maximum. Je joue avec ma langue et mes lèvres en alternant les rythmes pour lui faire plaisir et me montrer docile. Je garde dans un coin de ma tête l'idée que si je fais les choses bien, alors il ne s'en prendra pas à moi. Si je lui fais suffisamment plaisir, alors il me laissera partir sans encombre.
Du moins c'est ce que je crois. J'oublie par moment le danger qui me guette lorsque l'excitation prend le pas sur ma raison, mais une petite voix à l'arrière de ma tête me souffle de rester vigilante. Je sais que si je m'abandonne totalement, je ne répondrai plus de rien et il pourra faire réellement tout ce qu'il veut de moi. Le sexe est une véritable drogue pour moi et comme une camée, lorsque je plonge dedans, je ne répond plus de rien.
J'aime la manière dont il me parle même si je ne serai pas prête à le lui avouer. Pourtant il n'y a pas besoin de mots pour comprendre à quel point je me délecte de cette pipe et comme je mets du cœur à l'ouvrage. Il n'est pas difficile d'être attiré par lui, son corps est parfait, musclé, sa poigne divine et son air autoritaire me fait rougir de plaisir.
La tension se diffuse dans tout mon corps et la chaleur me fait tourner la tête. Mes seins restent dressés et semblent sur le point d'exploser, tandis que je soupire de plaisir, la bouche pleine.
- Hmpfh...
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A son regard, qui restait rivé au mien, je devinais qu’elle ne faisait pas ça parce qu’elle était forcée. Elle était juste comme ça, c’était sa nature, si l’on pouvait dire… je n’allais clairement pas m’en plaindre, bien au contraire. Le seul reproche que j’aurai pu faire, c’était que si j’avais été humain, et étant donné sa technique, je n’aurai pas eu confiance quant à d’éventuelles maladies vénériennes. Et ce que j’aurai pu craindre aussi, mais cela semblait bel et bien écarté, c’était une circoncision surprise en pleine fellation, qui lui aurait donné l’occasion de se barrer. Mais elle ne semblait pas décidée à faire cela. Loin s’en fallait. Je lui fis un sourire et je lui caressais les cheveux… son regard était enfiévré, son air de contentement me rappelait celui que pouvaient avoir les drogués, ou les esclaves sur le marché… complètement dopées aux aphrodisiaques les plus violents à ne plus être capable de ne serait-ce que penser et qui étaient attachées pour éviter qu’elles ne commencent à essayer de se faire plaisir elles-mêmes…
C’était un peu l’impression que j’avais en la voyant. Sauf qu’elle avait davantage de contrôle, puisque ses mains étaient toujours dans son dos. Je les surveillais un peu depuis ma position surélevée par rapport à elle, agenouillée…
Et elle suçait…
Ce n’était pas juste une pipe, j’en avais eu bon nombre, mais peu – voire aucune – n’avait son niveau. C’était presque de l’art à ce niveau-là. Cela me forçait même à inspirer et expirer profondément pour ne pas donner une absence de perte de contrôle, mais aussi, parfois, à fermer les yeux, pour me recentrer… vraiment… elle n’était pas normale…
Et pourtant je réfrénais mes envies les plus rudes. Chaque chose en son temps…
« Tssst… une chienne bien dressée ne parle pas la bouche pleine… »
Je retirais mon sexe de sa jolie petite bouche en tirant sur ses cheveux. Et je savourai l’air frais dessus…. Ça m’éviterait de lui lâcher la sauce trop vite. Ce n’était pas plus mal…
« Tu es de loin la meilleure suceuse que je connaisse… une chienne d’exception, ou racée et élevée pour les concours… »
Mon gland caressait sa joue doucement, laissant les traces de sa salive.
« Nourrie au foutre quotidiennement… »
Je la giflais de mon sexe avant de finalement lui caresser les cheveux et venir appuyer derrière sa tête, fermement. Jusqu’à ce qu’elle ait de nouveau le gland en bouche. Alors, je rajoutais.
« Voilà comment on traite une chienne de ton calibre. »
Et je lâchais sa « laisse » qui se défit et resta comme une étole, sur sa nuque, pour venir saisir sa tête à deux mains et je commençais des mouvements brusques de mon sexe, venant faire claquer mes bourses sur son menton à répétition, sans le moindre égard pour elle, sa respiration, son maquillage, ou quoique ce soit d’autre…
-
Je me laisse porter par son rythme et son plaisir, m'adaptant sans cesse aux réactions de son corps et à ce qui semble lui faire perdre la tête. Mais il est plein de contrôle et si un autre homme aurait pu s'abandonner et tout lâcher en quelques minutes à sa place, lui n'en fait rien. Je ressens parfaitement cette volonté de rester maître de la situation de ne pas laisser les choses échapper à son contrôle aussi vite.
D'ailleurs, il fini par libérer ma bouche, j'en profite pour respirer un peu d'air tandis que je l'observe se recentrer pour ne pas défaillir. Si il y a bien un domaine dans lequel je me sais douée, c'est celui ci, et pour avoir suffisamment l'art de la pratique, je sais que je ne me trompe pas en disant qu'il prend son pied.
Je prends le compliment de la meilleure suceuse avec un petit sourire aux lèvres, les yeux pétillants de désir, le naturel revenant au galop.
- J...J'aime vous sucer Maître...
Son sexe se promène sur ma joue mais je sursaute lorsqu'il me gifle avec. Mes mains jaillissent alors instinctivement de derrière mon dos pour tenter de le repousser mais je me retrouve à nouveau avec son gland en bouche d'abord, puis sa verge au fond de ma gorge. Il m'impose alors un rythme brutal que je suis incapable de contrôler et je m'étouffe presque à chaque aller retour lorsque mon menton s'écrase contre son bassin.
- M-mais...
Même si ce comportement était prévisible, je tente de de reprendre le contrôle et de me dérober pour pouvoir respirer. Sans doute que je perds un peu conscience de ma position et de ce qu'il risque de m'arriver si je desobeis.
Le rythme est brutal et même si je pousse sur ses cuisses avec mes mains pour me libérer, je sens la pression de ses mains sur ma tête qui me verouillent sur place et qui m'incitent à me laisser faire comme la parfaite petite chienne que je suis censée être.
J'ai du mal à apprivoiser le mélange d'émotions qui tourbillonent en moi. Mon corps semble m'abandonner totalement, griser par les plaisirs de la chair tandis que ma raison subsiste et me lance des avertissements pour me pousser à me rebeller.
Je ne pousse pas le vice jusqu'à lui faire mal, consciente qu'il risque de me faire la peau sur place malgré cette fellation magistrale mais il peut sans doute remarquer que je tente de reprendre un peu de ma place.
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Elle avait une tête à apprécier plus que de raison la situation… alors forcément… qu’elle dise qu’elle aimait me sucer allait de soi. Elle avait le regard enfiévré, la joue baveuse, et, pariais-je, son petit abricot tout autant, voire sans doute plus… oui, rien qu’à la manière dont elle suçait je devinais sans mal que ça devait suinter comme un fruit trop mûr, là en bas…
Je lui tapotais doucement la joue, presque tendre.
« Encore heureux… sinon à quoi tu servirais… »
Je me laissais porter par mes envies et c’était bien cela qui m’amena à lui baiser littéralement la gueule. Comme si sa bouche – et sa gorge – n’avait été qu’un équivalent dentu de ses autres orifices.
Ce rythme était normal. Je lui avais dit. Je la traitais telle qu’elle était. Une chienne bonne à foutre, et à se faire défoncer, quelle qu’un soit la manière… je voyais bien son regard de surprise, et je savais que les hoquets de haut le cœur arriveraient vite, ainsi que le surplus de sa live générée par la situation qui s’échapperait de ses lèvres tôt ou tard.
Mais apparemment j’atteignais déjà un point de non-retour pour elle, car elle ne put s’empêcher de me repousser, ou du moins d’essayer… je cessais mes mouvements alors qu’elle tentait de me résister et qu’elle essayait de se rebeller. Et forcément…
Je me reculais, faisant sortir mon sexe, la laissant livre de tousser, cracher sa salive en trop, et reprendre le souffle que je lui avais pris.
« Est-ce que je ne t’avais pas donné une consigne claire ? »
A savoir garder ses mains dans son dos.
Je refermais mes doigts sur ses cheveux et je commençais à tirer, sachant parfaitement que c’était douloureux, non pour la relever mais pour l’entrainer vers le lit médical…. Et c’était seulement lorsqu’elle était toute proche du lit que je tirais sur ses cheveux vers le haut pour la redresser. Elle était toute proche du corps en décomposition.
« Regarde le… tu veux finir pareil ? »
Et ma main s’éleva pour s’abattre sur sa joue… une puissante gifle bien méritée.
« Puisque tu es incapable d’obéir alors je vais sévir. Mais je vais surtout te donner quelque chose qui te servira de rappel. Par exemple… »
Je désignais la main en cours de décomposition…
« Je vais détacher un doigt et te le glisser dans ta fente baveuse. Et tu le garderas jusqu’à ce que je t’aie joui au visage. »
Je me fis songeur.
« Ou alors, tu te masturbes avec ? Les deux idées ont du charme… »
Sinon il restait toujours les aiguilles des seringues… juste pour percer la peau, à des endroits sensibles…
-
Je savais que mon comportement ne passerait pas mais j'étais loin d'imaginer à quel point cet homme avait des idées farfelues. Lorsqu'il me libere de sa prise, je reprends mon souffle difficilement, mon maquillage complètement fichu en l'air et le visage plein de bave et de traces de sa verge.
Cette baise intensive ne m'a laisser que peu l'occasion de respirer alors je toussote un peu en tentant de discipliner mon rythme cardiaque. Mais c'est sans compter sur sa main qui agrippe mes cheveux et me fait grimacer de douleur pour me tirer jusqu'au corps en décomposition.
Je suis bien obligée de poser mon regard sur le macame et j'ai cette fois ci un haut le cœur qui manque de me faire vomir de peu. L'aspect affreux du mort est une motivation particulièrement puissante et je l'implore, à nouveau, à genoux et complètement soumise et il faut le dire un peu paniquée.
- Je suis désolée... je ne voulais pas pardonnez moi... je ne recommencerai pas s'il vous plaît...
Vlam. La claque s'abat violemment sur ma joue qui irradie instantanément. Je sursaute et lâche un cri de douleur en me tenant le visage, les yeux larmoyants. Je commence à m'apitoyer sur mon sort et me détester de ressentir du désir en compagnie d'un taré pareil mais je le regarde avec effroi lorsqu'il me parle de m'enfoncer ce doigt en cours de décomposition à l'intérieur de moi. Le pire dans tout ça, c'est que l'adrénaline et l'horreur ne parviennent même pas à faire disparaître mon excitation. J'ai tellement envie de me faire penetrer.
- Vous n'allez quand même pas faire ça...
Mais je remarque à son air mesquin que cette idée n'est absolument pas hypothétique. Qui sait ce qu'il a comme autre idée derrière la tête... j'ai un mouvement de recul par instinct de survie mais je suis totalement exposée, nue face à lui et degoulinante de désir.
- Je vais obéir... c'était juste une erreur...
-
Elle comprenait un peu ce que je lui promettais comme réaction ? Possiblement, ou pas. En fait, je pensais sincèrement qu’elle méritait une bonne leçon. Et quoi de mieux que d’utiliser mes resres pour cela ? Bien sûr, je ne disais pas que j’allais agir comme je lui mentionnais, non. Bien sûr, mais j’estimais juste que j’avais un réel droit à lui faire peur avec. Mes idées, particulièrement sordides, était typiquement ce que je pouvais faire pour lui montrer que je contrôlais. D’ailleurs, elle comprit que même si elle ne voulait pas, pouvais la orcer. C’était ça, le pouvoir en fait… le pouvoir que j’exerçais sur elle, et qu’elle m’avait cédé. Tout simplement.
« Tu ne voulais pas… est-ce que ça justifie que je passe outre ? »
La gifle devait lui avoir fait du bien. Son visage avait clairement montré qu’elle ne pouvait pas me refuser. Elle avait la salive sur le visage, sur le menton, le mascara qui coulait sur les joues. Et j’en passais. Je la regardais et je rajoutais.
« Pourquoi est-ce que je ne le ferai pas ? N’as-tu pas dit que tu obéirai sans discuter ? »
Ces propos avaient un double sens un rappel de son échec, d’une part, et du fait que si je voulais qu’elle fasse ça, refuser allait contre sa cession. Je ricanais un instant avant de finalement lui caresser la joue tendrement, lachant ses cheveux.
« Promettre quelque chose alors que tu as déjà trahi ta promesse, cela nihilise toute crédibilité de ta part. donc si yta parole n’a pas de valeur, alors pourquoi devrai-je en tenir compte, ma petite chérie ? »
Je lui tapotais la joue, un peu infantilisant, certes. Mais en même temps, quoi de plus normal ? Je me contentais de dire, doucement.
« Il va falloir que je te montre que moi, je n’ai qu’une parole, alors tu vas être châtiée… et nous allons faire en sorte que plus jamais, tu ne commettes une telle erreur…. Mais je me montre généreux. Propose-moi une vraie punition, une que tu devras endurer avec peine… fais moi une proposition. Si elle me va, alors soit. Si elle ne me va pas, je choisirai, et quoique je choississe je ferai en sorte que tu en chiales… »
-
Le problème avec les promesses non tenues c'est que forcément, après, il est difficile voir impossible de paraître crédible.... et j'étais exactement dans cette position. J'avais fait une promesse que j'avais envoyer en l'air et maintenant je n'avais plus aucun moyen de prouver mon obéissance. En tout cas par les mots.
J'ai du mal à me remettre de la grosse claque que je viens de me prendre mais elle a eu le mérite de me remettre les idées en place. Je n'avais plus aucune envie de me rebeller et de le contrarier. Surtout que j'allais désormais devoir redoubler d'effort pour prouver mon honnêteté.
Je ne le contredisais pas, les mots ne suffiraient plus à le convaincre et je le savais pertinemment. Il oscille entre cette fausse tendresse et la violence qui émane de lui, me caressant les cheveux après me les avoir malmenés. Il me rabaisse, me replaçant à ma juste place avant de me mettre au défi de lui prouver ce que je suis réellement capable de faire.
Je l'observe un instant, une boule se formant dans ma gorge avant de jeter un coup d'œil au cadavre tout près de moi. L'idée qu'il m'avait proposer était tout bonnement affreuse, mais ce qu'il avait en tête ne serait-il pas pire que l'éventualité de ce que je pense à faire ?
- Je vais me rattraper... je ne vous décevrais plus Maître...
J'essaye tant bien que mal de me repentir mais je vois bien à son regard qu'il est sérieux et qu'il n'hésitera pas à me faire souffrir pour son petit plaisir personnel.
Alors même si cette idee me rebute, j'attrape le bout de l'index du cadavre qui se craque lorsque je tire dessus et se détache de l'ossature de la main. Je ferme les yeux pour ne pas m'évanouir et referme ma main dessus pour le dégager le plus vite possible de mon regard. Je persuade mon esprit de s'imaginer qu'il s'agit simplement d'un jouet comme un autre que j'ai l'habitude d'utiliser. Un sextoy en forme de doigt, ni plus ni moins.
- Est ce que si je me masturbe avec, cela vous conviendrait...?
J'espérais que oui. Et pour prouver ma bonne foi, même si tout ceci me paraissait irréel, je reculais un peu en écartant mes cuisses pour lui prouver que j'étais prête à franchir le cap. Avec un peu de chance il aurait suffisamment pitié pour me dire de ne pas le faire et que tout ceci n'était qu'un test... même si j'étais suffisamment en chien pour savoir au fond de moi que malgré les circonstances, je trouverai du plaisir quand même.
-
Elle revenait dans mon giron. C’était une excellente chose, me semblait-il. Après, restait à savoir si elle serait en mesure de me prouver qu’elle restaurait assujettie. Ce n’était plus possible de le montrer par les gestes, et par les actes. C’était devenu essentiel et elle le comprenait, me disant qu’elle ne me décevrait plus. Mais je ne pouvais pas m’empêcher de me dire que c’était presque trop facile…
Je relâchais ses cheveux de l’étreinte de ma main pour qu’elle se sente libre d’agir.
« Nous verrons. »
Je la laissais donc essayer de me convaincre. Elle regardait le cadavre. Avait-elle peur que je ne passe à l’acte ? Elle avait raison. Je passerai à l’acte, c’était une certitude. Il suffisait pour cela qu’elle ne me convienne pas dans sa réaction. Et donc tout dépendait d’elle. Et pas qu’un peu… parce que maintenant la charge était renversée. Elle ne devait pas juste endurer mis me montrer jusqu’où elle pourrait aller. Et ce n’était clairement pas une chose aisée... mais c’était aussi cela qui me permettrait de voir ce qu’elle valait vraiment, niveau engagement.
Elle regarda le cadavre, saisit un doigt, et l’arracha. Le doigt vint sans problème, craquant sans résister. Oh… ainsi elle allait oser ? Il était temps de voir ce qu’elle pouvait faire. Et elle avait intérêt de faire les choses bien…
« Et tu couinais parce que l’idée même que je te masturbe avec était trop pour toi ? Tu vois, c’est largement à ta portée ma chérie… »
Je lui tapotais le crâne, els cheveux, avec un air ravi, mais je me permettais alors de rajouter.
« Mais cela ne suffira pas. Il ne suffit pas de revenir sur ce que je souhaitais je faire pour me combler. Il ne s’agit plus de satisfaire une ancienne demande, mais de faire acte de châtiment… »
Sans la moindre once de dégout, je venais glisser ma main sous les draps, sous la blouse et je saisissais un service trois pièce qui avait commencé à bien sécher. J’arrachais alors le trio. Je mettais alors sous ses yeux le service trois pièces défraichi.
« Tu devras utiliser le doigt et ça. A toi d’en faire un spectacle qui me plaira… mignonnette… D’ailleurs c’est quoi ton petit nom ? Que je sache de quel nom a hérité ma chienne en chaleur… »
J’attendais qu’elle prenne le service trois pièces pour lui dire.
« Maintenant, mets-toi en place, mets-toi en scène, et montre-moi un peu ce dont tu es capable. Il va falloir assurer le spectacle, et jouir comme une chienne en chaleur jouirait. Sans retenue, violemment, éclaboussant… »
Je préférai préciser alors.
« Uniquement vaginale, la masturbation. Salope comme tu es, tu risquerais de vouloir utiliser ton cul ou ta bouche aussi… »
-
Je savais que j'avançais pleinement sur la pente descendante mais avais-je vraiment le choix ? J'étais face à un taré à qui j'avais eu le malheur de céder tout contrôle et il était bien décidé à faire tout ce qui lui chanterait de faire. J'étais vraiment dans une fâcheuse position.
C'est certainement pour cette raison que je me tiens à genoux avec le doigt desséché d'un cadavre dans ma main, prête à m'en servir pour me masturber et faire preuve de ma bonne foi. J'espérais au fond de moi que ce serait suffisant, que ce serait même trop. Lorsqu'il ricane en se moquant de mes plaintes précédentes, je detourne le regard.
Il a raison, je suis prête à tout pour m'en sortir indemne, et si je peux soulager mes pulsions au passage, alors je risque de tout céder aussi. J'ecarquille les yeux lorsqu'il porte devant mes yeux ce qui servait d'organes génitaux à notre ami décédé sur la table et je met ma main devant ma bouche pour réprimer un nouveau haut le cœur. Quel être sain d'esprit peut avoir des exigences aussi affreuses ?
L'idée de refuser traverse mon esprit l'espace d'une seconde avant de disparaître. Je ne peut pas désobéir à nouveau. Pas alors que je suis dans cette situation parce que j'ai justement oser me rebeller.
Je redresse le buste pour me donner un peu de courage et de volonté, plantant cette fois ci mon regard dans le sien. Je répond cette fois ci d'une voix pleine qui ne flanche pas, bien consciente qu'il s'agit désormais de faire mes preuves.
- Je m'appelle Laëlia. Et je vais tout faire pour que soyez satisfait de mon comportement, Maître.
Il voulait du spectacle. J'étais prête à lui en donner. Le fameux service trois pièces dans une main et le doigt dans l'autre, je pose le premier entre mes cuisses au sol tout en gardant l'autre dans ma main. Le voilà qui émettait des nouvelles conditions, encore, et je hochais la tête pour lui signifier que je les respecterait.
- Je n'utiliserai que mon vagin, dans ce cas...
La main qui tient le doigt desséché vient se balader sur ma poitrine pour titiller mes mamelons qui se tendent à nouveau instantanément. Je me sers de l'extrémité du doigt pour me caresser, frissonnant rapidement tandis que mon excitation reprend le pas sur tout le reste. Je ne le quitte pas du regard, pour avoir à éviter d'affronter ce que je suis entrain de faire, tandis que mon bassin s'abaisse légèrement pour que la verge viennent stimuler l'intérieur de mes cuisses.
Mon sexe est encore dégoulinant de désir et je n'ai pas grand chose à faire pour qu'elle rentre. Pourtant, pour le spectacle, je prends le temps de faire monter encore ma température, trouvant le moyen de stimuler mon clitoris en me frottant comme une assoiffée de plaisir.
Mon visage se transforme peu à peu, malgré l'horreur de la situation, malgré le fait que je suis entrain de me faire plaisir avec le service trois pièces d'un mort, lorsque je fais penetrer le membre à l'intérieur de moi, je gémis comme la véritable petite chienne qu'il m'accuse d'être. Je me déhanche pour le faire aller et venir, suffisamment loin pour me faire haleter, tout en descendant le doigt qui appartient au même corps entre mes lèvres intimes pour stimuler dans le même temps mon petit bouton de chair tellement sensible.
-
Elle obéit, elle céda. Oh, certes, elle manqua de vomir, certes, mais bon… je lui fis un air amusé, avec une lueur mauvaise dans le regard qu’elle commençait à bien connaitre et qui montrait bien à quel point cette situation me prenait aux tripes. Et sincèrement, après avoir fait « mumuse » avec ça, que pourrait-elle faire de pire ? les animaux ? les monstres ? d’autres fluides peu amène ? Voilà qui ne devrait pas être trop incongru…
« Laëlia…. Hum… soit… »
Je n’aimais pas beaucoup son nom. Et parce que je n’aimais pas beaucoup, elle serait peut-être amenée à changer de nom. Mais bon, ce n’était pas bien grave… je lui fis un sourire avant de finalement la regarder se préparer au « pire » … et, forte des dernières consignes, je la regardais alors commencer à se titiller les mamelons avec le doigt, puis, elle commença à jouer avec le sexe du corps en décomposition. Voilà ce que j’attendais ‘elle et je venais même saisir son menton pour l’empêcher de détourner ses yeux de moi. Pour le moment je ne lui répondais qu’une vague indifférence intéressée. Pas grand-chose quoi. En même temps, elle n’avait pas vraiment bien débuté, et la vue n’était pas terrible.
Mais eu voyais son visage, la manière qu’elle avait de peu à peu changer d’expression… elle montrait qu’elle était en chaleur et que n’importe quoi aurait pu la contenter… elle en avait besoin. Et pas qu’un peu. Il lui fit un air joueur et mauvais avant de finalement lui cracher au visage et, puisqu’elle ne regardait pas ce qu’elle faisait, je lui donnais un coup de pied entre les cuisses. Pas très fort, pour qu’elle n’ait pas non plus trop mal. Mais c’était un avertissement.
« Qu’est-ce que tu n’as pas compris dans l’idée de faire le show, le spectacle, Layla ? »
Le prénom avait été complètement écorché et cela m’allait bien quand même. Et c’était tout ce qui comptait.
« Je ne vois rien et toi non plus. Alors tu continues de te fourvoyer ? »
Elle prit une nouvelle claque, sur l’autre joue, égale à la première.
-
Je pensais que le fait de pratiquement m'envoyer en l'air avec un mort serait suffisant pour prouver à quel point j'étais capable de me soumettre. Mais je comprends rapidement que ce n'est pas le cas. Son regard laisse facilement transparaître ses exigences et je comprends qu'il le sera toujours plus. Il n'a pas de limites et je suis entrain de le comprendre à mes dépens.
Malgré la peur, la crainte de ne pas faire suffisamment bien et la terreur en toile de fond de ne pas sortir de cette pièce vivante, le plaisir me monte à la tête et envahit mon corps. Les vas et vient qui me stimulent de mieux en mieux me font soupirer de plaisir, et j'en ai besoin, je m'y raccroche comme à une bouée de sauvetage. J'ai besoin de me faire prendre et de jouir jusqu'à tout oublier.
Il le remarque certainement et il en profite puisque je ne m'attends pas à ce qu'il me crache au visage, ce qui ne manque pas de me faire ouvrir de grands yeux. Choquée, je laisse le crachat marquer ma peau sans oser l'en débarrasser d'un geste de la main. Et je sais que j'ai bien fait de ne pas bouger lorsqu'il m'assene un coup de pied entre les cuisses qui m'extirpe une plainte de douleur. Ce coup fait s'enfoncer la verge encore plus loin à l'intérieur de moi.
- P...Pourquoi...
J'obtiens rapidement ma réponse, non sans qu'il écorche mon prénom au passage, ce qui me fait comprendre qu'il ne l'aime probablement pas. Il n'était pas satisfait et cela se soldait par une nouvelle claque sur ma joue qui rougit sous le coup.
Je me relève difficilement, tremblante d'un mélange de peur-plaisir et désir. Je ne parviens pas à arrêter de me masturber et je tiens d'une main ferme les bourses accrochées au membre qui s'enfonce en moi. A présent debout, la vision est meilleure, j'ecarte encore d'avantage les cuisses, je sais qu'il veut que je regarde, parce qu'il me poussera dans mes retranchements jusqu'au bout. Alors je baisse la tête et contemple ce membre desséché qui me perfore, avant de reposer sur lui un regard désespéré.
Le plaisir me fait vibrer, mais j'ai besoin de plus, je suis presque en trans, dans un état second, je déteste cet homme tout autant que je le désire et je crois bien que cela pourrait me rendre folle.
Les barrières tombent peu à peu et je me penche en avant, agrippant de mon autre main son épaule malgré le doigt qui y est toujours coincé. Je continue de me faire plaisir, venant gémir à son oreille, il a une vue pleine sur mon bassin qui remue et ma poitrine qui s'agite au rythme de mes accoups. Il pouvait sentir la vibration de mon corps à chaque aller retour. Et alors que je laissais échapper mon plaisir, j'abdiquais.
- J'ai besoin de me faire prendre... j'aime tellement ça... je suis votre petite chienne et je suis prête à tout pour vous satisfaire...
-
J’en demandais beaucoup. Je le savais. Je savais même que j’en demandais potentiellement trop. Mais elle cédait, elle suivait, elle laissait faire. Alors pourquoi me priver, au juste ? En cet instant, elle était là pour ça, il fallait bien le reconnaitre. Pour obéir, et pour me divertir. E pour le moment, si le bilan semblait mitigé, elle restait quand même assez divertissante. Il fallait bien le reconnaitre.
Petit sourire en coin. J’en avais un comme ça quand elle ouvrit de grands yeux avec ce crachat au visage. Mais elle ne chercha ni à le retirer ni autre elle laissa ainsi son visage souillé. C’était presque comme si c’était naturel. Ça lui allait bien. Mais le pire, ce fut suite au coup de pied. Elle réagit comme si elle ne savait pas pourquoi j’avais frappé. C’était exécrable de sa part. alors forcent, la gifle avait suivi et c’était légitime. Elle continuait à ne asa agir comme il fallait. Et j’étais persuadé qu’elle le savait et qu’elle le faisait exprès. Sinon, pourquoi aurait-elle agi de la sorte ?
« Tu avais pourtant promis de ne plus me décevoir… »
Je lui caressais les cheveux dans un simulacre e tendresse, avant qu’enfin, elle ne bouge, offrant cette fois une belle vue sur l’action. Voilà qui était quand même mieux. Et pendant quelle continuait, venant se caler contre moi, gémissante, bouillante vibrante, je vins saisir sa poitrine à pleines mains pour commencer à presser pétrir, ses globes de chair, jouant avec ses mamelons en tirant, tordant, pressant, pinçant.
« Je sais. Je vois ça, tu dégoulines e plaisir… et tu es prête à mettre n’importe quoi dans ton con… »
Je ricanais. Une idée venait d’arriver…. Une idée dans la ligne des précédentes.
« Jouis et ensuite je promets que je te perforerai de mon chibre… je te baiserai, à quatre pattes, comme une bonne chienne… »
Je continuais à maltraiter ses seins, et ce, en me montrant toujours un peu moins tendre à chaque geste.
« Je te promets de m'occuper de toi comme tu le mérites… »
-
Le spectacle semblait un peu mieux lui convenir, en tout cas mes joues ne furent pas gratifier d'une nouvelle gifle et j'en soupirais de soulagement. Et je ne pouvais pas dire que je ne profitais pas du plaisir que m'offrait cet objet incongru qui s'enfoncait en moi.
Et c'était bien le problème. Je me soumets à nouveau entièrement à lui, prête à tout pour soulager mes besoins, ses idées sont affreuses et pourtant mon esprit est déconnecté de la réalité. Je le laisse me frapper, me maltraiter, alors que j'aurais certainement pu au moins essayer de le tuer.
Mais cette entreprise serait veine, je le sais parfaitement, et le plaisir que je retire de cette situation est tout simplement malsain. Alors quand il s'attaque à mes seins tendus en me promettant de me baiser des que j'aurais jouis, je redouble aussitôt d'effort, bien que cela ne soit pas difficile.
Les vas et vient entre mes cuisses deviennent plus vifs, mon corps se contracte. Je suis au bord de la jouissance, prête à tout lâcher, et l'idée même de le sentir s'enfoncer en moi provoque une vague de chaleur dans tout mon corps.
- Oh oui... je n'attends que ça...
La raison s'envole et avec elle mon esprit. Je bloque le membre en moi tandis que ma jouissance explose dans un long gémissement de soulagement. La tension est tellement forte que mon plaisir dégouline en abondance le long de mes cuisses et inonde le service trois pièces que je tiens encore entre mes mains.
-Oh bordel...
-
Je sentais son soulagement d’être convenable. En fait, c’était un peu le minimum que je demandais. Je ne me trouvais pas si exigeant que cela quant aux mots employés, bien sûr… mais c’était quand même bien plus fun comme ça. Je lui fis un sourire et je lui tapotais la tête pour lui montrer que j’étais content de son travail actuel. Même si elle aurait pu faire mieux, c’était déjà acceptable, ou plutôt passable. Donc je me montrais généreux et je la laissais continuer, faire ce qu’elle pouvait et ce qu’elle devait…
Au moins, je lui avais offert une belle issue. Si elle jouissait suffisamment alors je la prendrais. Et je ne le ferai pas doucement. Je le ferai comme à mon habitude, comme je le voulais, sans vraiment me soucier de comment elle réagissait à cela.
« Tu n’attends que ça, vraiment ? Eh bien jouis, ma belle… »
Je regardais la jeune femme avec amusement alors qu’elle continuait. Et enfin, je la vis jouir, éclabousser, offrir un spectacle absolument obscène. Mais elle avait l’obscénité qui coulait dans ses veines, c’était le moins que l’on puisse dire. Elle jouit bien. Elle jouit fort. Et je la récompensais d’une claque sur le cul. Brave fifille. »
« C’est bien, ma Layla… »
Je la laissais quelques instants avant de finalement prendre ses hanches et la faire pivoter pour qu’elle soit dos à moi. Alors, je la poussais en avant, brutalement, pour que son buste s’étale sur le lit, en travers du cadavre et je souris avant de finalement lui caresser le dos tendrement, allant jusqu’à son cul.
« Où est le doigt ? »
Elle avait utilisé le service trois pièces, mais le doigt… n’avait-elle pas négligé cela ? Je prenais son nouveau sextoy favori, poisseux de ses plaisirs, avant de finalement l’appuyer pour qu’il reste bien rentré en elle, et je venais la forer à accepter un testicule desséché à l’intérieur, puis la deuxième… et enfin, le tout fut en elle. Bien, voilà qui était réglé. Elle était bien remplie ainsi, non ? Alors je lui disais, une main posée sur ses reins pour la maintenir.
« Choses promises choses dues. »
Je posais mon gland entre les rondeurs de ses fesses et je forçais, profitant de ma force largement supérieure à la sienne pour m’enfoncer dans son anus aussi loin que possible sans la préparer… qu’elle déguste. C’était le but. Prise comme elle le méritait et comme je le voulais sans la moindre prudence, attention, retenue.
« Heureuse ? »
-
Mon orgasme est sans retenu, j'explose dans une marre de cyprine, mon vagin se contractant à intervalles régulières jusqu'à ce que l'euphorie redescende et qu'il me claque le cul bruyamment. J'imagine que ma peau doit être aussi colorée que celle de mes joues.
Pourtant la douleur se dissipe sous les effets du plaisir et je reprends doucement mes esprits sans comprendre ce qu'il m'arrive lorsqu'il me retourne et que je me retrouve à moitié étalée sur le cadavre. Cette vision d'horreur me pousse à plisser les lèvres pour ne pas hurler. J'en avais presque oublier sa présence et pourtant, c'était bien à cause de ce fichu mort que je me retrouvais dans pareille situation.
La redescende est brutale mais ce qui suit l'est d'autant plus. Je desserre ma main dans laquelle est toujours emprisonné le doigt lorsqu'il me demande oú il est. L'état de décomposition de celui ci devient d'ailleurs de pire en pire mais je chasse cette idée de mon esprit.
- Il est là...
La penetration des bourses accrochées au sexe qui est toujours enfoncé en moi "m'aide" à penser à autre chose mais la sensation est inconfortable, je suis suffisamment trempée pour qu'elles rentrent sans problème mais je me sens bien trop pleine. J'ondule un peu des hanches pour tenter de m'adapter avant de m'agripper au cadavre car il est la seule chose que j'ai sous la main sans pouvoir cette fois ci me retenir de crier.
- Aaaaah !!!!
Mon sang ne fait qu'un tour et la douleur me coupe le souffle. Je sens son chibre s'enfoncer sans pitié à l'intérieur de mon anus avec la net impression qu'il me dechire de l'intérieur. Je sens sa poigne qui me maintient et m'empêche de me dérober. L'intensité de la douleur est telle que les larmes me montent aux yeux.
J'ignore si il n'a pas réellement tout détruit sur son passage et la sensation de plaisir est à cet instant très lointaine. J'ai envie de lui hurler qu'il est complètement fou et que j'ai envie de l'étriper mais je ne suis même pas certaine que mon corps soutienne mon poids au vu de la douleur qui irradie. Le problème c'est qu'il trouve toujours le moyen de retourner les choses contre moi et que je n'ai pas la force de m'opposer à lui. Après tout, je lui avais expressément demander de me prendre comme une chienne.
Alors je serre les dents et ne dit rien, pour ne pas m'attirer ses foudres, deglutissant difficilement. Osciller entre plaisir et pareille douleur est une véritable montagne russe émotionnelle. Et mes capacités divines naturelles, bien que je n'en ai pas conscience ne m'aident pas beaucoup plus à encaisser le choc, si ce n'est que je suis encore consciente.
Je remarque que le bras du mort auquel je me suis trop fermement accrochée s'effrite et tombe au sol. Alors je ferme les yeux, tremblante, pour espérer que le cauchemar se termine au plus vite, essayant de me raccrocher à l'orgasme que je viens d'avoir et dont je me remet tout juste.
-
Ce que je lui faisais n’était pas quelque chose de particulièrement agréable, même avec toute la bonne volonté qu’elle avait manifestée. Est-ce que la briser était un objectif ? Pas nécessairement… moi je me contentais d’estimer qu’elle était faite pour ce qu’elle subissait, bon gré mal gré… je lui donnais une petite claque sur la croupe. Brave fifille. J’allais la faire gueuler. Il allait falloir qu’elle se taise part contre, me dis-je quand je l’entendus crier de douleur lorsque que je forçais pour entrer dans son petit trou. Il était fait pour ça, comme elle était faite pour ça, non ?
Je venais appuyer sur sa tête, alors qu’elle s’accrochait au macchabé, pour lui enfoncer le visage entre les draps et la faire taire. C’était le seul moyen pour qu’elle ferme beaucoup… je gardais son visage ainsi alors eu je sentais que mon bassin claquait contre ses fesses. Je me penchais sur elle pour lui caresser les cheveux et lui susurrer au creux de l’oreille des mots de pure gentillesse.
« Courage, ce n’est que le début… je vais apprendre à ton cul à s’ouvrir bien grand devant un gland… »
Je commençais à reculer, lentement, pour lui laisser le temps de ressentir les choses. Avait-elle saigné de cette pénétration ? Peut-être, je ne vérifiais même pas. Je me contentais de ressortir et lui faire sentir l’air entre dans son étoile brune ouverte. Puis je reposais mon gland contre celle-ci une fois douloureusement refermée et je lui disais.
« Respire bien et détends-toi, sinon tu auras encore plus mal… »
Et sans attendre je recommençais, encore, et encore, et encor. A combien de reprises ressortais-j, attendais-je que son cul se referme, pour le repénétrer ? Je n’étais pas sûr, une bonne dizaine de fois à n’en pas douter… et alors, je venais une nouvelle fois pénétrer son cul, un peu plus habituer, pour commencer les rudes vas et viens…
« Vraiment un cul de chienne, tu le sais, ça ? »
Je cessais d’appuyer sur sa tête.
« Vraiment une putain jusqu’au fond de chaque trou… »
-
Si la penetration brutale me provoque une douleur insupportable, ce n'est rien comparé à lorsqu'il se met à bouger. La tête enfoncée dans les draps et maintenue par sa main pour éviter de crier, j'ai l'impression qu'il m'ouvre de l'intérieur chaque fois qu'il s'enfonce entre mes chaires. J'ai d'ailleurs l'impression que la sensation ne disparaîtra jamais tellement c'est insoutenable.
Mais je sers les dents, tandis que des larmes coulent le long de mes joues et que comme il me l'avait promis, il me fait chialer. Par moments, les accoups sont tellement douloureux que des plaintes s'échappent de ma gorge, heureusement pour lui étouffées par le draps. Même la présence du mort ne me paraît plus si terrible à côté de ce qu'il me fait subir.
Je manque d'air et je sens que si il continue comme ça, je vais me briser en mille morceaux. C'est sans doute ce qu'il cherche puisque dans le même temps, je me jure de ne plus jamais lui désobéir et de rester éternellement docile.
Il me provoque ouvertement, me souhaitant même bien du "courage" puisqu'il ne s'agit que du début. Et il ne manque pas de me le prouver lorsque ses vas et vient deviennent plus brutaux encore et qu'il s'amuse à me perforer à nouveau des lors que mon cul se referme.
Je suis presque certaine de saigner, la déchirure me paraît inévitable mais cela ne l'arrete pas, il m'incite à respirer, ce que je fais aussitôt mais me détendre est tout bonnement impossible.
Inévitablement et malgré la torture que je subit, mon petit trou commence à s'élargir et s'adapter à cette intrusion violente, lui laissant d'avantage de place poir s'amuser comme il le souhaite. J'ai abandonné l'idée de trouver un moyen de m'en sortir et mon corps cesse de lutter.
La douleur est toujours aussi insupportable et j'ai juste envie d'éclater en sanglots, mais je me retiens, par dignité, par peur de provoquer encore son courroux. Lorsqu'il relache ma tête, je ne trouve même pas la force de la soulever. Je murmure simplement en hoquetant, autant pour lui que pour moi même :
- Je ne désobéirai plus jamais...
-
Je savais qu’elle avait mal. Mais c’était clairement une réussite pour moi. J’étais en train de lui labourer le cul – littéralement – et je m’en ravissais. Je savais qu’elle avait sans doute envie de chialer toutes les larmes de son corps, mais elle ne se plaignait pas trop. En même temps, heureusement, parce que bon, trop de geignements m’auraient agacé. Mais els pleurs… non, les pleurs, ça passait plutôt bien. Je lui fis un grand sourire et je me retirais, admirant un instant son petit cul qui commençait à avoir du mal à se refermer spasme après spasme… il restait étroit malgré sa souplesse c’était une excellente chose.
« Tu vois, ton petit cul commence à s’y faire. Tu n’as plus de raison de pleurer, quand j’aurai fini de l’ouvrir tu n’auras plus que le plaisir… »
Les doigts dans ses cheveux se faisaient caressants, ou, alors eu mon sexe reposait sur sa fesse….
« Je me doute que ça fait mal, c’était sans doute ta première sodomie… ou ta première vraie sodomie plutôt… mais tu verras, tu apprécieras encore plus ça que le sexe vaginal. Je t’apprendrai… il faut juste que je t’apprenne, ma délicieuse petite chienne… »
Et puisqu’elle semblait sur le point de sangloter, je continuais mes tendresses, comme pour lui montrer qu’elle était libre d’obéir à son envie. Je me penchais même pour me brasser doucement sa peau dénudée.
« Tu es entre de bonnes mains, tu sais… même si je t fais très mal, c’est parc que tu en as besoin… »
Voilà qui n’était clairement pas un mal. Je venais doucement la prendre par les épaules pour la redresser et l’attirer vers moi, lui offrant comme une étreinte.
« Je t’ai entendue et je crois ce que tu m’as dit…alors je vais arrêter de t’enculer pour l’instant… finis-moi avec ta bouche… je veux éclabousser ton ravissant petit museau de chienne en chaleur de me foutre pour montrer qui te commande, ma petite Layla… »
Une main s’égara sur son sein et commença à malmener un peu le mamelon.
« Je vais encore te faire mal, mais je te promets que tu finiras toujours par en redemander… tu vas voir, je vais bien te dresser. Alors remets-toi à genoux pour me sucer… et installe donc ce doigt dans ton cul… j’aurai pu te punir de ne pas l’avoir enfoncé, mais je ne le ferai pas… »
Je lui donnais une petite tape douce sur la joue.
« Je sais à quel point tu as besoin de moi… »
-
Je ne parviens pas à tarir le flot de mes larmes qui achèvent de souiller mon visage. Entre le maquillage complètement défait et les fluides qui immaculent ma peau, je ne dois pas avoir fière allure. Mais c'est le cadet de mes soucis à cet instant, je veux juste que la douleur cesse. Alors lorsqu'il se retire plus longtemps que les fois précédentes, j'ai espoir que ce soit enfin fini, un espoir teinté d'angoisse à l'idée qu'il reprenne sa besogne jusqu'à ce que je ne puisse plus la supporter.
Mais il se montre plus tendre tout à coup, embrassant ma peau, caressant mes cheveux et attrapant même mon corps tendu pour le serrer contre lui. Le soulagement m'envahit dans le même temps, puissant, rédempteur et source de bien trop d'espoirs. Je l'écoute me parler comme à une enfant sans repères et je me surprend même à penser qu'il a peut être raison. Au fond, c'est peut être tout ce que je mérite, et ce dont j'ai besoin.
Lorsqu'il me confirme qu'il va cesser de me malmener le cul, je soupire de soulagement, un poids s'ôtant de mes épaules fragilisées. Pourtant la promesse des douleurs à venir me tire un frisson, il n'en a pas fini avec moi, loin de la, je m'en rend compte seulement maintenant. Je ne le contredis pas, même si j'ai du mal à imaginer comment pareille douleur puisse finir par devenir source de plaisir. En bonne petite chienne docile, lorsqu'il m'ordonne de le sucer et de m'enfoncer le doigt en état de décomposition à la place de son sexe, j'obéis sans rechigner.
- Oui mon Maître, merci de ne pas me punir...
J'ignorais qu'il y aurait certainement un prix à payer pour ça. Je me redresse alors difficilement, dès que mon bassin bouge, la douleur est lancinante. Je me mets lentement à genoux, face à lui, grimaçant à chaque mouvement. Je tente de rester impassible mais je ne sais pas comment je réussirai à tenir sur mes jambes lorsque tout sera fini. L'idée même de sortir d'ici me semble de toute façon trop prématurée...
Docile, je viens glisser le doigt à l'intérieur de mon petit trou dilaté, comme il me l'a demandé. Celui-ci rentre tout seul, mon cul n'ayant pas encore eu le temps de se refermer, la douleur reste présente, mais plus supportable, alors je m'en accommode plus facilement.
Il avait raison, je n'avais jamais connu pareil sodomie, et j'étais pas prête de l'oublier, c'était certain. Le visage désormais placé à hauteur de son bassin, je viens glisser ma langue contre son chibre pour me mettre à le lécher doucement. Je me sens tellement vidée que l'idée de le sucer alors même qu'il se retire de mon cul n'a pas la force de me rebuter.
Je m'exécute, un peu mécaniquement au début, puis avec plus d'entrain ensuite, lorsque sa queue s'enfonce entre mes lèvres et que je retrouve un peu de plaisir à le sucer, je me mets à accélérer le rythme, me souvenant de ce qui semble le rendre sensible et jouant alors de ma langue. Cette fellation me permet de temporiser, elle est bien plus agréable que ce que je viens de subir. Je n'ose plus croiser son regard, mais je m'applique à lui faire du bien, malgré ce qu'il vient de me faire.
La douleur redescend doucement et je prends le temps de faire les choses bien, mon visage s'ouvre un peu, à nouveau, et je glisse dans le rôle de cette petite chienne prête à tout pour obtenir de l'attention de son maître. Je suis physiquement extenuée, mes deux orifices sont pleins mais mon corps s'y habitue, tant que je ne bouge pas trop, et je retrouve mes marques en suçant goulument son sexe qui vas et vient entre mes lèvres serrées.
-
Qu’elle chiale n’avait aucune importance. Au fond, c’était peut-être même un peu excitant, ça. Je lui caressais les cheveux, alors qu’elle s’était calmée, et qu’elle obéissait, avec la gratitude de celle qui avait évité un châtiment. En même temps, elle avait fauté et elle le savait parfaitement. Et pourtant pas d’excuses. Enfin, je supposais qu’après cette première sodomie, elle était toute chamboulée donc je passais cela sous silence. Je me trouvais extrêmement magnanime aujourd’hui.
Elle se glissa à genou, le doigt dans le cul – littéralement – et se remit à faire preuve de toute sa compétence de petite suceuse avide. Je glissais les doigts dans ses cheveux et je l’encourageais de petites pressions sur la tête mais sans la remettre en position de subir les assauts jusqu’au fond de sa gorge.
« Je suis content de voir que tu sais donner du cœur à l’ouvrage malgré la douleur de la première sodomie… tu verras, un jour tu aimeras te faire démonter le cul… »
Je lui caressais doucement les cheveux, les ramenant dans une poigne ferme mais qui ne tirait pas dessus. Non, pas maintenant, je la laissais travailler à sa mesure. Elle était douée, n’empêche. Elle était très douée pour donner du plaisir à un homme avec sa bouche.
« Continue comme ça ma belle. Prend bien en gorge… »
Je lui caressais alors la joue doucement.
« Et regarde moi prendre du plaisir grâce à toi. C’est la plus belle preuve de reconnaissance que tu pourrais avoir, non ? Alors ne me lâche pas des yeux, Layla… »
Je frissonnais, savourais, continuant à lui caresser le visage. ?
« Oh oui… »
Je savourais pleinement.
« Vas-y, fais-moi jouir sale chienne… fais-moi t’arroser la gueule… »
Je savourais pendant qu’elle continuait jusqu’à, dans un dernier gémissement de plaisir, lui souiller le visage de semence. Rien de fou, non, trois ou quatre pulsations de mon sexe qui balafrèrent de foutre son visage d’ange de luxure.
« Haaaa… ça fait du bien… »
Je m’étirais et je vais frotter mon gland contre sa joue.
« Ne t’essuie pas… garde ces marques. Mais nettoies mon chibre avant que je ne le range…. Et ensuite, remets ta blouse. Mais que ta blouse… j’ai une idée… »
-
Il
apprecie particulièrement cette fellation et je peux le ressentir jusque dans mes entrailles. Son plaisir grimpe et je le sens se tendre de plus en plus, alors je ne cesse de m'appliquer et de lui donner ce qu'il veux.
Contrairement à ce que j'aurais pu croire, il ne m'impose pas de rythme forcené et ne tente pas de m'étouffer avec sa queue,il me laisse gérer comme je le sens et cela fait naître une nouvelle pointe de désir en moi, qui fait inévitablement écho au sien.
Lorsque je le sens se contracter plus régulièrement, je le prends plus profondément, suffisamment pour que ça fasse son effet mais pas assez pour me provoquer des hauts le cœur trop importants.
Je lève mes yeux pour les accrocher aux siens lorsque il m'incite à le faire, ecorchant une nouvelle fois mon prénom pour, j'en suis sûre me prouver que je suis sa chose. Je me fais violence pour ne pas détourner le regard, totalement à sa mercie et quand je sens qu'il fini par se vider dans un dernier soubresaut de plaisir, je ne bouge pas d'un pouce.
Mon visage est totalement maculé de son sperme et je sens le liquide visqueux s'imprégner sur ma peau, ce qui a le don de m'exciter bien malgré moi, et ce qui continura à l'être puisqu'il m'interdit de me nettoyer.
Je leche sa verge pour en ôter toute trace de semance et me redresse pour récupéré ma blouse, m'éloigner au passage avec plaisir du cadavre.
- Que ma blouse ? D'accord Maître...
Je sais que je n'ai pas le droit d'objecter, alors j'exécute. Mon corps est douloureux et j'ai dû mal à marcher mais je passe la blouse par dessus mes épaules, laissant retomber les pans par devant ma poitrine.
- Est ce que je dois la fermer ?
Je n'étais pas certaine que ce soit une bonne chose qu'il "ait une idee" mais j'espérais encore au fond de moi que maintenant qu'il avait jouit, il ferait preuve d'un peu de clemence, surtout vu ce à quoi je ressemblais...
-
Il fallait lui reconnaitre une certaine beauté, un érotisme affirmé, avec la balafre de la semence sur son visage qui commençait doucement à dégringoler un peu ; oh, certes, ce n’était qu’une partie du tableau. Il fallait noter les relents de crachat, la salive sur le menton, le mascara qui avait choisi de dire merde en partant en live au gré des larmes. Elle donnait vraiment une impression de visage ravagé. C’était le moins que l’on puisse dire. Mais en même temps, je l’avais voulue ainsi… j’avais fait ne sorte qu’elle soit dans cet état ; et je n’en étais pas mécontent.
« Oui, que ta blouse, ma petite chérie… »
Pendant qu’elle mettait sa blouse, je regardais dans la chambre et trouvais ce que je cherchais un petit broc doseur qui pouvait contenir, selon les graduations, jusqu’à un demi litre. Il serait sans doute pour les prélèvements de fluide ou pour doser des liquides médicamenteux. Bien sûr. Mais je ne relevai spas vraiment cela. Je me retournais vers elle. Elle avait la blouse ouverte, révélant ses seins qui pointaient toujours, et son sexe glabre et luisant de son orgasme passé. On le voyait aussi d’ailleurs sur le haut de ses cuisses.
« Oui, oui, ferme ta blouse. Enfin, ferme assez pour cacher l’essentiel, mais pour qu’un mauvais geste en relève trop… ce ne serait pas drôle sinon, tu ne crois pas ? »
Je lui fis un clin d’œil, amusé, ravi même, de la situation, et je venais doucement, avant qu’elle ne le fasse, lui palper le sein, lui malmener un peu le mamelon.
« Allez, dépêches-toi. »
J’attendis qu’elle ait fini pour lui donner le broc.
« Tiens. Je vais m’occuper de toi… »
Je lui souris, et je venais glisser ma main à ses fesses et la pousser en avant.
« Mets tes chaussures aussi, histoire de ne pas marcher pieds nus, ce ne serait pas très sain. »
Je lui donnais une petite tape affectueuse sur la croupe, bien placée pour lui rappeler son passé sodomite. Quelle chance j’avais eu de tomber sur une fille qui avait eu l’horreur de tester pour la première la sodomie….
Enfin, puisque c’était bon et que nous pouvions y aller… je laissais ma main sur son cul et je la poussais un peu en avant. Puis je commençais à remonter le couloir, regardant dans chaque chambre, jusqu’à avoir enfin un sourire satisfait. Parfait.
« Bien, un homme seul. Tu vas rentrer dans cette chambre avec ton bocal de prélèvement et tu vas lui vider les couilles dans le broc. Et nous ferons ça chambre après chambre jusqu’à ce qu’il soit plein. S’il préfère utiliser ta bouche, alors suce. Tu n’es bonne qu’à ça après tout… et une fois que ce sera plain, tu auras ton repas… »
Je lui donnais une claque sur le cul d’encouragement.
« Et dépêches-toi, je ne veux pas que t’en aies pour des heures… »
-
Je ne sais pas ce qu'il a derrière la tête, mais vu la manière dont il vient de me prouver ce dont il est capable, je m'attends à tout venant de sa part. Une petite angoisse née dans mon estomac lorsqu'il me demande de cacher le stricte minimum. Je ne me sens pas totalement à l'aise en étant nue sous ma blouse, alors que ça aurait pu être le cas en d'autres circonstances.
Je frissonne lorsqu'il me caresse le sein avant de refermer le vêtement qui laisse aisément deviner que je ne porte rien en dessous, celui-ci se referme sur ma peau pour simplement laisser apparaître un décollecté bien trop prononcé et les quelques marques de mon plaisir qui ont glisser le long de mes cuisses.
J'attrape le broc et tressaute lorsqu'il vient claquer mes fesses pour m'inciter à bouger, grimaçant puisqu'il ravive la douleur de la sodomie que je viens de subir.
- Comme ceci, ça vous convient ?
Rapidement, mes pieds se retrouvent à nouveau enfermés dans mes chaussures et je franchis la porte qui me sépare du reste du monde en baissant les yeux. J'ai envie de m'enterrer sous terre pour ne pas affronter le regard de ceux que je suis susceptible de croiser mais aucun membre du personnel médical ne fait irruption.
Seul les chambres du couloir étaient occupées par des patients plus ou moins réveillés. Je ne comprends pas tout de suite où il veut en venir jusqu'à ce qu'il m'expose des consignes claires et précises. Je le fixe avec un regard horrifié, me retenant de justesse de protester.
- Je... oui, à vos ordres.
Je couine un peu sous la nouvelle claque, avant de pénétrer dans la première chambre, sous le regard pervers de son occupant. Le patient comprend rapidement l'opportunité qui lui tombe dessus et ne manque pas d'en profiter. Je n'ai pas besoin de faire grand chose, mon apparence obscène l'excite instantanément et il ne suffit que de quelques caresses suffisamment appuyées pour le faire jouir et m'aider à remplir le broc.
Les chambres se succèdent ensuite, il n'y a presque que des hommes, la plupart ravis de commencer la journée de cette manière. On me contraint à sucer, pour certains, à me caresser, pour d'autres. Je me fait tripoter comme une vulgaire poupée par trop de paires de mains pour que cela soit agréable, mais je fini par réussir à remplir le broc comme mon Maître l'exige.
Je fini alors par sortir de la dernière chambre, essoufflée, plus souillée encore qu'avant d'avoir commencer ma tournée, et je me dépêche de revenir vers lui, espérant ne pas avoir mis trop de temps à m'acquitter de ma mission.
Levant le bocal à hauteur de ses yeux, je lui lance d'une petite voix, épuisée d'avoir ainsi été utilisée et humiliée.
- J'ai fais ce que vous m'avez dit, le broc est plein mon Maître.
-
Son regard horrifié m’excita, clairement. Elle avait compris ce que j’exigeais d’elle et j’étais ravi de la voir clairement mal à l’aise à l’idée de faire cela, et pourtant, elle le frit, je la vis se rendre dans la première chambre et commencer un office qui semblait sordide, n’est-ce pas ? Mais ce n’était pas exactement vrai. L’idée ne semblait pas sordide, elle l’était, purement et simplement !
Je la suivais dans le couloir au fur et à mesure de son avancée, la voyant remplir peu à peu son broc et se mettre dans un état de plus en plus insortable avec un air moqueur figé sur le visage. Vous savez, ce petit sourire, en coin, railleurs, qui laissait entendre que son « malheur » mais faisait bien rire.
Remplir le demi litre lui prit tout de même un certain temps. Et pour cause. Il ne fallait pas imaginer que ça se remplissait facilement. Il en fallait du monde, et je comprenais qu’elle ait l’air un peu las, un peu fatiguée, de son harassante tâche.
Je me contentais donc d’un signe de tête positif pour montrer que ce qu’elle avait fait, c’était bien mais en parallèle, je faisais un petit claquement de langue.
« C’est bien mais j’ai failli attendre. Tu aurais pu te dépêcher au lieu de prendre du bon temps avec les vieux et les grabataires… vicieuse, va ! »
Ces derniers mots n’étaient pas forcément un reproche, d’ailleurs je le disais avec un air amusé, quoique je n’aie jamais eu vraiment le regard amical depuis que nous nous étions croisés.
« Et en plus, tu l’as fait avec des morceaux de macchabés et décomposition qui t’enconnent et t’enculent… tu es vraiment la pire des putains… »
Nonobstant le fait que je lui avais mis ou fait mettre, elle n’aurait pas trop pu me donner tort pour autant… elle était une trainée de compétition, elle le prouvait à chaque occasion.
« Dis-moi, as-tu une idée de ce que l’on va faire de ce broc bien plein qui doit être si lourd entre tes petites mimines ? »
Je revenais lui flatter la croupe.
« Ma chère petite putain d’ébène à moi… »
-
Malgré mon dévouement à la tache et mon épuisement visible, il trouvait toujours le moyen d'avoir quelque chose à me reprocher. J'imagine que cela le faisait rire d'exercer un tel contrôle sur moi et j'étais certaine qu'il s'en délectait.
Au moins, il avait quand même glisser que c'était bien. Prendre du bon temps était un bien grand mot. Moi qui ai pourtant l'habitude de m'envoyer en l'air avec tout ce qui bouge, sans limites, je devais bien reconnaitre qu'il était entrain de me prouver que moi aussi, j'en avais.
Je suis totalement las et pourtant, l'ascendant qu'il a pris sur moi, tout bonnement malsain, me titille au plus profond de mon être. Si je détourne le regard lorsqu'il me traite de trainée ou de putain, une petite part de moi commence à aimer ça.
La mention des membres du cadavre en moi m'incite à bouger un peu le bassin. A force, je m'étais totalement habituée à leur présence. Je me mords l'intérieur de la lèvre, lorsqu'il me demande si j'ai une idée de la sauce à laquelle il va encore me manger pour ne pas lui dire que je suis certaine que son idée sera aussi affreuse que les autres.
- Non, je ne sais pas...
Le petit récipient commence effectivement à devenir lourd, les muscles de mes bras sont tout aussi épuisés que le reste de mon corps à tel point que je les laisse un peu tomber tout en resserrant ma prise sur l'objet. Autant en finir le plus rapidement possible. Je lui avais de toute façon répéter à plusieurs reprises que j'obéirai quoiqu'il me demande et mon cul se souvenait encore très bien de ce qu'il en coutait de me dérober.
- Que voulez vous que je fasse avec ?
-
Je remontais ma main pour la glisser doucement dans ses cheveux, avant de les saisir fermement. Mais encore une fois, c’était sans violence aucune que je le faisais. Je la laissais un peu dans l’expectative et je me contentais de laisser durer un petit silence quand elle demandait ce que je voulais qu’elle fasse de ce demi litre de sperme. Elle le savait, au fond, ou devait bien le savoir, du moins…
« Hum… bonne question… c’est triste que tu manques à ce point d’imagination… »
J’imprimais un léger mouvement d’une pression sur ses cheveux pour l’emmener jusqu’à la chambre de notre rencontre. J’avais quelque chose à un récupérer pour elle. Et ensuite, nous pourrions sortir de cet endroit. Je l’emmènerai vers un nouvel venir luxurieux. Tout simplement… je lui fis un sourire et je la guidais ainsi, par ma main dans ses cheveux et, une fois dans la chambre, je venais doucement lui dire.
« Tu as le droit de reposer tes bras en posant le broc sur le meuble, là. Toi qui connais sans doute mieux les lieux que moi, est-ce que tu sais s’il y a des aiguilles et du fil dans le coin ? »
J’espérai qu’elle saurait. D’ici là je m’approchais du corps et je récupérais les doigts. Tous les doigts. Il n’y avait désormais plus que les os. La décomposition était finie. En allait-il de même dans son corps, Je ne savais pas trop. Elle seule pouvait me le confirmer.
« Puisque tu t’es bien habituée à ces insertions. On va juste montrer que tu es à deux doigts du maximum… »
J’éclatais d’un rire un peu sardonique.
« Donc deux doigts dans chaque trou, ma belle… »
Je lui tendais lesdits ossements.
« Ensuite, tu boiras cul sec ta boisson favorite. Et si tu n’y arrives pas, tu boiras pire encore… »
Je désignais par sa boisson favorite le broc, bien évidemment…
-
J
e savais pertinemment là où il voulait en venir mais le dire haut et fort revenait à accepter cette nouvelle idée sordide. Et je n'étais pas certaine d'en être capable, malgré la menace constante qui plane au dessus de ma tête. Je me laisse faire lorsqu'il m'agrippe les cheveux pour nous ramener dans cette pièce digne d'un film d'horreur.
Si je me réjouis que personne ne puisse me surprendre dans l'état lamentable dans laquelle je me trouve, revoir le cadavre dont les ossements apparaissent désormais clairement sous ce qu'il reste de ses tissus me donne envie de faire demi tour à grandes enjambées. Je me fais violence pour ne pas partir en courant meme si j'en serai de toute façon probablement incapable.
Je pose le broc sur le meuble qu'il m'indique et secoue un peu mes bras pour les dégourdir. Lorsqu'il m'interroge sur le fil et l'aiguille, je décide de ne pas chercher à savoir pourquoi, me dirigeant vers un petit meuble dans le coin de la pièce dans lequel se trouve plusieurs tiroirs et notamment celui qui me permet de récupérer ce qu'il cherche. J'attrape le tout pour revenir vers lui et les lui tendre de mes mains tremblantes.
- Les voici...
Ses mouvements attirent mon regard et je l'observe se diriger vers le corps en état de décomposition avancée. Si je pensais avoir tout vu, je comprends qu'il n'en est rien lorsqu'il tire sur ce qu'il reste des doigts pour se retrouver avec des ossements dans les mains. Mon estomac se soulève et je réprime difficilement un nouveau haut le cœur.
Le son de son rire vicieux est aussi insupportable que ses vices et je sens les larmes me monter à nouveau à l'idée de devoir enfoncer en moi, dans chacun de mes orrifices deux "doigts". J'ai envie de lui hurler que je ne peux pas, mais aucun son ne sort de ma bouche.
J'ose tout juste écarter les cuisses. Suffisamment pour faufiler ma main jusqu'à mon vagin et attraper ce qui y est enfoncé. Je n'ai de toute façon pas d'autre choix, si je veux y glisser quelque chose de nouveau il faut bien retirer ce qui s'y trouve déjà. Sauf que je n'anticipe pas le fait que ce qui servait de parties génitales au cadavre s'est décomposé aussi vite que le reste du corps. Lorsque je retire la verge, un bruit de craquement se fait entendre et les bourses qui y étaient jusqu'alors accrochées viennent se détacher au sol.
Un nouveau haut le cœur me tord les boyaux et mon corps se met à trembler d'avantage. Je lui arrache des mains les ossements, sans doute trop précipitamment pour les enfoncer sans le moindre plaisir à la place de ce qui s'y trouvait avant. Quant à mon cul, il s'est suffisamment refermer sur le doigt qui s'y trouve pour que l'intromission d'un second m'arrache un cri de désespoir.
Puis mon regard se pose sur le broc et je secoue la tête de gauche à droite pour lui signifier que je ne peux pas. Ma main vient aggriper le mur alors que de nouvelles larmes viennent inonder mon visage et que la tête me tourne. Je ne supporte plus les doigts qui ont pris place en moi mais je lutte de toutes mes forces pour obéir. Pourtant lorsque j'attrape à nouveau le broc, mon corps me lâche et prend les devant.
Je me retourne juste à temps pour attraper un seau qui traîne dans les parages avant de me vider de mes tripes dans un succédement de spasmes involontaires. Je tombe à genoux, au bord du gouffre, tandis qu'il a réussit à faire ce que personne n'a jamais réussi à faire auparavant, me faire atteindre mes limites. Alors je fais la seule chose que je puisse encore faire, le supplier d'arrêter tout ceci, au péril de ma vie.
- Pitié... Maître... j'en peut plus...
-
Oui, je la poussais loin, toujours plus loin. Mais elle avait été prévenue. Et elle avait bien dit qu’elle ferait tout, non ? Enfin, elle avait forcément dit quelque chose d’approchant. J’en étais persuadé… donc forcément… du coup forcément… une fois qu’elle m’eut passé fil et aiguille. Une aiguille un peu épaisse qui n’irait pas alors je la hâtais par-dessus mon épaule sans la regarder, je lui offrais sa tache suivante. Elle faillit – eus-je l’impression, s’évanouir… ou au moins trop faiblir, mais elle se retint, les larmes aux yeux qui ne coulaient pas. Elle avait compris que pleurnicher ne servirait à rien… alors inutile d’essayer, cela ne m’adoucirait pas.
Elle se prépara alors aux insertions et je reconnus que de voir le service trois pièces tomber ainsi de son entrecuisse me fit ouvertement rire, même si je vis la nausée dans ses yeux. Puis elle se hâta, peu intéressée à ses couleurs… bon, au moins elle restait diligente.
Restait à voir ce qu’elle allait faire du broc de sperme. J’espérais bien la voir se forcer. Et pourtant… c’était apparemment la goutte de pisse qui faisait déborder l’urinoir… elle attrapa un saut et vomi, se vidant les boyaux dans le seau, offrant une odeur peu amène à l’endroit.
Mais je ne me mis pas en colère. Devant ses geignements, je me contentais de me pencher et caresser ses longs cheveux sombres avec une simili tendresse.
« Je vois, alors je ne te forcerai pas à boire cul sec, ma petite chienne. C’est vrai que je t’ai bien fait travailler…. Tu n’as pas fait beaucoup d’efforts, mais c’est le premier jour après tout… donc ce n’est pas grave. »
Ma caresse partait du sommet de sa tête et glissait le long de sa chevelure, puis sur le tissu de la blouse jusqu’aux reins et je recommençais tendrement. Et je continuais en n’interrompant le silence que par des petits mots de réconfort.
« Là, là, tout va bien… »
Je continuais jusqu’à finalement lui dire.
« Va te rincer la bouche, et ensuite, essaye quand même de boire le sperme. Bois tout ce que tu peux… et ensuite je t’autoriserai à tout retirer et même à te rhabiller complètement avant de partir…. Ça te va ? »
La pousser loin et ensuite lui offrir le soulagement… comment créer des sentiments ambivalents chez une chose fragile… en somme, d’abord, je la martyrisais et elle souffrait davantage qu’elle avait du mal à obéir, et en ressentait donc un peu de culpabilité, d’un côté, puis je l’en libérais, pour obtenir sa gratitude…
-
Je ne relevais pas qu'il osait penser que je n'avais pas fait beaucoup d'effort, tandis que ma tête etait encore penchée dans le seau, les spasmes se calmant peu à peu alors que mon estomac cessait de faire refluer ce qu'il y avait à l'intérieur.
Vidée physiquement et mentalement, je le laissais me caresser avec une sorte de tendresse mal placée qui pourtant me faisait du bien. Je me détends un peu sous ses doigts, la crise passe, jusqu'à ce que l'espoir refasse surface lorsqu'il évoque la possibilité de me laisser partir.
Alors même si je me sens incapable de boire le sperme et que je crains que mon estomac ne puisse pas le supporter, l'espoir que ce soit le bout du tunnel me donne un regain de force. Je me relève avec ce peu de force retrouvées pour me diriger vers un petit lavabo et me rincer la bouche. J'en profite pour debarbouiller légèrement le bas de mon visage, pas suffisamment pour que cela soit flagrant mais juste assez pour me sentir un peu mieux.
Et finalement, alors que je m'effondrais quelques minutes auparavant, le soulagement que ce cauchemar soit presque fini me donne la force de continuer. Je vais même jusqu'à le remercier, clémente et totalement manipulée.
- Oui ça me va... merci beaucoup
Je titube un peu mais recupere tout de même le recipiant entre mes mains pour me forcer à subir une dernière maltraitance. J'appréhende mais je sais que plus j'attends, plus les choses seront difficiles.
Alors je bois une première gorgée. Puis une deuxième. Mon visage est déformé par le dégoût mais je ne dit rien. Une troisième puis une quatrième viennent et je sais que je ne pourrais pas aller plus loin.
Le broc a baisser un peu de niveau mais prendre le risque d'une nouvelle gorgée, c'est prendre le risque de vomir à nouveau ce que je viens d'avaler. Je crois bien qu'aujourd'hui, je ne serai plus capable de ne rien endurer.
Je déteste ce sentiment de culpabilité qui m'envahit car je n'ai pas été capable d'obéir à sa demande, une contradiction d'émotions tourmente mon esprit mais j'espère pourtant plus que tout qu'il tiendra sa parole.
- Je suis désolée de ne pas être capable d'en boire d'avantage, Maître.
Cet aveu confessé, j'attendais alors sagement qu'il m'autorise à souffler.
-
Elle était vidée, c’était l’évidence même. Mais d’un autre côté, je ne pouvais que reconnaitre qu’elle avait plutôt bien tenu, jusque-là. Je lui fis un sourire avant de finalement la laisser se reprendre un peu avant sa dernière épreuve pour l’instant ; je me montrais doux, et même prévoyant, avec elle. Elle le comprit et me montra toute la gratitude nécessaire verbalement. Je n’attendais rien de plus et je lui donnais de douces caresses comme à un animal épuisé mais qui méritait quelques petites attentions. Puis, elle se leva et se dirigea vers le lavabo pour se nettoyer un peu avant de revenir et prendre le broc de foutre et commencer à boire. Une gorgée, puis deux, puis trois du jus épais. Elle était dégoutée, cela se voyait. Mais je ne disais bien, croisant les bras, attendant qu’elle dise qu’elle n’avait plus la capacité de boire davantage. Alors, je m’approchais et je lui caressais les cheveux. Ses longs cheveux qui descendaient au milieu du dos.
Enfin, elle écarta le conteneur de foutre et me regarda. Je voyais dans ses yeux qu’elle ne pouvait pas davantage. Et pourtant… je regardais le broc et j’estimais le niveau. Il avait baissé mais pas de beaucoup. Je claquais la langue de désapprobation. Mais je haussais les épaules.
« Eh bien je suppose que tu t’en contenteras. Très bien, va te rhabiller, te vider le cul et le con. Mais ne jette pas le broc. Tu le finiras plus tard. Demain, même s’il le faut, ma petite chérie. Pour faire honneur à tous ceux qui te l’ont confié… »
Je lui caressais la joue avec tendresse.
« Et puis, on ne gâche pas sa friandise préférée, n’est-ce pas ? »
Je lui tapotais la joue, tendrement.
« Allez, dépêches-toi ma toute belle… »
Je lui prenais le broc des mains. C’était vrai qu’il était un peu lourd pour ses petits bras. Et pendant qu’elle s’affairait, je lui demandais.
« Dis-moi, vis-tu seule ? Catin comme tu, je doute que tu aies un copain qui supporte de te voir rentrer en sentant le foutre des autres… »
-
Je me laissais caresser comme un petit animal effrayé, baissant même un peu la tête lorsque sa main s'attardait dans mes cheveux bruns. L'appréhension qu'il n'apprecie pas que je sois capable de boire plus me donnait mal au ventre mais sitôt qu'il m'indiquait d'aller me rhabiller je laissais échapper un petit soupir de soulagement.
Ma respiration se coupa quelques secondes cependant lorsqu'il me fit comprendre que je devrais le finir demain, ce qui voulait surtout dire qu'il avait l'intention de me laisser partir mais probablement avec lui. Pour ne pas céder à la panique et alors que j'étais probablement entrain de réaliser à quel point ma vie allait changer je décidais de me concentrer sur l'instant présent. Instinct de survie.
- Comme vous le voudrez.
Une fois débarrassée de la source de mes nausées, je me dépêche de récupérer mes vêtements qui gisaient au sol un peu plus loin. Je me concentre sur le soulagement physique qui s'installe lorsque je retire les objets instrusifs à l'intérieur de moi, mes deux orrifices ont été particulièrement éprouvés et je suis ravie de pouvoir me sentir libérée.
Une fois ceci fait, je glisse mon tanga par dessus mes jambes flageoleantes puis ma petite jupe et remet mon petit haut sous ma blouse souillée. Je ne tente même pas d'imaginer ce à quoi je dois rassembler.
Puis je me rapproche à nouveau de lui, tandis qu'il m'interroge sur mes habitudes de vie. Je crains bien entendu ce que cela sous-entend mais je lui confirme ce qu'il sait déjà.
- Non mon Maître je n'ai personne et je vis seule.
Mon petit appartement regorgeait de tenues toutes plus sexy les unes que les autres. J'avais même investi dans du matériel professionnel me permettant de me filmer et me prendre en photo sous tous les angles afin de faire prospérer mes réseaux sociaux. Difficile de concilier ce genre d'activités et d'habitudes avec une vie de couple. Pourtant à cet instant j'avais l'impression d'être bien loin de cette vie de débauche et de devergondée.
-
Elle devait faire peine à voir pour beaucoup. Je lui souris néanmoins alors qu’elle allait se nettoyer et qu’elle se rhabillait rapidement. Elle avait dû comprendre que niveau patience, cela n’irait sans doute pas bien loin. Je lui fis un sourire et je lui caressais les cheveux doucement, comme pour la féliciter de sa diligence. Décidément, elle avait vraiment une tronche de capote usagée comme ça. C’était une bonne chose, sans doute… oui, au moins, là, comme ça, elle annonçait bien la couleur.
« Brave fifille. »
Elle avait donc un lieu de vie qu’elle ne partageait pas, et une vie qu’elle ne partageait pas davantage. C’était une bonne chose, cela lui faisait du bien. Je lui fis un signe de tête approbateur et je lui tendais de nouveau le broc.
« Tiens, récupère ça et ne le perds pas…
Je lui palpais la croupe, puis je lui indiquais la porte de la tête.
« Allez, rentrons chez toi. Nous irons à pied. »
En talon, l’épreuve risquait d’être dure mais ce n’était pas grave. Je la poussais vers le couloir, et vers la sortie, jusqu’à arriver dehors, à moins que nous ne soyons interrompus. Je lui donnais des petits compliments accompagnés de petits mots obscènes au creux e l’oreille sur tout le trajet, malgré le regard des uns et des autres. C’était sans importance. Dehors, non seulement nous prenions un taxi, mais en plus, je la laissais régler, ravi de la voir sacrifier son argent pour ça. Une manière d’accroitre son dénuement ? Ce n’était qu’un tai, pas de quoi avoir vraiment moins d’argent.
Nous nous retrouvâmes alors devant chez elle, prêts à aller dans son petit appartement.
« Tu es heureuse, n’est-ce pas, que je vienne jusqu’ici pour m’occuper de toi, n’est-ce pas ? »
Je lui pelotais un sein au travers du tissu, un sein lourd et généreux.
« A quoi dois-je m’attendre ? »
-
Ses petites caresses me font espérer qu'il va avoir suffisamment pitié de moi et de ce qu'il vient de me faire subir pour me laisser souffler, me nettoyer, et rentrer me reposer. Mais ses plans ne sont jamais ceux auxquels je pense, j'attrape le broc avec un regard écœuré mais je tache de ne pas m'y attarder, avant de m'avancer vers la porte de la petite pièce qui m'isolait jusqu'à présent du reste de l'hôpital. Je déglutis difficilement, tétanisée à l'idée de croiser quelqu'un, ce qui finira nécessairement par arriver, et affolée à l'idée qu'il vienne chez moi, dans mon intimité et mon espace personnel, le seul que je préserve justement de toute intrusion extérieure trop importante.
Mais je sais que je n'ai pas vraiment mon mot à dire, alors je me mets en marche, ignorant la douleur de mes talons qui laisseront certainement des ampoules à mes pieds. Nous ne croisons personne à part un agent d'entretien décontenancé et quelques patients aux regards pervers jusqu'à la sortie. Mais lorsque je me retrouve dehors, poussée par mon Maître qui ne cesse de m'allumer par des propos tous plus obscènes les uns que les autres, les regards se font bien plus nombreux et mauvais. Je me fais littéralement fusillée du regard et même interpellée par une bonne femme qui m'insulte carrément, se dit-elle choquée par mon apparence.
J'accélère alors le pas, baissant le regard, jusqu'à ce qu'il décide que nous prenions un taxi. Je suis un peu soulagée de monter dans l'habitacle mais le trajet ne dure pas suffisamment longtemps, et pour couronner le tout, je me retrouve à devoir payer le chauffeur. Non pas que l'argent soit un problème dans le fond, mais je dois dire que cela me contrarie un peu.
Arrivés devant mon appartement, j'arrive à marcher un peu mieux, sans doute que mes capacités de régénération sont à l'œuvre pour réparer les dégâts causés sur mon corps mais il n'empêche qu'une bonne douche sera certainement ce qui me permettra d'aller vraiment mieux.
J'attrape le jeu de clés dans mon sac pour pouvoir ouvrir la porte de l'appartement devant lequel nous nous trouvons. Lorsqu'il m'interroge sur mon état d'esprit, je me sens un peu perdue. Je ne sais pas si le mot heureuse est le plus approprié, et en même temps, quelqu'un qui s'occupe vraiment de moi, ce n'est finalement pas si commun. Et le sexe ne sera clairement plus un problème... j'attrape la poignée pour ouvrir la porte au moment ou il se met à me peloter et à me demander à quoi s'attendre, et je lui répond du bout des lèvres.
- Oui je suis heureuse que vous vous occupiez de moi. Et pour l'appartement...
Je n'avais évidemment pas prévue de recevoir de la visite alors ce qui est habituellement caché dans mes tiroirs, cette fois-ci, ne l'est pas. L'entrée s'ouvre sur un petit appartement à la décoration assez simple, une grande pièce à vivre dans laquelle se trouve une table basse, un canapé et une télévision, un petit coin cuisine avec le minimum de ce qu'il faut pour une jeune femme qui ne passe pas beaucoup de temps chez elle. Et une chambre qui respire le sexe, avec une salle de bain attenante qui permet de se nettoyer. Plusieurs jouets sexuels trainent dans la pièce principale et la chambre, tandis que de la lingerie bien trop aguicheuse se balade sur le lit et le canapé. Il peut aussi apercevoir l'installation "maison" avec trépied et appareil photo dans un coin de la chambre qui me permet de me photographier et me filmer.
- Eh bien... voici mon chez moi. C'est... euh... simple.
Je n'allais pas lui dire que ça aurait pu être l'appartement d'une véritable actrice porno. Même si ça sautait un peu aux yeux.
-
Voilà, nous y étions, j’étais curieux de voir à quoi ressemblerait la niche de ma jolie petite chienne au corps d’ébène… J’avais hâte de lui montrer que même chez elle, elle serait à moi complètement. En avait-elle invité beaucoup ici ? J’en doutais beaucoup. Je lui caressais les cheveux tendrement, alors qu’elle prenait ses clefs et ouvrait la porte de chez elle. Nous entrions alors.
« Je sais que tu mens, ma petite chérie, mais un jour ce ne sera plus le cas. Tu comprendras ton vrai bonheur… »
Nous entrâmes et je découvrais son bel appartement. Il me sembla petit, un vrai clapier, ce qui était parfait pour cette lapine. Il y avait une jolie pièce à vivre, quoiqu’un peu désordonnée mais bien équipée avec même du matois pour se filmer. Je lui caressais le ventre.
« Tu es bien équipée pour faire la salope dis donc. »
Je la lâchais et j’allais voir la chambre. Difficile de louper les petites tenues aguicheuses… logique. En fait c’était tellement évident que ça me faisait marrer. Et pas qu’un peu. E prenais même ce qui semblait être un body presque transparent et je revenais vers elle.
« Donc ce n’est pas juste avec moi, c’est tout le temps ? Une vraie petite nympho dit donc… »
Je jetais le boy sans trop m’en soucier par-dessus mon épaule et cette fois, je ne me privais pas. Je déchirais ses fringues en tirant dessus, révélant sa nudité la plus simple.
« Tu seras toujours à poil en ma présence. Toujours bien prête à être utilisée. C’est la moindre des choses. »
Ce qui me faisait penser.
« Vus les lieux, tu dois bien avoir des joujoux pour te faire plaisir, non ? Je voudrai bien que tu me montres ta collection… après on verra pour réarranger les lieux… ce n’est pas des plus adaptés pour tes vrais besoins. »
-
Je le laissais découvrir les lieux et pénétrer dans ma plus stricte intimité. Il était évidemment curieux, le logement de quelqu'un en disait toujours beaucoup sur sa personnalité. Et la mienne était facilement perceptible. C'était d'autant plus évident lorsqu'il remarqua le matos et la lingerie sexy. Il revient d'ailleurs avec un body à moi que j'apprécie particulièrement tout en semblant comprendre à quel point le sexe est omniprésent dans ma vie.
- J'aime ça oui... alors c'est tout le temps.
Je me fais surprendre bêtement lorsqu'il arrache mes vêtements souillés qui tombent au sol et que je sursaute. Mon corps réagit instinctivement et s'excite. Je dois dire que je me sens bien plus à l'aise à l'idée d'être nue chez moi même si je sais qu'il est capable du pire. J'aime la sensation de l'air contre ma peau nue. Alors lorsqu'il exige que je sois toujours en tenue d'Eve en sa présence j'acquiesce d'un mouvement de la tête.
- Je tâcherai d'être prête à vous recevoir.
Je commençais sans doute un peu trop à m'acclimater à mon nouveau statut de petite chienne personnelle à son Maître. Un bref sourire etire même quelques secondes mes lèvres lorsqu'il évoque ma collection de jouets. Elle avait suffisement grandit au fil du temps pour convenir à chacune de mes envies ou de mes besoins. Il allait être servi.
Je disparais quelques secondes pour aller chercher une imposante maletre que je pose sur la table du salon. Je ne tarde pas à l'ouvrir pour lui permettre de découvrir une importante collection de chibres, une dizaine, de tailles et de style différents, classés du plus petit au plus grand. La rangée du dessous comporte différents plugs, chapelets, vibros, anneaux vibrants... tout y passe. Tout ça sans compter les quelques jouets qui se baladent dans l'appartement dont une belle queue à ventouse dans la chambre sur lequel je me suis empalée le matin même.
- Voilà tout ce que j'ai.
-
Je la trouvais un peu trop libre dans la manière de s’adresser à moi, aussi, si la première fois je laissais passer te que la seconde, j’acceptais, la dernière, quand elle eut posé sa boite outil, je lui donnais une claque, une claque qui n’avait pas pour seul but de faire du bruit et de choquer, mais aussi de faire mal.
« C’est la dernière fois que tu t’adresses à moi sans la plus élémentaire des politesses. Tu es une chienne, une pute, un sextoy, une poupée à ma disposition, et je suis ton maitre. Appelle-moi comme tel. Je ne me répèterai pas. »
Le gros avantage, c’était que j’avais une longueur d’avance en matière de menace. Elle savait ce qu’elle risquait et elle savait que je n’hésiterai pas un seul instant, donc cette remise au point serait probablement la dernière. Enfin, espérais-je. Je lui fis un sourire et je regardais un peu son attirail. J’émettais un sifflement.
« Eh ben. Et tu me cassais les oreilles à chialer quand je t’ai enculée… tu te foutais salement de moi, n’est-ce pas ? »
Ce n’était pas une véritable question, dans l’absolu. Juste une remarque, et un oui ou un non serait mal vu.
« Je considèrerai donc que tu peux encaisser tes plus gros calibres dans n’importe quel trou sans broncher. C’est une base passable, mais je ne tolère que l’élite, alors il va falloir améliorer ça. Et prendre plus gros. Nous règlerons ça après… »
Je laissais de côté les jouets sans les utiliser sur elle et je faisais la moue.
« Bon, je suppose que les lieux iront pour le moment. Mais tu devras sans doute bientôt déménager. Et sinon, tu n’as pas de collier, de harnais, et autre ? Je veux avoir une vue d’ensemble de tes accessoires qu’ils soient sexuels ou cosmétiques. »
Puis une idée me vint.
« Ah et comme tu es ma petite chienne, tu ne te déplaceras qu’à quatre pattes en ma présence aussi, tu as une petite gueule pour déplacer des objets ou autre. Alors autant l’utiliser, non ? ça changera de la pipe. Et nous verrons aussi les autres codes physiques de ta nouvelle vie... »
-
La claque me tire un couinement de douleur, d'autant plus que je ne la vois pas vraiment arriver. Bon, je ne l'avais pas volée, les larmes me montent mais je les retiens avec pudeur. Je n'étais pas habituée à être contrainte dans mon espace personnel, alors les "bonnes habitudes" se perdent vite... Il était entrain de briser les maigres barrières que j'avais érigée pour me protéger. Il était réellement entrain de faire de moi sa chose et il ne manquait pas de me le rappeler. Le peu d'amour propre qu'il me restait encore disparaît alors, écrasé par son autorité débordante et la menace de ce qu'il est capable de me faire.
- Je vous prie de bien vouloir m'excuser Maître, je ne manquerai plus à mes obligations.
Je baisse le regard, déboussolée, tandis qu'il considère tout mon attirail en sifflant, m'accusant même d'avoir jouer les petites natures. J'imagine que lui répondre que lorsque je me fais plaisir par l'anal je prépare un minimum mon corps n'est pas la meilleur des manières de m'éviter des problèmes. Non parce que se faire enculer sans un peu de préparation, ça reste quand même affreusement douloureux, même pour moi qui adore ça. Alors je reste silencieuse, évitant même de respirer trop fort, tandis que je regarde le plus épais et long des jouets sans pouvoir m'empêcher de penser qu'il ne sera décidemment jamais satisfait si il souhaite que j'encaisse encore plus que ça.
Mais chaque chose en son temps. Ou plutôt chaque problème en son temps. Je me mord la lèvre lorsqu'il me parle de déménager, pour éviter de répliquer, car ce n'était jusqu'alors absolument pas dans mes projets. Mais je sais pertinemment que je n'ai plus rien à dire et que ma liberté s'est envolée à l'instant même où il a posé son regard sur moi. C'est juste un peu difficile à admettre. Je vais chercher les quelques accessoires qui complètent mes jouets, bien moins enjouée cette fois, et les pose à côté de la mallette, sur le canapé, sans trop faire la maligne. La collection est moins conséquente, pas de harnais, mais deux colliers, l'un fin, l'autre épais, tous deux en cuir rose, des paires de menottes en dentelle pour les poignets et les chevilles et un bandeau pour dissimuler le regard. Du soft.
- C'est tout ce que j'ai, Maître.
Et j'insistais sur le "Maître", comme pour rattraper un peu mon affront précédent. J'avale un peu de travers lorsqu'il me demande ensuite de me déplacer à quatre pattes en tous temps et je mets d'ailleurs quelques secondes avant de tilter qu'il est vraiment sérieux. La marque de sa claque imprègne sans doute encore ma peau et je préfère éviter de réitérer l'expérience, alors j'obéis, et me mets à quatre pates à côté de lui, réduite à la condition d'un véritable animal. Je panique sans doute un peu à l'intérieur de moi à l'idée de connaître les autres codes dont il parle, mais j'imagine que je saurai très rapidement à quoi m'en tenir.
-
Elle ne se rebella pas. Je m’en doutais. Elle connaissait son rôle, et savait y rester, pour le moment ; je lui fis un sourire avant de finalement lui tapoter les cheveux quand elle me dit qu’elle avait tout amené. Pas de harnais, deux colliers, et rien de bien transcendant. Quelque chose me disait qu’elle n’avait jamais connu la brulure du chanvre. Et cette brulure, elle la découvrirait tôt ou tard.
« C’est maigre. »
Je poussais les affaires qu’elle y avait installé pour m’asseoir dans le canapé, m’y laissant tomber, même, plutôt. Dans un léger soupire de satisfaction.
« Allez, approche fifille... »
Fifille, c’était temporaire, bien sur. En attendant de trouver mieux. Mais ça irait pour le moment. J’attirais sa joue contre ma cuisse et je lui caressais les cheveux, là, comme ça.
« Nous allons devoir faire des courses et pas qu’un peu, pour que tu sois vraiment bien ici. Et déplacer des meubles, mettre un dressing dans l’entrée, par exemple, pour que tu te déshabilles avant d’entrer et que tu n’en mettes pas de partout. Tu me feras d’ailleurs le plaisir de tenir cet endroit rangé et propre. Qu’il pue la chienne en chaleur est une chose. Qu’il soit bordélique en est une autre. »
Je continuais à caresser sa chevelure sombre, avant de commencer doucement à me pencher sur elle et dompter ladite longue chevelure en une natte, que je faisais patiemment, en silence.
Silence que je brisais à la fin.
« Comment va ton cul ? Tu es consciente qu’il est hors de question que je prenne patiemment le temps de te préparer, ou que tu te prépares avant que je t’encule, n’est-ce pas ? Que comptes-tu faire pour remédier à ce genre de cas ? »
Je devrais l’appeler Dolly, peut-être ? C’était joli, ça sonnait bien.
-
"C'est maigre". Je baisse les yeux, consciente qu'il y avait beaucoup de chance que cela ne lui suffise pas. En même temps, je n'avais pas l'habitude de pousser le vice aussi loin que ce à quoi il était visiblement habitué. Quand bien même ma pratique du sexe soit conséquente et le nombre de fois où je suis susceptible de m'envoyer en l'air dans la journée, je n'avais jamais tourner dans le hardcore, et encore moins comme ce qui venait de se passer aujourd'hui.
Je craignais une réprimande plus importante, mais il se laisse tomber mollement dans le canapé et semble mettre de côté mes jouets et accessoires. J'approche à sa demande d'une démarche peu assurée, à quatre pattes, ma joue se retrouvant affalée contre sa cuisse,, tandis qu'il se décide à me révéler un peu plus de ce qu'il a en tête.
Changement de mobilier, changement de vêtements, d'habitudes... j'étais loin d'être prête à affronter ce qui allait devenir mon quotidien. Je grimace un peu, discretement, lorsqu'il me parle de la manière de tenir mon appartement. Je n'étais certes pas la fille la plus ordonnée mais au point de me trouver bordélique... il faut dire que je n'étais pas souvent à l'appart, entre mes études, mon boulot au sex-shop, mes sorties... alors ranger n'était pas ma priorité.
- Oui, Maître.
Inutile de protester, même si une question m'angoissait de plus en plus. Avec les plans qu'il semblait me réserver, aurais-je encore l'occasion de maintenir mon rythme de vie professionnel ? Je n'en n'étais pas certaine...
Je frissonne un peu lorsqu'il se met à me tresser les cheveux, étonnée d'ailleurs qu'il joue avec ma chevelure difficile à dompter. Le silence s'installe avant d'être brisé par une question à laquelle je n'ai pas envie de répondre. Et si je n'ai pas envie d'y répondre, c'est parce que imaginer que mon cul se déchire de l'intérieur à chaque fois que lui prend l'envie de m'enculer ne me réjouis pas vraiment. Alors je fais l'effort de lui donner la seule réponse qui me paraît censée.
- Il va mieux, Maître. Je pense que je peux m'entraîner à la rendre plus élastique.
C'était certainement le seul moyen. Sauf que cela risquait de demander beaucoup d'entraînement. Sans parler du fait que ma régénération cellulaire accélérée n'allait pas aider dans le processus...
-
Elle ne faisait plus la fiérote. Maintenant, elle avait clairement le bon rôle… c’était une très bonne chose qu’elle ne cherche pas à s’en extraire ; elle acceptait la situation, et c’était une bonne chose. Je me contentais de faire un signe de tête positif devant ses réactions. D’aucun l’aurait trouvée éteinte. Mais ce n’était pas un problème. Loin de là, même. Je lui fis un sourire avant de finalement lui tapoter les cheveux doucement. C’était vraiment bien. Tout simplement.
Elle mit un peu de temps à me répondre. Normal. Mais elle finit, bien qu’un peu à contrecœur, je le sentais, par me répondre.
« Oui, c’est une option. L’autre option serait de le garder plein en permanence de quelque chose d’assez gros… »
En même temps, ça revenait un peu même, non ?
« Mais c’est une bonne chose que tu acceptes l’idée de t’entrainer. Il faudrait sans doute que tu y passes pas mal de temps et que tu ne ménages pas tes efforts. Il faut souffrir pour être parfaite, n’est-ce pas ? »
Je glissais ma main pour lui prendre son sein et le malmener un peu, venant pincer et tirer un peu sur le mamelon, avec amusement. J’aimais ce mamelon sombre qui durcissait si facilement… c’était vraiment une bonne fille que j’avais obtenu, là… je venais prendre le second en même temps et je lui faisais subir un sort similaire.
« Tu as vraiment de très beaux seins. Lourds, généreux, gonflés d’envie, comme s’ils appelaient à être pétris, pincés et bouffés… »
Je lui mis une petite claque sur le sein, assez douce par rapport à la précédente.
« Tu n’as pas jouis depuis trop longtemps… tu as plein de jouet, et un con avide, je suis sûr. Alors je t’en prie, jouis à nouveau. Trois fois. Et cette fois, je t’ordonne de préparer ton cul car je te jure que je vais t’y faire ressentir quelque chose que tu pensais impossible… »
-
Mon rôle était clair et je tachais de m'y conformer sans trop faire de vagues. Me rebeler s'avererait contre productif et je risquais juste de me bruler les ailes. Alors je me disais que si j'allais dans son sens, que j'étais une bonne chienne, je devrais pouvoir survivre. Ma situation finirait bien par s'améliorer à un moment donné ou un autre non ? Dumoins je m'accrochais à cette idée.
L'idée de m'entraîner semble lui convenir, même si il émet une autre proposition qui me crispe un peu. Avoir le cul plein en permanence n'est pas une idée très aguicheuse. J'acquiesce néanmoins lorsqu'il me met en garde sur les efforts intenses que je vais devoir fournir. J'en ai pleinement conscience et je le lui dis.
- Je ferai tout ce qu'il faut pour vous satisfaire Maître
Je n'aurais de toute façon pas trop le choix. Mais pour le moment, c'est plutôt lui qui satisfait à mes besoins naturelles,, ses mains qui viennent jouer avec ma poitrine me feraient presque gémir, mes extrémités se dressent aussitôt et mon envie se réveille irrémédiablement. Je ne peux pas cacher que le traitement est agréable, et le fait qu'il trouve ma poitrine aussi plaisante flate malgré tout mon ego.
Il doit certainement le percevoir et m'ordonne alors de me faire jouir plusieurs fois. Je le regarde avec des yeux brillants. Il n'a pas tort, le sexe est un besoin compulsif chez moi et je serai sans doute prête à faire n'importe quoi pour avoir ma dose. Il m'en faut très peu pour décoller et c'est quelque chose qu'il semble avoir compris aisément.
Je me decale alors un peu, tout en restant à quatre pattes pour attraper deux jouets dans la malette. Un sexe assez réaliste de gabarit assez epais, avec une option vibrante, lequel atterrit rapidement entre mes cuisses pour penetrer mon intimité déjà humide. Ainsi qu'un plug anal plus simple, noir, qui trouve son chemin jusqu'à mon petit trou après que je l'ai légèrement lubrifier de mes propres fluides. Un soupire de soulagement quitte mes lèvres lorsque les deux objets sont installés en moi et que la sensation habituelle de plaisir se fait ressentir. Mais son avertissement quant à la préparation de mon cul me revient vite en mémoire et je décide alors de me focaliser sur celui-ci, bien décidée à me préparer du mieux que je le peux pour limiter les dégâts.
Je me mets alors à gémir, à quatre pattes face à lui, prête à faire ce que je sais faire de mieux, jouir comme une chienne, cette fois ci reconnaissante de pouvoir soulager un peu de mes pulsions.
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« Cest le minimum… » [/i]
Oui, tout faire pour me satisfaire était une bonne chose. Mais c’était le minimum syndical. Elle devait aller au-delà de cela. Me satisfaire et c’était tout, c’était quand même sacrément limite, non ? Il fallait qu’elle fasse plus, qu’elle travaille plus dur, qu’elle se montre plus douée… c’était bien tout ce que je lui demandais. Et ce n’était pas grand-chose, au fond, pour garder un peu de liberté. Parce que sinon, aussi, je pouvais l’emmener avec moi et lui faire connaitre pire. Bien bien pire ! Je la regardais alors qu’elle décalait un peu, à quatre pattes, pour prendre deux jouets, un sexe en plastique épais et un petit plug anal bien trop simple à mon gout. Mais c’était le début. Je la lassais faire et je la regardais commencer à jouer doucement, gémissant même ses plaisirs et ses envies. Allons donc !
Je la regardais faire avant de me contenter de m’avancer un peu dans sa direction et je lui crachais au visage, sans la moindre once de respect.
« Dépêches toi. » [/i]
Je n’avais pas l’impression de trop en demander, en fait. Loin s’en fallait ! Je la regardais dans les yeux un moment avant de finalement venir saisir ses cheveux, sa natte, et la tenir ainsi, tirant doucement dessus.
« Je sais que tu es capable de beaucoup mieux. Ne me force pas à en arriver à m’en charger… » [/i]
D’ailleurs tant qu’à faire.
« Je sais, suce moi en même temps. Et si tu n’as pas joui au moins trois fois avant moi, je te jure que tu prends la ceinture. » [/i]
Autant la motiver.
« Et je ne parle pas de jouir sagement. Mais jouir comme une pute, éclaboussant le sol et tout le toutim ! Je veux voir ton vrai niveau, Pupuce ! » [/i]
Je ricanais.
« Vraiment bonne qu’à ça… » [/i]
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J'avais conscience que je devais m'attendre à tout venant de lui, mais lorsqu'il me crache au visage, j'ai du mal à rester impassible. Pourtant, je ne fais pas le moindre geste pour ôter l'amas glaireux de mon visage, de peur sans doute que cela lui déplaise, et me contente de baisser le regard. Le respect, c'était certainement une notion que je ferai mieux de rayer de mon vocabulaire puisque j'étais presque certaine que je n'y aurais plus jamais le droit.
Je comprends rapidement que je ne suis pas assez diligente à son goût, alors pour éviter la moindre représailles, j'accélère le mouvement. Je hoche doucement la tête pour lui signifier que je vais m'exécuter et j'active discrètement la fonction vibrante du jouet niché à l'intérieur de ma chatte. La menace de la ceinture m'effraie suffisamment pour être source de motivation, alors je me laisse prendre par le plaisir et je me rapproche rapidement d'un premier orgasme. C'est le moment qu'il choisit pour me demander de le sucer et je ne perds pas de temps à le satisfaire. Une première jouissance me fait gémir bruyamment tandis que je le débarrasse rapidement de son pantalon que je tire jusqu'à ses chevilles pour me donner accès à l'objet de mes désirs.
La vision de sa queue provoque une vague d'excitation au niveau de mon bas ventre et je ne peut me contenir de venir la chercher avec ma langue pour la faire durcir suffisamment. Mon regard avide croise le sien quelques secondes et je relève à peine la tête, tout en bougeant le plug entre mes fesses pour lui dire.
- Oui Maître. Merci de me laisser vous sucer.
Il fallait être aveugle pour ne pas voir que la fellation me rendait chienne, je me jette presque sur lui avec l'envie de le dévorer, mes lèvres se resserrant autour du membre rigide pour commencer de profonds mouvements de vas et vient. Je ne cessais dans le même temps de me stimuler avec les jouets et rapidement, un deuxième orgasme m'emporte comme un ras de marée, cette fois-ci plus violent, laissant quelques goutes de mon plaisir s'échouer au sol.
Je ne le délaisse pas pour autant, même si j'ai du mal à rester concentrée, et je m'applique comme toujours dans mon ouvrage. J'alterne entre coups de langue et vas et vient, tentant de le prendre toujours plus loin en bouche jusqu'à ce que le reflexe nauséeux m'oblige à reprendre mon souffle. Mes yeux sont brillants sous l'effort et mes joues rougies, pour autant le plaisir qui continue de me submerger en parallèle me met à bout de souffle. Mes gémissements emplissent et raisonnent dans la pièce et je sais que le troisième orgasme n'est plus si loin et s'annonce dévastateur.
Je continue de le sucer avec avidité mais je fini par lâcher les jouets qui restent enfoncés dans mes orifices tandis que mon corps se crispe à allure régulières jusqu'à ce que le plaisir atteigne son paroxysme. Je me mets à caresser frénétiquement mes seins, tirant sur mes mamelons, agitant mon bassin comme une forcené tandis que je fini par jouir d'une manière encore plus puissante que les deux premières fois. Cette fois-ci, j'arrose clairement le sol de ma mouille, comme une vrai salope façonnée pour le sexe, désormais en conditions pour obéir au moindre de ses ordres.
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Au moins, elle se démenait et se donnait du mal. C’était bien le moins que j’espérais venant d’elle. La bougresse à la peau sombre avait prouvé qu’elle avait de la bouteille. ? mais le moins que l’on puisse espérer. Je la regardais avec un œil sévère, mine de rien, alors qu’elle jouissait en sortant mon sexe. Bon, c’était faiblard et potentiellement simulé. Bien sûr. Mais bon, c’était de bonne guerre et je lui laissais le bénéfice du doute.
En tout cas, j’adorai voir le visage de la jeune femme à l’aperçu de mon sexe. Un égard captivé. Comme si elle n’avait rien vu de si beau, de si désirable. Je souris. Vraiment, cette manière qu’elle avait de regarder mon sexe comme si c’était le plus parfait chose au monde pour elle, j’adorai. C’était dire à quel point elle était complètement matraquée par le sexe, cette petite chienne.
« Tu es une suceuse avant tout, n’est-ce pas ? » [/i]
Je caressais sa joue, creusée par la succion. Elle savait sucer, je l’avais constaté et pas qu’un peu. Ma main serrait ses cheveux et je savourais, la sentant donner tout ce qu’elle avait, et je savais qu’elle était capable de tout donner. Elle agissait avec moi, et à raison, comme si sa vie en dépendait. C’était en effet peut-être le cas.
Deuxième orgasme, plus violent. Mais pas encore ce que j’attendais.
Elle faisait ce qu’elle devait. Et elle le faisait bien. Elle avait les yeux larmoyants, et l’air un peu hagard de celle qui manquait d’air. Pour ma part, je savais qu’elle perdait un peu pied. Cela se voyait. C’était l’évidence même… en même temps, elle était douée… difficile de le nier. Et elle était comme une camée en manque.
Et le troisième orgasme vint, cette fois, je la sentis vraiment se raidir, et éclabousser son sol comme si elle avait pissé tant c’était abondant… voilà, c’était ça que je voulais voir. D’ailleurs je souris, lui caressais la joue, et je lui disais alors.
« Bien. C’est bien. » [/i]
Je lui fis un sourire encourageant ;
« Tu devrais jouir comme ça tout le temps. » [/i]
Je lui pinçais doucement la joue.
« Savoure ton premier repas de femelle domestiquée. De chienne en collier. Fais-moi jouir. Gave-toi de foutre. » [/i]
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Le dernier orgasme est incontrôlable, mais je sais que c'est ce qu'il attend, alors je ne cherche pas à me retenir. J'explose au milieu de mon petit salon, me retrouvant rapidement dans une petite flaque qui témoigne de mon plaisir sans jamais cesser de m'atteler à la tâche et de le sucer avec avidité. Sans doute l'expérience dans ce domaine m'aide à concilier les deux, mais c'est surtout l'excitation de pouvoir profiter de son sexe comme si c'était le plus beau des cadeaux qu'on m'ai fait qui me pousse à continuer.
J'apprécie ses caresses et l'air de satisfaction que je lis dans son regard. Je me sens même fière de moi et cela m'incite à poursuivre sur cette voie la. Alors lorsqu'il me demande de le faire jouir, je me concentre cette fois ci pleinement sur lui et mets encore plus de cœur à l'ouvrage avec le désir certain de sentir tout son foutre remplir ma bouche.
Le plaisir que je prends est évident, je délaisse par moments sa belle queue pour venir glisser ma langue sur ses bourses que je gobe chacune leur tour, avant d'enserrer à nouveau mes lèvres sur le membre palpitant, dopée aux endorphines de mes précédents orgasmes et de l'excitation que me procure cette intense fellation.
Je suis bien trop déterminée à le faire gicler pour que les choses ne s'éternisent d'avantage. Je pompe encore et encore, mes joues se creusant au rythme de mes vas et vient, tandis que je sens avec délice son chibre durcir plus encore, signe évident qu'il n'est plus très loin d'atteindre le point culminant de son propre plaisir.
Je ferme même les yeux par instants, tellement je savoure le moment, sans doute aurais je été capable de jouir rien qu'en le suçant de la sorte. Mais c'est désormais sa jouissance qui m'importe et quand je sens enfin le premier jet de foutre inonder l'intérieur de mes lèvres, je soupire de satisfaction, avalant la moindre goute de semance qui s'échoue dans ma gorge jusqu'a ce qu'il ai entierement fini de se vider.
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Laelia suçait. Elle le faisait bien, avec cœur, et, quand je voyais le fond de ses yeux, je comprenais qu’elle ne le faisait pas par plaisir. Enfin, si, mais que c’était aussi une drogue, ce plaisir, elle avait la tête d’une camée en manque sur le point d’avoir sa dose, malgré les orgasmes précédents, comme s’ils n’étaient rien face à une bonne giclée de semence masculine. Ça ne me surprenait pas. Elle avait toujours eu, tout du longs, l’air de la manière d’être une salope. Elle avait tout enduré et n’avait jamais protesté.
Bon, j’idéalisais peut-être un peu. Toujours était-il qu’elle ne semblait même pas se faire le moindre souci quant à sa nouvelle vie. Elle suçait et finit par me faire craquer, savourant la généreuse dose de semence qu’elle but jusqu’à la lie, avalant sans fausse retenue, par pure gloutonnerie, suçant la moindre goutte avant de relâcher mon sexe.
« Repue, petite chienne ? » [/i]
Je pariais que non, et alors que je lui caressais les cheveux, je lui disais, avec amusement.
« Je suis sûr que non. Trop gourmande et trop avide, n’est-ce pas ? » [/i]
Je la relâchais et je regardais le sol, y voyant la trace de ses plaisirs successifs. C’était bien, une belle manière de montrer ce qu’elle valait vraiment.
« Et tu as très bien joui aussi. C’est bien… » [/i]
Je lui caressais un instant les cheveux, avant de finalement réfléchir, sans trop me soucier d’elle, comme si elle n’était qu’un objet parmi d’autre avant de lui dire, revenant comme à la réalité de l’instant, à la présence de la putain docile à mes pieds.
« Tu dois être épuisée, non ? Tu devrais peut-être te reposer, pendant que je fais quelques emplettes pour t’équiper comme il faut, Qu’en penses-tu ? J’ai beaucoup à faire pour te rendre heureuse… » [/i]
D’ici là…
« Je te conseilles de le faire avec au moins un plug anal… je pourrai avoir envie de t’enculer à mon retour… » [/i]
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Je fini de le sucer et le laisser vider ses bourses sans qu'une seule goute ne s'échappe de mes lèvres expertes. Eprouvée, je suis tout autant satisfaite d'avoir réussi à le faire jouir à nouveau que de pouvoir laisser ma bouche se reposer. J'avais mis tellement de coeur à l'ouvrage et de bonne volonté dans cette fellation que je sentais le début de tension dans les muscles de mes joues. Je hoche doucement la tête lorsqu'il me demande si je suis repue, même si il semble penser que ce n'est pas encore le cas.
J'avais clairement besoin de laisser mon corps récupéré désormais et il semble en prendre conscience, ce qui me soulage un peu car je ne suis pas certaine de pouvoir en rajouter une couche supplémentaire. Mon corps tremblote un peu et je souris quand il me propose de me reposer.
- Merci Maître, effectivement je me sens fatiguée...
Je suis plutôt rassurée par le fait qu'il s'absente car je ne suis pas certaine de pouvoir vraiment me reposer en sa présence, même si j'angoisse un peu des emplettes qu'il a l'intention de faire et de "l'équipement" qu'il compte acheter. Pourtant je chasse rapidement cette émotion puisque je sais que de toute façon, si il a envie de me faire ou de m'acheter quelque chose, il le fera et ce peu importe mes supplications ou mes état d'âme.
Je me relève difficilement et manque même de tomber en repositionnant le poids de mon corps sur mes jambes. L'idée qu'il m'encule à nouveau me fait déglutir avec raideur alors je tache de prendre son conseil au sérieux.
- Vos conseils sont précieux je vous en remercie, Maître. Je ferai comme vous le souhaitez.
J'attends qu'il décide de prendre congés avant de me purifier sous une bonne douche réparatrice et d'aller m'écrouler nue, sur mon lit, tout en prenant le soin de loger dans mon petit orifice serré un nouveau plug qui aura pour effet de suffisamment me dilater pour me permettre de l'accueillir si il le désire. Puis je m'endors presque aussitôt, totalement vidée et prête à accueillir ma nouvelle condition d'esclave.