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Travailler de jour est tellement rare que j'ai un mal fou à gérer ce genre de cas. La faute au fait de travailler dans un milieu douteux où on agit principalement lorsque le monde de la nuit tend ses bras à toutes les crapules et autres truands. En général je fais des pieds et des mains pour éviter ce genre de mission. Sauf que voilà... ce boulot est tellement bien payé que j'aurais perdre trop de contacts en le refusant.
Dans le milieu on ne fait pas confiance à ceux qui refusent de se remplir les poches quand la situation le permet. Ça éveille les soupçons. Et dans le pire des cas, ça va jusqu'à se prendre un coup de couteau sans qu'on puisse le voir venir.
La journée a été plutôt alors calme alors que je devais assurer la sécurité, de façon incognito, d'un VIP qui participait à l'inauguration d'un parc aux abords de Seikusu. Un évènement banal composé de gens banals dans un lieu banal. Bon, okay, il y a bien quelques nanas qui ont attiré mon regard à plus d'une occasion. Malheureusement le boulot passe avant le reste.
Habillé comme à mon habitude d'un jean noir et d'une chemise blanche pour offrir un semblant de sérieux, je vois les heures défiler jusqu'à ce que la nuit tombe enfin. Signe que mon calvaire est sur le point de se terminer. C'est en tout cas ce que je m'imagine alors que le client passe une heure de plus à saluer toutes les personnes présentes qui partent chacune leur tour dans des voitures de luxe.
Autant dire que l'environnement il s'en tape complètement.
Tout naturellement je l'accompagne à sa voiture quand il me lance :
- Il y a un bus un peu plus loin qui va vous raccompagner.
- Hein ?
Effectivement, un bus se trouve bien positionné derrière des arbres. Le client profite de ma surprise pour monter dans sa bagnole qui démarre en quatrième vitesse.
- Génial...
L'envie de me barrer d'ici est si forte que je n'ai pas l'énergie de m'énerver. Surtout que ça pourrait inspecter mon salaire.
Je décide alors de me diriger vers le bus en question qui est quasiment vide. Un homme, qui a clairement trop tiré sur la bouteille, est en train de pioncer au premier rang. Sur les sièges de derrière se trouve un couple qui tourne la tête en me voyant pour éviter tout contact visuel. Puis un ado d'environ 16-17 ans est scotché sur ton portable.
Histoire d'être tranquille, je vais me foutre tout au fond dans l'un des espaces qui propose quatre sièges. Deux dans un sens et deux autres en face. Côté vitre, histoire de pouvoir m'occuper... ou m'endormir comme l'autre soulard.
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J'avais passer la journée dehors avec une bande d'amis pour aller m'amuser un peu et l'alcool avait couler à flots dans la petite sauterie à laquelle nous avions été invités. Etrangement, l'alcool n'avait pas tendance à me faire beaucoup d'effet et il fallait vraiment que je me mette à boire des litres de ces breuvages pour ressentir un maigre effet de ce qu'il était censé faire. J'avais donc toujours tendance à finir la plus sobre et ce n'était pas forcément très drôle. Ducoup, pour une fois, j'avais descendue quelques bouteilles à moi toute seule pour ressentir les mêmes effets que tout le monde.
Sauf que lorsque j'avais commencer à être à peine un peu pompette, la fête touchait à sa fin et le DJ remballait déjà son matos alors qu'il faisait nuit depuis une petite heure seulement. Dépitée, j'avais décider de ne pas m'attarder dans le coin et de rentrer pour aller me coucher. La journée de demain serait sans doute meilleure. Ayant préférer éviter de prendre le taxi pour venir, il fallait que je marche pendant des plombes pour trouver un bus qui pourrait me ramener jusqu'à chez moi.
Celui-ci est finalement caché derrière des arbres qui longent un parc. Un autre évènement, bien plus classe, semble s'être aussi terminé tout près et le véhicule devait permettre de ramener les rares individus qui n'étaient pas véhiculés, contrairement à là où je me trouvais précédemment.
Comme à mon habitude, je portais une petite tenue assez sexy composée d'un mini short qui laissait voir la naissance de mes fesses et d'un petit haut qui cachait tout juste ma poitrine. Court en bas, et court en haut, je ne faisait jamais dans la demi mesure. Sauf qu'aujourd'hui je n'étais pas parvenue à me mettre grand chose d'intéressant sous la dent contrairement à mon amie qui s'était fait raccompagner par un bad boy qui allait certainement se la faire dans tous les sens possibles.
Bref, je monte dans le bus qui est presque vide à cette heure ci et décide de me mettre à l'arrière, pensant pouvoir ruminer tranquillement sans être dérangée. Je prends place dans un carré pour 4 qui est finalement déjà occupé. Je décide de m'asseoir en face de l'homme assis du côté de la vitre sans prendre la peine de croiser mes jambes qui restent naturellement un peu écartées, et le salue de manière polie.
- Bonsoir... ça ne dérange personne si je m'assoie ici ?
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(PoV : Yor)
« Je vois pas pourquoi ça dérangerait quelqu’un… »
Ce soir, j’étais sortie me promener. Oui, ça m’arrive… surtout quand le club est fermé. Je veux dire, quel intérêt de sortir faire des rencontres alors qu’au club je me fais passer dessus à longueur de temps ? Oui c’est ça, aucun ! J’ai tourné pendant un petit moment, me demandant où aller, mais je dois bien admettre que je n’ai pas vu l’heure passer et que je me suis retrouvée à chercher un endroit ouvert alors que la plupart étaient en pleine fermeture. Oups.
Alors je me suis faites une liste des endroits où trouver des gens prêts à s’envoyer en l’air. Des parcs. Des boîtes encore ouvertes. Des coins sordides. Les transports en commun… ? Oh peut-être tiens, j’ai jamais tenté ma chance. Pourquoi c’est sur ma liste ? Parce que je vois un bus à l’arrêt là, et qu’une fille s’y dirige… et elle a un cul superbe ! Alors je grimpe dans le bus à sa suite, souriant au chauffeur en le voyant la mater… puis me mater. Bon déjà y’en a un avec qui y’aura moyen… mais ça serait bien qu’il y en ait plus. Il y a de bons candidats dans ce bus après tout.
Et c’est donc à ce moment que je réponds à cette charmante demoiselle. Un sourire enjôleur sur les lèvres, je viens m’installer à côté d’elle tout en saluant notre voisin. Je suis sûre qu’il va aimer ce qui suit…
« Vous aussi vous avez fini la soirée seule ? »
Contrairement à elle, je croise mes jambes. Ca fait remonter ma longue jupe moulante, et j’en profite pour caresser le tibia de ma voisine du bout du pied. A la réflexion, j’aurais peut-être dû prendre le même genre de tenue qu’elle… j’en salive tant la vue est agréable.
« Ah, pourtant votre tenue vous met très bien en valeur… et vous devez avoir bien moins chaud que moi. »
Pour appuyer mon propos, je tire un coup sur mon haut pour faire mine de m’aérer. Bien sûr, ça révèle bien plus que ça ne le devrait à mes deux voisins et je ne me gène pas pour en rajouter une couche.
« Si je m’écoutais j’enlèverais tout ça… »
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Ma torpeur est vite balayée par l'arrivée d'une bombe qui me demande si elle peut venir s'asseoir à côté. Elle n'a même pas besoin de me demander la permission. Ni à moi, ni à qui que ce soit d'autre. Je me demande d'ailleurs si on doit lui refuser quelque chose en général avec un physique pareil et des tenues aussi ravageuses. Ceci dit, je n'ai même pas le temps de lui répondre qu'une autre inconnue s'en occupe à ma place.
Et il n'y a rien à jeter sur elle non plus à ce que je vois. Moi qui enchaîne les galères depuis quelques temps, on dirait que ma chance est en train de tourner tout d'un coup. Va falloir que je pense à m'acheter un billet de loterie demain matin.
Le canon en robe moulante engage la conversation avec la nana au short rikiki avec un naturel assez surprenant.
C'est à peine si je sais où donner de la tête avec tout ce qui se trouve actuellement face à moi. Les gros nichons de la black captivent particulièrement mon attention avec son petit haut qui doit souffrir le martyr pour contenir tout ça. Puis, là, une rencontre entre grands esprits. L'autre femme vient lâcher une véritable bombe.
- Ouais, tu serais clairement plus à l'aise sans.
Toute cette situation, en plus du manque d'action depuis quelques temps, font tressaillir ma queue qui prend doucement forme alors que celle-ci est collée contre ma cuisse gauche.
- Ca dérangera personne. Et surtout pas moi. Tous les autres dorment ou sont trop occupés pour nous mater.
Je marque une très courte pose en me redressant sur mon siège vu que l'échange du moment est cent fois plus intéressant que le panorama stagnant vu que le bus n'a pas encore démarré.
- Sauf si t'aimes qu'on te mate.
Mon petit doigt me laisse à penser que c'est clairement le genre de nana à aimer se donner en spectacle.
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Je ne remarque pas tout de suite la jeune femme qui monte à ma suite et c'est lorsque je sens son regard insistant sur mon cul que je comprends quel beau spécimen se trouve derrière moi.
Elle ne cherche d'ailleurs pas à comprendre et vient s'installer à ma suite dans le petit carré pour 4 sous le regard soudainement intéressé du mec qui était là avant nous, tout en me demandant si j'ai fini la soirée seule ce que je lui confirme.
Un petit sourire étire mes lèvres lorsque ma voisine vient caresser mon tibia et je lui lance un regard lourd de sens. A m'allumer comme ça elle ne risquait pas de rester habillée très longtemps c'était certain. Je plonge mes yeux dans sa poitrine lorsqu'elle fait semblant d'avoir chaud tout en me lechant les lèvres. Elle savait comment me mettre en appétit celle-ci.
Je m'imagine déjà entrain d'explorer son petit corps d'aguicheuse jusqu'à ce que notre voisin exprime clairement son désir de la voir se dévêtir. Intéressant. Je le dévisage avec curiosité et remarque rapidement qu'une légère bosse se forme au niveau de son entre-jambe. Il faut croire que la situation tournait à mon avantage et je me range à son avis.
- Je suis d'accord avec le beau jeune homme. Tu ne devrais pas t'encombrer de tant de tissus...
Sa petite robe lui allait comme un gant et était particulièrement sexy mais j'étais certaine qu'elle devait être mieux sans. Je ne me genais pas de la dévisager de la tête aux pieds en imaginant tout ce que je pourrais lui faire. Mon regard passait ensuite sur l'homme à la musculature saillante qui venait de tirer le gros lot avec deux grosses chaudasses.
- C'est vrai qu'il fait chaud par ici...
Je relève un peu mon haut, laissant volontairement déborder un de mes seins qui cherche à s'échapper de son fourreau. Je n'avais clairement pas de temps à perdre en conversations lamba et ils avaient tous deux éveillés mes sens en quelques secondes seulement.
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Je devrais prendre le bus plus souvent.
Pour mon plus grand plaisir, mes deux voisins sont très réceptifs à mes paroles… mais comment leur en vouloir ? Je dois surement donner l’impression d’être une chienne en chaleur, et ça ne serait pas exagéré de dire que je le suis. Le joli cul de ma voisine m’a clairement donné des bouffées de chaleur, et j’ai une furieuse envie de glisser ma tête entre ses cuisses…
Mais le type d’en face ne me laisse pas indifférente non plus.
Il faut dire qu’il valide de suite mon idée d’enlever mes vêtements, et lui-même semble être à l’étroit dedans. Mon regard se porte avec insistance sur la queue qui se dessine sous son pantalon, avant de revenir à son visage tandis que je souris. Il ajoute quelques mots, supposant que je suis ou non du genre à me donner en spectacle. Oh ça… c’est presque tous les jours ! Il aura peut-être la chance de venir le constater de lui même si il passe au club un soir...
Mais puisque les deux semblent apprécier l'idée de me voir me dévêtir, j’en ai une autre. Puis encore une autre. Il faut dire que la belle a presque laissé échappé l’un de ses seins, et je meurs d’envie de le prendre en bouche… mais peut-être que je peux la mettre en appétit aussi ?
« J’aurais bien besoin d’un coup de main pour me mettre plus à l’aise… c’est pas simple de se dévêtir seule en étant assise… j’espère pouvoir compter sur votre aide ? »
Peu importe les autres personnes présentent dans le bus. Les mécontents n’auront qu’à partir, et les plus réceptifs… ils pourront faire la queue ou nous rejoindre ! Me concernant, plus on est plus on s’amuse !
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La chaudasse en robe moulante n'a clairement pas contredit ma remarque sur le fait d'aimer se donner en spectacle devant public. Et la seconde inconnue n'est pas en reste alors qu'elle en rajoute à son tour en soulevant son haut qui avait déjà bien du mal à masquer sa généreuse paire de loches. D'un côté comme de l'autre, j'ai l'impression qu'il va y avoir un sacré monde au balcon.
Les secondes filent et personne d'autre ne semble monter à bord du bus. Tant mieux, si on est au complet alors on aura tout le loisir de pouvoir profiter de l'arrière du bus. Même si je me dis que ces deux nymphos seraient prêtes à se faire passer dessus par n'importe qui d'autre tant qu'elles y trouvent leur compte.
- T'es pas la seule à avoir besoin d'aide.
Quelques centimètres plus bas, la chose sur laquelle je les aies vu loucher à plusieurs reprises commence à prendre un peu plus forme. Dans ma tête je les imagine déjà jouer avec ensemble, ou à tour de rôle. Ces deux semaines d'abstinence me donnent l'impression d'être devenu un ado en chaleur.
- Vous êtes tellement bandantes toutes les deux. Je risque de faire exploser mon jean si vous me le retirez pas rapidement.
Et ce n'est pas de la rigolade vu la taille de la bosse qui se forme sous mon vêtement qui est en train d'étouffer ma trique qui n'est pas encore totalement au garde à vous.
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Je constate avec amusement que je ne suis pas la seule à chauffer rapidement. Ma voisine me propose de l'aider à se déshabiller et je remarque son regard gourmand sur mon sein qui s'est presque totalement échappé de mon haut. Je lui adresse un petit sourire en me rapprochant d'elle pour poser mes mains sur ses cuisses.
- Hmmm tu n'as qu'à demander...
Je lui retire sensuellement son haut avant de venir glisser mes lèvres dans le creux de son cou pour y déposer ma langue et mordiller sa peau, puis je descend jusqu'à ses seins ronds et fermes que je m'amuse aussi à prendre en bouche en fixant de manière provocante l'homme assis en face de nous et qui semble trépigner d'impatience...
Puis je remonte sa jupe moulante sans totalement la lui retirer et vient glisser une main entre ses cuisses que j'écarte un peu pour accéder à son entre-jambe que je caresse du bout des doigts.
-Miam...
Je sens déjà la chaleur s'emparer de son intimité et je dois dire que je n'aurais pas perdu de temps à la goûter si notre voisin ne s'était pas manifesté à son tour. Il avait aussi besoin d'aide ? J'en avais plein à revendre.
Je me redresse un peu et me penche vers l'homme excité tout en tendant mon petit cul vers celle que j'ai envie de dévorer. D'une main experte je viens déboutonner son jean tout en lui susurrant:
- Ce serait dommage de faire exploser ce joli jean...
Je ne le libère pas tout de suite néanmoins, curieuse de voir si l'allumeuse préfère s'en charger, mais je commence à le caresser à travers le tissus, histoire de le faire monter encore plus en pression. Je n'avais aucun doute quant au fait que nous allions former un parfait trio.
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Les secondes passent, et la température grimpe en flèche. Si ça continue, on va finir à poil avant même que le bus ne parte… et franchement, ça ne me déplairait pas !
Alors que je provoque gentiment mes deux compagnons de route, je les vois tous les deux réagir plus que positivement. Lui, on dirait que son pantalon va exploser tant il est réceptif à nos avances… et elle, elle vient se dévouer et m’aider ! Quel amour cette fille, il faudra absolument que je l’amène au club et que je lui organise une petite soirée privée…
En la sentant me débarrasser de mon haut, je souris à l’homme. Il peut vite apercevoir mes deux seins glisser hors du top tandis que la belle dépose ses lèvres dans mon cou pour me chauffer, ce qui marche très bien. Je décide de partager un peu de cette chaleur en en rajoutant une couche pour notre voisin.
« Tu nous trouves bandantes ? Attend de nous voir à poil… »
Et la voilà en train de faire glisser ma jupe, jusqu’à avoir accès à ma chatte bien chaude. Petite surprise : je ne porte pas de culotte ! Et oui, avec une robe aussi moulante ça serait dommage quand même. J’écarte mes cuisses lorsqu’elle commence à me caresser, laissant entrevoir à ce jeune homme l’endroit qu’il va vite pouvoir fourrer si l’envie lui prend. Mais avant d’en arriver là, il a visiblement besoin d’aide ! Le pauvre est plus qu’à l’étroit maintenant, et si ça continue son jean va être foutu. Par chance pour lui, il a deux demoiselles pleines de bonne volonté pour le sauver.
La charmante créature délaisse mon corps pour venir déboutonner son jean, première étape pour la libération de son sexe. Dans sa position, j’ai une vue plongeante sur son cul parfait… ah, qu’est-ce qu’il me fait envie ! Alors, avant de venir prendre goûter ce charmant homme, je me glisse derrière elle et m’assure de libérer ces belles fesses du vêtement les couvrant. Ça ne prend pas bien longtemps, et je m’amuse à donner une petite tape dessus avant de me glisser à côté d’elle.
« Vous en avez de la chance, j’ai deux mains… je dois pouvoir vous aider tous les deux. »
Le but de la manœuvre précédente ? M’assurer de pouvoir glisser l’une de mes mains sur ses fesses, les tripoter, puis venir lui rendre la politesse en caressant sa chatte bien chaude.
De mon autre main, je viens finir ce qu’elle a commencé en tirant sur le sous-vêtement masculin. C’est qu’à force, j’ai bien envie de la voir cette bite ! Alors, lorsqu’elle se révèle, j’ai un large sourire.
« Ah bah voilà ! On partage ma belle ? »
Je souris à la jeune femme et commence à lécher la queue de bas en haut sur le côté, lui laissant le soin de glisser sa tête de l’autre pour m’imiter si elle le souhaite.
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C'est qu'elles sont aussi chaudes et volontaires que bien foutues ces deux-là. Il n'a fallu qu'une remarque de ma part pour que la belle black arrête de caresser la chatte probablement déjà humide de sa nouvelle camarade pour défaire le haut de mon jean qui me serre de plus en plus. Mon corps se met alors à trembler brièvement au contact de sa petite main douce et délicate au contact de mon membre imposant à travers mon boxer qui se trouve incapable de le couvrir entièrement.
A sa remarque je me mets alors à lâcher intérieurement - Oh oui, j'ai bien d'autres choses que je compte "exploser".
Comme leurs fentes étroites ou leurs petites bouches de salopes qui ont dû sucer des bites par dizaines avant que la mienne ne vienne se joindre à la liste.
Ma langue vient humidifier mes propres lèvres alors qu'un large sourire déforme mon visage face à ce spectacle divin qu'elles me proposent. Je suis même sur le point de me pencher pour venir tâter le cul de la jolie métisse quand je suis interrompue par l'autre inconnue qui décide de tirer sur mon boxer.
S'ensuit une longue léchouille de sa part qui remonte sur toute la longueur de ma tige veineuse en m'arrachant un râle d'excitation. Le contact chaud et humide d'une langue sur ma trique m'avait clairement manqué. Au point de faire tressauter mon membre d'anticipation et d'envie.
Ma main droite vient alors se glisser dans la chevelure de la black pour attirer son visage en direction du mien. Dans la seconde qui suit, j'ouvre la bouche et lui tends ma langue pour l'embrasser goulument et sans aucune délicatesse. mes lèvres viennent pincer les siennes quand ma langue ne part pas à la recherche de la sienne en réaction à ce début de fellation quelques centimètres plus bas.
Très vite ma main libre vient se saisir d'un de ses gros seins moelleux pour le caresser et le malaxer durant une bonne trentaine de secondes avant de la libérer.
Bouillonnant de l'intérieur, je me retourne vers notre troisième camarade de jeu.
- Ouvre la bouche !
Dans la foulée, je laisse s'écouler une belle quantité de notre cocktail de salive qui dégouline lentement pour arriver dans sa bouche. Autant dire que la personne qui va s'occuper de l'entretien du bus va avoir du boulot vu comment la soirée commence.
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Désormais penchée en avant et prête à libérer un peu ce pauvre homme de l'étau qui lui compresse la queue, je frémis lorsque mon cul tendu se fait lui aussi libérer de son mini short pour glisser le long de mes jambes. Ma camarade de jeu vient tâter mes fesses qu'elle flanque d'une petite fessée terriblement excitante avant de venir découvrir ma chatte brulante qui n'attend qu'une chose; se faire remplir.
Puis c'est au tour de notre compagnon de se faire extirper de manière experte de son caleçon et j'observe son appétissante queue avec un sourire aux lèvres tandis que la belle ne résiste pas à l'envie d'ores et déjà de s'y attaquer avec ses lèvres.
- J'ai envie de partager beaucoup de choses avec toi ce soir, ma belle...
Je dois dire que j'ai bien envie de la rejoindre mais ma chevelure se fait agripper et l'impatient vient attraper mes lèvres pour me voler un baiser langoureux.
Je le sens brulant et suis docilement le mouvement, jouant avec sa langue pour le titiller d'avantage et mordillant sa lèvre inférieure par moments. Je peux presque sentir le début de la fellation de la belle demoiselle en sentant qu'il se crispe sous les coups de sa langue. C'est qu'il à l'air plutôt sensible !
Puis il gratifie la belle brune du cocktail de nos salives en lui ordonnant d'ouvrir la bouche et je m'attèle à mon tour à profiter de cette belle queue qui s'offre à moi. Avant de plonger entre ses cuisses, je peux remarquer les regards curieux et horrifiés de quelques passagers qui semblent comprendre ce qui se passe à l'arrière du bus et cela me fait sourire, j'aimais bien me donner en spectacle...
- On dirait bien qu'on a des spectateurs !
Manque de pot pour eux, le bus démarre et contraint donc les individus présents dans le véhicule à assister à notre rencontre bouillante. Je glisse mes lèvres humides de notre baiser sur la bite impatiente du bel homme pour venir le lécher à mon tour de manière similaire à celle qui ne porte pas de petite culotte.
Ce détail ne m'a d'ailleurs pas échapper lorsque j'ai glisser mes doigts entre ses cuisses et je glisse une main sur sa poitrine généreuse pour malaxer ses seins avant de faire tomber mes doigts le long de son ventre, puis sous sa jupe désormais presque relevée au dessus de son petit cul. Je viens jouer avec son clitoris déjà bien gonflé de désir tout en léchant la belle bite d'un côté, laissant un peu de place à ma camarade humide.
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Alors que je commence à goûter cette queue déjà bien raide et propose à ma délicieuse partenaire de me rejoindre, je la vois se redresser. Ou plutôt, la main du gars l’attirer à lui pour l’embrasser. Et ça, ça veut dire une seule chose…
… j’ai la queue pour moi toute seule pour le moment !
Non contente de déjà m’approprier la chatte de la belle et de me mettre à la doigter après l’avoir caressée, je commence donc à mieux m’appliquer du côté de mon partenaire du soir. Je le sens frémir assez facilement, mais ça n’est pas pour autant que je vais y aller doucement… ce n’est pas du tout mon genre. Je me mets à le titiller en donnant des coups de langue sur son gland, avant d’ouvrir grand la bouche et y accueillir sa queue. Hop ! Je resserre mes lèvres, et remonte lentement la tête avant de la baisser à nouveau pour commencer à le sucer.
Je ne m’arrête que lorsqu’il m’interpelle. Ouvrir la bouche ? Je souris, amusée et brulante de désir, et obéit docilement pour accueillir leur mélange de salive. Il y en a qui tombe sur le sol, mais tant pis : de toute manière, il y aura bien d’autres choses par terre d’ici peu !
Et d’ailleurs, si j’en crois les mots de celle dont je dévorerais bien le cul, nous avons des spectateurs. Ah bon ? Ah oui ! Je fais un clin d’œil complice à une demoiselle qui ne sait pas où se mettre, avant d’observer le fabuleux travail que fait la belle… c’est qu’elle me donnerait presque envie de lui offrir une deuxième bite à sucer !
Mais en sentant ses doigts se glisser entre mes cuisses et jouer avec mon clitoris, je me dis que ça peut bien attendre… et je la rejoins autour de la bite déjà bien humide, me mettant à la lécher avec elle. Dans cette position, je peux admirer ce visage déjà partiellement couvert de salive et, par moment, sentir ma langue glisser contre la sienne. Divin !
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L'heure est visiblement venue pour toutes les personnes dans le bus d'entamer le trajet du retour vu que le chauffeur se décide à le faire démarrer sans prévenir au moment où le black se jette sur ma queue bouche la première.
- Ah ouais ? Autant leur offrir un truc sympa à mater alors.
Je me sens comme un prince avec deux nymphos aux bouches avides et clairement expérimentées qui glissent à la perfection sur toute la longueur de ma queue à la peau sensible et brûlante d'envie. Une pipe classique m'aurait probablement déjà bien mis en jambe dans mon état actuel. Alors une double...
Mes mains viennent se saisir de leurs chevelures respectives pour les faire coulisser un peu plus en rythme et leur permettre de venir se retrouver toutes les deux à la base de ma bite au début. Puis je les fait remonter en quelques secondes pour les avoir sur mon gland où je les coince jusqu'à les voir s'embrasser. Je veux sentir leurs lèvres et leurs langues remuer et me stimuler tout en se chauffant toutes les deux car il est évidant que le courant passe entre elles.
L'occasion est si parfaite que j'en profite pour enlever mon jean qui était vissé à mes chevilles et lève la jambe gauche pour poser le pied sur le siège en face. Un peu comme pour servir de barrière alors que je sais bien qu'elles ne comptent aller nulle part.
- J'ai tiré le gros lot avec vous, mes salopes.
D'une main, je viens saisir la base de ma queue presque entièrement gonflée désormais, pour la frotter sur leurs visages. La salive avec laquelle elles venaient de la recouvrir vient alors s'étaler leurs joues dont je peux ressentir toute la chaleur.
- C'est quoi vos petits noms ? Je vais pas vous appeler bouche à bites 1 et 2.
Histoire de ne pas les faire parler en même temps, j'appuie sur la tête de l'asiatique une fois à hauteur de mon gland pour lui faire bouffer ma queue durant de longues secondes. Juste le temps qu'il faut pour que sa camarade de jeu se présente.
Puis j'offre le même traitement à la black qui va rester plus longtemps dans cette position. Je veux voir combien de temps elle peut tenir sans respirer et avec un objet qui lui bloque le palais et la gorge. Cela pourrait d'ailleurs plaire ou choquer les personnes qui décident de nous épier.
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Je vois bien que le beau male est entrain de se rendre compte de la chance qu'il a d'être tombé sur deux assoiffées de la bite comme ma camarade et moi. Nous nous occupons toutes les deux de sa belle queue dressée en jouant tant avec nos lèvres que nos langues et quand celles-ci se frôlent nous ne résistons ni l'une ni l'autre à l'envie de nous embrasser de manière obscène avec son gland coincé entre nos bouches.
Je dois dire que la sensation est terriblement plaisante et je continue d'embrasser langoureusement ma camarade de jeu tout en astiquant cette belle verge que nous nous partageons de manière parfaitement équitable. Un premier doigt, puis un deuxième s'enfoncent entre ses chaires humides que je me met à la stimuler avec plaisir.
Notre petit chanceux vient finalement se saisir de son membre qu'il frotte sur nos visages pour y étaler de la salive et nous nous retrouvons toutes les deux trempées et humide. Je souris de manière espiègle et cambre un peu mon bassin pour mieux sentir s'enfoncer les doigts de la belle.
- Tu n'as pas idée à quel point mon mignon...
Puis il nous demande nos noms et appuie sur la tête de ma camarade pour la contraindre à accueillir plus profondément sa queue impatiente.
- Bouche à bite moi j'aime ça... Mais mon petit nom c'est Laëlia.
C'était vrai qu'on pouvait au moins se permettre de connaître nos identités respectives ! Car pour connaître nos corps, ça, j'étais certaine qu'il n'y aurait pas de problèmes. D'ailleurs il décide visiblement que je n'ai moi non plus pas encore fait assez connaissance avec sa queue et me l'enfonce sans vergogne jusqu'au fond de la gorge lorsque la belle déclare à son tour son identité.
Je l'accueille sans difficulté, signe que j'en ai vu d'autres et apprécie même ce petit geste de domination qu'il nous impose. La belle doit d'ailleurs le sentir puisque mon vagin se contracte de plaisir sur ses doigts recouverts de mes fluides. Je fini néanmoins par toussoter un peu, après de longues minutes où je l'accueille dans ma cavité buccale signe qu'il est temps qu'il se retire.
J'aperçois du coin de l'oeil un adolescent qui nous jette des regards en coins malgré lui, le pauvre est obnubilé par le spectacle et sans doute un peu excité de voir un vrai film porno se dérouler devant ses yeux.
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Quoi de mieux que sucer une bite bien dressée ?
La partager avec une bombe bien excitante !
Non contente de pouvoir la titiller du bout de ma langue dès que l’occasion se présente et de la doigter, voilà que l’heureux élu du soir se décide à nous guider. D’abord jusqu’à la base de son pénis, puis jusqu’en haut où il a bien l’intention de nous garder pour profiter du spectacle. C’est avec grand plaisir que je lui offre ce qu’il veut, collant mes lèvres à celles de la belle et léchant à la fois sa langue et la bite qui est stratégiquement placée. Heureusement, il semble endurant ! Certains nous auraient déjà tartinées de sperme après ça…
Le bus continue de rouler, n’interrompant en rien notre activité.
Où il va ? Franchement, je m’en cogne.
Pour le moment j’ai bien d’autres choses en tête… et en bouche !
Mais voici qu’il est curieux et nous demande nos prénoms. C’est vrai que ça pourrait être utile… mais dans l’immédiat, je suis invitée à ne pas répondre de suite et m’enfile l’intégralité de sa bite. Je me dis même que je peux m’amuser et, une fois la base glissée entre mes lèvres, je fais glisser ma langue pour lécher ses couilles. Autant faire ça bien… !
Puis c’est à mon tour de prendre la parole, alors qu’il offre sa queue à la charmante Laëlia. Avant de répondre, je viens lécher une partie de la salive qu’il a étalé sur le visage de la demoiselle avec un grand sourire. Puis je le fixe du regard, un regard qui ne cache rien de mes envies.
« En général on me donne des petits noms comme salope ou chienne… mais si tu veux être original, tu peux m’appeler Yor. »
C’est que les clients du club ne font pas forcément dans la subtilité une fois lancés ! Mais ça ne me dérange absolument pas, bien au contraire. Et comme pour lui prouver, alors que Laëlia continue de gober sa queue, je me tourne pour lui offrir une vue dégagée sur mon cul et ma chatte dégoulinante. Mais il ne s’agit pas que de m’offrir en spectacle, c’est que j’ai bien envie de continuer de lécher des choses… et la bite étant prise, mon dévolu se jette sur le cul de ma partenaire. Je laisse un long filet de salive glisser entre ses fesses, avant que les doigts d’une de mes mains reviennent jouer avec ses lèvres intimes… puis qu’un autre vienne explorer ce petit trou très prometteur. Et, pour en rajouter une couche, je lèche lentement l’une de ses fesses !
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Laëlia et Yor semblent parvenir à se régaler chacune de leu façon dans notre petit coin. En tout cas, le fait de n'avoir plus qu'une bouche pour s'occuper de ma bite me permet de mieux gérer la chose. Je tiens à en profiter un maximum pour remplir au moins une fois chacun de leurs trous ce soir.
Bien rapidement je remarque l'attention de la jolie métisse se tourner vers un adolescent qui semble très peu discret sur sa façon de la regarder à l’œuvre d'où il se tient. Amusé, je lâche à mon astiqueuse du moment :
- Je crois que t'as un fan.
Le pauvre gamin ne doit pas voir grand chose d'où il est. A part peut-être le cul parfaitement rond qui se fait dévorer par Yor depuis quelques instants maintenant. Je lève alors une main dans sa direction pour l'interpeller avant de lui envoyer à son tour.
- Viens gamin, tu verras mieux d'ici. Allez, fais pas le timide.
A proximité de l'ado, la femme du couple s'offusque à base de "- Seigneur, ces gens n'ont décidément aucune gêne." pendant que son fiancé ou mari va dans son sens sans vraiment la contredire.
Mon autre main reste sur le crâne de Laëlia qui reste coincée entre mes cuisses le temps que l'ado se décide enfin à venir. La chose lui prend quand même deux ou trois bonnes minutes car il ne sait pas quoi faire ou quoi dire.
Le garçon décide de se poser sur un des quatre sièges qui se trouve dans la rangée opposée à la notre. Les mains sur les genoux, tremblant comme une feuille.
- Faut pas flipper, gamin.
Je me tourne alors en direction de Laëlia en lui demandant d'arrêter ce qu'elle fabrique pour faire coucou à notre invité surprise. Sa bouche doit être bien baveuse avec la quantité de salive chaude et gluante qui a servie à enduire ma queue. Ce qui est parfait pour la suite.
- T'as vu cette paire de nichons ?
A peine ma phrase terminée, je viens enlever le haut de la belle qui ne cachait de toute manière pas grand chose jusque là pour venir tapoter ses obus avec ma queue qui fait éclabousser de la salive un peu partout.
- Elle va se faire un plaisir de me branler avec, hein ?
L'ado risque d'en prendre plein les mirettes. En tout cas je parie qu'il doit déjà bander comme un âne sous son pantalon. Ou alors peut-être même qu'il est déjà à deux doigts d'exploser.
-
Je prends plaisir à presque m'étouffer sur la queue de notre petit allumeur sans m'attendre à ce que la dénommée Yor se mette à explorer d'avantage mon petit cul.
Un faible gémissement s'échappe de mes lèvres serrées autour de sa bite lorsque le contact d'un doigt aventurier contre mon anus m'incite à onduler du bassin. C'est que j'ai bien envie qu'on s'occupe de cet orifice !
La belle doit sans doute s'apercevoir de l'effet que ça me fait puisque je me mets à mouiller deux fois plus, fermant les yeux un instant avant de les rouvrir sur ce pauvre gamin qui vient prendre place à côté de nous, un peu à distance.
Son petit air fragile est à croquer et je l'observe nous regarder avec amusement. C'est qu'il est tombé sur un trio chaud comme la braise et qu'il va avoir de quoi se rincer l'oeil le petit !
Je suis contrainte de quitter cette belle queue désormais humide pour saluer d'une main le petit jeune, la bouche dégoulinante. Je lâche un gémissement qui le fait sursauter en pressant mes fesses sur la bouche de ma petite lécheuse pour l'inciter à y aller plus franchement. Puis je viens les écarter pour la provoquer d'avantage, tandis que ma chatte dégouline d'excitation et qu'elle est aux premières loges pour s'en apercevoir.
Mon petit haut me quitte finalement et libère mes deux gros seins qui ne demandaient qu'à s'échapper sous les yeux écarquillés du gamin. Je les resserre pour entourer la grosse bite qui vient les stimuler.
- Avec plaisir, tes désirs sont des ordres...
Je commence à le branler avec ma poitrine, libérant par moments ma langue pour lui lécher le gland tout en stimulant mes tétons dressés par l'excitation. Je remarque rapidement le pantalon déformé de l'adolescent qui est entrain de prendre de l'ampleur. Visiblement la scène lui plait bien ! Je décide alors d'en jouer d'avantage, scandalisant encore un peu plus les voyageurs à bord du véhicule.
-Hmmm Yor j'adore que tu me bouffes le cul...
-
L’avantage de faire ça dans un lieu public, c’est qu’on a pas mal de spectateurs.
Et dans un lieu clos comme un bus, c’est qu’on est vite à l’étroit et que ça peut vite déraper… même si là, il n’y a pas assez de monde pour que ça tourne à la partouze. Du moins, pas une avec assez de monde pour que la jolie Laëlia et moi-même finissions couvertes de foutre. C’est presque dommage tiens !
En tout cas, sous l’invitation du plus gros veinard actuellement dans le transport, un jeune garçon vient s’installer de notre côté. Bon, il garde un minimum de distance, mais il a l’air d’adorer regarder ce qu’il se passe. Je le comprends : à sa place, je chercherais un moyen de me joindre à la sauterie ou je me branlerais jusqu’à éjaculer sur Laëlia. Et si je devais choisir une zone de son corps… sur son beau cul bien sûr !
D’ailleurs, en parlant de son cul, je sens tout de suite qu’elle adore se le faire doigter. Elle mouille tellement que je pourrais surement glisser ma main dans sa chatte, mais je suis raisonnable et me contente de glisser un troisième doigt.
Pendant ce temps elle se retrouve les seins à l’air, et je ne me gêne pas pour mater. Ils ont l’air absolument délicieux ! Et la voilà en train d’en rajouter une couche, m’incitant à continuer ce que je fais…
« Alors je vais pas m’arrêter ma belle… »
Je me déplace légèrement, venant m’aligner derrière elle pour effectivement lui bouffer le cul. Je prends ses fesses en main et les écarte en faisant un clin d’œil à notre spectateur, avant de plonger tête la première sur son petit cul et y glisser ma langue. Bien sûr, je suis là pour m’amuser et lui donner du plaisir… alors je l’allonge lentement, la glissant toujours plus profondément en elle en secouant mes fesses devant l’ado.
Après une longue minute à jouer avec le cul de la belle, je sors ma langue de là en laissant échapper :
« Ah, j’espère que personne ne va profiter de ma position pour me baiser… »
C’est bien entendu adresser à notre invité, mais si quelqu’un d’autre se décide à s’inviter je ne dirais pas non. En attendant, je m’attaque cette fois-ci à la belle chatte trempée et commence à me régaler de ce doux nectar tandis que je recommence à glisser mes doigts dans l’anus lubrifié.
-
Il n'y en a pas une pour rattraper l'autre décidément. A tel point que le pauvre adolescent ne sait plus où donner de la tête alors qu'il voit deux nanas hyper sexy le chauffer à tour de rôle en lâchant des allusions bien dégueulasses et dénuées de sous-entendu. Ses joues finissent par virer au rouge alors que ses deux mains viennent se poser sur son entrejambe pendant qu'il se met à gémir quelque chose que je n'arrive pas à entendre d'où je suis.
En même temps je suis déjà bien occupé à regarder mon gros chibre veineux déformer les nichons de la jolie métisse qui prend bien soin de remonter de haut en bas le long de ma tige brûlante et humide. Avoir une nana me servir de cette façon est tellement excitant et je ne boude pas mon plaisir en venant cracher à son tour dans la bouche de Laëlia pour qu'elle se serve de nos deux salives sur ma bite afin qu'elle glisse encore mieux.
La friction de sa peau contre la mienne va bientôt me pousser à bout.
- Si c'est de la bite que tu veux, il y en a une juste ici.
La remarque, cinglante et autoritaire, est envoyée à destination de Yor à qui je fais signe de rappliquer ici en quatrième vitesse. Je sens que je ne vais plus pouvoir tenir très longtemps et je tiens à marquer le coup. Ce genre de situation ne se présente pas tous les quatre matins et je tiens à ce que tout ce joyeux groupe en garde un grand souvenir. Y compris l'ado vers qui je me tourne.
- T'en peux plus aussi, gamin ? Quand ça arrive faut tout lâcher. Regarde...
La seconde qui suit, je me saisis du crâne de Yor pour venir coller sa petite gueule contre ma bite qui vient de quitter le confort des mamelles de sa copine de jeu. Le but est de montrer à l'adolescent que ma queue dépasse de son front de plusieurs centimètres avant de venir lui faire gober ma trique d'une traite et de lui baiser la gueule sans ménagement.
- Ce genre de chienne aime se faire défoncer la gorge. Ou s'étouffer en bouffant de grosses couilles.
Mon autre main vient guider Laëlia à descendre d'un niveau pour venir me gober les boules tandis que j'écarte un maximum les cuisses pour lui laisser assez de place. Le plaisir qui en résulte est si intense que je contracte tous les muscles de mon corps pour les garder toutes les deux en place jusqu'au dernier instant.
- Ooooh, putain ! C'est trop bon !
Visiblement emporté par la situation, l'adolescent se découvre un élan de courage et baisse son pantalon pour commencer à se masturber de manière frénétique en gémissant bruyamment comme un porc en rut.
- Urrrrrrgh ! Kuuuuuh !
Tourner mon regard dans sa direction m'a fait perdre ma concentration une brève seconde. Cet instant a suffit à me faire lâcher prise alors que je sens mon corps entier se contracter dans un orgasme dévastateur qui explose dans la bouche de Yor dont je garde le visage vissé sur ma queue tandis que je lâche mon emprise sur sa partenaire.
Mon éjaculation dure de longues secondes alors que je soupire à mon tour comme un animal. Un large frisson me parcoure même la colonne vertébrale quand je finis par lâcher la tête de Yor pour voir plusieurs jets s'abattre sur son visage innocent après lui avoir retapé l'oseophage.
-
Je dois dire que ce petit échange particulièrement humide et sauvage a tout pour me plaire. Une belle queue qui s'excite entre mes seins pendant qu'une langue chaude et des doigts aventuriers explorent mes orifices. Il n'en faudrait pas plus pour me faire mouiller comme une petite salope !
J'accueille la salive du beau garçon avec un sourire et lubrifie d'avantage encore son membre en jouant avec ma langue qui lèche le bout de son sexe.
Puis la voix de Yor fait clairement comprendre à tout le monde qu'elle a envie de se faire enfiler et elle obéit à ce ton autoritaire et se retrouve bien vite avec une grosse bite dans la bouche, celle de celui qui la contraint à se faire baiser la bouche sans ménagement. Mais je vois bien que la coquine adore ça et je l'observe avec envie, prête à m'amuser à nouveau avec son corps.
Sauf que je suis rapidement rappelée entre les cuisses du propriétaire de cette belle bite pour m'occuper de ses boules remplies de foutre, je ne me fais pas prier et me met à les lécher avidement à tour de rôle avant de les gober ce qui a pour effet de le faire se contracter.
J'observe d'un coin de l'oeil le gamin qui ne semble plus pouvoir résister à ce merveilleux spectacle et qui se libère de son pantalon pour astiquer sa petite queue en soufflant bruyamment. Il ne lui en faudra sans doute pas beaucoup pour éjaculer et je l'invite d'une main à s'approcher.
Il s'approche de Yor et moi et se met à jouir sur mon visage au même moment où la belle se fait aussi asperger de sperme. Nous voila toutes les deux le visage pleine de foutre. Quelle délicieuse vision !
- Eh bien les garçons... vous aviez les couilles bien pleines il faut croire...
Je lance un regard complice et amusé à ma camarade de jeu tandis que le jeune garçon peine à se remettre de ses émotions. Il reste là, immobile à observer le tableau. Je dois dire que tout ceci m'a bien échauffée moi aussi et que j'ai bien envie de me faire enculer et baiser ! Nos têtes maintenant libérées, je viens lécher le sperme qui a atterrit sur le visage de Yor avant de venir chercher ses lèvres pour partager un peu ce fluide épais.
Mes mains reviennent parcourir son corps avec envie, le temps que les deux mâles se remettent de leurs émotions et je frotte mon bassin contre le sien, venant même porter un doigt plein de ma cyprine à ses lèvres lorsque notre baiser prend fin.
- Hmmm... lèche moi ça ma belle... c'est tout l'effet que tu m'as fait avec ta petite langue de chaudasse...
J'entendais bien provoquer nos deux hommes pour les inciter à nous prendre sauvagement. Je sentais d'ailleurs que Yor était dans le même état que moi, prête à se faire défoncer bien comme il faut.
-
On dirait que la situation dérape un peu plus encore, et ça bien malgré moi…
… non, je plaisante. Comme mes deux partenaires, je fais presque tout pour que la température monte encore et encore… jusqu’à l’explosion. Et par explosion, je veux bien entendu dire éjaculation. Et j’ai dans l’idée que ça ne va pas tarder…
Je me fais gentiment rappeler par Monsieur, qui a visiblement entendu mon appel me détresse et cherche une bouche à baiser. Ca tombe bien, les gorges profondes ne sont pas un problème pour nous les nyoras ! Et clairement, il en profite bien : après avoir démontré à l’ado que sa queue était clairement trop longue pour se contenter de ma bouche, il m’utilise comme un jouet et me la fait intégralement gober. Je la sens se glisser dans ma gorge, et je me demande même si elle ne se déforme pas sous la pression…
« Hmmf gmmmf… »
Je me fais bien baiser la gueule, comme je l’aime ! Il explique à notre spectateur que je suis une chienne qui aime se faire défoncer la gorge. C’est partiellement vrai : en fait, j’aime me faire défoncer tout court, peu importe l’orifice.
J’entends quelques pas et du coin de l’œil j’aperçois l’ado, qui vient s’astiquer à côté de nous. Ah bah voilà, enfin il prend son courage en main ! Et sa bite dans l’autre !
Mais j’entends aussi un grognement, puis une pulsion dans ma bouche. On dirait que je vais avoir le droit à un festin… ! Alors je resserre mes lèvres et commence à me régaler du flot de foutre qui commence à me remplir la gorge, jusqu’à ce qu’il se décide à sortir sa queue de ma bouche et m’offrir une faciale en bonne et due forme. Génial !
A côté de moi, alors que je me lèche les lèvres avec un grand sourire, je vois que Laëlia a aussi eu le droit à sa giclée. Elle est super mignonne comme ça, la gueule couverte de foutre… mais voilà qu’elle me prend de cours et vient lécher le sperme que j’ai sur le visage avant de m’embrasser. Nos langues commencent à se tourner autour, mélangeant le sperme que nous avons en bouche dans le même temps, alors que nos mains se font à nouveau baladeuses. C’est qu’elles sont géniales ces fesses… !
De son côté, elle vient me présenter ses doigts couverts de sa mouille. J’affiche un grand sourire avant de me mettre à les sucer, la regardant dans les yeux en prenant mon air le plus salope possible. Je suis sûre qu’en cet instant, elle adorerait avoir une queue à me fourrer dans la bouche… je joue le jeu jusqu’au bout, cherchant à exciter ces messieurs.
« C’est un régal… ça me donne envie de te rebouffer la chatte pour avoir la gueule couverte de ta mouille… »
-
Cette première éjaculation qui tapisse le visage de Yor me permet de me sentir un peu plus léger au bout de plusieurs secondes. Faut dire que c'est toujours aussi foutrement bon de se soulager après une période de disette bien trop longue. Laëlia n'a pas idée à quel point mes réserves étaient pleines, même si sa remarque est sûrement là pour nous chauffer vu la salope que c'est.
Les voir se rouler une galoche avec leurs lèvres couvertes de sauce blanche suffit amplement à me garder bien dur et dressé pour passer à la suite. Au contraire du gamin qui pourrait pratiquement laisser de la fumée lui échapper par les oreilles après avoir fait un truc qui devait le faire fantasmer depuis des mois.
Avec le bus qui roule tranquillement, nous devrions arriver en ville dans une bonne grosse demie heure je pense. Il faudra alors compter encore une bonne heure derrière pour le terminus. Pas de temps à perdre donc.
J'attrape ma bite veineuse au gland dégoulinant de sperme pour venir bifler par surprise les deux salopes qui continuent de jouer ensemble alors que je réponds à Yor.
- Tu vas pouvoir te régaler pendant que je l'encule.
Mes doigts viennent de saisir de la chevelure d'ébène de ma cible du moment pour lui faire tourner son visage défiguré par les échanges de fluides en ma direction. Ce qu'elle est bandante dans son état. J'ai juste envie de la prendre par tous les trous sans réfléchir.
- Viens t'installer sur ma bite, salope. Que j'ouvre ton petit cul comme il faut.
Voilà que je l'aide le moins possible pour la voir finir par se place dos contre moi afin d'offrir un accès parfait à sa chatte trempée à son amie qui voulait reprendre son broutage de moquette. Mes mains viennent se saisir de ses gros seins avec lesquels elle m'avait branlé juste avant pour les presser l'un contre l'autre.
Tout ça sous le regard affamé de l'ado qui n'en perd pas une miette.
-
Je me régale d'échanger un baiser plein de sperme et de mélange de fluides avec celle que j'ai bien intention de garder dans mes contacts. Une chaudasse pareille ça court pas les rues ! Puis pour les soirées où je me sens un peu seule, je suis sûre qu'elle saura parfaitement m'occuper... mais elle n'est pas la seule dont j'ai envie de garder le contact !
Notre chanceux du jour, dont la bite est encore bien dressée malgré le fait qu'il vienne de se vider un bon coup semble endurant et avoir des coup de queues à revendre ! Nous nous prenons chacune une belle bifle humide et il décide finalement que c'est de mon cul qu'il va s'occuper en premier.
Je suis excitee comme une puce à l'idée de me faire sodomiser et il me laisse venir chercher sa verge comme une grande, m'obligeant à me mettre dos à lui pour venir m'empaler sur sa bite. Je récupère un peu de cyprine entre les cuisses de Yor non sans lui arracher un nouveau baiser langoureux que je viens étaler sur mon orrifice pour le lubrifier. J'ondule alors du bassin pour venir frotter sa bite entre mes fesses et le positionner à l'entrée de mon petit trou
- Hmmm j'adore me prendre des bites dans le cul... alors lâche toi.
J'étais plutôt du genre à tenir le rythme et encaisser le choc, et je sentais bien qu'il n'allait pas y aller de main morte vu comme il brutalisait déjà mes gros seins. Je jette alors un coup d'œil au visage rougit du jeune adolescent, dont le sexe semblait également reprendre de l'ampleur face au spectacle qui se deroule devant lui. Je lui lance alors :
- Fait pas ton timide tu sais... on a plein de trou à remplir... fait toi plaisir...
Je dévore alors du regard la deuxième propriétaire de "tous ces trous à remplir" avec l'envie brûlante qu'elle vienne glisser sa petite gueule entre mes cuisses :
- Tu peux me bouffer la chatte autant que tu veux ma belle... j'adorerai te voit pleine de mouille...
-
Décidément, ils savent comment réchauffer l’ambiance eux… ! Je ne m’arrête pas d’embrasser Laëlia, en profitant pour déguster le mélange de sperme, cyprine et salive, du moins jusqu’à notre grand garçon nous rappelle qu’il bande toujours autant en nous bifflant, rien que ça ! En voilà un qui sait comment attirer l’attention de salopes comme nous… !
« Oh, j’adore ce programme… »
Bouffer la chatte de ma camarade de jeu pendant qu’elle se fait laminer le cul ? C’est clairement le genre de plan qui me plait, à la grande surprise de probablement personne dans ce bus. D’ailleurs, en plus d’avoir notre invité qui reprend du poil de la bête, j’ai bien l’impression que le couple commence à s’enivrer du spectacle… il faut dire que la femme, qui était scandalisée il y a quelques minutes encore, a maintenant la main dans le pantalon de son mec et inversement.
Mais plus important encore : Laëlia est en train de grimper sur cette belle bite après s’être tartinée le cul de ma mouille. Elle a vraiment de la suite dans les idées ! Je la laisse se placer et s’empaler, non sans dandiner du cul. Une façon de rappeler à l’autre qu’il a champ libre… mais moins directe que celle de mes partenaires !
« T’as pas tort… me faire laminer le cul pendant que tu me gicles dessus, ça serait carrément trop bon… ! »
Je souris à la belle et finit par venir glisser ma tête là où elle est attendue : entre ses cuisses bien écartées, excitée en voyant la queue disparaître entre ses fesses. Le petit veinard, il doit bien prendre son pied ! Mais j’ai moi aussi une mission, et commence à m’en occuper : ma langue vient retrouver ces lèvres, et je la glisse rapidement à l’intérieur en collant mon visage à son intimité. Je le bouge pour ajouter de l’intensité au cunnilingus, en profitant pour sucer son clitoris et pour étaler une partie du sperme qu’il me restait sur le visage sur ses cuisses. Que je suis maladroite… !
-
Un long et agréable soupire s'échappe de ma bouche alors que je sens l’œillet de cette cochonne s'ouvrir lentement pour m'accueillir comme il se doit. La chaleur et l'étroitesse de son rectum me font m'accrocher à ses gros nichons avec encore plus de fermeté durant la première pénétration. La sodomie reste très compliquée en règle générale et avoir une bite aussi grosse n'aide pas car les filles sont souvent en train de se tordre dans tous les sens alors qu'elles me demandent d'arrêter. Mais pas elle. Ses parois annales se referment même davantage alors que sa copine vient lui offrir une session de broute-minou.
- Urrrrrgh !
A côté de nous, l'adolescent semble reprendre du poil de la bête petit à petit à la remarque des deux femmes qui n'ont aucune inhibition. La main accrochée à son sexe et le souffle court, il va pour tenter sa chance auprès de Yor lorsqu'il est légèrement repoussé par un autre homme au sourire large qui bave légèrement. Une main en train de se frotter l'entrejambe.
- Héhé, j'vois qu'on s'amuse bien par là.
Mon regard se lève à cette remarque tandis que je penche légèrement la tête sur le côté pour ne pas avoir les cheveux de Laëlia dans les yeux. A ma grande surprise il s'agit du poivrot qui comatait au premier rang à notre montée dans le bus.
Sans plus de cérémonie, il dégaine une grosse arme plus courte mais plus épaisse que la mienne et dont le gland dégouline déjà avec abondance. Une main le masturbe lentement en continue pour prouver qu'il est prêt à l'emploi et disposer à aider qui le souhaite de se calmer.
Reste à savoir qui viendra lui demander de participer et de quelle façon.
-
Notre homme s'enfonce lentement entre mes chaires et je ne peux retenir un gémissement de plaisir lorsque je sens sa bite forcer le passage et frotter contre mes paroi serrées. Je sens d'ailleurs que sa verge palpite en moi et apprécie cette sensation qui doit lui procurer à lui aussi beaucoup de plaisir.
Mais c'est sans compter sur ma belle salope qui disparait entre mes cuisses pour s'occuper de ma chatte, suçotant mon clitoris qu'elle stimule à la perfection et lorsqu'elle s'amuse à bouger son visage, je viens glisser une main dominatrice sur sa tête pour la coller encore d'avantage contre mon orifice humide. J'adore la voir me bouffer de cette manière et cette vision mêlée aux sensations que tout deux me procurent me font monter en pression. Mon corps se crispe sous le plaisir et mes tétons sont durs et sur le point d'exploser. Ils apprécient d'ailleurs eux aussi le traitement qui leur ai réserver.
La température semble monter de manière générale dans le bus puisque j'aperçois un couple plus loin qui se caresse sans se gêner de nous mater, et le petit jeune semble cette fois-ci déterminer à s'amuser avec autre chose que sa main. Mais il se fait piquer la place par un mec un peu plus louche, dont la bite dégoulinante de pré-sperme et épaisse est prête à servir.
Je lui adresse un petit sourire et il se lèche salement les lèvres en observant la belle qui me dévore la chatte et dont le cul tendu mérite certainement son dû !
- Tu as envie de te joindre à la partie ?
Je n'attends même pas sa réponse et me penche un peu en avant pour venir agripper les fesses de Yor que j'écarte de manière provocante pour l'inviter à venir prendre ce qu'il veut. J'humidifie un peu mes doigts en les suçant devant le poivrot avant de venir en insérer deux dans le cul de Yor pour l'élargir et le travailler un peu, m'amusant à doigter son anus sous le regard ébahit du poivrot qui se mettrai presque à baver.
- Elle a besoin de se faire enculer alors je compte sur toi pour lui défoncer le cul.
Je lui adresse un petit clin d'oeil et l'homme ne se fait pas prier. Il fini de la préparer et vient s'enfoncer en elle sans plus de ménagement pour lui dilater à son tour son petit trou. Tout ce spectacle m'excite beaucoup et les vas et vient de la bite qui est entrain de labourer le mien vont bientôt avoir raison de moi. Je respire difficilement, et mes mains viennent se poser sur celles de celui qui me baise pour s'y agripper.
- Oh oui continue... j'adore comment tu me casses le cul... putain... je vais jouir...!!
Et j'explose dans un orgasme fulgurant, des jets de cyprine venant inonder le visage de la belle déjà bien souillé, tandis que le jeune adolescent a visiblement trouver une autre proie puisqu'il se fait branler par la femme du couple qui s'occupait de son mari juste avant.
-
Qu’est-ce qui est mieux que de bouffer la chatte d’une autre salope ?
Le faire pendant qu’elle se fait sodomiser, en me disant que je vais surement y passer sous peu moi aussi !
En tout cas j’entends que ça s’excite derrière moi, surement le jeune qui se branle en se demandant quel trou il va prendre. Et moi pendant ce temps je me régale de tout ce qui sort de la délicieuse chatte de Laëlia, dont je ne me lasse pas… et je suis sûre qu’elle adore ça vu ses réactions ! Elle prend une très bonne initiative en appuyant ma tête entre ses cuisses, me traitant comme la chienne que je suis : bonne à lécher en dandinant du cul, le visage plein de salive, cyprine et sperme. On dirait que je sors d’une partouze alors que nous ne sommes jusque là que trois, quatre en comptant l’ado… cinq avec un nouvel arrivant ?
Je l’entends prendre ses aises et probablement se branler lui aussi. Que ce soit lui ou le jeune homme qui passe à l’action, peu importe… mais que quelqu’un le fasse ! Et ce quelqu’un n’est autre que la divine salope en qui je plonge ma langue, l’allongeant pour lécher l’intérieur de sa chatte comme elle le mérite. Elle vient m’attraper les fesses et plonger ses doigts en moi, ce qui me fait encore plus mouiller… y’a pas à dire, elle sait s’amuser elle. Je grogne entre ses cuisses, incapable de dire quoique ce soit car il est évidemment hors de question que je sorte ma langue de sa chatte. J’ai bien trop envie de voir jusqu’où je peux la faire allonger avant qu’elle me gicle en plein visage… puis…
« Grrmmmff… »
Le type vient plonger son épaisse queue en moi, sans chercher à me ménager – et c’est tant mieux ! Il s’accroche à mes hanches et se met rapidement à me pilonner comme un sauvage, me faisant couiner de plaisir alors que mon visage est collé contre la chatte de ma partenaire, qui commence d’ailleurs à se contracter… ?
Et là, je l’entends. Non pas le type derrière moi qui me traite de salope et me mets des fessées en disant à quel point il va me bourrer le cul de foutre, mais Laëlia qui annonce qu’elle va jouir. Je la gratifie d’un dernier coup de langue, avant d’ouvrir la bouche de me prendre une vraie douche de cyprine. Quel bonheur… !
« Aaaah ! J’adore… »
Je souris devant ce splendide spectacle et lève les yeux vers elle, tout sourire, avant de sentir une main attraper mes cheveux. Le type en train de me sodomiser tire ma tête en arrière quelques secondes avant de la repousser en avant, droit sur l’intimité dégoulinante. Mais je le sens déjà faiblir, comme s’il s’apprêtait à gicler…
-
L'invitation de la jolie black n'entre pas dans l'oreille d'un soir car la situation évolue bien rapidement à l'arrière de Yor. Ceci dit, je n'ai pas le temps de m'inquiéter de son sort car je sens tout aussi rapidement le rectum qui masse ma grosse queue tendue depuis quelques minutes se contracter dessus. Ses mouvements de hanches qui épousent mes coups de butoir cessent alors un bref instant alors que ses mains se collent sur les miennes et qu'elle se met à gémir de longues secondes.
- Pfouuuuu !
Un long soupir s'échappe de mes lèvres alors que je me retiens de toutes mes forces de me vider également dans son trou. La douce peau de sa poitrine que je caressait est délaissée par mes mains pour venir se saisir de ses pointes dressées et les presser de toutes mes forces par mon corps qui cherche la moindre distraction.
Quelques secondes qui semblent durer des minutes passent et je prends l'initiative de me redresser en l'emmenant avec moi quitte à bousculer l'autre duo au passage. Je soulève Laëlia sans difficulté pour la faire se poser les genoux sur le siège de face et les nichons qui s'enfoncent dans le haut du siège sur lequel je pose mes mains pour avoir un appui solide.
- J'vais tellement le défoncer que plus aucune autre bite pourra entrer dans ton cul.
Comme pour illustrer mon propos, mon bassin vient claquer sur son gros pétard. Je sens chaque centimètre de mon membre frétillant d'envie se remettre à écarteler ses chairs comme lors du premier passage. Tout est à refaire à la seule différence que je suis le seul à contrôler le rythme et que je vais la pilonner comme la dernières des putes.
Mes doigts sont scotchés au siège et j'abaisse le bassin juste ce qu'il faut pour que chaque pénétration s'effectue dans un angle en diagonale qui la pousse en avant et légèrement en hauteur. Chaque coup est brutal et rapide pour transformer son trou de balle en trou béant quand je viendrais l'inonder de ma crème gélatineuse dans quelques secondes. Parce que j'ai beau réussi à me retenir durant son orgasme... le mien n'est plus qu'une question de seconde.
- Ah ! Ouais ! Salope ! J'vois que tu l'aimes mon gros chibre ! T'aimes te faire éclater ton petit cul ?
L'inconnu n'a pas mis longtemps à prendre ses aises avec Yor qu'il sodomise comme un forcené. Et clairement, celle-ci le lui rend bien. Une main sur l'épaule et l'autre sur la gorge de la jeune femme, il termine par se lâcher dans son trou dans un râle de plaisir qui dure plusieurs secondes. Laissant autant de marques sur la peau de sa victime que dans son oeillet dégoulinant lorsqu'il décide de se retirer.
Cette distraction est de trop car le fait de relâcher brièvement mon attention suffit à faire rompre ma dernière barrière. Ma tête se glisse contre celle de Laëlia dont je souffle de manière grossière à l'oreille alors que mon corps entier se contracte. Un premier jet timide vient tâter le terrain avant que le tsunami ne débarque. Mon corps est victime de spasmes et légères décharges électriques quand je viens donner un dernier coup de rein pour soulever son corps.
Les jets de sperme se succèdent dans son trou qui semble se remplir si rapidement étant donné que je sens du sperme dégouliner sur la hampe de ma bite. Sans réfléchir, je viens lui redonner un, deux, puis trois coups de rein pour tenter de pousser mon sperme encore plus loin dans son conduit en respirant toujours aussi fort contre la peau de son visage.
- Putain... T'as vraiment un cul d'enfer.
Un son humide des plus dégoûtant accompagne le retrait de mon membre suintant de son orifice que je viens d'écarteler tandis que je la laisse la belle black dans sa position pour me retourner en direction de Yor.
- Vaudrait mieux que tu te grouille, sinon elle va tâcher les sièges.
La remarque est accompagnée d'un geste du visage pour lui faire voir que mon sperme commence déjà à couler pour venir tomber sur le siège qui est sous ma victime de l'instant précédent. Quant à moi, je fais le tour et attrape les poignées qui sont suspendues depuis le plafond du bus pour présenter ma queue crade à celle qui se l'est prise il y a quelques instants à peine. Les couilles vidées au niveau de sa bouche, histoire que notre cocktail de fluide lui remplisse d'abord les narines.
- Tu vas pas me laisser comme ça, bouche à bite ?
Si je ne trompe pas, c'est elle-même qui disait ne pas avoir de problème avec cet adorable surnom. Alors autant en profiter.
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Notre dérapage est entrain de se transformer en veritable orgie et je ne me lasse pas de sentir la langue de la belle gigoter à l'intérieur de mon vagin, tandis que mon trou du cul se fait lentement écartelé et qu'elle s'apprête elle aussi à se faire sodomiser.
Toute cette action devient de plus en plus bruyante et chacun souffle ou gémis son plaisir tandis que la moitié du bus observe, avec plaisir ou non le spectacle qu'ils sont obligés d'admirer. Je fais d'ailleurs de plus en plus de bruit et mes cris prennent de l'ampleur alors que je fini par jouir comme une salope, arrosant Yor de cyprine et plaquant même mon bassin contre son visage pour être certaine qu'elle se prenne une bonne douche.
J'observe avec un sourire satisfait son petit air de traînée et le type qui tente de la dominer me donne une vision délicieuse, il l'encule comme un animal, agrippant ses hanches comme un forcené, venant attraper ses cheveux pour lui imposer son rythme et refermant par moment sa main autour de sa gorge pour la sentir sous son contrôle.
- Ouch tu prends chère ma belle... je vois d'ici ton gros cul se faire maltraiter...
Mon rectum achève de se contracter sur la grosse bite qui me pénètre mais il semble en vouloir plus et me positionne maintenant dos à lui, prêt à me labourrer le cul à nouveau et bien comme il faut. Je l'encourage bien sûr d'une voix suave et enrouée de l'orgasme que j'ai eu plus tôt :
- Hmmm c'est un programme qui me plaît bien... defonce moi autant que tu veux ta grosse bite est une merveille...
Et il ne fait pas semblant ! Sa queue se met à me déboîter le cul, s'enfoncant dans un rythme sauvage et brutal, je le sens coulisser dans mon orrifice qui s'élargit de plus en plus sous ses coups de butoirs, son pieu se contractant et pulsant de plus en plus en moi. Je couine sous ses assauts jusqu'à ce qu'il vienne se vider entièrement, se déversant pleinement à tel point que son sperme cherche déjà à s'échapper.
Le sauvage d'à côté se met lui aussi à ejaculer tout en maintenant fermement Yor, laissant des marques de morsure dans son dos il fini même par arroser copieusement son cul bien ferme de sorte qu'elle ressemble maintenant à une vrai serpillière pleine de fluides corporels.
- On dirait une vraie salope...
Je dégouline moi aussi de sperme et mon petit trou est totalement béant et dilaté, alors qu'il vient se placer face à moi pour écraser ses couilles sur mon visage et m'imposer sa bite pour que je m'occupe à nouveau d'elle. Je lui adresse un sourire pour le moins érotique et me met à lecher son gland avec envie, le mélange fort de son foutre et ma cyprine enivrant mes narines.
- Bien sur que non... j'adore aussi bouffer de la bite.
Et je me met à le sucer avec envie, prenant soin de bien nettoyer son sexe, le faisant aller et venir lentement entre mes lèvres tout en prenant soin de l'enfoncer dans ma gorge.
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Il ne faut pas longtemps au nouveau challenger pour céder aux paroles de Laëlia et venir plonger son épaisse queue dans mon petit cul pour le moment étroit… j’ai dans l’idée qu’il ne va bientôt plus l’être ! Et en effet, après une petite minute, je le sens déjà étiré tant le type y va comme un bourrin : il n’en a rien à foutre de mon plaisir, même si j’en prends, et il veut juste baiser une chienne sans retenir ses coups de rein et il fait ça très bien pour un gars qui a un coup dans le nez !
De l’autre côté, la délicieuse et dégoulinante chatte de ma camarade d’orgie me quitte quand notre partenaire décide de la déplacer, sans doute pour se donner quelques secondes de répits avant de reprendre le pilonnage de ce cul parfait et bandant… et il aurait tort de se priver, car elle ne demande clairement que ça !
Et pour moi, l’action continue : maintenant qu’il ne peut plus plonger ma tête entre les cuisses de la belle, il me tient par la gorge tout en continuant de me ravager le cul. Mais ce qui doit arriver arrive : il ne se retient pas longtemps avant de déverser une rivière de foutre dans mon cul, et finit par se relever en me mettant une autre fessée et en me traitant à nouveau de pute. Quel charmeur !
Mais, plus surprenant, la distraction fait que notre étalon se met à gicler lui aussi. Oups ? Non, car quand il a finit de remplir le cul de Laëlia de foutre c’est tout naturellement qu’il me demande de venir nettoyer ça… à sa façon. Je souris devant cette vue de rêve – franchement, un cul comme ça dégoulinant de sperme, ça me donne juste envie de m’en faire pousser une et de lui passer dessus à mon tour ! Mais là je suis à peu près sage, alors je me contente de plonger dessus tête la tête et de poser mes mains sur ses fesses bien rondes.
« Il t’a pas ratée ma belle… sacré spectacle, ça donne faim… »
Je ris et fais glisser ma langue le long de ses fesses, récupérant le sperme qui coule déjà au passage, avant de lécher ce cul si excitant. Je glisse l’une de mes mains plus bas, venant jouer avec sa chatte toujours brûlante… tant qu’à m’amuser avec, autant faire ça bien ! D’autant que l’alcoolo est déjà assis sur un fauteuil à moitié endormi… les mecs et l’alcool franchement…
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Notre trio qui a temporairement évolué est rejoint par le couple et l'adolescent sans même que je ne m'en rende compte. Il faut dire que mon attention est entièrement offerte à Laëlia qui prend son temps pour soigneusement me nettoyer la queue tout en se régalant à en juger par son expression. Autant dire que l'on risque vite de se retrouver à l'étroit dans notre petit coin.
Le poivrot dans les vapes, nous voilà à former un petit groupe de six personnes avec un ratio hommes/femmes parfaitement proportionnel. A ma grande surprise, c'est la femme à l'apparence coincée qui prend la parole en proposant quelque chose d'inattendu.
- Je... Seigneur, que c'est embarrassant.
Le fait d'être à moitié nue et entre son mari et l'adolescent semble moins la déranger que sa demande. Mais prenant son courage à deux mains, elle se racle la gorge un bon coup et se reprend.
- Mon mari... A toujours eu envie d'essayer la sodomie. Mais ce n'est pas pour moi, alors...
Autant dire que le bonhomme ne pouvait pas mieux tomber avec ces deux salopes en manque. Ma main jusque là glissée dans les cheveux de la jolie métisse qui me fait reluire le frein lâche sa prise pour m'aider à attraper une barre de métal pour redescendre au niveau du sol sans me casser la gueule.
Très rapidement, je fais le tour de mon siège pour revenir à ma place initiale pour retourner auprès de mes deux pépites du soir.
- Ca tente l'une de vous ?
Je leur laisse à peine le temps de la réflexion en venant pimenter davantage la situation pour voir comment elles réagiront. Dans un coin de ma tête je me doute déjà de leur réponse car je commence à bien les cerner. Ces amatrices de sensations fortes ne seront sûrement pas contre l'idée qui va suivre.
- On pourrait même aller plus loin. Celle qui en a envie pourrait se faire le mari et le petit jeune en même temps.
Cela me laisserait un peu de temps pour récupérer et venir m'occuper de la chatte de l'une d'elle avant qu'on arrive à destination. Quelques coups d’œils ici et là m'ont permis de vérifier que le conducteur doit être impatient d'arriver au terminus pour participer à la fête également.
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Je m'applique à sucer la bite qui coulisse entre mes lèvres avec beaucoup entrain, ma langue s'amusant d'ailleurs à lecher tout ce qu'elle peut je fini par le prendre en bouche pour l'enfoncer au fond de ma gorge, lui laissant le plaisir de goûter à une belle gorge profonde jusqu'à ce que la belle Yor vienne glisser sa langue entre mes deux grosses fesses.
Y a pas à dire, décidément elle sait y faire ! Je la laisse me dévorer avec plaisir tandis que du sperme ne cesse de couler de mon orrifice dilater, espérant que ce trajet ne se termine jamais tellement j'aime tout ce petit manege qui se déroule à l'intérieur de ce bus. Bus qui devrait bientot arriver a destinatiln d'ailleurs.
J'apprécie particulièrement de me faire bouffer mon cul dégoulinant et gémis d'ailleurs malgré la queue enfoncée dans ma bouche, jusqu'à ce qu'il la retire lorsque la fausse sainte-nitouche propose carrément à son mari de tenter la fameuse sodomie.
Un sourire etire mes lèvres face à cette révélation et mon regard se pose instantanément sur le membre dressé de l'homme qui palpite d'impatience à l'idée de s'enfoncer dans l'un de nos derrières.
Mais c'est que notre gentleman a de la suite dans les idées ! Il nous propose une très tentante double penetration et je dois bien avouer que cette idée me faire mouiller comme une petite folle, ce qui ne doit pas échapper à Yor dans le visage risque d'être encore plus trempé...
- Oh oui c'est une bonne idée... j'ai très envie de deux belles bites qui me prennent en même temps... je suis sûre que Yor aussi d'ailleurs, hein ma petite salope...
Et pour montrer à quel point cette idée me tente, je viens me caresser les seins, les pressant l'un contre l'autre face au mari et à l'ado qui semblent déjà sur le point d'exploser face aux spectacle qui s'offre à eux...
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Que c’est inattendu ! Non contente de tripoter son mari et le jeune homme alors qu’elle râlait encore il y a peu, madame je-sais-pas-comment nous rejoint avec ses deux étalons. Et encore mieux, elle annonce que son mari voudrait tenter la sodomie mais qu’elle n’ai vraiment pas partante… sous entendant donc que l’une de nous va y passer.
Est-ce que ça sera moi ou Laëlia ? Mystère ! Mais notre étalon à nous a lui aussi une idée et pimente la chose : celle qui offrira à monsieur son cul aura aussi le droit de chevaucher le petit jeune en même temps, s’offrant une double pénétration. Ce qui veut aussi dire que l’autre passera du temps avec notre premier amant…
« T’as raison Laëlia, plus y’en a plus je m’amuse… »
Je souris au trio, avant de venir me glisser au côté de ma partenaire et glisser une main entre ses cuisses pour la doigter.
« Hmm… t’as l’air bien chaude et dégoulinante… je vais peut-être te les laisser… ? J’ai envie de te voir te faire baiser des deux côtés… »
Je ricane et dépose un baiser sur sa joue encore partiellement couverte de divers fluides, avant de faire un clin d’œil à madame. Si son mari et l’autre garçon s’occupe de Laëlia, elle va avoir les mains et le corps libre…
« Et toi chérie, t’as déjà passé du temps avec une autre femme… ? »
Je tourne mon regard vers celui qui a laminé le cul de Laëlia et semble se reposer quelques instants. Je lui fais un petit clin d’œil, ajoutant :
« Enfin, je suis sûre que ça ne sera pas totalement incompatible avec ce que tu as prévu... »
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La phrase de Laëlia a pour effet de faire dresser encore plus les tiges des deux personnages qui semblent avoir un mal fou à ne pas lui sauter dessus dans la seconde comme des animaux en rut. Le mari se tourne vers sa femme qui lui tend une capote pour en faire de même avec l'adolescent.
- Tu n'iras nulle part sans ça.
Celle-ci a beau lui laisser réaliser un de ses plus gros fantasmes, elle ne tient pas à prendre plus de risque que nécessaire dans son esprit. L'adolescent, lui, retient une once de déception sur son regard avant d'obéir et de s'équiper en conséquence pour rejoindre la belle métisse.
Reste à savoir qui ira où dans ce trio qui s'annonce bien chaud avec une partenaire comme elle.
De son côté, la femme qui n'avait pas répondu tout de suite à Yor par gêne lui annonce qu'elle n'a eu aucune expérience avec une autre femme même si il est arrivé d'en embrasser une ou deux à l'époque où elle était étudiante.
En les regardant s'approcher l'une de l'autre pour voir ce que Yor a en tête, je lui lâche en ricanant légèrement tout en prenant une voix innocente.
- Moi ? J'ai rien prévu de spécial en dehors de te remplir la chatte le moment venu.
Bite à la main et fesses posées sur un siège libre, je m'astique très lentement en observant les deux spectacles qui me sont offerts. C'est fou de voir que je suis toujours aussi dur et tremblant de ce côté après ce que je leur ai lâché à la face ou dans le cul de Laëlia.
Ce n'est qu'une fois assis et presque isolé que je commence à sentir la fatigue m'attaquer. Je n'avais pas remarqué non plus que ma gorge était sèche depuis de longues minutes. De toute façon cela ne me pose pas de réel problème pour poursuivre cette folle nuit.
Puis, au bout de cinq minutes, le chauffeur se met à hausser la voix pour non annoncer que l'on arriverait à destination dans une vingtaine de minutes au plus tard.
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J'observe avec gourmandise les deux belles queues qui ne demandent qu'à me prendre chacun d'un côté avant d'adresser un clin d'œil à l'adolescent et à l'homme marié, m'amusant avec mes seins afin de maintenir la pression à son maximum. Je m'amuse de les voir s'équiper d'un préservatif sous les directives de l'épouse timide et souris intérieurement de sa réaction lorsque Yor l'interroge sur ses expériences avec d'autres femmes. Pour ma part, la timidité, c'est pas trop mon fort ! J'enchaine alors :
- Alors les garçons...? J'espère que vous avez un peu d'endurance car je vous attend...
L'époux demande une dernière autorisation du regard à sa femme et vient se placer en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire entre mes fesses, me décalant pour pouvoir laisser le champs libre à ma chatte de se faire prendre elle aussi. Le coquin et impatient ne tient plus et je sens sa bite palpitante d'excitation s'enfoncer d'un coup bien sec dans mon anus ! Il m'arrache un râle de plaisir qui incite le jeune adolescent à venir se joindre à nous pour venir me titiller le vagin. Il se sent certainement un peu pousser des ailes puisqu'il me lance :
- Raaah... je vais te baiser bien fort! comme une chienne !
Et sans plus de ménagement, il vient s'enfoncer entre mes chaires pour se mettre à agiter son bassin comme un forcené. Les deux hommes ne me ménagent pas et me traitent comme un objet, ce qui ne manque pas de m'exciter encore d'avantage, je ne cesse de gémir de plus en plus fort pendant que l'un vient agripper mes seins et l'autre vient écarter mes fesses pour s'y enfoncer aussi profondément qu'il le peut.
- Aaah quel bonheur... continuez... c'est trop bon...
La voix lointaine du conducteur m'interpelle et je comprends que ce petit échange incroyablement salace va bientôt prendre fin, alors j'ai bien l'intention de profiter au maxium des coups de queue que je me prends !
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Je vois tout ce beau monde s’agiter avec plaisir…
Notre étalon est toujours bien dressé et s’assure de le rester, les deux mecs enfilent une capote à la demande de madame, et elle-même semble se laisser aller et m’approcher quand je commence à lui parler. J’adore ce genre de femmes au club, c’est le genre à qui j’offre une belle verge pour leur faire oublier celle de leur mari… mais je vais devoir être plus sage cette fois-ci !
Je l’attrape par la main pour la tirer à moi et recule pour me retrouver juste devant notre beau gosse, dandinant du cul pour m’assurer qu’il reste dur et ne se gène pas pour venir me remplir la chatte pour le citer. Et accessoirement, je roule une pelle à la dame en la serrant contre moi pour guetter ses réactions. Elle se tend durant deux secondes avant de se laisser aller, retrouvant peut-être une partie de ses réflexes d’ancienne étudiante, avant d’entendre son mari et le jeune garçon commencer à baiser Laëlia. Un petit sourire pervers sur les lèvres, je lui murmure :
« Envie de voir ton mari sodomiser une chienne… ? »
Elle rougirait sans doute si elle n’était pas déjà dans tous ses états, et je l’incite à se tourner avant de me coller à son dos. Une main autour de son bassin, qui finira vite par remonter et jouer avec ses seins, et l’autre entre ses cuisses pour la caresser, je viens poser ma tête sur son épaule et donne un coup de langue dans son cou.
« Tu as déjà eu le droit à un tel traitement… ? Deux hommes pour toi seule ? »
Je la laisse s’imaginer la chose tandis que le chauffeur annonce notre arrivée prochaine au terminus. Déjà ? Ça passe toujours trop vite les orgies, c’est fou ça. Je décide donc d’accélérer la cadence avec ma jolie femme mariée, et glisse deux doigts en elle pour la travailler.
« Et tu n’aurais pas quelques envies à assouvir toi aussi ? Si c’est le cas… »
Je lui murmure quelques mots discrets à l’oreille, le nom du club pour être plus exacte, là où elle pourra peut-être ou peut-être pas se désinhiber totalement si l’envie lui prend.
Puis, consciente qu’il est le seul à s’occuper de lui tout seul, je recule mon bassin et donne un coup de fesses sur la verge de notre étalon qui bande encore malgré tout ce qu’il a balancé dans et sur Laëlia.
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L'adolescent tout timide se sent comme investi d'une mission sous les provocations et regards coquins offerts par la pulpeuse Laëlia. Se faire aspirer goulûment par la chatte avide qui lui est offerte sur un plateau le fait soupirer de longues secondes tandis que sa trique se fait écraser dans la foulée. Le genre de sensation qui ferait trembler comme une feuille n'importe quel puceau. Et pourtant cela ne l'arrête pas. Les hanches du jeune homme se mettent à remuer de toutes leurs forces comme pour empêcher son cerveau de trop réfléchir.
Faute de prise pour pouvoir maintenir sa position, ses deux mains viennent s'agripper avec poigne les deux énormes melons qui s'agitaient sous ses yeux depuis tout à l'heure sans même chercher à savoir si il lui fait mal au passage.
Le spectacle est assez divertissant depuis mon siège même si je n'y participe pas. A en juger par le visage défiguré de plaisir de Laëlia, celle-ci s'éclate... ou se fait éclater comme une folle. Mais je ne suis pas en reste avec un second duo improvisé face à moi. Toute cette énergie sexuelle qui déborde du bus me fait rester dur et gonflé à l'idée de venir m'amuser avec Yor cette fois. Je me penche même en avant pour venir déposer une claque sur son cul qu'elle s'amuse à faire remuer sou mes yeux avant de me remettre le dos contre mon siège pour les regarder jouer ensemble.
« Envie de voir ton mari sodomiser une chienne… ? »
Comment ? Euh, je...
La situation et la prise d'initiative de Yor prennent la femme de court qui ne sait plus ni où donner du regard, ni de la tête. Tout ce qu'elle peut faire pour le moment c'est se laissé guider.
Elle n'a pas non plus le temps de répondre à la question suivante malgré les secondes passées à y réfléchir vu son regard fuyant lorsque le chauffeur nous indique que le trajet risque bientôt d'arriver à sa fin. Une remarque suivie par de longs et surprenants gémissements de la part de l'inconnue qui se fait doigter en règle par sa camarade de jeu.
Tranquillement en train de me branler tout en admirant le spectacle, je suis interrompu par un coup de cul sur mon gland chaud et dégoulinant de liquide.
- Ma bite te manque déjà ?
Une question purement rhétorique quand on connait un peu la bête qui se trouve en face de moi. Une main revient faire claquer son gros cul pendant que l'autre vient chercher ses cuisses pour les ouvrir tout en tirant son corps vers le mien.
Avec tout autant de délicatesse, je viens la soulever légèrement pour me retrouver avec son dos collé contre mon torse et la queue tendue dont la tige veinée et pulsante se frotte sur toute la longueur contre ses lèvres humides.
Mon regard se tourne ensuite vers la femme mariée à qui je lance un petit défi.
- Yor embrasse bien. Tu devrais essayer.
En la voyant hésiter, je glisse deux doigts dans la bouche de la cochonne précédemment citée pour motiver l'inconnue. Ou peut-être que Yor viendra tirer à elle sa nouvelle amie pour accélérer les choses. Toujours est-il que je ne bougerai pas le petit doigt pour voir comment elles vont réagir toutes les deux par la suite.
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Je tente de profiter de chaque instant avant que notre petite orgie ne prenne fin, et ce n'est pas les deux hommes entrain de me tringler chacun d'un côté qui diront faire le contraire. Ils sont tellement excités que je sens bien qu'ils ne risquent pas de tenir bien longtemps.
Je prends néanmoins mon pied autant que possible et ne me gène pas de crier mon plaisir à qui veut l'entendre. J'observe du coin de l'œil le petit manège avec la femme mariée et me lèche les lèvres lorsque j'observe les doigts de Yor s'insérer en elle pour lui arracher quelques gémissements surpris.
C'est d'ailleurs son mari qui fini par lâcher la purée en premier et je le sens se contracter à l'intérieur de mon cul avant d'exploser dans un bruyant soupir de plaisir. Le jeune homme ne tarde pas à le suivre et il s'agrippe comme un forcené à mes seins qu'il ne semble plus vouloir quitter. Tous deux achèvent de se déchainer pour se retirer, épuisés, et se laisser tomber chacun sur un siège en reprenant son souffle.
- C'était intense... j'espère que vous avez aimer...
Les deux hochent la tête et je leur adresse à chacun un petit clin d'oeil. L'homme marié semble néanmoins reprendre du poil de la bête lorsqu'il observe le traitement qui est réservé à sa femme. Il redevient dur et reste obnubilé par les doigts de Yor qui vont et viennent à l'intérieur de sa chatte désormais humide. Pas de doute que ces deux-là vont bien s'amuser en rentrant chez eux !
C'est d'ailleurs le terminal qui nous guette lorsque le conducteur de bus fait ralentir la machine. Nous sommes sur le point d'arriver et il s'agit probablement du dernier round. J'observe avec envie la deuxième cochonne empaler son cul sur la queue de Souta et guette la réaction de la femme mariée. J'espère bien qu'elle va profiter de ce petit jeu pour s'adonner à de nouveau plaisirs.
Une chose est sûre, son mari en réclame d'avantage puisqu'il vient se glisser dans le dos de sa femme pour venir lui caresser les seins, sa queue qu'il a auparavant libéré du préservatif usagé se faufilant l'air de rien entre les fesses de son petit cul vierge.
- Profitez-en... c'est pas tous les jours qu'une opportunité comme ça nous tombe dessus...
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Je m’amuse bien à chauffer ce joli bout de femme, même si elle est déjà brûlante de désir. Je le sens bien avec mes doigts plongés dans sa fente humide et bouillonante… et j’en rajoute en lui murmurant quelques mots, de quoi pousser son esprit à imaginer des situations encore plus dépravées…
… puis je viens donner un coup de fesse à notre étalon, qui n’a plus sa jolie Laëlia pour encaisser ses coups de rein.
« Elle a eu l’air de bien prendre son pied, j’ai bien envie d’essayer aussi ! »
Mais bien entendu je m’assure que ma nouvelle conquête suive le mouvement. Il m’installe sur lui, sa queue prête à un énième round fièrement dressée contre ma chatte. Inutile de préciser que je me frotte déjà contre, prête à l’accueillir en moi… lui me complimente à sa façon pour inciter la dame à nous rejoindre, ce qui me fait sourire.
« Pas que, mais oui… disons que ma langue fait des miracles. »
Je lui fais un clin d’œil plein de sous-entendus, avant de glisser une main entre mes cuisses et pousser le membre rigide dans ma chatte. Aaah… parfait ! Elle glisse avec facilité en moi, il faut dire que nous sommes tous les deux bien… lubrifiés… et je souris à la femme dont le mari est revenu. Je penche la tête pour regarder Laëlia et lui sourit, avant de me mettre à remuer mes hanches et chevaucher la queue enfouie en moi.
« T’as déjà… léchés une queue et un clitoris en un seul mouvement de langue ? C’est le moment d’essayer… »
L’offre s’adresse tout aussi bien à Laëlia qu’à la femme mariée, même si je suis presque sûre qu’une d’elle a déjà eu l’occasion de pratiquer ça ! Et de mon côté, je n’aurais bien sûr aucune objection à avoir leurs deux jolis visages glissés entre mes cuisses. En tout cas avec le terminus qui approche j’espère qu’elles ne vont pas y réfléchir à deux fois…
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On pourrait penser que je serais devenu insensible après avoir passé autant de temps à me glisser dans les divers trous qui m'ont été généreusement offerts durant le trajet alors que pas du tout. Un long frisson de plaisir me parcours alors que je sens Yor s'empaler sur ma queue tout doucement tout en chauffant ses deux nouvelles meilleures amies.
- Je... Euh... Non, jamais. laissé échapper la femme, gênée, avant de lâcher un petit couinement de surprise à l'arrivée de son mari bien déterminer à venir explorer sa rondelle maintenant qu'il a pu découvrir ce nouveau plaisir grâce à Laëlia.
La surprise et le choc sont tels qu'elle n'arrive même plus à produire le moindre son, trop occupée à chercher de l'air suite à cette sodomie assez soudaine.
Pendant ce temps le chauffeur effectue un dernier virage tout en douceur pour garer le bus en laissant les portes fermées pour le moment. Le bonhomme doit probablement vouloir un pourboire pour sa conduite parfaite en plus de sa compréhension vu le manège qui s'est déroulé à proximité de lui tout ce temps.
Je peux déjà le voir retirer sa ceinture et faire tomber son pantalon pour l'enlever en se frottant le caleçon avec vigueur tout en bavant sur le cul de la belle black qui est sur le point de se prendre une main au panier sans comprendre ce qui lui arrive.
La seconde qui suit, un membre épais au possible mais assez court sur la longueur vient la pénétrer sans ménagement alors que le chauffeur appuie sur le crâne de la belle pour rejoindre le clitoris de sa camarade de jeu.
- Hooo putain que c'est bon. J'attendais ça depuis tout à l'heure.
Un puissant et sec coup de butoir vient pousser Laëlia en avant de quelques centimètres sous la force de l'homme qui ne compte visiblement pas la ménager. A l'instar du coup qui y va aussi de façon énergique.
Si Yor veut se faire brouter le minou pendant qu'elle chevauche ma bite, cette dernière va devoir faire preuve d'un peu de patience car ses amies seront occupées quelques instants.
Quant à moi, je profite de ce moment pour poser les mains sur le cul de ma salope pour la soulever et la faire retomber sèchement sur ma bite pendant plusieurs minutes histoire de la tenir occupée le temps que la situation évolue comme elle le souhaitait.
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Le trajet touche à sa fin, et pour cause : le bus s’arrête, cette fois-ci définitivement. Mais les portes ne s’ouvrent pas pour autant, car le conducteur a visiblement très très envie de se joindre à la petite sauterie… en même temps il l’a bien mérité, c’est quelque chose de conduire un bus avec autant d’animation sans faire le moindre loupé. Alors forcément, il est tout aussi bien accueillit que les passagers lorsqu’il se joint à nous !
Il opte pour Laelia, ce qui fait que mes deux nouvelles copines se retrouvent occupées : chacune se font baiser comme il faut, et malgré la proximité de leur visage avec ma chatte elles n’ont pas vraiment le temps de venir me lécher. Tant pis ! A la place, je profite très bien de la verge bien enfoncée en moi.
« On dirait… qu’on va devoir se passer de langues pour le moment, hmm ? »
Je ricane tandis que l’homme me soulève et me rabaisse en boucle, me baisant bien comme il faut. On entend régulièrement mes fesses venir claquer sur ses hanches tandis que sa queue vient se glisser au fond de moi avec une facilité déconcertante.
« Te gène pas… si t’as envie de te lâcher… ! »
Avec tout le sperme que je me suis déjà prise, je ne suis pas à une petite éjac’ interne près ! Peut-être même qu’une des deux cochonnes en train de se faire démolir le cul viendra gentiment essuyer tout ce qui coulera de ma chatte après coup ? En tout cas je vois à leurs expressions que les gars sont à leur limite… le chauffeur de bus ralentit comme s’il hésitait à lâcher la sauce à l’intérieur, avant de reprendre de plus belle. Sans doute s’est-il dit, à raison, qu’au point où on en était ça ne dérangerait personne qu’il se fasse plaisir.
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Cette soirée bien dégoulinante de divers fluides corporels approche de sa fin alors que le conducteur se vide allègrement dans le fondement déjà bien esquinté de la jolie créature à la peau d'ébène qui n'en demandait probablement pas tant en montant dans ce car quelques temps plus tôt. L'homme semble être à bout de souffle alors qu'il halète comme un animal en manque alors que son corps se crispe en même temps que son orgasme prend le dessus sur tout le reste.
Les mots doux pleuvent envers sa partenaire qui y trouve autant de plaisir et de satisfaction perverse. De son côté le couple et l'adolescent ne sont pas en reste alors qu'ils lancent leurs dernières forces dans la bataille comme s'ils cherchaient à montrer aux autres qu'ils sont toujours bel et bien présents.
Quant à moi, je ne me prive pas suite à le délicate invitation qui m'est faite par Yor avec laquelle j'ai pu m'amuser plus d'une fois durant cette partouze. Ma bite se faufile désormais avec aisance tout en se frottant à ses parois humides et chaudes qui connaissent parfaitement la taille de ma queue. Entendre la peau brûlante de son petit cul sur mes cuisses augmente mon excitation tandis que ma peau s'enfonce dans la sienne au niveau des hanches alors que je sens la pression augmenter jusqu'à saturation.
Puis ce qui devait arriver... arriva. Une dernière explosion se produit au creux de ses cuisses. Suivis par deux coups de rein qui tentent de venir pousser la généreuse masse gélatineuse qui déborde pour souiller le sol, au fond de son utérus. A l'instant où elle se lèvera, le liquide blanchâtre viendra s'abattre à même le sol dans un sol dégoutant qui brisera le silence uniquement rompu jusqu'ici par les souffles lourds des participants de cette sauterie improvisée.
Les hommes sont épuisés, écroulés sur différents sièges du car avec le membre à l'air dégoulinant, suintant de sperme et de cyprine en fonction du trou par lequel ils viennent de passer pour clore cette danse complètement folle.
Alors que les 3 femmes présentes ont le visage et les cheveux maculés de sperme. Un trou béant pour certaines et donc on peut voir un surplus de sperme s'accumuler quelques centimètres plus bas pour coller à la peau de leurs cuisses.
Je plains d'avance la personne qui devra s'occuper de l'entretien du cas. Même le chauffeur risque de passer un sale quart d'heure le moment venu. Heureusement cette pensée ne lui a pas encore traversé l'esprit vu l'air hébété sur son visage.
Rassasié, je me redresse en posant une main à la base de mon dos pour m'assurer que tout est en place pour ensuite attraper un mouchoir dans ma poche de jean et m'essuyer grossièrement ma queue tout en me rhabillant. Puis je me saisis de mon portable en me tournant vers Yor et Laëlia.
- Donnez-moi vos numéros. Histoire qu'on se refasse un petit truc rien qu'entre nous cette fois.
Les contacts ajoutés, on finit par toutes et tous se séparer avec l'idée de se revoir. Très rapidement sans doute...