« Grrmmff… »
On dirait qu’il commence à comprendre qu’il peut se lâcher comme jamais. Ça, ou il s’en fout si je m’étouffe avec sa queue… mais vu qu’il était plus délicat il y a quelques secondes, je vais opter pour la première théorie. Il se tortille dans tous les sens, venant taper son gland à différents endroits de ma gorge à chaque coup de rein, comme si il cherchait le meilleur moyen de baiser ma bouche et d’en tirer le plus de plaisir possible. J’adore, mais je fronce quand même des sourcils pour faire comme si ce n’était pas le cas… même si je mouille salement et que je bave à outrance.
Puis ce qui doit arriver arrive : il s’arrête soudainement, sa bite bien calée au fin fond de ma gorge et mon visage écrasé contre lui, et se met à éjaculer sans retenu. Le sperme chaud coule à flot et termine dans mon équivalent d’estomac, le remplissant à une vitesse folle. C’est un bon client, et contrairement à d’autre il reste bien enfoui jusqu’au bout. Pas une goutte de gâchée !
Lorsqu’il finit par libérer mes lèvres, je me mets à tousser longuement en mettant ma main devant ma bouche – je ne risque pas de vomir ni rien, mais ça serait vraiment trop louche si je n’avais pas la moindre réaction de ce type. En reprenant ma respiration, je remarque qu’à force de baver je m’en suis foutue partout. Ça donnerait pas mal d’idées à certains ! J’essuie un coup mon menton d’un revers de la main en l’écoutant… me complimenter ? Oui, ça ressemble bien à un compliment ça. Un peu bizarre, mais ça en reste un. Je lève les yeux vers lui, trahissant surement mon appétit avec le regard que je lui lance et le petit sourire en coin que j’affiche, et… tiens, on dirait qu’il a encore de l’énergie !
« … oh ? »
Il me soulève avec facilité, il faut dire que je ne tente pas de résister et qu’on est relativement légères par rapport à des humaines, et me pose sur un fut qui traine là. C’est pas très agréable comme position, surtout avec le froid du métal que je sens très nettement sur ma peau… et je ne touche même pas le sol. Mais il y a du positif aussi : dans cette position, il a une vue imprenable sur mon cul ! En entendant ses mots et en sentant ses mains agripper mes fesses et les écarter d’un coup, je tourne comme je peux la tête pour essayer de voir où il en est.
« Déjà prêt pour un deuxième round ? »
C’est qu’ils ne le sont pas toujours, mais lui a l’air bien endurant ! Et bien dur aussi… je sens déjà son gland essayer de se frayer un chemin dans mon anus, l’écartant au fur et à mesure qu’il en force l’entrée. Moi qui me demandais si il allait me prendre le cul ou la chatte, j’ai ma réponse.
« Oooff… »
Je lâche un long gémissement en serrant les dents, le sentant forcer mon cul sans ménagement. Il est un minimum lubrifié et je suis loin de lutter contre, mais vu la taille de sa queue il doit donner plusieurs coups pour s’y enfoncer un minimum. Il s’arrête durant une fraction de seconde, le temps de mieux se placer – c’est-à-dire me grimper dessus. Merde il est lourd ! Je suis coincée entre le tonneau froid et son corps brulant, ses mains tenant fermement mes épaules, puis d’un coup sec il finit d’investir mon rectum.
« A-… aaaaah putain… ! »
Impossible de réprimer quelques cris et autres couinements, il y va pas de main morte lui ! Je sens sa grosse queue repousser mes parois, luttant contre l’étroitesse de mon cul… et vu comment il souffle, ça doit pas le déranger de se sentir aussi comprimé ! Je me doutais bien qu’il allait apprécier…
« AH ! »
Je crie alors qu’il me pilonne sauvagement, comme si il était possédé ou était devenu un animal avide de sexe. Putain que c’est bon ! J’entends ses hanches et ses couilles taper contre mes fesses à chaque coup qu’il donne et je m’agrippe sur les bords du tonneau de peur de basculer sous la puissance des coups.
« O-oui ! Vas-y ! »
Le masque étant surement tombé, je me contiens pas et hurle mon plaisir. Tant pis si quelqu’un nous entends, au pire ça me fera toujours une autre queue à sucer ! D’autant qu’à ce rythme, je vais surement gicler sous peu… je sens déjà la chaleur monter en moi, prête à exploser, et ma mouille couler sur mes cuisses en abondance…
Maintenant que le masque est tombé, je profite pleinement de cette baise intense et sauvage. Déjà qu’il n’en avait pas grand-chose à foutre de si je prenais mon pied ou non, le fait que je sois clairement excitée a l’air de faire sauter le très peu de retenu qu’il avait encore : j’en viens même à me demander si le tonneau va tenir tant il pilonne mon cul sauvagement, faisant virer mes fesses au rouge tant ses hanches claquent fort dessus. Et je parle pas de l’état de mon cul qui me brûle comme jamais…
Ses bras finissent par relâcher mes épaules pour venir m’enlacer, ce qui pourrait presque être mignon si ce n’était pas pour me défoncer le cul encore plus brutalement. Il a pas tort, là en l’état je me sens comme une chienne en train de se faire passer dessus par une meute ! Et ça ferait de lui l’alpha…
Je sens que mon cul n’offre presque plus la moindre résistance, totalement façonné par l’énorme queue qui continue de s’enfoncer sans retenue en lui. En plus d’être totalement obnubilée par la sensation et le plaisir que je prends, je suis aussi impressionnée par une telle endurance : en général, les mecs giclent vite quand ils me prennent le cul.
Et… il sort finalement sa queue de mon cul brulant, ce qui m’offre quelques secondes de répits mais m’inquiète un peu. Pendant un instant j’ai cru qu’il avait débandé, mais en fait il n’en est rien : il me retourne et se réenfonce en moi d’un coup sec, s’engouffrant facilement dans mon anus béant.
« Oooommmfff… puutain…. ! »
Je crie un coup, à la fois ravie de me faire prendre à nouveau et d’être complimentée. C’est toujours plaisant d’entendre des compliments en pleine action, même si ils sont dit avec des mots crus. Et maintenant il a aussi une vue plongeante sur ma chatte dégoulinante, qui subirait bien le même traitement… j’écarte les jambes à sa demande, lui offrant une plus belle vue encore, alors que mon visage est totalement déformé par le plaisir. Mais ce n’est pas suffisant et il attrape mes jambes, jusqu’à finalement les pousser vers mes épaules et me bloquer dessous alors qu’il me grimpe à nouveau dessus pour anéantir ce qu’il reste de mon cul. C’est carrément trop le pied ! Je me mords les lèvres pour éviter d’hurler et rameuter tout le quartier, mais mon corps lui ne se contient pas et tremble alors que je nous arrose de cyprine en jouissant. Presque dans le même temps, le gars balance la sauce dans ce qu’il reste de mon cul et je sens une vague de chaleur s’y répandre… en grande quantité. Ca va couler pendant un moment, d’autant qu’il continue de me baiser et finit par rebalancer une salve avant de s’effondrer. J’en mène pas plus large, et je commence à avoir du mal à garder les yeux ouverts.
Lorsqu’il se relève et sort sa bite, je me redresse essoufflée et le regarde. Il est tout aussi rouge que moi, faut dire qu’il a tout donné ! Je lui offre un petit sourire, histoire de lui signifier que j’ai bien pris mon pied moi aussi. Mais ce n’est pas encore terminé : mon amant du jour a de la suite dans les idées et me demande de nettoyer sa queue couverte de sperme. Bonne idée ça tiens… ! Il m’attrape pour me remettre à genoux devant lui, ce qui n’est pas trop dur : déjà que j’étais prête à sauter du tonneau, j’ai les jambes en coton pour des raisons évidentes. Il essuie une partie du foutre dans mes cheveux, avant d’engouffrer sa mi-molle dans ma bouche pour que j’enlève le reste. Je le suce avec plaisir, m’assurant de ne pas gâcher une goutte de sperme… bon, je ne parle pas de celui qui sort de mon cul et est en train de couler par terre, lui il restera là !
Lorsqu’il est satisfait par ce nettoyage, il range son instrument de plaisir et sort son téléphone. Je me demande ce qu’il a en tête, et… me demande mon numéro. Dit donc je lui ai fait forte impression on dirait ! Je me relève, sans doute un peu trop facilement vu ce qu’il vient de me mettre, et essuie rapidement mes genoux sur lesquels il y a un peu de crasse. Bon en vrai il va surement falloir que je prenne un bon bain chaud, mais c’est toujours ça de pris…
« Hmm… d’accord on peut faire ça… alors, c’est le… »
Je lui donne mon numéro, regardant l’écran de son portable pour voir si il l’avait bien noté. Si ces potes sont aussi endurants que lui, il y aurait moyen de bien s’amuser ! Je remets un coup mes vêtements en place, même si ils ne cachent pas grand-chose : j’ai du sperme qui coule en abondance sur mes cuisses, et mon haut est à moitié transparent tant on a transpiré. En le replaçant je me souviens qu’il m’avait dit un truc plus tôt, comme quoi on avait des choses à se dire ou quelque chose comme ça… je sais pas s’il s’en souvient, ni si il a l’esprit assez clair pour vraiment discuter, mais je peux toujours demander…
« Au fait… vous vouliez me dire un truc tout à l’heure avant de me baiser ? »