Le Grand Jeu
Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Discussion démarrée par: Freya le vendredi 17 février 2023, 20:04:46
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Après un court mais fructueux séjour au manoir de Freya, la sorcière se remet en route vers le petit royaume d’Urde, au Nord. Sur sa pénible route se posent de nombreuses embûches. Monstres, créatures diverses et bandits guettent les chemins fréquentés. Une simple voyageuse, au joli minois, sera une proie bien facile pour ces cruels bêtes et criminels qui rôdent. Enfin, Brunehilde sait s’extirper d’un mauvais pas mais la vue des conflits l’agace et la fatigue. Prendre un risque stupide ne l’enchante guère.
La solution se trouve d’elle-même : Trouver un mercenaire apte à remplir cette fonction ; il mènera les combats et ouvrira un chemin libre. Pour se faire, un détour à Nexus s’oblige. Elle ne compte se saisir du premier venu, aussi frêle qu’une brindille balayée par le vent. Un guerrier se doit de posséder le physique adéquat : une stature qui ne laisse de doute sur sa force.
Après une journée pénible, Brunehilde rejoint la cité-état, vêtue d’un manteau de neige. L’hiver fait son œuvre ; sa blancheur couvre le sol et les toits des maisons d’un fin voile. Le soleil s’est couché. Seules quelques bougies enfermées dans du verre éclairent les ruelles sombres de la cité. Mais les hommes n’y sont endormis, festoyant et remplissant les caisses des tavernes animées. Le meilleur endroit pour trouver un mercenaire.
Après en avoir visité deux, il est indiqué à la sorcière qu’un puissant guerrier a trouvé refuge dans une auberge voisine. Son imposante carrure a marqué les âmes saoulardes ; ils se sentaient bien minable à côté de cette montagne de muscles.
Alors, elle se met en quête de cet homme qui hante les lèvres des ivrognes et malmène leurs égos fragiles. L’auberge trouvée, les tables sont pleines à cette heure où les ventres commencent à gargouiller. Un pas franchi, dans l’intérieur délicieusement réchauffé d’une cheminée, le lion s’impose parmi les autres voyageurs.
Brunehilde s’approche d’un pas élégant pour tirer l’unique chaise à sa table. Son manteau de fourrure déposé sur son dossier, ses atouts apparaissent, mis en valeur dans sa légère robe noire. Les regards d’inconnus se perdent sur son opulente poitrine dévoilée sous le nez du terranide. Elle dépose ensuite sur la table une bourse remplie d’or.
« J’ai besoin d’une escorte. Je saurais vous récompenser, à la hauteur de vos efforts, annonce-t-elle, sans préambule. »
Aucune mauvaise intention l’anime ; son seul souhait est d’arriver à destination, en évitant tous ennuyeux dangers qui peupleraient leur route. Les combats ne sont pas sa tasse de thé, elle laissera le soin au mercenaire de gérer les assaillants.
Elle sort une première poignée et la dépose une première poignée sur la table.
« Si vous êtes intéressé, vous aurez une première partie de votre paye ce soir et cette nuit… Ses mots laissent présager un avant-goût des extras qu’il recevra, si son travail lui convient. Nous partirons demain. »
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Quand il était en ville, ce n’était pas difficile de trouver l’imposant guerrier nomade qui officiait en temps que mercenaire, il ne faisait halte que le temps de trouver un nouveau contrat et dépensait son argent en alcool et en femme. Ses seuls possessions matériels étaient ses armes et il n’avait besoin de rien de plus dans sa vie, il ne restait jamais bien longtemps au même endroit.
Il était de retour en ville depuis la veille, il revenait d’un voyage au cœur d’Ashnard et le commanditaire l’avait généreusement payé lorsqu’il était revenu avec des artefacts sacré trouvé dans d’anciens temple en ruine. Et comme toujours, cet argent avait servi à faire la tourner des tavernes et auberge, il avait passé toute la journée et la nuit à aller d’établissement en établissement pour boire et vider les stocks d’alcool. Il avait également fait un saut dans un bordel pour s’entourer de présence féminine, il y était resté plusieurs heures en s’offrant les services de plusieurs filles de joie.
A peine était-il sortie du bordel qu’il retourna faire la tournée des tavernes, il n’était pas insensible à l’ivresse mais un colosse comme lui avait besoin d’une quantité phénoménal de liquide avant de ressentir le moindre effet de l’alcool. Le soir venu, il avait déjà vider une dizaine de taverne quand il décida de rentrer à son auberge, il se plaça a une table dans le fond et annonça à l’aubergiste qu’il payait sa tourner. Comme à son habitude, on vint se placer à sa table pour boire avec lui mais également l’entendre parler de ses aventures tant celles en temps que mercenaire que celles avec les femmes avec qui il couchait. Quand Freyord était là, l’ambiance était toujours bonne, à la fois parce qu’il imposait le respect, que les gosiers n’étaient jamais secs en sa présence mais aussi parce que derrière ce carrure colossale se trouvait un homme profondément bienveillant.
Quand une femme vint s’asseoir à sa table, le terranide ne put s’empêcher de regarder ses formes généreuses qui lui était montré et il appela un serveur pour qu’on serve une bière à la nouvelle arrivante avant que celle-ci annonce la raison de sa venue avec comme argument de persuasion une bourse d’or bien remplie :
« Une escorte ? Bien, où voulez-vous aller ? »
Il n’était pas difficile à convaincre, tant que c’était bien payé il n’y avait pas de mission qu’il ne pouvait accomplir et au vue de la quantité d’or qu’on lui agitait sous le nez, la commanditaire était soit extrêmement fortunée soit la route qu’elle voulait empruntée était dangereuse, dans les deux cas, c’était bien assez pour le faire aller n’importe où :
« Je suis votre homme, mademoiselle. Appelez moi Freyord, puisque nous allons passer du temps ensemble. »
Il avait bien compris l’allusion dissimuler derrière le fait d’avoir une avance sur paiement dans la nuit, il aimait les femmes et ne s’en cachait pas vraiment, la luxure était un péché pour lequel il plaidait volontiers coupable :
« Si vous voulez partir demain à la première heure, peut-être faudrait-il s’éclipser dès maintenant pour être prêt dès la première heure. »
La nuit était tombée, cependant il n’était pas si tard que cela mais c’était une manière des plus vantarde de lui indiquer que si elle voulait lui faire une avance en nature, il fallait s’y prendre tôt car il était extrêmement endurant et qu’il pourrait la combler toute la nuit durant.
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« Au Royaume d’Urde. »
Cette simple indication suffit. Le petit pays ne connaît qu’une grande capitale et de rares villages, à l’extérieur de ses murailles. Le mentionner désigne toujours cette unique destination, à la route peu fréquentée. D’autant plus en hiver où le froid et les nuits précoces compliquent le chemin.
A cheval, quatre jours sont requis pour atteindre leur destination. Or avec une telle carrure, Brunehilde a bien du mal à imaginer le destrier du guerrier. S’il en a un. Le temps de trajet ne l’inquiète guère ; elle a trouvé la perle rare et les monstres fuiront devant le mercenaire. Ils profiteront pleinement des nuits.
S’ils sont assez rapides, ils pourront rejoindre une première auberge pour la première. Alors que les suivantes se feront à la belle étoile. Une perspective qui est loin de déplaire à la sorcière, elle n’a guère besoin d’un lit pour s’amuser ou trouver un semblant de repos.
Satisfaite de la vue, le lion convaincu conclut leur accord. Elle lui verse la première poignée d’or, en gage d’acompte. La bourse entière ne lui sera donnée qu’une fois à destination. Un marché plutôt honnête, un paiement généreux pour une simple escorte. Brunehilde ne cherche que l’élite du mercenariat..
« Enchanté, Freyord. Appelez-moi Brunehilde. Nous pouvons d’ailleurs nous tutoyer, si vous êtes d’accord. »
S’enfermer dans les formalités le long du voyage s’avéra vite pénible.
Le serveur apporte la bière commandée. Peu adepte de l’alcool et plus intéressée par la proposition du lion, la sorcière décide de repousser la chope débordante vers lui. Sa chaussure tombe de son pied ; son pied remonte le long de sa jambe musclée, caresse sa cuisse pour se lover contre son pagne. Un sourire amusé fleurit sur les lèvres de la commanditaire.
« Vous avez raison. La nuit va être longue mais manquer de sommeil ne vous gênera pour le chemin à venir ? »
La sorcière se fait impatiente de mesurer son endurance mais ne désire négliger sa protection. La seule présence du lion est suffisante à effrayer les plus téméraires bandits. Alors, elle remet son talon et se lève. Le manteau dans une main, Brunehilde l’invite à lui montrer sa chambre. L’auberge affichant pleine, elle est obligée de partager la chambre du valeureux guerrier.
A peine levé, elle s’étonne de la différence de carrure. La demoiselle avoisine le mètre quatre-vingt et peut-être un peu, perchée sur ses talons. Mais le lion la dépasse ; son ombre imposante domine sa silhouette généreuse. Elle n'est pas impressionnée pour autant et ne se débine dans son désir de le rejoindre.
Les escaliers sont vite montés, avec Brunehilde en tête, dotée d’une démarche sensuelle. Une vue parfaite est offerte au lion sur son joli fessier.
Au sommet des marches du premier étage, deux autres suivent encore, la sorcière s’arrête et se tourne vers le mercenaire. Ils sont à peine dissimulés aux yeux de l’agitation en-dessous. Une main aventureuse se glisse sous le pagne. Les promesses du terranide sont telles qu’il est bien dommage de perdre du temps sur le chemin de sa chambre. Alors que peut-être, un étage ou deux, un long couloir les sépare d’elle, encore.
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La fatigue n’était pas un mot qu’il connaissait, il était un guerrier puissant, entraîné à se battre depuis son plus jeune âge, il avait parcouru une bonne partie du monde pour se rendre à des endroits que la femme ne pouvait imaginer. Il s’était perdu des jours durant dans des dédales antiques, avait veillé pendant des semaines en contrée hostile pour ne pas finir dévoré en pleine nuit alors la remarque de Brunehilde le fit sourire :
« Ne t’inquiète pas pour moi, j’ai vécu nombre de voyage au cours desquels j’ai appris à ne jamais ressentir la fatigue, ce n’est pas une nuit de plaisir qui suffira à avoir raison de moi. »
Puisqu’elle avait repoussée la choppe de bière vers lui, il ne se priva pas pour la descendre d’une traite alors qu’il sent le pied de la demoiselle remonter sur sa jambe jusqu’à son pagne. Une chose est sûr c’est qu’avec elle, il n’allait sûrement pas s’ennuyer, cela changera des voyages où il ne croise pas la moindre femelle pendant des mois.
Il se leva pour la suivre, à coté de ses deux mètres cinquante la femme semblait bien petite malgré qu’elle soit au contraire plutôt grande pour une femme humaine. Le colosse profita de se trouver derrière elle lors de la montée des escaliers pour regarder son fessier, c’est qu’en plus elle l’allumait, c’était de mieux en mieux, c’était rare les femmes avec tant d’assurance devant lui, la différence de gabarit étant souvent source d’appréhension. Il s’arrête au premier étage, manquant de bousculer Brunehilde qui ne continuait pas la montée et préférait se retourner vers lui et passer sa main sous son pagne.
Il la laissa faire afin qu’elle vienne tâter l’énorme membre encore au repos qui sommeille en dessous, évidemment un colosse tel que lui possède des attribut tout aussi colossaux, c’était d’ailleurs effrayant pour les humaines. Il semblait qu’elle n’avait pas envie d’attendre d’être dans la chambre pour commencer, Freyord n’y voyait pas de mal, il s’était déjà livrer aux ébats en public et c’était plutôt excitant. Il s’avança pour l’obliger à reculer jusqu’au mur ou il se pressa contre elle afin qu’elle continue son exploration du membre dissimulé sous le pagne :
« J’espère que ça ne te fait pas peur, les humaines ont souvent du mal avec quelque chose d’aussi imposant. »
Ses énormes mains vinrent se poser sur les flancs de la femme, il aurait pu la broyer si facilement, il se sentait encore plus puissant qu’à l’ordinaire en présence d’humaine. Mais au lieu de cela, il entreprit de libérer ses deux énormes seins qui semblait si… quelconque au prise de mains aussi imposante :
« Tu es sûr de ne pas vouloir attendre ? La chambre est juste au-dessus. »
Bien que ce soit lui qui semblait en position de force dans cette configuration, il lui laissant en réalité le plein de contrôle de la situation, préférant suivre le mouvement et d’agir en conséquence des envies de sa partenaire, cela pouvait s’avérer déroutant lorsque l’on s’attend à ce que le colosse prenne tout en main.
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Savoir le lion capable d’accomplir son devoir malgré un manque de sommeil ne présage que le meilleur pour l’escorte future. La journée sera calme, tandis que la nuit sera l'œuvre de la luxure. La sorcière est plus endurante que sa frêle silhouette ne peut laisser présager. De là à satisfaire l’appétit d’un si grand terranide ? Peut-être pas. Elle mettra en œuvre ses capacités pour répondre à ses attentes. Le savoir réceptif à ses avances ouvertes, si proche de l’animation de l'auberge, éveille ses plus bas instincts.
Ses longs doigts parcourent, caressent et découvrent son imposante stature malgré sa torpeur. Sa seconde main s’y ajoute pour être capable d’entourer le relief imposant. Sous le pagne, elle s’affaire à l’explorer et le cajoler de flatteries. La sorcière y met sa force et des efforts pour l’aider à s’éveiller. Sa taille la surprend mais elle se fait curieuse de la voir élever à son apogée, prête à tenter l’aventure.
« Je me doutais qu’elle correspondait à ta carrure. Elle ne m’effraye, au contraire, elle met à l’épreuve ma patience… »
Un tel homme ne s’est jamais manifesté sur son chemin. Mais Brunehilde est au fait de ce qu’il attend… Pour cette raison, son choix s’est fait si assuré. Elle désire découvrir ce que le puissant félin lui réserve encore.
De ses paumes posées sur ses flancs, il ne lui fallut aucun effort pour libérer sa généreuse poitrine. Un atout dont elle est si fière, qui paraît maintenant ridicule entre ses mains.
« J’ai déjà usé de ma courte patiente pour éviter de commencer notre nuit, sur la table de la taverne. Tu es gêné à l’idée que quelqu’un passe ? »
L’audace de la sorcière n’a que peu d’égal. Avoir un public est loin de la déranger si ses désirs sont satisfaits… Une de ses mains quitte sa virilité pour pousser le pagne et la dévoiler à son regard.
Le couloir n’est illuminé que d’une bougie vacillante. Ainsi, elle n’aperçoit que les grossiers contours de son membre mais la vue est bien suffisante pour songer à la suite dès plus intéressante.
« Si tu es pudique, je peux faire un dernier effort. »
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La pudeur n’est pas quelque chose dont souffre Freyord, ce serait étrange d’être pudique alors que le seul vêtement qu’il porte est un simple pagne, il était pour ainsi dire quasiment nu en toute circonstance. Et puis ce n’était pas comme si quelqu’un pouvait les dissuader de faire leur affaire sur place, personne n’oserait intervenir de peur de s’attirer les foudre du colosse mais également parce que les saoulards encore debout apprécieraient sûrement le spectacle.
Puisque l’humaine voulait voir l’ampleur du monstre qu’il abritait entre ses jambes, il défi sa ceinture pour faire tomber le pagne, l’ensemble heurta le sol avec fracas, la ceinture en métal servant de protection en plus de retenir le simple vêtement. Mais puisqu’il se retrouvait nu, il fallait que Brunehilde le soit également par soucis d’équité et il ne perdit pas de temps pour lui retirer sa robe afin de dévoiler le corps très appréciable de celle qu’il devait escorter le lendemain. Cette vision excitant fit son effet et l’imposant membre de chair commença à se lever, prenant encore plus de volume alors qu’il se durcissait et se tendait :
« Si c’est vraiment ce qui t’excite on peut redescendre pour que je te prenne sur une table à la vue de tous. »
C’était une perspective tentante et il était totalement sérieux en disant cela, pour lui le sexe se devait d’être fait selon notre envie, il n’y avait pas de raison de se bloquer pour une quelconque raison. L’une de ses grosses mains commença à palper l’un des seins de sa partenaire, le pétrissant avec un étonnant mélange de force brute et de douceur :
« Je suis sûr qu’un voyage entre tes deux ravissants seins, redonnerait à mon sexe toute sa vigueur. »
Ce n’était pas parce qu’il donnait priorité aux envies de ses partenaires que le lion géant n’avait pas ses propres désirs, il fallait bien commencer par quelque chose et il avait bien envie de sentir la peau douce de cette poitrine opulente glisser sur son sexe encore à moitié endormi.
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Le fracas du métal surprend Brunehilde, dans la semi-obscurité dans laquelle ils sont plongés. Mais les contours de son imposant équipement se dessinent mieux sous ses pupilles grisâtres. Elle apprécie la vue, comme le toucher. D’autant plus quand l’éveil se profile et le sang afflue pour gonfler l’épais membre. Il n’est en érection mais la sorcière peut déjà apprécier des proportions à la hauteur du lion ; elle se fait curieuse de savoir jusqu’où la surprise s’étend.
« Il y a d’autres auberges sur notre chemin… »
Nul besoin de se presser à descendre. Brunehilde est bien installée, à l’ombre de l’agitation. Bien d’autres occasions se présenteront à eux. Il leur faudrait tout autant occuper les prochaines nuits. Or, elle apprend un peu plus sur le lion, les limites qu’elle pourra franchir aux prochaines occasions. Elle s’était retenue, pour ne pas le gêner mais les prochaines fois, le terranide subirait son audace, au milieu des festivités. La porte est ouverte à de nombreuses opportunités.
Il exprime son propre désir. Son attention était perdue à découvrir et s’étonner de ses dimensions. Mais elle compte bien lui donner satisfaction. A peine éveillé, la virilité commence à tendre vers sa poitrine. La sorcière a à peine besoin de s’abaisser pour enlacer son membre de ses deux monts de chair. Ses mains les soulèvent et les guident pour que sa délicate peau parfumée cajole le vit coincé.
Sa poitrine opulente, pour une simple humaine, semble modeste face au membre calé entre chaque sein. Brunehilde sait user de son atout pour faire monter le plaisir. Ses lèvres se déposent sur la peau tendue. Sa langue accompagne les langoureux voyages. Elle trouve sa destination contre le gland du lion ; il se fraye un chemin et trouve le refuge chaud de sa bouche. Il est cajolé par son habile langue alors qu’elle s’empresse toujours de le faire durcir entre ses seins.
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Il était vrai que le chemin prendrait plusieurs jours au vu de ce qu’il pouvait déjà voir, la belle avait un appétit certain pour le plaisir et il mettra tout en œuvre pour la rassasié ce soir comme les prochains. Allié travail et plaisir était tout ce que Freyord pouvait espérer de mieux, il n’y avait rien de plus plaisant que d’escorter des femmes ouvertes aux plaisirs de la chair. Il avait même une anecdote lors d’une de ses escortes de caravanes, la délégations d’une vingtaine de religieuses ayant fait vœux de chasteté avait fini pas céder après deux mois avec ce mâle plein de testostérone, plus aucune n’était vierge une fois arrivé à la dernière étape du pèlerinage, d’ailleurs certaine ne l’était déjà plus avant mais ce n’était pas de son fait.
Avec Brunehilde en tout cas, la mission n’avait pas encore commencé que son sexe était déjà aux prises de ses douceurs et c’était absolument divin. Il sentait sa peau douce caresser son membre viril, c’était exquis, lorsque l’humaine vint ajouter sa langue et la bouche à l’équation ce n’en fut qu’encore meilleur. Il eut pour réflexe de s’avancer pour faire pénétrer son gland dans la bouche de la belle afin d’avoir le droit à ses flatteries.
Il posa également ses grosses mains sur la tête de Brunehilde pour lui caresser les cheveux et d’accompagner le mouvement de son bassin afin d’être lui aussi actif, le plaisir s’ajoutant à celui qu’il ressentait déjà :
« Tu as la peau d’une douceur impressionnante, c’est très excitant. »
Et ce n’était pas que des mots puisqu’il s’avérait que son membre était désormais bien tendu et bien droit, sa partenaire pouvait admirer toute l’ampleur de la chose mais puisqu’elle avait déjà commencé à s’occuper de l’extrémité, il n’y avait plus qu’à faire rentrer le reste :
« Je vais m’enfoncer un peu plus profondément, ouvre grand et fait moi signe si tu ne peux supporter autant. »
Comme il l’avait annoncé, il avança encore pour insérer plusieurs centimètres de son sexe dans la bouche de l’humaine, il aimait particulièrement la sensation de pénétrer les voix orales de ses partenaires mais il fallait bien avouer que les humaines étaient assez limités, assez peu d’entre elles supportaient l’intrusion massive. Mais il sentait que Brunehilde possédait des talents cachés qui lui permettrait sûrement de tout recevoir.
Petit à petit, il s’immisçait donc en elle, millimètre par millimètre puis centimètre par centimètre, il ne semblait pas vouloir s’arrêter jusqu’à ce qu’elle lui fasse savoir qu’elle n’arrivait pas à recevoir autant, de son coté il ne s’arrêterait pas avant de s’être enfoncé jusqu’à la garde.
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A son apogée, son vit, déjà impressionnant au repos, prend des proportions inhumaines. Face à un tel équipement, Brunehilde ne s’étonne que de frêles humaines ont reculé. Il est un défi de taille de recevoir une telle chose et subir l’endurance du grand guerrier en serait une autre. Pourtant, la sorcière possède bien des atouts. Autant que le lion la comblera, elle lui permettra de se vider jusqu’à ce que la satisfaction l'éteigne. Un programme haut en couleur les attend pour leur long voyage.
Pour l’heure, le terranide est animé d’une nouvelle volonté, différente des pensées qui animent l’esprit de l’humaine. Il se montre prévenant et annonce son intention : rentrer. Son esprit vicié ne peut lui refuser un tel plaisir et ses lèvres s’ouvrent pour permettre le passage de son imposante virilité. Le lion entame sa lente avancée ; elle participe s’efforçant de recevoir centimètres après centimètres. Ses doigts s’enroulent autour des lourdes bourses du mercenaire.
L’avancée est compliquée ; un soupçon de magie usée par la sorcière rend l'impossible possible. Peut-être triche-t-elle mais leur plaisir mutuel passe avant ces préoccupations futiles. Il réussit à s’enfoncer, entier. Sa bouche déformée par l’ampleur de son membre. Son gland est coincé, profondément, l’étouffant un peu. Or, Brunehilde prend la suite en main. Sa tête part en arrière ; sa langue caresse sa peau. Jusqu’à ce que seul son gland gonflé possède sa bouche étroite.
Elle s’avance de nouveau. Ses lèvres se promènent le long de son vit, n’allant pas toujours jusqu’à sa garde. Elle varie les plaisirs, accélère pour mieux ralentir. Il possède si bien sa bouche, qu’elle se fait impatiente de le sentir ailleurs. Mais avant, Brunehilde n'oublie pas une étape essentielle : lui accorder une première extase.
Un premier passage se fait dans l'étroit couloir. Le regard surpris ne l’arrête guère bien que la scène soit excitante pour ce client innocent. L’étonnement passé, il observe quelques secondes curieux, cette sorcière s’étouffant sur la queue du lion.
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Son expérience ne l’avait pas trompé, il avait bien sentit que la belle humaine cachait bien son jeu, elle ne le lui avait pas dit mais ce devait être une magicienne. Il savait très bien qu’aucune humaine normale ne pouvait accueillir son sexe entier, et seule la magie permettait à celle qui y parvenait de le faire sans encombre. Cela ne changeait rien au fait que Freyord était profondément ancré en elle, ses deux énormes testicules étaient la seule chose encore à l’extérieur, il prenait son pied.
Alors qu’il allait s’activer, elle prit les devant et se retira avant de revenir, jouant avec sa langue, le flattant de ses lèvres, il ne savait pas vraiment pourquoi mais il était tout particulièrement excité par cette pratique. Lui qui aimait donné du plaisir à ses partenaire devait bien admettre que ce qu’il préférait était l’un des actes où seul lui prenait vraiment du plaisir.
Il fit pas attention qu’un client passait par là, trop concentré à sa besogne, la sorcière était douée et le suçait si bien qu’il était déjà près à lâcher une première charge. Il ne la prévenait pas, elle devait bien se douter qu’une éjaculation venant de lui devait être conséquente, comme tout le reste. Sans crier gare, l’épais liquide commence à se déverser alors qu’il est au plus profond de la gorge de la sorcière, il n’est même pas question d’avaler à cette profondeur alors que des torrents de sperme sont envoyer en puissant jet alors se retire pour lui éjaculer dans la bouche au moins une fois. Cependant, il garde la dernière cartouche pour la tirer une fois qu’il est complètement ressorti, il lui envoie le dernier jet au visage, la recouvrant de son foutre épais, odorant et en grande quantité.
Il sait que certaine femme n’aime pas se faire éjaculer sur le visage mais lui aime tellement ça que pour une fois il n’a pas demandé, entraîné par l’appétit sexuel de la sorcière presque aussi gros que le sien :
« Alors ? »
Bien qu’il se soit vider de façon abondante, son sexe pointe toujours bien droit et puissant alors que de dernière goutte de liquide séminale perle de son gland.
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Prevenant jusqu’ici, la sorcière s’attend à être prévenue de sa venue prochaine. Or, le terranide lui laisse la surprise de se déverser au fond de son grossier puis de lui remplir la bouche. Son nectar épais gonfle ses joues alors qu’elle tente d’avaler sans perdre une goutte. La troisième fois, c’est sur son nez et ses lèvres fermées que la semence s’écrase. Elle coule le long de son visage et se perd sur son opulente poitrine. La surprise a rendu sa jouissance meilleure ; l’humaine se satisfait qu’il se soit laissé porter par son plaisir, plutôt qu’enchaîné par sa bienveillance.
« Délicieux… »
Le lion peut s’attendre à recevoir de nombreuses fellations au cours de leur route… Il n’a guère à s’inquiéter du plaisir de la sorcière ; elle saura très bien le trouver dans l’absence de retenue du lion et le stupre.
Sa langue caresse le gland pour y laper la dernière goutte. Ses doigts viennent le combler de quelques flatteries. La suite est évidente, désormais. Faut-il encore savoir où elle aurait lieu ? Dans le couloir ? Ou devraient-ils tester la résistance des meubles de la taverne ou de la chambre ?
« On continue ? »
A la différence de taille, Brunehilde est bien en peine pour guider son épaisse verge vers son antre. Elle pointe toujours vers ses seins dont l'extrémité frotte contre la peau douce et la chair moelleuse. A l’avoir ainsi, sous le nez, l’impatience la guette d’autant plus… Une nuit est si courte. Il serait dommage de reporter de quelques heures leur départ pour de précieuses minutes perdues ici et là.
Par dépit, elle se saisit d’une des grandes mains du lion pour la glisser entre ses cuisses, à peine ouverte. Ses doigts peuvent sentir la chaleur et l’humidité de ses lèvres intimes. Peut-être même observer quelques gouttes d’excitation s’échapper sur ses longues jambes galbées.
Une idée parvient à l’esprit vicié de la sorcière. Entraînant le lion à la suivre, elle s’installe sur quelques hautes marches de l’escalier montant. Jambes écartées, elle tire le poignet de Freyord pour qu’il se loge entre ses cuisses. Encore, son membre viril impose face à son corps humain. De sa carrure, le mercenaire pourrait l'écraser sans aucun mal.
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Le secret de Freyord dans ses partie de jambe en l’air n’est pas vraiment sa bienveillance naturelle, pour lui il est normal de bien se comporter avec sa partenaire, il était bien loin de l’image du mercenaire sans pitié aussi impitoyable au combat qu’en dehors, mais plutôt de connaître sa partenaire, ses envies, ses désirs, sa capacité à encaisser son gabarit hors norme. Il ne connaissait pas encore Brunehilde et c’est pour ça que ces premiers assauts avaient été hésitants, doux, à lui parler mais maintenant qu’il commençait à la cerner, il était prêt pour lui faire goûter à son expérience.
Elle n’avait clairement pas besoin de le dire pour faire comprendre ce qu’elle voulait, quand elle lui pris la main pour la glisser entre ses cuisses, il se contenta de la caresser légèrement, bien que déjà bien humide son intimité était parfaitement fermée, il avait eu envie de l’entrouvrir avec ses doigts mais il pensait avoir compris ce qui comblerait encore plus la sorcière alors il s’abstint et ne resta qu’en surface, pour le moment.
Il la suivit et ne put s’empêcher de rire un peu lorsqu’il la vit monter quelque marche avant d’écarter les jambes, en effet la différence de taille entre les deux imposait ce genre de stratagème. Il la rejoignit quand elle le tira à lui, nul doute qu’il pourrait l’embrocher de part en part. Il se colla à elle, venant l’embrasser, lui caresser les seins, il jouait avec elle, testait sa patience avant de finalement entrer de tout son long en elle d’un coup sec et sans sommation. Il avait forcé l’entrée qui n’avait eut d’autre choix que de s’ouvrir violemment d’un coup brusque. Elle avait intérêt à avoir user de sa magie à temps si elle ne voulait pas être déchirée au sens le plus stricte du terme.
Il lui agrippa puissamment les hanches puis se mit à faire de vif va et vient, s’enfonçant jusqu’à la garde à chaque fois, venant faire claquer ses imposantes testicules. Il lui donnait un avant goût de sa bestialité et il ne doutait guère du fait que c’était ce qu’elle attendait.
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Freyord a cédé à son petit jeu pour lui offrir quelques caresses fugaces. La sorcière le pensait à y enfoncer ses gros doigts pour lui offrir un avant-goût et combler un instant son impatience. Mais il préfère jouer de sa hâte, l’effleurant en surface sans lui accorder la moindre satisfaction. C’est un soupir frustré qui dépasse ses lèvres quand, sous sa propre impulsion, sa main finit par la quitter. De meilleures horizons l’attendent, une fois installée dans les marches.
L’ombre immense du félin la couvre. Son sexe se calle entre ses cuisses ouvertes à sa venue et son extremité peut rencontrer ses lèvres intimes, loin d’être prête à le recevoir. Brunehilde a toutefois prévu le coup ; si elle est naturellement insensible à la douleur, conséquence de sa nature de sorcière, elle a surtout usé de sa magie pour mettre à son anatomie d’accueillir le gabarit hors-norme du mercenaire. Sans que leur plaisir n’en soit impacté. Elle agit plutôt comme une protection.
Décidément, Freyord aime le faire attendre. Il s’empare de ses lèvres, se joue de son corps, lui arrachant quelques soupirs éhontés. Avant qu’elle n’en vienne à le supplier, il la pourfend de toute sa longueur. Sa voix résonne à la taverne, mêlée de surprise et de plaisir. La sorcière n’attend de lui ni cruauté ni bienveillance mais simplement qu’il se lâche à ses plus bas instincts. Et il le fait. D’une entrée brutalement, où elle pensait que le lion la ménagerait un peu.
Le mercenaire a réussi à entrer d’un seul élan pour se loger entre ses chairs serrées. Son antre est ni adaptée, ni préparée à son intrusion ; elle compresse avec force l’énorme monstre qui vient d’y faire son nid. Brunehilde ne doute plus de la force du terranide qui la cale entre ses mains et commencent à le besogner sans aucune forme de ménagement.
Si la discrétion n’a jamais été au programme, ses cris répétés mêlés claquements brutaux de leurs corps ne laissent l’ombre d’un doute sur leurs ébats sauvages.
Le lion ne lui laisse pas une seconde de répit ; elle tente de s’accrocher à lui, tant bien que mal. Se maintenir est difficile sous la puissance de ses assauts. A chaque fois, la sorcière se sent libérée pour mieux le sentir prendre possession de son frêle corps de tout son gabarit. Il n’a à s’inquiéter de la briser. Brunehilde est capable d’encaisser sa bestialité et le plaisir brusque qui en découle.
Le souffle court, les jambes tremblantes, le mercenaire lui offre de nouvelles perspectives et la plonge dans le stupre.
D’une main hésitante, elle tente de s’accrocher à sa nuque, d’approcher Freyord. Les lèvres entrouvertes, Brunehilde cherche à partager un baiser aussi sauvage que leurs ébats.
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Chacun de ses coups de rein était puissant et violent, il sentait chaque parcelle du corps de la sorcière le compresser, lui indiquant qu’il n’était pas censé être là, aussi profond, mais chacun de ses assauts étaient si fort qu’aucune barrière ne pouvait l’arrêter, de plus il allait si vite que le corps qu’il pourfendait n’avait pas le temps de s’habituer. Il l’entendait crier et chaque cri lui donnait encore plus d’élan pour la besogner sauvagement.
Alors que la belle semblait chercher les lèvres du colosse, celui-ci vint l’embrasser langoureusement alors que ses mains quittait ses hanches pour remonter et la maintenir au niveau des épaules, dans cette position, l’humaine ne pouvait plus bouger que la tête, les bras et les jambes, à la merci totale du lion qui ne semblait pas du tout faiblir. Son torse puissant compressait l’opulente poitrine de l’humaine alors que tout en continuant de l’honorer de son membre viril, il commençait à monter les marches de l’escalier, une par une.
La robe de la sorcière et le pagne du guerrier se faisaient abandonnés tandis que leur propriétaire avançait dans leurs ébats vers l’étage supérieur, peut être qu’un honnête client viendrait leur rendre ou peut-être pas, de toute façon actuellement, ils n’en avaient pas besoin. La langue râpeuse du félin dansait avec celle de l’humaine dans une danse endiablé jusqu’à ce qu’il la quitte pour plonger dans son cou et la flatter de grand coup de langue.
Arrivée à l’étage supérieur, il eut le réflexe de la poser sur une des commodes qui servait de décor mais sous la force des assauts, après deux va et vient, elle se brisa. Il profita du moment de déséquilibre que cela engendra pour ralentir ses mouvements, après la besogne brutal, voila qu’il l’honorait calmement et tendrement avant de reprendre un rythme effréné au bout de quelques instants. Il ne se préoccupait même pas de comment réagissait Brunehilde, il se contentait juste de l’inonder de plaisir, les clients au rez-de-chaussé n’avait qu’à lever la tête pour voir la scène qui se passait au deuxième étage alors que de la même manière qu’il avait monter l’escalier, il se dirigeait vers sa chambre avec la belle.
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Entre le mercenaire et la sorcière, la bestialité règne. Il s’empale dans son antre, faisant céder sous sa force toute forme de résistance. Son sexe, bien inadapté à son frêle corps, ne connaît aucune limite pour venir la posséder, encore et encore. Il la noie dans les tréfonds de la luxure ; elle se fait obligée de ses plus bas instincts, à n’attendre qu’une chose du lion : qu’il la besogne et la fasse crier son plaisir, jusqu’à ce que sa voix s’éteigne, fatiguée.
Il la bloque de ses pattes sur ses épaules, pour éviter que son corps ne s’enfuit face à ses assauts brutaux. Pourtant, ce dernier se soulève à chaque fois tandis que Freyord s’enfonce, jusqu’à rencontrer les limites de la sorcière. Il ne s'arrête pas et grimpe les marches sans que la belle n'ait conscience du mouvement de leur corps. Elle est aveuglée par le plaisir, incapable de réfléchir. L’humaine ne cherche pas le repos, ou une pause.
Brunehilde cherche ses lèvres félines ; son museau se plaque contre sa bouche. Sa langue s’en échappe pour combler sa bouche malmenée et trouver sa comparse. Son baiser est à l’image de leurs ébats : sauvages, où toute forme de tendresse se fait absente. Il quitte ses lèvres et la laisse à bout de souffle.
Ses mamelons rosées sont pressés contre le torse imposant du félin et frottés sans qu’il n'ait à s’en occuper.
Il arrive à l’étage. La sorcière en prend conscience que ses fesses sont posées sur la commode. Vite détruite, cela dit. Elle espère juste que le mobilier saura tenir la force du puissant colosse. Sans un lit, ils profiteront de leur nuit sur un tapis, si elle ne reste que la seule option.
Ses mouvements ralentissent. Loin de déplaire à l’humaine, elle peut sentir son membre hors norme et chaque centimètre s’enfoncer et prendre place, avec une douceur délicieuse.
Ils sont désormais debout. Brunehilde est portée et coincée sur la trique imposante du terranide. Son corps tressaute dessus, pour venir s’empaler profondément. Près d’une porte, qu’elle devine être leur destination, elle tend la main pour l’ouvrir et découvre un intérieur bien simple : Un grand lit, deux tables de chevet, une table et une commode. Ainsi qu’une fenêtre au rebord suffisant pour installer la sorcière.
Aucun point d’eau n’est en vue. Les voyageurs se rendent principalement aux bains publics de Nexus.
« Mmh… Freyord, plus… tente la sorcière de réclamer, entre des respirations fortes. »
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La chambre du colosse est assez simple, il n’a besoin que de peu de chose, ses seuls effets personnels étaient ses armes empaqueté dans un coin. Il n’avait besoin de rien de plus, au matin venu il s’en irait avec la sorcière de toute façon pour ne pas revenir avant au moins une semaine, plus s’il trouvait une autre mission avant de revenir.
Pour le moment, l’heure n’était pas à l’aventure mais au plaisir, il n’avait pas arrêté ses mouvements, cela faisait déjà un bon moment qu’ils s’adonnaient au plaisir de la chair, de longues minutes où il ne lui laissait aucun répit. Et elle voulait plus à en croire ce qu’elle lui murmurait. C’était tant mieux car le terranide n’avait pas l’intention de s’arrêter, mais alors que le lit était juste là à quelque centimètre, il préféra se mettre à même le sol pour continuer leurs ébats.
Il ne relâcha cependant pas sa puissante étreinte, l’empêchant de trop se mouvoir alors qu’il l’honorait avec force. Il changea d’ailleurs de comportements, la vitesse brute laissa place à des mouvements plus doux et plus lent, alors qu’il maltraitait son corps depuis de longues minutes, voila qu’il se mettait à ajouter un peu de tendresse à ses gestes. Il s’engouffrait toujours de tout son long mais cette fois-ci il prenait le temps de ressentir chaque centimètre, les parois interne protégées par la magie de la sorcière qui laissait passer difficilement cet imposant pieu de chair.
Pour lui, les sensations étaient décuplé et il espérait qu’il en était de même pour l’humaine alors qu’il l’honorait directement sur le parquet en bois de la chambre. Il retourna chercher les lèvres de la sorcière pour l’embrasser langoureusement, il était passé d’un extrême à l’autre en un instant, espérant que ça lui plairait à elle aussi, son petit corps d’humaine disparaissait sous la montagne de muscle et de poil qui la surplombait pendant l’acte.
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L’immense lion dépose son corps malmené contre les lattes usées du plancher. Son dos n'est pas à son aise, une légère gêne se fait sentir. Mais être ainsi possédé par le terranide lui permet vite d’oublier les inconvénients pour se concentrer uniquement sur son puissant vît. De cette manière, ils n’ont à craindre qu’un nouveau meuble s’écroule sous la force brutale du mercenaire. Il peut se donner à fond et contenter la belle. Mais après de longues minutes, à ne lui avoir laissé de répit, Freyord change de rythme.
Il la besognait si fort, qu’elle avait hurlé son prénom à travers l’auberge. Désormais, elle récupère un peu de souffle, coupé de gémissements plus faibles. Pourtant, son plaisir lui n'est pas atténué ; au contraire, la sorcière apprécie le changement. Difficile de se lasser avec un tel gabarit mais pouvoir sentir chaque sensation de son membre disproportionné est un véritable régal. Il s’insinue avec lenteur mais assurance et la comble de plaisir.
Son antre se fait hostile, incapable de s’habituer à un tel monstre. Mais elle est bien obligée d’épouser ses formes veineuses, pour le plus grand bonheur de l’humaine. Elle ne cesse d’en réclamer. Les nuits avec Brunehilde risquent d’être bien plus intenses que la périlleuse route qui les attend.
Ses longs doigts trouvent refuge sur le torse musclé du terranide dont elle explore le doux pelage. Les lèvres du lion se déposent les siennes ; la frontière s’entrouvre pour laisser passer sa langue et jouer avec sa comparse. Leur baiser diffère du précédent, à l’image de ses allées-et-venues, il est lent et langoureux, empreint de passion et de désir.
Dans un énième voyage de sa puissante verge, Freyord amène la sorcière à son premier orgasme. Il est si bon de le sentir, au fond de ses entrailles qu’elle est bien incapable de se retenir plus longtemps. Son bustier se lève, sa tête est rejetée en arrière. Le prénom du mercenaire hante ses lèvres dans ses longues secondes d’extase.
Son corps comme sa féminité sont plus sensibles aux assauts du terranide. Pourtant, elle est loin d’avoir atteint ses limites.
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Ses mouvements se faisaient lents mais pas moins intense alors qu’il ondulait délicatement sur le corps de la petite humaine avec qui il communiait désormais comme un amant. Oui, il pouvait se montrer brut comme il l’avait fait précédemment mais il n’y avait rien de véritablement plus excitant que les tendres va et vient d’un amant intentionné. Il sent son corps frémir de plaisir, se laisser aller à ce nouveau rythme agréable.
Il se presse encore plus contre le corps qu’il surplombait, essayant de ne pas l’écraser alors qu’il sentait les mains de Brunehilde sur son torse, ses mouvements le faisait jouer avec ses seins plaqués contre son corps poilus. Alors qu’il sent l’orgasme de la sorcière arrivé, dans une formidable synchronicité, il se laisser aller lui aussi mais cette fois-ci il ne se retire pas, alors qu’il éjacule en encore plus grosse quantité que la première fois.
Malgré cette jouissance, il ne marque pas de pause dans ses mouvements, il profite juste du balancement du corps de l’humaine pour prendre possession de son cou avec sa bouche afin de le lécher, le mordiller, l’embrasser. Il pouvait continuer ainsi des heures durant.
Il finit tout de même par redonner plus de liberté à Brunehilde mais c’était surtout pour pouvoir se redresser afin de pouvoir à la fois continuer de parcourir son cou mais également de poser ses grosses mains sur ses seins pour les malaxer et les pétrir. Cela faisait maintenant plus d’une heure qu’il la besognait délicatement, il s’était vider plusieurs fois déjà mais il était temps d’enfin retourner à quelque chose de plus brut.
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Brunehilde ne s'attend pas à cette synchronicité parfaite avec le lion. Mais cette sensation inégalable de sentir son amant venir en même temps la ravit. De plus, il est loin de l’homme ordinaire. A son membre qui occupe tout l’espace et force son impérieuse présence, s’ajoute sa semence obligée de se frayer une place lors des jets brûlants. Elle le sent se vider, plus qu’il ne lui a offert dans les escaliers. Ses sensations incroyables ouvrent un peu plus l’appétit vorace qui ne cesse de louer et réclamer le mercenaire.
Par chance, il est bien décidé à la satisfaire et à prendre son pied. Plus d’une heure passe, les orgasmes se succèdent sous ce rythme langoureux. Son corps est bien incapable de s’habituer à son gabarit, le plaisir est toujours intense, au cours des longues minutes. Et ils se sont tant vidés que le fruit de leurs ébats jonchent le vieux sol. La sorcière n’a pas une pensée pour la pauvre âme qui s’occupera de nettoyer leur bordel, le matin venu.
Au-delà de son physique, Freyord se montre être un amant attentionné dont les flatteries ne cessent de la charmer. Que ce soit sa bouche explorant sa peau, ou ses mains jouant de ses seins. Il peut observer que malgré le temps écoulé, ses pointes rosées ne faiblissent pas entre ses doigts.
Puis, elle le sent prêt à lui offrir à nouveau cette bestialité qu’elle affectionne tant. Mais ses mains le repoussent, doucement.
« Attends… Le souffle saccadé, épuisé par leurs ébats, l’humaine prend une respiration pour continuer. Changeons de position... »
Plusieurs options se sont offertes à Brunehilde. Tant lui donnent envie de s’y affairer tout de suite. Comme l’idée de chevaucher le lion et de le pousser par elle-même entre ses retranchements. Mais la belle, quand il accepte, opte pour une option. La sorcière lui laisse le temps de retirer son envoûtante verge. Le vide laissé fait naître immédiatement une cruelle frustration.
Elle se redresse et s’installe devant lui, à quatre pattes cette fois-ci. Sa croupe lui est offerte avec une imprenable sur ses orifices : l’un épargné, l’autre souillé.
Surtout, sa place est plus qu’adaptée à une reprise sauvage du terranide.
« Freyord… Vient Brunehilde le supplier ensuite. »
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Il était bien rare qu’il puisse autant se laisser aller avec une humaine, il fallait bien admettre que normalement il ne peut entrer qu’un quart de son membre et les ébats bestiaux ne peuvent pas l’être à outrance pour ne pas tuer sa partenaire humaine mais avec la sorcière c’était différent, il pouvait se déchaîner comme il le voulait, sûrement subirait-elle le contre-coup plus tard mais il dans l’action il ne s’en souciait guère.
A force de la remplir plus qu’elle ne pouvait contenir, forcément cela devait déborder et le sol était tout aussi dégoulinant de sueur et de fluides séminaux queux. Il la laissa reprendre son souffle quand elle le lui demanda alors qu’il était sur le point de repartir pour des assauts vif, elle voulait changer de position et alors qu’elle le poussait en arrière, il s’attendait à se faire chevaucher mais finalement elle se retira pour se positionner à quatre patte.
Il la regardait en se relevant, sa fente vaginale était complètement dilatée, du foutre en coulait encore mais il pouvait également admirer la deuxième entrée. Si elle s’était mis dans cette position c’est sûrement qu’elle voulait qu’il passe par là mais il hésitait, il n’avait jamais sodomiser une humaine auparavant par peur des dégâts que cela pouvait causer mais après tout la sorcière usait de sa magie pour l’encaisser alors pourquoi pas y aller franchement.
Il s’approcha donc, le sexe dans la main pour s’aligner et poser son imposant gland contre son minuscule orifice anal, il avait forcer d’un coup pour entrer dans son intimité vaginale mais cette fois-ci il ne pourrait pas. Il se mit alors à pousser pour d’abord faire entrer son gland dans son anus, c’était difficile, si serré et lorsqu’il y arriva enfin, il se sentait comprimé comme jamais. Il lui agrippa les hanches pour la maintenir fermement alors qu’il s’enfonçait péniblement en elle, chaque millimètre était une bataille à gagner mais il réussirait à s’engouffrer de toute sa longueur. Il grondait fort à chaque difficile avancée, la sensation d’être coincée était exquise, entrer était une chose mais sortir allait être encore plus compliqué, ce qui allait rendre les va et vient vraiment jouissif.
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Installée sur ses avants-bras, Brunehilde maintient son corps et son fessier galbé surélevé vers Freyord. Il se positionne. Seulement quand le gland épais appuie contre sa petite entrée, qu’elle comprend l’intention du terranide. Un fâcheux quiproquo que la sorcière n'a pas anticipé. Elle désirait lui donner un autre axe de pénétration pour s’empaler dans sa féminité lubrifiée, la prendre sauvagement. A la place, le lion s’impose à son orifice le plus étroit, bien loin d’être prêt à accueillir un tel monstre. Elle est bien incapable de l’arrêter et use de sa magie, en dernier recours.
Mais loin d’être parfaite, par son utilisation empressée, une pointe de douleur se mêle à sa venue. Y enfoncer l’extrémité de sa virilité veineuse est déjà un effort surhumain. Le plaisir est différent, intense et brusque. Il y est à peine qu’elle se sent combler. Le front collé contre le parquet, les lèvres grandes ouvertes pour laisser s’exprimer les sensations inconnues. Peut-être que le terranide aurait fait demi-tour pour mieux la préparer à son arrivée ? Non. Chaque minuscule millimètre est senti par son anneau de chair, écartelé sous sa présence.
Son intérieur le compresse, l’étouffe alors qu’il essaye de s’y frayer sa place.
« Freyord... Ce n’était… pas… Les mots se perdent. »
Brunehilde est incapable de continuer, de l’implorer de continuer son chemin. Les grondements du lion l’excitent davantage alors qu’elle se perd dans le stupre. Ses doigts s’accrochent comme ils peuvent entre les lames de bois. Mais seules les puissantes mains du lion la tiennent vraiment dans cette position et lui permettent de le recevoir jusqu’à sa garde. Le chemin a été long ; plusieurs longues minutes se sont écoulées avant que sa verge ne s’impose entre ses chairs.
Elle la sent comme coincée et bien incapable de sortir. Toute sa largeur s’inflige à la sorcière. De nouvelles gouttes de sa propre excitation coulent le long de ses cuisses, mêlé de la semence du lion. Si elle a été capable de résister aux assauts du lion, le moindre mouvement aussi infime soit-il, la condamnerait sans doute à un nouvel orgasme sans que l’humaine puisse le retenir.
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Il avait effectivement mal compris les intentions de la sorcière mais ce qui est fait, est fait, et il ne remarque même pas qu’elle essaye de le lui faire comprendre, il est concentré à s’aventurer au plus profond de son corps. Grand bien lui en fasse car au final, elle semble quand même prendre son pied et lui aussi alors que le chemin pour entrer son long membre prend un temps fou.
Mais lorsque la garde vient enfin claquer contre les fesses rebondit de la sorcière, signe qu’il a enfin finit de s’enfoncer en elle, il se sent divinement bien, les parois interne de l’humaine le compresse si puissamment qu’il pourrait la lâcher que son sexe continuerait de la soutenir mais il n’en fait rien mais décide plutôt de faire le chemin inverse pour se retirer. Cependant, alors qu’il s’est reculé de plusieurs centimètre, il s’avance de nouveau pour de nouveau se retrouver entièrement en elle puis il se recule de nouveau plus loin que précédemment avant de recommencer son manège et de s’enfoncer entièrement de nouveau.
Il accélère puis ralentit ses mouvements, allant et venant de façon irrégulière, le temps passe et il continue de la sodomiser, il ne peut s’empêcher de se vider de nouvelles fois en elle. C’est près de trois quart d’heure plus tard qui se vide une dernière fois en elle et décide de sortir pour de bon et de la couvrir de foutre une nouvelle fois. L’orifice si petit n’est désormais plus qu’un trou béant dégoulinant de sperme épais, le colosse souffle mais ne semble pas si épuisé que cela :
« Tout va bien ? »
Il se rendait compte qu’il y était peut être allé un peu fort, il lui avait littéralement ravagé l’anus et elle restait dans cette position face contre sol, croupe relevée, il vérifia qu’elle ne s’était pas évanoui :
« On va peut être en rester là pour cette fois, j’espère que cela t’as plu. Excuse moi si je t’ai fait mal. »
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La sorcière est bien contente qu’il ne soit arrêté malgré ses paroles. Elle désire le sentir encore, le laisser prendre possession de son minuscule orifice. Le lion, aveuglé par le plaisir, se retire, entre. Son petit manège commence ; les voyages de sa virilité sont chaotiques mais délicieux. Il lui fait sentir chaque millimètre de son imposant gabarit, la ravit de plusieurs orgasmes. Il la démonte, comme précédemment mais accélère suffisamment pour ravager son intérieur étroit. Le mercenaire prend et possède son corps, à se lâcher plusieurs fois et la faire crier à travers la petite auberge où personne n’aura trouver le sommeil durant cette nuit exceptionnelle.
« Oui... »
Son souffle est court, sa poitrine se soulève et s’écrase contre le sol dans un rythme effréné. Cette fois-ci, l’humaine a bien besoin d’une pause. Après quelques secondes, Brunehilde se tourne et s’allonge contre le sol. Les jambes écartées, malgré sa magie et ses capacités, elle est assurée de boiter le lendemain. Plus encore, s’ils remettent ça, lors de leur voyage. La sorcière a bien l’intention de profiter de chaque seconde en la présence du terranide, de manquer une occasion quitte à mettre son corps face à de très rudes épreuves.
« C’était exceptionnel… Laisse-moi quelques minutes et on pourra reprendre. »
Ils n’ont pas fini.
*
* *
Après une nuit sportive, c’est peu dire, Brunehilde n’eut le droit qu’à deux brèves heures de sommeil. Les premières lueurs de l’aube se sont glissées à travers la fenêtre, baignant leurs visages assoupis. La sorcière se tire du lit dans une légère douleur. Chaque muscle se souvient des heures passées dans des courbatures bien douloureuses. Le sol privilégié pour leur ébat ne les a pas épargnés. Mais elle ne montre ses faiblesses, sert les dents et sort dans le but de retrouver leur vêtement.
Un généreux passant leur a laissé au pas de la porte. Elle dépose le lourd pagne sur la commode et enfile sa robe. L’humaine n’est pas du genre à rester les bras croisés et attendre le réveil de son amant. Elle laisse un mot pour lui indiquer être partie préparer leur voyage et faire un tour bien mérité au bain public. Souillée par le lion, une baignade ne lui fera aucun mal. Bien sûr, la sorcière ne perd jamais le nord et l’invite à la rejoindre si le cœur lui en dit.
Elle se charge de réunir quelques provisions : de l’eau et quelques fruits. De trouver des montures, sans savoir si le mercenaire sera capable de chevaucher et finit sa route aux bains. A cette heure matinale, nul âme ne s’aventure dans l’eau délicieusement chaude. Brunehilde profite du silence et du calme.
Si Freyord ne la rejoint pas, c’est elle qui arrivera à l’auberge ensuite.
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La nuit passa rapidement, les ébats passionnés laissant place à un sommeil de plomb rythmé par les ronronnements félins, il ne semblait même pas un peu épuisé avant de s’endormir, sa vigueur sexuelle montrait que son endurance était inhumaine et c’était tout à fait normal, après tout il n’était pas humain, il ne fallait pas attendre de lui la même chose qu’un humain lambda. Quoi qu’il en soit, bien qu’il ne soit pas particulièrement épuisé, il s’était endormi rapidement, ou plutôt il se trouvait en demi-sommeil, ses sens de guerriers toujours à l’affût en cas d’attaque, même dans une auberge il restait sur ses gardes.
Lorsqu’il se réveilla, la sorcière était déjà partie depuis un moment, il n’avait pas grand-chose à préparer avant de partir, il savait comment survivre dehors et même s’il n’arrivait pas à une autre auberge avant la nuit, il pouvait chasser. En se levant, il passa donc quelque instant à inspecter ses armes, il avait acheter la hache la veille mais l’épée et le marteau l’accompagnait depuis longtemps déjà, il irait faire affûter sa lame afin de ne pas avoir de mauvaise surprise en voyage, ses armes servait également d’outil alors pour sa survie et se faciliter la tache il devait en prendre soin. Son arc quand a lui était intact, il servait exclusivement pour la chasse, le bois était robuste et ne répondait qu’à sa force, les flèches qu’il décochait avec était d’une efficacité redoutable.
Il pris donc son paquetage et remis son pagne avant de quitter l’auberge, la sorcière avait dit qu’elle finirait ses préparations aux bains publics, il irait la rejoindre après avoir faire affûter son épée, la chambre empestait et leurs ébats nocturne n’y était pas pour rien et il n’était pas non plus un sauvage, il aimait être propre.
Cela lui pris plus de temps que prévu mais il arriva tout de même aux bains afin de rejoindre celle avec qui il avait partager la nuit et avec qui il allait voyager plusieurs jours. Se retrouver à deux dans les bains, lui donnait quelques idées mais il n’était plus l’heure à ça s’il voulait se mettre en route vers la destination de Brunehilde et d’expérience, les rivières et lac étaient bien plus excitant pour faire ce qui lui passait en tête.
Il souffla de plaisir lorsqu’il s’immergea dans l’eau, il était si grand qu’il devait s’asseoir pour que tout son corps soit sous l’eau, sa tête et ses épaules ressortant tout de même du bassin.
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Se prélasser dans l’eau chaude permet à la sorcière d’oublier les douloureuses courbatures et de se laver des vestiges de leur longue nuit. Elle ne sait pas trop si le lion la rejoindra mais sa venue tardive la ravit. Le colosse ne passe guère inaperçu entre les larges colonnades. Son entrée dans les bains crée des remous.
Les pupilles grisâtres de la sorcière ne l'ont pas quitté, appréciant toujours la vue de sa puissante musculature et de sa nudité obligatoire entre ses murs.
Elle se lève pour sortir et s’asseoir au bord. Sa poitrine pend sous le nez du mercenaire, à croire que Brunehilde le fait exprès. Pourtant, cette fois-ci, aucune obscène pensée ne l’anime ; sur plusieurs jours de voyage, ils ont bien le temps de se laisser aller, encore. Elle ne refusera pas cela dit une avance de Freyord.
Les premières lueurs du soleil se lèvent timidement à l’horizon et la route en ce premier jour est la plus aisée de leur périple. Ils n’atteindront la frontière du royaume de Nexus qu’au soir. Les chemins sont à peu près sécurisés, jusqu’à cette extrême limite.
Ensuite… La nature sauvage reprend ses droits jusqu’aux murailles d’Urde.
L’humaine ne se fait pas soucieuse du chemin. L’escorte est suffisante ; ses préoccupations sont bien éloignées.
« Es-tu prêt à partir, une fois propre ? s’enquit-elle, loin de connaître son nécessaire au voyage. Ne seras-tu pas trop lent à pieds ? »
Tant d’autres interrogations brûlent les lèvres de la sorcière mais elle s’arrête à l’essentiel pour ne pas perdre de temps dans une conversation futile.
Or, il en reste une plus sulfureuse et bien superflu que Brunehilde ne peut manquer, encouragée par sa curiosité et son désir endormi.
« Et j’aimerais connaître tes préférences, Freyord. Sexuelle, bien entendu. Je suis sûre que ça pourra nous être utile. »
Elle s’est penchée au-dessus d’une de ses oreilles pour cette ultime question susurrée d’une voix sensuelle. Comme à son habitude, Brunehilde ne tourne autour du pot et entre sans nul artifice dans le vif du sujet qui l’intéresse.