Le Grand Jeu
Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Olympe => Discussion démarrée par: Ares le mardi 18 août 2009, 11:09:52
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Le calme... Comme il est dit dans l'adage, il vient avant la tempéte... Tout était si calme ce soir au temple du Dieu Guerrier, que Nefret, le serviteur Mort vivant du Dieu Olympien, se demandait quant allait arriver la foudre. C'est alors qu'il vit passer un plateau d'argent, sortant des jardin intérieur... Le mort Vivant grimaca quelque peu, tandis qu'il approchait du lieu ou devait se trouver son Dieu. Nefret etait un ancien général Egyptien, qui avait reçu la bénédiction d'Ares avant la grande bataille de Menphis, qu'il gagna avec un grand succés... Seulement, son pact le lié desormais a Ares, en qualité de fantome, de serviteur, a son plus grand desaroie... Il arriva dans les jardin, trouvant son maitre appuyé contre la table de marbre. Le Dieu, avait les poings fermé, le visage rouge de colére... Nefret compris alors... Son plan avait echoué, une nouvelle fois. Les anges n'attaqueront pas les demons, et vice et versa... Mais il y avait tout autre chose desormais... Le Fantome approcha de son Maitre, et se dernier leva sur lui un regard de fureur.
"Une nouvelle déesse vient de sombrer!!! Encore une! Un homme ou quoi que ce soit d'autre, s'amuse a chasser des dieux..!! Des DIEUX!!"
Ares etait en rage. Nefret ne pouvait rien quant il etait dans une telle colére.
"Mais... Maitre. Vous finirez bien par le..."
"ASSEZ!!!"
Il le saisit alors par la gorge, fermant ses doigt sur sa trachée... Le regardant dans les yeux, de son regard bleu glacial. Le dieu ne se contenait plus. Il ne supportait pas étre inutile et ne pas parvenir a trouver celui ou celle qui mettait fin a la vie des Dieux. Non qu'il avait une réelle charité d'ame, mais il avait enfin un adversaire malin face a lui, et puissant...
Manquant d'Air, le serviteur commenca a bouger ses jambes dans tout les sens, essayant d'échaper a l'etau de Dieu Guerrier, mais rien n'y faisait.
"Va Chercher Raven..."
Il relacha sa proie, le balancant en direction du couloir.
"VA!! J'exige sa présence!"
Il savait qu'elle seule avait la possibilité et le pouvoir de le calmer. ET il reflechissait bien mieux au calme, quant il retrouvé le controle de lui méme. Mais pour cela, il avait besoin de Magic, et maintenant. Nefret, toussant, reprenant un peu de constance, se releva, et courut en direction de l'aile des pretresse guerriéres! Il devait trouver Raven, et vite.
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Je soupirai, allongée dans la salle de bain que je partageais avec mes sœurs d'armes... qui n'étaient pas là pour le moment, alors, j'en profitait. Le bain était immense et j'aimais grandement y nager, tant la température y était agréable. Nue, je me mis à m'amuser à faire bouger l'eau sans la toucher avec la magie puis je m'arrêtais. Ce n'était pas mon énergie que j'utilisais, mais celle d'Arès et si j'en faisais dépense pour jouer, j'allais me faire gronder, ce qui m'exposerait à une dispute avec le puissant Dieu de la Guerre. Je pris le savon et je me lavais en silence. Je n'aimais pas franchement être seule, mais j'ai peur que, si mes sœurs se mettent à parler d'Arès, je me mettes à rougir et qu'Elosia le remarque. Une fois bien propre de partout, je sorties de l'eau. Je sentis alors la colère du Dieu Ardent faire vibrer mon sixième sens et je sus qu'il avait encore appris une mauvaise nouvelle. Son éclat qui me voulait à son coté résonna dans tout le temple et je tremblais. Je ne voulais pas être proche de lui de peur de finir par lui sauter dessus. Mais bon, il serait très mal avisé, même pour moi, de faire attendre le Dieu en colère. J'agrippai ma tenue habituelle (voir vava) ainsi qu'une petite culotte et un soutif noir en vitesse. J'enfilai le tout rapidement et je sortis de la salle de bain, mes cheveux encore tout mouillé.
Prenant un moment appui sur la porte, je respirai profondément et je me dirigeai vers la résidence de mon maître, croisant le pauvre Nefret qui, tremblant comme une feuille, m'annonça l'ordre de présence directe, m'arrachant un frémissement. J'entrai donc dans l'antre du Dieu et je m'approchai de lui pour m'agenouillai au sol avant de demander d'une douce voix:
-Mon seigneur a requis ma présence et me voici pour le servir. Votre colère m'a atteint au cœur et je viens pour vous en soulager.
Je me relevai doucement et je regardai le Dieu, prête à lui accorder un chant pour soulager de ses soucis encore une fois. Ce pouvoir qui accordait la paix intérieure était vraiment utile devant le caractère bouillant du Seigneur de la Guerre.
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Il sentait la rage prendre le dessus sur sa raison. Ares n'etait il pas connut pour cela d'ailleurs en Olympe..? Le plus furieux des Dieux, aux coléres légendaires. Et pourtant, aujourd'hui, il ne devait pas y ceder, ne pas rompre son raisonnement a la simple haine qu'il pouvait avoir pour les tueurs Divins. Seulement, l'Olympe etait bien seul en ces temps ci... La plupart des dieux majeurs avaient été posté en abonné absent, seul Poséïdon resté en place... Aphrodite n'avait pas récrée tout le Panthéon, mais aujourd'hui, le Dieu de la guerre s'en navré. Méme si moins puissants que les Dieux originels, les copies restaient de grandes forces de Frappe.
Il sentait le Sang bouillir dans ses veines, alors qu'il faisait les cents pas dans ses appartements, cherchant le moyens le plus efficace pour contre cette nouvelle menace qui couvrait les Dieux dans leurs ensemble... Non qu'Ares en avait particuliérement quelques chose a faire de ses pairs, mais sans eux, c'etait tout l'Olympe qui allait y passer...
A Mesure qu'il tentait de reflechir, le Dieu rageait! Fracassant quelques Bibelots, ou autre armure de decorations interieur... Il etait en nage, ses yeux imprégné de sang, quant enfin, il entendit la voix clair de sa plus reposante Pretresse...
"Raven..."
Un mince sourire apparut. Magic etait la plus douce des soeurs de Bataille... Celle qui possédé un sens incroyable de la diplomatie, et qui savait en user a merveille. MAis avant tout, elle possedé le talent de calmer les excés de rage d'Ares, par divers moyens. Méme si ces derniers temps il la croisé beaucoup moins souvent, il l'accueillat avec plaisir non feint.
"Fait.. Quelques chose..."
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Je lui souris doucement, les yeux emplis d'admiration et d'adoration, sentiments que je tentais bien malgré moi de cacher à mon Dieu, et je m'approchai de lui. Je le pris doucement par la main, d'une douceur qui ne pourrait que calmer le dieu colérique de mes rêves. Parlant de dieu colérique de mes rêves, il arrivait fréquemment que je faisais des rêves loin d'être pur qui étaient tous avec Arès, du plus doux au plus violent. Toujours avec cette même douceur apaisante, je le fis doucement asseoir sur un fauteuil. Plongeant mon regard dans le sien un moment, je posai une main fraiche sur son visage chauffé par la colère, effleurant ses cheveux des doigts.
Je reculai, légèrement rouge puis je me mis à chanter une histoire relatant un passage de la vie d'Arès, un passage où le dieu avait, en tant que le dieu vengeur qu'il est, réussi à renvoyer une armée sans même dégainer son épée, qu'il était revenu, acclamé pour la première fois par les dieux de l'olympe pour cet exploit diplomatique. Je mentionnai aussi, à contrecoeur, le retour d'Arès dans les bras d'Aphrodite comme la récompense que la déesse lui avait accordée dans tous ses détails, tel que le Dieu me les avaient relatés. Il m'avait conté cette victoire, il y a quelques mois et il m'avait dit qu'il en était franchement fier. J'avais donc décidé d'en faire un chanson qui pourrait flatter l'égo du dieu ainsi que le calmer.
J'enviais sincèrement la déesse de l'amour, j'en étais fréquemment jalouse quand certaines servantes disaient qu'elle était de passage dans le temple pour visiter le Dieu de la guerre. Encore plus chanceuse qu'elle était pour avoir porté ses enfants, un rêve que je ne pourrais jamais réaliser parce que je respectes et aime trop ma sœur d'armes Élosia pour lui faire un tel coup bas. Lorsque j'eus fini de chanter, je pris une grand inspiration. Si ma voix n'avait pas le don naturel d'être relaxante, je crois que le dieu n'aurait jamais été calmé. Je m'approchai à nouveau de lui, m'agenouillai devant mon dieu et je lui souris.
-Mon chant a-t-il satisfait vos oreilles et votre coeur, monseigneur?
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Elle tait enfin la. Le Dieu Guerrier regarda cette superbe femme et son sourire d'ange approcher, le faire s'asseoir sur un fauteuil... Il se laissa guider sans rechigner, il avait besoin de ce calme que Raven lui apportait. Il sentit deja une vague sensation d'apaisement, rien qu'a la contempler. Sa main fraiche fut comme la brise légére du vent, en une journée d'été... Reposante. Il ferma les yeux sous cette douceur, soupirant, tentant de laisser filer toute sa colére accumulé. Mais elle se mit alors a chanter, sa voix magnifique fit l'effet d'un decontractant. Il se laissa bercer par ses chants, qui relaté l'un des passages les plus fantastique de sa propre vie. Il en sourit doucement, ainsi, elle s'en etait souvenue, et en avait fait une chanson...
Il sentit sa rage mourir peu a peu, tout en se demandant comment quelqu'un pouvait resister a cette mélodie sublime, a cette voix echanteresse, a ce visage delicat... De toutes ses pretresse, Raven etait celle qui etait la plus discréte. La connaissant peu, ou du moins, beaucoup moins que les autres. Le chant finit, a sa grande peine, mais il se sentait beaucoup plus détendut, pres a de nouveau reflechir aux problémes de ce groupe de tueurs... Mais avant cela, il regarda Magic approcher de lui, s'agenouillant devant lui, et un sourire radieux eclaira le visage du Dieu de la guerre.. Sa main se posa doucement sur ses cheveux, glissant lentement vers son visage, se posant sur sa joue de nacre...
"Reléve toi, Douce Raven..."
Il l'aida a se relever. Certes, il tenait en importance la devotion de ses pretresses, mais Raven avait maintes fois prouvé sa foi et sa loyauté envers lui. A quoi bon s'agacer avec le protocole. Magic et Lui etait seuls, nul besoin de jouer sur les apparences.
"Tes chants sont fabuleux, digne de ceux D'appolon... Accepterais tu, de rester prendre un thé avec ton Dieu fatigué?"
Il sourit tristement. Il se sentait parfois si seul... Et il tenait a connaitre un peu plus cette mystérieuse mais si jolie Magicienne.
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Lorsque je sentis sa main sur moi, mon cœur fit trois sauts périlleux et un frisson parcourut mon échine. je savais qu'il n'était plus fâche et j'en étais très heureuse. Je fermai les yeux et je laissai la main se poser sur ma joue, ronronnant légèrement. Je me demanderai toujours d'où je tire ce bruit, mais à chaque fois que je suis contente, je ronronne, c'est incontrôlable. Il complimenta mon chant en m'aidant à me relever, ce qui me fit rougir jusqu'aux oreilles, me proposant ensuite de prendre le thé avec lui. Cette proposition faillit m'arracher un cri de joie, mais il fut remplacé par un ronronnement plus doux et calme, prouvant que j'étais flattée. Lorsque je vis l'air triste de mon dieu, d'un mouvement purement instinctif, je lui fis un beau sourire. Pourquoi pas, si ça pouvait remonter son moral?
-Avec un grand plaisir, monseigneur. Si cela vous rend heureux, je serais ravie de partager un thé avec vous.
Aussitôt dit, aussitôt fait, j'emmenai le dieu dans le salon, mon sourire le plus radieux aux lèvres. Le salon était justement la pièce adjacent, bien que cet endroit changeait selon l'envie d'Arès. Les couleurs étaient blanches, donc, il était calme. Rouge disait la colère, bleue, la distraction, noir, la mélancolie, vert, la nostalgie et violet, le songe. Je n'avais cependant pas besoin de cela pour connaître les états d'âmes du dieu. Le thé y était déjà, grâce à la magie. Je sais que je n'ai pas le droit de m'en servir pour des raisons aussi futiles que les tâches domestiques, mais je voulais surtout prouver au Dieu que j'avais parfaitement assimilé le contrôle de son cadeau. J'attendis qu'il s'installe pour en faire de même, près de lui. Je ne sais pas si c'est professionnel, mais on était à l'abri des indiscrets dans le repère d'Arès. Je ne pouvais retirer ce sourire idiot et bienheureux de mon visage, il y était scotché. Passer du temps avec Arès était un rêve qui parasitait mon esprit depuis des années et me voila qui va bientôt savourer un thé avec lui.
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Son sourire, c'est ce qui l'avait immédiatement seduit chez Raven. Deja enfant, son sourire etait calme, serein, alors qu'atour d'elle il n'y avait que guerre et desespoire, au plus grand plaisir D'Ares... Mais en croisant sur sa route cette Magicienne au coeur pure, il changea inévitablement, du moins, une partie de lui comprenait la souffrance que pouvais amener les batailles qu'il pouvait engendrer par pure plaisir. Mais en cette journée, il etait Las. Rester auprés d'elle lui semblait étre la plus agréable des options, remettant a plus tard le sort du groupe d'assassin... Il suivit donc Raven dans le salon proche de ses appartement, sa voix melodieuse resonnant comme a chaque fois au plus profond de son étre. La couleur changea quelques peu, mais il remit trés vite du blanc sur l'ensemble, tout en faisant apparaitre une table et deux siéges.
Ici, il etait maitre de tout. Des objets, de tout ce qui les entourés... Soudain, il percut le pouvoir lui echapper, volant vers Raven, qui fit apparaitre le Thé en question. Cela lui arracha un sourire, tandis qu'il s'asseyait sur l'un des fauteuil blan immaculés de la salle.. Il observa alors longtemps sa Pretresse, tentant de percer ses mystére, devoiler son ame, pour ainsi mieux la comprendre, et repondre a ses besoins, que jamais elle n'exprimé en sa présence.. Autant Arrow ne cessait de revendiquer des demandes, autant MAgic restée a l'ecart de ce genre de problémes... C'etait aussi pour ca qu'elle etait rapidement devenue indispensable dans la vie immortel du dieu Olympien. Servant par lévitation le Thé, il poussa la tasse de sa pretresse tout prés d'elle, faisant de méme avec la sienne...
"Cela fait bien longtemps que nous ne nous etions pas retrouvés ensemble, toi et moi Douce Raven..."
Il c'etait refusé de lire en elle... Trop de respect. Méme ca, c'etait elle qui lui avait enseigné... Alors il devait le decouvrir a la maniére des mortels... Drole d'effet pour un Dieu.
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Je ne savais trop que dire pour démarrer une conversation avec un dieu. Lorsqu'il eut versé le thé chaud, je m'empara de ma tasse, réchauffant agréablement mes mains gelées et je l'observais. Arès était vraiment un très bel homme, à la fois dangereux, puissant et charmant, comme s'il avait été fait pour attirer des proies dans son lit pour leur accorder une seule nuit avec lui... et Gaïa seule sait à quel point je ferais n'importe quoi pour me blottir contre lui tous les soirs, me réveiller dans ses bras, sentir son odeur à tout moment de la journée... mais je devais y renoncer. Elosia était plus le genre de fille qu'un dieu de la guerre pourrait vouloir... ou encore Lame et Arrow... Moi, j'étais la petite fille différente de la bande, puisque je n'aime pas la guerre, malgré que j'en suis une prêtresse. J'en suis réduit à devoir passer mes journées à observer le dieu dans ses rares promenades. Aucune de mes sœurs d'armes n'a jamais cherché à m'approcher. Nous n'étions pas proches le moins du monde, sur le champ de bataille, je les empêchais de se faire bêtement tuer, mais je n'ai jamais eu droit à un merci, seulement à des "J'y retourne" plus qu'impoli.
La voix d'Arès m'arracha immédiatement à mes pensées, résonnant dans ma tête tel un gond. Je lui fis un nouveau sourire charmant. Le titre de Douce était souvent employé par le dieu pour me décrire. Effectivement, il était très peu de chose que je ne faisais pas sans douceur. Je fais tout avec une infinie tendresse, car tout ce qui m'entourait appartenait à l'homme que j'adorais le plus parmi les dieux. Même s'il tombait dans la disgrâce, comme ce fut le cas lorsqu'il a été surpris avec Aphrodite par Hephaïstos, je le suivrais. LA voix d'Arès faisait toujours l'effet d'une cymbale dans mon cœur et mon plus horrible cauchemar serait qu'il me gronde, ce qui aurait tôt fait de me mettre H-S pour un long moment. Même Harmonie, la fille d'Arès et d'Aphrodite, ne pourrait pas souhaiter la paix de son père plus que moi.
-Certes, monseigneur, mais j'étais toujours occupée.
Évidemment, je lui mentais, mais j'étais certainement la pire des menteuses. Il suffit de me regarder pour savoir si je mens, car le mensonge me dégoutait profondément, je n'aimais pas du tout mentir car ce n'était pas bien du tout, ça ne pouvait qu'engendrer de futurs conflits. Je pris une grande inspiration. Comme on le dit "Faute avouée est à moitié pardonnée".
-Non... en fait... c'était un mensonge... je ne suis jamais trop occupée... je suis toujours libre... mais je ne voulais pas me retrouver en votre présence parce que je n'aime pas les choses qui se passent en moi quand je suis avec vous... et les conséquences que ça engendrerait avec mes sœurs d'armes... et avec une certaine déesse...
Pour me faire taire, je portai ma tasse de thé à mes lèvres, mais j'avais oublié qu'il était bien chaud et je m'en brûlai les lèvres, échappant la tasse sur le sol en laissant quitter un cri de douleur de ma gorge. Toute tremblante, je regardai le dieu. J'étais sur qu'il allait me faire la peau, maintenant. Je lui ai menti et je salis son environnement, je vais me faire expulser du temple et me faire renvoyer sur la terre des hommes et je ne le reverrai plus. Maudite maladresse qu'était la mienne. Je fermai les yeux, retenant mes larmes à ces pensées, et je me mis à trembler fortement, le ronronnement disparut et moi, j'étais morte de trouille.
-P...pardon, Arès-sama... c-c-c'était un accident...
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Les yeux du Dieu olympien parcouraient lentement le corps delicats de sa Pretresse. Raven... Rarement il avait eu l'occasion de se trouver auprés d'elle assez longtemps pour discuter, et pourtant, elle avait été la a chaque instant depuis son arrivée a son service. Lors de sa decouverte, et jusqu'a ce jour, elle n'avait jamais été trés loin de lui, méme si invisible, ou tentant de se cacher de lui. Il eu un sourire fin, alors que son regard croisé celui de la douce magicienne... Quel don, quelle puissance, sans le savoir, Raven avait un potentiel qui depassait celui de la plupart des créatures creer par Aphrodite, les demons, et autres anges... Mais il n'etait pas simple pour elle de le laisser parler, tant elle tenait à la vie de tout étre.
Il trouvait cela incompréhensible, mais c'etait aussi ca qu'il avait recherché en la prenant sous son aile. Une Prëtresse differante des autres. Lame etait une guerriére incroyablement douée, son sabre faisait merveille sur un champs de bataille... Arrow etait la fléche de la victoire. Qu'importe la distance et le but a atteindre, son trait mortel atteigné toujours sa cible. Elosia, quant a elle, etait la capitaine incroyablement douée... Maitrisant tout type de combat, il en avait fait son éléve, efficace, et intelligente. Mais Magic elle... N'avait pas sa place sur un terrain de guerre... Sa douceur et sa grace etaient souillés par le sang et les morts. Elle n'avait pourtant jamais renoncé a accompagné ses soeurs, pour trés souvent les sauver d'une mort certaine...
La voix douce de Raven se fit alors entendre. Il sourit, un peu plus chaleureusement, se sentant apaisé quant elle etait la, méme sa mélancolie fuyait son coeur... Mais il sentit alors l'ombre au dessus d'elle.. Ses yeux se plissérent, et le Dieu comprit que pour la premiére fois de sa vie a son service, Raven etait en train de lui mentir... Il en eu un pincement au coeur, suivit d'un doute.. Pourquoi lui mentait elle? Elle qui ne l'avait jamais fait... Arrow etait la championne pour ces faux semblants, mais Magic... Il s'appreta a lui annoncer, quant elle reprit immédiatement la parole, le coupant dans son élan.. Mais la suite fut encore plus incroyable a entendre pour lui. Il tentait d'analyser ses dires, mais n'y parvenait pas..
Le son de la tasse se fracassant au sol le sortit de ses reflexions, et les excuses tremblante de Raven l'etonnérent... Il arqua un sourcil.. Etait il si cruel que cela? Ne lui avait il pas apprit que depuis qu'elle etait la, son caractére avait evolué?... Mais pourquoi se sentait elle si mal en sa presence? Devait il la liberer pour qu'elle puisse vivre sa vie en etant heureuse? Voyant combien le liquide brulant sur le sol la mettait dans tout ses etats, Ares fit un geste de la main, et le temps de la chute se mit a reculer, remettant le recipiant et son contenant sur la table, comme si rien n'avait bougé... Doucement, il posa sa main sur son visage, avec un sourire melancolique...
"Raven... Ce n'est rien voyons..."
Il se redressa, amenant le visage de la pretresse tout contre son torse, caressant ses doux cheveux blonds...
"Pourquoi n'es tu pas bien avec moi...? Préfére tu reprendre ta vie humaine? Auprés de ton peuple? Demande moi une faveur, tu la merite bien, mais explique moi, car je ne peux accepter de te rendre malheureuse..."
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J'avais si peur de déplaire à Arès, tellement peur que je me faisais pratiquement passer pour morte. J'étais terrifiée. Je regardai la tasse brisée sur le tapis avec une grande appréhension, une profonde crainte. Je sentis alors les bras du puissant dieu m'attirer doucement contre lui. Sentant la chaleur de la peau de son torse, je me sentis rougir comme je n'ai jamais rougis auparavant. Il me demanda pourquoi je n'étais pas bien avec lui. Mais c'était totalement faux. Je n'ai jamais été bien avec une personne comme je le suis auprès du dieu de la guerre. J'étais heureuse ici, je m'y plaisais et j'étais utile à quelqu'un. Sans que je le veuilles, mes bras enlacèrent Arès et le serrèrent. Lorsqu'il me demanda si je voulais rentrer à la Forêt ou je suis née, cette même Forêt dont Arès m'a sauvée et il ne le savait même pas. J'étais l'enfant illégitime d'un vampire et d'une Elfe, comment quelqu'un de mon peuple pourrait accepter de rester à mes côtés, de m'aimer et me donner des enfant que je pourrais élever avec l'amour maternel que je refoules depuis des années? Je me mis à trembler et à serrer davantage le dieu qui m'a recueillit. Comment pouvait-il oser me proposer cela!? Comment pouvait-il seulement croire que je voudrais un jour être loin de lui? C'était impossible. JE me rendis compte alors que j'exerçais une pression sur lui et je l'ai poussé à la reverse sur le sol, moi sur lui. Je regardai son visage un moment, maintenant que j'étais plus près, et je lui caressai la joue.
-Je ne voudrais jamais partir loin de vous, Arès-sama... je veux rester à vos cotés jusqu'au jour de ma mort... Vous êtes... ce qui me rend heureuse dans la vie...
Relâchant son visage, je me laissai aller sur sa poitrine, passant mes bras autour de son cou, geste que je n'aurais jamais fait en temps normal. J'avais du mal à comprendre... comment il faisait pour ne pas voir que j'étais folle de lui? Dès qu'on parle de lui, j'ai les yeux pleins d'étoiles, le c?ur qui danse et j'ai envie de chanter, chanter tous les jours, toutes les nuits, juste pour lui. Son odeur me parvint aux narines, c'était l'odeur d'une plante que je cultivais dans un coin du temple et que j'avais donnée à Arès. Certainement la plante qui avait la meilleure odeur du monde. Puis, ayant compris ou je me trouvais, je reculai légèrement, essayant de refouler une nouvelle fois ce que je ressentais pour lui. Mon coeur reprit un rythme normal et je plongeai mes yeux dans ceux de mon maître puis je lui fis un grand sourire, une larme roulant malgré moi sur ma joue, mais je n'arrivais plus à bouger mes mains pour l'essuyer. J'étais amoureuse d'Arès et même si mes sentiments étaient les plus faciles à voir du monde, la seule personne que je voulais qu'elle le voit ne le remarque même pas... et je craignais qu'il me rejette, et ça, je ne saurais le supporter. Je souriais, mais j'étais loin d'avoir la joie au coeur. J'avais envie de me jeter sur lui et de l'embrasser des milliers de fois. Puis, je me mis à ronronner. Ma peine s'effaca, comme toujours et plus aucune larme ne coula. Je gardai mon sourire et, avec la magie, j'effaçai mes erreurs, puisant dans ma propre réserve d'énergie pour alimenter le sort.
-Pardonnez-moi. J'ai eu un geste déplacé envers vous en faisant obstruction à la règle de la hiérarchie divine qui dit qu'une prêtresse ne peut toucher son dieu que si celui-ci le lui demande ou autorise.
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Il sentait les bras de la pretresse venir doucement l'enlacer... Ares, Dieu de la guerre et de la violence, Patron des Héros, des vengeances, redevenait un doux personnage en présence de cette merveilleuse jeune femme aux origines si mystérieuse. Il n'avait jamais posé de questions sur son passé, préférant la laisser venir lui parler si elle en avait besoin, seulement... Raven ne l'avait jamais fait. Arrow, lui avait souvent reprocher des tas de choses, idiotes parfois, mais utiles, Lame ne cessait de reclamer batailles et combats, tandis que Elosia lui parlait d'elle, de son passé, de sa vie antérieur... Mais Magic etait toujours resté a l'ecart de toutes discutions, loin de lui, ne voulant que rarement se meler aux festivités qu'il mettait en place dans son Temple. Il avait finir par penser que la Pretresse regrettait d'étre auprés de lui, d'étre devenue ce qu'elle etait devenue... Mais il n'en etait rien apparement, et souriant, le Dieu se retrouva alors au sol en un claquement de secondes.
Le Dieu Resta un bref instant surpris par la situation. Il n'en etait pas géné, mais trouvait bien embarassant que la jeune et si belle Raven sois ainsi mise sur lui, le si volage Dieu Olympien. Mais il sentit le contact, cette chaleur sur son torse, ses mains qui courent autours de son cou pour s'y ancrer. Pas de doute possible, et rien ne peut plus arreter la douce chaleur qui monte peu a peu au creux du ventre d'Ares.
Mais le contact se rompt soudainement. Elle se recule, le laissant orphelin de sa présence. Elle lui pose alors de nouveau une loi divine, une encore que son vieux croulant de pére avait pondut pour eviter les viols des dieux, mais surtout des déesse... Pour se donner encore plus d'importance que les Olympiens en avaient deja. Il resta un bref instant interdit. Que faire face a une si belle Magicienne? Comment garder son desir pour elle, pour ne pas la souiller... Il aimait ses pretresse, chacune differement evidement. Lame etait une amante de premier choix, Arrow une adversaire en joute verbales imcomparable, Elosia une Humaine si attirante, mais Magic elle... Etait la pureté, qui donnait des envies si impures, qu'elles n'etaient pas digne d'elle. Alors il n'hesite plus, son desir est plus fort, et sa main vien se poser avec fougue, mais douceur, sur la nuque de Raven, et sans attendre, il fait approcher le visage de sa pretresse, qu'il embrasse avec une avidité hors norme, comme si ce moment, il l'avait imaginé des centaines de fois, et qu'enfin, il avait la possibilité de le réaliser... Comme un fantasme que l'on est sur le point de voir accomplit... Sa langue joue un bref moment avec celle de la magicienne, avant qu'il ne recule, et sourit.
"Est ce que tu prend cela comme une demande?"
(court, dsl, la reprise est dur)
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J'allais m'enfuir. J'allais partir pour me laisser mourir de honte dans ma chambre. Alors que j'allais m'en aller, commencant à me relever, le beau dieu me retint, entourant ma nuque. Je croyais qu'il voulait me dire quelque chose à l'oreille, et je me penchai vers lui... pour recevoir un baiser des plus fougueux et passionnés. Je sentais la langue râpeuse de mon dieu adoré se frotter à la mienne. Les sensations étaient nettement plus différentes à la rencontre des lèvres de l'homme que celles éveillées par les baisers de ma soeur d'armes. C'était un rêve que j'avais fait tellement de fois, si souvent, j'avais tellement souhaité ce moment qui m'était apparut comme un désir des plus insensés. Je n'étais pas une guerrière fougueuse comme Lame, ni une archère aussi habile qu'Arrow et encore moins une commandante de guerre aussi rusée qu'Élosia. Tout ce que je savais faire, c'était lire des bouquins sur la magie, l'histoire et sur les potions pour ne servir que de support. Surprise sur le coup, je gardai des yeux écarquillés avant de les fermer doucement, lui rendant ce baiser tant attendu, mes bras allant doucement enlacer le cou d'Arès. Il me demanda alors si je le prenais comme une demande. Ma réponse fut immédiate alors que je l'embrassai à nouveau, le renversant dans ce tapis dont les teintes blanches se faisaient rosées par ma faute, mon aura et celle du dieu s'étant mêlée. Rose, couleur du désir, de l'amour et de la passion. Je rougissai un peu.
Mes mains se mirent à explorer doucement le torse du dieu. De notre lien, je savais qu'il se demandait souvent si j'étais heureuse. Maintenant, il pouvait le savoir de cette douce couleur rosée. Je n'ai jamais regretté d'avoir rejoint ses servantes et prêtresses, mais j'étais jalouse, tellement jalouse, de mes soeurs, qui avait connu la volupté que pouvait accorder le dieu de la guerre, celui dont j'avais pris des photos en cachette pour admirer son visage pendant mes longues journées. J'avais un album qui lui était dédié dans ma bibliothèque personnel. Dans d'autres livres, j'avais diverses informations sur Aphrodite, ma plus grande rivale en amour. Je pensai alors aux traitements qu'elle aurait pu faire goûter au dieu et je voulus tout de suite faire mieux qu'elle, bien que rien ne pourrait rivaliser avec une déesse qui est experte dans son domaine. Je laissai mes mains se glisser sous le haut du dieu, caressant doucement sa peau rude, mais qui me faisait tellement envie. Me penchant davantage, je me mis à l'embrasser dans le cou, comme je l'ai fait avec Lana. Le cou était sensible aux baisers, mais tellement attirant pour les morsures. Mes instincts vampires s'éveillèrent à la proximité de ma denrée préférée, mais je contenais le tout.
-Arès-sama...
Les mots "je vous aime" ne sortirent pas. Je me contentai donc de laisser transparaitre mon envie dans mes mots, brûlante. Je l'aimais, mais j'allais me faire tellement d'ennemies juste à l'avouer. Je ne le dirai pas, pas avant longtemps ou jusqu'à ce qu'il partage mes sentiments, ce qui me laisserait le temps de devenir la doyenne avant que cela ne se produise.
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Ses lévres étaient si douces... Comme il les imaginé, dans ses réves, certaines nuits, alors qu'il etait en présence d'une humaine juste la pour le divertir. Raven, sa pretresse inaccessible, sa douce et tendre Magicienne, comment aurait il put croire qu'elle repondrait ainsi à son baiser, à ses avances. Il etait Olympien, rien ou presque ne lui etait refusé en ce bas monde, et pourtant lui méme se mettait des barriére avec certaines. Magic etait dans ce groupe la. Elle si pure, lui si sauvage, comment prétendre a une avanture auprés de la magicienne. Il ne voulait pas la brusquer, de peur de la briser. Raven Miller etait une pierre precieuse dans un ecrin d'argent. Mais le desir de ce moment avait été le plus fort, dejouant sa raison et ses barriéres, mettant a mal son raisonnement, balayant ses principes, ne laissant place qu'a une gourmandise envers elle, gourmandise qu'il devait absolument combler maintenant, avec elle, ici. Il avait envie d'elle, comme de personne d'autre, comme un péché defendu, qu'il etait si excitant de braver. Il sentit alors les mains de l'elfe venir se cramponer autour de son cou, repondant ainsi a sa question, serait elle d'accord?... Il sentit a nouveau le tapis de la salle accueillir son dos, amenant avec lui le corps brulant de sa pretresse, se collant a elle, tandis que les mains douces de la jeune femme couraient le long de son torse, eveillant d'autant plus l'envie du Dieu pour cette magnifique blonde au yeux envoutant et a la voix incroyable.
Il sentait son cou assaillit de baiser, et quelques griffures par les crocs de Raven. Il en sourit, il en avait presque oublié sa nature Vampirique, l'espace d'un instant. Il soupira, la regardant dans les yeux, prenant son visage entre ses mains puissantes, tandis que le son de la voix de sa pretresse le mettait dans tout ses etats. Il renverse alors la Pretresse, se posant au dessus d'elle, ses yeux dans les siens, laissant le mariage de leurs Iris se faire, avant de plonger de nouveau pour l'embrasser, se delecter de sa chaleur, son trose venant se poser contre sa poitrine, son envie decuplant a ce contact charnel. Doucement, ses lévres partent a l'assauts du cou de Raven, sa langue s'ajoutant a ce chassé croisé sur sa peau, tandis que ses mains s'enroulent autour de sa taille, resserant son etreinte, profitant de ce contact pour en sentir toute la chaleur possible.
Il descend a nouveau, arrivant a l'entrée de son decolté, qu'il regarde avec gourmandise, pour doucement defaire le noeud qui retient clos sa tunique, devoilant la poitrine superbe de Magic, devant ses yeux petillants.. Sans attendre, il fond dessus, le prenant entre ses lévres, pour les embrasser, comme si il venait enfin de re trouver un trésor trop longtemps perdut.
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Il ne me repoussait pas, il me rendait mes baisers, ces baisers que j'ai tellement attendu, que je ne voyait que dans mes plus beaux songes qui me brisaient le coeur au petit matin, car je me réveillais seule, dans ma grande chambre, entourée non pas de bras, mais de draps, avec pour seule compagnie des montagnes de livres traitant sur tous les sujets. Lorsqu'il me renversa à son tour, sentant le contact du tapis dans mon dos, il me regarda dans les yeux. Mes pupilles ne voyaient plus que lui, mon cerveau n'enregistrait que son image. Nous aurions été entouré de milliards de distraction que je n'aurais vu que lui. Mon coeur dans ma poitrine battait à plein régime alors que son torse se collait à mes seins, la comprimant légèrement. Je sentais son parfum, ses lèvres sur les miennes, ses bras autour de mes hanches, son poids sur moi, je sentais tout dans un tourbillon étourdissant de sensations. J'aurais échangé ma vie contre cet instant et je le vivais enfin. Je sentais ses muscles se tendre sur mes hanches pour m'enlacer, gémissant de plaisir au doux contact de ses lèvres sur mon cou et ma nuque. J'avais chaud, très chaud, comme dans mes rêves. Puis, je sens le cordon de mon décolleté se délier, révélant mes seins. Je rougis de gêne, j'avais peur qu'il soit déçu de leur taille en les comparant à ceux d'Aphrodite mais aux contraires, il s'en empare de ses lèvres. Je ne peux m'en empêcher, je lâche un autre gémissement de plaisir.
Je glisse ma main dans ses cheveux, aussi soyeux que des fils de soie, savourant cette douce texture pendant que je peux encore le faire. Je fermes les yeux pour le ressentir davantage avec mes autres sens. Je soupirai d'aise maintenant qu'il était enfin dans mes bras à moi, qu'il était en ce moment juste à moi, qu'il ne pensait qu'à moi. Je suis une égoïste, je le sais, mais j'ai tellement attendu. Je le voyais à partir de l'Oeil courtiser toutes ces femmes, je le voyais leur faire des choses que j'aurais voulu qu'il me fasse à moi, mais chaque fois que j'étais avec lui, je voulais fuir pour ne pas que quiconque ne se rende compte que mon cœur ne battait que pour lui et qu'on ne me le reproche. Et surtout... je le sais bien, il ne sera jamais, au grand jamais, amoureux de moi, parce que je suis une mortelle, une de ces femmes qu'il verra mourir un jour où l'autre, qu'il remplacera par une autre et qu'il oubliera... être oubliée... Je ne voulais pas qu'il m'oublie!
Aussitôt, je le renverse à nouveau, lui arrachant ma poitrine de la bouche. Je le fis doucement redresser avec la magie puis, caressant son corps divin, sculpté telle la plus belle des œuvres d'art, je le débarrassai de son vêtement supérieur, retirant ma veste et mon décolleté par la même occasion, pour couvrir ensuite son large torse de baisers rempli d'amour et d'envie. Je remontes dans son cou, collant mon corps au sien pour mieux sentir sa chaleur, y faisant de multiples suçons que je ne pouvais et ne voulais contrôler. J'avais envie de connaître ce que Lana, Ama et Élosia avait connu dans ses bras, je le voulais aussi, plus ardemment qu'aucune d'entre elle. Il a été comme un père, un mentor, un ami pour lequel j'étais utile et il était surtout l'homme que j'aime. Je serrai son large torse dans mes bras, le maintenant dans la position assise, je me blottis contre lui.
-Je suis heureuse, Arès-sama... Heureuse d'être avec vous...
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Ses lévres parcours sa poitrine delicieuse, ferme, ni trop grosse, ni trop petite, juste parfait pour lui. Il entend le gemissement de Raven, qui ne fait que le ravir d'autant plus, lui donnant l'autorisation de poursuivre ses baisers endiablé sur son corps magnifiquement sculpté. Comme s'imaginer qu'un jour, Magic serait a lui, elle si mystérieuse et solitaire, restant toujours en retrait, n'osant méme pâs l'approcher. Ses soeurs elles méme ne comprenaient pas l'attitude de la magicienne a leurs egards, mais tout avait une explication, et l'elfe devait en avoir une bonne pour agir ainsi auprés d'eux. Ares avait constitué il y avait deja trés longtemps son armée de pretresse, prétes a tout pour lui, sans la moindre hesitation, allant de champs de bataille, en féte en tout genre, pour le bon plaisir de leur seigneur et Maitre. Raven etait certes la plus renfermée de toutes, mais aussi la plus loyale. Jamais elle ne l'avait déçue, méme quant il apprenait qu'une guerre avait été evité de justesse par les bon soin diplomatique de la blonde aux yeux bleu. Il ne lui tenait pas rigueur d'ainsi tenir à la vie d'autrui... Il lui fallait un catalyseur comme Raven pret de lui, sans elle, il aurait deja mit ce bas monde à feu et à sang.
Mais jamais il ne l'aurait ainsi embrassé, si il n'y avait pas eu ce contact précédement, jamais il n'aurait osé l'approcher de trop pret. Il tenait a elle, comme a toutes ses pretresses, mais Raven avait avec lui un lien qu'aucune autre n'avait... Ce qui la rendait spéciale, si particuliére a ses yeux. Et en cette belle journée, ils etaient enfin seuls au monde, dans son temple, enlacé l'un a l'autre, un désir puissant se melant a cette envie de l'autre.
Il se sentit alors retourné, plaqué a nouveau sur le tapis, souriant de la voir si entreprenante avec lui, l'acceuillant avec grace et posséssivité entre ses bras puissants. Alors les cuirasses tombérent, laissant a demi nue les deux amants, laissant paraitre cette chaleur de leurs corps, collés l'un a l'autre. Il sent les baisers sur son torse, ne peut retenir quelques soupir tant ses lévres son douces et exquises, caressant ses long cheveux soyeux et couleur blés. L'envie ne cesse de progresser rapidement, mais il se contient. Raven mérite mieux que d'étre prise avec sa fougue habituelle, mais parviendrait il a se contenir encore longtemps? Tellement son desir de la posseder ne cesse de croitre. Il sent une force invisible le remonter, en position demi assise, tandis que l'elfe s'occupe de son cou avec merveille. Finalement, elle revient se blottir contre lui, et les bras du Dieu s'entourent, protecteur, autour de la jeune femme, restant ainsi un long moment collé a elle, ecoutant sa voix lui chanter de delicieuses paroles qu'il revait d'entendre de la part de la plus solitaire des ses pretresses.
"Raven... Je ferais en sorte que tu le sois toujours..."
Il recule alors son visage, et sourit, tendre, doux. Ares n'etai pas le méme en sa presence, mais contiendrait il son coté sauvage si ils devaient aller plus loin tout les deux?... La regardant avec un sourire, il caresse son beau visage.
"Je ne te promet pas douceur... Tu me connais. Mais... Avec toi je ferais tout pour étre le plus doux possible.."
Il l'embrasse alors, et de nouveau leurs langues s'entrechoquent, les mains du dieu se posant sur la taille de la pretresse, qu'il caresse, decouvrant ses formes si avantageuses, et se délicates. Il remonte le long de son dos, pour repasser enfin sur sa poitrine, la massant lentement... Il ne fera pas le premier pas, de peur de la brusquer..
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Je sentais le désir d'Arès au plus profond de moi, ce désir puissant qu'il s'efforçait de contenir. Pour lui, je le savais, c'était dur de retenir ses pulsions de chair, habitué à tout prendre par la force. Cette attention me touche beaucoup et elle me flatte. Je sentais l'importance qu'il accordait à mon bonheur. Il me voulait et il me le faisait sentir. Son corps s'exprimait pour lui, son énergie, chaque pression sur mon corps me prouvait qu'il avait envie de moi. Il me caresse avec douceur, il me dit qu'il tient à ce que je sois toujours heureuse. Il me serre contre lui, de ses bras puissants, chauds, réconfortants. Je sentais son sexe durcir par l'excitation. Lame m'avait parlé des traitements que le dieu aimait et j'en avais un peu peu. Je n'étais pas fougueuse comme elle et je n'avais jamais eu d'amant, auparavant. Arès était mon tout premier, comme je l'ai toujours voulu et rêver depuis qu'il m'a ramenée ici, chez lui, sur l'Olympe parmi ses autres prêtresses. Je caressai doucement son visage alors qu'il m'embrasse, léchant avec avidité sa langue, la savourant en enlaçant son cou. J'ai senti ses mains sur ma poitrine, la massant avec douceur, me faisant pousser des gémissements que je ne pouvais pas contrôler. Ses mains fortes se faisaient douces, juste pour moi, pour me faire plaisir. Je sentais ses doigts effleurer mes tétons, tout durs, attendant ces attentions depuis si longtemps. Je caressai doucement son torse, fermant les yeux, avant de murmurer une phrase dans la langue des dieux. Nous sommes alors dévêtus, nos vêtements venaient de disparaitre.
Un sourire taquin naquit sur mes lèvres alors que je renversai doucement le dieu sur le sol. J'allais lui montrer tout ce que j'avais appris jusqu'à maintenant grâce à l'aide de Lana. Je reculai un peu, glissant sur lui, laissant son sexe toucher mon corps sans gêne. Je ne voulais que mon dieu aime ce que je fais, mais j'ai peur de baisser dans son estime. Le sexe tendu touche mon cou et mon menton avant que je ne recule pour le regarder. Lana disait qu'il fallait être très douce avec le pénis d'un homme, qui constituait une véritable fierté pour eux. J'avais un peu peur, maintenant, mais je tenais bon. Lana m'a dit qu'il fallait lécher le tube au niveau du canal éjaculateur et remonter vers le gland, mais avant, il fallait s'assurer qu'il reste bien dur. J'entourai de ma main le membre d'Arès puis, doucement, je fis des mouvements de bas en haut, admirant le prépuce qui montait et descendait sur le gland. Je posai alors ma langue à la base de son sexe et je couvris doucement la grosse verge d'Arès de salive, remontant vers son gland. Lorsque j'atteignis le méat urinaire, je me mis à donner de petits coups de langue avant de regarder Arès.
-S'il vous plait, ne me critiquez pas... je n'ai jamais fait cela avant...
Puis, j'ouvris doucement la bouche et je pris sa verge avant de l'enfoncer doucement dans ma cavité buccale. Le goût de ce sexe ne me déplaisait pas, mais je n'en raffolais pas non plus. Ma langue parcourait les boutons couvrant la base du gland de mon amant avant de lécher sa peau. Lentement, je me mis à bouger la tête, l'enfonçant toujours plus profond dans ma bouche puis dans ma gorge dans un va et vient répétitif. Mes mains parcouraient, eux, son torse. J'espérais vraiment qu'il apprécie, parce que c'était dur pour moi.
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Arés ne se reconnaissait plus... Plus dutout. Sage, calme, avenant et doux. Tout cela etait son opposé, et pourtant, auprés de Raven, cela lui semblait naturel. Pourquoi un tel changement, pour une simple pretresse? Mais la était la difference fondamentale... Raven n'etait plus une simple Pretresse, ni une simple mortelle pour lui. Elle avait depassé ce stade il y avait deja bien longtemps, prenant une part de plus en plus importante dans l'esprit du Dieu Guerrier. Pour elle, il avait recours a la diplomatie sur certains litiges, pour elle, il tenter de refreiner ses pulsions sanguinaires. Oui, Raven avait changer beaucoup de choses dans la vie si bien tracée d'Arés, et la raison etait simple, elle etait présente dans le coeur du Dieu... Il ne pouvait étre exclusif, et elle le savait tout aussi bien que lui, il l'aimait comme une enfant, une amie, une mére parfois, il aimait son corps, son sourire, sa voix, sa grace et tellement d'autres choses, qu'il devait bien se rendre a l'évidence... Raven Miller avait prit place dans la téte et dans le coeur de Pierre du Dieu.
Alors que ses mains parcouraient les formes si volupteuses de la Pretresse, il sentit un courant faible passer entre eux, se trouvant finalement nue par magie. Il la regarda, sourire aux lévres. Elle etait véritablement la plus puissante et plus immaginative des magiciennes, le rendant fiére... Si fiére de ce qu'elle etait devenue. Il reprend alors son baiser, ses mains jouant sur ses seins, ses paumes glissant a peine sur ses tetons deja durcits... Une merveille, sculpté de la main des dieux... Arés aurait put la creer lui méme, tant elle rassemblé les atouts qui le faisait trembler... Mais cette oeuvre la avait été faite par un artiste, pour le plus grand privilége du Seigneur de Guerre.
Tandis qu'il profite de cette peau brulante, il se sent de nouveau plaquer sur le tapis, ses yeux se rivant dans ceux de Raven, son visage s'illuminant de plaisir, devant le sourire qu'affiche la Pretresse. SOn torse est alors prit d'assaut, par des baisers conquerants et si doux a la fois, avant que le visage de la belle Elfe s'ecoule lentement vers son entre-jambe. Il regarde le tout sans broncher, se demandant qui avait bien put lui enseigner de tels usages, mais au moment méme ou il s'appréte a lui demander, il sent le visage de Raven froller son membre d'une maniére si sensuelle, qu'il ne peut retenir un soupirs de plaisir, sa verge se tendant instantanement. Doucement, son épée de chair se fait prendre en main, une main chaude, delicate et precise, qui entame des va-et-vien lents et profond. Le Dieu redresse le téte vers la magicienne, ses joues rouge sous la chaleur imposante de son plaisir, avant de se laisser tomber a nouveau sur le tapis quant il sent la langue rapeuse de sa pretresse courir le long de son membre... Mais tout cela n'est rien encore, comparé a l'instant ou l'épée de chair du Dieu, trouve en la bouche de la mage, un fourreau de soie, chaud, et accueillant.
La, un long gémissement accompagne la fermeture des yeux d'Arés, tandis que ses mains caressent lentement les cheveux blonds de la jeune femme. Il reléve alors la téte, la regardant, et entre deux soupirs, il repond a son engagement et a sa demande...
"Raven tu es... Incroyablement.. Douée."
Il ne peut en ajouter plus, se laissant tomber la téte au sol, les yeux de nouveau clos, savourant les mouvement des lévres sérrés de Raven sur sa Hampe, tandis que ses mains continuent de courir le long de ses cheveux d'or...
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Il aimait. Par Arès! Il adorait ma fellation. J'étais très fière de moi et très contente. Je retenais par contre de sourire, ce qui aurait été déplacé en ce moment. Je remontai quelques mèches de mes cheveux blonds derrières mes longues oreilles puis je mets beaucoup de douceur dans ma fellation. Lame m'a dit de bien couvrir la chair du pénis de salive pour bien le lubrifier, mais lui faire ce bien attirer une de mes mains vers ma vulve, toujours sèche. Je me caresse doucement tout en léchant le sexe d'Arès. Je caresse mon raphé de l'index puis je frotte doucement les grandes lèvres de ma vulve, pour me faire un peu de bien à moi-même. Arès semblait apprécier se laisser faire avant le coït ou alors, c'était pour ne pas me brusquer. Lorsque le sexe fut bien dur et lubrifié, je retirai ma bouche de là, haletante. Délaissant mon corps, je me mets à sucer ses testicules, comme m'a dit Lana. Heureusement qu'elle m'a tout enseigné, sinon, je crois qu'Arès aurait un peu moins apprécié ma première fois. Je me souvenais des plaisirs que Lana m'avait fait gouter et j'espérais pouvoir en savourer d'autres dans les bras d'Arès. Je regrimpai sur lui et je caressai son beau visage d'une main aimante avant de l'embrasser tendrement sur les lèvres, enlaçant son cou de mes bras, me collant à lui. Sous mon poids, mes seins se comprimèrent sur le corps d'Arès. Puis, je me blottis contre lui et je restai immobile. J'ai toujours voulu faire l'amour à mon dieu dans son grand lit rouge, pas dans un salon de thé et je me remis à penser.
De mes mains, je caressais doucement le corps d'Arès, songeant à toutes les fois où j'avais rêvé de ce moment. Être dans les bras de mon dieu, l'entendre me chuchoter des mots d'amour à l'oreille avait qu'il ne me fasse l'amour, c'est cela dont j'ai toujours rêvé. Je sentais encore ses mains sur mon corps et le plaisir que je ne ressentais que dans mes rêves. J'avais tellement envie de lui dire que je l'aimais, que je le voulais pour moi, mais je savais que ce n'était pas possible. Je l'ai vu si souvent embrasser Heilayne et Élosia... chaque fois que je le voyais heureux, mais pas avec moi, je m'enfermais dans ma chambre pour pleurer ma jalousie. J'étais si près, je le regardais tellement... et il ne m'avais jamais remarquée. Il n'avait jamais vu les étoiles qui brillaient dans mes yeux alors que je chantais pour lui et rien que pour lui. Il n'a jamais vu que je l'aimais, que j'avais besoin de lui. Il n'a pas plus vu l'envie de lui qui brillait dans mes yeux. Mais aujourd'hui, j'étais enfin avec lui, mon dieu, mon amour. Je pouvais le serrer dans mes bras, l'embrasser comme je veux, me blottir contre lui et le toucher librement. Je caressai doucement la joue d'Arès.
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Les douceurs se poursuivent, lentement, faisant monter des sons rauques et des soupirs de la bouche entrouverte du Dieu de la Guerre, qui profitait sans relache de ce moment incroyable et si passionné. Il sentait les lévres de Raven courir le long de son membre gorgé de sang, s'aggripant un peu a ses cheveux, tandis que la salive de l'elfe courait le long de son arme de chair, rendant luisant le penis d'un Dieu qui approche du septiéme ciel... Mais il en fallait plus a un Olympien pour arriver a l'extase, et de toute maniére, il ne comptait pas étre l'unique bénéficiaire de plaisir ce soir... Et pas ici, pas dans ce salon. Mais avant qu'il n'ai put dire quoi que ce soit, il sentit la bouche de Raven sur ses testicules, gemissant alors de nouveau, devant tant d'effet de surprise. Il se doutait que Lame devait y étre pour quelques chose, dans ce genre de jeu. La guerriére etait la meilleure de ses pretresses dans ce domaine, et Raven avait dut étre une éléve assidue pour ainsi ratrapper le retard par rapport à sa perverse de Soeur.
Du coin de l'oeil, le Dieu apercut la pretresse se caresser lentement, d'une main, lui tirant un sourire. Oui, voila ce qu'il voulait, faire connaitre a Raven les plaisir de la luxure, auprés de lui, qu'elle y goute et s'en accomode, qu'elle y prenne rapidement plaisir pour ainsi plonger avec son Dieu dans les méandres du plaisir de Chair... Il la sentit alors remonter, et l'accueillit dans ses bras puissants, sentant leurs peau ne fairent plus qu'une, sentant son souffle chaud s'eccraser sur son cou... Un frisson le parcourut, tandis que son membre se sentait delaissé... Mais qu'importe finalement, il avait tout a lui apprendre, tout ce que Lame ne connaissait pas de lui, cette partie de son étre douce et aimante, que ce soir il avait decidé de faire partager a la belle Elfe. Lentement, et se redressant, il passa un bras sous les genoux de la belle, l'autre la tenant sous le dos, pour se redresser, et marcher nue dans le temple vide en cette heure la de la journée. La serrant contre lui, il arriva enfin dans sa chambre, son grant lit tronant au centre de la piéce. Là, il l'allongea avec delicatesse, sur le dos, avant de se placer au dessus d'elle.
"Ferme les yeux, Belle Raven, et laisse toi guider par ton desir..."
Il sourit tendrement, avant de se glisser le long de son corps. Il s'arréte un instant sur ses seins, qu'il embrasse, goute, mordille, sa langue parcourant le contour de ses tétons durcit, ses mains massants sa poitrine de geste doux, les malaxant avec prudence, les pincant juste pour les premiers effet, avant de continuer sa decouverte du corps sublime de la Magicienne. Sa langue humide laisse un long scillons brillant le long de son ventre, contournant son nombril, avant qu'enfin, le dieu parvienne entre les cuisses de Raven, la regardant, les yeux petillants. Ses mains se posent alors sur chacune de ses cuisses, les ecartant lentement, sans la lacher du regard, et d'un geste presque cérémonial, le dieu se penche en avant, ses lévres touchant le sexe si pure de sa Maitresse... Il s'enivre de ce contact, l'embrassant de petit baisers, avant que sa langue ne plonge, ecartant habilement ses lévres, devoilant son clitoris si jeune, si fiére. la commence alors de leger coup de langue, juste pour lui signaler ou il etait, avant que le Dieu ne joue a tourner autour de lui, et qu'enfin ses lévres s'en empare, le sucotant, l'aspirant. Il le relache, redonnant quelques coups de langues ingénieux, le regard toujours planté dans celui de sa pretresse.
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Lorsque je sentis ses bras puissants me soulever, j'ai passé mes bras autour de son large torse pour ne pas tomber et j'ai blottit mon visage contre ses pectoraux. Alors qu'il marchait dans la propriété, les servants et servantes me lançaient des regards, mais je ne m'en préoccupait pas. J'étais heureuse et rien ne pourrait me gâcher ce moment dont mes rêves de luxure m'avait fait entrevoir les saveurs. On traverse les longs couloirs de son temple, je sens son sexe taper sur mes fesses à chaque pas, mais je n'en suis pas gênée, pour la première fois de ma vie, je n'avais pas honte de ce que j'ai fait. Même si c'était dégradant, je pourrais le faire des millions de fois pour le plaisir d'Arès. Nous parvînmes enfin à sa chambre. Il en poussa la porte, la refermant ensuite avant de m'allonger dans son grand lit rouge. Je le regardai dans les yeux, admirant son sourire avant qu'il ne descende doucement vers ma potrine.
Sa bouche se posa sur l'un de mes seins puis je sentis mon mamelon être dorloté de milles soins, m'arrachant des gémissements de plaisir. J'aimais ce que je ressentais. Sa langue râpeuse passe sur mon auréole, m'arrachant de petits soupirs. Ses dents qui s'enfonçaient dans ma pointe durci me fit gémir davantage, en plus des suçotements que je sentais. Son autre main faisait sur mon autre sein le même traitement. Arès savait donner du plaisir, ça, c'était vrai. Je me laissais totalement faire, m'abandonnant à ses douces caresses. Je le vois ensuite descendre tout en goûtant mon corps couvert d'une légère couche de sueur, donnée par ma chaleur interne, me faisant davantage frémir. Il descendait toujours plus bas, couvrant ma peau d'une ligne de salive. J'avais de puissants frissons dans tout mon corps. Je sentis ensuite ses mains sur mes cuisses qui les poussaient doucement pour les écarter. Au début, je ne fis rien, mais dès que sa langue entra en contact avec ma vulve, je lâchai un gémissement. Il caressait mon clitoris de son membre buccal. Je lâchai plein de gémissements, mes mains allant caresser ses cheveux de soie. Je lâchai un cri de plaisir quand il aspire ma perle dans sa bouche. C'était si bon.
-Haaan... Arès...Arès-sama... hmmmm!
J'ondulai doucement contre ses lèvres qui me faisait tellement de bien, mon pubis dépourvu de poil effleurait parfois son nez. C'était tellement bon. Les yeux clos, brisant ce contacte visuel, je fais glisser mes mains dans les draps du lit et je les saisis à chaque fois qu'une vague de plaisir monte dans mon corps. Arès était tellement doué. Je n'arrivais pas à me taire, je gémissais sans cesse, ma voix revenait en écho dans la grande chambre de mon maître et dieu aimé. Sans le vouloir, je le renversai doucement, me plaçant à quatre pattes au-dessus de lui, les jambes bien écartée, offrant ma vulve dégoulinante de cyprine à sa bouche. Je lui laissais ainsi une plus grand marge de manœuvres. J'avais tellement chaud, j'avais tellement envie d'Arès.
-C'est...si...bon...
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Sa langue agit, telle un elixir puissant, faisant monter lentement le plaisir de Raven, prenant le temps de lui faire decouvrir les differants stades des vices et de l'immense joie de sentir de tel delices... Son corps réagit, devant les yeux emerveillés du Dieu, qui ne peut s'empecher de laisser un sourire s'echapper de ses lévres, alors que celles ci sont toujours cloué sur le Vagin si doux de sa pretresse... Sa langue joue avec son bouton, encore et toujours, venant le taper délicieusement, venant le titiller lentement, avec passion et fougue, le mordillant egalement, sans y aller trop fort pour ne jamais la brusquer... Et enfin, vient le gout delicat de la Cyprine tant convoité. Il la deguste, la bois, s'abreuvant de ce jus des plaisir, alors qu'il poursuit sa délicate attention, sentant, entendant, les gemissements de l'elfe, ne rendant son préliminaire que plus desirable encore. Il la veut, la maintenant, mais préfére encore patienter... Oui, la faire doucement monter vers les cieux, pour cette nuit, ce moment, faire d'elle la reine des Monts du plaisirs, faire qu'elle ne puisse plus en redescendre sans regret...
Alors que ses mains caresses ses cuisses, il se sent a nouveau renverser sur le lit, se trouvant sur le dos, mais la vulve de Raven ne s'echappant pas, bien au contraire, se placant au dessus de lui, il comprend alors qu'elle est a califourchon au dessus de son visage, s'offrant plus encore a sa bouche, a sa langue, son sexe humide s'ouvrant un peu plus a mesure qu'elle ecarte les jambes au dessus de lui. Il en est ravit, et place alors ses mains sur le fessier rebondit magnifiquement de la Magicienne, sa bouche reprenant son vagin a pleines lévres, l'entourant, l'embrassant, buvant encore son nectar de plaisir.
La langue du Dieu reprend son supplice, retrouvant si aisement le chemin de son clitoris, l'appuyant sur lui méme, le faisant tourner tout contre ses parois, prenant ses lévres inférieurs, les aspirants, pour degager a nouveau le chemin vers son bourgeon...
Ses mains massent ses fesses, avec delectation, avec desir, jouant d'un doigt le long de sa raie, continuant ses coup de langue, son menton s'humidifiant de mouille, luisante comme la pluie aprés un orage d'été. Il s'excite, de plus en plus, son membre le montre bien, se trouvant toujours dréssé, a mesure que Raven gemit, si belle, si erotique et attisante... Elle eveille en lui un feu incontrolable, mais qu'il parvient a contenir encore. Alors doucement, et comme pour annoncer les prochain jeu, la langue d'Arés entre doucement en elle... Il sent les bords brulant de son vagin, il sent le gout salé et delicieux que produit sa mouille en elle, alors qu'il va chercher au plus loin possible, avant d'entamer des petits va-et-vien... Ses mains continuent leurs massage, un doigt voyageur s'aventurant méme prés de son petit passage, le caressant gentillement sans le brusquer, de peur de la voir se choquer, ou se stresser... Mais le plaisir est la, present, palpable, et ses coups de langue le tempoignent a mesure qu'il accélére...
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Les délices du vice étaient pour moi les plus agréables au monde. La langue d'Arès me fait monter lentement encore plus haut que l'Olympe. Je sens ses doigts sur la peau de mes fesses et je soupirai encore et encore, emplie de ces sensations agréables dans un tourbillon de saveur incontrôlé dans lequel j'étais prise. Ses doigts caressent ma raie, je ne fais rien. Je veux goûter à tout ce qu'Arès peut me donner. Mais je ne veux pas être la seule à tout profiter. Lentement, je me retourne, gardant ma vulve contre le visage d'Arès tant qu'il la veut alors que je me places à l'envers. Je sens alors son doigt effleurer délicatement mon anus, me faisant savoir une autre chose que je ne savais pas; si me prendre par ce trou-là était un de ses désirs. Mais je me sentais incapable de lui dire non, c'était trop bon. Je le laisse faire, je veux qu'il me fasse tout ce qu'il souhaite, pour le rendre le plus heureux possible.
Puis, le souvenir de Lana revient. Elle m'avait dit que la masturbation mammaire était une autre chose que mon dieu adorait et qu'il fallait sucer sa hampe de chair en même temps. Je lui avais demandé pourquoi Arès aimait-il des traitements si dégradants. Elle m'a répondu que ce n'avait rien à voir avec le faire que c'était dégradant, c'est simplement parce qu'Arès était un homme et que, si je voulais le satisfaire, il fallait que je me plies à ses plus bas instincts et que le "bonheur" de son pénis devait être ma priorité. Elle m'a aussi dit que les hommes avaient deux têtes. Ils pensaient parfois avec leur tête d'en haut, puis leur sexe, ce qui les pousse souvent à faire l'amour à plusieurs femmes. Alors, je me suis dis que tant que son sexe se plaisait de mes traitements, alors, Arès m'aimerait peut-être un peu plus et qu'il me préfèrerait dans son lit à... Non, jamais je ne pourrais battre Aphrodite sur ce terrain. Elle pouvait satisfaire Arès quand celui-ci ne faisait que la regarder et moi... je ne savais même pas s'il me regardait sans que je sois devant lui, à genoux.
Ces tristes pensées firent monter des larmes dans mes yeux, mais pour cacher cette amertume, je prend doucement le sexe d'Arès entre mes seins, mais je me fais déstabiliser par le plaisir lorsqu'il fait entrer sa langue en moi. Je gémis et je colle davantage mes lèvres intimes à la bouche de mon amant pour que son membre buccale aille plus profondément en moi. J'étais trop bien, je me sentais si confortable. Pour lui rendre tous ces plaisirs, je pris doucement son sexe entre mes seins une nouvelle fois et je les fais monter et descendre sur la grosse colonne de chair. J'approche alors mon visage de son gland et je me mets à lécher son méat urinaire, ne disant rien en sentant le pré-sperme atteindre ma langue. Je ne me plaindrai jamais si c'est pour Arès, jamais plus des moindres choses. Je prend le bout de son sexe et j'en remplit ma bouche en allant jusqu'à la base de son gland. Je fais tourner doucement ma langue autour de son sexe. Je croises les doigts pour que cela soit agréable pour lui, mais juste à la quantité de cyprine qui entrait dans la bouche de mon divin amant, celui-ci devrait bientôt se rendre compte que j'ai envie qu'il me prenne, qu'il m'enlève de ses propres mains ma virginité pour que personne ne puisse lui ravir cet honneur.
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Sa langue se delecte de ce precieux nectar qui peu à peu s'ecoule de la flore de Raven, coulant le long de la gorge du dieu, tandis que ce dernier continue a jouer avec son clitoris affolé, le titillant sans arret, sans méme reprendre son souffle. Ses doigts qui jouent avec l'anus de sa pretresses se font légérement plus insistant alors, voulant lui montrer tout ce qu'il connaissait, tout ce qu'il voulait, tout ce qu'il aimait. Raven etait d'une incroyable beauté dans le plaisir, Elfe Magnifique, ses gemissements n'etaient qu'appels a plus, encore plus de jeux et de désir. Tandis qu'il accentue encore un peu ses coups de langues, il sent la jeune femme pivoter au dessus de lui, dans un position des plus excitantes pour le Dieu Guerrier, alors qu'il sourit, reprenant dans sa bouche, le vagin brulant de sa Maitresse.Il percoit les caresses qu'elle lui prodigue, et ne peut retenir quelques gémissements, collé a son intimité, aspirant doucement son bouton des merveilles. Le plaisir grimpe encore, ne voulant plus lacher les deux amants qui se sont chercher depuis si longtemps l'un et l'autre.
Il sent son membre prit entre ses deux seins, exultant intérieurement qu'elle prenne tant d'initiative a elle seule, si novice pourtant sur le sujet, elle avait prit conseil auprés de la sulfureuse Lana, ne laissant pas de place au hasard pour cette premiére fois. Arés devait l'admettre, Raven etait une éléve douée, brillante, qui savait comment donner du plaisir a un homme... Pas n'importe lequel qui plus est. Certes il avait connu les bras d'Aphrodite, et d'autres déesse, mais Raven elle, avait quelque chose qu'il ne parvenait pas a expliquer, mais qui la rendait speciale, tant dans ses caresses, que dans ses mouvements. Tandis que la Pretresse gemit, il sent le moment enfin venue de prendre cette virginité qu'il convoite tant depuis des lunes... Il s'extirpe a regret de ses lévres, glissant sous elle, sans la bouger, la laissant a quattre pattes. Il se redresse, a genoux derriére elle, pour lui caresser lentement le dos, comme signe avant coureur de ce qu'il comptait faire maintenant...
Mais la position ne lui convenait pas... Il ne desirait pas la prendre en premieux lieu ainsi. Raven n'etait pas une catin, elle meritait bien mieux que ce genre de pratique pour sa defloraison... Doucement, il la renverse, la mettant sur le dos, avec un sourire gracieux et charmeur, et peu a peu il s'allonge tout contre elle, embrassant ses lévres, sa langue, encore enduite de Mouille, joue avec celle de la Magicienne, alors que son sexe se glisse entre ses cuisses, et que son gland vient frotter sur son clitoris. Quelques murmures...
"Tu es.. Magnifique Raven.. Je serais doux."
Une promesse qu'il comptait bien tenir, alors que dans un geste d'une extréme lenteur, et d'une douceur sans pareil, il entre son gland, aidé dans les premiers centimétres par la mouille abondante de sa servante... Un coup de rein plus tard, le Dieu arrive a l'endroit de toutes les convoitise... Le bouclier de la vierge se pose devant son épée de chair. Croisant le regard de la belle muse, il sourit, donnant un bref acoup pour venir le percer, gemissant tant le bonheur est total... Il reste de longues secondes au plus profond des entrailles de Raven, la regardant, l'embrassant, avant d'enfin commencer de long et profond va-et-vien.
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Je n'avais jamais cru que faire l'amour avec Arès aurait été aussi agréable. Ma vulve et surtout mon clitoris étaient en feu, j'avais horriblement chaud et j'avais envie d'Arès à un tel point que j'en avais du mal à être plus entreprenante. Jusqu'à maintenant, les commentaires que j'avais entendu au sujet des parties de jambes en l'air avec le Dieu de la Guerre étaient des plus effrayants, la plupart signifiant une rare douleur pour les vierges, mais au contraire, il était tellement doux avec moi que je ne pouvais qu'apprécier. Je sentais ses mains jouer sur mes fesses, ses doigts titiller mon anus alors que sa bouche étirait mon clitoris à grand coups de succion. Face à tous ces plaisirs, je ne pouvais que gémir sans cesse, prouver de cette manière mon plaisir. Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine, d'incessantes bouffées de chaleur montaient en moi à chaque coup de langue sur mon intimité. Certes, j'étais pleine d'appréhension pour la suite, mais j'avais confiance en Arès plus que tout et je savais que j'allais aimer ce qui allait m'arriver. Peut-être pas au début, mais plus tard, très certainement.
C'est alors que mon dieu arracha mon sexe et le sien à ces traitements des plus agréable, se glissant derrière moi. Je le laissai faire, mais j'avais peur sur le coup qu'il me prenne en levrette, quelque chose que je considérais comme dégradant pour une prise de virginité. Cependant, il me renversa sur le dos et m'embrasse. Je mêlai mon amour et mon adoration pour la divinité dans ce simple contact, savourant la saveur irrésistible de sa langue. Son corps contre le mien, je passe doucement mes bras autour de son large torse, où plusieurs souvenirs de grandes batailles avaient trouvé leur place. Mes mains caressaient son grand dos alors qu'un sourire se dessinait sur mes lèvres. J'étais prête à perdre ma virginité pour lui, accomplir mon but ultime pour cette soirée qui s'avançait lentement. Je caresse doucement son visage avant de l'embrasser passionnément alors qu'il entre en moi, lentement. Son épée de chair déchire mon hymen avec douceur, sans me faire de mal, bien que je ressens un léger inconfort. Un peu de sang s'écoule de ma vulve, mais ce n'est pas grave. Il commence lui-même le mouvement et je le serre davantage.
Je sentais son sexe aller et venir en moi. Pour faire taire ma douleur, j'embrasse le dieu de la guerre, m'empêchant de crier et de me plaindre à cause du frottement de son sexe sur l'ancienne demeure sanguinolente de mon hymen, cette partie fragilisée par le départ de ma Vertu. Je serre le dos de la divinité dans mes bras, mes mains se crispant légèrement. Puis, la douleur laisse place à un plaisir grandissant. Mes parois vaginales de vierge étaient très serrées sur le sexe d'Arès, maximisant le plaisir que celui-ci pouvait ressentir. Moi, j'ondulai contre lui, haletante sans cesse, prise dans cette vague irrésistible de plaisir. Doucement, je m'approche de la nuque d'Arès pour la couvrir de baisers. Puis, je décide de me venger de ma douleur, bien qu'infime. Je souris doucement puis je lèche sa nuque à l'endroit cible, l'anesthésiant avant d'y enfoncer mes petits crocs. Je mordais bien et je ne faisais aucunement mal à mon dieu. De toute façon, j'avais l'habitude et lui aussi. Je bois son sang à petites gouttes, savourant le coulis chaud dans ma gorge. Arès était ma seule Proie, je ne mordais personne d'autre que lui, c'était la promesse que nous nous étions faite, il y a des années de cela. Puis, je détache ma bouche de son cou, ayant recouvert toute mon énergie. Les plaies disparaissent tout de suite, grâce à la magie que contenait ma salive. Mes mains descendent doucement à sa taille et je m'empale de son pieu de chair jusqu'à ce qu'il atteigne le col de mon utérus, le prenant entièrement en moi. Un gémissement jaillit de ma gorge, mêlant douleur et plaisir dans une déformation de ma voix. Celle-ci transmet divers signaux sonores dans le corps d'Arès, stimulant chaque partie sensible de son anatomie, renforçant son plaisir et augmentant son désir. Mais ce n'était pas encore fini, je voulais jouir avec Arès.
-A...Arès-sama...! -une nouvelle entrée m'arrache un gémissement- Han...! Oui...!
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Les allers et venues etaient des plus sensuelles, et que dire de la libération de cette flore inviolée, de cette virginité qui allé enfin s'evanouir comme par enchantement, sous les assauts doux mais tétus du dieu de la guerre, qui ne relachait pas le visage de la sublime pretresse des yeux, son sourire se crispant sous le plaisir decuplé de sentir enfin son sexe aspiré dans la grotte de la jeune femme. Il sent les bras de Raven resserer leurs prises sur lui, comprenant alors qu'il venait de faire ceder le derniers symbole de la vierge... Il la regarde, s'assurant qu'elle ne souffre pas trop, et reprend alors ses vas-et-viens, toujours plus profondement. Leurs corps s'epousent a merveille, tandis qu'il frotte son torse sur sa poitrine, sentant ses tetons durcit, dessiner des fresques imaginaire sur les cicatrices des batailles passés... Le temps c'est arrété en cet instant, ou Raven lui offre son plus beau cadeau, qu'il accepte avec honneur, prenant toutes les precautions pour ne pas la brusquer, faisantun travail incroyable sur lui méme, tandis que son sexe s'enfonce plus encore au tréfond de sa Pretresse.
Soudain, c'est sa propre douleur. Légére, présque iréelle, mais perceptible. Son cou est prit d'assaut par les crocs de la Vampire. Il sourit, la laissant faire, etant l'un des rares contact qu'ils avaient depuis des années, ils avaient convenues ensemble, que seul son sang servirait de repas a l'Elfe au cheveux d'or. Et depuis ce jour, il connaissait par coeur les effets des morsures de sa servante, les appreciants, tant par leurs douleurs, que par leurs coté erotique... Melange de souffrance et de plaisir, de sang et de baisers, de quoi ravir le Dieu de la guerre si particulier. Trés rapidement, la douleur cesse, et les plaies finissent par devenir de mauvais souvenirs uniquement. Revan le regarde encore, il perd a nouveau pied dans le lagon de ses Iris, sentant ses mains fines se poser sur ses hanches. C'est alors que le geste qui suit le laisse tout aussi surpris qu'excité. Elle s'empale elle méme, cherchant a l'enfoncer au plus profond de son vagin, gemissant sous l'effet. Le Dieu ne peut que soupirer lui aussi, de pure plaisir, avant qu'il n'entende sa voix melodieuse deformé par la voix rauque de la sensualité. Il sent son corps frissoné... Malgrés elle, Raven avait utilisé sa magie par ses chants, et l'effet etait immédiat. Ares avait de plus en plus de mal a se controler. Ses vas-et-viens se font plus rapide, plus profond, plus fort. Sa bouche se fait gourmande, il reprend celle de sa servante, avant de replonger sur ses seins, les lecher gouluement, sans retenue. Ses bourses claquent sur le fessier de la jolie Muse, tant les mouvements se font intenses, alors, a ce moment, vient l'approche du plaisir supréme...
Il léve les yeux instantanement vers elle, dans un rictus deformant son visage si sévére habituellement, ou si doux quant il est avec ses pretresses... Il sent grimper la jouissance, continuant alors ses vas et viens, son sexe disparaissant dans son antre, ses mains venant se saisir de ses fesses, qu'il aggripe pour donner plus de force dans ses pénétrations, quant enfin, il jouit, au fond de ses entrailles, deversant son flots de liquide blanchatre, le regard dans celui de la sublime Raven, le visage en sueur, le front humide, le corps tremblant... Etrange qu'il est si vite atteint l'orgasme, mais il ne doutait pas un seul instant que les gemissements si melodieux de sa muse, avait eu pour effet de jouer de magie, sur le corps d'un dieu qui pourtant, ne prenait plaisir qu'au bout de plusieur heures de ce traitement....
Il se posa alors doucement contre elle, le souffle court, l'embrassant tendrement, pour se glisser a ses cotés, la regardant avec tendresse... Celle qui lui avait offert sa virginité.
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C'était totalement différent d'avec ma soeur d'arme Lana. Chaque coup de rein de l'homme que j'aimais envoyait des centaines de petits éclairs de plaisir dans mon corps, provoquant des gémissements, des crispations et un désir d'en avoir encore plus. Je sentais le membre du dieu coulisser en moi, allant et venant à un rythme régulier alors que les ongles de mes doigts fins s'enfonçaient maintenant, suite à une remontée rapide, dans sa chair dorsale et que je le serrais contre moi. J'aimais cela, j'aimais tout ce que je ressentais et mon corps participait à ce plaisir méconnu et pourtant tant souhaité. J'avais l'impression que nous n'étions que tous les deux dans ce monde, que cette chambre était l'intégralité de celui-ci. Le passé et l'avenir n'existaient pas, il n'y avait que le moment présent que je savourais entièrement. J'embrasse mon dieu alors qu'il vient réclamer mes lèvres, qui lui reviennent de plein droit, je lui donnes mon corps alors qu'il le caresse de ses mains, je lui offres mes seins alors qu'il éprouve l'envie de leur infliger de doux et chauds traitements linguaux. Moi qui était tellement pudique, j'accordais ce corps à mon maître.
Ses mouvements devenaient subitement plus rapides et la raison me paraît claire. Tout comme lui, mon propre plaisir approchait du paroxysme. Puis vint ce moment tant attendu. Les lèvres d'Arès collées aux miennes, son sexe bien tendu en moi se relâcha alors que j'atteignais le septième ciel avec lui, parvenant à peine à lâcher un cri à cause des lèvres de mon aimé qui obstruaient ma bouche. Savourant le délice comme je savourais sa langue, je mis encore plus d'ardeur dans mon baiser alors que je me cambrais contre lui, enfonçant mes doigts jusqu'à la première phalange dans le dos de mon divin et masochiste amant. La guerre avait formé le corps de mon maître au point que même la plus forte douleur soit un réel plaisir pour lui. Je sentais sa semence s'écouler en moi, mais je n'avais pas honte; c'était ce que je voulais. Mais je savais bien que cela n'était pas fini. Après un moment dans cet état d'extase, je revins à moi, reprenant totalement mes esprits. Mon corps était parcourut de frissons et crispés, mais je parvins à extirper le sexe du bel homme de mon antre avec un peu de difficulté. Un léger bruit fort gênant de succion se fit entendre lorsque le contact fut rompu et j'en rougis. On aurait presque pu dire que mon corps ne voulait pas qu'on se sépare et j'en étais fortement embarrassée. Son baiser me rassura cependant, le brisant par la suite et je me blottis dans ses bras puissants, bien au chaud, allongée sur des draps de satin, laissant l'air froid qui entrait dans la chambre caresser ma peau.
Lorsque mes tremblements s'achevèrent enfin, je levai la tête vers le visage d'Arès. Il ne semblait même pas un peu fatigué par l'effort physique alors que moi, j'étais un peu épuisée, bien que je puisses en prendre davantage. Me hissant pour rejoindre ses lèvres des miennes. Je les retrouvai aussi goûteuse que la première fois que je les eus embrasser. Mes bras entourèrent plus fortement le cou du Dieu. Après un moment d'étreinte, je reculai un peu pour lui laisser de l'espace puis je revins à l'assaut, me ruant sur lui pour le renverser et monter sur lui en riant. Cette nature joueuse que j'avais refoulée tant d'années revenait peu à peu et je m'en sentais très bien. Je m'assis à califourchon sur lui puis je lui adressai un grand sourire. Je me penchai ensuite sur son oreille que je mordillai doucement en prolongeant mon sourire. Je pris une main dans la mienne et je glissai mes doigts entre ceux du dieu et je serra avec amour. Je pris alors mon courage à deux mains, prenant une grande inspiration et expirant jusqu'à ne plus avoir d'air dans mes poumons puis j'inspirais encore une fois. Ma main se crispa davantage et je me dis que je n'avais pas de meilleure chance que de tout lui avouer, quitte à me faire repousser de lui à jamais.
-Arès-sama... je... -je déglutis avec difficulté, m'attendant au pire- je vous aime...
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L'intensité du moment tombé peu a peu, reprenant son calme habituel, laissant la chambre dans un silence, juste rompu par la respiration saccadée de Raven, qui etait nue, aux cotés du dieu, qui ne se lassait pas de ce spectacle grandiose qui s'offrait a lui. Il n'avait jamais imaginé Raven dans de telles circonstances, et pourtant, elle avait fait preuve d'une grande habilité en matiére de plaisir masculin, ses lévres douces et sa vulve accueillante, mettant le trouble et le plaisir, méme chez un dieu aussi difficile a satisfaire qu'Ares. Certes, il n'etait toujours pas rassasié, il en voulait toujours plus, mais il se garda bien pour lui de lui annoncer, la laissant reprendre ses esprit en paix. Sa main se detacha alors, venant froller son corps offert a coté de lui, glissant lentement, comme un navire qui fend les oceans. Il redécouvre alors les plaisirs de caresser ses seins volumineux, ses fesses enchanteresses, son ventre plat, et ses cuisses douce et galbés. Il dessine des fresques, des mosaïques, imaginaire biensur, mais bien réelle dans son esprit.
Soudain, il sent la jolie pretresse bouger a ses cotés, et se faire féline tandis qu'il remonte sur lui, conquérante, joueuse, comme elle l'avait été par le passé. Il en rit avec elle, tandis que son corps epousé celui de la jeune femme, se collant intensement a elle, reveillant ses instincts de male pure et dure. Il se retiens encore, inspirant longuement, alors qu'il repondait a son baiser tout aussi fougueusement, la remerciant silencieusement du cadeau qu'elle venait de lui offrir, sachant combien il etait important pour une femme, qu'elle soit humaine ou non, de ceder sa virginité. Il la sent alors se tendre, cherchant ses doigts des siens, les frollants, les enlacants, la nervosité etant maintenant palpable chez sa Pretresse, qu'il peut lire comme un livre ouvert. Et les mots tombent alors soudainement... Les mots sincéres, chaud et si magnifiquement prononcé... Le dieu sent alors pour la premiére fois la géne, en méme temps que l'amertume... Raven... Non pas de souffrance pour sa pretresse.
Il aurait bien put lui annoncer que lui aussi, comme il l'avait si souvent fait pour assouvir simplement ses envies de chaires. Mais la blonde meritait mieux que ce traitement la. Il comprenait maintenant les moment de solitude de la jeune femme, ces ecarts quant il etait la, et son renfermement sur elle méme. Un amour impossible, elle le savait au plus profond d'elle méme. Un dieu Olypien ne pouvait donner son amour sans le bafouer, ainsi etaient fait les Maudits Grec, ne pouvant connaitre les bonheur des mortels, ce droit leurs étant refusé par leur statu de privilégié eternellement seuls... Un voile se forme alors sur le visage parfois si dur d'Ares... Il est amére, honteux, de lui méme. Caressant doucement le visage de l'ange, il a un sourire triste. Comment annoncer a sa pretresse, qui venait juste de s'offrir a lui, qu'il ne pourra jamais lui rendre le méme amour... Certes, il aimait Raven, ca il n'en doutait pas un seul instant, mais auprés de lui, il allait connaitre la peine, la solitude. Il etait un Dieu de la guerre, malsain, pervers également. Rien ne l'arrété, et jamais aucune femme n'avait reussi a le retenir, méme Aphrodite n'avait pas ce pouvoir en main...
Il approcha alors ses lévres, pour l'embrasser tendrement. Il savait qu'aprés ses paroles, Raven ne sera plus comme maintenant. Il allait sans doute lui briser le coeur, mais a la différance des autres mortelles, celle ci avait une importance capitale dans la vie du Dieu desormais, et il n'imaginait plus son royaume sans sa présence...
"Raven... Tu sais bienque je ne peux rendre un tel amour... Pas d'une aussi belle maniére que toi. Ton coeur m'est trés important, mais le miens ne connait pas l'amour véritable, et je le crois trop sombre pour cela. Sache que tu reste malgrés tout, au fond de mon ame et de mon esprit, douce pretresse... Importante et irremplacable..."
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Je m'y étais attendu. Je savais que cela était impossible, mais aussi mince était l'espoir et la possibilité d'être aimée à mon tour, j'y avais cru et ses paroles me fendirent cruellement le coeur. Je n'avais même plus le courage de pleurer mon amour sans retour, je l'avais assez fait. Si je calculais exactement le temps que j'ai passer à pleurer sur mon sort, j'ai passé exactement deux ans, trois mois, deux semaines, trois jours, neuf heures, trente-huit minutes et douze secondes à verser des larmes sur mon oreiller ou sur mes vêtements. Je n'avais plus d'eau pour cela, mais je m'enfonçai cruellement les crocs dans la lèvre inférieure pour laisser ma douleur intérieure s'extérioriser un peu. Je me maudissais d'avoir eu enfin le courage de tout lui avouer, de lui avoir donné mon cœur sur un plateau d'argent en sachant pourtant que c'était la pire chose à faire. Maintenant, je me répugnais. Je m'étais moi-même souillée en lui donnant ma virginité. Importante? Irremplaçable? D'accord, je veux bien. Mais devrais-je être heureuse d'une importance sans l'amour de celui que je convoite depuis mes premiers saignements? Si je devrais l'être, eh bien je suis une femme des plus étranges. Mais autre chose remplaça mon amour non-partagé, une envie de satisfaire Arès. J'allais devenir telle qu'il le voudrait, une fille qui se laisse aller à toutes ses pulsions, qui se soumet aux moindres de ses désirs, sa petite trainée personnelle. Dans ma folie, je me tournai d'un coup puis, lui jetant un coup d'œil, je lui adressai un sourire coquin.
La Raven qui était devant lui était une autre personne. Moi, je me trouvais trop répugnante pour persister à m'exposer à la présence de cet être qui ne m'aimait pas, qui n'éprouvait qu'une attirance physique à mon égard. Plutôt que d'en faire mon compromis, je me suis laissé emporté par ce désir contenu, cette perversité refoulée sur des années de chasteté peuplée de rêves des plus indécents et érotiques accumulés au fil du temps. Je voyais, je sentais, j'entendais, je goûtais et je pouvais sentir les contacts sur ma peau, mais je ne contrôlais plus mon corps. Les envies de luxure, la sauvage envie du retour à l'état bestial et l'insatisfaction avaient reprit ses droits sur ma douce personnalité et mon âme effacée. Puisant dans les ressources quasi-illimitées du dieu, je me servis de la magie pour l'empêcher de tenter quoi que ce soit pour m'empêcher de me dévergonder et de me laisser aller aux envies de chair. Je me foutais de l'importance que j'avais à ses yeux, une chienne bien dressée peut aussi avoir de l'importance pour quelqu'un. Si je ne peux pas avoir son cœur, alors, je lui prendrai son corps. Je saisis son sexe ramolli d'une main, léchant d'une langue bien salivée son gland couvert de sperme, massant avec une tendresse sauvage de l'autre main, lui offrant une magnifique vue sur ma vulve en me collant à lui. Lorsque son sexe fut propre, je le regardai en lui adressant un sourire pervers et méchant. Ce sourire qui disait qu'une grave erreur avait été commise, qui nous faisait comprendre qu'une personne douce n'était plus là, mais qu'une folie s'était emparé de cette personne.
- "Votre vide-foutre est avancé, monseigneur." lui annonçai-je avec une voix empli de sarcasme.
Massant ses testicules à deux mains, je pris lentement son sexe dans ma bouche. Deux ou trois va-et-vient puis je l'avales au complet, jusqu'à ce qu'elle disparaisse dans ma cavité orale. Encore de lents et longs mouvements, coinçant son canal éjaculateur sous mes dents sans lui faire mal. S'ensuivit de puissantes succions sans ménagement. S'il croyait que son coeur était sombre, il n'a jamais pu constaté l'abysse qui se trouvait en moi. Cependant, mon esprit alla rencontrer le sien, cette douce et gentille Raven qui était amoureuse de lui. Dans le monde immatériel qui reliait les âmes, je l'étreignis en lui demandant pardon d'être jalouse et en colère.
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Il se doutait bien de cette chute... De ce moment qui briserait tout, ou Raven ne lui pardonnerais pas son geste, sa prise de virginité, ou sans vergogne il l'avait culbuté... Mais elle etait loin du compte. Trés loin d'imaginer combien le dieu pouvait actuellement s'en vouloir de la faire souffrir, alors que les autres n'attirent méme pas sa pitié... Mais le mal etait fait, et il pensait qu'elle le connaissait mieux que cela, lui laissant enfin la confiance qu'elle lui avait donné. Pour elle, il avait été doux, tendre, comme jamais auparavant, mais aujourd'hui... Ce soir... Il venait de lui briser le coeur, il avait romput cette harmonie qui c'etait creer durant la soirée. Il sentit alors le changement. Il pouvait lire en elle, toujours, sentir son ame, ou qu'elle soit... Et ce qu'il perçu lui glaca le sang deja bien froid. Cette ombre approchant d'elle, se matérialisant en elle, et cette lueur dans le regard, cette echange en coin. Il en eu un frisson, et voulut alors la saisir, a la seul fin de l'empecher de tomber dans les ténébre ou lui aussi se touvait deja. Mais elle ne lui en laissa pas le temps. Dans son empressement, et surtout dans sa naïveté du moment, il oublia de couper le lien de ses ressources pour Raven, la laissant libre d'user de ses pouvoirs gigantesques sur lui. Mais comment aurait il imaginé un seul instant que la douce pretresse, la si pure Raven utiliserait son pouvoir sur lui, Contre lui?...
Il se retrouva alors trés vite dans l'incapacité de bouger, levant seulement les yeux vers elle. Des yeux etonnés, cherchant a comprendre ou elle voulait en venir. Certes la Pretresse etait une magicienne de haut rang, mais elle ne pouvait le tuer si facilement.. Alors que voulait elle faire? La suite allait étre d'autant plus inconcevable pour lui... Il sentit son membre a nouveau entre les mains douces de sa pretresse, qui lui lanca un regard taquin. Il voulut protester, mais la voix de sa Muse l'arreta net. Cette voix... n'etait plus la sienne. Plus noire, plus obscure et scinique. Il n'en croyait pas ses yeux, mais trés vite la bouche de sa pretresse s'empara a nouveau de son membre, dans des mouvements bien plus sauvages qu'habituellement, jouant de son sexe comme une affamée. Le dieu tenta d'echapper au sort d'immobilisation, mais ne pouvait rien faire, tant elle puisait en energie pour le tenir tranquille.. Alors son esprit trouva la douce lumiére de celle qu'il connaissait. Elle s'excusait... Il en fit de méme... D'étre incapable de ressentir l'amour, d'avoir ainsi brisé son coeur.
Sa bouche articula alors des mots pour la Raven qui tenait son membre entre ses lévres, et lui offrait une felation des plus... Incroyable. Mais il tentait de resister a son plaisir de chair, a son appel de la luxure. Il devait l'empecher de tomber aussi bas que lui. Il serra les dents, et sa bouche parvient enfin a sortir des sons audible de sa voix.
"Raven.... Arréte ca!... Tu n'es pas mon Vide Foutre! Ne te l'ai je pas toujours dit! Reprend toi, mme si ta colére est justifié, ne fait pas ca... Ne devient pas comme ca."
Il la supplié presque... Entre deux soupirs de plaisirs qui malgrés tout monter rapidement!
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Les paroles du dieu eurent l'effet désiré sur le mental démoli qui était le mien. L'ombre de la luxure s'effaça en un instant et je reculai brutalement, relâchant mon sortilège dans ma déconcentration, recrachant vivement le sexe de ma bouche, me mettant à toussoter. Je savais ce qui s'était passé, mais j'avais maintenant un terrible goût de sperme dans la bouche et je faillis vomir, ce que je m'empêchais de faire juste à temps. Lorsque je repris mon souffle, j'évacuai magiquement tout le liquide que j'avais dans la bouche ainsi que la saveur étrange qu'il avait, drainant dans mes propres forces pour cela. Mon cœur était toujours douloureux, mais je me sentais capable de faire face à cette peine. Doucement, je me tournai vers le visage de mon dieu et j'allais me réfugier dans ses bras, cachant mon visage dans son cou pour ne pas qu'il voit les larmes qui coulaient de mes yeux. Je bécotai sa nuque tendrement, reniflant par moment, murmurant de petites demandes de pardon entre deux baisers. Je hoquetais parfois, m'excusant. Malgré cette amour qu'il ne pourrait jamais me rendre, je lui murmurai les trois mots les plus tendres connus de mes lèvres. Je l'aimais tellement, malgré ce maudit sens unique. J'attirai doucement le visage de mon dieu contre ma poitrine et je l'y blottis doucement, embrassant ses cheveux.
"Pardonnez-moi, Arès... je suis vraiment navrée de mon comportement... Je suis une mauvaise servante... maîtriser un dieu... je suis bonne pour l'exécution..."
Juste de m'imaginer, à genoux, devant Zeus, dans mon plus simple appareil pour attendre sous les yeux de tous les dieux de toutes les religions avant d'être brulée vive par le maître, le père d'Arès, un énorme frisson parcourut ma nuque. Je n'avais pas peur de mourir. Je ne serais pas une bonne guerrière si la mort m'effrayait. Mais j'avais horriblement peur du Néant. Les servantes qui s'attaquaient aux dieux n'étaient pas envoyées aux enfers, elles étaient totalement détruites, corps et âme, comme si elles n'avaient jamais existé. Zeus poussait même la cruauté à effacer de la mémoire des mortels tout souvenir des bienfaits ou mal-faits du (de la) prêtre(sse) anéanti(e). Un évènement qui avait survenu il y a quelques années, avec les précédentes prêtresses d'Arès, trop belliqueuses. Arès les avaient appréciées pour leurs capacités de combat, mais elles ont commencé à avoir des idées de grandeur un peu trop élevées pour elles et Zeus a dû s'en débarrasser après qu'elles se soient attaquées à Harmonie, une fille d'Arès et d'Aphrodite, pour anéantir un facteur de la paix. Elles avaient toutes été condamnées au bûcher. Je regardai Arès puis je l'embrassai avec amour sur les lèvres, prenant une de ses mains et la posant sur la base de mon dos. Je savais qu'il n'aurait jamais le cœur de me tuer. Mon crime était moindre que celui d'Élosia et il lui a pardonné. Je pris son autre main et j'enlaçai ses doigts des miens.
[HRP: Pardon, je ne voyais pas trop quoi rep de plus ><]
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Il etait bloqué, ne pouvant bouger, a la merci de cette ombre qui avait prit place en Raven, ne laissant de son ame Pure, qu'un souvenir lointain. Le Dieu sentit alors la colére monter en lui. D'abord contre lui méme, surtout contre lui méme, mais egalement contre Raven, l'unique innoncente et ame pieuse qu'il avait prés de lui, la seule qui lui prouvait qu'il existait encore en ce bas monde des choses pour lesquelles il est bon de se battre, de mourir, de tuer. Des choses lumineuses, de belles choses.... Mais tout cela avait été achevé, ici méme, par son coeur anéantit. Ares s'en voulait terriblement, mais la rage qui grimpé en lui etait desormais trop peu controlable... Jusqu'a ce qu'enfin le sortilége se léve, et le laisse retomber lourdement sur le sol. Il resta une bonne minute sans rien faire, ni rien dire, pour lentement se redresser, avant de sentir la Pretresse venir se coller a lui, les sanglots et les pleures de la jeune femme ne pouvant étre que devinés. Elle s'excusé, elle avait finalement retrouvé le chemin de la lumiére, mais malheureusement, elle avait connu un instant la noirceur de la colére, de la haine, du Vice... Tout cela par sa faute. Il serra les poings, tandis qu'elle s'excusé encore et encore, parlant méme de chatiment, d'exécution. Il sourit, amére, ne bougeant pas d'un pouce, ne la regardant pas. Il n'avait pas honte d'elle, mais honte de lui.
"Raven... Tu n'as rien a te faire pardonner..."
Il se releva enfin, la poussant doucement sur le coté. Le seul fautif d'un tel acte n'etait personne d'autre que lui. Il se savait maudit, mais pas au point de corrompre ainsi tout ce qu'il touché... Tout ceux ou celles qui s'approché de lui. Ares, Dieu de la guerre, Dieu obscure qui séme la mort sur son passage, venait de faire l'irréparable... Souiller et faire sombrer la plus lumineuse et Pure étre... Raven, Sa pretresse. Il ne lui jeta plus le moindre regard, la honte le submergeant, n'osant méme plus lui parler, tant son crime était grave. Desormais au moins, il savait que tout ceux qui osait espérer de lui, se trouver rapidement au fond d'un gouffre... Il secoua la téte, tout en reprenant sa tunique, enfilant son pantalon. Certes, il aurait put utiliser sa magie, mais il avait la téte ailleurs... Si loin d'ici. Il prit alors la poignet de la porte de la chambre, l'ouvrant en grand, pour enfin, pour la premiére fois, regarder celle qu'il avait a jamais detruit...
"C'est a moi de te demander pardon..."
Il sortit alors, le visage fermé, neutre, sans vie. Il etait abbatut par ce qu'il avait vu, ce qu'il avait fait. Certes il etait Ares, un Dieu, mais en ce moment méme, c'etait bien les sentiments humains qui s'attaquaient a son coeur de pierre, le rendant triste, comme jamais auparavant... Il se laissa guider nulle part, errant au grés de ses pensées, seul, en Olympe...
[HRP = No problém, je te laissais pas grand choix, desolé.]
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Il venait de partir. Je l'avais vu. Il était triste, et c'était parce que j'étais faible, que j'étais trop fragile. Je le savais bien, je n'avais pas la résistance morale d'Élosia et j'étais la petite sensible du groupe. Mais le voir ainsi démoli, c'était un horrible péché, quelque chose que jamais je ne me pardonnerai à moi-même. Il s'était habillé et il s'était dirigé vers la porte. Je tendis une main pour l'agripper, l'appelant par son nom, le suppliant de ce simple geste. Je laissai un moment à l'homme pour qu'il revienne vers moi. La porte s'était refermée. Je me sentis alors abandonnée, plus que jamais. Il m'avait laissée là et il n'avait pas l'intention de revenir de lui-même. Je ne savais pas ce que je devais faire, je devais rapidement agir, ça, j'en étais sur. Après un moment de réflexion, la tête basse, cherchant la solution qui suffirait, je me relevai précipitamment puis je me ruai vers la porte, sans prendre le temps de m'habiller. De toute façon, la moitié des femmes étaient nues ici, à cause des "règles" qui régissait l'Olympe. Je quittai cet immense palais à la course, aussi rapide que mon entrainement militaire pouvait me le permettre. Les portes s'ouvraient brusquement à chaque fois que je les enfonçais, bousculant les serviteurs qui lançaient des jurons et qui m'insultaient avec énervement, mais je n'avais d'yeux que pour cet homme que je poursuivais, celui que j'aimais. Mes poumons me faisaient mal tellement je courrais rapidement. Puis, je sortis enfin à l'air libre. Il était là, il marchait. Sans même hésiter, étant aperçue par mes amies, mes sœurs, les servantes et les prêtresses, je m'élançai vers Arès et, dans mon élan, je le plaquai au sol, l'agrippant par les vêtements.
Me voyant agir de la sorte, les filles autour de nous se mirent à rire de moi, du fait que je venais de sauter sur Arès, que j'étais toute nue et que j'avais l'air d'une désespérée. Dans leurs esprits pleins de préjugés, elles pensaient toutes que j'avais essayé de lui accorder mon corps et qu'il avait refusé. Des "trainée" "salope" "petite perverse" et autres insultes fusaient de toutes les bouches, mais je les ignorais. Je n'avais d'oreille que pour l'homme que j'ai blessé sans le vouloir, cette homme qui m'a fait autant mal à moi que je ne lui en ai fait à lui. Je l'ai déçu durant mon moment de folie et je comprenais qu'il soit déstabilisé. Arès n'était plus cet homme insensible tel que le pensaient les autres, il était un homme doux et chaud. Moi, je savais qu'il m'aimait, mais qu'il ne voulait simplement pas se lier à moi dans une affection à sens unique. J'entourai son torse de mes mains alors que les filles continuaient de m'injurier sans arrêter. Je m'en fichais. Je voulais simplement être dans ses bras. Je le serrai tellement fort que je pourrais broyer le corps de son hôte. Je le fis alors tourner vers moi par magie puis je l'embrassai tendrement sur les lèvres. Les filles riaient de moi, mais ce n'était pas grave, je ne vivais pas pour elles, mais pour Arès. Je brisai le baiser le plus tendre que j'eus fait puis je le serrai, cachant mon visage dans son cou.
-Arès-sama... restez avec moi... s'il vous plait...
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Les immenses couloirs de son Palais etaient decidement enclins ce soir a le laisser marcher sans obstacle. Le Dieu ne prenait méme pas le temps d'ouvrir les portes, ces derniéres le faisant automatiquement, machinalement, sous l'effet de son approche divine, comme ouvertent par une force invisible qui entouré la Divinité souffrante... Ares croisa sur sa route plusieurs domestiques, des concubines, mais aucuns regards ne se porta sur eux, tant il etait ailleurs. Méme lorsque l'un d'entre eux lui toucha l'epaule, par erreur, se retrouvant lui méme au sol, les yeux braqué en panique vers le Guerrier. Mais qu'importe, Ares passa outre, ne remarquant méme pas le sous fifre a ses pieds, continuant simplement sa marche, les yeux dans le vide. Tout ses sens etaient meutries, ils l'avaient abandonné, tant la tristesse avait tout balayés sur son chemin... Ares, Puissant Seigneur de Guerre n'etait plus que l'ombre de lui méme, il avait été depassé par les événements, il n'aurait jamais cru possible de voir un tel spectacle de la part de celle qu'il considéré comme son image de pureté ici bas... Et pourtant, cela c'etait produit sous ses yeux... Il l'avait ainsi corrompue.
Il ne sentit pas l'approche, mais le contact puissant dans son dos, et la longue chute sur le sol de Marbre. Il reconnu le parfum alors. Il fut surpris, mais n'osa se tourner. Il devait s'eloigner d'elle, avant qu'elle ne recommence sa chute. Il ne voulait pas qu'elle devienne comme lui, pas comme ca, pas sur une peine immense... Il se sentit alors pivoter lentement, la Magie de sa protégée etant encore présente, il ne put resister. Doucement, il leva les yeux vers elle, sentant sa poitrine se serrer étrangement, et lui faire mal quant enfin les mots de Raven lui arrivérent aux oreilles... Il serra les dents, ferma son esprit a tout ce qui etait autour d'eux... Elle lui demandait de rester auprés d'elle. Comment pouvait elle demander une chose pareil, en connaissant les risques que cela pouvait provoquer. Il secoua d'abord la téte, voulant refuser, mais une douce voix lui chanta alors quelques douces parole au fond de son esprit... Il se rappelé de la premiére rencontre avec sa douce pretresse. De son regard étrange sur lui, de cette pureté d'ame... De son premier sourire adréssé... De ces premiers soins pour calmer sa colére. Elle l'avait accépté tel qu'il etait, et lui la voulait aujourd'hui differante de ce qu'il avait quelques moment plus tot... Il voulait couper les liens pour une simple erreur, un simple laisser aller de son esprit dans les ténébres... Il secoua la téte. Il avait été odieux de lui briser le coeur, mais au lieu de l'aider a eviter l'obscurité, il avait fuit la réalité des choses. Etait ce ainsi qu'il avaient enseigné a ses pretresses a se comporter? Etait ce ainsi qu'il avait apprit a Raven de devenir celle qu'elle est aujourd'hui?
Doucement, il ressera alors le corps nue de sa pretresse contre lui, lui embrassant le front avec tendresse, passant un bras sous ses genoux, l'autre sous son dos, pour la soulever alors lentement du sol froid, la plaquant bien contre lui. Il reprenait peu a peu ses esprit, la brume se dissipé de plus en plus... Il jeta alors un regard emplit de Haine envers les pipelettes du couloirs. La premiére sentit ses mains la bruler, la seconde, ses pieds. Toutes eurent de profondes brulures, tandis que le dieu repartait vers les loges de ses Pretresses guerriére... Il trouva la chambre de Raven, y entra, sans demander autorisation, et la posa alors sur le lit. Il s'installa a coté d'elle, caressant son front d'une main douce.
"Rester auprés de moi te conduira vers des chemins bien sombre ma douce Raven... Je suis maudit pour cela, mais c'est ma nature..."
Il sourit, tristement.
"Mais je n'ai pas a juger tes coléres, tu n'as jamais jugés les miennes... Ce soir je t'ai fait mal, et jamais je ne pourrais me le pardonner."
Il embrassa alors ses lévres, les mordillants, avant de froller son cou.
"Mais sache que tu aura a jamais ta place auprés de moi, si ta douleur te le premet..."
-
Il m'avait ramené à ma chambre. Je l'avais senti lancer des sortilèges aux autres filles, mais, trop honteuse pour les regarder, j'avais caché mon visage dans sa nuque, l'embrassant ici et là pour le calmer. Tout le trajet vers ma chambre, je m'étais arrangée pour murmurer une douce mélopée à son oreille pour qu'il ne reste pas fâché. Certes, la colère lui donnait un charme incroyable, mais je le préférais serein et souriant, même. Ses lèvres souriantes étaient un vrai délice. Toujours accrochée à lui, profitant au maximum du contact entre nous, je le laissai sans rechigner me déposer dans mon lit, observant ses traits plus calmes. Du bout des doigts, je me mis à dessiner sa mâchoire, la courbe de ses lèvres et l'orbite de ses yeux, l'écoutant d'une oreille distraite. Il n'était pas maudit, selon moi. Au contraire, il était très chanceux. Toutes ces filles qui succombent à ne serait-ce qu'un regard de sa part, ce n'est pas quelque chose que tous les hommes ont. Puis, ej fis descendre mes mains sur son torse, les y déposant alors que je me hissai plus près de son visage pour m'emparer de ses divines lèvres.
-"Que vous soyez ou non maudit, ce n'est pas grave. Je suis à vous tant que vous me souhaitez à vos côtés." Lui dis-je entre deux baisers plein d'amour et de tendresse.
Je pris une de ses mains dans la mienne et je la guidai sur mon corps, passant sur ma gorge, mon torse, mes seins, passant ensuite sur mon ventre et finalement, j'arrêtai sa course sur ma vulve encore humide. Je le regardai dans les yeux, pressant doucement sur ses doigts pour qu'ils s'y infiltrent. Juste par ces gestes, je lui faisais comprendre que cet endroit était à lui, aujourd'hui. De ma main libre, je lui retirai sa tunique d'un seul mot magique. Le vêtement se volatilisa et je fondis sur le torse de mon maître adoré pour le couvrir de baisers plein d'amour, de tendresse et d'attention. Arès m'avait permis de le toucher, et par ce fait de lui forcer un peu la main. Je ne laisserai pas mon premier amour se fondre dans de tristes pensées. Je me blottis dans ses bras, retirant pour un moment sa main d'entre mes jambes. Ce qu'il avait le plus besoin, en ce moment, c'était d'un bon câlin. Faire l'amour attendra, je veux vraiment le rassurer par des moyens conventionnels plutôt que par la magie. Je crois que je me suis un peu trop reposée sur mes pouvoirs. Si je continues en ce chemin, je ne serais même plus capable d'ouvrir une porte sans me servir d'eux.
L'entrainant dans ces petits jeux de douceur, je le fis monter sur moi. Je savais que le corps que j'avais devant mes yeux n'était pas celui d'Arès, mais celui du jeune Tenshi. (Je dis jeune, mais il est plus vieux que moi de plusieurs années). Tendrement, je caressai les beaux cheveux du bel homme, massant son crâne avec amour. Arès avait choisit l'un des plus beaux mortels pour s'incarner, mais c'était l'âme d'Arès que j'aimais... bien que j'aie un petit faible pour l'esprit dit "de mauviette" de Tenshi, qui était toujours très gentil. Je lui adressai un beau sourire alors que la couverture, comme animée d'une volonté propre, s'arracha à notre poids, se levant dans les airs pour ensuite tomber tout doucement sur le corps de l'hote de mon dieu adoré.
- Je vous aime, Arès... et je sais que vous m'aimez aussi... à votre manière. Vous pouvez vous dire maudit, contagieux, malade, cancérigène, je m'en fiche. Vous auriez le sida que je n'en aurais rien à faire. Je veux être à vos côtés... et vous rendre heureux...
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Le contact chaud, doux, de ses mains fines se fit de nouveau. Il put une nouvelle fois profiter des caresses tendres de la belle pretresse sur son visage froid, dur. Il gardait ses yeux dans les siens, voulant decouvrir a quoi pouvait bien penser la jeune femme, tandis que les doigts couraient le long de son torse, et que ses lévres les rejoignaient pour deposer de delicats baisers dessus. Il en eu un frisson, tentant de rester de nouveau calme, ne pas ceder a cette envie incroyable que lui procurait Raven sans méme le vouloir... Ils venaient tout deux de subir une epreuve difficile, il etait sans doute mal venue pour eux de s'elancer dans des ebats sulfureux... Et pourtant, quant elle saisit sa main, et qu'elle la fit courir le long de son corps magnifiquement sculpté, qu'il sentit ses seins galbés et fermes sous sa poigne, son ventre plat... Et sa vulve de nouveau chaleureuse, il ne put retenir son regard gourmand se poser sur elle. Raven n'etait plus seulement son garde fou, elle etait aussi une cruelle envie de tout les instant desormais... Mais il ne voulait pas la considerer ainsi. Elle n'etait pas ainsi... Elle n'etait pas une poupée sublime, elle etait tellement plus. Il sentit alors la pression sur ses doigts, qui entrerent doucement en elle, il haussa un sourcil, tout en la regardant, sentant un liquide chaud entourer ses doigts, ces derniers comme aspirés par son gouffre des plaisirs...
Elle rompit le contact, le laissant presque sur sa faim grandissante d'elle. Mais pour remplacer son desir par une chaleur humaine... Elle se blottit tout contre lui, alors que ses vétements disparaissaient a nouveau grace a la magie de sa Prétresse. Il en eu un demi sourire... Raven etait une Adepte puissante de la magie, mais bientot, elle en serait totalement dépendante... Et Zeus lui seul sait a quel point il est dur de sevrer une drogué de Magie... Qu'importe, il se laissa totalement faire, l'accueillant dans ses bras, alors qu'elle basculait pour le laisser monter doucement sur elle, leurs corps s'epousant a merveille l'un et l'autre, ses seins se plaquant sur son torse, ses jambes se glissant autour des siennes. Un Moment doux, tendre, complice, comme quelques heures plus tot. Avait elle oublié son passage dans les Abimes? Il esperait bien que oui, méme si son coté perverse avait eu quelques chose d'attirant pour un Dieu aussi belliqueux que lui, il n'en voulait pas moins qu'elle reste la méme, a jamais.
Une douce caresse, pour voir que la couverture de soie se pose alors lentement sur son dos, nue comme le reste de son corps a présent. Il plaque ses iris dans celles de Raven, detaillant ses pupilles, son ame. Il y cherchait tout et n'importe quoi. Voulant desormais connaitre les plus intime recoin de cette jeune femme qui avait et qui continuait a faire briller la vie Obscure d'un Dieu du Sang.
"Alors tu y sera toujours a mes cotés Raven... Si tu accepte mes pires instincts... Je Reste un Dieu de la Guerre... Loin d'étre aussi Pure qu'Appolon, ou aussi Juste qu'Athéna."
Il sourit a demi, avant de prendre ses lévres avec sensualité, presque bestialité, mais retenant encore une fois le feu qui etait en lui. Il mettait de coté ses habitudes pour elle, preuve qu'elle comptait bien plus que n'importe qui... Mais pas au point d'un amour pure, et unique... Comme elle lui avait offert a lui. Il se glissa alors le long de son corps, embrassant longuement son cou, le mordillant parfois, avant que la passion en le reprenne, et qu'il ne couvre ses seins de milliers de caresses buccale, sa langue jouant avec ses tetons dans le but de les voirs a nouveau se dresser.. Il porta alors ses doigts qui avait quelques instant plus tot visité l'antre de la jeune femme, et le lecha, son regard plongé dans celui de sa Muse, avant de les redescendre, et le re-rentrer en elle, avec une douceur incroyable, les placant en crochet, commencant a remuer en elle...
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À mon grand soulagement, je suis arrivée à le ramener à son état le plus agréable. J'ai vu dans ses yeux cet envie flamboyante de me toucher revenir. Ce simple éclat dans ses beaux yeux bleus glacials, aussi doux et immuable que la glace elle-même, protectrice de ses biens. Ses cheveux de soie voletaient à la brise que la fenêtre de ma modeste chambre laissait entrer, bougeant sous mes doigts. Il était magnifique, mon dieu. Si j'aurai été artiste, il aurait toujours été mon modèle, pour toutes mes oeuvres. Une pensée me traversa l'esprit, mais je souris. Je crois que la sculpture que j'ai faite dans l'un de ses temples pendant trois mois à son effigie l'aurait fait cruellement rougir... ce qui aurait vraiment été trop mignon. Mes pensées, comme vous l'aurez constaté, vagabondaient un peu partout pour que j'oublie ma gêne, ma pudeur m'empêchant d'apprécier qu'il observe mon corps avec ces yeux si gourmands. Je pourrais le comparer à un loup affamé en manque de son repas préféré. Ce sont ses baisers sur mon cou qui me ramenèrent à la réalité. Malgré le vermillon de mes joues, je serrai son visage contre ma nuque, minaudant de supplications et de plaisir.
L'amour, c'était si bon et si chaud. Sentir les lèvres de son partenaire qui nous embrasse de partout, ses mains se baladant sans la moindre gêne sur tout notre corps et le sien qui s'y frotte tout doucement, sans vulgarité quelconque. Je pouvais sentir Arès embrasser mes seins, s'attaquer à mes tétons, m'arrachant des gémissements de bonheur et de plaisir. Sa manière provocatrice de porter sa main aux doigts dégoulinant de cyprine à ses lèvres qui éveillait ce besoin autrefois inconnu de moi, celui de faire l'amour avec lui des jours voir des mois entiers. Je sens ses doigts revenir sur ma vulve, son majeur qui s'y enfonce en premier pour tâter mon jardin d'Éden. C'était bon, c'était vraiment trop bon. Je ne savais comment faire pour taire mes couinements de plaisir, calmer ces vagues de chaleur qui montaient en moi et comment faire autrement que de serrer sa tête sur mes seins pour qu'il me fasse encore du bien. Mais je devais me rappeler que je n'étais pas la seule à devoir éprouver du plaisir. Une autre leçon de Lame, chose qui marchait autant chez les hommes que chez les filles, était de caresser le sexe de son partenaire avec son pied. Je relevai doucement le mien puis je le frottai doucement à son sexe et à ses bourses, mordillant mes lèvres avec un envie contenu. Non, cela ne me suffisait pas. Je fis descendre une main sous lui. De cette main, je le sentais chaud sur tout mon corps, me narguant de sa simple présence. Alors que mon dieu était toujours à demi allongé sur moi, j'arrivai enfin au niveau de son sexe. C'était la partie la plus érogène d'un homme, il fallait que je m'en serve. Je glissai ma main sous le pantalon d'Arès, effleurant son pénis déjà plutôt dur et je le pris alors dans mon appendice dextre et j'entamai une lente masturbation dessus, cherchant à lui rendre ces plaisirs. On irait plus loin ensuite mais c'était un début.
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Le Dieu avait reprit enfin conscience de ce qu'il etait. Sa chute fut courte, mais si douloureuse finalement... Il avait perdut de bataille, rarement certes, mais la naissance du coté sombre de Raven etait pour lui la plus lourde des défaites... Des consenquances, ils y en auraient sans doutes dans le futur, peut étre l'avait il perdut sans vraiment le savoir, peut étre avait elle changé radicalement vis à vis de lui... Cette transformation ne laissait que trés rarement indemne. Et sa pretresse, toute pure et douce fut elle, avait prouvé qu'elle aussi possédé un coté obscure non exploré... Une zone d'ombre, qu'elle avait enfouit au plus profond de son étre. Des ténébres qu'il n'était pas bon de faire resurgir.. Pourtant, malgrés la peine qu'il avait, il fut piqué par une certaine curiosité... Et si elle aussi etait perverse? Et si Raven aussi avait le feu au corps?... Il balaya rapidement ces questions désuettes, et inutiles. Non, Magic etait loin de ressembler a ca, et c'est avec tendresse qu'il poursuivit ses baisers, ses mouvements.
Il sentit alors le contact sur son membre... Un contact etonnant, mais pas si désagréable... Il put reconnaitre le pied de sa maitresse, et sourit intérieurement... ou diable avait elle apprit pareil caresses? Qui avait initié sa douce Raven aux plaisirs de la chairs? Qui, autre que lui avait eu accés a son corps de réve, vierge pourtant de tout contact masculin... Il aurait put pecher les informations directement en elle, usant de ses pouvoirs pour trouver ce qu'il cherchait, mais il voulait faire plus subtile... Magic mérité bien cela... C'est alors qu'il sentit le contact de la main chaude de sa pretresse relayer son pied... Un contact plus franc et plus bénéfique, auquel repondit immédiatement son épée de chair, en se redressant et en durcicant... Il soupira, remontant alors reprendre ses lévres dans un baiser sensuel et farouche. Il la desiré ardement, mais patientant, il lui murmura a l'oreille, un demi sourire non voilé...
"Qui t'as apprit de tels gestes ma douce?... Qui t'a initié?..."
Il rit, avant de glisser son autre main vers le fessier magnifiquement dessiné de sa muse, griffant son dos au passage, laissant une trace rouge sur sa peau blanche... Massant doucement ses fesses, le Dieu se glissa alors entre elles, pour retrouver le petit chemin exploré précédement, jouant d'un doigt a le titiller, comme pour demander le droit d'acceder a cette partie si intime de sa pretresse... Le Dieu etait redevenue joueur et envieux, le desir le comsumé lentement, faisant fondre ses derniéres reflexions sur ce qu'il venait de se passer. Il aimait Raven, d'une maniére trés divine, mais pour l'instant, il voulait savoir, comment cette jeune femme avait apprit aussi rapidement des gestes si parfait pour son excitation...
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Ses mains si chaudes sur mon corps, l'une d'entre elles caressant mon entre-cuisse. Je sentais ses doigts bouger en moi, ses soupirs dans mon oreille, m'excitant encore plus. J'avais envie qu'il continue, qu'il en fasse encore plus. Mais dans ces rêves de vierges que je faisais si souvent et ce que je vivais en ce moment, c'était les émotions qui différaient. Aucun mot d'amour ne quittait les lèvres d'Arès, aucun mot qui pourrait faire sauter un battement à mon coeur. En fait, je crois que c'était cela qui ruinait tout, l'absence d'amour dans les paroles du dieu. Mon visage se teinta de déception. Mes yeux perdirent, je crois, de leur éclat et je pressai mes mains contre le torse d'Arès lorsque l'esprit pervers de celui-ci le guida vers mes fesses et mon orifice anal pour le repousser, sans y mettre trop de force. Puisqu'il avait posé une question, je n'avais pas le choix que de répondre avec un calme tenté du plaisir qu'il a pu faire naître en moi.
-C'...c'est Lana qui m'a tout apprit... elle m'a dit comment faire une fellation... comment embrasser... ce que vous aimiez... c'est tout elle... et je vous ai épié à partir de l'Oeil que vous m'avez donné... J'ai assisté à vos ébats avec Aphrodite... Élosia, Dame Heilayne, Lana, Amazona et d'autres mortelles... J'ai tout vu... et tout entendu...
Les mots que je voulais entendre, je le savais, il ne les dirait jamais, puisqu'Arès était le Dieu de la Guerre et que les petits mots d'amour signifiait manipulation à ses yeux. Pourtant, il en disait tellement à Dame de Daelys et à Élosia. Je ne voulais pas qu'il me voit déçu, je n'avais pas le droit d'être triste alors qu'il commençait tout juste à reprendre sa bonne humeur. J'ai toujours agit pour les autres, sans faire attention à mes désirs personnels et j'étais devenue égoïste quand enfin j'étais dans ses bras. Je n'avais pensé qu'à moi, qu'à tout essayer, d'avoir Arès pour moi toute seule. Je fis doucement tomber le Dieu sur mon modeste lit et je le serrai bien fort, fermant les yeux. Certes, j'avais envie de faire l'amour une nouvelle fois, mais là, mon moral n'allait pas en s'améliorant. J'avais besoin d'affection, pas vraiment de sexe. Je serrai son puissant torse contre moi, y couchant ma tête. C'était si agréable d'être ainsi collé à quelqu'un. Même si l'envie d'Arès montait, il a dit qu'il ferait tout pour que je sois toujours heureuse, alors ses besoins sexuels attendront un peu. En plus, c'était la première fois que je faisais l'amour avec un homme, et un dieu en plus. J'étais plutôt épuisée et surtout désespéré. Les rêves que j'avais fait me paraissaient si probables que j'aurai pu pleurer leur utopie. Mon câlin remonta alors pour saisir son cou et je le serrai bien fort.
- "S... Arès-sama... dites-moi que vous m'aimez... même si ce n'est pas forcément vrai... je veux juste l'entendre une fois... juste une et je vous laisserai faire ce que vous voulez de moi... " lui demandai-je tendrement, avec cette voix douce et suppliante qui était la mienne.
Ce ton si révélateur de ce besoin d'amour duquel j'ai toujours été privé me paraissait si pitoyable, moi qui avait eu l'honneur de servir le Maître de la Guerre, me voilà en train de lui demander de me dire l'exact opposé de sa nature à lui. Aphrodite était la déesse de l'amour, Arès n'aimait pas, il désirait. Il était belliqueux et avare, il voulait tout pour lui, il voulait tout dominer et tout contrôler, mais il n'était aujourd'hui plus le même homme, je le sais. Il était capable d'une douceur qu'il ne se sait même pas. Moi, j'ai vu la tendresse dont il est capable et peut-être peut-il encore davantage me surprendre. Je fermai les yeux, ne m'attendant pas à vraiment quelque chose d'exceptionnel, me contentant de me blottir contre lui, d'humer son parfum tant que je le pouvais, de savourer le contact de sa peau, la puissance de ses muscles et la chaleur de ses bras. Je ne m'attendais pas à grand chose de sa part, il n'était pas homme d'amour mais homme d'épée tout comme je n'étais pas femme d'épée mais femme d'amour.
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(+1 pour le magnifique Post.)
Elle se lanca alors dans les explications, et il sentit de nouveau le changement profond en elle... Pas ce coté sombre de tout a l'heure, mais une immense tristesse, et une douleur incomparable. Lui qui voulait rendre sa pretresse heureuse, ne faisait que la decevoir, et l'appitoyer... Il arqua un sourcil, tandis qu'elle lui avouait qui été son professeur... Lana. Il en etait que peu surpris finalement, mais ce fut la suite qui le laissa beaucoup plus songeur. L'oeil, ce fameux objet magique qu'il lui avait offert alors qu'elle n'etait qu'une "enfant"... Elle avait trouvé un moyen de l'utiliser assez... Special. Il serra les dents, son excitation tomba, tandis que la colére monté... Elle l'avait espionné, ELLE. Magic, sa precieuse et si pure Pretresse avait utilisé des moyens non conventionnel pour se renseigner sur sa vie, pour suivre le Dieu dans le moindre de ses agissements, de ses rencontres, de ses ebats. La colére grandit a mesure qu'elle donnait les noms de celles avec qui il avait partagé la couche. Il etait et resterais a jamais le Dieu de la Guerre et de la Vengeance. Nul amour chez lui, nul compassion. Et pourtant, pour deux femme il avait essayé de changer... Cela avait commencé avec La Comtesse, la mortelle Heylaine, qui avait finalement disparue sans laisser de trace, se laissant aller dans les bras d'autre males... Etait ce ça l'amour? Il avait pour elle tombé la cuirasse pourtant si dur de son ame, laissant paraitre son entité humaine, sa chaleur et son amour. Tout cela pour se le voir baffouer...
Ares sentait deja ses doigts blanchir sous l'effet de la colére, alors que Raven l'allongé doucement sur le lit, se collant a lui dans un geste doux, sans envie aucune que celle de calins. Des calins! Méme cela il en etait incapable il y a de cela peu de temps. Il voulait, il prenait, il jetait, ainsi etait le Dieu le plus Belliqueux de l'Olympe, ainsi était le maitre des champs de bataille. Et voici qu'elle lui demande a nouveau de la tendresse, des mots doux et tendres. La derniére fois qu'il avait avoué son amour a quelqu'un, elle c'etait bien joué de son coeur de pierre.. Alors aujourd'hui, pourquoi en serait il autrement? Il etait incapable d'aimer, ainsi etait le Dieu, et méme quant il voulait essayer, c'etait les autres qui mettait a mal son sentiment deja fragile.
Ses yeux injecté de sang se pose alors sur le corps nue de Raven tout contre lui. Il sent sa peau, si douce et satinée, il perçoit son parfum, ses cheveux s'etalant sur son torse. La colére retombe peu a peu, alors qu'il pose un main sur ses cheveux, les caressants le plus doucement possible... Pauvre Raven, obligé de servir un Maitre sans coeur, incapable de lui offrir un Amour qu'il savait pourtant merveilleux... Il ne la mérité pas, elle serait tellement plus heureuse auprés... D'un Mortel. Le mots lui arracha une grimace, alors que doucement, ses doigts couré avec tendresses le long de la cascade d'Or de ses cheveux longs. Il inspira, et sonda son coeur, cherchant la vérité de ses sentiments pour Raven.
"Raven... Auprés de toi... Je redécouvre ce que veux dire la passion. C'est merveilleux, et pourtant, je regrette. Je regrette tellement de ne pas étre un simple Mortel, capable de te rendre cet amour si beau, sachant combien tu pourrais me combler, a tout jamais. Combien je regrette d'étre le Dieu de la Guerre, et non celui de ta vie uniquement, le dieu de la vengeance, et non celui de la compassion, le Dieu assassin, et non celui de l'amour pour toi."
Il ferma les yeux, tout en continuant ses caresses le long de ses cheveux, son bras libre passant autour de ses epaules pour la serrer d'autant plus contre lui, dans un calin qu'il ne savait pourtant pas faire.
"Mais je suis tout cela... Et pourtant, tout au fond de moi, je t'aime, bien plus que je n'aurais été capable d'aimer."
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Je l'avais déçu. Je l'ai sentit, il était furieux contre moi. Je n'osai pas chanter pour ne pas qu'il s'en prenne à moi, je ne suis pas capable de faire un tel geste de couarde. Je me mis plutôt à pleurer. Ah, elle est belle, la Raven, maintenant. Je pleurais sur le torse d'Arès, fermant les yeux, prête à accepter le sort qu'il avait envie de me réserver. Si ce n'était pas de sa main que ma vie me soit enlevé, je me jurai de le faire moi-même si tel est toujours l'envie de mon Seigneur. Oui, j'ai vu et entendu ce qu'il faisait avec d'autres femmes, mais en rien cela n'avait une trace de perversité ou de jalousie. Simplement apprendre. Je n'aurais donné ma virginité à personne d'autre pour rien au monde et je ne pouvais pas apprendre autrement. Par peur, je me recroquevilla contre lui, crispée comme jamais, terrifiée à l'idée de mourir par la main de l'homme que j'aime et qui, jamais, fallait-il croire, ne m'aimera.
Je n'étais qu'une prêtresse. Je n'étais qu'une simple femme. Il avait droit à Aphrodite, je ne vois pas du tout pourquoi il pourrait aimer une femme qui n'est même pas divine. Je n'avais rien de spécial. J'étais simplement une erreur du puissant dieu. C'est à ce moment-là que j'aurais voulu ne pas être celle que je suis. Moi qui a voulu changer pour être davantage au goût d'Arès, je me suis bien mordu les doigts. Puis je me mis à songer aux raisons qui m'ont poussé à espionner la vie d'Arès et je me suis souvenu alors qu'il m'accusait à tort. Nous partagions nos pensées par moment et c'était de sa faute si la curiosité m'avait poussé à l'observer. Ressentir sans contact le plaisir que lui ressentait, c'était un des effets les plus pervers de ce lien magique et s'il avait fait preuve d'un peu d'abstinence ou alors protéger son esprit pendant ses ébats, je n'aurais jamais pensé à me servir de l'Oeil pour l'épier. Mais... je ne voulais pas le blesser ni le fâcher. J'écoutais docilement ses paroles, pleurant silencieusement alors qu'il niait toute forme d'amour à mon égard. Je revoyais dans ma tête les paroles que je l'avais entendu dire à la Dame de Daelys. Pourquoi n'aimait-il qu'elle, au final?
- "Madame Heilayne a tellement de chance..." murmurai-je, en partie pour moi-même.
Oui. Cette femme était vraiment exceptionnelle pour Arès. Elle était la seule femme qu'il eut aimé et qu'il n'aimera. Un sourire malheureux se dessina sur mes lèvres alors que je me séparais de mon seigneur et maitre. Je lui caressai doucement la joue, une mine désolée sur le visage alors que je l'embrassais une dernière fois. Je me blottis dans ses bras encore un peu, goûtant ces derniers instants avec mon adoré, sachant que bientôt, nous devrons nous séparer. J'ai bien décelé l'hésitation dans le "je t'aime" et il m'avait mentit pour ne pas le blesser. Je suis une lâche, incapable de me battre pour avoir l'homme que j'aime pour moi toute seule et incapable de me battre pour l'avoir. Pour rendre cette séparation plus facile, je murmurai un sortilège sur la personne d'Arès, le forçant à s'endormir. Un autre sortilège nous porta dans la chambre de cet homme aimé par beaucoup de femmes. Pour lui, je donne et donnerai tout, mais je n'ai rien. Rien d'autre que mon amour et mon corps. Je lui caressai la joue avec douceur, posant gentiment mon front contre le sien. Si seulement il savait à quel point j'étais envieuse de la femme que son coeur a choisit. Il a beau prétendre qu'il n'aimait personne, mais je sais qu'il ment. J'ai toujours su quand il mentait. C'était comme ça. Tout doucement, pour ne pas le réveiller, je me séparai de lui, lui caressant tendrement la joue. Si j'avais de la chance, il croira que tout cela n'était qu'un rêve. Il était si beau et si différent.
- "Peut-être jamais vous ne me pardonnerez, mon maître chéri... peut-être plus jamais je ne connaîtrai la tendresse de vos bras, la caresse de vos mots aux creux de mes oreilles et l'ivresse de vos baisers... mais je ne regrette pas... de m'être donnée à vous."
Sur ces paroles, je me dématérialisai pour retourner dans ma chambre, sans faire le moindre bruit. Les murs blancs de la chambre d'Arès devinrent d'un gris pierre, le majestueux lit devenant une belle petite couche pour une personne. Cette chambre avait l'odeur du dieu, maintenant. Son odeur à lui, mêlé à la sienne. Je forçai un sourire puis m'effondrai à genoux, incapable de tenir davantage, et m'abandonnai à de déchirant sanglots. Cette vie, je l'avais vécue depuis des années, mais malgré que j'aie avoué ma flamme à Arès, me revoilà à la case départ. Les Parges ne m'aimaient pas et avaient probablement décidé de faire de ma vie un réel calvaire en m'arrachant tout ce que désirait ou convoitait. C'est dans la nuit de pleine lune, à la mélodie des cigales et des criquets, que la belle, la puissante et douce Raven se laissa choir sur le sol pour y dormir, le coeur à la fois rempli et vidé. Jamais je ne me suis sentie aussi seule, aussi triste. Je compris alors que la douleur n'était pas d'être déviergée, mais de savoir que l'homme que vous aimez en aime une autre plus que vous et qu'il vous a tout de même fait l'amour parce que vous êtes trop insistante. Cruelle vie que je vie là...