Alors qu'elle pense ne pas pouvoir endurer pire sans mourir, Rachele sent soudain les orteils et la plante vicieuse du pied de la sirène se poser sur la rondeur lisse de son bas ventre. Elle se tortille à nouveau de plus belle en comprenant ce que Lyli va faire et hurle en silence, la gorge toujours prise dans le tentacule du monstre des profondeurs. Rachele lance un regard fiévreux et plein de suppliques à sa tortionnaire. Mais celle-ci reste sourde à ses plaintes et commence à presser...
-Ggnnnnnnn
La captive pousse un long gémissement de douleur, instinctivement elle écarte grand les cuisses pour laisser passer un flot de sperme glacé qui jaillit de son petit trou distandu. Honteuse, Rachele rachele sent des larmes couler sur ses joues à mesure que son ventre déformé se dégonfle pour ressembler à celui-ci d une femme qui vient d accoucher.
Rachele sent que la fin est proche, la douleur et l'étouffement sont en train de la tuer, déjà elle se sent froide et entend son coeur ralentir. Mais un violent coup de pied dans le ventre la libère des tentacules de la bête et des griffes glacées de la mort.
Elle roule sur le dos, son corps est parcouru de frissons et de hoquet de douleur, Lyli a une vue sur son anus, le monstre l'a si bien ravagé qu'il baille encore alors que le sperme continue de s'en échapper.
Quand Lyli lui attache les mains dans le dos, Rachele reste les bras ballants et les jambes écarté adossée à la parole du rocher. Quand la sirène s'installe nonchalamment sur son ventre, la prisonnière pousse un nouveau gémissement de douleur alors qu'un flot de semence visqueuse gicle à nouveau de son cul.
Mais c'est quand Lyli lui plaque un tissu mouillé sur le nez et la bouche que la belle revient à elle et commence à gesticuler. Hélas pour elle, il est trop tard pour se défendre, des bras lié dans le dos l'empêchent de se débattre et le corps de Lyli l'écrase contre le sol. Pour la sirène, le corps de sa prisonnière est comme une sorte de petit siège à matelas gonflable qui remu tout seul, inconfortable, mais chaud et doux au toucher. Et la vue de sa vulve et de ses jambes parfaites, engoncé dans ces ravissantes cuissardes et un spectacle des plus excitant.
Un peu dans ce genre la
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Rachele de son côté à parfaitement comprise ce que sa tortionnaire va lui faire. Elle le sait car c'est une de ses tortures préféré. Elle a toujours adoré regarder le corps de ses propres victimes convulser et luter désespérément contre leur lien dans l'espoir d'arracher une bouffée d'air.
Mais elle ne parvient pas à défaire ses liens ou à chasser Lyli de son abdomen en souffrance avant que le supplice ne commence...
Quand l'eau coule sur son visage, Rachele bouge la tête de droite à gauche en gémissement de réprobation, mais elle ne parvient pas a retirer le tissu de son visage. Elle essaie de garder son calme, elle retient son souffle, une petite minute s'écoule avant qu'elle ne puisse plus se retenir et essai d'inspirer. A ce moment, le tissu mouillé se plaque instantanément contre son nez et sa bouche pour former une sorte de masque qui épouse à la perfection la forme de ses narines et le dessin de ses lèvres. L'air ne passe pas, ou si, mais il est si chargé d'eau que la jeune femme à l'impression de se noyer. Immédiatement, elle convulse et se contracte maladivement, comme possédée par un démon, mais la sirène tient bon et reste sur sa soumise. Pire, quand Rachele proteste avec trop de force, elle écrase encore plus son ventre pour la faire souffrir alors que le semence fini de couler de son cul.
-C'est vrai que c'est plutôt amusant, je sais pas pourquoi mais tu sembles plutôt résistantes à ce genre de tortures, comme si tu t'y connaissais. Ca ne me donne que plus envie de continuer... Puis...
La prisonnière réalise que sa geôlière sait... qu'elle a compris de quel monde elle venait, elle a échoué à lui mentir... et elle en paie le prix. Mais elle ne veux pas lui dire qui elle est vraiment. Si elle lui révèle qu'elle est Rachele Florenza, la mafieuse connue sous le nom de Max, celle qui a pris le contrôle des docs de la cité et qui a recommencé à polluer les mers dans lesquelles vie la sirène en y jetant les pires déchets de l'industrie nippone... ce sera pire...
Alors elle lutte, douloureusement, pendant de nombreuses minutes, arrachant quelques bouffées d'aire qui lui emplissent les poumons d'eau, elle suffoque et convulse, encore et encore. A un moment, elle perd la tête et il lui semble même qu'elle jouit involontairement, expulsant cette fois ci l'eau de mer resté piégée dans son vagin. Patiemment, Lyli rajoute de l'eau sur son bandeau pour faire durer le supplice, encore et encore, jusqu'au moment où...
-GAAAA ! Max ! Je suis Max ! Rachele Florenza... la baronne du crime... la Dame noire de Seikuzu... Max... kof kof... pitié ! de l'air !!
La sirène cesse d'ajouter de l'eau sur le chiffon, Rachele continue de se battre pour arracher quelques bouffées d'air, ses poumons sont en feu, mais c'est déjà un peu plus facile. Sa respiration, lente et profonde fait gonfler sa poitrine luisante de sueur. La moiteur de la grotte donne à la peau et à la cyprine de la prisonnière une saveur et une odeur puissante et sensuelle.
- Jamais entendu parler. Les affaires des humains ne m'intéressent pas. Je te trouve gonflée cependant de quémander ma pitié, si j'en crois le poste que tu occupes, tu ne dois pas en éprouver beaucoup à l'égard de tes victimes.
Intérieurement, Rachele pousse un soupir de soulagement, l'ignorance de sa geôlière vient de lui sauver la mise. Elle n'ose imaginer ce qu'elle lui aurait fait si elle avait su...
Mais le soulagement est de courte durée. Le genou de Lyli s'enfonce dans son ventre, générant une nouvelle vague de douleur, de sensation d'oppression sur son vagin et son utérus et une excitation malsaine. La sirène l'a remarqué et s'en amuse, mais Rachele en éprouve une honte mêlée de peur, car ce sont ses instincts d'esclave sexuelle qui ressurgissent. Les automatismes et les pensées débilitantes et soumises qui lui avaient été inculquées par son oncle pendant son conditionnement psychologique. Ce désir masochiste et cette peur de la torture avaient fait d'elle une petite chose fragile et obéissante qu'elle avait dû combattre des années durant pour devenir "Max".
- Enfin tant mieux pour toi si ça te file des frissons, parce qu'on ne fait que commencer là. Maintenant que je sais que tu viens du milieu noir de la mafia, je vais te soutirer pas mal d'informations... Certaines de vos petites combines ne me font pas trop plaisir tu vois.
Le calvaire recommence alors pour ne plus s'arrêter...
Des que les premières goûtes d'eau salé pénètrent le tissu, Rachele se remet à se contracter violemment et à gesticuler comme une démente dans l'espoir d'arracher quelques bouffées d'air. Elle force tant sur ses liens qu'elle s'en marque la peau, les cordes lui laissant de petits sillons rouge sur les poignets et les bras. Elle secoue la tête dans l'espoir de chasser le liquide que Lyli rajoute sans cesse, plissant les yeux de douleur, gémissant de désespoir, expectorant l'eau accumulée dans ses bronches.
Le calvaire dur jusqu'à ce que les quelques gouttes dans ses poumons ne transforment pas sa suffocation en noyade. La sirène remarque alors les prémisses de la fin sur le visage de sa victime. Ses lèvres sensuelles et appétissantes gonflent et forme un ravissant motif sur le chiffon, coiffant le trou béant de sa bouche grand ouverte.
Ses yeux commencent à rouler dans ses orbites et de fins vaisseaux de sang saillent dans le blanc de ses orbites.
Rachele est perdue dans sa souffrance, elle commence à se sentir flotter, son corps devient plus lourd et son esprit si léger, elle sent que c'est la fin, qu'elle va pouvoir arrêter d'être... Enfin...
Les doigts de la sirène percent un trou dans son bâillon de souffrance et l'air s'y engouffre si violemment que l'Italienne reprend connaissance en poussant un rale de surprise. Le monde retrouve sa netteté et sa cruauté, la douleur de vivre déferlent à nouveau dans sa chaire, le désir, l'excitation qu'il provoque en elle également.
Lentement, elle redresse la tête, reprenant de longue et lentes respirations pour emplir son sang d'oxygène. C'est alors qu'elle voit le gros objet sphérique que Lyli tient entre les mains.
- Ooonnnn...
Gémit-elle la bouche grande ouverte, incapable de prononcer autre chose tant son corps réclame chaque bouffée d'air. Mais elle n'a plus la force de se défendre ou de serrer les cuisses, lentement et sans grande difficulté, le sexe toy glisse entre ses lèvres et s'enfonce dans son vagin.
- Hannn...
Elle pousse un petit grognement quand l'objet disparaît à l'intérieur de son ventre, que sa vulve se referme sur lui et que les muscles de son vagin se contractent tout autour. La sensation est à la fois délectable et insupportable, comme si ce corps étranger la violait par sa simple présence tout en comprimant chaque paroi sensible de son intimité.
Lyli approche alors le second chiffon mouillé du visage terrifié de Rachele. Les yeux exorbités par l'horreur, elle suit la masse noire du tissu jusqu'à ce qu'elle se pose sur son visage et ne l'aveugle totalement.
- Non... non... n...gueuuu... guuoooooo !
Le gag Ball met fin à ses applications pendant que le sexe toy commence à vibrer dans sa chatte, transformant ses mots en gargouillements et en gémissements de plaisir.
Pendant que Lyli quitte la grotte, les hurlements de désespoir et les cris de Rachele l'accompagnent et résonnent dans la caverne.
Pendant plusieurs longues heures, Rachele croit devenir folle furieuse. Elle se débat comme une diablesse, au point de s'en faire saigner les poignets à force de tirer sur ses liens. Mais rien n'y fait, elle reste fermement attachée en position de "fauteuil pour sirène" pendant que l'asphyxie et la torture sexuelle lui font perdre la tête. Prisonnière de l'obscurité, les souvenirs de son passé refont surface, elle se remémore ses longues nuits enchaînée au lit de son oncle Jucio, cagoulée comme une bête, attendant qu'il rentre pour se faire baiser salement contre le sol.
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Elle se souvient de la souffrance, elle se souvient des folie, de la simplicité de sa vie d'esclave nymphomane, elle se souvient des orgasmes incroyables qu'elle a ressenti. Jamais elle n'avait éprouvé telle jouissance qu'entre les doigts libidineux de son oncle. Alors que son esprit chavire de plus en plus vers la démence, la petite esclave nymphomane qu'elle était refait doucement surface...
Quand Lyli revient finalement de sa récolte... Les cris de refut et de contestation de sont mus en gémissement de jouissance.