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« Maria Sucker (http://img110.xooimage.com/files/1/0/4/maria-sucker--509d90f.jpg) » ne s’appelait pas ainsi. C’était son nom d’artiste, comme Marilyn Monroe. Son véritable nom de naissance était insignifiant depuis que Maria vivait de ses propres ailes. Sa famille n’était d’ailleurs pas une chose dont elle voulait se rappeler tout particulièrement. Sa mère soumise, et son père, un pédophile qui alternait entre des séances de douceur où il la violait, et des séances de forte irritation où, se reprochant probablement lui-même d’être un salaud, il la battait. Et sa mère, elle, était surtout sourcilleuse de ne pas briser cette image de petit couple parfait que sa famille faisait. À ce titre, elle reprochait volontiers à Maria de vouloir séduire son père. Pendant des années, de six à treize ans, Maria avait ainsi subi régulièrement les attouchements de son père, jusqu’à tomber enceinte de lui. L’affaire avait été rendue publique, son père avait été condamné, mais il était un homme respectable, investi au sein de la communauté, un avocat qui aidait les pauvres, qui était actif dans des associations, et qui avait beaucoup d’amis. Quant à la mère de Maria, quand son mari fut condamné, elle en vint à détester sa fille, jalousant la beauté de cette dernière, jalousant le fait que c’était elle que son époux désirait, et l’accusa d’être la source de tous ses maux. Quant à Maria, elle délaissa le cauchemar de son père pour un autre, celui d’une société figée, sclérosée, et refusant de la voir en victime. Les parents d’élèves ordonnaient à leurs bambins de s’éloigner d’elle, la traitant comme une pestiférée, une fille impudique, qui avait forcément été consentante.
Maria avait grandi dans l’un de ces petits villages japonais où tout le monde se connaissait, et où le communautarisme était une règle d’or, sacrée, et inébranlable. La jeune femme avait donc choisi de fuguer, et avait pris un train l’ayant emmené pour Seikusu. Elle s’était mise à errer dans la ville, avant d’être recueillie par une femme, qui travaillait au lycée Mishima : Myumi Ichtora. Myumi l’avait hébergé, et avait fait d’elle la femme qu’elle était maintenant, la soignant de son traumatisme... En finissant par faire d’elle une ganguro très spéciale.
De son passé, Maria avait retenu un refus catégorique d’avoir des relations amoureuses, et était donc devenue une ganguro officiant pour Myumi dans le lycée. Elle avait même un uniforme scolaire (http://img110.xooimage.com/files/6/c/2/maria_student_uniform-509d912.jpg), destiné à la fondre dans la masse, mais n’avait aucun dossier scolaire. Myumi avait reconstruit Maria à travers la seule chose qu’elle connaissait, le sexe. L’issue pouvait paraître injuste, mais elle avait aidé Maria à grandir, en lui permettant d’exorciser son démon : le sexe. Elle avait donc décidé de dominer ses peurs, et de les retourner, d’en faire ses points forts. Elle n’avait reçu qu’une très faible éducation chez elle. Maria suivait des cours spécialisés avec Myumi pour rattraper son retard, mais ne se voyait tout simplement pas faire autre chose que ce qu’elle faisait actuellement.
Maria était devenue l’escort girl de Mishima, ou, pour le dire de manière plus crue, la prostituée locale. Quand elle ne portait pas son uniforme scolaire, elle portait des vêtements très voyants, notamment un court débardeur rose avec le mot « BITCH » écrit dessus. Pour se faire connaître, elle avait glissé dans tous les casiers des élèves des flyers (http://img110.xooimage.com/files/2/8/0/maria_flyer-509d8fe.jpg) très spéciaux. Sa petite campagne de publicité avait connu un retentissant succès, et elle avait énormément d’argent, dont elle se servait pour payer son loyer, refusant que Myu’ continue à la payer. C’était aussi une marque d’indépendance, et, même si son appartement était un studio assez petit, elle y vivait heureuse. Désormais, plus personne n’abusait d’elle sexuellement, c’était elle qui fixait les règles.
Aujourd’hui, Maria avait troqué son uniforme, et attendait dans l’une des cours du lycée. Les cours étaient finis, il n’y avait plus grand-monde, et elle attendait son client, un habitué qui payait bien, mais qui commençait à figurer dans sa liste rouge, car elle avait le sentiment qu’il commençait à ressentir pour elle une attirance autre que purement sexuelle.
*Et ça, ce n’est pas possible, je veux rester libre et indépendante...*
Maintenant qu’elle avait su dompter sa plus grande peur, son plus redoutable ennemi, le sexe, Maria comptait en profiter.
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Genji Ushiwara était ce genre de garçons, rares, à qui tout semblait réussir. Il était issu d'une famille très aisée qui lui payait volontiers un petit studio, et lui donnait aussi assez d'argent pour pouvoir vivre décemment tout en suivant ses études, il était intelligent et beau, en témoignait le nombre important de filles qui lui tournaient autour dans l'espoir d'attirer son attention. Oh il la leur rendait par des compliments, après tout il était poli et jamais insensible au fait qu'on puisse ainsi le draguer...mais les filles de son lycée n'étaient pas trop son trip, même si il aurait aimé avoir des goûts considérés comme normaux de ce côté là.
Ses emmerdes avaient commencé un lundi, où il avait trouvé dans son casier un flyers, glissé là dedans entre les heures de cours, et qui contenait une pub, image et coordonnées à l'appui, pour une prostituée ganguro. Tous les casiers ou presque tenus par des garçons y avaient eu droit, mais peu parmi les élèves avaient la chance de pouvoir se permettre de payer pour avoir du sexe, mais c'était le cas de Genji. Même si le procédé l'avait un peu rebuté, la photo de cette fille l'avait très intéressé, intrigué qu'il était par le look et l'attitude provoquantes de ces Ganguro, qu'il n'avait toutefois jamais vu ailleurs que sur le net.
Alors, comme certains autres qui pouvaient se le permettre, il avait appelé cette fille et il avait pris "rendez-vous" avec elle après les cours, et il s'était fait sucer dans un coin discret d'une des cours du lycée. Mais il s'était trompé en croyant qu'il n'y penserait plus une fois ce fantasme réalisé. Cette fille, cette "Maria Sucker" l'avait marqué plus qu'il ne l'aurait pensé, car si Genji avait un peu d'expérience en la matière, ça avait été la première fois qu'une fille l'avait sucé aussi bien. Il était donc revenu, régulièrement, pour se faire pomper et sucer par la Ganguro, dont il était certain désormais qu'il en était amoureux.
D'un naturel très pragmatique, cette situation le rendait dingue, car il savait pertinemment que ce genre de fille ne serait jamais du genre à sortir avec lui. Non pas pour des questions de physique, mais par pur principe de ne pas vouloir s'attacher et de pouvoir continuer son business. Maria avait beau proposer au dos de son flyers des prestation de petite copine, allant de la journée au mois complet, mais les prix n'étaient pas les mêmes qu'une simple passe, ce dont beaucoup se contentaient allègrement...mais pas Genji. Toutefois, le prix exorbitant qu'elle demandait l'empêchait en toute bonne conscience de pouvoir se l'offrir, si ses parents lui laissaient volontiers l'accès à leur compte bancaire car ils lui faisaient confiance, un retrait d'un million de Yen serait autant visible que difficile à expliquer. Genjo avait donc longuement du ronger son frein, et vivre dans la frustration d'être tombé amoureux d'une femme ne partageant absolument pas ce sentiment.
Toutefois aujourd'hui, alors qu'il sortait tout juste des cours, Genji était plus...serein, dans un certain sens, rapport à ce problème. Une semaine auparavant, presque en désespoir de cause, Genji avait acheté un billet à la loterie nationale, dont le gros lot exceptionnel comprenait plusieurs dizaines de millions de Yen. Il avait acheté un ticket, sans vraiment y croire...mais le hasard avait pour le coup très bien fait les choses, et il s'était retrouvé le seul gagnant de tout le lot, qu'il était allé récupérer durant le week-end en toute discrétion à Tokyo. Il n'avait mis personne au courant, lui même avait eu du mal à croire à sa chance, jusqu'à se qu'il se trouve dans les locaux de la loterie, et qu'on lui remette le chèque qu'il avait immédiatement encaissé...il se trouvait lui même sacrément riche désormais.
Incapable, toujours, de sortir Maria de sa tête, il avait donc en ce lundi décidé de se permettre un "gros" plaisir. Il transportait secrètement dans son sac une enveloppe contenant une épaisse liasse de billets de banque, en assez grosses coupures.
*Cette fois, je vais pouvoir me la payer rien que pour moi...*
Genji avait beau être amoureux, il était aussi conscient de la précarité de cette situation, et se demandait si en satisfaisant son envie, une bonne fois pour toutes, il ne finirait pas par en être libéré. Payer aussi cher pour avoir une Ganguro comme petite amie pouvait paraître ridicule, et il était lui même de cet avis...mais il ne pouvait pas s'en empêcher, et ne voyait même que cette solution pour s'exorciser de cette obsession. Il se dirigea donc dans une des cours annexes du lycée, car il avait réservé un rendez-vous avec Maria, qu'il vit au loin dans un uniforme de lycéenne, et il sentit autant son coeur battre que sa queue se dresser à la vue lointaine de cette femme, dont il s'approcha finalement.
Salut Maria...
Comme d'habitude il était très excité, ce qui le rendait assez peu bavard, néanmoins il se présenta comme d'habitude en lui tendant par avance des billets, pour un total de 6000 Yen, soit le prix d'une fellation.
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Maria proposait une gamme de services allant de séances de cul rapides à des séances plus longues, où elle était payée pour agir en tant que petite amie. On aurait pu croire que cette offre ne fonctionnerait pas beaucoup, au vu de son comportement très vulgaire, mais, très souvent, des garçons, et même des filles, la sollicitaient. Maria, quand elle vendait ses services, ne jouait pas un rôle. Elle était, par nature, une grande perverse, avec une passion immodérée pour l’exhibitionnisme, et n’hésitait pas à coucher en public avec ses petits-amis. Généralement, ceux qui se lançaient par là ne prenaient que le forfait pour une journée, vu les tarifs très élevés de la ganguro. De plus, il était difficile d’être avec Maria régulièrement, car elle était une véritable nymphomane, et, même en ayant un petit-ami, ne restait guère fidèle à lui si l’homme était incapable de la satisfaire. De plus, Maria avait toujours aimé les orgasmes, et, à chaque fois qu’on sollicitait ses services d’escort, elle terminait toujours par une orgie sur sa personne, ayant, par l’intermédiaire de Myumi, accès à de nombreuses personnes susceptibles de venir lui faire l’amour avec force et talent.
Aujourd’hui, elle attendait donc Genji, un amant bien mystérieux, et l’un de ses plus récurrents clients. Il adorait qu’elle le suce, et, à force, elle lui faisait même des fellations gratuites, pour fidéliser son client. Pour mieux se fondre dans la masse, elle portait, ce soir, son uniforme de lycéenne, et, jambes croisées, consultait son téléphone portable, un Smartphone rose. Elle filait parfois son numéro à certains clients qui devenaient des réguliers, et répondit à plusieurs messages, ou revit des photographies érotiques qu’elle prenait de temps en temps. C’était une scellent moyen de passer le temps, et elle en avait plusieurs de Genji, généralement prises par ce dernier, qui la photographiait pendant qu’elle le suçait. Il y avait même une photo, particulièrement vulgaire, où elle avait la bouche ouverte, juste après que Genji ait joui en elle. Sur la photo, on pouvait voir le bout du sexe de Genji, et, ensuite, les lèvres largement ouvertes de Maria, montrant ainsi tout le sperme en elle. Une image dégoûtante, mais qui excitait toujours Maria.
*Genji est un sacré amant...*
C’était l’un de ses préférés, qui voulait toujours des extras, et semblait toujours profondément déçu quand il ne pouvait plus profiter d’elle. Il était de plus assez populaire au sein du lycée, n’ayant carrément pas le profil-type d’une personne recourant aux services d’une prostituée. Beau, Genji n’avait rien à avoir avec les personnes désaxées et mal aimées. Elle était donc heureuse de l’avoir, et le vit se rapprocher. Comme toujours, il n’arrivait pas en retard, et elle lui sourit, lui répondant, comme toujours, avec un ton affreusement sensuel :
« Coucou, Genji ♥ ! »
L’homme lui présenta ensuite une liasse de billets, et Maria lui sourit, puis se mit à genoux, pile devant lui, dans un geste mécanique et automatique qui ne faisait que trahir leurs habitudes mutuelles.
« Garde tes sous, Genji, tu es l’un de mes habitués, tu sais... Je peux bien t’offrir ça gratuitement. Tu sais, comme ces histoires de cartes de fidélité. Dix fellations payées, la onzième offerte... Et puis, voir ta queue suffit pleinement pour moi pour ce service. »
Maria aimait bien l’argent, mais elle aimait surtout le sexe, et entreprit de déboutonner le pantalon de l’homme, le faisant tomber au sol, libérant très rapidement son sexe. Une belle queue apparut, qu’elle masturba rapidement, la sentant rapidement gonfler entre ses doigts. C’était l’un des choses qu’elle aimait chez Genji. Il s’excitait très rapidement, et, avant de le sucer, elle commença par embrasser et par lécher son sexe, frottant son visage dessus, tout en faisant comme à son habitude, à savoir minauder.
Son regard filait rapidement pour regarder son visage pendant que sa langue glissait sur sa hampe de chair :
« Tu aimes... Mes lèvres... Hein ? Quand je te suce... Après une durée journée de labeur... Haaa... J’aime tant ta queue, Genji... Si grosse, si dure, et... Tu es très endurant, maintenant, hmmm... »
Elle la léchait, puis la suçait un peu, avant de ressortir, et d’y frotter ses joues, son nez, soufflant dessus, inhalant l’odeur de ce sexe, cette odeur qu’elle adorait tout particulièrement.
« Dis-le, Genji... Dis que je suis la meilleure pute que tu connaisses, et combien tu aimes sentir ma langue et mes lèvres de salope sur ta bite... Haaaa, Genji... Ordonne à ta petite pute de te sucer, mon chériii... »
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La simple façon dont Maria l'avait salué à son tour était suffisant pour lui donner une trique de tous les diables. La Ganguro était non seulement bonne, mais avais aussi une attitude très perverse, de profonde salope ayant tout le temps envie de se faire prendre. L'attitude était ce qui marquait Genji, du moins le pensait-il. Des belles filles à Mishima, ce n'était pas ce qui manquait, et il le savait, il aurait aisément pu sortir avec l'une d'entre elles sans avoir à payer pour coucher avec elle. Seulement voilà, son dévolu s'était posé sur cette pute, et il n'arrivait pas à s'en défaire, aussi revenait-il donc régulièrement à elle. Jusque là, Genji n'avait prit avec elle que la formule fellation, n'osant pas vraiment aller plus loin qu'un coup rapide pour se vider de temps à autres. Mais ces visites étaient devenues de plus en plus récurentes, c'en était au point où le jeune homme trouvait le fait de se branler devant du porno...fade, sans saveur. L'attitude provocante, un peu "sale" de la Ganguro en revanche, lui faisait perdre tous ses moyens, et toute raison.
Juste après qu'il lui aie tendu les billets, Maria s'était alors agenouillée devant lui, massant d'une main son sexe, tout en lui disant que cette passe là serait gratuite, puisqu'il était l'un de ses clients les plus fidèles. Il y avait ça, ainsi que le fait que Maria semblait bien aimer le sucer. Ce n'était pas la première fois en effet que la prostituée refusait que Genji la paye, et à chaque fois elle le suçait quand même aussi bien. Si il n'y avait pas eu cette passion pour le sexe, et pour sa bite, Genji aurait pobablement fini par rapidement oublier Maria, et n'aurait pas fait une telle fixette sur elle, mais là encore, elle savait comment fidéliser le client.
A l'aide de ses mains, la Ganguro fit vite tomber le pantalon et le boxer de Genji le long de ses jambes, et elle se trouva avec son sexe bien dressé, tressautant à l'occasion, surtout quand elle le prit en main pour le branler. Maria avait des ongles assez longs, couverts d'un vernis aux couleurs généralement très flashy, et sans se l'expliquer, Genji adorait vraiment voir ses doigts aux longs ongles décorés astiquer sa queue. Il avait rangé ses billets dans la poche de son gilet, et laissait la prostituée faire alors son oeuvre, le tout gratuitement.
O...Ouais...c'est le meilleur moment de la journée ça, quand je viens te voir...
Genji se crispait sur place, alors que Maria était en train de jouer avec lui, avec sa grosse queue, mais sans pour autant encore le prendre en bouche. Elle gardait son sexe dans l'une de ses mains, et le léchait, ou encore le faisait se promener sur son visage, ce qui faisait que par moment, la Ganguro se retrouvait avec quelques traces de liquide séminal sur les joues. Plutôt que de directement le sucer, la Ganguro était une maîtresse dans l'art de le frustrer avant de le satisfaire finalement. Et qu'est-ce qu'elle était vulgaire quand elle parlait ! Mais qu'est-ce qu'il aimait ça !
Il n'y a que vers toi que je vais Maria...t'es la seule pute à me faire bander autant, regarde comme je suis dur bordel.
Là, l'excitation et la frustration amenaient le jeune homme à se lâcher un peu plus, ce qui était généralement l'effet recherché par cette pute nymphomane.
Je me suis pas branlé depuis au moins quatre jours Maria...alors je veux que tu me suces bien fort, j'ai une grosse quantité de crème à te donner pour le goûter...
Tout en disant cela, le jeune homme avait avancé ses mains pour les glisser sur la tête de la jeune femme, et plus précisément ses couettes, qu'il adorait empoigner lorsqu'elle le suçait. Avec sa trique phénoménale juste au bord de sa belle bouche de suceuse, le lycéen n'attendait plus que la Ganguro s'exécute, et vienne le pomper comme elle savait si bien le faire.
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« Et quand tu te branles... Hmmm... Tu penses à qui ? Tu te masturbes en pensant à ta petite pute, qui te suce... ?! »
La voix de Maria continuait à filer, terriblement sensuelle, monstrueusement provocatrice Repousser les avances d’une telle beauté relevait de l’exploit La ganguro avait toujours pris son temps avec une fellation, estimant que, avant de passer à l’acte à proprement parler, il y avait d’indispensables préliminaires, destinés à stimuler, autant le client, qu’elle-même Par ce biais, elle s’accaparait ce chibre, elle le domestiquait et le rendait moins menaçant. C’était comme ça qu’elle avait pu cesser d’être effrayée devant un phallus, et qu’elle les adorait, maintenant... Et a fortiori celui de Genji, qui était épais et dur.
Il l’était d’autant plus qu’il ne s’était pas masturbé, probablement pour se retenir afin d’être avec elle... Ce qui signifiait que, au-delà de son propre plaisir, il voulait aussi offrir à Maria un beau spectacle. Pour l’heure, les deux n’avaient fait que faire des fellations, la grande spécialité de Maria. Plus de 85% de ses clients, hommes et femmes confondus, demandaient à se faire sucer. Maria avait donc, en la matière, un certain talent, que ce soit à partir de la formation dispensée par Myumi, ou encore, et surtout, par la pratique. Ainsi, outre sa bouche, elle utilisait beaucoup ses mains, et notamment ses doigts. Si Maria avait de si beaux ongles, ce n’était pas pour rien. Elle avait compris que les hommes adoraient qu’on caresse leurs membres, mais aussi qu’on les gratte, un peu comme on caresserait un chat. Maria s’exerçait donc, allant également s’attaquer aux testicules de l’homme, lourdes, trahissant sa soif de sexe.
Elle les léchait, elle les soupesait, appuyant son nez dessus, et fourra ensuite sa bouche dans l’espace entre la queue et les boules, à la base de sa verge, pour la lécher et l’embrasser, redressant ainsi la queue de son amant avec sa main.
« Ohlàlà, oui, ta pauvre queue... Elle est en souffrance, ça se voit qu’elle m’aime beaucoup. Je vais te sucer, Genji, mais... Tu connais les règles, mon chéri... Plus tu m’insulteras salement, et plus je te sucerai bien fort. Et, vu ta soif, je crois bien que tu en as envie... Ta queue, elle, me hurle en tout cas que je la suce bien fort. »
C’était à se demander si Maria avait une seule once de pudeur. Elle ouvrit ensuite ses lèvres, et passa pour de bon aux choses sérieuses, attrapant ce sexe entre ses lèvres, et, rapidement, amena sa langue sous ce sexe, pour relever ensuite son appendice lingual, cherchant à enserrer ce membre de chair autour de son organe. Fermant les yeux, Maria se concentra, et aspira l’air entre ses joues, creusant ainsi ses dernières, puis fila d’avant en arrière, l’une de ses mains se posant sur le bassin de Genji, en le grattant encore un peu, avant d’aller caresser ses testicules, les soupesant, un doigt sous chacune des boules de l’homme.
« Mmmhhhmmm... !! »
Elle attendait maintenant son carburant : les insultes.
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Genji adorait quand Maria lui disait des obscénités juste avant de le sucer, et surtout, surtout, qu'elle sous entende qu'elle était sa chose, "sa" pute. La poussée d'excitation qu'il ressentait à chaque fois que la prostituée impliquait, même si c'était faux, qu'elle était sa propriété, était l'une des principales raisons pour laquelle Genji se trimballait avec autant de fric sur lui. Une fois qu'elle l'aurait sucé, il avait bien l'intention de la louer. Dans cette enveloppe, il y avait plus de trois millions de Yen, assez pour louer ses services de petite amie pendant un peu plus d'un trimestre. C'était une véritable folie, mais Genji s'en foutait, après tout depuis qu'il avait gagné à la loterie, l'argent ne risquait plus d'être un problème pour lui, surtout que comme tout le monde l'ignorait, ses parents allaient continuer à subvenir à ses besoins. Concrètement, il voyait tout cet argent comme un cagnotte à utiliser pour se faire plaisir, et là, c'était justement bien ce qu'il comptait faire.
Mais avant d'en arriver à cette étape, Maria devait encore lui pomper de dard. Pour l'instant elle léchait et embrassait sa queue toute dure, et jouait avec sa verge et ses bourses à l'aide de ses doigts, le contact de ses ongles longs sur sa peau surtout le faisait frissonner.
Ah...
Tout tendu, tout crispé, Genji accueillit avec bonheur le moment où Maria déclara qu'elle allait le sucer, et qu'il allait falloir qu'il l'insulte pour qu'elle le suce bien fort.
Pas de problèmes ma salope...
Maria adorait en effet se faire insulter, se faire traiter de tous les noms, que ça soit pendant l'acte ou même en dehors. Est-ce que ça trahissait une certaine tendance masochiste ? Le jeune homme l'ignorait, mais si lors de la première fois ça l'avait surpris, et qu'il avait eu un peu de mal, à force de pratique et en se rendant compte qu'effectivement ça la faisait kiffer, Genji avait fini par l'insulter tout naturellement.
La pute ne tarda pas alors à prendre enfin son sexe en bouche. Elle commença doucement à le sucer, mais ce n'était qu'un prélude. Genji le savait, pour qu'elle y mette vraiment de l'ardeur, il allait devoir s'exécuter.
Ouais...allez grosse pute, pompe moi le dard, je sais que t'aimes ça...
Instinctivement, le jeune homme s'était mis à remuer son bassin, tandis qu'à l'aide de ses mains, il s'était saisi des couettes dans les cheveux de la prostituée, et tirait volontiers dessus pour s'assurer que la femme n'aille nulle part.
Tu aimes hein ? Oh oui tu l'aimes ma grosse queue dans ta bouche de suceuse, espèce de pétasse, t'es une junkie qui se drogue au foutre, et je vais t'en donner...Han putain !
Les paroles obscènes que Genji proféraient à l'encontre de la prostituée semblaient effectivement la stimuler, car elle se mit effectivement à le sucer avec d'avantage d'entrain, comme pour l'encourager à continuer, à se laisser aller, à la traiter comme une moins que rien, une grosse pute.
Raaaaaah tu...tu...t'es la plus grosse salope que j'aie jamais vu Maria ! Y'a aucune pute qui suce aussi bien que toi, mais t'es pas une pute qui fait ça que pour le fric hein ? Tu fais ça pasque t'aimes la bite espèce de truie ! Tu me pompes gratuitement parce que t'aimes sentir ma grosse queue dans ta bouche, contre ta langue, salope...haaaaaaa salooooooooope !!!!
Plus Maria le suçait, et plus Genji se laissait aller dans des envolées lyriques, tout en se mettant à lui baiser la bouche. Quand il ressentait un tel plaisir, le jeune homme devenait en effet impérieux, presque violent, mais sans jamais aller trop loin cela dit. Maria l'encourageait à ne pas se montrer tendre dans le même temps, et au vu du nombre de fellations qu'elle lui avait offerte, elle devait commencer à comprendre comment son client le plus fidèle fonctionnait.
Allez putain suce moi plus fort ! Gobe ma queue, fous la dans ta gorge, et étouffe toi dessus bordel !!!
Sous l'effet du plaisir, c'était effectivement un tout autre Genji qui prenait la place.
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On pouvait motiver certaines femmes en leur offrant des fleurs, des poèmes, et ces trucs à la con. Chez Maria, il fallait l’insulter pour la motiver. Souvent, les garçons étaient timides au début, puis, l’excitation aidant, ils se lâchaient. Et tout ça créait un véritable cercle vertueux du sexe, car, plus ils étaient excités, et plus les insultes venaient facilement. Et, plus ils insultaient, et plus ils étaient excités. C’était donc magnifique. Maria n’irait pas jusqu’à dire qu’elle aimait les hommes violents, mais, et c’était là une nuance bien subtile, elle voulait d’une certaine violence, mesurée dans son action. Pour le dire autrement, Maria adorait la violence verbale, mais supportait bien plus difficilement des violences physiques. C’était un point qu’elle travaillait avec Myumi, mais, du fait de ses traumatismes d’enfance, c’était encore la dernière bataille qu’elle avait à mener. Myu’ avait réussi à lui infliger des fessées, mais sortir la cravache ou le fouet amenait Maria dans ses derniers retranchements. Mais ça, Genji ne le savait pas encore.
Maria avait du mal à s’expliquer ce que l’homme pouvait tant lui trouver pour revenir à chaque fois la voir. Il était beau, riche, et il y avait beaucoup de jolies filles à Mishima, et pas mal de perverses. Maria était bien placée pour le savoir. Elle, son avantage, c’était qu’elle était l’une des rares ganguros du lycée. Il y avait l’attraction de la nouveauté, mais, au-delà de ça, elle se demandait vraiment ce que Genji lui voulait. Enfin, ce n’était pas ça qui la dérangerait, car il n’avait jamais posé de problèmes pour payer. C’était un bon client, et un superbe amant, avec une trique à la hauteur de son entrain. Même quand il jouissait, il était toujours suffisamment excité pour que Maria continue encore à pomper son dard.
« Mmmhmmm... »
Et quel dard ! Ah, quel festin ! Elle se régalait toujours autant de ce sexe, qui s’accompagnait de mains fermes et puissantes posées sur ses couettes, la faisant couiner. Prudemment, elle évita de mordiller sa queue, mais approcha quand même ses dents. L’exercice était difficile, car mordre un phallus était très douloureux pour l’homme. En revanche, si on se contentait juste de le racler, le plaisir croissait généralement, se dupliquant avec les lèchements. Maria se débrouillait pour agir avec une certaine expertise en la matière, forte de son expérience personnelle.
La jeune femme s’attaquait donc à cette queue, galvanisée par les jurons de Genji, qui se multiplièrent considérablement. Fermant les yeux, elle soupirait bruyamment, filant d’avant en arrière, enfonçant de plus en plus cette queue dans sa bouche, la sentant rapidement taper contre sa gorge. C’était ce qu’elle adorait avec la fellation, sentir la queue s’enfoncer le plus loin possible, l’étouffant presque, et la maintenir sur place. Elle s’efforçait ainsi de le sucer avec le plus d’énergie et d’entrain, revigorée par les jurons que l’homme poussait. Il était bien difficile de comprendre ce qui pouvait l’exciter autant, mais Maria mouillait en sentant Genji la traiter si sèchement, si méchamment.
*Dieu, que c’est bon !*
Pour autant, elle ne se caressait pas, car la satisfaction de son client passait avant tout, et ses deux mains se posèrent sur les fesses musclées de l’homme, s’y appuyant pour lui permettre de mieux se maintenir, et aussi de profiter un peu de ce joli cul, qu’elle rêvait de pouvoir lécher. Mais, pour ça, il fallait que Genji lui demande autre chose qu’une fellation. Avec un homme si bien bâti et si endurant, la ganguro trouvait en réalité de plus en plus frustrant d’être cantonnée à un rôle subalterne, et presque insignifiant, car elle voyait la fellation comme un acte très érotique, certes, mais aussi comme un préliminaire à un spectacle beaucoup plus intense.
Offrir cette fellation à Genji, c’était aussi un moyen de l’inciter à profiter de tout le reste du corps de sa petite pute...
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Genji aurait sans problèmes pu se trouver une véritable petite amie, plutôt que d'aller régulièrement voir cette prostituée, chez qui il lui arrivait d'ailleurs de dépenser une petite fortune quand il venait parfois plusieurs fois par jour la voir pour qu'elle le suce. Mais c'était plus fort que lui, il pensait à Maria quasiment tous les jours. Il n'en était pas amoureux, mais n'en demeurait pas moins obsédé par elle. Son corps, son bronzage, ses manières vulgaires et son comportement de salope assumée, lui donnaient à chaque fois une trique de tous les diables.
Genji était bien conscient de la précarité de sa situation, car être autant obsédé par une ganguro prostituée n'était pas viable sur le long terme, et c'était pour ça qu'il avait décidé de prendre un gros paquet de fric pour se la payer exclusivement pendant près d'un trimestre. Le jeune homme était quasiment certain qu'une fois qu'il l'aurait bien baisée dans tous les sens, au bout de ce temps imparti, son obsession le quitterait, et qu'il pourrait retrouver une vie normale une fois qu'il aurait évacué tous ses fantasmes concernant Maria, et toute sa frustration.
Et il commençait en lui baisant sa belle gueule d'amour. Genji la tenait par ses couettes afin d'amplifier encore ses mouvements de va et viens, et le jeune homme baisait la bouche de la prostituée sèchement, car il savait que cette dernière aimait qu'on se montre un peu violent avec elle, jusqu'à une certaine limite qu'il n'avait jamais dépassé.
Han ouais...jvais jouir putain...p...prépare toi !!!
Avec ce rythme intense qu'il imposait, couplé au fait qu'il avait attendu ce moment pendant une bonne partie de la journée, Genji se décharga longuement dans la bouche de la prostituée, enchaînant les gorges profondes tout en allant directement cracher sa semence dans la gorge de la ganguro qu'il l'avait tellement chauffé. Il poussa finalement un long soupir de soulagement quand il termina son affaire, et se retira de la bouche de la prostituée, avant de remonter son pantalon et son boxer.
J'ai encore un truc à te demander Maria...enfin...à t'offrir plus tôt. J'ai consulté à nouveau ce que tu offrais pour en être sûr, et j'ai vu que tu proposais des expériences de "petite amie".
Genji sortit alors de son sac à dos une belle enveloppe, et la tendit à la ganguro. Elle était bourrée à craquer de billets de grosses coupures.
Y'a là dedans assez pour trois mois, et ça corresponds à ce que je veux Maria. Je veux que tu sois ma petite amie pour ce trimestre.
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Genji était l’un de ses meilleurs clients, un garçon aussi doué qu’énigmatique. Riche, beau, et plutôt intelligent, de ce qu’elle en savait, il n’avait pas du tout le profil classique des types venant la voir, généralement des individus ayant des petites amies, et voulant faire avec une fille comme Maria des choses qu’ils n’oseraient jamais faire avec leurs copines… Ou des individus qui n’étaient pas très beaux, ou peu confiants en eux, et qui voyaient en la ganguro locale un moyen d’épancher leur frustration. Mais Genji, lui, était totalement différent. Alors, qu’il revienne à chaque fois la voir la surprenait, mais… Eh bien, elle n’allait pas cracher dans la soupe, surtout quand on avait une telle vigueur. Genji était très doué, vigoureux, et, avec elle, le côté calme et studieux qu’il manifestait auprès de ses professeurs s’effondrait, révélant un homme stressé et anxieux, qui libérait toute cette frustration en la baisant sèchement. C’était humiliant, mais tellement bon, tellement magnifique, tellement jouissif !
« Hmmm… Haaaa.. »
Comme bien de ses clients, Genji adorait beaucoup les fellations, et se faisait plaisir en ce moment. Oui, il la prenait fort, et elle, eh bien, au-delà de l’aspect financier, c’était tout ce qu’elle aimait. En réalité, Maria aimait bien plus le sexe que l’argent, et n’avait décidé de financiariser ses services que dans la mesure où cela lui permettait de ne vivre que de ça. Mais, de fait, elle n’était vraiment pas très chère, sauf quand on voulait s’attacher ses services pour être une petite-amie.
Genji continuait donc à la bourrer, jusqu’à s’abandonner en elle, un magnifique orgasme venant conclure avec brio cette séance. Maria gémissait longuement, accueillant le foutre de son amant avec plaisir, et, comme à son habitude, l’avala entièrement. Maria ne se formalisait guère qu’on l’insulte, car elle n’avait aucun honneur, ni aucune vertu à défendre. Elle était effectivement une salope, une ganguro qui n’aimait rien d’autre que le sexe, et qui n’envisageait rien d’autre, pour son avenir, que de faire l’amour, encore et encore.
L’homme venait donc de jouir, mais, alors que Maria pensait en avoir terminé, il la surprit en lui tendant une grosse enveloppe, et en lui demandant… D’être sa petite copine pendant un trimestre entier.
« Quoi ? »
Naturellement surprise, Maria cligna des yeux à plusieurs reprises, comme pour se persuader qu’elle avait bien entendu, et que tout ça n’était pas une blague. Mais… Non seulement Geni avait l’air très sérieux, mais l’enveloppe comprenait énormément de liasses de billets. Maria en piocha une au hasard, et, incrédule, compta les billets.
*Mon Dieu, mais il ne plaisante pas !*
Trois mois… Jamais personne ne lui en avait demandé autant ! Le plus long qu’elle avait fait était généralement de deux semaines, mais, la plupart du temps, elle ne faisait la petite-amie que pour une soirée, histoire d’impressionner les copains. Là, trois moi, c’était… C’était énorme, surtout compte tenu du fait que Maria adorait le sexe, et n’avait jamais voulu se mettre en couple, parce que le concept de fidélité sexuelle lui était intenable sur le long terme.
Il y eut donc un léger blanc, tandis qu’elle se relevait, et le regardait, sans trop savoir quoi dire.
« Trois mois, c’est long, tu sais… Très long ! Je... Je ne prends jamais au-delà de deux semaines, parce que… »
Maria ferma les yeux, et se pinça les lèvres en se retournant, se croisant les bras, puis se retourna à nouveau :
« Je ne fais pas ça pour l’argent, Genji, tu le sais, maintenant, je suppose… J’aime le sexe. J’aime ça au-delà de tout le reste, et… Je ne veux pas me restreindre. Or, les petits-amis veulent toujours me posséder, m’entacher à une sorte d’exclusivité sexuelle que je réfute. »
Les choses commençaient mal, mais Maria n’avait pas encore fini son exposé, et reprit ensuite :
« Je t’aime beaucoup, Genji, mais, si tu veux qu’on sorte ensemble pendant trois mois, ce que je suis prête à accepter, je ne voudrais aucune crise de jalousie. Car, en trois mois, je devrais encore continuer à me prostituer, si je ne veux pas que les autres clients m’abandonnent, alors… Si on part là-dessus, sache que je mettrais fin à la relation dès que tu commenceras à vouloir me contrôler plus que ce qui est nécessaire. Plus que toute autre chose, je tiens à ma liberté en la matière. »
Être une salope était son choix, et non une conséquence imposée par des Yakuzas ou un cruel père incestueux. C’était une chose qu’elle faisait délibérément, la seule activité dans laquelle Maria se sentait vraiment épanouie.
« Sache que, normalement, je devrais refuser une telle offre… Mais toi, Genji, je t’aime beaucoup, alors… Pour toi, je suis prête à accepter, mais je suis quand même surprise. Pourquoi veux-tu m’avoir au quotidien pendant trois mois ? »
La demande était tellement inhabituelle que Maria ne pouvait s’empêcher de s’interroger sur les motivations de l’homme… Et c’était aussi une manière de se convaincre que l’homme ne plaisantait pas, et était effectivement très sérieux.
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Genji était certain de ce qu'il voulait, pour une simple et bonne raison, il sentait qu'il commençait à être obsédé par cette pute. L'aimer ? Non, certainement pas à ce point là, mais il ne se passait jamais une seule journée sans qu'il ne pense à cette salope de compétition, et il trouvait qu'une telle obsession pouvait lui être néfaste. Il y avait beaucoup réfléchi, et en était arrivé à la conclusion qu'il était frustré vis à vis de sa "relation" avec elle. Le jeune homme ne lui avait jamais demandé rien d'autre que des fellations car il craignait qu'aller plus loin le rendrait accroc à cette pute dont il adorait le look et les manières de salope qui s'assume, mais c'était de fait déjà les cas. Il pensait donc que, si il pouvait l'avoir comme "petite amie" pendant un trimestre, et bien il finirait bien par se lasser, ou à défaut, qu'il pourrait contrôler ses pulsions après s'être bien vidé en elle pendant ce trimestre à venir.
Il poussa un soupir alors, après qu'elle aie posée ses conditions.
J'accepte Maria. Et t'en fait pas, j'ai pas l'intention d'être possessif, je sais bien que tout ça c'est qu'un rôle pour donner un peu plus de piment. J'en ai rien à foutre que tu te tape d'autres mecs, c'est ton boulot après tout.
Il se frotta alors l'arrière du crâne, cherchant ses mots, avant de reprendre.
Quand à pourquoi je fais ça...je vais être honnête, tu commences à m'obséder Maria. Je suis pas amoureux de toi ou quoi, mais tu m'attires tellement physiquement que les autres filles ne me font même pas bander. J'ai jamais voulu de toi plus que des pipes car je craignait que ce genre de connerie m'arrive, mais ça l'a pas empêché. Alors tu connais le bon vieux dicton...le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder...et bien voilà.
Il s'approcha alors de la prostituée, la plaquant contre le mur.
Je veux juste qu'on baise régulièrement, toi et moi, pour que je finisse par ne plus être frustré, ne plus penser uniquement à toi quand j'ai des envies de baiser. Ton planning sera mon planning, c'est de toutes façons pas comme si j'avais des difficultés scolaire...mais je veux disposer de ton corps au moins une fois par jour, peu importe le lieu.
Le jeune homme avait de nouveau une imposante éréction sous son pantalon, et plaquait son bassin contre la ganguro. Il avait la respiration lourde, très lourde.
Alors...toi qui semblait si désespérée que je daigne un jour te baiser...acceptes-tu qu'on le fasse enfin ?
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Tout cela, honnêtement, la faisait... Un peu flipper. On aurait dit l’évènement perturbateur dans tous ces mauvais films puritains à l’eau-de-rose où une fille libertine se « rangeait » en tombant amoureuse, et toutes ces conneries. Impossible que ça arrive avec Maria, qui n’avait absolument aucune envie d’être entichée d’un petit-ami, mais elle avait peur que Genji ne finisse par s’imprégner davantage sur elle, et par lui refuser sa liberté, en estimant qu’il était plus intelligent qu’elle, promis à un meilleur avenir, et que elle, après tout, n’était rien de plus qu’une pute. Elle avait donc peur que tout cela ne soit qu’un mensonge, et qu’il ne la considère en réalité, à terme, comme sa chose personnelle. Ainsi, malgré la somme généreuse que Genji lui proposait, Maria avait plutôt envie de refuser, et de s’en tenir à sa formule classique.
Genji essaya de dire qu’il ne voulait pas faire d’elle sa petite-amie, mais plus avoir une sorte de relation privilégiée avec elle... Une nuance subtile. L’homme insista encore, attrapant les épaules de Maria, et la plaquant contre le mur, se frottant ensuite contre son corps, son membre turgescent venant caresser son corps.
« Je... »
Elle avait envie de refuser, mais voyait aussi tout le potentiel pervers de la chose, tout ce qu’elle allait pouvoir faire. Maria réfléchissait donc, partagée entre la peur et l’excitation... Et finit par se dire qu’elle avait toujours pris des risques. Elle en avait pris, en rejoignant le lycée, en se faisant passer pour une élève, et en pouvant librement proposer ses services, avec la complicité tacite de l’administration.
« Okay, Genji... Mais ça se fera à mes conditions ! »
Et Maria n’avait pas encore fini de préciser ses critères.
« Tu auras le droit de dormir avec moi chaque soir... Chez moi. Sauf exceptions, on ira pas chez toi. Et, comme dit, je tiens à être libre de continuer à faire ma profession. Je veux bien d’une relation privilégiée avec toi, ça oui, mais... N’abuse pas, c’est tout. Si je veux recevoir des mecs ou des nanas chez moi pour m’envoyer en l’air, je ne veux pas que tu protestes. »
Maria, très sérieuse, posa alors un doigt sur les lèvres de son partenaire, comme pour l’empêcher d’émettre une quelconque remarque, et elle posa son autre main sous le pantalon de l’homme, atteignant rapidement son sexe, qu’elle masturba, sentant encore, dessus, les traces de sa salive.
« Si tu veux du sexe, tu en auras à foison... Bien plus que tout ce que tu peux imaginer. Une fois par jour ? Si tu crois que mon rythme peut se contenter de ça, mon chéri, tu te mets le doigt dans l’œil... Oui, on baisera, on baisera bien plus que tout ce que tu peux imaginer... Mais on ne fera rien de plus. »
Elle retira alors son doigt, et lui sourit alors, continuant à le masturber.
« Si tout est clair... Signons notre relation de la plus belle manière qui soit... En fourrant ta grosse queue dans ma petite chatte de salope, et en me baisant bien fort contre ce mur. »
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Que Maria ne s'y trompa pas, Genji n'avait absolument aucune vision amoureuse de la relation qu'il voulait entretenir avec elle durant ces trois mois, mais c'était juste qu'il était absolument accroc à son corps, avec ces formes de grosse salope, et ce tannage propre aux ganguros qui achevait de le faire bander à chaque fois qu'il pensait à elle. Genji avait envie de la fourrer régulièrement, jusqu'à ce qu'il finisse par se lasser, pour dans l'idéal enfin passer à autre chose. Il savait ce que le fait de "sortir" avec une pute impliquait, mais qu'elle ne soit pas la seule personne avec qui elle couche, honnêtement, il s'en tapait un peu, tout ce qu'il voulait c'était qu'il puisse la baiser le soir, après les cours...pour le reste, elle faisait bien ce qu'elle voulait de sa vie.
Maria sembla hésitante, mais finit néanmoins par accepter, non sans poser encore quelques conditions
Tes conditions me vont, Maria.
"Sa" petite pute désormais, du moins dans un sens, il ne la possédait pas au sens où on pourrait l'entendre, mais il avait désormais le droit de venir chez elle tous les soirs, et le lycéen comptait bien se rendre chez cette pute tous les soirs pour la déboîter, et se vider les couilles sur elle et en elle. Cette salope de compétition était même allée jusqu'à glisser sa main dans le pantalon du jeune homme, tout en lui expliquant ses conditions, et l'avait branlé pendant ce temps là. Maria était vraiment une assoiffée de bite, une salope qui s'assumait pleinement, et bordel, qu'est-ce que ça pouvait le faire bander ! Genji poussa alors un lourd soupir avant de se plaquer complètement contre Maria.
J'vais te faire couiner, salope...
Genji posa ses mains sur son pantalon, qu'il fit glisser le long de ses jambes en même temps que son boxer, libérant à nouveau sa verge, encore un peu couverte de la salive de Maria, et de nouveau bien dure après que cette dernière l'aie branlé. Voilà, il allait enfin s'autoriser de se fourrer dans la chatte de cette pute, et une fois chez elle, il allait la labourer au point de la faire jouir en cascade, car lui même était tellement en chien qu'il n'avait nullement l'intention de la ménager. Après avoir abaissé son pantalon, et libéré sa verge, le jeune homme usa d'une se ses mains pour lever l'une des jambes de sa pute de Maria, prenant appui dans le creux de son genou pour bien faire lever sa cuisse, et lui offrir un accès à son intimité. Son autre main, Genji l'utilisa pour écarter les plis de la culotte léopard de cette traînée, et les garder écarter de façon à avoir un accès plein à sa chatte coulante qui n'attendait plus que d'être fourrée. Et sans plus attendre, il se glissa effectivement en elle, d'un coup sec, après avoir aligné son sexe tendu avec l'entrée de son vagin.
Hnnnnn...S-sale pute !!! Han P-PUTAIN !!!
Sans plus de cérémonie, Genji commença à remuer dans sa chatte. Et bordel, c'était encore plus bon que ce qu'il aurait imaginé !
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Pour le coup, il n’y avait absolument pas, chez Maria, la trace du moindre complexe. Elle-même se définissait volontiers comme « la Reine des salopes », une pute hors-catégorie, qui avait bénéficié du droit unique d’exercer son métier au sein de Mishima. Et, indéniablement, cette idée était à breveter ! Les adolescents étaient des clients bien plus prometteurs que des adultes, tant leurs hormones étaient en feu, et tant leur imagination était folle. Rien à voir avec des maris désabusés qui défonçaient une pute pour se soulager d’être incapables de prendre leur pied. Ça aussi, Maria y avait eu droit avant de venir au lycée. Contrairement à bien d’autres, elle n’avait pas fait ses études à Mishima, mais, alors qu’elle était prostituée, elle avait eu comme client le Directeur adjoint du lycée. Et ça avait été la meilleure nuit de baise de sa vie... Jusqu’à présent. Ce qui l’avait encore plus surpris, c’est que l’homme était revenu la voir, et avait fini par lui proposer cette nouvelle vie.
Maria avait toujours choisi d’être une prostituée. C’était son objectif, son rôle, et elle n’avait aucune ambition différente. Elle n’avait même pas de famille, étant orpheline. Et là, face à elle, il y avait Genji, qui lui faisait une proposition aussi dangereuse qu’intéressante... Ce qui fit qu’elle avait fini par accepter. Et, pendant que l’homme délivrait l’accès à son sexe, Maria, elle, se déshabilla également, ne conservant plus que sa culotte-léopard, et un soutien-gorge léopard. Elle était, après tout, exhibitionniste, et sourit quand l’homme la plaqua contre le mur, et souleva sa jambe.
« Genji... »
Il releva sa jambe, la maintenant par la cuisse. Heureusement que la femme était agile, mais elle en profita pour appuyer ses mains sur sa nuque, tout en le laissant écarter sa culotte-léopard, dévoilant une intimité trempée et ruisselante. Maria soupira à nouveau, et sentit son membre dur se rapprocher en elle. Elle avait déjà eu l’occasion de sentir l’épaisseur de sa verge, à force de le sucer, mais là, il alla enfin se répandre en elle. Et ça, pour le coup, Maria ne pouvait pas nier que ça l’excitait énormément. Se pinçant les lèvres, elle le sentit alors se glisser en elle, et se mit à gémir.
« Hmmmm... Genji, haaaaa... »
Maria se pinça encore les lèvres, et Genji commença ensuite à remuer en elle. Ses ongles se crispèrent sur sa nuque, et elle soupira, avant de se redresser avec son autre jambe, et de l’enrouler autour de la taille de l’homme, pour lui sourire ensuite.
« Regarde-moi dans les yeux pendant que tu me baises... Regarde ta salope, et insulte-moi fort... Haaaaa... Montre-moi que tu ne veux pas être mon mec, que je ne suis... Haaaann... Que ta délicieuse pute ! »
Et elle allait adorer ça !
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Baiser avec "Maria Sucker", ça promettait d'être vraiment une expérience unique en son genre. Pour une pute, Maria était de toutes façons du genre à sortir du lot, car elle ne faisait même pas ça par nécessité, mais simplement parce qu'elle adorait se prostituer. Une salope qui s'assumait pleinement, et son apparence de ganguro, faisaient que Genji était fou d'elle. Amoureux ? Certainement pas, il était bien trop lucide pour se dire que c'était une bonne idée, Maria était bien trop libertine pour seulement envisager le concept même de fidélité, qu'elle avait en horreur. Non, par contre, il était fou de son corps, fou de sa vulgarité, il n'était pas amoureux d'elle, mais était accroc à ce corps comme un junkie. Ce "contrat" privilégié qu'il venait de payer pour un trimestre, c'était donc pour Genji l'occasion de se purger de cette addiction, il espérait bien qu'en la baisant suffisamment il allait, non pas se lasser de Maria, mais au moins arrêter d'être aussi fasciné par elle.
Genji poussa un long râle de plaisir quand il fourra enfin sa queue tendue dans la chatte de cette grosse pute, et le temps qu'il la prépare, cette dernière était même allée jusqu'à prendre l'initiative d'ôter une partie de ses fringues, de façon à se trouver en sous-vêtements. Ils avaient beau être dans un coin un peu isolé du complèxe du lycée, un petit coin sans issue à côté de containers à poubelles, ça n'en demeurait pas moins un espace public dans lequel Genji faisait ses études...et putain, ça l'excitait d'avantage.
Genji, en commençant à la fourrer, la sentit donc presque dénudée, et pouvait donc entre autres voir sa généreuse paire de seins commencer à rebondir au rythme des coups qu'il lui donnait.
Oh ouais...Oh putain t'es tellement bonne Maria...
La pute gémissait elle aussi, et il avait suffit à Genji de se glisser en elle pour voir qu'elle ne simulait absolument pas le fait qu'elle prenait son pied. C'était ça qui était magique avec elle, Maria aimait vraiment le sexe et le faisait sentir à ses clients, sans compter qu'en plus, elle laissait volontairement ses prix bas pour attirer le plus de monde possible. Vraiment, chaque baise avec elle en valait le coup. Rapidement, la jeune femme redressa son autre jambe, pour les enrouler autour des hanches de son client. Genji prit donc rapidement sur lui de la soulever, en la maintenant contre lui en posant ses mains sur son délicieux cul ferme, et en la plaquant contre le mur, et elle continua de lui parler.
Mais ferme là putain...
Il donna une fessée ferme à sa pute, avant d'accélérer subitement la cadence de ses va-et-viens.
Qui Pourrait être assez con pour vouloir...sortir avec toi ? Hein ? Haaaaa...t'es...t'es un vrai garage à bites, espèce de truie alors...arrête de me faire chier avec...avec tes craintes à la con...et bouffe ma bite SALOPE !
C'était odieux ce qu'il venait de dire, mais Maria fonctionnait ainsi, elle adorait se faire rabaisser, insulter et humilier tout en se faisant baiser. Si initialement Genji avait eu un peu de mal, il avait vite fini par comprendre que plus il se montrait odieux et dominateur, plus Maria semblait prendre son pied. Il entreprit donc de bien lui bourrer la chatte, en la plaquant vivement entre le mur et lui même, et d'intenses bruits spongieux s'échappaient de l'entrejambe de la jeune femme.
Tu...Oh merde t'es tellement mouillée....Haaaaa t-tu kiffe hein ? Tu aimes ma queue dans ta chatte de...hum...de grosse PUTE ! Hein ?
Qu'elle lui dise ça, ça l'exciterait d'avantage, tout comme le fait de l'entendre gémir et couiner. De fait, le jeune homme allait continuer à la pilonner jusqu'à ce que lui même sente la sauce remonter le long de sa verge. Il aurait aisément pu faire durer encore cette session crapuleuse près des poubelles, mais il n'avait pas non plus envie de s'éterniser au risque de se faire surprendre. Il finit donc par se vider en elle, copieusement, avant de se retirer sans plus de cérémonie, commençant à se renfroquer.
Putain ça fait du bien, mais c'est qu'un prélude ma belle. A moins que t'aie encore des rendez-vous de prévus, je propose qu'on poursuive ça chez toi...et même sur le chemin.
Genji n'avait pas de voiture après tout, et si Maria n'avait pas non plus de moyen de transport personnel, alors leur seule option serait les transports en communs...qui étaient une source intarissable de fantasmes pour les couples depuis des décénies, surtout au Japon.
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Genji avait bien compris comment Marie fonctionnait. Le romantisme à l’eau-de-rose, le sentimentalisme, les pots-de-fleur... Tout ça la laissait de glace. Elle n’en avait tout simplement rien à faire, et préférait le sexe pour le sexe. Difficile d’expliquer les raisons profondes de ce comportement, mais Genji l’avait bien compris, et, tant qu’il n’en demandait pas plus, Maria se contenterait de tout ce qu’il avait à donner... En l’occurrence, des coups de reins solides et appuyés. Genji la prenait énergiquement, puissamment, faisant rebondir son corps contre le mur. Maria gémissait, rougissant de plaisir en entendant l’homme l’insulter copieusement. C’était typiquement ce qu’elle voulait, clairement ce qu’elle attendait. Des jurons prononcés, des claques, des insultes, une grosse queue qui la pilonnait. Maria, effectivement, ne simulait rien, et était une pure nymphomane, qui ne se refusait quasiment rien. Genji en avait la démonstration, et il la bourrait donc méchamment, ne lui refusant rien.
«
Ouuuuuii, hmmm... Haaaaa... Bai... Baise-moi fort, hmmm... !! HAAAAAAAANNN... !! »
Les soupirs et les hurlements de Maria emplissaient l’espace du local poubelle. Une séance de sexe crapuleuse, comme ils avaient l’habitude de le faire. Dire que Genji passait officiellement pour un véritable élève-modèle... Il était très bien noté, plutôt calme, discret, et avait d’excellentes appréciations et de bonnes moyennes. Il était destiné à un grand avenir, dans le droit par exemple, ou dans la politique. Heureusement, Maria était là pour le ramener à la réalité, et, tandis qu’il continuait à la bourrer, à grogner, et à laisser parler toute son agressivité, lui pinçant les fesses, la jeune
ganguro envisageait avec un très grand sérieux la probabilité d’un mois avec lui... Mais tiendrait-il le coup ? Elle ne pouvait que l’espérer.
Maria mouillait effectivement beaucoup. Elle n’avait jamais caché que Genji était l’un de ses clients préférés, non seulement parce qu’il était très bien membré, mais aussi parce qu’il y avait en lui ce paradoxe qu’elle trouvait tout simplement fascinant, ce mélange entre l’homme et la bête... L’être civilisé et la créature préhistorique ne demandant qu’à besogner de la chatte. L’homme finit par jouir énergiquement, se relâchant en elle, et elle-même contracta un orgasme, pinçant ses épaules, se serrant à lui, couinant longuement, avant de sentir la mouille et le sperme de l’homme couler le long de ses cuisses.
Genji la laissa ensuite se rétablir, et elle sourit devant sa proposition indécente.
«
Sur le chemin ? Ma foi... Ce n’est pas le genre de choses à me redire deux fois, ça... » sourit-elle malicieusement.
Autant dire que Maria était une spécialiste du sexe public, et de l’exhibitionnisme. C’était même l’un de ses gros fantasmes, dont elle ne se lassait jamais. Elle se débrouillait généralement pour faire l’amour dans des endroits osés, et n’hésitait notamment pas à faire porter à ses amants des cagoules ou des perruques pour qu’ils puissent s’envoyer en l’air avec elle sans crainte. Ganji avait l’habitude des idées très osées de Maria, et elle ne doutait pas qu’il devait en rêver la nuit. Elle hocha donc la tête, et commença à remettre ses affaires... Mais oublia sa culotte. Du moins,
volontairement. Elle la tint du bout de son doigt, un délicieux string rose, et sourit à l’homme. Au Japon, il y avait un fort fantasme sur les culottes des filles, à tel point qu’il existait des distributeurs de culottes usagées.
«
Tiens... Cadeau ! »
Elle le lui donna, puis lui fit un clin d’œil, et sortit ensuite du local poubelle. Le duo rejoignit ensuite la station de métro, située juste à côté. Le temps que le train arrive, Maria ne tarda pas à se ruer sur les lèvres de l’homme, et l’embrassa longuement, frottant son corps contre le sien, jusqu’à sentir une bosse renaître en lui.
«
C’est ça que j’aime chez toi, Ganji... Tu es monté comme un vrai taureau ! »
Le métro approcha ensuite, et elle sourit encore, puis glissa sa main dans le creux de la sienne. Ils entrèrent ensuite dans le métro. On était en pleine heure de pointe, la sortie des bureaux, et le métro était donc bondé. Impossible de s’asseoir, et Maria se débrouilla pour rejoindre un coin, près de plusieurs individus. Il y avait un homme en costume, qui lisait des informations sur sa tablette graphique, un étudiant qui écoutait de la musique en somnolant... Et elle-même qui se retrouva contre une vitre.
Maria tournait le dos à Ganji, et sentit rapidement l’homme s’abattre dans son dos. Elle en profita volontiers pour bomber ses fesses en arrière, et frotta ainsi la verge de l’homme, essayant de bien la coincer contre sa croupe. Elle souffla ensuite sur la vitre, faisant de la buée, puis promena son doigt dessus, un léger sourire sur les lèvres. Elle traça avec son doigt six petites lettres, très évocatrices, sur deux lignes :
FUCK
ME ♥ !
Difficile de faire plus clair, non ?
-
Cette pute rendait Genji dingue, le subtil mélange de son apparence de ganguro avec son attitude de salope décomplexée lui filaient toujours une trique exceptionnelle, ça et le fait qu'elle était une pure nymphomane qui adorait se faire baiser. Clairement Genji n'était pas amoureux d'elle, mais ça ne l'empêchait pas de régulièrement rêver d'elle la nuit tant son corps et ses manières l'attiraient. Il avait dépensé un petit paquet de thunes afin de l'avoir pour lui régulièrement durant ces trois mois à venir, mais Maria était une telle assoiffée de bite, et tellement bonne, que ça les valait pour Genji. Oh que ouais, il allait s'assurer d'en avoir pour son argent, et il allait la baiser par tous les trous.
Genji termina de se renfroquer lorsque Maria remit ses vêtements. Le jeune homme avait encore envie de la baiser, mais le local à poubelles allait vite montrer ses limites...et surtout il voulait passer à la vitesse supérieure. Baiser Maria dans un métro bondé de monde, c'était un fantasme qu'il avait bien l'intention de réaliser, surtout que cette pute n'avait pas froid aux yeux et se livrait régulièrement à ce genre d'exercices avec ses clients, et cette fois ça allait être au tour de Genji de goûter à ce plaisir interdit. Juste avant de partir toutefois, Maria lui fit cadeau de sa petite culotte léopard qu'il attrapa au vol, et qu'il renifla un coup juste avant de partir et de la glisser dans son sac.
Même si il venait juste de tirer son coup, Genji avait encore de beaux restes de sa trique. La perspective de la baiser dans le métro l'excitait, et comme elle se trouvait juste devant lui, Genji pouvait mater son cul, le tout en sachant pertinnement qu'elle n'avait plus de culotte sous cette jupe de lycéenne. Genji la suivait, car il ne savait pas où elle habitait, et elle le mena jusqu'aux quais d'une station de métro, avant de lui sauter dessus pour l'embrasser. La rame n'était pas encore là, alors ils avaient tout à fait l'occasion de s'échanger un langoureux baiser au beau milieu de la foule. Si Maria avait été sa petite amie, sans doute se serait-il montré un peu plus réservé, mais elle était juste une pute qu'il avait chèrement payé pour pouvoir la baiser, aussi ne se priva-t-il pas de poser ses mains sur son cul pendant qu'il l'embrassait. La rame de métro arriva, et juste à ce moment Maria fit un commentaire flatteur sur sa queue qui s'était désormais bien redressée.
C'est normal bébé, tu me chauffe comme jamais...je vais te défoncer comme personne ne l'a jamais fait.
Ni une ni deux, ils montèrent dans une rames du métro, et parvinrent à se faufiler contre une des parois. Maria se plaqua face contre une des baies vitrées, tandis que Genji lui se colla dans son dos, plaquant son bassin contre le sien, et sa queue contre son cul. Cette pute en profita d'ailleurs pour dandiner son cul de façon à frotter ses fesses contre sa verge, mais lui ne resta pas passif. L'une de ses mains se faufila directement sous la chemise de cette salope pour aller pincer l'un de ses seins, tandis qu'il glissa l'autre sous sa jupe. Sans la protection de sa culotte, il fut d'autant plus facile pour Genji de glisser deux doigts dans sa chatte humide pour commencer à la doigter, le tout en voyant le petit "fuck me" qu'elle avait dessiné sur la vitre à l'aide de sa buée.
Oh ouais...j'vais te fourrer le cul espèce de salope.
Ouais, elle le chauffait tellement à frotter ses fesses contre sa bite que Genji se sentit très clairement parcouru de l'envie de la sodomiser, là, dans ce métro avec plein de gens. On pouvait bien l'observer, il s'en foutait, les cas d'exhibitionnisme dans le métro de Seikusu étaient tellement fréquents que les autorités avaient presque abandonné l'idée d'inverser la tendance, et rares étaient les amandes ou les arrestations. Genji glissa donc sa main du sein de sa pute jusqu'à la braguette de son pantalon, qu'il ouvrit pour laisser sortir sa queue, avant de soulever la mini-jupe. Le bout de son gland s'appuya directement sur ses fesses chaudes et rebondies, avant de se glisser le long de sa croupe. Rapidement, il trouva l'entrée étroite de son anus, et il poussa pour commencer à s'enfoncer en elle. Le jeune homme grogna en sentant l'étroitesse de ses parois anales contre sa bite, mais il forçait néanmoins, le tout en continuant de lui doigter la chatte.
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Avec Maria, il fallait clairement s’attendre à une vie assez sulfureuse, et très intense. Comme Genji était bien placé pour le savoir, la jeune femme était une incorrigible perverse. Une redoutable nymphomane qui aurait sans aucun doute pu poursuivre ses études, et avoir une vie bien rangée. Mais Maria avait terminé ses études prématurément, s’était dotée d’un pseudonyme, et, depuis lors, avait obtenu l’autorisation du lycée pour être une prostituée locale, tant qu’elle tâchait de rester « discrète ». L’administration du lycée estimait que tempérer les ardeurs sexuelles des élèves était un excellent moyen de les faire bien travailler. C’était l’approche choisie par Mishima, et celle-ci marchait plutôt bien. Le lycée, malgré sa réputation sulfureuse, avait d’excellents résultats, mais en serait-il toujours le cas après trois mois de sexe intense avec une femme comme Maria ? Le pire était à craindre ! Genji était bien placé pour savoir que cette femme avait un insatiable appétit, et qu’elle ne ferait rien pour se calmer pendant ces trois mois ! Fort heureusement, Maria savait aussi, même si elle ne le lui dirait jamais clairement, que Genji était son client le plus pervers, le plus gourmand. C’était aussi pour ça qu’elle avait accepté d’être sa partenaire « exclusive » pendant trois mois, ou, en tout cas, de dormir avec lui.
Le métro seikusien était bondé. Le Japon était un pays qui avait fortement misé sur les transports en commun, et notamment ferroviaires. Les trains japonais étaient parmi les plus performants du monde, et le métro était donc bondé, surtout à l’heure de pointe. Personne ne pourrait donc les remarquer, et, même si c’était le cas, à Seikusu, le sexe crapuleux était presque normal. Maria se frotta donc contre Genji, mais n’eut pas à le chauffer trop longtemps pour sentir le corps de l’homme se blottir dans son dos, ses mains se glissant sous son chemisier.
« Hmmm, ohhh... Genji-chaan, haaa... »
Elle gémit en sentant l’homme palper ses seins, et celui-ci dut rapidement sentir les tétons pointer, déformant son chemisier, apparaissant en transparence. Après tout, les uniformes du lycée Mishima étaient souvent très moulants à hauteur des seins. Le fait est que le tailleur du lycée utilisait les standards du rectorat, sans savoir que, à Seikusu, les femmes avaient généralement un tour de poitrine bien plus proportionné que la moyenne. Les uniformes avaient donc tendance à se serrer, ce qui, toutefois, ne dérangeait nullement Maria. Elle se pinça les lèvres, crispant ses doigts sur la vitre.
Genji abaissa la fermeture de son pantalon, et le train s’arrêta alors à une station. Il y eut du mouvement, mais surtout un moment de calme, qui permit à Genji de soulever la minijupe de la femme, et de fourrer plus facilement sa queue vers une zone sensible. Maria s’amusa alors à le provoquer en jouant la fausse prude, se tortillant sur place et en se mordillant les lèvres :
« Genji, n-non, pas... Pas ici, je... »
Mais l’homme s’enfonça en elle, et le train démarra alors. Une secousse couvrit le couinement que Maria poussa tout en s’écrasant contre la vitre. Elle sentait la grosse queue de Genji en elle, pendant que l’homme se déplaçait doucement.
*Merde, sa bite... Si grosse... !!*
Elle ferma les yeux pendant quelques secondes. À côté d’eux, un jeune adolescent, avec un casque sur la tête, s’était assis. Il lui suffisait de lever la tête de son téléphone portable pour voir Maria en train de se faire ramoner le derrière, même si la minijupe s’était rabattue pour couvrir la verge de l’homme. Elle sentit Genji grogner contre son oreille, et soupira encore, se pinçant les lèvres, tout en mouillant contre ses doigts. Sa cyprine dégoulinait des doigts du jeune homme, glissant le long de ses cuisses pour décorer le sol, formant de petites gouttes, tandis que le train accélérait doucement, s’enfonçant dans les tunnels de Seikusu.
« Hmmm... Gan... Genji, haaaaa... !! »
Loin de la paniquer, l’idée d’être potentiellement observée par de multiples yeux l’excitait furieusement. Elle avait déjà confié à Genji être une grosse exhibitionniste, volontiers du genre à coucher avec de parfaits inconnus dans des lieux publics. La possibilité d’avoir du public la stimulait toujours autant, et ses doigts remuèrent contre la vitre, tandis qu’elle laissait dessus l’empreinte de ses lèvres, fermant les yeux en sentant la grosse queue de Genji remonter profondément en elle.
« Hoooo... !! Bon sang, bordel, haaaannn... Gaaaanji, hmm, tu me défonces le c-c-cul, haaaa... »
L’image n’était pas si fausse que ça, vu la taille de sa verge, et le fait qu’il devait remuer assez lentement, tout en conservant sa queue bien plantée en elle, pour qu’on ne puisse pas la voir.
Maria savourait en tout cas chaque minute qu’elle passait ici, et mouillait en conséquence.
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A ce stade, quand bien mes des gens les auraient vu et s'en offusqueraient, Genji n'aurait en aucun cas pu s'arrêter maintenant qu'il était lancé. Le jeune homme grogna de plaisir tout en plaquant solidement sa pute contre la fenêtre, avec sa grosse bite se frayant peu à peu un chemin dans l'antre étroite de ce cul. Putain qu'elle était étroite ! Genji en fut sincèrement surpris car il ne s'imaginait pas que le cul de Maria, qui avait du acceuillir déjà des kilomètres de bites, soit aussi serré. Mais ce n'était clairement pas pour lui déplaire, il adorait le fait de devoir lutter pour s'enfoncer entre ses délicieuses fesses, devoir forcer peu à peu le passage, et surtout sentir son sexe prisonnier et compressé dans ce cul divin. Bordel de merde, Maria le rendait vraiment fou tant elle était bonne et perverse ! Même certaines élèves de Mishima, qui étaient pourtant réputées dans tous les Japon pour être des grosses salopes, n'arrivaient pas à la cheville de Maria pour Genji.
Ah putain ! Hmmmf t'es...t'es si étroite salope ! Tu...tu t'es encore jamais pris...aaaaaaah...une bite aussi grosse que la mienne ou quoi ? HM !
Genji avait du mal à rester discret, même si il murmurait à l'oreille de Maria et qu'il s'efforcait de ne pas bouger son bassin trop rapidement, c'était difficile. Tout son corps lui hurlait de déchirer les vêtements de cette salope, et de vraiment la sodomiser avec violence, vu qu'elle aimait ça ! Maria n'était pas en reste, et kiffait clairement d'avoir une grosse bite comme la sienne enfoncée dans le cul, et il sourit lorsqu'elle lui avoua qu'il était en train de le lui défoncer.
Attends seulement qu'on soit chez toi bébé...Ah...t'arrivera même plus...à t'asseoir quand je t'aurais...Oh putain mais quel cul !
Genji soufflait comme un boeuf dans le cou de Maria, tandis qu'il était enfin parvenu à s'enfoncer pleinement en elle, au point que ses couilles tapaient contre la base des fesses de la jeune femme. C'est à ce moment là que Genji se rendit compte qu'ils n'étaient plus discrets du tout, car le lycéen qui était assis sur un siège à côté d'eux les regardait avec un air à la fois étonné et...envieux. Genji toutefois continua comme si de rien n'était, et s'approcha de l'oreille de Maria.
On a un spectateur juste à côté...ça te fait mouiller hein sale truie ? Tu te fais sodomiser en public, on te regarde, et tu kiffe ça...j'ai jamais connu une pute aussi détraquée que toi bordel.
Genji se mit à accélérer légèrement ses va et viens. Il avait alors posé l'une de ses mains sur la bouche de Maria pour éviter que cette pute ne couine trop fort, et il continuait de la doigter de l'autre.
Quand je t'aurais rempli le cul de mon foutre, je veux que tu aille sucer le gars qui nous regarde, juste à notre gauche. Tu va le sucer pendant que je te prendrais à quatre pattes, comme une chienne, c'est compris salope ?
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Maria poussait de longs soupirs, essayant au mieux d’étouffer ses cris, en sentant les coups de reins de Genji dans son dos. Son amant y allait passionnément, mais compte tenu du lieu, ses mouvements étaient serrés, étouffés. Régulièrement, Maria s’appuyait à la rambarde quand le train filait le long d’un virage, et ralentissait ensuite. Genji adaptait ses mouvements à cleui du train, et, heureusement, ils venaient de jouer avant dans le local à poubelles, et, de manière plus générale, avaient ensemble une grande expérience. Tout cela donnait à Genji une certaine endurance, de sorte qu’il arrivait à conserver sa queue en elle, sans trop se faire surprendre. Après tout, ils avaient déjà fait l’amour dans des lieux publics au lycée. Mais, hors du lycée, dans le métro, c’était une première, et un délicieux début pour des aventures encore plus osées ensuite !
Le train s’arrêta donc devant une station, et d’autres individus partirent. C’est à ce moment que l’adolescent à côté leva la tête... Et écarquilla les yeux en voyant le visage contrit de Maria, le corps écrasé contre la vitre, ses mains glissant sur la vitre, son souffle laissant des traînées de buées sur le carreau. Impossible de se tromper, et il baissa la tête, avisant la main de Genji, et la mouille. Sa bouche s’ouvrit en un « O » silencieux, un cri de stupeur qui ne sortit pas de ses lèvres, tandis que le train reprit sa course.
« Hmmmm... !! »
Genji réalisa alors qu’ils étaient observés, et posa alors sa main sur la bouche de la femme, étouffant ses gémissements et ses soupirs. Du coin de l’œil, elle observa le curieux observateur, qui avait une belle érection, une bosse qui déformait son pantalon. Il ne disait rien, et semblait même tripoter son téléphone, avant de mettre en place la vidéo. Maria soupira alors, et ses lèvres mastiquèrent les doigts de Genji, sa langue glissant dessus.
« Mmmhmm... »
Maria se tortilla sur place, se pinçant les lèvres en sentant la queue de l’homme continuer à gonfler en elle. Il était très énergique, et proposa finalement qu’elle intervienne sur leur observateur. Maria soupira doucement, rougissant de plaisir. Ne pouvant pas lui répondre avec la main sur sa bouche, elle hocha doucement la tête en remuant sur place, pendant que l’autre, qui avait entendu ça, déglutit sur place, filmant la scène.
Le train remonta alors, sortant du tunnel pour rejoindre une partie aérienne de la voie. Là, Genji accéléra encore un peu, et se répandit contre elle à la station, jouissant silencieusement. Maria le sentit se vider en elle, et ses yeux se révulsèrent dans ses orbites, savourant ce sperme qui montait en elle. Ah, quelle jouissive sensation ! Genji se retira ensuite doucement, et Maria se retourna alors vers le jeune homme.
« Hey, je, j’ai rien à voir avec vous, moi, je...
- Toi, peut-être, mais lui, il dit autre chose », répliqua Maria en caressant la bosse du pantalon.
Elle s’agenouilla alors, et déboutonna la ceinture du jean de l’adolescent, qui se tortilla sur place.
« Filme-moi bien, mon chéri, je veux que tu te masturbes chaque soir en voyant mon visage, et en repensant à ça... Et je veux aussi que tu enregistres bien le fait que je viens de jouir contre le mur en me faisant éclater le cul par mon petit-ami. »
Le jeune homme, qui n’étudiait pas à Mishima, mais avait entendu parler de la réputation sulfureuse du lycée, déglutit alors, et regarda la paroi, où de la mouille dégoulinait... Puis sa queue se retrouva à l’air libre. Maria l’enfourna alors dans sa bouche, et commença à la pomper doucement, levant son regard mielleux pour croiser celui du jeune inconnu. Il déglutit encore, se tortillant sur place, crispant ses poings.
« Pu-Putain, haaaa... »
Maria avait très rapidement opté pour une longue gorge profonde, qui dura bien une quinzaine de secondes, avant de remuer d’avant en arrière sur son membre, provoquant une série de claquements obscènes et spongieux, recouvrant de salive la queue de son amant improvisé...