Le Grand Jeu
Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Dictature d'Ashnard => Discussion démarrée par: Leona le lundi 03 octobre 2016, 00:17:53
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Une lumière émerge lentement dans la pénombre des ténèbres, une sensation d'engourdissement se fait sentir alors qu'un long chahut parvient de mieux en mieux à mes oreilles. Je crois reconnaitre les cris enthousiaste d'une foule. Pas de doute possible, je suis toujours dans cette maudite cage, la même qui me retenait prisonnière avant de sombrer dans un sommeil profond. Un nouveau coups d'oeuil aux alentours ne m'aide pas plus et je ne reconnais toujours pas le lieux à l'architecture atypique, je suis au moins sure que ce n'est pas le Japon. Comment en était-je arriver là déjà ? Ca devait bien remonté à 2 jours maintenant... 2 jours d'une incompréhensible aventure dont la seule récompense fut quelques barreaux rouillés pour couper ma liberté.
Putain, alors ce n'était pas qu'un sale cauchemar, j'avais vraiment été enlevé dans la rue pendant que je séchais les cours pour rejoindre le cinéma ? J'avais presque espoir que ce violent coups à l'arrière du crâne n'avait jamais existé et que je me réveillerais en sursaut dans mon lit. Une idée bien conne quand on sait que j'ai été assommé une deuxième fois sur Terra quand on a essayé de me placer un collier autours du coups. J'ai d'abord cru à une mafia local alors je m'étais débattu de toute mes forces en envoyant quelques coups de pieds par ci par là, avant de me refaire assommé et de me réveiller dans cette cage. Sous la fatigue, j'avais réussit à m'endormir allongé sur un lit de paille sec en réfléchissant à un moyen de m'échapper, en vain.
Et voila que finalement je me réveillais doucement sous ce soleil de plomb, toute nue, sur l'estrade d'un marché aux esclaves avec un prix sur ma tête. Peut-être était-ce le karma qui me jouait un mauvais tours à force de voir toutes les élèves du lycée comme mes jouets, et bien sure il était bien trop tard pour le repentit... Puis de toute façon soyons honnête... je recommencerais tout de suite une fois sortie de là, car oui je sortirais d'une manière ou d'une autre pour regagner ma ville... mon pays... ? Mon... monde ? C'était quoi... tout ces gens étranges ? certains n'étaient même pas humains dans leurs apparences !
Et notre Prochain lot en cage est une belle humaine, fraichement capturée d'une lointaine contrée ! Mais attention... elle est féroce ! Ne laissez pas vos doigts n'importe ou avec cette jeune demoiselle car vous pourriez bien y perdre quelques parcelles de peau !
Quoi on essayait vraiment de me vendre là ? Devant affront et une humiliation tel que celui-ci mon sang ne fit qu'un tours et j'en oubliais un instant l'endroit ou je me trouvais, et tous ces visages étranges qui me fixaient.
Le premier qui ose m'acheter aura de sérieux ennuie ! Ecoutez bien ce que je vais vous dire et ne l'oubliez surtout pas si vous voulez faire cette erreur. Je tuerais celui qui me sortira de cette cage, alors vous avez intérêt à avoir une sacrée paire de couilles !
En y pensant j'aurais peut-être du faire profil bas et me laisser acheter par un bourge faible d'esprit pensant pouvoir me maitriser. J'aurais pu extorquer quelques informations et m'enfuir plus facilement en le menaçant. Mais non, il l'avait fallut que je l'ouvre juste pour prouver que j'étais bien vivante et insoumise... Ce qui me valut un bon coups de fouet sur le visage devant les yeux d'une créature que je connaissais déjà bien... Mais ça, j'étais encore loin de m'en douter...
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Depuis qu'elle avait mît le pied sur Terra — ou plutôt, le sabot maintenant — Akemi avait découvert énormément de choses sur son passé et ses origines et elle espérait bien retrouver une trace de ses anciennes amies. Mais même si ses souvenirs étaient revenu, seule une partie de ses connaissances magiques avaient été retrouvées. Mais surtout, la magie de Terra était bien plus puissante que celle de son monde d'origine et bien plus vaste. Aussi était t-elle devenue l'élève d'une des archimages les plus influente d'Ashnard : Samara. La belle démone était certes exigeante et très perverse, son pouvoir n'en vais pas moins augmenté grâce à ses leçons.
Après quelques mois en tant qu'élève et après avoir économisée son argent, elle avait décidée de faire un tour au marché. Non pas pour acheter des livres — elle avait tout ce qu'il faut dans la bibliothèque de son professeur — mais pour voir si un de ses amies ne serait pas sur le marché aux esclaves. Et si ce n'était pas le cas, elle continuera probablement d'économiser. Si en tant que nouvellement furry, la nudité ne la dérangeait plus tellement, elle préférait encore porter des vêtements en public. On efface pas les habitudes de six années sous forme humaine d'un claquement de doigts. Aussi mît-elle une tenue adaptée (https://e621.net/post/show/619261/2015-anthro-anthrofied-breasts-clothing-equine-fem) avant se sortir.
Mais après deux heures à parcourir les étales en long et en large, impossible de trouver leur trace. Tant mieux quelque part, cela voulait peut être dire qu'elles étaient encore libre... Ou alors elles avaient été achetée avant son arrivée sur ce monde. Elle allait rentrer, lorsqu'elle entendit une voix qu'elle connaissait bien. Plus que la voix, ce fut surtout le ton plein de colère et de haine qu'elle reconnue.
- Le premier qui ose m'acheter aura de sérieux ennuie ! Ecoutez bien ce que je vais vous dire et ne l'oubliez surtout pas si vous voulez faire cette erreur. Je tuerais celui qui me sortira de cette cage, alors vous avez intérêt à avoir une sacrée paire de couilles !
Se tournant vers l'estrade, Akemi — ou plutôt Twilight, elle devait prendre l'habitude de se ré approprier ce nom — ne pût s'empêcher d'esquisser un léger sourire de satisfaction, en voyant Léona dans ce genre de situation. Nul doute que sa disparition allait offrir au lycée une grande bouffée d'air frais et un peu de dressage et d'humiliation lui servira de leçon quant au respect de la vie d'autrui. Son prix de départ n'était que de 500 pièces d'or. Un prix dérisoire en comparaison de certains autres esclaves humaines. C'était probablement tout ce que valait une esclave hargneuse et violente. Malgré son prix de départ, celui-ci ne décollait pas. Personne ne semblait vouloir d'elle. Twilight savait ce qui arrivait aux invendus. Ils finissaient généralement en pâtés pour les dragons de la légion, histoire qu'ils servent au moins à quelque chose. C'est le destin qui attendait l'ancienne lycéenne si personne ne l'achetait. Avec l'argent à sa disposition, Twilight pourrait en faire son esclave sans entamer énormément son budget et lui sauver la vie au passage. Levant donc la main pour attirer l'attention sur elle, la jument annonça son prix, toujours aussi dérisoire.
- 510 pièces d'or
Difficile de savoir ce qui humiliait le plus Léona. Savoir qu'elle ne valait pas grand chose, d'être nue et en cage, ou de se faire acheter par une licorne.
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Il ne semblait pas y avoir foule à l'étalage quand il s'agissait de porter son courage à deux mains, comme ça on avait peur d'une ado au maquillage un peu sombre et au tempérament d'acier ? Si c'était comme ça n'importe lequel de ces idiots ferait l'affaire pour parvenir à m'échapper, ça allait être un jeu d'enfant. Cependant entre le silence et les chuchotements du peuple, il y avait soudain cette voix qui s'élevait pour augmenter le prix de seulement 10 petites pièces d'or. Les seules devises que je connaissais étaient les yens et les dollars alors je n'avais pas vraiment repaire quant à la valeur de ces 510 pièces d'or, mais quelque chose me disait que ça ne devait pas être une somme follement haute pour une effrontée comme moi... Passée cette indignation stupide quant à mon prix de vente ce fut un large rire qui s'échappait de ma cage, avant de me faire rabattre le caquet par un nouveau coups à travers les barreaux. Ce qu'il y avait de si amusant ? J'avais juré que je couperais les couilles du premier qui oserait m'acheter mais j'avais oublié que je pouvais aussi tomber entre les mains d'une femme. là, ça allait être compliqué pour mon plan.. HA HA !!
Arrête de ricaner et va rejoindre ton nouveau maitre, en oubliant pas de la remercier pour t'avoir sortie de là. C'est un miracle que quelqu'un ai voulu de toi.
Je ne me doutais pas une seconde de mon destin si j'étais restée derrière ces barreau grisonnant, mais si je l'avais su, peut-être que je l'aurais au moins remercier... l'espace d'un instant avant de me moquer de son apparence. Sur terre ce genre de choses ne se voyait que dans les cosplays aux expositions les jours de fêtes, mais le doute n'était pas permis pour le coups, il s'agissait bel et bien de sa vraie peau, pas d'une peintures ou d'un costumes en soie aux apparences trompeuses.
Hé ne me touchez pas bandes de sales porcs !
A 3 sur moi je ne put faire grande chose mis à part me débattre un brève moment. Ne sachant déjà de base pas bien me battre et étant de plus à bout de force, vulnérable et nue, je fut maitrisée en moins de 30 secondes mains menottées dans le dos. La seule chose qui me faisait un tant soit peu accepté ma position délicate était que je pourrais commencer à réfléchir à un plan d'évasion maintenant. Mais avant ça je devais encore savoir ou j'étais, et c'était le rôle de cette garce qui avait oser m'acquérir.
Ne t'attends pas à ce que j'obéisse à un poney qui parle Dis-je alors qu'ont me balance sèchement à ses pieds comme un sac de pommes de terres, à cause de ma mauvaise manie à me débattre comme une diablesse.
J'ai bien compris que j'étais pas dans un endroit normal alors faisons un deal. Tu me dis ou je suis et moi en retour je t'offrirais l'étable la plus chère quand je t'enverrais à l'écurie, ça te va ?
Un sourire narquois, un air de défie dans le regard. Ben quoi, elle pensait que j'allais me laisser faire ? Encore une humaine, ça aurait pu passé, j'aurais pu faire semblant d'être obéissante pour trouver plus facilement la faille, mais là on me demandais d'obéir à un putain d'animal ? On se foutait de ma gueule ? En plus... il y avait cet étrange sentiment en la regardant droit dans les yeux, je n'arrivais pas vraiment à m'en détacher. Pas que je vouais une admiration envers celle qui m'avait acheté, surement pas... mais ces grands yeux violets, cette couleur de cheveux, et cette rainures colorée sur quelques mèches m'intriguaient... j'étais presque sure de l'avoir déjà vu quelque part.
Mais commence par me donner des vêtements... j'aime pas le regard que tout ces porcs ont sur moi... je suis pas une bête de foire...
Ce sentiment étrange persistait et plus je la regardais plus je ressentais cet étrange sensation de familiarité dans ce visage équestre... C'était vraiment bizarre...
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La pauvre humaine allait en voir de toutes les couleurs si elle continuait aussi. Mais cette sadique aimait sans doute souffrir en public après tout, auquel cas elle ne s'acharnerait pas autant. Nue avec son collier autour du cou et ses mains menottées dans son dos, elle fut jetée sans ménagement à ses pieds. En temps normal, Twilight serait contre ce genre de traitement, mais Léona le méritait bien.
- Ne t'attends pas à ce que j'obéisse à un poney qui parle. J'ai bien compris que j'étais pas dans un endroit normal alors faisons un deal. Tu me dis ou je suis et moi en retour je t'offrirais l'étable la plus chère quand je t'enverrais à l'écurie, ça te va ? Mais commence par me donner des vêtements... j'aime pas le regard que tout ces porcs ont sur moi... je suis pas une bête de foire...
La regardant de haut en croisant les bras, la jument finit par s'accroupir devant elle pour se mettre à son niveau.
- Maintenant, tu dois sans doute savoir ce que doivent ressentir ceux que tu traite de la même manière, ma petite Léona. Si tu l'ignore ou ne l'as pas encore compris, je suis légalement devenue ta Maîtresse des lors où je t'ai achetée. Je suis donc en droit de faire ce que je veux de toi, que ça te plaise ou nom. Et je serais vraiment cruelle si je te renvoyais sur Terre, auprès de tout ces gens que tu as humiliée ou fait chantés.
Sa corne se mît alors à luire d'une lumière violette et Twilight posa deux doigts sur la tempe de l'humaine, la forçant à la regarder dans les yeux.
- Dorénavant, tu obéiras à chacun de mes ordres, que tu sois consentante ou non. Chaque tentative de rébellion te causera des douleurs au niveau de tes tétons et de ton clitoris. Une sadique comme toi dois sans doute fortement apprécier la douleur. Tu devras donc choisir entre obéir ou jouir de douleur en public.
Elle cessa d'utiliser la magie et attacha une laisse au collier de sa nouvelle esclave, avant de se redresser.
- La nudité sied très bien à une pute telle que toi. N'espère donc pas avoir de vêtements avant longtemps. Maintenant suis moi, il est temps de te montrer ta nouvelle maison.
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Attends, elle vient vraiment de prononcer mon nom sans même me connaitre ? Et pour couronner le tout elle était au courant de mes petits agissements au lycée ? Cette fois j'en étais sure ce n'était pas qu'un simple sentiment ça ne se pouvait pas ! Elle et moi nous étions déjà rencontrer quelque part, mais pas sous cette apparence... Ca je m'en serais tout de même souvenue. Dès lors, j'avais un millier de question qui me brulaient les lèvres, que je n'eus pas le temps d'extraire tant elle fut rapide en saisissant mes tempes.
- Dorénavant, tu obéiras à chacun de mes ordres, que tu sois consentante ou non. Chaque tentative de rébellion te causera des douleurs au niveau de tes tétons et de ton clitoris. Une sadique comme toi dois sans doute fortement apprécier la douleur. Tu devras donc choisir entre obéir ou jouir de douleur en public.
Sa corne... brillait d'une lueur pourpre et étincelante ? Mais c'était quoi à la fin cette chose en face de moi ? Une putain de licorne magique qui se la jouait grande dominatrice avec ses propos idiots ? Comme si j'allais obéir à cette mangeuse de foin...
Les douleurs ont intérêts à être irradiantes alors si tu veux nourrir un espoir de me faire obéir.
Alors avec de tels paroles on pouvait facilement s'imaginer que je ne me laisserais pas faire et que je lui filerait un vilain coups de têtes après qu'elle m'ait traité de pute, en y ajoutant en plus ce collier comme si j'étais sa petite chienne. Pourtant je me contentais de serrer les dents sans un mot, non par peur mais par un intelligent éclair de lucidité. Même si j'arrivais à la blesser devant cette foule mes chances d'y échapper étaient minces, je me ferais surement capturer par les gardes en un rien de temps. Sans oublier que je n'étais pas vraiment pas à l'aise nue au milieu de la foule, quitte à ne pas avoir de vêtements autant que ce ne soit pas devant un publique organisé... je me sentais touchée dans mon orgeuil et si salit que j'aurais voulu recroqueviller mes bras sur ma poitrine, dans un signe de faiblesse.
Je suivais donc cette créature étrange en ravalant ma fierté, marchant docilement dans ses pas jusqu'à nous éloigner assez de la zone d'activité de cette grande place. Ce n'est qu'une fois seule sur un petit sentier de terre que je durcissais mes muscles pour me rendre lourde, et lui manifester mon mécontentement...
Premièrement je ne ferais pas un pas de plus dans ses conditions. Tu veux que je te suive ? Très bien, mais tu va devoir répondre à pas mal de question d'abord.
Mon regard déterminé s'ancre profondément dans le siens dans un soupçon de défie, dévoilant au passage que je ne me considérait pas comme sa petite chose pour si peu.
Tu vas commencer par me dire ou je suis et quel race de créature bizarre tu es. Je veux aussi savoir comment tu en sait tant sur moi et pourquoi je suis sure que je t'ai déjà vu quelque part... On s'est déjà rencontrer... n'est-ce pas ?
Détournant les yeux un instant et prenant un petit sourire en repensant à son discours sur la douleur et la désobéissance, je commence à capturer discrètement un peu de salive sur ma langue, pour finalement lui cracher sur le visage d'un air satisfait.
Deuxièmement t'es pas ma maitresse même pour un millier de tes pièces d'or, et les putes sont celles qui se font cracher sur le visage, si tu vois ou je veux en venir...
La nudité sied très bien à une pute telle que moi elle disait ? Je lui retournais le compliment sans penser aux conséquence maintenant qu'ont était un peu plus au calme. Un bon moyen également de voir ce qu'elle avait dans le ventre quand elle parlait de douleur... On connaissait mieux la nature de ses ennemis une fois poussés à bout. De plus, j'étais loin de me douter qu'elle parlait de magie en déblatérant ses conneries sur mes tétons et mon clitoris... J'aurais peut-être dut plus y réfléchir en voyant la corne briller d'une manière surnaturelle...
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Mis à part sa petite réplique sur la douleur, Léona ne dit rien de plus et les deux filles se mirent en route, quittant peu à peu l'avenue commerçante pour s'enfoncer dans des ruelles calmes et peu fréquentées. Ce n'est qu'à ce moment la que les premiers signes de rébellions se firent sentir. Twilight n'aura pas attendue très longtemps en fin de compte. L'humaine exigea des réponses et refusa d'obéir d'avantage à sa maîtresse, allant jusqu'à l'insulter et lui cracher au visage, avec un air effrontée. Après tout, peut être avait-elle besoin d'une mise en situation, pour comprendre qu'elle était désormais sa place.
La jument claqua donc des doigts et la douleur irradia en Léona, comme elle le souhaitait quelques minutes avant. C'était comme si les bouts de chair étaient étirées et pincés à leur maximum, tout en étant percés de milliers d'aiguilles chauffées à blanc, en continue. Comme elle s'y attendait, l'ancienne lycéenne s'écroula instantanément au sol, incapable de rester debout. Maintenant, quant à savoir si elle souffrait ou prenait un plaisir monstre, c'était une autre histoire. Mais au vu de la mouille qui luisait entre ses cuisses, le doute n'était pas permis.
- Et bien et bien... C'est à croire que tu n'attendais que ça... Si tu aime tant être humiliée en public, il fallait le dire tout de suite. La prochaine fois, j'activerais ce sort dans la foule.
La jument se déplaça jusqu'à un banc et s'y assis, regardant l'esclave gesticuler au sol. Même si un passant arrivait, elle ne désactiverait ce sort pour rien au monde.
- Libre a toi de continuer à te rebeller. Je ne désactiverais ce sort qu'à la condition que tu t'excuse sincèrement, qu'importe le nombre d'orgasme que tu ai avant ou le nombre de personnes qui doivent te voir ainsi.
En ce qui concernait ces questionnements, il était tout simplement hors de question qu'elle lui réponde. Pas tant qu'elle ne changera pas de comportement en tout cas. Usant de nouveau de sa magie, le crachât se décolla de son visage, pour atterrir directement sur celui de Léona. Retour à l'envoyeuse.
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Un claquement de doigts, simplement le sons d'un claquement de doigts puis plus rien, plus rien d'autre qu'une douleur ahurissante et cinglante qui me fit tomber au sol et hurler à plein poumons. Putain... elle m'avait fait quoi là ? De la magie ? Après tout en quoi ce serait ridicule si on considérait la situation et l'apparence de la créature mi humaine mi jument. Quoi que ce soit en tout cas tout ça devenait très vite insupportable et j'avais l'impression qu'ont tirait mes tétons dans un sens tout en tirant mon corps de l'autre pour les arracher. Mon dieu... qu'elle cesse... je n'ai jamais senti si vif douleur, et pourquoi mes cuisses commencent à se tremper ?
Haaaaaa aieeeeeeeeeeeeee, sa.. salopeeeee aieeeeeeeeeeeeeee stop.. arrête... ahhhhh
Je me tortille de douleur sur le sol en oubliant que des passants pouvaient me voir à tout instant, j'étais si concentré sur la douleur que j'en oublier tout le reste... mes questions, mon avenir dans son monde... tout cela n'existait plus, il n'y avait que cette douleur qui me faisait pourtant doucement juter sur le sol. Au départ, j'avais cru qu'il s'agissait d'une mauvaise sensation de froid sur les cuisses, ou d'un peu de sueur mais lorsque je comprenais que mon corps en était terriblement excité malgré que j'étais sure de ne pas être une masochiste, je commençais à paniquer.
Ah !!! Ok.. j'ai.. j'ai compris.. arrête !!!
Pas assez polie et respectueuse visiblement... mais comment voulait-elle que je soit sincère ? Même les plus belles excuses du monde ne seraient qu'un horrible mensonge tant elle me faisait mal et tant je me sentais humiliée ! Puis comment je pouvais ressentir tant de plaisir d'abord ? C'était à cause des sensations atroces de transpercement glacial sur le clitoris... oui, c'était sure... c'était ça... elle m'avait même surement jeté un autre sort pour augmenter ma libido... sorcière !
Néanmoins quels qu'en soient les raisons j'étais au bord de la jouissances et mes jambes convulsaient pendant que mes mains tentaient de desserrer les liens avec vigueur , en vain. N'ayant pas été sexuellement comblée depuis 3 jours et possédant une libido déjà bien développée je commençais avec horreur à jouir sur le sol, essayant de serrer les cuisses et de tirer sur mes poignets avec agitation à m'en faire mal aux articulations... j'aurais voulus les coller à mon sexe qui commençait à expulser quelques jets de cyprine hors de moi... au moins pour cacher un tant soit peu cette honte
Pitié stop !!! maitresse ! j'ai mal ! J'ai compris ! je m'excuse... je recommencerais plus ! je suis sincèrement désolée !
Mensonge ! mais la douleur et l'humiliation trop pressente me faisait tellement rougir et bouillir mon corps que je cédais instinctivement... En cet instant alors que je jouissais en poussant de petits gémissements trop mignons pour une sadique comme moi, la jument aurait surement pu me faire dire absolument tout ce qu'elle voulait sans que je puisse y réfléchir... Elle venait de gagner la première manche avec tant d'avance que le crachat retourné sur mon visage précédemment n'était rien qu'une goute d'eau dans un vaste océan. Je ne restais qu'une humaine après tout. Une humaine se tortillant partout sous le sol en jappant.
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La jument regardait l'humaine se tortiller sur le sol hochant la tête lorsque celle-ci comprit où était désormais sa place dans la société. Pour autant, elle ne leva pas le sort, et ceci pour une très simple raison.
- Menteuse. Tu dis avoir mal et souffrir. Pourtant, ton corps à l'air d'apprécier le traitement. Regarde comment tu mouille les pavés. Tu frotte instinctivement ton sexe sur le sol dans le simple espoir de ressentir plus. Au fond, tu n'est qu'une salope en chaleur et tu le sais. Tu as seulement besoin d'un coup de pouce, d'admettre à quel point tu n'est qu'une petite pute.
Tout en disant cela, elle s'était relevée et s'était approchée de son esclave. Twilight approcha son sabot de l'antre humide de Léona et le frotta contre ses lèvres ainsi que son clitoris. Il ne fallut que quelques secondes pour que son esclave ne l'arrose de ça cyprine.
- Tu vois ? Admet ta nature profonde et tu n'en sera que plus heureuse.
La ruelle était définitivement déserté. Malgré les cris de douleurs et de jouissance, personne ne semblait décidé à venir voir ce qu'il se passait. La jument décida donc qu'il était temps de passer à la vitesse supérieur. Retirant sa robe, elle se mît à nue sans la moindre pudeur, révélant au passage la marque caractéristique de son espèce sûr ses cuisses. Elle vit le regard de son esclave se poser dessus et eu un sourire.
- Et bien quoi ? Tu es surprise ? Tu l'as pourtant dit toi même, je suis un poney. Mais crois moi, mon identité est le cadet de tes soucis, à l'heure actuelle.
Usant de nouveau de sa magie, Twilight caressa son intimité d'une main et l'éloigna de celle-ci progressivement, jusqu'à ce qu'un sexe équin imposant (http://img4.hostingpics.net/pics/796808432784image370.jpg) n'apparaisse, ainsi que deux lourds testicules. Puis, sans demander son avis, elle se plaça derrière elle et pénétra d'un seul coup son antre intime, s'enfonçant jusqu'à pénétrer son utérus également, le bout de son sexe formant une bosse au niveau de son ventre.
- Hmmm.... Ta chatte est délicieuse ma belle... Tu as intérêt à vite t'habituer à mon sexe, car je compte te sauter très souvent.
Suite à cela, Twilight fit d'amples et puissants vas et viens, avec l'intention de la remplir. Et elle continuera de la violer jusqu'à ce que Léona admette sa nature profonde de salope.
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Lamentablement et dans un sentiment d'humiliation qui avait prit le pas sur tout le reste, mon nectar recouvrait le sol dans une cuisante défaite. J'avais fini par jouir malgré la douleur et l'étrange bien fou que cela me procurait, pour autant qu'elle n'aille surtout pas croire que j'étais l'une de ces maso, mes quelques jours d'abstinence forcé ont juste finis par faire la différence. La voir jubiler sur sa victoire du haut de ses sabots équestres me fait vraiment pitié, qu'elle me fasse jouir sans son foutu sort qu'ont en reparle, on verra si elle y arrive. Mais non, bien sure qu'elle ne va pas le faire puisqu'elle a le dessus, pourquoi s'emmerder puisque je suis devenu sa marionnette ? Autant user y aller à fond dès le début et faire de moi sa " petite pute " comme elle semble si bien aimer m'appeler... Mais qu'elle fasse gaffe à la rébellion qui viendra tôt ou tard, je peux paraitre soumise et perdue mais au fond je ne le suis surement pas.
Quand elle recommence à m'humilier par les mots je ne fais que grincer les dents pour ne pas l'énerver d'avantage, en me disant que ça va simplement la calmer. Grave erreur, malgré les excuses et toute la bonne volonté du monde je me prends son sabot entre mes cuisses dans un contact... étrangement plaisant. A la fois dur et chaud le contact est différent de celui d'un pied et salement humiliant tant il donne l'impression que c'est un cheval qui se le permet, augmentant encore ce sentiment d'être prise par un animal.
Toujours silencieuse et grinçant des dents de douleurs ne bougeant la tête de droites à gauche, je semble m'habituer peu à peu à la douleur, au moins assez pour ne plus hurler à tout bout de champs même si cela reste une véritable épreuve tant sa magie est douloureuse. Mais il fallait tout de même admettre une chose dans tous ça, le corps à moitié équestre et humain avait un certains et étrange charme qui ne me laissais pas indifférente. Dans mon état, je commençais même vaguement à penser que ce serait une aventure plaisante que de partager un moment avec cette créature peu conventionnelle... Jusqu'à ce qu'elle ne m'offre une nouvelle scène horrifique...
Certes, ce n'était qu'une verge qui poussait entre ses cuisses et je n'en était pas dégouté même si je ne savais pas quoi penser. Je détestais les hommes mais je ne savais pas ce que donnerait un attribut masculin sur une dame. Non, la vision d'horreur était plutôt provoquée par la taille du mandrin tout diablement énorme, et il était aisé de deviner qu'elle ne l'avait pas fait apparaitre pour l'exhibitioner fièrement. La suite de la punition allait être douloureuse...
Non.. nooooon, arrête !! Ca va jamais pouvoir ren... AIIIIIIIIE !!!! ça fait mallll, arrête !!!!
Jamais rentrer ? Elle s'en fiche, elle me prends comme un vulgaire animal en rute et mon vagin encore suintant de cyprine éclabousse la partie de sa verge encore dehors, qui ne peut rentrer, la lubrifiant généreusement. La douleur est telle que j'en ai presque envie de pleurer... se faire pénétrer à sec était déjà bien douloureux mais quand il s'agissait d'une chose de cette taille la douleur était tout simplement insupportable... tout comme le plaisir malgré mon utérus en feu.
Stop stop !!!! s'il te plait !! arrête !!! c'est trop gros !!! ça fait mal !!!!
Mes yeux se révulsent de plaisir lorsqu'elle s'enfonce d'une nouvelle longue poussée, et mon corps gigote dans tous les sens. J'étais prête à abandonner et à me dire qu'après tout, ça la calmerait peut-être de se vider un bon coups... jusqu'à ce que ses dernières paroles ne me réveillent comme un électrochoc.
- Hmmm.... Ta chatte est délicieuse ma belle... Tu as intérêt à vite t'habituer à mon sexe, car je compte te sauter très souvent.
Hoquetant de douleur et inondée d'un plaisir à m'en couper le souffle au sens prononcé du terme, le regard vague et perdue vers mon bas ventre dont on devine aisément la bosse formée par son énorme bâton... Je me dit que je ne peux pas abandonner maintenant, que si je le fais elle va effectivement me remplir, et très souvent. Ce que je veux essayer de ne pas expérimenter vu la taille de ses bourses. Alors dans un dernier hoquet de douleur et de plaisir qui me fait presque à nouveau à nouveau jouir je laisse ma tête retombée en avant comme simulation d'un abandon. En réalité je prends le plus d'élan possible pour jeter ma tête en arrière et cogner sa mâchoire, en espérant que le coups porte. Et encore, elle a bien de la chance que mes mains soient encore liées...
Ce mouvement de violence fait tanguer la verge dans mon bas ventre et fait vibrer mes parois intimes jusqu'à m'en faire pousser un grand cri suave de plaisir, rongé par la fatigue... Mes jambes prisent de spasmes indiquent que je suis à deux doigts de jouir à nouveau bien que je contient de justesse mon orgasme qui aurait inondé la surface de son mandrin, déjà bien luisant de mouille.
Va plutôt... faire ça à un cheval... salope...
Non vu la taille il ne fallait surement pas que je me laisse faire... surtout s'il lui venait l'idée de changer d'orifice pour mon anus... voir pire... ma gorge...
Dommage, dans d'autres circonstance elle aurait surement fait un jouet de choix pour m'amuser...
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La petite tentative de rébellion de Léona amusa beaucoup la terranide. Prise en levrette et face contre terre, son mouvement de tête n'eu pour seule conséquence de faire remuer un peu plus sa longue verge en elle. L'humaine avait beau dire qu'elle souffrait atrocement, le ton employé était peu convoquant. Sa voix transpirait le plaisir et le désir de vouloir plus. L'esclave n'avait plus rien d'autoritaire dans la voix, seules ses paroles étaient en décalage avec tout le reste.
- Si tu as si mal, pourquoi mouille tu autant qu'une fontaine ? Mon sort n'avait pour seul but que de te faire souffrir, c'est vrai, mais il semble que tu adore souffrir, vu les réaction de ton corps.
Sa corne se remit a briller et une lueur entoura le cou de son esclave, le serrant peu à peu jusqu'à ne laisser passer qu'un mince filet d'air. Dans le même temps, Twilight se mît à lui bourrer l'intimité sur un rythme plus soutenu. Elle sentit la jouissance de la brune, sa cyprins inonder sa queue, mais ne cessa pas pour autant de la pénétrer, ni même décélérer. Elle devrait en avoir un orgasme plus long, intarissable, le temps qu'elle lui remplisse l'utérus. Lorsque ce moment vint enfin, elle pénétra Léona jusqu'à la garde, ses lourds testicules fouettant son clitoris et sa verge se pliant légèrement en elle, avant de déverser un flot continu de sperme brûlant. Le ventre de l'humaine gonfla à vu d'œil et la jument continua à jouir sur le dos de l'ancienne lycéenne lorsqu'elle se retira, laissant une quantité incroyable de semence se déverser hors du vagin.
- Après une telle expérience, tout autre sexe masculin te semblera bien fade en comparaison. Quant à me trouver un cheval... Disons que j'aurais bientôt sous peu une belle jument à disposition.
Laissant son esclave choir sur le sol, Twilight fit disparaître son sexe équin et se revêtît.
- Maintenant relève toi, il nous faut encore rentrer. A moins que tu souhaite que je remette ça ? Passer la soirée à te sauter dans cette ruelle ne me dérange pas, tant que la leçon finit par entrer.
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Pourquoi mouiller autant si j'ai si mal ? Comme si j'avais le temps d'y réfléchir là avec le traitement qu'elle m'infligeait. Aussi loin que mon esprit remontait il ne semblait pas que j'étais masochiste... Bien évidemment je n'avais pas essayé puisque ce n'était pas à moi de souffrir mais à mes jouets, mais il était sure que je ne l'étais pas ! Et pourtant la douleur de cette surprenante verge me faisait hurler de bonheur à chaque coups féroces, je suis déjà loin dans un paradis malsain sans même m'en rendre compte. Je me surprenais mêem à avoir de folles envies de jouer plus amplement avec et de la gratifier de longs coups de langues... Qu'est-ce qui m'arrivait ?
- Après une telle expérience, tout autre sexe masculin te semblera bien fade en comparaison. Quant à me trouver un cheval... Disons que j'aurais bientôt sous peu une belle jument à disposition.
A l'entendre on dirait que mon précédant coups n'as pas porté dans sa maigre tentative désespéré. En même temps vu ma position c'était sure... Quant au sens de ses paroles et bien je ne prenais même pas le temps d'y réfléchir tant j'étais loin, en train d'arroser sa longue verge si jouissif en criant d'une joie intense, à chaque jets qui s'évaporent de mon sexe jusqu'à en éclabousser mes propres cuisses. Ce n'était pourtant rien face à la suite.
Alors que je croyais être au bout de mes peines mes cuisses se mettent à convulser et un cri à peine audible sort d'entre mes lèvres, dans un soupir étouffé par mon souffle coupé. Pourquoi, pourquoi je ne pouvais plus respirer ? D'ailleurs... je ne m'en souvenais même plus vraiment mais est-ce que j'avais pu respirer convenablement durant mon orgasme ? Je n'avait même pas fait attention à cette étrange aura qui serrait mon coups... j'étais si absorbée par la douleur que ne n'avait même pas fait attention à mon oxygène, qui manquait vite. Respirer devenait vite de plus en plus dur et chaque rare goulée d'air était une véritable épreuves qui forçait mon corps, à en faire devenir mes joues aussi rouges qu'une tomate. Ironiquement, c'était l'une des punition que j'infligeais le plus au lycée lorsque je voulais m'amuser à des petits jeux de domination soft ou hard. Je me demandais réellement si elle avait choisit ça au hasard si elle connaissait déjà mes agissements et mon prénom... Tout ce dont j'étais sure, c'est que c'était véritablement jouissif... Un délice.
Les yeux perdus et à deux doigts de m'évanouir de douleur et d'épuisement, un coups de butoir plus puissant que les autres me réveille et me fait sursauter... Mes yeux écarquillées et ma bouches grande ouvertes ne font plus aucun mouvement et je cherche mon souffle alors que je peux le sentir... elle vient de me pénétrer complètement... jusqu'au bout avec cette énorme chose dont les testicules lourds qui s'écrasent contre moi me rappels à quel point elle peut remplir mon sexe. Et ça ne va pas tarder... ses testicules sont pleins, ils sont chauds, et la verge pliée dans mon corps palpite avant de me remplir comme j'avais pu le penser. Les giclées sont très nombreuses et agréablement chaude mais comme ça ne semble pas s'arrêter mon ventre gonfle et se remplis. Ca fait mal... mal ! Et pourtant lorsqu'elle se retire je ressent comme un manque, comme si mon corps manquait de quelque chose et que sa verge était parfaitement à sa place, comme une véritable partie de moi... Cette sensation est humiliante à souhait alors que je retombe lourdement sur le sol, mes jambes convulsant encore et mon vagin dégoulinant de sperme chaud. Je suis d'ailleurs si concentré sur ce plaisir frustrant et cette douleur que je n'ai pas fait gaffe à mon dos couvert lui aussi luisant de sperme.
- Maintenant relève toi, il nous faut encore rentrer. A moins que tu souhaite que je remette ça ? Passer la soirée à te sauter dans cette ruelle ne me dérange pas, tant que la leçon finit par entrer.
Elle est sérieuse là ? Elle a cru qu'elle pourrait me remplir comme ça comme un ballon sans limite ? je me sentais déjà bien assez lourde comme ça ! Et pourtant mon ventre chaud me faisait gémir doucement de bonheur, c'était une agréable sensation de sentir tout ce foutre chaud en moi. Pourtant je n'ai pas envie qu'elle recommence, mon honneur est en jeu et le petit filet de sang qui s'échappe de mes parois vaginales me rappelle que son sexe gros et pointant comme un véritable phare n'est pas adapté aux humains... elle a déjà complètement ravager l'intérieur de mon corps en y passant la première fois...
Du coups comme je ne veux pas la fâcher ou la vexer pour qu'elle recommence vraiment j'essaye de me lever, en vain. Avec les mains ligotées dans le dos c'est déjà plutôt difficile mais alors en rajoutant le ventre qui était devenu lourd comme un vrai sac plein de sperme c'était tout bonnement impossible. Ma dernière tentative me fit d'ailleurs décoller la tête dans une grimace avant de retomber en hurlant, dans un bruit sourd. Mon ventre tout plein percute le sol de plein fouet et fait s'agiter mon corps... J'avais trop mal pour me relever, et j'étais surtout trop épuisé de toute ces étranges aventures... 2 jours dans une cage étaient loin d'être une soirée 4 étoiles dans un hâtel après tout... et les rares repas étaient aussi mauvais que les quelques verres d'eau. En y pensant.. j'avais terriblement soif d'ailleurs...
J'y... arrive pas... tu m'as trop alourdie... et je suis à bout de force...
Je la regarde presque avec pitié comme pour lui demander sincèrement de ne rien me faire de pervers, même si cela ne semble pas être son idée puisqu'elle s'est revêtue et que le sexe disproportionné semble avoir disparu.
J'ai trop mal pour me relever... et j'ai besoin de boire... j'ai la gorge seiche...
Mon visage rouge montre bien que je suis à peine calmée, reprenant encore mon souffle alors que je cherche à réfléchir à comment je me vengerais une fois que j'aurais inverser les rôles. Je pourrais bien la suspendre en l'air, ses gros testicules liées solidement à une corde qui serait reliée au plafond... Puis je la gaverait d'aphrodisiaque pour les faire bien enflés et qu'elle qu'(elle me supplier de desserrer la corde... Ouai... ça c'était une bonne idée... Mais il fallait déjà que je me sorte de là en un seul morceau.
Tu as chercher à me tuer ou quoi... en m'enfonçant cette chose ... ? Espèce de conasse ... Je t'enfoncerais un truc qui fera deux fois cette taille... on verra ton état...
-
L'humaine était à bout, c'était une certitude. Malgré tout, la fatigue dominait de très loin la hargne de la jeune fille. Malgré ses propos, Twilight voyait très bien le désir briller dans ses yeux. Elle avait aimée son traitement et avait sans doute envie d'être de nouveau remplie, même si elle se refusait toujours à le reconnaître. Mais si elle ne pouvait effectivement plus se relever, plus par fatigue que par rébellion, la terranide l'aidera volontiers. Activant une nouvelle fois sa magie, Léona se retrouva donc à flotter dans les airs, en position allongée sur le dos, comme sur un transat. Toutefois, Twilight maintenait ses cuisses écartées et repliées, autant pour la laisser se vider de tout le sperme sur le chemin, que pour montrer à tous la chienne qu'était la jeune fille.
- On dirait bien que tu as un mal fou à faire preuve de respect. Pourtant, il va bien falloir que tu admette cette vérité un jour: je suis une alicorne, une créature dont la puissance magique équivaut à celle des archanges et des archidemons. Toi, tu n'es qu'une simple petite humaine dénuée de pouvoirs. Qu'importe ce que tu pense, je serais toujours plus puissante que toi. Donc soit tu admet ma supériorité et peut être que tu sera traitée plus dignement, soit tu continue de faire ta petite rebelle et soi sûre que tu finira tes jours en jouet sexuel.
Tout en parlant, elles rejoignirent une autre anthère de la capitale, plus académique que la précédente. Il y certes des humains, mais surtout des créatures, tels sue des drows, des démons ou encore des succubes, en tenues légères, pour citer des exemples. Certains promenaient leurs esclaves en laisse comme on promène son animal. D'ailleurs, par mis les esclaves, il y avait essentiellement d'authentiques Neko. D'autres esclaves faisaient les courses seuls, avec plus d'autonomie, mais toujours un collier de cuir autour du cou. Les passants jetaient parfois un coup d'œil intéressé à Léona, mais sans s'attarder d'avantage.
Twilight pénétra dans le hall d'une tour de mage et une maid elfique (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=2156158) l'accueillit en s'inclinant.
- Bon retour mademoiselle. Vous avez finalement trouvée quelque chose au marché.
- Oui, une esclave un peu rebelle qui ne comprend pas encore sa chance. Ou est Samara-sensei ?
- Maîtresse est en réunion académique avec d'autres professeurs. Voulez-vous que j'aille lui annoncer votre retour ?
- Non, je ne voudrais pas la déranger pendant une réunion. Annonce lui simplement mon retour lorsqu'elle en aura terminée avec celle-ci. En attendant, je vais me rendre dans le laboratoire alchimique. Peux-tu aller installer Léona dans sa nouvelle chambre ? Après l'avoir un peu lavée, bien entendu ?
- Avec plaisir mademoiselle Sparkle
La maid se consentira et l'aura magique autour de l'humaine vira du violet/rose au vert clair, signe qu'elle venait de prendre le relais. Twilight précisa à Léona qu'elles se rêveraient bientôt et se rendit dans les étages supérieurs, tandis que les deux esclaves elles, se rendaient au contraire dans les sous-sols.
- Au fait, moi c'est Loanne. On dirait pas comme ça, mais je suis l'esclave en chef. Après Maîtresse Samara et Mademoiselle Sparkle, c'est moi qui dirige les autres esclaves. Mais il y a cinquante ans, j'étais tout en bas, comme toi. Tu sais, t'as quand même de la chances. Une autres personne aurait pu t'acheter simplement pour te tuer à petit feu. Les esclaves invendus finissent même en pâtés pour les dragons noirs de la légion impériale.
-
Flotter ainsi au milieu de tout le monde était humiliant et pour le coups je n'en ressentais aucune excitation refoulée, seulement de l'indignation. Mais dans mon état je ne jaugeais même plus les regard sur moi et sentais juste le sperme sortir de mon sexe comme une vilaine trainée blanche qui indiquerait un chemin à suivre, comme le petit poucet sèmerait les cailloux. Elle voulait du respect après ça ? Impossible, ça ne se gagnait pas sous cette forme sauf quand c'est moi qui le décidait ! Rien à faire qu'elle soit un être hautement magique ou je ne sais quoi, je fermais seulement les yeux pour me reposer en pensant aux multiples vengeance que je lui ferait subir... Question d'amour propre, je ne partirais pas de ce drôle de monde avant d lui avoir rendu le double.
Un peu de temps plus tard une nouvelle voix féminine me fait ouvrir les yeux, tiens, voila une voix que je ne connaissais pas, bien plus douce et respectueuse. Ca parle aussi d'une sensei du nom de Samara. Cette petite pute a donc quelqu'un au dessus d'elle ? Elle ne doit donc pas être aussi effrayante toute compte fait... et si la magie existe je n'aurais qu'à l'apprendre pour la mener par le bout du nez. Après ce qu'elle m'as fait subir je la conserverait près de moi en tant qu'esclave personnelle, pour le restant de ses jours.
Sparkle ? Ca ne me dit rien... peut-être qu'elle a simplement utilisé sa magie pour connaitre des choses sur moi et paraitre impressionnante après tout...
Mais voila que je change de main. Au moins cette cruche bien polie ne me fera pas chier comme ce foutu poney, elle avait beau être l'esclave en chef il restait tout de même le mot esclave dans son titre... Mais elle aussi semble maitriser la magie. Mhh... peut-être que si je sympathise un peu en faisant semblant de vouloir m'excuser j'en apprendrais un peu plus sur l'endroit ou je suis... Enfin !
50 ans ? elle se fou de moi en plus ? Elle doit au grand maximum en avoir 30 ... D'ailleurs je me la ferait bien... elle est mignonne avec sa tenue de maid...
Et relâche moi, je peux marcher toute seule !
Je m'agite un peu en vain, je suis peut-être encore fatiguée mais hors de question qu'ont continue à me trainer dans les airs ainsi, surtout si c'est une esclave qui en tire les ficelles.
Et bien j'aurais peut-être du être dévorée par les dragon ça aurait été moins indignes que de subir ça. Tu sais ce que m'as fait cette grosse salope ? Elle m'as enfoncé sa grosse queue toute entière en moi ! Tu imagine même pas la taille qu'avait ce truc !
Comme elle est esclave je pars du principe qu'elle doit porter une rancune envers la licorne mais qu'elle n'ose pas le dire devant elle, alors je la considère comme une alliée potentiel sans même réfléchir à sa condition au sein de cette demeure...
Et moi Leona. Tu peux me dire dans quel monde on est là et comment je suis arrivée ici ? Tu parles de dragon mais ils n'existent pas sur terre, et les humaines n'ont pas tes oreilles pointues par chez moi. Donc je suis ou ? Et c'est quoi cette licorne bizarre qui se prends pour nos maitresse ? Je suis sure de l'avoir déjà vu quelque part mais je n'arrive pas à savoir ou ...
En lui disant mon nom à mon tours je montrais que j'étais prête à être amicale te qui sait... à monter une rébellion contre cette tyran au corps chevalin ? On ne pouvait pas aimer être une esclave non ? Elle devait surement chercher un moyen de partir elle aussi.
Il serait possible de boire quelque chose ? Je suis assoiffée... Demandais-je avec une voix sincèrement calme alors que je frottais encore mon ventre douloureux... Elle le payerait un jours.
-
Léona était en colère et c'était bien normal. En cinquante ans, Loanne avait vue des tas d'esclaves arriver ou repartir, soit en colère, soit brisées. Il leur fallait du temps pour se reconstruire et s'habituer à leur nouveau statut, mais cela n'arrivait jamais du jour au lendemain. Malgré tout, elle se montrait toujours bienveillante avec celles qui en avaient le plus besoin et accéda à la requête de la jeune humaine. Elle s'écroula toutefois au sol et l'aida à se relever.
- Et moi Leona. Tu peux me dire dans quel monde on est là et comment je suis arrivée ici ? Tu parles de dragon mais ils n'existent pas sur terre, et les humaines n'ont pas tes oreilles pointues par chez moi. Donc je suis ou ? Et c'est quoi cette licorne bizarre qui se prends pour nos maitresse ? Je suis sure de l'avoir déjà vu quelque part mais je n'arrive pas à savoir ou... Il serait possible de boire quelque chose ? Je suis assoiffée...
- Ne t'inquiète pas, tu vas pouvoir boire et te restaurer un peu, mais avant il faut te nettoyer un peu, tu crois pas ? Je pense pas que tu aimerais manger ou boire dans cet état devant tout le monde.
Elles marchèrent encore un peu jusqu'à arriver dans une grande salle de pierre, avec des baquets, des tabourets et des tuyaux. C'était une salle de bain rustique et sommaire, mais elle ferait très bien l'affaire. Faisant s'assoir Léona sur un des tabouret, l'elfe prit de quoi la nettoyer au maximum, y allant le plus doucement possible.
- Effectivement, les dragons n'existent pas sur Terre. Mais comme tu n'est plus sur Terre, cette vérité n'a pas lieu d'être ici. Tu te trouve sur Terra, la jumelle de la Terre, dans une autre dimension. Les deux mondes sont reliés par des failles dimensionnelles qui s'ouvrent ou se ferment aléatoirement et peu savent lesquelles restent indéfiniment ouvertes. Tu pourrais en chercher une pendant des années comme passer à travers l'une d'elle par hasard. Notre monde est peuplé d'un tas de créatures diverses. Maîtresse Samara par exemple, est une grande démone archimage, qui possède une grande influence au sein de l'empire Ashnardien, ou tu te trouve actuellement. Un empire essentiellement constitués de démons. Quant à moi, je suis une elfe, actuellement âgée d'environs 180 ans. Je suis née dans un centre esclavagiste et toute ma vie j'ai été traitée de jouet sexuel. Mais lorsque je suis arrivée ici, même si je suis restée esclave, on m'a traitée comme un être vivant.
Loanne termina de rincer Léona et applica sur elle un léger parfum de pêche pour masquer l'odeur persistante de sperme. Ne possédant pas la clé de ses menottes, elle ne pouvais pas vraiment la vêtir plus convenablement. Tout ce qu'elle avait à lui proposer était une tenue légère de latex, mais c'était sans doute mieux que rien. Une fois prête, l'elfe la conduit aux cuisines pour lui donner son verre d'eau. Tout en l'aidant à boire, elle repris.
- En ce qui concerne Twilight Sparkle, l'élève de Maîtresse, c'est... Plus compliqué... Elle ne viens ni de Terra, ni de la Terre. En fait, elle est issue d'une toute autre dimension, dont les habitants sont essentiellement... Des poneys...
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Ca allait être compliqué si ce que disait l'esclave était vrai, et je ne pensais pas devoir remettre la parole de cette elfe soubrette en doute. Quitter cet endroit aller être plus compliqué que prévu et il ne fallait pas compter sur une quelconque enquête policière pour élucider le mystère de ma disparition au vu des circonstance. Cependant, il était possible de repartir sur terre par des portails et ça... c'était déjà une bonne nouvelle, je n'étais donc pas définitivement coincée ici. De plus j'avais peut-être l'espoir de me faire des alliés car qui disait chef des esclaves voulait aussi dire esclaves sous son joug... il y en avait donc d'autre, et si je mettais celle à leurs têtes sous ma coupe je pourrais surement mener une rébellion.
Je restais donc amicale et me laissais faire lorsqu'elle me nettoyait agréablement le corps, grimaçant tout de même au niveau du bas ventre encore douloureux... me rappelant le souvenir de cette horrible et pourtant si plaisante pénétration. J'en fit de même lorsqu'elle me fit enfin boire et je ne réchignais pas non plus à porter la tenue en latex même si c'était avec une grimace au visage que je me laissais faire, rougissant comme une tulipe en pensant facilement à l'apparence que je devais avoir. C'était mieux que nue... mais loin d'être satisfaisant.
Alors tu es une elfe comme ces romans de fictions qu'ont peut lire sur terre ? J'aurais jamais pensé qu'ils existaient vraiment quelque part. Mais dis moi plutôt, pourquoi gâcher une si longue existence à rester le jouet d'une autre personne ? Pour tout t'avouer de là ou je viens si je te voyais te trimbaler au lycée dans cette tenue t'aurais surement été mon jouet sexuel aussi, t'es tout à fait mon genre... mais je ne t'aurais surement pas condamner à une éternité d'obéissance. Ca te convient vraiment comme situation ? N'as tu aucun gout pour la liberté ?
Agitant mes bras avec un désespoir surjouer comme pour lui montrer que j'aurais voulu être libérée, je commence à sonder un peu plus le mental de notre chère elfe, voir ce qu'elle valait vraiment.
Moi je ne me contenterais pas de ça, je m'enfuirais en laissant ta maitresse dans une situation deux fois plus humiliante que celle à laquelle j'ai eu le droit. Je me vengerais d'elle et je retrouverais ma liberté. Ca ne te dit pas de me suivre ? Si on se ligue toutes contre elle je suis sure qu'ont peut facilement s'échapper, tu n'as qu'à m'apprendre quelques tours de magie à moi aussi, puis...
Salivant sur quelques reste de repas de l'autre côté de la cuisine, mon ventre gargouille comme un réflexe que je ne peux retenir, m'interrompant dans ma lancée.Je ne voulais surtout pas quémander un repas alors que j'avais les mains attaché et que l'elfe aurait du me faire manger comme un enfant... je préférais plutôt revenir sur notre discussion
...Et puis tu te déplace librement c'est plus facile pour toi de t'échapper... je peux même t'emmener sur terre avec moi si tu as peur de te faire rattraper. Tu seras peut-être dépaysée au début mais ce sera moins dangereux qu'un monde peuplé de démon et de poneys à la verge plus grosse que ton bras.
D'abord initier doucement le doute... elle est esclave depuis trop longtemps elle a du être formaté de force comme un toutou, mais si je la réveille... ah ah... cette conasse a fait une erreur en me laissant toute seule avec elle... elle est trop naïve !
Enfin... c'est toi qui voit. Mais moi je regagnerais ma liberté et d'ailleurs j'ai envie qu'ont me libère les poignets de suite, appelle ta maitresse qu'elle me retire ça, ça commence à me faire mal aux bras
Et j'aurais aussi quelques question à lui poser. Elle avait beau être une princesse d'un autre monde peuplé de poney d'arc en ciel et d'autre joyeuseté comme dans les dessins animés pour les petites filles, mais ce sentiment de familiarité lui ne voulait pas disparaitre ! J'avais réellement besoin de lui demander comment elle avait su tout ça sur moi et s'il s'agissait vraiment d'un pouvoir de divination une fois pour toute... d'autant plus que son esclave préférée avait l'air d'être bien traité à entendre parler l'elfe. Alors que pour moi ça avait été les insultes et les punitions d'entrée de jeu, comme si elle m'en avait voulu pour quelque chose... pour tout ce que j'avais pu faire dans ma vie de lycéenne.
-
L'elfe écoutait la nouvelle partir dans ses délires sans rien dire, mais au bout d'un moment, elle n'y tint plus et se sentit obligée de lui répondre.
- Je pense qu'il y'a certains points que tu as mal compris... Il est vrai que j'étais autrefois un simple jouet sexuel, depuis ma naissance. Toutefois, je suis traitée comme une femme et non un jouet, depuis que je suis au service de Maîtresse Samara. Je suis d'avantage sa servante que son jouet voix tu ? C'est la destinée des esclaves obéissants, sans toutefois obéir aveuglément. Il faut seulement savoir où sont les limites à ne pas dépasser. Aussi, je nais pas spécialement de raison de fuir cet endroit et quand bien même je le ferais, je n'aurais aucune idée de quoi faire de ma liberté, alors que je suis née esclave. Et puis tu semble oublier que Maîtresse Samara est une grande démone archimage. Elle est capable d'écraser toute une armée de soldat entraînés avec sa magie, ce n'est pas quelques esclaves comme nous qui auront une chance contre elle. Et crois moi, tu ne veux pas voir une démone en colère.
Léona n'avait visiblement pas faim pour le moment, mais Loanne se promis de lui préparer un repas une fois qu'elle l'aura conduite à sa chambre. Elle lui fit d'ailleurs signe de la suivre. Les esclaves de bas étages avaient beau vivre essentiellement dans les sous-sol, il s'agissait tout de même d'une tour de mage, pas d'un donjon. Aussi l'endroit était correctement aménagé, même si moins luxueux que les étages supérieurs. Seules Loanne et les favorites de sa Maîtresse avaient droit à une chambre au dessus. Finalement, l'elfe ouvrit une porte et invita Léona à y entrer. A l’intérieur, il n'y avait qu'un lit bordé, un bureau et une commode, vide pour le moment, ainsi qu'un coffre au pied du lit, lui aussi vide.
- C'est ici que tu dormira à partir de maintenant, excepté si Maîtresse Samara ou mademoiselle Sparkle désirent vous avoir comme amante dans leur lit. Les autres esclaves dorment dans les chambres voisines, mais tu t'en doute, les portes sont verrouillées. Il y'a une dernière chose que tu dois savoir sur ta Mademoiselle Saprkle. Habituellement, elle est très douce et gentille, voir même compréhensive à notre égard. Si elle te traite vraiment comme ça, c'est que tu as du faire des choses particulière sur Terre ainsi qu'avec elle, quand elle ne connaissait pas encore ses origines. Sur ce, je vais m'absenter un instant le temps d'aller te préparer de quoi te remplir le ventre avec autre chose que du sperme.
Elle lui fit un discret clin d’œil avant de refermer la porte, aussitôt suivit d'un bruit de serrure.
Préparer le repas pour la nouvelle esclave prit un peu de temps pour les cuisiniers, car le service était déjà terminé pour les esclaves. il fallait donc refaire chauffer les plats et cela leurs faisait faire du travail supplémentaire. Cependant, il était hors de question de laisser mourir de faim une esclave tout juste arrivée, sinon il serait impossible à cette dernière de faire correctement son travail, et ce seraient eux qui en pâtiraient par la suite. Le plat - de la viande découpée et quelques légumes - fut tout juste servit dans les assiettes que Loanne repartit dans le couloir avec, mais elle croisa Twilight sur le chemin.
- Oh, mademoiselle... Je peux faire quelque chose pour vous ?
- Pas pour moi non, Samara-sensei veux te voir dans ses appartements... Où vas tu avec cette assiette ?
- Apporter son plat à la nouvelle esclave. Elle ne vous porte pas beaucoup dans son cœur, après ce que vous lui avez fait...
- Si tu la connaissait comme je la connais, tu te rendra vite compte qu'elle ne porte personne dans son cœur. Je veux lui faire comprendre ce que ça fait d'être traitée comme un jouet. Qu'elle prenne conscience du mal qu'elle a infligée à ses camarades de classe, au point d'en pousser certaines à se suicider. Si elle ne comprend pas, il y'a des chances qu'elle finisse comme elles. En attendant, tu as un rendez-vous intime il me semble. Ne t'inquiète pas pour Léona, je vais lui apporter son plat.
Les deux filles se séparèrent et Twilight arriva finalement devant la chambre de son esclave. Avant d'ouvrir la porte, elle versa le contenu d'une fiole dans le plat. Une potion indolore et incolore, mais qui, une fois ingurgitée, la transformera en poney d'ici quelques heures. Après ça, il y'avait peu de chance que Léona veuille retournée sur Terre, à moins qu'elle veuille finir dans un laboratoire. Elle poussa ensuite la porte et entra dans la chambre.
- Mon professeur ayant appelée Loanne, c'est moi qui t'apporte ton repas. Mange tant que c'est encore chaud.
Et avant qu'elle puisse protester, elle déverrouilla ses menottes par magie.
-
L'histoire devenait de plus en plus intrigante et je commençais sérieusement à me dire que j'avais déjà rencontré cette imbécile sur terre. L'elfe était assez clair en me faisant comprendre indirectement que la créature chevaline avait partagé mon monde, et qu'il était possible qu'elle m'en veuille pour ça. Mais m'en vouloir pour quel raison ? Serait... une de mes anciennes victimes ? Quelques unes avaient disparues du jours au lendemain et je ne m'étais jamais vraiment posé de questions quand à ce qu'elles étaient devenues, c'était pas bien compliqué de changer d'établissement scolaire après tout... Il faudrait vraiment que je tire les choses au clair avec cette garce mais... plus tard, je me rends compte que l'elfe est vraiment attirante dans sa tenue de maid, et son clin d'oeuil à peine dissimulé laisse mes lèvres affichées un grand sourire.
Oh toi reviens vite... je vais te punir avant la fin de la soirée...
Ayant bien prit le temps d'assimiler tout son speetch je me tortille sur le lit non sans mal pour me placer dans une position suggestive, ce genre de position qu'ont ne peut refuser, jambes allongées sur le lits et finement écartés pendant que le dos lui était appuyé sur le mur pour dévoile mon buste à son plein potentiel. Un jolie sourire attendait patiemment de croiser son regard et lorsque la poignée tournait je fut déçue de voir que ce n'était pas celle que j'attendais, abandonnant ma position pour rouler sur le côté en grognant, bien que mes menottes cèdent déjà dans un soupir de soulagement par la suite.
Bien sure il fallait que ce soit toi, soit gentil et dit à ton professeur que ton amie l'elfe est demandée dans ma chambre, elle est beaucoup plus plaisante à regarder que... Enfin laisse tomber va t'en, je veux pas de ton repas.
Plus plaisante à regarder que ton stupide corps de jument C'est ce que j'aurais voulu dire au départ à voix haute mais... inutile d'aggraver mon cas pour le moment, et j'avais encore un point à éclaircir après tout, même si j'étais déçue de ne pas voir l'elfe franchir cette porte... elle me plaisait plutôt bien et ça aurait surement permis de me changer un peu les idées... Je ne comprenais même pas moi même comment je parvenais encore à conserver mon calme... C'était peut-être humiliant à avoue, je le savais, mais j'étais à deux doigts de péter un plombs et de tout casser en hurlant pour me défouler et évacuer la peur envers ce monde inconnu et mon futur incertains.
C'était durant la première année de lycée ou la deuxième ? Je décidais de jouer le bluff, essayant de lui faire croire que je l'avais reconnu en repensant à toutes ces coïncidence et ce que m'avait dit l'elfe. Si elle m'en voulait tant et qu'elle avait logée sur terre, tout cela ne pouvait être le fruit du hasard. Je t'ai mené la vie dure pendant 1 ou deux semaines et tu m'as faite capturée pour mener à bien toute cette mise en scène c'est ça ? La cage, la vente... c'était que du pipeau, j'ai compris... Et c'était quoi ton nom quand tu avait un corps normal ? Parce que t'as pas vraiment gagné au change là
Mon ventre gargouillait fortement à la vue du repas qui avait l'air simple mais pourtant si succulent comparé à la bouillie rudimentaire du cachot. Pour peu, je me serais jetée dessus pour dévorer le repas mais la simple idée de me repaître devant ses yeux était humiliant et prenait le dessus sur la faim. Je ne lui ferait surement pas le plaisir d'accepter un présent de sa part.
En tout cas sache que je n'accepterais rien ta part alors si tu veux me faire passer un message ou me donner quelque chose comme un de ces repas désormais, Tu n'auras qu'à passer par... Loanne, si je me souviens bien de ton nom.
Dégourdissant mes poignets en soufflant tout en restant en tailleur sur le lit, je ne peux oublier cette scène violente que la simple vue de son visage me rappelle. J'enrage silencieusement, mais si je veux sortir d'ici je vais devoir la jouer plus fine et arrêter d'énerver tout le monde à tout bout de champs.
Enfin... comme tu m'as libérée les poignets je vais au moins arrêter de t'insulter, en guise de remerciement.
Je lui aurais bien posé des questions sur cette fameuse Samara ou encore ces portails mais j'avais dit que je ne voulais plus rien venant d'elle après tout...
-
Comme à son habitude, Léona se montra désagréable, mais Twilight ne s'en formalisa pas cette fois-ci, se contentant de hausser les épaules et de poser le plat sur le bureau. Elle allait repartir, mais la suite des paroles l'arrêtèrent sur place.
- C'était durant la première année de lycée ou la deuxième ? Je t'ai mené la vie dure pendant 1 ou deux semaines et tu m'as faite capturée pour mener à bien toute cette mise en scène c'est ça ? La cage, la vente... c'était que du pipeau, j'ai compris... Et c'était quoi ton nom quand tu avait un corps normal ? Parce que t'as pas vraiment gagné au change là. En tout cas sache que je n'accepterais rien ta part alors si tu veux me faire passer un message ou me donner quelque chose comme un de ces repas désormais, Tu n'auras qu'à passer par... Loanne, si je me souviens bien de son nom.
- En fait, ce corps, c'est mon apparence normale. C'est la raréfaction de magie sur Terre qui m'a donnée une forme humaine. Toutefois, ce n'est que récemment que j'ai découvert ma vraie nature et mes origines. Après tout, et comme tu l'as sans doute découvert par toi même, je suis amnésique depuis mes dix ans.
Twilight se tourna de nouveau vers l'humaine, bras croisés, adossée contre la porte, affichant un léger sourire quand Léona finit par réaliser qui elle était.
- Et oui, c'est bien moi: Akemi Mahoraki. Il semble que tu découvre enfin mon vrai secret, bien loin de ces fausses informations que tu as balancée en public pour m'humilier de choses totalement fausses, par frustration de n'avoir rien trouvée sur mon compte à l'époque. Étonnant de voir à quel point les élèves étaient proches de la vérité lorsqu'ils m'ont surnommés "Twilight" pas vrais ? Pour tout t'avouer, même moi j'ai mis du temps avant de finir par admettre que j'étais en réalité une princesse dans un monde de poneys. Et encore, j'ignore toujours comment je suis passée d'Equestria à la Terre, tout comme j'ignore comment j'ai été rajeunit. Et en ce qui te concerne...
La jument activa sa magie et une pile de dossier apparut sur la table. Ce n'étaient évidement que des copies, les originaux étant concervés en lieu sûr. Si Léona allait y jeter un coup d'œil, elle devrait y reconnaître nombres de ses victimes, dont beaucoup avaient finit en hôpital psychiatrique ou avaient été obligées de déménager par sa faute. Toutefois, il y avais aussi une dizaines de cas où les filles s'étaient suicidées, peu après la fin des sévices ou après que certains lourds secrets aient été rendus public. Tout à la fin, il y avait un cas unique, une fille retrouvée morte au lycée avec plusieurs ADN retrouvés en elle. L'élève avait été violée et assassinée, asphyxiée. Toutefois, les violeurs avaient eux aussi disparus sans laisser de traces.
A la fin du dernier dossier, il y avait une preuve à moitié brûlée, presque détruite. Toutefois, on y distinguait encore l'écriture de la brune, qui demandais à la victime de se rendre là où le corps avait été retrouvé. Twilight laissa le temps a Léona de bien tout regarder, avant de reprendre la parole.
- Tu es une fille dangereuse pour les autres lycéennes. Tu détruis des vies par pur plaisir, sans te soucier des conséquences. Une meurtrière comme toi devrait être en prison. A ta place, je prendrait l'esclavage comme une chance de te racheter pour tes crimes. Maintenant, mange, avant que ça refroidisse, sinon Loanne aura cuisinée pour rien.
Twilight sortit ensuite de la chambre sans un regard pour elle, refermant à clé derrière elle.
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J'en restais bouche bée sans dire un mot, ma supercherie avait marché et la drôle de créature équestre révéla son identité. Akemi Mahoraki, une élève plutôt intelligente, le genre de proie facilement manipulable. Si il était souvent question de jeux sexuel j'avais cette fois-ci cherché à coincé Akemi dans un but moins amusant, celui de lui faire faire mes devoir pour éviter de me fatiguer, et ainsi avoir des notes visant à l'excellence, je lui aurait même demander de brider volontairement son intellectualité pour se retrouver constamment derrière moi et ainsi n'être finalement que la seconde lors des examens... Je devais donc maintenant en plus faire face à l'humiliation ultime de m'être faite acheté par cette intello à la noix, il était définitivement hors de question que je sois sa chose.
Concernant tout le reste et son rajeunissement j'entendais tout sans vraiment être consciente, restant bloquée sur son identité. Effectivement c'était un bien lourd secret qu'elle avait là, surement le plus gros de tout le lycée et de bien loin ! Mais impossible de l'exploiter maintenant...
* Putain je le savais... je savais que cette coiffure me disait quelque chose... *
Lorsque je me réveillais du fond de mes pensées, totalement enragée, je l'entendais dire que j'étais dangereuse, que je détruisais des vies. Des vies ? Tu parles... Au pire des cas il y avait eu les plus faibles qui avaient changés de domicile pour du soit disant harcèlement à l'école, sans jamais dévoiler de noms bien sure. Je détenais des secrets parfois beaucoup trop personnels pour que quiconque veuille prendre le risque de m'énerver, et même la secrétaire de l'école était sous ma coupe... Ce qui permettait de lire facilement les dossiers scolaires et les petites secrets bien gardés. Alors prendre des vies, une meurtrière ? Qu'elle arrête de me faire rire !!!
Espèce de pétasse ! Dis-je une fois qu'elle était assez loin pour ne plus entendre, alors que je balançais les feuilles en vrac contre la porte.
Pauline Catalino était l'une de mes dernières esclave avant de partir, et elle y avait même prit plutôt gout, Et que dire de cette nouvelle, cette bimbo blonde du nom de Lise Peterson ? Alors qu'elle ne me dise plus jamais que j'étais une meurtrière ! la plupart des mes victimes avaient même pu appréciés ça une fois au fond du gouffre... Et pourtant... Pourtant il avait fallut que je pose les yeux sur l'une des feuilles bien particulière par rapport aux autres. Cette simple marque de brûlure en bas de page faisait trembler tout mes membres et battre mon coeur la chamade... Ou avait-elle eu ça ? Non, elle n'avait pas pu être au courant de cette histoire, ce n'était qu'un accident... j'avais simplement serrer son cou un peu trop longtemps dans un moment de folie quand cette garce avait essayé de se rebeller contre moi en me frappant. Jamais je n'avais voulu la tuer, je n'étais pas une meurtrière !!
*Non... je ne le suis pas... c'était un accident.. un accident... un accident !!!
Comme pour me rassurer je me jetais sur les autres feuilles, à quatre pattes et à taton d'un air paniqué. Hôpital psychiatrique, tentative de suicide... oui ok mais tentative ratée ! Tiens en voila une qui s'en sort bien, puis une autre... seulement quelques déménagement... la prochaine feuille est encore un suicide... une noyade dans un bain... Ce n'est certainement pas un suicide, elle a du glissé mais mon coeur qui tambourine encore plus fort me crie le contraire. Cette fille s'est donnée la mort à cause de moi, la suivante aussi... celle d'après ? Elle a plutôt bien fini... elle n'est qu'en chaise roulante après avoir sauté du 3 ème étage, un miracle qu'elle soit encore vivante...
Non menteuse !! Elle a truqué les dossiers ! Ce n'est qu'une sorcière !!! encore un tours de magie !!
Le prochain dossier est un jeune homme efféminé et fragile dont je me souviens bien, alors il n'avait pas déménagé... mort... mort ?!! Je panique et j'en fini par retenir un vomissement avant même d'en voir la cause. Je ne veux même pas savoir d'ailleurs, je préfère hurler et envoyer valser les documents partout dans la pièce en agitant mes bras... Avant de tomber au sol et de lentement fermé les yeux dans une crise d'hyperventilation du au stress intense et au choc. Cette connasse avait vraiment raison... je n'étais qu'une meurtrière et je me voilais la face durant tout ce temps en baignant dans ces histoires dont j'étais sure du dénouement. Les autres ? Les élèves qui avaient disparus du jours au lendemain ? Je ne m'en étais jamais souciée... jusque là...
C'est juste un mauvais rêve et cette fois c'est sure,, je vais enfin me réveiller ...
Pendant que j'avais perdu connaissance le temps lui passait et je ne me réveillais que 2 heures plus tard en ouvrant doucement les yeux dans la même pièce. J'avais cette étrange impression d'avoir fait un drôle de rêve sans me souvenir de quoi il s'agissait, mais qui s'en moquait après tout ? Ma première pensait revint immédiatement à ces multiples papiers éparpillés dans cette maudite chambre... Alors c'était bien vrai finalement, j'étais coincée ici pour de bon et j'avais vraiment tué indirectement plusieurs élèves encore en plein adolescence, qui n'avaient pu trouvés refuge que dans la mort devant cet enfer.
Je vois... alors c'était vrai... Mhhh ? C'est quoi sur le bureau là bas... Le repas de Loanne ? Etait-elle au courant de tout ça quand elle m'as préparé le repas ? Quand elle est sorti de la pièce avec ce chaleureux petit clin d'oeuil ? Surement que non...
C'est le regard un peu vide que je me lève difficilement, la tête tournant encore mais la panique étant passée. Je préférais me concentrer sur le repas que m'avait gentillement préparée Loanne avant qu'elle ne revienne et qu'elle puisse croire que je n'aime pas ce qu'elle m'as préparé. Pour une fois... soyons un peu redevable envers quelqu'un pour changer... elle n'as pas l'air très méchante...
Et c'était même plutôt bon pour un repas si rudimentaire et les premiers bouffées avaient seulement eut pour effet de me faire manger encore plus vite sous les gargouillit incessant de mon ventre. Mais avant que je ne puisse terminer l'assiette complètement une main semble tourner la poignet et déverrouiller la serrure. De toute façon j'avais l'estomac encore noué par toutes ces découvertes alors...
* Je dois vraiment être dans un drôle d'état vu d'un regards extérieur... *
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Loanne ne revint dans la chambre de sa nouvelle protégée que deux heures plus tard. Deux heures durant lesquelles sa Maîtresse avait couchée avec elle et durant lesquelles la jeune elfe avait fait montre de tout son talent pour lui procurer du plaisir et la mener jusqu'à l'orgasme. En retour, elle avait eu droit elle aussi à la jouissance et finalement, elle pu se retirer dans les quartiers inférieurs, toute guillerette, ignorant ce qui avait pu se passer pour Léona durant ce temps. Elle ne vit pas Twilight en chemin. Celle-ci était visiblement retournée dans ses appartements. Elle marcha donc tranquillement jusqu'à arriver devant la chambre de la nouvelle esclave et déverrouilla la porte avant d'entrer.
Ce qui était certain, c'est qu'il y'avait eu un peu de grabuge dans cette pièce. Des tas de dossiers étaient éparpillés sur le sol et la brune était courbée devant le bureau, occupée à manger son plat, qui devait sans doute être froid maintenant. L'elfe nota aussi qu'elle était complètement décoiffée. Elle jeta un oeil aux dossiers, qui présentait des photos d'adolescent, mais ne s'attarda pas dessus, étant incapable de lire le Japonais, et préféra voir si l'humaine allait bien.
- Eh, tout vas bien ? Tu es toute ébouriffée et toute pale... Si tu te sens mal, il faut le dire... M'assurer que les esclaves aillent bien, c'est aussi mon travail. Toi, tu as besoin de réconfort je me trompe ? Aller, viens dans mes bras.
Loanne, releva Léona et la pris dans ses bras pour un câlin. Pour le moment elle avait besoin e reprendre ses esprits. Après, elle verrait pour aller plus loins, si elle était en état.
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Alors c'était Loanne qui revenait ? Ben au moins c'était toujours mieux que de revoir l'autre pour revenir se moquer de moi dans mon état, je la voyait déjà prendre ses grands airs de " alors ça te fait un choc ? ". Reste à savoir comment Loanne le prendrait. D'ailleurs pourquoi ça me préoccupé tant, même si elle était au courant ça changerait quoi ? C'est pas comme si je comptais rester ici de toute façon, autant reprendre mon repas en l'ignorant d'un air froid et vague.
Ce qui ne marche pas bien longtemps, la créature elfique commence à poser les questions, elle n'est visiblement au courant de rien et elle ne pouvait pas compter sur moi pour lui dire quoi que ce soit. Et avec les questions arrivaient vite les mots et les gestes de réconfort, avec en prime un constat idiot. Elle me trouvait pâle ? Elle ne le remarquait que maintenant ? A moins que je ne l'étais encore plus qu'habituellement et là ça devais pas être beau à voir...
J'irais mieux si tu me renvois chez moi... dis-je à voix basse
C'était agréablement chaud et à la fois déroutant, aussi loin que remonte mon esprit c'était bien la première fois que je recevais un câlin, je n'avais jamais manqué de rien mais jamais je n'avais été enserrée dans une paire de bras de la sorte. Hésitante, je laissais mes mains se guidaient sur son dos pour répondre à son geste amical. Cependant je revenais vite sur ma décision en la poussant violemment contre le sol à cause de ce qu'elle avait dit.
T'assurer que les esclaves aillent bien ? Je ne suis pas une esclave !
Etalée fesses contre le sol au milieu de la pile de dossier, je peux admirer une fois de plus les dossiers présentant les multiples visages de mes victimes, éparpillés autours de l'elfe que je viens de rejeter comme un parasite. Sans vraiment en comprendre la raison le fait de revoir ces photos une fois de plus me fit presque culpabiliser de l'avoir faite tomber au sol et je fini par m'agenouiller à son niveau pour me jeter dans ses bras à mon tours, serrant de toutes mes forces.
Je voulais pas faire ça... Merci pour le repas...
Offrir un câlin sincère à une autre personne autrement que dans le cadre d'un jeu de soumise / maitresse était déstabilisant. Le manque d'habitude envers ce geste me glorifiait de honte et était pourtant si bon que je ne bougeais pas d'un centimètre à part pour reposer la tête sur son épaule. Qui sait combien de temps je restais contre elle ainsi...
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Leona était visiblement très perturbée, mais Loanne avait l'habitude. A moins que les nouvelles esclaves aient été dressée toute leur enfance, elles réagissaient souvent ainsi, refusant d'accepter leur nouveau statut et rejetant tout le monde. On leur laissait généralement un temps d'adaptation. Mais qu'importe le degré de gentillesse ou de sadisme d'un maître ou d'une maîtresse, passer un certain délais l'esclave sexuel refusait d'accepté son sort, les sévices qui s'en suivaient devenaient de plus en plus lourds à supporter, et finissaient de trois façons seulement. Soit l'esclave acceptait son sort dans la douleur et la peur, soit son esprit se brisait, soit il mourrait, purement et simplement. Les citoyens Ashnardiens ne s'embarrassaient pas d'esclaves inutiles et étaient trop fiers pour leur rendre la liberté.
L'elfe ne voulait pas voir sa nouvelle protégée finir ainsi, mais d'un autre côté, ce serait une mauvaise idée de la pousser à se soumettre tant qu'elle serait dépressive. La brune n'était clairement pas en état de baiser avec qui que ce soit pour l'heure. Elle câlina donc l'humaine durant de longues minutes, sans rien dire. Pour l'heure, elle avait juste besoin de réconfort et l'enlace de tout la gentillesse dont elle était capable.
- Même si tu es... Ce que tu es devenue en arrivant ici, il est de mon devoir de veiller à la bonne santé de mes protégées. Tu n'es clairement pas en état de faire quoi que ce soit que ton statut exige que tu fasse. Aussi, tant que tu n'ira pas mieux, je veillerais a ce que nos Maîtresse ne te demande rien d'ordre sexuel, sinon tu n'ira jamais mieux. Mais mes pouvoirs ont leurs limite et je ne pourrais pas te protéger indéfiniment. Donc tu dois aussi me promettre de te rétablir. Je ne voudrais pas te voir souffrir inutilement.
Loanne redressa la brune devant elle et lui offrit un petit sourire réconfortant.
- Exceptionnellement, je vais dormir avec toi cette nuit. Rien de sexuel, mais tu as besoin de chaleur humaine. Dans ce genre de circonstance, il n'est pas bon de laisser quelqu'un seul. Ça te convient ?