Le Grand Jeu

Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => Place publique => Discussion démarrée par: Fiela le dimanche 12 juillet 2009, 01:16:59

Titre: La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le dimanche 12 juillet 2009, 01:16:59
On m'avais choisit parmi les centaine d'esclaves, d'une part car cela faisait bien longtemps que je croupissais dans l'entrepôt et d'autre part pour "fêter" mes dix-huit ans hier.

Un rideau faisait le tour de l'estrade, nous cachant des regards des futurs maîtres et maîtresses. Il y avait aujourd'hui que des esclaves féminins, dont  presque tous des terranides. On nous ordonna de  retirer tous nos vêtement et d'enfiler un robe beige, très légère. J'avais réussit, en échange d'une caresse, à garder mon collier rouge avec ma clochette. Notre vendeur rappela les ordres.

- Vous allez faire honneur aux marchand que je suis et toute partir avant la fin de la journée, celles qui reste devront rester enchainées sur un poteaux et survivre sans manger et boire pendant une semaine. La première que je vois parler sans que l'on lui demande se verra bruler avec se morceau de fer incandescent.


Il montra le fer rouge en question. Les deux menace me firent très peur, mais d'un autre côté il fallait obéir c'était  ce qu'une bonne esclave devait faire.

- Vous ne devez pas être agressive et répondre à toutes les questions posé, TOUTES ! Si on vous demande de montrer votre corps, vous le faites, quand à toi petite.

Il s'adressait à moi, je me tourna la tête joyeuse, je me prit un coup de genoux dans le ventre me pliant de douleur au sol.

- Primo je t'ai laissé ton collier parce que cela augmentait ta côte, si par malheur tu n'es pas vendu, je me chargerais de toi personnellement pour t'apprendre que ton corps te permet de ne rien acheter, même pas ton collier. Deusio tu me  caches se sourire, cela baisse ta côte, tu pourras sourire quand une personne t'auras achetée, est-ce clair ?!

Toute les filles répondirent affirmativement, moi j'avais encore trop mal pour répondre. Le marchand me prit par les cheveux, me souleva et me  cria dessus.

- JE N'AI PAS ENTENDU TA RÉPONSE !

- Oui ... J'ai très bien comprit.

Il me lâcha et je m'écroula au sol

- Bien, vous avez dix minute pour bien vous préparer, toi la jeune, tu soignes vite fais ces bleus.

Une ESPer vint m'aider à me lever et avec sont pouvoir de régénération soigna mes blessures.

- Il ne t'a pas raté ma belle, je te souhaite de trouver un acquéreur sinon, il va te faire énormément souffrir.

- C'est ma faute, je n'ai pas fait ce qu'il fallait tous simplement.

- Hé ben, tu as du recevoir un vrais choque sur la tête pour proférer de tels propos, allez vient on va s'entraider pour être vendu, cela vaut mieux que de rester dans cette enfer.

Dix minute plus tard le rideaux s'ouvrit, je plissa les yeux pour m'habituer à la clarté du soleil. Le matin passa très vite, beaucoup de personne voulut voir si je n'avait pas de problème de santé et demanda à voir mes dents, comment je marchais, les mouvements de base. Mais il n'y eus aucune tentatives d'achats.

Le midi fut le plus dure car le soleil commençait à frapper et nous étions toutes en sueur augmentant notre beauté,  il y eut dix intéressés, mais ils trouvèrent des offres beaucoup plus intéressantes et cela me rendit anxieuse, je me demandais ce qui n'allait pas chez moi pour que personne ne veuille de moi. Pourtant sur mon affiche on pouvait voir que je savait faire la cuisine, la couture, le nettoyage, être garde du corps et plein d'autre qualités.

J'eus soudain le présentement que quelqu'un m'observais, je me dit que c'était sans doute un maître qui avait besoin d'une esclave douée et reprit courage.

- Il nous reste ces cinq belle jeune demoiselles. Prenez le temps de les voir et de poser vos questions, elle se feront une joie de s'exhiber.


Le vendeur me lançait un regard noir qui me disait " Tu as intérêt à trouver quelqu'un dans cette foule sinon t'es morte." cela me fit déglutir. Il fallait qu'un futur maître veuille de moi, sinon il était sur que je n'aurais plus aucune chance d'en trouver un après être passez sous les mains du marchand.

Ma mise à prix était passée de 3000 pièces d'or à 1500 Pièces d'or, en espérant que des clients ne surenchérissent pas.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le dimanche 12 juillet 2009, 04:22:06
La belle ville de Nexus... je n'y suis pas retourné depuis ma capture. La vie que je voyais à nouveau me faisait énormément de bien. Depuis que j'ai quitté le repaire de l'alchimiste, je me sentais beaucoup mieux. Le soleil m'avait beaucoup manqué. Mon seul regret, c'était la disparition de mon épouse. Je sais que Xatiav l'a emmenée avec lui et son départ a creusé un vide en moi et je ne cherchais pas vraiment à le combler... bon, d'accord, peut-être un peu.

J'avais repris mon emploi à Nexus, soit chasseur de prime. La première chose que mon arrivée au bar a créé, c'était un gros cri de joie de mes anciens et actuels collègues de travail. Darimon et Lucas ont fait un de ces tapages, comme quoi tous me croyaient mort... d'un certain coté, ils n'ont pas tort. J'étais pas mal différent... autrefois, un homme qui aurait passé un commentaire à mon sujet aurait déjà le fourreau de son sabre enfoncé bien comme il le faut dans l'anus, et maintenant, je m'en fiche. J'étais juste content d'être de retour. Après de nombreuses discutions à n'en plus finir, je me séparai de mes amis qui retournèrent à leurs activités, je me suis mis au boulot et j'ai amassé une coquette somme... d'une part à cause du travail et de l'autre parce que je me suis servit de l'alchimie pour créer de l'or (Je sais, c'est interdit, mais j'en ai rien à foutre, je suis pas un alchimiste officiel) et je me suis ensuite rendu à la place du marché avec plus de de quarante lingot d'or dans mon sac de voyage.

Première chose que j'ai faite, j'ai acheté une propriété à quelques kilomètres de Nexus, une belle ferme qui coutait dix-huit lingots. La maison et la grange était bien fournie et l'ancien propriétaire, qui n'avait aucune famille pour prendre sa terre en héritage, se faisait vieux, alors, il me l'a vendue pas très cher pour s'en débarrasser et aller couler des jours paisibles sur son île privée… bah, comme quoi il y a des riches qui vivent humblement pour finir leurs jours dans le luxe…

Le titre de propriété en poche, je me dirigeai vers la place publique de Nexus, comme l’avait conseillé Lucas. Apparemment, il y avait une vente d’esclaves aujourd’hui. Bien que je n’aime pas l’idée de l’esclavage, un peu de compagnie sur mon territoire, ça devrait alléger ma solitude… je crois.

Lorsque j’y fus, un homme présenta cinq jeunes femmes. Une E.S.Per, deux terranides (dont un homme) et deux humaines. Je m’approchais d’une d’entre elle, l’air décidé. Elle était très belle et j’étais sûr que ce marchand n’était pas du genre à supporter qu’une de ses esclaves ne soit pas achetée et il va certainement se ruer sur elle pour relâcher sa mauvaise humeur.
Je lui relevai le menton pour qu’elle me regarde dans les yeux. Le marchand jubilait à vue d’œil. Il venait d’apercevoir mon sac remplit d’or et il avait très envie de l’avoir. J’examinai attentivement les yeux violacés de l’esclave des miens. Je pris une de ses mains, les examinant également. Je passai tout son corps au peigne fin, l’examinant de partout. Elle était un peu plus jeune que moi et un peu plus petite, mais elle avait les qualités que je recherche. Je regardai ensuite le marchand et j’hochai de la tête, confirmant ce que j’allais faire.

-Je l’achète. Pour dix milles pièces d’or.

À peine eu-je dit ces mots que le marchand se ruait sur moi, les mains tendues. Je lui donnai un sac rempli d’or, sans lui accorder le plus d’attention, mon regard rivé sur ma nouvelle propriété. Je lui demandai gentiment de me suivre, empoignant les chaines des menottes que l’esclavagiste venait de lui passer autour des poignets. Une fois un peu plus éloigné de ce rapace avare, je la regardai et je lui souris.

-Tu as un nom?
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le dimanche 12 juillet 2009, 09:48:34
Soudain, comme-ci le ciel m'avait entendu un homme braqua son regard vers le mien et avança vers l'estrade. Je baissa la tête, aucune esclave ne devait pas croiser le regard d'un acheteur, tant que celui-ci ne l'avais pas acheté, sauf pour l'examiner les yeux, mais même dans ce cas le contact visuel devait être réduit.

Il me prit, avec une certaine douceur, le menton et releva ma tête pour examiner mes yeux qui brillaient avec les rayon du soleil, il avait des yeux perçant et semblait satisfait de ma bonne vision. Puis il examina mes mains, il devait en être ravit, car elles étaient douce, fine et très adroite, la couture nécessitant un minimum de pré-requit. Chaque parcelle de mon corps fut étudier par cet acheteur qui semblait se désintéresser des autres et m'avais choisit, l'ESPer eut un sourire, ce qui me confirma que cette personne avais envie de m'acheter. il examina mes jambes et mes bras, pour voir si il n'y avait pas de tare ou de maladie, à première vue, il semblait s'y connaitre fortement en anatomie humaine

Puis il annonça son prix, le vendeur était ravit d'entendre ce prix et personne ne semblait vouloir donner plus. La vendeur était content d'être tombé sur un pigeon pareil.

- Vous êtes très généreux, monsieur, mais avec tous le respect que je vous doit elle n'en coûte pas autant, mais c'est à votre guise, le client est roi.

C'était une de ces phrases favorite, il reçu le magot et recompta le tous pour être sur de ne pas se faire avoir, même si il avait fait son chiffre minimal d'or pour la semaine. Il recompta une deuxième fois et tendit la chaine de mes poignets à cette individu qui était dès à présent mon nouveau maître, tout en murmurant à l'oreille de mon acquéreur.

- Si elle vous pose des ennui n'hésiter pas à lui dire, elle se punira elle même, je n'ai jamais vue de toute ma carrière un esclave aussi soucieuse des ordres de sont maître et elle est phobiques de toute punition qu'un bon maître lui donnerait, donc si elle de vient gênante mettez là dans un toute petite salle dans le noir en lui ordonnant de ne pas bouger pendant une heure et elle restera tranquille pendant un bon moment.


Mon maître me fit signe de le suivre, je me mit derrière lui, là ou tous bonne esclave avait sa place, ma clochette sonna à chacun de mes pas. Il avait ma chaine entre ces mains, puis il me regarda et me demanda si j'avais un nom. Une esclave s'en serait donnez une, mais la franchise était aussi un preuve que j'étais une bonne esclave et si je mentait il aurait fallut que je me punisse pour avoir mentit à mon maître.

- Je n'en ai pas , mon maître. Je n'ai aucun souvenir ayant une date antérieur à sept mois. Aussi le maître devras, si il le désire, m'en attribuer un.

Une personne sortie de la foule, l'air en colère et posa sa main sur mon épaule en criant sur mon maître.

- Hé ! Toi le daltonien, je voulais cette petite pour m'occuper, je te la rachète et si t'es pas content je te fracasse ta tronche  ok ?!

Il avait une attitude agressive envers mon maître et cela changea mon caractère, personne n'avait le droit de contester le choix de mon maître, je ne croisa pas le regard de ce dernier et demanda.

- Puis-je maîtriser cette personne, mon maître ?
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le dimanche 12 juillet 2009, 13:33:45
Elle n’avait pas de nom, je ne m’en surprenais pas, c’était plutôt commun de transformer des amnésiques en esclave, et elles étaient bien plus faciles à mâter que d’autres. Je me souvins des paroles du vendeur, ceux-là même qui auraient, en temps normal, valu que je l’exécute sans plus grande forme de procès sur la place publique, au milieu de tout ces gens. Mais bon, il n’a du se contenter d’un regard froid.

J’avais peut-être la gueule d’un assassin en puissance, mais ca ne veut pas nécessairement dire que j’aime faire du mal, même à mon propre esclave. Et d’ailleurs, je ne me souviens guère lui avoir demandé d’ouvrir sa sale gueule, au gros lard. Vous savez, cette sorte de mec qui parle trop et qui ne la ferme pratiquement jamais, même si ça pourrait leur sauver la peau.

Réfléchissant un nom pour la demoiselle, je m’assis sur un banc public et je la regardai. Puis un homme arriva derrière elle, saisissant MON esclave de ses sales pattes, gueulant contre moi qu’il voulait me la racheter, vraiment pas content d’avoir perdu la jeune femme qui lui avait tapé dans l’œil. Je me levai sans dire un seul mot, dirigeant ma main vers mon sabre pour lui dessiner une seconde bouche sur le front, mais la jeune esclave me demanda si elle pouvait le maîtriser, avouant ainsi qu'elle savait très bien se battre, ayant apparemment envie de me montrer ce qu'elle savait faire.

Vraiment, le titre « maître » sonnait bizarre pour moi, je n’en avais guère l’habitude et c’était plutôt… spécial. Ce qui me ramena à réfléchir à ce mec. Pour lui, selon ses propres dires, une esclave sert exclusivement de vide-foutre ambulant. Ce fut loin de me faire sourire. C’était répugnant et complètement enfantin comme manière de penser. Si tu veux baiser ton esclave, pas de problème, mais tu ne viens pas te planter devant un mec armé, réclamant un esclave qu’il a acheté en lui disant comme seul argument que tu veux te la farcir… ou t’occuper. Ca ne marchera certainement pas.

Je posai une nouvelle fois mon regard sur la jeune demoiselle et je lui souris gentiment.

-Oh mais je t’en prie, fais-toi plaisir, Abigaëlle.

Juste en lui donnant ce nom, ça lui disait que je n’avais absolument aucune envie de la revendre ou de la donner à qui que ce soit. Elle m’appartenait, maintenant, et je n’avais pas l’intention de la perdre aussi tôt… ni même plus tard. Je lui caressai doucement la joue. Lorsque je l’ai regardée dans les yeux, sur l’estrade, ce n’était pas pour mesurer sa vue, mais pour la sonder.

- Mais, s’il te plaît, évite de lui briser le cou. Les bras et les jambes, ca va, mais pas le cou, d’accord?

Et je souris et haussai les épaules, comme un homme qui se foutait désormais du sort d’un autre, qui se désintéressait de son futur. Je retournai m’asseoir et je regardai mon esclave à l’œuvre.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le dimanche 12 juillet 2009, 14:06:49
Mon maître me donna mon nom, ainsi que la permission de punir cette arrogant, tout en me demandant de ne pas le briser le cou, ce qui aurait entrainé une mort rapide et sans appel. Je prit la main de l'intrus pour le dégager de mon épaule et m'inclinai vers mon maître.

- Il sera fait selon votre désir.

- Hé ! la pute, tu ne crois tous de même pas me battre !

Il voulut m'envoyer un coup de poing, qui aurait du me frapper à la poitrine, un endroit sensible pour une femme, mais ne rencontra que le vide. J'avais disparut de son champs de vision, pour me retrouver derrière lui.

- Nul personne ne doit se permettre d'insulter ou de menacer mon maître. Il est mon dieux et mon protecteur.

Je lui fit quatre coup rapide déboitant ces genoux et ces épaules, étant au sol je mit ma jambe droite autour du cou de l'agresseur et avec ma main gauche je serrai le tous. Il pouvait sentir la chaleur de mon intimité, mais pas pour longtemps.

Cette prise a pour but de couper la circulation du sang dans le cerveau, après il y a deux méthodes pour le faire tomber dans les vapes, soit maintenir la pression, soit la relâcher. Je choisit la seconde option par respect envers cette personne que je ne reverrais certainement plus.

Une fois le type hors d'état de nuire, je me releva et m'inclina vers mon maître.

- Cela est-il comme vous le désiriez, maître ?

J'attendais la réponse, si elle était positive j'en serai ravie, si cela n'est pas le cas alors je me grifferais jusqu'à ce que je saigne pour me punir. Aussi je préparai déjà mes ongles à transpercer la peau de mon poignet droit au cas où la seconde situation se présenterai.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le dimanche 12 juillet 2009, 15:01:21
Lorsque mon esclave eut fini de mettre cet insolent hors d’état de combattre, je l’applaudis, à la fois surpris et satisfait. Elle savait se défendre, la demoiselle, et j’en étais très content. Elle s’inclina devant moi, me demandant si elle avait satisfait mon désir. Je me relevai et je me plaçai devant elle, pratiquement collé à elle, tellement la distance entre nous étaient courtes. Tout doucement, je glissai une main derrière sa tête et je l’embrassai sur le front avec douceur, la félicitant. Je reculai mon visage pour la regarder dans les yeux et je souris.

-Oui. C’était parfait.

Je passai un bras autour de ses épaules et je l’entrainai avec moi, me dirigeant vers les vers les couturiers pour acheter des vêtements à la jeune demoiselle. Je sais bien que les esclaves portent habituellement des loques. Je ne vais pas la laisser se promener habillée comme ça, non? J’aime bien faire plaisir, c’est gravé en moi. Je m’arrêtai devant les magasins et je regardai mon esclave, Abigaëlle. Il n’était pas à nier que je comprenais qu’elle attisait le désir des dans cet accoutrement indécent, en plus qu’elle était très jolie. Je me tournai totalement vers elle et je la regardai dans les yeux.

-Maintenant, j’aimerais que tu ailles t’acheter des vêtements –Je déposai un sac bien rempli d’or dans sa main- Achète un kimono, prend celui que tu trouves le plus joli, et des sous-vêtements. Le reste, choisis ce qui te plait. Je t’attends ici. Allez, va, mais je te surveilles.

Le kimono, c’était simplement un désir personnel. J’aime bien voir une femme porter cet accoutrement. Je trouve ça joli, un petit truc que j’ai gardé de mon coté humain. C’était surtout pratique, puisque tu peux porter un tel vêtement en public et pour les soirées. De plus, j’aime bien les styles vestimentaux asiatiques du japon féodal. Je ne sais pas vraiment pourquoi. J'ai bien l'intention de faire en sorte de faire de cette esclave une femme heureuse, quitte à la relacher si elle n'est pas heureuse avec un maître tel que moi. Je dois être un bien piètre maître, mais je n'aime pas vraiment donner des ordres, ce n'est pas quelque chose que je fais très bien. Je ferai de mon mieux, du moins.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le dimanche 12 juillet 2009, 17:06:15
Mon maître se levai et se dirige vers moi, je m'attendais à une réponse négative, avec un coup au ventre, aussi je commençais à enfoncer mes ongles, mais ma surprise fut une main douce me prenant gentiment l'arrière de mon crâne et un baiser sur mon front.

Il me dit que j'avais fais ce qu'il attendait de moi, passa son bras protecteur autour de mes épaules et je le suivis sans résister. La population me regardais différemment, leur regard avant méprisant se firent envieux et brillais d'un besoin de m'avoir. Ces regard autre fois chargée de haine étaient devenu pleins de désir. Mon maître s'arrêta devant un magasin de vêtement, je sus tous de suite où il voulait en venir, je devais être sa première esclave et donc il n'avait sans doute pas de vêtement pour femme chez lui. Il me donna l'ordre d'aller chercher des affaires qui me plaisait tout en achetant obligatoirement un kimono et des sous-vêtements, il me dit aussi qu'il me surveillerait, tout en me remettant de quoi acheter. Je m'inclina devant mon maître.

- J'entends et j'obéis mon maître.

Je mit ma mains sur la poignée et entre. Je me devais de faire bonne impression par respect envers mon maître. La demoiselle qui se chargeait de cette boutique vint me voir avec un sourire.

- Vous désirez ?

J'ouvre la bouche , mais j'eus du mal à parler, c'était tous nouveau pour moi de demander à avoir quelque chose, sans payer avec mon corps.

- Mon maître m'a dit d'aller acheter des affaires dans cette boutique.

- Ce n'est pas tous les jours que cela arrive, tu dois avoir un bon maître pour qu'il te fasse confiance. Aussi je te fais confiance, regarde ce qu'il te plait et si tu as des questions n'hésite pas.

- Bien madame.

Je fit un premier tour dans les rayon, la majorité des vêtements étaient pour femme, à croire que mon maître n'avait pas choisit ce magasin pour rien, je commençai par chercher les sous-vêtements, étant souvent le plus long à choisir, autant commencer par cela. Je ne fit pas la difficile, je choisit des ensembles rouge avec des motifs noire et vice versa, le tous était très jolie et cela plairait certainement à mon maître.

Ensuite je choisit le kimono, un dégradé qui allait en haut sur du bleu azuré au blanc immaculé tout en bas avec une ceinture bleu clair. Ensuite je prit des tenues qui pourrais me servir dans la demeure de mon maître, une tenue de soubrette, un robe de nuit semi-transparente et deux, trois robes pour l'éventualité où je devrais sortir dans la rue pour faire  les course ou aller à des réunion entre maître. Bien sur je prenais ce qui était le moins chère, je ne voulais pas être une source de dépense pour mon maître. Pour les ajustements, la femme me fit les modification en me disant comment porte tels ou tels chose, par exemple pour le kimono, elle me fit faire une dizaine de fois les déshabillage et le rhabillage. Elle fit le calcul de tous cela et m'annonça le prix.

- Si l'on devait tous compter tu en aurais pour 200 pièce d'or

Je fit une grimace, cela semblait trop chère, mais la vendeuse continua.

- Mais comme tu as été fort gentille et aimable je vais te faire cela à 50 pièce d'or et si tu souhaite revenir ici, sache que je serais ravit de te faire des réductions.

- Merci madame, vous êtes trop gentille envers une esclave.

- Dans cette boutique je ne vois pas d'esclave, juste un jolie jeune femme, allez va rejoindre ton maître avant qu'il ne s'impatiente.

- Bien madame, au revoir.

Je sortie avec mon sac d'affaire et remit le ticket avec le prix dessus, à mon maitre. La vendeuse m'avais fait un fleur en me faisant tous à 50 pièce d'or, je lui remit sa bourse et attendis voir si il voyait d'un bonne œil ou non le prix de mes achats. une bonne esclave se doit de ne pas être un poids quelconque pour son maître, c'était l'une des règles et je me devait de le respecter.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le dimanche 12 juillet 2009, 18:37:46
Lorsqu’elle entra dans la boutique, disparaissant de mon champ de vision, je ne pus m’empêcher de soupirer de soulagement. Elle était vraiment adorable, il faut l’admettre, mais justement, elle était si jolie que d’autres commençaient à s’intéresser à elle et j’avais le sabre qui me démangeait horriblement.

Parmi cette foule d’hommes jaloux, un type s’approcha de moi et posa une main sur mon épaule. Je ne pris pas deux secondes pour reconnaitre Darimon, mon collègue et ami. Il n’était franchement pas difficile à reconnaître, puisqu’il avait toujours ce sourire joyeux qui m’agaçait tant sur les lèvres. Ses cheveux noirs courts et ses yeux bleus le rendent plutôt simple à se remémorer. Il n’était pas franchement plus grand que moi, mais au moins une demi-tête.

-Tu t’es trouvé une bien jolie esclave, mon vieux. Je suis jaloux.

Il me souriait avec bonne humeur. Non, Darimon Darkslow était incapable d’être jaloux, lui qui avait déjà pas mal d’esclaves ainsi qu’une épouse des plus séduisantes. Cependant, je n’ai jamais eu envie de sa femme. Elle avait beau être jolie, y’avait que Darimon pour aimer son caractère de cochon. Sauf qu’elle savait faire la cuisine, à ça oui, elle savait. Enfin, bref, ses histoires de familles, c’est lui qui va vous la dire si ça lui chante.

Je regardai mon ami en souriant aussi. Je ne sais pas pourquoi, mais cet achat m’a redonné l’envie de sourire et de profiter de la vie. Je sais, c’est bizarre, mais maintenant que je sais que je ne serai pas seul sur mes terres, je n’ai plus la déprime dans l’âme. En fait, j’ai même envie d’aller boire des bières jusqu’à ce que je sois plein, mais avant, j’ai une nouvelle esclave avec laquelle je dois faire plus ample connaissance. Je ne sais pas si c’est nécessaire, mais je crois que la vie serait plus facile si on parvenait à établir une bonne relation. Le pouvoir et la négligence d’un souverain mène à la rébellion de son peuple, c’est la même chose pour un maître et sa servante.

-Darimon… comment on devient un bon maître?

Ma question sembla le surprendre, comme si c’était une question stupide. Oui, c’était une question bizarre, mais je l’ai posée. L’homme sourit et s’assit sur le banc public derrière nous et regarda le ciel.

-Eh bien, tu poses d’excellente question. Selon moi, un bon maître, c’est …

Abigaëlle sortit de la boutique et Darimon, profitant du fait que j'avais la tête tournée, partit sans répondre à ma question, un sourire, que je savais amusé, sur les lèvres. Elle me rendit ma bourse et je restai surpris en voyant les articles qu’elle avait ramené et l’argent qui restait. Je lui souris ensuite. Elle remplissait parfaitement les tâches que je lui confiais et j'en étais ravi. Si c'était si pratique d'avoir un esclave à ses cotés, je suis bien content de l'avoir achetée. Je l'attirai doucement par les épaules contre moi, dévisageant par moment les autres hommes qui la convoitaient et je me mis en marche.

-Je n'aime pas l'ambiance de cet endroit. Allons plus loin, je te prie.

Je l'entrainais donc avec moi, toujours souriant gentiment à ma belle esclave. En fait, si ma peau pouvait rougir, il y aurait un moment que je l'aurais fait. Cette proximité me faisait énormément de bien. Pas seulement parce qu'elle était une femme, mais aussi parce qu'on avait probablement un long bout de chemin à faire ensemble. J'examinais ses yeux puis quelques choses me revint en mémoire. Une odeur que j'ai remarquée sur pas mal d'esclaves de sexe féminin. Je me doutais maintenant de la personne qui l'avait transformée en esclave.

-Dis-moi, Abi, j'aurais deux questions. Ton nom te plait-il? Et aussi: Quel est ton souvenir le plus ancien?
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le dimanche 12 juillet 2009, 19:48:56
Mon maître eut un sourire, il semblait que j'avais fait ce qu'il fallait et n'avais pas trop dépensée l'argent. Il me tira vers lui en déposant ces mains en douceur sur mes épaules, il était assez rare que j'ai ce genre de contact, généralement c'était pour faire l'amour après, mais mon maître n'avait pas le regard de quelqu'un voulant de mon corps à cet instant. Je suivit mon maître quand il me dit que nous allions vers un endroit plus agréable.

Puis nous nous arrêtâmes dans une rue qui était certes un peu étroite, mais qui possède peut de zone d'ombre et il fixa avec une certaine insistance mes yeux, comme-ci il voulait voir mon âme à travers, mais il semblait m'apprécier, mon maître me posa deux questions, la première fut facile à répondre.

- Si cela plait à mon maître alors cela me plais.

La réponse pouvait paraitre assez stupide, mais comme je ne savait pas mon vrais nom, ni mon prénom je ne pouvais pas savoir si il était plaisant et puis c'est mon maitre qui me la donné, alors il devait le trouver jolie. La réponse pour la seconde question fut plus dure à donner, je me plaque contre un mur en tentant de me rappeler, mais j'arrête vite, car un mal de crâne me prenais. Chaque fois que je voulais chercher dans ces dédales qu'était mon cerveau, je me trouvait devant des murs,qui me bloquais l'accès à des partie que je sentait pourtant importante, mais qui me causait de dommage si je m'approchais de trop.

- Je suis désolée maître d'être aussi faible, si je cherche de trop j'ai des nausées. Je me rappel que j'étais avec mon premier maître qui était très grand et très fort, j'avais un épais collier de fer où il y avait une serrure ...

J'essayai  de me forcer à me rappeler, mais mon mal de crâne revint à la charge, ainsi que un début de nausée. C'était vraiment très dure de se rappeler, j'avais jadis vite arrêtée de chercher des réponse dans ma tête, cela ne faisait que me rendre malade et affectais mes actions, causant irréversiblement une punition, on m'avais toujours interdit d'essayer de chercher mon nom et bonne esclave que je suis, j'avais renoncée.

- C'est tous ce que je me rappel, maître. Mais le soir je fais des cauchemar, je suis dans un endroit sombre et je voie un katana se briser et une plainte en sort, mais je n'entend pas ce qu'elle crie. J'ai l'impression que ce katana avait un lien avec moi, mais c'est trop effrayant pour que je veuille m'en rappeler. Encore désolée de ne pas pouvoir répondre correctement à votre réponse maître.

Le simple fait de l'avoir raconté me fit trembler, j'avais l'impression que l'on m'avait mit un manteau de glace sur mon corps. Bien sur j'essaye de contrôler ces tremblements en vain, je fit tous mon possible pour ne pas montrer ma faiblesse, un esclave faible ne vivait pas longtemps, c'est ce que l'on m'avais toujours dit. Je réussit à cacher ma peur dans ma voix et dit.

- Vous voulez savoir autre chose mon maître ?

Sans le faire exprès je mit ma main sur le bras droit de mon maître, ayant conscience que je l'avais touché sans sa permission, je rompit le contact et m'inclina.

- Je suis désolée d'avoir commit une faute, je suis prête à recevoir la punition que mon maître me donnera.

Un maître comme le marchand m'aurais ordonnée de prendre la ceinture du kimono et de me laisser attacher au poteau, qui se trouvait deux mètre plus loin et m'aurait infligée une punition corporel.

Le maître était le dieux et moi j'étais la fourmis que ce dieux avait fait, tout ordre était sans appel. Je reste inclinée en attendant la sentence que mon maître allais me donner et en même temps je réfléchissais à la punition que je m'infligerais.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le dimanche 12 juillet 2009, 23:01:40
Conformément à mes soupçons, cette crapule de Don est celui qui a capturé mon esclave. De part plusieurs femmes que j’ai rencontrée, des esclaves, justement, tous m’ont raconté la même chose, tous ont été violées avant d’être vendues. Je soupirai et j’assimilai le reste de l’information qu’elle m’a donnée. Lorsqu’elle parla d’un sabre qui crie, j’ai tout de suite pensée à une âme attaché à cette arme. Je ne sais pas pourquoi, mais quelque chose me dit que la destruction de cet objet a provoqué un choc chez ma nouvelle servante, un choc assez puissant pour bloquer l’accès à sa mémoire. Cette capacité involontaire du cerveau servait de protection contre une douleur trop aiguë pour son jeune esprit.

Je sentis alors sa main se poser sur mon bras droit. Se rendant compte de cela, elle recula et me demanda pardon et, au comble du ridicule, qu’elle accepterait une punition que je pourrais lui donner. Vraiment, avais-je l’air si méchant que ça? Est-ce que je faisais peur à ce point qu’on me croit capable de piquer une crise pour si peu? Bon, d’accord, je peux être froid dans mes moments, mais je ne suis pas quelqu’un de mal… non?

Je lâchai un soupir puis je laissai le blabla du parfait maître cruel, plutôt agacé que faché.

-Prépare-toi à recevoir la pire des punitions…

Alors, je posai tendrement ma main sur sa joue et je l’embrassai langoureusement sur les lèvres en faisant également preuve d’une grande douceur. Automatiquement, de petits filaments électriques passèrent de ma bouche jusqu’à mes pieds, comme si je venais d’absorber un peu de son énergie, puisque je me sentais plus vivant qu’il y a cinq minutes. Je décollai mes lèvres des siennes, nos langues toujours liées par un fil de salive, qui fut brisé tout de suite après. Je la regardai dans les yeux, l’air un peu courroucé par ses préjugés déjà tout fait à mon sujet. Je l’embrassai une seconde fois, glissant une main autour de sa hanche et une autre autour de sa taille. Je n’en ai que faire des gens qui me regardaient avec un air révolté, comme si j’embrassais une maladie grave. Abigaëlle est mon esclave, j’en fais ce que je veux, à ce qu’il paraît, alors, je m’en fiche. Je brisai ce baiser avant de la regarder une nouvelle fois.

-Cette punition te suffit-elle, Abi?

Je la gardai tout contre moi, le front collé contre le sien. Je n’ai pas du tout, mais pas du tout l’intention de lui faire le moindre mal pour m’avoir touché. Je ne suis pas un roi, je suis simplement son maître et je la souhaites heureuse, alors, je ne veux pas qu’elle s’inquiète d’être agressée à chaque fois qu’elle fait un petit truc sans me le demander.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le dimanche 12 juillet 2009, 23:43:49
Quand il me dit que j'allais recevoir la pire de punitions, je pensai tous de suite à l'ordre de mourir d'une manière lente. J'eus un sursaut quand la main de mon maître se posa sur ma joue, je relevai la tête et c'est à cet instant précis que je le vit m'embrasser. Mon esprit était confus, c'était ça la pire punition de mon maître ? Il voulais sans doute me chauffer un peu, aussi quand ma langue entre en contact avec la sienne je ne me dérobe pas et le laisse agir, comme tout esclave qui se respecte.

Il me fixe avec un regard de reproche, m'enlace comme l'aurait fait un amant. Cette idée chamboula encore mon esprit, il voulait peut être que je soit sa concubine, j'avais entendu parlé de cette situation, mais à la fin, l'esclave est marqué dans l'héritage de la famille. Il me demanda si la punition me suffisait. Je mit un certain temps avant de répondre, bien qu'il était mon maître, une bonne esclave se devait, de temps à autres, de rappeler qu'une faute se devait d'être punit non par de la douceur mais avec fermeté et douleur.

- Votre punition est trop douce pour moi maître.

Une larme coula le long de ma joue, une larme qui annonçais ma punition personnel, une esclave ne devrais pas se punir elle même, mais moi je considère qu'une punition d'un maître se doit d'être comblée par une punition de l'esclave fautive.

Je me libère de l'étreinte de mon maître avec douceur, pour ne pas montrer une quelconque envie de fuir, je fit deux pas en arrière, pour que le maître puisse voir ma punition et au moment où le vent et même le bruit semblaient se figer, j'enfonçai les ongles de ma main gauche dans mon poignet droit, laissant couler des filets de sang, je sentais ma vie s'écouler lentement par ce sang, je sentais mes ongles tenter de s'enfoncer plus profondément dans ma chair, mais je ne cria pas de douleur, mon visage était resté  impassible devant cette sentence que j'avais moi même formulée, je regarda mon maître et dit, avec un sourire.

- Voilà la punition est suffisante maître.

Mon sang continuait à couler le long de la main pour perler le sol d'une couleur écarlate. Les personnes aux environs ne firent aucun geste pour me secourir ou même pour montrer qu'ils avaient vu ça. Tel était l'esclave, un être invisible sauf aux yeux de son maître, même si je mourrais ici, personne ne viendrais me pleurer ou m'enterrer, seul les voleurs dépouilleraient mon cadavre, et encore une esclave n'aurait pas d'intérêt à leur yeux.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le lundi 13 juillet 2009, 00:34:07
Elle me dit que ma punition était trop légère pour elle puis elle se mutila le poignet au sang, sous mes yeux effaré et plein d’incompréhension. Le sang de mon esclave coulait sur le sol et elle me dit avec un sourire que sa punition était maintenant suffisante. Furieux, j’agrippai son poignet, le porta à mes lèvres avant de lécher la plaie qui risquait de s’infecter et pire, si elle a touché la veine, de la tuer. Les ouvertures laissées par ses ongles se colmatèrent. Je regardai mon esclave et ma main siffla avant de la gifler au visage dans un claquement sonore, le mot « idiote » fut crié de ma propre bouche. Ma main laissa une légère marque rouge sur son visage. Je n’avais pas frappé fort, mais juste assez pour lui faire entrer ma rage dans la tête. Je la plaquai brusquement sur le mur d’un bâtiment, collant ses poignets contre les briques celui-ci.

-Je ne t’ai jamais permis de faire ça! Tu n’as rien fait qui mérite une mutilation pareille! Je ferais quoi d’un cadavre, moi? Ai-je l’air si méchant à tes yeux que d’après toi seule la souffrance me satisfait? Non. Des excuses me suffisent.

Je la regardai dans les yeux, hors de moi. Je ne comprenais tout simplement pas pourquoi elle avait fait ça. C’était purement idiot. Je baissai la tête en portant la main à mon visage, haletant à cause de mon éclat. Je venais de gifler une femme et ça me mettait tout à l’envers. J’avais l’impression que j’allais être malade, que j’allais avoir des nausées d’un moment à l’autre. Après avoir vu les neuf Izuna être maltraités par Xatiav, les traitements inégaux me rendent très inconfortable. Je pris un moment pour me calmer pour éviter de la frapper une seconde fois ou de vomir, puis je la regardai.

-Je t’interdis de t’infliger une punition charnelle sans que je ne te l’autorise. Je suis le seul à pouvoir te punir physiquement dorénavant, me suis-je bien fait comprendre? Si tu répètes cette erreur, je te jure que je te fais porter une camisole de force, c’est clair?

Mes yeux bleus dévisageaient mon esclave dans les yeux puis je l’embrassai une autre fois, cette fois, simplement parce que j’en avais envie. Elle avait des lèvres très douces et j’aimais bien l’embrasser. Lorsque je pus à nouveau respirer normalement, je relâchai ses poignets, l’enlaçai de mes bras et je la serrai doucement contre moi, le cœur encore battant de la colère que j’ai eue.

-Je ne veux pas que tu te fasses du mal pour des raisons aussi futiles qu’un simple contact. Tu peux me toucher sans que je ne sois forcé de te le demander. Tu peux même m’enlacer ou m’embrasser si ça te fait plaisir. Tout ce que je risque de faire, c’est apprécier.

Je restais encore un moment en silence. Après quelques secondes, je soupirai et continuai de la câliner doucement, réfléchissant. Puis je regardai la jeune femme. Je souris gentiment avant de caresser une mèche de ses cheveux noirs.

-Je dois être un bien piètre maître à tes yeux.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le lundi 13 juillet 2009, 09:22:18
Mon maître regarda avec des yeux effrayé, pourtant il n'y avait pas de quoi l'être, je n'avais fait que compléter la punition de mon maître. Aussi je fut surprit quand il posa ces lèvres sur la plaie et le lécher comme un chat l'aurait fait pour une blessures, le plus étrange c'est que je sent un picotement au niveau de ma blessure et elle se résorba très vite, je regarda mon maître toujours avec le sourire et me prit une  baffe. J'avais tournée la tête par réflexe, déposant ma mains sur l'endroit où il m'avais frappé. Il m'avais aussi dit que j'étais une idiote, mais je suis habituée à ce que l'on me le dise,rare était les personnes qui comprenaient ma complémentarité de la punition.

Puis mon maître me plaqua sans prévenir contre un mur froid, les poignets entravé, par ces mains, contre la brique qui refroidissait la chaleur de mon ancienne blessure. Mon maître me sermonna sur ma façon d'agir, j'eus à ce moment un regard qui montrait que je ne comprenais pas pourquoi il était énervé et aussi pourquoi il ne comprenais pas ma façon d'agir. J'assimilai quand même ce qu'il dit et répondit en bonne esclave.

- Une bonne esclave doit savoir où est sa place et prendre les dispositions si nécessaires, mais si mon maître m'interdit de me punir, alors j'obéirais à mon maître.

Et après ma réponse mon maître m'embrassa de nouveau, me laissant mes poignets libre,comme je sent ces bras m'enlacer et que son coeur est assez rapide, je décida de mon propre chef de l'enlacer aussi pour le calmer, puis mon maître rompit ce doux baiser et ma donna la permission de pouvoir le toucher et même l'enlacer ou l'embrasser. En bonne esclave je donna ma réponse.

- Bien maître.

Mon maître resta silencieux devant ma réponse et semblai occupé à réfléchir, je ne fais aucun mouvement pour le déconcentrer et me laissa caresser par mon maître. Puis il me demanda de manière non interrogatif si il était un bon maître à mes yeux.

- Je ne suis pas disposée à contredire ou faire de réflexion envers les actions et les dires de mon maître. Je sert mon maître de la manière qu'il l'entend et comme il le veut, tel est le but d'une bonne esclave.

Je n'ai pas de jugement à faire sur mon maître, si il choisit d'être doux avec moi c'est sont choix, si il veut me punir à chaque faute, c'est aussi sont droit. Je sert mon maître pour rendre sa vie agréable.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le lundi 13 juillet 2009, 18:25:47
Je soupirai. Elle était vraiment ancrée dans l’esclavage. Selon elle, le moindre contact avec moi sans ma permission aurait été une horrible erreur… si tel est le cas, imaginez ce qui se passerait si elle brisait un vase, ca serait un miracle si elle ne se pend pas. Lorsqu’elle m’a enlacé d’elle-même, j’étais sur qu’elle se serait griffé le visage, ce qu’elle n’a pas fait, fort heureusement… me faudrait vraiment un mode d’emploi pour savoir comment ça pense, un esclave. Avant, j’étais soumis, oui, mais je ne devenais pas un coffre qui accordait tous les désirs et plaisirs de celui qui le portait partout. Lorsqu’elle me dit qu’elle ne pouvait pas me contredire ou être d’accord avec moi, j’ai faillit éclater de rire.

Depuis que je suis ainsi, je n’ai plus vraiment de facilité à comprendre les sentiments des autres. Abigaëlle est supposée être phobique de toute punition qui lui était par un « bon » maître, alors je ne comprends pas pourquoi elle est capable de s’infliger elle-même de telles punitions sans le concours de qui que ce soit. Dans mes réflexions, j’étais encore dérangé par les regards des gens qui désiraient avoir mon esclave. Non mais vraiment, s’ils avaient eu la brillante idée de l’acheter avant moi, je n’aurais pas la demoiselle à mes cotés. J’avais vraiment une horrible envie de les empaler sur des pics sorti de nulle part. Pour éviter une catastrophe, je passai mon bras autour de ses épaules et me mis en marche vers une rue circulaire.

-Il y a un endroit que j’aimerais te montrer et où nous serons tranquilles, pour parler et réfléchir. Je pense que ca nous ferait du bien d’être que tous les deux pour discuter

C’était un endroit inaccessible si on ne savait pas grimper les murs. Maintenant, il me suffisait d’un saut et j’atterrissais en plein sur l’endroit, mais puisque j’étais accompagné de mon esclave, je la pris dans mes bras, la soulevant de terre, comme si je portais une princesse, et je sautai de balcon en balcon pour passer entre le croisement des bâtiments d’une rue circulaire avant de me laisser retomber de l’autre coté. C’était un petit espace que j’avais emménagé du temps où j’étais encore un simple semi-monstre qui se cherchait encore une bonne raison de vivre.

Ce lieu que je considérais comme paradisiaque était de forme triangulaire, situé entre deux bâtiments qui se rejoignait en angle et la muraille protégeant la ville des créatures hostiles de l’extérieur. Il y avait là un lit à baldaquin aux draps gris protégé de la plus par une toile, un banc que j’avais fabriqué, une table en bois de chêne qui venait d’un magasin à trois rues d’ici, des chaises de la même constitution et partout sur le sol, on pouvait voir des milliers de fleurs. J’ai déjà songé à les détruire, mettre du ciment, mais les fleurs sont d’excellents points de ralliement pour rassembler nos pensées quand on est préoccupé. La lumière du soleil entrait toujours dans l’endroit grâce à des miroirs placé sur le bord des maisons cubiques. Les plantes en étaient ainsi bien fournie et moi, je pouvais avoir le chauffage gratis.

J’emmenai mon esclave vers le lit, m’emparant d’une chaise de la table au passage. Doucement, je la fis asseoir sur le matelas avant de poser mon propre derrière sur la chaise de bois. Je lui souris doucement.

-Nous sommes seuls, maintenant. Tu n’as pas à te comporter en esclave, ici, tu es un être humain. Alors, parle-moi franchement de toi et de ce que tu penses.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le lundi 13 juillet 2009, 19:47:28
Mon maître sembla satisfait de ma réponse, il posa ces épaule autour de mes épaules et me fit marcher, avec mon maître à mes côté, qui se dirige vers un rue qui avait une forme circulaire. Mon maître me dit qu'il voulait me montrer un lieux qui, au son de sa voix avait vraiment une grande importance à ces yeux.

Mon maître s'arrêta devant un mur escarpé qui n'avait que un seule chemin possible, et il était lui même assez dangereux de le pratiquer. Je voulut dire à mon maître que je pouvait arriver à monter, mais il me surprit en me portant dans ces bras, l'une serait mes épaules, l'autre me prenait sous les genoux, pour permettre à mon maître de mieux se mouvoir, j'enlace mes bars autour de son cou. Mon maître sauta, montrant une puissance dont je n'avais nullement connaissance, il était fort, mais ne le montrait pas. Je sentais le vent effleurer mon visage et une larme coula, je le laisse partir le long de ma joue, je ne sait pas pourquoi cette larme était là, sans doute un impression que mon corps avait apprécié dans le passée. Mon maître arrêta son ascension et se fit glisser dans une chute contrôlée.

Nous arrivâmes dans un espace qui était vraiment bizarre, la lumière était apportée continuellement par des miroirs et la végétation faisait office de carrelage, il y avait de quoi vivre assez sainement, l'odeur est agréable et compense avec harmonie le manque d'espace. On ne se sentait pas prit entre trois murs et je pouvais sentir tous les sentiments qui imprégnaient ce lieu. Il y avait du désespoir, une recherche sans fin et en même temps une réponse dont je ne percevais pas le sens.

Mon maître me fit m'assoir sur le matelas, mes pied foulant les fleurs qui étaient douce, je me sentais bien dans cette endroit, mais je ne le montrai pas. Une esclave ne devait pas être plus heureuse que son maître. Puis il me dit quelque chose qui me fit de la peine, des larmes commencèrent à perler mes yeux, sans pour autant couler. Je me devais de répondre à mon maître, même si ma voix montra ma peine.

-Qu'est-ce que j'ai fait de mal pour que vous ne vouliez pas de moi maître ?

Avec mes mains je sera le pan de ma robe, à cette instant les larmes retenus tombèrent sur le morceau de tissus l'imbibant. remarquant ce moment de faiblesse, j'essuie mes larmes avec le revers de ma manche, puis je fit mine de sourire et répondit aux attente de mon maître.

- Je n'ai pas grand chose à dire sur moi, j'ai vécu depuis aussi longtemps que je me souvienne, c'est à dire sept mois, avec les autres esclave, là j'ai apprit tous ce qu'une esclave devaient savoir, même les plus ancienne maîtresse-esclave me firent des compliments sur ma vitesse d'assimilation, je connais l'art de la couture, la musique, la cuisine, le nettoyage, quelque arts martiaux de protection, pour protéger mes futurs maîtres, je sais jouer à beaucoup de jeux demandant de la vivacité et de la réflexion, comme le shogi ou le go. Je suis assez instruite pour faire tous se qui nécessite des connaissances ...

Je fit un temps mort pour poser ma main sur mon cœur qui me faisait mal, je ferme les yeux et respire lentement jusqu'à voir les pétales de la plus éloignées des fleurs bouger avec le vent, dans mon esprit, de l'extérieur on pouvait voir une aura émeraude apparaitre et  converger vers mon cœur (Il s'agit du ki de Fiela). Je sentit la douleur s'apaiser et rouvrit les yeux.

- Mon corps est faible, c'est pour cela que des fois je sent une douleur, je suppose que cela est du à mon passée, je pense que mon moi du passée a du faire un pacte ou quelque chose de ce genre avec une créature démoniaque. Comme je le disait maître, j'ai suffisamment de connaissance pour pouvoir être un bonne servante ou une secrétaire.

J'utilise le mot servante pour tenter de comprendre pourquoi mon maître n'aimais pas que je sois son esclave.

- Pour ce qui est de ce que je pense, je pense que vous êtes spécial, comme-ci vous n'étiez pas totalement humain.

Je me rendit compte de l'insulte que j'avais proféré et me releva en l'inclinant et en disant.

- Veuillez excusez mon isolence.

Je resta comme cela en attendant ce que mon maître allait dire, des larmes recommencèrent à couler, mais ceux-ci venaient de mon cœur qui voulait que mon maître m'accepte en tant que esclave, car c'était pour cela que j'avais vécu ma courte vie.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le lundi 13 juillet 2009, 20:41:11
Ce que je lui ai demandé lui a fait verser des larmes de tristesse. Je ne comprenais pas pourquoi une esclave avait tant de mal à se faire traiter en être humain et pas en objet qu’on peut acheter, vendre, donner, recevoir et même abuser sans cesse. Lorsqu’elle me demanda pourquoi je ne voulais pas d’elle. C’était loin d’être le cas, pourtant, sinon, je ne l’aurais pas achetée. Elle expliqua tout ce qu’elle savait, j’en pris bien note, puis, elle se mit à dégager, à ma grande surprise, une lueur verte à laquelle mes yeux réagirent. Je savais maintenant qu’elle était spéciale. Elle continua de parler de ses capacités et me regarda, me disant qu’elle se doutait que je n’étais pas totalement humain avant de s’excuser de ces paroles. Je souris doucement et je me levai. Je pris délicatement son visage dans mes mains avant de l’embrasser doucement, allant une nouvelle fois rencontrer sa langue de la mienne, posant ensuite mes mains sur ses bras pour l’empêcher de reculer, oubliant que même si elle le voulait, elle ne le ferait pas. Ce baiser dura un moment avant de se briser et je la regardai dans les yeux, avec douceur.

-Contrairement à ce que tu crois, je veux de toi. Et tu as raison, je ne suis pas humain. Moi-même, j’ignore ce que je suis. J’ai perdu, comme toi, mon identité après un évènement marquant. J’ai aussi vu que tu es également spéciale et que quelque chose en toi. Si tu veux que je te traites en esclave et que ca te rend heureuse, alors, je le ferai, mais à ma manière. Ne t’inquiètes pas pour mes sentences, elles sont égales à l’erreur que tu as commises et à la valeur que j’accorde à cette erreur. Et pour ce qui est de ta remarque sur ma race, tu m’as obéit, alors, je n’ai pas à te faire du mal pour m’avoir dit franchement ce que tu pensais. Je préfère ça à du léchage de botte.

Doucement, je l’obligeai à s’allonger sur lit et je l’incitai de mes bras à passer les siens autour de mon cou et je l’embrassai à nouveau, soutenant sa tête d’une main et sa hanche de l’autre. Certes, je n’avais pas l’intention d’aller trop loin, puisque je me doutais que les traitements infligés par Don ont du la marquer. Peut-être que son esprit a oublié, mais son corps s’en souvient parfaitement. Je ne peux pas lire les pensées, mais je peux analyser celles-ci en regardant les airs du visage ou les réactions du corps. Tout ça est enfermé dans un bouquin que j’ai laissé à ma nouvelle propriété. Cependant, je commençais à me demander si une esclave devait obéir à tous ceux qu’elle rencontre. Après ce baiser, je la regardai encore une fois.

-Alors, accepte-tu que je te gardes où veux-tu que je te trouves un nouveau maître, plus strict et mauvais que moi?Personnellement, j'aimerais te garder avec moi, si possible...
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le lundi 13 juillet 2009, 21:39:26
Je put sentir les mains de mon maître me prendre avec douceur mon visage et ces lèvres entrer en contact avec les miennes, ainsi que ma langue frôlée par la sienne, les dernière larmes finirent de couler et je me laissa faire. Mon maître me prit mes bras comme pour m'empêcher de reculer, mais je ne pouvait pas, mon maître a les pleins pouvoir sur mon corps. Je ferma les yeux pour ressentir toute l'intensité de ce baiser qui dura une éternité, quand l'embrassade fut brisée je rouvrit les yeux et entendit ce que mon maître me dit.

Dans mon esprit il y eus comme une fissure, d'un côté je me dis que si mon maître avait réussit à être aussi fort, je pourrais essayer de le devenir, mais de l'autre côté du miroir je voyais bien qu'il ne me considèrerais jamais pleinement comme une esclave. Mais en tant que esclave je me devais de remplir mes obligations présente, c'est-a-dire, faire plaisir à mon maître.

Je laisse mon maître m'allonger sur le lit, je me laisse faire, tels un poupée de chair sans vie. Mon maître me fit passer mes mains autour de son cou et me donna un autre baiser. Je peut sentir une de ces mains me tenir la tête et une autre me prendre avec douceur ma hanche. Mon corps frissonna de peur et voulut se débattre pour sortir de  l'étreinte, mais mon esprit l'entrave complètement.

Mon corps avait toujours réagit de cette manière, comme-ci il rejetait un quelconque attouchement, les maîtresse-esclaves m'avaient vite apprit que mon corps avait du subir un choc lors d'un rapport sexuel et qu'il voulait se défendre contre ce genre d'agression, Cinq mois de travail forcé suffit pour que mon esprit prenne le dessus sur ce corps qui repoussait tout amour.

Mon maître me posait une question qui me posa quelque problème. Je respira calmement et répondit avec franchise.

- Je crois, mon maître, que je ne suis pas l'esclave qu'il vous faut, une autre plus jeune ou chétive pourras sans hésiter comprendre votre douceur et votre amour, mais laissez moi 24 heures de réflexions et je vous donnerais ma réponse définitive.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le lundi 13 juillet 2009, 22:51:08
Je vis alors qu’elle n’avait aucunement envie que je la touche de cette manière. Il n’en fallut pas plus pour que je m’arrête. Elle me dit alors qu’elle ne croyait pas être l’esclave faite pour moi, qu’il m’en faudrait une autre, plus fragile, qui serait capable de comprendre ma douceur et mon « amour ». Ce mot me fit alors reculer et me lever. Je sentis la colère monter en moi. Je la regardai, mes iris s’illuminaient d’une légère lueur bleue électrique, preuve évidente de mon déplaisir. L’amour était pour moi une putain de connerie qui se brise aussi facilement qu’un baiser.

-Je suis loin d’avoir besoin qu’on me comprenne. Je t’ai dit que je voulais que tu restes à mes cotés, c’est tout. Si tu n’aimes pas la douceur, parfait, je peux me retenir. Je te traiterai comme un objet.

La lumière se dissipa après une seconde. Mon visage était maintenant à nouveau figé dans cette douceur feinte que je m’efforçais de lui montrer, mais empreinte de douleur et de tristesse. Je ne croyais plus du tout en l’amour. L’attachement, l’affection peut-être, mais l’amour… j’ai vraiment trop de mal à y croire. Pour me calmer, je sortis un bouquin de mon sac de voyage, j’allai m’asseoir sur une chaise plus loin et je me mis à lire. Même quand les gens me sont liés, ils ont tous envie de partir, alors, si elle voulait vraiment partir et ne plus me revoir, elle le pouvait. La froideur que j’avais en quittant la montagne de Xatiav était revenue. Mais cependant… au fond de moi, je n’avais pas du tout envie qu’elle parte. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai envie de protéger quelqu’un et cette fille ne semble pas capable de résister aux punitions de ses maîtres. Évidemment, elle prévoyait probablement partir cette nuit, mais je n’avais pas l’intention de la laisser retourner au marchand. Je fermai les yeux.

-Sache cependant que si tu veux partir, tu peux essayer, mais je t'en empêcherai. Je ne t’ai pas achetée pour ton beau visage, je t’ai achetée parce que tu as du talent et parce que je te voulais. Et en plus, maintenant, tu m’intrigues, alors, j’ai très envie de savoir le secret qui se cache derrière ton esprit endolori.

Sur ce, mon état de demi-transe se manifesta et je laissai mon corps se reposer en laissant mon esprit éveillé, surveillant mon esclave. Je suis à la fois le pire et le meilleur des maîtres. Je n’ai pas l’intention de laisser cet homme récupérer mon achat, il ne connaissait pas sa vraie valeur. Son véritable elle-même restait en elle et elle avait réussi à piquer ma curiosité. Je ne laisserai personne lui mettre la patte dessus, personne. Sortir d’ici était nettement plus facile que d’y entrer, si on remarque qu’il y a une échelle pour grimper sur un bâtiment. Il suffisait ensuite d’arriver à m’échapper… impossible, en fait. Mais essaye, Aby, et mènes-moi à l’entrepôt du marchand d’esclave.

Le ciel se voilait déja de ténèbres et  moi, je faisais pareil, conservant le silence désagréable que je venais d'installer entre nous. Je doutais fortement qu'elle vienne me voir et me demander pardon, mais ne sait-on jamais ce qui va se passer. Je ne peux qu'espérer...
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le mardi 14 juillet 2009, 00:03:04
Je fus surprit de la réaction de mon maître, avais-je dit quelque chose qui avait meurtri son cœur ? Le regard de mon maître changea aussi, il était plein de colère, presque de la rage sans pour autant l'atteindre. J'allais présenter mes excuse mais il me cria dessus, je resta immobile en attendant la suite, prêt à m'en prendre une.

Mon maître prit une chaise et mit de la distance entre lui et moi, il préféra se venger sur un livre. Mon maître allait mal, cela se voyait, aussi j'utilisai mon intuition, enfin je l'appel comme-ça, mais mon ancien moi avait apparemment la faculté de savoir à quoi pensait une personne en analysant les moindres détails. J'en avais héritée, même si c'était très dure pour moi de le faire.

De son aura glacial, je présumais qu'il avais du perdre quelqu'un d'important il y a peu. Ses yeux dévoilaient qu'il était en train de penser à quelque chose qui semblait me viser. Il était impossible qu'il sache que j'allais partir ce soir dans la nuit.

Pourquoi fuir ? Je ne voulais pas qu'il souffre encore de me faire du mal ou qu'il tente en vain de me rendre heureuse. Son malaise quand il m'avais giflé était resté gravé en moi, il était trop doux pour avoir une esclave comme moi et même si il disait vouloir me prendre comme un objet, son esprit ne le supporterais pas. Il n'avait rien d'un maître, il était plutôt une personne voulant prendre soin de ces esclaves.

Aussi la fuite permettrais de le calmer et de se trouver une esclave qui ne l'obligerais pas à se forcer. Mon maître ferma les yeux et me dit expressément que j'aurais beau m'enfuir, il me rattraperais et que je serais son sujet d'étude.

Puis il sembla tomber dans un état de sommeil éveillé, cela ne pouvait pas échapper à mes yeux entrainés, soit mon maître feintait de dormir, soit il voulait me garder à l'œil pour que je ne fasse pas de bêtise. Je regarde discrètement autour de moi et vit l'échelle. Pour moi deux possibilité était envisageable, le première était de fuir en utilisant l'échelle, mais rien ne dit qu'il y avait un mécanisme pour m'empêcher de monter, la seconde, plus dangereuse, était d'utiliser les fissures et les inégalité des murs pour escalader, mais une mauvaise prise aurait signé ma mort. Pour moi la fuite était un moyen de rendre service à mon maître, mais je n'attendrais que le soir, quand la lune sera clair.

Je ramena mes jambes sur ma poitrine, les enlaçant avec mes mains et  attendit cinq minutes en regardant mon maître, toujours en demi-réveil. Puis je me leva, une esclave devait toujours trouver de quoi s'occuper, en plus des corvée que son maître donnaient. Je fit le tour de la "salle" et trouva pleins de chose à faire, je releva les manche de ma robe et commença à arracher les mauvaise herbes, qui auraient tué les fleurs. Comme j'étais encore dans ma tenue d'esclave et à quatre patte, mon maître pouvait voir mes fesse et mon dos qui se moulais avec la robe.

Cela ne me prit même pas trois minutes, je voulut sentir l'odeur d'une fleur rouge avec une corolle jaune et à cet instant mon corps me fit encore mal, mais cette fois c'était encore plus douloureux. Je me coucha sur le côté et tenta de calmer la douleur, je ferme les yeux, mais la douleur est tellement intense que je n'arrive pas à me concentrer et la douleur commençait à devenir insupportable. J'essaye d'articuler une phrase, mais un murmure en sortait.

- Maître aidez moi .

De l'extérieur on voyait une aura irrégulière qui, loin de converger vers la douleur, semblait en sortir, le ki de Fiela s'emballait. Ce phénomène n'est pas rare, quand le ki est trop présent il doit s'évacuer et cela engendre des lésions souvent bénigne, mais comme Fiela n'avait pas connaissance de cette énergie en elle, elle ne savait pas la relâcher périodiquement et dans une situation comme celle-ci, le déchargement de son corps pouvait causer de très grave lésion, voir, si le taux de ki était trop important, causer la perte irréversible d'un sens.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le mardi 14 juillet 2009, 01:21:55
Je ne pris pas longtemps avant de me calmer. Lorsque ça se produit, un simple moment de silence me suffisait. Doucement, j’ouvre les yeux pour regarder l’esclave que j’avais nommé Abigaëlle dont le désir apparent était, pour ma grande déception, réellement de partir. Je soupirai, repliant une jambe sur ma poitrine, le talon sur le bord de la chaise, passant un bras autour pour la garder à cet endroit. Je n’avais plus les réflexes pervers que j’avais du temps où j’étais adolescent, alors, voir les fesses de mon esclave au travers de son habit bien trop fin ne me faisait pas grand-chose… enfin, presque. J’aurais pu rougir, mais je ne pouvais pas le faire, tout simplement parce que mon corps ne le pouvait pas. Au bout d’un moment à la regarder arracher les mauvaises herbes, je remarquai un truc inhabituel. L’aura d’émeraude devenait complètement dingue. Le corps d’Abigaëlle ne pouvait plus contenir cette énergie. La jeune femme se mit sur le sol et m’appelait à l’aide. Sans hésiter, je me levai d’un bond et je me ruai vers elle.

Je savais ce qui se passait. Elle n’arrivait pas à relâcher d’elle-même ce ki pour évacuer le surplus trop important. Je savais également que si elle ne le relâchait pas bientôt, elle allait être très endommagée. C’était le moment de l’aider. Doucement, je lui relevai la tête vers moi et je plongeai mon regard dans le sien et aussitôt, de petits éclairs verts quittèrent ses yeux vers les miens. Je sentais l’énergie qui n’était pas la mienne entrer en moi et je m’occupai de la relâcher pour elle. L’énergie verte qui émanait de moi se dispersa et quelques fentes s’ouvrirent dans ma chair, tellement c’était beaucoup. Comment avait-elle pu garder une aussi formidable énergie en elle sans exploser? Les déchirures sur ma chair se dévoilaient sous ma chemise blanche, maintenant que le sang y perlait. *Ca… ca ne guérit pas!?* C’était la première fois que mes blessures ne se régénéraient pas. Mais qu’est-ce qui vient d’arriver? Je pris un moment pour réfléchir. D’après moi, l’énergie que j’ai accueillie puis rejetée a peut-être temporairement neutralisé mon pouvoir de régénération. Bah, comme quoi tout arrive au mauvais moment, je soupirai et je laissai mon sang sortir de ma chair sans même y prêter attention, une fiole remplie du liquide de régénération sanguine étant dans ma poche, je n’avais rien à craindre. Je regardais mon esclave, ma respiration un peu accélérée par la douleur que je m’efforçai d’oublier, avec attention.

-Après ça, tu veux que je te laisse partir? T’es dingue. Tu risques de crever plus qu’autre chose.

Ma voix semblait indifférente, mais en faite, j’avais plutôt envie de lui demander si elle allait bien, si elle ne souffrait plus, mais je savais qu’elle le prendrait mal, comme si je ne la traitais pas comme une esclave et ca renforcerait son envie de partir. Moi, je ne voulais pas qu’elle s’éloigne. Je n’avais vraiment pas envie d’être seul à nouveau. Je la soulevai dans mes bras, la portai dans le lit, la glissai sous les chaudes couvertures. Avant de me détourner d’elle, je lui fis une pichenette sur le front. C’était sa punition pour m’avoir tiré de mes pensées pour lui sauver la peau.

-Maintenant, tu me dois ta santé, Abigaëlle. Et ce que je veux, en échange, c’est ta présence auprès de moi… repose-toi, maintenant.

J’allai faire un pas quand je tombai à genoux, pratiquement vidé de mon sang. Je fouillai dans ma poche pour la potion, la sortit, mais elle était presque vide… le bouchon avait foutu le camp. Je portai le reste à ma bouche et je le bus. Aussitôt, le sang se fit plus dense dans mes veines.

-Avant de dormir, viens panser les blessures de ton maître.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le mardi 14 juillet 2009, 09:01:50
Je sent que mon maître vient vers moi, j'étais très faible et il me prit la tête pour établir un contact visuel et vit avec étonnement que quelque chose de vert se dirige vers les yeux de mon maître et apaise ma douleur et lui inflige des blessures sur le torse. Quand il me sermonna je baissa la tête en marmonnant.

- Je suis désolée maître.

Décidément je n'en ratais pas une avec ce maître. Il me prit et me dépose sur le lit rabattant els couvertures chaudes sur moi, puis il me donna un petit coup avec son doigt sur le front, qui plissa un peu, en me disant que je lui devais la santé et qu'il voulait que je reste avec lui, cet accidents avait bouleversé mes plans, je ne serais jamais prête pour ce soir et j'avais une dette à payer avant de vouloir éventuellement partir.

Puis je le vit s'affaisser sur ces genoux, je sortie des couvertures, avant même qui me le dise, déboutonna sa chemise et examina les blessures, elles n'étaient pas trop nombreuse et elles saignaient car elle étaient sur le passage de canaux sanguin qui avaient un grande pression. Je regardai autour de moi et voie des bandages, et des cotons, mais pas de désinfectant, je m'approcha des plaies en pose ma langue, avec de la salive, c'était le meilleur désinfectant que j'ai à disposition, je crut voir une faible étincelle apparaitre quand ma langue entrai en contact avec sa blessure. J'imbibe de salive les coton que je plaçent sur les plaies et fit un bandage parfait sur le torse de mon maître. Il pouvait se mouvoir sans que cela le gêne et c'était assez serré pour permettre un bon rétablissement, je lui prit un bras que je mit sur mes épaule et l'amena sur le lit, la santé de mon maître était plus important que la mienne. Je rabat les couverture en lui disant.

- Veuillez resté allongé jusqu'à ce soir mon maître,  si vous voulez quelque chose dites le et je le ferais à votre place.

Je remarqua que quelque chose de chaud parcourait mon poignet. Je releva la manche et vit un drôle de signe, il ressemblait à une succession de flamme qui s'enroulaient chacun sur eux même de manière différente, le tous encerclais mon poignet. Me sentant faible, je m'allongea sur le sol et sans que je m'en rende compte je m'endormit.

N'ayant aucune connaissance en alchimie je ne savait pas que cela voulais dire "corps divin". D'après des rumeurs, un alchimiste aurait fait une transmutation pour permettre un jour d'enfermer une déesse ou une reine démon dans un corps, cette action lui avait couté la vie ainsi que celui de sa femme, on ne sait pas où est passez leur fille. On raconte qu'une déesse se laissa enfermer dans le corps de la fille pour lui prodiguer les soins d'une mère et que cette humaine pourrait un jour avoir le rang de déesse  ou de reine des démons en éveillant ces pouvoir latents, mais ce n'était que des bruits de couloir jusqu'à présent. La Fiela de maintenant était tous ce qu'il y avait d'humain ou presque.

En tous cas cela expliquerait plein de chose comme la quantité de ki en elle ou le fait que la régénération des blessure de Kamui soit deux fois plus rapide que sa régénération normal, ainsi que la faiblesse du corps de l'esclave.

Kamui put observer aussi un changement d'aura, pendant une fraction de seconde il devint dorée et retourna ensuite sous sa couleur d'émeraude, mes blessures avaient quand à eus disparut, dans la position où je m'étais endormit on aurait dit un ange étant tombé de son paradis. Mon corps étaient une peu à l'air à cause d'un petit vent tourbillonnant qui releva un peu ma robe, mais la végétation du sol offrait chaleur, donc ma peau ne frissonna pas.

Je n'eus pas le plaisir de rêver, je m'agitais dans mon sommeil, je commençais à faire le cauchemar que je redoutais. Je suis dans un espace envahit par les ténèbres, puis je vois le katana, qui semble m'appeler, mais je n'entend pas le nom, puis il y a un bruit de cassure et un crie inonde ces ténèbres. Je me réveil en sursaut et en sueur, mon corps tremblant encore de ce mauvais rêve. A force j'étais habitué au manque de sommeil, mais j'avais aussi l'habitude de verser quelque larmes pour le katana comme-ci c'était d'important à mes yeux, mais je sécha vite ces larmes, c'était stupide de pleurer un armes qui se brisait.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le mardi 14 juillet 2009, 16:18:30
Effectivement, je n’avais jamais prévu de me blesser ainsi. Je me suis toujours reposé sur mon pouvoir pour me régénérer dans les cas d’ouverture de ma chair, mais là, il me fait défaut. J’ai sentit Abigaëlle se précipiter sur moi. Elle examina mes blessures. À cause le fait que j’ai manqué de mourir, je l’ai inquiétée et elle s’occupa de moi. Comme désinfectant, elle alla, pour mon surprenant rougissement, lécher mes plaies, comme l’aurait fait un chat. Étrangement, chaque contact de sa langue sur ma peau me faisait frissonner. Un filament électrique parcourait mon corps, comme si sa salive m’anesthésiait. Lorsqu’elle eut fini de me soigner, elle m’aida à me lever et elle m’allongea sur mon lit pour, à mon plus profond agacement, se coucher elle-même sur le sol. Elle ne prit même pas une seconde pour s’endormir. Aussitôt, je tendis le bras, l’agrippait par la robe qui se rompit. Je grommelai, mais c’est quoi cette plaisanterie? Elle se retrouva nue, me rendant tout rouge. Donc, puisque je ne pouvais pas la laisser sur le sol encore moi que la seconde précédente, je m’assois, la soulevai dans mes bras et l’attirai sous les couvertures. Je vis à ce moment-là quelque chose sur son poignet. Quelque chose que je n’ai pas vu depuis un sacré bout de temps. Cette fille… est une alchimiste-née. Ce sceau est la preuve que quelque chose a été scellé en elle. Je ne pouvais dire si c’était bien ou mal, ce qu’elle gardait en elle, mais en tout cas, cette chose lui fait du mal. Ce que je vis alors à ce moment-là me tétanisa d’admiration. Une belle aura dorée, comme si une déesse venait de s’infiltrer en elle pour la faire rayonner. J’étais tout simplement émerveillé. La lueur s’estompa aussi vite qu’elle est arrivée. J’étais tout ce qu’il y a de plus étonné par ce que je venais de voir. Ai-je halluciné?

Cependant, je sentais une espèce de jalousie en moi. Moi, qui a du travailler pendant deux ans pour avoir la puissance que j’aie acquise, un alchimiste-né peut me surpasser en quelques heures. Certes, je ne l’empêcherai pas d’apprendre les secrets qui sont son héritage… dans la mesure où ce qu’elle apprend ne risque pas de la tuer ou de détruire quelque chose. Après tout, même une fille d’alchimiste doit apprendre les bases, soit le principe de l’échange équivalent et les lois qui sont connaître, détruire et reconstruire la matière. Je la sentis commencer à s’agiter dans son sommeil. Je la serrai contre moi, conscient bizarrement qu’elle faisait un cauchemar. Je ne la réveillai cependant pas, car dans c’est dans ces cauchemars qu’on affronte ce qui nous fait peur et comme quoi je cauchemarde souvent… Comme un enfant qui voit un truc horrible dans ses rêves; à force de le voir, il devrait être capable de ne plus en avoir peur du tout, même s’il le voit en réalité.

La lune était maintenant bien haute dans le ciel. Ce qui allait se passer, je n’en étais pas sur. Elle ne m’a pas encore donné sa réponse définitive. J’avais très envie de la garder à mes cotés et peut-être d’en faire mon apprentie, si elle le désire. Tout comme Xatiav l’a fait avec moi, je lui montrerai ce qu’elle peut regarder et ce qu’elle ne peut pas regarder. Je l’emmènerai à la montagne et je lui ferai lire l’infinité de bouquins qui y étaient. Dans ses gênes, je savais qu’elle pouvait déchiffrer d’elle-même la langue d’Éden, ce serait si simple pour elle de tout comprendre, car sa capacité d’assimilation ne faisait aucun doute, elle apprendrait vite. Imaginez ce que nous pourrions faire ensemble… en espérant qu’elle ne soit pas claustrophobe, puisque les espaces sont très sombres et elle n’y verra pas grand-chose, puisqu’elle n’est pas un monstre… en fait, c’était surtout ce que je lui enviait. Être humain et ne pas avoir à me poser sans cesse la question : Que suis-je?

J’attends maintenant son réveil, qu’elle me donne sa réponse et ses désirs.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le mardi 14 juillet 2009, 17:49:44
Pendant dix minute mon esprit était dans le brouillard. J'essaye en vains de comprendre mon cauchemar, pour qu'il cesse de me tourmenter toutes les nuits. J'avais l'impression que quelque chose voulait entrer dans ma tête, j'entendais une berceuse qui restait gravée dans ma tête même si je ne comprenais absolument rien de qu'elle disait.

Une fois mon esprit pleinement éveillé, je constate qu'il me manquait quelque chose, ma robe et j'étais sur le lit de mon maître, de plus j'avais l'impression que l'on m'avait prit mon poignet où était apparut la drôle de marque. Je me retourna lentement et vit mon maître qui me regardait, comme-ci il  attendait un réponse.

Je me rappela que je lui avais demandé un délai pour lui dire ma réponse, dans ces yeux je pouvais voir qu'il savait quelque chose à propos de cette marque. Je pose mes bras autour du cou de mon maître et dit.

- Je veux rester avec vous toutes ma vie maître Kamui.

Puis je l'embrassa avec douceur et sensualité, cela dura deux minute, ma jambe droite remonta doucement vers son corps. Je voyais bien que ma réponse lui avait plus, alors je me permit de demander.

- Vous savez ce que c'est maître ?

Je lui montra ma marque au poignet. De tous les langages que j'avais apprit, aucun ne me permettait de comprendre ce que c'était, même les sceaux n'avaient pas ces formes, je ne savait pas encore que j'allais entrer dans un autre monde où tous était possible à condition de garder équilibrer le balancier de la nature.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le mardi 14 juillet 2009, 19:10:07
Elle s’était réveillée au bout d’un moment. Après un moment pour qu’elle recouvre ses sens, elle m’a regardé. Elle a du voir quelque chose dans mes yeux, parce qu’elle n’a pas hésité très longtemps à me dire qu’elle voulait rester à mes cotés pour toujours avant de m’embrasser. Je figeai un moment, surpris, puis je passai mes bras autour d’elle en lui rendant ce baiser bien plus doux quand elle le faisait d’elle-même. Le baiser dura un moment et j’en perdis pour la première fois depuis longtemps la notion du temps. Je ne savais pas s’il était plus lent ou si c’était moi qui étais plus rapide, mais il me semblait que tout était au ralenti. Les baisers volontaires me faisaient encore cet effet, même si je ne voulais plus y croire. Elle me posa alors une question, concernant les symboles sur son poignet. Je soupirai de soulagement, j’avais eu peur qu’elle me demande pourquoi elle était nue. Je pris doucement le poignet de mon esclave.

-Il s’agit d’un sceau et d’un message. Il signifie : Corps divin. Ce qui veut dire qu’en toi, il y a quelque chose de puissant, qui pourrait t’accorder la place d’une déesse ou une reine maléfique… et même d’une maîtresse de l’équilibre, si tu le souhaites.

Je souris, amusé. J’étais devenu une sorte de professeur, c’était bizarre. D’habitude, c’est moi qui n’arrête pas de poser des questions et là, je réponds à une des questions qui m’a été la plus longue à trouver la réponse. J’ai toujours voulu savoir si la transmutation d’énergie ou d’entités étaient possibles, j’en avais maintenant la preuve vivant

-Ca veut dire que tu es aussi l’enfant d’un alchimiste. De par ton sang, tu es à même ma supérieure. Une haute-née. Si tu le désires, je t’apprendrai à te servir du don de ton parent qui possède le don de transmutation.

Ce qui voulait dire que dans un certain sens, elle pouvait me demander certaines choses et j’étais obligé de l’aider. Par exemple, si elle voulait apprendre l’alchimie, lire mes recherches, etc, je devais le faire. Je restais cependant son maître vis-à-vis des choses normales, comme la cuisine, les travaux normaux, quoi. Elle est peut-être la dernière fille d’alchimiste sur cette terre. Moi, j’ai appris l’alchimie, elle ne coule pas dans mes veines et est donc moins puissante chez moi que chez elle. Doucement, je posai mes mains de chaque coté de ma belle esclave, soulevant mon tronc au-dessus d’elle. Je la regarde dans les yeux.

-Qu’en dis-tu? Ca t’intéresse?
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le mardi 14 juillet 2009, 19:48:32
Mon maître me prit délicatement mon poignet. D'après ce que mon maître me dit j'avais en moi une grande puissance, mais je ne comprit pas trop la différence entre une déesse, une reine maléfiques et surtout une maîtresse de l'équilibre. Ce que je savais maintenant c'est que j'aurais le choix de devenir un esclave plus  forte et que je pourrais mieux protéger mon maître.

Mon maître me dit que j'étais l'enfant d'un alchimiste et de se fait j'étais supérieure à mon maître, il me proposa même d'apprendre à m'en servir, il se mit au dessus de moi et me demanda si j'étais intéressée. J'ouvre la bouche en pensant à ma réponse, mais la phrase qui sortie fut tout autre.

- L'alchimie c'est une forme de magie, non ? C'est quoi la différence entre une déesse, une reine maléfique et une dame de l'équilibre ?

Je me rendit compte que j'étais un peu trop curieuse et préféra me taire. Il fallait cela dit que je réponde à la question de mon maître.

- Si cela ne vous ennuis pas, j'aimerais savoir ce que c'est et essayer de faire de mon mieux pour répondre à vos attentes
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le mardi 14 juillet 2009, 23:46:16
Je la regardai avec attention. Elle voulais que je lui explique mes précédentes explications. Je lui souris doucement et je m'assied donc à coté d'elle. Je restai un moment silencieux pour réfléchir à ce que je pourrais bien lui dire à ce sujet. Mon visage se crispa de concentration, mon esprit allant chercher un maximum d'information sur les quatres sujets que je devais lui donner. Je soupirai en me laissant tomber sur le matelas, ferma les yeux. Les informations s'affichaient sur mes paupières closes, comme si mes yeux étaient de mini-projecteurs. Les yeux fermés, je récitai ce que mes yeux avaient enregistré.

-L'alchimie est la science de l'échange équivalent. Nous ne pouvons créer quelques choses à partir de rien. La masse totale des ingrédients doit être obligatoirement la même que celle de l'objet une fois assemblé. Pour créer un objet, il faut connaître parfaitement les composants de celui-ci. L’alchimie est un outil, pas une arme.

Je regardais mon esclave avec un grand sourire. En fait, je crois fortement qu’elle ne s’en servira jamais à mauvais escient, j’en étais persuadé. Je me lançai ensuite dans une seconde explication. Les trois forces suprêmes qui régissaient le monde en une seule explication.

-Une divinité est une entité aux pouvoirs très élevés. Les divinités du bien cherchent le bénéfice du monde, tandis que celles du mal cherche sa destruction totale pour la refaire à leur image. Les divinités neutres, soit d’équilibre, agissent de leur propre chef, faisant le bien et le mal si elles le souhaitent, restant cependant des êtres vivants à l’abri des ravages du temps, mais vulnérable aux blessures de la chair.

Je lui souris.

-Personnellement, je te verrai plus en cette dernière.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le mercredi 15 juillet 2009, 00:17:38
mon maître s'assit à côté de moi, puis partie en pleine réflexion avant de m'expliquer rapidement ce qu'était l'alchimie, même si cela semblait compliqué à comprendre, mon instinct me disait que j'apprendrais vite, une question naissa dans mon esprit, mais j'écoutai la suite. Puis une fois ceci fait je récapitula à voix haute pour montrer que j'avais assimilée.

- Une divinité à de grand pouvoir et ne vieillit pas, mais peut se faire blesser. Elle peut apporter la félicité, la destruction ou les deux. L'alchimie est une science qui nécessite un équilibre des composants et de la création.

Je me mit la mains sur mon crâne, même si c'était assimilé, cela avais du mal à passer. Je ne savais pas pourquoi, mais je me sentais un peu mal, comme-ci j'avais passez trois nuit dehors attacher nue à un arbre. j'inspire à fond et expire tous l'air de mes poumon, dix fois de suite, cela avait la propriété de alimenter au maximum mon cerveau et retirer le stress qui me bloquait un peu le cou.

- J'ai bien comprit le raisonnement de l'alchimie, mais j'aimerais savoir, si l'on peut créer des objets, pourquoi n'avez-vous pas fait une marionnette ou une humaine qui serait comme vous l'avez façonné.

Je ne savait pas encore, que par mes parole, j'avais mit le pied dans un sujet que les alchimistes considéraient comme tabou.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le mercredi 15 juillet 2009, 00:56:29
La transmutation humaine, le péché ultime, l’extrême interdiction du monde des alchimistes. Elle m’avait demandé pourquoi je ne l’ai pas exécutée pour façonner une humaine ou une marionnette qui faisait tout ce que je désirais, qui était exactement comme je le voulais. Cette simple question s’enfonça dans mon cœur et le déchira. Je regardai mon esclave, une tristesse infinie dans les yeux.  Comme un enfant qui avait de mauvais souvenir, j’aurais bien voulu aller me lover dans ses bras pour calmer les tremblements qui naissaient des sentiments éveillés en moi. Je détournai les yeux.

-Parce que ma fille, qui avait la capacité de transmutation, a tenté de se créer un petit frère… sur la demande de mon maître qui voulait se débarrasser de la créature qu’il a lui-même créée avant de partir à tout jamais. Ma fille est née de l’alchimie… et elle est morte de la même manière.

Je tremblais beaucoup, mais ca se calmait peu à peu. Les souvenirs s’effaçaient à nouveau de ma mémoire, car je forçais mon esprit à ne pas garder ces mauvaises pensées, mais pas assez pour que j’oublie ma mise en garde. Je pris délicatement le visage de ma petite Abigaëlle dans mes mains et je plongeais mon regard dans le sien avant de l’embrasser tendrement.

-Ne transmutes rien sans que je sois là… parce que je ne veux pas qu’une autre personne vive cette chose affreuse qu’est la mort pas alchimie. Je ne veux plus jamais entendre ces affreux cris et te voir te faire avaler par la transmutation. Si juste un seul ingrédient te fait défaut, juste un, tu risques d’être dévorée pour combler le manque. Et… je ne tiens pas à te perdre…
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le mercredi 15 juillet 2009, 01:28:48
Je put remaruquer, que ma question avais dérangée et pire encore, il avait blessé mon maître. De son corps je pouvais voir des tremblements et ces yeux semblait refleter le néant, comme-ci à l'instatn même je l'avais tuée de tristesse.

Quand il m'expliqua ce qui était arrivé à sa fille, je posa une mains sur ma bouche pour cacher mon horreur, l'autre poing se serra tellement fort, que l'on pouvait entendre mes phalange craquer, si son maître avait été là, je l'aurait trucidé sur place. Ma vie importais peu, mais celle d'autrui était comme un frère ou une sœur. Je me calma quand il me prit le visage et m'embrassa, son baiser avait quelque chose de spécial.

Puis il me dit ce qu'il ne voulait pas que je fasse en utilisant un exemple assez fort pour me persuader du bon fondement de sa mise en garde. Je me lève et prit la tête de mon maître pour le déposer sur ma poitrine douce et réconfortante.

- Je suivrais votre enseignement à la lettre mon maître.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le mercredi 15 juillet 2009, 08:31:08
Lorsqu’elle me serra contre elle, je sentis mon cœur faire un bond. Je restai surpris un moment, les yeux écarquillés par mon étonnement, mais… ce contact était doux. Cette douceur en laquelle je ne croyais pas se manifestait encore une fois et faisait résonner mon cœur. Je n’ai jamais connu une tendresse si sincère et si réelle. Elle était chaude et son cœur battait doucement, comme un feu accompagné d’une légère musique. Je fermai les yeux et je me laissai doucement aller contre elle, si bien là. Elle m’assura qu’elle suivra mon enseignement à la lettre, je me détendais donc entièrement. Finalement, je commençais à apprécier la vie de maître, il y avait pas mal d’avantages à cette nouvelle existence, d’un coté comme de l’autre. De plus, elle n’agirait jamais avec hypocrisie ou par intérêt personnel… du moins, je crois.

-Merci, Aby.

Je persistais à lui donner ce nom, alors qu’elle était une entité suprême vivante. Je désirais vraiment savoir son vrai nom, au lieu de l’appeler ainsi sans être sur qu’elle aime celui que je lui ai donné. Mais je trouvais qu’il lui allait bien, je ne sais pas pourquoi. Je restai un petit moment ainsi la tête sur son torse, puis je me souvins que, par ma faute, elle ne portait plus rien. Ni soutien-gorge, ni culotte. Elle était totalement nue et moi, j’avais la tête contre sa poitrine bien ferme. Je reculai doucement et je lui caressai la joue. La nuit était finalement bien tombée, car la lune, au-dessus de notre tête, illuminait l’endroit. La lueur réelle de l’astre… Je souris.

-Allons sur ma ferme, maintenant… Mais avant de partir… Pourrais-tu revêtir le kimono que je t’ai fait acheter? J’aimerais voir s’il te va bien.

En fait, je voulais surtout qu’elle se vêtît pour que je ne me laisse pas aller et que je finisse par littéralement lui sauter dessus pour lui faire l’amour même si elle n’est pas totalement consentante. J’avais détourné le regard pour diminuer la tentation mais, tel que je me connais comme homme, je ne sais pas si je pourrais résister bien longtemps à celle-ci. Après tout, j’ai fait deux années complètes d’abstinence, il était donc normal que le sexe me soit plutôt difficile à résister. Ce qui me gênait, c'était ses capacitées. Si elle pouvait lire mes pensées, elle allait me prendre pour un sale pervers.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le mercredi 15 juillet 2009, 12:39:18
Mon maître semblait apprécier mon initiative au vue de sa tête qui voulait être le plus proche possible de mon cœur qui battait avec douceur. Je n'avais aucune gêne à sentir quelqu'un contre ma poitrine, ni où que ce soit d'ailleurs.

Cela me fit ressurgir mes souvenir de l'entrepôt, là bas je m'occupais de tous ce que les maîtresse esclave me disaient de faire, aussi j'avais développée un instinct maternel, ma douceur et mes formes naturelle servait à calmer le plus récalcitrant ou le plus peureux des esclaves. Aussi j'appréciais mon maître qui me semblait avoir comme tout humain des moments de faiblesse et je pouvait en tant que servante lui servir de baume. Ce dernier me remercia et me dit que nous allions à la ferme, mais que avant il voulait voir le kimono que j'avais achetée.

J'allai vers les sacs et sortie tous les éléments soigneusement pliés par la marchande, de là où était mon maître, il pouvait voir mon corps baigné par les rayon de l'astre lunaire. Je pose la ceinture sur la table, ainsi qu'un ruban qui semblait être gelé dans de la glace bleutée.

J'enfile, une culotte noire. Ensuite je passe sur mon corps le kimono consciencieusement, pour qu'il y ai le moins de plie, puis je prit la ceinture dont je place un morceau entre mes dans, pour avoir mes deux mains de libre, je fais ressortir mes cheveux, qui semblait être plus sombre et commence par ajuster la partie droite et ensuite la gauche. Vient enfin la ceinture, la marchande m'avais montrée un dizaine de façon de mettre la ceinture, allant de la façon traditionnel à le façon de séduire. comme mon maître aimait le traditionnelle je la porta de cette manière. Je n'avais pas mit de soutien-gorge, pour la simple raison que c'est comme cela que je me sentais le mieux et traditionnellement, on laisse le plus de peau en contact avec le tissus doux et chaud. Je prit le ruban et me fit une queue de cheval, comme la marchande m'avait montrée sur une image.

Le résultat final fut que j'étais encore plus belle, on pouvait voir pleinement les formes de ma poitrine, la finesse de mon corps, la couleur de ma peau se reflétant dans les rayon de la lune et mon visage qui semblait émaner une impression de douceur inégalable. Je m'incline et dit.

- Je suis prête maître, désolée du temps prit.

Mais dans ma voix on pouvait sentir une joie d'avoir fait plaisir à mon maître, bien qu'il avait du attendre entre cinq à dix minute, pour qu'il voit le résultat final.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le mercredi 15 juillet 2009, 22:52:20
Je la laissai s’habille, la dévorant des yeux… presque littéralement. Mes yeux enregistraient entièrement la beauté naturelle de son corps. Mais qu’est-ce que j’avais? Ce n’était pourtant pas la première fois que je voyais une femme nue et d’ailleurs, rien n’est plus magnifique que le corps d’une femme. Mon esclave était si jolie et la perfection de son corps, je dois l’avouer, me faisait de l’effet. Je chassai mes pensées aussi déplacées et j’attendis. Elle prit environ dix minutes et je pus la regarder, mais ce que je vis me laissa bouche bée. Elle était splendide, tout simplement divine. Je me levai, mais j’avais l’impression d’être indigne de m’avancer vers elle, mais je le fis tout de même, mettant un pied devant l’autre. Jamais je n’aurais cru voir une beauté pareille. Pas seulement elle, mais cette aura qui émanait d’elle.

Je m’arrêtai devant elle, plongeant mon regard dans celui de mon esclave ou brillait une lueur divine. Je l’admirai totalement. Chaque parcelle de son corps entrait dans mon esprit et je ne pus que rester émerveillé comme jamais. Elle savait comment faire plaisir à mon regard, ça, je ne pouvais le lui enlever. Le traditionnel était vraiment mon péché mignon, j’adorais cette tenue et surtout, elle lui allait si bien, j’aurai juré me trouver devant non pas une esclave, mais une reine des plus légitimes tant elle était belle. J’avais beau ne plus être humain ni même un simple hanyo, mais je sentais mon cœur battre rapidement, juste à la regarder, preuve que beaucoup de sentiments refaisaient surface. J’osai poser ma main sur son beau visage.

-Ce kimono te va à merveille. Tu es magnifique, Abigaëlle.

Je la fis doucement reculer contre le mur et je l’embrassai tendrement sur les lèvres, ma langue et la sienne se retrouvant une nouvelle fois l’une contre l’autre. S’il y a bien une chose que je savais, c’est que j’aimai toujours autant les baisers et les caresses, autant d’en donner et d’en recevoir et que sa beauté provoquait cette partie de moi, car j’avais très envie d’elle, en ce moment. Je sais que je voulais aller sur ma nouvelle propriété et que si mon esclave montrait un désir de se dérober à mes avances, alors, je m’y arrêterai. Si, à l’inverse, elle y répondait, alors, je continuerai, bien sûr. Mes mains se posèrent sur ses hanches parfaites et je la gardai contre la brique, réchauffée par la température de cette douce nuit d’été, de ce mur. Je n’arrivais pas à retenir parfaitement mes pulsions et mon corps y réagissait. C’était malheureux, mais deux ans d’abstinence, pour un homme, c’est très rude sur les hormones et surtout sur la libido.

Je recommençais à me poser des questions sur l’amour. Certes, je ressentais une grande attirance physique pour mon esclave et elle avait certainement quelques attraits psychologiques qui me poussait à la désirer, mais pouvais-je qualifier cela d’amour? Je n’en sais trop rien. Par deux fois, j’ai accordé mon cœur et par deux fois, je me suis vu récupérer une liberté par nécessairement voulue. Je sais bien que cette fille est mon esclave et qu’elle se donnerait à moi si je le lui ordonnerais, mais… je n’avais vraiment pas du tout envie de la pousser.

Comment allait-elle réagir?
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le jeudi 16 juillet 2009, 10:37:39
Les yeux de mon maître regardèrent tous mon corps, il semblait avoir été capturé par ma beauté. Puis il se leva et se dirigea vers moi, il croisa mon regard, je remarque à ce moment que je pouvais me voir à travers ces yeux, je ne sais pas pourquoi ce regard, cet impression de sentiments peu connut, tous cela me donne une impression de déjà vue et de tristesse, mais je cache cela dans mon cœur, pour ne pas avoir à inquiéter inutilement mon maître. Ce dernier déposa une main sur mon visage, bien que je voyait une sorte d'hésitation, comme-ci il avait peur que je refuse se contact.

Il me complimenta sur le choix du kimono, je voulut le remercier, mais je me tut quand il me fit reculer en douceur contre le mur, qui était chaud, réchauffé par l'aster solaire et qui diffusait sa chaleur dans le tissu qui me le transmet sur ma peau, offrant une chaleur qui était appaisante. Mon maître déposa ces lèvres douce sur les mienne et nos langue s'entremêlèrent une fois de plus, il semblait apprecier les baiser et les caresses, aussi je me détendis en sentatn ces mains se poser sur mes hanches, Je pouvait sentir dans le baiser de l'envie, le même sentiment était présent dans son coeur, qui battait vite, ainsi que des ces mains qui se voulait douce, mais qui n'attendais que le feux vert pour continuer.

Aussi, je me détendis et passa mes bras autour de son cou, le tous en douceur et de tels sorte à le rapprocher de mon corps, ma poitrine étant le premier point de contact. Mon maître ne voulais pas me donner d'ordre, mais je voyais bien qu'il avait envie de moi, alors j'ai prit les devants, tout en laissant à mon maître la possibilité de continuer ou d'arrêter, si cela le gêne ou le déplait.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le jeudi 16 juillet 2009, 16:29:18
Elle semblait réceptive et j'en étais fort heureux. Je n'aurai pas voulu qu'elle se sente mal à l'aise. Elle avait passé ses bras autour de mon cou et m'avait attiré contre elle. Je sentais sa ferme poitrine rencontrer le bas de mon torse et s'y presser doucement par la faute du rapprochement de nos corps. Je savais donc que je n'étais pas en train de l'y forcer par son statut d'esclave. Je l'embrassai plusieurs fois, avec toute la douceur que je pouvais montrer. Mes baisers auraient dû être un peu rouillé, mais mon corps l'a enregistré, c'était comme la bicyclette, ça ne peut pas s'oublier. La valse de nos appendices linguaux se faisait experte, d'un coté comme de l'autre. Ces simples baisers suffisaient à faire monter ma chaleur corporelle. Dans tous mes souvenirs, je savais que plus je chauffais et plus je la voulais et plus je serai tendre.

Comme répondant à son enlacement, mon bras droit escalada doucement le dos d'Abigaëlle, caressant son dos et grattant un peu contre la brique derrière elle, pour aller s'enrouler autour du haut de son corps tandis que mon bras gauche se dirigeait vers la droite, passant derrière les hanches, et l'enlacèrent par la taille. Une fois mes membres en position, je la serrai davandage contre moi. Inutile de vous dire que mes blessures étaient guérie et que j'ai retiré mes bandages, elle pouvait donc sentir le feu très chaud qui brûlait en moi ainsi que le désir. J'allai tout doucement l'embrasser dans le cou. Éveiller le désir de la demoiselle, c'était la première étape des préliminaires. Si elle ne me désirait pas, alors, elle ne pourrait pas tirer le moindre plaisir de ce qui s'en vient ensuite pas plus qu'elle va avoir la moindre envie d'être touchée aux divers endroits qui étaient ses zones érogènes. Les premiers par étaient presque fait, mais c'était à mon esclave de choisir.

-Je t'ordonnes une chose: Fais ce que tu crois bien de faire et ne craint pas de me repousser si tu n'en a pas envie.

(Hj- Désolé, c'est un peu court -hj)
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le jeudi 16 juillet 2009, 18:49:49
Les baisers de mon maîtres se firent plus doux et aussi plus émotionnel, j'en profite pour montrer ma connaissance en matière de baiser et constata que mon maître était lui aussi doué. Je pouvais sentir que son corps montait en température, moi aussi d'ailleurs, bien que cela soit moins perceptible, pendant un moment je me dit qu'il aurait été un bon mari, mais je chassa cette idée de ma tête, je ne pouvait le devenir qu'avec l'ordre de mon maître. Mes baiser était passionnée, cela était une chose sur quoi je ne me cachais pas, autant montrer à mon maître que je le désirais aussi.

Mon maître m'enlaça de façon méthodique et resserra en douceur l'étreinte, me laissant sentir son corps brulant de désir et il m'ordonna de faire se que je désirais, sans que j'ai peur d le repousser si cela ne m'arrangeais pas. A cet instant j'oubliai un moment mon statut et  lui murmure à l'oreille.

- Dans ce cas permet moi de te montrer de quoi je suis capable.

Je retira ma main droite, qui descendit le long du corps de mon maître et arriva à ma ceinture que je défit et le laisse tomber au sol, cela a pour effet d'ouvrir un peu ma tenue et je n'en resta pas là, ho que non, toujours avec ma main droite je prit celle qui trainait en haut de mon corps pour le prendre délicatement, comme je prendrais une fleur et le déposa sur mon gauche et attendit qu'il fasse le prochain pas. On m'avait apprit qu'il y avait deux façon de faire l'amour, l'un se fait avec un dominant et un dominé, l'autre se fait par des succession de pas que chacun gravit à tour de rôle.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le jeudi 16 juillet 2009, 19:56:49
Quelque chose avait légèrement changé chez elle, elle m’avait tutoyé. Un autre maître que moi aurait pu la gifler pour moins que ça, alors que moi, ça me ravit davantage que d’autre chose. Elle avait tout doucement défait sa ceinture, dévoilant légèrement son corps, comme une ligne beige au milieu d’un océan bleuté, attisant de ce fait le feu du désir en moi, puis, elle prit ma main droite et la posant sur le sein gauche de sa ô combien ferme et douce poitrine. Cette invitation claire à la caresser à cet endroit me fit réagir presque immédiatement, mais elle me fit aussi comprendre qu’elle savait se montrer entreprenante, ce qui me dit qu’elle savait ce qu’elle voulait et faisait, me rassurant partiellement. Avec grande douceur, je me mis à masser la colline de chair invitante de ma main experte et tendre tout en l’embrassant doucement sur la gorge.

La dernière fois, ca remontait à deux ans auparavant, avec mon épouse, la semaine précédent son départ et la mort de ma fille. À cette époque, tout me semblait simple. Je travaillais une partie de mon temps sur mes recherches pour Xatiav, je retrouvais ma femme et ma fille pour le repas et ensuite, nous dormions les uns contre les autres, et parfois, je coupais mon temps de travail pour me retrouver seul-à-seule avec la belle kitsune à neuf queues pour partager son lit pendant que la petite homonculus passait son temps à suivre Xatiav un peu partout, restant à certains endroits parce qu’elle ne pouvait pas le suivre, mais elle était trop sage de toute façon pour briser quoi que ce soit.

Cependant, maintenant, celle que je devais considérer comme une reine, c’était ma magnifique servante. Je l’attirai doucement vers le lit, la gardant contre moi au niveau des hanches pour conserver un important contact entre nous. Heureusement, le lit n’était qu’à trois pas de là. La lune continuait de baigner ce refuge de sa lumière, mais aussi les fleurs aux pétales de miroirs qui la reflétaient, révélant une nouvelle merveille de cet endroit paradisiaque que j’avais découvert il y a si longtemps. Ce qui m’a surtout étonné, c’est que tout soit aussi intact que la dernière où je suis passé. Pour continuer sur la voie du romantisme, je fis de petites succions sur la chair d’Abigaëlle, laissant de petites marques rosées, ou « sucons », si vous préférez, dans son cou. Ma main, elle, commençait de plus amples caresses sur son sein. Son mamelon, je le sentais sous mes doigts, se durcissait peu à peu.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le jeudi 16 juillet 2009, 21:08:36
Mon maître accepta de franchir la marche que je lui avait présenté sous ces yeux, j'eus le plaisir de sentir sa main chaude commencer à bouger avec douceur et raffermit cette partie de ma poitrine. Mon maître me donna des baisers tendres sur ma gorge, aussi je pencha ma tête en arrière pour lui offrir mon cou à ces baiser.

Je me laisse guider par mon maître vers le lit, pendant ce court trajet il me suçais le cou comme un vampire l'aurais fais pour aspirer du sang, cela ne faisait que m'embraser davantage, je laisse un soupir quitter ma bouche lorsque la main de mon maître devient plus sérieuse sur mon sein, il pouvait sentir que mon mamelon se durcissait.

Je vis que nous étions sur le bord du lit et c'est là que je mit fin au caresse. Je me serre conter lui, nous fait faire un demi tour et je ma laisse tomber sur le matelas, tout en embarquant mon maître, qui prit dans mon étreinte atterrit sur moi, bien sur j'avais fais en sorte que son poids ne me cause pas de mal. Mon kimono pendant la manœuvre c'était un peu plus ouvert, laissant mes épaules dénudées et ma  poitrine pleinement visible, de plus la lune était mon alliée donnant à ma poitrine encore plus d'attrait.

- Ce soir je vais te combler.

Ne croyez pas que c'était encore une erreur, mon maître m'avais dit de faire ce que je semblait judicieux et je ne pouvais pas être pleinement dans mes capacités, sans resserrer le lien avec mon maître en donc perdre pour cette nuit mon rang d'esclave, bien sur demain matin je le reprendrais. De ma mais droite, je sais je l'utilise beaucoup, je suis une droitière j'y peut rien, je caressa la poitrine de mon maître et descendit jusqu'au pantalon, où je sentit une boule que je caresse, même si le tissus m'ennuyais un peu.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le vendredi 17 juillet 2009, 02:38:21
Elle avait échangé nos places puis elle m’avait tiré dans le lit, se plaçant volontairement sous moi. Pour éviter de l’écraser sous mon poids, je plaçai mes mains de chaque coté de son corps, soutenant le mien à un décimètre du sien. Je lui souris. J’aimais bien être dans cette position, c’était pratique pour les baisers. Elle me dit qu’elle allait me combler, m’arrachant un sourire. Je me penchai sur son oreille et je chuchotai les mots «Non, c’est moi qui va te combler » comme pour l’entrainer dans une sorte de jeu où le but était de satisfaire notre partenaire en premier. Doucement, je pris sa main dans la mienne et la portai à mes lèvres, conservant ce regard empli de douceur alors que j’embrassai tendrement ses doigts. De ce simple geste, je prouvai que tout son corps me semblait attirant, que je considérais apte à être embrasser, et pas que je n’étais attiré que par ses attributs féminins.

Bien qu’elle caressait mon sexe au travers du tissu qui composait mon pantalon, je n’avais pas l’intention de la laisser gagner à ce petit jeu. Doucement, je descendis mon visage à un niveau inférieur, celui de sa poitrine, en bécotant avec douceur la peau sans imperfection quelconque de son torse avant d’atteindre sa protubérance mammaire droite.

Comme je l’ai fait maintes et maintes fois dans le passé, ce doux temps où tout ne semblait être que conneries et plaisirs, je démontrais encore mon expertise dans le domaine des préliminaires. Doucement, je léchai sa divine auréole, tel que mes anciennes amantes semblaient tant l’apprécier. Je ne me pressais pas et je la faisais languir. Comme je le sais, bien que l’auréole soit sensible, c’était les extrémités qui étaient toujours les plus sensibles aux caresses. Je finis par prendre son mamelon en bouche et à le suçoter. J’aurais pu en rester là, mais comme je suis quelqu’un qui aime bien se servir de ses mains, je n’allais pas laisser celles-ci inactives et attendre qu’elles servent à des manipulations trop directes.

Ma main droite alla donc à sa précédente occupation, soit réchauffer, caresser et torturer son sein gauche, en étirant le mamelon puis en le pinçant légèrement, juste pour lui donner des sensations diversifiées. Ma main gauche, toujours inactive, caressait maintenant l’épiderme de sa cuisse.

Je n’étais certainement pas son premier amant et son dernier, soit Don, allait en recevoir toute une pour l’avoir maltraitée, bien que je lui dois une fière chandelle, car sans ca, je n’aurais pas rencontré mon esclave, sinon, j'ai très envie de le tuer, ce que je ferai… une fois que je lui mettrai la patte dessus pour la séance de torture que j’ai prévue pour lui, dans l’ombre des terres souillées par les ténèbres de mon antre, soit la montagne noire qui me servait également de bibliothèque et de laboratoire, mais le quartier de vie avait la fonction de salle de torture.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le vendredi 17 juillet 2009, 03:05:32
Mon  maître m'avais implicitement laissé un défi, qui ne pouvait être refusé loin de là. Le but sera donc de combler l'autre avant que ce dernier n'y arrive. Cela me fit frémir d'excitation, j'allais savoir qui entre moi ou mon maître a le plus de facilité à donner du plaisir. Maître Kamui me démontra qu'il s'y connaissait en préliminaire, cela commença par des baiser sur mes doigts, il faut sire que cette partie, qui était souvent oubliez, a une certaine sensibilité. Puis il décida de s'en prendre à ma poitrine, celle de droite fut attaqué par la langue qui gravitait sur mon auréole, puis se fut le mamelon qui subit des sucions, quand au seins gauche ? Il n'était pas en reste, je sentais sa main s'occuper de martyriser mon téton et finir par caresser ma cuisse. Si il n'y avais pas le défi j'aurais vite fait de me laisser faire, mon instinct de compétition prit le dessus.

Comme les caresses ne semblaient pas faire grand effet, je passa ma mains droite sous les vêtements, pour caresser directement son membre, mes mains était un peu froide, mais cela augmentais la sensation de mes caresses qui étaient précise et offrais le meilleur que je pouvais tirer de la situation. Ma mains gauche, elle, parcourait le buste de mon maître, offrant la douceur d'une caresse et je lui donna aussi un baiser plein de passion. Qui a dit que les femmes ne sont pas dangereuse ? Je brisa net le baiser au moment où il voulut y prendre plaisir, pour le donner envie de me faire ressentir plus .

- Alors, qui gagne pour l'instant ?
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le vendredi 17 juillet 2009, 17:30:59
Cette esclave était plutôt directe.  Pendant que je poursuivais mes caresses que je faisais langoureuse et tendre, elle glissa doucement sa main dans mon pantalon pour y retrouver mon sexe légèrement remonté par l’excitation qu’elle exerçait sur moi, malgré elle, me caressant mon torse et me donnant un baiser. Lorsque je voulus lui rendre son baiser, elle recula, comme pour m’échauffer. Je m’élevai sur mes genoux, arrachai le fermoir en argent de ma cape de voyage représentant un lion en train de rugir, laissant l’épais tissu tomber derrière moi. Je retirai aussi ma chemise déjà détachée par ma servante, lorsqu’elle s’est précipitée à mon aide pour me soigner. Un mouvement des épaules et hop, mon corps couvert de blessures de toutes sortes se dévoilait sous les yeux de mon esclave.

-Pour l’instant, c’est bien toi. Avouai-je, amusé.

Sourire aux lèvres, je me penchai à nouveau sur elle et l’embrassai tendrement sur les lèvres. Je glissai donc doucement ma main droite, pour éviter d’être bloqué par la sienne si je me serais servi de la gauche, et je caressai doucement la culotte noire à l’endroit où se trouvait la fente naturelle et intime de mon esclave. Je ne restai cependant pas juste la main à cet endroit, non. Doucement, je quittai ses lèvres et j’amorçai une descente. Toutes une ligne verticale de baisers plus tendre les uns que les autres partant du cou jusqu’à mon objectif se dessina alors. J’arrivai au niveau de son intimité, soufflant une expiration chaude sur son pubis, et, tendrement, j’écartai sa culotte masquant son intimité déjà chaude et je me mis à lécher doucement le pourtour de cette fente intime, sans y entrer, pour l’exciter et la faire languir.

-Et maintenant?
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Fiela le vendredi 17 juillet 2009, 23:14:26
Mon maître fit glisser sa cape, ainsi que ça chemise et me répondit que j'étais, pour l'instant, la gagnante. Mais je me doutais bien, qu'il n'allait pas rester sur une défaite, surtout que c'était plusieurs manches, celui qui en remporterait le plus, gagnerait le défis. Il m'embrassa tendrement, je ferme les yeux pour ressentir encore mieux ce baiser, alors que sa mains droite m'entrava avec douceur la mienne, de toute façon j'étais partie pour lui offrir tous la plaisir que je pouvait lui procurer.

Sa main gauche s'amuse à effleurer mon intimité tout en ne passant que pardessus ma lingerie, il voulait m'exciter progressivement. Mon maître était décidément plein de surprise, je me demandais d'ailleurs, pourquoi il n'y avait pas beaucoup de femme qui se jetaient sur lui, peut être son apparence ou ces blessures. Il rompit le baiser et partie dans une cascade d'autre, qui partie vers le bas,  passant par mon cou totalement détendu, allant enter mes seins qui étaient en manque des caresse de mon maître, mon ventre frémit au passage de ces lèvres. Le voyage se termina devant mon intimité, il déplaça un peu ma culotte pour permettre à sa langue de faire un passage autour de ma fente, ce qui me procurais du bien. Puis il demanda qui gagnait, je souris.

- C'est toi bien évidement, aussi je vais te laisser un peu d'avance.

Ce n'était pas de la frime, j'avais pleinement confiance en mes capacités. JE fit glisser ma main gauche sur le sein du même côté et continua la glissa le long de mon ventre, jusqu'à atteindre ma fente, avec deux doigts je l'écarte gentiment, invitant mon maître à explorer l'intérieur, qui commençait à mouiller.
Titre: Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]
Posté par: Kamui Meisa le samedi 18 juillet 2009, 21:11:10
Je souriais. Cette femme me plaisait énormément. À la fois douce et entreprenante à ses moments, je me demande bien pourquoi je suis celui qui ai décidé de l'acheter, alors qu'elle faisait maintenant envie à tout le monde, c'était vraiment incompréhensible. Alors que je m'occupai de sa vulve, elle avoua que j'étais le vainqueur de cette manche, m'arrachant un beau sourire alors que je la regardais. Elle dit également, pour mon plus grand amusement, qu'elle me laissait un handicap, un peu d'avance sur elle et écarta de ses doigts les lèvres de son vagin. Comprenant cette invitation, je rapprochai une nouvelle fois ma bouche de son jardin intime. Mes lèvres rencontrèrent les siennes, celles qui servaient à bloquer l'accès à son fruit interdit et je glissai ma langue dans cet endroit sacré qu'était la vulve d'une femme. Mais comme quoi il est rare qu'un fruit ne donne pas de jus, la cyprine se frayait un chemin sur ma langue avant d'entrer dans ma bouche puis coulait dans ma gorge et sur les bords de mes lèvres. Le cunnilingus a depuis ma première fois été quelque chose que j'adorais et dans lequel j'excellais et comme quoi j'avais une langue plutôt douce, pour un homme, les sensations ressenties par mon amante devrait être plutôt agréables.

Comme quoi ses seins avaient été délaissés sur le moment et je décidai de m'occuper d'eux. Doucement, je laissai mes mains gravir son corps parfait, sa peau douce comme la soie déjà légèrement humide par la chaleur, comme une huile naturelle qui faisait glisser mes mains. J'atteignis son invitante poitrine avant de commencer à la masser de mes deux mains. Je commencé par masser les deux globes de chair avant de m'attaquer aux mamelons. Je pinçais, étirais, tordais légèrement les petites boules de chairs, puis, je les enfonçais un peu, lui accordant un maximum de sensation. Bien sur, tout ca était fait avec la plus grande tendresse, quoi que je ne me souviens pas d'avoir déjà été brutal dans une relation avec une femme... enfin, si je l'ai fait, je ne m'en souviens pas....