On n'avait pas la même définition de fauteuil. ^^' Tu penses à un siège une personne, moi à un canapé. Bah après c'est pas non plus très gênant.
La petite semblait captivée par mes changement d'apparence, et plus encore quand je lui annonçais qu'elle pouvait peut-être apprendre la magie. Après un petit temps de réflexion, elle finit par dire :
- Alors, il faut que j’apprenne la magie… Mais, pour cela il me faut comprendre ce qu'est le potentiel magique, je vois… Vous n’êtes pas en mesure de m’expliquer comme tout cela fonctionne… Mais, je vous remercie sincèrement, Ahri. Je n’ai peut-être pas eu toutes les réponses à mes questions mais néanmoins vous m’avez apporté une aide précieuse.
Je lui répond vite, un peu en interlude :
- Tout le monde à un certain potentiel magique, mais tout le monde ne l'a pas de manière équitable. Certains sont doués à la magie, d'autres auront toutes les peines du monde à lancer un simple sort. D'autres encore se retrouvent surexposée à une grande source de magie. Je peux éventuellement sentir un excès de vitalité chez d'autres gens, mais je suis incapable de révéler ce potentiel latent.
Elle but une autre gorgée de thé avant de grimacer légèrement en comprenant que la conversation tourne à son apparence, après un temps d'hésitation, elle me dit :
-Et bien… Vu votre nature de renarde, je pense que vous ne comprendriez pas mais je vais essayer. J’étais à la fois belle et respectée auparavant. Ma beauté me permettait d’obtenir ce que je voulais et quand je le voulais. Depuis, cette… transformation, j’ai du mal à m’acclimater, je ressens constamment soit un regard de haine à mon égard, soit un regard de… lubricité. Vous savez comment traite les humains lorsqu’ils aperçoivent une Terranide ? Il essaye d’en faire une bonne petite esclave répondant à leur besoin. Donc, il n’apprécie pas que je leur donne des ordres. De plus je n’arrive pas à maîtriser totalement ce corps. Je suis peut être jolie selon les critères d’une renarde mais à quoi bon l’être si je ne puis atteindre une certaine reconnaissance vis-à-vis de mes pairs ?
J'hésite presque entre l'embrasser et la câliner. je ne vois pas en quoi elle s’inquiétait sur son apparence, pour moi ces histoires de regards de haine s'approchait plus de la paranoïa. En revanche un détail m'avait titillé, elle ne connaissait pas son propre corps ? Voilà qui serait amusant à retenir si je voulais jouer avec elle, les petites faiblesses des terranides résident justement dans les oreilles et queues et pour le coup je ne fais pas exception. Mais alors que je m'apprête à la tripoter, pour lui révéler quelques astuces sur son nouveau corps, elle m'interromps en me posant une question :
-Je suis désolée de vous demander cela mais comment faites vous pour déplacer vos queues ? J’aurais bien du mal à en faire autant.
Je me retire un moment, je me met de coté par rapport à elle et e me retourne pour regarder mes queues, qui remuent chacune comme des vaguelettes.
- Je les ais depuis ma naissance, alors je n'y fait plus attention. Elle se déplace presque de manière autonome quand je ne pense pas à les déplacer. Mais... Dans ton cas, tes attraits peuvent toujours servir, tu sais... ? ♥
Puis elle enchaîna sur un autre sujet :
- Je suis si maladroite que je ne vous ai pas proposé un dédommagement pour votre aide si précieuse. Combien souhaiteriez-vous que je vous donne ?
Je me remet face à elle avant de lui sussurer :
- Je ne fait pas payer les dames. Je préfère les services. ♥
Je m'accroupis devant elle avant de dire :
- Et pour l'heure, ton corps m'intéresse. Tu permets ? ♥
Et sans attendre de réponse, je soulève une de ses jambes afin d'examiner de plus près son pied. Constatant au premier abord que son pied ressemble plus à celui d'un humain, j'examine de plus près ses orteils avant de remarquer que le pied n'était humain qu'en apparence et avait la flexibilité animale, dans le sens ou la plante du pied dissimule le jarret, je reporte ensuite mon analyse rapide de plus en plus haut, en remontant la jambe. Je ne m'empêche pas de faire quelques caresses au passage.
- Oui... Oui... Avec des jambes comme ça, tu ne devrais pas avoir de problèmes en courant ou en sautant, pour peu que tu essaies de maîtriser ton corps. ♥
Deux autres de mes queues s'étaient glissée sur son autre jambe, celle que je ne regardais pas, afin de lui faire aussi des caresses. Je remontais toujours sur ses jambes et atteignais enfin la cuisse, si c'était la partie à vérifier tout autant que son pied pour définir si elle avait un don pour le saut ou pour la course, y toucher de manière répétée peut aussi procurer à la petite des sensations agréables bienque bizarres, en effet les cuisses sont assez sensibles, même si la sensibilité devenais de plus en plus accrue à mesure que l'on s'approche de l'entrecuisse ou des fesses. Je comprendrais si elle cesse à présent, mais je poursuis ma petite analyse. Je tire un peu, je pousse également, afin de vérifier plus ou moins la position de ses muscles, j'avais envie de savoir si elle était dans la capacité de les gonfler afin de pouvoir préparer des bonds impressionnant comme les félins ou, si elle ne le peut, être capable de courir sur le longues distances plus où moins rapidement. Chose que je peux pas définir directement, c'est elle qui sur le terrain devra essayer de le découvrir.
Cependant, mes queues qui jusque là suivaient le mouvement, continuèrent à s'avancer jusqu'à finalement atteindre les zones les plus sensibles et l'entrecuisse. Est ce que la petite continuerait à se laisser tripoter où interromprait-elle ici la petite analyse qui tournait peu à peu à la déviance sexuelle ?
Ahri ne ferme pas a clé ses portes, elle les scelle par magie. C't'un détail X)
J'aime jouer avec mes futures victimes, en particulier quand je sens qu'elles n'ont pas ou peu joué avec leur corps, la petite s'en est certainement rendu compte. Elle ne répondait pas à mes éventuelles questions et réagissait par contre beaucoup à mes touches. Ce que j'appliquais à la petite était à deux doigts entre une simple curiosité innocente, presque scientifique, et le simple tripotage pervers. Il faut dire que les deux étaient de mise, du moins à mes yeux, et faire simplement le choix entre les deux était pour moi simplement inconcevable.
La petite pris peur, en revanche, peur de l'inconnu. Une réaction que je connaissais, surtout de la part des autres petites vierges ne se touchant pas ou peu. Elle sentait son corps apprécier une chose supposément ''désagréable'' pour elle et cette contradiction la troubla.
Elle décida finalement de se lever, mes mains et mes queues cessèrent leur taquineries. Même si j'aurais bien aimé continuer, une part de moi aurait aussi été déçue si elle serait restée calme à se faire tripoter. Elle me dit alors:
- Je vous remercie pour votre hospitalité mais je pense que j'abuserais de votre bon vouloir en restant ici. Je vais donc devoir vous laisser! C'était un plaisir de discuter avec vous et je vous rendrais visite si vous le désirez.
Puis elle me fit d'elle même un câlin, la pratique de se faire un câlin avant de partir n'était pas courante pour moi, mais ne me gêna pas plus que ça, je faisais en général bien plus qu'une simple étreinte et pas pour partir. ♥
Toujours aussi troublée, elle s'arrêta avant que je place mes queues derrière elle pour la prolonger, elle pris ma main dans la sienne et dit, cette fois :
-Eh bien voilà, je vais... partir.
Elle voulu quitter la pièce, mais oublia qu'elle m'avait attrapé la main à l'instant, elle la lâcha de plus en plus troublée.
Et moi dans tout ça ?
J'avais déjà assez taquiné la petite alors qu'elle n'était visiblement pas venue pour ça à la base, et bizarrement, je n'insiste pas plus que ça. Peut-être le fait d'avoir d'autre chats -ou 'chiens'- à pouvoir fouetter librement, au sens propre, me permettait d'être moins envahissante envers les petites pucelles se présentant chez moi comme le petit chaperon devant le loup. Quelque chose me dis que dans son comportement qu'elle finira par revenir, c'est peut-être aussi ce qui me calme, savoir qu'elle reviendra d'elle-même se faire manger aux petits oignons. C'est pourquoi je la suis gentiment jusqu'à la porte avant de la rouvrir, la porte. Cependant, avant qu'elle sorte, je lui fait à mon tour un câlin, de dos, laissant mes seins se coller à son dos, pour lui glisser à l'oreille :
- N'hésites pas à revenir, ma porte est toujours ouverte. ♥
C'était métaphorique, ma porte est en général fermée, mais je l'accueille quand elle désire. ... On avait compris ?
Je la relâche pour de bon, cette fois-ci libre à elle de sortir, la porte se refermera d'elle-même quand la petite en sera éloignée.
Navré du temps d'attente, d'une part j'ai découvert skyrim et d'autre part je voulais faire une réponse Bien plus grande, j'ai du faire plus court au final. Enjoie
La nuit était longue, et la petite partie il fallait à présent me défouler, j'avais mérité une récompense, non ? J'avais quand même réussi à ne pas consommer la petite sur place. Je me rend donc à la cave où sont encore solidement ligoté les deux esclavagistes restant de la petite troupe afin de jouer, ou de les punir, à voir.
Quelques jours plus tard, en après midi, il y eut une scène assez amusante... Pour moi, du moins. Du haut de mon toit, d'une hauteur de 5 étages, je menaçais de faire chuter un des esclavagistes que j'avais déjà capturé, sur les trois que j'avais attrapés, il m'en restait encore deux. Par ''menacer de faire chuter'' je veux dire ''laisser pendre ma victime la tête en bas en ne le tenant par les pieds, entièrement ligoté en ne lui lassant que sa bouche pour parler''
- Non ! Par pitié !
- Je n'ai pas de pitié. Tu bandes pour ta maîtresse ou tu meurs maintenant. Je suis assez clémente pour t'offrir une mort rapide, d'ici tu ne sentiras rien à l'impact.
- Non ! Je ferais tout ce que vous voudrez, laissez moi un peu de temps.
- Que nenni, mon grand. Tu es ma propriété désormais, je t'use comme bon me semble, et je souhaite jouer avec ta bite jusqu'à ce qu'elle en saigne, et ce n'est pas possible si tu ne bandes plus.
Torturer des cibles faciles était toujours amusant, tout autant que leur broyer lentement tout espoir. S'ils avaient à s'en plaindre, ils n'avaient qu'à ne pas songer à me capturer, l'arroseur est arrosé, le fisteur est fisté, et dans notre cas, l'esclavagiste est l'esclave, un jouet, un simple urinoir, au choix.
- Je t'impose une dernière fois ton choix. Tu meurs maintenant, avec plus ou moins de douleur, ou tu vis une vie misérable ou ta langue aura en permanence le goût de ma pisse, tes repas auront le gout de ma merde, ta bite aura fondu à force d'être utilisé et ton fondement sera tellement bien ouvert que tu ne pourras plus jamais t'asseoir.
Je lui laisse quelque instant pour savourer son désespoir. S'il voulait conserver sa dignité d'homme, il accepterait la mort, mais apparemment il voulait rester vivant.
- Je ... Je veux vivre. S'il vous plaît...
- S'il me plaît, oui... Tu sais ce qu'il te reste à faire maintenant. Bandes, maintenant.
J’attends un peu, puis je décide de le bouger, je le pose 'en sécurité' sur le toit, mais avant qu'il se puisse souffler, je lui ouvre la bouche, et lui dis :
- je vais donc voir si tu est docile à présent. Garde la bouche ouverte et bois ma pisse, comme le petit toilette que tu es devenu à présent. ♥
Et pour cette fois, je n'attend pas pour commencer à lui gicler du bon liquide jaune, qu'ils se força à boire. La journée se finit avec encore deux 'esclave'agiste et quatre femelles 'ex' esclaves, dont deux encore vierge.
Il ne s'est cependant rien passé d'amusant ensuite, et le jour où la petite allait faire son retour, j'étais d'une humeur massacrante, du moins, jusqu'à l'arrivée de la petite. Elle pouvait voir un instant que je n'étais pas dans un bon jour, sûrement avec mes yeux qui brillaient d'un éclat doré et qui étaient très fendus, à la manière des chats, où encore avec mes queues qui ne remuaient absolument pas, toute réunie dans une grande touffe de poil dressée derrière moi. Choses qui s'effacèrent presque aussitôt quand je vis la petite à ma porte, mes queues se séparant et recommençant à remuer, et mes yeux redevenant plus simples.Avec un sourire qui laissait supposer que j'étais content de la voir, je lui dis:
- Oh, bonsoir. Tu reviens pour me poser des questions, comme la dernière fois? ♥
Je l'invite à rentrer sans rien dire, mais avant de fermer la porte, je précise d'une voix qui veux tout dire:
- Tu es bien sûre de rester, hmm? ♥
Je ne te laisserais pas partir aussi facilement que la dernière fois... ♥
J’attends un peu avant de fermer la porte, scellant ainsi le choix de la petite. Je l'invite une nouvelle fois dans le salon, et je lui prépare d'avance une nouvelle fois un thé. Je pouvais montrer d'une certaine euphorie. En même temps, je savais que j'allais jouer avec elle et qu'elle n'avais pas apparemment pas l'intention de s'échapper, sinon elle serait déjà partie bien avant et ne serais pas revenue.
Je m’assoit finalement, comme il y a 5 jours, en face d'elle. Et, avec des petites étoiles dans les yeux, je lui demande :
- Eh bien... Tu souhaites découvrir davantage ton corps animal ? Ou tu préfères découvrir davantage de choses sur moi ? ♥
J’attends sa réponse, et je reste calme malgré que je sens l’excitation de la petite, et résister n'est pas si simple.
- Crois tu que je te laisserais partir d'ici aussi facilement avec des jambes dans cet état ? Impossible, ma petite, je vais devoir te nettoyer. Rassures-toi, je suis douée pour ça. ♥
Nous en étions donc à un rapprochement des plus corporel, la petite et moi. Elle semblait troublée de plus en plus à chaque seconde où je restais à proximité. Mais à mi chemin entre la taquinerie et l'explicite, la petite finit par prendre les devant en m'embrassant vivement, puis après quelques temps, elle se retira d'un bon pas et je pouvais constater qu'elle jouais d'une main sur son entrecuisse en me regardant.
- Depuis ces derniers jours, haaaa... J'ai des pulsions qui m'envahissent. Tu veux m'aider Ahri, à les calmer, s'il-te-plaîiiiiiit?
Je porte une queue à mes lèvres pour cacher un sourire, elle pouvait cependant deviner que je riais en se fiant au son. Ce fut à moi de porter le constat :
- Je lance une étincelle sur une brindille et je crée un vrai petit soleil...
Cependant, alors que petit à petit la voir s'exciter finissait par m'irriter, elle tenait à poursuivre :
- Ahriiiii, j'ai tellement besoin de toi, dis moi ce que je dois faire pour que ça s'arrête. J'en peux plus de penser à toi et de me sentir aussi salace.
Il n'en fallait plus pour commencer à me voir vexée. La petite allait apprendre bientôt, mais pour commencer, il fallait cesser un chose immédiatement. Une de mes queues lui attrapa le bras avec lequel elle se masturbais pour le retirer avec plus ou moins de subtilité jusqu'à mettre sa main en l'air. La petite pouvait sentir avec une certaine brutalité que j'étais plus puissante que ce que j'avais l'air. Je n'espérais pas du tout faire mal à la petite, mais si elle ressent une gêne au bras d'être ainsi malmenée, ça ne me faisait ni chaud ni froid. L'excitation de la petite risque sans aucun doute de chuter, mais ce n'est pas un mal, il faut savoir rester un minimum mesurée pour laisser le plaisir exploser plus tard avec plus de passion.
C'est d'une voix plutôt froide - vu que j'étais irritée - que je lui dis:
- Je vais t'apprendre une chose en premier lieu, petite... Se masturber devant moi est à peu près similaire que de m'insulter... et tu as fais les deux en moins d'une minute...
En effet, plusieurs points de sa dernière phrase étaient perçu comme des insultes pour moi. D'une part, elle en avait 'assez de penser à moi' et qu'elle se sentait aussi Salace. Les sous entendus perçus étaient qu'elle ne voulait pas venir à la base parce qu'elle se sentait sale en ma présence, et cela m'irrite.
Toutefois, je me reprend bien vite en faisant descendre sa main couverte de mouille jusqu'à hauteur de mes lèvres pour laper avec plaisir ce précieux liquide d'une bonne qualité. Profitant aussi du temps d'arrêt, je pose mon orbe à même le sol sous les pied de la petite pour absorber toute la mouille qu'elle a posée au sol. Après quelques secondes immobile, en relâchant son bras je lui dit :
- Si tu veux te soulager, demande à la maîtresse de maison, donc moi. Puisque tu es disposée à t'y mettre, laisse moi te guider jusqu’à la chambre. ♥
Je rappelle mon orbe à moi, avant de me dire qu'elle continuera sûrement à humidifier le sol de son précieux liquide. J'approche donc l'orbe près de ses cuisses avant de dire :
- garde donc mon orbe près de toi, ainsi, comme cela ton précieux liquide sera bien gardé. ♥
Puis, d'un pas rapide , j'avance vers les chambres, à l'étage.Une fois arrivées, je l'invite à se poser sur le lit pour continuer notre jeu :
- Assieds toi comme il te plaira sur le lit, nous commencerons dans un instant. ♥
Profitant du temps où elle s’assoit, j’ôte mes vêtement de deux mouvements, puis j'avance vers le lit à mon tour afin de l'embrasser à nouveau, en ôtant lentement ses vêtements à elle. Cette fois, elle peux lancer son excitation pour se faire plaisir, je me contenterais de l'assister.
Mouais, je me sentais pas génial pour le coup. En espérant que ça aille mieux pour la suite.