Le Grand Jeu
Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => Discussion démarrée par: Sod-Oni le jeudi 29 octobre 2015, 17:12:55
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Les doigts fins, bleutés, de la déesse se resserraient sur leur prise. La longue crinière rousse se tendit sous la traction divine, cambrant ce dos mince et sensuel, à la musculature sèche. En regardant plus bas, en dessous de ses seins nus, ronds, raffermis par l'excitation, on pouvait voir la croupe sensuelle d'une jeune demoiselle pressée contre le pubis de la déesse. Son monstrueux vit était perdu, enfouit entre les deux petites fesses d'une petite femme. Une femme ? Les bijoux de famille de Sod-Oni, aux proportions allant de paire avec la longueur et l'épaisseur de son membre viril, couvraient de leur masse les couilles plus modestes de cette "fille" présentement à quatre pattes. Non, ce n'était pas un femelle qui avait actuellement le cul distendu par la virilité divine, mais bien un jeune homme aux traits et à l'allure des plus efféminés. Comment la donzelle à peau bleutée en était arrivé là, sa verge plantée entre les reins de ce mignon petit femboy ? Sod-Oni prit le temps de s'en remémorer, en faisant lentement coulisser son épieu de chair hors du fourreau étroit. Une fois le gland violacé seul demeurant au chaud, la déesse donna un violent coup de reins.
Clac.
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" Déesse ? On veut vous voir. "
Sod-Oni était assise sur son trône, situé derrière l'autel, entre les cuisses de la statue géante qui la représentait à genoux, le bas ventre en avant, la verge de pierre tendue vers le plafond et empoignée par une main tout aussi pierreuse. Une idole obscène, qui se palpait le seins avec une expression extatique sur le visage. Ce trône avait deux particularité : la première résidait dans son dossier qui, s'élevant, prenait une forme plutôt cylindrique afin de pouvoir s'enfoncer entre les fesses de la statue. La seconde était la présence d'une sculpture phallique sur le siège, placée de telle sorte qu'on ne pouvait prendre place sur ce trône sans devoir s'asseoir dessus. Et la déesse était présentement assise dessus, l'épieu rocheux profondément enfoncé entre ses reins. Bien qu'elle fut - légèrement - habillée, la raideur de sa virilité était clairement visible, trop imposante pour être contenue par son pagne. Elle la tenait en main, caressant doucement ce vit dont ses doigts fuselés ne parvenaient à faire le tour. Et pendant que la divinité se caressait, les fidèles prosternés devant elle se masturbaient le fondement à l'aide de leurs outils de prière préférés, tout en psalmodiant quelques mots sacrés.
C'était la grande prêtresse (http://img15.hostingpics.net/pics/575816cc7de00e619ce58e0b8d2fdd9e3e2a6bd8kbcew.jpg), seule fidèle debout et ne disposant de rien entre les fesses, qui s'était adressée à la divinité. Derrière elle, un étrange petit couple se tenait là : A gauche, il y avait une femme dragonne sombre, vêtue de cuir et portant la casquette, à la façon des officiers de quelque unité militaire sadomasochiste... uniforme qu'elle remplissait d'ailleurs fort bien. A droite, on pouvait voir une fille de stature plus petite, à la longue crinière rousse et aux oreilles animale, dont le corps mince, aux formes modestes, était moulé dans une tenue qui évoquait davantage celle d'une riche geisha. Ce charmant couple se présenta : Ishtar l'amirale Magma suprême et sa petite chienne, la hyène de guerre du Dualisme Eternel, Theorem. Sod-Oni ne connaissait ni l'un, ni l'autre, trop nouvelle sur Terra pour savoir que la dragonne était joliment membrée et que la hyène était en réalité un joli garçon. S'en suivit la demande d'une discussion plus privée, requête à laquelle la déesse accéda sans difficultés, toujours intéressée par faire de nouvelles connaissances. Il ne fallut pas longtemps pour que Theorem perde la robe, pour dévoiler son sublime corps d'androgyne et présenter son joli petit cul à la divinité.
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Sod-Oni maintenait Theorem bien cambré en le tenant par les cheveux, commençant à accélérer la cadence. La pièce était pourvue d'un lit, mais il n'y avait qu'Ishtar dessus, assise, un téléphone portable à la main pour filmer la magistrale sodomie que le femboi canin subissait à même le sol. L'air s'emplissait de claquements répétés, produits par les coups de reins de la déesse qui, à chaque fois, plantait sa lourde queue au plus profond du rectum androgyne. Un rectum des plus délicieux, qui semblait avoir été sculpté spécialement pour accueillir les plus gros calibres avec un maximum de facilité : l'anneau musculeux serrait continuellement la hampe divine, naturellement lubrifié pour permettre à cette dernière de coulisser avec aisance malgré l'incomparable étroitesse. Contente de cette découverte, appréciatrice de ce chef d'oeuvre, Sod-Oni s'en donnait à coeur joie. Elle enculait Theorem avec une violence croissante, la puissance de ses coups de butoir faisant bondir le pauvre garçon vers l'avant, tandis que sa poigne refermée dans sa crinière de feu le ramenait invariablement à la rencontre du pal.
Sans cesser de martyriser l'anus du femboi, la déesse tourna la tête vers la dragonne, soufflant d'une voix enfiévrée :
" Votre... Hmmm... esclave... est délicieux. Je crois que je... je pourrais lui défoncer le cul pendant... des heures. Mais j'espère que vous... vous ne resterez pas plantée là... trop longtemps... "
Sod-Oni n'appréciait pas l'esclavage, mais Theorem semblait suffisamment apprécier son statut de sac à foutre pour que la divinité ne s'en formalise pas. Elle attendait la réponse d'Ishtar sans ralentir, ni montrer la moindre pitié pour cette croupe qu'elle perforait avec passion.
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Theorem n'avait plus sa qipao sur lui. Mais à la place, il avait ses longs gants couvrant ses bras quasiment jusqu'aux épaules et fermées par des sangles de cuir. Seule sa main gauche en forme de patte avait les doigts apparents, le haut de la main recouverte par un triangle de latex s'accrochant à son doigt du milieu. Son collier de soumis au cou laissait voir un anneau qui gigotait à chaque vas et vient, pour y attacher sa laisse. L'orbe noire incrustée dans sa poitrine brillait très faiblement alors que ses piercings aux tétons bougeaient au rythme de la sodomie. Son glabre imberbe et doux, son absence de masse graisseuse et son gabarit de shota, avait un superbe dos cambré décoré d'un tatouage fait d'une ligne de sinogrammes et d'un tribal sur ses reins. Un superbe porte-jarretelle mettait son cul rebondit en valeur alors que ses jambes étaient recouvertes de bas de latex brillant et reflétant la lumière. Sa cage de chasteté entre ses cuisses ne l'empêchait pas de prendre du plaisir car la cage pénienne en forme de dragon laissait échapper plusieurs gouttes de présperme qui tombaient au sol. Un cul offert, rougis par l'effort, en sueur et lubrifié, offrant le confort et le plaisir du plus cher des trous artificiels qu'on trouvait sur le marché.
"Oh merci, déesse de la sodomie... Je vais vous rejoindre, pas d'inquiétude. Je veux juste immortaliser comment ma Hyène de Guerre reçoit le sacrement de la déesse de la sodomie et scelle son destin de trou à fourrer et non pas de fourreur."
Ishtar avait retiré sa robe sexy avant de s'asseoir et empoignait son sexe massif émergeant de son bikini de latex en V. Elle se branlait à son rythme pour garder son érection sans se faire jouir aussi vite et avec si peu. A la place, son membre noir couvert de plusieurs piercings déversait du présperme sur sa main, faisant un bruit très humide à sa masturbation. Elle filmait toujours de l'autre main et finalement se leva pour avancer doucement vers eux. Ses superbes jambes gainées de latex, son bikini en V soulignant son corps entre deux sexes, comme si on avait collé la bite d'un étalon à une bimbo siliconée, son visage au regard enivrant et hypnotique, définissaient Ishtar avec perfection, tout en ajoutant sa queue ondulante de dragon bardée de pointes, ou encore ses ailes imposantes qu'elle repliaient dans son dos avec sa lanterne violette dans la serre gauche. Doucement, elle fit un gros plan sur la verge de la déesse plantée dans le derrière de Theorem, regardant Sod-Oni juste après.
"C'est magnifique... Je vois de là la fierté de mon soumis de servir une superbe déesse comme vous. Marquez-le de votre foutre chaud. Je vois à son visage qu'il n'attend que ça pour jouir dans sa cage de chasteté d'un bel orgasme féminin."