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[THEKOS METROPOLIS]
[BIOGENIX TOWER]
[ÉTAGE N° 147: TECHNO-SOLDATS]
[14H37 HEURE MÉTROPOLITAINE]
L'éveil de la Machine (https://www.youtube.com/watch?v=S_1PssU1a9U)
(http://img15.hostingpics.net/pics/267375HYRON1.jpg) (http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=267375HYRON1.jpg)
Dans le froid glacial d'une cellule cryogène, Irina dort d'un sommeil sans rêve, le corps inerte et enchevêtré dans sa prison mécanique. Les ténèbres de la pièces reflètent à merveille la profondeur abyssale dans laquelle baigne sa conscience. Seulement accompagnée par le ronronnement incessant de la machine qui l'entrave corps et âme.
[Protocole de réanimation Cryo-chambre n°13 - SUJET 2501]
La voix mécanique brise le silence de la pièce. Une lumière jaune commence à se déverser de toute pare jusqu'à ce qu'elle imprègne les lieux d'une ambiance tamisée. Les faisceaux lumineux mettent en valeur les courbes de la Cyborg emprisonnée dans sa camisole cryogénique. Sa peau bleutée par le froid intense exhale une vapeur givrée, son visage masqué fixe les ténèbres. Ses lèvres à demi ouvertes sont figées dans le gémissement de douleur qu'elle endure à chaque fois qu'elle sent son cerveau se déconnecter et les fibre de sa chaire geler.
[Mission prioritaire]
[Mise en place immédiate du protocole de décongélation du sujet 2501]
Le carcan d'acier d' Irina commence à luire d'un jaune fade, les ronronnements de la machine s'intensifient. Petit à petit la peau de la Cyborg recommence à prendre une teinte blanche, puis rose, avant de reprendre sa couleur naturelle. Les lèvres d' Irina se mettent à trembler, elle termine son gémissement interrompu des semaines plus tôt par la stase. Elle dodeline de la tête, toujours perdue dans les ténèbres de son masque. Mais à peine commence t'elle à reprendre connaissance que déjà le serveur de mission bombarde son cerveau d'ordres et d'informations diverses pour son bon déroulement. Elle se contracte et tente de résister, mais son esprit embrumé est encore trop faible pour se défendre. Les suggestions hypnotiques commencent à déferler sous le bandeau qui l'aveugle et dans les écouteurs profondément enfoncés dans ses oreilles. Très vite elle craque et ses yeux s'écarquillent d'eux même pour emmagasiner les images et paramètres de sa traque. Elle se débat faiblement, mais le trône d'acier la retient immobile le temps que le lavage de cerveau s’opère et que toute trace de rébellion disparaisse. Ses implants cérébraux réajustent les signaux de ses neurones et son équilibre hormonale, progressivement elle se détend et soupire, un filet de salive ruisselle le long de ses lèvres.
[Processus de transfert Ordres de Mission: 100%]
[Processus de transfert Informations relatives à la Mission: 100%]
[Réinitialisation de la mémoire: 100%]
[Lavage de cerveau: 100%]
[État sujet 2501: Docile][/color]
Les grandes plaques d'acier qui entravent ses mains et ses pieds se séparent, Irina se redresse, des bras mécaniques sortent du trône pour lui enlever le dispositif de contrôle mental. Elle descend de sa prison d'acier et avance vers la chambre d'armement. Une multitudes de petits bras mécaniques commence à s' afférer autour d'elle pour "l'équiper". Surprise, elle constate que jamais auparavant, elle n'avait reçu un tel arsenal.
(http://img15.hostingpics.net/pics/351812HYRON.jpg) (http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=351812HYRON.jpg)
[Nom de la proie: L U D Y A]
[Conditions de capture: vivante / Pas d’altération génétique / Pas de dollification]
[Nature/Race: Inconnue]
[Danger: Extrême]
[Raison: capacités naturelles importantes, force et résistance exponentielle, victime d'expérience en bio armement et nanotechnologie primitives]
[Arsenal déployé: "Préjudice Extrême"]
Irina tic en découvrant que sa proie avait, comme elle, été victimes d'expériences horribles. Mais elle ne parvient pas à affronter le conditionnement, et quand le serveur de lancement annonce son habituel: "Lancement de la Mission", elle se contente d'activer son module ARPENTEUR, et instantanément son corps se volatilise.
[ALENTOURS DE LA VILLE DE SEIKUZU]
[19H10 HEURE TERRIENNE LOCALE]
[DÉBUT DE LA MISSION] (https://www.youtube.com/watch?v=KgnY7BmOVQU)
Irina était arrivée au bon endroit... Il ne lui restait plus qu'à trouver le bon moment pour atteindre sa cible, ce LUDYA finirait bien par se montrer, la traque serait courte cette fois...
[437 JOURS PLUS TARD]
La traque du jeune extra terrestre avait virée à l'obsession.
Irina n'en dormait plus la nuit, même les mise en veille que lui imposaient ses implants neuraux ne parvenaient pas à la purger de sa frustration et de ses envies. C'est qu'elle en avait apprise des choses sur sa proie en plus d'une année de chasse compulsive. Elle avait découvert sa nature véritable, son histoire et avait pleurée pour lui comme pour elle, frappée par la similitude de leur destins et la cruauté de ceux qui les avaient utilisés comme cobaye. Sauf que lui avait eu le pouvoir de s'enfuir, elle... et bien elle n'avait qu'à se regarder dans une glace pour voir qu'elle n'avait pas réussie...Elle était devenue la poupée parfaite de BIOGENIX; à demi consciente, parfois consentante, esclave des désirs de la firme.
Irina avait trouvée des photos de lui avec sa famille, sa beauté et son sourire enfantin l'avait troublée au plus profond de son être. Et petit à petit l'instinct du prédateur s'était changé en désir de rencontre. Elle voulait le connaitre, lui parler, savoir qui il était. Mais la proie était vraisemblablement rusée car jamais elle ne se laissait prendre, jamais elle ne tombait dans ses pièges. Le bel Abyssien semblait se comporter de manière totalement chaotique, il était impossible de monter un plan basé sur la logique pour l'attraper, et c'était bien pour cela que la Cyborg ne parvenait pas à le capturer.
Puis, un jour, elle était enfin parvenue à l'acculer, mais alors qu'elle le pensais déjà pris dans ses filets, il avait révélé ses véritables capacités. Le combat qui avait suivit n'avait pas tourné à l’avantage de la techno-soldate... Elle l'avait vue dans toute sa magnificence, son corps puissant aux muscles gonflés, son odeur musquée, son regard de braise, sa voix et ses cris d'effort alors qu'il frappait. Elle en avait vibrée, elle s'était sentie vivre à nouveau, jouir de ce combat où elle pouvait le toucher. Elle s'était imaginée dans d'autres circonstances, leurs deux corps s'entrechoquer dans la recherche du plaisir et non de la mort. Sa voix grondante et animale feuler en jouissant alors qu'il la prendrait...
Mais ce fantasme n'avait pas pu se réaliser, il l'avait frappé si fort qu'elle en avait perdue l'équilibre et l'usage de ses jambes pendants quelques secondes. Il s'était enfui sans demander son reste.
Les semaines qui suivirent avaient été abominables, Irina ne parvenait plus à réprimer son imagination débordante et son désir primal. Les scientifiques de BIOGENIX avec leurs traitements hormonaux et leur chirurgie brutale l'avaient rendu nymphomane, et elle avait besoin de sa dose de sexe pour garder le contrôle. C'était un ingénieux moyen pour la firme de s'assurer qu'elle accomplisse ses mission d' escorte girl avec passion. Mais en l’occurrence, une année d'abstinence pour attraper LUDYA était en train de la rendre folle.
[QUELQUE PART DANS LE CERCLE ARCTIQUE]
[12H09 HEURE TERRESTRE LOCALE]
[40 JOURS PLUS TARD]
Cette fois c'est la fin, elle le tient. Celui qu'elle n'appel désormais plus "sa proie" mais LUDYA a commit une dernière erreur en se rendant dans une contrée aussi froide malgré la faiblesse de sa race pour ce type d'élément. Irina ignore pourquoi il s'était rendu dans cette grotte perdue au milieux de l' Antarctique mais ce devait être important pour qu'il quitte la sécurité propre à l'immense ville de Seikuzu. De toute façon son esprit bouillonnant de désir ne parvenait plus à chercher autre chose que la satisfaction de s'emparer de Ludya pour le soumettre à sa loi.
Elle y pénètre à son tour, elle marche dans les ténèbres sur plusieurs centaines de mètre avant d'arriver sous un grand dôme de glace, avec en son centre une strate de permafrosts que LUDYA avait commencé à creuser avec acharnement.
Elle prépare son piège astucieusement, profitant de son camouflage optique pour poser des charges explosives sur la croute de glace qui tapisse le sol de la grotte. Elle est si excitée que ses mains en tremblent, mais pas asse pour commettre une erreur fatale. Cette fois-ci il n'en réchapperait pas, elle allait enfin l'avoir pour elle toute seule !
Une fois sa toile d’araignée parfaitement bien tendue autour de son Abyssien, elle empoigne son fusil à lunette et vise son biceps puissant. Elle tire et lui plante une petite fléchette anesthésiante. Cela n'avait eu aucun effet la fois précédente mais peut être cela jouait il tout de même un peu sans qu’elle le sache. Dès qu'il sent la piqure de l'aiguille il se retourne, furieux. De manière théâtrale Irina dissipe son camouflage optique et se révèle à lui dans sa combinaison moulante dont le blanc et le bleu se fondent fort bien avec la glace. Elle lâche son fusil par terre.
Irina - Bonjour Ludya... tu n'imagine pas à quel point tu m'as manquée...
Et sans dire un mot de plus elle lui montre le détonateur, et l'actionne. La glace sous leurs pieds explose et se fend en d'immenses radeaux flottant sur une mer gelée.
Elle éclate d'un rire fou et se jeter dans la bataille. (https://www.youtube.com/watch?v=--ijjuvQMW8)
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Recherches infructueuses. (https://www.youtube.com/watch?v=dm1i8rJomjw)
Si Irina avait tant de mal à attraper Ludya tout ce temps c'est bel et bien avant tout à cause de son éveil et de sa curiosité à tout voir et être interessé par tout et n'importe quoi, il accusait un certain retard de maturité et d'apprentissage, une envie très vive d'apprendre qui le rend assez perturbant et inégal dans ses centres d'interêt, il était difficile encore de dresser un portrait psychologique adéquat où exact chez une personne qui se développe encore, qui s'intéresse à tout et n'importe quoi et Ludya rattrapait ce retard comme il le pouvait avec tout ce qui était à portée de ses yeux ! On pourrait dire qu'il procrastine d'un centre d'interêt à l'autre tout comme on ère sur internet d'une page à l'autre en cliquant sur l'un, puis l'autre lien qui vous paraît tout à coup intéressant où attiser votre curiosité, en retirer quelques minutes, parfois heures de lecture et apprendre certaines choses puis passer à une autre. Il lui fallut un long moment à le suivre, à presque perdre sa trace par moment avant de réaliser qu'il n'était pas l'être aussi psychologiquement -dérangé- où instable, dangereux dont on lui avait dressé le portrait, plutôt un gosse hyperactif toujours en proie à sa propre impressionabilité face à peu de choses. Et c'est bien ça en fin de partie qui le rendait si difficile à localiser, à cerner.
Ca et aussi... quelques voyages hasardeux entre cette dimension et celle de Terra à des moments complétement innoportuns qui lui firent peut être s'arracher les cheveux, la pauvre !
Maintenant qu'il y repense... Par moments il avait senti cette étrange présence partout où il allait, cette impression d'être observé... Ca n'arrivait pas tout le temps, tout un temps il associa sa chance insolente d'être parvenu à rester libre sur terre après sa fuite du centre de recherche à la présence d'une sorte d'ange gardien qui veillait sur lui. Mais il ne pouvait pas se trouver d'avantage que ça dans l'erreur... Parce que même qu'a un moment il avait cru qu'on le cherchait oui... C'est stupide, il s'était imaginé que peut être c'était un parent, quelqu'un de sa vraie famille, sa véritable mère peut être même... Qui s'était mise à sa recherche où qui veillait sur lui de loin comme ça. Alors oui il s'était mis à imaginer des tas de choses pendant des mois, et trouvait même un peu cruel qu'elle entre pas en contact avec lui mais croyait dans le fond de son coeur qu'elle était toujours là avec lui.
Quand elle se dressa devant lui pour lui barrer la route, l'illusion de rêves et sentiments purs volèrent en éclat, surtout lorsqu'elle annonça vouloir le capturer, le ramener pour le compte d'un autre type de laboratoire. Une profonde déception se mêla à une épouvantable rage et elle avait peut être fait l'erreur de le sous estimer à se montrer comme ça pour lui rentrer singulièrement dedans. Elle avait sauté sur l'occasion de peur de perdre sa trace une fois de plus, elle croyait sans doute ne pas disposer d'assez de temps, et se savait pas encore préparée.
Il la laissa sur place ayant pas le coeur à l'achever, en fait sa condition étrange l'avait touché et peiné lui aussi elle n'était plus vraiment une humaine, il sait pas ce qu'elle était mais, jamais aucun humain n'aurait été aussi résistant et capable d'encaisser ses coups sans que leur corps ne se pulvérise. Quelque part au fond de lui, la regardant répéter ses ordres de mission alors qu'elle essayait encore de se trainer, ramper vers lui et voir son regard luire de frustration, de colère et de peine brisées en s'éloignant d'elle lui donnait l'impression qu'elle était prisonnière de quelque chose. Et elle n'avait pas l'allure non plus d'une bête demandant à être achevée. Mais libérée. Encore... Au fond de ses petits coeurs d'Abyssian... Il comprenait à son incroyable force et sa volonté qu'elle devait avoir subi des choses horribles pour être devenue si forte. Il avait peut être pas idée de ce qu'elle avait du traverser.
Errance au coeur d'un immense glacier. (https://www.youtube.com/watch?v=vnPK8LuEnDE)
Dans ses errances, Ludya avait appris qu'une source d'énergie inconnue avait été réveillée le jour de son arrivée sur terre, loin très loin dans le grand nord, des avaries météorologiques et des disparitions de couche glaciaire supérieure avaient tout un moment formé des galeries sous la glace, une expédition scientifique s'étant intéressée au phénomène avait même complétement disparu depuis des mois, les secours n'avaient pas pu s'approcher de la zone de recherche car la météo était très turbulente, capricieuse, de larges trombes de tempête de glace encerclant le lieu.
Cette fois Ludya avait mis un pantalon ! Et des grosses bottines rembourrées de fourrures à l'intérieur. Même une paire de gants. Ca caillait ici, les turbulences atmosphériques permettaient pas qu'il utilise son vaisseau si loin puis il avait pris l'initiative d'aller à pied pour ne laisser que peu de traces. Et d'une façon assez étrange à pied les turbulences atmosphériques se dissipaient un long moment autour de lui pour le laisser passer. Il avait fini par apprendre qu'il était possible que certains anciens artéfacts Abyssians avaient du être enfouis pas loin d'ici il y a des milliers d'années, et dans sa quête pour retrouver les siens où quelques fragments de ses origines il s'était perdu jusqu'ici, bravant ce qu'il redoute le plus, la glace et le froid.
(http://s28.postimg.org/5azo06wi5/glacier.jpg)
C'était tellement beau à l'intérieur des galleries, on aurait dit que la glace était si polie par l'érosion de milliers d'années qu'elle paraissait être comme du cristal, à certains endroits sa pureté permettait de voir à quelques mètres au travers d'un aquarium où des anciens types de crustacés et poissons si vieux et si différents de ceux d'aujourd'hui qu'on dirait presque eux même des extra terrestres, ont été figé dedans à jamais. Des larges stalactites et stalagmites de glace décorait le coin des galleries, parfois elles étaient disposées en impressionnante batteries de part et d'autre de parois semi circulaires, on aurait presque dit la mâchoire d'un requin géant. A d'autres moments l'écoulement d'eaux ont sculpté à même la glace d'intéressantes formes, ici on aurait dit que le tronc d'un très vieux chêne enlaçé de lianes de glace passait au travers du plafond et du sol, là la silhouette d'un homme assise qui aurait l'air de s'apesantir sur un trone.
(http://fc07.deviantart.net/fs37/f/2008/268/8/6/Ice_Cave_by_Zen_Master.jpg)
Chose étonnante il ne faisait pas sombre du tout, comme si la glace reflettait la luminosité extérieure depuis le début des galleries où d'autres endroits, certaines parois étaient même aveuglantes de luminosité. Quand Ludya arriva près d'une cavité dans ce grand dôme de glace il ressentit quelque chose... Un truc particulièrement aigu et aveuglant à ses sens, lui donnant la nausée sur une très courte durée. Ca provenait de là dessous... Quelque part sous la glace. Il y était presque !
Il se mit à creuser, à mains nues, cherchant, fouillant, sachant pas exactement à quelle profondeur mais il savait que c'était là dans cette direction légèrement en diagonale, en bié vers le fond de la calotte glacière. Il était pas conscient des forces qui se jouaient ici à creuser la glace en augmentant la température de ses mains si ça se trouve tout allait lui tomber dessus ! L'inconscient, il y pensait même pas une seconde !
Quelque chose le stoppa net dans son entreprise, une démangeaison, un truc au bras... Il regarde un temps en clignant les yeux à plusieurs reprises pensant avoir des hallucinations et voit une seringue plantée dans son bras ! UNE SERINGUE ?! Il la retire puis l'éclate avec sa main pressée dessus, se retournant effectivement assez rapidement après ce coup en traitre !
Bonjour Ludya... tu n'imagine pas à quel point tu m'as manquée...
Mais... C'est... Je... Je te reconnais toi... Qu'est ce que tu f... ?!!
La situation se complique ! (https://www.youtube.com/watch?v=--ijjuvQMW8)
Elle vient d'appuyer sur un truc il a pas eu le temps de comprendre ! Plusieurs explosions ?! La glace à différents endroits du dôme, commence à fêler et tombe, disloquant plusieurs grosses plateformes glissant dans une strate inférieure du glacier dans des rapides !
IIIiiiiiiiiiiiiik !? Des rapides... Des rapides sous la calotte glacière ! Quelle dinde celle là pourquoi elle à fait ça ?! Elle est tarée ?! Il est terrifié par la situation, les radeaux de glace tombent dans une sorte de large rivière, où plutôt des rapides sous terrains et commencent à tanguer tout en entrant en mouvement, formant des plateformes mouvantes pas toujours très stables, certaines d'entre elles raclent parfois contre les rebords puis reviennent percuter les précédentes formant à intervales irrégulières des chemins de glace qui se disloquent et reforment des îlots séparés.
Elle à disparu ? Enfin c'est ce qu'il croit sa combinaison la rend très difficille à repérer avec toutes ces nuances de bleu et de blanc glace il est prudemment resté sur sa plateforme de départ. Il arrivait pas à croire qu'elle l'ait suivi jusqu'ici, il arrivait pas à croire qu'elle l'ait suivi encore tout ce temps non plus ! Cette fois ci elle avait attendu qu'il soit vraiment dans une position délicate pour tendre son piège. Heureusement il avait un accessoire de sécurité sur ses bottines, des gros crampons pointus pour l'escalade dans la glace, ça le rendait assez stable sur les ilôts mais il était quand même pas à l'abri d'une glissade où d'un retournement de plateforme. Car certaines d'entre elles percutaient des obstacles glacés dans les différences de niveau des rapides, sautaient puis retombaient dans les eaux, fallait faire attention à pas mal de trucs à la fois !
Il saute d'une plateforme à l'autre, sentant déjà quelques uns de ses doigts s'engourdir dans le bras qu'elle à visé, ouvrant et fermant son gant, ses yeux se portent sur les autres plateformes pour déceler sa silhouette, elle doit bien apparaître à un moment où a un autre, sa combinaison furtive doit pas apprécier les goutelettes d'eau glacée qui sont projetées entre deux entrechocs de plateformes. Quand il saute d'une plateforme à l'autre il met un coup de talon assez puissant pour obliger la plateforme d'où il vient de sauter à faire un tour sur elle même avant qu'elle puisse se stabiliser, s'assurant qu'elle provienne au moins pas de derrière lui !
Je vais bien finir par te trouver ! Si il faut je casserai tout ! T'auras plus nulle part où poser ton pied !
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Irina le regarde faire comme une araignée juchée sur sa toile, admirant les ailes du grand papillon qu'elle va bientôt dévorer. Elle le regarde bouger, sauter, elle admire sa musculature d'acier se contracter, totalement indifférente au chaos de leur progression sur les rapides. Elle saute avec une dextérité invraisemblable de bloc en bloc, même les plus petits lui permettent de poser le pied et s'élever à nouveau.
Ses implants cérébraux calculent en temps réel leur progression sous la glace et scannent les profondeurs du permafrost pour en dessiner une carte.
Dans quelques kilomètres, ils atteindront un autre dôme de glace où les eaux seront calme et peu profondes.
Elle devait l'affaiblir le plus possible avant d'y parvenir, et une fois qu'ils y serait, elle lui offrirai le plus merveilleux bain de minuit qu'il ai jamais eu...
Irina glousse d'anticipation, son imagination surchauffée commençant déjà à produire de merveilleux fantasmes. Elle le regarde frapper en tout sens dans une tentative veine de la faire sortir de sa cachette.
Ludya - Je vais bien finir par te trouver ! Si il faut je casserai tout ! T'auras plus nulle part où poser ton pied !
Soudain, la voix suave et langoureuse d' Irina se fait entendre juste derrière son dos, comme le souffle de délectation d'une succube avant son repas.
Irina - Toi non plus...
Elle lui donne un violent coup de pied dans le bas des reins, sa force est titanesque, incroyable quand on voit la stature et la fragilité apparente de la Cyborg. Profitant de son coup déstabilisant elle lui jette une poignée de poussière argenté qui se colle instantanément à sa peau et lui provoques de petits picotements électriques.
Irina - Cette fois ci il n'y aura que moi qui jouera avec ses nanomachines mon amour !
Mon amour ? Pourquoi ais je dit ça ?
Elle ne le comprenait pas elle-même, c'était sorti comme ça, naturellement, et c'était très plaisant à dire. Pendant ce temps la les micro dis-rupteurs qu'elle lui à jetté sur le dos commencent à envoyer de petites décharges électrique dans son corps. Il ne ressent qu'un léger fourmillement mais en revanche les nano machines archaïques qui peuple sont sang sont comme bombardées d'ondes électromagnétiques.
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Alors c'est parti ! (https://www.youtube.com/watch?v=oTCM7sNibhs)
Elle, elle était là ! Non, là bas... Il a cru la voir... Ce n'était que l'ombre d'un pas sur la glace... Il change de plateforme quand il à l'impression qu'elle doit se trouver à moins d'une de lui ! Mais il ne peut pas être sûr. Elle se déplace très rapidement comme si elle connaissait déjà les fluctuations du changement de niveau et du retournement des plateformes à l'avance ! Il n'avait pas de super ordinateur en tête ni de sonar de ce genre pour être au courant lui, GRRrrr ! Elle triche ! Il est capable d'anticiper à l'avance sur une cinquantaine de mètres peut être, en amont mais son regard doit se déporter pour ça. Le temps même de regarder vu la vitesse a laquelle elle se déplace elle finirait par le rattraper tôt où tard !
Et ses craintes se cristalisèrent lorsque surpris, il entendit sa voix troublante, chargée d'une aura lascive et succubique parvenir depuis très près, trop près de lui, dans son dos ? Près de son oreille ?! Hein !!
Irina - Toi non plus...
OuRGr !
Il est rare qu'il ait eut à encaisser un choc comme ça, dans le bas du dos elle y était pas allée de main morte, pour la première fois depuis vraiment longtemps quelqu'un était parvenu à lui faire mal ! Depuis qu'il doit pas subir les essais d'armes sur son armure épidermique, par chance il avait des os drôlement résistants et la plupart de ses cellules étaient composées d'éléments inconnus ne figurant pas sur le tableau périodique terrestre mais quand même, il en sursauta vers l'avant en atterrissant très près de la limite de la plateforme en retombant par réflexe sur les genoux, dans la manoeuvre elle lui avait jeté un truc qui le fit éternuer à plusieurs reprises !
Irina - Cette fois ci il n'y aura que moi qui jouera avec ses nanomachines mon amour !
Hein ?!
Il cligne des yeux et rougit stupidement lorsqu'elle lui lance une pique de ce genre, secouant la tête rapidement pour reprendre ses esprits.
T'as le cerveau dans le bon sens ? Je t'ai peut être tapée un peu trop fort la dernière fois... hum.
Qu'est ce qu'elle dit ? Son joli minois d'Abyssian en rougit, Il regarde ses mains sur lesquelles ces paillettes argentées figurent et ressent les picotements plus intensément lorsqu'il essaye de recourir à ses capacités d'armure dermique, ça picote et l'électrifie sur place, il rassemble ses doigts en fermant les poings, grinçant des dents tout en chargeant une aura l'entourant d'arcs électriques de plus en plus puissants, il n'avait pas peur d'avoir mal en essayant de recourir aux nanomachines évolutives ayant été absorbées par ses cellules mais plus il forçait plus ça augmentait le rayon des arcs électriques bleus, formant une sorte de bouclier électro statique autour de lui qui lui envoyait des décharges de plus en plus douloureuses, essayant de court circuiter où détruire les paillettes disruptives collées à sa peau.
GRRrr... Qu'est ce que tu m'as fait ?! Tu triches !
Il sait ! Il n'avait qu'a les faire fondre en montant à une très haute température ! Haha ! Ouais... Ouais c'est celàààà, c'est celaaaa ouie... Et passer au travers des plates formes comme dans du beurre fondu et se retrouver dans les eaux glaciales. Bien calculé ! Il l'avait réalisé juste avant de se mettre à tenter le coup.
Alors il décida de foutre les prévisions de mouvements de plateformes d'Irina en l'air, nanomachines où pas il restait quand même très rapide et gardait une redoutable force, en tapant du pied sur les bords des plateformes en les envoyant s'entrechoquer les unes contre les autres et créant temporairement un dessin en zigzag, et tout en se déplaçant d'une plateforme à l'autre il décidait de forcer sur ses nanomachines et son bouclier dermique pour créer ce champ de force électro magnétique autour de lui, même si ça faisait mal. Histoire de l'électrifier elle aussi si jamais il la rencontre entre deux sauts !
Là ! il a fait en sorte d'arranger le dédale de plateformes en frappant dedans pour que dans exactement deux prochains sauts elle se retrouve sur la troisième plate forme à partir de la gauche, cherchant à l'obliger à se déplacer là où il veut en renversant certaines plateformes en tappant du talon dessus, shootant dans d'autres pour les renvoyer à l'autre bout des rapides, et détruisant certaines d'entre elles après un saut. Là ! Il était sûr que son pied allais juste atérir...
Maintenant ! Sur la plateforme jouxtant la sienne, à son tour de tricher et de balayer sa plateforme d'un revers de sa queue d'Abyssian, la faisant tomber à terre il sautera sur la plateforme en prenant ses mains dans les siennes, il a attérit si fort sur la plateforme qu'il l'obligea à faire un tour complet sur elle même, les plongeant à peine un quart de seconde dans les eaux gelées avant que la plateforme ne se retrouve à nouveau au dessus du niveau de l'eau comme au départ ! Ils n'étaient pas restés assez longtemps dans l'eau pour subir tous les effets négatifs d'une chute brutale de température mais maintenant ils étaient mouillés tous les deux !
Je sais pas pour toi... Mais mes nanomachines elles aiment ni l'eau ni tes trucs argentés là, et si je les active maintenant...
Ludya afficha un beau sourire enjoué à ce moment là parce que ses paillettes argentées qui produisaient un effet secondaire avec l'aura de l'abyssian allait lui en mettre plein la face ! Enfin, tout comme lui d'ailleurs mais on verrait bien qui peut supporter le plus d'ampères et de voltage ! Assis à califourchon sur elle et son beau sourire pleins de jolies dents serrées il tenta de faire durcir son épiderme et augmenter sa masse musculaire mais bien sûr les dis-rupteurs émirent leurs arcs électriques de plus en plus violents ! la plateforme entière où ils se trouvaient était surchargée d'électricité et Ludya luttait contre la force des bras d'Irina.
...On... Va prendre... Cher... J'espère que t'as pas de plombages !
Des énormes sons comme on peut en entendre provenant d'arcs de centrales électriques où d'arcs Tesla se firent entendre.
ZZzZZzzom ZZzzzZZzzom ZZzzzZZzzom... TSK-K-TchA ! ZZzoom ZZzzoom TSK-TZzzk-T-Cha K-TCHA !
Des étincelles ! Des étincelles et des arcs électriques partout, qui faisaient se surélever dans les airs les cheveux d'Irina et de Ludya, le voltage monte et l'ampérage commence à devenir de plus en plus douloureux, chaque arc électrique envoyant quelques bonnes centaines de volts à travers leurs corps, puis progressant tout doucement au premier millier, ça faisait mal ! Les muscles de Ludya se bandaient à chaque fois qu'ils étaient traversés par les arcs électriques et il n'arrivait même plus à décoller ses mains de celle d'Irina ! Même s'il le voulait ! C'était mal calculé ça ils allaient finir tous les deux entre-grillés sur cette plateforme !
C'est de l'eau qui les sépara soudain, un remouds dans les rapides percutant un rocher de glace les ayant frôlés à renversé une quantité non négligeable d'eau glacée sur la sphère électrique qui était si concentrée qu'elle explosa et envoya Irina comme Ludya sur deux plateformes distinctes. Ludya avait que ses vêtements, Irina avait une combinaison de combat, peut être même qu'une bonne partie de son corps avait été isolé des arcs électriques qu'il à produit. Il a bien failli tomber dans l'eau la moitié de son corps à glissé sur le coté de la plateforme où il à atterri et s'est hissé dessus in-extremis.
Ses muscles étaient un peu tétanisés et douloureux de par son exploit débile, il fit légèrement chauffer ses mains aussi pour se frictionner, depuis qu'il avait été trempé il commençait à avoir drôlement froid, il faisait super froid ici même si y avait pas beaucoup de vent, il sentait que ça allait pas tourner à son avantage sur un terrain comme celui là privé de ses nanomachines, il devait reconnaître qu'elle était rusée, très intelligente, même qu'elle commençait à lui faire peur tiens ! Le suivre comme ça si longtemps juste... Juste pour avoir la chance de l'attraper au plus mauvais endroit pour lui ! Il voulait que ça s'arrête, il trouvait ça plus très drôle elle voulait vraiment lui faire mal !
Ah non, non hein ! Pas question d'abandonner en tout cas ! Il plante ses doigts réchauffés dans la glace des plateformes et retire d'énormes blocs de glace du centre de celles ci qu'il balance furieusement en direction d'Irina, derrière la roche de glace elle pouvait pas le voir mais il venait de sauter en suivant la trajectoire du bloc pour la briser en plein saut d'un salto terminé sur un coup d'boule supersonique qui fendit la roche en deux, entre les morceaux du roc glacé apparut la silhouette de Ludya qui allait atterrir sur elle.
Du moins si son attaque surprise avait fonctionné et qu'elle était restée là il aurait mis ses deux genoux en avant pour lui percuter violemment la cage thoracique en finissant son coup de boule ralenti par l'impact dans la glace, sur son front à elle, autrement il risquait d'être très très court sur cette plateforme pour freiner à temps et se reprendre pour retourner dans l'autre sens...
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Plus il se défendait, et plus elle l'admirait d'avantage. Chacun de ses coups, de ses cris, de ses éclairs de génie ou de bêtise la ravissait et l'excitait. Jamais au part avant elle n'avait eu à combattre un ennemi aussi résistant et véloce, et sa forme presque animal réveillait en elle la femelle primale, à la recherche du meilleur parti.
Il s'était jeté sur elle et l'avait agrippée par les mains. Mais au lieux de crier de douleur elle avait gémit de plaisir. Profitant de leur proximité pour lui lancer un regard langoureux et provocateur, ce genre de regard qui ferait rougir un proxénète en fin de course, qui ne laissait aucune doute sur ce qu'elle aurait aimée faire avec lui...
L'instant d'après ils plongent ensemble quelques seconde dans l'eau gelée, mais le corps d' Irina, cryogénisé entre chaque mission, avait acquis une résistance au froid presque absolut. Seul les cryo-tubes de BIOGENIX ou encore l'azote et l’hydrogène liquide pouvait la paralyser ou la tuer.
Quand il sortent à nouveau de l'eau, elle lui sourit de nouveau, pour lui montrer que le froid, contrairement à lui n'avait aucune prise sur elle. Ludya et Irina étaient comme Feu et Glace, destinés à s'affronter sans jamais se détruire totalement.
Mais il ne se laisse pas décourager pour si peu et s’assoie à califourchon sur elle. Elle gémis à nouveau et cette fois-ci son regard d'un bleu profond est pure et touchant. Aussi déconcertant que cela puisse paraitre, la position qu'il adopte, sur elle, la rend heureuse, la comble de bonheur. Elle arrête de forcer sur ses bras pour se défendre et attend de voir ce qu'il va faire. Mais contrairement à ce qu'elle espérait il ne l'embrasse pas. La frustration la submerge et la rend d'autant plus folle de désir.
Au lieux d'un contact intime il se contente de jouer les idiots. Il invoque la puissance de ses nano-machines et bien entendu, les nano-disrupteur les court-circuite de leurs petits arcs électriques. Mais il s'obstine et les arcs enflent.
Soudain elle comprend, il voulait l’électrocuter. Elle éclate de rire, évidement, il n'avait pas comprit, il ne pouvait pas savoir ce qu'elle était exactement. Une cyborg dernier cris, équipée de fibres conductrices spécialement conçu pour justement canaliser l'énergie électrique et la contrôler à loisir. Quand aux effets des impulsions électromagnétiques et électrique, Irina en avait déjà été victime des mois plus tôt en affrontant un flic ripou de la terre (cf. sujet: Un Impondérable). Il avait utilisé cette méthode pour la déconnecter et il l'avait violée sur un vieux matelas défraichit . Mais cela avait permis à BIOGENIX de l'équiper de contre mesures pour ce genre d'attaque.
En revanche la combinaison d' Irina n'avait pas été conçue pour supporter ce genre d'attaque, et progressivement les arcs bleuté lui arrachent des morceaux entiers de sa tenue, la laissant à demie nue par endroits. Par les interstices de sa combinaison déchirée, le jeune Abysien peut admirer quelques détails de sa plastique superbe. Les contours de sa poitrine gonflée, un de ses tétons, plusieurs centimètres de ses jambes et de ses fesses, son nombril et même le début de son entrecuisse.
Irina - Je t'en pris... profite... tout est pour toi...
Dit elle d'une voix suave, promesse d'aventures sulfureuses et orgasmiques.
Irina - Laisse moi te montrer comment on électrocute quelqu'un...
Elle utilise sa fibre dermique pour canaliser toute l'énergie qu'il lui envoi dans ses mains, Ludya ressent ses membres se crisper. Mais à ce moment là ils sont séparés par le remoud.
Ludya se redresse sur son radeau de glace, il lui fait face, l'eau glacée moule son corps superbe. Irina, qui a absorbée et emmagasinée le gros de l'énergie produite par la tentative de l' Abyssien de l’électrocuter, brille comme un photophore. Des arcs d'énergie impressionnants serpentent sur son corps et se concentrent entre ses poings.
Usant de sa force titanesque l'extraterrestre soulève un bloc de glace et lui lance dessus. Irina s'apprête à esquiver quand son scanner lui révèle la véritable position de sa proie. Ludya s'est servi de l'angle mort de son bloc de givre pour lui foncer dessus.
Irina sourit et concentre la totalité de l'énergie absorbée au bout de ses mains. Elle attend le dernier moment, ou le corps de l'Abyssien brise le mur qui les sépare pour les joindre ensemble et les tendre vers lui. Un arc électrique d'une densité et d'une violence comparable à celle de la foutre frappe Ludya de plein fouet.
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C'était survenu pendant qu'ils étaient en train de s'électrocuter l'un et l'autre... Non, heh... Même avant ça... Y comprenait pas... Où faisait l'idiot, semblant de ne pas comprendre la charge prodigieusement sulfureuse autant de sa voix et de ses regards fiévreux de désir, d'envie. Et ça le déstabilisait à chaque fois un peu plus. Ses mains avaient été soudées aux siennes pendant l'échange de surtension électrique et il n'avait pas pu complétement... ignorer les pelures de combinaisons se déchirant, donnant sur la superbe du corps de cette sirène dont la voix se voulait toujours plus envoûtante à ses oreilles, lui promettant des choses que la fertilité imaginative de son jeune cerveau ne saurait ignorer sans que les bribes de son innocence en soient encore profondément troublés et fasse rougir le miel des reflets de la peau de ses joues.
Irina - Je t'en pris... profite... tout est pour toi...
...M... mais... T'as fini oui ?!
Mais bien souvent, ce genre de promesses était accompagné, comme tout à l'heure d'un pic de douleur violent, c'était sa manière de... De profiter de sa naïveté pour faire tomber ses barrières, ses défenses aux moments opportuns et lui asséner un coup !
Irina - Laisse moi te montrer comment on électrocute quelqu'un...
Par chance ça n'a pas duré longtemps avant qu'ils ne soient séparé tous les deux, sa prochaine attaque aurait du faire mouche, enfin, si Irina n'était pas à nouveau équipée de senseurs pour savoir qu'il se trouvait juste derrière l'angle mort de son rocher lancé à toute vitesse dans sa direction... Il était pourtant si sûr de son coup !
Il aurait bien voulu crier la douleur qui vient de le frapper et le traverser de part en part, la foudre vient de s'abattre sur lui en plein vol, il perd la maîtrise du reste de sa chute vers l'avant, la vélocité dynamique de sa dernière position où il était prêt à heurter Irina de plein fouet avec ses genoux, bien que ses genoux iront la frapper dans sa poitrine, ils ne sont plus réellement tendus et maintenus dans une position qui aurait du être bien plus percutante, il finit sa course un peu à la manière d'une créature pleine de vigueur et de volontée soudainement devenu une poupée désarticulée et inconsciente en plein vol.
Ses iris se sont diluées dans le blanc du reste de ses yeux et ses pupilles se sont rétrécies au point de ne presque plus les apercevoir, son esprit est sous le choc, si bien que le coup de tête qu'il aurait voulu lui donner perd toute sa précision et que la douce joue de l'Abyssian viens simplement heurter la sienne. Il ne reprend seulement conscience que lorsqu'il commence à glisser sur elle en retombant à genoux sur la plateforme, son esprit reprends ses droits sur un corps qui est pour l'instant encore violemment tétanisé et paralysé par la tension qui l'a traversé. le torse, ses bras inanimés et le doux visage de Ludya ont glissé avec cette lassitude évanouie qui du paraître terriblement excitante et sensuelle contre le corps de son adversaire.
Ses doigts glissants sur le coté de ses seins, puis ses hanches en étant incapables de la saisir, finissant leur course sur l'extérieur de ses cuisses, la douceur de son visage lui à glissé depuis sa joue tout doucement et lentement contre son cou, lui donnant alors presque l'impression qu'un baiser à du y être déposé de l'appui inerte de conscience et de volonté du visage de Ludya... Il a glissé avec une fluidité rare jusqu'entre ses seins, sa joue droite continuant et continuant de glisser, humide, contre son ventre et lorsque ses genoux on atteint le sol, Ludya étant sous cette forme plus petit qu'elle d'une tête, son visage du bien s'arrêter aux alentours du haut de son entrecuisse découverte.
Ses esprits embrumés lui étaient revenus par sensations, par caresses contre sa plastique à mi course, se sentant glisser contre elle sans encore pouvoir y faire grand chose cette sensation d'impuissance faisait grésiller son regard farouche de la fierté d'un orage stellaire troublé... Défaillant... Il à du mal à comprendre ce qui à du se passer, se retrouvant subitement à genoux, défait devant elle... La sensation de la peau lisse contre son visage. Il commençait à avoir vraiment froid, il avait presque envie de rester là... Non... Non, il en était pas question, GRrrr ! Ça faisait mal, mal de parvenir à serrer à nouveau les doigts, mal de reprendre ses droits sur son corps.
Mais il serrait les dents ! relevant le regard sur elle, si il était pas encore capable de bouger tous ses membres il pouvait encore utiliser sa tête et sa ruse, ses yeux se chargèrent de nébuleuses sombres, qui s'étendaient comme des taches d'encre dans le reste de ses iris, il cligna un oeil tandis que l'autre prit toute la charge de l'oeil venant de se clore, un faisceau énergétique au corps dense et noir chargé d'une aura électrique violette et bleuie passa tout juste au dessus de l'épaule d'Irina.
Aww... Raté.
Dit il, son visage était en fine sueur et l'eau qui y résidait commençait à se cristaliser en givre ornant les contours de son visage, sa lèvre commençant à trembler par froid. Il avait dit qu'il avait raté son tir, et ça semblait bien être le cas ! Jusqu'a ce qu'elle se prenne le poids d'une énorme stalactite tombée sur elle, la glace se brisant contre son dos. Ce qu'il avait fait c'était de tirer en bié au dessus d'elle à quelques mètres sur une série de stalactite accrochées au plafond, deux premières étaient tombés dans l'eau un peu en amont et deux autres en aval tandis que celle là avait bien atteint son but !
Ha ! Désolé... hum. T'aurais du regarder en l'air... hihi.
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Irina soupire d'aise en sentant le corps de son mâle percuter le sien comme celui d'un insecte s'écrasant sur un pare brise. Toute sa chaire musclée et dorée fusionne presque avec chaque courbe de la cyborg, sa tête épouse le galbe délicat de son épaule et glisse le long de ses seins. Amusée, elle le prend dans les bras et le soutiens quelques instants pour que sa tête plonge dans son énorme décolleté plongeant. Elle lui maintient la tête contre ses seins jusqu’à ce qu'il commence à étouffer.
Puis elle le relâche et le laisse continuer sa lente chute le long des courbes de son corps, frissonnant de plaisir au contact des mains puissantes de Ludya qui la caresse involontairement en glissant. Il finit par tomber à genou devant elle, juste entre ses cuisses, le visage à hauteur de son intimité à moitiés révélée par les ébréchures de sa tunique.
Voir le beau visage mi enfantin mi bestial de sa proie, si proche de son sexe, enflamme d'autant plus l'imagination et le désir de la cyborg rendue nymphomane par les années d'expérience en laboratoire.
Toute la frustration sexuelle accumulée pendant plus d'une année de traque commence à se cristalliser et lui bruler les reins. Une odeur forte de sexe et de femme se repend entre ses jambes et vient émoustiller les narines de Ludya alors qu'elle sécrète involontairement quelques goutes de cyprine. Elle passe délicatement ses mains dans la chevelure de l' Abyssien, les caressant et les lissant avec amour, puis elle les glisses sur ses joues. Elle emprisonne son visage entre ses doigts mais sans aucune pression brutale ou douloureuse.
Mais l'esprit combatif du jeune homme ne s'était pas éteint avec la foudre non. Il redresse la tête et l'affronte du regard, déterminé et sauvage, invaincu malgré la douleur. Irina reste captivée par son regard, à cet instant tout son ressenti par rapport à lui passe dans son expression et ses yeux bleus azure. Ludya discerne en un instant, toute l'admiration, tout le désir animal qui habite la cyborg. Et en même temps il la comprend perdue et désespérée, elle semble se retrouver en lui, libre et farouche, avant que BIOGENIX ne la brise en mille morceaux.
Mais cet instant est de courte durée, l' Abyssien, pour qui la liberté passe avant tout, utilise une de ses armes secrète. Le rayon jailli de ses yeux et passe à quelques millimètres de l'épaule d' Irina, sectionnant au passage sa combinaison qui commence à bailler en avant sous le poids de sa poitrine.
Ludya - Aww... Raté.
Irina passe un doigt sur les lèvres de sa proie pour lui intimer sensuellement de se taire. Puis, fermant les yeux, elle se penche en avant et ouvre les lèvres pour l'embrasser.
C'est à ce moment là que le stalactite se détache et chute lourdement le long de son dos. La lance de glace se brise en une myriade de morceaux tranchants qui lacère sa combinaison.
Ludya - Ha ! Désolé... hum. T'aurais du regarder en l'air... hihi.
Le choc à fait sortir Irina de sa transe sensuelle et cela la déconcerte, son regard semble perdu dans le néant, elle regarde sa tunique en lambeaux. Elle porte sa main au fragile bout d’étoffe qui s'accroche encore à son épaule, et elle tire d'un coup sec. Tout le haut de sa tunique se déchire jusqu'à la naissance de son pubis. Sa poitrine généreuses, jusqu'ici engoncée sous le tissu, s’épanouit et se révèle dans toute sa splendeur, les tétons et les auréoles durcies par le froid et le désir. Sa peau, libérée de ces contraintes, exhale un parfum délicat et musqué à la fois, enivrant, presque succubique.
Toujours sans dire un mot elle reporte ses deux mains sur les joues de l' Abyssien. Elle avance encore un peu, au point que le visage de celui-ci se trouve "nez à nez" avec l’étoffe déchirée qui ne cache plus qu'à moitié les ravissantes petites lèvres pubiennes d' Irina.
Ses mains serpentent autour de lui, d'une d'elle s'enfonce dans sa chevelure et se campe derrière sa nuque, pendant que la seconde glisse plus bas, d'abord sur son épaule, puis sur sa poitrine.
Irina accompagne le mouvement de sa seconde main en glissant à son tour toute entière contre le corps musculeux de sa proie. Elle écarte les jambes pour s'assoir contre ses reins, juste au dessus de l'entrejambe de l' Abyssien.
Ses doigts serpentent et déchirent de ses ongles la tunique qui recouvre le torse viril de Ludya. Il se retrouve très vite torse nu, la tête coincée entre les seins d' Irina et le visage levé vers ses yeux. Pendant ce temps la, sa main libre continue de jouer avec le corps de l' Abyssien, elle passe sur ses tétons et les caresse parfois tendrement, parfois plus durement pour les faire pointer. Puis elle descend le long de son torse, passe entre les jambes d'Irina pour venir caresser l'emplacement vraisemblable de son sexe.
[ALERTE]
[POINT D' IMPACT PRÉDÉFINI ATTEINT]
Irina offre à Ludya le plus sulfureux de tout ses regard, et sans lui demander son reste elle l'embrasse fougueusement. Ses lèvres sont avide de plaisir et d'amour, elle l'embrasse comme jamais il n'a été embrassé, avec toute la force et la vigueur d'une amante subjuguée par son désir.
Soudain elle arrête de l'embrasser, elle lui fait un clin d’œil, et en un éclair, saute en arrière pour agripper comme une araignée au plafond du boyaux dans lequel ils sont en train de progresser à vive allure.
Sa vision libérée de l'obstacle qu'était Irina, Ludya comprend pourquoi... mais trop tard... Devant eux le niveau de l'eau monte brusquement et une corniche de glace coupe net le flot d'eau glacée. Son radeau de fortune frappe la cornique avec une violence inouïe, projetant son corps en avant sur des dizaine de mètres.
Quand il se redresse, il découvre qu'ils se trouvent sous un immense dôme de glace, enfoncés à hauteur de cheville dans une eau glaciale qui recouvre toute la caverne.
Quelques instants plus tard, Ludya entend les clapotis de l'eau sous les pas de sa Némésis. Irina avance, torse nu, ce qu'il reste de sa combinaison ressemble désormais plus à une paire de collant déchirés et sexy qu'à une tenue de combat. Elle le regarde d'un air malicieux alors que le dernier acte de leur affrontement commence.[/b]
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Elle est aussi belle qu'elle est super vilaine celle là ! Ludya se prends la corniche de glace de plein fouet dans les bas abdominaux quand la plateforme se relève avec le niveau des eaux et l'écrase contre la corniche qui elle même explose en partie lorsqu'il passe au travers lorsqu'il entre en collision avec le tout.
Son cri mi humain - mi Abyssian comportant une touche de douleur bestiale se réverbère et prends un écho dédoublé à plusieurs reprises à travers le large dôme de glace où ils viennent de s'échouer.
GrouwARGhRrrF !! ... Grouwargh ! ... .. Grouwargh !..
exemple pour l'echo du cri dans le dome. (https://www.youtube.com/watch?v=RcXR4IFJ0bc&feature=player_detailpage#t=113) (et éventuellement Trunks glisse en partie sur la gorge / revers du menton quand il tombe comme Ludya va le faire à peu près. )
Requiem pour une chute. (https://www.youtube.com/watch?v=X9KKbbcFIkQ&feature=player_detailpage#t=4)
Le corps de Ludya virevolte dans les airs, roulant et tournoyant en tous sens comme une toupie puis atterrit méchamment sur le plat de la gorge. la ligne de sa mâchoire sous le menton. Son corps étrangement maintenu en équilibre par dessus sa tête d'un arc du dos, on aurait pu croire qu'il se serait fait le coup du lapin où brisé le cou, heureusement il possède une certaine souplesse en plus d'une fibre musculaire et osseuse beaucoup plus résistante, il est contorsionné comme ça dans cet étrange équilibre tout en glissant à terre sur une distance impressionnante dans les eaux comme ça. Des trombes d'eau se soulevant de part et d'autre du chemin qu'il trace dans ce lac peu profond avant que le reste de son corps retombe dans l'eau à la fin de sa glissade. La force de sa glissade continue à produire de larges vaguelettes en arcs jusqu'au bout du dôme.
C'est sympa... Je, j'suis content de te connaître et tout. T'es douée et tu fais preuve de beaucoup de créativité et de ruse... Mais...
Ludya se retourne avec difficulté dans les eaux, finissant en étoile sur le dos. Et puis il a mal, mal partout là, en plus d'avoir de plus en plus froid complétement détrempé dans de l'eau glaciale. ses mèches de cheveux ont commencé à se solidifer et à geler, ses doigts picotent et se raidissent par froid, il entend les pas se rapprocher de lui. Il est pas décidé, cette tête de mule, à abandonner !
...Tu m'as... Fait vraiment mal là... J.. J'suis pas d'accord !
Un genoux dans l'eau... Une main qui presse de ses doigts et relève le centre de sa paume, une bottine qui claque contre la glace dans le fond de l'eau. Son équilibre se trouve après deux tentatives pour se dresser sur ses jambes.
Ultime résurgence d'un pouvoir éphémère et instable. (https://www.youtube.com/watch?v=EioUJCiy7_Q)
Des flashs luminescents, aveuglants entourent l'Abyssian, les particules argentées, les dis-rupteurs recommencent à s'affoler et crachent des gerbes d'étincelles rougies, cette fois il ne sagit pas de nanomachines qui entrent en conflit avec elles. Les battements affaiblis et ralentis des deux coeurs de Ludya donnent un éclat particulier à sa chevelure qui passent de reflets cuivres au rouge, rouge vif éclatant au sommet du battement d'un coeur, rouge comme de l'acier porté a température de fonte. Il s'enrage, un peu tard mais il s'enrage enfin. rassemblant les forces qu'il peut pour un ultime assaut.
Quelque chose dont il n'a pas l'habitude se produit, elle l'a frappé si fort, et poussé si loin dans se retranchements dans cet environnement hostile, défavorable à sa nature que des extensions de son épiderme qui n'auraient pas du se révéler à cet âge chez un Abyssian se révèlent, le résultat d'un surentrainement où des nanomachines "archaiques" ayant peut être surexcité et surentrainé son organisme. Ici et là des plates d'armure Abyssiniales protègent certains endroits clés où sensibles de l'anatomie d'un Abyssian, formant un métal organique plus résistant que tout acier terrestre. Ça apparaît entre deux battements de coeur. Il a du mal à maintenir cette forme, on peut voir les extensions d'armure croitre et décroitre sa chevelure s'allonger, s'élever puis rétrécir. Puis cette forme est aussi instable à cause des pétarades électrifiées rougeoyantes des dis-rupteurs qui provoquent des spasmes où mini explosions d'arcs électriques à gauche et à droite, un peu partout qui font que ses épaules sont un temps projetées vers l'avant, puis vers l'arrière, dépendant d'où la dernière explosion électrique s'est produite... C'est vraiment pas des conditions idéales pour exploiter pour une toute première fois cet état inconnu.
(https://static.f-list.net/images/charimage/1705969.jpg)
K-RrOoaRRrrrh !
Il s'élance et disparait de sa position précédente ! Il file à une vitesse surprenante ! soulevant là encore de larges vagues d'eau sur son passage, s'il avait réussi à la percuter a cette vitesse fulgurante sous cette forme il lui aurait certainement brisé sa colonne vertébrale d'un coup de tête ou d'épaule dans le ventre, mais diverses explosions électriques des dis-rupteurs le génèrent dans sa course, que dis je, ses pieds n'avaient même pas à toucher le sol il était propulsé complétement penché vers l'avant, une explosion au niveau d'une de ses hanches et épaules lui fit faire plusieurs tonneaux, comme un avion de chasse en plein vol effectuant une manoeuvre d'évitement désespérée sauf que la sienne était pas le produit de sa volonté, il rata de peu Irina, oh il heurta sans doute très violemment l'une de ses épaules, assez fort pour la lui déboiter suite à cette déviation involontaire. Il s'écrasa dans le mur de glace à la base de la corniche, des gravats de glace retombant sur lui.
Bon ! Il était maladroit ou quoi ?! Trop de force... Il avait mis trop de force là dedans, puis il était pas aidé hein ! On entendit un rugissement tonitruant provenir de dessous les rocs de glaces qui se pulvérisèrent lorsqu'il sortit de là dessous, une aura rouge chargée d'arcs électriques et un regard noir, orageux, sa masse musculaire aussi avait un peu évolué, plus compacte, légèrement plus massive. Il a pas... Il arrive pas à articuler un putain de mot, tout ce qu'il fait c'est... C'est grogner parce qu'il se sent pas capable de faire autre chose sous la somme de la rage d'origine inconnue qui l'assaille.
Non... non il sent comme... Comme un souffle au coeur, des vertiges... il est trop, trop affaibli... D'ailleurs cette forme devient de plus en plus instable, apparait puis se désagrège... Apparaît à deux reprises par ré-explosion de son aura rougeoyante, qui elle aussi, se met à pétarader et disparaître à intervales régulières, comme la torche d'une flamme de chalumeau sur le point de s'éteindre quand la bonbonne se vide presque de tout son acétylène où l'oxygène, la pression, son énergie suit pas, sa colère contre elle suit pas non plus, son aura si attirante, succubique à tôt fait de produire un effet de sappe sur la volonté et la violence qui, déjà de base n'existe que très peu dans l'esprit de Ludya.
Ces moments où elle lui à caressé amoureusement sa chevelure, porté ses doigts pour soutenir son visage... Laissé trainer son visage entre la volupté charnelle de ses seins... L'a t'il rêvé ? Etait ce son esprit fatigué qui lui jouait des tours ? C'était pas arrivé mon pauvre, c'était qu'un fantasme... T'as du salement tomber sur la tête quand tu as heurté le sol... Pour imaginer des trucs comme ça. L'embrasser... L'embrasser... Qui... Qui embrasse comme ça son adversaire... Qui caresse de cette façon son ennemi ? A sa faiblesse physique commence à se nouer sa faiblesse charnelle. L'aura ne s'est pas encore dissipée et ses extensions d'armure dermique durcie bien qu'instables et vacillantes sont encore là, trouvent... Une toute autre forme de "chaleur" et d'énergie à exploiter pour se maintenir encore un peu... L'orage farouche et défiant de son regard prends une toute autre... intensité... Un orage tropical, chaud de fièvre.
Il devrait savoir... Il est intelligent pourtant ! il devrait savoir qu'il à perdu cette fois ! Oui il sait, même s'il tient encore debout hm ? Dans cette fière bien qu'instable allure. Au moins ça lui tiens chaud... Où est ce ses hormones en ébullition ? Son aura à elle qui lui tient chaud comme ça... Ses cheveux auparavant glacés recouvrant leur souplesse et sa sueur elle aussi figée de leurs petites billes de glace recommençant elles aussi à s'écouler sur la peau brune aux reflets de miel doré. Il transpire... De jolis petits nuages de respiration chaude s'élèvent dans les airs et sa respiration est devenue plus bruyante, plus féline voire même rauque, ses mains glissent sur ses propres joues alors qu'il a bien du mal, le pauvre à dévier ses pensées d'autres chose que les caresses qu'elle à offerte à sa poitrine, à ses petits tétons encore dressés depuis tout à l'heure, à son entrejambe qui devient aussi excitée que douloureuse... Qu'est ce que c'est ? Qu'est ce qui le rend si chaud et fait fondre toute intelligence, raison où logique dans son crâne ?
Elle l'a... Elle l'a ensorcelé avec son odeur ? Avec son aura ? Avec cette poussière argentée ? Il en a pas la moindre idée, a t'elle même fait quoi que ce soit ? Ça le torture en tout cas et une main s'est glissée le long de sa joue, son petit doigt mordu entre ses lèvres pendant que le reste de ses doigts flattent le coté de son visage un doigt glisse en partie sur le haut de sa joue, et un autre sur sa paupière, comme s'il cherchait à cacher en partie sa honte où des rougeurs qui assaillent son visage en regardant aussi de coté, en bié vers le sol. son autre main posée sur sa bouche pour étouffer la vibration honteuse de ronronnements tout aussi révélateurs de son état que le reste.
La main qui étouffe ses vibrations s'écarte de sa bouche, se tends, et se décoche une gifle magistrale ! A l'en faire tourner une fois sur lui même, sur place, voilà de quoi se remettre les idées en place ! voilà de quoi se concentrer sur la suite ! Elle qui se rapproche inexorablement, sans doute que son épaule sera remboitée par ses soins sans plus de formalité que ça. L'impressionnant lui aussi de par sa résistance à la douleur, admirant aussi sa résistance et son intelligence tout court pour l'avoir, elle, amené là ou elle voulait comme elle le voulait !
Après cette gifle il avait perdu son aura, mais pas encore l'extension d'armure Abyssiniale recouvrant certaines parties de son corps, et recouvert assez de raison pour être capable de prononcer des mots, lorsqu'elle se retrouvera trop près de lui il s’élancera pour donner une série de coup de poing et une série de coup de pied qu'elle trouvera bien faible, plus faible encore que lorsqu'il était sous sa forme précédente, sous sa forme d'Abyssian de base, il avait consumé beaucoup en adoptant cette forme qu'il ne maîtrise pas, il réalisa sa faiblesse lorsque ses coups ne la faisaient ni broncher, ni détourner la tête lorsqu'ils atterrissaient sur sa joue, digne d'une caresse à l'impact pour elle. Ses muscles étaient vidés, depuis tout à l'heure ils étaient éléctrocutés, puis glacés, puis électrocutés à nouveau, mis sous rude tension et sous épreuve en l'affrontant. Ils étaient durs, et gonflés durs comme lorsque l'on les solicite beaucoup, beaucoup, beaucoup trop, et sa respiration commençait elle aussi à être bien essouflée, bruyante, le froid arrangeait pas parce que sa démangeait aussi ses voies respiratoires.
RRRrrr... HFfRRrr... HFfRrr... On devrait arrêter... HRrFrrrr... remettre ça a une autre fois ! Oui, oui... Ça pourrait finir par être dangereux hein ! Surtout quand on joue dans un endroit comme celui là... Jeu de mains, jeu de vilains... Puis je commence... à avoir froid moi... S'il te plait ?
Il avait l'air de parler sincèrement et naïvement, l'inconscient... Croyait il qu'il s'agissait encore d'un simple jeu ?
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La soudaine monté en puissance et la métamorphose de sa proie l'avait surprise au point qu'elle échappa de justesse à un impact d'une puissance inouïe. L' Abyssien s’était jeté sur elle à une telle vitesse que l' épaule d' Irina s'était déboitée sous le choc. Mais heureusement il avait dévié de sa trajectoire et s'était encastré dans le mur quelques mètres plus loin.
Se retournant avec la raideur bionique d'un androïde, Irina regarde le trou dans lequel le jeune fou s'est enfoncé, puis elle porte son regard sur son bras qui pend mollement contre son flanc. Son regard est totalement inexpressif, comme si la vue de son propre corps blessé lui était égale. Elle reporte son attention sur le cratère dans la glace. Elle bascule la tête de coté, à droite, à gauche, ses vertèbres craquent. Soudain un bruit mécanique digne du films Terminator résonne sous le dôme. L'épaule d' Irina se remet en place instantanément dans un craquement violent d'os et d'acier.
Irina entend rugir Ludya sous sa prison de glace à mesure qu'il la brise pour revenir. Le son bestial de l' Abyssien la fait vibrer de crainte et de plaisir mêlés, même si elle sait que le combat est sur le point de se finir. Sans se séparer de son mutisme habituelle elle se laisse glisser et s'allonge toute entière dans l'eau glacée jusqu'à ce qu'elle soit totalement immergée. Le rythme de son cœur ralenti, son corps refroidit et prend la blancheur teinté de bleu propre à ses phases de cryogénisation. Et elle attend.
Quand Ludya ressort enfin il est seul dans la pièce. Seul avec sa colère, seul avec son pouvoir qui ronge ses forces. Seul avec ses illusions et ses fantasmes. Irina attend, concentrée sur les battements de son propre corps, ignorant la morsure du froid qui la raidie peu à peu. Elle attend que le pouvoir de l' Abyssien le détruise lui-même. Elle l'entend se débattre, hurler, tomber à genou et enfin se gifler pour tenter de reprendre ses esprit.
A cet instant elle surgit à nouveau des flots. Tout son corps s'élève des eaux avec lenteur, comme la Dame du lac se présentant au Roi Arthur pour lui tendre Excalibur. Et elle avance à nouveau vers lui, sa peau blanche la fait ressembler à un fantôme, une banshee inexorable qui vient prendre son âme.
Et leur ballet martial reprend, sauf que cette fois-ci, Irina profite de la faiblesse de son ennemi pour prendre le dessus. Elle esquive ses coups lents et fatigués et s'enrouler autour de lui comme un serpent. Elle attrape son poing et le lui passe dans le dos. Elle enserre le buste puissant et musculeux de Ludya entre ses cuisses et commence à l'écraser pour qu'il suffoque. Puis, quand elle constate que tout l'air à quitté les poumons de sa proie, elle fait basculer tout son poids en arrière pour qu'il tombe avec elle dans l'eau glacée. Le choc brise la croute de glace et il s'enfoncent dans un trou d'eau de deux bons mètres de profondeur. Elle le retient sous l'eau avec elle, prisonnier de ses bras et de ses cuisses qui lui compriment toujours ses poumons vide. Jamais en cette instant, elle ne lui avait paru aussi belle. Si la mort avait un visage, ce devait être celui-ci, parce qu'après tout... ... elle était en train de le tuer, il le sentait.
Soudainement elle le relâche et le repousse de toutes ses forces à l'aide de ses jambes. Ludya est expulsé hors de l'eau et atterri sur la banquise de la grotte. Il se redresse pour faire face à sa Némésis au cœur de titane. Elle est en train de sortir de la prison d'eau glacée comme s'il s'agissait d'un bain moussant et confortable.
Ludya - RRRrrr... HFfRRrr... HFfRrr... On devrait arrêter... HRrFrrrr... remettre ça a une autre fois ! Oui, oui... Ça pourrait finir par être dangereux hein ! Surtout quand on joue dans un endroit comme celui là... Jeu de mains, jeu de vilains... Puis je commence... à avoir froid moi... S'il te plait ?
Elle lui sourit aimablement, toujours touchée par sa naïveté enfantine, mais cela ne suffit pas à soulager le désir qu'elle éprouve à son endroit. Le jeu est terminé pour l' Abyssien, elle le sait, mais elle veux le voir tenter une dernière chose avant d'en finir. Elle veux encore l'admirer dans son combat pour la survie et la liberté, avant qu'elle ne lui vole l'un et l'autre.
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Une dame blanche, dame de glace à l'allure aussi merveilleuse que froide et mortelle... Il en a les coeurs qui palpitent... Il la trouvait déjà inquiétante sans qu'elle n'ait à recourir à ses talents de Cryogénisation pour faire chuter sa propre température, elle semble si sûre d'elle maintenant qu'elle à ressenti à quel point il est faible à travers ses coups... Ça... ça l'effraye, là il commence véritablement à avoir peur d'elle, ça doit être perceptible dans l'étincelle encore vive de son regard, de ses pupilles tremblantes.
Il essaye de palier à sa faiblesse par des coups n'exposant pas trop de sa personne en élançant ses bras, ramenant vite ses coudes près du corps mais elle est plus rapide, ses muscles endoloris ont déjà trop donné, elle parvient à lui saisir un bras, puis s'enrouler d'une façon qui serait perçue comme sensuelle, et dangereuse autour de lui de par ce froid qu'elle lui communique, tétanisant ses muscles par simple contact de son corps contre le sien. Ramenant son poing dans son dos pour lui faire une clé de bras et jouer de sa souplesse en enlaçant son buste avec ses cuisses, maintenant probablement sa cage thoracique comprimée et son diaphragme bien haut. ça le vide, elle le vide de tout son air ! tirant jusqu'a sa petite langue hors de ses lèvres tant elle le comprime juste à la limite de lui froisser les côtes !
Il aurait voulu crier, crier de surprise, d'effroi, quand elle fait basculer son poids vers l'arrière en l'obligeant à la suivre dans les eaux glacées, ses pieds se sont mis à mouliner désespérément dans les airs avant qu'il ne pénètre profondément dans les eaux glaciales. Il crut mourrir sous la différence trop brutale de température, un choc thermique épouvantable oui ! Il n'a plus d'air mais ça ne l'empêche pas d'avoir encore un peu de réserve dans le sang, mais ce choc thermique l'a littéralement sonné, tétanisé si fort entre ses cuisses et ses bras, elle le sent se débattre, se débattre désespérément dans l'étau sensuel et pourtant si glacial de son corps, elle doit le sentir... Le sentir faiblir dans tous ses mouvements, ça doit être si bon pour la cruelle prédatrice qu'elle est, elle doit même savourer chacun de ses déhanchements, de ses tressautements désespérés pour lui échapper, toujours... Toujours plus faibles, plus faibles... faibles les uns que les autres, perdant ses forces, devenant pratiquement aussi faible qu'un humain.
Plus il se débat plus le besoin d'oxygène dans son sang se fait pressant à ses poumons, ses yeux dardent dans les siens, chargés d'un tel désespoir, d'une telle incompréhension face au sort qu'elle lui réserve... Il se sent partir... Défaillir... Trop, trop froid... ses spasmes meurent dans ses bras, entre ses cuisses et se font remplacer par un étrange calme... Appréciant pour quelques temps qui lui paraissent être une éternité la beauté mortelle du piège qui s'est refermé sur lui. Il est si calme... Il serait vraiment si calme dans la mort ? Il l'accepterait alors avec ce genre de courage, lui souriant paisiblement droit dans les yeux. Son seul bras libre a cessé de tenter de lui donner des coups de coude et a tendu sa main, ses doigts effleurant la joue de sa meurtrière.
Se noyer dans ses bras semblait être une mort bien douce, la glace se refermerait pour l'éternité autour de lui et il ne pouvait sans doute pas rêver d'une plus belle image, dernière image imprimée sur sa rétine à jamais dans ce tombeau de glace. Si calme... Si paisible... Ses yeux perdaient leur éclat une secousse de son corps cherchant de l'air brisa la quiétude, elle dut le sentir elle aussi, à quelques doigts de mourir.
C'est elle qui pourtant, n'a pas pu s'y résoudre, à moins que ce soient les ordres programmés dans son crâne, il à tout de même avalé la tasse avant qu'elle ne le repousse de toutes ses forces, atterrissant sur la banquise il tousse, tousse et craches l'eau froide, grelotte intensément, lorsqu'il est ressorti des eaux il en avait perdu cette forme, cette apparence enarmurée, étrange de tout à l'heure et était repassé à son stade précédent. Et très vite l'eau qui le recouvre encore se gèle, le parcourt de plaques de givre qui cristalisent ses cheveux, son brun abyssian s'en retrouve légèrement bleui par les plaques cisaillées de glace qui le recouvre mais aussi par froid intense !
La mort est froide... comme le métal. (https://www.youtube.com/watch?v=XcNXq5DUZnk)
Lorsqu'elle sort des eaux l'air de ne rien avoir à faire ni du froid ni du temps passé là dessous il rampe à reculons, glissant sur la glace, effrayé, mais ça ne le mènera nulle part, il ne pourra pas lui échapper... Il ne savait plus ce qu'elle voulait, ce qu'elle était, il avait peur car elle avait essayé de le tuer là ?! C'était sérieux ça n'avait plus du tout l'air d'un jeu, elle lui faisait peur, c'est rare qu'il ressente une telle peur, son jeune esprit ne parvenait pas à comprendre pourquoi elle voudrait le tuer ? Peut être qu'il avait mis à mal sa fierté la dernière fois lorsqu'il l'avait laissée sur place, elle voulait le tuer pour ça ? Est ce qu'il pouvait lui demander sincèrement pardon ?
C'est dans ce lac que les choses commencent et se finissent. (https://www.youtube.com/watch?v=fIqKWLkm2-g)
Il en aurait pleuré, tiens, beaucoup trop sensible sans doute, mais ses larmes sont déjà cristallisées à la sortie même de ses canaux lacrymaux, formant deux perles statiques à la commissure extérieure de ses paupières. Sa chevelure en bataille elle aussi complétement gelée, paraissant plus blanche que cuivrée. des stalactites de glace avaient même envahi le tour de sa mâchoire saillante. Il toussait et respirait de façon très bruyante, comme un asthmatique, se préparant probablement une vilaine toux s'il en réchappait vivant de toute façon ! Elle lui sourit, elle lui sourit de cette façon qui faisait fondre ses deux coeurs malgré toute la glace qui se solidifie autour de lui.
Désormais il devait forcer pour respirer, on le voyait tirer vers le haut en redressant sa cage thoracique comme si ça devenait très dur de respirer, les muscles de sa gorge et de ses pectoraux tirant et se striant lorsqu'il inspirait on pouvait entendre un long son syphoné comme un "HHhuuuuff" suivi d'une expiration "KRRrrr" assez... dérangeante pour lui, ça faisait mal il avait toujours l'impression d'inspirer plus que ce qu'il parvenait à expirer comme air.
Pourquoi... ? HHhUu-KRRrrr... Je veux plus être ici... HHHUu-kRRrrr... Je veux retourner chez moi... Kof, kof... HHhuuu-KRrrrr... Même si tu me tues, hihi. Je rejoindrai les miens plus tôt... HHHUu-kRRrrr... Tu... Kof... kof... HHHUu-kRRrrr ! Tu ne feras... Que de me libèrer de ce corps, HhhkRRrrr... cette enveloppe charnelle... Et je serai alors comme tous les miens ! HHHUu-kRRrrr... j'irai les rejoindre... Koff... Dans les étoiles... Vous ! Vous m'emprisonnerez jamais ! Ha ha huHHuu-KRRrr.... je m'arracherai les coeurs si il le faut, de toute façon ils me font déjà si mal, HHHUu-kRRrrr... si mal... Tout ça HHHUu-kRRrrr... Même respirer... j... J'en ai assez... ça fait si mal.
Il leva sa main au ciel et sortit ses griffes, se les plantant profondément dans le pectoral droit, cherchant vraiment à se forer la chair où se perforer le torse pour aller chercher son coeur l'imbécile ! Il avait... Il avait littéralement l'impression que ses poumons et ses coeurs respireraient mieux à l'extérieur de son corps exténué qui lui donnait l'impression, sa chair durcie par le froid, ses muscles endoloris lui donnaient l'impression de comprimer ses pauvres organes vitaux, de presser sur l'envergure de ses poumons, de comprimer les battements de son coeur, ce qui n'était pas faux dans une certaine mesure tant ils ont été solicité et tant il se tétanise par froid poignant les pénétrant !
Même ça, même ça il en était plus capable, il en avait pas la force, une force de... de simple humain ! Il se faisait mal ses griffes étaient plantées dans son pectoral et le sang qui en avait jailli s'était cristalisé autour de ses doigts pénétrés dans son muscle, incapable avec ce qui lui reste de force de l'en sortir, préférant ramasser un éclat de glace bien tranchant sur le sol de sa dernière main libre.
Une belle mort... HHHUu-kRRrrr.... est une récompense en soi !
L'élan du désespoir, encore impressionnant de rapidité pour quelqu'un d'atteint par une vilaine bronchite asthmatique, son coup vise sa poitrine, son coeur de titane, qui doit être aussi froid que la glace de cet endroit pour vouloir le tuer, la glace contre la surface de sa peau, aussi tranchante soit elle se brise inexorablement, et même si la pointe avait pénétré sa poitrine, sa peau, elle se serait brisée sur son coeur... Il pouvait même pas atteindre son coeur... Il se retrouva contre elle à grelotter et taper du poing là ou serait supposé être son coeur, entre ses deux seins légèrement décallé, avec la rage du désespoir.
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Irina le regarde se débattre en esquivant ses coups devenus lents, admirant pendant de nombreuses minutes le combat que livre la bête d'une autre galaxie. Mais soudain, le jeu prend une tournure qui ne lui plaie pas quand elle le voit se mutiler et tenter de se donner la mort.
Elle soupire et se jette alors sur lui à son tour, elle lui attrape les poignets et les lèves au dessus de sa chevelure de miel avec une facilité déconcertante. Puis elle s'allonge de tout son long sur lui, écrasant son torse musclé avec ses énormes seins dur et contractés par le froid. Elle remonte une des ses cuisses vers l' entrejambe tétanisé de l' Abyssien, là où elle imagine qu'il cache ses attributs sexuels. Elle commence à le réchauffer en se frottant à lui.
Irina - Ce n'est pas obligé de finir ainsi mon amour... ma proie... laisse moi faire, arrête de te mutiler.
Lui dit elle en chuchotant à son oreille d'une voix suave et ronronnante, son alène est agréable, enivrante même. Son souffle tiède réchauffe l'oreille de l' Abyssien gelé. Cette étrange chaleur se propage aussi dans ses reins... Elle provoque un fourmillement agréable à l'intérieur de lui, la où sa verge et ses testicules se cachent.
Utilisant ses ultimes forces, celles du désespoir, Ludya agrippe un morceau de glace sur le sol et tente de le plonger dans la poitrine de la Cyborg. Mais l'épieu de givre bien fragile éclate sur l'épiderme d' Irina, qui le regarde d'un air triste et désolée.
Irina - J'aurais voulue que ça se passe autrement... tu ne me laisse pas le choix... je suis désolée...
Avec une dextérité et une rapidité incroyable, Irina se contorsionne contre le corps de Ludya et parvient à faire passer ses cuisses autour de la gorge de celui-ci. Ses pieds délicats sont passé dans son dos de l' Abyssien. Quant à sa tête, elle est prise dans un véritable étau de chaire chaude, le visage comprimé contre l’intimité d'Irina qu'il peut voir et sentir par les ébréchures de sa combinaison. Il est si proche qu'il pourrait la lécher, si proche qu' il sent le pou régulier de la tueuse palpiter sous sa combinaison. Elle lui attrape les mains pour qu'il ne puisse plus la frapper et elle commence à serrer. Épuisé et sur le point de suffoquer, Ludya commence doucement à sombrer dans l'inconscience, persuadé qu'il vit ses derniers instants...
La douce sensation d'une intense chaleur caresse la peau de l' Abyssien évanouit, qui commence doucement à reprendre connaissance. Il ouvre lentement les yeux et voit le sommet du dôme de glace, sauf qu'il n'est plus là où la Cyborg l'a étranglée. Il sent le sol sous son dos, ce n'est plus de la glace, mais de la roche. Son regard se porte immédiatement sur la superbe ampoule à plasma qui baigne la grotte d'une lueur brulante, qui réchauffe ses tissus, réveil son corps endolori.
Heureux de sentir ses forces lui revenir, Ludya essai de bouger, mais il en est étrangement incapable. Il regarde ses bras et ses jambes, et constate horrifié qu'il est attaché en étoile de mer, entièrement nu ! Les bras et les jambes bien écartés. Ses mains et ses pieds sont enchâssées dans d'étranges moufle faites d'un métal tiède et lourd. Et malgré toute la puissance qu'il mobilise, il ne parvient pas à se libérer.
Irina - Bonjour mon bel étalon ? Tu as bien dormi ?
La voix chargée de désir d'Irina est envoutante, elle ressemble plus à celle d'une succube que d'une femme. Elle s'approche et s'agenouille à coté de lui. Comme lui, elle est entièrement nue cette fois, et il peu admirer en détail ses belles lèvres pubiennes. Elles semblent fermes et charnues, surmontées d'une petite toison d'or délicatement épilée en bande. Mais plus surprenant encore est son clitoris, qui contrairement à celui d' une femme normal, est bien visible, presque aussi gros qu'une framboise.
Irina passe une main fiévreuse en tremblante sur le corps de sa proie. D'abord sur sa joue, puis son torse, elle s'arrête à hauteur des tétons qu'elle titille à plusieurs reprises du bout des ongles. Puis elle descend et commence à lui masser l'entrecuisse de manière obscène, passant la pulpe délicate de ses doigts dans la raie de ses fesses.
Irina - Cela fait si longtemps que j’attends cela... je ne veux pas en gâcher la moindre seconde... qu'en dis tu ?
Puis de son autre main elle lui empoigne sa chevelure de feu et l'embrasse fougueusement, léchant l'extrémité de ses lèvres avec la langue, lui mordillant la sienne entre ses dents parfaites et blanches.
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Ce n'est pas obligé de finir ainsi mon amour... ma proie... laisse moi faire, arrête de te mutiler.
Mon amour... Mon amour ? Ce mot... Pourquoi choisit-elle un tel mot. Lorsque ce n'est pas sa force qui s'empare de lui pour le tuer ce sont ses mots qui le tuent aussi. Pourquoi lui parait elle si belle et douce à ces moments là où ses mots vibrants et suaves caressent son oreille.
Irina - J'aurais voulue que ça se passe autrement... tu ne me laisse pas le choix... je suis désolée...
Il se débat, si faiblement encore une fois contre elle, allait elle le tuer ? Ca y est ? C'est comme ça qu'il meurt ? Etouffé entre ses belles, si belles... Si puissantes cuisses... Il sent les muscles et la ligne musculeuse de l'intérieur de ses cuisses lui masser les joues, et comprimer sa gorge, ses bras emprisonnés dans sa poigne implacable... Il aime... Il aime tellement... Tellement être dans cette situation désespérée. Tellement chaud entre ses cuisses... S'il pouvait respirer il halèterait sûrement d'envie. Ses souffles rauques et froids de par la chute de la température de son corps glisseraient, caresseraient et chatouilleraient son sexe... Au lieu de cela elle l'étrangle en disant qu'elle est désolée. Lui aussi... Lui aussi est désolé... Sa petite langue sort de ses lèvres à force d'être étranglé dans cet incroyable étau de chair, visage à quelques millimètres à peine de la toucher, bouche embrassant presque... Presque son sexe par dessus sa combinaison. Son cerveau suffoquant assailli par tellement d'envie, l'envie de l'embrasser, l'embrasser si fort... Si fort entre les jambes. Elle dut sentir ses membres raidis se laisser aller, s'abandonner à son sort, ses muscles tétanisés et saillants d'efforts se lisser tout en se relachant quand il perdit enfin conscience.
Il faisait si bon... Si chaud dans ses rêves... Il était donc devenu une étoile... Cette belle chaleur irradiante, aveuglante même sous ses paupières fermées ça ne pouvait être que lui qui avait enfin trouvé sa place dans l'univers. Il ne pouvait plus parler mais était sûr qu'il devait briller du magnifique éclat d'une étoile naissante et que de partout dans l'univers on le voyait, que même ses véritables parents l'ayant abandonné le verraient en chaque nuit en levant les yeux au ciel. Eux... Ils sauraient que c'est lui. On ne saurait peut être jamais son nom mais il serait toujours là haut et personne ne pourrait jamais l'oublier, il était si heureux. Si heureux que des larmes coulaient sur ses joues dans son sommeil. Mais cette chaleur qu'il ressentait provenait d'une toute autre source que celle qu'il s'imagine dans ses songes.
Non... Non il réalise... Il réalise qu'il est toujours en vie lorsque ses paupières s'entrouvrent, que ses sens s'éveillent à l'étrange posture dans laquelle il se trouve, sentant un sol rocheux sous son corps. Ses muscles sont encore douloureux de leur affrontement, combien de temps a t'il... dormi ici ? Elle ne l'a pas tué ? Pourquoi l'a t'elle attaché ?! Il le réalise lorsqu'il essaye de bouger, le bruit de chaines métalliques retenant ses membres écartés en étoile. Il tourne la tête vivement à droite, puis à gauche, apercevant ces moufles empêchant même ses doigts de bouger. Il essaye de tirer vivement sur ces fers mais rien à faire, il n'a pas recouvert assez de force pour s'en libérer !
Irina - Bonjour mon bel étalon ? Tu as bien dormi ?
... J'ai bien... Bien dormi... tu ne m'as donc pas tué. J'ose... Pas te demander pourquoi... Constatation évidente mais bon, fallait-t'il encore la faire, clignant à plusieurs reprises l'éveil de son regard.
Pourquoi l'avait elle attaché ? Pour l'empêcher de se faire du mal ? De se tuer ? Elle lui parlait de cette façon si douce, si emplie d'un désir vrai... Si vrai qu'il en était troublant, où alors elle l'imite vachement bien ! A chaque fois qu'elle lui parle comme ça elle finit par lui donner un coup, lui faire du mal, il craint la suite parce qu'il est attaché de la tête aux pieds, si elle voulait lui donner des coups il ne pouvait même pas parer, utiliser la souplesse de son corps pour dissiper une partie de l'impact. Il faut qu'il arrête de délirer elle l'a quand même pas gardé en vie pour le simple plaisir de le frapper ! Enfin il espère parce qu'il à encore mal partout, s'il y avait une association SoS Abyssiens battus il remporterait haut la main la palme, il avait l'impression d'être passé sous un rouleau compresseur.
Lorsqu'elle s'approche et vient s'agenouiller à ses cotés il à cette réaction défensive, ce petit redressement du corps avec un écarquillement des yeux le tout accompagné d'une inspiration profonde, ayant l'impression que ça n'annonçait rien de bon ! Il est crispé et nerveux, magnifiquement tendu et suspicieux jusqu'a ce qu'elle passe une main sur sa joue... Surpris il cligne encore son joli regard Abyssian dans celui d'Irina, la tendresse de cette caresse le réconforte juste assez pour qu'il relache cette drôle de tension défensive qui animait son corps et le plat de son dos comme ses fesses rejoignent à nouveau le sol.
Ses yeux s'égarent alors sur le corps dénudé d'Irina... Il s'empourpre, il n'avait jamais vu... Jamais vu un vagin aussi pulpeux, charnu et bombé de chair que le sien, ni un clitoris si enflé, ressemblant à magnifique fruit bien tendu de sa chair ferme, de son jus, si beau et mur. Donnant de terribles, profondes envies de le goûter, de lui faire tellement, tellement de choses avec ses lèvres, sa langue, ses dents pointues même... C'était indécent, toutes ces pensées primaires, primitives, honteuses qui envahissent son intellect d'Abyssian.
Quelle honte... Quelle honte qu'il soit en train de ronronner d'un tel traitement... Elle profite cette incroyable garce, elle profite de sa victoire. Disposant de son adversaire. Malgré les liens, les chaines qui le retiennent il surélève ses hanches lorsque sa main glisse sur son corps, la surface lisse et brune aux reflets caramélisés de son torse révèle deux petites billes roses lorsque ses ongles s'y attardent, insistante, comme sûre de caresser assez longtemps cette zone pour les voir apparaître et n'aura pas eu tort quand elle put les voir prendre forme, s'ériger pour former deux toutes petites billes roses enflées.
Lorsque sa main parcourt sa zone pubienne entre ses jambes... Elle sent la forme un peu plus bombée, charnue d'une forme aussi lisse, belle et ferme qu'un vagin sans lèvres. fermé. Lorsqu'elle caresse cet endroit une vague emmenées par une succession d'abdominaux contractés harmonieusement dans leurs mouvements font chavirer les muscles de ses hanches, de ses cuisses que sa position écarte et rend si vulnérable... Incapable de lui cacher quoi que ce soit. Il y avait tant de désir dans ses caresses... Même... Même jusqu'a... Jusqu'a cet endroit qu'elle caresse du bout de la pulpe délicate, douce de ses doigts qui glissent entre ses sphères fessières, cet endroit interdit entre ses belles petites fesses musclées qui en un temps se sont contractées pour l'empêcher d'y passer puis la caresse de la progression de son doigt a amené presque naturellement ses fesses à se détendre.
C'est à la fin de cette caresse chatouilleuse et troublante entre ses fesses que son sexe surgit depuis la zone lisse de son pubis clos, une verge à la peau velourée, brune comme le reste de son corps mais culminant de son sommet aux alentours des 47,5 centimètres du bout à la base, et peut être, quelque chose comme 49 où 50 centimètres au paroxysme de ses doubles battements de coeur, qui la tendaient donc très fréquemment et la rendaient bien plus rigide et dressée, très stable dans sa fermeté érigée, bien plus dure que la moyenne malgré la pesanteur qui devrait faire son travail sur l'organe elle était bien droite, les battements de coeur de l'Abyssian, qu'ils soient lents, où rapides étaient particulièrement puissants.
Chose rare pour être notée ses bourses se sont également libérées de leur prison, légèrement plus foncées que le reste de la couleur brune et mielleuse de son corps. Deux sphères fermes qui luisaient de leur cuir tendu et pressurisé, où lézardaient quelques bonnes grosses veines, tout comme sur sa hampe dressée, aussi épaisses qu'un index.
Cela fait si longtemps que j’attends cela... je ne veux pas en gâcher la moindre seconde... qu'en dis tu ?
Tu... Longtemps ? Comment ça... Longtemps ?! Tu...
Il aurait voulu terminer sa phrase par un "tu aurais pas pu le dire plus tôt... idiote..." Mais son baiser étouffa ses paroles et il roula des yeux, loucha de plaisir alors qu'elle attrape fougueusement sa bouche, projetant son torse vers l'avant, renfonçant un peu sa nuque et l'arrière de la tête vers le sol entre ses épaules tendues, comme pour tenter une dernière échappatoire, impossible, face à la fougue et la détermination de son baiser.
Que pouvait il en dire embrassé de la sorte... Haaawh... HaaaaawRh... Il aimait qu'elle prenne soin de lui alors qu'elle l'avait vaincu, il avait cru à sa mort entre ses cuisses, il avait eu si envie, si envie d'elle au moment même où ses odeurs, la forme si belle, mure de son sexe pulpeux s'était découvert à son regard... C'était trop facile... Trop facile de s'en prendre... A plus faible que soi.. Surtout qu'il est attaché ! C'était si dur pour sa p'tite fierté d'accepter la défaite, encore plus d'accepter qu'elle fasse tout ce qu'elle veut de lui... Et pourtant c'est bien ce qu'elle faisait. Pendant qu'elle l'embrasse sa verge ne cesse de pulser et se dresser si fort, si fort...
Elle empoigne sa crinière enflammée et l'embrasse, l'embrasse avec une fougue et une envie exceptionnelle, rare, qu'il n'a pas l'habitude de recevoir sur ses douces lèvres, il s'en laisse vibrer, ronronner dans son baiser, tortillant des hanches et effectuant des rotations du bassin et des cuisses, comme s'il cherchait à ramper, à lui échapper sans réelle conviction de se soustraire à ses lèvres, mieux encore la douceur lascive des déhanchements si fluides, si fluides de son visage accompagnent la danse de ses lèvres sur les siennes, l'emporte dans une valse synchrone d'happements de lèvres et de tournoiement de sa langue dans son baiser... ses yeux troublés pétillant encore d'un éclat farouche et défiant mais ils ne sont certainement pas dénué du mélange brumeux et vibrant du désir, haletant lorsqu'elle lui lèche les lèvres, plissant magnifiquement son regard d'un désir qui se fait aussi orageux et farouche que sa défiance, les deux y résident pratiquement côte à côte et d'égale mesure, s'annulant où s'apprivoisant l'un l'autre.
Humr... Toi... Depuis combien de temps... Depuis combien de temps tu voulais... me faire ces choses ?
Il profite qu'elle lui mordille la lèvre inférieure, et lui laisse peut être un moment de répit pour s'exprimer d'une voix qu'il se méconnait, plus suave et sensuelle à son tour.
Ca... Ca contrevient à... A toutes les lois internationales de... De traitement des prisonniers... Et c'est... C'est une violation de plusieurs traités des droits de l'homme. Je pourrai me plaindre ! Mais... Mais tu sais... tu sais comme je suis un Abyssian, je suis pas humain... On... On s'en fout ? Tu peux... Tu peux recommencer si tu veux... Moi... Je... Tu sais... J'ai très envie que tu... recommences...
-
Irina sourit et lui pose un doigt sur les lèvres.
Irina - Chuuuuuut...
Elle emprisonne la tête de Ludya entre ses mains, et pose ses doigts délicats sur les tempes de sa proie.
*TAC*
L' Abyssien ressent un choc qui le tétanise et paralyse sa pensée et son corps alors qu'un courant électrique passe entre les mains d' Irina.
Irina - Ce n'est pas de ta discutions que j'ai envie.
Elle roule en boule un morceau de tissu et le four dans la bouche de sa proie avant que la paralysie de l’électrochoc disparaisse. Le gout du tissu est âpre et salé, chargé du parfum d' Irina, mais surtout de l'odeur forte et délicieuse de son entrejambe.
Irina - Tu es à moi... tu parle quand je te l'ordonne...
Elle lui sourit, impatiente de voir comment ce jeune mâle orgueilleux et vaniteux réagirait face à sa prise de pouvoir. Sans dire un mot de plus elle tourne son attention vers les deux superbes tétons qui ornent les puissants pectoraux de la bête.
De sa main libre elle s'amuse avec l'un d'eux, le titillant du bout des ongles, le massant entre le pousse et l'index, puis le caressant de la pulpe de ses doigts. Quant à l'autre elle le prend en bouche, reproduisant les mêmes gestes, mais avec ses lèvres pulpeuses et ses dents parfaites. Sauf qu'à cela elle ajoute les lapements de sa langue puissante et chaude.
Pendant ce temps, la main qui caressait son entrecuisse continue son œuvre, sauf qu'elle va de plus en plus vite. Elle lui presse l'emplacement d'où la queue devrait jaillir avec la paume de sa main et frictionne son pubis de ses doigts experts. Une chaleur incontrôlable enflamme les reins de l'extraterrestre.
Irina - Alé... donne la moi... je la veux... laisse la sortir !
Irina prononce ces dernières paroles avec la fureur sensuelle d'une succube.
Soudain la chaire de l' Abyssien se déforme et pousse, révélant aux yeux ébahis et incrédules d' Irina son pénis énorme et gigantesque. Il est plus gros et plus long que tout ce qu'elle avait pu voir ou prendre durant toutes ses années de service. Quant à ses bourses, elles aussi étaient volumineuses, et de toute évidence, pleines...
Irina - Brave bête... c'est bien... voici ta récompense...
Ajoute t'elle en lui pressant la base du pénis entre ses doigts puissants. Elle remonte alors lentement en maintenant sa prise pour que l' Abyssien ressente chaque centimètre carré de son sexe qu'elle empoigne.
-
Qu'est ce qu'elle voulait faire ?! Elle voulait quand même pas en faire un légume en survoltant son cerveau ? Pitié... Pitié il veut pas devenir paralysé où enfermé dans son propre corps à jamais, qu'est ce qu'elle fait ?! Il a peur, il panique ou au moins ses yeux montrent de la panique au moment où le choc électrique se produit puis ses pensées se vident pour quelques secondes.
Irina - Ce n'est pas de ta discutions que j'ai envie.
Il aimait pas ces manières là, pourquoi elle vient de faire ça ?! Il est prisonnier de toute façon... Il peut rien faire ! Elle aime pas l'entendre parler... Elle aime pas sa voix ? Et viens lui foutre un morceau de tissu dans la bouche, il n'apprécie pas trop ça parce qu'il à l'impression que c'est très irrespectueux ! Puis c'est salé et tout pwââââah ça vient de son entrejambe !! C'est quand même pas ce qu'il croit quand même ? HEIN ?! Glourpfr ! Shi... Sh'est che qu'il penshe que ch'est... Hansh sh'est d... dégoutansh sha... HMmsh ? Dégoutansh ouish ! Lui y fouwsh pash sha culoshte dans la boushe des shens ! Sha va pash ou quoi ?
Irina - Tu es à moi... tu parle quand je te l'ordonne...
A elle ?! Non mais elle s'écoute celle là... Il a pas encore un collier autour du cou ! C'est vrai que... Qu'elle est très jolie mais... Mais saperlipopette c'est pas à elle de lui dire quand il peut parler où non ! GRrrr ! Il se remue en plissant l'orage défiant de son regard, mordant très fort sur le bout de tissu qu'elle à mis dans sa bouche, respirant au travers, il s'imbibe de sa salive puis doit bien la ravaler à un moment où à un autre, préférant respirer du nez pour éviter que son jeune cerveau soit trop vite atteint... Atteint par ses odeurs, ses hormones concentrées en plein dans sa bouche, ce qu'il trouvait un peu dégoûtant et insoutenable à son esprit quelques minutes plus tôt était en train d'envahir, d'ennivrer son cerveau de ses odeurs et de son goût si mûrs qui l'attaqueraient presque comme une espèce d'elixir, de liqueur où d'alcool bien trop puissant faisant des ravages sur les zones du désir même du cerveau de Ludya.
C'est pas vrai... C'est pas... HnGrr ! Possible !! HHaaaawww... Il ne savait pas qu'il pouvait être si sensible et si excité par l'extrêmité de ses propres tétons qui irradiaient de bien étranges chatouilles dans le reste de ses pectoraux, ça faisait du bieeen ! Plus de bien même qu'il ne l'aurait imaginé du bout de ses doigts si délicat et habiles, qui insistent et insistent à cet endroit, étirant, arquant son dos pour offrir les muscles très beaux et ronds de sa poitrine au supplice de ses lèvres, il gémit dans son baillon, un gémissement honteux et puis, heureusement étouffé pour cacher sa honte. Tout en faisant glisser ses cuisses comme s'il cherchait encore à lui échapper, pauvre fou...
Elle put sentir sa verge se dresser et durcir d'avantage lorsqu'elle s'acharnait avec ses lapements successifs, son corps y réagissait plus violemment qu'il ne pouvait le contrôler, envoyant des décharges de plaisir à chaque coup de langue titillant cette douce petite bille ornant la colline douce de chair ferme de sa poitrine.
C'était tellement bon ce qu'elle faisait avec son entrejambe juste avant que son engin ne jaillisse, en fait il aurait bien aimé résister un peu plus longtemps pour sentir le massage envieux, désireux et puissant de sa paume pressant ce relief charnel entre ses doigts et sa main entière, c'était tellement spécial, excitant de sentir ses doigts et sa main complète pouvoir emprisonner et masser la chair ferme de son pubis fermé, plus elle le massait et caressait là dessous plus elle le vit danser, chavirer, rouler des abdominaux et des hanches en poussant sur ses talons pour faire remonter ses fesses du sol, son bas ventre et ses cuisses en tremblaient, comme tétanisées au sommet d'un déhanchement envoyant ce pubis fort haut et loin appuyer contre sa main puis revenir en arrière dans un mouvement fluide, si roulé des hanches avant de repartir à l'assaut du prochain passage de sa main pour s'appuyer volontairement plus fort encore dessus.
Irina - Alé... donne la moi... je la veux... laisse la sortir !
Inutile sans doute de répéter ce qui aurait déjà été dit à ce sujet mais ses organes génitaux jaillirent littéralement de son corps de là où il n'y avait absolument rien précédemment, même pas d'ouverture ni de supposé cachette visible, non ça jaillit immédiatement à la surface du pubis lisse et rond.
Irina - Brave bête... c'est bien... voici ta récompense...
Brave bête... Brave bête ?! Non mais ça va pas il est pas un pitain d'animal hein ! Une récompense ?! Il avait rien demandée ! Faut qu'elle arrête tout d'suite avec ça parce qu... ?! Hhh... HHOoooooh... HUuMmmm... Non non non elle faisait quoi la ?! LAaa ?! LAAAhh !! LAaaaaaahh huuuuuuuuuuuuummmm !!! Ses doigts empoignaient si fermement dans la chair dure de son truc que, d'habitude c'était lisse, très lisse, ultra lisse même mais elle, elle empoignait si fort dedans qu'on pouvait presque entendre comme un crissement de gomme d'un pneu freinant à bloc sur la route où lorsqu'on prends un tournant trop vite, où comme les semelles toutes neuves de chaussures crissant sur les carrelages... Ses doigts parvenaient même à se presser dans la chair de sa virilité et la masser, malgré son incroyable fermeté lisse et sa dureté.
C'était tellement plaisant le touché d'une femme aussi puissante et mûre qu'elle mais en même temps un peu douloureux on lui avait jamais empoigné la verge pour la caresser comme ça auparavant, en plus elle faisait ça lentement, elle emprisonnait certaines de ses pulsions sanguines dans sa verge en la caressant si fort ce qui l'épaississait par moment d'avantage.
Ses yeux s'embrumaient de désir mais quelques petites piques farouches luisaient ici et là dans ses yeux, elle était lente exprès pour qu'il ressente toute la surface, l’entièreté de son machin glisser entre ses doigts et de la base à la pulpe de son gland elle ne put que ressentir la tension très lisse d'une chair et d'un cuir exceptionnellement tendue sous la densité plus forte, plus outre-monde de son corps et ça le tuait, cette délicatesse mêlée de fermeté, de puissance, et le désir qui sortait de ses lèvres ça le faisait fondre.
Oui ça commençait à le faire fondre, roulant sa joue couchée sur la rondeur de l'une de ses épaules en faisant mine de la regarder du coin de ses paupières mi closes, mastiquant avec honte le bout de tissu dans sa bouche pour le faire suinter de son jus, s'imprégner du goût de plus en plus désirable du corps mûr et puissant d'Irina. Ses mains et ses pieds cherchant à tirer parfois sur leurs fers et toute sa musculature se mettait à onduler et se contracter par endroits lorsqu'il le faisait, se braquant soudainement lorsqu'une empoignade était plus forte qu'une autre. Ca devait sans doute être la première fois qu'Irina devait pouvoir user d'une bonne partie de sa force en empoignant un sexe sans qu'elle ne le déchire en n'y allant pas forcément avec le revers de la cuillère, Ludya était bien membré mais c'était aussi très solide comme le reste de son corps.
Prisonnier et désormais dans l'incapacité de s'exprimer, juste... Juste subir... Subir ses tortures, ses yeux se rivaient dans les siens, fébriles et tremblants si rapidement. Malgré le baillon des souffles chauds de désir laissant des petits nuages de buée par différence de température commençaient à s'élever à mesure qu'il haletait au travers du baillon qu'il mordait, mordait fièrement entre ses jolies paires de dents pointues. Puisqu'il n'était qu'une bête d'après elle il se mit à grogner dans son bâillon en la fixant du regard.
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Au début le bel étalon de bronze tente de lui résister, mais cela ne fait que renforcer le désir prédateur et arachnéen de la Cyborg. Et comme toute veuve noire qui se respecte elle commence à inoculer son venin... Tout le corps d' Irina se met à exsuder d'une transpiration forte, aux râlants sexuels et exotiques. Le mélange d'hormones et de drogues naturelles se mêlent à ses sucs et commencent à glisser le long de sa peau d'albatre. L'abyssien assiste impuissant à leur chute inévitable, puis les premières goutes touchent sa peau et s'y enfoncent lentement. Le cocktail commence immédiatement à agir, développant son désir, troublant son jugement au point qu'il ne se soucie plus que de l'assouvissement de ses instincts. Les drogues courent dans ses veines jusque dans son cerveau, son cœur et son énorme membre reproducteur qui vient de jaillir, décuplant ses sensations de plaisir.
Irina le regarde changer et se mettre à grogner comme une bête, les yeux noircis par la folie du désir.
Irina - Bien... bien... tu as l'air prêt... tu ne me mordra peut être pas maintenant.
Et sans dire un mot de plus elle lui arrache le string qu'elle lui a profondément enfoncée dans la bouche. Elle se lève et vient se placer au dessus de lui, les pieds de chaque coté de ses épaules, la tête tournée vers son phallus. Puis dans un soupire de contentement elle se laisse glisser à genou, s' assaillant directement sur le visage de sa proie. Elle s'affale en avant pour pouvoir prendre entre ses mains la queue de Lydua et former ainsi un 69 parfait.
Irina commence à frotter sa vulve humide contre le visage du bel Abyssien pendant qu'elle le masturbe vigoureusement de plus en plus vite. Elle continue ses vas et vient, s'aidant de ses deux mains jusqu'à ce qu'elle sente son membre gonfler et ses hanches bouger sous l'orgasme montant.
Et quand elle sent qu'il est sur le point de jouir, elle presse la base de son pénis de toute ses forces et enroule la ficelle de son string autour. La queue turgescente de l'Abyssien se couvre de veines épaisses et gonflées et gagne encore en volume, la douleur et le plaisir son immense pour lui, mais il ne peux venir, elle l'en empêche. Son corps lui impose d’éjaculer, mais il en est incapable...
Irina - Tu jouiras aussi quand je le déciderais.
Ajoute t'elle d'une voix cruelle avant de refermer sa bouche sur le gland de Ludia...
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N... Non ! Elle... Qu'est ce qu'elle fait ? Qu'est ce qu... Qu'est ce qui envahit son corps, son sang ?! Il aurait du essayer de rafermir sa peau, l'imperméabiliser a la pénétration de cette drogue liquide, mais il avait été absorbé par la beauté de ce corps amplifiée par la glisse de cette magnifique sueur éthylique lustrant ses courbes. Il n'avait pourtant pas besoin de ça pour la désirer, bien qu'il aime opposer une petite résistance, juste de quoi attiser son désir, attiser doucement ses instincts de prédatrice mais elle avait décidé d'y aller fort, très fort d'entrée en infusant cette drogue aphrodisiaque très pure, extrêmement concentrée par les pores de la peau de Ludya... Bien que la composition des cellules et du sang de Ludya lui soit complétement inconnue elle effectua le pari un peu risqué d'introduire cette substance étrangère dans son corps, qui s'attaqua très rapidement à son cerveau, par chance ce n'était pas incompatible et les effets furent foudroyants ! Trop pure et si forte pour son organisme, ennivrant son cerveau.
Il y eut tout de même une réaction, un effet secondaire, les taches sombres de ses yeux s'étendirent à toute son iris devenue noire, comme si ses pupilles s'étaient largement dilatées.
L'étendue presque complète de l'éventail de sa musculature se mit à travailler, s'épaissir et se décontracter, ses battements de coeur d'augmenter leur rythme, à ce vertige de belles contractions physiques et de réactions physiologiques étranges qu'il ressent se lie l'ivresse d'un désir si puissant qu'on pourrait le qualifier de primitif, il ne savait pas qu'il était capable de se comporter comme une bête en rûte... Il n'avait d'yeux et d'envies que pour ce corps qu'il ne pouvait atteindre, mais qui ne tarda pas à lui offrir une vue imprenable sur les courbes si belles, si parfaites de ses cuisses et fesses là dessous, il vit les ombres et la lumière s'allier dans une danse pour lécher ses formes captivantes à mesure qu'elle s'approchait, venait s'assoir le joli minois de l'Abyssian qui, fut en partie enveloppé par la fermeté magnifique des volumes voluptueux de sa vulve déjà enflée de désir, pratiquement étouffé là dessous ♥ Elle couvrait une partie de ses traits enfouis entre ses lèvres qui semblait n'être alors qu'un coussin de chair bien tendu et charnu cherchant presque à épouser ses traits... Tout comme lorsqu'elle l'avait emmené dans les eaux glaciales et avait vu sa mort venir, Haaanw... Il n'aurait, dans son imagination encore fertile et ses fantasmes naissants, pas pu rêver meilleure façon d'étouffer ! Trônant sur son visage, ses lèvres s'entrouvrant pour l'embrasser quand elle se pose. Son petit nez également enfoui sous le délice de ses odeurs et de ses lèvres caressant l'arrête de son nez. Forcé de respirer tout contre sa chair, s'imprégnant de l'odeur entêtante de ses phéromones puissantes.
Il lèche, lèche, lappe comme une petite furie ! Ses coups de langue et les mouvements fluides de son visage ainsi que de sa nuque accompagnent en rythme ses glissades volontaires sur son visage, se servant amoureusement de ses traits pour se frotter, se gratter le sexe sur le doux faciès de Ludya, le badigeonnant de cette essence follement aphrodisiaque, qu'il lèche, lappe comme un petit chaton à la soif intarrissable, ses gémissements se font entendre, même si étouffés par sa vulve charnue lui épousant, lui ventousant, embrassant où même, aspirant les doux traits de son visage entre ses lèvres ! Il aimait tellement ça, tellement être à sa merci sans l'avouer, dans cet état second il loua le ciel de sa naiveté et sa maladresse qui l'ont conduit à perdre face à elle. A maintes reprises il aurait voulu se servir de ses mains pour plaquer trrrès très fort son sexe contre son visage ! Au lieu de celà il devait se contenter d'agiter vivement et rapidement ses mâchoires pour frotter son menton, ses lèvres, les traits de son visage trrrès très fort contre son sexe qui avance et recule, se frotte contre lui, si fort qu'elle pourrait avoir l'impression qu'il essaye soit d'introduire sa bouche où son menton en elle soit de se faire un lissage où un gommage des traits contre la chair de son sexe !
Sa langue râpeuse fait des ravages entre chacunes de ses allées venues, embrasant son sexe, il voudrait de temps en temps qu'elle s'arrête pour la mordiller gentiment du bout de ses crocs, apprécier le volume entier de sa zone pubienne enfermée entre ses dents et pointiller le bout de ses dents partout dessus ! Goùter à sa chair juteuse qui l'affole d'envie et mastiquer son sexe comme on aurait envie d'apprécier l'élasticité et la texture d'une telle bonne chair entre ses dents ! Des désirs et des envies primitives oui ! Qui n'avaient pas le droit de se développer tant et si fort qu'elles chassent toute logique où raison de son esprit ! Et elle faisait ces choses si excitantes avec ses mains, la poigne redoutable de ses mains enserrées solidement autour de son membre, elle serrait fort, fort contre la fibre dense et très solide de sa verge. Pourvu qu'elle use de sa salive, où d'un quelconque lubrifiant, autrement ses mains allaient déraper le long de son membre ultra lisse tout du long et lui échauffer douloureusement le cuir ! A force de crissements caoutchouteux sur la longueur impressionnante de son membre. Elle avait là aussi du se servir de ses sucs surpuissants pour lui graisser la queue sans quoi elle n'aurait pas pu le masturber vite, plus vite, encore plus vite et si fort, insistant bien à une allure qui ne pouvait pas lui laisser la moindre chance d'échapper à la montée rapide, trop rapide de son plaisir, et elle le savait, elle le savait puisque soudain elle lia la base de son sexe avec les lanières serrées de son string alors qu'il souffrait de l'envie de se libérer !
C'était si intense ! Si fort ! Trop même peut être pour le pauvre Abyssian qui n'était pas habitué à des traitements si "hard" il en était encore à faire les choses avec douceur ! Et ouille ! Ca lui faisait mal, et c'était beaucoup plus sensible que chez un adulte accompli ayant l'habitude d'autant de choses ! Il feulait autant de douleur que de plaisir et parfois elle pouvait voir que c'était un peu trop franc et intense pour lui quand des piques de sensations font se contracter son corps qui s'arque en cherchant à échapper à ses mains, à ses caresses si franches sur son sexe. Mais la douleur s'estompa et se changea bien vite en pur moment de délivrance, de bonheur soulagé quand son sexe érigé, encore plus que d'habitude par les pulsions sanguines emprisonnées, atteignant un fatidique et ultime 51 ème centimètre au bout des pulsations de ses deux coeurs, fut happé entre ses lèvres humides...
Il poussa un looong râle de soulagement satisfait, en dandinant un peu ses cuisses et remuant sa queue d'Abyssian à ce contact qui était si frais, si frais après l'échauffement brutal et impitoyable de son sexe par une masturbation si vive et rapide de sa verge qu'il la sentit même s'échauffer par friction ! Sa queue d'Abyssian titilla le bout de ses tétons pendant qu'elle s'étala de tout son long sur son corps. Maintenant qu'elle était étendue elle ne pouvait plus tant se râper le sexe sur son visage et lui pouvait sucer sa belle framboise enflée entre ses lèvres, faire tout le tour de l'extérieur comme de l'intérieur de sa vulve avec sa vilaine petite langue râpeuse ! Qui explorait, découvrait, la goûtait avec un tel appétit ! Il avait envie d'elle, teeellement envie d'elle, elle l'a rendu dingue de son beau sexe bien mûr et juteux qu'il a très très envie de presser contre ses lèvres, contre ses dents, le picorant, caressant en mouvements fluides, circulaires, de ses joues et son visage dessus... Une envie bestiale oui, bestiale de lui presser ce sexe enflé entre ses mâchoires où ses doigts comme on le ferait d'une éponge trop gorgée d'eau. Pourquoi... Pourquoi il avait envie de lui ravager cette magnifique chose dont les formes dévelopées et gonflées ne faisait qu'aviver la flamme toujours plus vive et grondante d'un désir qui... qui... qui lui donnait envie de dire des trucs pas très jolis, vulgaires même ! C'est à cause de cette drogue aphrodisiaque ! Oui, quelle bonne excuse... Il aurait voulu lui dire qu'il avait envie de faire de la salade de choufleur farcie avec sa petite fleur ! Autrement dit, de lui fondre le sexe au chalumeau de sa queue, lui démolir la chatte ! La passer au papier de verre avec sa langue ! Ce qu'il faisait déjà mais, GRRrroui ! Il la voulait il la voulait il avait jamais ressenti une telle obsession admirative et destructrice d'une envie de... D'une envie de mordre à pleines dents dans son sexe, lui mâchouiller et tout ! Il lui aurait semblé qu'il était fait pour être pressé trrrès fort pour le purger de son enflement d'excitation !
Pourquoi il pense à de telles choses, c'était même plus violent ces envies, comme pensées que la douleur qu'il ressent à ne pas jouir ! Cet aphrodisiaque le rend complétement fou ! Et pourtant il avait envie qu'elle continue, qu'elle continue à frotter son sexe sur son visage, il se trempait les traits dedans, le farfouillait de ses lèvres, de sa langue, rapide ! rapide ! si rapide ! tellement rapide ! Appuyant par quasi déhanchements fluides et rabattus de sa tête vers elle en exposant son menton, qui, son menton poussait sur l'aplani de sa langue, sa langue et bien, elle était reposée sur sa lippe inférieure et puis une bonne partie de son menton et c'était son menton qui poussait terriblement fort pour râper sa langue contre sa vulve. Il attrapait parfois son sexe entre ses lèvres et ses dents pour presser la chair et en boire le jus. Mais même s'il mordait c'était pas vraiment douloureux, il cherchait pas à percer la chair, juste la presser avec la forme de ses dents. Loin des pensées de Ludya l'envie de lui faire du mal, c'était intense comme traitement pour son sexe mais il était tellement beaaau, tellement, sais pas, plein de volume, charnel, symbole d'une terrible fertilité ! On aurait dit le plus jolis des petits coussin de cuir très lisse et tendu, ferme, Ca donnait envie de le... De le ravager puis voilà !
Mais elle put sentir qu'il défaillait quand elle encercla son sexe avec ses lèvres, sa tête se rejetant en arrière dans un grognement plus suave, profond, éperdu du mal de plaisir qu'il ne lui était pas permis ♥ Si bonne, si belle et aussi si cruelle ! Son gland pulsait anormalement fort de ses battements, elle pouvait le sentir battre la mesure de ses deux coeurs entre ses lèvres, les écartant un petit peu au bout de la pression forte d'une infusion sanguine dans sa chair et les laisser se refermer d'avantage autour de son bout. Il voulait sentir le soulagement de sa salive et de ses lèvres l'englober d'avantage, c'était insupportable tout ça, ouie ! Rrroui ! Il n'avait aucune idée qu'on pouvait le torturer de cette manière !
Autrement... Il ne pouvait qu'être dans l'attente au travers de son agonie, n'avait aucun contrôle et ne pouvait faire que subir les envies de cette magnifique tortionnaire... Et comprenait peu à peu l'étendue ravagée et impressionnante de ses désirs frustrés pour son Abyssian captif au compte goutte des gestes parfois brusques, parfois plus tendres, impatients, experts où savants, et il ne pouvait décidément pas faire autre chose que vibrer, puisqu'il lui était même impossible de parler avec son sexe collé au visage.
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Ludya utilise sa langue et son visage avec beaucoup d'ingéniosité et de force malgré sa faible expérience, Irina en est surprise et joui à plusieurs reprises, rien que sous les assauts de sa tête. A chaque fois elle gémit et s' effondre de plaisir sur sa face et l’étouffe tout entier avec sa vulve. De petits filet de cyprine inondent la peau d'or de son captif et se repend dans sa bouche. Ce premier échange la transporte et la récompense de ses efforts fou pour parvenir à s'emparer de sa belle proie. Mais à mesure qu'elle prend du plaisir avec lui, son obsession évolue, mute en quelque chose de plus fort et de plus pure.
Les lèvres d' Irina enserrent la hampe large du pénis Abyssein et sa langue experte commence à tourner autour des ailettes de son gland. Soudain elle constate quelque chose de surprenant de sa langue de velours. Elle relève la tête et extirpe la queue immense de Ludya de sa bouche.
Irina - Guhaaam...
Elle se redresse légèrement, encore toute tremblante des orgasmes qu'il lui a procuré avec sa langue et sa bouche, et le regarde, surprise.
Irina - Tu... tu n'as jamais ?... Ou alors très peu ? Je veux dire... ton ... ton sexe... il est encore si ... jeune...
Sa langue ne la trompait pas, son gland était encore parfaitement lisse, presque vierge, ce pouvait il qu'elle soit sa première ? Ou au pire l'une des premières ? Cette idée la fait sourire et elle revient se camper au dessus de sa grande queue dressée et gonflée par le garrot qu'elle lui a mis.
Irina - Tu n'as jamais connue de femme avant moi ?
Lui dit elle avant de lui prendre le gland entre les doigts et de le positionner juste sous ses épaisses lèvres pubiennes, dégoulinantes de salive et de cyprine. Elle le torture en massant les ailettes de son gland et en frottant l'extrémité de celui ci contre l'entrée de son vagin brulant.
Irina - Dit moi...
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Irina - Tu... tu n'as jamais ?... Ou alors très peu ? Je veux dire... ton ... ton sexe... il est encore si ... jeune...
Ohlala... Fallait qu'elle lui pose des questions embarassantes... C'était pas assez humilliant d'être vaincu et qu'elle dispose de lui comme bon lui semble fallait en plus que ça devienne personnel. Il détourna le regard en redoublant de rougeurs sur les joues quand elle se mit à la regarder et posa cette question très... intime. Mais avec cette dose de phéromones puissantes il lui était pratiquement impossible de ne pas trouver tout ça excessivement agréable...
Oui... Sa langue ne la trahissait pas sur ce point... Si l'on prends son expérience de base qui était... Bon... Quasi nulle... Et si elle était parvenue à jouir de la frénésie d'un appétit inqualifiable sur son sexe, c'est avant tout par l'éveil de pulsions sexuelles qui surgissent d'une part à cause de la drogue phéromonale qui l'a pénétré... Mais au même moment où elle présenta sa magnifique vulve gonflée de désir à son regard, à son visage... Il a été épris d'une envie folle, rongeant sa raison et son corps. D'un régal d'une vivacité motivée par le fantasme naissant et mourrant dans ses gargouillis vibrés dans son sexe, n'ayant plus d'yeux, de lèvres et de dents que pour cette belle chaire mûre qu'elle lui a offert. Ses questions restèrent sans réponse pour le moment... Il gardait son visage et son regard détourné de honte, rougit et pinçant ses gémissements entre ses lèvres lorsqu'elle lui prend le bout entre ses lippes. Car entre les histoires complétement abandonnées et une ligne du temps difficile à mettre en place pour d'autres qui ne sont pas finies et ne sont pas sûres de finir un jour, ce n'était pas évident de situer et recadrer quelle est véritablement son expérience à ce moment.
Tu n'as jamais connue de femme avant moi ?
Oh si il a bien connu des femmes ! Mais certainement pas comme elle l'entend... Il connaissait... Ben... Sa mère adoptive, sa demie soeur ou soeur d'adoption, la chef du laboratoire dans lequel il a été enfermé, quelques femmes qu'il à croisé dans la rue. Si si il -connait- où à déjà vu des personnes du sexe féminin ça lui est quand même arrivé d'en croiser. Mais il sent qu'il ferait l'idiot s'il répondait ça. Irina voulait savoir autre chose et il comprend vite que ça avait avoir avec le sexe quand elle le positionna entre ses belles et épaisses lèvres... Les yeux de Ludya implorant une certaine forme, hmmmm, de -pitié- face à cette torture très, trop agréable en voyageant de son regard à celui du bout de son sexe qui glissait entre ses jambes... Il hochait la tête par la négative en soufflant : Non... Hanw non... Non...
Et plus elle le caressait entre ses lèvres, le rapprochant de son entrée... Plus il se sentait devenir incroyablement sensible et aussi inquiet qu'impatient... répéter plus vivement et rapidement ses non...non...non..non.. Haanw !! D... Doucement !!! pitié... non.non!non!non! nononononHhannnWwww !!!
Il se raidit et roule des hanches comme il le peut sur la surface du rocher sur lequel il est solidement attaché, ses griffes au bout de ses doigts cherchent à pincer ses paumes, sa langue à se faire mordre entre ses dents et ses orteils passer de l'écartement en éventail à un croisement successif entre eux. Sa longue hampe pulse très fort, aussi fort qu'elle ne l'aurait fait d'un orgasme qui lui est interdit, oui, le simple contact avec sa cyprine aphrodisiaque et ses lèvres acceuillantes, chaudes, brûlantes... Avait suffit à provoquer un vif durcissement de son membre qui vibrait avec excès de la torture de cet orgasme certes prématuré, qu'on lui refuse. Mais qui prouvait bien la grande sensibilité de son membre.
Irina - Dit moi...
Le regard mis clos, égaré.... Quelque peu perdu dans quelques unes de ses mèches de cheveux mordillées au coin de ses lèvres... La respiration rapide et haletante il répond :
N... Non je... Je pense pas... Je crois pas... Pas comme... Pas comme ça... HAnwrghrwr.. Jaaah... Jamais... Doux... Doucement... s'il vous plait... S'il vous plait ?
-
Chaque frottement de l’énorme gland sur l'extrémité de sa vulve la fait littéralement sautiller de plaisir, elle gronde comme une chatte en train de dépecer sa dernière prise du bout de sa langue rapeuse. Quand il fait "non" de la tête, elle plonge son regard dans le sien et sourit de toutes ses dents d'un air triomphant.
Irina - Tu vas m'emplir de joie alors...
Elle se penche en avant jusqu'à ce que ses énormes seins écrase sa poitrine musclé et que ses lèvres caresse son oreille. Elle lui susurre alors:
Irina - [Murmure] Tu n'oublieras jamais que je suis ta première...
Elle l'embrasse fougueusement pendant que lentement elle fait glisser ses mains vers le bas de queue. Puis elle s'affaisse lentement sur son énorme gland et commence à s'empaler avec lenteur sur son sommet.
Irina - Hummmmm.. Haa ! Oui...
Elle enroule ses doigts autour de la nuque de son jouet sexuel qu'elle laboure de ses griffes. Et elle continue de faire progresser son sexe turgescent dans sa fente humide et brulante. L' abyssien sent sa queue prise dans une véritable presse de chaire visqueuse, le gratifiant de sensations orgasmiques intenses, sans que toute fois il ne puisse jouir.
Après avoir enfoncé près de vingts bon centimètres de sa queue en elle, Ludya sent son gland buter contre un muscle en auréole, puissant et résistant, Irina grimasse à la fois de plaisir et de douleur. Elle baisse son regard de glace vers son entrejambe et remarque, stupéfaite, qu'il reste encore près d'une vingtaine de centimètre avant que leurs hanches ne d’entrechoc. Mais la Cyborg, visiblement effrayée par la longueur et la grosseur du pénis de son étalon, recule et commence à ressortir, puis elle s'empale de nouveau.
Elle commence de long vas et viens en gémissant de plaisir mais à chaque fois elle s'arrête avant que le gland torturé de son partenaire ne touche à nouveau le col de son utérus. Irina ne sait que trop ce qui arriverait si elle allait plus loin, les scientifiques de Biogénix avaient tapissés toute la zone de cellules clitoridiennes, y introduire un sexe de cette taille porterai son orgasme bien au delà de la démence, et elle devait garder toute sa tête pour contrôler sa proie.
Pendant ce temps la, Ludya, toujours victime de ce viole sent ses forces lui revenir, ses bras commencent à retrouver leur vigueur surnaturelle et sans que la Cyborg ne le remarque, ses poignets commence à déformer le métal de ses menottes.
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Il avait pas l'droit de céder... Il était plus fort, plus fort que ça ! Non... Non ?! Pourtant c'était tellement... Tellement bon oui... Ca faisait tant de bien de se laisser glisser dans les frissons qu'offrent la volupté du plaisir charnel offert par un corps entièrement pensé dans ce but... Sentir son sexe si sensible se faire sucer avec une avidité folle entre ses belles lèvres enflées et puissantes... Elles l'épousent et l'avalent sans pitié, caressant la moindre cellule de peau dorée et brune glissant dans cet endroit. Il en deviendrait fou lui aussi avec cette satanée drogue dans le sang, l'impossibilité de jouir et de jouir encore alors qu'il est certain que si cette chose n'entravait pas ses orgasmes sa sensibilité privée de l'inhibition de son armure dermique l'aurait déjà obligé à jouir depuis les premiers instants où elle à commencé à envelopper son sexe avec ses lèvres. Il n'avait certainement pas assez d'expérience et de retenue encore pour savoir comment bien s'empêcher de ressentir trop fort ce genre de caresses et il ne savait pas qu'il devait se concentrer sur autre chose que ce qu'il ressent et pas regarder en plus ce corps si désirable offert à ses yeux, tout ça... Tout ça ça participait à faire monter trop fort et trop vite son désir.
Mais cette abstinence forcée... C'était une douleur à laquelle il commençait à s'habituer a force de se faire gâter comme ça... Où anhesthésiée par le désir sans cesse grandissant et étranglé, désir auquel il était impossible de s'échapper de sa hampe gorgée de sang.... S'il avait encore tout ses esprits cet enflement l'inquiéterait, il ne l'avait jamais vue si enflée, si dure... Puis jamais jusqu'ici il avait vue des veines apparaître sur sa verge en général le cuir velouré brun qui la recouvre ne les laisse jamais apparaître et elle reste toute bien lisse à la surface. Mais là a cause de l'étranglement certainement elle est Couverte de grosses veines aussi épaisses que le pouce lézardant à sa surface comme si elles allaient éclater un jour !
Mais bon autant se rassurer tout de suite malgré leurs largeur impressionnantes ça éclatera pas hein les vaisseaux sanguins sont faits pour être extensibles et un Abyssian est particulièrement résistant et souple... Cette drogue aphrodisiaque permettait sans doute une dilatation plus efficace des vaisseaux sanguins et donc une meilleure circulation aussi. Ces veines dansaient et s'allongeaient comme des serpents voyageant sous sa peau lorsqu'irina descendait puis remontait avec ses lèvres serrées sur la largeur importante de son membre et il louchait et salivait d'un désir qu'il était incapable de libérer en jouissance. Et ça arrangeait rien de fermer les yeux c'était encore pire en fait ses sens étaient encore plus concentrés sur ce que subissait sa verge et concentrés sur les caresses griffées dans sa nuque déjà pleine de frissons.
Irina - [Murmure] Tu n'oublieras jamais que je suis ta première...
Haaah... Haaaah... Difficille d'oublier... Autant de douleur et de plaisirs mêlés... Surtout comme ça pour une première fois c'était intense elle était si enveloppante, autant de corps que de ses bras, de ses lèvres et de l'intérieur aussi... Irina dut sentir tant et tant de durcissements incontrôlés de sa verge lors de sa longue et lente progression sur lui, qui s'intensifièrent encore plus lorsqu'il sentit son ventre, sa poitrine et finalement ses lèvres venir appuyer et affirmer sa victoire sur l'Abyssian... Une bonne dizaine de fois... Il aurait pu jouir et durcir d'orgasmes une bonne dizaine de fois de suite lors de cette rencontre au moins aussi crainte qu'espérée... qu'attendue... Ces durcissements vifs de son sexe s'en trouvaient être aussi successifs et rapprochés uniquement parce qu'il était incapable de jouir une ou deux bonnes fois ! Oui s'il avait pu jouir il serait déjà aux anges et soulagé, mais encore plus vulnérable aux sensations. Elle était maline... Elle l'avait fait exprès pour qu'il reste dur tout le temps ! Au purgatoire... Toujours entre envie et désir mais ne jamais le laisser atteindre de délivrance ! Etait elle sadique comme ça ? Elle voulait le torturer ? Où qu'il la supplie de le laisser jouir ?! Que son cerveau fonde complétement et implore ?! Nan ce... ça arrivera... J... Jamais...
Son dos s'arque dans une courbe presque parfaite lorsque ses bras s'aventurent dans son dos et viennent glisser autour et sous sa queue d'Abyssian... Sans le vouloir en le touchant là en dessous ça l'électrise et propulse d'avantage ses hanches vers elle comme si une force magnétique ou un champ électrique agitait nerveusement le bas de ses reins et de caresser la zone autour de sa queue à toujours eu cet effet terrible ! Ah oui il est super sensible de cette zone c'est un peu comme s'il avait une plus grande sensibilité là bas que partout ailleurs, ça chatouille et envoie des milliers de milliers d'impulsions électrisées partant en vagues dans le reste de son dos et du corps depuis cet endroit et ça le forcerait à se cambrer pour échapper a ce frisson terrible !
Il libère ses poignets mais n'en a pas tout de suite conscience quand elle le caresse là en bas, il empoigne d'abord le sol rocailleux et perce la roche avec ses griffes, les y enfonce et s'aggripe de toutes ses forces pendant qu'elle l'étouffe d'un long et fougueux baiser, il se sent obligé de se séparer de ses lèvres pour respirer ! Et ce n'est pas respirer qu'il fait mais haleter rapidement en sentant sa raison et ses sens défaillir et le trahir... Il réalise que ses mains sont libres au moment où la chose qu'il désire le plus faire est de plonger enfin entièrement en elle, lorsque le miel d'or de ses paumes glissent sur ses hanches et s'attirent autant à elle qu'il ne l'oblige à s'empaler plus avant... S'enfuir en elle pour espérer que ses doigts seront cléments avec cette zone au delà du sensible qui lui fait déraper et danser les hanches sans qu'il ne puisse les contrôler !
Ses mains sont libres... Libres ! Et il lui mord les lèvres d'un baiser... D'un autre et d'encore bien d'autres en ayant ces gentils sourires, amusés et taquins entre chacuns d'entre eux et son regard d'Abyssian la regarde... La regarde du front aux arcades, des yeux à l'arrête du nez, jusqu'a ses lèvres sur lesquelles, il attarde la caresse de son regard puis y laisse encore la finesse de baisers plus doux et frais... Comme pour ponctuer l'inexorabilité de sa progression en elle... Il passe le cap qu'elle aurait voulu s'interdire... Non pas sans un de ces sourires malicieux qu'il sait éclairer ses lèvres et les traits doux de son visage et rendre dans cette situation particulière, inexpliquablement aussi irritants que mignons et outrageusement audacieux dans cette bravade corporelle qui anime cette nouvelle lutte... Qu'elle se sait voir dans un futur tout proche... Perdre... Perdre pour cette fois.
Il écrase sa poitrine de la sienne, la poigne est implaccable sur ses hanches, elle ne peut échapper à l'étreinte de ses bras... Les fers de ses chevilles ont cédé et ses pieds glissent entre ses cuisses et s'approprient là encore le droit de ne pas lui permettre la moindre retraite... Le regard de l'Abyssian s'embrase, l'or liquide de ses iris en fusion s'emplit d'une aura bleuie, électrique et Irina peut sentir que l'erreur de l'avoir caressé à un endroit aussi sensible commence à se répandre dans sa proie... Comme si l'électricité frissonnante produite se manifestait maintenant à la surface de son corps... Rajoutant au contact de sa peau une chatouille vibrante, pas plus dérangeante qu'une pile de quelques volts sur la langue mais dans sa persistance... De plus en plus chatouilleuse et irritante aussi.
Il lui mordille la peau du cou de baisers happés et s'amuse alors de son sort, avec la joie espiègle d'un chat et la tendresse du jeune Abyssian qu'il est, s'enfonçant petit à petit sans avoir la moindre envie de se presser pour calculer avec un sadisme un peu enfantin la déformation des traits déconfit de son visage qui réalise sa liberté de mouvement et sa vile petite envie qui se transforme en jeu à ses dépends. Ca la tue qu'il ne se précipite pas ? Mais il n'y a pas de raison il sait parfaitement qu'il n'y a pas de finalité à son désir et son envie, puisqu'on lui refuse simplement de jouir. Alors qu'elle aussi souffre une longue et lente agonie de sentir sa caresse électrique l'envahir... Oui... Oui il passe largement cette zone qui lui faisait tant peur... S'attarde sur ce qu'elle définit comme un anneau ferme et dur et l'écartèle sans heurts s'il le peut, mais sa force est difficilement mesurable en de pareilles situations. il pourrait penser qu'il est doux mais son gland ne semble pas à ses yeux et par sa force... Rencontrer d'énorme résistance, ayant récupéré une partie de ses moyens pour se raffermir et s'insensibiliser.
Alors ça glisse et ça finit par passer cette barrière, et il s'enfourne plus avant dans une danse de ses hanches amusées et exploratrices...
Est ce que c'est bon ? Est ce que c'est douloureux ? Qu'est ce qui se passe ? On n'assume pas comme une grande et on veut pas goûter son dessert jusqu'au bout ? Moi... Je suis sincère tu vois. J'ai un peu mal... Mais j'irai jusqu'au bout... Et comme tu m'as pas laissé le choix, tu viens avec moi.
Il sourit et lui caresse le bout du nez sur le sien tout en contractant les fesses et appuyant plus fort sur ses cuisses, s'appuyant de ses chevilles, et mollets contre les siens dans l'étreinte de leurs jambes et s'engage toujours plus en elle, toujours plus profond et petit à petit... pitit... à... pitit... Ses yeux pétillants d'un émerveillement enjoué limite agaçant roulent sur les siens et partout sur les traits du visage d'Irina avec ce sale petit sourire si sûr de lui qui se délecte de la moindre variations des traits étonnés ou surpris, ou meme de douleur et lorsqu'il la devine, la douleur entre deux plissement des yeux d'Irina, il lui caresse la joue en murmurant :
ssshhh shhh... Voilà... C'est toi qui a voulu jouer... T'as été trop gourmande et imprudente. On peut pas toujours gagner. Toi... Tu oublieras pas non plus... Ta première fois avec un Abyssian.
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Au début, Irina ne comprend pas son soudain élan de fougue, pensant que l'extraterrestre est totalement en son pouvoir. Mais au moment où elle sent ses mains puissantes et griffues l'empoigner, elle écarquille les yeux et réalise ce qui vient de se passer. L'équilibre des forces vient de changer ! Il c'est libérée, mais elle, trop prise par son plaisir et par sa concentration pour ne pas lui permettre d'aller plus loin, l'a ignorée. L'erreur lui est fatale, elle ne parvient pas à mobiliser suffisamment de force pour lui résister, et déjà elle sent son gland immense commencer à pousser sur la fragile porte de son utérus.
Irina - Ho ! Quoi ? Mais tu ? Haaaa !
Irina se cambre en le sentent forcer en elle, la douleur et le plaisir se mêlent et elle en perd la parole. Son visage, jusqu'ici dominateur et sournois, est maintenant perdu dans un brouillard d'incertitude et d'orgasme.
Il se libère enfin complêtement, l'écrase de sa poitrine et passe ses cuisses entre les siennes pour les lui faire ouvrir en grand, lovant ses hanches contre les siennes.
Irina - [murmure] Nan... nan pas plus loin... je.. HA !
Il lui mordille le cou et lentement, son apendice disproportionné se fraille un passage en elle, lui arrachant de plus en plus de gémissements et de cris. Tout le corps de la cyborg se cambre sus celui de l'abyssien qui joue avec elle comme un enfant avec un papillon, inversant totalement les rôles.
Irina - [murmure] Nan ! Hoooo... dou... doucement...
Soudain, sa dernière barrière cède, et l'abyssien s'enfonce en elle brusquement.
Irina - HAN !
Ludya sent le plaisir monter à nouveau en lui, il sent sa verge emprisonnée dans la chaire de sa première. Soudain, il se sent libre, le sang afflux à nouveau dans sa verge et dans ses bourses. Irina ne pouvant plus tenir la ficelle autour de la queue de l'abyssien, celle-ci à finie par se délasser d'elle-même.
Et il continue à s'enfoncer toujours plus profondément elle, toujours plus, et à chaque centimètre elle gémit et hurle de plaisir, griffant ses mains prisonnières des griffes puissante de Ludya. Irina perd peux à peux pied. Il est au plus profond elle quand il commence à sortir et à re-rentrer, encore et encore, à aller et venir, déformant son vagin et son utérus, lui provoquant toujours plus d'orgasme.
Ludya la sent ramolire petit à petit sous son étreinte, ses muscles se détendent à mesure qu'elle s'abandonne à lui et devient sa chose. Il a alors toute liberté de la prendre comme il veux et il s'enfonce toujours plus en elle.
Ludya - ssshhh shhh... Voilà... C'est toi qui a voulu jouer... T'as été trop gourmande et imprudente. On peut pas toujours gagner. Toi... Tu oublieras pas non plus... Ta première fois avec un Abyssian.
Irina ne peut plus rien répondre, elle est totalement sous son emprise, soumise à son bon vouloir, prête à le laisser la prendre et à recevoir sa semence quand il déciderait de jouir en elle.
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Han si... sisie... Plus loiiiin GRrrwrr ! Plus fort... T'as voulue jouer aux plus malines... Tu croyais vraiment pouvoir piéger une créature d'un autre monde avec des implants technologiques aussi archaiques ? hihi...
Ludya essayait de modérer la force avec laquelle il claquait ses hanches contre le corps d'Irina, mais parfois ça le dépassait un peu, il aimait claquer son bas ventre contre son sexe... Il commençait à aimer le son particulier de la chair en sueur de sa ravisseuse claquant contre l'ambre abyssiniale ferme de son rebond pubien... Sourires enjoués, carnassiers et serrés lorsqu'il claque bon et bien son sexe en elle... Et par dessus tout... Ces petites "pauses" durant lesquelles il prenait vraiment beaucoup... beaucoup de plaisir sadique à sortir eeeentièrement son membre mais, hihi... avec cette satanée expression de sale gosse limite hautaine, supérieur... Tandis qu'il sent bien les lèvres d'irina déformées par son épaisseur obligées de suivre le mouvement sortant de cet objet phallique d'une taille limite grotesque, ahurissante pour l'apparence douce et gentille du jeune abyssian.
Oui il essayait vraiment de se modérer... Mais ça devenait de plus en plus... fort... et dur... de retenir l'intensité de ses coups de rein, les soupirs et les cris de la cyborg se transformaient en étranges plaintes suppliantes à son esprit... Toujours en pleine réflexion il se demandait s'il devait mal interpréter... Pourquoi ces sons magnifiques provenant des lèvres de cette créature l'incitaient à vouloir en entendre plus, encore l'entendre soupirer et gémir... Plus fréquement... Plus haut... Avec plus d'intensité... Plus elle faiblissait entre ses mains, entre ses griffes à chaque coup de butoir déformant son sexe en provoquant désormais des sons humides très bruyants et salaces, plus il lui semblait nécessaire d'enchérir pour la punir d'avoir ne serait ce qu'imaginé le capturer... Nian... ça devenait plus fort que ça... Sa bouche... Son visage... ses seins.. Et ce regard... Elle était très belle, L'abyssian voulait la voir déformée et tétanisée de plaisir... Crampée de tous ses membres... à l'agonie, hihi.
Jusque là il ne s'était même pas encore servi de ses nanostérones abyssiniales pour autoriser son corps à changer lors de cet échange... si ce n'est pour s'en servir afin de s'insensibiliser lorsqu'il se rendit compte que, puceau et sensible comme il l'est, sans cette aide il se serait laissé aller bien trop rapidement... Alors, hihi... tricheur ? hmmm Pitêtre un petit peu... Mais après tout, c'est bel et bien la cruauté humaine couplée à la "science" qui lui ont permis de découvrir et développer ces talents. Et dieu sait si... Il avait quelque part au fond de lui, l'envie secrète de rendre à l'acceuil que ces créatures d'un autre âge lui ont réservé, la monnaie de leur pièce... Objectivement et réfléchi de façon calme en plein dans l'acte, en pleine transformation physique. Ludya savait très bien qu'elle n'y était pour rien. Mais c'est aussi elle, sa traque et son projet de l'enfermer à nouveau dans un putain de laboratoire qui lui ont réveillé ces pulsions que sa raison trouveraient sales. C'était tellement bon de labourer et pétrir la chair d'une si belle ennemie... Lui qui pensait... hihi... où idéalisait avoir... la vertu haute et héroique, bienfaitrice d'un de ces super héros de dessin animé... Se sentait devenir vil, injuste... Sadique à chaque coup de soc se répercutant dans tous les muscles de la cyborg, jusqu'a en secouer ses seins qui, étaient fortement pressés par les muscles de sa poitrine... Elle était magnifique, en sueur... haletante... sa chevelure blonde plaquée à ses joues, au bord de ses lèvres... Malheureusement pour elle la voir dans un tel état n'arrangeait rien ! nion... du touw... C'était pire à chaque seconde... Et... Ces choses étaient si nouvelles pour lui, ces sentiments très très forts, rageurs et pulsants dans son sang... Ses nanostérones travaillent... Tout contre elle elle peut même ressentir les masses musculeuses et fibraires changer, oui, changer et croître sous la peau ambrée de l'abyssian... Des sons de cartilages s'allongeant, se disloquant et couinant sous la croissance rapide et prématurée... Alors que cette croissance se fait progressive, ça n'a pas discontinué sa lancée... Forçant le sexe d'Irina à s'adapter a la taille de plus en plus monstrueuse du chibre qui la travaille... A en faire couiner ses matières synthétiques autour du cuir ambré du gratte-chatte qui se développe en elle.
Utiliser des méthodes de vilain contre d'autres vilains... Pour un esprit d'une soi-disant civilisation sensée être d'un autre niveau... C'était limite ridicule d'en venir à de telles conclusions, hein ? Après tout c'était encore un gamin il y a quelques minutes non ? Hihi... Mais franchement, comment... comment déjà, parvenir à réfléchir à ça pendant qu'on baise ? Bientôt, il n'aurait plus le temps ni l'envie de se branler la cervelle pendant qu'il fornique comme une bête galeuse...
Ses lèvres vont chercher celles d'Irina Tandis qu'il sort complétement de son antre... Son faciès aux traits limite chérubins... la jolimie lisse et grâcieuse de ses joues et lèvres lisses qui donneraient aux anges l'envie de les lui caresser ne semble pas avoir beaucoup changé... Par contre... Son corps à pris une telle démesure que la dichotomie entre son visage d'ange et le reste de son corps musclé est assez marrante, et fascinante à observer. Mais ce n'est pas sans les larmes aux yeux qu'il prononce ces quelques derniers mots qui tentent quelque part de se justifier ce qu'il fait comme s'il avait besoin de l'aide d'excuses avant de sombrer complétement dans l'aggravation rageuse et perverse de sa nouvelle condition :
T'as vu ce que tu me fais ? J'ai jamais été comme ça... Et franchement c'est tellement... regarde moi... C'est tellement ridicule, haha... J'pourrai dire que c'est totalement ta faute... J'ai... j'ai jamais "bandé" de rage comme ça, j'ai jamais autant ressenti l'envie de Gr... de GRrr... GRrrrravager qui que ce soit, de la façon dont j'ai envie de te... De te... Oui ! C'est facile pour moi de dire que c'est uniquement ta faute même si... ça ne serait pas tout à fait faux hmr ?..-
L'abyssian aide Irina à se retourner... Glissant l'ambre assombrie du cuir dur, tendu et lisse qui semble désormais synthétiser sa peau... Ses mains caressent ses épaules... Glissent doucement sur la sueur du dos d'une créature aux formes exquises et entrainées...
Nion... Allez... Ca serait lâche et facile de rejeter tout sur toi... Tout sur autrui. C'est aussi et avant tout la mienne, car je laisse celà se produire et j'en ai une putain d'envie. Combien de temps pleurerai-je encore là dessus ? Vous... Vous avez fait de moi un monstre... Vous m'avez volé les plus belles années de mon enfance... Et c'est trop tard, tu vois ? Je ne pourrai plus jamais revenir en arrière... Hihi... Alors, toi... Evidemment tu es juste là au mauvais moment... Tu ne vas pas pouvoir y échapper... Avoir le choix que d'accepter ce que l'époque... La causalité de ce monde, cet univers, cette existence ont fait de moi... Y a rien de juste... C'est juste... Comme ça, et puis j'en ai marre de m'entendre dire ces conneries, de me lancer dans ces tirades façon branlette de cervelle égocentrique... J'ai tellement mieux à faire là... Juste là... maintenant...
Termine t'il plus... séchement et sévèrement pour lui même, en plongeant ses doigts dans de la poudreuse bien froide... hm... l'adaptation extraterrestre de son derme semble accepter cette matière glacée, s'adapte et termine avec une main entière couverte d'une peau blanchie, glaciale... Et glisse le bout de ces doigts maintenant bien froids sur la ligne centrale du dos d'irina en commençant par le haut de la nuque... sillonnant en petites vagues ondulées, le long du dos... non sans que ce sourire irritant et malicieux n'illumine d'un trait de désir sadique son visage... Les derniers craquement d'amplification fibreuse et claquement cartilagineux se sont fait entendre... Ayant atteint ce qui semble être un "raisonnable" mètre 90 et des poussières, tandis que sa queue... eh bien... Repose t'elle désormais dans ton dos d'un poids qui en impose... alourdissant tes reins et t'écrasant presque contre le sol... Apparemment, ce n'est pas seulement la taille de l'Abyssian qui à changé, mais aussi toute la densité cellulaire de ce dernier... Tellement plus.. compact... Solide... Dense... Si l'on prenait une référence humaine et parlions d'une densité cellulaire de 1 pour l'humain, l'abyssian serait probablement à x4 à cet instant... Au point où ce membre aux proportions délirantes d'une cinquantaine de centimètres de long et huit de diamètre... ne pesait sans doute pas loin d'une bonne cinquantaine de kilos dans ton dos et que le poids total de Ludya devait avoisiner la tonne sans pour autant être démesurément large, ou grand, où qu'anatomiquement en paraisse plus de 110 même avec les proportions de cette musculature.
Opressante à reposer ainsi sur toi... Il passe ses doigts de chaque coté des aspérités nouvelles de son appendice à l'apparence plus "démoniaque"... contemplant le dessin de son sexe tracé de son contour sur la peau de ton dos en s'amusant de ce qu'il fait, et te fait subir... Car l'aura calorique de son membre démoniaque dégage une chaleur irradiante très plaisante lorsqu'il la laisse "choir" en claquant doucement ton dos après un passage glacial de ses doigts sous cette dernière. Dans le froid ambiant de cette cave glaciale... Son sexe dégage tant de chaleur que le décor se déforme dans la différence de température, telle une pine d'efreet où tout autre créature liée au feu et à la lave... Ses deux mains désormais glacées s'amusent à picorer ton dos , puis tes fesses d'effleurement glaciaux, puis de caresses pleines de ces mains gelées... Après quoi passe toujours l'apaisement de la chaleur grasse de son énorme membre qui, malgré sa taille et les pulsions rageuses qui la font durcir, semble capable de glisser avec autant d'adresse que ses doigts sur la rondeur de tes fesses... Et puis... Doucement mais sûrement... Les doigts s'intéressent à caresser cette zone entre tes fesses... Cette surface lisse que l'on appelle la raie...
Est ce que c'est frrroid hm... ?
Question inutile, il le savait bien, mais fallait il qu'il l'appuye au creux de ton lobe en se penchant dans ton dos tout en continuant de glisser et faire quelques gentils cercles du bout de la pulpe effleurée de ses doigts qui s'aventurent toujours, toujours plus loin... plus bas... et pis... de plus en plus près de sa petite rosette affolée par la fraîcheur de ce qui se rapproche d'elle.
-
Irina était allé trop loin et le piège qu'elle avait conçu pour l'adolescent se referme désormais sur elle.
Elle avait cru que le traquer, le terroriser, lui montrer sa supériorité martiale suffirait à lui faire perdre confiance en lui et le transformerait en proie facile.
Elle avait pensé que le dominer et le violer pour sa première fois le soumettrait à sa volonté et le transformerai en un de ces adolescents stupides et dévorés par ses désirs sexuels, de ceux qui sont prêt à tout pour la femme qui les à déniaisé.
Mais Ludya était fait d'une autre fibre, de l’étoffe dont on fait les Maitres et pas les esclaves. Et au lieux de corrompre son esprit enfantin, elle avait réveillé l' Homme qu'il aurait du devenir des années plus tard. Et cet homme n'était pas un faible pantin, non, il était un conquérant, un mâle dénué de peur et prêt à partir à la découverte de ses limites si tans est qu'il en ai...
Irina réalise alors qu'elle est devenu le pantin, et que le nouveau Ludya est un incroyable marionnettiste. Cette prise de conscience la fait revenir à elle et elle recommence à lutter contre l'étreinte de l'Abyssien qui continue de se lover en elle avant de ressortir en lui arrachant à chaque fois plus de plaisir. Elle doit se libérer, elle doit s'enfuir, elle ne doit pas rester entre les doigts de Ludya. Parce qu'elle aime ce qu'il lui fait, elle aime qu'il soit cruel.
Et si il devait la capturer pour l’emmener dans son repaire, il aurait alors tout loisir de la dominer, de la soumettre à ce traitement pendant des heures, des jours des semaines... et elle finirait par tomber toute entière sous son emprise. Si il parvenait à trouver la clef de son corps et de son âme, il pourrait tout lui demander, et elle le ferait.
Mais même en mobilisant toute la force de son corps cybernétique, Irina ne parvient pas à ce dégager de ses bras puissants. Pire, elle continue de e voir grandir et forcir, elle sent son sexe gonfler encore en elle et lui provoquer tans de plaisir et de douleur qu'elle en perde la tête.
Il lui parle, elle est tellement sonnée par la puissance de ses vas et viens et par la taille de sa queue qu'elle distingue à peine ses paroles. Puis il la prend par les hanches et la retourne comme si elle ne pesait rien, elle murmure un "non" épuisé ou se mêle espoir et désespoir, la cyborg se retrouve à genou et à quatre patte devant le puissant abyssien. Celui si jouit alors du spectacle de la courbe parfaite de ses fesses au teint de peau halé, de son dos parfaitement symétrique et de ses délicates épaules surmontés d'un cou gracile et noble.
Il remarque au passage quatre petites prises jack sur sa nuque, dissimulées à la naissance de sa chevelure, un des points faibles de la cyborg qui permet de la contrôler ou de modifier ses paramètres en y branchant un ordinateur.
Elle sent qu'il passe une main dans son dos, la caresse détend son corps et elle réprime un soupire de plaisir. Elle frissonne et rougit.
Elle essai de tenir sur ses bras mais soudain la main glaciale de Ludya frôle sa peau délicate. Une douleur et un plaisir cuisant lui parcoure le dos, provoquant une vague de chaleur qui descend jusqu'à son clitoris.
Irina - haaaaa...
Gémit elle en se cambrant en avant. Ses bras cèdent, son buste et son visage viennent s'écraser contre le sol alors qu'un filet de cyprine gicle d'entre ses cuisses. Ludya découvre alors un autre point faible de la cyborg: son corps ne fait pas la différence entre douleur et plaisir !
Implacable, il laisse choir son énorme pénis brulant sur la croupe et le dos de la belle qui, incapable de se redresser, se mordille le doigt en tentant de voir ce qu'il prépare en tournant la tête. Son regard ce heurte au monstrueux pénis hérissé et incandescent, elle écarquille les yeux de stupeur.
Irina - [murmure] nan... nan pitié.. c'est... c'est trop grHANNNNN !
Les doigts glacés de l'abyssien viennent de se poser à nouveau sur la peau de son dos, ils descendent et tout le corps de la belle se tend sur leur passage avant de s'abandonner à nouveau à la l'épuisement. Au fur et à mesure que sa main descend, elle gémit et tremble, transie de froid alors que sa vulve dégouline de plus en plus et que son clitoris gonfle de désir.
Irina - humm haa haa haaa... stop... pitié... c'est trop... c'est trop je ... je vais devenir folle...
Ludya - Est ce que c'est frrroid hm... ?
Irina - haaa.. haa... ou.. oui... c'est... c'est si .. froid.. haa...
Lui répond elle en grelottant et en dandinant involontairement des fesses. Elle sent la pulpe glacée de ses doigts venir lui caresser la raie...
Irina - haaaa... nan... nan pas la...
Elle essai de se redresser malgré le poids de ses seins et passe frénétiquement les mains dans son dos dans l'espoir de chasser sa main, et surtout chasser l' appendice énorme qui lui tiens lieu de pénis. Mais les poignets de la jeune femme sont si minces et fine que l'Abyssien les emprisonne facilement dans une seule de ses mains de géants.
Irina se retrouve alors totalement impuissante, le dos collé contre le buste viril et musculeux de son nouveau Maitre qui la tient fermement serré contre lui, à sa merci...
-
Et à nouveau... Il se plait à la contredire... d'une glissade caressée du bout de ses doigts glacés, il chatouille le contour de son anneau en ronronnant à son oreille :
Mais si, sisi... lààààà... hihi... Juste... lààààh... Mrrr ?
Un doigt tourne... effleure... chatouille... très joueur, oui... Trrrès joueur hihi... tandis que son autre main, du bout de ces autres doigts glacés offraient des caresses à ses tétons longs et durcis... Ayant alors saisi ses mains il la ramène vers lui, la redresse lui même contre son torse... Son épouvantable pine d'efreet incandescente dépassant largement entre les cuisses d'Irina... Son corps large l'oblige pratiquement à écarter les cuisses pour l'admettre entre ses jambes... Des excroissances dignes d'un démon née de l'exacerbation de ses nanostérones se sont érigées sur tout le corps de cette chose... Et cette ruguosité ambrée d'un cuir terriblement solide, épais et caoutchouteux passe lentement entre les cuisses d'Irina, la gaine principale bien large de sa verge pousse si fort contre ses lèvres qu'elles en sont déformées par le simple appui, la gravité du corps d'irina sur cette chose... La fin des excroissances de cet appendice d'un rouge irrité semblent produire ce que l'on pourrait littéralement décrire de "venin" aphrodisiaque... Une seule goutte, fut-ce t'elle tombée sur n'importe quelle partie du corps... se transformerait en une zone érogène terriblement démangeante, oui... hihi... Comme si une morsure d'araignée extraordinairement chatouilleuse et démangeante vous donnait l'envie de la gratter à sang... Et toutes ces choses présentes sur son sexe semblaient produire cette sécrétion venimeuse qui perlait, transpirait désormais partout sur son chibre... Et huilait la glisse de son sexe entre ses cuisses, qu'il se plaisait à "gratter" contre le sexe d'irina pendant qu'un doigt glacé s'enfouit, doucement, mais sûrement entre les fesses de son ennemie.
Il ronronne à l'oreille d'Irina pendant qu'il enfonce douuucement ce doigt en elle... Et lui mordille le lobe, hihi... Le bout de son doigt finit par se faire happer pratiquement tout seul à force de glisser et glisser sur sa rosette... Même pas besoin de forcer l'entrée, un très léger appui et les pulsations cardiaque de la cyborg permettaient à son doigt d'entrer... sans... la moindre... force... Nion... Même pas besoin... Il lui lèche la joue pendant que son doigt s'enfonce, tout froid... entre ses fesses, hanwr... ses si belles fesses, GRrrrr... Ludya touille son doigt à l'intérieur, doucement... Accompagnant ses petits cercles chatouilleux de petits rires à l'oreille d'irina et d'autres caresses de ses lèvres sur son oreille... Sachant la supplicier d'un mouvement contrastant avec la délicatesse limite amoureuse et passionnée avec laquelle il s'occupe de son petit trou... Son sexe drôlement rugueux flagelle littéralement son vagin lorsqu'il glisse d'avant, en arrière... Chaque pulsion sanguine dans la verge de Ludya l'allonge à un paroxisme d'une soixantaine de centimètres, et cinquante au plus bas d'une pulsation cardiaque... Avec cette monstruosité aux proportions à faire pâlir un minotaure, il lui rappe... et rappe tellement fort le sexe avec ce venin terrible ! Faisant avec aise une fournaise infernale de ses lèvres irritées et gonflées... Ca lui arrive, d'abandonner son petit trou pour empoigner ses hanches et la "forcer", la pousser bien fort sur le corps de sa verge faisant de longues et vives allées venues entre ses cuisses, Serrant et crissant des dents dans d'éventuels groulements de désir enragé.
Il avait noté ces prises dans sa jolie nuque de gazelle, ses lèvres avaient happé sa peau là derrière... Et sa langue pourvue de quelques électrons doux lui avaient envoyé une petite décharge dans ces prises, un voltage très bas, et peu ampéré, juste de quoi éveiller et faire frisonner quelques uns de ces circuits qui désormais étaient au courant qu'il... "savait"... Et sur ces paroles murmurées à ses prises dans sa nuque... Les allées et venues glaciales dans son petit trou n'avaient cessé... Mettant à l'exercice l'élasticité de son anneau avec ce premier doigt... Et il fallait qu'il appuye l'acte d'irritantes tirades d'une immaturité stupide, appuyée sur un acte aussi vicieux et chatouilleux ce n'était pas loin d'en être exquis pour sa "victime" dans cette situation trrrès particulière.
Touwrne et touwrne et tourrrne hihi... Hanw... Et Tournicotie, tournicotion.. Mrrrr ? Ton piti trou aime tout plein pas vrai ? T'entends les sons que ton joli cuw fait quand j'y enfonce mon doigt comme ça... Et comme çaaaah ? hm ? Et quand je tourne comme ça ? GRrrr... Dis donc... T'a paaaas hoooonte ? hihi, humm ?
C'est vrai, des sons de chair humide doigtée et son doigt ventousé se faisaient entendre... tous plus salaces et vicieux les uns que les autres...
Bientôt j'peux même ajouter un second doigt, sans le moindre problème... Voire un troisième depuis le temps... Oui.. Trois beaux gros doigts, piou... hihi... OOooh ! Puis un quatrième hein ! Oui ouie, il ira pas se ballader au bois ! ça nion. hahaha...
Te mord encore le lobe de l'oreille... l'emprisonnant entre ses lèvres en fermant les yeux, appréciant... Juste ce moment là... En cognant l'entrée de ton vagin avec son énorme gland matelassé de cuir et le rapant du reste de son membre d'un coup de rein bien plus vif... Aussie belles soient ses propres joues il semble qu'il adore aussi embrasser et lécher celle des autres... Surtout lorsqu'on est aussie mignonne d'être touwte faible comme ça... Avoir le dessus... Sur le fleuron de la technologie de cette planète... Sur ce que l'humain était alors à même de créer de mieux ? Hihi... trop facile. Il retira ses quatre doigts glacés... Embrassant ses prises jack dans sa nuque avant d'imposer la masse d'un gland puissant entre les fesses d'Irina... Et l'y glisser... de long en large dans sa raie... Pis le faire tourner, ensuite, sur son piti trouw.
Un p'tit tour pour ludyaaaaa... Deux petits tours pour Ludyaaaaaa... Trois petits tour pour moooiiiiiiiiiiii... Quatre petits tours pour...
Et au moment même où il s'exclama "TOI !" Il enfonça son gland dans son anneau qu'il avait pris, heureusement, le temps de besogner... Malheureusement Ludya possédait une force que rien ne semble capable d'arrêter, et bien qu'il soit excessivement lent dans sa pénétration et l'écartèlement excessif de l'anus de la cyborg... Son avancée était imperturbable... Quoique lente, d'un sadisme laissant à sa proie l'éternité pour se sentir se faire ramoner et déployer l'anus par la taille de son gland... Elle pourrait ronchonner, gémir, s'étouffer où même hurler, tourner de l'oeil... Rien, Ludya ne laisserait rien perturber son irrésistible avancée... Allant jusqu'a empoigner ses hanches... Serrant les dents dans un sourire pervers et d'un sadisme qu'il aurait lui même du mal à s'observer sur son propre visage... Son gland n'est même pas encore entré complétement qu'il sent la chair et l'anneau de sa proie couiner et se plaindre de sons charnels de leur manque de souplesse... Et ce n'est qu'une fois passé le cap de son anneau avec le col perlé de son gland qu'on perçoit toute l'étendue de l'évasement forcé de son cul et de ses hanches pour acceuillir son épaisseur...
GRRrrhaaanwRRr !!! Mais purée... T'es super... super serrée hein ! GRrrrr !!
Dit il en voyant le cuir pourtant bien épais et solide de son sexe être tout de même compressé par le rebord de son anneau pendant son avancée... Il grogne et enlaçe Irina entre ses bras... Dont les pieds ne touchent plus le sol lorsqu'il la plaque contre lui... Il cherche sa bouche... Ses lèvres... partageant sa langue avec la sienne tandis que ses mains pétrissent les hanches de sa douce ennemie... hmm... "Ma meilleure ennemie, Hmm... ?" Oui, Et ça ne serait pas faire honneur à sa victoire s'il ne lui offrait pas touuuute l'étendue de sa... "puissance" n'est ce pas ? Ses mains pressent bien fort sur ses hanches, l'obligeant à descendre sur sa queue démoniaque... Le magnifique bas ventre musclé d'Irina dessinant petit à petit la forme et la taille de son gland sous sa peau... Qui progresse lentement, centimètres après centimètres vers le haut... La laissant en proie à une drôle d'impression d'encombrement, d'emplissage... Ses crocs vinrent masticoter la ligne de sa nuque... Ses mains puissantes lui faisant faire ces demis cercles vissés vers le bas... Sans doute avait elle la bouche entrouverte, incapable de produire le moindre son durant cette invasion ? C'était pas assez pour lui... Il avait envie de l'entendre, même si elle en avait le souffle coupé hihi... Sa queue féline d'abyssian se mit alors à lui flageller le vagin, de belles et bonnes claques sonores d'un impact semblable à une bonne gifle... Et pendant qu'il la sodomise, lui épaissit le cul et farcit le ventre, il la flagelle bon gré... Et glisse toujours des baisers dans sa nuque, et son irritante petite langue abrasive emporte parfois sa joue dans une lèche souriante...
Laborieux... ça l'était... Mais il voulait que ça soit comme ça... ça n'aurait pas été aussi drôle sinon... Il adorait la sentir agoniser autant de plaisir que de douleur... Son ventre devenait beau... On l'aurait presque dit enceinte... Enceinte de son énorme queue ? hihi... Hmm... Il caresse ce ventre arrondi qui ressemblerait à s'y méprendre a la silhouette de son sexe encastré en elle... Et flagelle derechef son vagin... La laissant pisser sa cyprine abondante sur ses cuisses, sur ses bourses... Et là encore, d'un certain sadisme... Lorsqu'elle semble happer l'air comme un poisson pour parvenir à respirer il s'approprie ses lèvres pour l'étouffer de belles et longues secondes qui doivent lui paraître si longues... Si longues alors qu'il fait gargouiller son sexe dans son cul en s'osant à l'exotisme d'une danse des hanches Elle n'est encore qu'a mi chemin... Peut être à t'elle déjà envie de supplier... hm ? La laisserait elle même si elle le faisait ? Les coups de sa queue féline sur son vagin, aussi vifs et claquants laissent aisément penser que non.
Alors ? T'a BON dis ? hein ?! Hihi... C'est juste... Ta faute... t'a voulu te mesurer à l'inconnu... Et l'inconnu va t'explorer dans les moindres recoins jusqu'a ce que tu n'ait plus le moindre secret pour lui... Tu seras la première à qui je vais apprendre à respecter le dernier des abyssians de l'espace, GRRrwrr !
L'abyssian écarte les cuisses de sa suppliciée et les relève de ses deux bras, ramenant ses genoux très près de ses seins et passant ses mains derrière la nuque d'Irina pour avoir une prise terriblement posséssive et surtout, excessivement facile pour continuer sa sodomie... S'enfouissant un peu plus rapidement... Toutes les excroissances de chair abyssiniales autour de la masse de sa verge rebondissent contre son trou avant d'être forcé à plier et pénétrer son anus... Frottant contre ses parois internes comme autant de petites langues accrochées autour de son chibre... Le venin qu'elles produisent échaudent la chair anale d'Irina et la rendent progressivement irritante et trrrès plaisante au passage de cette vile queue... Il force.. On peut voir de belles veines parcourir ses bras... pendant qu'il continue de la visser, la visser sur sa queue... Son diaphragme se retrouvant poussé par son énormité et lui laissant désormais de moins en moins d'air pour accuser autant le plaisir que la douleur dans ses poumons... Et elle se sent possédée... Son cul, son ventre complétement envahi... Au point où son anneau et ses muscles fessiers luttent contre lui... Et pendant cette lutte... Il lui donne un de ces coups de grâce électrisé du bout de sa langue dans ses prises jack... Détendant juste une fraction de seconde ses muscles... juste assez... oui... juste assez pour s'enfiler de tout ce qu'il reste, jusqu'a la garde... Un -plop- sonore se faisant entendre lorsqu'il scelle son anneau de la base de sa verge et que ses énormes bourses d'ambre cuireux tendus claquent et pressent fort contre son vagin.. Il pousse un râle de délice... N'ayant pas imaginé être capable de l'enfouir entièrement dans cette créature... Il s'en mordille le rebord de la lippe en louchant au ciel... "Han ton putain de cul de soldate bien entrainée... Quelle fibre... Et ces abdos... Haaahhh... GRRr... c'est si bon... Tellement... Oui... Tellement bon..."
Il tient bon sa prise sur elle... mordillant son oreille, léchant sa joue... Soupirant un rire malicieux et sadique à son oreille... RRrrÂââaaaaah... Te voilà bien punie. Un peu de mal à respirer, peut être ? Han... Désolé... j'aurai du laisser un peu de place pour que tes poumons se déploient... Mais ma queue est très jalouse et possessive, qu'est ce que tu veux... J'y peux rien si elle est égoiste et qu'elle aime prendre toute la place !
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L'abyssien reste sourd à ses suppliques et continue ses caresses glacés jusqu'à ce qu'il atteigne la fragile auréole de son anus. Instantanément, il se contracte et elle sursaute en haletant contre son torse.
Irina - Ha ! Nan... nan... pas ça... c'est froid...
Mais encore une fois il l'ignore et ramène son corps contre lui pour lui torturer les tétons de ses doigts gelés.. Irina les sent étrangement, son regard tombe sur sa poitrine et elle remarque avec stupeur que ses tétons ont grandi, grossi et on prit une couleur rouge sombre.
Elle sent son énorme queue qui passe entre ses jambes, si monstrueuse qu'elle à l'impression d’être assise sur un tronc d'arbre. Elle écarte les cuisses en gémissant incapable de l’empêcher de se frayer un passage contre sa vulve. Elle sent les piques brulants venir caresser ses lèvres intimes qui se mettent à ruisseler sur le membre de Ludya.
Irina - Humm ?! Mais... qu'es ce que ?...
Sa vulve commence à la démanger, comme prise d'une excitation irrépressible. Irina regarde stupéfaite le sexe qui dépasse d'entre ses jambes et la substance poisseuse que secrète sa peau. Une larme coule sur sa joue, elle se sait perdue... empoisonnée par un puissant aphrodisiaque. Elle sait qu'elle ne peut plus contrôler son corps.
Comme une scie de bucheron, il fait de long va et viens contre la vulve de la cyborg qui gémit de plus en plus fort et le supplie de l’arrêter, de libérer ses mains pour qu'elle puisse se gratter. Son torse, arqué par ses bras tirés en arrière, met en valeur son énorme poitrine frémissante. La cyborg mouille si abondamment qu'un ruisseau de ses humeurs vient lubrifier son anus torturé et pris d'assaut par l'abyssien.
Irina – Hoooo non pitié par çaaaaaa...
Gémit elle à nouveau en sentant le doigt glacial en profiter pour s'enfoncer sans vergogne dans la délicate plissure de son anus qui s'écarte. Le froid est intense, elle écarquille les yeux au maximum, au point qu'on les diraient prêt à sortir de sa tête et tout son corps est parcouru de petits spasmes. Autour de son doigt, Ludya peut sentir la chaire brulante de la jeune femme palpiter, pulser violemment et plus il continue de frotter son sexe contre elle, plus elle défaille et se contracte autour de lui.
Sa bouche adolescente se pose sur sa nuque, Irina devine, horrifié, qu'il a percé son secret. ce qu' il lui prouve immédiatement... de petites déchargent vrillent son cerveau et perturbent ses paramètres, Irina se perd dans un maelstrom de comportement, de changement de sensibilité, de cycles. Ses yeux commencent doucement à ce révulser et elle ouvre la bouche pour laisser échapper un filet de salive. Soudain, ses seins se mettent à ruisseler de lait, quand il presse de ses doigts le téton de la belle, Ludya en fait gicler une trainée blanche.
Irina – Gaaaaaa...
Sa langue commence doucement à sortir de sa bouche, juste la pointe d'abord, qui se tortille comme un serpent lubrique. Une nouvelle décharge inonde son cerveau et instantanément les paramètres changent à nouveau, ses seins s’arrêtent de produire le précieux nectar.
Irina – Gniiii ! Maitre laissez moi vous donner du plaisir !
Se met elle à hurler à la surprise de Ludya qui réalise qu'il a du activer une sorte de mode: “super salope” en jouant avec ses configurations. Les mains de la cyborg, toujours tenues dans son dos, s'agitent frénétiquement et essai de caresser la poitrine du jeune homme et tente de descendre vers sa verge. Celui-ci la laisse faire et aussi tôt elle pose ses doigts graciles sur ces bourses gonflées pour les masser.
Irina – Défoncez moi Maitre ... je vous en pri... déf... Non... stop... arrête sale monstre ! Arrête de jouer avec mon cerveau !
Sans le vouloir Ludya a encore changé les paramètres de la jeune femme pour lui redonner sa volonté propre. Elle se commence à se débattre et il est obligé de lui ressaisir les mains. Il lui assène une nouvelle décharge, Irina retrouve sa position arquée en arrière, ses yeux grands ouverts et la salive recommence à couler de sa bouche. Elle dandine involontairement des hanches et sent un fourmillement étrange au plus profond d'elle-même, elle le reconnait, et de grosses larmes se mettent à couler sur ses joues.
Irina – Non... tu n'as pas le droit... non... par pitié... ne... ne joui pas... ne joui pas... veux... pas... tomber enceinte non...
L'abyssien, dans son ignorance et son jeu électrique, vient de donner un nouvel ordre à son corps. Irina sent qu'elle est en train d'ovuler, elle sait que désormais, si son utérus accueil sa semence, elle tombera enceinte...
Cette idée horrible la poursuit alors même qu'il continue son exploration en passant un second doigt dans son fondement, puis un troisième, puis un quatrième. Irina se met à grogner comme une bête qui met bas en levant le visage au ciel, sa langue frétille, mais une dernière parcelle d'orgueil en elle refuse de la laisser sortir comme une misérable nymphomane.
C'est alors que l'abyssien amorce le coup de grâce. Il retire sa main et présente son gland monstrueux contre son anus dilaté et glacé par son emprise. Il presse sa queue contre ses fesses, Irina tourne la tête vers lui en poussant un cris de détresse.
Irina – Nan... nan... c'est... trop gros... ça n'entrera ja...
La fin de sa phrase se perd dans le commencement d'un long râle d'agonie ou se mêle douleur et plaisir mortel alors qu'il enfonce lentement son énorme queue en elle. Centimètre après centimètres, le sexe de Ludya rappe son cul de ses piques gélatineux et déforme de plus en plus son anus béant. Tout le corps d'Irina se contracte et l'abyssien peut admirer le spectacle des yeux d'Irina qui lentement se révulsent. Le spectacle de sa langue qui sort de plus en plus de sa bouche grande ouverte et qui lui donne un aire d'actrice porno totalement lessivée par l'orgasme. Et en arrière plan celui de son bas ventre qui gonfle et se contracte à l'avancé de sa chaire brulante, qui remonte et qui gagne son ventre...
Irina n'est plus personne, elle a oubliée son nom, sa nature, elle n'est plus qu'un objet sexuel entre les mains de son propriétaire, elle n'est plus, elle ressent. Un plaisir extatique, au delà de toute mesure en dehors de sa douleur, son âme pervertie et enfiévrée à ce traitement ne sait plus si elle veut mourir, ou que cela continue toujours.
Gourmand, l'abyssien emprisonne sa bouche et sa langue offerte dans la sienne et commence à fouetter sa chatte et son clitoris hypertrophié. Elle perd le contrôle et commence à jouir comme la plus dévergondée des femmes fontaines. Mais le supplice continue et elle le sent monter en elle. Il la soulève toute entière et la juche sur son corps pour emprisonner ses jambes entre ses bras puissants. Dans cette position, il continue d'enfoncer sa verge plus profondément encore. Il est allé si profondément qu'il sent désormais tout le corps de la jeune femme luter contre lui pour l’arrêter. Elle résiste, elle résiste encore...
Alors il libère sa bouche pour venir darder à nouveau sa langue électrique sur les petites prises dissimulées sous sa chevelure d'or. Une nouvelle décharge et tout le corps de la belle ramolie l'espace d'un instant, un court instant, mais que l'abyssien attendait... il recommence à pousser en elle.
L'air dans les poumons d'Irina est chassé de sa bouche dans un long hurlement silencieux . La dernière parcelle d'elle même maudit son corps amélioré et ses incroyables capacité de survie avant de mourir sous une avalanche d'orgasmes, la queue de la bête, vient de finir sa route.
Irina n'est plus qu'une marionnette, planté sur le bâton de son maitre qui la fait danser et bouger. Elle sautille nerveusement, les yeux révulsé, la bouche grande ouverte et la langue pendante comme une esclave sexuelle totalement décérébrée.
Ludya - Te voilà bien punie. Un peu de mal à respirer, peut être ? Han... Désolé... j'aurai du laisser un peu de place pour que tes poumons se déploient... Mais ma queue est très jalouse et possessive, qu'est ce que tu veux... J'y peux rien si elle est égoïste et qu'elle aime prendre toute la place !
Ludya passe les mains derrière la nuque délicate de la jeune femme et pousse sa tête en avant pour la force à regarder pendant qu'il ressort son monstrueux tronc d'arbre d'entre ses jambes. La jeune femme contemple son corps ravagé et déformé, comme enceinte d'un œuf couvert d'épines, et recommence à râler de souffrance et de plaisir.
Quand il s'enfonce à nouveau en elle, Irina atteint un état second dans lequel il n'existe plus qu'orgasme et douleur. Elle se laisse manipuler et utiliser par le mâle qui la domine sans plus savoir de qui il s'agit, elle est perdue dans un océan de sensations. Elle se noie et s'enfonce, respirant quand la queue de Ludya ressort, hurlant quand il s'enfonce de nouveau et chasse l’oxygène de sa poitrine. Il continue ainsi encore et encore, déformant toujours plus le corps délicat de la jeune femme jusqu'à ce qu'il commence à grogner de plaisir lui aussi, de plus en plus fort.
Dans un rugissement de lion, il hurle de plaisir et commence à jouir profusément en elle. Irina est à nouveau prises de spasmes de douleur. Elle regarde, totalement stupéfaite et choquée, son ventre commencer à gonfler... à gonfler encore... à gonfler toujours alors que l'abyssien continue de pousser des râles de plaisir en giclant en elle.
Sa peau se tend à son paroxysme et son bas ventre ce couvre de fins sillons blanc alors qu'elle gémit de douleur. Au bout d'un moment, Irina pousse un hurlement épuisé en sentant le muscle de son anus céder et ramolire comme de la viande battue par le boucher.
Le sperme sous pression de son maitre se frayer un passage le long de sa queue pour fuir par les interstices de son muscle inerte qui se met à pendre mollement comme des lèvres pubiennes ravagées par des années de baise.
Irina - Je... mon... je n'arrive plus à... mon anus... je ne le contrôle plus !
Gémit elle à demi folle.
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C'est la première fois que Ludya connaissait la jouissance... Et c'était avec sa première ennemie... Sa vaincue... Toute pour lui... C'était tellement bon... Ses muscles du bas ventre lui lançaient des papillons dans le nombril et il voyait des étoiles... C'était une sensation si intense et étrange... Un signal envoyé au cerveau d'une telle force... Que ça tétanise pour un moment tous ses muscles et le crispe, tremblant de la tête aux orteils... N'avait envie que ça dure, puis quand ce fut fini, que ça recommence aussitôt ! Oui ! Après tout, il était toujours aussi dur, avait toujours trrrès envie d'elle, jouir n'avait pas déforcé sa tension sexuelle, au contraire... Peut être à cause de son âge, peut être car il était juste une créature d'un autre monde... Mais ça ne semblait pas avoir eu le moindre effet sur la force de son désir et de sa vivacité sexuelle.
Elle ne lui opposait plus la moindre résistance... Son anus était bien dilaté et ne forçait plus contre son mouvement, il ressemblait à une sorte de joli donut moeltonné de chair rose l'acceuillant en produisant des sons plus vicieux les uns que les autres ! hihihi... HanwRrr... On dirait que je t'ai encore vaincue... Alors que j'n'avais même pas encore fini de profiter de ma première victoire... Quel gâchis. Dit il en te laissant doucement choir le visage et tes tétons sombres et rougis, irrités et érigés contre la neige, replongeant avec un peu plus de fluidité le tronc barbelé de pointes de chair dont chaque épaisse pique pourléchait l'anneau avant de le déformer là ou ils passaient et se fondre en elle, sillonnant d'une caresse semblable à des dizaines de langues fortement pressées par le diamètre momentané qu'elles rajoutent à sa queue, sur ses parois lorsqu'elles s'engagent jusqu'au fond. Chacunes de ses pointes semblait chatouiller autant, si ce n'est plus que la précédente dans un orifice déjà bien battu et ramoli... Il était sûr que son corps de Cyborg était à même de le supporter. Il avait pu observer ses capacités régénératrices en combat. Ce qu'il aimait la voir serrer les dents, son ennemie, pour le tolérer dans son corps. Il fallait qu'elle apprenne de son échec, hmmmrrr ? Non ? Hihi... C'est comme ça qu'on devient plus fort !
Tu croyais pouvoir t'en sortir comme ça ? La leçon est pas finie ! Je vais te laminer le cul à en refondre tous tes circuits au point où tu vas perdre toutes tes certifications cisco.
Se plait il à lancer d'une voix drôle et amusée, C'était sans doute un peu effrayant... Cet ado possédait un corps très puissant et endurant... Comme un gamin aux commandes d'un engin de chantier... Empoignant ses hanches pour plonger en elle d'une traite bien fluide, durant laquelle on put entendre une série rapide de "flop-flop-flop" à chaque pliage et rencontre de ses pointes charnues avec son anus. Il plongea si fort et si loin cette fois ci que ses énormes melons de cuir lui servant de bourses scellèrent son vagin, enfonçant son visage et ses seins dans la neige lorsqu'il buta bien au fond... Il resta quelques secondes, fortement appuyé, vibrant de ronronnements de ses muscles et ses bourses scellées contre elle. Il ferma les yeux en tendant son visage vers l'espace... Entrouvrant les lèvres pour y passer doucement une langue qui, à la manière trrrrès sensuelle de se caresser le pourtour des lippes laissait imaginer toute la béatitude et le délice qu'il éprouvait à être si bien acceuilli et serré en elle. Il resterait comme ça de longues minutes si ça ne risquait pas de la tuer en l'empêchant de respirer.
Reprenant ses esprits il entame le retour... Avec le même genre de fluidité... La soulageant à nouveau en l'entendant derechef pousser ce soupir soulagé et épuisé dans la neige mais ressort complétement, provoquant sans doute l'heureuse surprise d'un anneau soulagé également... Mais bien vite ses espoirs s'envolent quand son gland énorme vient défoncer son anneau quand celui ci avait commencé à se résorber, à reprendre une allure plus raisonnable, GRrrr ! "T'a cru que j'allais oublier que c'était une punition ? Piou ?" Dit il en s'enfonçant jusqu'à la garde d'un coup de rein puissant et fluide, le cul d'irina produisant des sons toujours plus drôles et pervers les uns que les autres. Chaque fois qu'il entre et qu'il sort on peut aisément voir le cul d'Irina prendre du volume et ses hanches couiner pour s'adapter à sa grosseur, et se réduire lorsqu'il la libère... Probablement suivi des souffles et des râles épuisés de cette vilaine, vilaine cyborg ! Après plusieurs allées venues comme ça, obligeant sans peine son anneau distendu à suivre et mouler les contours de sa verge d'avant en arrière, Ludya la sodomisait à une allure relativement modérée, mais constante. Et se plaisait à caresser son dos avec ses griffes laissant quelques marques rougies jusqu'au creux des reins uniquement pour accompagner les sorties infiniment soulageantes et libératrices de son sexe. Lorsqu'il s'enfonçait en elle, la griffe de son pousse piquait dans le centre de ses belles fesses pour cramper ses muscles et la forcer à se serrer autour de lui, hihi ! Han, quel sadique ce petit démon d'abyssian !
Il se pencha à son oreille, lui parlant d'une petite voix qu'il savait rendre la plus irritante et gamine possible, s'y forçant pour la rendre aussi irritante, ridicule, invasive et chiante qu'imaginable haha ! C'était bon rien que d'y penser, de la branlette cérébrale ignominément stupide... ça lui arrivait d'être conscient de l'insupportabilité délicieuse de sa petite voix gamine.
Ca commence vrrrraiement à être tout bion tu sais... Ouie ouie... Vraiement... RRrh... Rrrrrhouw !! J'pourraie... j'pourraie m'habituwée à çaâââh... hihie... Wiminimiouw ♥
Han oui ça lui plaisait d'irriter autant de sa voix en la rendant débiwl et risible au possible, d'utiliser des onomatopées stupides et mignonnes, aussi grotesque et irritante que sa grosse queue dans son cul ! hahaha ! Comme si cette petite pierre à l'édifice figurait de cerise sur la chantilly au top de la crème d'un gateauw nommé torture.
Ses bourses allaient percuter d'une claque douce sa vulve lorsqu'il était bien à fond en elle... Il la sodomisait en levrette, enfin, si elle était capable de se tenir sur ses mains... Une position terriblement facile pour lui, mais drôlement efficace lorsque son muscle pubien venait sceller son anus dans un baiser amoureux provoquant moult sons d'appel d'air ventousés. Sons qu'il trouvait à la fois drôles et excitants, de plus en plus... Et Il se surprenait à avoir l'envie grrrondante de lui prodiguer quelques bonnes claques sur ses fesses arrondies et embellies par leur remplissage lorsqu'il la farçissait toute entière ! Ce qu'il ne se gêna d'ailleurs plus de faire ! Entre glissement griffés dans son dos, pincement du centre de ses fesses avec ses griffes de pouce, il plaçait des bonnes gifles secouantes sur ses fesses dans les temps morts !
Bon... Hm... Alors maintenant tu vas p'têt me dire qui t'envoie ? Où t'en veux encore ? Hmr ?!
Demande t'il en donnant une gifle plus forte que les autres sur ses fesses, et un coup de queue plus brutal aussi, l'ayant fait avancer d'un bon pas ! Sa queue d'abyssian se liant à la fête pour s'enserrer autour de ses seins déjà très sensibles et les presser bien fort !
HMmm ? Attends... J'sais ce qui te fera gémir, à défaut de parler, hihi...
Il prit le temps de se retirer complétement et de tremper son sexe fûmant dans le sol ! Faisant carrément fondre la glace autour d'elle, ses nanostérones dermiques prirent connaissance de l'élément très froid et laissa à son sexe subir le même traitement que ses doigts précédemment, la glace avait cependant résorbé ses pointes de chair, son sexe devenant bien lisse tout en gardant sa taille, Il fit tournoyer le bout de son gland de glace bien doux et lisse comme une patinoire inviolée venant tout juste d'être pôlie sur son anneau boursouflé qui devait piquer tout plein, mais le contact de la glace glissante laissant un fin trait d'humidité glaciale dessus devait être un soulagement innomable à ce stade...
Il avait également commencé à insister avec ce gland glacé sur sa vulve... De plus en plus même... Ecartant un peu ses magnifiques lèvres bombées et irritées par son venin aphrodisiaque... Ca le tentait beaucoup de la prendre par là en étant tout glacé... hihi... Mais ce qu'il fit, c'est qu'il enfonça d'abord son gland dans sa rosette enflée, l'effet de la glace fut radical, presque immédiat avec l'aide des capacités régénérantes de la cyborg aussi, lorsqu'il retira son bout pour caresser son anneau, il s'était résorbé et avait pratiquement repris son apparence initiale, bien net et tout bieau. Ce geste d'une certaine bonté d'une durée quasi éphémère sera vite oublié lorsqu'il écartela ses lèvres d'une bourrade sans pitié avec son gland glacial, faisant avaler à sa chatte les débuts de sa première pine glacée ! Il n'avait pas déserré l'étreinte étranglante sur ses seins dont les pointes étaient dirigées elles aussi vers la neige, enfoncées dedans.
T'es une guerrière toi hein ?
Demande t'il pendant qu'il bourre sa pine glacée plus loin encore, sourire grinçé de dents acérées.
J'parie... que t'es du genre... à résister... Grrr...
Claque... Claque et claque... Et claque ! Claque et gifle, et claque encore ses fesses et griffe aussi la longueur de son dos de façon plus appuyée, plus sillonnée et rougie, s'en pinçant le rebord inférieur des lèvres.
... On va voir si tu résiste à ça sans me donner le début d'une réponse ! Malheureusement pour toi, J'ai tout mon temps et pas mal d'idées !
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Ludya - hihihi... HanwRrr... On dirait que je t'ai encore vaincue... Alors que j'n'avais même pas encore fini de profiter de ma première victoire... Quel gâchis.
Irina tourne la tête vers lui et lui lance un regard plein de colère et de désespoir avant qu'il ne la laisse choir contre le sol et recommence à pousser en elle. C'est plus fort qu'elle, elle ne parvient pas à ce retenir de gémir de plaisir en tirant la langue comme une nymphomane.
Irina – Ha ! Hoooooooo...
Ludya - Tu croyais pouvoir t'en sortir comme ça ? La leçon est pas finie ! Je vais te laminer le cul à en refondre tous tes circuits au point où tu vas perdre toutes tes certifications cisco.
Mais la jeune femme ne l'entend déjà plus, son corps conditionné pour la baise recommence à s'offrir à lui pendant que son esprit étouffe sous les assaut répétés des orgasmes.
Il va et vient en elle comme un butor, toute sa chaire s'est modelée pour se transformer en fourreau brûlant pour son Maitre, tout l'intérieur de son corps n'est plus qu'un sexe immense et serré. Quand il sort totalement d'elle, il entraine avec lui un flot de foutre chaud qui se déverse entre leurs cuisses. Le cul d'Irina n'est plus qu'une immense grotte couverte de sperme. Les bords dilatés ne se contractent plus, si bien que quand il la pénètre de nouveau, il s'enfonce sans difficulté, en arrachant au passage un nouveau râle de désespoir à sa nouvelle esclave.
Il lui parle de nouveau, mais elle n'écoute pas, elle sent alors sa main puissante et glacial frapper ses fesses.
Irina – Hum !
Elle redresse la tête avant de la laisser retomber mollement. Il frappe encore, à nouveau elle redresse la tête en gémissant. Et il continue ainsi en la pénétrant toujours aussi loin, au point que son pénis face un bruit de sucions guttural quand il entre et sort.
Lydia - Bon... Hm... Alors maintenant tu vas p'têt me dire qui t'envoie ? Où t'en veux encore ? Hmr ?!
Irina – Han ANNN !
Hurle t'elle en accueillant son sexe vengeur.
Lydia - HMmm ? Attends... J'sais ce qui te fera gémir, à défaut de parler, hihi...
Il sort à nouveau d'elle. Irina gémit et pleur contre le sol jusqu'à ce qu'elle sente à nouveau son membre glacé contre son anus.
Irina – Ha ! Non !
Mais il ne fait pas ce qu'elle crois. Non, la fraîcheur glaciale réveil son muscle anal qui se contracte et se referme petit à petit. Irina pousse ou soupire de soulagement.
Irina – Hooooo... merci seigneur... c'est enfin terminé...
C'est alors qu'elle le sent presser sans vergogne son gland gelé contre son vagin.
Irina – Nan pas ça !
Elle essai de prendre la fuite en se redressant sur ses mains, mais Lydia lui attrape les poignets et la tiens contre le sol pour que ses tétons mordent le sol glacé. La douleur dans ses tétons irradie jusque dans son clitoris gonflé et lubrifié par les glaires aphrodisiaques de l'abyssien.
Ludya - T'es une guerrière toi hein ?
Irina – Non... non pitié sort de Arg !
Ludya lui a tiré les bras en arrière pour l'empaler sur sa queue. Les lèvres de la belle cyborg, gonflées et lubrifiées par la matière extraterrestre, s'ouvrent comme la porte d'un petit palais que son pénis ruine et transforme en vaste caverne. En une seule poussée, il à pénétré son vagin jusqu'au bout et bute contre la porte de son utérus, et derrière cette porte, se cache un petit secret qu'Irina redoute...
Ludya - J'parie... que t'es du genre... à résister... Grrr...
Irina – Non... non... je t'en pris... arrête... sort de la je t'en prie... je serai gentille... mais ne... ne joui pas... pas là...
Horrifiée à l'idée d'être inséminée par cette incroyable créature, elle perd toute dignité et abandonne toute fierté.
Ludya - ... On va voir si tu résiste à ça sans me donner le début d'une réponse ! Malheureusement pour toi, J'ai tout mon temps et pas mal d'idées !
Irina – Non... non je t'en supplie arrête... ne fini pas... ne joui pas par pitié, je te dirais tout ce que tu veux savoir... je ferai ce que tu voudra.
Mais quand il lui repose encore la question sur son employeur... Irina reste muette malgré sa promesse... elle ne peut pas lui dire la vérité, ses implants l'en empêche. Elle lui a menti et ne peut rien dire ou faire pour le faire reculer...
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Ludya n'étant encore qu'un gamin un peu naif... Il l'écoute en clignant des yeux, attentif lorsqu'elle le supplie d'arrêter, de sortir... Qu'elle serait gentille... C'est bien la première fois depuis un bon moment qu'elle prend véritablement la parole et, peut être qu'elle se serait épargné pas mal de sévices si elle avait simplement essayé d'implorer pitié avec cette voix douce et brisée... Voix qu'il trouvait sincère et qu'il pouvait facilement croire.
Si sa transformation avait un coté très puissant et prédatorial, il restait un jeune abyssian un peu joueur et malicieux... Mais pas foncièrement mauvais. Et qu'elle se mette à supplier et lui demander pitié lui posait un véritable problème de conscience. Il avait encore envie lui... Tellement envie... Il fit une moue boudeuse lorsqu'elle recommença une seconde fois à le supplier d'arrêter... de ne pas finir, ni de jouir... Eeeeh... Faire tout ce qu'il voudra ? A cet instant il voulait... Il voulait la culbuter comme un damné et jouir encore un nombre de fois discutable... Il avait même projeté d'envahir sa bouche de menteuse si elle donnait exprès de mauvaises réponses ! Et pis de lui ramoner sa bouche et sa gorge de vilaine ! Maintenant il ne pourrait plus !
Bon... Bon d'accord... Je... j'ai... J'ai compris que t'avais pas envie que... je jouisse... Si tu dis tout je te laisserai tranquille ouie... Pfffff... Même si je serai un peu triste et déçu que ça soit déjà fini...
Autre petit souci... Faudrait peut être pas oubliée que Ludya avait usé pas mal de ses ressources lors de leur précédent combat et que l'exacerbation de ses nanostérones pour le rendre aussi imposant et puissant n'était pas sans sa contrepartie énergétique également... Et là on peut dire qu'il avait brûlé la mèche par les deux bouts ! Il commençait à se sentir un peu drôle... Des vertiges... Il se tint le front d'une main, sous quelques mèches de cheveux en clignant avec appui ses paupières, forçant la réouverture de ses yeux, victime d'une chute de tension.
Ohw.. mais... Ah non hein ! Mais je... Oh j'ai plus assez d'énergie... Pfffff !!!
Et bien qu'Irina n'ait pas daigné répondre à la seconde fois où il ait posé la question, l'Abyssian ne semblait plus tenir comme il faut en place... Ca y est... son corps perdit progressivement cette masse musculeuse, cette taille de plus d'un mètre nonante et des poussières... Il rappetit en observant ses mains... Ses bras... ses pieds... ses jambes... Déglutissant en comprenant qu'il ne pouvait plus maintenir la forme et qu'il serait bientôt à nouveau plus petit qu'Irina... Mais dans l'état d'épuisement où elle se trouvait, ce n'était pas si grave... non ? Ludya avait désormais complétement récupéré sa taille initiale... Irina était hors combat mais elle n'avait pas révélé tout ce qu'il voulait savoir, et certaines choses l'intriguaient chez elle...
S'il pouvait juste la ramener dans l'ancien labo souterrain abandonné du secteur 8, il y aurait là bas assez d'équipement pour forcer les sécurités de son système. Les supplices physiques semblaient avoir échoué, à défaut d'être dans la pleine possession de ses moyens et de toute manière, quelque chose lui disait qu'elles ne donneraient aucun résultat probant.
Ce n'est rien.. D'accord... Pas de panique, ce n'est pas grave, on va trouvée une solution !
Dit il en revêtant sa veste, ajustant ses lunettes d'ingénieur sur son front après quoi il se mit à pianoter sur un ordinateur accroché à son poignet, entrant les coordonnées de cet endroit... Son vaisseau ne devrait plus trop tarder. En attendant il s'approcha d'Irina, épuisée par terre, s'accroupissant au niveau de sa tête et lui caressant quelques mèches de cheveux qu'il ramène derrière son oreille, lui souriant avec toute la mignonimie malicieuse de son faciès d'ange abyssinian.
J'pourrai très bien continuer comme ça... Je suis loin d'en avoir finie avec toi. Mais tes employeurs vont tôt ou tard chercher à communiquer avec toi, où même essayer de te retrouver... ça m'étonne même qu'il n'y ait eu encore aucun renforts après t'avoir jetée seule à ma poursuite. Est ce qu'ils comptaient vraiment sur tes prouesses en solo pour m'attraper sans plan B ? J'peux juste pas le croire.
On entendit une explosion, des stalactites de glace tomber depuis le plafond de cette caverne glaciale, puis soudain, une bonne partie de la voute s'effondra et apparut dans un trou du plafond, la silhouette enluminée et aveuglante de son légendaire prototype de vaisseau spatial, le hornet ! Il amorça une descente lente entre les parois de la grotte et se posa non loin de leur position. Ludya ira ouvrir le cockpit avant de revenir vers Irina pour la porter sur son dos et l'aider à monter dans le vaisseau.
Une fois assise derrière il s'installa dans le siège du pilote, la vitre du cockpit se ferma et le son rassurant de l'étanchéité de pressurisation de l'air intérieur se fit entendre... Ludya n'était pas mécontent qu'ils s'en aillent enfin d'ici.. retrouvant le comfort famillier et rassurant de cet engin. Il jeta un coup d'oeil à Irina installée derrière, elle serait peut être complétement hors service durant le voyage ? Peut être que des drônes où autres machines se lanceraient à leur poursuite en plein vol vers seikusu et chercheraient à les intercepter ? GRrr ! il n'était parvenu à soutirer aucune réelle information de la part de la cyborg, et ça, après un bon repos et un dessert il reviendrait à la charge ! Irina était la plus belle pièce de technologie et d'électronique qu'il ait jamais ramené avec lui d'un voyage ! C'était presque comme un cadeau de noel, il était impatient d'être en forme pour l'ouvrir et jouer avec !
Le vaisseau entama sa montée... On pouvait aperçevoir les parois glaciales se rapprocher dangereusement des vitres du cockpit puis s'éloigner... De la condensation remonter le long des parois blanches qui, scintillaient ici et là... Puis... y eut un petit choc... Pas bien grave mais... C'est presque comme si quelque chose avait cherché à s'aggriper quelque part sur le vaisseau... Oh... quel abruti ! il avait oublié de rentrer le train d'atterissage, un des pieds à du se prendre sur une paroi.
Lorsque ce dernier fut rentré, on sentit bien que le vaisseau était à nouveau libre de ses mouvements et ils étaient désormais en train de survoler cette calote glacière... Il s'était pas imaginé un instant qu'ils étaient si loin de toute civilisation... Il faisait nuit noire dehors...
Ludya initia le suivi de trajectoire automatique, et décrocha sa ceinture pour se lever et aller voir comment allait Irina... Par sécurité il avait pluggé des prises jacks dans sa nuque reliés à deux terminaux dans son vaisseau pour monitorer -surveiller- son activité cardiaque et cérébrale, il ne lui faudrait qu'un ordre pour que des décharges électriques ne lui soient envoyées si elle essayait de l'agresser dans le vaisseau... Il l'observait... Finalement il réalisa qu'il ne connaissait pas grand chose d'elle, si ce n'est qu'elle avait presque essayé de le tuer ! Il s'assit près d'elle et la regarda en posant son visage entre ses mains. Peut être dormait elle paisiblement où était elle encore réveillée ? Même l'abyssian baillait... Fatigué par le combat et tout ce qu'ils avaient pu faire là bas. Alors si lui baillait cette créature devait être complètement à bout aussi... Envie d'dormir... Ses yeux voulaient se fermer tout seul et il luttait contre en les réouvrant peu de temps après. Par chance l'autopilote était assez fiable.
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Ludya - Bon... Bon d'accord... Je... j'ai... J'ai compris que t'avais pas envie que... je jouisse... Si tu dis tout je te laisserai tranquille ouie... Pfffff... Même si je serai un peu triste et déçu que ça soit déjà fini...
Elle le sent sortir et pousse un soupire de soulagement. Son vagin lui fait mal et la démange mais heureusement il n'est pas allé plus loin et ne l'a pas mise enceinte. Sa avait été moins une.
La pauvre cyborg est tellement épuisé et brisé par le viol que quand l'abyssien lui avoue son état de faiblesse, elle ne trouve pas la force de fuir, elle reste prostré, le cul bombé vers son torse puissant et les jambes grandes écartés.
Ludya - Ce n'est rien.. D'accord... Pas de panique, ce n'est pas grave, on va trouvée une solution !
Elle l'entend bouger autour de lui, elle essai péniblement de resserrer les cuisses. Mais elle n'y parvient pas, son corps est épuisé, les articulations de ses jambes et les os de son bassins sont déformés par le passage de sa queue chevaline. Elle essai de ramper sur le sol mais la main de l'abyssien se referme sur son visage pour la caresser et jouer avec sa chevelure, elle se laisse retomber contre la pierre gelée, désemparée.
Ludya - J'pourrai très bien continuer comme ça... Je suis loin d'en avoir finie avec toi. Mais tes employeurs vont tôt ou tard chercher à communiquer avec toi, où même essayer de te retrouver... ça m'étonne même qu'il n'y ait eu encore aucun renforts après t'avoir jetée seule à ma poursuite. Est ce qu'ils comptaient vraiment sur tes prouesses en solo pour m'attraper sans plan B ? J'peux juste pas le croire.
« Le pauvre » se dit elle. BIOGENIX était bien plus difficile à cerner, ce qu'il n'obtenaient pas par la violence, ses maîtres l'obtenaient par d'autres moyens, plus subtiles, plus cruels...
Soudain, la caverne se met à trembler, le vaisseau de l'alien rejoins son propriétaire. Irina ne trouve même pas la force de se retourner ou de fuir malgré l'évidence de son rapts par Ludya. Quand il s'éloigne d'elle pour ouvrir le sas de l’aéronef, Irina essai encore de ramper pour s'enfuir, mais ses jambes grandes écartés ne lui permettent pas de progresser dans la neige fondue.
Il revient et la saisie pour la relever, La jeune femme pousse un petit gémissement de douleur et de surprise, elle n'arrive plus à marcher tans son corps a été déformé pour le sexe et la baise d'alien bien membré. Elle boite douloureusement, Ludya la prend et l’allonge alors sur les épaules comme un guerrier saisissant sa prise de guerre.
Il la porte jusqu'au vaisseau et l'installe sur un ample fauteuil. Il la sangle, entièrement nue, pour ne pas qu'elle face quelque chose de dangereux pour s'enfuir pendant le vol.
Puis il passe derrière son siège et commence à tirer des câbles.
Irina – [murmure] Que... qu'es ce que... qu'es ce que tu fais ?
Il commence à enfoncer le premier plug dans la prise à la base de son crâne. Irina sent son organisme commencer à se connecter à un flux de donnée incompréhensible et étranger, l’intelligence artificielle extraterrestre surdevelloppée de l’aéronef.
Irina – Agg ! Nan... je... huu !
Il vient de lui enfoncer le second plug. Elle écarquille grand les yeux et des symboles abyssiens commencent à défiler dans sa cornée. L'IA abyssienne du vaisseau à des milliers si ce n'est des millions d'années d'avance sur la technologie qui contrôle le cerveau d'Irina, ses pare-feu sont brisés en une fraction de seconde et l'esprit de la machine se repend dans son programme informatique.
Irina – Gueu.. Je... Sujet 2501... Non... Irina... je … suis... Irina... Pitié... stop... st
Il branche les deux derniers plug dans le crâne d'Irina et l'IA extraterrestre s'enfonce enfin totalement dans la tête d'Irina. La belle cyborg se crispe quelques secondes et gémit, puis ses yeux se révulsent légèrement, sa bouche s'ouvre et sa langue sort comme si elle était en train d'avoir un orgasme monumental, mais sans que son corps ne réagisse.
Sur son ordinateur de poignet et ses moniteurs de bord, l'abyssien voit apparaître toute une interface de contrôle de la cyborg. Des systèmes de jauge avec curseur peuvent modeler sa sensibilité sexuelle, au plaisir comme à la douleur, sa facilité à jouir, dont elle peut être privée. Sa sensibilité émotionnelle et psychologique. D'autres permettent de provoquer une lactation et d'en modifier le débit. De réguler son sommeil au point de pouvoir totalement l'en priver. De gérer ses cycles menstruelles et ses ovulations. Enfin certains permettent de déconnecter certaines parties de son cerveau comme sa mémoire, sa volonté, sa personnalité. Même son QI et son intelligence peuvent être abaissée pour la rendre un peu idiote voir carrément stupide.
En bref, Lydia comprend que par cet interface, il peut mener son combat contre sa volonté et la transformer en ce qu'il désir...
Les opportunités sans limite que lui offrent cette interface chasse sa fatigue grandissante et peuple ses penses de rêves et de fantasmes inavoués.[/b]
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Les yeux de Ludya se mirent à briller devant les données décompilées et décryptées défilant sur la console du tableau de bord... Il avait juste... accès à tout ! j'veux dire... Vraiment tout ! Cette machine de guerre envoyée pour le capturer... Avait ouvert toutes les portes des technologies embarquées en elle... Y avait un brevet, là... Biogénix ?! Il ne s'y attarda pas très longtemps car, n'en étant pas encore certain, si il lisait juste les titres des tables de base de données il pouvait juste... faire... exactement ce qu'il à envie à... à tous les niveaux... Un accès super administrateur à tout... toute la génétique de la cyborg... De son cerveau, à sa psyché, jusqu'a son adn... Wow... Juste... woaw...
Ludya cligna des yeux, en se rasseyant dans son siège de pilote... détournant les yeux de la console pour regarder Irina derrière lui... Puis s'afaler plus profondément encore dans son siège... un peu choqué en ayant encore du mal à réaliser l'étendue des possibilités... En fait si... il réalisait... Mais... n'y croyait juste pas... Ici, sur terre ? Quelqu'un était capable de faire ça ? C'est comme s'il venait de découvrir le jouet de noêl qu'il à jamais rêvé d'avoir... Son cerveau n'a jamais été aussi surexcité... Fallait vite qu'ils se rendent au labo du secteur 8 ! Il était si pressé qu'il aurait même aimé activer le prototype de saut spatio vectoriel pour s'y rendre mais ça se serait révélé très dangereux dans l'atmosphère terrestre puis dieu sait où il attérirait encore... Non... non là il fallait qu'il prenne son mal en patience, hihi... ça en vallait trop la peine !
Si ses ordinateurs de bord étaient capables d'avoir forcé le cryptage ils n'étaient pas assez puissants pour tout recrypter et recompiler, de plus il voulait ajouter des touches très très personnelles à Irina, hihi... Il allait en faire une super ennemie ! Où une super alliée... Où les deux ? Puis un truc lui traversa l'esprit... Rougissant tout plein en n'osant pas croire qu'il pouvait y rêver... Il se sentit tout chose... Est ce que... par le plus grand des hasards... Il pourrait... Ludya regardait sa main... Puis se regarda dans le reflet du cockpit du vaisseau.
Vite, fallait arriver vite ! Fallait qu'il essaye pleins d'trucs et résolve des tas et des tas de problèmes !! C'était p'têt possible ! Même s'il était fatigué il trouverait l'énergie de faire ça, même s'il fallait qu'il y passe toute sa pitin d'nuit et le jour d'après ! hihi !
Ils arrivèrent aux abords d'un gigantesque barrage abandonné, une plateforme servant autrefois à l'aterrissage d'hélicoptère s'ouvrir en deux pour laisser le vaisseau pénétrer le complexe, il emmena Irina dans une salle remplie de super ordinateurs quantiques mis au point par les scientifiques qui travaillaient ici autrefois pour étudier Ludya, L'abyssian les avaient modifiés, rajoutés tout un tas de VRM sur les pcb et du refroidissement à l'azote pour overclock chaque proco, et renforcé les composants en ayant parcouru l'espace à la recherche de minerais très rares les plus supraconducteurs qui puisse exister ! Il créa aussi ses propres interpreters entre chaque unités de calcul pour daisy chain des dizaines de milliers de processeurs fonctionnant comme une seule et unique entité, on était pas loin d'une puissance équivalente au quart du potentiel "estimé" du computing de l'overmind.
Puis Ludya se mit à processer les données, mais surtout, à tout vérifier, lire un petit peu en diagonale le code et modifier par ci, par là certaines choses et vérifier si des modifications apparentes se produisaient chez Irina, Il y avait vraiment énormément de données et la structure des tables et du codage était exempte de commentaires et pour ne faire aucune bêtises il testait une chose après l'autre, notait son effet, et dessina un énorme plan sur un tableau qui n'était autre que le corps d'irina, ce plan qui serait bientôt rempli de tout un tas d'annotations et de post it... ça lui prit toute la nuit jusqu'au petit matin pour être sûr d'avoir compris comment tout marche, et, malgré son intelligence d'abyssian il avait tout de même encore besoin de ses anotations et de ses repères pour double check et vérifier à deux, ou trois fois en pointant sur son écran, puis pointant sur le tableau, il avait du utiliser une bonne cinquantaine de couleurs différentes sur son tableau et une légende au moins aussi longue accrochée sur une dizaine d'A4 sous le tableau.
A mi journée... Il commençait alors à rêver de ce qu'il voulait faire d'elle... Commençant à pianoter... S'en mordant le bout des doigts entre deux lignes de code... Souriant et rougissant parfois... Si l'on voulait faire simple... Ludya voulait une maman... Mais pas n'importe quelle maman... Il voulait aussi une très jolie maman, totalement obsédée par lui... Une maman Abyssianne qui aurait traversé tous les enfers pour le retrouver ! Oui... Une guerrière redoutable... Capable de détruire des élites formiens d'un coup de poing puissant ! Qui aurait été enfermée dans l'enfer Abyssian après la destruction de la planète abyssia et aurait du devenir la conquérante de cet enfer pour parvenir à en sortir, en n'ayant qu'une seule envie, retrouvée son Ludya ! hihi.. Elle aurait été un p'tit peue corrompue par son passage chez les formiens, et pis par son séjour dans une zone phantome qui figure d'enfer Abyssien, comme si elle avait du passer plusieurs millénaires en enfer... Se languissant de son Ludya... Il imaginait tout ça mais, il le codait aussi tout en fantasmant cette créature... Une abyssianne... Démoniaque... Tigresse infernale, maman guerrière de l'espace n'obsédée tout plein par son abyssian.. Ludya était très fatigué, et y a des choses qui ont du glisser... Des lignes de codes écrites lorsqu'il était dans un état de fatigue avancé, mais surtout, trop... beaucoup trop lancé par son imagination et ses envies, qui n'étaient en général pas très raisonnables... Hmmm... une impératrice... Une amante super dominante et affectueuse qui me garderait tout pour elle.. hihi... Elle m'adorerait et s'occuperait de moi comme une tigresse s'occupant de son chaton préférée.. Mais elle aurait aussi une grande partie démoniaque qui aime faire des trucs très pervers ! Ah ouie... mais shhht... faut pas le dire trop haut. Elle serait super forte ! Même... Même plus puissante encore que moi ! Comme ça elle pourrait me gronder... Et pourrait m'obliger à faire ce qu'elle exige où ce qu'elle désire... Elle aurait à la fois l'air d'une guerrière et d'une shamane, où une sorcière... enfin y aurait un truc un peu mystique qui se dégage d'elle... Oui ? Non... Hm... Sais plus... hihi.. J'veux juste une très vilaine maman parce que j'ai envie d'être puni ? Parce que j'ai l'impression que j'ai été si vilain qu'elle m'a abandonnée... A moins que ça soit ma faute, qu'elle se soit fait damner... Où je veux une trrrès vilaine maman qui adore punir son Ludya parce que ça fait des millénaires qu'elle se caresse sans avoir jamais mis la main sur son petit chaton ? Hanlala ça va pas moi... Pourquoi j'pense à des trucs pareils... En tout cas... Elle doit avoir très envie d'explorer l'espace avec moi et m'accompagner et à du mal à résistée à ses pulsions quand elles l'assaillent. Elle aurait une transformation ? Oh ouais ! Elle aurait une apparence de base, puis une transformation démoniaque ! hihi...
Et ça dura des heures comme ça, coder ceci, coder celà, effacer, revenir en arrière et changer d'idée... Des idées, des fantasmes plus farfelus les uns que les autres sans jamais vraiment parvenir à se décider, puis quand il réalisa la créature qu'il était en train de créer, il n'était plus si sûr de vouloir mettre en oeuvre toutes ces lignes de code... En plus ça allait corrompre Irina avec des brins d'adn de Ludya et qui sait si elle y survivrait... Il était si fatigué... ses yeux mis clos devant l'écran et le clavier... Arrivait plus à suivre ce qui était sur l'écran... une nuit et une journée complète et une seconde nuit à coder... Il avait presque peur de ce qu'il était en train de faire sur la fin...
Oh... Et... Elle s'appellera... Tygralenia ! Où... Tygralirina... hihi... Où p'têtre Tygrabyssia ? Où encore... J'suis fatigué... j'sais pu...
Puis au moment où il décida de tout effacer pour recommencer, il tomba à pic ! sa tête heurta le clavier et il se mit à ronfleronronner... Dormant d'un profond sommeil... Malheureusement pour lui, la séquence avait été activée ! Sans qu'il ne puisse à tête reposée rectifier d'éventuelles exagérations où trucs qu'il avait introduits en ayant plus du touw, mais plus du touw l'esprit clair, la fatigue l'ayant fait complètement délirer sur certains éléments...
Le cryptage et la recompilation était en route... Ludya avait l'air de dormir si paisiblement sur le clavier... Tandis qu'Irina subissait des décompositions et recompositions cellulaires, son corps changeait... Sa psyché se faisait envahir, posséder, dominer et modeler... Des claquements de cartilage... de chair déchirée, élonguée, guérie puis changeant de densité... Ses respirations devinrent plus rauques, félines, voire démoniaques... Sa voix se dédoublant comme une créature possédée... Elle n'avait aucune échappatoire, elle était solidement ferrée sur une table en acier... Mais lorsqu'elle aurait atteint les derniers stades de sa transformation l'acier lui semblera aussi contraignant qu'une feuille de papier autour de ses poignets et ses chevilles...
Elle atteindra probablement les deux mètres de haut... Ses pupilles s'éfilèrent pour devenir tranchantes, prédatrices, ses cils s'allongèrent et quelques fins crocs lui poussèrent... Sa chevelure s'allongea, bien au delà de la limite des fesses, et elle réalisa bientôt que des tresses plus épaisses, organiques, poussaient depuis son crâne, si leur apparence trompeuse pouvaient les faire passer pour d'épais boudins de cheveux tressés finis en plumeau au niveau de ses pieds, chacune de ses tresses étaient parfaitement mobiles, comme de longues tentacules possédant chacun une force redoutable. Sa poitrine évolua aussi, amplifiée, généreuse mais aussi d'une texture plus cuireuse... plus dense... tenant drôlement bien en place pour son poids du à une densité charnelle forte et ferme, Des muscles de gladiatrices amazonienne se mirent à se développer et renforcer la férocité de sa silhouette entre le délicieusement grotesque et la volupté d'une puissance féminine que l'on devine écrasante... Une queue féline commença à lui pousser, mais en chemin, quelques lignes de codes débiles ont du se perdre et les rayures qu'elle possède sont faites d'écailles, à la fin de cette épaisse queue musculeuse, le début d'un corps massif de cobra pourvu d'une tête en forme de... gland.. à langue fourchue ? Peut être que quelques idées absurdes ont du glisser de ses doigts, où qu'il s'agissait d'une erreur survenue durant la recompilation d'adn...
Après tout ses envies se sont mélangées à un moment... Il voulait aussi d'une super ennemie qui l'adore, étrange non ? Où, une super ennemie démoniaque maman, lui imputant des souvenirs tel que : il l'aurait déjà affrontée à plusieurs reprises, ils seraient rivaux depuis longtemps et elle n'a eu de cesse de le traquer à travers l'univers, elle l'aurait capturé une fois sur sa planète vaisseau, mis à l'épreuve en l'enfermant dans une arène en le laissant affrontée des monstres qu'elle à capturé aux quatres coins de la galaxie... Pis de combat en combats, elle est progressivement tombée n'amoureuse de lui ! Ben ouie... Elle le trouvait mignon mais juste bon à le donner à manger à ses monstres ! Et de fil en aiguille, s'est découvert des sentiments pour lui à chaque fois qu'il risquait sa peauw, où se faisait frapper dessus, ses griffes de belle tigresse féroce se resseraient sur la fin de l'accoudoir de son siège en s'inquiétant de plus en plus et se découvrant des sentiments pour lui ! hihi... Oui il avait vraiment mis de tout et de n'importe quoi dans le code, Des envies... Des situations rêvées, fantasmées... Mais bon c'était un vrai bordel et il aurait du passer au moins encore deux jours à tout mettre en ordre...
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Irina passe tout le voyage prostrée en mode "configuration" son esprit bloqué dans son interface de modification. Quand enfin L'abyssien la libère de ses prises jack, elle se trouve plongée dans une immense confusion, ses penses son confuses, des souvenirs lui manquent et elle n'arrive plus à réfléchir correctement.
Tout ce qu'elle arrive à comprendre, c'est qu'il a découvert le moyen de moduler son esprit et son corps, et qu'il s'est servi comme un enfant découvrant un nouveau jouet. Irina comprend alors qu'elle doit fuir, fuir au plus vite avant qu'il ne la change d'avantage. Mais là ou normalement elle aurait du penser à des foules de stratagèmes de fuite, elle ne parvient pas à en trouver un seul. Une goute perle sur sa joue, elle comprend qu'elle n'a plus aucune chance, l'abyssien à parfaitement compris comment la manipuler à sa guise. Pour l’empêcher de s'enfuir, il a tout simplement utilisé l'interface pour la rendre stupide et la couper de ses souvenirs de combattante.
Quand il la prend dans ses bras pour l'entrainer dans son laboratoire, la jeune femme se débat comme une ivrogne, incapable de se rappeler la moindre prise de combat pour le repousser. Il la prend dans les bras et elle tambourine vainement sur son dos d'acier.
Irina - Lache moi ! Lache moi !
Il avance sans répondre et la dépose sur une grande table de travail en acier froid. La jeune femme tressaille et se débat, mais l'abyssien est trop fort, et il la sangle solidement sans le moindre effort. Irina regarde la pièce, elle est meublés de puissants ordinateurs modifiés par ses soins et sa technologie extraterrestre ultra développé. Le jeune ingénieur trifouille dans un amoncellement de câbles et se retourne vers elle en lui lançant un regard enfantin et espiègle, comme un garnement sur le point de faire une grosse farce. Dans les mains, il tient quatre nouvelles prises jack reliées aux super-ordinateurs.
Irina - Non ! Non arrete je t'en supplie ! Je ferais tout ce que tu voudras !
Irina se débat, elle gesticule dans tout les sens comme une damnée le regard fou, les yeux exorbités par la terreur. Plus il se rapproche d'elle, et plus elle le supplie, plus elle lui fait de promesses. Mais l'abyssien n'a plus besoin de son consentement pour qu'elle tienne ses promesses, il sait ce qu'il veut, et il sait qu'il va l'obtenir quoi qu'il en ai.
Il passe derrière elle et dégage sa nuque.
Irina - Non... Non... attend... attend... on peu discuter... attend ne...
L'abyssien la branche nonchalamment sur les prises jack, les yeux de la belle s’écarquillent et ses iris s'ouvrent grand alors que les lignes de code se mettent à défiler devant ses yeux. Ludya s'installe à la console d'ordinateur et commence à encoder ses fantasmes adolescents.
Elle le sent entrer dans sa mémoire et en vider le contenue comme s'il s'agissait d'une poubelle, Irina se met à pleurer.
Irina - [murmure] Non... non... pas mes souvenirs... je suis... Irina... Irina Tarkovskaya... je suis née a Thekos !
Mais il ne l'écoute pas et commence à inventer de nouveaux souvenirs, ceux d'une créature nouvelle et differente. Il les envoi finalement dans sa psychée et une guerre éclate dans la tête d'Irina.
Irina [murmure] Je suis Irina... je suis né à Thekos... ma soeur s'appelle... ma... ma soeur ? J'ai pas de soeurs... si... n... non... je... qui ? qui je suis ?!
Se met elle alors à hurler alors que les derniers fragments de son identités partent à la corbeille du super ordinateur de Ludya. Satisfait celui-ci continue. Irina ne dit plus rien, parce qu'elle n'est pour le moment plus rien, il faudra des heures pour que son cerveau avale ses nouveaux souvenir d'abyssienne.
Ludya s'attaque alors a la metamorphose cellulaire en introduisant sa propre séquence génétique à celle d'Irina. Les os et les muscles de la belle commencent à crisser et craquer, à s'allonger. La douleur devient si intense que la belle cyborg prise de convulsion, perd connaissance. Son corps continue de muter encore et encore à mesure que le jeune ingénieur grave son fantasme dans sa chaire en pianotant sur son clavier.
Ses seins gonflent encore, sa taille change et sa chevelure pousse et fusionne en étranges tentacules. Mais Ludya n'a pas la force d'assister au reste de la transformation, son travail terminé, la fatigue et l'épuisement le terracent et il sombre dans le néant réparateur du sommeil.
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Le sommeil de Ludia est agité et peuplé de rèves aussi érotiques que violent, son esprit surchauffé par ses idées innombrable le torture et l'enfièvre. Il se sent chaud, brulant même, il se sent emprisonné et étouffé. Il sent son sexe dur et puissant en pleine érection, il se sent mâle et puissant. Mais soudain il se détache de son rêve et se demande pourquoi. Pourquoi se sent il ainsi, pourquoi bande t'il ? Pourquoi se sent il si chaud et oppresser ? Et... par les étoiles... pourquoi ne peut il bouger ?!
Ludya ouvre les yeux et ses sensations lui reviennent, son corps est en feu, il sent ses bourses gonflées et brulante, sa queue le démange horriblement. Il reconnait la pièce, il est dans la salle du complexe qui lui sert de chambre et qu'il a recouvert de draperies et de matelas confortables. Pourtant il sent qu'il n'est pas assis sur l'un d'eux... non... il est assis sur quelque chose de dur, de long, et de poisseux, qui lui démange l'anus et les bourses.
Il essai de bouger mais n'y parvient pas, il sent un odeur féminine envoutante est extraordinaire, il en tombe instantanément dépendant, comme si elle avait été faite pour ses narines. Il veut se retourner pour voir ce qui le tient assis ainsi sur son membre gigantesque, comprimant son dos contre deux énormes melons de chaire dure. A qui appartiennent ces tentacules dorées enroulées autour de son cou, qui lui tiennent les bras liés dans le dos et les jambes liés aux chevilles pour tenir à genou comme un esclave sexuel.
C'est alors qu'une voie familière et différente répond à toutes ses interrogations silencieuses.
Irina/Tigrina - [murmure] Cela fait longtemps que je te pourchasse et que je t'affronte mon petit Ludya. Il était temps que je t'attrape.
Il baisse le regard sur sa queue, elle est énorme, couverte de la cyprine gluante et aphrodisiaque de sa création, et bleuie par le garrot que la démone a passé autour pour l’empêcher de jouir tans qu'elle n'en aura pas décidé. La bande de cuir qui entoure son sexe fait saillir ses veines et lui donne un aspect saisissant. Il voit deux grandes mains gracieuses et armées d'ongles acérés comme des griffe venir lui caresser les hanches et empoigner la base de son pénis et son gland.
Irina/Tigrina - [murmure] Tu es à moi maintenant... je t'ai vaincu, tu es ma chose désormais... shhhiiiiiii...
Dans un sifflement félin, elle presse ses deux mains contre sa queue turgescente, la sensation de plaisir est insoutenable mais il ne peut jouir à cause de la courroie. Elle commence alors à le masturber des deux mains, parfois en lui pressant les bourses pour pousser son sperme sous pression contre la bande, tantot en lui massant le gland pour exciter sa zone la plus sensible.
Irina/tigrina - [murmure] Je vais te briser, tu ne sera plus toi, tu seras une partie de moi... shhhhhhh...
-
S'éveillant... Ludya releva la tête en happant le vide des lèvres comme pour chercher de l'air frais.... de l'air non corrompu par les odeurs terriblement sexuelles de la démone, Il transpirait à belles perles et sa chevelure cuivrée n'avait jamais été si humide sur son visage... il laissa échapper un ronronnement à peine soufflé entre ses lèvres... Elle était terriblement chaude... Où était ce son sexe... ses phéromones qui le mettaient dans un tel état... Cet énorme sexe glissant sous le sien et sous ses bourses... Fûmait d'une chaleur incandescente, juste violente de désir et enfûmait, corrompait son propre sexe... Il le sentait... Ce vice sulfurique empoisonnant sa chair... Il réalisait petit à petit qu'il ne rêvait plus... Fallait il encore qu'on lui pince la joue, prisonnier de ses mains par la poigne tenace de la bête démoniaque... Il avait donné naissance à un monstre de Luxure dont chaque foutu atome, parcelle cellulaire rentrait fortement en communnication avec ses sens... Les phéromones vénimeuses de la créature étaient sévèrement corrosives pour sa volonté !
N... naon !... Nah... Piou... Gnoumignoumignou !!! Qu... Tu... Tu n'étais pas sensée.... Je... Tu ne devais pas... exist... HaaauwRrrrr ♥ !!!
Et déjà il haletait... Son sexe si dur, si pressurisé lui faisait autant de bien que de mal... Depuis combien de temps l'a t'elle attaché ainsi ? Il empeste déjà ses odeurs à plein nez... Qui le font loucher et il lutte pour ne pas révulser les yeux... Elle "pue" si fort et si bon une cyprine abyssiane... Elle... Elle pue le sexe... Même lui, n'a jamais senti si fort et pourtant parfois il lui arrivait d'en tenir une couche à se masturber devant des vhs de dragon pink en cachette dans sa cabine téléphonique lui servant d'abri ! Il sentait ce feu entre ses fesses, dans ses bourses, dans sa queue qu'il avait l'impression de sentir prête à exploser ! Picotant d'une démangeaison lancinante jusqu'au plus profond de son ventre...
A... Arrière !! Démowne !! N... Niwiwiwi ! T... C... C'était une erreuwr ! J... je... J'ai jamais... Par toutes les géantes rouges de Xredra III et les nébuleuses de cassiopée... Pitiééée !!!
...Au... au s'couwrs !!
Et ça ne servait... absolument à rien... à rien de crier, d'appeller à l'aide sous plusieurs milliers de tonnes de béton, couverte d'autres milliers de tonnes d'eau... Il s'était piégé tout seul... Entre les griffes d'une créature qu'il redoutait avoir programmé avec toutes ces bêtises hier soir !!!
j'ai bien du mettre... un safe word... nion ? Nion ?!!! Pour un factory reset... Donne moi le Saf...
Irina/Tigrina - [murmure] Tu es à moi maintenant... je t'ai vaincu, tu es ma chose désormais... shhhiiiiiii...
T... Gnhii... hummm... Dis pas... Dis pas des trucs comme ça ♥ !! ça suffie ! hihi... Irina reset ! Reset ! Siteplaie... Hmrauwr... Siteplaie... rev...
Il fut tétanisé par le plaisir de ses mains expertes, délicates et puissantes pressant avec une force agréable sur le cuir ambré de son sexe, forte et ambitieuse, elle semblait savoir quelle pression exacte exercer pour lui faire plaisir, et comment utiliser ses griffes pour racler son cuir en même temps qu'elle le masturbe... Chaque fois qu'elle le touche une décharge violente d'un orgasme réfréné lui éléctrise le dos et le cambre contre ses seins, faisant "non non" del a tête en n'ayant aucune échappatoire...
Mougni... J'suis fioutu... hihi... hihihi... j'ai... haaanh... HumRRrrr ♥... j'suis tellement idiow ♥ !!! j'ai même pas mie ... de... sécuritée... Au s'couwrs... - finit il sur un souffle éreinté d'extase par une nouvelle caresse.
Même sa voix... Même sa voix était une caresse vibrante à ses oreilles, à son dos qui touchait sa poitrine de par laquelle se répandait des tas de vibrations rauques lorsqu'elle parrrrle... Elle astiquait son sexe avec l'envie et l'expertise folle d'une démone plurimillénaire... Et la pression masseuse d'une femme mûre, désireuse et avide de sa chair... Hihi... il avait pas mie... niope... hihihie... de safe word... Pitiée... Pitiée... c'était juste... juste un délire... c'était pas sérieux !!! Il sentait... rien qu'a ses odeurs corruptrices et son foutuw venin aphrodisiaque que son jeune cerveau était sévèrement alcoolisé, ivre de ses phéromones félines... Incapable de supporter un flux vicié aussie important... Que bientôt il ne pourrait plus penser de façon rationnelle, y serait perdu ! Et y aurait personne pour le sauver de son emprise ! Hihihie !!! Il avait l'impression de sentir son cerveau fondre par les n'oreilles...
Irina/tigrina - [murmure] Je vais te briser, tu ne sera plus toi, tu seras une partie de moi... shhhhhhh...
Ses promesses semblaient si tentantes, si.. si... NON !!!
Il ne répondait plus que par des souffles excités, des "haaanwh" ou des "hummmrrr" trouvant de moins en moins de temps de cerveau pour placer un mot, se pinçant parfois la langue avec ses crocs pour revenir à la raison !
C'était si sensibilisé avec sa corruption... Il s'en mordait la lippe inférieure en caressant sa joue contre son sein... C'était si bon aussi... Tellement bon... Cette grande... Puissante et jolie créature... Cette odeur devenant de plus en plus belle, si famillière... il rougissait tout plein, le miel bien lisse de ses joues passant au rose enfièvré... Il louche quand elle masse son gland et pousse un inéluctable râle de plaisir... s'étouffant ce dernier contre son sein... Contractant les fesses et les cuisses lorsqu'elle pressait bien ses bourses pour le rendre dingue !!! Elle savait ce qu'elle faisait.. Mince !! Mince !!! C'était maintenant , maintenant qu'il fallait faire quelque chose !!! Mais quoi ?! MAiiiiiye quoiii ?!! Avant qu'il ne miaule comme une vulgaire salope de chatonw et se laisse complétement faire... Comme s'il avait le choix... comme s'il avait ne serait ce qu'une seconde... l'envie de fuir... de lui échapper... Non ! pitin c'est comme ça que ça commence ! Sa volonté foooond !!! Gniwiwie !! Hihihie !! pitiée...
Entre ses lèvres humides, il se répéta d'un souffle cette supplique venant du coeur :
pitiée ♥...
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"Pitié" ?
A ce mot une parcelle de l'ancienne Irina s'embrase. De la pitié ? Elle lui avait demandé pitié elle aussi, mais il ne l'avais pas écouté, alors pourquoi ? Pourquoi aurait elle du faire preuve de pitié. Non Tigrina n'aurait aucune pitié... au contraire, cette supplique n'avait fait qu'enflammer le feu noir de sa passion et de sa colère.
Tigrina - Naon... Pas de pitié... tu vas faire partie de moi... partie de moi...
Il se débat de plus en plus mais l'abyssienne resserre l’étreinte de sa chevelure au point de lui couper presque la respiration.
Tigrina - A moi...
Sa chevelure tire tout son corps immobilisé en arrière, le corps frêle de Ludya commence à ce comprimer contre ses seins et à passer entre eux. Au bout de quelques secondes de veine lute, ses épaules passent entre ses seins monstrueux qui l’enveloppent et l'emprisonnent totalement, tout son corps est melée à celui de sa création, presque fusionné à son ventre et à ses seins dont seul sa tête sort.
Il lève alors la tête et la voit enfin, son visage, ses yeux, sa beauté, sa chevelure, elle est le rêve, le fantasme ultime incarné en chaire et en os. Mais elle ne lui laisse pas le temps de la contempler bien longtemps. Ludya sent le tentacule autour de son cou se contracter et le priver d'air.
Il ouvre grand la bouche et alors celle de Tigrina fond sur ses lèvres et les emprisonne entre les siennes, sa langue serpentine se glisse alors dans sa bouche et vient s'entortiller autour de la sienne. Ludya sent une salive chargé de drogues aphrodisiaques et de phéromones se déverser dans son gosier, éjaculée par la langue bestiale de sa créature qui s'enfonce profondément dans sa gorge et fait de long va et viens.
Ludya sent alors ses testicules gonfler encore et encore à mesure qu'elles produisent toujours plus de semence, son sexe se contracte et souffre de ne pouvoir cracher son jus maintenu sous une pression abominable. Ludya sent son coeur s'emballer et pulser si fort qu'il a l'impression qu'il va rompre.
Totalement soumis et sous le contrôle de la mutante, Ludya ne peut que gémir en sentant le corps de la belle se mouvoir autour de lui comme un boa constructeur. Bientôt il sent qu'elle lui soulève les jambes et l'assié délicatement sur le bout du clitoris d'Irina devenu énorme queue, son anus puissant tient bon et l’empêche de le pénétrer si facilement.
Tigrina libère alors la gorge de Ludya pour pouvoir l'entendre quand elle va refermer son piège sur lui.
Sans insister ou forcer le passage de son muscle plissé, la femelle abyssienne recommence à masturber la queue de Ludya de plus en plus fort, de plus en plus vite, au point de le rendre fou. Elle le masse, elle lui palpe les bourses qui sont désormais deux énormes melons couverts de veines.
Elle lui crache encore et encore son venin dans la bouche et regarde ses couilles grossir et grossir jusqu'a ce qu'elle soient sur le point d'éclater. Puis, soudainement, elle défait la courroie qui lui garrotait le pénis et lui masturbe le bout du gland très fort. Ils poussent alors un seul et même hurlement de douleur et d'extase alors que lui se met à jouir comme une fontaine d'énormes rasade de sperme et qu'elle, enfonce son sexe muté en lui.
Tigrina commence alors à aller et venir en lui, déformant son anus armée de son clitoris démesuré pendant que Ludya jouit rasades après rasades, le sexe emprisonné entre les mains de sa maitresse qui continue de le traire en le masturbant lentement et vigoureusement. Très vite, le jeune abyssien se rend compte de quelque chose d'horrible qui lui fait perdre la raison: il ne peut plus s’arrêter de jouir, il jouit encore et encore sans jamais s'arrêter, ses couilles produisant tans de sperme que jamais il n'en ai libéré. De jeune alien libre, il vient de devenir simple mâle reproducteur asservi...
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Ludya était fortement pressé contre le matelassage musculeux de l'abyssianne infernale... Et bientôt formidablement enrobé autour de ses seins fermes dont il lui était pratiquement impossible de s'extirper... Pas qu'il le veuille de toute façon... Bercé par les promesses exquises et rrronronnantes de sa voix... Il se savait se perdre... ses joues ressortant par dessus sa poitrine, leur miel enrobé dans la rondeur intérieure de ses mamelons denses... Il n'avait pas mis de sécuritée... hihi... La raison le perd... Non... Il perd la raison, pardon... Il ne s'est jamais senti aussi bien... Ses nombreuses tentacules l'étreignaient comme autant de bras le retenant posséssivement bien enfoncé dans le matelas musclé de son ventre bien lissé et ses seins... Et c'est au moment de croiser son regard, inclinant son visage vers le haut, qu'un soupçon de terreur frissonnante le parcourut lorsqu'elle contracta son cou pour raréfier l'air.. Il voulut se débattre, bien que faiblement.. Il ne faisait que se dandiner contre elle contraint comme il l'était... Et prédatrice comme elle devait l'être... A se débatre... A tenter l'impossible et le sentir faiblir sous son emprise ne devait que la ravir et la charmer d'avantage... Néanmoins il eut peur... Il était pourtant sûr de ne pas l'avoir programmée pour le tuer... Même complétement déboussolé par la fatigue il n'aurait jamais utilisé un vocabulaire suicidaire dans son codage...
C'est ça... C'est bel et bien ça... Il ouvre grand la bouche pour happer une grande bouffée d'air qu'elle lui refuse avec une telle passion... Une telle gourmandise pour ses pauvres lippes... Qu'elle viole et dont elle s'empare si aisément... Faut dire qu'il ne lui impose plus beaucoup de résistance... Même lorsqu'il sent cette longue langue... Longue... Si longue... En écarquille encore les yeux de surprise, la sentant s'enrouler autour de sa langue de façon prédatrice et follement posséssive encore une fois, elle l'abreuve... le nourrit d'une liqueur. Il tenta bien de régurgiter mais c'était impossible de la façon dont elle le tient, tête penchée vers le haut, membres coincés, gorge offerte à ses tentacules qui lui caressaient comme pour l'inciter à avaler ce nectar... Il ne peut alors qu'ingurgiter, avaler... Son regard se floutant... s'embrumant de perdition... On pouvait l'entendre avaler à douces gorgées.
S'il bravait cette langue exploratrice de sa langue, désormais celle ci à décidé de jouer avec le reste de sa gorge comme pour s'assurer du bon passage de son venin débilitant... S'il fut effrayé maintenant il n'avait plus d'yeux que pour ce genre de baiser... Ce genre de baisers invasifs, pénétrants et profonds... S'abreuvant de cette salive avec une gratitude certaine de ses lèvres et de sa langue pour sa nourrice... Sentant le fourreau doux et étroit de la chair de sa gorge exciter la langue de cette terrible créature.
L'abyssian effectue des mouvements fluides et doux, suivants bon.. Suivant bieeeeen, le mouvement des lèvres de sa tigresse... Ses pupilles félines se dilatant dans son iris sous l'effet des drogues puissantes... Son sang se fluidifiant... Son rythme cardiaque toujours un peu rapide, s'apaisant également... Avant de s'emballer, battre, battre et battre, ses bourses pas plus grandes qu'une balle de tennis commencer à enfler, la drogue aurait déjà du le faire jouir, au moins deux, voire trois fois ! Mais ça ne vient pas... ça ne vient pas !! Glourghr !!!
C'est aussi bon que c'est douloureux ! Une pression formidable... une dureté douloureuse à la fois dans le sexe et dans ses burnes ! comme des crampes vives... Ludya ne peut que miauler et ronronner dans les lèvres de cette sulfureuse démone... Il n'arrivait plus à penser, hihi... gnouw... Plus penser qu'a elle... Il... Si... Il.. était... pourtant sûr que... qu'il avait du garder un backup... C'est toujours la première chose qu'il fait... Et... Et au pire... au pire c'était toujours dans la corbeille ! Et pis même si ... même si par malchance c'était plus dans la corbeille, il pourrait toujours récupérer les données d'une façon où d'une autre ,c'était jamais... jamais totalement perduw ! Y foutrait en l'air le disque dur mais... mais... y.. yu... gnyupignou...
Ses mains glissèrent le long de ses hanches... ses cuisses... Une caresse longue et frémissante avant qu'elle ne lui relève les jambes et l'asseye sur le bout de sa verge clitoridienne... il sursaute ! Ecarquillant ses yeux qui étaient, jusque là, dans leur baiser mis clos de plaisir... Essayant de regarder sur le coté, vers le bas, mais pouvait rien voir ! Par contre ça commençait à se préciser dans son esprit... Elle possédait un trucmuche entre les jambes !! Il... Il avait pas fait attention à ça tout à l'heure... ?! ça... ça a du pousser tout à coup ?! Et ça sentait encore horriblement fort la cyprine, au point de lui en faire tourner de l'oeil cette fois, son pauvre cerveauw... hihi... tout fondue les neurones ! piout ! non mais... c'était à en avoir besoin de se racler la gorge tant c'était puissant...
Entre leurs lèvres Ludya poussait des sons, des gémissements plaintifs savoureusement mignons de p'tit chaton éperdu de plaisir... Il pouvait pas... pas bougée... sinon... Il aurait probablement levé les bras pour enlaçer la nuque de Tigrina dans ce baiser interminable. Il était n'a elle... Tout à elle hihi... Comme elle avait dit !
Soudainement elle libère sa gorge et il tousse brièvement lorsque sa langue sort, reposant l'arrière de sa tête entre ses clavicules, fermant les yeux et respirant à profondes bouffées l'air qui lui est enfin offert. Son visage à jamais été aussi coloré hihi, à la fois rougi et un petit peuw bleui d'étouffement, mais il reprend vite des couleurs.
Il se cambre à nouveau de plaisir et de douleur pinçante, crampante mêlées lorsqu'elle recommence à le masturber bien fort, avec une pression branlante appuyée avec vigueur, et rapidité, une branle de plus en plus rapide, si forte qu'elle en serait presque douloureuse, il louche et ses doigts de pieds se tortillent, se croisent, sa queue d'abyssian se tord et part dans un sens, puis dans l'autre, il se pince la langue entre les dents si fort qu'il la blesse un peu et saigne ! Surtout, surtout lorsqu'elle lui palpe ses bourses pesantes et douloureuses, il est courbé et arqué à la limite de la souplesse de son dos et grrrrrâââle de douleur autant que de plaisir en rehaussant ses babines, où bordure des lèvres si on veut.
La voilà qui repart d'assaut sur sa bouche groulante et gémissante pour l'étreindre d'un baiser et étouffer ses petits râles, hihi... Il a tout de même mal, mal c'est un fait... Ses burnes sont trop pleines... Il a des crampes dans le sexe et dans les couilles qui semblent aussi puissantes que des névralgies traversant son bas ventre jusqu'au bas du sternum, Elle l'astique, l'astique, l'astique encore et encore et encore !! EncowRRrrre !!! Nyuwiwiou !!! Pis soudain... Soudain ce fut le blanc total... Comme si l'esprit de Ludya avait raté un épisode... Un blanc de jouissance aveuglant, aveuglé par sa libération si soudaine.. Il pousse le plus puissant des rugissements qu'il ne s'est jamais entendu capable de produire... Son cerveau lui même baignait dans la drogue d'une extase interminable... Elle pouvait le sentir tétanisé, tremblant comme une feuille, et des spasmes musculaires lui traverser le bas ventre et lui cramper les hanches et le nombril... Lui donnant presque envie de se plier en deux.
Mais tout ça... Tout ça n'était qu'un stratagème voué à détourner son attention, un cheval de troie pour lui en enfoncer un autre ! Elle profita de son relâchement le plus total, de sa jouissance extatique relâchant tous ses muscles pour introduire le monstre qu'il avait senti contre ses fesses... Elle n'aurait pas pu choisir meilleur moment... Totalement offert il acceuillit son sexe malgré son étroitesse, sous le coup d'une maléabilité exacerbée de son muscle anal après une telle décharge de plaisir.. Ludya doit l'admettre, il n'a presque rien senti au début, presque... Il y a bien eu une petite douleur mais vive et rapide, le temps que le bout du gland d'Irina se fraie son entrée, l'huile phéromonale produite par cette savoureuse monstruosité libéra bien vite ses fibres de toute sensation douloureuse pour limite les tapisser de cette lubrification corruptrice qui avait l'air de changer la composition des nerfs en zones érogènes !
HanwhMmmRrrouuuw... Qu'est ce que... Qu'est ce que tu me faaaaiiiis... Mais qu'est ce que tu me faaaaaaaaaaaaaiw ♥... HaaaaanhwMmRRrr ?!
Il savait... oh Ouie... hihi... Il ne savait que trrrop bien... Parrrfaitement ce qu'elle faisait... Inutile de poser la question... N'arrive juste pas à croire que ça soit rentré, si grosse... Si irradiante de plaisir dans son cuw ! C'était juste l'extase... Ainsi envahi... Possédé... Pris... Il n'aurait jamais su, nion.. Ne savait pas que c'était si... si BON ! Fourré de la cyprine et des phéromones délicieusement vicieuses et corruptrices, son p'tit trouw lui faisait tant plaisir... ça... ça et le fait de jouir abondemment, sans arrrrrrêt... Ne sachant plus où donner de la tête... tout pierdu... Bien perdu...
Entre deux rasades lourdes et ahurissantes le poussant à des râles rauques et longs entre les lèvres de sa tortionnaire, zappant ses pensées d'un flash blanc, elle pouvait sentir ses nanostérones abyssiniales densifier sa chair anale et renforcer sa densité et son étroitesse, ce fut la même chose pour son sexe, qui, était boursouflé, veineux et corrompu par le venin de la créature, elle put sentir la peau ambrée du sexe de Ludya devenir plus dense, plus cuireuse... Ce qui n'a sans doute pour seul effet que de l'obliger à forcer un peu plus pour le branler de la même manière...
Sa chose... Il était devenue sa chose... Tout à elle... Sa jouissance le faisait vibrer... Ronronner à pleins poumons, des orteils jusqu'au coeur et à la tête... - Mrhaauwnrrr ♥ ... p... Pitiéééééeeeeee ♥... Rrr... RGghRRrr... HummmmRRrrrrrrrr ♥ - se surprit il à murmurer entre deux rencontres de leurs lèvres, quand il ne laissait juste pas sa langue pendre, et au plus haut d'une pénétration anale il bossellait joliment quelques muscles d'expressivité sauvage, grogneuse autour de l'arrête de son nez, en louchant vers les cieux... Concentrant dans une et même expression toute l'intensité sauvage, ravaleuse, avec un soupçon d'enrebellement et savoureusement extasiée que sa baise profonde et intense provoquait chez lui... Accompagné d'un groûûûûlement si long et chaud de plaisir désespéré...
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Elle continue ses vas et viens, mais ils sont de plus en plus rapide, de plus en plus puissant, et ses mains suivent le mouvement de ses hanches en accélérant la cadence de sa masturbation. Ludya se sent vider de l'intérieur, lessivé physiquement et mentalement par les phéromones et la traite impitoyable que lui inflige la mutante.
Ce calvaire incessant ou se mellent jouissance et douleur semble ne jamais devoir prendre fin quand soudain il la sent se contracter autour de lui. Tout le corps musculeux de la belle féline se met à frémir et trembler. Elle pousse un long sifflement animal puis un petit râle étrangement féminin et délicat. Ludya sent un liquide chaud gicler contre son bas ventre mais aussi à l'intérieur... à défaut de pouvoir éjaculer, le pénis clitoridien de Tigrina se met à sécréter de tout ses pores sa cyprine brulante. Le jeune abyssien, prisonnier de l'étreinte de sa chose, sent son fondement se remplir d'un liquide qui vient lui comprimer la prostate. Ses orgasmes deviennent soudain plus intense, si intense qu'il devient impossible de se retenir de hurler de plaisir.
Et la démone continue de se contracter et de jouir encore et encore, oubliant presque qu'elle tient sa petite victime entre les bras. Ludya se sent de plus en plus comprimé et étouffé mais ses bourses commencent enfin à dégonfler à force de se vider. Quand il regarde ses abdominaux, il reconnait le destin cruel qu'il a infligé à Irina la nuit précédente, son corps est déformé pour laisser apparaitre le monstrueux appendice de Tirgnia qui se love en lui et pénètre tout son corps.
Au bout d'interminables minutes de ce traitement, la poigne de la mutante s’assouplit et Ludya crois qu'elle va le relâcher. Mais elle n'en fait rien en vérité. S'aidant de ses bras et de ses cheveux-tentacules, elle l'extrait d'entre ses seins et sort sa "verge mutante" de son petit fondement qui se met à dégouliner de cyprine. Puis elle le retourne comme une petite marionnette. Elle lui caresse d'abord la joue et la lui lèche comme une chatte qui nettoie son chaton, puis elle lui empoigne la chevelure et dirige sa tête vers l'un de ses tétons turgescent et palpitant.
Tigrina - Suce le esclave, sert ta femelle alpha misérable mâle...
Elle attend qu'il s'exécute et la prenne bien en bouche, gémissant à chaque fois qu'il la mordille vers ses petit crocs. Puis, profitant qu'il est tout concentré à sa tache, elle le refait descendre sur son clitoris surdevellopé et l'empale à nouveau petit à petit, centimètre par centimètre avec une lenteur atroce. Et elle recommence les vas et viens, tento en lui maintenant la bouche contre son sein, tento en le laissant respirer et parler, s'étant habituée à ses suppliques, elle commence même à les apprécier.
Pendant qu'il s'affaire a la satisfaire, elle continue de le besogner avec lenteur, utilisant ses tentacules pour libérer ou tenir ses bras et ses jambes à loisir. Elle utilise l'un d'entre eux pour se saisir d'un collier en cuir avec une boucle qu'elle lui passe autour du cou avant de le serrer contre sa gorge. Elle le lui attache et passe une petite chaine pour lui servir de laisse.
Elle prend l'autre bout dans la main et ainsi tenue en laisse, elle dirige le bel abyssien sur son corps avec sévérité et exigence, tirant sur la chaine à chaque fois qu'elle n'est pas pleinement satisfaite.
Tigrina - Shiiiiiii... mieux que ça ! Ou bien...
Un tentacule s'enroule autour de ses testicules et en coupe le flux sanguin et le canal séminal, Ludya arrete net de jouir.
Tigrina - Tu jouis quand je le décide... je ne suis pas suffisamment satisfaite... continue !
Quand elle le regarde, elle lui lèche profusément le visage et referme sur lui ses mains immenses.
Tigrina - Shiiiiii ! Tu n'as pas besoin de tes yeux pour me servir mâle... tu n'est qu'un sexe et une bouche... je n'ai pas besoin du reste pour le moment shiiiii...
Des tentacules viennent lier un bandeau de tissu noir sur ses yeux pour le contraindre à obéir sans réfléchir ou regarder ce qu'i fait, uniquement guidé par les mains experte de la mutante et par la laisse qu'il a autour du cou...
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Il est balloté, visité et revisité par cette masse charnue de cyprine chaude, volcanique, qui ne cesse de s'écouler en lui... Il louche et révulse ses yeux à chaque lampée généreuse, phéromonée à souhait ♥ Lui travaillant les parois internes, faisant tressaillir et trembler chacun des abdominaux que son bout masse et caresse de l'intérieur... Et c'est une sensation complétement nouvelle... Si bonne... Ses muscles abdominaux d'habitude très très durcis, compactes... Il ne les à jamais senti si relaxés... caressés et attendris... Pétris de délice... Il la sent jouir... Son psyché et sa chair sont transcendées l'instant de quelques secondes lorsqu'il sent cette créature venir en lui... C'était beau... Si beau... il avait l'impression de voyager à travers l'univers à une vitesse où, toutes galaxies se fondaient les unes dans les autres... Une explosion, un feu d'artifice d'étoiles et de galaxies dans sa tête...
Il jouit si fort sous cette poussée, que ses jets de sperme traversent pratiquement toute cette pièce, d'un trait continu et épais, accompagnés d'un rugissement mignon, plus aigu et cristalin que celui de la démone abyssianne. Ce qu'il aime entendre son oreille siffler, émettre un son de larsène lorsqu'elle feule et siffle, entre serpent et féline... Il retourne légèrement son visage vers elle lorsqu'elle jouit, la voit s'extasier... Si belle dans cet état... Son pitie coeur s'emplit de chaleur en la voyant prendre un pied dingue à le posséder de la sorte... Sa maman punitive ♥ Il avait bien méritée une maman qui le punisse... Ce sentiment d'abandon... Il avait aussi le sentiment d'avoir perdu sa maman... Que d'une manière ou d'une autre, il l'avait laissée périre sur abyssia... Que c'était sa faute... hihi... Elle... Elle était revenue des enfers pour lui faire payée... Et c'était bon putaaain, c'était une punition magnifique...
Il perd de la mousse salivique par ses douces lèvres lorsqu'elle est si à fond en lui, tétanisé, tremblotant des jambes et de la tête, ses pupilles disparaissant de ses iris... Ses abdominiaux déformés, étirés par son phallus énorme l'empêchant de respirée... ça dure... ça dure tellement... T... TRow... Trooow Looongteeeemps huaaarghllrrr !! Il étouffe... étouuwffe booooon d'être si remplie... trouvant peu d'air... Tirant la langue et louchant de ses pupilles presqu'effacées... Tétanisé des pieds à la tête, crampé de toute sa personne le temps que toute la jouissance de cette puissante créature ne s'échappe d'elle... Il bulle... Il pousse de looooongs, looongs râles de plaisir douleureux et désespérés... dans une attente qui le fait presque délirée, rire de plaisir et buller encore... Incapable d'aligner une seule pensée logique...
Ses muscles commençaient à sérieusement se cramper, à devenir douloureux, extendus et étirés... Même sa langue tirée lui faisait mal, ses orteils et ses membres se durcir par effort... Tousser d'être si rempli... Jusqu'a ce que la pression s'amenuise... Et qu'il loue des dieux galactiques n'ayant jamais existé... Défiant toute sa logique, toute son intelligence et sa raison, sur la fin... il à prié... Il en a appellé à des entités supérieures de le libérer de cette pression envahissante... Et ça fit du bien... Tellement de bien qu'elle le libère... Aussi doucement et délicatement qu'elle le fit... Ce soulagement... Cette sensation de libération lorsqu'elle laissa enfin... enfiiiin ses muscles reprendre leur taille... leur place... Qu'elle libéra son jolie cuw... Il eut cette expression de libération sublimée... Débilité de satisfaction... Elle était juste terriblement envahissante et imposante... Et, faut l'avouée... C'était au moins aussi savoureux de la sentir sortir, que de jouir comme elle et il l'ont fait... Sentant ses chairs denses et étroites reprendre leurs proportions d'origine. Bien qu'une sensation de vide... d'un vide insensé... d'un manque commença à se faire sentir aussi... Ses phéromones ayant corrompu sa chair qui la redemanderait presque aussitôt qu'elle s'était échappée de lui. Il ne l'admettrait jamais de vive voix... Mais son corps adorait sa cyprine, son vice et sa présence en lui. Cette étreinte ou il s'était senti entouré, choyé, pris et épris d'elle... Il était persuadé qu'il n'y aurait pas eu meilleur moment dans sa vie... Qu'il aurait pu... étouffer... mourrir... se noyer dans sa bouche à cet instant et il aurait été comblé, hihi...
Enfin, c'étaient les délires d'un pauvre gamin abandonné avide d'une affection qu'il n'avait jamais reçue... Et elle, était l'exacerbation fantasmagorée de ses manques... A un moment de faiblesse extrême. On put l'entendre prononcer un HuuuRrrrghlRrrrrrrourgh ♥ glutural et profond, presque grave lorsqu'elle retira doucement sa verge mutante de ses muscles fessiers... Il était un peu étourdie, hihi... Lorsqu'elle le retourna vers elle... Haletant d'éprouvement physique... reprenant comme il le pouvait de l'air... Hmmm... Des frissons le tuent lorsqu'elle lèche la mignonimie lisse et nacrée de ses joues mielleuses... emportant ses joues dans ses lèche, qui, soulevaient un rien son visage dans le suivi léchant du passage appuyé de sa langue... Il adorrrait cette attention... Il s'empourprait à chaque passage de cette langue en soupirant un petit, tout gêné et petit, inavouable... "mamanw"
Il était encore extasié des attentions maternelles sur ses joues, hihihi... il avait un peu ri par ivresse chatouilleuse et fermé les yeux de bonheur lorsqu'elle lui empoigna les cheveux... Rouvrant les yeux lorsqu'il fut dirigé vers son sein.
Tigrina - Suce le esclave, sert ta femelle alpha misérable mâle...
Elle disait de ces trucs... hihihi... pas sûr qu'il comprenne vrrrraiement bien dans son état... Misérable... Mâle.... Femmelle Alpha... Sucée... M'en fouw... Je... Hanh... il louche sur ce téton énorme... Et entrouvre ses lèvres... Il est si gros... Pourquoi il l'a créé si gros... han.. Il sait... Enfin... y croit qu'il sait... ça doit lui être trrrès plaisant... Y se rappelle ouie... Elle à une foutue torche de nerfs vifs de plaisir là dedans... Des fibres très denses et concentrées... au point où ça devait chauffer et lui faire un peu mal... Et seules ses petites lèvres fraîches pouvaient... Pouvaient lui faire du bien... Apaisée ... Cet étirement charnel... Il entrouvra doucement ses magnifiques lèvres toutes douces et les appliqua sur la turgescence charnelle... la sentant pulser si fort entre ses lippes... il prononça un "hmmmmm ♥" tout en suçotant le bout...
Ses yeux de "misérable" piti mâle abyssian plissés de malice... Han ouie ? Misérable hmmm ? C'est celà ouie... Il suçe bien fort... S'avance sur ce téton chaud et furieux... et de ses doigts il pince les autres pointes charnues aussi moelleuses et fermes que son téton, les faisant perler... et pousser un soupir humide relatif à une certaine libération très plaisante... Ce large et long téton... Entra progressivement dans sa bouche... Et la Tigrabyssianne de l'espace découvrit à quel point la bouche, les lèvres... la langue de son joli chaton étaient fraîches... froides... une moiteur fraîche... sa bouche était si fraîche sur l'incandescence irritée de son téton... tellement... Qu'elle put en soupirer d'aise et de surprise... Ayant l'impression de plongée sa chair en fusion dans un seau de trempage frais pour la forge... la pureté fraîche et douce de l'intérieur de sa bouche lui semblait être une oasis rare au milieu du désert de sa douleur mammaire... Elle sentait s'ériger d'avantage son téton dans sa bouche... Qui la rafraîchissait comme un cocktail de fruits frais glacés au milieu d'une canicule de souffrance charnelle... Et il souriait ce piti salauw... Sachant ô combien sa bouche était bonne pour elle... Il l'avait faite ainsi... Le cuir de son téton... hmmmr... résistant et dur à souhait, n'empêchant cependant pas un moelleux caoutchouteux de son téton... Et ses petits crocs de racler ce cuir enfiévré...
Il la branle de sa langue et ses lippes qui la suçent... Faisant quelques allés retours... Et doit l'admettre ce téton envahit si bien sa bouche... Et sa bouche lui semble avoir toujours, toujours été faite pour l'acceuillir en elle... Il masticotte gentiment, suce et grignotte, hihi... Relève ce téton d'un coup de langue puis revient l'embrasser, longer toute la surface du téton, de la tête à sa base en serrant le corps autour de ses lippes et poussant sa bouche dessus, faisant de même lorsqu'il revient en arrière, étirant un peu le téton vers lui.
Et ses yeux adorables, malicieux la fixent ce faisant... Ses deux mains enlaçent ce sein et le pressent pendant qu'il masturbe son téton de sa bouche... L'une de ses mains attrape son autre téton, et le presse... il est si long et gros qu'il attérit comme une poignée dans sa main, et dépasse même d'un petit bout par le trou du pouce et de l'index qui le saisissent... Han putain il aime ses tétons... Les adorrrre... Et ça se sent à la façon dont il caresse ses joues sur son sein puis revient la sucée... Il fait gigotée le bout de son téton en secouant sa petite langue râpeuse dessuw puis replonge complétement sa bouche dessus jusqu'a se fondre une partie de ses traits dans le mamelon... se pointant une ou l'autre pointe charnue dans les paupières contre ses yeux clos... Et lorsque ce n'est pas le téton c'est un des tétons secondaires, ces beaux... beaux gros raisins de chair pulsants et turgescents eux aussi, disposés autour de son téton principal...
Il se fait tout de même interrompre... En pleine succion... restant prostré en mode mordillement lorsqu'elle le fait redescendre sur son énorme chose... Et se met à saliver comme une petite salope de chaton sur son téton et ronronne comme une petite chatte lorsqu'elle écartèle son p'tit trouw... Ronronne bien fort et fait vibrer son sein entier... Il... Il n'arrive plus à se concentrer uniquement sur sa succion, sur le travail savoureux de ses petits crocs... Entrouvrant la bouche au gré de son invasion lente et bonne... ses griffes pressant ses tétons comme pour se retenir... Se... retenir de... Défaillir si vite... Sa femelle Alpha, hihi... Il se cambre et s'offre... Relevant sa queue d'abyssian pour lui laisser touuuut l'espace et la liberté qu'elle désire... Se sentant si "salope" de ne pas avoir envie de lutter... S'arquant un peu en arrière quand il la sent pénétrer si douuucement... elle peut le voir de face désormais, loucher idiotement... s'empourprer et se sentir si gêné face à elle de montrer la mignonimie de son désaroi sous cette domination qu'il redoute comme acceuille avec autant d'effroi au départ, que de perdition lorsqu'elle est bien installée de quelques bons centimètres dans son cucuw !
Han M.. Mrouwr... Mamanwwhrrr... P.. pas... Nionw... Awrghrr... Oh zuuuuuut !! P.. Pougni piou !!! P.. Pitiée... Pitiéééée !! Pas mon ciuw ! Pas mon c... hihi... Il est pas encore prrrêt !! NI... niwiwiwiiiiiiiiih !!
Se sent parcouru de spasmes extatiques... Tendant son visage vers les cieux... Haletant en caressant les joues rayées de sa tigresse... Se sentant inexorablement attiré vers le bas... Elle et ses énormes, belles paluches griffues... l'enfonçant sur sa pine... ses doigts tremblent.. caressent les lèvres de cette démone... puis s'aggripe vainement à ses épaules... Il descend... Descend doucement... alors qu'il était au niveau du visage de la tigrabyssianne de l'espace, désormais se trouve à nouveau bel et bien au niveau d'entre ses seins avec son visage... Ses cuisses et ses pieds tremblant de plaisir et sa langue s'étirant... S'étirant hors du balcon de sa lippe inférieure pendant qu'il se sent écartelé... que ses abdominiaux se font a nouveau masser, étirer, assouplir... Que ses fesses grossissent, s'écartent et s'envoluminent de sa présence comme les putains de fesses d'une fille, et ses hanches couinent et s'évasent tout autant...
Nh... Nhiiionnw !! HU.. HuuuurGHRrrrr !! MRrrauuuwRRrr ♥ Pi... Pitiéééée ♥ P.. . Pardon ♥ Punis moi paaaas ♥ Han ! HAAan !! HAAaaauwRRrr !!!
Sur la fin de cette nouvelle invasion anale, bien farci jusqu'a sa garde, il tremble comme une feuille... révulse ses yeux et sa queue d'abyssian est toute droite, parcourue de vibrations et entourée d'arcs électriques... Il grrrogne d'une douleur plaisante, elle peut apprécier l'expression d'un plaisir sauvage et mûr sur son doux visage, une babine légèrement relevée, des bosselures enrebellées accusant la douleur et l'appréciant dans un ronronnement groulé, il prenait cher et aimait ça ce petit salauw... Du moins, c'était beau de le voir en peine d'accuser sa grosseur, irina se délectant sûrement quelque part, avec un sadisme qu'elle savoure, le voir déguster comme ça.
Et il fait ce qu'il peuw... Il le faut... han... han... entre deux remontées et redescente sur sa longue, longue verge mutante qui lui arrache des miaulements éperdus de plaisir... Son petit anneau forcé de mouler sa pine à la perfection, des sons salaces et si honteux, si honteux ouie... de ventousage, de dégazements fins et frais du à l'énormité poussant de l'air dans ses muscles fessiers, ses intestincs... De l'air qu'elle pousse à chaque montée et redescente, ce même air qui s'échappe par le pourtour serré entre sa verge clitoridienne et son anus et qui chatouille le sexe de la démone lorsqu'il s'évacue si finement, c'est très discret, presqu'inaudible, à peine un "pffff" et une agréable pression laisse échapper ces fins filets d'air contre son bouton clitoridien qui la chatouille à son tour... Le résultat d'un cul vraiment très étroit, bien musclé et serré pour elle.
Il fait ce qu'il peut, en a très très envie... Ses seins sont magnifiques... Il aime qu'elle lui guide son visage contre son sein et l'empale sur son téton qu'il suçe avec un drôle d'appétit, une avidité délicieuse, phénoménale... Racle et racle et rrrâpe ses dents avec une finesse délicate sur ses tétons... Lorsqu'elle le lui permet il la suçote vivement et rapidement jusqu'a ce qu'elle l'empale sadiquement sur sa verge et se remette à trembler comme une feuille en louchant aux cieux... bouche grande ouverte d'où presqu'aucun son ne sort, si ce n'est un ronronnement... Il se libère sur les abdominaux de la tigresse à chaque fois qu'il monte et descends... Il avait de ses expressions... presque toutes différentes entre chaque descente et remontée sur son sexe... tantôt une expression de plaisir mêlée de résistance... Là, un groulement éteint et soupiré les yeux clos.. Ici , louche les yeux mis clos et tire la langue n'en pouvant plus... une fois sur deux, ou trois, il projetait sa tête en arrière dans un grrrognement mêlé de douleur et de plaisir... Puis son visage glissait contre sa poitrine de haut en bas pour quelques tours, hihi... Dépendant de la rapidité et la force avec laquelle elle lui baise son magnifique petit cul.
Elle le décore... Hahh... hahh.. Elle le décore pendant qu'il sourit stioupidement d'extase... Que sa chevelure colle à son visage et qu'il sue de plaisir... Presque content qu'elle en fasse son petit chaton, un collier... un collier avec une boule, miaw... il est son pitie chat... hihi... ça lui paraît être une idée... une belle idée... Complétement ahuri par le plaisir... Son cul lui fait du bieeeen ♥ Et elle met une chaîne... Pour pas le perdre... hanwie... faudrait pas... faudrait pas qui puisse se perdre ! ou s'échappée ? hm... Il n'en avait pas l'envie, enfin, pas présentement...
Mais bientôt il réalise... que ça lui facilite grandement la tâche, à elle... Comme si... Comme si elle n'était déjà pas assez facile... Comme si il n'était pas déjà complétement assez, à sa merci... Il tire la langue sous l'étranglement léger du collier, et pousse un râle de surprise lorsqu'elle le rabat avec la chaîne... Suivi d'un feulement de surprise...
Tigrina - Shiiiiiii... mieux que ça ! Ou bien...
Gnuon... hihihie... P... Pas... pas encore ce..... çaaaah !! Awie !!
Sa sodomie était plus douloureuse lorsqu'elle l'empêchait de jouir, et son doux petit corps se tétanisait à chaque écartélement anal, Il serrait ses jolis p'tits crocs en louchant de défi vers elle, d'un défi féroce et souriant, mais c'était sans doute pas la meilleure idée, hihi, presque provocateur... encore combatif hmmm ? Où avait il juste envie de montrée à cette diablesse qu'il pouvait encore lui résistée ? Sais pas... Sais pas pourquoi il faisait un peu sa tête brûlée... voulait juste lui plaire.
Tigrina - Tu jouis quand je le décide... je ne suis pas suffisamment satisfaite... continue !
Hein ? Qu... Maie... Maie comment je ferai tu arrête pas de... pas de... hihihi...
Se fait a nouveau ravalée les joues, la façade de son irrésistible visage aux reflets mielleuw tout plein... Et ça... ça ça le ferait pratiquement jouire aussi... Sa langue attentionnée de tigresse lui astiquant ses joues toute en longueur... à l'en faire haletée... Sais bien que ses joues sont tioutes belles mais... Mais à vouloir à ce point les lui léchées... han.. han c'est vraiment bon... C'est bon y a rien à dire, surtout sur la pointe d'une quasi libération anale lorsque son gland menace de ressortir et qu'une lèche est accompagnée d'une redescente sur sa verge aux proportions encombrantes.. y a pas d'mots... y a juste pas d'mots pour expliquer le délice et le frisson qui le parcourt quand elle fait ça... sa poitrine bombée et lisse... ses petits tétons de mâle en pointent carrément et une giclée puissante caresse les abdominaux de la démone. Il sourie en riant de façon si belle, claire et enfantine... perdu... Il est perdu quand elle fait ça... son cerveau déconnecte complétement comme si on avait rompu sa liaison nerveuse, il s'en ferait presque pipie dessus ! Lorsqu'elle léche ses joues à l'unisson parrrfaite d'une bourre anale savvament orchestrée... Elle lui détruit la raison.
Tigrina - Shiiiiii ! Tu n'as pas besoin de tes yeux pour me servir mâle... tu n'est qu'un sexe et une bouche... je n'ai pas besoin du reste pour le moment shiiiii...
Comment ? Syouplai ? j'suis pas une salope ! je suis un abyssian de l'espace et pis j'ai des droits ! Tu es en train de baffouée au moins une bonne centaines de lois intergalactiques en ce moment et... -s'exclame t'il, coupé dans son élan par ses "soins" - Comment trouvait elle le moyen de toujours rendre ça plus fou, plus intense, seconde en seconde... Il secoue la tête, par la négative lorsqu'elle commence à lier son regard de ce bandeau noir... elle le prive d'un sens... Sait elle ? A t'elle la moindre idée de la façon dont elle va renforcer le reste de ses sens déjà outrageusement solicités ?! Elle veut qu'il la satisfasse sans rien plus voir ?! Mais... Mais il va être plus maladroit et idiot qu'il ne l'est déjà hihi !! nion ? Où va t'il mieuw ressentir ce dont elle à vrrrraiment besoin ?
et pie j'm'en fouw... bafoue touw ce que tu voudras... hihie touw...
Se retrouve donc dans le noir... Il se laisse guider sur sa pine, et happe de ses lèvres dans le vide lorsqu'il sent son téton glisser sur ses traits... hihi... C'est devenu bien moins évident pour lui de l'attrapée... Mais peut être que c'est ce qu'elle cherche... Où peut être va t'elle passer à autre chose... Elle ne le veut plus qu'être un sexe et une bouche... Mais il est sûr qu'elle veut aussie qu'il soit des joues à la façon dont elle adowrrre les léchées... Et un jolie petit cul de la manière dont elle le visite avec envie et délice... Pas qu'un sexe et une bouche... nion... elle ment ! enfin... Y peut pas être que ça... snif... il à un peu mal aux reins, aux abdos... Son anus est en feu... Son derrière à commencé à s'adaptée... à être... conditionné par sa grosseur, sans pour autant encore être habituée à sa taille... Il comprend un peu tard ce qu'il à fait subir a Irina... Il sent qu'il aura plus un équilibre normal sur ses jambes pendant un petit moment... à partir du moment où elle le laissera tranquille... si elle le laisse jamais un jour être tranquille... Mais Il n'avait plus envie qu'elle le laisse en paix... Pour l'instant tout semblait calme... Silencieux... Tout est noir...
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Ainsi aveuglé, le jeune abyssien cesse de luter et se met à exécuter les ordres de la mutante avec dévotion, comme si en lui posant ce bandeau sur les yeux elle avait éteint sa volonté. Tigrina exulte de voir son nouvel esclave devenir docile et obéissant. Elle le se met à le frotter contre lui comme une chatte en chaleur et ronronne contre son corps. Pour ajouter à la panoplie du parfait jouet sexuel et l'humilier pour lui faire payer toutes ces années de lute et de fuite, elle utilise ses tentacules pour se saisir de nouvelles courroies en cuir qu'elle lui passe autour de la poitrine pour lier ses bras derrière son dos. Les deux bandes ceinturent son torse au dessus et en dessous de ses seins.
Puis elle en prend deux autres et s'en sert pour joindre son tibias gauche à sa cuisse gauche, puis son tibias droit à sa cuisse droite. Ainsi soumis et réduit à l'impuissance, elle se retrouve libre de ses mains et de ses tentacules pour faire tout ce qui lui passe par la tête.
Elle lui lèche à nouveau le visage. Ludya sent qu'un des tentacules de sa Maitresse s'enroule autour de sa queue et l'entoure complètement pendant qu'un autre s'enroule autour de la base de ses testicules.
Les doigts gracieux et experts de Tigrina se posent alors sur les tétons de Ludya pour les humecter avec de la salive. Elle les masturbe quelques instants et les prend entre les doigts quand il se mettent à pointer.
Tigrina - Là... et là... je te percerait les tétons et j'y passerait deux beaux anneaux d'argent pour te tenir en laisse... Tu es d'accord ?
Et sans attendre sa réponse, elle recommence à le sodomiser profondément en même temps que ses doigts branlent ses tétons et qu'un de ses tentacules se contracte et bouge autour de la queue du captif pour le faire jouir. Mais à chaque fois qu'il est sur le point de venir, le tentacule autour de ses testicules se contracte et empêche sa semence de sortir.
La tête du tentacule qui enserre le pénis de Ludya serpente jusqu'à son gland et le décalotte pour venir en lécher les ailettes.
Tigrina - Et si tu es sage je t'en offrirai un ici aussi hihi... On va jouer à un jeu... si tu réussi à te retenir et ne pas jouir je te laisse choisir si tu en veux un ou plusieurs, ou aucun. Mais si tu craque et que tu jouis... alors je partirais du principe que tu t'es offert tout entier à moi et je t'équiperais comme j'en ai envi...
Finit elle en desserrant l'étreinte autour de ses testicules tout en continuant de s'enfoncer en lui tout en masturbant sa queue et ses tétons.
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Gnonw... Y... Y pouvait plus... Bougée... Plus rien faire... Ses phéromones l'affaiblissaient comme une espèce de kryptonite pour superman ! hihi... Alors il pouvait même pas se libérée de ces courroies de cuir ni de cette chaîne... Hhh... Hhhwww... Autre faiblesse notable c'est la débilitation ahurissante et abrutissante que produit sa cyprine vénimeuse, intoxiquant son pauvre cerveauw incapable d'utiliser un quart de son intelligence... Han il était faaaaiiiit hihi.. Et bien fait... Farci aussi... Il la sentait en elle et c'était une sensation de plus en plus agréable... à l'en faire tirer honteusement sa langue hors de ses lèvres, cambrer le dos et pousser de loooongs rrrrâles accompagnant ses plongées longues et fluides dans ses muscles étroits qu'elle écartèle et ravit avec une aisance savoureuse.
Mrouh... Nwi...
Gémit il lorsqu'en plus du reste elle se plait toujours, toujours hein ouie... à venir lui léchée ses joues... Son visage... Mais qu'est ce qu'elle à avec son mignouminois hihihie !!! C'est pas un jolie glaçon !! Il va pas fondre si elle le lèche suffisemment ! Han putain sa langue l'excite quand même et sous le bandage de cuir qu'elle vient de lui mettre il louche tout de même à chaque raclage délicieux de sa langue sur la surface incroyablement lisse de ses joues toutes miel... Il voudrait sourire mais sait que la rondeur de ses lèvres n'est jamais plus belle que lorsqu'il entrouvre légèrement la bouche en "o" ce qu'il fait pour la tenter à continuer... Et continuer encore de lui léchée...
Il se passe... De ces choses avec son corps... Dont il ignorait que ça soit possible... Pointant si fort qu'il sent qu'elle peut rouler ses pointes entre ses doigts... ça chatouille terriblement mauwrrr... Il arrive plus à pensée !! il arrive plus à... G... Ghru... Niouminiouw !! Elle fait de ces trucs hihihi !!! Han pitié.. pitiéééé !! Quel monstre avait il créé !
Tigrina - Là... et là... je te percerait les tétons et j'y passerait deux beaux anneaux d'argent pour te tenir en laisse... Tu es d'accord ?
Elle veut faire des trouw ! Elle veut faire des trou dans son corps !!! HIIIIIIiiiiiiiiiiiiii !!! Pourquoi ?! POURQUOI ?!! Au s'couwrrrs !!! ELle veut faire des trous et quand il boira du jus d'orange ça partira par là !! hihihi !! NION !! elle peut pas.. Elle peut pas faire des trous ! Bien que l'argent soit un antibactérien naturel il craint pas grand chose mais... mais... Mais pas à des endroits si sensibles !!! iiiiiiiiiiiiiiiiiiihwiwiwi !!!
Le temps qu'il rassemble le peu de raison qui lui reste pour fabriquer une réponse intelligible, entrouvrir les lèvres pour dire quelque chose comme "nion mais ça va pas ça doit faire ma..." Elle recommença à le sodomiser... A le sodomiser et lui branler ses tétons, il grognemougna comme il put en tremblant de tout son corps, se crispant puis se relachant en poussant d'intenses et sensuels rrrrâles ronronnés, qu'il réprime tant bien que mal en se pinçant parfois la lippe...
Enfin... hihi... Il allait jouir... Se sentait venir... C'était trop intense, trop pour qu'en quelques allés retours il n'ait pas un spasme puissant annonçant un orgasme, mais elle l'en empêche... Elle étrangle ses bourses et sa langue sort, nerveuse et tremblante... Il la maudiiiie !! hihihi !! Il la maudit !! Elle le torture puis c touw !! Gouarghl !! Han..
Han gnooonw... Gnon... Il à cette expression toute désolée de plaisir et d'abandon lorsqu'elle décalote son gland et lèche les ailettes de ce dernier... Elle sent à même son cuw que tous ses abdos, ses obliques, fesses et bas ventre se contractent violemment comme pour jouir... Il pousse des gémissements déments de plaisir...
GNoumiiiiwRRrrr !!! HAWyoouuuuuwRRRrr ♥♥ Piwimignipiouuuuu !!! HAaauuuuuuuuuuuuuuwwwwWWwwNnnnhhhGRRRRrr !!!♥
Tigrina - Et si tu es sage je t'en offrirai un ici aussi hihi... On va jouer à un jeu... si tu réussi à te retenir et ne pas jouir je te laisse choisir si tu en veux un ou plusieurs, ou aucun. Mais si tu craque et que tu jouis... alors je partirais du principe que tu t'es offert tout entier à moi et je t'équiperais comme j'en ai envi...
Elle veut lui en mettre un sur le gland aussihihi !! AUSSI !! Urghr !! Nionw !! Wimainion ! ça doit faire trow mal !!! C'est trop sensible !!! p... pas questionw !! Même si sa tête ballote au gré de sa sodomie et semble acquiescer, nion ! Ah mais gnion ! Gnoncégnon ! Et à nouveau il entrouvra ses lèvres tremblantes d'extase pour entamée sa réponse mais elle relâcha tout... Tout d'un coup ! Et Ludya rugit... Rugit et serra les dents, essayant de se retenire !! Et c'était pire, pire !! PIRE !! Chaque seconde c'était juste pire !!! IL força de tout ce qui lui restait, serra les fesses, se mordit la langue, fit nion ! nion nion nion ! en secouant sa tête ! Et ça dura, ça dura bien dix... onze... douze... il les comptait pour se donner du courage... Se concentrée sur quelque chose... Elle pouvait paaaas !! GNON !! FAIRE DES TROUS !!!
Mais fatalement au bout de la trente sixième seconde, très vaillante au vu de l'intensité de ce qu'elle lui faisait subir, il en puis plus... Dans un sourire à la fois abruti de plaisir et triste il rugit de plaisir
HAAAAAAAAAAAnnwWRrrrOUI ♥!!! Ouuuuuuuuuuuuuuuiiie !! GRRrrrrhumRRrrrrrr !!! N'ouiiiiiie ♥ !!!
Un autre de ces jets puissants, épais... traversa toute la pièce suivi d'autres tout aussi projetés, témoin d'une jouissance puissante, irrésistible, Il serre les dents et ses pleurs de plaisir humidifient ses joues... Il perd momentanément connaissance sous l'intensité, retenu par les chaines cambré comme il l'est mais tête pendant vers le bas...
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Tirgina regarde jaillir la semence de son prisonnier avec délectation et lui caresse le torse et le visage en signe de satisfaction. Le gratifiant d'une petite récompense pour s'être soumis irrémédiablement à elle.
Tigrina - Bien... tu es ma propriété maintenant. Tu es mon esclave.
Sont les derniers mots qu'entend Ludya avant de perdre connaissance. La tête du jeune Abyssien retombe et pend mollement dans le vide, la mutante tire sur la laisse pour le ramener contre sa poitrine et le fait lentement glisser dans ses bras pour l’emmener vers les anciens laboratoires.
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Ludya reprend lentement connaissance, son esprit encore chargé des phéromones de Tigrina a toujours du mal à penser de manière totalement rationnel et d'évaluer combien de temps il a dormi. La première chose qu'il ressent c'est le contact de doigts graciles et puissants sur sa verge qui continue malgré ses précédant orgasmes de le masser et le branler lentement pour maintenir son érection encore et toujours. Elle est si tendue et gonflé par son état de gaule permanente que s'en est a la fois excitant et douloureux. L’appentis et le désir de domination de Tigrina avaient ils des limites ? Ludya se le demende en la sentent encore à l'oeuvre sur son corps pour le maintenir dans un état de folie sexuelle permanent.
Puis c'est la fraicheur et la rudesse du mobilier sur lequel il est allongé sur le dos qu'il ressent. Les crampes que lui provoquaient les courroies qui lui tiennent les mollets aux cuisses ont commencé à passer et son corps s'acclimate petit à petit à être ainsi réduit des jambes. Ils sent en revanche qu'il est toujours attaché, mais cette fois si il est disposé en étoile. Ses poignets et les bandes de cuire de ses cuisses étant fermement liées au support sur lequel il est allongé, bras et jambes bien écarter pour offrir libre accès et spectacle à ses zones intimes. Il fait tiède dans la pièce et il peut entendre et sentir le souffle musquée de sa tortionnaire.
Il ouvre lentement ses yeux encore lourd de sommeil et remarque qu'ils ne sont plus bandés. La pièce encore une fois est plongée dans une lumière tamisée et agréable, même si la lumière est concentré sur son propre corps qui se trouve être attaché à une grande croix en bois couchée sur un haut socle d'acier. Même s'il porte toujours son collier d'esclave, il peut néanmoins bouger la tête et remarque vite la stature féline de sa compagne confortablement assise du coté de son flanc droit, en train de jouer distraitement avec la queue de l'abyssien d'une main et de lui caresser un sein de l'autre. Sans merci, elle soumet son corps à une stimulation sexuelle permanente et il comprend à l'aspect turgescent et rouge cramoisi de ses tétons et de son gland qu'elle s'y applique depuis des heures.
Tigrina - Tu es enfin réveillé Esclave. Bien. Je t'ai laissé dormir un peu pour te récompenser de ton acte de soumission. Tu m'as offert un bel orgasme, et regarde ça, tu reste encore ferme et prêt à recommencer, je n'en attendais pas moins de mon petit mâle. Maintenant que tu es réveillé nous allons pouvoir reprendre avec ton esprit ce que je faisait déjà avec ton corps. Tu sais, il est encore plus obéissant que toi, un vrai petit chien.
Dit elle en lâchant enfin sa queue. Libérée de sa poigne vigoureuse, le sang afflux encore plus vers sa verge qui gonfle plus encore et palpite de désir. Il se rend compte que la sensation de manque est alors bien pire que la pression permanente que lui infligeaient ses doigts vicieux.
Tigrina - Tu sais, j'ai toujours été fascinée par notre capacité racial de faire muter nos cellules pour adopter la structure moléculaire de ce que nous touchons. Et comme tu as été un esclave très obéissant, j'ai décidé que tu ne méritait pas de subir la douloureuse torture de l'aiguille. Alors j'ai décidé de faire plus simple, mais aussi plus... personnalisé.
Elle lui montre alors deux petits anneaux dont le fermoir n'est pas une pointe mais deux petites boules lisses fait dans une matière métallique argenté. Mais Ludya reconnait ce matériaux et sait que ce n'est pas un simple acier. Il s'agit en fait du métal qui recouvre le derme des guerriers abyssien lorsqu'ils se battent et poussent leur corps vers une forme guerrière. Le jeune homme comprend alors que ces deux anneaux viennent du corps même de Tigrina, qui a profité de son sommeil pour les forger à partir de sa propre armure.
Tigrina - Tu vois, je prend soin de mon nouveau sexetoy. Maintenant détend toi et laisse les cellules de ton corps s'offrir à mes caprices, tu vas adorer ça...
Ajoute t'elle d'un air malicieux en prenant le premier anneau entre le pousse et l'index. De son autre main, elle saisit le téton droit de Ludya et commence à le masturber comme s'il s'agissait d'un petit pénis, sa peau commence à exhaler une sueur chargé de phéromones aphrodisiaques. Elle le fait gonfler entre ses doigts et pointer à son maximum puis elle l'emprisonne entre les deux petites boules de l'anneau. Elle commence à branler son petit bout de chaire entre les deux extrémité du fermoir en murmurant.
Tigrina - Va y... laisse toi aller, laisse ta chaire accepter la mienne...
Elle continue de le masser, l'excitation devient insupportable mais le corps de Ludya tient bon et refuse d'entrer en phase de symbiose. Alors sans dire un mot Tigrina , tout en continuant son œuvre, descend vers la queue de l'abyssien, ouvre grand la bouche et déploie une longue langue serpentine d’où se met à couler un filet de salive. La salive se met à couler sur le bout du gland de Ludya et s'infiltre instantanément dans son petit trou. Le jeune esclave sent alors remonter vers ses bourse et son bas ventre un feu d'excitation insupportable et avant qu'il n'ai pu dire quoi que ce soit, la bouche de Tigrina se referme sur sa queue. Sa tête descend sur elle jusqu'à ce que son nez touche son pubis et que le gland de Ludya déforme le font de sa gorge. Elle commence alors de long va et viens et suçant sa lance comme si elle voulait la traire. Mais avant qu'il ne puisse jouir à nouveau elle arrête.
Le choc et le désir sont si intense que le corps de Ludya se soumet et commence la symbiose. Sous les yeux grand ouverts et incrédules du jeune captif, son téton commence à prendre la couleur argenté de l'anneau en adoptant ses caractéristiques moléculaires.
Tigrina - Bien... très bien esclave... ton corps est plus raisonnable que ta tête, regarde... ils se marient si bien...
Toujours sous le regard éberlué de son propriétaire, le téton et les petites boules de l'anneau commencent à fusionner, la texture de chacun se mêlant à l'autre dans une avalanche de sensation orgasmiques jusqu'à ce que les boules aient totalement disparue dans la chaire de Ludya. Le jeune abyssien se sent alors bizarre, comme si une connexion s'était établie, quand Tigrina retire enfin ses doigts du téton, elle les porte sur son propre téton droit et le presse. Instantanément Ludya sent son sein vibrer et gonfler comme si c'était le sien que la mutante torturait.
Tigrina - hihi... Tu vois, tu es de plus en plus à moi à chaque instant qui passe...
Puis elle se saisit du second anneau et recommence à lui sucer la queue tout en passant son téton gauche avec. A nouveau elle s'arrête et la fusion commence, Ludya se retrouve après une nouvelle série de sensation jouissive avec deux beaux anneau liés en lui sans la moindre blessure, il font partie de son corps.
Tigrina - Tu es tellement beau mon chaton ! J'ai hâte de faire ta promenade en te tenant en laisse par les... Ho, mais j'ai failli oublier...
Elle se saisit d'une longue et épaisse tige elle même issue de ses cellules, terminé par un anneau parfaitement circulaire et sans fermoir.
Tigrina - Sans ça je ne pourrait pas te tenir en laisse par la queue, et ce serait dommage.
Elle vient se placer entre les jambes de Ludya et recommence à lui masser le gland et le masturber lentement.
Elle attend que le corps du jeune captif commence à se contracter et s'agiter des soubresaut prémisse à la jouissance. Puis elle lui pince le bout du gland avec douceur pour lui ouvrir son petit trou et y passer la tige. Elle l'enfonce encore et encore jusqu'à ce que Ludya la sente presser sa prostate et lui créer une sensation de jouissance étrange car sans orgasme. Quand elle a fini, seul l'anneau dépasse encore du gland de l'esclave.
Tigrina - A partir de maintenant tu jouis et tu te soulage quand je te le permet. Si tu es gentil je te l'enlève un petit peu pour récolter ta semence.
Pour lui prouver ses dire et briser plus encore sa volonté. Elle se met soudain à le masturber et le sucer vigoureusement. Sa chaire et la matière de Tigrina introduite en lui fusionnent si bien que Ludya n'en ressent aucune gène et quand le moment de l'orgasme arrive enfin, il se met à jouir. Mais il constate avec horreur que si l'orgasme vrille bel et bien ses entrailles, le soulagement suprême de sentir son sperme quitter son corps est remplacé par une sensation abominable de pression et d excitation insoutenable. Quand l'orgasme prend fin, il est encore plus en manque de sexe qu'avant celui-ci...
Son instinct animal lui souffle alors à l'esprit ses nouveaux besoins primordiaux, satisfaire sa maitresse, pour pouvoir baiser, pour qu'elle le laisse jouir.
Tigrina - Bien mon chaton, je crois que tu commence à comprendre, c'est vraiment merveilleux.
Un cliqueti résonne, Tigrina a attachée la laisse à l'anneau qui dépasse du gland de Ludya. Elle lui détache les mains et les jambes pour qu'il puisse se mettre à quatre pattes.
Tigrina - Je vais te promener et si tu es sage je te laisserai jouir.
Elle donne de petits coups sur la laisse, a chaque fois Ludya sent son sperme fluer et refluer et ses testicules gonfler de désir.