Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Salles de cours et bibliothèque => Discussion démarrée par: Ludmilla le vendredi 27 février 2009, 12:58:20
-
[ Le titre pour me rappeler qu'il faut que je lise ce fichu bouquin pour le BAC ;D ]
- Où est donc " La princesse de Babylone "
Ludmilla laissait ses doigts courir sur les livres, revenir et repartir en arriére, fureter, chercher ... pour finalement ne pas trouver. Quelqu'un devait l'avoir pris ...
- Bordel de ... Où est ce livre ?
La bibliothéque n'était pas bien remplie, peu de gens ... Extrémement vide ... Elle jeta un oeil vers une salle bien isolée, sur le côté. Y avait-il quelqu'un ici ? Elle serra nerveusement sa jupe d'ecoliere, et appuya sur la poignée.
Elle poussa la porte.
Elle regarda a l'interieur.
Et glissa en avant, en poussant un petit cri.
-
-hj-Eh ben, quand tu disais libéré...-HJ-
"Tiens donc."
Don tira Ludmilla a l'interieur de la salle, c'était une chance qu'un homme tel que lui se trouve a un endroit pareil. Il devait bien y faire dieu ne sait quoi, car Don n'avait même pas la plus petite idée de pourquoi, quand, et comment il était arrivé dans cette bibliothèque. En véritée il essayait de mettre la main sur de nouvelles marchandises, et il était tombé sur une ancienne qui s'était enfuie avant la fin de sa formation. La tradition voulait que personne n'échappe a Don. Ludmilla n'allait donc pas faire exception, il refera la porte evidement derrière lui
"Qu'est ce que tu fais ici esclave?
Fit il en attirant Ludmilla et en la bloquant contre lui
"Tu essaye de reprendre une vie normale?Tu sais comme moi que c'est impossible non?"
Le marchand d'esclave sourit et la regarda se débattre
-
Nonnononononoooon elle l'avait reconnue avec un temps de reaction assez lent, mais l'avait reconnue. Avec peur, stupefaction, tremblements. Elle avait reconnu son timbre de voix, ses gestes, ses mouvements brusques, encrés en elle dans un souvenir qu'elle se voulait dissimulait. NOn, desormais, il eclatait au grand jour ... Elle l'avair revu, et la scene redefilait dans son esprit, ses cris, sa peau ... elle eut une moue remplie de peur. Elle voulut le repousser, le frappant avec ses poings qu'elle voulaient violents.
- Si .. c'est ... c'est possible ... begaya t'elle.
Elle avait ce même regard de quand elle l'avait vu pour la premiére fois sous son vrai jour. Des yeux ouvert en grand, des pupilles éclatées ...
- Je ... suis amoureuse, j'ai pu refaire... ma vie ... vie...
Elle gigota à nouveau, sentant la peau prendre ses membres un a un. Pas de nouveau cette rencontre, non, pas lui ... elle voulait s'enfuir, que quelqu'un les voit et l'aide. Pas lui ...
-
Don s'amusait beaucoup. Il avait laissé Ludmilla filler a l'époque mais il avait longtemps regretté son erreur, elle était bien faite et jolie, elle pourrait lui rapporter beaucoup d'argent si il la vendait correctement, aussi il avait commencé a la chercher là où il le pouvait et avait finalement jeté son dévolu sur le lycée de Seikusu, où des jeunes brebies égarées telles qu'elle se seraient surement retrouvées. Bingo. Tout était tellement facile, il était facile de retenir Ludmilla ainsi humiliée contre lui, il était facile de la voir se débattre. Humiliée?Est ce qu'elle avait l'air humiliée ici et maintenant?Non, du tout, au contraire. Mais ça n'allait pas tarder. le marchand d'esclave lança a Ludmilla avec l'air de la fatalité en haussant les épaules bien fort et bien haut
"Allons, tu sais très bien ce qui va se passer, pourquoi te débattre?tu sais que tes coups misérables ne me feront rien et que tu retournera a ta vie d'esclave. Car tel est ton destin, ne l'oublie pas. l'amour?Refaire sa vie?Il n'y a qu'une seule vie possible pour une esclave."
Il la repoussa, arrachant aléatoirement un de ses vetements, ne le retirant pas de Ludmilla, mais en déchirant l'etoffe, pas pour la dénuder, mais pour l'humilier. l'envoyant sur le sol
"Et c'est celle qui est attachée a son maître. A présent relève toi et obéit moi. Ou prépare toi a endurer les minutes qui vont suivre"
Don avait déjà débraguetté son pantalon et laissait voir son membre a Ludmilla
"Viens t'occuper de lui, il n'attend que toi."
-
Il l'avait laissé filer, grave erreur de sa part. Elle avait reussit à acquerir une petite force, afin d'être plus sûre d'elle qu'avant. Elle pouvait se battre, elle avait connu des choses et rencontrée des gens sublimes, qui l'avaient aidés sans problémes quelconque. Elle avait eu une vie, et ne laisserait jamais, non, jamais, Don gâcher ça. Elle voulait vivre, simplement, et ne plus jamais recroiser cette homme dont le fer chaud avait marqué d'une cicatrice indelebile son corps. Elle recula violemment, le regardant avec degout.
- Je peux avoir une autre vie. Contrairement à vous, il m'a respectée, laissez moi, cherchez une autre personne que moi!
Sa voix était peu sûre d'elle, tremblotante, Don lui faisait toujours peur, et ça elle ne pouvait pas le nier. Mais il devait penser le contraire.
- Vous n'êtes pas mon maitre! grogna t'elle.
-
Don se massa le front gentiment et finit par hausser les épaules d'une manière sarcastique avant de soupirer, décidement ce n'était pas si simple, mais est ce que Ludmilla semblait le comprendre?Non, il allait la tirer de tout ça pour la ramener là où elle devait aller :Droit en enfer, avec lui, cette marque qu'elle portait attestait son appartenance et montrait qu'elle était sa marchandise, si elle n'avait pas de client actuel il allait lui en attribuer un très vite. Mais pour le moment le marchand d'esclave se contenta de rigoler grassement et de lancer a Ludmilla
"Toute une éducation a refaire a ce que je vois, ce n'est pas grave, je te promet que quand tu en ressortira tu sera une esclave docile et obeissante, maintenant si tu sais ce qui est bon pour toi, tu as interêt a m'obeir, tu ne m'aimerais pas si j'était en colère, crois moi."
lança Don avec un air maussade, les sourcils froncés et la bouche remontée, si il fallait lui infliger la correction de sa vie pour qu'elle fasse son travail il allait la lui infliger, il lui lança patiement en s'approchant d'elle
"Fait ce que je t'ai ordonné, c'est mon ultime avertissement"
-
Décidément, on tombait ici bien bas ... elle qui rêvait de liberté et ne voulait jamais recroiser cet homme se retrouvait ici, bloquée avec lui, qui avait énormément de pouvoir sur les autres. Elle avait toujours eu peur de cet homme, dangereux , grimaçant. Chaque cauchemar, c'était lui qui la plaquait sur une table et ... vous comprenez. Elle voulut reculer et se prit le mur, à nouveau. Ses yeux affolés cherchaient encore une maigre solution. Pas de fenêtre, porte bloquée, et ses muscules étaient tremblants et bien trop faible pour qu'elle puisse riposter face à lui. Elle ferma les yeux.
Il n'y avait pas 36 solutions. Il la laisserait sûrement tranquille aprés ça. Si elle lui faisait " plaisir " , il la laisserait sûrement partir. Elle soupira ... Le tout pour le tout. A contre coeur, elle s'approcha du membre tendu du marchand d'esclave, et passa sa main dessus, inspirant violemment, honteuse d'elle. Elle le caressa avec ce qu'elle voulait de douceur, tremblante, avant de le prendre en bouche en fermant les yeux, les joues rouges de peur et de honte. Elle devait le faire ... elle commença à sortir sa langue , et tomba en arriére.
- JE NE PEUX PAS !! cria t'elle. JE NE PEUX PAS !!
-
Sans douceur, la main de Don aggripa la tête de Ludmilla et la tira par les cheveux jusqu'a son entrejambe pour coller son sexe contre sa joue. Le marchand d'esclave lança d'une voix qui n'avait rien de doux a la fillette
"Tu te souviens de ce que je t'ai dit?Ta tête, comme une pastèque je l'éclate entre mes doigts. Tu as interêt a obeir, si tu ne veux pas que je me fache."
Il tira ses cheveux pour relever sa tête vers la sienne et la regarda avec placidité
"Tu sais ce qui arrive quand je me fache non?"
Lança Don sur un ton sans surprise
-Hj-Tu peux décrire tes vetements dans un autre post?-HJ-