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C'était l'hiver...oui, oui, l'hiver. Je crois que vous le saviez déjà, mais il faut toujours tout répété dans la vie. Mais bon, je rentre dans le vif du sujet.
Par une très belle journée d'hiver, un taxi se dirigeait vers un beau grand lycée. Un taxi jaune, un jaune comme ceux de la belle métropole américaine qui n'a pas besoin d'être nommée(enfin je crois). Dans ce beau petit taxi, se trouvait moi, Sayu. Mes grands yeux bleus regardaient les petits brins de neige qui tombait du ciel et qui se reflétait dans la vitre de l'automobile. J'écoutais, sur mon iPod bien entendu, une musique de Panic at the disco... un groupe américain que j'adore. Après cinq musiques, d'environ quatre minutes chacune, le taxi arriva. Donc, je débarquai, pris mon bagage puis, paya le chauffeur qui partit aussitôt. Je me retournai pour regarder le portail du lycée. Il était gigantesque... ce que je n'ai encore jamais compris. Non, mais pourquoi faire des portes gigantesques qui font quatre fois notre hauteur ? Mais bon, je rentrai, donc dans le hall du lycée. Il n'y avait personne...même pas un chat. Personne ne pouvait m'indiquer le chemin alors... et moi qui n'était pas très bonne pour me diriger. Il y avait plein de portes de chaque côté du hall et je ne savais pas du tout qu'elle prendre ! Devais-je prendre celle au milieu du mur droit ou celle tout au fond du mur gauche ? Après quelques secondes d'hésitations, je me dirigeai vers un couloir où il y avait encore plus de portes. C'était à me rendre folle ! La première était barrée...comme la deuxième, la troisième, la quatrième et les suivantes. Seul la dernière était ouverte. Sans cogner je rentrai dans la salle...
En rentrant, je déduis que j'étais perdue.
Pourquoi vous vous demandez ? Je déduis que j'étais perdue, car...j'étais dans une salle de cours ! Je ne sais pas quelle matière, mais j'étais dans une salle de cours. Il y avait le bureau du professeur, le tableau et les bureaux des étudiants. Comment avait-je fais pour me perdre ? Mais bon, bizarrement, je ne sortis pas. Pourtant, je n'avais pas du tout envie de rester dans une classe. Alors, je m'assis sur le bureau du professeur (je suis mal élevé je sais >.<) puis écouta ma musique toute seule...
[Privé Musashi]
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Le premier jour...
Musashi venait d'arriver au Lycée de la métropole, il venait de décrocher un poste comme professeur de philosophie au sein de cet établissement, notre ayant certainement encore de trés longues années à vivre il devait se trouver une occupation, cette matiére il l'aimait particuliérement et il s'y connaissait réellement ayant vécu à l'époque de grands penseurs il saurait donc de quoi il allait parlé et ce certainement mieux qu'un de ces viellards se fiant à son livre de cour...
On peut se demander comment un homme n'ayant jamais passé de diplome et n'ayant même pas de papiers d'identité avait-il put obtenir une telle place? Musashi avait découvert l'univers des faussaires, il lui était trés facil de se procurer de l'argent grace à ses pouvoirs aussi payer de grands arnaqueurs pour lui refaire une vie ne fut pas bien dur et vu ce qu'il déboursa il put s'offrir des documents et une vie plus vrai que nature lui offrant un doctorat en psychologie ainsi qu'un maitrise dans une faculté de lettre avec beaucoup de mension "bien" de quoi ravir le directeur de cet établissement.
Miyamoto était déjà venu faire un petit tour dans le batiment pour se repérer aussi put-il se diriger avec aisance jusquà la salle de classe qu'on lui avait attribué, il avait avec lui une petite malette noire contenant certaine notre pour pouvoir se repérer dans son cour... aujourd'hui allait être son premier cour donné et il était excité comme une puce à cette idée mais n'était en aucune façon stressé du moins pas avant d'entrer dans sa salle de cours...:
Là il vit une demoiselle assise sur son futur bureau et semblant attendre avec impatience... notre homme eut un léger stresse sur le moment regardant l'horloge sur le mur pour vérifier qu'il était bien en avance puis jetant à nouveau un coup d'oeil sur la porte pour vérifier que c'était la bonne salle et non il ne s'était pas trompé...
Il posa ensuiite plus attentivement son regard sur la demoiselle, celle-ci était trés mignone, elle avait de jolie jambes, une poitrine généreuse et un jolie minois mais peu importait son physique en cet instant, il voulait comprendre ce qu'elle faisait ici et s'il s'était trompé de salles ou même d'horraire aussi lui demanda t-il en s'approchant un peu plus de la demoiselle:
"Pardon excusez moi, suis-je en retard ou je n'ais qu'une seule éléve pour mon cour?"
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Moi, qui étais dans une autre monde et pensait à d'autre chose, ne remarqua pas du tout le professeur qui rentra.
C'est quand il commença à parler que je le remarquai. Il avait une longue chevelure noire et de beau yeux rouge... et oui, j'aime les yeux rouges. Le professeur lui avait posé de question. Il avait demandé plus précisément, à moi, Sayu, s'il était en retard ou j'étais sa seule élève. Moi, qui ne savais même pas où j'étais arrêta ma musique, pour être plus polie, puis répondis au professeur avec ma petite voix habituelle :
-Désolé... je suis nouvelle et je me suis perdue...
C'était tout ce que j'avais à dire.
Pourquoi rajouter des choses inutiles tendit qu'on pouvait y aller plus directement. Je ne savais même pas en quoi il enseignait, car il n'y avait rien dans la classe qui pouvait dire qu'elle était la matière. J'aurais bien aimé voir un manuel ou autre, mais non... il n'y avait rien ! En posant cette question, je me mis debout, car être assis sur le bureau d'un professeur s'est comment dire...vilain. Mon bagage, qui était un sac noir, était tenu fermement par deux mains froides...enfin selon moi elle était froide. Quand je suis gênée, au lieu de devenir chaude, je deviens froide... ce qui est anormal je sais. Mes yeux ne regardai pas tout à fait le professeur...quand je le voyais c'était très souvent des regards furtifs. Ceci est un exemple de ma grande timidité... je n'ose même pas regardé un professeur !
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"Ah... et bien je dois être à l'heure..."
Musashi entra alors dans la piéce laissant la porte derriére lui ouvert au cas où la demoiselle souhaiterait sortir, il alla vers son bureau et déposa sur celui-ci sa malette qu'il ouvrit d'un geste classe et fier: une petite malette en cuir, un bureau et vous avait l'aire d'être un grand homme ou pour le moins un érudit.
Il sortit ensuite quelques papiers pour son cour mais aussi une liste des éléves qu'il avait pour son cour et qu'il déposa à la droite de son bureau a proximité de là où s'était assis l'inconnue d'ailleurs il avait totalement oublié sa présence... il quitta ses papiers pour déposer à nouveau ses yeux sur la jeune fille celle-ci semblait attendre timidement ne semblant savoir si elle devait déranger Musashi, rester sans rien dire ou même partir aussi lui dit-il:
"Ah oui c'est vrai vous êtes nouvelle... hum... et bien il me semble avoir entendu dire que le directeur ne serait pas là aujourd'hui et je crains que le secrétaria ne soit égalment fermé et ce jusqu'à 11 heures. Aussi si vous le désirez pour pouvez rester..."
Il lui sourit briévement en lui désignant une des tables de la piéce pour lui montrer où elle pouvait s'assoir si elle désirait rester, lui se tourna et se mit à écrire au tableau, il écrivit tout d'abords son nom puis son prénom et plus loin il mit un titre pour le sujet du jour, un cha^pitre de base visant a donner quelques rudiments et régles fondamentale sur la matiére qu'il allait leur enseigner: "Qu'est ce que la philosophie?"
Notre homme se tourna alors de nouveau et finit de sortir des affaires de sa malette, il déposa un livre de philo sur son bureau non loin de la liste de ses éléveset d'ailleurs, en regardant celtte liste il eut une soudaine idée qu'il fit alors partager avec la demoiselle toujour présente dans la salle et qui n'avait rien dit jusqu'alors ou si elle avait parlé elle ne l'avait pas fait suffisament fort pour qu'il entende:
"Puis-je connaitre votre nom s'il vous plait? Qui sait, vous êtes peut être dans la liste des inscrits à mon cour...?"
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Moi, qui étais toujours debout, les yeux se baladant un peu partout dans la pièce, ne bougea pas du tout.
On dirait que j'attendais quelque chose...mais je n'attendais rien bien entendu. Après quelques minutes de silence où le professeur avait oublié mon existence, il me dit que la directrice n'était pas là aujourd'hui et que le secrétariat n'ouvrait qu'à 11h. Donc le professeur me proposa si je ne voulais pas rester en attendant... ce que je ne refusai pas. J'allai m'asseoir à un bureau quand le professeur, nommé Musashi Miyamoto, regardait sa liste d'élève. Après quelques secondes où je pus m'asseoir, Musashi me demanda mon nom. Il se demandait si j'étais inscrit sur sa liste... Comme je pouvais le voir, c'était un professeur de philosophie et je ne savais pas du tout si j'étais inscrit à ce cours. Alors, je dis :
-Nawa...Sayuri Nawa...
Je l'avais dit à la James Bond je sais...mais bon, ça ne dérange pas.
En attendant une réponse du professeur, je me demandais ce que je pouvais bien faire pour patienter. J'étais dans une classe avec seulement un professeur comme compagnon. J'avais un moyen d'écouter de la musique, Musashi avait sûrement des feuilles et des crayons, mais... je ne pense pas qu'il n'eut un livre qui m'aurait intéressé. Puis, j'eus une idée. Je pris mon bagage, l'ouvrit puis en sortit un livre. Mon livre préféré...Vingt mille lieues sous les mers. J'adorais ce roman que j'avais lu au moins une vingtaine de fois. Je le connaissais par cœur ! Je l'ouvris à une page au hasard et je tombai sur la première page du chapitre ou les calmars géants apparaissaient. J'adorais ce passage qui était sans aucun doute mon préféré. Je commençai, donc à lire. Moi aussi, je venais d'oublier le professeur.
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"Hum..."
Musashi se mit alors à regarder dans sa liste d'étudiant pour voir si le nom de cette nouvelle était ou non parmis eux... il relit à trois reprise sa liste mais non il en était certain à présent elle ne faisait pas partit de ses éléves du moins elle n'était pas dans ceux qui allait lui être officiellement confié Miyamoto releva le ne bout de son nez pour annoncer cela à l'étudiante mais ne dis pas un mot en voyant celle-ci lire un classique littéraire qu'il avait lui même déjà lut il y a quelques semaines.
Il décida alors de ne pas la déranger au milieu de sa lecture, il se mit à réorganiser ses feuilles sur son bureau ainsi qu'à reparcourir ses notes tout en jetant un coup d'oeil à l'horloge, l'heure avançait et d'ici quelques minutes la cloche retentirait et une vague d'éléves rejoindraient la salle, n'étant pas dérangé par la présence de la demoiselle qui était silencieuse au fond de la salle il se leva et vint à elle un peu avant que la sonnerie ne retentisse.
Il se mit à la hauteur de Sayuri, il observa la couverture du livre, celle-ci semblait un peu usé les couleurs étaient un peu terne et les coins de pages étaient légérement recourbé... elle devait donc avoir ce livre depuis longtemps, peut être était-ce l'une de ses oeuvres préférés, il est vrai que c'était une des meilleures oeuvres de ce cher Jules vernes, notre samouraïe ne put s'empêcher d'en citer la premiére phrase:
"L'année 1866 fut marquée par un mouvement bizarre, un phénomène inexpliqué et inexplicable que personne n'a sans doute oublié... Une trés belle histoire que celle du nautilus... mon cour va bientot commencer, vous n'êtes apparemment pas l'un de mes éléves mais vous pouvez rester et suivre le cour ou bien continuer votre lecture je vous conduirez au secrétariat aprés si vous le souhaitez."
Il lui sourit amicalement puis retourna à son bureau, le débute des cours retentit peu de temps aprés cela et de nombreux éléves entrérent dans la salle, ces derniers s'installérent comme ils avaient l'habitude de faire... c'est à dire bruyament et précipitament continuant leur conversation sans ce soucier du professeur celui-ci s'y attendait un peu vu la mentalité général des jeunes de cette époque aussi avait-il déjà réfléchit a de nombreuses manoeuvre pour instaurer le calme et attirer l'attention de ses éléves.
Il se leva et s'approcha d'un groupe de demoiselle qui discutait entres-elles au premier rang sans que celle-ci ne le remarque, il écouta briévement leur conversation, ces derniéres parlaient à propos d'un graçon qui les faisaient craquer, l'une d'entre semblait particuliérement éprise de ce jeune homme mais était intimidé par ce dernier, elle racontait à ses copines que le garçon semblait l'ignorer complétement alors qu'elle faisait tout pour attirer son attention... et c'est alors que notre professeur prit la parole s'adressant directement a la petite amoureuse:
"Ignore le à ton tour... les hommes ont besoin d'air et de défis, si tu reste trop coller à lui et si tu lui parait être un proie facile il ne s'intéressera pas à toi si au contraire tu l'ignore a présent il va en être surprit voir vexé. Suffisament pour essayer de retrouver tes faveurs, si ce n'est pas le cas alors tu n'avais aucune chance dés le départ."
Tout le monde s'était tut en entendant ces paroles, la jeune fille a qui il s'était adressé en restait bouche-bée, il lui sourit et observa la salle...: il avait leur attention. Aussi se mit-il à parcourir la salle de long en large tout en parlant avant de finallement se rassoir sur le coin de son bureau ou plutot de se poser contre le bureau, il leur avait expliqué différentes choses et s'était présenté un peu de cette façon là:
"Je m'appelle Myamoto... Musashi Miyamoto (dit-il en jetant un bref regard sur Nawa et lui adressant un clin d'oeil ayant reprit sa présentation à la 007), je suis votre nouveau professeur de philosophie, ensemble nous étudieront cette matiére et je vous ferais également un peu de psychologie. Les cours ne s'appuiront que trés peu sur votre manuel, nous évolueront plutot a travers cette matiére par des débats... le thême de la discution d'aujourd'hui sera simplement la philosophie en elle-même, pour vous qu'est-ce que la philosophie...?"
Il attendit un instant la salle étant encore abasourdi puis finallement une éléve leva timidement la main et tenta de répondre à sa question... le cour enchaina ensuite et de nombreux éléves prirent la parole en levant la main et posant leurs idées calmement le tout fut agrémenter des éclaircissements et des révélations de notre samouraïe qui apparemment avait gagné son challenge: soyez proche de vos éléves et alors ils se sentiront concerné par le cour et ressentiront le besoin d'être entendu...
Le cour fut tant animé et apprécié, par le professeur en premier lieu, que personne ne vie l'heure passé et ce fut une vague de soupir qui accompagnérent la sonnerie de fin de cour... les éléves prirent leur temps pour sortir de la classe venant posant encore une ou deux questions à Miyamoto qui y répondit avec trés grand plaisir, il ne restait plus que lui finallement, rangeant ses affaires et la nouvelle qui n'avait pas encore quitté la salle.
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J'avais vraiment oublié le professeur.
Lui il regardait si mon nom était sur sa liste tendit que moi je lisais un classique de Jules Verne. J'eu le temps de lire une bonne dizaine de page (je lis vite) quand Musashi se leva puis venu me réciter la première phrase du roman. Ensuite, il me proposa d'assister au cours (ou de continuer ma lecture) pour qu'ensuite il me conduise au secrétariat. C'était une bonne idée, car je n'aurais pas aimé être seul dans les corridors... Je ne rangeai pas tout de suite mon roman, car j'avais l'intention de continuer de le lire. Quand la cloche retentis, tous les élèves rentrèrent dans la classe comme des singes déchaînés. Ils parlaient de tout et de rien à voix haute et on ne pouvait plu s'entendre penser... ce qui me dérangea énormément. Alors, je fermai mon roman pour ensuite le déposer sur le coin de mon bureau. J'étais tout au fond de la classe et je pouvais voir tout ce qui se passait. Pendant que tout le monde se parlait de n'importe quoi, le professeur, qui lui parlait plus fort que tous les élèves, se mêla à une discussion. Il dit et je cite : « Ignore le à ton tour... les hommes ont besoin d'air et de défis, si tu restes trop collé à lui et si tu lui parais être un proie facile il ne s'intéressera pas à toi si au contraire tu l'ignores a présent il va en être surpris voir vexé. Suffisamment pour essayer de retrouver tes faveurs, si ce n'est pas le cas alors tu n'avais aucune chance dès le départ. ». Tous les élèves se turent pour regarder le professeur. Il avait tout à fait raison pourtant...
Après que tout le monde se soit assis, le professeur se posa sur le bureau pour se présenter à la James Bond.
Je vis très bien son clin d'œil caché qui, bizarrement, fit apparaître un sourire sur mes lèvres. Peut-être que c'était ça qui m'avait détaché un sourire ou sinon c'était peut-être parce que j'aimais la philosophie...oui, j'aime ça. Mais bon, pendant tout le reste du cours je me retins de dire des commentaires, car je n'étais pas inscrit au cours... je n'étais pas supposé être là. Même que certain élève m'avait regardé bizarrement. Le cours se passa sans aucun problème. Tout le monde sortit de la classe en parlant du merveilleux cours qu'il avait passé. Moi, je restai. J'étais encore au fond de la classe et je regardais le professeur qui rangeait ses choses. Une minute passa pour que je me décide de me lever, mon sac à la main (bien sûr j'avais remis mon roman dedans) pour me diriger vers le bureau du professeur.
-Puis-je...puis-je m'inscrire à votre cours ? Dis-je. J'aime beaucoup la philosophie...
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"Mais bien évidemment que vous le pouvez... tenez je vais vous rajouter dans ma liste et voici un planning de mes cours."
Il sortit une fuille de sa malette sur laquel était inscrit toutes les horraires de ses cours durant la semaine, elle pourait bien évidemment venir y assister si le coeur lui en disait notre homme ajouta donc le nom de la demoiselle en bas du listing de ses éléves au stylo noir avant de la regarder à nouveau en souriant avec un trés grand plaisir, peut être que son inscription était aussi dut au fait qu'elle avait apprécié son cour et cela li faisait d'autant plus plaisir. Il jeta cependant un coup d'oeil à l'horloge de la salle... puis dit à Nawa:
"En revanche il reste bien encore une heure avant que le sécrétariat n'ouvre... on peut patienter ici si vous le désirez, personnellemtn je n'ais plus cour avant cet aprés-midi mais ça ne me ferait pas mal de rester un peu pour revoir mes notes..."
Musashi la regarda de haut en bas, elle était vraiment trés mignone pour une jeune fille de son age et semblai aussi mature du moins elle pouvait l'être pour lire des romans comme celui qu'elle avait en sa possession au lieu des magazines de modes ou bien de courir aprés les garçons et c'était toujour intéressant d'avoir une éléve un peu plus sérieuse parfois cette personne pouvait permettre de donner le ton dans une classe et de donner l'envie à tous d'être au même niveau...
Notre professeur pensa ensuite à son cour et il se rappela avoir souvent croisé le regard de la jeune fille et a plusieur reprises il eut comme l'impression qu'elle désirait prendre la parole mais sans oser le faire aussi pouvait-ils en parler en attendant qu'il la conduise au secrétariat, ainsi il s'assit sur sa chaise fit signe à sa nouvelle éléve de faire de même sur une chaise situé prés juste devant le bureau...
Ce qui eut pour effet non-prémédité que les jambes de chacun des dux personnages soient en contact sous le bureau de temps en temps... de trés courtes secondes en contactes mais suffisant pour les faires frisonner et leur donner l'impression de caresse langoureuse du moins c'est ce que ressentait notre samouraïe, celui-ci, comme pour essayer de reprendre ses esprits, dit alors:
"Sinon dites moi, il m'a semblé que vous aviez certaines réflexions a formuler durant mon cour sanq pour autant le faire, peut être voulez vous en discuter?"
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J'étais très contente... très contente, car Musashi venait de me mettre sur sa liste.
C'est peut-être bizarre, mais j'avais beaucoup aimé son cours et je voulais m'inscrire pour assister à plein d'autres cours de ce genre. Musashi est un très bon professeur qui va aller loin, très loin et j'en suis sûr et certaine. Quand le professeur regarda l'horloge, bizarrement, j'eus le même réflexe. Dans à peu près une heure j'allais aller au secrétariat... ce qui était triste, car je m'étais bien attaché à Musashi. Je sais que c'est bizarre d'être attaché à un professeur, mais je ne sais pas pourquoi, il avait quelque chose que les autres n'ont pas. Après quelques secondes où je me sentis observé (je crois que c'était le professeur, mais bon...), Musashi me proposa de m'asseoir ce que je ne refusai pas. Quelquefois, nos jambes étaient en contact pendant deux secondes mêmes pas, mais ça me faisait penser à des caresses ou je ne sait quoi d'autre. À chaque fois ça me donnait des frissons. Puis, le professeur me posa une question. Oui j'avais eu envie de parler durant le cours, mais je ne me rappelais pas exactement qu'est-ce que je voulais dire. Souvent je voulais dire mon point de vue sur d'autre point de vue d'élève.
-Non... ce n'est pas obligatoire, dis-je avant que nos jambes se croisent pour nous donner encore des frissons. Souvent je voulais donner mon avis sur des commentaires d'élèves...
J'avais fait une phrase complète.
Moi qui d'habitude bégaye (enfin, je ne bégaye pas, mais c'est une façon de parler) j'avais enfin fait une phrase complète sans rien de mauvais. Mais bon...comme j'ai dit plus haut je m'étais attaché à Musashi...
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"Et bien la prochaine fois n'hésitez surtout pas à parler, je suis certain que vous ave de trés bonne réflexions à nous faire partager et j'ais hate de voir cela dans le prochain cour."
Une nouvelle fois, leur jambes se frôlérent mais le contact dura plus longtemps et même s'éternisa pendant de trés longue seconde qui passait comme une lente et trés douce caresse et bizarement le temps que passait leur jambe éloigné de celles de l'autre se racourcissait alors que les cobtacts et leur durée augmentait et se prolongeait de plus en plus comme si les deux protagonistes le faisaient exprés et peut être était-ce le cas...
La jeune fille était adorable, elle semblait avoir beaucoup d'esprit et ne pas être qu'une jolie poupée si on pouvait dire, elle semblait avoir un gros potentiel au sein de cette école et si elle était travailleuse notre professeur l'aiderait à avancer et du moins l'encouragerait dans son travail et ses efforts. Cela lui donnait du baume au coeur de voir ses jeunes motivés et désireux d'apprendre sur des sujets noble comme l'était la philosophie.
Au bout d'un temps les jambes finirent par rester coller et entre-croisé, la jambe droite de la demoiselle caressant celle de Miyamoto en se frottant de haut en bas tandis que lui avait plongé son regard dans celui de Nawa et frottait doucement son genou contre la cuisse de la jeune fille, pourtant aucun des deux n'osa dire un seul moment et ce jeux de jambes perdura.
Musashi échangeait quelques sourires géné avec son éléve mais lui offrait aussi quelques regards plein d'envie, il ne pouvait s'empêcher de jouer à ce petit jeu mais n'osait aller plus loin et illeur restait pourtant encore quarante minutes, notre samouraïe ne pourrait pas continuer de rester aussi longtemps stoïc fasse au douce caresse de Nawa, il avait tant envie d'elle que petit à petit l'un de ses mains glissa sous son bureau puis profita que l'un des jambes de l'éléve soit a portée de sa main pour se mettre à la caresser...
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Est-ce que je le faisais par exprès pour nous frotter les jambes ?
Je ne saurais pas quoi répondre à cette question. On dirait que mes jambes le faisaient toute seule sans que moi je leur dis quoi faire. Bizarrement, j'aimais beaucoup ce contact. C'est aussi pendant ce moment de silence que je pus enfin regarder plus précisément Musashi. Il était assez charmant dans son genre (je n'est pas de genre juste pour dire). Sa longue chevelure noire tombait en arrière de son dos tendit que ses yeux rouges me fixaient... je n'avais jamais vu des yeux rouges, sauf sur des albinos. Lui il ne l'était pas, c'est ce que je trouvais étrange et mystérieux chez lui. Ma jambe droite commença à faire des mouvements de haut en bas pour caresser la jambe du professeur, mais je ne sais pas si je faisais ça par exprès ou si mes jambes faisaient tout simplement ce mouvement.
Musashi qui remarqua cette petite caresse, mit sa main sur ma cuisse pour la caresser...
Je n'aurais jamais pensé que cette petite discussion allait aboutir à cela. D'habitude, j'aurais repoussé l'offre et je saurais partis, mais j'adore les caresses... et celle de Musashi me donnait froid dans le dos... ce que j'adorais par-dessus tout. Le professeur qui continuait et continuait attendait on dirait quelque chose de ma part. Peut-être qu'il attendait seulement une réaction de ma part ou voulait que j'en fasse plus. Mais moi, ''l'experte'' du sexe ne pouvait rien faire. Je ne connaissais rien du monde de l'amour ou tout cela... je ne connaissais strictement rien. Donc je le laissais faire sans broncher. On pouvait remarquer sur ma figure un petit plaisir à ce que me faisait Musashi, mais je ne le laissais pas montrer. Peut-être qu'il l'avait remarqué, mais j'espérais bien que non.
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Musashi dévisageais Nawa sans aucune retenue, il adorait son regard... il adorait chaque partie du corps de la jeune femme et tandis qu'il la regardait et qu'elle le regardait il intensifia les caresses sur sa cuisse les faisant plus passionné et plus prononcé y ajoutant une point d'envie et se mordant parfois légérement les lévres, maintenant c'était inévitable et incontournable: il la désirait tout de suite, ici même et rien ne pourrait le stopper enfin il ne l'aurait pas violer non plus mais du moins sa volonté n'aurait pas suffit à le calmer...
Il se saisit alors délicatement de la jambe de son éléve pour la déposer sur ses genoux, il se mit à masser sans retenue ses mollets puis remonta le long de ses jambes pour revenir caresser sa cuisses mais avec deux fois plus de douceur et de passion puis tandis que sa main gauche continuait ses caresses à cet endroit, sa main droite fila vers l'entre-jambe de l'adolescente et commença à titiller son itnimité du bout des doigts au travers de sa cullotte, il ressentait un grand plaisir à faire cela car il lui semblait que Nawa avait également envie de cela et appréciait toutes ces caresses.
Finallement il stoppa ce jeu sensuel pour se lever et venir se placer debout derriére la lycéenne, il commença à déposer ses mains sur ses épaules et il se mit à la masser en douceur, ses mains s'occupant de sa nuque et de ses épaules mais descendant légérement sous le chemisier de son éléve pour caresser petit à petit sa poitrine, il vint déposer de doux baisers au creux de son cou tout en douceur et avec amour^pui il vint à son oreille lui murmurer:
"Si toi aussi tu as envie de plus, embrasse moi sinon commande moi et je m'arrête..."
Il continuait de la caresser et de la masser en attendant son réponse il vint aussi mordiller tout doucement et de façon trés agréable le lobe d'oreille de la demoiselle avant de retourner embrasser son cou avant que celle-ci ne décide de lui répondre par un baiser ou bien par une gifle en attendant il essayait d'en profiter un petit peu pour lui procurer du plaisir et lui donner envie de continuer car lui même en avait trés envie en cet instant...
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J'adorais beaucoup ses caresses.
Je voyais sur la figure de Musashi qu'il avait envie de moi. À mon habitude, je l'aurais contourné, mais comme j'ai dit...c'était différent cet fois. Je ne sais pas ce qu'il avait dans lui qui m'attirait au plus au point, mais bon... je me laissais faire. Il prit donc ma jambe pour la déposer ensuite sur mes genoux et continuer ses caresses encore plus délicatement et passionnément. Cela m'excitait... et je crois que c'est la seule fois dans ma vie que quelque chose m'excite. Enfin je n'allais plu être vierge et je pourrais enfin dire que j'ai fais l'amour avec quelqu'un. Puis, je sentis tout à coup une main sur mon intimité. Il titillait mon intimité sur le bout de ses doigts. C'était la première fois que quelqu'un d'autre que moi toucher à cet endroit, mais ce n'était pas du tout désagréable...même que je ne pu retenir un gémissement. C'était la première fois que je faisais cela et je ne savais pas trop à quoi m'attendre...et je n'étais pas comme les professionnels du sexe qui eux se retenait de gémir. Après quelques minutes où il continua à faire cela, il se leva puis venu derrière moi pour me masser. Je trouvais cela bizarre, mais je compris ensuite que c'était une manœuvre pour toucher ma poitrine...
J'adorais ces petites caresses un peu partout sur mon corps.
Pour la première fois je faisais ce que beaucoup de monde adorait et on dirait que moi aussi, j'allais peut-être commencer à adorer cela. Après m'avoir donné des baisers sur mon coup, il me dit que si je voulais qu'il continu, je n'avais qu'à l'embrasser. J'allais pour la première fois embrasser quelqu'un. Je savais déjà que j'allais l'embrasser, car je voulais qu'il continu, je voulais ressentir le plaisir. Il me mordilla tout doucement l'oreille, ce qui n'était pas du tout désagréable pour ensuite continuer à embrasser mon coup. C'est là. C'est là que mes lèvres touchèrent les siennes. Je savais que se baiser n'allait pas durer longtemps. Pour moi, ce baiser qui avait surement duré que quelques secondes, avait duré une éternité. Bizarrement, une de mes mains descendue tout le long du corps du professeur pour finir où son sexe que je commençai à caresser.
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La décision de Nawa fut de l'embrasser, il avait donc l'autorisation de lui faire connaitre les plaisirs de la chaire en sa compagnie, le baiser fut trés tendre bien que bref et elle se mit à casseresser Miyamoto au niveau de son membre sans doute guidé par son instinct et cela n'était pas du tout désagrable mais il stoppa ses caresses en la soulevant en douceur pour la déposer sur l'un des bureaux de la classe où rien de reposait (pour ne pas risquer qu'elle se fasse mal en s'assayant sur une paire de ciseau par exemple...)
Il écrata les jambes de Sayuri pour pouvoir se mettre entre et s'approcher le plus possible du corps de la jeune femme collant alors son corps contre le sien, il se mit alors a l'embrasser pour que le souvenir de cette étreinte soit remplit de tendresse et de douceur aussi lui offrit-il de véritable baiser passionné mêlant en douceur sa langue à la sienne... puis tout en continuant de l'embrasser il se mit à parcourir son corps avec ses mains, caressant ses hanches et ses cuisses avant de se concentrer sur sa poitrine.
Aprés quelques caresses au travers de ses vêtement il la débarassa de ses hauts révélant son soutien gorge et une poitrine magnifique, il la contempla lui adressant un sourire complice et qui avait pour message de complimenter son corps et il appuya son compliment implicite par de doux baisers et coups de langues sur ses seins, les dévoilant peti à petit en faisant glisser son soutien gorge, il en profitait également pour masser sa poitrine avec ses deux mains.
Quand alors ses deux seins furent à l'air l'ibre il se mit a en titiller la pointe avec sa langue avant de décrire de petit cercle autour de ceux-ci pour finallement les prendre dans sa bouche, les suçotté puis les mordiller légérement, sa main droite quand à elle desecendit le long du corps de Nawa pour aller se glisser dans sa culotte et entamer de trés lente caresses...
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Ce que je ressentais était très bizarre.
Moi qui d'habitude n'aurais jamais fais l'amour à un professeur, le faisais. J'adorais cela pourtant... Ma main qui était toujours sur le sexe de Musashi, fut enlevé par celui-ci qui ensuite, me souleva pour me déposer en douceur sur un bureau. Ensuite, il écarta mes jambes pour pouvoir s'approcher le plus de mon corps. J'eus enfin le droit à de vrais baisers avec la langue et tout le reste pour ensuite avoir le droit à de belle petite caresse au niveau de la poitrine. Il allait bientôt voir une partie qui encore, était seulement moi qui avait touché et regarder. Il enleva donc mon haut, dévoilant mon soutien-gorge qui enlevait petit à petit. Ses lèvres et sa langue qui touchait constamment ma peau m'excitait beaucoup. J'avais même envie de gémir...mais j'essayais de me retenir (ce qu'on pouvait surement remarquer sur mon visage). Musashi avait de l'expérience pour ça tendit que moi, je n'avais aucune expérience. La preuve, je le laissais faire tendit que moi, je n'étais que son objet sexuel (c'est un peu grotesque, mais bon...). Après de longues minutes où il s'occupa de ma poitrine, il commença à caresser mon intimité. Maintenant j'allais sûrement gémir, mais toutes les filles le font...enfin je crois.
-Hum...
Ce son sortit de ma bouche plusieurs fois.
Il m'excitait vraiment beaucoup et j'avais envie de lui maintenant...j'avais envie de faire tout ce que les filles font pour exciter un homme. Mais pour le moment, c'était lui qui s'occupait de moi, son tour allait venir...
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Elle gémissait à présent, c'est qu'il était sur la bonne voie... aussi ne cessait-il toute ses caresses accentuant tout ce qu'il lui faisait puis petit à petit il diminua la fréquence de ses baisers et léchouilles prodigué aux seins de Nawa pour transférer ses soins sur son intimité où il ne cessait d'accentuer ses caresses, il quitta finallement ses seins pour venir l'embrasser une nouvelle fois avec bien plus d'ardeur et de tendresse qu'auparavant sans cesser de la masturber.
Puis il se décolla d'elle doucement pour l'aider à se déshabiller un peu plus elle se retrouva alors en culotte seulement les jambes bien écartés et placé de part et d'autres de Musashi qui avait l'une de ses mains contre son intimité, il la regarda plongeant son regard ensorcelé dans celui de sa partennaire et attendit l'autorisation de cette derniére pour retirer le dernier vêtement qu'il lui restait, lorsque celle-ci lui donna un semblant de permission il s'activa en douceur.
Il retira donc sa culotte sans la pressé ni la forcé, elle était à présent nue et offerte devant lui et il ne put s'empêcher de rougir en la voyant ainsi il ne resta pas plus longtemps bouchebée préférant ne pas trop la faire languir, il s'agenouilla alors et déposa ses lévres sur celle de Nawa et sa langue commença à titiller l'intimité de la jeune femme, dessinant le contour de son clitoris et la pénétrant parfois tout doucement et légérement avec sa langue.
Ses mains avaient placé les cuisses de l'adolescente sur ses épaules et les caressaient du bout des doigts et avec insistance, il donnait à présent de grands coup de langues sur sa perle a une plus grande cadence se rythmant au son qu'émettait la demoiselle sous le plaisir ou non ressentit, il s'occupait d'elle aussi bien qu'il pouvait le faire il voulait que ce moment lui soit inoubliable et qu'ellen ne regrette rien.
De ce fait il avait prit les commandes pour le début pour l'habitué à ce désir et c'ette envie d'être touché et cajolé, recouvert de caresses et de baisers... une fois qu'elle se sentirait suffisament à l'aise en sa compagnie elle pourrait prendre les rennes pour finallement mener cette relation sexuel comme elle en avait envie mais en attendant il essyait de la faire frisonner autant que possible en titillant son entre-jambe...
Le jeu de langue qu'il lui prodiguait de s'arrêterait que sur la demande de Nawa, en attendant il ne cessait d'accentuer ses caresses bucales sur son intimité...
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J'étais comme au paradis. Je comprends maintenant le sens du terme ''Amène-moi au septième ciel'', car ce que je ressentais avec Musashi était superbe. Il s'occupait très bien de moi et je pense que je vais me rappeller de ce jour longtemps. Je remarquais très bien qu'il faisait cela pour que ma première expérience sexuelle reste dans mon esprit longtemps et je crois qu'il allait réussir. Après beaucoup de tendresse et de baiser sur mes seins, il décida alors de s'occuper de l'endroit qu'il s'était contenté de masturber. Donc, il me permit de me déshabiller le mieux possible ce que je fis. J'étais maintenant nue, seulement un bout de tissu cachait mon intimité. Comme lui, je ne pu me retenir de rougir. Peut-être que c'était parce que j'étais nue devant lui ou sinon, c'était peut-être à cause de nos deux regards qui se regardaient fixement. Il attendait que je lui fasse un signe pour qu'il puisse enlever le bout de tissu qui séparait mon intimité de son corps. Je lui fis un petit signe de tête qui, je crois avait vu, car il enleva ma culotte et commença à lécher avec passion le contour de mon clitoris puis tout le reste.
Maintenant je ne pouvais plus me retenir... je ne pouvais plus me retenir de gémir.
Je me sentais très bien entre les mains de Musashi qui prenait soin de mon corps comme si se serait le sien. Bientôt, se serait à moi de m'occuper de lui. Bientôt, se serait ma bouche qui toucherait son sexe...mais bon, je me laissais toujours faire. J'adorais ce qu'il me faisait et je voulais qu'il continu et continu. J'avais complètement oublié que j'étais supposé aller au secrétariat avec lui et le pire, j'avais aussi oublié que Musashi était un professeur...
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Il aimait sentir l'odeur de son intimité, il aimait le gouts sucré qu'avait la ciprine de son éléve, il adorait l'entendre gémir de plaisir, il frissonnait à chaque contacte avec sa peau mais plus que tout il adorait ce moment avec elle qui l'avait totalement envouté et lui donnait toujour l'envie d'aller plus loin de prolonger ses caresses bucales et la pression de ses mains sur le corps de Nawa pour qu'elle ne sente jamais en manque de caresse et de chaleur sur son corps...
Sa langue marquait à présent de trés long va et vient en sa compagne, il titillait le point g de Sayuri et letteait en pratique une ardeur et une précision trés travaillé pour la comble de désir, les gémissement de son éléves ne cessant de croitre et son intimité shumidifiant de plus en plus notre samuraï savait qu'il était sur le droit chemin pour lui faire connaitre son premier orgasme aprés tout une femme pouvait jouir pendant plus d'une heure alors il pouvait bien lui donnait sa premier extase suprême en s'occupant seulement d'elle avant de continuer en lui faisant découvrir le corps d'un homme...
Mais pour le moment il se concentra sur le fait de faire découvrire à cette lycénne son propre corps et tout les plaisirs qu'il pouvait lui procurer, il amplifia son jeu de langue et se mit a titiller du bout des doigts l'intimité de la demoiselle avant d'en rentrer un en elle puis deux et d'entamer de trés long va et viens, en douceur tout d'abords et venant meme lui offrir quelques baisers tendre avant de reprendre ses va et viens un peut plus rapidement et avec plus de passion, il lui dit alors en un mumure au creux de son oreille avant de l'embrasser a nouveau a pleine bouche:
"Tu peux te laisser aller complétement et jouir trés douce Nawa..."
Il descendit le longs de son corps avec sa langue titillant la pointe de ses seins au passage et finallement vient titiller de la langue son entre-jambe sans jamais cesser ses va et viens en elle, il n'allait pas trop loin pour ne pas retirer sa viriginité mais il allait suffisament loin pour la faire mourir d'envie et de plaisir, il continua ainsi sans cesse plus fort jusqu'à ce qu'enfin son plaisir explose dans un cri de jouissance puissance... Musashi lécha l'intimité de la jeune femme avant de venir lui offrir un baiser passionnée et alors qu'il l'embrassait il sentit la main de Nawa se poser sur la bosse qui déformait son pantalon, visiblement c'était à son tour de prendre du bon temps...
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J'étais au comble du bonheur. Je ne saurais pas comment décrire ce que je ressentais ce moment-là. C'était peut-être de l'excitation ou un grand plaisir. À chaque fois que Musashi me touchait, je frissonnais de plaisir et des gémissements sortaient de ma bouche à chaque fois qu'il me touchait. Il s'occupait très bien de moi. J'adorais ce qu'il faisait à mon intimité et je savais que mon premier orgasme allait bientôt arriver. Je le sentais, je savais qu'il arrivait. Puis, quelques minutes après qu'il m'est dit que je pouvais me laisser aller, il sortit. C'était le premier orgasme de ma vie... et sûrement pas le dernier. Instinctivement, ma main se déposa sur la bosse dans le pantalon de Musashi. C'était instinctivement...car je n'aurais jamais pensé mettre ma là. Le professeur s'arrêta, donc de s'occuper de moi et était sûrement content que je m'occupe enfin de lui. Donc moi, pas du tout experte de la matière, je descendus du bureau pour ensuite me mettre à la bonne hauteur pour faire ce que Musashi attendait. Je ne voulais pas l'embrasser, car je voulais aller tout de suite au but. Je détachai son pantalon pour ensuite le descendre avec sont sous-vêtement. Je découvris alors le sexe de mon partenaire, qui était en érection bien entendu. Je me fis, donc à mon instinct et commença à faire des mouvements de va et vient avec mes mains sur le sexe du professeur. Je voulais l'exciter encore plus qu'il l'était, mais je ne savais pas si cela allait marcher. Mes mouvements étaient lent, mais j'espère, excitant. Après quelques minutes où je ne fis que ça, je décidai donc d'enfiler ma bouche autour du gros sexe de Musashi...
C'était assez bizarre, mais pas déplaisant.
Ma tête commença, donc à faire des mouvements de va et vient lent, puis de plus en plus rapide à chaque fois. Je ne savais pas trop comment m'y prendre, mais j'espérais l'exciter. Lui il m'avait mené à l'orgasme et j'espérais que moi aussi, je le mènerais à un certain ''orgasme''. Je sais que ce n'est pas un orgasme, mais bon... je voulais l'exciter autant qu'il l'avait fait pour moi voilà. Pendant que je faisais cela, ma main gauche qui était libre caressait mon intimité.
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Elle s'était agenouillé pour être juste a hauteur de son entre jambe avant de le libérer de son pantalon et de son sous-vêtement pour rapidement dévoilé le sexe en érection de Miyamoto elle s'en saisit et entama alors de lent va et viens qui d'entrée redoublérent son excitation et fit durcire encore plus qu'il ne l'était déjà offrant à l'éleve un penis gonfla par le plaisir, suffisament volumineux pour être intimidant mais cela semblait lui faire suffisament envie pour ne pas être intimidé d'ailleurs elle se décida rapidement à gouté son professeur avec avidité et douceur, une sensation des plus délicieuse.
Il reteint ses envies de gémir, bien que nouvelle en la matiére, Nawa semblait avoir trés vite compris la base pour exciter un homme, la chaleur de sa bouche lui offrait des sensations s'en pareille. Il se mit à passer sa main dans les cheveux de son éléves la caressant et l'invitant a le prendre un peu plus dans sa bouche et plus vite bien qu'elle s'occuppait déjà de lui à merveille et c'était si bon qu'il ferait tout pour se retenir de jouir afin de pouvoir profiter de cet instant un maximum qui plus est il remarqua que Nawa se caressait en même temps et cela ne faisait que l'exciter encore davantage.
Elle semblait aimer faire subir ce traitement à son professuer ou tout du moins elle semblait apprécier le fait qu'elle lui procure autant de plaisir et de bien être aussi cessa t-il de retenir son plaisir en lui faisant entendre son plaisir par des râles et de léger gémissements, il désirait l'encourager dans son action et la complimenter en lui montrait qu'elle s'y prenait à la perfection dans ses gestes et ses intenations... il adorait ce qu'elle lui faisait et n'avait pas envie que cela cesse du moins pour le moment...
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Je faisais vraiment tout mon possible.
Je ne savais pas du tout si Musashi était excité ou s'il détestait ce que je faisais. Je peux l'avouer, je n'étais pas vraiment bonne. Je savais comment faire, mais je ne connais pas le truc (s'il y en a un). Je continuais, donc mes mouvements de va et viens qui commençait à aller de plus en plus vite. J'essayais d'exciter le plus possible mon professeur. Quelquefois j'arrêtais pour recommencer à caresser son sexe avec des mouvements de va et viens lents. Mais je recommençais toujours à ce que je faisais de mieux pour lui. Après quelques minutes, je sentis ses mains dans mes cheveux ce qui me poussa à aller un petit peu plus vite pour l'exciter encore plus. Puis, il commença à gémir. Ses gémissements me disaient de continuer à faire ce que je faisais...ils disaient qu'il aimait cela. J'étais vraiment contente de moi. J'avais réussi à lui procurer du plaisir.
Donc je n'arrêtais pas. Quelquefois j'allais plus lent tendit que d'autres fois, j'allais plus rapidement. J'adorais cela, bizarrement. Pendant que je faisais tout ça, je me caressais encore l'intimité. En faisant tout cela, je pensais à quelque chose. Je savais qu'il allait un jour ou l'autre éjaculer, mais...comment savoir quand l'éjaculation arrive ? Je ne veux pas l'avaler...seulement les professionnelles dans la matière font ça (selon moi) ! Mais bon, tout en pensant à cela je continuais et continuais à faire ce que Musashi adorais.
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Elle lui faisait vraiment beaucoup de bien en s'occupant avec autant de soin de son intimité, elle le suçait rapidement et avec une extrême douceur et envie qui se sentait dans ses geste et se voyait dans sa masturbation, elle était visiblement trés excité par tout cela et cela lui faisait à la fois plaisir et envie d'aller plus loin il regardait l'intimité de Nawa et ressentait une envie immense de la pénétrer de se sentir en elle et qu'elle le sente et ait envie de le sentir, qu'elle ait envie qu'il la prenne ici...
Avant cela, il continuait de se laissait faire, s'appuyant contre le bureau et offrant totalement son membre à son éléve, l'envie ne cessait de monter en lui comme une bombe a retardement dans le compte a rebour approchait de zéro alors qu'elle continuait de prendre son membre au plus profond de sa bouche avec amour et sensualité, ses caresses se firent plus prononcé et plein de reconnaissance pour les soins qu'elle lui prodiguait, il commençait a avoir le souffle cour et ne pourrait bientot plus se retenir et il pensa à cette instant qu'il devait laher sa semence mais peut être n'avait-elle pas l'envie de gouter a son jus pour sa premiére fois que l'idée même la répugnait aussi se devait-il de l'avertir qu'il était sur le point de venir pour qu'elle puis le faire éjaculer où elle le souhaitait.
"Na... Nawa... je vais jouir... tu peux y gou... gouter, t'écar...ter, ou me fair... venir sur toi ... a toi de choisir... attention ça vient!"
Il attendit qu'elle soit prête à le recevoir, se retenant de toute ses forces et essayant de profiter encore un peu de cette masturbation avant de se laisser aller dans un gémissement grave de plaisir absolu...
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L'idée d'avaler du sperme me répugnait. Je ne sais pas, mais ça n'a pas vraiment de l'air bon... et je ne sais pas comment les filles qui avalent cela le font. Je continuais encore et toujours à sucer le sexe de Musashi quand tout à coup il dit qu'il allait bientôt éjaculer. Il me dit que j'avais le choix de m'écarter, de l'avaler ou qu'il vienne sur moi. Je choisis de m'écarter. J'enlevai donc le sexe de mon partenaire de ma bouche pour ensuite m'écarter. Je n'eus le temps que faire ça, car ensuite je vis un liquide blanc couler du bout du sexe de Musashi. J'avais failli l'avaler ou le recevoir sur moi... ce que j'aurais trouvé dégoutant. Pour la première fois que je faisais l'amour, je ne voulais pas avaler du sperme ou en recevoir... juste cette idée me répugne. Maintenant qu'il avait éjaculer... je savais qu'on allait passer à l'étape suivante... je savais qu'il allait maintenant me pénétrer.
-Je... je suis prête, dis-je.
Je ne sais pas s'il avait compris le sens de cette phrase qui voulait dire que j'étais prête à passer à l'étape suivante. J'étais prête à me faire pénétrer par le gros sexe de mon partenaire. Je ne savais pas si cela allait être douloureux ou si j'allais aimer cela. Mais j'allais enfin le savoir. J'allais enfin pouvoir dire vraiment je ne suis plu vierge. J'avais peur d'être pénétrée, mais en même temps j'avais hâte aussi de savoir ce qu'on ressent.
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Elle continua de le sucer jusqu'à ce qu'il jouisse dans un profond rale de satisfaction, l'éléve s'était écarter rien de plus normal et pui il pourrait toujour lui faire decouvrir le gout de sa semence ou lui faire decouvrir ce qu'on ressends avec du sperme sur soit et encore lui faire découvrir cela une prochaine fois restait optionnel aux yeux de Miyamoto qui ne trouvait pas une grande extase a jouir sur une femme ou dans bouche mais l'heure de discuter de cela n'était pas venu car Nawa rappela a son professeur qu'il lui restait encore une sensation de base sexuel à découvrir et elle disait être prête.
Musashi lui sourit avec envie, il l'aida ensuite à se relever pour ensuite la soulever à nouveau et la remettre sur le bureau avant de lui écarter les jambes a nouveau... il commença tout d'abord par léchouiller l'intimité de Nawa pour s'assurer qu'il soit bien humide et en profita pour faire gémir un peu à nouveau se partennaire qu'il excitait de plus en plus, il se releva ensuite et saisit son membre pour le frotter contre les lévres intimes de la demoiselle dans toute sa longueur profitant de sa salive et de la mouille abondant de Sayuri pour lubrifier son sexe, tout en continuant ses va et viens contre son intimité il alla l'embrasser avec une trés grande passion mêlant sa langue à la sinne dans un baiser qui venait du coeur puis il vient à son oreille lui chuchoter:
"Nawa, merci pour tout ça. Tu as été parfaite jusqu'à maintenant, a présent je vais faire de toi une vraie femme mais ça risque de te faire mal alors ne t'inquiéte pas c'est normal et la douleur devrait vite passer..."
Il l'embrassa à nouveau avec amour et envie puis se rapprocha encore un peu^plus d'elle pour coller son corps contre les siens, il écarta un peu plus ses cuisses si douce et caressa une derniére fois le clitorise de Nawa avant de saisir son pénis et de faire un mouvement de recule avec son bassin pour pouvoir commencer à rentrer en elle. Il y allait progressivement pour la préparer, ne rentrant que son gland la premiére fois pour l'habitué puis un peu plus à chaque va et viens pour finallement rentrer de toute sa longueur et déchirer la virginité de Nawa. Il continua quelques va et viens pour remplacer cette douleur par une sensation jouissive et il titillait son clitoris en même temps, il faisait à présent de long et lent va et viens en elle régulier et rythmé, il espérait qu'elle aimait ça.
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Musashi était vraiment gentil.
Il m'aida à me relever pour ensuite me réinstaller sur le même bureau qu'avant pour encore écarter mes jambes. Le professeur lécha mon intimité pendant quelques minutes pour sûrement, me faire gémir encore une fois. Puis, il frotta son membre sur mes lèvres intimes. Je croyais qu'il allait commencer à me pénétrer. Mais non, il vint m'embrasser pour ensuite me dire que cela allait faire mal au début. Je n'avais vraiment pas hâte de sentir la sensation, mais bon... j'avais accepté de le faire et il fallait que je finisse. Ensuite, je sentis son gland pénétrer dans moi. Ensuite, toute son intimité rentra dans la mienne tout en faisant des mouvements de va et viens constant. J'étais maintenant plus vierge... j'avais maintenant eu une relation sexuelle avec quelqu'un.
Je jouissais... c'est bizarre à dire je trouve, mais je jouissais.
Pas pour la douleur, car c'est vrai qu'au début cela faisait mal, mais pour le plaisir que me procurait le sexe de Musashi en moi. Dire que je pensais que la première fois que j'allais faire l'amour allais être exceptionnelle... tendit que je le fais la première fois dans une classe sur un bureau avec un professeur. Mais bon, je crois que ça va quand même être exceptionnelle et que je vais me rappeler longtemps de ce jour et de ce que je fais en ce moment. Je crois même que le temps où la secrétaire arrive était passé. Si notre rencontre n'aurait pas tourné au sexe, je serais déjà au secrétariat. Enfin c'est ce que je pensais, car je ne regardais pas du tout l'horloge... je regardais plutôt les yeux rouges de Musashi qui eux aussi, me regardait.
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Musashi vint embrasser son éléve sans cesser les va et viens au contraire il accélrait son rythme ne cessant d'aller plus loin en elle et de prendre le maximum de recule avant de revenir au plus profond d'elle afin de leur offrir a tout deux un maximum de sensation et cela semblait marcher vu l'abondance de ciprine qui coulait de la demoiselle ainsi que ses gémissements, elle était vraiment trés agrable et jouissive, notre homme ne savait si c'était sa partennaire ou le lieu, la situation ou le fait que ce soit son éléve mais il avait que trop rarement autant prit son pied que maintenant et il ne le cachait pas à Nawa.
Il continuait ses mouvements de bassins tout en collant son torse contre la poitrine de son éléve il l'enlaçait dans ses bras et ne cessait d'échanger sa salive avec la sienne et mêlait sa langue avec celle de son amante avec une trés grande avidité et envie comme si c'était la premiére fois qu'il embrassait une femme et qu'il ne pouvait plus s'en passer, il se mit ensuite (sans cesser ses autres actions) a caresser la poitrine de Nawa et a titiller son clitoris d'une main pour chacune de ses actions, il voulait l'entendre gémir de plaisir, il voulait l'entendre jouir, il voulait que ce soit inoubliable et que ce soit un trés bon souvenir pour Sayuri...
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Je crois que je vais me souvenir de ce jour toute ma vie.
J'étais arrivée tout simplement à l'école puis je m'étais perdue. Ensuite, je rencontrai un professeur de philosophie pour ensuite assister à son cours. Par la suite, quand tous les élèves avaient quitté, la tentation nous conquis tous les deux pour ensuite commencer à faire l'amour. Musashi continuait à faire des mouvements de va et viens vite et profond en dedans de moi, mais en même temps il m'embrassait, il caressait ma poitrine et titillait mon clitoris. Il voulait m'entendre jouir et gémir, ce que je faisais. J'étais dans les mains protectrices de mon professeur de philosophie et je savais qu'il allait prendre soin de moi. Je savais qu'il voulait que je me rappelle de ce moment toute ma vie, ce qui selon moi, avait réussi à accomplir. J'avais oublié tout, vraiment tout. Je ne me rappelais plus du tout si Musashi était mon professeur ou seulement mon petit ami. Je ne me rappelais même plus qu'il fallait que j'aille au secrétariat. Je ne me rappelais même plus que j'étais en train de faire l'amour dans une classe.
Musashi, grâce à son pouvoir... enfin, métaphoriquement parlant, avait réussi à me faire tout oublier.
C'était presque un dieu du sexe, même si ce n'en étais pas un. Il avait réussi à me faire apprécier le sexe à ça juste valeur. Je ne voulais pas arrêter de faire l'amour avec lui, même si je savais que bientôt j'allais devoir le faire. Je voulais rester dans les bras protecteurs de Musashi toute ma vie, je voulais que ce que je faisais en ce moment avec lui se répète tous les jours de toute ma vie. Vraiment, j'adorais Musashi. Pas pour l'aimer, mais pour partenaire sexuel...
[Désolé pour l'attente...]
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Elle semblait véritablement appréciait ce qu'il était en train de lui faire et cela lui donnait encore plus envie de s'appliquer dans ses gestes et dans ses mouvements... il aimait beaucoup cela lui aussi et bien qu'il voulait que ce moment soit éternel et que jamais ne s'arrête leur étreinte il viendrait forcément un moment où il ne pourrait plus se retenir et où il déverserait son plaisir en elle tout comme elle se laisserait aller ... leur fluide se mélangerait tandis que tout deux échangerait leur soupir chaud et haletant...
Mais pour le moment c'est leur sueur qu'il échangeait. Ainsi que les gémissements et autres cris de plaisirs, il adorait l'entendre gémir et la voir ainsi nue avec son membre en elle, la situation l'excitait beaucoup et aguisait un côté pervers que Miyamoto ne connaissait pas mais qu'il commençait à beaucoup appréciait... il n'en devenait pas pour autant un mauvais gars mais un homme qui aimait ce que cette adolescente subissait avec plaisir de sa part et qui adorait lui faire du bien et ce le plus possible...
Alors qu'il continuait ses va et viens à un rythme infernallement délicieux et qu'elle gémissait tout aussi rapidement, notre samurai sentit l'excitation montait en lui comme une vague commençant de se former au loin de la mer et qui bientot s'abatterait sur la plage et rien ne pouvait contrer cela... l'envie ne cessait de montait, son membre vibrait de plaisir et son coeur s'accéléra sous la montée d'adrénaline... il voyait que son amante était au même stade de lui et il sentait de plus en plus mouilles sur son sexe et sur ses jambes qui coulait de l'intimité de Nawa... se sentant venir il lui dit dans un souffle:
"Je vais bientot jouir... "
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Je me sentais tellement bien. J'aimerais revenir à ce moment où je croyais tout possible.
Alors que je continuais à gémir et à jouir, pendant que mon intimité mouillait, Musashi me dit qu'il allait bientôt jouir. Comme avant, est-ce que j'allais m'écarter pour le laisser jouir sur le sol. Je ne voulais pas qu'il le fasse en moi, car... bon, vous le savez tous je crois. Alors, je ne pensai pas plus que ça que je m'écartai de Musashi qui éjacula sur moi quand même. Je ne pus me retenir de faire un signe de dégoût. Mais, depuis le début j'avais changé selon moi. Même si je trouvais cela dégoutant, mon doigt se dirigea vers le sperme de Musashi pour en prendre un petit peu. Puis mon doigt vint tout de suite dans ma bouche. Je voulais savoir ce que goûtait le jus de la vie. Ce... ce n'était pas si mauvais que cela en fait. Ça ne goûtait pas grand-chose... il y avait un arrière goût mais bon.
Musashi, qui m'avait seulement regarder faire cela continuait de m'observer.
On avait fini je crois... je n'allais plu ressentir le même plaisir qu'avant. J'étais déçue et sûrement que le professeur vit mon expression sur ma figure. Je me suis tellement sentis bien que je serais prête à recommencer. Je serais prête à me rhabiller pour ensuite encore enlever mes vêtements pour recommencer à faire l'amour. Mais bon... ça ne marchait pas comme cela...
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Elle s'était écarté au moment de la jouissance, effectivement elle devait être dégouté par la semence qui provenait de son membre, une appréhension certainement et pourtant bien qu'elle semblait répugné par cela et trempa un de ses doigt sans le sperme qui se trouvait sur elle pour ensuite l'ammener à sa bouche et gouter... chose qui surprit beaucoup Miyamoto car quelques instants auparavant, quand elle avait eu l'occasion de le gouter directement, elle avait préféré s'écarter pour le laisser aller sur le sol de la classe (d'ailleurs il lui faudra penser à nettoyer...)
Par la suite, notre professeur remarqua une certaine déception sur le visage de sa partennaire, peut être déçu de l'avoir fait ou bien que ça se termine... Musashi ne pouvait tout de suite la reprendre là sur cette table, car bien qu'il retrouvait ses forces et ses munitions plus rapidement que la moyenne il ne les récupéraient pas non plus en un éclair...
Cependant, il pouvait trés bien s'occupper d'elle en attendant de retrouver sa vigueur, et si cela pouvait plaire à sa compagne alors ça lui plairait aussi... dans cette optique notre professeur récupéra un mouchoir dans sa veste trainant sur le sol pour essuyer sa semence sur le corps de son éléve puis il jeta le mouchoir dans la corbeille, une fois fait il l'empêcha amicalement de se lever de la table.
Il vint se mettre à genoux, prit les deux jambes de Nawa pour les placer sur ses épaules et comme a leur premiére fois il vint déposer sa langue sur l'intimité de l'adolescente et se mit à la lécher avec ardeur et précision, connaissant maintenant les zones les plus sensible de sa chére éléve il effectué un jeu de langue sur son intimité des plus experts et des plus joussifs, il attendit qu'elle lache quelques soupirs et gémissement de surprise et plaisir mêlé pour ensuite lui dire (avant de reprendre ses léchouilles):
"Je me disais comme ça que ça pourrait te plaire de le refaire... si j'ais raison alors montre moi par tes gémissements de plaisirs..."