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« Ne... Euh... N’est-ce pas un peu trop court, Maîtresse ? »
Les joues légèrement rouges, portant sur elle de pauvres petits morceaux de tissu, Matsuko (http://img103.xooimage.com/files/1/9/2/swim-43f9532.png) se tortillait lentement, gênée d’être observée ainsi. Depuis son fauteuil, jambes croisées, Mélinda se contenta d’un léger sourire, tout en buvant un peu de sa coupe, avalant le sang frais qui figurait à l’intérieur.
« Et bien, ça dépendra du client, Matsuko, comme je te l’ai dit... S’il te préfère dans une tenue plus complète, alors tu ne porteras pas celle-ci. En attendant, il faut bien que nous proposions aux clients le plus large éventail possible. Allez, allez, dépêchez ! »
Les servantes s’activèrent rapidement. Le sexe était un commerce, et, comme n’importe quel commerce, il subissait les effets de la mode. On aurait presque pu se croire devant une séance de mannequinat. Matsuko prenait la pose, croisant les mains dans son dos, mettant sa volumineuse poitrine en avant, offrant la vue de ses fesses. Elle était photographiée par un appareil photo venant de Tekhos, obtenu par le biais de la contrebande, comme la plupart des objets technologiquement avancés, Tekhos se refusant à faire le commerce de ses technologies. Matsuko était gênée, rougissant à chaque cliché, mais sa timidité ne faisait que mettre en avant sa beauté. Si Mélinda s’amusait à photographier ainsi plusieurs de ses esclaves, ce n’était pas par caprice personnelle. Il en allait du sexe comme de la mode, et, depuis quelques semaines, une tendance actuelle, à Ashnard, portait sur les sirènes et la mer.
Cette mode était liée à une récente offensive menée par les Ashnardiens contre un archipel situé dans l’océan. L’archipel était habité par des gens qui vénéraient des sirènes, et qui disposaient d’une cité aquatique. Il y avait eu plusieurs captures d’indigènes, qui portaient des tenues de plongée assez excitantes. Mélinda avait donc décidé d’organiser une soirée spéciale. Ce ne serait pas du cuir et du latex, mais une soirée « swimsuit », qui s’organiserait d’ici une ou deux semaines. Une soirée à thèmes, où ses esclaves seraient en combinaison de plongée, et où, pendant le jour, la plupart porteraient ce genre de tenues. Il fallait donc faire des catalogues, et Mélinda avait choisi d’y assister, en profitant pour se rincer l’œil. Matsuko était une Terrienne, qui avait récemment rejoint les rangs de Mélinda. Une petite lycéenne assez nerveuse, mais enjouée, qui avait, grâce à Mélinda, subi une opération chirurgicale, ayant augmenté la taille de ses seins, conformément au fantasme de Matsuko.
« Là, tiens ta culotte, Matsuko, entre deux doigts, et tire un peu dessus. »
Les appareils photos claquaient. Il faudrait ensuite sélectionner lesquelles prendre. Mélinda continuait à l’observer se tortiller, lorsqu’une neko s’approcha d’elle, et lui indiqua que son rendez-vous était arrivé. Mélinda, qui observait le petit cul de Matsuko, cligna des yeux, hésitant quelques secondes, avant de se rappeler à qui elle avait affaire. Le Saphir blond !
« Ah, c’est vrai ! Merci, ma belle. »
Elle lui caressa la tête, et la neko baissa les yeux en rougissant.
« Bon ! Matsuko, ça ira. Tu vas m’accompagner. »
Dans un rendez-vous d’affaires portant sur des esclaves, il était bon de venir avec des esclaves. Matsuko enfila son collier autour de son cou, une autre femme l’aidant à attacher les sangles à hauteur de sa nuque, ainsi que l’indispensable laisse. Mélinda n’alla pas jusqu’à la tenir par la laisse, et sortit de la pièce.
Elle avait un important rendez-vous avec une elfe, Arillé Lystanill, qui était la Princesse d’Ahkefyn, un royaume drow allié à l’Empire d’Ashnard. Elle avait en effet reçu de la part d’Arillé, il y a plusieurs jours, une demande d’entretien, pour discuter d’un partenariat. Arillé savait que l’entreprise de Mélinda était en pleine expansion : elle avait récemment acheté une guilde grâce à l’or obtenu par la vente d’un ancien esclave renégat*, et s’était associée avec les jumelles Karistal** pour étendre son influence commerciale. Mélinda ignorait ce qu’Arillé voulait, mais elle savait qu’Ahkefyn disposait de beaucoup d’esclaves. Partant de là, il devait forcément y avoir un lien. Mélinda espérait juste qu’il ne s’agisse pas de lui vendre des esclaves, car la vampire vendait très rarement ses propres esclaves. Theorem restait, fort heureusement, un cas isolé.
« Hum... La culotte me gratte, Maîtresse... »
Tout en marchant, Matsuko s’agitait, tirant sur les pans de son rachitique sous-vêtement.
« Préférerais-tu que je te le retire ? » proposa Mélinda en souriant.
La suggestion fit immédiatement rougir confusément Matsuko, et les discussions s’en tinrent là.Mélinda rejoignit son bureau, en compagnie de Matsuko, puis y attendit la venue d’Arillé.
* : Cf. RP « Vente de biens et de services (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=13197.0) »
** : Cf. RP « Mise au point sur les nekos (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=11346.0) »
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Cela allait faire deux jours qu’Arillé était arrivé à Ashnard, séjournant dans l’hôtel particulier qui appartenait à quelques cousins, se reposant pour oublier son éprouvant voyage. Elle était venue en compagnie de deux gardes du corps, Lua (http://img101.xooimage.com/files/4/4/4/lua-4420595.png) et Tyrie (http://img103.xooimage.com/files/c/4/4/tyrie-44205e2.png), ainsi que de quelques membres de la garde royale, assurant plus ou moins sa protection face à d’éventuelles attaques sur la route entre Ahkefyn et Ashnard. La princesse s’était aventurée dans la capitale de l’empire afin de rendre visite à l’un des plus célèbres harems de l’empire, celui de Mélinda Warren. Arillé souhaitait rencontrer cette magnifique vampire pour parler d’un partenariat entre son harem et le royaume souterrain. Elle ne savait pas grand choses sur Mélinda, seulement qu’elle était une femme fatale, et qu’elle était assez douée pour transformer un harem miteux en cathédrale de la luxure. Arillé allait pouvoir si ses informations étaient vraies dans peu de temps, pour l’heure, elle sortait de son bain.
« Votre altesse ? Votre entretient avec mademoiselle Warren aura lieu dans une heure.
- Merci Lua. Lua ? Peux-tu rester ? Je vais avoir besoin de ton aide. »
Arillé portait de la lingerie fine et était nullement gênée d’apparaitre ainsi devant sa garde du corps. Elle enfila sa robe de satin bleu et se mit dos à Lua, qui instinctivement releva la fermeture éclair en haut de l’habit. Pour la remercier de sa délicate attention, la princesse lui vola plus ou moins un baiser en embrassant ses lèvres à travers son masque, ce qui eut pour effet de faire sourire la brune. Arillé finit de s’habiller en enfilant ses talons hauts et ses gants sans doigt en satin noir. Au fur et à mesure qu’Arillé s’habillait, elle s’amusait à dévêtir Lua, jouant avec elle, à embrasser son cou ou sa poitrine, laissant la trace de ses lèvres rouge. Ce jeu dura quelques minutes avant qu’on vienne toquer à la porte.
« Votre altesse ? Vous allez être en retard à votre rendez-vous. »
Les amantes se regardèrent, un peu déçue et se préparèrent pour rendre visite à Mélinda. Une fois prêtes, Arillé accompagnée de Lua et de Tyrie se mirent en route. Arillé allait être en retard de quelques minutes, mais bon, une princesse doit savoir se faire attendre, non ? Surtout quand cette princesse est aussi séduisante qu’Arillé. Le trio arriva avec dix minutes de retard au harem. Arillé fut mené au bureau de Mélinda, et après qu’on l’ait présenté, la princesse s’inclina respectueusement devant la vampire.
« C’est un honneur de vous rencontrer, mademoiselle Warren. Si je puis me permettre, le peu que j’ai vu de votre établissement semble être à la hauteur de sa réputation. Et si je suis ici, c’est pour que nous puissions parler affaire. Je peux ?»
L’elfe s’installa sur l’un des fauteuils mis à sa disposition, elle regarda un instant et avec insistance l’esclave en bikini, lui souriant, tout en se rinçant l’œil, après tout, elle était là pour ça.
« Je ne souhaite pas vous acheter d’esclave. Si j’étais venue pour cela, autant profiter de ceux qui se trouvent à Ahkefyn. Si je suis ici, c’est pour vous proposer un partenariat, entre votre établissement, et mon royaume. En femme d’affaire que vous êtes, je vous propose d’ouvrir un harem annexe à Ahkefyn. Etes-vous intéressée ? »
Arillé sourit à Mélinda, ne brisant le contact visuel que de temps en temps pour se rincer l’œil en observant les courbes de Matsuko.
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La patience n’était pas le fort de Mélinda, surtout quand elle en avait en tête de délicieuses images de filles dans des tenues moulantes. Pour autant, elle connaissait le dicton : une princesse n’arrivait jamais ni en avance, ni en retard, mais à son heure. C’était une constante qu’elle avait déjà du observer à de nombreuses reprises. Si Mélinda fut dans son bureau à l’heure, avec une Matsuko qui avait joint les mains dans son dos, et essayait de dissimuler son trouble, cette courte attente ne lui permit guère de songer à autre chose que le sexe... Elle ordonna donc à Matsuko d’aller lui chercher quelqu’un, et cette dernière obtempéra. Quelques minutes plus tard, elle revint avec une autre adolescente, originaire de Terra, Tatiana (http://squirrelshaver.deviantart.com/art/Grimm-Myths-Exclusive-192484699). Elle portait une sorte de court manteau rouge sur le haut de son corps, et une culotte en dentelle. Elle finit rapidement sous le bureau de la vampire, sa tête allant sous sa robe, pour lécher directement son intimité.
Peu de temps après, Arillé entra. Elle était accompagnée de deux belles femmes, des servantes, et portait une tenue assez sensuelle, une robe en satin bleu, qui jurait avec ses vêtements noirs. Elle avait notamment de belles bottes avec des talons. Sa vue ne fit rien pour retenir le désir de Mélinda, qui remua un peu sur son siège, ses cuisses se resserrant contre la tête de la belle Tatiana. Le bureau empêchait ses invitées de la voir, et Matsuko, quant à elle, était retournée dans le dos de sa Maîtresse, silencieuse, encore plus gênée. Il était fréquent que Mélinda fasse ce genre de choses... Avoir une esclave sous son bureau tout en ayant un entretien. La vampire avait l’appétit sexuel d’un ogre. Cette dernière salua donc Arillé, et cette dernière, sans faux détour, entra directement dans le vif du sujet :
« C’est un honneur de vous rencontrer, mademoiselle Warren. Si je puis me permettre, le peu que j’ai vu de votre établissement semble être à la hauteur de sa réputation. Et si je suis ici, c’est pour que nous puissions parler affaire. Je peux ? »
Mélinda hocha lentement la tête, en signe d’assentiment, et laissa Arillé s’asseoir face à elle. Une belle tête blonde avec des oreilles pointues. Sa couleur de peau était très particulière, pour une femme dirigeant une cité drow. Elle ressemblait plus aux elfes sylvestres qu’aux Elfes Noirs. Mélinda savait qu’Ahkefyn ressortait d’une situation de guerre civile, qui faisait suite à l’invasion de la cité par l’ancêtre d’Arillé, Toren Lystanill. Ces idiots avaient ensuite essayé de gouverner les Drow, sans comprendre que, dans leur culture, seule une femme pouvait les commander. Les Elfes Noirs étaient une société matriarcale, ce que leur religion illustrait. La principale divinité drow était une araignée, Lloth, ce qui illustrait assez violemment ce caractère matriarcal. Mélinda savait que les Ashnardiens avaient été embêtés par la guerre civile qui avait fait rage à Ahkefyn. Les Drow étaient de très bons espions, et un très bon soutien, mais on ne pouvait pas attendre grand-chose d’une cité en état de guerre. La paix était revenue avec la mère d’Arillé, Laël, ce que cette dernière avait visiblement entretenu.
Arillé observa Matsuko, un regard qui n’était pas anodin, et qui amena Matsuko à sursauter, gémissant légèrement en se recroquevillant sur elle-même, fixant obstinément ses pieds, les joues rouges. Mélinda nota évidemment cet échange, mais n’eut pas le temps de l’approfondir, car Arillé lui parla, la faisant sortir de ses réflexions personnelles sur Ahkefyn :
« Je ne souhaite pas vous acheter d’esclaves. Si j’étais venue pour cela, autant profiter de ceux qui se trouvent à Ahkefyn. Si je suis ici, c’est pour vous proposer un partenariat, entre votre établissement, et mon royaume. En femme d’affaire que vous êtes, je vous propose d’ouvrir un harem annexe à Ahkefyn. Etes-vous intéressée ? »
La surprise put brièvement se lire sur le visage de Mélinda, qui cligna des yeux quelques secondes, avant de se calmer. C’était une proposition assez inhabituelle, et elle remua un peu sur son fauteuil. Tatiana, elle, continuait à lécher, et Mélinda soupçonnait que les oreilles elfiques, plus développées que les simples oreilles humaines, leur permettraient d’entendre les bruits de succion et les discrets gémissements que Tatiana poussait. Elle utilisait en effet l’une de ses mains pour se doigter.
« Et bien... Je dois dire que c’est une heureuse coïncidence. J’ai récemment eu une certaine rentrée d’argent, et je cherche justement à étendre mon activité. »
Mélinda se tourna alors vers Matsuko, et lui ordonna d’aller masser les épaules d’Arillé. Cette dernière hocha lentement la tête.
« Bien, Maîtresse... »
Elle laissa à Matsuko le temps de se mettre dans le dos d’Arillé, et de poser ses mains sur ses épaules, les massant tendrement.
« Je vous en prie, ce n’est pas tous les jours qu’une princesse vient dans mon modeste établissement, laissez-moi vous offrir l’hospitalité. »
Mélinda lui sourit, et remua un peu sur son fauteuil.
« Pour être honnête, je pensais que vous viendriez juste vous détendre... Mais, un partenariat, voilà qui est intéressant... Dites-m’en plus. Pourquoi moi ? Et pourquoi vouloir ouvrir un harem chez vous ? Je ne vous cacherais pas que l’idée m’intéresse, évidemment, mais il me faut en savoir plus, avant de me décider. »
Il fallait surtout savoir s’il y avait une entourloupe ou pas. Avec ces maudits elfes, on pouvait s’attendre à tout.
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Arillé semblait ne pas réagir aux bruits de succions et aux gémissements qu’émettaient le bureau en chêne. Non pas qu’elle n’entendait pas Melinda se faire du bien ; Arillé voulait se montrer imperturbable après avoir fait mouche. En revanche, les deux gardes du corps n’étaient pas insensibles aux petits gémissements de Tatiana. Si Lua gloussait intérieurement, s’imaginant qui pouvait lécher le sexe de la vampire. En revanche, Tyrie elle faisait tout son possible pour cacher la bosse qui soulevait doucement son vêtement si bien qu’elle fit deux pas chassé pour se trouver derrière la chaise d’Arillé et ainsi dans l’angle mort de Mélinda, ce qui faisait rire intérieurement Lua, n’affichant qu’un grand sourire un peu bête derrière son masque. Qu’Arillé est fait venir Tyrie était prévu. Elle savait qu’elle réagirait comme ça ; Tyrie étant génée de son nouveau sexe. Elle n’était plus vraiment femme, entre ses cuisses il n’y avait plus de fente, juste un sexe masculin d’une taille moyenne.
« Bien, Maîtresse… »
Comble de l’ironie, celle qui se cachait de toute sensualité se trouva face aux fesses de Matsuko, qui avait reçu l’ordre de masser Arillé. Cette dernière n’était pas contre un petit massage, et caressa tendrement une de ses mains, tout en souriant à Mélinda, comme pour la remercier.
« Je vous en prie, ce n’est pas tous les jours qu’une princesse dans mon modeste établissement , laissez-moi vous offrir l’hospitalité. »
Pour Arillé, un verre de vin rouge aurait largement suffit. Tyrie aurait elle aussi aimée voir sa maîtresse recevoir de quoi se désaltéré plutôt que de recevoir une masseuse.
« Pour être honnête, je pensais que vous viendriez juste vous détendre… Mais, un partenariat, voilà qui est intéressant… Dites-m’en plus. Pourquoi moi ? Et pourquoi vouloir ouvrir un harem chez vous ? Je ne vous cacherais pas que l’idée m’intéresse, évidemment, mais il me faut en savoir plus, avant de me décider.[/b] »
Arillé remua un peu sur son fauteil, offrant son dos à Matsuko.
« Et bien, je ne vais pas vous cacher qu’Akhefyn a un trésor important, or, je ne suis qu’une princesse, et je n’ai pas accès au trésor du royaume. J’ai donc besoin d’avoir des entrées d’argent autres que les impôts. Pourquoi donc ouvrir un harem et pas… Hum… une boutique de vêtement ? Sachez que j’ai déjà un harem, au sens de privé. J’ai mes esclaves, et seule moi ou mes amis peuvent y passer du bon temps. Sauf qu’entretenir un harem coute de l’argent. De plus… Lua, vas remercier mademoiselle Warren, et offre lui un massage. Ça t’apprendra à rire dans mon dos.
- Oui maîtresse... »
Lua fit le tour du bureau et se mit dans le dos de Mélinda et commença à masser délicatement ses épaules. Arillé sourit à Mélinda.
« Pardonnez son comportement… Si elle peut vous être utile pour la journée. Elle se ferait une joie de vous servir de repose pied. Ou de participer à votre petite sauterie. »
Elle fit une pause, pensive, tout en embrassant le poignet de Matsuko.
« Où en était-je… Ah oui. Et donc, si notre harem nous rapporte à toute les deux de l’argent, il pourra devenir auto-suffisant, et donc, nous rapporter un bénéfice conséquent, car le sexe est un business, et un business florissant à Ahkefyn. Donc… Pourquoi vous ? Pourquoi ne pas me lancer moi-même dans l’activité de mère maquerelle ? Et bien, mon statut de princesse m’oblige à voyager, à rencontrer d’autres dirigeants afin de parler de diplomatie. Il me faut donc quelqu’un pour, non seulement m’enseigner la gestion, tout en connaissant cette activité. C’est en forgeant qu’on devient forgeron, non ? Et on dit que vous êtes la meilleure forgeronne dans ce domaine. »
Elle fit une brève pause, avant d’ajouter
« De plus, vous ne paierez pas de taxes, vu que vous êtes partenaire avec la princesse des lieux, et puis, vos esclaves pourront légèrement changer d’air tout en étant productives, non ? »
Derrière Arillé, Tyrie n’en pouvait plus, elle était rouge, de honte, mais aussi d’excitation, si bien qu’elle posa ses mains sur les hanches de Matsuko, effleurant délicatement ses fesses avec sa verge tendu tout en lui soufflant dans le creux de l’oreille un bref
« Je suis désolée… Je ne devrais pas. »
De l’autre côté du bureau, Lua regardait sa camarade, lui lançant des signes pour l’inciter à la sauter, là maintenant, tout de suite. Elle observait à la fois Tyrie qui était plus que gênée et Tatiana, qui lui donnait envie.
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Les efforts de Tyrie pour dissimuler sa proéminence étaient aussi amusants qu’inutiles. Mélinda sentait une forte concentration sanguine entre ses cuisses, et comprit que cette dernière avait une verge... Une hermaphrodite. Ce genre était de plus en plus vogue, maintenant, et ce n’était pas pour déplaire à Mélinda. S’agitant lentement sur son fauteuil, elle commençait à mouiller, et se pinça les lèvres, écoutant la belle Arillé parler, et lui expliquer pourquoi elle avait décidé de faire appel à elle. Mélinda comprit qu’il était question pour elle de s’assurer d’une rentrée d’or, tout en bénéficiant de l’expertise d’une professionnelle en la matière. Flatter l’égo de Mélinda était quelque chose qui marchait bien, et elle laissa Lua venir dans son dos, sentant les mains de la belle frotter ses épaules. Il suffisait à Lua de baisser la tête pour voir Tatiana à l’œuvre, accroupie sur le sol, une main filant entre ses cuisses, ta tête enfouie sous la robe de Mélinda. Arillé, quant à elle, embrassait parfois le poignet de Matsuko, ce qui la faisait légèrement rougir, mais elle ne s’arrêtait pas pour autant. Elle savait masser, affirmant ayant avoir comme mère une geisha. Elle avait donc appris auprès d’une experte en la matière.
« De plus, vous ne paierez pas de taxes, rajouta Arillé, vu que vous êtes partenaire avec la princesse des lieux, et puis, vos esclaves pourront légèrement changer d’air tout en étant productives, non ? »
Mélinda hocha lentement la tête, de plus en plus excitée, ses petites griffes commençant à glisser sur les accoudoirs de son fauteuil. Tyrie, quant à elle, avait de plus en plus de mal à se retenir, et se frottait contre Matsuko. Quand sa verge glissa sur les fesses de la petite humaine, cette dernière poussa un gémissement de surprise, et se mordilla alors les lèvres, rougissant follement.
« Je suis désolée… Je ne devrais pas » s’excusa alors Tyrie.
Mélinda eut une petite moue sur le visage, et s’humecta les lèvres, avant de parler.
« Allons, prends-là par les fesses, Matsuko adore ça. N’est-ce pas, ma petite ?
- O-Oui, Maîtresse...
- Mets-y plus d’enthousiasme… soupira Mélinda.
- Ma… Matsuko aime… Quand on enfonce une grosse bite dans son cul… »
Le dire fit follement rougir l’intéressée. Bien élevée, Matsuko n’avait pas l’habitude d’employer des grossièretés, et Mélinda l’avait donc entraîné à s’insulter. Elle reporta alors son attention sur Lua, ayant bien noté les regards que cette dernière portait vers Tatiana.
« Et toi, ma belle ? File donc entre mes jambes, là où est ta place... Le corps de Tatiana et mes pieds n’attendent que tes mains et tes lèvres. »
Les ordres étaient donnés. Mélinda était chez elle, après tout, et il était tout à fait normal qu’elle le leur rappelle. Elle reporta ensuite son attention sur Arillé, et consentit à lui répondre, revenant à leurs petites affaires :
« Je pense discerner vos motivations, Arillé... De mon côté, il s’avère que je fais face à une hausse de plus en plus forte de mes petites protégées, une hausse si fort qu’il m’est de plus en plus difficile de tous les loger. Votre offre me permettra de continuer à faire marcher mon affaire, et je pense que votre royaume doit offrir une clientèle suffisamment large pour que chacun d’entre nous y trouve une juste satisfaction. »
Pour l’heure, Mélinda ne voyait donc aucun problème de principe à accepter cette offre. De plus, et cet élément n’était pas négligeable, elle avait très envie de montrer à la princesse elfique sa chambre, et à lui montrer en personne à quel point elle s’investissait personnellement dans son harem. Si Mélinda avait cette réputation d’être une esclavagiste douée, il n’en était pas moins vrai qu’elle avait aussi celle d’avoir des pulsions sexuelles particulièrement fortes.
Une chose qu’Arillé allait avoir l’occasion de constater en personne sous peu.
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Tyrie était une esclave entrainée pour servir et protéger sa Maîtresse, avant de servir Arillé, la belle était une jeune femme qui servait de cobaye à un alchimiste peu conventionnel. Ce dernier testait sur elle un tas d’aphrodisiaques, sculptant son corps à loisir, en augmentant la taille de ses seins ou en lui donnant une taille de guêpe. Que des effets temporaires, jusqu’au jour où une erreur de dosage transforma son sexe « faible » en un plus virile. Arillé fut séduite par la particularité de son esclave et l’acheta pour en faire ce qu’elle est aujourd’hui : un jouet qu’elle prend plaisir à torturer
« Allons, prends-là par les fesses, Matsuko adore ça. N’est-ce pas, ma petite ?
- Et bien je suis désolée Matsuko, mais tu as entendu cette chienne qui se frotte contre toi ? Elle ne devrait pas.»
Et pour accompagner le geste à la parole, Arillé agrippa le sexe en érection de Tyrie et le tordit, arrachant un couinement à la brune. Si la princesse adorait prendre le rôle de la soumise au lit, c’était différent avec Tyrie, elle adorait la frustrer, la rabaisser et la punir, et elle savait que Tyrie aimait ça. Pendant ce temps, Lua ne s’était pas fait prier, elle prenait plaisir à embrasser Tatiana et les pieds de Mélinda ; si bien qu’elle se mit à l’aise en libérant sa poitrine encore couverte de traces de rouge à lèvres. Si elle pouvait, elle l’aurait violée sous ce bureau, mais les ordres de Mélinda étaient clairs et il serait dommage de mettre en colère son hôte et sa maîtresse.
« Je pense discerner vos motivations, Arillé... De mon côté, il s’avère que je fais face à une hausse de plus en plus forte de mes petites protégées, une hausse si fort qu’il m’est de plus en plus difficile de tous les loger. Votre offre me permettra de continuer à faire marcher mon affaire, et je pense que votre royaume doit offrir une clientèle suffisamment large pour que chacun d’entre nous y trouve une juste satisfaction.
- Je vous laisserai le choix des pensionnaires à envoyer dans notre établissement, mais sachez qu’elles ne seront pas seules, et qu’elles risquent de se faire de nouvelles camarades. »
Elle eut un petit sourire, l’air songeuse, dans sa main, toujours le sexe en érection de Tyrie. La princesse avait non seulement envie de visiter l’établissement de Mélinda, mais aussi envie de satisfaire ses pulsions. Oui Arillé était particulièrement excitée.
« Si vous ne voyez pas d’inconvénients, j’aimerai avoir une visite de votre établissement. Si vous pouvez me trouver une nourrisse pour la vilaine fille qui m’accompagne, elle aurait bien besoin d’un peu de discipline. Si jamais vous connaissez quelqu’un qui pourrait lui apprendre les bonnes manières, vous m’enlèverez une épine du pied. »
Tout en disant cela, elle s’amusait à planter légèrement ses ongles dans le membre de Tyrie, la faisant grimacer et gémir de douleur. Elle se tenait devant Mélinda, comme une petite fille honteuse de s’être fait grondée.
« Et, excusez-moi de vous demander, auriez-vous une laisse à me prêter ? J’ai envie de promener ma douce Lua, au moins, elle pourra peut-être nous rejoindre ! »
Arillé ne put s’empêcher de se mordre la lèvre inférieur. Lua était pour elle plus qu’une amante, elle fut sa dame de compagnie alors même qu’elle n’était enfant. Elle fut ensuite sa première amie, puis son premier amour. Plus qu’un amour charnel, elle considérait Lua comme sa sœur, elle était sa plus proche confidente avant d’être sa maîtresse préférée. Lua connaissait tous les secrets d’Arillé. Dans leur vie intime, les deux femmes oubliaient leurs statuts respectifs, échangeant leurs envies comme leurs craintes. Si Arillé aurait pu l’épouser, il n’y a pas de doute qu’elle l’aurait fait. Cependant, la princesse n’était pas jalouse de la savoir avoir des relations avec d’autres, mais faire l’amour sans Lua, ce n’était pas vraiment la même chose.
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Matsuko était partagée entre des envies contradictoires. D’un côté, elle était soulagée de voir que l’elfe maintenait dans sa main le sexe de la Futanari, empêchant ainsi cette dernière de lui labourer le cul... Mais, d’un autre côté, elle était aussi frustrée qu’on ne la sodomise pas. Mélinda la connaissait bien, et savait que Matsuko était le genre de femmes qui refusaient d’avouer ses fantasmes, qui voulait qu’on la prenne pour une simple fille, avec des désirs normaux, d’une banalité affligeante, alors que, en réalité, elle adorait qu’on la traite comme une chienne. Mélinda l’avait aidé à admettre de tels fantasmes, mais Matsuko peinait encore à clairement lez afficher et les revendiquer. Elle attendit donc, et continuait à masser les épaules d’Arillé pendant ce temps.
La vampire, elle, savait que Lua avait très envie de lécher autre chose que les pieds de la vampire, mais il y avait toute une stratégie, derrière le fétichisme. Outre la simple envie de sentir sa supériorité, Mélinda voulait aussi faire monter le désir des femmes, leur frustration. Elle sentit les deux femmes s’appliquer, tout en se câlinant, et en allant parfois s’embrasser. Tatiana était une esclave motivée, qui avait toujours trouvé la tenue du Petit Chaperon Rouge sexy... D’où sa tenue, en somme. Tandis que les femmes se débrouillaient, et qu’Arillé jouait avec la verge tendue de son esclave, la Princesse elfique lui répondit, en lui indiquant que Mélinda pourrait envoyer dans son établissement les esclaves de son choix. La vampire ne l’entendait pas différemment, et elle allait sûrement procéder à des roulements, afin que ses esclaves n’aient pas le sentiment d’être exilées. C’est ici qu’on voyait les limites du dressage de Mélinda. Sa technique consistait à rapprocher ses esclaves d’elle, afin qu’elles voient en Mélinda une sorte de pivot, de pilier indispensable pour leur épanouissement. Si on les séparait d’elle, les esclaves pouvaient commencer à dépérir, et à avoir le sentiment d’avoir fait quelque chose de mal, ce qui, naturellement, impacterait sur leur rendement. Parallèlement, c’était aussi ce sentiment qui amenait Mélinda à envisager de commencer à fonder un clan vampirique. En ayant d’autres vampires, elle pourrait les envoyer diriger ses établissements secondaires, et ainsi servir de lien entre elle et ses esclaves. Malheureusement, Mélinda avait du mal à trouver des candidats intéressants pour ce poste, et les rares qu’elle avait su trouver sur Terre, comme Hitomi Yamagachi, l’avaient déçu en refusant son offre.
« Si vous ne voyez pas d’inconvénients, demanda alors Arillé, j’aimerai avoir une visite de votre établissement. Si vous pouvez me trouver une nourrisse pour la vilaine fille qui m’accompagne, elle aurait bien besoin d’un peu de discipline. Si jamais vous connaissez quelqu’un qui pourrait lui apprendre les bonnes manières, vous m’enlèverez une épine du pied. »
Mélinda se contenta d’un léger sourire suite à cette phrase. Quelqu’un pour lui apprendre les bonnes manières, hein ? Une petite moue pensive traversa son beau visage angélique, avant qu’elle ne lui réponde :
« Il est possible que je dispose de ça sous le coude... Néanmoins, ce ne sera pas totalement gratuit, vous savez comment ça marche... Mais je vous ferais une ristourne, l’assura Mélinda avec un sourire. Une princesse aussi agréable que vous le mérite bien. »
Tyrie avait du mal à rester en place, car Arillé plantait ses ongles dans sa chair. Son sexe était tendu, et Mélinda se dit qu’elle devait avoir pas mal de choses en commun avec Arillé... Ce qui rendait l’hypothèse d’une alliance encore plus intéressante. Il allait de soi que, pour elle, afin d’être concrète et officielle, cette alliance se devait d’être consommée. Quoi de mieux qu’une visite pour ça, en effet ?
Arillé lui posa alors une autre question :
« Et, excusez-moi de vous demander, auriez-vous une laisse à me prêter ? J’ai envie de promener ma douce Lua, au moins, elle pourra peut-être nous rejoindre ! »
Curieusement, Mélinda sentit le sang d’Arillé remuer légèrement dans son corps. Elle n’était pas télépathe, mais elle devina, à la remarque de l’elfe, que Lua devait avoir une certaine importance pour elle. Mélinda haussa les épaules.
« Si c’est là votre souhait... Matsuko, va chercher une laisse. Sortez de là, mes chéries... Allez, allez, sortez ! »
La deuxième partie de sa tirade s’adressa à Tatiana et à Lua. Tatiana sortit rapidement, les joues légèrement rouges, les cheveux un peu décoiffés. Matsuko revint rapidement, avec une laisse et un collier, et se mit devant Arillé.
« Peut-être souhaitez-vous l’attacher en personne, Princesse ? »
Mélinda ne voulait évidemment pas la presser, ou l’empêcher de faire de petits plaisirs.
C’était une cliente potentielle, après tout !
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En sortant de sous le bureau de madame Warren, Lua était légèrement décoiffée et avait son masque baissé. Debout elle essuya sa bouche d’un revers de poignet, comme les personnages des films d’actions quand ils veulent se donner un genre de guerrier ou tout simplement de mec « badass ». Pour Lua, l’action avait été différente et beaucoup plus agréable qu’une brûlure au fesses suite à une explosion. Le narrateur se retient tout de même de faire un jeu de mot en disant tout simplement qu’elle a le feu aux fesses (comme toutes les personnes présentes dans le bureau), il dira plutôt qu’un doux feu venait de s’allumer dans son bas ventre et qu’il était assez chaud et accueillant pour satisfaire tout voyageur qui aurait eu le malheur de s’égarer.
Doucement, la favorite d’Arillé revient vers elle, ne se privant pas de se déhancher devant Mélinda. La réaction de la princesse ne se fit pas attendre, fissa, elle mit le collier à Lua et y attacha la laisse en cuir. Là, sans prévenir, la blonde tira Lua vers elle à l’aide de ses nouveaux « habits » et l’embrassa passionnément un petit moment, égarant ses mains sur son corps deux ou trois fois, avant de la repousser.
« Nous pouvons y aller! » dit la princesse, esquissant un petit sourire mesquin avant de tirer la laisse de Lua uniquement pour l’embêter. Cette dernière s’exprima à sa maîtresse avec assurance et dans sa langue maternelle.
« Tu changes les habitudes ? Tu n’as pas envie que je te fouette? « Princesse Chatte Humide » ?
- Continue et je livre au premier porc qui a la queue qui le démange…
- Même pas cap.
- On pari ? »
La conversation se tue, Arillé suivait Mélinda qui lui faisait visiter rapidement le harem, un peu trop au gout d’Arillé qui souhaitait presque se perdre pour entrer dans une des chambres et y voir ce qui s’y passait. Malheureusement, ça n’aurait été ni digne d’une princesse, ni digne d’une femme d’affaire. A la place, elle demanda discrètement à Mélinda en lui soufflant à l’oreille tout en marchant.
« Excusez-moi mademoiselle Warren … Mais il y a un fantasme que j’aimerai réaliser… Comme nous sommes… Dans… Dans un lieu de débauche, j’aurai aimé savoir s’il était possible de… »
Elle se retourna rapidement vers Lua, qu’elle trainait comme une esclave qu’on voulait exhiber comme l’on exhibe une voiture de sport ou un étalon et repris timidement.
« S’il était possible d’être traitée en tant que… Qu’esclave… Et de servir une maîtresse… Et d’être humiliée… Vous voyez ce que je veux dire ? Avez-vous quelqu’un qui pourrait accomplir mes fantasmes ? »
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Un léger silence plana pendant le baiser intense entre Arillé et Lua. La vampire comprit que l’elfe semblait être attachée à ses deux esclaves, ce que Mélinda pouvait comprendre. Elle-même considérait son harem comme une grande famille, et se faisait un point d’honneur à connaître le nom de chacune de ses esclaves... Ce qui n’était pas forcément très simple, vu leur nombre de plus en plus élevé. Pendant ce baiser, Mélinda resta silencieuse, puis laissa ensuite l’elfe attacher Lua avec une laisse. Les deux femmes se mirent alors à parler dans la langue des elfes. Mélinda en connaissait les rudiments, car elle faisait souvent affaire avec les elfes ashnardiens, généralement des Elfes Noirs. Mieux valait comprendre leur dialecte, pour éviter de se faire avoir. Elle crut comprendre que les deux femmes étaient plutôt familières, et s’avança, leur faisant une brève visite guidée du harem.
En chemin, elles avaient probablement du voir l’une des spécialités du harem : les « femmes en vitrine ». Il s’agissait d’esclaves, qui étaient attachées contre le mur, retenues par les poignets et les chevilles, avec deux godes qui vibraient remuaient en permanence dans leur vagin et dans leur porte arrière. Elles avaient un bandeau autour des yeux, un gag ball, et des sous-vêtements en cuir ou en latex, ainsi que de longs gants et des collants. De belles femmes sanglées qui constituaient une belle distraction pour els clients, ceux-ci ayant le droit de lécher ces corps généreusement offerts, d’y goûter tendrement. Mélinda vit ainsi un connétable, plutôt obèse, et chauve, en train de palper les seins d’une esclave, un sourire de pervers vicieux sur les lèvres. Un vrai cliché sur pattes. Mélinda s’arracha toutefois à son observation quand Arillé se rapprocha d’elle. Ses seins frôlèrent délicieusement son corps, et elle l’entendit entamer une requête, afin que sa voix ne s’écroule totalement.
*Hum ?*
Surprise, Mélinda fronça les sourcils, et pencha sa tête, tandis que, sur le ton de la confidence, Arillé se reprit, terminant le fond de sa pensée :
« S’il était possible d’être traitée en tant que… Qu’esclave… Et de servir une maîtresse… Et d’être humiliée… Vous voyez ce que je veux dire ? Avez-vous quelqu’un qui pourrait accomplir mes fantasmes ? »
Mélinda sentit un léger sourire se dessiner sur ses lèvres. Elle se retourna alors, et observa la femme. L’une de ses mains se releva alors, et caressa la joue de l’elfe, son pouce venant glisser contre ses lèvres, l’extrémité de son ongle remuant dessus. La vampire la caressait avec douceur, mais, malgré tout, on pouvait sentir une sorte de fermeté dans la manière dont sa main s’appuyait sur elle.
« Hummm... Vous me rappelez une autre princesse, Arillé... Une petite blonde, qui vit dans les montagnes, et qui adore sentir ma virile queue remplir son petit cul... Une maîtresse, donc... Laissez-moi deviner... Une femme qui vous prendrait comme une pute en vous traitant de salope à chaque coups de reins qu’elle mettrait dans votre insolent petit cul de traînée nexusienne ? »
Elle ménagea une courte pause en retirant sa main de sa joue.
« J’ai ce qu’il te faut, ma chérie... Mais une esclave ne peut pas porter une telle robe... »
Mélinda avait un petit sourire sur le coin des lèvres, et attrapa ensuite la main d’Arillé. Elle s’aventura alors dans un autre couloir, et la conduisit, accompagnée de ses deux esclaves, Lua et Tyrie, dans une chambre. Mélinda mit alors fin au faux suspens qui était en train de s’instaurer en expliquant tout simplement qui elle allait être :
« Je serais ta Maîtresse, Arillé. »
Étant la propriétaire du harem, elle était le meilleur choix possible, non ?
« Ce faisant, Lua et Tyrie seront aussi mes esclaves, puisque ce sont les tiens. Déshabillez votre Maîtresse, jeunes filles... Tu te mettras ensuite à quatre pattes, Arillé, et je veux que Tyrie t’encule. J’ai cru comprendre que son membre la démangeait. En attendant, je vais te chercher des vêtements appropriés. »
Les premiers ordres avaient fusé, mais ce n’était rien de plus qu’une simple mise-en-bouche... Ou une mise-en-cul, pour être plus précis.
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Le harem des Warren était sans aucun doute une demeure chaleureuse et accueillante, et encore, ces mots étaient bien faible quand à ce que ressentait Arillé. Jamais n’avait-elle vu une telle débauche de luxure et ce juste en suivant Melinda dans le dédale de couloirs qui constituait l’architecture du lieu. Une décoration chic, qui allait étrangement bien avec les « femmes en vitrines » ; une idée de déco qui allait surement inspirer Arillé un de ses jours. La visite se termina lorsque le groupe de femme pénétra dans une chambre plutôt spacieuse et luxueuse. Une odeur de luxure furtive flottait dans la pièce où trônait fièrement un grand lit, qui était accompagné de toute une décoration érotique, une peinture évoquant la féminité par-ci, une autre par là. Et par deçu tout, un balcon, donnant sur la cour intérieure. Quel dommage qu’il y avait encore autant de soleil pensa la princesse, elle aurait adorée forniquer ou bien se faire fesser sur ce balcon s’il y avait un peu moins de luminosité, peut-être plus tard, on ne sait jamais ! En tout cas, ce petit spectacle donnait comme un avant-gout de ce qui allait se passer.
* Ils sont sacrément doué pour la décoration ces Ashnardiens, je devrais les engager pour refaire la déco’ du palais un de ses jours. * Pensa Arillé, elle fut rapidement extirpée de ses pensées quand la propriétaire vampire s’adressa à son altesse.
« Je serais ta Maîtresse, Arillé. »
A peine entendit-elle cela, que la princesse cessa de regarder Mélinda dans les yeux, une esclave n’est qu’un objet, elle n’a pas l’honneur de regarder, ni même de toucher sa maîtresse, seulement si cette dernière le demande. En rentrant dans son rôle, son attitude changea drastiquement, son air fier se changea en humilité, modeste, et impuissante à la fois.
« Ce faisant, Lua et Tyrie seront aussi mes esclaves, puisque ce sont les tiens. Déshabillez votre Maîtresse, jeunes filles... Tu te mettras ensuite à quatre pattes, Arillé, et je veux que Tyrie t’encule. J’ai cru comprendre que son membre la démangeait. En attendant, je vais te chercher des vêtements appropriés. »
La princesse ne bougea pas d’un yotta, lorsque Lua et Tyrie la mirent à nue. Dévoilant dans un premier temps sa poitrine, où siégeaient un barbell en argent au bout de chacun de ses tétons ; pour la princesse, le piercing était avant tout un objet érotisant bien puis qu’un symbole quelconque, surtout à cet endroit-là. Enfin, se fut à son ventre, habituellement gainé dans un corset en matériaux plus ou moins exotiques. Puis elle fut complètement nue lorsque s’abaissa sa culotte légèrement humide du spectacle qui lui a été offert juste avant. Arillé se retourna vers Tyrie et se mit à caresser son sexe, puis doucement, elle se mit à genoux et embrassa sa queue, passant lentement sa langue pour l’humidifier. Aux vues des expressions du visage de Tyrie, soit elle prenait son pied, soit on s’amusait à lui planter une lame dans le dos. Une fois la verge de Tyrie humide, Arillé la quitta et lui offrit son postérieur, elle resta à quatre patte. L’hermaphrodite ne se fit pas attendre, toujours dans ses vêtements, elle s’empressa de pénétrer sans ménagement le cul d’Arillé, qui poussa un petit cri en sentant cet assaut. La chambre vivait maintenant au rythme des gémissements et des cris d’Arillé, mais aussi des couilles de Tyrie fouettant le cul d’Arillé. Une levrette en bonne et due forme, comme si un soldat baisait la première pute qu’il croisait. Oui Arillé se sentait comme une pute de bas étages, et elle adorait ça.
Aux cris et gémissements d’Arillé, se joignirent ceux de Tyrie, qui semblait se venger des diverses humiliations et sévices que lui avait fait subir sa délicieuse maîtresse. Les rôles s’inversèrent, car si Arillé aimé jouer les esclaves avec Lua, avec Tyrie, le rôle était inverse, la princesse se comportait comme la pire des vicieuses avec Tyrie (qui, attention aimait être humiliée), la réduisant souvent à l’état de jouet sexuel, ou de meuble. Le plaisir envahissait le corps de Tyrie, si bien qu’elle jeta violement sa princesse sur le tapis de fourrure sur lequel elles baisaient et l’attrapa par les cheveux, pointant sa queue vers son visage.
« Hein ? Ca fait quoi d’être baisée comme une pute ? Une chienne ? Une esclave ? Haaaan, on dirait que t’aime ça Arillé ? Sale pute ! Tu dois vraiment être la reine des salopes ! Dis que tu veux que je jouisse sur ta sale petite gueule de pute ! Hurle-le pour que maîtresse Melinda l’entende ! Pour que tout le harem l’entende !
- Jouis sur mon…
- Plus fort !
- JOUISSEZ SUR MA SALE PETITE GUEULE DE PUTE MAÎTRESSE TYRIE ! »
Arillé était maintenue en l’air par la poigne de Tyrie qui tenait ses cheveux. La princesse avait les cuisses détrempées et haletait, elle ne s’était pas fait prendre depuis longtemps, et elle avait adorée, dommage que Tyrie ait décidé de ne pas la faire jouir, cette dernière se masturbait en collant son gland contre les joues d’Arillé, qui regardait impuissant son garde du corps se branler sur elle. Au bout de quelques instants, Tyrie se crispa et laissa s’écouler une grosse quantité d’un liquide crémeux et épais, coulant doucement sur son menton et goutant sur sa poitrine ballotant au rythme saccadé de la respiration d’Arillé, lui laissant le temps de reprendre un peu de force avant qu’arrive maîtresse Melinda.
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Trouver les vêtements appropriés ne fut pas long. La chambre comprenait un meuble abritant une multitude de vêtements. On ne s’en rendait pas compte, mais le harem de Mélinda était une véritable usine à engorger de l’argent. Outre le prix des murs et du mètre carré, l’établissement se situant tout de même le long d’un des principaux boulevards ashnardiens, il y avait aussi tous ces frais supplémentaires : les vêtements à acheter, à réparer, à nettoyer, les chambres, le ménage, le remplacement des draps déchirés... Le service comptable du harem ne s’ennuyait pas, et, de ce que Mélinda savait en consultant les rapports de ses comptables, les actifs dépassaient pour l’heure largement les passifs de son patrimoine. Elle n’avait donc aucune raison de s’en faire. Le cul restait une affaire rentable à tout point de vue, et elle trouva les vêtements qu’elle cherchait, puis se retourna, et profita tout simplement du spectacle.
Arillé, une princesse qui voulait se faire traiter en toute discrétion comme la reine des putes. Mélinda comprenait ça, car c’était quelque chose qu’elle vivait assez fréquemment avec Alice... C’était comme si le sentiment de diriger vous amenait parfois à vous demander ce que ça faisait d’être de l’autre côté. Pour Alice, c’était pleinement ça, et, manifestement, Arillé ressentait la même chose. La vampire avait toutes les raisons du monde d’être heureuse : non seulement elle allait se rapprocher d’une princesse, soit s’offrir un nouveau marché, mais elle allait satisfaire les fantasmes de cette dernière, ce qui, autrement dit, signifiait que, outre le simple accord commercial, un lien d’amitié risquait de se tisser. Après cette séance, Arillé saurait qu’elle pouvait revenir ici quand bon lui semblerait pour se faire à nouveau tringler dans tous les sens du terme. L’une de ses esclaves, Tyrie, lui défonçait joyeusement le cul, et la vampire avait sur les lèvres un sourire évasif, rêveur. C’était si bon, de voir une sodomie en direct... Une levrette, avec une Princesse qui se mettait à hurler sous l’impulsion de ses esclaves. Tyrie finit par retirer sa verge de son cul, et éjacula sur le visage d’Arillé, l’éclaboussant de sperme.
Mélinda, assise sur un fauteuil face à ce spectacle, avait les jambes croisées, et un sourire sur le visage, dévoilant ses magnifiques dents blanches. Elle s’avança, se laissant tomber en avant, atterrissant sur les genoux, inspectant le visage d’Arillé, un visage qui dégoulinait de foutre, et se rapprocha un peu. Sa langue sortit de sa bouche, et elle lui lécha la joue, remontant le long de ce sperme.
« Qu’est-ce que tu es sale, Arillé..., commenta-t-elle. Une incorrigible pute qui ne demande qu’à se faire baiser la gueule et défoncer tout le corps... »
Dans le sexe, sous-estimer le poids et l’importance des mots était une grave erreur, une erreur que Mélinda ne comptait pas faire. Elle continuait à lui nettoyer le visage avec sa langue, tout en réfléchissant à ce qu’elle pouvait faire. Les idées, en réalité, ne manquaient pas, mais il fallait les ordonner. Tyrie avait déjà commencé à la sodomiser, mais sans aller jusqu’au bout... Et il ne fallait pas non plus négliger Lua. Un défi intéressant pour l’imagination sexuelle de Mélinda, qui, fort heureusement, avait avec elle plusieurs siècles de pratique.
« Lua, termine ! Nettoie cette salope ! »
Mélinda se releva en croisant les bras. Elle était de plus en plus excitée, et laissa à Lua tout le temps nécessaire pour s’occuper du visage de la belle elfe. Elle en profita pour récupérer une cravache, et tourna autour d’elle, puis frappa ses fesses à plusieurs reprises avec cet instrument. Le cul d’Arillé était bien rouge, rappelant à Mélinda à quel point elle adorait la sodomie. D’aucuns auraient pu croire que faire du sexe depuis si longtemps aurait pu finir par la lasser, mais c’était mal connaître la grande perversion de la vampire, une perversion qui ne cessait de s’amplifier au fur et à mesure du temps.
Après plusieurs coups de cravache, elle se pencha à nouveau, et vint lécher son fondement, posant chacune de ses mains sur ses fesses, les malaxant tendrement. Sa langue fila vers sa rondelle ouverte, et elle remua sa langue, l’enfonçant ici, remuant d’avant en arrière, en soupirant et en gémissant. Plus elle s’attaquait à ce joli cul, et plus l’excitation montait, avec cette naturelle et nécessaire frustration sexuelle, qui se concentrait à hauteur de ses cuisses. Mélinda se redressa ensuite, Lua ayant fini de la nettoyer.
« Bien... Comme nous avons une esclave de marque, mes chéries, il faut s’occuper d’elle. Lua ? Tu vas te glisser sous ses jambes, et lécher son intimité... Tu es douée avec ta langue, alors un petit cunni’ ne pourra pas te faire pas de mal. Toi, Tyrie, puisque tu aimes le visage de cette salope, tu vas lui baiser la gueule... Moi, je vais finir le travail entamé sur son cul. »
Voilà ce qu’on pouvait appeler une saine répartition des tâches. Mélinda se défit de sa robe, puis se concentra, et fit pousser sa verge, qui jaillit de son intimité, après avoir brièvement déformé son vagin. Elle posa ensuite sa main sur son sexe, un beau vit qui pulsait entre ses doigts sous l’effet du désir, un désir fort, sa queue n’étant qu’à quelques centimètres de son cul, de cette porte intime, petite et étroite, qu’il était si bon de défoncer.
Et elle l’enfonça en elle, administrant alors une grosse claque sur le cul de l’elfe.
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Arillé n’avait remarqué la présence de Mélinda que lorsque celle-ci se mit à genou et lui lécha le visage. L’elfe avant le souffle fort et saccadé, la langue légèrement blanche à cause du sperme qui goutait depuis son nez. Les cheveux ébouriffé, et maintenue par la main de Tyrie, elle faisait peine à voir ; de ses airs hautains et précieuse de princesse, elle était devenue la reine des putes, et elle aimait ça.
« Qu’est-ce que tu es sale, Arillé...Une incorrigible pute qui ne demande qu’à se faire baiser la gueule et défoncer tout le corps... »
Arillé ne disait rien, reprenant peu à peu son souffle, le regard perdu dans le décolleté de Melinda. Une douzaine de coups de langue crémeux plus tard, Mélinda se redressa, et ordonna à Lua de finir de la nettoyer. Lua avait été particulièrement excitée par ce spectacle et le faisait ressentir à Arillé en passant sensuellement sa langue sur son visage. Les deux femmes échangèrent ensuite un baisé crémeux, partageant le foutre de Tyrie. Théoriquement, Lua n’était pas une esclave, comme aucune des autres gardes du corps d’Arillé. Toutes adoraient leur princesse, et étaient rémunérées pour ce travail. Certaines comme Tyrie, étaient des esclaves affranchies, d’autres n’avaient jamais eu de collier autour du cou. Lua, elle, est née pour servir Arillé, effectuant la tâche « d’amie », puis de servante, de garde du corps, et de favorite. Qu’Arillé couche avec ses gardes du corps n’était pas réellement un secret, cette dernière s’amusait à les martyriser de temps en temps dans le palais. En revanche, que la princesse soit une masochiste adoratrice de l’humiliation, c’était une chose que peu de personne savait.
Alors que Mélinda rodait autour des deux soumises, Arillé tenait entre ses doigts le collier s’y accrochant pour embrasser tendrement Lua. La princesse fut interrompue quand la cravache de la vampire fendit l’air pour mordre les fesses d’Arillé, lui arrachant un cri de surprise mêlé de douleur et de plaisir. Les coups tombaient régulièrement, irradiant les fesses d’Arillé de chaleur, la faisant mouiller comme la salope qu’elle a toujours été. Il faut dire que Lua nettoyait les restes de foutres qui se trouvaient sur sa poitrine, lui procurant un plaisir incroyable.
Puis les coups cessèrent. Arillé, elle continuait de remuer ses fesses, comme si elle invitait Mélinda à continuer. A la place Mélinda passait sa langue au niveau de son fondement. Bien que perverse, Arillé n’avait jamais vraiment expérimenté ce genre de pratiques, et pour le coup elle adorait. La cyprine coulait entre ses cuisses transformant son sexe en une cascade miniature. La salope elfique gémissait et ne cachait pas son plaisir. Et d’un coup, les deux se relevèrent, laissant Arillé à quatre pattes. Pendant ce temps, Tyrie, elle ne s’était pas privée pour masturber son vit.
« Bien... Comme nous avons une esclave de marque, mes chéries, il faut s’occuper d’elle. Lua ? Tu vas te glisser sous ses jambes, et lécher son intimité... Tu es douée avec ta langue, alors un petit cunni’ ne pourra pas te faire pas de mal. Toi, Tyrie, puisque tu aimes le visage de cette salope, tu vas lui baiser la gueule... Moi, je vais finir le travail entamé sur son cul.
- Merci maîtresse. » Souffla Arillé tout en se redressant pour que tout le monde puisse se servir.
La brune aux longues canines n’arracha pas de cris de la part d’Arillé. Ou plutôt, oui, mais ceux-ci rencontrèrent la queue de Tyrie qui violait littéralement la bouche royale, enchainant gorges profondes sur gorges, s’amusant à étouffer Arillé de temps en temps, la tenant par les cheveux, faisant couler quelques larmes noircie par le maquillage sur ses joues.
« Gah-Humf ! Arrrh… Kof ! Mmmffff ! »
Ca, plus la langue experte de Lua, plus les divins coups de butoirs que lui administrait la maîtresse des lieux, il ne fallut pas attendre longtemps pour arracher le premier orgasme d’Arillé, qui humidifia le visage de Lua. Mélinda ne s’était pas trompé, si Arillé n’était pas une princesse, elle serait certainement la reine des putes.
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Aussi belle que perverse, Arillé était en train de prouver à Mélinda que les clichés et les stéréotypes sur les elfes étaient tous exagérés, et que, s’ils étaient du genre hautains et calmes, ils n’avaient potentiellement rien contre l’idée de se faire sauvagement baiser. Mélinda dirigeait ici un beau groupe, puisqu’il y avait quatre personnes, dont une était plus importante que les deux autres femmes : Arillé. La vampire se devait de la contenter au mieux, et c’était pour ça qu’elle faisait d’elle le pilier de l’attention des trois femmes. Lua finit entre les cuisses d’Arillé, et Tyrie, sans attendre guère longtemps, opta pour une fellation intense, enfonçant sa queue dans la bouche de la femme, et entreprit de la remuer ardemment, multipliant les gorges profondes, enfonçant son sexe si loin dans sa bouche que les lèvres d’Arillé pouvaient effleurer ses poils pubiens. Ce spectacle était en soi magnifique, et excita énormément la vampire. Outre la beauté physique et perverse de l’acte, l’adrénaline flamboyante des trois femmes accélérait leur circulation sanguine, ce qui était comme la cerise sur le gâteau. Tout excitait Mélinda ici, et elle enfonça sa verge sans problème dans les fesses de la Princesse elfique, ce qui fut d’autant plus facile que Tyrie avait déjà dilaté ses parois anales, rendant la pénétration plus facile.
« Haa ! »
La grosse claque initiale qu’elle avait donné se retrouva rejointe par plusieurs sœurs, de belles gifles qui résonnaient dans la chambre. Au milieu de l’attention des trois, le corps d’Arillé remuait de gauche à droite, pénétrée par Tyrie et par Mélinda. La verge de la vampire s’enfonçait dans l’arrière de son corps, d’avant en arrière, dans le même mouvement cadencé et rythmé, de plus en plus fort. Les mains de la vampire s’appuyaient sur les hanches de la femme, dont les gémissements étouffés par la queue de Tyrie étaient exquis. Oh oui, défoncer ce petit bout de femme était magnifique ! Mélinda n’avait clairement pas menti en disant qu’Arillé lui rappelait Alice. Comme elle, elle semblait avoir cette double facette : le visage public, serein et calme, posé et tempéré d’un côté, et le visage privé de l’autre, où toutes ses frustrations se déchaînaient dans un océan de perversion, une véritable tornade du cul.
Arillé était dans cette position. À quatre pattes, elle était en train de se faire tringler d’un bout à l’autre de son corps, un corps qui était un appel à la débauche et à la dépravation. Pour le coup, Mélinda avait bien de la chance que toutes les princesses de son entourage soient issues de contes de fées. La belle chevelure blonde d’Arillé se couplait avec un corps aux formes anguleuses, des hanches souples, des fesses bien rebondies, et une poitrine avenante. Une femme au corps parfait, tout simplement. Défoncer son petit cul était un vrai bonheur, et Mélinda n’y allait pas par le dos de la cuiller, s’enfonçant en elle, donnant de grands coups de butoir, avant de revenir en arrière, puis de s’enfoncer à nouveau, gémissant et soupirant. Tout comme l’elfe, la vampire mouillait aussi, ses mains pinçant ses fesses, glissant sur sa chair, la claquant ensuite à nouveau.
« Hmmm... Arillé, haaaann !! » soupirait-elle.
Elle basculait sa tête en arrière lorsqu’elle sentait le plaisir éclater en elle, électrifiant son corps. Les minutes se diluaient rapidement, au fur et à mesure que les vits s’enfonçaient dans son corps, tourbillonnant dans son corps. Sa mouille était en train de tâcher le sol, et Mélinda finit par jouir en elle. Tout au long de cette sodomie, elle devenait de plus en plus agressive, de plus en plus violente et sauvage, comme si, en un sens, le fait de coucher avec cette femme canalisait sa rage, comme si cette sodomie, le fait de sentir sa queue souffrir et rougir dans ce canal étroit, la rendait plus violente.
« Hummmrrrpfff... Salope, haaaann !! Petite… Petite pute, haaannn !! Haaaannnn !! Salope, salope, saloope !! »
*PAF ! PAF ! PAF * pouvait-on entendre à chaque fois que Mélinda claquait ses fesses, ses mains devenant de plus en plus lourdes. Elle en avait mal à ses jointures, ses doigts sifflant, et c’est dans ces circonstances que son orgasme finit par arriver. Elle sentit une vague remonter des entrailles de son corps, filant dans son sexe, puis partant dans sa verge, comme si sa queue était un pistolet venant de se décharger en elle, s’enfouissant dans ses fesses.
*PAF ! PAF ! PAF * pouvait-on encore percevoir juste avant l’orgasme. Son ultime claque se termina comme un point final à son récital, ses ongles s’enfonçant dans sa chair, continuant à la meurtrir, et elle éjacula, balança des litres de foutre en elle, soupirant en fermant les yeux, son corps se transcendant, s’envolant au loin dans un océan de plaisir et de félicité.
« Ooooooh... »
Soupir de joie après cet orgasme. Sa verge baignait dans son sperme. Comme souvent, Mélinda avait joui généreusement, balançant =de nombreuses giclées de sa semence inféconde, et elle resta dans le cul d’Arillé encore un peu, flattant ensuite ses fesses par de douces caresses, comme pour soulager la femme après les multiples gifles qu’elle avait reçu.
Ça, pour le coup, on pouvait dire que Mélinda avait totalement violé le caractère sacré de la fonction princière... Mais elle commençait à y être habituée. Dans sa tête, elle était en train de s’imagine rAlice et Arillé, à quatre pattes devant elle, avec des laisses et des colliers autour du cou.
Miam ! Délicieux fantasme.
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Comment Mélinda pouvait elle défoncer son cul avec autant de vigueur ? Elle avait beau être une vampire coincée dans un corps d’adolescente (qui au passage était particulièrement séduisant, voir magnifique) on pouvait facilement croire qu’elle était une athlète soviétique, triple championne olympique de lancer de poids. Si Terra avait des récompenses pornographiques, le prix Mélinda Warren récompenserait sans doutes les meilleures sodomies. Enchaînant coups de reins et coups de mains, elle semblait être véritablement celle qui menait la dance. Tyrie, bien qu’y mettant tout son cœur et tout son corps à défoncer la bouche d’Arillé faisait tout de même pale figure, même en tirant la chevelure dorée d’Arillé ou en l’étouffant avec sa queue, faisant s’écraser le nez d’Arillé contre les petits poils pubiens de Tyrie qui commençaient à repousser. Arillé aimait quand ses « amies » étaient imberbe, et il était certain qu’une fois ce passage au harem terminé, elle forcerait Tyrie à se raser… Après l’avoir puni de s’être montrée aussi entreprenante. Lua, comme Arillé étaient les deux exceptions, arborant fièrement un petit duvet ras, une mode terrienne connue sous le nom de « Ticket de métro ».
Et comme pour faire une antithèse à ce déchaînement de queues glissant dans les orifices de la princesse, Lua se montrait très douce. Habituellement, elle s’occupait de jouer les maîtresses sadiques avec Arillé, mais cette fois elle se contentait de passer tendrement sa langue sur le sexe humide de la princesse, faufilant sa langue contre les parois vaginales qui s’échappaient à force de subir les assauts de Mélinda. Tout en vénérant l’entrejambe d’Arillé, Lua avait glissé une main entre ses cuisses pour se masturber, après tout pourquoi serait-elle la seule à ne pas prendre de plaisir ?
Arillé avait le cul en feu, et les gifles de Mélinda lui arrachait des petits cri étouffé par la salive qui coulait de sa bouche. A chaque coup, elle tentait d’échapper à la main acérée de Mélinda. Elle se surprit elle-même à pleurer, de douleur, mais aussi de plaisir, faisant couler sur ses joues son maquillage noir ; ce qui excitait d’avantage Tyrie. Il était difficile de savoir ce que ressentait Arillé, entre ses soupires étouffés, ses gémissements, ses petits cris d’excitation, et ses pleurs, tout cela embrumait l’esprit d’Arillé qui savait qu’elle prenait de plus en plus son pied à se faire défoncer.
« Hmmm... Arillé, haaaann !! »
Voilà qu’elle pinçait les fesses d’Arillé. Sans même se concerter, Lua eu la même idée, arrêtant de jouer avec sa langue pour agripper les seins d’Arillé qui ballotaient au rythme de la sodomie. Pinçant ses tétons, elle n’avait aucun effort à faire, si ce n’est tenir cette position. Mélinda envoyait d’avant en arrière la poitrine ornée de l’elfe à la seule force de ses reins.
Arillé sentait que Mélinda était proche de l’orgasme, ses insultes étaient beaucoup plus bestiales et moins recherché, Tyrie, soufflant comme un bœuf n’était non plus pas loin de balancer son foutre une deuxième fois. Un récital de gifles se fit entendre sur les fesses endolories d’Arillé. En entendant cette « mélodie », Tyrie lâcha sa prise pour poser ses mains sur la gorge et éjacula dans la bouche d’Arillé dans une râle de plaisir, voulant conforter sa position de dominante sur Arillé et Lua. On dit que s’étrangler pendant l’orgasme décuplait le plaisir, et sentir Mélinda remplir son cul de semence procura à Arillé un orgasme intense, souillant le visage de Lua. Pendant un court instant, elle s’imagina être esclave, et être traitée quotidiennement ainsi. Elle qui d’ordinaire agissait comme une véritable princesse, se montrant de temps en temps précieuse ne semblait pas plus dérangée que ça de devenir un sac à foutre en lingerie fine dégoulinant de sueur. Tyrie relâcha sa prise et s’accroupit face à Arillé.
« Avale sac à foutre, n’en perd surtout pas une goutte. » et pour accentuer son côté bestiale, elle passa lentement sa langue sur la joue d’Arillé. Puis elle porta son regard vers Lua, qui s’était doucement décalée pour éviter de recevoir les coulées de sperme qui dégoulinaient hors du cul d’Arillé
« Et bien, et bien! Je vois que tu as pris ton pied comme la chienne que tu es, Arillé. Pauvre Lua, on dirait qu’elle sort à peine de son bain… »
Lua ne répondit pas, occupée à nettoyer ses doigts, les suçant un à un en fermant les yeux. Même si elle n’avait pas jouie, elle semblait savourer cet instant. Pendant ce temps, Arillé avala le sperme de Tyrie, se forçant un peu, elle n’avait jamais été adepte de cette pratique, préférant se faire éclabousser. Son cul lui faisait atrocement mal ; cela va être compliqué de s’assoir pendant quelques jours, mais qu’est-ce que c’était bon !
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Ce fut une osmose conjointe entre Mélinda et Tyrie, les deux femmes se déversant à peu près en même temps dans le corps de la Princesse elfique. La vampire avait plutôt été bonne sur cette sodomie-là... Comme quoi, il fallait croire qu’enculer les Princesses galvanisait son excitation et son propre plaisir. Elle ne l’avait pas loupé, et elle caressait tendrement ses fesses après avoir largué son foutre en elle, conservant son chibre en elle, juste le temps que Tyrie s’abandonne à son tour. L’esclave d’Arillé (elle n’en était techniquement pas une, mais Mélinda l’ignorait) s’était complètement lâchée en elle, rappelant à Mélinda ces quelques fois où, ayant envie de se faire soumettre, elle demandait à certains de ses esclaves de la traiter comme une pute. En somme, elle comprenait tout à fait le besoin compulsif que certaines personnes puissantes pouvaient ressentir de se faire soumettre, d’éprouver ce qu’ils infligeaient périodiquement à leurs partenaires et amants. Elle finit par retirer sa verge en soupirant, et un peu de foutre ne tarda pas à dégouliner des fesses de la Princesse. Le sexe de Mélinda était sale, avec des tâches de sperme collés dessus, et, quand Tyrie en eut fini, elle appela Arillé.
« Regarde dans quel état tu as mis la queue de ta Maîtresse, petite salope... Viens nettoyer ! »
Arillé restait toujours à quatre pattes, et, tandis qu’elle s’appliquait, Mélinda réfléchit à la suite des évènements. Elle ne pouvait pas non plus passer la journée à maltraiter le cul d’Arillé. Elle l’avait giflé, pincé, et défoncé, et elle se doutait bien que, maintenant, la petite Princesse aurait besoin d’un traitement un peu plus soft. Mélinda reprenait son souffle pendant cette petite fellation improvisée, sa main venant distraitement caresser les beaux cheveux d’Arillé. La belle petite elfe n’était peut-être pas habituée à un traitement pareil... Ce qui, encore une fois, tenait à la rapprocher d’Alice, et à continuer à faire naître dans l’imagination débridée de Mélinda ce fantasme de les voir toutes les deux à quatre pattes devant elle, avec un collier autour du cou... Un fantasme si fort qu’elle sentit sa queue vibrer et se durcir un peu.
« Hum... Ça ira, ma petite Arillé... »
Mélinda cligna des yeux, et alla récupérer un chiffon, puis s’agenouilla à hauteur de la jeune femme, et entreprit, avec un sourire sur les lèvres, de nettoyer ses joues des traces de maquillage. La pauvre petite avait pleuré... Ce qui ne faisait que durcir encore un peu la queue de Mélinda, qui se dit alors qu’Arillé n’avait pas encore eu droit à un bon petit coït qui aurait pu la faire jouir... Elle avait du foutre plein la bouche et le cul, mais aucune goutte sur son vagin princier !
Mélinda lui sourit alors, tendrement, et l’embrassa sur les lèvres.
« Bien, Majesté... Défoncer votre cul est magnifique, mais j’ai peur que, si je continue, vous ne puissiez plus vous asseoir sur quoi que ce soit... Et, maintenant que j’y pense, sentir simplement une langue dans votre vagin n’était peut-être pas digne de la salope royale que vous êtes... »
Elle parlait calmement, sur un ton doux et sensuel, ses beaux yeux verts brillant de malice et de confiance.
« Allonge-toi sur le lit, Arillé, et je vais venir te faire l’amour... Ensuite, je te donnerais tes nouveaux habits. D’accord, ma petite pute ? »
Elle prononça cette question sur le même ton que le reste de son assertion, comme s’il semblait tout à fait naturel de traiter Arillé de « petite pute ». Ah, qu’est-ce qu’elle pouvait aimer ça, la petite Mélinda !
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Arillé était en train de reprendre doucement son souffle quand Mélinda l’appela. La princesse ressemblait à une petite chatte docile, et essoufflée. En effet, elle léchait le dos de sa main, comme pour se débarrasser de l’arrière-gout du « cadeau » de Tyrie. Mélinda voulait donc une petite fellation pour nettoyer son sexe ? D’accord. Arillé posa délicatement ses mains contre les cuisses de Mélinda et passa lentement sa langue sur sa queue. Ses petits coups de langue avaient quelque chose de félin, ce qui allait particulièrement bien avec le rôle dans lequel elle entrait peu à peu. Cet instant ressemblait à une pièce de théâtre improvisée et sans le moindre public. Dommage, car Arillé été rentrée dans son rôle d’esclave docile, et interprétait ce rôle à la perfection.
Distraitement, la main de Mélinda se perdit dans la chevelure de l’elfe, flattant son cuir chevelu comme l’on ferait d’un animal de compagnie. Ce traitement inattendu fit plaisir à Arillé qui donna un peu plus d’entrain à nettoyer le sexe de Mélinda. Elle le prit doucement en bouche, s’imaginant quelques instants remplacer Tatiana qui se trouvait sous le bureau de la belle vampire. Après quelques instants à rêver, Mélinda la remercia, et Arillé s’assis sur ses genoux, les jambes légèrement écartés et les mains dans son dos. Une position classique dans l’éducation des esclaves, désignant leur soumission et le fait qu’elles sont prêtes à servir de jouet sexuel. Car oui, Arillé s’attendait surtout à se faire encore une fois retourner et se faire tringler dans tous les sens. A la place, Mélinda nettoya délicatement les joues. Elle baissa poliment les yeux, rougissant légèrement en souriant et s’exprima simplement par un :
« Merci Maîtresse. » Un timide remerciement qui s’enchaina par un tendre baiser.
« Bien, Majesté... Défoncer votre cul est magnifique, mais j’ai peur que, si je continue, vous ne puissiez plus vous asseoir sur quoi que ce soit... Et, maintenant que j’y pense, sentir simplement une langue dans votre vagin n’était peut-être pas digne de la salope royale que vous êtes... Allonge-toi sur le lit, Arillé, et je vais venir te faire l’amour... Ensuite, je te donnerais tes nouveaux habits. D’accord, ma petite pute ?
- Oui maîtresse adorée !»
Plein d’entrain, presque joyeuse, elle se releva en enfant venant de passer un marché avec un de ses parents. Elle s’allongea avec précipitation sur le lit, position étoile de mer, s’abandonnant ainsi à Mélinda, lui laissant le plaisir de disposer à loisir de son corps, comme une véritable « petite pute ». Elle regarda Mélinda approcher d’elle en mordillant sa lèvre inférieur, impatiente de partager cet instant charnel.
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Les Princesses étaient de jeunes esclaves fragiles qui avaient toujours tendance à se surestimer, par ardeur et par entrain, quand elles étaient appelées à satisfaire leurs fantasmes inavouables... Et Mélinda ne voulait pas qu’Arillé finisse dans les pommes, ou ne finisse par demander grâce. Son cul avait suffisamment été maltraité comme ça... Pour l’heure. Et puis, il fallait bien être complet. La belle n’avait pas encore été pénétrée dans tous ses trous. Néanmoins, Mélinda avait apprécié de la voir en position de soumise, jambes écartées, mains dans le dos, comme pour l’attacher. C’était un appel silencieux à se faire violer et à finir au cœur d’une tournante... Qui sait, peut-être bien que Mélinda pourrait, par la suite, accomplir ce fantasme... Il fallait être généreux avec ses invitées, après tout.
Arillé se retrouva étalée sur le lit en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, bras et jambes écartés. Délicieusement nue, délicieusement belle, délicieusement attirante, délicieusement perverse. Tout son corps semblait transpirer d’une espèce de joie enfantine à l’idée de se faire baiser par sa Maîtresse, ce qui amena Mélinda à se dire que l’elfe avait parfaitement assimilé son rôle d’esclave. En s’approchant, Mélinda la vit se mordiller la lèvre inférieure, un geste qu’elle avait toujours interprété comme un appel au sexe sauvage et débridé. Ses tendres mains allèrent caresser les jambes d’Arillé, ses ongles pointus filant le long de sa peau. Mélinda sourit lentement en regardant la Princesse elfique, et s’avança un peu. Sa verge avait retrouvé sa raideur, et ses yeux la dévoraient. Elle était d’une beauté magnifique, sur tout son corps. Mélinda était sous le charme de cette beauté, et l’idée de continuer à la baiser était tout simplement magnifique. Y avait-il quelque chose de plus beau que ça, que ce spectacle ? Celui d’une délicieuse femme allongée sur votre lit, n’attendant que votre présence ?
Mélinda remonta lentement le long du lit, se dressant au-dessus d’Arillé, ses mains venant se poser sur ses épaules. Sa verge frottait contre son corps, leurs seins se heurtèrent, se caressant délicatement, plusieurs de ses mèches de cheveux tombèrent en avant, et ses lèvres s’approchèrent de celles d’Arillé. Sa main se déplaça pour caresser sa joue, et elle l’embrassa tendrement, plaquant ses lèvres contre les siennes, soupirant de plaisir en retrouvant ce contact onctueux.
« Hmmmm... » soupira-t-elle de plaisir.
Elle fourra sa langue dans la bouche de la femme, de sa belle et magnifique esclave. Mélinda l’embrassa assez longuement, et, tout en poursuivant son baiser, ses mains remontèrent le long de ses bras, pour se joindre aux mains d’Arillé, ses doigts venant l’enlacer fermement. Sa langue s’enfonçait en elle, caressant celle d’Arillé, jouant avec elle, s’enfonçant dans l’intimité de l’elfe, comme une simulation de ce que sa verge tendue comptait ensuite lui faire. Le plaisir éclatait dans son corps, de plus en plus fort, de plus en plus vertigineux. Elle termina de l’embrasser, et releva lentement son visage, sa langue venant tout de même terminer ce mouvement en caressant ses belles lèvres.
« Maintenant, je vais te baiser, Arillé... Et, pour que mes deux autres esclaves ne s’ennuient pas, je vais leur donner de quoi s’occuper... »
Mélinda avait sorti cette phrase à voix basse, et elle se tourna vers Lua et Tyrie, et donna des instructions supplémentaires :
« Vous allez vous asseoir à droite et à gauche de nous deux, et, pendant que je baiserais votre Princesse, vous allez vous occuper de mon corps... Embrassez-moi, caressez-moi, giflez mes fesses, montrez à votre Maîtresse combien vous l’aimez ! »
Il fallait bien s’occuper aussi d’elles, après tout. Mélinda attrapa sa verge avec l’une de ses mains. Joignant le geste à la parole, et sans attendre plus longtemps, elle enfonça son sexe dans le sien, sa queue venant glisser sans problème dans ce vagin lubrifié et assoiffé.
« Haaannn !! » gémit-elle.
Oh, si c’était bon ! S’enfoncer dans un vagin, s’enfoncer dans le corps d’une femme aussi belle... Mélinda poussa un long soupir de plaisir, et ses deux mains allèrent s’appuyer sur les épaules de la femme, ses ongles s’enfonçant un peu dans sa peau, et elle commença à remuer contre elle, d’avant en arrière, sa verge filant le long de ce trou généreusement offert, répétant l’inaltérable danse du sexe en deux temps, aussi vieille que bonne.
C’était parti pour un nouveau tour de rodéo !
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Et c’était reparti pour une nouvelle séance de « cueillette de fraises », cette fois ci beaucoup plus classique et moins éprouvante que les dernières ; au moins Arillé allait pouvoir apprécier un moment tout en se reposant légèrement. Si la nuit ne faisait que de commencer, la princesse était déjà bien épuisée de la demi-heure qui venait de s’écouler.
Mélinda n’eut aucun mal à pénétrer Arillé, tant elle était trempée. La vampire n’avait aucun mal à la faire soupirer ou gémir de plaisir. Une simple caresse sur la joue lui donnait un délicieux frisson d’excitation, alors sentir la queue ironiquement puissante et virile d’une vampire à l’apparence frêle et féminine la faisait couiner comme une salope.
« Haaaaann ! Han oui ! Vas-yyyyy ! Haaaaaaaaaaan… Baisez-moi maî- Haan! Tresse ! » poussait Arillé entre deux coups de reins.
Pendant ce temps, Tyrie et Lua s’occupaient de Mélinda. La plus soumise des deux s’étaient positionnée derrière Mélinda, la tête enfouit entre ses fesses, lui procurent un habile et délicieux anulingus dont les coups de langue débordaient aisément sur le sexe détrempé de Mélinda. Pendant ce temps, Tyrie s’amusait à donner la fessée à la propriétaire des lieux, comme pour l’encourager à mieux baiser le divin corps d’Arillé. Elle avait cependant une idée derrière la tête, et attendait le bon moment pour mettre son plan à exécution, ne sachant pas si cela allait lui attirer les faveurs de Maîtresse Mélinda ou la mener droit à une punition pour avoir désobéit. Peu importe, pensa-t-elle, je vais le faire !
Tyrie poussa Lua qui s’étala, avec surprise et une certaine grâce, contre le tapis de la pièce et pris sa place derrière le couple fornicateur.
« J’ai bien envie de me joindre à votre fête, Lua, fais-moi le même traitement qu’à Maîtresse Mélinda, compris, esclave ? »
Elle balança ce dernier mot comme une insulte, comme si Lua lui était inférieur. Tyrie prit en main sa queue et la glissa dans la rondelle humide de Mélinda dans un lourd soupire, essayant de progressivement rejoindre la cadence de la vampire. Pendant cette levrette, Tyrie ne se priva pas de continuer à fesser le cul légèrement rouge de la vampire, les mains posées contre ses hanches.
Lua, elle, avait docilement repris sa place derrière la mutine et gobait en partie son service trois pièces, et caressait comme elle pouvait son corps.
Arillé, elle, n’avait aucune idée de ce qui venait de se passer. Elle poussait des cris de plaisir et cherchait à embrasser Mélinda. Elle s’imagina un bref instant ce que ça vie aurait pu être si elle était née esclave au service du harem Warren. Etre peut-être une des esclaves favorites de la vampire et avoir quotidiennement le privilège de se faire défoncer par Maîtresse Mélinda comme la pire des trainées, ou par d’autres esclaves, uniquement dans le but de la divertir, subissant de nombreuses humiliations pour le bon plaisir de Mélinda.
Bien que princesse, cette idée lui faisait délicieusement envie et aurait été prête à avoir cette possibilité pour ne serait-ce 24 heures. Ne plus être la princesse Arillé de la maison Lystanill mais juste « Arillé, esclave masochiste et sac à foutre personnelle de Mélinda Warren ».
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Mélinda pénétrait cette belle Princesse, et le faisait sans aucune difficulté. Son corps remuait contre elle, sa verge s’enfonçant dans son trou. Elle soupirait et haletait de plaisir, tout en sentant les belles esclaves de la Princesse elfique s’occuper de son postérieur... Exactement comme la vampire l’avait supposé. Guère humble, elle admettait volontiers être d’une beauté magnifique, et que, parmi toutes les parties de son corps merveilleux, il y avait ses fesses. Un magnifique petit cul, que Tyrie et Lua s’activèrent à satisfaire, l’une des deux venant lécher son anus, écartant ses fesses pour atteindre sa croupe, l’autre venant caresser son cul, le fessant rapidement, faisant gémir la vampire.
Sa verge s’enfonçait dans le corps d’Arillé, pénétration d’autant plus facile que sa moule était très dilatée. Le vit de la vampire remuait d’avant en arrière, son corps heurtant le sien, leurs chairs venant se claquer ensemble, les lèvres de la vampire se posant sur celles d’Arillé. Tout était fait ici pour l’exciter, et l’une de ses mains caressait ses épaules, la griffant légèrement, l’autre enfouie dans la longue chevelure de la femme. Elle l’embrassait passionnément, mordillant ses lèvres, enfonçant sa langue dans sa bouche, sentant les deux esclaves continuer à s’activer sur ses fesses.
« Haaannn... !! »
Mélinda aimait énormément qu’on s’occupe de ses fesses, qui était comme une sorte de victoire contre l’ancienne Mélinda qu’elle était, cette jeune humaine terrorisée par le sexe, humiliée et brisée... Les choses évoluèrent assez rapidement quand l’une des deux esclaves poussa l’autre, et qu’elle sentit pointer, contre sa croupe, quelque chose d’infiniment plus gros et plus épais qu’une langue. Une verge se heurtait à son corps, et elle soupira, poussant un long soupir en sentant cette queue s’enfoncer en elle, lui offrant une secousse de plaisir et de douleur. La vampire grogna en se tortillant contre le corps d’Arillé. Une vive douleur poussait dans son corps, remuant violemment. C’était bien pour ça qu’elle aimait tant les sodomies : c’était tellement intense !
Son corps se mit rapidement à remuer en harmonisation avec les coups de trique de Tyrie. La vampire poussait des cris de plaisir, sa verge venant encore à se durcir et à s’accroître, tapant dans les tréfonds du vagin de la Princesse, enfonçant son clitoris, malmenant son corps. Tout ça était tellement beau, tellement délicieux... Coucher avec des femmes était un plaisir très différent des hommes, mieux sur bien des aspects. Elle se frottait contre ce corps tendre et chaud, sans jamais cesser de la pénétrer. Il lui était de fait d’autant plus difficile de se retenir que, avec son cul ouvert, offert à cette esclave intrépide, elle remuait encore plus, sachant très bien que, dans ce domaine, l’inaction était la pire des choses à faire. Mélinda devait donc remuer rapidement, et le faisait sans hésitation.
« Haaaaaaaaaaaaannn-Ouuuuiii !! Huuummm... Défonce-moi, haaaa !! »
La vampire haletait et gémissait en même temps, ses ongles s’enfonçant dans la chair de l’elfe face à elle. Oh, qu’elle était belle ! Mélinda l’adorait, et elle l’embrassa à nouveau, plaquant lourdement ses lèvres contre elle en fermant les yeux, ses joues rouges, son corps transformé en une chaudière sous l’effet de ce double plaisir.
C’était tellement agréable ! Mélinda ne s’arrêtait pas dans ses gestes, déplaçant sa main de l’épaule d’Arillé pour empoigner son sein, le pinçant à hauteur du téton, le pressant, tout en restant collée contre elle, savourant ce moment.
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Arillé subissait maintenant un assaut renforcé, puisque Tyrie s’enfonçait en Mélinda au même rythme que cette dernière baisait la princesse. Le corps gracieux d’Arillé s’enfonçait maintenant dans le matelas moelleux de plusieurs centimètres. Elle sentait la queue de Mélinda glisser en elle avec puissance et sans aucun ménagement, faisant balloter ses seins à chaque coup de bite. Arillé sentit les doigts fins de Mélinda agripper l’un de ses seins, au téton. Ceux-ci étaient tous deux ornés d’un barbell en argent.
Oui, si Arillé aimait une partie de son corps, c’était sa poitrine. Elle prenait un grand soin à la mettre en valeur, et avait adopté une mode de sa cour, celle de décorer le bout de ses seins de divers bijoux, la mode d’Akhefyn était de porter des hauts avec des tissus presque transparent, sans que cela est une quelconque connotation érotique ou sexuelle, avec un autre vêtement plus opaque.
Pour le moment, l’esprit d’Arillé n’était pas de parler chiffon, mais plus de prendre son pied, dans ce délicieux mélange de plaisir et de douleur. L’elfe se redressa légèrement pour échanger un baiser avec la vampire, un fougueux et passionné baiser comme elle en avait rarement donné, se permettant même de passer sa main dans les cheveux bouclés de Mélinda afin d’avoir un appuie plus stable. Bien qu’aillant la bouche occupé, la princesse ne se privait pas pour gémir ou pousser des petits cris étouffés.
Derrière Tyrie s’amusait toujours à explorer le fondement vampirique qu’explorait sa verge. Elle venait de recommencer à donner la fessée. Ses coups étaient crescendo avec le plaisir qu’elle éprouvait. Après quelques minutes, Tyrie se coucha sur le dos de Mélinda, posant ses mains sur les épaules de la vampire. Elle enfouit sa tête dans son cou, pour lui faire un suçon, se comportant comme une lycéenne découvrant le sexe.
« Oh ouiiiiii ! Tu la sens ma queue ? Haaaan ! Vi- Mmmh - cieuse !»
Tyrie, tout comme Arillé, était proche de l’orgasme, cela s’entendait à leur façon de soupirer et de gémir. Et pendant ce temps, Lua, elle, s’ennuyait, et commençait même à jalouser le trio de se retrouver à uniquement procurer du plaisir à Tyrie sans recevoir une once d’attention.
Heureusement pour elle, cela risquait de bientôt changer, car sans crier garde, mais plutôt en hurlant à s’en déchirer le thorax, Tyrie venait de repeindre les intestins de Mélinda d’un liquide crémeux. Une fois son souffle repris, elle se retira du cul de Mélinda et fit nettoyer son sexe, telle une conquérante voulant humilier une vaincue jusqu’au bout. Il ne restait plus qu’a lui ordonner de lécher ses pieds, pour que le tableau soit complet.
Ce fut au tour d’Arillé de se raidir. Elle tendit ses jambes d’un coup avant de les serrer autour de Mélinda, l’embrassant pendant qu’elle était prise d’un orgasme impressionnant. Un charabia mélangé en plusieurs langues sortit de la bouche d’Arillé à ce moment-là, remuant son bassin pour accompagner Mélinda et l’inviter à continuer de la baiser dans cet état. Pas de doute, elle venait de prendre son pied, et cette nuit resterait gravée dans sa mémoire.
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Les choses sérieuses se poursuivaient. Mélinda et Arillé étaient parties pour un long baiser, et il était alors tout à fait exact de dire que la vampire savourait totalement cette séance. Arillé était une beauté terrifiante, conforme à tout ce qu’on disait sur les elfes, sur leurs formes anguleuses et parfaites. Un corps tout en courbe, une peau douce comme celle d’un nouveau-né... Et des lèvres magnifiques. Mélinda enfonçait avec délectation sa langue dans sa bouche, la remuant avec la sienne, une main sur ses cheveux. Les deux femmes s’enlaçaient, se collant l’une à l’autre, la vampire sentant des frissons traverser son corps quand elle sentit les tendres mains de l’elfe se poser sur ses cheveux, s’appuyant dessus. La vampire soupira de plaisir, et mordilla la lèvre inférieure d’Arillé, avant d’hoqueter en sentant Tyrie se déplacer, s’étalant sur elle.
Le trio formait une drôle de scène, et la pauvre Arillé se retrouvait cette fois-ci complètement aplatie, le corps de son esclave venant s’ajouter à celui de la vampire, leurs vits reliés ensemble dans une curieuse chaîne. Prise entre les deux, Mélinda était au comble du bonheur, rompant son baiser pour gémir, le reprenant ensuite. Ses doigts tremblaient sur les seins d’Arillé, une main sur ses cheveux, et l’autre sur l’un de ses seins, titillant son téton, son pouce glissant sur son piercing, puis caressant ce mont de chair potelée. Tyrie, elle, continua à remuer son sexe, et Mélinda gémissait, avant d’entendre Tyrie parler dans le creux de son oreille, la narguant, embrassant son cou, tout en continuant à enfoncer sa queue en elle, le plus loin possible.
« HUUUUUUUUUUUUUUUUUUUNNNN !! »
La vampire gémissait, se tortillant entre les deux femmes qui étaient en train de la prendre. Sa verge remuait presque toute seule, sous les mouvements de Tyrie. Vu la manière dont la vampire était écrasée, Mélinda ne pouvait en effet guère faire grand-chose, mais, au moins, son sexe était au bon endroit. Sa chair claquait contre celle d’Arillé, et le lit craquait délicieusement. Aucun risque de ce côté-là : le matelas était ferme, et le sommier résistant, prévu pour ce genre d’ébats. Mélinda n’achetait que de la bonne qualité, et elle gémissait, entrecoupant ses baisers de soupirs, son nez venant heurter celui d’Arillé. Les trois femmes étaient empêtrées dans une espèce de danse corporelle intense et sans réelle chorégraphie, comme si le disque qui leur servait de support sonore venait de s’enrayer, et qu’elles essayaient vainement d’en suivre les folles notes. Mélinda gémissait faiblement, ses griffes jaillissant parfois sous l’effet du plaisir. La verge de Tyrie s’enfonçait loin, déformant son cul, répandant dans son corps des vagues incessantes de douleur mélangées à du plaisir.
Les minutes se diluaient rapidement, et la partition atteignit l’ultime point d’orgue. Tyrie fut la première à se vider, et Mélinda hoqueta en sentant ses fesses se remplir, filant le long de son intestin pour se répandre dans ses entrailles. De généreuses portions de foutre, qui amenèrent Mélinda à jouir dans la cyprine d’Arillé. Lorsque Tyrie se retira, Mélinda se vida généreusement en remuant contre le corps de la belle elfe, expulsant son foutre et déversant son plaisir pendant de multiples secondes.
« Haaaaa... !! »
Que c’était bon, que c’était bon! Elle s’affala contre le corps d’Arillé, se lovant contre le sien, ses mains venant caresser le beau corps en chaleur de la belle elfe, tout en sentant ses fesses frissonner. Tyrie avait défoncé son cul, et l’air venait caresser son petit popotin.
« Hummm... Tu es délicieuse, Arillé... T’avoir comme esclave est vraiment très excitant. »
Les mains de Mélinda caressaient le corps en sueur de l’elfe, et elle continuait à ronronner contre elle, se faisant très douce et câline. Ce bref interlude fut toutefois interrompu quand la Princesse elfique se mit à remuer son bassin, faisant sourire Mélinda. Elle posa sa main sur le menton de la belle, et croisa son regard avec le sien.
« Tu as encore envie que je te baise, hein... »
Ce n’était pas une question, juste une constatation. Mélinda, en souriant, approcha son visage de la bouche d’Arillé, et sortit sa langue, venant alors lécher ses lèvres pendant quelques secondes. Elle retourna ensuite poser sa main sur la base de sa verge, et pénétra à nouveau Arillé, puis recommença à remuer sur elle, en agrippant chacune de ses mains dans les siennes, les joignant mutuellement. Ses mains plaquaient ainsi celles d’Arillé contre le lit, et, désormais sans avoir l’emprise de Tyrie sur son dos, elle put remuer plus généreusement son corps.
« Haaaannnn... Haaaaannn-haaaaannn !! »
La petite elfe était insatiable... Et c’était tant mieux !
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Oh-ho… Arillé voulait juste aider Mélinda à venir en elle plus rapidement et voilà que la vampire veut faire un nouveau tour de poney. Bon, la princesse n’allait pas s’en plaindre, Arillé avait un appétit sexuelle qui aurait probablement intéressé pas mal de psychanalystes. Une nymphomane, qui en était arrivée à trouver certaines orgies ennuyantes. Attention, pas une orgie qui ne dure que quelques heures… Celles qu’organisaient Arillé dans son harem personnel pouvaient durer plusieurs jours, avec des dizaines d’invitées triées sur le volet pour des évènements précis ; généralement les anniversaires de la princesse ou autres grandes fêtes. C’est pour ça qu’Arillé s’orienta peu à peu vers d’autres pratiques plus acrobatiques et dites plus extrême, comme le bondage ou le sadomasochiste. Les drows étant majoritairement cruelles et nymphomane, il n’en fallait pas plus pour combler la princesse qui acceptait avec joie d’être humilié et fouetté devant une petite assemblée, quelques fois suspendu dans les airs. Si l’on faisait attention à la princesse Arillé, dans le sens où si elle atteignait ses limites on la laissait se reposer et récupérer, il n’était pas rare de voir des accidents lors de ces soirées à thème. On ne compte plus les esclaves qui ont fini dans les bras de la faucheuses, après tout, les esclaves ce n’étaient pas ce qui manquait à Akhefyn. Cependant afin de limiter la casse, il y avait quelques règles simples, mises en place pour limiter la casse, ou dissuader les putchs.
« - Si vous blessez grièvement un membre de la famille royale ou une des résidentes du harem royal, causant une défiguration ou autre blessure irréversible, la mort par décapitation ou sacrifice pourra être prononcé.
- Si vous tuez, volontairement ou accidentellement un membre de la famille royale ou une des résidentes du harem royal, vous, et votre famille(enfants compris) serez condamné à la peine capitale, causant immédiatement la dissolution de votre clan, qui sera réduit en esclavage et/ou servira dans les premières lignes des prochaines campagnes militaires. »
Un léger exemple des conditions générales d’utilisation, qui sont plus là pour inviter les invitées à faire attention qu’à dissuader les tentatives de coups d’états, les convives étant généralement des amies et les accidents le résultat d’un épuisement physique après avoir forniqué pendant quatre-cinq jours. Autant dire que si les esclaves de Mélinda étaient sous la « protection » d’Arillé à Akhefyn, il y aurait une forte dissuasion quant à l’idée de leur faire du mal, même accidentellement. Cependant, ces soirées sont aussi une véritable ode au plaisir charnel et les accidents des cas isolés.
Pendant qu’elle repensait à ses soirées, Arillé s’était redressée et se faisait prendre en levrette, comme une chienne, la langue pendante, et criant si fort qu’elle devait soit déranger les personnes dans les pièces à côté, soit (ce qui était plus probable) les exciter d’avantage. Une véritable chienne en chaleur. Appuyée sur la rambarde du lit, ses lobes de chair ballotaient d’avant en arrière, suivant les coups de queue de Mélinda. Même si elle prenait une fois de plus son pied, elle ne pouvait s’empêcher de penser à la tenue qu’elle allait enfin recevoir après cette séance de baise. Dans sa penderie personnelle, Arillé avait un placard entier réservé à diverses tenues en cuir, latex, ou de vinyle, avec des accessoires. Pour elle, c’était comme faire du théâtre, interpréter un rôle, et ça l’amusait autant que ça la comblait. Bien entendu, corsets et autres cuissardes en cuir n’étaient pas les seuls vêtements qui constituaient sa garde-robe.
« Ah ! Aaaaaah ! Han oui ! Baisez-moi ! Oui ! Comme une chienne ! Je suis une chienne ! Oui-oui ! Haaaaaaaaan ! Haaaaaan oui ! Mmmmmh ! Je suis ta pute ! Ta sale pute ! Haaaaan oui ! Haaaaaaaaaaaa- haaaaan ! »
Vocabulaire varié. Mais qui témoignait de l’excitation de l’elfe. Il ne fallut pas plus de temps pour que la princesse ait un nouvel orgasme, révulsant ses yeux, projetant sa tête en arrière en poussant une longue rale de plaisir, et en griffant le bois du lit avec ses ongles, y laissant sa marque. Sentant que Mélinda n’avait pas encore remplit son orifice de foutre, Arillé la repoussa pour s’installer sur le tapis sur lequel reposait le lit. A genoux, elle attrapa la bite gonflée de désir de Mélinda et entama une fellation, passant rapidement une mèche de cheveux derrière son oreille, sa main droite branla la vampire, pendant que l’elfe s’amusait à embrasser son gland et à passer délicatement sa langue dessus. Sa main gauche, elle, caressait les seins de la vampire, pétrissant ses lobes fermes, pinçant délicatement ses tétons. Après avoir fait suffisamment languir Mélinda, Arillé entra dans le vif du sujet, en la suçant comme la reine des putes, affamée, gourmande, elle n’ hésitait pas à enchainer les gorges profondes. Elle continua son manège jusqu’à ce que Mélinda lâche son foutre dans sa bouche. Après avoir ouvert en grand sa bouche, pour lui dire qu’elle avait tout avaler comme une brave fille, Arillé resta sagement à genoux, attendant sagement la suite du programme, fantasmant sur la future session dressing et des futures humiliations qu’allait lui faire subir la petite vampire.
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La belle Princesse elfique était maintenant transformée en belle salope. Sans relâche, Mélinda continuait à la prendre. Il fallait bien avouer que cette belle tête blonde était une grande gourmande, une véritable perverse… La prendre était un vrai régal, et Mélinda continuait à la baiser, griffant ses épaules, ondulant contre son corps chaud et tendre. Cette femme était un pur produit de beauté, une elfe dans tous ce que les elfes avaient de beaux et d’attirants. La vampire remuait en elle, sentant les ongles de la femme griffer le bois du lit… Dommage qu’Arillé ne la griffe pas elle-même. En tant que vampire, Mélinda aimait beaucoup le plaisir que procurait la douleur. Elle était volontiers masochiste sur ce point. Tout en pénétrant Arillé, en s’enfonçant rudement en elle, en malmenant son tendre petit corps doux, Mélinda mordillait son cou, non pour sucer son sang, mais simplement pour la mordre, pour sentir cette peau douce et chaude, pour satisfaire ses goûts de luxure et ses envies de sexe. Son sang était délicieux, une promesse magnifique, mais la vampire comptait la mordre plus tard… Pour l’heure, elle voulait juste satisfaire les envies de cette catin, car, quand bien même Arillé voulait se faire traiter comme une pute, c’était du sang bleu qui coulait dans ses veines… Soit une invitée exceptionnelle, une femme qu’il fallait honorer dans tous ses fantasmes.
La queue de Mélinda s’enfonçait rudement en elle, d’avant en arrière, dans cette fleur déjà bien ouverte depuis les multiples assauts de Mélinda. La lance Warren partait à l’assaut de cette forteresse, comme un bélier qui avait tellement défoncé la herse blindée qu’il s’enfonçait agréablement dans le corps de garde, libérant à chaque coup supplémentaire des hordes de soldats supplémentaires.
« Haaaaaaaa… !! Hmmmmmmmmmm !! Tiens, salope, hummm! Tu aimes ça, hein ?! HEIN, tu aimes, traînée ?! Sale pute, tiens, prends ça, PRENDS ÇA, salope !! Hurle, sale chienne ! Hurle, sale pute !! Allez, salope, haaaaaaaaaaaaaaa… COUINE, ESPÈCE DE TRUIE !!! »
Elle hurlait, furieuse, déchaînée, pleine de passion, traitant Arillé comme jamais on avait dû la traiter auparavant… Peut-être bien que son envie de se faire baiser venait de là. Avec son corps agréable, ses formes généreuses, et cette espèce de douceur et de splendeur innée qui s’échappait de son corps, elle était une femme magnifique, et on avait toujours dû la traiter avec déférence… Or, vu le stock de perversion qui semblait être en elle, Mélinda ne doutait pas qu’elle voulait découvrir toutes les facettes du sexe, y compris le plaisir résultant de la soumission, résultant du fait de ne pas être traitée comme une Princesse. La vampire défonçait la femme comme une traînée, satisfaisant ses profonds fantasmes, ce qu’elle voyait très bien dans la manière dont elle hurlait et se faisait plaisir.
L’orgasme de la femme vint au bout de quelques minutes. Les deux belles dames étaient en sueur, Mélinda respirait bruyamment, et sentit Arillé la repousser. Mélinda soupira, et la laissa faire. Sa tête fila entre ses jambes, et elle entreprit de lui faire une fellation, de sucer et de branler son vit. Ce sexe était trempé de la mouille d’Arillé.
« Owww, Arillé… Haaaan, petite cochonne… Haaan, ohhhhhh… Haaaaaa !! »
De longs soupirs de plaisir s’échappaient de ses lèvres. Arillé malmenait son sexe, et elle voyait sa tête s’enfoncer en elle, multipliant volontiers les gorges profondes. Ohlàlà ! Quel appétit ! Mélinda gémissait et soupirait, une main sur les cheveux d’Arillé, se crispant à sa douce chevelure blonde trempée. La femme y allait énergiquement, sa queue remuant dans les tréfonds de sa bouche. Elle voulait la faire jouir, et elle mettait une telle énergie que sa récompense ne tarda pas à arriver. Dans un long soupir, la vampire balança tout un chapelet de foutre en elle.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNN !! »
Sa main se crispa contre la chevelure d’Arillé lors de sa jouissance. Elle balança généreusement sa semence en elle, giclant pendant de longues secondes, sa queue tressautant dans la bouche de la belle elfe. Elle jouit donc, et se sentit terriblement mieux après, soulagée d’une profonde tension, et relâcha délicatement les cheveux de la femme, conservant quelques mèches dans sa main trempée. Arillé avala gentiment tout ce foutre, puis se mit ensuite en position de soumise, à genoux. Mélinda la regarda en souriant, reprenant tranquillement son souffle. Elle avait longuement joui, et approcha ses mains, venant caresser les cheveux de la belle, ses griffes glissant sur ses joues.
Un sourire malicieux éclaira le visage de Mélinda, qui hocha lentement la tête, et déposa un baiser sur le front de l’elfe.
« Bien… Je vais te laisser respirer un peu, Arillé… J’ai une petite tenue à te montrer, qui, j’en suis sûre, te fera plaisir. »
Mélinda ouvrit le placard, et déposa sur le lit la tenue. Elle se composait de mitaines noires en cuir, d’un corset noir, d’une minijupe noire en cuir, de beaux collants à dentelle, et d’un string noir, également en cuir. La tenue comprenait également une ceinture marron et des holsters.
« Je pense que cette tenue t’ira bien, ma belle… Enfile-là donc, ma puce… »
Arillé pourrait s’observer devant un grand miroir latéral. Mélinda, elle, alla s’asseoir sur un fauteuil, conservant un léger sourire sur les lèvres.
Cette femme était vraiment épuisante, mais c’était terriblement jouissif.
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La princesse put enfin faire une pause après un long moment. Depuis combien de temps était-elle ici ? Une dizaine de minutes ? Une heure ? C’est fou comme le temps passe vite quand on s’amuse ! Et pour faire perdre la notion du temps à Arillé, il fallait qu’elle vraiment qu’elle s’amuse. Pour l’heure, elle s’étirait doucement, appuyée contre le lit, assise sur le sol, le corps encore chaud et couvert de sueur, les cheveux légèrement défaits. Ses seins remuant légèrement au rythme des profondes respirations qu’elle prenait, comme l’on ferait après une course ou tout autre exercice physique intense. Elle regardait distraitement Lua et Tyrie, en train de se faire un long câlin, toutes les deux à moitié endormi. Puis elle perdait son regard en direction de Mélinda, qui cherchait où se trouvait cette maudite tenue. Deux placards plus tard, Mélinda revenait vers le lit, les bras chargés de cadeaux, cadeaux qui furent alignés sur le lit.
« Je pense que cette tenue t’ira bien, ma belle… Enfile-là donc, ma puce…
- Tout de suite, maîtresse ! » Répondit l’elfe en souriant.
Délicatement, elle reprit les différents éléments disposés sur le lit pour aller devant le miroir qui se trouvait de l’autre côté de la pièce, emportant au passage les talons hauts qu’elle portait en arrivant. Elle décida de ne pas perdre de temps, et remarqua Mélinda en train de l’observer. Assise sur une petite banquette, Arillé décida de lui faire un petit show, sans la regarder directement. Très sensuellement elle prit les deux bas en dentelle, et les enfila, tendant et levant ses jambes, pratiquant une sorte de strip-tease étrange où l’on devait s’habiller et rester sexy. Arillé, n’hésitait pas à se faire longue, pour se faire désirer, prenant quelques fois la pose devant la glace, sans jamais croiser le regard de Mélinda. La femme qui s’habillait avait certainement été une succube dans une autre vie ; car elle prenait un malin plaisir à se faire désirer, attendre, tout en excitant sa partenaire.
En s’habillant, elle en profita pour remettre en place sa chevelure, avec une haute queue de cheval. Elle voulait se mettre en valeur, et surtout faire ressortir son caractère de fieffée salope. Ainsi, elle n’hésita pas un seul instant à faire dépasser son string, à légèrement baisser sa mini-jupe pour faire voir la naissance de ses fesses, et à serrer son corset pour lui donner une taille de guêpe et faire ressortir sa poitrine. Arillé avait une idée pour tous ses vêtements afin de la mettre en valeur, bien qu’elle n’avait aucune idée de ce à quoi pouvait servir une ceinture avec une poche aussi grosse. Une fois « habillée » comme une trainée, Arillé revint lentement vers la vampire, ondulant sensuellement son corps. Une fois devant sa maîtresse, elle prit une pose et fit lentement un tour sur elle-même avant de reprendre sa position de soumise.
« Maîtresse ? Est-ce que cette tenue vous plait-elle ? »
*Et surtout à quoi sert cette ceinture ?*
Arillé la regardait tout en mordillant sa lèvre inférieur, espérant pouvoir reprendre leur jeu le plus rapidement possible.
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Avec sa nouvelle tenue, Arillé opta pour une sorte de strip tease inversé. Là où l’idée était de lentement et sensuellement se déshabiller, l’elfe opta pour l’effet inverse, en s’habillant lentement et sensuellement. Assise, Mélinda la regarda faire en clignant des yeux, sentant, progressivement, le désir monter en elle. Visiblement, les pulsions fétichistes de la vampire étaient très faciles à percevoir, car voir Arillé s’habiller ainsi avait quelque chose de profondément excitant. La belle maîtrisait son affaire, et prenait tout son temps, enfilant délicatement ses bas, puis le reste de ses habits, sans que personne ne vienne l’aider. Elle se débrouillait aussi pour ne jamais croiser son regard, comme si elle était plongée dans son monde, se relevant de temps en temps pour prendre des positions explicites et sensuelles, réveillant la tension qui brûlait entre les cuisses de la vampire. Loin d’être insensible à ce spectacle, Mélinda observait le corps parfait de la femme, sa peau basanée, sa longue chevelure blonde, et la regardait enfiler sa tenue : les bas, les gants, la minijupe, la ceinture, le corset... Au moins, Mélinda ne s’était pas trompée : la tenue lui allait extrêmement bien. D’un autre côté, Arillé était si belle que Mélinda était persuadée que n’importe quelle tenue lui conviendrait sans difficulté. C’était une véritable elfe, fidèle à leur réputation, et qui, en plus, se payait le luxe d’être une belle petite salope. Une douce jeune fille qui adorait se faire défoncer... À croire que c’était là une caractéristique fondamentale des Princesses de Terra.
*Ce n’est pas pour me déranger...*
La respiration de Mélinda s’accélérait, s’approfondissait, devenant plus lourde, plus imposante. Sa poitrine se soulevait et s’abaissait. Le désir, cette boule qui grossissait et enflait dans l’estomac de chaque individu, était lentement en train d’enfler et de se réveiller, électrisant tout son corps. Mélinda était comme suspendue au corps d’Arillé, à ce que la femme faisait, et à ce qu’elle souhaitait faire. La même sensation que quand on assistait à une séance de strip-tease. Il fallait subjuguer son audience, envoûter son public. Généralement, ceci passait par le regard, et Arillé optait pour un regard fuyant. Elle finit par totalement s’habiller, et se coiffa devant une glace. La vampire, elle, trouvait assez fascinante cette capacité de rendre n’importe quel geste extrêmement érotique. N’aurait-elle pas été une princesse qu’Arillé aurait une place de choix dans son harem. Les clients l’auraient adoré. Clairement.
Prête et habillée, Arillé se retourna, et ondula sensuellement des hanches en retournant vers sa Maîtresse du moment, son retour annonçant presque comme une vague de fraîcheur et de douceur. Avait-elle vu la verge de Mélinda ? Ce membre turgescent qui pointait vers le plafond, et qui semblait avoir retrouvé sa dureté ? Arillé était maintenant habillée, et retourna se mettre en position de soumise, assise sur ses jambes, devant sa belle Maîtresse.
« Maîtresse ? Est-ce que cette tenue vous plaît-elle ? »
La vampire sourit lentement, et hocha la tête, déglutissant un peu. Sa main se pencha, et caressa la joue d’Arillé, ses griffes s’enfonçant un peu contre sa peau, en filant sur son menton doux et tendre. Elle ne l’avait pas fait saigner, et son regard finit par croiser le sien, un sourire mielleux s’affichant sur les délicates lèvres de la vampire.
« Elle me plaît beaucoup, ma petite salope... Et je suis sûre qu’elle convient aussi à tes petites chéries. »
Lya et Tyrie devaient probablement s’ennuyer, et Mélinda, ne voulant pas les négliger, leur fit signe d’approcher. Elles se mirent à gauche et à droite d’Arillé, dans la même position de soumise. Tyrie, l’hermaphrodite des deux, peinait à dissimuler son érection, et Mélinda, quant à elle, réfléchissait sur ce qu’elle pouvait faire à Arillé... La belle avait déjà été prise dans tous les sens, mais, à lire son regard, elle avait visiblement encore envie de se faire longuement défoncer. Mélinda réfléchit donc, et, fort heureusement, finit par trouver une idée, ce qui amena un sourire à venir illuminer son visage.
Elle ne tarda donc pas à s’adresser aux trois belles et jeunes femmes assises devant elle, et qui n’attendaient que ses instructions :
« Tyrie, redresse-toi... J’ai envie de goûter à ta grosse sucette. Quant à toi, Arillé... Tu vas goûter à la mienne. Et Lya va s’assurer que tu suces bien, en se glissant dans ton dos, et en te faisant plaisir... Allez, mes petites, au travail ! »
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Les directives une fois donnée tout le petit monde se mit sagement en position. Etonnamment, la première en place fut Tyrie, à présenter sa verge aux lèvres de la vampire. Elle prit même le luxe de passer sa main entre les cheveux bouclés de la belle, tapotant son membre sur les fines lèvres de Melinda en affichant un grand sourire un peu idiot. Un peu plus bas, Arillé se mit sagement à sa place. Elle replaça doucement une mèche de cheveux derrière son oreille et prit délicatement la queue de la vampire avant de se mettre à l’action. Au même moment Lua s’était placée sous le bassin de la princesse et s’adonnait elle aussi à un travail buccal. La pauvre, du groupe c’était celle qui avait le plus donnée et le moins reçu.
Mais d’un autre point de vue, la donne avait changée pour Lua qui d’habitude s’amusait à tourmenter sa princesse en la réduisant à une condition d’animal ou de simple esclave, n’hésitant pas à la fouetter ou à lui faire des piercings. Arillé avait deux barbells aux tétons, des boucles d’oreilles aux lobes et aux hélix, un à la langue, au nombril, sur le capuchon de son clitoris et un « piercing Christina ». Beaucoup de métal en elle à tel point que Lua surnomme parfois son amante « petite passoire » à force de se faire trouer. Pour ce qui est de Tyrie, la belle est habituellement le jouet favori d’Arillé et Lua. Elle est entrée au service d’Arillé après avoir fini esclave et subit des expérimentations sexuelles, effaçant son vagin pour lui donner un phallus. C’est à cause de cette différence… originale, qu’elle sert d’esclave sexuelle aux deux autres femmes, s’amusants à l’humilier en toutes occasions.
Après plusieurs minutes à sucer ou se faire sucer, la chaleur et l’excitation dégagée par les quatre femmes était palpable. Ca suait, gémissait et soupirait dans tous les sens. Des doigts fins et féminins caressaient le corps de celle qui se trouvait en face.
Tyrie fut la première à jouir et ne se priva pas d’inonder la bouche de Mélinda avec sa crème. Avant que la vampire ne puisse avaler ou recracher, Tyrie se mit à l’embrasser et à jouer avec sa propre semence, s’amusant à la faire passer de bouche en bouche ou à venir la faire couler le long de la poitrine de Mélinda avant de la récupérer avec sa langue. Ce petit jeu excita à nouveau Tyrie qui, après avoir redonné son sperme à Mélinda dit :
« Ca m’a donné envie de culbuter une de ces deux chiennes ! »
Elle se déplaça jusque derrière Arillé, lui donnant une belle fessée qui fit couiner de plaisir la princesse et écarta les cuisses de Lua, qui était sur le dos en train de lécher l’intimité de sa princesse, et se mit à la prendre en missionnaire, frappant régulièrement le cul d’Arillé, qui, à l’entendre, prenait plus son pied à recevoir sa fessée qu’à se faire lécher.
Après quelques instants, ce fut au tour de Mélinda d’éjaculer. L’elfe qui suçait sa queue, en chienne bien dressée avala ce cadeau et se redressa juste après, réajustant sa tenue, et se mit à chuchoter à l’oreille de Mélinda, non sans perdre une de ses mains sur la poitrine de la vampire.
« Vous êtes une femme très intéressante Mélinda, et j’ai adoré ces moments, mais je n’ai toujours pas vu de quoi son capable vos filles… Que diriez-vous de ceci, menez moi à votre dominatrice la plus perverse et sadique, et je vous laisse mes deux gardes du corps vous tenir compagnie ? Naturellement, je payerai les services de votre charmante amie… »
Elle se pinça la lèvre inférieur un instant en regardant Mélinda dans les yeux puis l’embrassa, avec en fond sonore la deuxième symphonie de gémissements de Lua en la mineur.
« J’ai des envie de cuir, de latex et de fouets… »
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Les quatre perverses avaient joué ensemble comme des hyènes en rut, et, maintenant, Mélinda se reprenait... Avant d’entendre Arillé dire qu’elle en voulait plus. Elle avait laissé l’elfe avaler son sperme, puis cette dernière se redressa un peu, formulant à la vampire une demande qui, sur le coup, l’interpella un peu... Goûter aux autres fruits du harem. Elle papillonna des yeux, surprise, car elle pensait que, après ces ébats, Arillé aurait demandé le droit de se reposer. Mélinda lui avait défoncé son joli petit corps de pute, et, pourtant, loin d’être rassasiée, elle voulait maintenant en découvrir plus... Et termina par un argument qui fit sourire Mélinda, un petit sourire amusé montrant une partie de ses belles dents blanches :
« J’ai des envie de cuir, de latex et de fouets… »
Mélinda sourit donc, et se redressa à son tour, venant caresser l’une des joues de la Princesse elfique en se penchant vers elle.
« Hum... Sa Majesté est une belle petite salope... Mais soit. »
Elle voulait souffrir ? Très bien ! Elle allait être servie ! Mélinda l’embrassa donc tendrement, puis la releva.
« Très bien, très bien... Nous allons te préparer, alors, le temps que tes nouvelles Maîtresses viennent s’occuper de toi... »
La belle Arillé allait ainsi comprendre que Mélinda était loin d’être la plus sévère et la plus vicieuse des femmes présentes au sein du harem. Mélinda l’amena sur le lit, où elle s’assit confortablement, et la vampire sortit des sangles et des cordes, puis s’empressa d’acheter Arillé, par les jambes, et par les bras. Écartées l’un de l’autre, ses bras étaient tendus dans des directions différentes, et ses jambes furent également attachées au sol. La vampire termina cette présentation par un gag ball sur la bouche d’Arillé, le nouant proprement à l’arrière de sa nuque. Son office terminé, la vampire sortit après un clin d’œil, emmenant avec elle Lua et Tyrie, et referma la porte derrière leurs fesses... Après avoir soufflé sur les bougies permettant d’éclairer la pièce.
Dans l’obscurité, Arillé en était résolue à attendre, ses bras et ses jambes écartés, surtout ses bras. Incapable de parler ou de bouger, prisonnière, le temps sembla défiler incessamment. On voyait parfois des ombres remuer sous l’embrasure de la porte, mais il n’y avait personne qui daignait entrer. Dans cette obscurité ambiante, avoir une notion précise du temps était difficile, et il fallut attendre un certain temps avant que la porte en bois ne finisse par s’ouvrir à un nouveau. Un rai de lumière jaillit de dehors, et une silhouette musclée et féminine entra, avant de refermer la porte derrière elle, et de se mettre à marcher. Sans rien dire, et sans même regarder Arillé, faisant comme si elle n’était qu’un élément du décor, la femme entreprit de rallumer les candélabres.
Ayumi (http://img93.xooimage.com/files/4/a/1/ayumi-3d62000.jpg) était l’une des grandes perverses du harem de Mélinda, une femme sportive, hermaphrodite, qui aimait faire de la musculature, et usait de ses beaux muscles pour violer pendant des heures des lycéennes, des petites pucelles, ou des salopes. L’une de ses plaisirs ultimes était de se faire sucer la queue tout en faisant des haltères... Ou, plus généralement, de faire l’amour pendant qu’elle fortifiait son corps. Perverse dominatrice et brutale jusqu’au bout des doigts, elle tenait, dans une main, un curieux masque noir. Faiblement vêtue, uniquement d’un court maillot de bain bleue dissimulant son intimité, filant dans le creux de ses fesses pour masquer ses tétons, Ayumi finit par s’approcher d’Arillé.
« Salut, salope. Je me fiche de savoir ton nom, je me fiche de connaître tes motivations, ou quoi que ce soit. À partir de maintenant, ta vie est entre mes doigts, salope. En conséquence, tu t’appelleras ‘‘Salope’’ à partir de maintenant. D’accord, Salope ? »
Elle n’attendait pas spécialement une réponse, et approcha son masque spécial.
« Je vais te guider dans mes locaux, où une autre Maîtresse s’occupera de te défoncer le cul... Pour l’heure, tu n’es plus une femme, mais un vulgaire objet sexuel. Pour cela, je vais te mettre ce masque sur le visage. Sa particularité est qu’il bloquera l’usage de tous tes sens, à l’exception du toucher. Bien... Sur ce, commençons, Salope. »
Elle se glissa dans le dos de « Salope », et lui retira son gag ball, et avant même que la femme ne puisse émettre la moindre forme de protestation, même si elle en avait envie, Ayumi mit sur son visage le masque en latex. Il n’y avait pas d’espaces sur les yeux, et des sangles permettant de serrer le masque, et, ainsi, d’empêcher la personne le portant de pouvoir voir, renifler, ou entendre... Elle respirait par le biais d’un petit tube filant depuis ses lèvres, et, de fait, des barres à hauteur des lèvres empêchaient l’esclave portant ce masque de fermer la bouche. Ayumi batailla pendant quelques minutes avec les sangles, jusqu’à pouvoir mettre le masque, puis elle entreprit de déshabiller Arillé, et de la rhabiller proprement.
En définitive, Arillé se retrouva avec une tenue magnifique (http://img110.xooimage.com/files/d/a/e/arille_suit-4a0d7d1.jpg), à la fois courte, noire, en latex, et nue. Elle ne pouvait désormais plus rien entendre, si ce n’est le son de sa propre respiration, ou les battements de son cœur. Ce faisant, le corps attacherait encore plus d’importance au toucher, et Ayumi allait le prouver rapidement. Elle mit autour d’Arillé un collier, y attache une laisse, et la souleva, puis attacha ses bras à une sangle en hauteur.
Ce faisant, Ayumi, un sourire sur les lèvres, laissa planer quelques minutes. Arillé ne pouvait plus rien faire, plus rien faire d’autre qu’attendre, une attente terrible et épuisante. Elle, elle en profita pour aller saisir un fouet, et, après quelques moulinets, souleva son fouet, et l’abattit à plusieurs reprises sur le dos de la femme, le fouet venant claquer dans son dos, la morsure giflant son dos à plusieurs reprises.
Et ce n’était qu’un début...
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Arillé se retrouva rapidement attachée, ne bougeant pratiquement pas, sauf pour aider quelques fois Mélinda a installer les divers liens. Puis elle regarda la vampire s’éloigné en compagnie de Lua et Tyrie, laissant la princesse dans l’obscurité. La voilà maintenant privée de mouvement, de parole et de vision.
A entendre le bruit qu’elle arrivait à percevoir, l’établissement de la vampire continuait à vivre. Elle essayait de deviner ce qui se passait de l’autre côté de la porte. Une ambiance bon enfant régnait a entendre deux filles courir dans les couloirs, l’une d’elle criant « Rend la moi ! » avant de se faire réprimander quelques minutes plus tard par une autre voix faisant détaler à toute vitesses les deux paires de jambes. Après cela, le silence s’installa dans le couloir. Arillé, elle, était en train de baver et de pousser des petits bruits étouffé par le ball-gag en essayant de se repérer dans son environnement. La princesse était surtout en train de se reposer, et essayait tant bien que mal d’étendre ses membres avant de se mettre doucement à somnoler.
Malheureusement pour elle, le repos allait être de courte durée. Elle fut réveillée en sursaut lorsque quelque chose vint heurter la porte. Elle tendit une oreille indiscrète essayant de deviner ce qui se passait. Contre la porte, ça s’embrassait et soupirait. « Probablement une mise en bouche avant… Ah non ». A entendre les gémissements et les coups sourds contre la porte, quelqu’un avait décidé de faire son affaire ici. C’était un bordel après tout. Il ne fallait pas être choqué de voir un sein que l’on ne saurait voir. Mais bon… Sérieusement ? Le faire ici était vraiment nécessaire ? Arillé soupira d’exaspération et essaya de s’assommer en heurtant doucement sa tête contre l’oreiller.
« Tu vois pas qu’elle simule mon pauvre ? Et mal en plus… » Pensait Arillé, même si en même temps elle jalousait cette inconnue. Depuis combien de temps était-elle ici ? Une minute ? Une heure ? Plus ? Moins ? Elle commençait à perdre la notion du temps. Quand le couple de fornicateur eut finit, la princesse attendit encore un moment.
Très exactement 6 bruits de pas plus tard, quelqu’un ouvrit enfin la porte. A la vue de sa silhouette, c’était une femme, athlétique qui ne dit pas un mot, comme si elle prenait possession des lieux. Lorsqu’elle ralluma les lumières, l’elfe aperçut enfin celle qui était très faiblement vêtu s’approcher du lit.
« Salut, salope. Je me fiche de savoir ton nom, je me fiche de connaître tes motivations, ou quoi que ce soit. À partir de maintenant, ta vie est entre mes doigts, salope. En conséquence, tu t’appelleras ‘‘Salope’’ à partir de maintenant. D’accord, Salope ?
- Guh Mppff !»
Avant même de pouvoir dire ou faire quoi que ce soit, on lui retira son ball-gag et lui mit cette cagoule, la plongeant dans une bulle, privée de ses sens. Docilement « Salope » se laissa faire par Ayumi, elle sentait qu’elle était déshabillée, et qu’on lui mettait une autre tenue, qui était elle aussi assez courte. L’elfe était devenu une sorte de poupée inanimée, attendant sagement son sort. Soudain Ayumi la releva et la pendit par les poignets, la laissant ainsi quelques minutes, souffrant le martyr et laissant quelques bruits s’échapper du tube qui lui permettait de respirer.
Soudain, elle sentit une violente lanière en cuir lui mordre le dos, lui arrachant un cri étouffé à peine audible. Puis un autre coup irradia son dos de douleur et de chaleur. Puis encore un autre coup et un autre, lacérant peu à peu son dos de traces. Arillé se sentait comme une demoiselle en détresse, un de ses fantasmes. Le genre de princesse enfermée dans une grande tour que gardait un dragon. Sauf qu’ici le dragon était sexy et qu’il avait des envies. « Salope » se mit à pleurer. A entendre les quelques bruits qui s’échappaient de sa bouche, et à voir comment dansait son ventre, Ayumi pouvait aisément le deviner. Cependant, ça ne l’arrêta pas, au contraire, la voici maintenant qui fouettait son ventre, ses cuisses et sa poitrine. Arrachant une autre série de pleurs à « Salope », laissant s’écouler quelques larmes à l’intérieur de son masque, ou de ses cuisses.
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Esclave de Mélinda, n’était-ce pas la plus belle situation du monde ? Quiconque aurait rétorqué qu’il préférait être libre aurait eu droit à un rire goguenard et moqueur de la part d’Ayumi. Elle était en train de fouetter le cul d’une Princesse ! Même si elle n’avait pas demandé son nom à sa salope, elle savait qui elle était, car, dans le harem, toutes les informations circulaient rapidement. L’avantage d’avoir une structure composée à 95% de nénettes... Toujours est-il qu’Ayumi savait qui elle fouettait, ce qui la rendait encore plus assoiffée, encore plus excitée. Avec cette cagoule en latex sur le visage, Salope ne pouvait que subir, et elle poussait de faibles couinements, son corps remuant d’avant en arrière sous les impulsions sonores et tranchantes du fouet. Oui, Ayumi ne cherchait pas à la ménager. Elle donnait des coups secs et puissants, prononcés et intenses, en soupirant à chaque fois, gémissant, mouillant presque sur place.
Le fantasme d’Ayumi, depuis des mois, était de fouetter Alice Korvander, la Princesse blonde, et amie de sa Maîtresse. Elle avait déjà pu la sodomiser, mais n’avait jamais été jusqu’à l’attacher et lui tanner la peau. Avec Salope, elle se rattrapait, et donnait ainsi de multiples coups de fouet, pendant de longues minutes. Les couinements et les hurlements de Salope ressortaient de la cagoule, devenant audibles pour Ayumi, qui devinait toute la souffrance de la jeune femme. Incapable de l’entendre, Ayumi se déplaça devant sa victime, et fouetta désormais ses seins, heurtant les tétons, une zone qui devait être particulièrement douloureuse pour la jeune femme.
« Haaa, ma salope... »
Parler était en soi inutile, mais ça ne l’empêchait pas de le faire, juste pour la postérité, et pour son propre plaisir. Elle fouetta ses cuisses, avec une précision redoutable, qui trahissait la femme habituée à user du fouet, et l’abattit ensuite sur son sexe. Elle continua ainsi à la fouetter pendant un certain temps, jusqu’à s’arrêter, relevant le fouet lentement. Elle laissa passer quelques secondes de repos, puis s’approcha de la femme. Sa captive était immobilisée ainsi, avec des marques rouges multiples sur le corps. Ayumi utilisa ses doigts, désormais recouverts de gants noirs en latex, et massa les seins de la femme, alternant désormais entre douceur et douleur, pinçant parfois ses tétons, les tordant sur place.
Ayumi sourit lentement, puis continua à masser ses seins, avant d’approcher ensuite ses mains de ses fesses, les pinçant et les malaxant. Entre ses cuisses, une verge se mit ainsi à pointer, et, lentement, en prenant véritablement tout son temps, Ayumi pénétra sa Salope. La grosse verge s’enfonça dans son con, les jambes de la salope elfique à gauche et à droite du corps d’Ayumi, comme pour inviter cette dernière à s’enrouler autour d’elle. Elle la prenait d’avant en arrière, sans relâche, gagnant progressivement en vitesse et en intensité... Pendant de longues minutes.