Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Lucrezia.H.Nietzsche le samedi 08 février 2014, 20:10:56

Titre: Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le samedi 08 février 2014, 20:10:56
Deux mois... ça aller bientôt faire deux mois que Lucrezia était "morte"... D'après les flics et les médias, bien évidement, car si elle était réellement morte vous croyez que je m'amuserais à vous conter une autre de ses péripéties bizarre, hm ? Enfin bref, dans la tête de tout le monde notre chère Lulu n'était plus de se monde, mais ça... C'est dans leur tête.
Oui car des mortes la Duchesses elles en à vus passer et ce qui était sur c'est qu'elle, elle était belle et bien en vie Bien droite sur ses deux jambes et plus cinglée que jamais. Certes, elle vivait pas la vie de château, mais ça lui suffisait amplement et puis... Elle n'avait d'autres solutions que de se cacher, en feintant la mort notre tueuse s'assurerais un retour parmi les foules des plus tonitruant, comme un éclair dans le brouillard, Lulu reviendrais, comme un zombie tout droit sorti de sa tombe, ouai les mecs, cette Biatch est solide et c'est pas du 9mm qui vas nous la tuer la Lulu.

Mais pour l'heure, elle préférait encore rester un peu terrée dans son coin, plus précisément dans les toilettes d'une vieille rame de métro désaffectée, tout à fait l'genre d'endroit que la tueuse affectionnait. Là, accroupie devant la cuvette, notre tueuse tassais consciencieusement une belle ligne de crack qu'elle sniffa ensuite d'un coup sec avant d'envoyer sa tête en arrière en reniflant fortement, diable que ça lui faisait du bien ! Elle cligna des yeux à plusieurs reprises avant de sentir Petit à petit une douce chaleur l'envelopper ainsi qu'une agréable sensation de bien être et de paix... Elle était stone... Doucement elle se releva, quelque peut branlante sur ses gambettes notre tueuse ouvrie là porte de la cabine afin d'aller se poser en-face du miroir qui surplomber les lavabos. Posant ses mains sur ces derniers, Lucrezia fit glisser l'une d'elles sur la molette qui déclencher l'eau froide. Longuement Lucrezia regarda le mince filet d'eau venir s'écraser sur la céramique sale et écaillée du lavabo, avant d'enfin prendre au creux de ses mains blafarde l'onde qu'elle vint ensuite à ce mettre sur le visage.

Ses yeux se tournèrent alors vers son reflet, montrant une femme pale et sinistrement attirante... Moulée dans une combinaison d'infirmière en latex noir et rose... Ouai... Lulu avait changée sa garde robe, son ancienne uniforme, rendue crasseux et nauséabond à cause des eaux usées, avait fini dans une poubelle... Maintenant, avec le Latex, Lucrezia était sur de ne plus rencontrer ce problème.

Bordel... J'suis tellement bien gaulée que je serais capable de me violer moi même...

Oui, ça nous n'en doutons pas Lucrezia...
Elle se redressa alors avant de prendre plusieurs pauses aguicheuses devant la glace, La tueuse était en rut las amis... Deux mois qu'elle s'était rien mise sous les lèvres, elle avait beau se masturber, que ce soit avec ses doigts ou avec n'importe qu'elle foutu objet contondant, la Duchesse n'était pas rassasiée. Et pourtant elle en à essayée des trucs en solo, poignée de porte, manche de marteau, goulot de bouteille et j'en passe... Elle était vraiment trop en manque la Lulu... Elle poussa un grand soupir puis...

Que ?

Là... Non loin des pas résonnaient dans les galeries... La tueuse tourna alors la tête vers la cabine d'où elle était sortie, puis elle y reparties aussitôt... Plus Parano que Lulu, tu meurs...

Dans sa cabine Lucrezia scrutait la pièce par le glory hole qui trônais sur la cloison... La porte s'ouvrit puis...   

 
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrick]
Posté par: Ulrik le samedi 08 février 2014, 21:00:52
Ulrik s’avançait dans la rame de métro en s’éclairant avec une lampe, jusqu’à apercevoir une porte de maintenance fermée.

*La voici !*

Quand un métro approchait, il restait plaqué contre le mur, le train le loupant en filant à toute allure. De cette manière, il s’assurait de rester en un seul morceau, et ouvrit ensuite la porte. Elle était fermée, certes, et il utilisa la clef que son contact lui avait fourni. La serrure grinça, et, comme son contact le lui avait dit, il donna un coup d’épaule, poussant un peu, puis s’avança dans un couloir de maintenance poussiéreux, datant d’il y a plusieurs années. De ce qu’Ulrik avait compris, cette ville avait été bombardée il y a quelques années, lors d’un grand conflit local. La municipalité avait alors agrandi et complètement repensé son système de métros souterrains, abandonnant certaines stations, comme celle-ci. Elle ne figurait plus sur aucune carte urbaine, ni sur aucune carte de métro. Le bourlingueur de l’espace s’avançait en s’éclairant à l’aide d’une lampe-torche, suivant les informations fournies par son contact. Il était venu jusqu’ici pour récupérer une valise, puis devait ensuite retourner sur Terra par le biais d’un portail, emprunter son vaisseau, et aller amener la marchandise près d’une autre planète. Un deal simple et efficace. Le contact avait laissé la cargaison dans la station de métro il y a une semaine, puis lui avait, dans un scénario digne d’un film d’espionnage, envoyé vers une consigne de la gare, afin de récupérer, à l’intérieur, des instructions sur la manière de récupérer le colis.

En tant que transporteur professionnel, Ulrik ne savait pas ce qu’il y avait dans le colis, et s’en moquait. Poser des questions, ou se renseigner sur le contenu du matériel, ne faisait pas partie de ses attributions. Il se contentait d’accomplir sa mission, et descendit des escaliers en fer rouillé. L’électricité ne fonctionnait plus par ici depuis belle lurette. L’installation était vétuste, et il continua à descendre, s’engageant dans un antique couloir, jusqu’à une porte... Entrouverte. Là encore, rien de surprenant. Son contact était passé par là, et avait remis en place le système électrogène de la station, afin de pouvoir délivrer le colis. L’homme pénétra dans l’ancienne rame de métro, qui avait été condamnée, et s’avança dans un coin. Le colis était sous une dalle, et, alors qu’Ulrik cherchait, il nota alors quelque chose d’étrange.

Un rai de lumière s’échappait d’une porte dans un coin. Celle menant aux toilettes. L’homme posa immédiatement la main sur sa ceinture, en sortant son pistolet, un Taurus Raging Bull (http://www.armesoccasion.com/wp-content/uploads/Taurus_Raging_Bull_44.jpg), un pistolet terrien, dont il était tombé amoureux. L’homme avait beau disposer de pouvoirs paranormaux, il préférait en revenir à l’ancienne. Il s’avança vers le rayon de lumière, et entrouvrit la porte des toilettes pour femmes.

Déserte. Pas un chat. Il s’avança lentement, prudemment, l’arme brandie devant lui. Une lumière allumée dans une station de métro abandonnée... Il se mit à craindre qu’il n’y ait des concurrents, et, très vite, sentit une odeur particulière. Il huma l’air, nerveux, essayant de l’appréhender. On aurait dit l’odeur d’une femme... Dans un endroit aussi poussiéreux, il était assez aisé de sentir cette odeur. Il se rapprocha du lavabo, et vit des gouttes d’eau le long du lavabo. Il vit des débris dans les coins, comme des goulots de bouteille, des poignées de portes... Et comprit qu’il y avait quelqu’un, sans aucun doute possible.

L’homme se releva rapidement, et observa les cabines.

*Il n’y a pas cinquante mille cachettes possibles...*

Tenant son arme à deux mains, canon levé vers le haut, Ulrik s’approcha de la première porte, et donna un violent coup de pied dedans. L’antique porte tint bon, s’ouvrant sur une cabine vide. Il fit un pas de côté, et donna un autre coup de pied. La porte s’arracha, sautant de ses gonds, et tombant sur le sol. Il continua son inspection, et arriva devant une porte avec un trou dedans, à hauteur du sexe. Ulrik eut une brève intuition, et ouvrit la porte... Plus lentement.

Il y avait une femme derrière, et il pointa immédiatement son arme sur sa tête, par précaution.

« ’Bouge pas ! »

Il était en position, ignorant si cette femme pouvait constituer une menace ou pas… En tout cas, elle était sacrément bien roulée, et, à voir tout ce latex, ces formes généreuses, cette belle poitrine, Ulrik s’humecta brièvement les lèvres. Elle avait de beaux cheveux bleus, et il sentit une putain de trique de tous les diables se saisir de lui.

« Putain, mais t’es qui, toi, bordel de merde ? »

Pour autant qu’il s’en souvienne, Ulrik ne se souvenait pas que le contrat ait mentionné une quelconque femme.

Ignorant un peu tout de la Terre, il ne savait pas qu’il se trouvait en face d’une tueuse en série.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le samedi 08 février 2014, 21:59:16
Bordel... Bordel, de bordel de bordel de merde... Là, dans les toilettes, un type battit come une armoire à glace venait de faire irruption... AVEC UN GUN ! Lulu en voyant cette homme ne pensa qu'a  une chose... "ils ont fini par me coincer..." Ouai, là elle faisait pas la fière... surtout au vus du flingue de ce mec, un Bazard monstrueux capable de vous faire un trou au moins aussi large que la rondelle à Lulu après une très violente sodomie. Le type en question huma légèrement l'air ambiant avant de jeter un p'tit coup d'œil au lavabo... puis aux cabines... Lulu, t'es grillée...

"Et, merde..."

Ouai, merde c'est le mot... Lucrezia se demander bien comment elle allait pouvoir ce barrer de ce mauvais pas, mais ses pensée firent bien vite perturbées par un violent bruit de porte que l'on défonce, ce mec est un putain de dingue ! à chaque coup de pied Lucrezia eu un petit sursaut, notre psycho nurse n'en menait pas large et la drogue, avouons le, n'arrangée pas son anxiété ni sa parano. Cet alors qu'il y eu comme une petite accalmie... La tueuse fixait fermement la poignée de sa cabine, poigné qui comme vous devez vous en douter, pivota lentement sur elle même... Ouvrant la porte délicatement...

« ’Bouge pas ! » Vociféra l'inconnue en pointant Lucrezia avec son flingue.

Bordel ce mec pointait son putain de jouer sur le front de notre Lulu, sur qu'à cette distance il risquait pas d'la rater, et notre tueuse, comme un reflexe de survie, leva les mains en l'air en fermant ses yeux tout en  se mordant la lèvres inférieur.

Putain, mais t’es qui, toi, bordel de merde ?  

Que... Hein ? Ce mec ne savait qui était Lucrezia ? Bon je sais qu'avec sa nouvelle tenue elle change un peu mais il y a des limites, ont la reconnais bien tout de même !... à moins que ce type ne connaisse justement pas la Duchesse, ce qui serait un gros coup de pot pour la tueuse qui, en ayant entendue la question de l'inconnu, rouvrit ses yeux et lui répondit d'un voix quelque peut déformée par la l'émotion.

Je... Suis...

Ouai, vas lui dire que t'es une tueuse en série toi, je le vois bien t'exploser la cervelle par peur que tu l'émascule puis que tu lui bouffe les couilles avec des salsifis.

Je... suis une...

Pute ! Aller ! Dit Le ! Franchement, on verrait mal une autre femme s'habiller ainsi si elle n'était pas une catins...
Lucrezia ravala alors sa salive et fini par le dire...

Je... Je suis une prostituée... ça te va comme réponse ?

Sa lui faisait un peu mal de le dire... Mais c'était ça ou lui raconter un vieux bobard merdique... ou la vériter... Dans les deux cas, c'était pas terrible au vue de la situation.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le dimanche 09 février 2014, 01:35:05
À cette distance, il ne faisait aucun doute que, si Ulrik avait fait feu, toute cette belle tête n’aurait été plus qu’un souvenir. La cervelle de cette femme aurait décoré le mur, éparpillé en plusieurs morceaux. Le bourlingueur ne comptait cependant pas faire feu, mais il se méfiait. Son contact ne l’avait pas prévenu d’une quelconque femme ici, et il se pouvait donc qu’elle soit une menace... Cependant, vu son air effrayé, il pensait plutôt à une paumée, une femme que son contact n’avait pas vu. Habillée comme elle était, il imaginait déjà une pute battue par ses macs, ou poursuivie par un client, qui s’était enfuie ici. Ce scénario semblait assez probable, car cette fille était vraiment bien roulée, avec un air de perverse psycho’ qui, il fallait bien le dire, exerçait un certain attrait, une certaine attirance. Paniquée, la femme aux cheveux bleus peinait à trouver ses mots, avant de finalement se présenter :

« Je... Je suis une prostituée... ça te va comme réponse ? »

Ulrik hésita un peu, puis finit par ranger son arme.

« Ouais, ça me va. T’en fais pas, poupée, tu risques rien. »

S’il avait été plus professionnel, il l’aurait neutralisé, et aurait récupéré la marchandise. S’il avait vraiment été professionnel, il l’aurait tué, car cette belle femme constituait un témoin potentiel, soit quelqu’un capable de remonter jusqu’à lui. Cependant, Ulrik n’était qu’un transporteur, un contrebandier. Il n’avait rien d’un grand criminel qui abattait froidement tout le monde, afin de se forger une quelconque réputation. Il effectuait des missions de merde pour gagner trois ronds afin de continuer à vivre. Il rangea donc son arme dans son holster. L’homme portait, outre un pantalon noir, un débardeur sous une veste. Il se pencha vers la femme, et l’attrapa par la main, l’aidant à se relever. Il en profita pour loucher sur ses seins, démesurément grands.

« Latex, hein ? glissa-t-il en souriant, détaillant les vêtements de la femme. Ça te va plutôt bien. »

Il la relâcha alors, et s’écarta un peu. Son parfum était délicieux, une belle odeur de femme. Se sentir près d’elle ne fit qu’accentuer son érection. Il sortit de la cabine, observant un peu les toilettes. L’endroit était vraiment craignos, vétuste, avec des gros rats qui devaient parfois traîner par ici.

« Ah, navré de t’avoir menacé, mais je m’attendais pas vraiment à voir du monde en traînant par ici. Si tu me disais ton nom ? Je peine à croire qu’une pute puisse trouver des clients dans un endroit pareil... Et, vu que l’emballage est à la hauteur du contenu, je me doute que tu dois pas manquer de clients prêts à te sauter dessus. »

Ulrik se demandait si cette femme avait senti son érection, quand il l’avait aidé à se relever.

L’un dans l’autre, qu’elle l’ait senti ou pas, ça ne le dérangeait pas. Elle était habillée comme un garage à putes prêt à se faire engrosser par une tournante sauvage un soir de fête. Il était normal qu’il bande en la voyant.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 09 février 2014, 15:54:23
Quand la tueuse lui pondue qu'elle était une Pute, l'bonhomme hésita quelques secondes... Puis il fini par ranger son révolver dans son holster. Ah ce moment précis une petite boule se creva au niveau du ventre de la Duchesse... Bien jouer Lulu, ta tête restera sur tes épaules encore une soirée.

« Ouais, ça me va. T’en fais pas, poupée, tu risques rien. »

Maintenant que ce type de montrais plus aucun signe d'animosité envers notre tueuse, cette dernière pris le temps de mieux le regarder. C'était un beau gaillard, un blondinet plutôt musclé avec un chouette tatouage au bras gauche, un mec plutôt appétissant en somme... Aller Lulu... Dit pas que là, t'as pas envie te le faire st 'inconnu... Hm ? Une bonne baise bien hardcore des les chiotte, ça lui manquer à la tueuse et là... Elle sentais une petite flamme monter en elle... L'homme aida notre psycho' à doucement ce relever, lui adressant au passage, un p'tit sourire. Ma fois il n'avait plus l'air si effrayant, notre tueuse se laissa soulevais sans mal par cet homme, ce retrouvant ainsi à quelques petits centimètres de lui. Il sentais le mâle, l'animale, la bestialité à plein nez ! Non pas qu'il sentais mauvais non, oooh grand non ! Notre Lulu adorait ce parfum, et le sentir là, tout prêt d'elle ne fit que l'exciter plus encore. D'ailleurs... en parlant d'excitation... Notre tueuse put légèrement sentir une petite bosse au niveau du pantalons de ce beau mâle, serait il lui aussi en proie à l'excitation ? L'homme complimenta ensuite la Duchesse sur ça tenue, certes il est vrai que le latex lui aller bien, ça la moulait bien de partout mais sans entraver ses mouvement, c'était léger et bien plus solide que le tissus et de plus c'est beaucoup moins dure à nettoyer.

Merci beau mec... mais tu n'es pas non plus... Dit elle en lui adressant un petit sourire en coin.

La Tueuse vit ensuite le bel inconnu s'éloigner un peu d'elle, regardant ainsi la pièce ou ils se trouvaient tout les deux. Ouai... c'était des chiottes... miteuses et insalubres, mais au moins il y avait de l'eau, la ventilation fonctionnait encore, donc au fond, était ce ci mal que ça ? Bas... Pour une tueuse en série soi disant morte et qui cherche à ce cacher... C'est pas trop mal.

« Ah, navré de t’avoir menacé, mais je m’attendais pas vraiment à voir du monde en traînant par ici. Si tu me disais ton nom ? Je peine à croire qu’une pute puisse trouver des clients dans un endroit pareil... Et, vu que l’emballage est à la hauteur du contenu, je me doute que tu dois pas manquer de clients prêts à te sauter dessus.   

Je... Mon nom ? Je...  

Oui Lucrezia, ton nom...

Je... Hum ! Je m'appelle Lulu...  

La tueuse contourna alors l'inconnu afin de rejoindre une nouvelle fois les lavabos. Elle se saisit alors de sa nouvelle petite sacoche, une vieille sacoche de premier secours qu'elle avait réussi à dégoter dans une autre station désaffectée. Elle en sortie une petite pochette pleine d'une fine poudre beige, du crak pour êtres précis. La tueuse l'avait trouvée dans une galerie, surement perdu par un clodo ou une quel qu'onc junkie. Mais la tueuse était pas en très bonne état, la dope la rendais un chouia moins habille et la petite pochette eu vit fait de filait entre les doigts de la Duchesse, tombant alors à ses pieds.

Put... Merde... Crotte !

Ohlalala, quel langage ! La tueuse se pencha alors pour ramasser le petit pochons, exhibant sans vraiment le vouloir, sa culote rose fuchsia. Ouai... rose fuchsia, comme ci c'était pour attirer le regard... D'ailleurs, un œil aguerrie aurais remarquer le contour des lèvres intimes de la tueuse se dessiner sous le tissus. Une fois le p'tit pochon récupéré, Lucrezia se redressa lentement, en remettant au passage le bas de son uniforme en place en tirant un peut dessus. Elle jeta au passage un petit coup d'œil au bel homme par le biais du miroir... Et à la vue de la petite bosse au niveau de l'entre-jambe de l'inconnu, Lucrezia arqua son sourcil gauche... Ouai Lulu, tu lui fait un effet bœuf ! La tueuse resta quelque secondes les yeux rivait sur le miroir, à contempler la bosse du bel homme. Elle se mordit la lèvre inférieur avant de dévier son regard vers autre chose... Sa sacoche tiens ! Elle est belle sa sacoche...

Dit moi... Serait il possible de me faire un petit massage ? J'ai un peu mal dans le bas du dos en ce moment...

Bordel Lulu ! C'est sur, avec des ballons pareilles tu m'étonne que t'as mal au dos.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le lundi 10 février 2014, 02:12:16
Quand elle se retourna pour aller vers les lavabos, Ulrik en profita tout naturellement pour observer son dos, et ses fesses. Sa robe en latex moulait plutôt bien ses formes. Une pute... Curieusement, il avait du mal à croire à cette affirmation, sans toutefois pouvoir vraiment préciser en quoi. Il pensait plutôt à une camée, l’endroit était plus indiqué... Ou à une fugitive. Une fille qui se terrait ici pour fuir on ne sait trop qui. Elle avait un air... Comment dire... Elle ressemblait un peu trop à une dominatrice pour vraiment avoir la forme d’une pute. Elle avait de solides jambes, des hanches fermes, un corps élancé. Ulrik la matait délibérément, sentant sa mission disparaître rapidement. De toute manière, ce n’est pas comme s’il avait un planning chargé, et, quand il vit la femme s’agenouiller, avec cette robe qui se mit à remonter le long de ses cuisses, découvrant une culotte rose qui moulait ses formes, laissant apparaître ses lèvres intimes qui se découpaient le long du tissu, il sentit son érection s’accroître. Difficile de s’extraire du charme d’une magnifique femme bien roulée, même dans un endroit où il s’attendait à tomber à tout, sauf sur une femme comme ça. Elle sonnait faux dans ce décor, comme s’il y avait un piège, comme si elle était là pour le perturber, pour l’attirer dans un traquenard.

Elle lui expliqua s’appeler Lulu, sûrement un surnom, à moins que les habitants de ce monde soient vraiment très cons, et en profita pour loucher sur son érection. Elle le fit de manière discrète, en observant le miroir, mais Ulrik n’était pas dupe, et lui-même en profitait pour mater son dos, ses fesses, ainsi que ses interminables jambes. Il ne pouvait pas nier que cette femme l’excitait. Elle était d’une beauté redoutable, une beauté sombre, dans le style femme fatale... Un style que le bourlingueur savait apprécier. Pendant un certain temps, aucun des deux ne vint à parler. Ils se contentaient de se dévisager.

« Dis-moi, lâcha-t-elle alors. Serait il possible de me faire un petit massage ? J'ai un peu mal dans le bas du dos en ce moment... »

Il se mit à sourire, un léger rire, puis s’avança vers la femme, et se glissa dans son dos, posant chacune de ses mains sur ses hanches.

« Dans le bas du dos, hein ? »

Sa question était légèrement sceptique, et il se pencha un peu contre la femme, approchant sa bouche de son cou, léchant brièvement cette belle peau. Il ignorait totalement qu’il avait affaire à une femme dangereuse, une psychopathe qui avait été activement recherchée par les forces de police, mais il se doutait bien qu’elle était dangereuse. C’était dans son allure, dans ses yeux, dans cette absence de peur qu’il discernait dans la manière dont elle évoluait. Oui, elle était dangereuse, et il aimait ça. Il aimait ce parfum, cette sensation, ce contact sur ses doigts. Ses mains remontaient lentement, explorant ce latex, appréciant la forme de cette femme, ses côtes doucereuses. Son sexe heurtait ses fesses, remontant un peu, et il l’aida à se retourner. Elle était coincée entre lui et le lavabo, et, le temps qu’elle se retourne, il fit tomber sa veste.

Il se croyait dans un scénario d’un mauvais film porno. Comme quoi, la vie révélait parfois bien des surprises. Face à cette femme aux seins énormes, à la beauté infernale, il respira lentement, son visage près du sien, leurs yeux s’observant.

« J’avais prévu de ne pas rester en venant ici... Mais je crois bien que je vais faire une pause un peu plus prolongée que à ce quoi je m’attendais. »

Il avait l’impression que cette réplique sortait de la bouche d’un mauvais acteur. Il se rapprocha, et l’embrassa lentement sur les lèvres, se pressant un peu plus contre elle. Ses lèvres bleues sentaient légèrement l’alcool, mais ce baiser était nécessaire, nécessaire pour qu’il se persuade qu’il n’avait pas affaire à une sorte de vision de l’esprit, de mirage. Non, cette femme était bien réelle. Et ses lèvres étaient savoureuses.

Rompant le baiser, il demanda alors :

« Juste... C’est une tradition culturelle, chez vous, de foutre des nanas bien habillées dans des stations de métro abandonnés, ou j’ai eu un coup de bol ? »

Vu la tournure de sa phrase, « Lulu » devrait sans aucun doute comprendre que l’homme qui venait de l’embrasser n’était pas d’ici.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 10 février 2014, 11:32:27
L'homme s'approcha de notre tueuse et délicatement il se mis à se pencher sur son cou, passant sa langue sur ce dernier avec délicatesse. Puis doucement, langoureusement il se mis a parcourir les formes voluptueuses de la Duchesse, partant de son bassin en remontant lentement vers ses cotes. Bordel... Lulu ce sentait revivre, ça faisait presque deux mois que personne l'avais touché et... Et bordel ! Elle sentais la virilité de ce type contre ses fesses ! Lucrezia regarder fixement l'homme aux travers du miroir en se pinçant les lèvres mais... Son esprit était ailleurs. Là, dans sa tête, elle imaginais une violente sodomie conte se putain de lavabo, elle imaginais se type la prendre comme une chienne, lui baiser violement le cul, envoyant des coup d'butoir si puissants que ses pieds ne toucheraient plus terre... Bordel Lulu... Maitrise toi, car mine de rien, de telle pensées commence à légèrement humidifier ta culotte.

la tueuse pris une grande inspiration en fermant les yeux, sentant doucement l'homme la retourner face à lui... Il enleva sa veste et... Bordel... Qu'il était bon ! Son débardeur noir moulait légèrement des abdos que la Duchesse mourait d'envi de toucher, de lécher, d'embrasser... Le contact charnel lui manquais atrocement et ce soir... C'était le soir de la libération. Elle était coincée entre ce grand type et le lavabo, elle se sentais un peut soumise mais surtout elle se sentais atrocement chaude et fiévreuse... Son bas ventre la démangeais mais... Nan, elle devait attendre encore un peu... Faire monter la pression, et une fois cela fait... Elle enlèverais la soupape !
 
« J’avais prévu de ne pas rester en venant ici... Lâchât il. Mais je crois bien que je vais faire une pause un peu plus prolongée que à ce quoi je m’attendais. »

Une pause ? Ooooh grand oui bordel ! Elle ne voulait que ça ! Une "pause" bien hard et bien violente, elle voulait qu'on lui défonce le col, la rondelle, la gorge, tout... TOUT ! Elle en pouvait plus ! Pire que toutes les dope, c'était bien le sexe ! Lucrezia était dévorée par ses pulsions et là, elle se battais pour ne pas sauter sur se type et ce mettre à lui bouffer la queue comme la pire des catins... Nan Lulu... Laisse encore montais le désir...

Notre tueuse bouffais cet homme du regard, ça sentais les hormones à plein nez, accentuant fortement la Libido dévorante de la Duchesse... Elle se mordit une fois de plus les lèvres, imaginant en une fraction de seconde des tonnes de scènes plus hardcores les une que les autres...

L'homme embrassa langoureusement la Duchesse, posant ses mains baladeuses sur les hanches de la tueuse, la rapprochant encore un peut de lui... Putains cette queue ! Elle la sentais contre son ventre, elle pouvait sentir le pouls de ce type au travers de sa teub en érections, tendis que ce baiser semblait s'éterniser. L'homme brisa se petit moment, et parla une nouvelle fois à notre tueuse.

« Juste... Reprit il alors C’est une tradition culturelle, chez vous, de foutre des nanas bien habillées dans des stations de métro abandonnés, ou j’ai eu un coup de bol ? »


Euh... Nan, disons que moi... Euh...

Aller... Dit le ! Dit le qu'tu t'cache là pour pas que les flics te chope, d'toute façon tu vois bien qu'ce type est un étranger alors tu peut tout lui balançais, tu crains rien.

Moi j'aime bien ce genre d'endroits... On est au calme étou...  

Ah ça... Tu peux l'dire, te faire troncher sur un urinoir ou tailler des pipes au travers d'un trou, on peut dire que t'aime ça... Ouai. Sans compter que ce genre "d'endroit", comme tu dis, c'est bien pour se shooter la gueule comme la sale putain de junkie que tu es, et fait pas genre, si tu aime les chiottes autant que ça, c'est en partie pour les deux raisons que je viens de citer... Et quelques autres que nous ne dirons pas là parce que faut pas tout dire... (haaan bas oui Gaspard...*)


La tueuse glissa ses mains sous le débardeur de ce type, caressant amoureusement les beau abdos de cet inconnu dont elle ne connaissait pas le nom... Et enfaite elle s'en foutait pas mal, elle ce qu'elle désirait c'était que ce type se purge en elle, qu'il lui remplisse tout les orifices bien comme il faut, elle voulait qu'ça lui dégouline le long des cuisses étou... Enfin, en gros... St 'une salope... Elle continuait tendrement ses caresses, elle pouvait sentir l'animosité derrière ces belles tablettes de chocolat... Elle souleva le dit débardeur jusqu'aux pectoraux de l'inconnu puis... Doucement elle vint à poser ses lèvres contre se beau torse, les faisant glisser contre le tétons gauche de ce beau monsieur, tétons quelle lécha doucement tout en continuant d'apprécier du bout des doigts les abdos saillants de ce mâle venu de nul part.

HmmmMmMm...  Gémit elle en descendant petit à petit ses lèvres vers les abdos, laissant au passage une trainait de bleu à lèvres sur le corps de ce monsieur. Et une fois les abdos atteint, elle les lécha et les embrassa amoureusement en continuant de les palpait avec ardeur... Sentant par moment, la virilité de cet homme, frottait contre son menton.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le mercredi 12 février 2014, 01:20:46
« Moi j'aime bien ce genre d'endroits... On est au calme étou... »

Même Ulrik, pourtant prompt à croire n’importe quel bobard quand une fille l’échauffait, et qu’il se retrouvait avec la queue qui le démangeait, ne croyait pas une seule seconde à cette histoire. Cette fille n’était pas nette, il le sentait autant que le cul d’un mammouth puait, mais il s’en foutait. Elle était bonne, et il sentait dans ses yeux une phénoménale envie de baiser. Gentleman avant tout, il envisageait bien de la satisfaire. Ses lèvres avaient un goût délicieux, et il sentait toute sa tension, toute son envie de baiser. Maintenant que les esprits étaient calmés, que chacun des deux était plus ou moins convaincu que l’autre ne chercherait pas à le tuer, les fantasmes pouvaient s’exprimer. Cette poupée bleue en latex était irrésistible, et, s’il y avait là-dedans une sorte d’impression surréaliste, le bourlingueur s’en accommodait sans problème. Son visage était proche du sien, et il la laissa venir à l’assaut de son corps, embrassant son torse, écartant son débardeur, pour glisser lentement sur sa peau, aspirant sa peau, délivrant une série de suçons.

Un bref soupir traversa les lèvres d’Ulrik, qui alla à nouveau poser ses mains sur ce corps, agrippant ce latex, le caressant lentement, en éprouvant la texture. Très agréable. Cette femme était délicieuse, et fit lentement glisser ses lèvres le long de son corps, caresser ses pectoraux, tout en fléchissant les genoux, démontrant une certaine habileté. Si ce n’était pas une pute, il était en tout cas convaincu qu’elle n’était pas vierge. Peu importe ce qu’elle foutait là, Ulrik n’avait pas l’intention de sympathiser outre mesure. Il ne savait rien d’elle, elle ne savait rien de lui, et c’était mieux ainsi, car il avait une intuition, une petite voix lui soufflant qu’il n’aimerait pas en savoir plus sur cette femme. Autant qu’ils restent à l’aspect extérieur des choses. Un coup de baise dans ces chiottes pourries, l’homme n’en demandait pas plus. Il se viderait les couilles une bonne fois, tout simplement.

Elle continuait à l’embrasser, se rapprochant de son sexe, faisant malicieusement glisser son menton sur sa bosse, la durcissant davantage, la grossissant. Elle savait y faire, et Ulrik caressait ses cheveux, glissant dessus.

« Hum... T’es une vraie salope, toi... On est faits pour s’entendre. »

Il caressait ses cheveux, tout en veillant à ce que sa tête reste plaquée contre son torse, et aventura son autre main, caressant sa joue, avant de déboutonner son pantalon. Il tomba assez rapidement, révélant un boxer déformé par son sexe, qui était de plus en plus de se tendre. Ulrik insistait avec sa main, et découvrit son sexe en tirant sur le sous-vêtement.

« Descends plus bas, ma chérie, va là où tes lèvres doivent aller... Suce donc, c’est gratuit. »

Il ne s’était pas trompé. Cette femme était en manque, et, quant à lui, il était toujours en manque quand il voyait de belles femmes. Il la guida donc vers son sexe, et l’enfouit entre ses lèvres, puis soupira de plaisir.

Comme ça, c’était parfait.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mercredi 12 février 2014, 18:06:32
« Hum... T’es une vraie salope, toi... On est faits pour s’entendre. »

Tu l'a dit bouffis ! On trouve difficilement plus cochonne que Lulu, et ça, même dans cette ville remplies d'personnages libidineux. Cette Duchesse du crime et autant une tueuse, qu'une suceuse en série, adorant la sodomie profonde et tuant par simple désir sexuel. D'ailleurs... C'est en partie ça qui rend la Duchesse ci... singulière. Les meurtrières en séries, habituellement, sont discrète et utilise le poison, un moyen propre et efficace d'atteindre leur but, qui la plupart du temps est :

- soit l'argent (veuve noire)
- Soit la recherche de pouvoir (ange de la mort)

Mais Lulu ce démarque des autres tueuses sérielle de part sa violence et son atrocité et surtout de part son but, qui est, en partie, de combler des pulsions d'ordre sexuelles, faisant d'elle une sorte de mélange entre une ange de la mort et une "lust killer".

Bref, cessons  là la psychologie criminelle, d'toute façons je suis sur que ce bon Monsieur s'en  branle à l'heure qu'il est... Comme la Duchesse d'ailleurs, trop absorbée par cette affaire qui était, de ce soulager la conscience avant son come back dans les rues de cette ville. Alors qu'elle s'affairait à embrasser les muscles saillants de cet inconnu, palpant délicatement de bout de ses lèvres et de ses doigts les magnifiques tablettes de cet homme d'un soir. Ce dernier paso délicatement l'une de ses mains dans les cheveux de notre Duchesse qui, les yeux fermés continuait d'apprécier les abdos de l'inconnue. Puis... Soudain, elle entendue un bruit ressemblant à un bruit de ceinture que l'on débrailler... Oui Lulu, ce bonhomme est à deux petits doigts de te montrer sa belle verge dressée, tu sais, l'objet de tout tes désires de salope en chaleur. La tueuse rouvrit alors ses beaux yeux turquoise, voyant ainsi ce dressée devant elle une grosse bosse dissimulée sous un boxer blanc... Bordel Lulu... ça ! C'est un morceau d'barbaque ! L'homme tira ensuite sur le dit boxer et Notre tueuse put enfin la voir... Ce mec avait une queue énorme ! Lucrezia en avait peine à croire, là, les yeux grand ouvert devant cette tour Eiffel de chair, notre tueuse resta quelque peu bouche bais... Tellement bouche bais que... L'homme n'eu aucun mal à gentiment glissait la baguette dans le four, enfin baguette... Vu les proportions de la bêtes, c'était clairement un bon gros pains de campagne format familiale que Lulu avait dans le bec.

Levant ses yeux vers cet homme, Lulu hocha doucement de la tête, faisant signe à son amant qu'il pouvait, ci il le désirait, commencer l'irrumation... Mais visiblement ce dernier ne compris pas le message, ou avait il tout simplement envi de laisser faire la Duchesse, histoire que ça bouche s'habitue à cet énorme braquemart, braquemart qui pour l'heure n'était pas entièrement enfonçait dans sa bouche, juste le gland y était... Un bon gros gland comme Lulu les aime.
 
Ne quittant pas l'inconnu du regard, Lulu cligna doucement des yeux tout en ce cambrant légèrement. Puis, doucement elle glissa sa mains droite le long de la jambe de l'homme, atteignant petit à petit la verge de ce dernier.
Une fois celle-ci atteinte, elle fit comme une sorte d'anneaux avec son pouce et son index, anneaux qu'elle glissa le long de la verge jusqu'à sa base, histoire de bien la décalotter. Puis doucement Lulu se mise à "tater le terrain", passant sa langue derrière le gland de l'inconnu... Visiblement, il avait une bonne hygiène.

Ouf...

Ouf ?... Ouf !?  Ouf Quoi ?! OOOOOOooooh ! Je t'en prie Lucrezia, fait pas celle qui n'aime pas ça, hein. Combien de fois t'as peut en sucer des queues avec du smegma, hm ? Et on pouvait pas dire que ça te dérangeait plus que ça, alors s'il te plait... Pour le coup, tais toi.

Une fois le terrain jaugé, Lulu put enfin commencer à avaler la queue de cet homme, une putain de belle queue d'au moins 30cm, facile ! Elle était ci belle cette queue que... Lulu ne put pour l'instant pas l'avaler entièrement, préférant surement garder la gorge profonde pour plus tard. Là, elle devait y aller mollo. Donc elle commença par une petite mise en bouche classique, caressant doucereusement la hampe de cette verge de long en large, titillant au passage le gland chaud et turgescent du bel homme. Il semblait ravit d'ailleurs. Puis au final, elle commença petit à petit à sucer la belle queue qui lui était offerte, pompant amoureusement ce phallus gargantuesque qui emplissait quasiment toute sa bouche, alors qu'il n'était enfoncé qu'à moitie. La belle Duchesse empruntant ensuite un délicat mouvement de vas et viens en laissant s'échapper de langoureux petit gémissements de plaisir et de gourmandise... S'te coquine...

De longues et tendres minutes s'écoulèrent, la Duchesse prenait plaisir à délicatement caresser les belles bourses pendouillantes de l'homme tout en continuant de lentement lui prodiguer des soins buccaux digne de Venus elle même. La tueuse aspirait par moment de l'air de façon à creuser ses belles joues, histoire que l'homme ce souvienne de cette pipe toute ça vie... Et surtout parce que Lulu elle aime sucer et qu'sa fait un baille qu'elle a pas eu un aussi gros bout d'viande dans l'bec.

Au final, Lucrezia fini par doucement retirer ce beau sexe de sa bouche, resserrant ses lèvres juste au moment ou le gland aller les passer. Une fois sortit du fourreau, Lulu regarda une nouvelle cet homme dans les yeux, avec en prime de la bave et du pre-sperme que qui reliaient sa bouche au sexe du dit homme.

Elle attendait la suite, soit... Un baisage de gorge en bonne et due forme.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le vendredi 14 février 2014, 01:33:21
Après avoir servi de rat de laboratoire, Ulrik avait pu constater que l’un des effets secondaires de ces expériences avait été un accroissement de son sexe, ce qui était lié à une augmentation de son rythme sanguin et de ses pulsations électriques. Ulrik n’avait pas tout compris, si ce n’est que, maintenant, il avait un sexe assez massif. Sans être excessif, il pouvait se targuer d’avoir une superbe verge, et cette poupée de latex, qui avait l’air d’être un croisement entre une pute et une psychopathe sadique, excitait son membre avec force, le durcissant amplement. Elle était face à son chibre, et, avant de le prendre entre ses lèvres, en palpa la matière, l’éprouvant avec ses doigts de latex. Sentir cette peau délicieuse sur son sexe le faisait trembler, et sa main se raffermit sur la chevelure bleue de la femme, la pressant, tandis qu’elle continuait à caresser ce sexe, l’emprisonnant entre ses doigts. Un léger soupir s’échappa de ses lèvres, et il remua un peu son corps, ses fesses heurtant le mur carrelé. La main de Lulu s’amusait sur son sexe, glissant dessus, de bas en haut, allant à la base de son sexe, avant de remonter. Elle savait y faire, et, si elle prenait son temps, c’était sans doute parce qu’elle voyait ce vit comme un gros gâteau, un repas délicieux, à savourer longuement, et avec appétit, afin de n’en rien gaspiller.

Une fois sa main utilisée, elle la remplaça par ses lèvres, tout en titillant ses testicules. Fermant les yeux, Ulrik soupira longuement, entre ses lèvres entrouvertes, basculant sa tête en arrière. Elle heurta le mur, et chacune de ses mains se posa sur la tête de Lulu. Ce latex... Il adorait le sentir sur sa peau, glisser sur elle, excitant son membre, remuant dessus. Et sa bouche... Ses lèvres étaient merveilleuses, sa salive filant sur son membre, le faisant plonger dans un liquide délicieux. Continuant à soupirer, Ulrik caressait les cheveux de la femme, se cramponnant à ses mèches, la laissant faire, sans chercher à la repousser, ou à la forcer à agir. Elle prenait son temps, et il aimait ça... Quand c’était long et sensuel, quand on prenait le temps... Comme pour faire monter toute la tension, avant de la relâcher d’un coup.

Elle prenait son temps, glissant le long de sa queue, l’enfournant de plus en plus. Se faire sucer, c’était vraiment le pied. Il n’y avait pas à dire, Ulrik adorait ça, et il bandait littéralement en sentant cette salope glisser sur son sexe. Elle y allait lentement, pour l’exciter, pour réveiller ce côté brutal et dominateur que les femmes aimaient souvent chez les hommes. Ulrik avait appris à le savoir, à force de se balader dans l’espace, et de croiser les minettes. Officiellement, elles rêvaient toutes de l’homme calme et mûr, celui qui avait de l’oseille, des beaux vêtements, mais, profondément, hommes et femmes restaient des bêtes primitives... Et une bête primitive aimait quand c’était ardent, quand ça remuait et que c’était violent. Or, le sexe avait pour lui de rappeler aux gens leur caractère primitif, car il n’y avait rien de plus primitif que le fait de baiser. Ulrik se laissait aller, mais il savait où Lulu voulait en venir. Elle prenait son temps, le titillant, l’excitant, pour qu’il la défonce. Un sourire amusé éclaira son visage, alors qu’il ramena sa figure en avant, observant cette belle femme.

Lentement, elle retirait sa bouche de son sexe. Il était chaud, pulsant, recouvert de sa salive, et le bourlingueur raffermit sa prise sur les cheveux de la femme, et entreprit alors de la baiser. Il remua son bassin, et enfonça son sexe en elle, puis ramena ce dernier en arrière, et l’enfonça encore. Le geste n’était pas très compliqué, mais très intense, se renforçant progressivement. Ulrik soupirait sous l’effort, enfonçant son sexe toujours plus loin. Plus les gestes se prolongeaient, plus il était facile d’enfoncer sa queue en elle. Son membre se perdait dans sa bouche, tapant contre sa gorge, glissant, remuant, frappant, crachotant en elle, dans sa salive, tandis que ses mains l’immobilisaient. Elles étaient fermes, veillant ainsi à ce que la femme ne bouge pas. Parfois, il arrêtait les mouvements pendant quelques secondes, en enfonçant son sexe aussi loin qu’il était possible de le faire dans sa bouche, si bien que ses testicules heurtaient le menton de la femme. Il restait alors ainsi pendant quelques secondes, savourant ce contact, en oubliant presque de respirer, avant de reprendre, sur un rythme toujours plus fort, toujours plus rapide.

Les dents de la femme raclaient contre son membre, et les minutes continuèrent à défiler. De la sueur coulait le long du torse d’Ulrik, qui avait chaud, son corps en proie à une activité physique particulièrement intense.

« Hum... Haaaa... »

Il poussa un léger soupir, et continua à donner des coups de reins, baisant de plus en plus fortement la bouche de la femme, l’empêchant très certainement de pouvoir boire sa salive, son sexe se faisant de plus en plus agressif. C’est dans ce scénario qu’Ulrik finit par se déverser en elle, donnant des coups de reins un peu plus forts en jouissant, avant de lentement se calmer, son rythme décroissant, tandis qu’il continuait à larguer des giclées de sperme dans sa bouche.

Il se calma progressivement. Son sexe avait légèrement dégrossi sous l’effet de cette érection, mais il tint rapidement à rassurer la belle femme :

« C’est bon de jouir en toi... Mais j’en ai pas encore fini totalement avec toi, rassure-toi... Loin de là, même. Tu mérites d’être honorée comme il se doit, ma belle. »
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le vendredi 14 février 2014, 17:38:09
à peine Lulu avait elle fini de tailler sa pipe, que l'homme vint à remettre sa belle queue dans la bouche de notre tueuse, raffermissant sa prise au niveau de sa tête, enfonçant graduellement son sexe dans sa bouche... Lulu, quant à elle, levait les yeux vers ce belle inconnue qui, Elle hoqueta quelque peu en sentant cette verge monstrueuse lui caressais la luette, tirant au cœur à plusieurs reprise sans, fort heureusement, vomir sur les godasses du type. Halala... Quelle grosse gourmande notre Lulu.
Plus les choses allaient, plus l'homme enfonçait loin son sexe dans la gorge de Lulu, cette dernière commençait à manquer d'air, cette queue gargantuesque emplissait toute sa bouche et son gland arrivait bientôt au fin fond de sa gorge chaude et étroite... Bordel.  La sensation était à la fois douloureuse et... Affreusement bonne. Lucrezia ferma ses yeux, et entrepris de respirait doucement par le nez. La Duchesse sentais que sa allait crescendo, que l'homme allait de plus en plus vite, qu'il était de plus en plus violent dans ses coup d'butoir. Lucrezia adorais ça bordel ! Se sentir dominée par un homme qui lui labouré violement la gorge, ce cramponnant fermement à sa belle chevelure... Bordel ouai ! Lulu kiffait un max !

« Hum... Haaaa... »

A partie de là... Tout est allé très vite... Et très fort aussi. L'inconnu agrippa fermement de ses deux mais la tête de notre tueuse et d'un coup sec il envoya son vit au fond de sa gorge, sans aucune douceur ni aucun pitié et ça a plusieurs reprises, Lucrezia avait les sourcils fronçait, elle essayait de respirait tant qu'elle pouvait par le nez mais... Cette baise devenait particulièrement hard ! Mais sous son apparente "souffrance" Lulu était en réalité entrain de prendre son pied ! Elle savait que cette soudaine monté en puissance voulais dire, elle savait que là... La purée aller sortir ! Le rythme s'accélérait, les coup devenait de plus en plus fort et au final...

Gggggh!!!!!

La tueuse écarquillât grands ses yeux en sentant la chaude semence de ce monsieur lui exploser dans la gorge... Puis se fut bien d'autres giclées qui suivirent, accompagnées d'autres coups d'butoir moins violent. Les yeux de Lucrezia se révulsèrent, elle avait du foutre pleins la bouche, la gorge et il y en avait même qui lui sortait par le nez... C'est dire. Au final, l'homme se retira lentement, laissant à la Duchesse le plaisir de savourer la chaude laitance qu'il venait de lui mettre. Une fois que Lulu eu la bouche libérée, son premier reflexe fut de prendre une grande bouffée d'air... Puis de tousser juste après, recrachant un peu de sperme au passage. La jeune femme haletait comme une petite chienne, tandis que l'homme la regarder en lui adressant la parole.

« C’est bon de jouir en toi...
 Lâchât il Mais j’en ai pas encore fini totalement avec toi, rassure-toi... Loin de là, même. Tu mérites d’être honorée comme il se doit, ma belle. »

Ah bas là déjà, j'trouve qui tu l'a bien honoré.

Lucrezia le regarda avec des yeux de chiennes en chaleur, haletante et toute essoufflée avec du foutre plein la bouche, venant jusqu'à dégouliner dans son décolleter.

Je...Haaaa... haaan... Je... Ouiii... Honore moi... *glups*... Haaa

Doucement, Lucrezia se releva, tournant lentement le dos à son amant d'un soir. Elle posa ses deux mains sur le lavabos avant de gentiment tortiller du cul devant l'inconnu... Nan les amis, je sais à quoi vous pensez, mais ce n'est pas encore pour toute de suite.

J'ai... j'ai goutée à ta sucette... Maintenant viens donc me lécher l'roudoudou ♥

Oui... Lulu aime les sucreries. Cette dernière releva doucement le bas de sa combinaison en Latex, laissant le soin au bel homme de lui baisser la culotte. Culotte sur laquelle on pouvait voir un gros trait humide signe que notre tueuse était vraisemblablement bien chaude... Quoi ? Vous vous en doutiez ?
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le dimanche 16 février 2014, 02:21:50
Salive et sperme coulaient de la bouche de cette femme. Son charme si particulier, cette aura spéciale, exerçait sur Ulrik une sorte de fascination croissante. Il se sentait comme électrisé, et en avait totalement oublié sa mission. Tout ça semblait trop bon pour être vrai. Tomber sur une femme au hasard dans des toilettes abandonnées, voilà qui était cocasse ! L’homme respirait lourdement en la regardant. Les yeux de cette femme luisaient de désir, comme si elle était en manque... Il était alors convaincu qu’elle devait être folle. De toute manière, il fallait l’être, pour vivre dans un tel endroit. Il avait bien vu les traces de bouteilles, les sacs plastiques déchirés jetés sous l’évier... Cette femme vivait ici. Depuis combien de temps, il ne saurait le dire, mais, vu la taille de ses hanches, et ce corps aux formes généreuses, ça ne devait pas non plus faire une éternité. Autrement, elle serait rachitique. Sans doute devait-elle se croire en train de rêver, tellement en manque qu’elle attendait la venue d’un homme depuis des décennies... En d’autres termes, Ulrik aurait presque pu se sentir investi d’une mission divine, d’autant plus que lui-même peinait à croire que tout ça soit réel. Il avait le sentiment diffus d’être ne train de rêver, comme s’il avait inhalé une sorte de produit chimique hallucinogène. Pour autant, les réactions de son corps, elles, étaient crédibles, et bien réalistes. Il ne pouvait pas l’imaginer, tout simplement.

La femme le regardait, avant de se mettre à parler, d’une voix lente, forte, sensuelle, marquée par la passion. Elle se releva, et il s’écarta légèrement, son sexe pointant hors de ses cuisses, la tête légèrement baisse. Son membre lui faisait moins mal, mais, tandis qu’elle avançait, il se masturbait, frottant sa queue trempée, la durcissant à nouveau. Il fallait l’honorer comme il faut, en effet. Elle lui tourna le dos, posant ses mains sur le lavabo, courbant ensuite son dos, le creusant en lui offrant la vue de son croupe, relevant sa combinaison en latex. Derrière elle, il put voir sa culotte, d’un rose blafard. Elle remuait ses fesses, comme pour l’inciter à venir, ses mains de part et d’autre du lavabo, son visage se reflétant dans le miroir.

« J'ai... j'ai gouté à ta sucette... Maintenant viens donc me lécher l'roudoudou » demanda-t-elle.

Ulrik réfléchit silencieusement. Lécher ce cul, voilà qui était tentant... Mais, l’enculer à sec, voilà qui était vraiment trippant. Il se rapprocha lentement. Si cette femme avait été un peu moins salope, si ce décor avait été autre chose que des toilettes sordides, et s’il n’avait pas eu le sentiment de se taper une folle, ou d’être dans une sorte de jeu télévisé, d’expérience farfelue visant à voir si de parfaits inconnus pouvaient coucher entre eux dans l’endroit le plus improbable qui soit, Ulrik aurait sans doute hésité. Là, il devait bien admettre que voir ce petit cul le tentait. En l’observant plus attentivement, il put constater qu’elle mouillait déjà, ce qui acheva de le convaincre.

Toujours sans rien dire, le bourlingueur de l’espace se rapprocha, et posa chacune de ses mains sur les fesses de Lulu, appréciant sa croupe, tout en se pressant contre elle. Il huma ce latex, tout en regardant le visage de la femme par le miroir crasseux. Comme pour mieux la titiller, il mima des coups de butoir contre ses fesses, continuant à durcir son sexe, afin qu’il retrouve sa première érection. Sa verge glissait contre les fesses bien rondes de cette femme, ce délicieux cul, qu’il comprimait entre ses mains, tout en observant son opulente poitrine. Elle avait un magnifique décolleté, un corps de rêve.

« Hum... Putain, ma chérie, ton cul est magnifique... Et, puisque tu as affuté ma sucette, je crois bien que je vais continuer à t’explorer avec... Ose me dire que tu n’en as pas envie... »

Il s’écrasait contre son dos, remontant ses mains le long de sa taille, filant ainsi vers ses seins. Sans vouloir enlever cette combinaison, qui lui allait si bien, il agrippa chacun des pans de son espèce de veste, tirant un peu sur eux, à hauteur de ses seins, tout en approchant ses lèvres de son oreille. En attendant, sa verge glissait sur la croupe de la femme, enfonçant un peu sa culotte entre ses fesses. Se rapprochant de son oreille, il lui lécha la peau, tout en continuant à parler, à la tenter :

« Je vais te défoncer le cul comme si tu étais la pire des chiennes, ma belle... Prépare-toi à hurler. »

Autant annoncer le programme. Il avança ses mains, et tira lentement sur la culotte, jusqu’à la faire glisser le long de ses jambes. Elle se retrouva à hauteur de ses cuisses, et il écarta les fesses de la femme avec ses doigts, découvrant ainsi sa croupe. Ulrik dut manœuvrer un peu, le bout de sa verge heurtant sa peau, glissant dessus, avant de finalement atteindre sa rondelle. Il donna alors un coup sec, tout en allant s’appuyer sur chacun des seins de Lulu, se crispant sur ces derniers. »

« Hurrrmpfff... Putain, ma salope ! »
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mardi 18 février 2014, 19:41:24
Lulu était là, les fesses bien en évidences, totalement à disposition de son amant d'un soir. Elle avait demandée à ce bel homme de la lécher, mais ce dernier était libre de lui faire autre chose s'il le désirait, Levrette, fist, butjob ou encore... Une bonne sodo'... Comme Lulu les adoraient tant. Rien que d'y pensait notre tueuse en frissonnait de plaisir en se mordant les lèvres d'impatiente. Dieux qu'elle aimait ça ! Elle observait ce beau mal au travers du miroir crasseux, astiquant son mat afin de le rendurcir un peu... Puis délicatement il vint à s'approcher des fesses de notre tueuse, caressant doucement sa belle paire de miches, se délectant de la peau douce et blafarde de la Duchesse. Aller Lulu... fait pas ta mijaurée... Tu vas y avoir droit, c'est sur ! Cet homme est entrain de te mâter le derche comme un vieux pervers et tu croix vraiment qu'il vas seulement te faire un petit lichette ? Oh grand non ma grande ! Soit il vas te prendre en levrette, soit il vas t'enculer !

« Hum... Putain, ma chérie, ton cul est magnifique... Et, puisque tu as affuté ma sucette, je crois bien que je vais continuer à t’explorer avec... Ose me dire que tu n’en as pas envie... »

Ooooooh que ci elle en mourait d'envie ! Là mec, ce que tu lui fait, c'est cent fois mieux qu'une demande en mariage !

Ouh... laissât elle faiblement s'échapper en sentant le sexe de ce beau mal venir se lover contre ses fesses tout en faisant doucement glisser ses mains sur le corps de la Duchesse pour au final rejoindre ses seins. La tueuse frissonna en sentant cet homme contre elle... Elle pouvait sentir son odeur, sa force... toute l'animosité qui s'échappait de lui... Lulu se sentait comme une femelle en chaleur, comme une belle petite lionne à deux doigts d'se faire labourer l'train par un bon gros Moufassa fort et virile... la tignasse en moins.


« Je vais te défoncer le cul comme si tu étais la pire des chiennes, ma belle... Sussurat il doucement à l'oreille de la tueuse en frottant délicatement sa verge conte le cul de cette dernière.   Prépare-toi à hurler. »

Ho... Hooo oui... Lui répondit elle d'une voix faible et étouffée par la désire et l'excitation.

L'inconnu se recula doucement et La tueuse regarda par dessus son  épaule en se mordant les lèvres, l'homme était entrain à présent de lui baisser sa culotte, ce qui provoqua un autre petit frissons de la part de notre Duchesse. Cet alors que d'une poigne à la fois ferme et délicate, l'homme se saisit des deux fesses de la Duchesse en les écartant de façon à dégager la vue sur la petite rondelle de notre adorable meurtrière.

Ah... Ah...

Lucrezia haletait faiblement sous l'effet de l'excitation, cet homme était à deux doigts d'lui mettre une sentence, une bonne sodomie sans préparation aucune... Un labourage de sphincter à sec ! Pour sur Lulu... Avec le gourdin que ce type trimbale... Tu vas couiner !

Oh !  Lâcha Lucrezia en sentant le gland de son amant venir au contacte de ses fesses misent à nues.

Doucement l'homme fit une petite manœuvre avec son monolithe de viande, essayant d'caser l'bestio' bien dans l'rang, ce qui, au passage, fit une nouvelle fois frissonner notre Tueuse.
L'homme se stoppa... Et... BAM !

AAH !

L'bonhomme venait d'envoyait un premier coup d'butoir dans le fion de Lulu, histoire de faire rentrer l'animale dans l'enclos... Enfin pour l'instant ce n'était que le bout d'la tête qui y était. Avec le cul serré que se payait Lulu, ce type avait tout intérêt à y aller doucement à partir de maintenant, la phase "d'entrée" était assez sportive avec Lucrezia, il fallait y aller par pallier, éviter de vouloir aller trop vite sinon... Bas sinon... ça craque et ça fait mal. Lulu était entrain de serré les dents en fermant les yeux, poussant de léger couinement, tendis que l'homme entrez doucement en elle. Notre Lulu avait peut être mal surestimée son anus pour le coup...
Elle le sentais en elle, elle sentais son énorme gourdin lui déformer le rectum d'une manière à la fois douce et terriblement douloureuse, mais allez savoir pourquoi... Elle aimait ça elle. Les poings de la tueuse se refermèrent tendis qu'au fur et à mesure que l'homme entrait en elle... Une légère larme se mise à couler sur l'une de ses joues... Lulu... aurait tu était trop gourmande ?

Qu... Quiiiii... Ah...Ahh...

Lucrezia haletais doucement... Elle avait mal mais... Elle adorait ça ! Pour preuve, des millions de frissons parcourais le corps de la tueuse... Ouai... Elle avait mal, mais elle kiffait un max s'te salope.

Ah... Haaan... J'ai... j'ai était très vilai... Vilaine...

ça... tu peux le dire...
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le mercredi 19 février 2014, 00:35:54
Il avait senti qu’elle aimerait ça. Une sorte d’intuition. Cette femme en latex avait l’air d’être cinglée sur les bords, et ceci se confirmait. Une sodomie à sec... Il s’était attendu à ce qu’elle hurle, à ce qu’elle le repousse, mais, au lieu de ça, elle se contorsionnait entre ses bras, poussant des hurlements de douleur, mais, et il en était persuadé, également de plaisir. Cette femme était une tarée, mais il ne s’attendait pas à grand-chose d’autre, dans un tel endroit. Son cul était sec comme un désert, et Ulrik dut rapidement ralentir le rythme, tout en se demandant si, en définitive, ce n’était pas lui qui allait souffrir le plus. Serrant les dents, il grognait lentement, ses doigts se crispant sur la combinaison en latex, pressant les seins tendus de la femme. Il observait son dos en soupirant lentement, glissant lentement son sexe, avant de pousser, soupirant. Son fondement n’étant pas lubrifié, il était très rêche, et déformer les parois était très difficile. Elles résistaient, et il devait forcer, sans pour autant y aller trop violemment, afin de ne pas devoir se retirer. Ulrik grognait et soupirait donc, adaptant peu à peu son rythme. Ce cul était vraiment serré, et c’était un bonheur de le défoncer. Sa température corporelle explosait, de grosses gouttes de sueur glissaient le long de son corps, et il libéra les seins de la femme, préférant poser ses mains sur ses hanches, là où il pourrait bénéficier d’un meilleur appui.

« Hurrrmpff... Pu… Putain, aaaahh... »

Le bourlingueur soupirait lentement, et préférait pousser des jurons. C’était un bon moyen d’évacuer la douleur, de penser à autre chose. Il faisait plutôt appel à sa rage, et en vint à donner de solides coups, plus forts, afin de, petit à petit, écarter les fesses de cette femme. Sa verge lui donnait l’impression d’être rouge, et il s’était rarement senti aussi vivant. Tout son corps vibrait et tremblait, et il donna une grosse claque sur le cul de Lulu en l’insultant.

« Haaa ! Haaa ! Putain, espèce de SALOPE !! Huuuuuuuunnn… Bo… Bordel de merde, aaaah ! »

Il donna d’autres coups, tandis que la femme frappait le lavabo avec sa main. Il continuait à la prendre, se sentant de plus en plus violent. Douleur et plaisir formaient comme une sorte d’épée qui s’enfonçait dans les strates de son esprit, pour former une sorte de puits allant chercher, dans les tréfonds de son être, l’animal primitif qui sommeillait en lui, une bête de sexe qui n’était uniquement motivée que par le souci de jouir. Dans ce cul sec comme une bouteille vide, Ulrik était frustré, et cette frustration brûlait en lui.

Au bout de quelques efforts, son membre commençait peu à peu à s’enfoncer. L’homme grognait et soupirait, remuant énergiquement, son sexe se frottant dans cet étau de chair. La douleur était intense, et ce devait être aussi terrible pour la femme face à lui. Pour autant, il n’éprouvait nul remords. Il avait dépassé ce stade. En d’autres circonstances, il aurait été un peu plus galant, un peu plus prévenant... Mais cette femme, en un sens, le faisait flipper. Il n’aurait pas trop su le dire, mais il y avait quelque chose qui n’était pas normal chez elle. Certes, un homme qui se promenait dans une station de métro abandonnée et s’envoyait en l’air avec la clocharde du coin n’était pas forcément un exemple de normalité, mais, même en ayant ça en tête, il y avait quelque chose qu’il ne se fixait pas avec cette femme... Une sorte de sentiment diffus qui lui échappait. L’enculer comme une biche, c’était un moyen de reprendre la main sur elle, de la voir ramper à ses pieds... Et c’est en suivant cette sage idée qu’il alla de nouveau palper son cul, lui administrant une nouvelle claque, bien forte, qui résonna dans la pièce, et en fit trembler ses mains. La tête de Lulu heurta le miroir, et, pour éviter qu’elle ne se fasse mal, Ulrik lui attrapa les cheveux, et s’écarta alors. Ses pectoraux et ses muscles furent requis, mais il put déplacer la femme, et plaquer contre un mur, l’envoyant s’écraser contre le mur carrelé, faisant sauter un carreau, de la terre glissant près des ongles de la femme.

Contre le mur, elle avait tout de la femme violée. Il posa une main sur le haut de ses épaules, s’agrippant à sa nuque, et continua à donner des coups de reins, s’écrasant contre elle, soupirant longuement, envoyant le bassin de Lulu heurter le mur, rebondissant contre ce dernier.

« Hnnn ! » soupira-t-il.

Il était écrasé contre elle, avant de se retirer, pour revenir en bloc, son sexe s’enfonçant de plus en plus dans le corps de la femme.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 23 février 2014, 12:56:17
Lucrezia sentie bien que l'homme avait du mal à faire passer la pilule, ce dernier avait voulu jouer les gros dur et enculer notre duchesse sen prépa', et bien le voilà servie. Lulu avait certes un peu être mal... Mais lui aussi visiblement, au vue des grognement et des jurons qu'il poussait. Les belles fesses de la Duchesse cacher une bien terrible épreuve pour les hommes bien montés, s'y aventurer sans vaseline et sans élargissement préalable s'avérait être une petite torture... Mais une fois totalement à l'intérieur, la récompense était de taille. Le cul de Lulu épousant à merveille le sexe de l'intrus, il ne faut rarement plus de 10 minutes à un homme avant qu'il ne lâche la purée dans la Duchesse qui prendra ensuite, un plaisir plus que gourmand à s'enfoncer les doigts dans le fondement afin de récupérer la chaude laitance qu'elle emmènera alors à sa bouche... Ouai... Lulu s'une cochonne.

Mais pour l'heure... C'était sportif, l'bonhomme suait comme un buffle à vouloir sodo' notre tueuse favorite, agrippant fermement les seins de cette dernière en envoyant de petits, mais néanmoins puissant coups d'butoir, s'enfonçant alors petit à petit, dans le cucul de lucrezia. Elle, elle couinait de douleur et de plaisir, en ce mordant la lèvre inférieur et en fermant les paupières, tachant tant bien que mal de faciliter le travaille de son amant d'un soir.
L'homme agrémentant quant à lui l'action de quelques jolies fessées bien placées. Vas y mon gars, Lulu elle aime quand sa claque !

AAAh !

Les bras puissants de cet hommes finirent ensuite par redescendre au niveau du bassin de notre tueuse, assurant ainsi une meilleur prise à notre bonhomme qui, en profita pour administrer une autre bonne grosse claque sur le cul de la Duchesse. Une claque si forte, que lulu avait le sentiment qu'on venait d'lui marquer le cul au fer chaud, comme avec les bovins. Mais bien évidement, cela ne fit qu'accentuer le désir de notre Duchesse adorée.

AAAaaah... aaaah... oui... oui...Met moi d'autres fessées...je...aaaah... je suis une vilaine infirmière...

En disant cela, lucrezia regardait par dessus son épaule avec des yeux chienne en chaleur, tentant d'augmenter le désir de ce male qui enfonçait chaque fois plus sa queue dans le rectum de notre Lulu.

AAAAh...haaaannnn ou..ou...ouii.... ha..ha..

Cet alors que l'homme donnât un coup d'butoir tellement puissant qu'il fit cogner la tête de Lulu dans l'miroir, rien de grave rassurez vous mais... Après cela, l'homme agrippa fermement la tignasse bleu de Lucrezia tout en continuant de maintenir son bassin et il alla la plaquer contre le mur, en mod "rape machine". Lulu se sentais affreusement... Bien ! Ouai, Là, elle kiffait grave sa race ! Se faire baiser ainsi s'était du pur délire, elle pouvait sentir le torse chaud de cet homme contre elle, la sueur animale lui dégouliner dans le cou et sur les fesses... Bordel, là Lulu... T'es au anges. Notre tueuse sentit une nouvelle fois le mat de cette homme rentré un peu plus en elle, ce qui la fit au passage griffer le mur de carreaux toute en serrant les dents de douleurs, poussant de surcroit de petits gémissements et de petits couinements que résonnaient dans toute la pièce.

Quiiii niuuuuuu.. put.... HAAAAaaa...ha...ha...

l'homme continua de donner de petit à-coups, jusqu'au moment où enfin... Il fut totalement à l'intérieur de Lucrezia.
L'inconnu se tortilla un peu puis, l'espace de quelques secondes, il resta immobile contre lucrezia, ce délectant surement de la délicate et chaude étroitesse de cul de la tueuse. Tueuse qui, quant à elle, frissonnait de mille plaisirs, appréciant aussi silencieusement que possible cette énorme bite profondément enfuie dans son fondement... Comme on dit, après l'effort, le réconfort.

Ou... hou... Lâchât elle faiblement, les yeux mi-clos et vides de toute émotions, faisant par la suite glisser sa mains vers sa vulve pour se mettre à doucement se masturber, décuplant ainsi son plaisir sexuel.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le lundi 24 février 2014, 02:24:18
Il avait entendu cette femme se décrire comme une « infirmière »... Ulrik ne savait pas trop quoi en penser. Il ne connaissait pas beaucoup ce monde. Est-ce que leurs infirmières avaient toutes un uniforme aussi bandant que celui-là ? Si c’était le cas, ça expliquait sans doute pourquoi il pouvait se taper aussi facilement cette femme. Le bourlingueur avait toujours l’impression de rêver un peu, de flotter, mais cette sodomie avait eu pour elle de le réveiller, de le plonger dans la scène. Il avait défoncé le cul de cette salope, une vraie chienne, qui ne demandait qu’une chose : qu’il la gifle, qu’il la fesse. L’homme respirait lourdement, mains crispées sur ses seins, reprenant son souffle, et nota alors que la femme déplaçait l’une de ses mains pour caresser son sexe. Il l’imagina en train de mouiller, et, sans pouvoir se l’expliquer, cette image déclencha en lui un sursaut, une nouvelle force. Il soupira entre ses dents, et donna alors un coup de rein, envoyant la tête de la femme heurter le mur, faisant tomber de la poussière depuis le plafond.

« Putain, grommelait-il, tu es foutrement bonne, ma salope... La vache, hum ! »

Son sexe glissait faiblement contre les parois internes de la femme. Il soupira lentement, le retirant, puis retourna s’enfoncer lourdement en elle. Il en avait presque le souffle coupé, et recommença, s’écrasant contre ce latex. Il avait l’impression d’enculer une poupée de latex, et il aimait ça. Ce contact froid et sexy sur sa peau, le faisait frémir, et il accrut le rythme, avant d’attraper la main de Lulu qui lui servait à se caresser, pour l’amener contre le mur.

« Appuie-toi là, je m’occuperai de ta chatte, chérie, t’en fais pas pour ça. Comme dans les manèges, tu saisi ? Cramponne-toi, et laisse-toi emporter ! Allez, couine, ma petite pute ! »

Il leva sa main, et la gifla sur le cul, puis recommença ses pénétrations, n’y allant pas par le dos de la cuillère. Maintenant qu’il était bien positionné, il pouvait donner des coups de reins assez solides, amenant Lulu à devoir s’appuyer contre le mur avec ses mains. Ulrik grognait et soupirait, écartant son corps, le ramenant, l’écartant, le ramenant encore. Lulu s’écrasait à chaque fois contre le mur, et avait alors tout de la femme violée, cette pauvre femme qui se faisait surprendre dans le métro aux heures de fermeture, et était prise dans les cabines. Notre homme n’était pas un violeur, et, de mémoire, il n’avait jamais forcé une femme, mais, en la circonstance, il devait bien admettre que cette comparaison était pour la moins stimulante. Cette femme était terriblement bandante, solide, belle. Une poupée bien formée, rien à voir avec ces putes anorexiques fragiles comme des brindilles. Il pouvait sentir sa chair, sa résistance, son poids. Des hanches solides, longues, fermes, à même de supporter son poids. Il y allait sans remords, car, outre le plaisir intense et jubilatoire qu’il ressentait, Ulrik sentait que cette femme pourrait le supporter.

Une nouvelle claque jaillit. L’homme frappait fort, et un autre carreau fut délogé du mur, tombant sur le sol. Les doigts de Lulu se crispaient parfois dans les creux, répandant de la terre le long de ses doigts gantés. Ulrik était fasciné par la vision de ses doigts noirs, réveillant en lui quelque désir fétichiste profondément enfoui. Ceci accrut son désir de lui péter le cul, de lui exploser la rondelle bien comme il faut. Grognant, il continuait à l’injurier, tout en envoyant le bassin de la femme heurter le mur.

« Allez, allez, salope, putain, hurle ! Dans la catégorie pute, t’es hors concours, toi, hum…! Putain, ce que t’es bonne ! Tu aimes ça, hein ? HEIN, tu aimes, SALOPE ?! »

Il hurlait, ne se retenait plus, mais c’était aussi une manière d’évacuer la douleur, la rage, la frustration. Plus il avait envie de jouir, plus ses couilles le démangeaient, et plus le pirate peinait à se retenir. Il finit ainsi par se lâcher en elle, et jouit dans ses fesses, avec le sentiment persistant que son pénis était en feu. Il jouit assez longuement, en soupirant, ivre, et, quand il eut fini, Ulrik se retira d’un coup, chancelant un peu. Sous l’impact, Lulu tomba sur le sol, n’ayant plus un appui derrière elle, et l’homme s’appuya contre le lavabo, en sueur, respirant lourdement.

« Ça... Ça, c’était intense, ma belle... »
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le samedi 15 mars 2014, 13:19:24
Cet homme était une putain de sex-machine, un véritable piston monté sur patte ! Lulu aimait le sentir prêt d'elle, sentir la chaleur masculine et animal qui émanait de se corps musclé et en sueur. Pour une fois, et depuis longtemps, lulu se sentais dominée. L'étalons lui labourait violement l'cul, envoyant de puissant coup d'vit dans le cul de notre Duchesse qui ce sentais défaillir à chaque coup de reins de la par de cet amant d'un soir. Il soufflait, grognait, transpirait, comme un animal... Lucrezia quant à elle, elle haletait comme une petite chienne tout en couinant et en gémissant de plaisir face à cet acte charnel particulièrement intense. Chacun des vas et viens de 'inconnu dans le cul de notre tueuse, prodiguait à cette dernière une multitude de petits frissons dans tout son corps, lui faisant oublier par moment, l'intense douleur de l'acte anal. La chatte de lulu commençait à la démanger, mais l'homme lui rappela bien vit qu'il allait s'en occupait... et après il parla de manège... Lulu sur le coup avait pas trop compris le truc de manège... Surement allait il la monter comme un petit cheval, ou plutôt, comme une petite jument !

Ahh... Aaaah...  

Elle avait bien du mal à parler notre Lulu, son cul la brulait, les frottements étaient à la fois très douloureux et particulièrement agréables, sentir se gros chibre glissait en elle était à la fois un pur plaisir et une atroce souffrance, mais Lulu, avouons le, l'avais bien cherchée. Cet homme était atrocement virile, avec ses grognement et ses insultes, écrasant de tous son poids notre tueuse en lui donnant de bonne grosse fessées, claquant le cul bien rond de notre Duchesse, faisant vibrer sa chair molle d'une manière tellement délectable, hoooo oui ! Lulu adorait ça ! Les bonnes grosses fessées cul nu, prodiguées par un beau male en rut et tout transpirant. Ce dernier accéléra la cadence, enfonçant sa queue de plus en plus violement dans le cul de notre tueuse, la faisant hurlait de plaisir et vibrait de mille sensations excises ! Elle s'en mordait les lèvres en fermant les yeux, elle se sentait revivre, elle sentait le plaisir monter crescendo en elle, sa mouille dégoulinant allégrement le long de ses jambes, tendis que les couilles de ce bel homme venait par moment lui fouetter la chatte... Ouai ! Lulu était au anges !

AH ! AAAaaahaaaAaaAH ! HAAAN OuuuIiIiIiIiiiiIIIIII ! continuuuUuUuUHaAaaaaaan !!!!

Mais cet alors que... L'homme envoyât un dernier grand coup d'reins dans le cul de la tueuse... Ejaculant alors en elle, emplissant son cul de sa chaude semence. Lucrezia put sentir cette divine laitance lui remplir le derch, lui procurant des millions de petits frissons dans tout le corps... L'inconnu se retira doucement, libérant ainsi la voie en faisant chuter la tueuse sur le sol. Cette dernière était toute émoustillée, toute vaporeuse tant l'acte eu était intense et jouissif. Là, avachie sur le sol, les fesses relevées et dégoulinantes, Lulu était ailleurs... Comme sonnée par cette baise, respirant doucement, faiblement, elle était en sueur elle aussi... Elle vit l'homme aller se caller contre les lavabos en disant que cela avait était intense, pour sur ! Lulu était complétement sonnée !

Après une ou deux, voir cinq petites minutes de pause, Lulu peut enfin reprendre ses esprits. Doucement, elle se coucha sur le sol en écartant ses jambes, prenant la libre initiative de se masturber devant son amant d'un soir. Les frottements était lents et langoureux, afin d'attiser une nouvelle fois la flamme du désir chez son compagnons, car ce dernier, malheureusement, n'avait plus la même trique de tout à l'heure, Lulu se devait donc d'exciter l'animal, afin que ce dernier vienne lui péter le col ! Frénétiquement, Lucrezia se mis à faire passer ses doigt sur son petit bonbon rose. Elle sentais le plaisir éclater en elle ! Et... Le simple fait de repenser l'espace de quelque seconde aux évènements précèdent... Elle eut un orgasme.

AAAH ! aaaAAAAAAH !!

De petits jet de cyprine sortirent de son antre humide et tendis que tout son corps était en proie à de petits spasme... Elle vit le bel homme s'approcher doucement d'elle.

Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le dimanche 16 mars 2014, 15:44:57
Il avait le corps en feu, l’impression d’être en train de s’enflammer sur place. Cette femme... Non, ce ne pouvait être une simple vision de son esprit ! Il ne pouvait pas être simplement en train de l’imaginer, elle était bel et bien réelle ! Elle était , devant elle. Il venait de lui défoncer le cul à la sauvage, quelque chose de violent, à l’ancienne, comme on l’aimait. Pas de temps mort, pas de clémence, pas d’hésitation, il ne pouvait pas s’expliquer une telle bestialité, mais ça avait été délicieux. Ulrik aurait pu croire qu’il était épuisé, qu’après s’être vidé les couilles dans ce cul, il aurait pu reprendre tranquillement sa petite mission, et repartir de ce trou sinistre, mais... La réalité, fort simple, c’était qu’il se moquait de la mission. Il venait de jouir, et, tandis que la femme reprenait son souffle, lui-même respirait lourdement, la poitrine rouge. Il entreprit de retirer les éventuels ultimes vêtements qui restaient sur son corps, finissant nu, sa poitrine se soulevant lourdement. Il était en sueur, mais toujours aussi excité, toujours aussi fiévreux, et avait toujours autant envie de cette femme. Ce latex... Putain, ça le rendait dingue ! Il avait envie de la baiser, de la prendre dans tous les sens, de la retourner comme une saloperie d’huître qu’on s’apprêtait à ouvrir en deux pour dévorer ses entrailles. Oh, il se sentait empreint de cette énergie machiste et primitive, cette force qui vous donnait l’impression d’être invincible, cette explosion d’adrénaline et de testostérone. Empreint de cette folle lubie, il s’imaginait la pulvériser, la violer sur place, comme si elle était aux premières loges d’une putain de tournante du feu de diable. Il s’avançait lentement, reprenant son souffle, se masturbant un peu, caressant sa virilité sale, gluante.

Ulrik la vit se coucher sur le sol, lentement, avant de se masturber, tout en l’observant. Il ne disait encore rien, ni n’agissait. Après tout, enculer une nana, comme ça, c’était tuant. Son vit avait été broyé dans cette masse de chair étroite, et il se caressait lentement, se tripotant, laissant le temps à son petit pensionnaire du dessous de se refaire, tandis que la femme, devant lui, se masturbait sans vergogne, ses doigts en latex remuant dans son intimité. Rien que ça... Oh, le simple fait de voir ça, bordel ! Ulrik soupirait lentement. Il aimait cette vue, tout simplement, comme une saloperie d’œuvre d’art vivante, ou de connerie visuelle du même du genre.

*Je vais tomber amoureux du latex, si ça continue...*

L’homme la laissa faire, sentant une cinquantaine de fantasmes pervers lui traverser l’esprit, et la laissa jouir. Elle se déchaînait rapidement, faisant trembler son latex, soupirant, et finit donc par jouir. Il vit sa mouille jaillir de son intimité par petits jets, tombant lentement sur le carrelage. Ulrik hocha lentement la tête, et se rapprocha d’elle.

« Hum... J’dois bien admettre que tu m’épates, ma belle. Et tu me rends complètement dingue, aussi. Cette tenue, putain... C’est un appel à la tournante la plus baisique qui soit. »

Sous l’excitation, Ulrik inventait des mots, mais c’était la seule manière qu’il avait pour clairement exprimer ce qu’il ressentait. Sa virilité était maintenant dressée, et il n’avait qu’une envie : la fourrer à nouveau. Il se pencha alors, et attrapa sa main gantée couverte de sa mouille, et vint alors lécher les doigts mouillés, mordillant ce latex, sa langue glissant dessus. C’était un curieux changement. Après la manière dont il avait voulu lui déboîter le cul, il se montrait bien plus doux. Il sentait ce latex sur sa bouche, et continuait à lécher ses doigts, avant de la regarder à nouveau, pour balancer, en souriant :

« Et puis... Tu sais, ce n’est pas très respectueux de te caresser devant moi comme ça...  Si les filles commencent à se faire plaisir toutes seules, à quoi est-ce que nous servons, nous, hein, je te le demande ? »

Il se releva alors, près d’elle, la tenant par les mains, comme pour l’inciter à se relever.

« À moins que ce ne soit une manière de m’inciter à te faire le devant, maintenant... Mais, pour ça, il suffisait de me le demander. Je suis un partisan du travail bien fait, moi. Je n’allais pas t’abandonner comme ça dans ton petit nid d’amour sans t’avoir refait la déco’ à tous les étages, poupée. »

Il se rappela alors qu’elle ne savait toujours pas comment il s’appelait...

Bah, était-ce si important, à ce stade-là ?
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mercredi 19 mars 2014, 22:35:35
La langue de ce beau male se mit à tendrement lécher les doigt de notre Lulu, se délectant de sa cyprine. L'homme était plus doux, plus calme, sans toutefois abandonner son humour gentiment machiste. L'heure était à l'apaisement, L'inconnu dont Lucrezia ne connaissait pas le nom, prit soins de gentiment relever notre tueuse en lui faisant par de ses désirs... Lui refaire la déco, en voilà une jolie petite expression. Délicatement, Lulu titilla le menton de son amant à l'aide de son index avant de langoureusement lui rouler un patin, un baiser long, fougueux, passionné, une valse de langues qui sembla s'éterniser sur plusieurs heures. Les mans de la tueuses se mirent à caresser les cheveux blonds de son amant, savourant chaque petites miettes de cet instant.

 Une fois le baiser fini, Lucrezia fit tendrement descendre son visage dans le coup de son amant, se délectant du parfum de la bestialité qui émanait de lui, ce corps nu, virile, en sueur... Lucrezia adorait ça. Elle pouvait sentir le pouls de cette homme sur sa poitrine, son souffle fort et sauvage, la chaleur qui émanait de lui, ainsi que son membre tendu, dont le bout venait à caresser les lèvres intimes de la tueuse, faisant ainsi légèrement frissonner cette dernière. A dire vrai, Lulu ne savait pas trop où et dans quelle position allait ce passer la suite des événements, sur les lavabos ? A même le sol ? Où sur le vieux matelas qui trônait dans un coin de la pièce ? Délicatement, Lucrezia s'écarta de son amant, se dirigeante ensuite vers le vieux matelas. Elle posa  lentement son derrière  dessus, poussant au passage un petit couinement de douleur... Visiblement, elle avait encore un peut mal notre Lulu. Langoureusement, la tueuse dézipa la fermeture qui se trouvait entre ses seins afin de libérer ses attributs mammaires fort volumineux, en ne quittant pas le belle homme du regard, cela va de soi.

Aller mamour... J'ai envie d'une belle cravate ♥  

Le message était claire et le geste explicite. Lucrezia s'amusait à soupeser ses seins devant le belle homme, afin d'attiser encore plus son désir.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le vendredi 21 mars 2014, 01:47:32
Elle l’embrassa, et Ulrik la laissa faire, soupirant de plaisir, sa verge s’accroissant à nouveau, tapant contre le bas de la robe en latex de Lulu, glissant dessus, filant parfois dessous sous les mouvements respectifs de leurs corps. Cette femme lui plaisait, il ne pouvait tout simplement pas le nier. Elle était terrifiante, magnifique, dégageant un mélange de sexe, de perversion, et de dangerosité. Ulrik savait qu’elle était dangereuse, comme une espèce de sorcière, mais il ne pouvait s’empêcher de vouloir lui faire l’amour. C’était tout simplement trop bon, et il ne pouvait rien faire contre ça. Il n’avait envie que d’une seule chose : la baiser sévèrement, encore et encore, se perdre avec elle, savourer le contact de ce latex contre son corps. Ulrik n’avait jamais été particulièrement fétichiste, mais il devait bien admettre que cet emballage n’était pas pour lui déplaire. Il goûtait aux lèvres bleues de la femme, à sa passion sauvage. Il lui avait défoncé le cul, l’avait sévèrement tringlé. Tout ça était surréaliste, mais il ne regrettait rien, et, comme un enfant venant de goûter à une bonne chose, il n’avait qu’une envie : y retourner. Dans ce lieu crade et pourri, couvert de zébrures et de lézardes, il voulait continuer à la prendre. Ulrik n’était pas particulièrement un sain, et ce qu’il avait fait aurait pu, sans problème, passer pour un viol auprès d’un tribunal. Cependant, quitte à en passer par la case « justice », il y avait fort à parier que la victime ne serait pas une blanche colombe innocente, mais, ça, et bien, Ulrik ne pouvait pas le savoir, quand bien même il se doutait que cette fille n’était pas normale.

Rompant leur tendre baiser, qui était comme une invitation à poursuivre, Lulu alla lui embrasser le cou. Ulrik la laissa faire, savourant ce contact. Les seins énormes de cette femme s’enfonçaient contre son torse, et sa bouche filait sur son cou. Ses mains caressaient sa longue chevelure, glissant sur son dos, s’appuyant dessus. Elle n’était pas belle... Du moins, pas au sens classique du terme. S’il avait fallu continuer les termes machistes, Ulrik aurait en effet dit qu’elle n’était pas belle, mais bonne. Il se comportait avec elle comme si elle était une traînée, mais, s’il le faisait, c’était bien parce qu’il avait l’impression que c’était ainsi qu’elle voulait se faire traiter. Comment expliquer, autrement, qu’elle vive dans un endroit si miteux, avec une tenue qui al ferait passer pour la dernière des putes ? C’était une cinglée, mais elle voulait se faire ramoner le corps comme la pute d’un bordel insipide des profondeurs de Gordan. Il ne comptait pas aller contre ce point de vue. Gentleman jusqu’au bout, pourrait-on dire. La femme frémissait contre lui, essayant de réveiller cet homme qui l’avait prise contre le mur, qui l’avait baisé comme il l’aurait fait en violant quelqu’un. Elle avait du noter le changement de régime, le fait qu’il soit un peu plus doux, et il appréciait qu’elle cherche à entretenir le feu qui bouillonnait en lui. S’il avait eu besoin d’une preuve pour justifier son consentement, il venait de l’avoir. Elle ne le repousserait pas, et c’était bon à savoir.

Lulu finit par s’écarter, et rejoignit son vieux matelas pourri. Il en profita pour observer son joli petit cul... Indéniablement, il y avait un goût reviens-y, quand même. Cependant, il comptait laisser les fesses de Lulu en paix. Pour le reste de son corps, en revanche... Il s’avança un peu vers elle, et la vit défaire le haut de sa combinaison, laissant poindre ses seins. Deux masses de chair volumineuses. Ça, c’était impressionnant, et il se demanda même si cette femme n’était pas, en réalité, une espèce de démone.

« Allez mamour... J'ai envie d'une belle cravate » l’incita-t-elle.

Il sourit lentement, et hocha la tête. Une cravate de notaire... À l’ancienne. Ouais, ça, il aimait. Son sexe lui fit mal, et il s’avança un peu, puis se pencha vers elle, caressant ses cheveux, et s’assit juste à côté d’elle, avant de commencer à s’allonger.

« Allez, ma chérie, viens y enfouir tes seins... »

C’était à elle d’agir, après tout, il n’allait pas remuer les seins de la femme. Gentleman, après tout. D’une main, il maintenait son sexe en l’air, afin qu’elle puisse mieux le prendre, et, qui sait... Peut-être en lécher le bout ?
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le samedi 22 mars 2014, 17:27:31
Suite à la proposition de Lucrezia, l'homme vint gentiment s’asseoir à ses cotés, avant de s’allonger sur le matelas en maintenant sa belle verge bien droite. Doucement, Lulu se saisit du membre de son compagnie au niveau de la base, posant par la suite, une nouvelle fois ses lèvres sur cet obélisque de chair, délivrant à ce dernier, une multitude de petits bisous. Lulu, s'amusait à laisser plein de petites traces bleutées sur le sexe de son amant, faisant par moment glisser ses lèvres sur toute la longueur de son chibre. Après se petit "jeu", Lulu se décidât enfin à enfouir le sexe de l'inconnu entre son énorme paire de seins, deux bonnes grosses miches, bien formées et bien fermes, comme tant de messieurs les aimes. Un petit crachat histoire de lubrifier le tout et hop ! La machine était en marche ! Lentement, La tueuse fit monter en descendre sa poitrine sur le pic de chair de cet inconnu, en poussant de petit soupire de plaisir, c'était si bon ! Lulu adorait ça, sentir la queue d'un homme entre ses deux nibard était un vrai délice pour elle, les seins étant une zone particulièrement érogène.

Ahh... aaahhh Tu aime ça hein ?

Pour sur que se bonhomme devait aimer ça ! Lulu était une experte dans pas mal de domaine, même une simple branlette devient un pur plaisir avec notre tueuse. Le geste était délicat, doux, lascif, Lucrezia y mettais plein d'bon cœur et de tendresse, afin d'offrir à son amant d'un soir, une baise inoubliable. Toutefois elle ne comptais pas le laisser une nouvelle fois jouir, au risque que se dernier perde définitivement sa dureté. Petit à petit, la pression que Lucrezia exerçait sur ses seins devint plus fort, enserrant avec plus d'ardeur le chibre du beau blond, le geste était quant à lui, toujours aussi lent, les choses devait une fois encore, ne pas êtres brusquées.
Dix à quinze longues minutes s'écoulèrent alors, avant que la tueuse se décide enfin à accélérer la cadence, allant chaque fois de plus en plus vite ! Elle prenait un mali plaisir à ce caressait les tétons en même temps qu'elle branler son amant, c'était juste exquis ! Entre nous, cela faisait belle lurette qu'elle n'avait pas fait une bonne cravate de notaire, et pour le coup, elle se faisait clairement plaisir la Duchesse. Le claquement des seins de lulu contre le corps de cet homme raisonnait dans toute la pièce, au même titre quelles petit soupirs de la tueuse. Cette dernière accélérât une nouvelle fois le pas, voulant à tout prit pousser cet homme au limite de l’éjaculation ! Oui... ui ! Elle sentais son membre se durcir d'un coup... ça venait!

Aaaah ! nan ! aahh... ha... tu reste dur mon coco !

Et hop ! Rapidement, Lulu retira la queue du bel homme d'entre ses seins, attrapant alors fermement sa verge au niveau de la base, l’empêchant ainsi de jouir.

Ouf... c'est pas passer loin ! fufufu !

Lucrezia avait eu, d'un seul coup, envie de frustrer son amant, en l’empêchant d'éjaculer... Sadique ? Non... Le terme "joueuse" est plus approprié en ce cas de figure. Lentement, la tueuse changea de positon, se mettant alors en 69 avec son amant.

Aller mon doudou... fait plaisir à maman ♥

Lentement, Elle se redressa de sorte à ce que son intimité arrive très prêt du visage de l'homme, elle voulait un bon cuni, et elle comptait bien l'avoir.

Je m'occuperai de ta grosse quéquette quand tu m'aura suffisamment titillé le minou... D'accord ♥

En réalité, Lucrezia avait nullement envie de jouer les dominatrice, elle voulait juste jouer, voilà tout !
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le lundi 24 mars 2014, 01:38:40
Allongé sur le matelas, traité comme un Roi, Ulrik n’allait pas se plaindre. La femme se rapprocha de lui, et se mit à parcourir sa verge de multiples baisers, glissant dessus, en déposant une multitude, stimulant à chaque fois le bourlingueur spatial, qui soupirait lentement, de plus en plus excité. Il avait certes joui sous peu, mais le désir restait toujours aussi fort, durcissant sa verge, amenant cette dernière à se battre contre les lois de la gravité. Sur son vit, il sentit les doigts gantés de Lulu, puis sa bouche, déposant plusieurs baisers, flattant sa virilité par ses lèvres tendres et charnues. Après ce petit traitement préparatoire, la terrible femme déplaça ensuite ses seins, et emprisonna le sexe de l’homme. Ulrik soupira lentement en fermant les yeux, basculant sa tête en arrière. Dans son dos, il sentait les ressorts de ce matelas pourri, mais il s’en moquait alors totalement. Tout son esprit était focalisé presque exclusivement sur ce bruit de frottement... Un bruit très curieux, un genre de *SPLOUITCH !* récurrent. Il releva lentement sa tête, en s’appuyant sur ses avant-bras, afin de pouvoir mieux observer cette femme. Ce qu’elle faisait était clairement fascinant, et il y avait là quelque chose de profondément magique, de terriblement sensuel et pervers, qui fascinait Ulrik. La femme soupirait lentement en remuant ses seins avec énergie, durcissant le sexe de l’homme, qui s’enfouissait entre ses monts de chair.

L’homme se laissait pleinement faire, et Lulu continua ainsi à le masturber, pendant de longues minutes. Ses soupirs étaient légers, relativement silencieux, et il la laissait faire, muet, presque ausis réactif qu’un spectateur qui aurait regardé cette scène. Il n’aurait su dire en quoi, mais il trouvait le geste de cette femme terriblement artistique. Ouais... Ouais, on aurait presque dit une putain d’artiste du cul. Impossible de savoir ce qu’elle fabriquait dans un rade pareil, mais, une chose était sûre : si elle continuait ainsi, Ulrik allait avoir des regrets à la laisser là ! La kidnapper ne faisait cependant pas partie de ses objectifs. Une femme, de manière générale, ça apportait bien trop d’emmerdes, et ça portait malheur. Mais bordel, c’était tentant !

Lentement, mais sûrement, une nouvelle érection le saisissait, avec, à son échéance, une éjaculation. Cette fois, ce serait une éjaculation faciale, à l’ancienne. Il lui balancerait son sperme en pleine gueule, et l’homme fantasmait déjà l’idée de voir la belle en latex se retrouver avec sa crème sur la figure... Il sentait le courant remonter, ses muscles se crispaient, il basculait sa tête en arrière, sur le point de lancer la sauce... Quand cette foutue salope, que Dieu lui pisse à la gueule, cessa alors de le masturber, et alla jusqu’à bloquer sa base, Ulrik grogna en remuant les jambes, donnant un gros coup de poing sur le matelas. Elle l’empêchait de jouir, alors qu’il sentait le courant sur le point d’éclater.

« PUTAIN, MEEERRDE !! » s’exclama alors l’homme.

La femme agit rapidement, se redressant, et lui expliqua le contenu de son deal. Ulrik était alors terriblement frustré, et devait résister à l’envie de lui sauter dessus, de la frapper, et de jouir sur sa gueule, avant de lui pisser dessus. Il avait envie de la tuer, quoi ! De quel droit est-ce que cette pute l’empêchait de jouir ?! Est-ce qu’elle ne réalisait pas à quel point un homme frustré pouvait être dangereux ? Ulrik n’avait qu’une envie : se lever d’un coup, l’étrangler, briser sons ale petit cou, et lui bourrer la gueule en jouissant à en enfanter des planètes entières !

« Je m'occuperai de ta grosse quéquette quand tu m'aura suffisamment titillé le minou... D'accord »

Devant ce ton, Ulrik soupira lentement, serrant les dents, et posa chacune de ses mains sur les fesses de la femme, se détendant légèrement. Il était un ancien soldat, après tout, quelqu’un qui avait appris la discipline auprès de l’Empire de Gordan, un empire connu pour l’importance qu’il accordait à la discipline et à l’entraînement.

« Putain de salope... Soit je te tue, soit je te bénis, c’est tout l’un ou tout l’autre… »

Elle jouait avec le feu, mais, en un sens, il appréciait ça. Pour les Gordaniens, les femmes ne devaient pas forcément être bonnes au foyer. Le sexisme n’existait pas sur Gordan, et des femmes dominatrices étaient même assez appréciées. En attendant, Ulrik avança sa langue, et alla lécher l’intimité de la femme, lourdement, empoignant fermement ses fesses, plaquant son bassin contre son visage, et remua activement sa langue.

Il était sur le point de jouir, et tout son corps tremblait nerveusement, illustrant le même besoin qui le traversait intégralement : une envie phénoménale de s’abandonner en elle. Ses mains se crispaient sur le latex, alors que l’homme grognait lentement. Par rapport à la sodomie brutale dont Lulu avait fait preuve, Ulrik faisait preuve d’une curieuse soumission, assez étonnante. En un sens, il considérait que Lulu prenait une revanche légitime, justement méritée, après l’opération qu’il lui avait fait subir. Il ne pouvait pas aller contre ça, c’était un comportement typiquement gordanien.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mardi 25 mars 2014, 13:37:47
Lucrezia voulait frustrer son amant... Elle avait réussi ! Ce dernier n'était vraiment pas content... Mais alors pas content du-tout ! Il grognait et soufflait comme un beau diable, Lulu lui avait coupé l'herbe sous le pied juste au moment ou le bonhomme aller lâcher la purée et maintenant, voilà qu'elle lui demandait un cuni... Ouai, elle à des couilles la Lulu, enfin, façon de parler. Cependant, après une énième injures proférée, l'homme consenti à gentiment lécher notre Duchesse, agrippant fermement sa belle paire de fesses. Quand l'inconnu vint à enfoncer sa langue dans l'intimité juteuse de Lulu, notre tueuse laissât échapper un petit gémissement, tendis que son corps fut, une fois encore, parcouru par un immense frisson.

Aaaaaah oui... hmmm, comme ça oui.... oui.. Aaaaah !

Oui, cet homme savait y faire avec notre Duchesse, sa langue était comme... Comme... Comme une petit visiteur qui fouinait partout ! Tapant et caressant les parois de la tueuse, glissant amoureusement le long de ses lèvres intimes, titillant avec un certain amusement son bonbon rose. Tout cela faisait vibrer Lucrezia, l'envoyant dans ses souvenirs du temps où elle était encore une femme "intègre", ce rappelant alors de tout les jeux saphiques qu'elle partageait avec ses collègues infirmières, passant de longues heures dans les douches ou dans la salle de repos. Les trucs entre filles, Lulu elle aimait bien ça... Même ci maintenant, la plupart des trucs qu'elle faisait avec une autre nana était... Eux... Enfin voilà quoi... Mais bizarrement, avec les messieurs, Lulu n'a pas changée... Nan, elle est toujours cette grosse coquine qui aime s'en mettre plein la gueule pour pas un rond. Enfin bref, pour le moment, Notre tueuse prenait son pied, sentant cette langue la passer au crible, lui confèrent mille plaisirs, mille frissons et une intense jouissance. La cyprine dégoulinait le long des cuisse de Lucrezia, venant alimenter son amant, qui, devait surement ce délecter du miel délicat qui s’échapper de la belle fleurs rose de notre tueuse. La belle poussait une multitudes de petit gémissements, haletant par moment comme une petite chienne en chaleur, s'amusant même à faire frotter ses lèvres contre le nez du beau blond. L'acte dura bien un vingtaines de minutes avant qu'enfin, Lulu se décide à reprendre "les chose en mains". 

Ah... Ah... AAAaaah je.. Je vais te... Te la faire cracher ta purée ! Aaaah !

Et hop ! Lulu se pencha d'un coup, afin de malicieusement reprendre la queue de cet homme entre ses deux monts de chair et de, bien évidement, reprendre son paizuri là où elle l'avait laissée. Les claquement reprirent de plus belle, tendis que l'homme sembla lui aussi mettre plus de cœur à l'ouvrage.

Aaaah oui, oui,.... ouiiiiii... Vas y... Aaaah !

Lucrezia soupirait fortement, allant de plus en plus vite, enserrent le sexe de blondinet avec hardeur. Elle le sentait, elle savait qu'il n'allait pas tarder à tout lâcher, et cette fois ci, elle n'aller pas l'en empêcher ! D’ailleurs... Elle aussi elle sentait la moutarde monter.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le mercredi 26 mars 2014, 01:56:08
C’était d’une classe à en faire pâlir de jalousie les poètes. Aurait-il été un peu plus machiste qu’il aurait sans doute défoncé sec cette femme, en faisant preuve d’une rage qui lui aurait fait comprendre qu’on ne jouait pas ainsi avec un mâle. Au lieu de ça, il écumait sa frustration en lui léchant son sexe, mordant parfois sa belle peau. Rien de bien méchant, rien qui ne soit susceptible de l’envoyer à l’hôpital pour de la chirurgie, mais suffisamment pour qu’elle sente qu’il goûtait fort peu à cet humour... Du moins, en ce qui concernait son sexe. Son membre était bien raide, assoiffé, tapotant contre le visage de la femme, qui jouait avec ce dernier, continuant davantage à attiser le feu, au risque d’atteindre le point de rupture. Ulrik grognait et soupira, devant en appeler à toute sa discipline pour ne pas la repousser d’un coup, et la prendre comme une truie. Il se demandait même si ce n’était pas ça que cette femme voulait : continuer à se faire tringler comme une chose, à se faire défoncer par un mâle dominateur et brutal. Cette idée remua dans sa tête, et, alors qu’il comptait agir en ce sens, la femme fourra son sexe entre ses seins, et le masturba. La tension qui régnait dans le corps d’Ulrik sembla se détendre d’un coup, et l’homme poussa un long soupir en remuant lentement sur le sol, balançant la « purée ».

Il jouit contre les seins de la femme, et plusieurs filaments de sperme filèrent comme des missiles, pour s’écraser sur le menton de la femme. Ulrik avait la bouche couverte de mouille, mais s’en foutait. Il venait de jouir, et il jouit même généreusement, balançant plusieurs couches, à tel point que, s’il continuait, il se mettrait probablement à pisser sur cette salope. Toute sa nervosité explosa, la tension redescendant, comme une montagne russe, et Ulrik s’affala sur le matelas pourri, des frissons de plaisir traversant tout son corps. Qu’on ose dire, après ça, que jouir n’était pas quelque chose de superbe. Il se sentait merveilleusement détendu. Le sperme filait le long de son sexe, se collant à ce dernier, et il sentait également son visage, sa nuque, être inondée par la semence de la femme. C’était crade, dégueulasse, donc plutôt conforme à l’ambiance générale de leurs ébats.

Ulrik repoussa la femme, l’envoyant à côté de lui, et se releva, luttant contre la torpeur qui l’engourdissait, cette espèce de bienheureuse sensation qui lui disait qu’il pouvait maintenant se reposer, se laisser aller. Il observa la femme lentement, soupirant longuement. Des gouttes de sueur coulaient le long de ses joues, filant sur son menton. Elle était couchée à côté d’elle, dans sa robe en latex, froissée à hauteur de ses seins, le sperme d’Ulrik décorant sa lourde poitrine, comme une digne récompense. Le bourlingueur soupira lentement. Il avait conscience que c’était le moment rêvé pour un bon mot, mais rien ne lui venait à l’esprit, si ce n’est une envie de continuer à la prendre.

*Ça, ça me botte bien...*

Il était fourbu, mais c’était plus fort que lui: cette femme continuait à l’exciter. Son sexe était trempé, et avait gagné en mollesse après son érection. L’homme soupira lentement en fermant les yeux, se masturbant légèrement, ses doigts glissant sur son propre sperme, les rendant un peu plus collant, alors que, dans sa tête, les images défilaient. Une odeur de sexe régnait dans cette petite pièce, et il savait qu’il n’en avait pas encore totalement fini avec elle.

« Fous-toi à quatre pattes, petite salope. »

Si elle refusait, il insisterait. Ne l’avait-elle pas frustré, après tout ? Elle ne pensait tout de même pas s’en tirer simplement avec du jus sur ses seins, non ? Ulrik comptait finir son travail, car, dans le fond, il n’y avait rien de plus horrible qu’un travail imparfait, inachevé.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 06 avril 2014, 19:30:37
Les trucs sales, Lulu elle aimait bien ça. Non pas qu'elle soit une femme sale, hein, non, non... Mais pour une raison qu'elle ignore, elle adore s'en foutre de partout dans des endroits pas catholiques, elle aime se faire giclée dessus comme une salope et... Et... Il n'y a pas de mots pour décrire à quel point elle aime ça. Sentir sur elle et en elle la chaude semence d'un homme, goûter, humer le foutre gluant d'un inconnu... Ouai, elle aimait vraiment ça notre Duchesse. Fut un temps, à l'époque pas si lointaine ou elle travailler à l’hôpital, elle... Aimait passer son 'tit temps libre à tailler des pipes aux patients sexy ou au membre du personnel, il faut dire qu'elle avait une sacré petite réputation notre Duchesse... Maintenant... Je ne pense pas que ses ancien collègue aimerais se faire sucer par elle... Bref, alors qu'elle masturber amoureusement le vit de son amant, Lucrezia fut bien vite surprise pas la magnifique, que dit je, la gargantuesque éjaculation que lui offrit le belle homme. Plusieurs beau jets de sperme vinrent à s'écraser contre son menton, elle en avait eu dans la bouche, sur les joues, entre le seins et même, sur la paupière droite.

Ah... Ah... Aaaah...

Lentement, la tueuse se redressa, libérant de son emprise mammaire le sexe gluant de son amant. Lentement, les yeux de Lulu se tournèrent vers le bel homme, le fixant d'un air de chienne en chaleur, tout en prenant un malin plaisir à se pourlécher les lèvres, elle en voulait encore... Oui, elle en voulait encore ! Et visiblement, ce beau mâle aussi ! Les deux protagonistes étaient tout deux encore bien chauds et l'odeur sexuelle qui régnait dans la pièce, n’arrangeait visiblement rien à la situation. L'appétit sexuelle de la Duchesse grimpait chaque seconde un peu plus, le fait de voir son amant ce branler, ça la mettait dans tous ses états. Elle avait envie de ce faire prendre et ceux dans n importe quelle position !

« Fous-toi à quatre pattes, petite salope. »

Une levrette ? Oh oui, chic ! Lulu adorait ça ! Une bonne levrette à l'ancienne, comme la fois où... Ouai nan, on s'en branle. Lucrezia avait bien compris le message et elle comptait bien gentiment se donnait à cet homme. Mais avant, elle fit une petit séance effeuillage à son amant, enlevant lascivement son uniforme d'infirmière, veillant à faire traîner en longueur chacun de ses gestes, caressant avec volupté ses courbes féminines, monstrueusement attirante. Les yeux de la tueuse ne quittaient pas l'homme d'une seule secondes, des yeux emplis de chaleur et d'animosité, un regard lubrique suintant de luxure et puant la folie à plein nez, un délicat mélange entre le regard de jack Nicholson et celui d'une pute surchargée d'hormones.  Une fois l'uniforme enlevé, Lucrezia ne portait plus sur elle, que ses grands gants de latex noirs ainsi que ses espèces de de collants en latex eux aussi, tout ça sublimé par des escarpins d'un noirs luisant. Tout cela sentait la bonne baise bien dur et bien sévère, comme à peut prêt tout ce qui avait précédé ce moment et Lucrezia, égal à elle même, eu tout à coup une furieuse envie de SM... Ouaip ! Cet alors en tout bien tout honneur que lulu s'empara d'une longue et vieille cordelette qui traînait là, avant de l'attacher à son ras-le-cou en latex. Lucrezia se cambra bien devant l'inconnu, puis elle lui répondit enfin.

Aaaah... B... Bi... Bifle moi les fesses mon amour... Je suis une vilaine wouf-wouf ! Dit elle en remuant son popotin, cordelette à la mains et sourire en coin.

Une nouvelle fois, le message était clair !
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le mardi 08 avril 2014, 02:12:30
Avant de se déshabiller, la petite salope entreprit de retirer sa robe en latex, comme on déballe un emballage cadeau. Difficile de dire si elle était plus baisable avec ou sans cette dernière. En la prenant comme ça, en sentant le latex contre sa peau, il avait eu l’impression de défoncer une belle poupée en latex, aux formes merveilleuses. Une sorte d’Ange de la luxure, oud e reine des putes. Ulrik n’était guère poli en ce moment, laissant s’exprimer sa vulgarité. Dans un tel endroit, le sentimentalisme lui semblait être un sentiment proscrit et un peu inutile. Il la laissa se déshabiller, appréciant cet interlude, comme une manière de calmer le jeu, de se détendre, et de laisser, lentement, la tension remonter. Comme des montagnes russes. Ouais, exactement comme l’un de ces putains de manèges de tourniquet. Ulrik soupira lentement en voyant la femme se tortiller lentement, écartant les pans de sa robe, courbant son corps, se trémoussant, faisant lentement glisser la fermeture Éclair, sans que jamais son regard de sale-chaudasse-bonne-à-être-fourrée-comme-une-grosse-truie ne vienne à quitter le sien. Ulrik, lui, observa ses seins laiteux, ses formes parfaites, et sentit son sexe le tenter à nouveau. Était-elle donc inépuisable ? Le sexe était-elle donc la drogue de cette femme ? Ulrik soupira à nouveau, sans rien dire, son sexe venant à nouveau défier les lois de la gravité. Il se redressait lentement, tandis que Lulu, de son côté, jeta sa robe de latex au loin, comme un élégant morceau de chiffon, s’offrant ainsi à l’homme, à lui et à sa virilité assoiffée. Son cœur hurlait dans sa poitrine, sa gorge était foutrement sèche, et il avait une nouvelle envie de trique... Cette pute se mit alors à quatre pattes, après l’avoir bien échauffé, et bomba fièrement son joli petit cul... Et haaa... Haaa, ce joli cul ! Comme le reste de son corps, il était superbe : deux fesses bien rondes, bien potelées, gracieusement tendues vers lui.

Les refuser, ce serait un crime ; un putain de sacrilège, une saloperie d’offense au beau sexe, et même au bon goût ! Ulrik n’était pas de ce pain-là. Il observait ce cul tendu, ce corps ferme, solide, ample... Lulu était une femme bien en chair, avec de belles cuisses, exactement comme on devait les aimer. Le brave homme, qui ignorait absolument tout de cette femme, si ce n’est qu’elle était cinglée, avait un goût prononcé pour le latex, et qu’elle était très bonne à baiser dans tous les sens, lui fit signe de venir, de s’approcher, de profiter de son corps, de ne pas hésiter. Une invitation que notre courageux guerrier sut prendre au pied de la lettre.

Le premier appel n’utilisa pas de mot, mais une vieille cordelette qui traînait sur le sol, et qu’elle attacha à son ras-le-cou noir, se donnant ainsi l’air parfait d’une chienne. Le sexe d’Ulrik le démangea encore un peu plus, l’éloignant de plus en plus de l’homme civilisé, afin de réveiller en lui le Gordanien sauvage et brutal. Il soupira lentement, avant de la voir tirer sur la cordelette, qui glissa, remuant le long de ses doigts, formant ainsi comme une espèce de lasso.

« Aaaah... B... Bi... Bifle moi les fesses mon amour... Je suis une vilaine wouf-wouf ! »

Ulrik soupira, et s’approcha, puis attrapa la cordelette d’une main, la tirant fermement, ce qui eut pour effet de soulever un peu Lulu, tandis que son sexe heurta ses fesses, glissant dessus. Un sourire amusé traversa alors ses lèvres.

« Toi, ma belle, t’es vraiment... Irrécupérable. »

Bifler les fesses… Il essaya de le faire, mais un sexe… Et bien, une verge, ce n’était pas un bout de bois, et il se sentit surtout ridicule à essayer de faire frotter son sexe contre son cul, à donner des coups dessus. Il finit par grogner, puis relâcha son membre, après quelques vaines et infructueuses tentatives.

« Oh et puis merde, si tu veux que je te claque le cul, ma salope, ‘suffit de demander ! »

Il tira à nouveau sur la cordelette, et donna alors, avec son autre main, une claque magistrale sur son cul, en ressentant un frisson de plaisir... Un frisson différent de celui qu’il ressentait en lui labourant le corps, un frisson qui exprimait plus une sorte de pouvoir, de frisson liée à la douleur qu’il ressentit dans ses doigts. La violence avait pour elle d’être une pulsion désinhibitrice, elle avait pour elle de libérer les gens, et il la gifla donc à nouveau, encore. Sa main s’abattit sèchement sur son postérieur, à plusieurs reprises, tandis qu’il ramenait parfois la cordelette à lui.

« Allez, allez, aboie, ABOIE, espèce de salope, ABOIE, BORDEL, misérable TRAÎNÉE !! »

Son ton devenait fort et grave... Mais, dans le fond, c’était aussi un peu ce qu’elle voulait. Il n’y avait donc virtuellement aucune chance pour qu’il se sente responsable de quoi que ce soit.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mercredi 09 avril 2014, 22:08:49
Ce bel homme... Ce beau mâle virile et emplie d'animosité, il excitais vraiment notre Lulu, lui et sa grosse queue fièrement tendus devant lui, comme une putain de baïonnette prête à embrocher n'importe quelle poulette. Lulu se sentais chienne, elle avait envie qu'il la prennent en levrette avec violence et brutalité, elle voulait qu'il la fasse hurlait, qu'il la fasse jouir comme une salope ! Cet inconnue essaya vainement de bifler les fesses à notre duchesse, mais même cette tentative infructueuse eu comme effet d'exciter la jeune femme, la faisant gémir comme une petite pute... Ouai, Lulu était dans tous ses états, sentir une bonne grosse queue contre son cul, ça la faisait clairement frémir de plaisir !


Ahhh..aaaaaAAAh..
.

Le cul de lulu était... Vraiment un bon gros cul ! Le genre de popotin bien charnue et bien ferme, le genre de cul que les hommes aime giflait comme des porcs, faisant vibrer la chair comme un tambour, ce que l'inconnue fit d'ailleurs sans aucune vergogne... Aucune... et ceux, pour le plus grand plaisir de notre Duchesse.

Ah ! Ah ! ouiiii ! Gi... Gifle moi les fesses !

Ouai, là, elle kiffait grave ! Ce faire fessée ainsi le cul, c'était simplement jouissif pour elle ! Le fait de sentir cet mains ferme lui frapper le cul sans retenue, ça ne faisait qu'exciter plus encore la tueuse et puis... Le coup de la corde là, c'était une putain d'idée de génie ! Lulu ce sentait vraiment chienne, elle ce sentait soumise et ça, ça lui foutait vraiment la chatte en feu, chatte de laquelle, on pouvait apercevoir de longs fil de cyprine dégouliner contre les belles cuisses de la tueuse.
« Allez, allez, aboie, ABOIE, espèce de salope, ABOIE, BORDEL, misérable TRAÎNÉE !! »

Ohoh ! en voilà un ordre qu'il était formel ! Lulu ne savait pas trop quoi dire sur le coup, mais... Bien vite elle fini par s’exécuter, comme une gentille petite chienne en chaleur, en tortillant son cul potelé de gauche à droite en tirant la langue, haletant comme une sale petite pute, le regard emplie de désir et la foufoune chaude comme un brasier !

Ah... Haaann... Nyouuuu... Ouf ! OUf ! AAAH ahh... ahh Af ! Ouaf ! Haaan... hannn...

Certes, ce n'est pas très convainquant, mais lulu y mettait vraiment du siens, je vous l'assure ! Elle tortillait du cul, en mettant bien sa chatte en évidence, tachant de faire comprendre à son amant qu'elle voulait qu'il la baise. Cependant, Lulu y tout à coup une autre idée en tête. Lentement, lascivement, la tueuse se retourna vers le bel homme, se rendant ainsi auprès de sa belle queue bien dure. Cet verge tendue, là, juste sous les yeux de La duchesse... Diable qu'elle lui donnait envie de la lécher... Ce qu'elle fit, bien évidement. Elle la léchât avec amour et tendresse, donnant de grand et délicat coup de langue sur tout ce mont de chair luisant et gluant. Savourant cette queue comme une chienne peut savourer un bon gros nonosse bien savoureux. Le regard de lulu ne quittait pas celui de son amant, elle voulait faire monter la pressions... Elle voulait une baise mémorable.

Aaaah... Aaaah... Wouf... Nyyoouuuf... Ah.. Ah... Lâchât elle avant de venir frotter ses lèvres puis son visage contre la verge du bel homme.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le jeudi 10 avril 2014, 01:17:31
Cette grosse salope était aussi lourde qu’une vache, ce qu’Ulrik ressentait plutôt bien en la soulevant. Il la tirait par le cou, mais l’appui n’était vraiment pas le meilleur pour soulever une personne, et la maintenir. Une chance qu’il soit un Gordanien, un ancien militaire. Il avait passé un nombre incalculable d’heures à s’entraîner, physiquement, afin de se muscler, et de rentrer ainsi dans les standards de l’armée. Gordan était un Empire militaire, et, pour rejoindre l’armée, il fallait suivre un entraînement particulièrement rigoureux. De plus, Ulrik avait fait partie d’un projet militaire, un projet de recherches qui avait encore accru ses capacités physiques. Sans faire de lui un super-homme, loin s’en faut, notre bourlingueur s’en sortait plutôt bien.

Il avait déjà baisé bien des putes, dans pas mal de bordels : des femmes bleues, vertes, des femmes avec des tentacules dans les cheveux, des femmes avec quatre bras, des femmes avec des couilles, mais elle... Ah, dans le genre « pute bien baisable », elle, elle, putain, elle était clairement hors concours ! Ulrik la fessait avec une force de plus en plus décuplée, y trouvant là une sorte d’inexplicable plaisir... Comme une sorte de sauvage frénésie hystérique, la même qu’on finissait par ressentir quand on était sur le combat, et qu’on avait entre les mains une sulfateuse laser terrifiante. On enclenchait la machine, et on voyait les cadavres exploser devant soi par pack de cent. Une terrible impression de surpuissance vous submergeait, presque aussi intense que le fait de se vider les couilles dans le cul de sa grosse le soir. C’était ça, précisément, c’était ce sentiment de toute-puissance qu’il ressentait. En ce moment, Ulrik chiait à la gueule de tous les bienpensants de ce putain d’univers, tous els trous-du-cul assis dans leurs bibliothèques, à vous balancer des paroles mielleuses et candides sur le fait que l’être humain n’était qu’un être d’amour avant tout... Conneries romantiques ! Conneries de connards d’idéalistes négligeant le fait que la Nature n’était pas tempérance et retenue, mais passion et violence ! L’être humain, ce n’était avant tout qu’un loup pour l’autre. La violence était libératoire, expiatrice... On ne pouvait rien y faire, tout simplement. Ulrik frissonnait à chaque fois qu’il claquait le cul de cette salope, tandis que cette dernière haletait et gémissait, aboyant, tout en frottant ses cuisses contre sa verge tendue. Il avait une envie particulièrement forte de la baiser, de s’enfoncer dans son con, tout en la giflant et continuant à la maintenir, mais, pour ça, il lui aurait fallu quatre bras.

Ulrik sentait la fatigue pointer. Les articulations de ses doigts lui faisaient mal, et il relâcha la corde. Lulu se retourna alors, pour se placer à quatre pattes devant lui, la tête face à son membre. Sa main gauche, celle qu’il avait utilisé pour la fesser, était toute rouge, et il remuait lentement ses doigts, afin de faire passer les picotements qu’il ressentait. Lulu agissait comme une véritable chienne, léchant la « sucette » tendue devant elle, tout en aboyant et en s’y frottant. Ulrik commençait à avoir également mal à cette partie-là de son corps. Sa virilité le démangeait, pointant devant lui, remuant contre les lèvres de la femme. Elle ne cherchait pas vraiment à le sucer, plutôt à l’embrasser et à la lécher, ses belles lèvres bleues laissant d’appréciables traces sur son vit. Il l’admirait, la regardait avec un regard envieux, que ce soit sa belle bouche, sa silhouette, ou ce latex qu’elle avait su conserver sur elle. Tout le corps de cette femme était un appel au sexe et à la débauche la plus totale. Impossible de savoir depuis combien de temps il était dans cette pièce, mai sil gageait que cette dernière avait bien du prendre quelques degrés sous l’action de leurs ébats virulents.

« Aaaah... Aaaah... Wouf... Nyyoouuuf... Ah.. Ah... » soupirait-elle.

L’homme lui caressa tendrement les cheveux, la flattant comme on flatterait une petite chienne.

« Hum... Je crois que ma petite chienne mérite sa récompense, hein ? Tiens-toi tranquille, joli cœur... Et tu peux avoir la langue pendante... »

Elle l’avait bien léché, l’excitant, recouvrant sa verge de sa salive. Il était maintenant prêt à agir. Ulrik alla dans le dos de cette femme, et posa ses mains sur ses hanches, appréciant le contact de ce joli cul. Il était maintenant bien rouge, après toutes les baffes qu’il avait reçu. Attrapant sa verge, l’homme la dirigea vers l’intimité de la belle, et la pénétra. Il rentra dans son intimité, et entama une bonne vieille levrette.

Il avait beau avoir joui en elle un certain nombre de fois, elle arrivait toujours à réveiller en lui son excitation.

Une foutue sorcière, tout simplement !
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le samedi 12 avril 2014, 18:02:10
L'inconnue gratifia gentiment Lulu d'une agréable caresse avant de lentement se glisser derrière elle. Notre Duchesse, sachant pertinemment ce qui aller lui arriver, se cambra de plus belle en écartant ses jambes bien comme il . L'homme, quand à lui, enfonçat lentement son vit dans l'antre chaude et juteuse de Lucrezia, lui extirpant alors un petit soupir de plaisir. Dieu que sa lui faisait du bien ! Enfin... Enfin ! Cela faisait certes deux mois qu'elle n'avait pas baiser, mais il faut savoir que sa dernière "relation" avec un mâle remonte à... Et bien à environs 3 mois, oui, c'est pas vraiment utile de soulever un détail aussi futile me direz vous, toutefois pour Lulu... Et bien c'est assez important, même si le gros, voir le très gros de ses relations avec la gente masculine ce passe au travers d'une cloison en bois recouverte de tag et de truc craignos, une bite reste une bite et Lulu... Bas Lulu c'est un grosse nympho-psycho et donc... Bon merde ! Elle avait genre la chatte en feu quoi ! D'ailleurs il est assez intéressant de souligner que Lucrezia, même dans une certaine période du mois, continue d'avoir des rapports... Alors qu'étrangement, c'est durant cette "semaine" qu'elle ne tue quasiment pas... Oui, Lucrezia est un mystère, même pour les plus aminants psychiatres de ce beau monde.

Ouh... Ouuuuuhouiiiii... Ah... Ah... Aaaaaah continu...

L'homme commença doucement la pénétration, faisant lentement glisser sa belle verge contre les parois de Lulu, touchant du bout de son gland le col de Notre Duchesse qui, comme vous devez vous en doutez, était au anges, tirant allègrement la langue comme une petite chienne obéissante et bien dressée tout en haletant bien comme il fallait. Sentir cet énorme chibre en elle était... Il n'y avait là aucune explications, aucun adjectifs pour décrire le ressenti de Lucrezia à ce moment précis, sentir cette queue chaude et bien dure en elle c'était...   Supercalifragilisticexpidélilicieux ! Oh grand oui ! ça l'était !

Aaaaah... HAAAAAAaAaAAAAAAaaaaannnn con... continue... Ah...ah...

L'homme semblait petit à petit accélérer la cadence, faisant par moment claquer ses baloches contre notre Duchesse, deux belles couilles encore pleine de foutre, ce miel délicat que Lucrezia adorait tant. Le bourgeon de la tueuse était tout gonflé et cette dernière eu comme réflexe, afin d'augmenter son propre plaisir, de caresser ce délicat bonbon rose, tandis qu'elle contractais ses muscles vaginaux, histoire que son amant ais lui aussi droit à un petit supplément. Il tenait toujours aussi fermement les fesses de notre tueuse, de belles fesses rendue rouge par les innombrables fessées de cet homme, Lulu avait d'ailleurs le cul en feu à cause de ça, ses pauvres fesses la picotait encore... Mais, l'homme était taquins et il ne pus s’empêcher d'envoyer une bonne grosse claque sur le gros derch à notre tueuse.

Ah.... Ah ! AHHHHouiiiiIiIIiIII pl... PL...PLUS VITE ! AAAAh !... F... Fesse moi, Ah... Ah... J... Je suis une vilaine, vilaine fille Aaaaaah. ! 
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le dimanche 13 avril 2014, 01:53:53
On en revenait aux fondamentaux, finalement. Le basique, le classique. Une levrette. Le bâton dans le trou. Le coït. À l’ancienne, tout simplement. La recette de la vie était là, dans ce mouvement, dans cette danse en deux temps. Avant. Arrière. Avant. Arrière. Difficile de croire qu’un truc aussi con pouvait être aussi délicieux, et pourtant... Ulrik ne s’en lassait pas, et continuait à la prendre, encore et encore, remuant en elle, la sentant haleter, gémir, la sentant répondre favorablement à ses mouvements. Sa queue trempait dans la mouille de cette salope cosmique. Oui, c’était bon ! Cette pute était terrible, et il ne se lassait pas de ce corps juteux, de sa chaleur saine. Plus il s’enfonçait en elle, plus il remuait, et plus il avait envie de le faire, d’accélérer la cadence, d’aller encore plus vite, de la prendre sans relâche, de la défoncer longuement. Ses mains se crispaient sur son cul, leurs sueurs se mélangeaient, ses mains étaient trempées, pinçant ses fesses, et il soupirait faiblement, serrant les dents en la pénétrant, enfonçant son vit en elle. Il la sentait se cambrer, accepter ce chibre qui se perdait en elle. En un instant, avec elle, il avait fait une synthèse de toutes ses expériences sexuelles. Cette femme était une véritable succube ! Mais, bon sang de Dieu, c’était si bon !

Il en avait mal aux burnes, l’impression d’avoir vidé tout son corps, mais, plus il la prenait, et plus il avait envie de le faire, de continuer à la prendre, sans relâche. Elle avait une sorte d’inexplicable talent pour relancer en lui le désir, pour réveiller le désir de la sauter, de la baiser, de la défoncer comme une truie. Ulrik ne se l’expliquait pas, et préférait le vivre. Il retournait la gifler, mais se concentrait surtout à sa pénétration. Son sexe s’enfonçait dans son vagin, et il se délectait des soupirs de la jeune femme. Sa respiration était lourde, précipitée, et il continuait à remuer, à donner des coups de reins. Son sexe était toujours aussi tendu, et il continua à la prendre pendant plusieurs minutes... Avant de subitement la relâcher.

« Haaaa... »

Ulrik n’avait pas encore joui, mais sa respiration était lourde. En position de levrette, il avait une plus grande marge de manœuvre, mais c’était aussi plus fatigant... Et il y avait aussi autre chose qu’Ulrik voulait tenter. Le bourlingueur ne laissa pas longtemps à Lulu l’occasion de se reposer, et se pencha vers elle, la couchant sur le dos, puis, tout en glissant une main sur la nuque de la femme, en appui, il attrapa sa verge avec l’autre main, et retourna la pénétrer, s’enfonçant joyeusement en elle, glissant son sexe dans son corps.

« Haaa... Voilà, voilà, ma belle... Je veux te sentir...Au plus près de moi pendant que je te baise... »

Il frotta son nez contre sa nuque, tout en remuant son bassin, l’embrassant sur la peau. Il s’étalait sur elle, et remua son bassin, donnant des coups de reins forts, prononcés, soulevant le corps de Lulu avant de la rabaisser, sous l’effet de leurs sueurs, cette sueur qui collait leurs chairs. Ventre contre ventre, les deux amants étaient partis dans une danse endiablée, et le bourlingueur continuait à la prendre, longuement, avec un plaisir évident. Sentir les seins de cette pute contre son torse, sa peau contre lui, ses soupirs, ses gémissements, son corps bouillonnant se tortillant de plaisir sous lui...

Oh putain ouais, c’était bon !
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le jeudi 01 mai 2014, 16:20:52
Lucrezia pouvait sentir toute la fougue de cette homme se déversait dans sa chatte, en une incontrôlable valse de vas et viens.
Elle avait l'impression de former avec lui une sorte de tandem mécanique, une sex-machine infernale, le piston et la pièce bien huilée, enfin, un truc pas catholique... Enfin, vous me direz, avec Lucrezia, il n'y a pas grand chose de chrétiens. Dans toute la pièce on pouvait entendre un véritable orchestre orgasmosyphosymphonique*, un mélange obscène entre les râles puissant du bel homme et les gémissement pervers de notre Duchesse, un cocktail agrémenté de claquements et de glissements salasses, ceux du vit de cet homme, dans la Psycho-Doudoune à Lulu et enfin, il y avait le "nik, nik" incessants, provenant du vieux matelas crasseux de la tueuse. Cet homme... Lulu ne ce l'expliquait pas. Il était juste... Merde ! La langue française, aussi riche soit elle, ne pourra jamais trouver d'adjectif concret, pour décrire ce type, cet espèce de blondinet venu de nul part et qui prend tout ce qui viens.

Ahhh aaaah... ouiii... ouh.. ouh... oh !

Oui... "oh !" C'est là ce que Lucrezia laissa s'échapper, lorsque ce beau mâle vint à doucement ce retirer de sa chatte. Que faisait il, bon sang de bistouri ! à peine lulu eut elle le temps de regarder par dessus son épaule que, HOP ! L'homme la retourna d'un coup sur le matelas, en mode "crêpe au fruits de mers".

Aaaah.. Je... Ouuuuh...

Lucrezia le sentit ce remettre en elle, mais d'une manière plus... Sensuelle. Oui, c'est ça, sensuelle ! Sentir cet homme auprès d'elle, ne fit qu'attiser une fois de plus, la flamme de notre tueuse, sentir sa peaux, son cœur... Tendrement, Lucrezia vint à caler son visage dans le cou de son amant, devenant alors beaucoup plus douce et câline... Oui, câline... Lucrezia, malgré l'intense violence de cet homme, était tout d'un coup entrain de devenir plus douce, enlaçant délicatement le corps de cet homme, entourant le bassin de l'inconnu à l'aide des ses jambes, tout en lui prodiguant une multitudes de petit bisous dans le cou. Ce simple changement de position, avait semble t'il, aussi changé la Duchesse, la faisant passer de "chienne en chaleur" à "gentille femme câline"... Oui, c'est pas toujours clair dans la tête à Lulu. En réalité, cela faisait bien longtemps qu'un homme n'avait pas baisé Lulu ainsi, notre pauvre Duchesse avait oubliée comment cela pouvait être, un bon vieux missionnaire, le truc basique...

Haaa... Haaa... Ou... M... Mon Amour... Que... Ha...

Le sueur de ce type lui gouttait dessus, elle sentais son râle puissant, son souffle chaud sur sa peaux et ses inébranlable coups de reins qui lui dilatait la chatte comme pas deux. Le gland de ce mec tapais violemment contre le col utérin de Lucrezia, lui extirpant à chaque coup, un gémissement digne des plus grande simulatrice au monde ! Sauf que là... Bas elle simulait pas notre Duchesse, mais alors, pas du tout ! OOOh grand non ! Là, c'était l'extase ! Chacun des vas et viens qu'il faisait, envoyait un million de petit frissons à Lucrezia, qui quant à elle, affairait à contracter ses muscles vaginaux, enserrant le sexe de son homme d'une manière de plus délicieuse ! Elle sentais que ça venait, elle voulait que ça dure mais...

Je... Nyyy... Je, haaaa... Bordel dé... désolé ! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !

Et hop... Lulu lacha son orgasme dans un immense râle de plaisir, avant de totalement ce laisser tomber sur le matelas, en proie à plusieurs spasme de plaisir.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le samedi 03 mai 2014, 01:52:12
Cette salope était chaude comme un putain de soleil sur le point de faire une supernovae. Il la prenait encore, encore et encore, et il pensait que sa queue devait être bien rouge, à force de tant servir. Le Gordanien était en train de relever l’honneur de son ancien Empire, prenant cette femme cintrée avec une passion sans cesse renouvelée. Il fallait dire qu’elle avait tout, physiquement, de la parfaite Gordanienne. Il n’aimait pas les femmes maigres, les bras cassés anorexiques, et les préférait bien en chair, exactement comme elle. Elle avait de grosses cuisses, des seins énormes, et était plutôt grande. La baiser était magnifique, comme s’enfiler constamment une saloperie de croisement entre un top-model et une soldate. L’homme n’y allait pas par quatre chemins, la prenant avec la même obsession. Il grognait et soupirait, en la sentant se serrer contre son corps. Ses seins s’enfonçaient contre son torse, ses doigts gantés glissaient sur sa nuque, sa bouche longeait son visage, et lui-même se prenait à retourner palper les formes généreuses de sa poitrine, pressant un sein tout en continuant à remuer ses reins. Elle l’emprisonnait, se serrait contre lui, marquant un changement de rythme. Il ne l’insultait plus, préférant uniquement se concentrer sur le simple fait de la baiser. Tout contre lui, il respirait la douceur de ce corps féminin, sa beauté, en oubliant presque l’intense perversité de cette scène. Il ne la connaissait pas plus que ça, et, pourtant, il avait l’impression, en ce moment, que cette femme faisait partie intégrante de sa vie. C’était con, mais c’était ce qu’il ressentait, en ce moment.

Il lui empoigna à nouveau les cheveux, et tira légèrement sur sa tignasse, faisant basculer un peu sa tête en arrière, et continua à la prendre ainsi. Elle l’appela « mon amour », un surnom assez curieux... Mais qui ne le choqua pas outre mesure. Lui-même, en ce moment, alors qu’il l’enfournait comme la pire des truies, se sentait pris d’une sorte d’élan d’affection pour elle. Il ne fallait pas croire qu’il la haïssait, après tout ; autrement, il ne serait pas en train de lui déboîter la chatte. Ulrik donnait en effet de grands coups de reins, de plus en plus solides, emportant à chaque fois le corps de la Lulu, sous l’effet de leurs chairs collées ensemble. Elle ignorait son nom, il ignorait qui elle était, mais, là, à l’abri de la société, à l’abri de l’espace et du temps, dans une sorte de bulle parallèle qui n’avait été faite que pour eux, Ulrik sentait bien qu’il y avait quelque chose avec cette femme. Quoi donc, il n’aurait su l’expliquer précisément, mais il le ressentait, tout simplement. L’homme continuait à la prendre, sans relâche, remuant en elle, et, si elle se mit à jouir, il ne le sentit guère, enfiévré qu’il était dans son œuvre.

L’homme ne tarda pas à l’embrasser à nouveau, rompant le baiser, pour y revenir ensuite, comme une sorte de naufragé qui aurait besoin de prendre sa bouffée d’air. Il vint ensuite, parfois, lui mordiller le cou, et continuait à remuer en elle. Ah, cette mouille... Sentir toute cette putain de cyprine autour de lui le faisait bander sec, mais il commençait aussi à fatiguer, sentant ses muscles se crisper, alors qu’il continuait à la prendre, sa jouissance se faisant attendre. Le bourlingueur soupirait, l’embrassant sur la joue, frissonnant quand les gants frais et les collants froids heurtaient son corps.

Usant de son corps, il inversa à nouveau les choses, et choisit de s’asseoir, emmenant la femme avec lui. Lulu se retrouva ainsi au-dessus de lui, ses seins à hauteur de la bouche de l’homme. Elle était comme assise à califourchon sur lui, avec le membre d’Ulrik planté en elle.

« Danse... Putain, danse sur moi, ma belle... »

Il parlait d’une voix faible, en respirant lourdement, et posa une main sur la croupe de la femme, pressant ses fesses, tandis que l’autre vint gratter son dos, ses ongles glissant sur sa peau trempée et humide. Les cuisses de l’homme étaient également inondées, que ce soit de sueur ou de mouille.

Mais, putain, c’était bon ! Oh oui, bénie soit cette salope, peu importe qui elle soit !
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 18 mai 2014, 18:56:15
Après le bel orgasme qu'elle venait d'avoir, Lulu ce sentait toute vaporeuse, toute flottante, comme une putain de petite plume qui virevolterait au grès du vent, juste au dessus d'une mer de cyprine, don les vague et les roulements, viendrait à poétiquement s'écraser sur une plage de cocaïne, où les arbres serais de grands pieds de marijuana violet, tout ça sublimer par un ciel au couleurs crépusculaire... Ouai... Lulu, elle en à trop pris ! C'est pourtant ce qu'elle voyait en fermant ses yeux... N'est ce pas magnifique ? Enfin bref, Lulu, elle était bien et... L'homme aussi, d'ailleurs ce dernier n'en avait pas encore fini, il continuait à prendre notre tueuse et ce sans relâche, sans faillir, comme un vrai de vrai ! Un putain de salaud d'étalons intergalactique ! Et ouai ma gueule !

Aaaaah... Ah...

Lulu était encore en proie au frissons procurés par son orgasme et ce à tel point, qu'elle ne remarqua même pas que le bonhomme se mis à la changer de position, elle était à ce moment précis, aussi animée qu'une poupée gonflable, c'est dire !
Mais seigneur... Que c'était bon ! Elle pouvait encore le sentir en elle, lui et son putain de mat, ce braquemart monstrueux qui glisse en elle depuis... Bordel, elle n'aurais su dire depuis combien de minutes, leurs ébats duraient. Chaque caresse, chaque délicat petit effleurement était comme décuplait par dix, c'était exactement comme ci elle était entrain de ce faire pilonner les rein, par l'ange Gabriel lui même ! Enfin... Faudrait expliquer pourquoi l'ange Gab' ferais ça, ou sinon j'en connais une elle va criser...

« Danse... Putain, danse sur moi, ma belle... »

Ceci dit, Lulu se mis à trémousser son popotin, se déhanchant faiblement au rythme des puissants coups de rein d'cet homme.
Elle dandinait gentiment son jolie cul, un cul que ce type ne cessais d'éprouver, comme ci ce cul, c'est deux putain de bout d'viandes exercer sur cette homme, une quelconque attractions  presque divine ! Elle sentais ses mains, ses doigts, tripoter avec fougue ses fesses pendant que le vit de ce beau mal lui pilonner le col de la manière le plus délicieuse qu'il soit.
Tout doucement, Lulu fini par tranquillement venir poser sa tête contre le torse virile de son amant en soupirant d'aise, lâchant de petits gémissements tout à fait adorables et typiquement féminins. Elle avait les mains posées sur les pectoraux de cet homme, don la forte respiration ainsi que les vas et viens, berçait gentiment notre tueuse. Doucement, elle clignait des yeux en respirant faiblement... Elle était collée à lui et elle aimait ça. On est bien loin de ses dernières mésaventure dans la Toussaint, n'est ce pas ? Vous savez, celle qui c'est soldée par trois coups de feu et une chute dans les égouts.*

Haaa... Lâchât elle faiblement, avant de venir embrasser son amant sur le bouche.



[HRP] * référence :  Traitement médical particulier. (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=11623.0)
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le mardi 20 mai 2014, 01:57:53
Cette femme était bonne. S’il fallait un mot pour la résumer, ce serait ça : bonne à en crever par terre. Il la baisait sans relâche, probablement comme il n’avait encore jamais baisé quelqu’un d’autre. Est-ce que ça venait de ce décor glauque ? De cette lueur de démence qu’il devinait dans ses yeux ? Oh putain de salope, il avait envie de la baiser, encore et encore, de se perdre en elle !Il était fatigué, oui, crever à avoir envie d’en dormir toute la saloperie de journée, mais... C’était plus fort que lui, comme s’il était en train de défoncer une saloperie de drogue du cul. Elle dansait sur elle, en sueur, et il caressait ses hanches, sentant le latex glisser contre lui,, voyant les seins énormes de cette femme remuer sous son nez. Elle dansait sur son corps, sa verge se perdant en elle, là où elle devait être, bien au chaud, baignant dans le foutre de cette salope. Ulrik la regardait en soupirant, et la laissa se rapprocher d’elle. Ils s’embrassèrent à nouveau, et l’homme soupira de plaisir, tirant sur les lèvres bleuâtres de la femme.

Les coups de bassin de Lulur alentirent alors qu’elle s’écrasait contre lui. Il la laissait faire, sentant le contact rassurant et froid du latex sur ses pectoraux. Il posa ses mains sur les fesses de Lulu, les pressant, les malaxant, les écartant l’une de l’autre, tout en répondant à son baiser. Qu’elle y aille plus lentement n’était pas si dérangeant que ça, car Ulrik avait tellement joui qu’il se sentait apaisé... S’il continuait à lui faire l’amour, c’était avant tout par perversion mentale, et non pour soulager un quelconque besoin de physique de soulager ses couilles en elle. Il lui tira donc sur les lèvres, tout en crispant ses mains sur son cul. S’il savait qui était cette femme, ce qu’elle avait réellement fait, il n’aurait jamais cru que c’était bien la Duchesse qu’il était en train de labourer.

Elle se blottissait contre son torse, et il remuait lentement ses jambes sur le matelas rapiécé. Conservant une main sur ses fesses, il remonta l’autre pour caresser ses cheveux.

« Hum... Ma petite beauté... Une vraie salope comme je les aime... Là d’où je viens... Toute la caserne te serait passée dessus, ma belle... »

Les Gordaniens avaient un rapport très simple avec le sexe. Il était interdit d’avorter, même si l’enfant résultait d’un viol. La mère refusant d’avoir un enfant pouvait le transmettre aux orphelinats militaires, où il serait soldat. Par ailleurs, tous les civils, hommes comme femmes, avaient un devoir d’hospitalité avec les militaires gordaniens, qui impliquaient de leur faire l’amour s’ils le souhaitaient, dans l’objectif de procréer. Parfois, des civils venaient se plaindre d’avoir été violés, mais les juges entendaient rarement ces plaintes. Une civile ne pouvait que se sentir honorée de sentir en elle la semence généreuse d’un soldat, et le viol n’était admis que dans des cas rarissimes et violents.

Il la conservait contre lui, sentant ses seins heurter son torse, et lui donna de petites gifles sur el cul.

« Allez, hummm... Remue, ma belle... Dis-toi que je suis ton cheval, et toi ma cow girl... Alors... Fais un rodéo du cul, ma salope, et laisse l’étalon te défoncer... »

Ulrik n’était pas du genre à être modeste, surtout après avoir joui plusieurs fois dans le corps de cette femme, et avoir senti tout son désir, toute l’envie qu’elle éprouvait à son égard. Il gifla à nouveau ses fesses, comme pour la motiver.

« Allez, traînée, DANSE ! »
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le jeudi 22 mai 2014, 14:30:43
Là, collé à cette homme, Lulu ce sentait vraiment bien, au chaud, tout contre se torse virile... Ouai, il y a pas à dire, Lulu n'était pas totalement devenue un monstre, elle avait toujours au fond d'elle cette petite part de femme qui fait toute la différence, ce petit coté fragile qui laisse totalement de coter la face monstrueuse et bouchère de la Duchesse. Enfaîte, à ce moment précis, c'était bel et bien Mademoiselle Lucrezia.H.P Nietzshe qui était contre cet homme, Une belle femme, tout simplement. Elle sentait bien que son amant en voulait plus... Mais elle, bas elle commençait à avoir les paupières lourdes, non pas qu'elle voulait que l'histoire s'arrête là, oh grand non ! Elle voulait... Dormir, sombrer dans la torpeur avec cet inconnu, dont elle ne connaissait même pas le nom. Notre "gentille" tueuse bailla un petit coup avant de lentement se remettre à bouger son bassin, les petite fessées de ce cher monsieur X n'avait même plus d'effet, Lulu avait jouis et voilà qu'à présent, elle  sentait venir le marchant de sable. Toutefois, elle ne voulait pas stopper l'acte maintenant, elle voulait le laisser jouir, se vider les couille une bonne fois pour toutes.

La tête contre les pectoraux de son amant, les yeux mis clos et l'index au bord des lèvres, Lulu était toujours dans son espèce d'état de "trance", quelque part entre le monde des rêve et le cercle de la luxure, c'était... C'était un peut magique tout ça, d'ailleurs, toute cette soiré l'était, un mec, qui tombe du ciel et qui vient prendre notre Lulu comme elle ne s'est jamais fait prendre auparavant, ce sentir si proche d'un homme... Oui, ça faisait bien longtemps... Cette force, cette puissance, cette virilité... Lucrezia ce sentait vraiment toute petite pour le coup. Elle avait presque l'impression de sortir avec ce type... Mais ça, soit devait être dans son cerveau malade.

Ha... Je...

Doucement , Lulu caressait du bout des doigts le corps de son amant pendant que ce dernier continuait de la prendre, empoignant toujours ça belle paire de fesses. Puis... D'un coup, on sait pas trop pourquoi, Lulu vint à ce décoller de cet homme et... Elle vint à se tripoter les seins juste devant lui, les amenant contre ses belle lèvres bleutée, suçotant ses mamelons avec grâce et poésie, alternant le gauche et le droit... Sur que là, le bonhomme devait avoir un belle vue. Lucrezia jouait avec ses nichons de manière aguicheuse, elle était complètement ailleurs, cependant, elle savait tout de même ce qu'elle faisait, elle savait que ça allait encore plus motiver son bonhomme et d'ailleurs, elle compter bien lui en faire profiter.

Tiens mon doudou... Suce moi les seins... Dit elle en lui tendant ses deux beau tétons.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le vendredi 23 mai 2014, 02:06:25
Lulu planait, Ulrik le sentait... Car il planait aussi. Il n’était pas un homme inépuisable, juste... Endurant. Et son endurance arrivait à son terme. Il ignorait qui était cette femme, et il savait qu’il n’en parlerait à personne. Honnêtement, qui le croirait ? Ce qu’il vivait était l’une de ces histoires dingues, trop dingues pour être racontées. Personne ne le croirait s’il en parlait. On le prendrait pour un dingue, et, de toute manière, il ne voyait personne à qui le raconter. Ça, c’était juste trop délirant pour être raconté à quelqu’un. Il le conserverait bien sagement pour lui, tout en se disant qu’il ne verrait plus la Terre comme avant. Les mouvements de la femme étaient plus lents, comme si son corps souple aux formes très généreuses accusait le coup de toutes les fois où il l’avait prise. Elle était épuisée, comme lui, et il la vit alors, sans prévenir, se relever.

Le sexe d’Ulrik se retrouva au froid, et il se redressa légèrement, la respiration haletante. Les seins de cette femme étaient si lourds qu’elle s’amusait à embrasser ses propres mamelons, relevant sa poitrine à l’aide de ses gants noirs. La vue de ce latex provoqua un nouveau frisson en lui. Sa queue était bien tendue, lui faisant mal, et il la pressa entre ses doigts, serrant fort, gémissant silencieusement au contact apaisant et délicieux qu’il ressentit en venant ainsi la prendre. Ça faisait du bien, mais c’était bien insuffisant pour le contenter. À quoi est-ce que cette salope était en train de jouer ? Leurs regards se croisèrent, et elle lui expliqua alors ce qu’elle avait en tête :

« Tiens mon doudou... Suce moi les seins... »

Joignant le geste à la parole, elle guida ses seins vers lui. Ulrik la regarda silencieusement, mais, plutôt que de se relever, il posa une main sur la jambe de Lulu... Et la renversa. La femme tomba sur le matelas, à côté de lui, et il se redressa, venant empoigner dans sa main l’un de ses seins, le pinçant fermement, coinçant son téton entre son pouce et son index. Il le sentit se durcir, et un sourire vorace éclaira ses lèvres, alors que son regard vint à croiser celui de la femme.

« J’ai une trique d’enfer... Et tout ce que tu me proposes, c’est de te sucer les seins ? Petite pute... Tu veux que je joue avec tes nibards, hein, ma chérie ? J’ai une meilleure idée ! »

Il ponctua cette phrase en pinçant un peu plus fort son téton, et se redressa alors. Il se plaça au-dessus d’elle, et glissa son sexe entre ses seins. Puisque leur rodéo devait se terminer ainsi, autant qu’il se termine dans un ultime éclat de jouissance et de sperme. Il attrapa les seins de cette femme, les tenant par leurs tétons, et se mit à les remuer, tout en s’asseyant à califourchon sur elle, son torse en avant. Son membre se mit à remuer contre sa peau, heurtant ses mamelons, s’enfonçant entre ses seins, son monceau de chair englouti en elle. Sa respiration était haletante, précipitée, des gouttes de sueur coulaient de son menton pour tomber sur le corps de la femme, et il continua à remuer son sexe, encore et encore, jusqu’à finir par jouir.

« Haaa... Bordel !! »

Il ferma brièvement les yeux, s’abandonnant une ultime fois à la jouissance, et son sperme éclaboussa le menton de la femme, ses seins, et son torse. Ulrik se retira alors, légèrement sonné, et, en essayant de se relever, s’affala à son tour sur le matelas. Il se retint en posant un bras en arrière, restant ainsi simplement assis, face à la femme, qui semblait comme écrasée sur le sol.

« Merde, ma chérie, tu m’as tué... »
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 25 mai 2014, 16:02:07
C'est à ce demander si cet homme était increvable, à peine notre pauvre lulu venait elle de gentiment lui demander de la téter que, lui, cet inconnu et bas il la refit tomber sur le matelas, alors que la pauvre avait déjà du mal à faire la liaison entre ses neurones... Enfin bon, c'est pas bien grave. Le bel amant de notre tueuse psychopathe avait tout de même un homme dévouez et galant au fond, titillant avec amour l'un des deux énormes monts de chair de notre tueuse, jouant avec son téton rose, le durcissant à l'aide de son pouce et son index. L'appétit de cet homme était insatiable ! Diantre que notre tueuse était bien tombée pour une fois... Oui, c'est ce qu'elle se disait... Elle se disait qu'elle avait eu de la chance de tomber sur lui, aussi fou que cela puisse paraître. Les yeux mis clos, les cheveux ébouriffés et le corps en sueur, notre Lulu se sentit défaillir, quand son amant vint à lui fourrer sa queue entre les seins, sentir une fois de plus cette énorme verges entre ses nibards c'était... C'était vraiment bon, elle savait comment tout cela aller ce finir, mais seigneur... Que c'était bon !

Aaaah... aaah... ouiiiii....

Le claquement des chairs se faisait une fois de plus fortement entendre dans la pièce, ce mêlant, comme toujours, au faibles gémissement de la tueuse. Lulu avait les yeux mi-clos et son regard était quelque peut vide... Absent... La drogue, le sexe, la fatigue, tout ça était entrain d'emmener notre Duchesse et ce n'est surement pas le beaux faciale de son amant qui allait la faire revenir.

  Haaa... Bordel !!

Et hop ! Un milliard de p'tit bonhommes allèrent violemment s'écraser sur le torse, le visage et le menton de notre Lulu qui,  comme vous devez vous en doutez, eut la présence d'esprit d'ouvrir légèrement la bouche, afin d'y recevoir un peut de la délicieuse semence de cet homme. Suite à ça... Et bien... Pas grand chose en faite... Lucrezia était là, affalée sur le matelas, comme une vulgaire poupée gonflable et lui... Bas il la regardais... Après cinq petites minutes, Lucrezia eut le courage de ce relever, ou plutôt, de ce mettre à quatre patte sur le matelas, ce collant ensuite son amant de manière lente et quelque peut maladroite. Tendrement, notre tueuse vint à poser ses lèvres bleutée sur le sexe de son homme, nettoyant avec dévotion son petit soldat engourdie, le prenant entièrement en bouche avant d'ensuite le lécher avec amour, avalant le mélange sperme/cyprine avec gourmandise. Puis, après ça... Lucrezia vint à doucement ce coller à son amant, posant délicatement sa tête contre ce torse virile et luisant de sueur. Elle prit une grande inspiration... Elle ferma brièvement les yeux et...

Reste avec moi pour cette nuit... Ça fait ci longtemps que je... N'ais pas dormis avec un homme...

Le contact chaud et animal de ce torse musclé, les pulsations de son cœur... Oui, tous cela, Lucrezia ne l'avait pas vécue de puis longtemps, c'était... C'était bon, chaud, protecteur... C'était doux et reposant, tout simplement. Elle laissa fuir un autre petit soupir et lentement elle commençait à tomber dans le sommeil.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le mercredi 28 mai 2014, 02:05:06
Il avait laissé sa signature, sa marque : des tâches blanches qui avaient éclaté sur le torse de cette femme en latex. Sa respiration était lourde, et rester éveillé, comme il le faisait en ce moment, était difficile. Son esprit tourbillonnait dans sa tête, ses jambes étaient devenues lourdes, faibles, et son torse se soulevait et s’abaissait. Même lui commençait à accuser le contrecoup de cette tornade de baise et de sexe. C’était le calme plat dans son falzar, son p’tit champion était crevé, après cette dernière giclée. Tout son chargeur était parti, et Ulrik n’aspirait maintenant qu’à reposer son corps. Que resterait-il de cette séance ? Sans doute rien. Il se doutait que si, dans deux semaines, il revenait ici, il n’y aurait personne. Ça avait juste été un heureux hasard, un troublant concours de circonstances. Il était tombé sur cette femme dans les chiottes d’une station de métro désaffectée. Peu importe les raisons qui avaient amené cette nana ici, il lui avait ramoné tout le corps, de haut en bas, et chacun des deux n’avait rien à y redire. Ça avait été bref, intense, comme une délicieuse parenthèse rose dans ses voyages de contrebande et ses affaires variées. Oh, il ne se plaignait pas, et il aurait été insolent pour lui de le faire. L’homme reprenait son souffle, et la sentit alors se rapprocher. Les prolongations ? Non, simplement le retour aux vestiaires.

Elle lui laissa sa signature, en nettoyant son membre. Son sexe avait décru de taille, mais il ne risquait pas de jouer la montagne russe, cette fois. Même les braves avaient droit au sommeil des justes, mais il la laissa faire. Quel homme aurait refusé une fellation ? Sûrement pas lui. Elle nettoyait son membre, et, quand elle se retira, il était juste couvert de salive, alors qu’elle s’affalait lentement contre lui, ses lourds seins heurtant son torse.

« Reste avec moi pour cette nuit... Ça fait si longtemps que je... N'ai pas dormi avec un homme... » implora-t-elle.

Il aurait pu en demander plus... Savoir ce qu’elle faisait ici, qui est-ce qu’elle fuyait, mais, d’une part, il n’était pas forcément sûr d’aimer cette réponse, et, d’autre part, elle était en train de dormir. Et puis, de toute manière, il n’avait pas envie de jacter. Sa bouche était pâteuse, et il répondit en posant une main sur la nuque de la femme, la plaquant contre son corps, son autre main venant tendrement caresser son corps. Il allait rester avec elle, oui. Il lui devait bien ça, après tout. Elle lui avait offert une superbe séance, et il avait, de toute manière, besoin de se reposer. Il la sentit s’endormir contre lui, et bascula sa tête en arrière, sur le rebord du matelas. Ce corps chaud blotti contre le sien l’accompagna également dans ses songes. Le militaire dormit cependant bien moins que la femme, se contentant juste de somnoler.

Combien de temps restait-il ici ? Quelques minutes ? Quelques heures ? Entre les deux ? Impossible à dire, car il n’y avait pas beaucoup de référents temporels ici. Aucune horloge, aucune montre. Leur chaleur corporelle décroissait lentement. Cette station de métro n’était pas chauffée, et elle était plongée dans la pénombre. Un endroit à vous rendre marteau, pour peu que vous ayez un peu d’imagination. Il ne se voyait pas rester là des jours.

Même pour les beaux yeux de cette femme fatale en latex.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le jeudi 12 juin 2014, 14:23:42
Qu'elle était bien, notre Duchesse contre cet homme, au chaud, tendrement blottie contre son torse musclé et luisant, bercée au rythme de ses pulsation cardiaque et de sa respiration... Oui, Lucrezia n'avait pas eu ce genre de contacte depuis longtemps, cet homme était presque un cadeaux du ciel pour elle, un putain d'ange de la baise, venue tout droit du paradis de la queue et des fesses, rien que pour la labourer. Pour l'heure, Lulu dormait tranquillement contre lui et rien d'autre en ce monde n'aurait put la déranger... D'ailleurs, durant son sommeil, Lucrezia n'eu pas droit à l'un de ses éternel flashback, triste, sombre et malsain... Non, pour une fois, elle dormait d'un sommeil doux et paisible, tout simplement.Au fond, le remède à la folie de Lucrezia, c'est peut être un homme... Cet homme ?... Nan... Ca serait trop beau, trop "good, and fucking WTF happy end !", des années et des années d'études en psychiatrie, n'ont jamais totalement sauvée l'esprit d'un tueur sériel, alors c'est surement pas une montagne de muscle et un manche à couilles qui réussiront... Et admettons que cela la calme pour un temps, l'histoire à démontrée et ce, à bien des reprises, qu'un tueur de la trempe de Lucrezia, recommencera toujours ses atrocités... Même au confins d'un autre univers...

Les tueurs en séries sont des prédateurs, même mis en cage, ils n'oublient jamais le gout du sang et l'ivresse du meurtre... Les garder en captivité requiers une attention de tous les instants, le moindre écart, la moindre petite faute... Et le cauchemars recommence. La folie de la Duchesse a était décrite comme "insoignable", cinq meurtres après son évasions, des dizaines de psychiatres ont écrit sur elle et sa soi disant "mort" n'a rien arrangée, conférences, romans, thèse, études... Le cas "Nietzshe" a était traité sous à peut prêt toutes les coutures et c'est dans sa mort, qu'elle a fait le plus de bien... Enfin, mort... C'est un grand mot... Son cadavre n'ayant pas était retrouvé, les rumeurs et la crainte plane toujours plus ou moins à Seikusu, même ci, les gens aime dire que "La Duchesse est morte et elle ne reviendra jamais !".

Hmmm...mmm..

Délicatement, à la manière d'une jolie fleur, Lulu sortis de sa torpeur. Elle ouvrit doucement les yeux, faisant lentement battre ses paupières... Elle était toujours sur le torse de cet homme et... Ce dernier était déjà réveillé semble t'il, avait il dormis ? Lucrezia l'ignorait... Mais toujours est il, elle était bien heureuse qu'il soit encore là.
Lentement, la tueuse se redressa, de sorte à laisser le champs libre à son amant, elle était alors à genoux sur le matelas, la tête embrumée par le sommeil. Notre Lulu lâchât un léger bâillement en se frottant l'oeil droit, visiblement, elle avait encore la tête dans le cul.

Coucou joli c...

Cet alors que là, dans le silence de la pièce... L'estomac de Lulu se mit à gargouiller. Et là, comme Lulu c'est une femme prude et gentille... Elle se mise à rougir. Mignon ? Je vous rappelle que l'on parle d'une femme qui violerait votre petite soeur si elle la voyait, donc non, mignon n'est pas le terme. Disons plutôt que, pour le coup, Lulu se sentie gênée d'avoir des gargouillis au ventre, enfin, il faut la comprendre aussi... Elle avait surement faim...

Je... Heu...

Elle chercha à fuir le regard de son amant, tendis que ses joue se mirent à rosirent de plus en plus... Pour le coup, c'était assez comique comme situation.

Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le lundi 16 juin 2014, 01:20:44
Ulrik se situait entre l’éveil et le sommeil, dans un état intermédiaire. Il errait, fermant les yeux, ses paupières lourdes, avant de les rouvrir, clignant à plusieurs reprises, s’absentant en caressant machinalement le corps de cette fille. Ses mains glissaient sur ses cheveux, sa nuque, et son dos, alors que, blottie contre lui, elle dormait paisiblement. Cette journée était folle, complètement hallucinante, et notre homme se remettait peu à peu de ses émotions. Il s’était tapé cette fille, dans tous les sens possibles, et son corps en était à demander pitié après le récital. C’était l’heure du repos, des soupirs et des mouvements légers du corps. Lulu dormait contre lui, et elle ne savait toujours pas son nom... Était-ce si important, à ce stade ? S’il avait encore été dans l’armée, il l’aurait amené avec lui, afin qu’elle puisse accoucher de beaux soldats gordaniens qui partiraient mourir bravement et fièrement pour l’Empire. Au lieu de ça, il allait partir d’ici, la laisser se reposer, et l’oublier, avec l’intime conviction que, si jamais il revenait ici, il ne resterait aucune trace de cette femme. L’avait-il rêvé ? Tout ça semblait tellement irréel... Quand il serait de retour dans son vaisseau, est-ce qu’il arriverait à se convaincre que tout ça n’avait été qu’un songe ? N’éprouverait-il ainsi aucun regret à se séparer de cette fille ?

*Elle ne serait pas dans un tel endroit si elle ne cherchait pas à fuir quelqu’un...*

C’était évident, maintenant. Couché sur ce matelas rapiécé, il voyait le plafond, parcouru de fissures, poussiéreux, il voyait les rats et les animaux des égouts sortant de trous dans les murs, les araignées se dissimulant dans les coins. On ne se rendait pas volontairement dans un tel coin. Elle cherchait à fuir une menace. Ulrik se sentirait-il suffisamment chevaleresque pour l’aider ? Il l’ignorait. Le contrebandier était plutôt du genre à se dire que chacun devait s’occuper de ses propres emmerdes sans faire chier les autres. Cependant, c’était un joli coup... En gros, Ulrik hésitait. Allait-il rester fidèle à sa ligne, ou prendre des risques avec cette nana ?

Il hésitait, et cette dernière continua à se tortiller, commençant à se réveiller. Elle se redressa lentement, et leurs regards se croisèrent. Elle se frotta un œil en bâillant à s’en décrocher la mâchoire, ayant visiblement bien dormi, et, comme pour l’aider à se réveiller, son estomac se mit à gargouiller, la coupant dans sa phrase.

« Je... Heu... »

Quand on savait vraiment qui était la Duchesse, cette image ne manquait pas de piquant, mais Ulrik pouvait encore brandir la carte de l’ignorance. Il y avait quelque chose d’anormal avec cette fille. Ça, il le sentait bien, mais il était alors bien incapable d’en dire plus sur elle. Ulrik se rapprocha d’elle, et l’embrassa tendrement, avant de se relever.

« Yo, cocotte, répliqua-t-il. Il me semble que tout l’exercice de tantôt t’a éreinté... Tu veux casser la croûte ? »

Le pauvre homme ne savait pas trop quoi dire, ni quoi faire, et avait sorti la première chose qui lui venait à l’esprit.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le jeudi 19 juin 2014, 23:15:54
« Yo, cocotte, Il me semble que tout l’exercice de tantôt t’a éreinté... Tu veux casser la croûte ? »

Au vue du bruit que venait de faire son petit bedon... Oui, elle avait faim, elle avait même foutrement les croc notre tueuse ! Sauf que, le hic... C'est qu'elle ne pouvait pas remonter à la surface... Enfin, ci, elle l'avait même déjà fait, pour voler sa tenue de latex par exemple. Et ouai mon pote ! Elle l'avait volée dans un sexshop, au alentour de 2h30 du mat, pendant que le gérant ce faisait une pute dans l'arière boutique ! Enfin, là, Lulu se voyait mal sortir de toute manière... Et puis merde, elle a un bonhomme à porter de mains, alors, tant qu'a faire...

Je... Ouai... Dit, tu pourrais pas me ramener un p'tit truc à manger... et à boire aussi... Hm ?

Lulu avait vraiment la dalle et elle espérait vraiment que ce mec allait lui ramener de quoi manger... Elle avait là, un petit coté veuve noire... Pas la catégorie de tueuses en série, mais bel et bien l'araignée... Le meutre en moins. Car Lulu, forte heureusement, ne comptait pas tuer se cher monsieur, lui offrir son cul une seconde fois, peut être, mais le tuer, à ça nan. Elle n'en avait pas envie.

La belle se rapprocha de son homme, avant d'amoureusement lui rendre son baiser, plaquant ses deux mains contre le torse virile, de ce mâle d'un soir.

S'il te plait... Je taillerais une pipe si tu veux...
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le dimanche 22 juin 2014, 01:50:51
Elle avait envie de grailler, et, manifestement, son réfrigérateur était vide... Si tant est qu’elle ait un frigo. Comment faisait-elle pour bouffer ? Elle se nourrissait de rats et de toiles d’araignée ? Ulrik n’avait rien vu qui, de près ou de loin, s’apparente à la bouffe, et c’est ce qui, naturellement, amena Lulu à lui quémander de lui ramener à manger. Surpris par cette demande, son corps frissonna quand la femme l’embrassa tendrement, se pressant contre lui. Il répondit à son baiser, torse nu, l’enlaçant tendrement. Les mains de cette femme se serrèrent contre son torse, et leur bref baiser se rompit vite, avant qu’Ulrik ne sente l’érection revenir.

« S'il te plait... Je taillerais une pipe si tu veux... » souffla-t-elle ensuite.

Le bourlingueur esquissa un léger sourire. Il la repoussa, caressant ses épaules, remontant ensuite sur ses joues, les frottant avec ses mains. Notre pirate de l’espace hocha lentement la tête.

« Okay, joli cœur, tu sais comment me convaincre... Le temps que je revienne, retrouve ta robe de latex, et enfile-là... Avec les gants et les collants. »

Il l’embrassa à nouveau, et enfila quelques vêtements, avant de sortir. Il retrouva rapidement son brassard technologique, et l’alluma. Une représentation tridimensionnelle des égouts se mit en place. La carte fonctionnait grâce à l’ordinateur de bord de son vaisseau, diffusant des ondes radio qui rebondissaient contre les murs, permettant ainsi de dessiner une carte. Il ne comptait pas aller à la surface, car il ignorait tout de ce monde, mais Ulrik avait son plan. Le bourlingueur s’avança vers son vaisseau, et mit une demi-heure à y retourner. Personne ne vint le déranger, et il n’était pas claustrophobe, ce qui faisait qu’il s’avançait sans peur le long des égouts et des cavernes souterraines.

Une fois à l’intérieur, le bourlingueur trouva le réfrigérateur de l’appareil, et l’ouvrit. Il y avait quelques rations militaires gordaniennes, mais il savait que les femmes non-Gordaniennes avaient le palais délicat... Et lui-même trouvait ça dégueulasse. Il opta pour des aliments récupérés sur d’autres planètes, et se retourna. Dans le fond, il aurait tout à fait pu conduire cette femme ici. Curieusement, cette idée revenait encore dans son esprit, même s’il savait qu’elle était idiote, et complètement farfelue. Il la chassa vite, et retourna vers son antre.

Il aurait également pu partir et l’abandonner là, mais... Peut-être bien qu’il s’était attaché à cette poupée en latex un peu plus qu’il ne l’aurait cru. Il tenait dans sa main une sorte de plateau plastifiée avec un système électronique intégré permettant de réchauffer le plat. Ulrik retourna rapidement dans la station de métro, et fit chauffer le plat, qui comprenait aussi des couverts intégrés dans un rangement sur le côté.

« Je pense que tu devrais aimer ça, ma chérie... »

La revoir dans sa robe en latex provoquerait sûrement une nouvelle érection chez lui.

Mais ce n’était pas spécialement pour le déranger.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 23 juin 2014, 14:40:09
« Okay, joli cœur, tu sais comment me convaincre... Le temps que je revienne, retrouve ta robe de latex, et enfile-là... Avec les gants et les collants. »

Lucrezia fit un petit hochement  de tête en signe d’acquisition, avant d’allègrement se mettre à mater son amant entrain de se rhabiller devant elle. Dieu qu'il était beau, comme mec ! Si lulu avait était moins barge et un poil plus intègre, pour sur qu'elle l'aurait suivis ! Mais... vue qu'elle est complètement tarée et que son quotient émotionnel est pas terrible... Bas... Elle restera surement là, jusqu'à ce que son esprit de frappadingue lui dicte de remonter à la surface pour éviscérer de pauvre pute au coin d'une ruelle.

L'homme renfila donc ses vêtements, avant de se diriger vers la porte, ce tournant un dernière vers Lucrezia. Cette dernière lui adressa un petit clin d’œil, avant que cet homme d'un soir ne referme la porte derrière lui. Suite à cela... Et bien Lulu se releva doucement en ce frottant légèrement les paupières de sa main droite. Elle se dirigea ensuite vers le lavabo où était disposée sa petite sacoche Notre Lulu se regarda rapidement dans le miroir, avant de se mettre à faire couler l'eau Elle en prit un peu un creux de ses mains avant de s'humidifier abonde ment le visage, histoire de se rafraîchir un peu les idées. La tueuse farfouillat ensuite dans sa petite sacoche, afin d'en sortir un petit paquet de lingettes entamées. Elle en prit une, qu'elle passa rapidement sous l'eau, avant de l'utiliser pour se rafraîchir le minou et le derrière... Car entre nous, quitte à jouer les prolongations, autant repartir sur des bases propres. Doucement, gracieusement, Lucrezia fit descendre la lingette sur son corps nue, partant de ses seins, passant par son ventre, finissant alors au niveau de son intimité. Le gestes était gracieux, doux, emplie de désir et de passions. Lulu était vraiment une belle femme... La voir ainsi avait de quoi vous faire oubliez sa folie.

Haaaannn... Haaa... Ouuii..hmmm... Soupirât elle en continuant son petit nettoyage gracile et coquin.

Après une petite dizaines de minutes et cinq, six lingettes d'usées, Lulu se décidât enfin à remettre son uniforme de latex. Cependant, il faut savoir que, Lulu n'utilise pas que des lingettes pour ce laver, elle à aussi dans sa sacoche un gant de toilette et un savon, qu'elle utilise pour faire un nettoyage complet, là, c'était juste un petit rafraîchissement rapide, car, après tout, Lulu savait qu'elle allait s'en remettre du partout.

Devant le miroir, Lucrezia se recoiffa un peut, elle remit un bout de noir à lèvres ainsi qu'un bout de eyeshadow. Elle sniffa un peu de poudre et hop ! Elle était d'aplomb notre Lulu ! Prête à ce refaire cravacher le cul ! D'ailleurs, quitte à refaire des choses cochonnes... Autant se remettre l'espace d'un moment, dans la peau d'un métier qu'elle à longuement côtoyé, le métier d'infirmière !

Oh  yes ! ça c'est de l'idée ma cochonne ! Lâchât elle, toute contente d'avoir trouvée un truc qui pimentera un peu la suite des événements!... Enfin, vous me direz, il n'y à là, rien de vraiment très innovent là dedans mais... Bref, c'est Lulu quoi.

Elle attendue alors son amant, patiemment étendue sur le matelas rapiécé. Et ce fut après une demi-heure, trois quart d'heure d'attente, qu'elle le vit enfin revenir auprès d'elle, avec un plateau dans les mains.

How... Wow...

Lulu, pour le coup, était... étonait de le voir revenir avec un plateau repas, elle s'était attendue à un bête sandwich et à une misérable bouteille d'eau... Mais non, là, elle avait carrement droit à un plateau repas !

Je... How, Habituellement ce sont les infirmières qui apporte les plateaux repas aux patients... Pas le contraire, fufufu ! Lachat elle, langoureusement en faisant glisser son index sur le matelas.

Elle avait faim, oui... Faim de nourriture et de sexe !

Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le mercredi 25 juin 2014, 01:12:35
Il s’attendait presque à ce qu’il n’y ait personne quand il reviendrait. Tout ça semblait tellement... Surréaliste. Initialement, il était juste venu délivrer un paquet, et il s’était retrouvé à ramoner toute la tuyauterie d’une poupée en latex aux cheveux bleus dans des toilettes miteux. Même pour lui, c’était un peu fort... Pourtant, Ulrik en avait vu des vertes et des pas mûres, en explorant l’espace. Il s’avançait lentement, retraversant ces couloirs sombres et étroits, qui donneraient envie à n’importe quel claustrophobe de pousser des hurlements paniqués. C’était un endroit flippant, rappelant au bourlingueur les avant-postes gordaniens. Il y avait des couloirs aussi étroits, qui faisaient office de goulot d’étranglement contre d’éventuels envahisseurs, des lance-flammes étant dissimulés dans les coins, ou des dispositifs permettant d’émettre des rayons lasers meurtriers. Rien de tout ça ici, fort heureusement.

C’est ainsi que notre homme retourna dans les chiottes... Probablement l’endroit le plus romantique de l’univers. Quelle chance y avait-il de trouver, dans des foutues toilettes abandonnées, une femme en latex qui avait envie de se faire tringler comme si elle était la dernière des putes ? Ulrik ouvrit la porte, s’attendant presque à ne voir personne, et à se dire que tout ce qu’il avait vécu jusqu’à maintenant n’avait été que le fruit de son imagination, et l’expression de sa situation de manque de femmes. Les longs voyages spatiaux qu’il faisait duraient aisément des semaines, et, pendant toute cette période, il ne pouvait que rester en pilotage manuel quand le corps d’une femme lui manquait.

Pourtant, elle était bien là. Magnifique, sensuelle, désirable, allongée sur son vieux matelas pourri, en glissant son doigt sur ce dernier.

« Je... How, Habituellement ce sont les infirmières qui apporte les plateaux repas aux patients... Pas le contraire, fufufu ! »

Ulrik haussa légèrement la tête sous l’effet de la surprise. Pour lui, ce qu’il lui amenait correspondait à un repas, tout simplement. Mine de rien, c’était plus rapide à préparer qu’un sandwich, puisqu’il suffisait juste d’appuyer sur un bouton. Mais... Les infirmières ? Ulrik réalisa alors qu’il avait une érection, déformant légèrement son bas. Naturellement, il savait ce qu’était une infirmière. Les Gordaniens en avaient aussi, mais elles étaient bien différentes de ces Terriennes. Elles portaient de lourdes armures quand elles agissaient sur le front, et soignaient les blessés à l’aide de machines dans les hôpitaux.

« Hum... Disons que c’est la reconnaissance du patient pour les traitements apportés par son infirmière à le soigner. »

S’agissant de la Duchesse, la phrase était très ironique, mais Ulrik ne pouvait pas savoir qu’elle sauvait rarement des vies... C’était, en réalité, plutôt le contraire. Ignorance culturelle oblige, lui ne voyait en cette femme qu’une simple partenaire sexuelle, une femme qui, pour d’obscures raisons, avait choisi de s’enterrer ici. Oh, il soupçonnait bien quelque chose de louche, mais rien d’aussi grave que la réalité. Pour l’heure, notre homme déposa le plateau dans un coin, et se déshabilla sous les yeux de la femme, finissant à nouveau nu, avec son sexe dressé. Sa main masturbait ce dernier, étranglant ce monceau de chair entre ses doigts. Le Gordanien s’avança vers elle, rejoignant le matelas.

« Mais je crois que j’ai encore besoin d’une analyse corporelle... Je sens comme une certaine tension entre les cuisses. »

Le message était clair : il voulait une petite fellation matinale, car c’était idéal pour commencer la journée.

N’est-ce pas ?
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 30 juin 2014, 17:23:25
« Hum... Disons que c’est la reconnaissance du patient pour les traitements apportés par son infirmière à le soigner. »

Cette phrase fit gentiment sourire notre Duchesse, langoureusement affalée sur son matelas. Cette homme était vraiment quelqu'un de bien, il était rare de voir un homme capable de ramener de la nourriture à une femme qu'il ne connaissait que depuis deux , trois heures... Oui... C'était vraisemblablement un gentleman ce... Ce... Tiens, Lulu en y repensant bien, venait de remarquer qu'elle ne connaissait pas le nom de ce bel étalons... Ce n'était pas en soi quelque chose de très important mais bon... Vous me dirait, quitte à baiser avec un homme que l'on peut voir en entier, autant savoir au moins son nom. Toutefois, le dit étalons ne laissa pas vraiment le temps à notre Duchesse, de lui demander son nom, car bien bien vite, il posa le plateau non loin du matelas, avant de finalement ce remettre à nue devant notre tueuse.

Qu...
« Mais je crois que j’ai encore besoin d’une analyse corporelle... Je sens comme une certaine tension entre les cuisses. »

Oui... Avant de taper dans le plateau repas, Lulu allait devoir sucer la belle queue de cet homme, qui  pointait fièrement devant son nez. Lucrezia se mit alors à genoux devant lui, prête à lui dégorger le poireau comme jamais.

Bien, bien, bien... Je pense savoir quel est votre problème... Lâchât elle avec un petit sourire malicieux, avant d'attraper le sexe de l'inconnue d'un mains délicate.
C'est un afflue de sang, un peut trop important au niveau de votre pénis, mon cher. le seul remède que je puisse vous prescrire est une bonne pipe en bonne et due forme, pipe que je m’efforcerais de faire avec amour et dévotion, tel est mon rôle d'infirmière.~♥

Et hop ! à peine eut elle fini sa phrase, qu'elle ouvrit grand sa bouche afin de venir faire tapoter le gland de l'homme sur sa langue, langue qu'elle vint ensuite à faire glisser sur toute la hampe de ce sexe turgescent et chaud. Dieu que Lucrezia aimait sucer... La fellation avait pour elle quelque chose de très érotique et de particulièrement bon. Un peu comme... Et bien comme la version adulte du suçage de pouce... Ouai, c'est pas franchement terrible comme comparaison, mais Lulu voyais sa comme ça elle. sentir se membre chaud et palpitant dans sa bouche, avait pour effet de l’apaiser et de lui prodiguer du plaisir et savoir qu'au final elle allait avoir droit à une bonne lapé de foutre chaud, ne faisait qu'attiser son envie de sucer. La langue ne notre Duchesse ce faisait habile et joueuse, passant dans chaque petit recoin de sexe de cet homme, titillant amoureusement son gland, caressant avec douceur ses bourse chaudes et gorgées de nectar blanc, tendis que les lèvres noires ne la tueuse laissait quelque petites traces sombre un peut partout sur ce membre en érection. Lucrezia laissa quelque temps la queue de ce bel homme afin de lui sucer un peu les bourses, tout en lui branlant vigoureusement le manche, puis, elle remonta au niveau de son gland en léchant allègrement cette belle verge, de la hampe jusqu'au sommet du gland, finissant alors par un petit baiser plein de tendresse et de douceur.

Au faite, à qui suis je entrain de pomper le dard ? Hm ? Dit elle avec un petit sourire en coin.

Sans quitter son homme du regard, Lulu repris son sexe en bouche, avec encore plus d'appétit que tout à l'heure, crisant ses joues en imprimant un langoureux mouvement de vas et viens sur cette belle bite de trente centimètres. Elle ignorait ce que cet homme allait lui faire ensuite... Elle avait juste envie d'une chose, ce refaire tringler comme une chienne !
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le mardi 01 juillet 2014, 01:20:35
Ils en revenaient à cette bonne vieille fellation. Un plaisir simple et facile, et toujours aussi plaisant pour Ulrik. L’homme avait le droit d’avoir ses petits fantasmes, et il avait tellement couché avec cette femme qu’il avait amplement remarqué son talent inné pour les fellations. Cette dernière, après un petit speech bien motivant, ne tarda pas à prendre son sexe en bouche. Elle jouait avec délice son rôle d’infirmière salope, et Ulrik tendit sa main pour caresser ses cheveux, s’appuyant dessus, les serrant, tout en la laissant remuer. Son regard était baissé vers la femme. Il ne se privait pas de l’observer, de la détailler, de la reluquer, et de remuer ses hanches. Pour eux, c’était la seconde période qui commençait, après une nuit de repos. Le désir revenait, toujours aussi fort, toujours aussi vicieux et intense. Ulrik soupirait de plaisir, remuant d’avant en arrière, enfouissant son membre dans la bouche de la fem, qui n’hésitait pas à l’emplir totalement, toute sa verge s’engloutissant en elle.

Ulrik en soupirait de plaisir, basculant légèrement sa tête en arrière. Le plaisir remontait en lui, électrique, et elle continuait à le sucer, avant de libérer sa verge, pour astiquer ses testicules. Encore une fois, le bourlingueur de l’espace ne chercha nullement à l’en empêcher. Cette fellation le réveillait, stimulant ses idées, excitant son imagination. Il la laissa donc faire, sa verge retrouvant une belle érection, jusqu’à ce qu’elle lui demande son nom.

*Hum ?*

Sur le coup, Ulrik ne put s’empêcher de cligner des yeux, surpris. C’était vrai... Il ne lui avait jamais donné son nom. L’image avait quelque chose d’ironique. Ils avaient fait l’amour comme des sauvages, il l’avait baisé dans tous les sens, et elle ne connaissait même pas son nom. S’il n’avait pas eu une trique de tous les diables, il aurait sans doute pu en profiter pour la narguer là-dessus, mais même Ulrik n’était pas cruel à ce point.

L’homme esquissa donc un léger sourire, et s’écarta de la femme.

« Ulrik, ma belle... On m’appelle comme ça. »

Vu sa prestation, elle méritait bien de connaître son nom. Le bourlingueur avait maintenant son sexe tendu, et cette petite pute dans sa robe de latex moulante le tentait sévèrement. Il se pencha alors, et ouvrit le plat qu’il lui avait amené. Une idée délicieusement perverse avait germé dans son esprit, et il était temps de la mettre à exécution.

« Mets-toi à quatre pattes, ma belle... Je sais que tu as envie d’agir pour ton patient, mais il faut aussi que tu reprennes des forces. »

Comme quoi, on ne pourrait pas dire qu’il n’était pas prévoyant ou bien intentionné. Il posa ses mains sur les hanches de la femme, rapprochant sa verge de son bassin, heurtant ses fesses. Oh putain, ça allait être bon ! Il en souriait, de légers tremblements venant parcourir son corps.

« Utilise ta bouche pour avaler... Comme une chienne, car c’est comme ça que je vais te prendre. »

Il s’enfonça alors dans son fondement, joignant le geste à la parole, et ponctua l’acte d’une grosse claque sur ses fesses...

Histoire de faire circuler le sang.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mardi 08 juillet 2014, 10:55:32
Donc ce bel homme se prénommait Ulrik... Pas que cela fasse une grande différence mais au moins, Lulu savait à présent comment s'appelait cet homme. Sur le coup, notre tueuse avait elle aussi envie de lui dire son vrai nom... Lucrezia. Malheureusement, elle avait encore peur qu'il la reconnaisse, même ci, visiblement, ce bel homme, n'était pas d'ici et puis, franchement, ce mâle venait de passer toute une nuit à lui refaire la tuyauterie, bordel Lulu, soit rationnel un peu ! Enfin bon, une fois encore, la parano de Lulu l’empêcha de divulguer son véritable nom, qui, soi dit en passant, est très jolie nom.

Lucrezia était toujours accroupie, face à cet homme. quand tout à coup, ce dernier vint à soulever le plateaux repas de notre Tueuse. cette dernière fronça vaguement les sourcils, ce demandant bien où il voulait en venir.

« Mets-toi à quatre pattes, ma belle... Je sais que tu as envie d’agir pour ton patient, mais il faut aussi que tu reprennes des forces. »

Lucrezia commençait à voir où il venait en venir et elle s’exécuta donc docilement, se mettant alors à quatre pattes, en parfaite petite chienne, docile et câline, remuant son petit popotin avec ardeur. Lulu put, une fois encore, avoir l’immense plaisir de sentir les mains fortes de cet homme, autour de son bassin, tendis que sa queue venait titiller de très prés, les jolies fesses de notre tueuse. Qu'allait il faire ? Une levrette ? Une sodomie ? Lulu ne le savait pas encore, mais dans tout les cas, ça allait être sacrément bon !

« Utilise ta bouche pour avaler... Comme une chienne, car c’est comme ça que je vais te prendre. lâchât il, avant de s'enfoncer dans le fondement de Lulu, accompagnant la pénétration, d'une bonne petite claque sur le cul.

Ouuuhouu... wouf !

Lucrezia était joueuse et ce genre de coquineries était tout à fait de son genre, jouer les petite chienne, c'était vraiment très excitant ! Notre tueuse commença alors à gentiment se nourrir, pendant que ce bel étalons la labourer avec vigueur. Sentir, une fois de plus, cette énorme bite en elle. La nourriture qu'Ulrik lui avait apporté était plutôt bonne et Lucrezia prenait plaisir à la manger comme une chienne, s'en mettant, sans vraiment le vouloir, un peut partout autour de la bouche. C'était tellement jouissif ! Tellement bon !  Lulu était vraiment une petite chienne quant elle s'y mettait.

Aaaah.... HGaaan... HMMMmmmwiouf ! HAAAAnnnmm.. wouf !

Ulrik semblait lui aussi prendre son pied, claquant violemment les fesses de sa petite chienne d'un soir.
Surement était ce là, les derniers ébats de nos deux amants, toutefois, Lulu avait encore bien d'autres projet à lui soumettre à cet homme... Elle voulait rester avec lui, le plus longtemps possible... voilà tout.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le mercredi 09 juillet 2014, 01:39:25
Les choses sérieuses allaient se poursuivre entre eux. On jouait les prolongations, et, plus Ulrik se la tapait, cette petite salope aux cheveux bleus et à la robe noire en latex, et plus il avait envie de se la taper. Oh ouais, c’était une magnifique salope, et il la défonçait, tout en l’entendant aboyer et gémir, faire la chienne tout en léchant son plat. Ce n’était pas quelque chose de difficile à manger, mais, avec le cul rempli par la verge du contrebandier, il ne devait pas être facile de bien manger. Cependant, Ulrik s’en foutait. L’estomac de cette femme, pour le coup, était secondaire devant son plaisir. C’était égoïste, mais, en toute honnêteté, quand votre verge se réveillait et vous donnait des coups de trique à vous donner envie de chialer votre mère, vous vous foutiez bien que Madame soit en train de bouffer... Surtout quand Madame était à quatre pattes devant lui, et qu’il avait sa queue dans son cul.

« Ouais, ouais, putaaainn !! Haaaa, couine, salope, couine !! »

Il lui claqua à nouveau les fesses, et continua à la prendre, sans relâche, avec la même fougue. Les minutes filèrent rapidement. La porte arrière de Lulu était déjà bien enfoncée après tous leurs ébats, et Ulrik n’avait donc aucune difficulté à y retourner, savourant ce contact, savourant cette femme, remontant ses mains pour agripper ce latex. Cette texture était vraiment délicieuse, surtout sur le corps d’une si belle femme... Oui, Ulrik ne pouvait qu’admettre que cette femme était d’une beauté terrifiante. Il serrait ce latex, et continuait à remuer en elle, son sexe bien planté.

Ulrik soupirait de plaisir, de profonds râles s’échappant de sa gorge. Le corps de Lulu répondait favorablement à ses élans, et il continuait à la prendre, remuant en elle, d’avant en arrière, ses mains la giflant, s’abattant sur sa croupe. La sodomie se prolongea encore pendant de longues minutes, avant qu’Ulrik ne finisse par s’abandonner à nouveau en elle. Il se crispa contre son corps, et, en l’insultant copieusement, éjacula en elle, répandant sa semence :

« Hmmmmm !! Saaaaloooope, haaaa !! Goûte-y, ma chienne !! »

Il jouit en elle, sentant son sexe se vider, le sperme giclant en elle. Ulrik, dans un soupir, se retira d’elle, et s’écarta légèrement, soupirant de plaisir.

« Merde, ce que tu peux être bonne, Lulu... Je n’arrive pas à me lasser de toi... Je ne sais pas s’il faut te détester ou t’adorer pour ça. »

L’homme était sincère.

Il ne savait toujours pas quoi faire avec cette nana, tant elle suscitait en lui des sentiments contradictoires.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le samedi 12 juillet 2014, 20:43:27
Une fois de plus, la violence était de mise ! Mais seigneur... Que c'était bon ! Oh grand oui ! Lucrezia est vraiment une nympho de première et ce, depuis déjà bien longtemps. Notre belle tueuse était comme une chaudière en constante ébullitions, une véritable bouillotte de chair et de latex, une chienne, bien obéissante, qui, si elle avait une queue, la remuerais bien gentiment. Mais, pour l'heure, la seule queue qui lui était donnée d'avoir, c'était celle d'Ulrik ! Et elle l'avait bien profond dans l'fondement et ce, pour son plus grand plaisir ! Enfin... Pour leur plus grand plaisir. Ce bon vieux Ulrik semblait vraiment prendre son pied lui aussi, il remuait avec fougue dans le cul de notre Duchesse, envoyant toute sa force et toute sa fougue dans ses coups d'butoir ! Cet étalons était vraiment un dieu de la baise, un hercule de la bistouquette qui faisait vraiment vivre à notre Duchesse, un agréable moment. Lucrezia aimait sentir en elle cette énorme verge turgescente et chaude, ce vit fabuleux qui, à chaque vas et viens, lui retirais de longs soupirs de plaisir en la faisant frémir comme une feuille.

Aaaaaah.... AAAAAANNNNNH OUIIIIIII ! Haaaa.... haaa.... HaAaAAnnn !

Elle haletais comme une petite chienne, en savourant chaque petites secondes de ce coïte anal. Certes, ce genre d'acte amenait toujours avec lui un peut de douleur mais, c'était cette douleur qui décuplait le plaisir ! C'était purement jouissif et Lucrezia adorait ça ! Elle sentait cet homme vigoureux s'appuyer sur elle, sentir ses mains fermes sur sa croupe, donnant de violentes claques sur cette dernière, des claques qui, à chaque impact, ne faisait qu'attiser la flamme que Lulu avait en elle. Cet homme était tout simplement magique... Il était tombé du ciel, là, dans l'endroit le plus improbable qu'il soit, il ne connaissait vraisemblablement pas notre tueuse et pour couronner le tout... Il lui avait fait L'IMMEEEEENSSE plaisir, de lui refaire la tuyauterie et ce, à tout les étages.Toutefois, Lulu savait que cette belle aventure allait bientôt s'arrêter, elle savait pertinemment que cette homme allait finir par partir, la laissant là, dans l'obscurité et les ténèbres froides de la ville souterraine... du-moins, jusqu'à ce qu'elle ressorte enfin de son trou et ce, pour de bon.

« Hmmmmm !! Saaaaloooope, haaaa !! Goûte-y, ma chienne !! »

Les mains d'Ulrik se raffermirent autour de la taille de Lulu, avant que cette dernière ne soit assaillie par un coup d'butoir final, ponctué par une éjaculation magistral ! Un vidage de couilles, directement dans le derche ! Seigneur... Lulu n'en pouvait plus et... BORDEL ! Que c'était bon ! Tellement bon qu'elle s'en mordit la lèvres inférieur en roulant des yeux, le simple fait de sentir toute cette semence dans son cul c'était... POUAH ! Il n'y avait là, aucun putains de qualificatif, juste des millions de frissons qui parcoururent, l’espace d'un instant, tout le corps de notre Duchesse. L'homme retirat ensuite son petit soldat du cul de Notre tueuse, laissant ainsi dégouliner le long de ses cuisses, la semence qu'il avait eu tant de mal à faire rentrer.

« Merde, ce que tu peux être bonne, Lulu... Je n’arrive pas à me lasser de toi... Je ne sais pas s’il faut te détester ou t’adorer pour ça.

Lulu était essoufflait, elle haletait faiblement, la tête contre le matelas, la croupe à l'air et toute baveuse... Ouai, c'était pas super glamour mais, vous êtes habitués à force. Bref, Lulu regardait vaguement cet homme dans les yeux... Puis, d'une voix quelque peut éttoufée par l'effort, elle bredouilla :

Lu... Lucrezia... Je m'appelle... Lucrezia...

Au point où elle en était, franchement, lui dire sa véritable identité n'avait plus aucune importance, de toute manière, cette homme ne la connaissait pas, c'était flagrant ! Et quand bien même il découvrirait la vérité, Lulu ne serait plus là depuis longtemps.

J'ai encore envie de toi... Ulrik.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le mardi 15 juillet 2014, 01:15:34
Lucrezia... Le nom ne lui disait effectivement rien, et il ne comprenait pas trop pourquoi cette femme tenait tant à connaître son nom maintenant, et à lui communiquer le sien. Il n’en accorda pas une bien grande importance. Peut-être qu’elle voulait juste se rapprocher encore de lui, l’inciter à rester ? Il fallait bien admettre que c’était tentant... Rester avec cette femme, et la baiser pour le reste de leur existence, la prendre dans tous les sens du possible, la sentir hurler, la défoncer, la faire couiner sans relâche, enfoncer son vit en elle, et encore, encore et encore, se faire l’amour. Ce qu’ils vivaient était une spirale, une longue parenthèse, délicieuse et exquise, mais qui, lentement, touchait à sa fin. C’était comme si aucun des deux amants ne souhaitait s’arrêter là, comme s’ils voulaient défier la logique et la fatigue de leurs corps. Il venait de jouir à nouveau dans son corps, défonçant ses fesses, et Lucrezia s’étalait devant lui, délicieuse dans sa robe en latex, continuant à le faire frissonner. La respiration lourde, Ulrik la regardait sans rien dire, jusqu’à ce que la femme ne se mette à nouveau à parler.

Elle voulait encore de lui. Il hocha lentement la tête, s’humecta les lèvres, et un léger sourire se traça sur ses lèvres.

« Ma belle... Tu es insatiable... »

Il frissonna légèrement, et se pencha vers elle. Il n’eut aucune difficulté à retourner l’allonger sur son matelas, se blottissant contre elle, et l’embrassa sur les lèvres, posant une main sur ses cheveux bleus, les serrant, mordillant ses lèvres dans son baiser. Que pouvait-il donc encore lui faire ? Ulrik hésitait, mais il appréciait le contact de ce latex.

« Que te faire, que te faire... »

Ulrik sourit lentement, et remua un peu contre son corps, se reposant sur elle. Sa main se déplaça pour attraper sa verge, et il la tira vers le bas, la faisant passer sous l’ourlet de sa robe. Il relâcha ensuite son sexe, qui caressa l’intimité trempée de cette femme.

« Alors, c’est reparti, ma belle... »

D’où lui venait une telle fougue ? De son passé de militaire gordanien ? De la mutation qu’il avait subi autrefois par les militaires ? Du fait qu’il couchait avec une salope de classe transgalactique, toutes catégories confondues ? Un subtil mélange des trois, sans doute. Il continua à remuer en elle, la pénétrant, mais le geste était bien plus lent qu’auparavant. Il fatiguait, haletait, soupirant longuement, et remuait son corps d’avant en arrière, la pénétrant tendrement, délicatement.

C’était bon. Délicat, lent, mais bon. C’est tout ce qu’il demandait.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mercredi 16 juillet 2014, 19:04:41
et hop là, c'était reparti pour un tour ! Et ce pour le plus grand plaisir de Lulu. Cette dernière n'eu même pas le temps de dire wouf, qu'Ulrik se mit à doucement retourner comme une crêpe, avant de tendrement venir se coller à elle, contre sa généreuse poitrine, encore emballée dans sa robe de latex. L'homme joua de son sexe, avant de venir doucement l’enfoncer dans l'antre chaude de notre tueuse, volant à cette dernière, un énième petit soupir de plaisir. Dieu que c'était bon... Lulu regarda longuement son amant dans les yeux, la bouche entre-ouverte et les yeux mis-clos... Cet homme était vraiment beau... Lucrezia l'aurait connue avant tout ça, surement serait elle sortie avec lui, car franchement, quelle femme se priverais d'un tel homme, hein ? Pas Lulu en tout cas, ça je peut vous l'assurer !

Haaa... Haannn... Haanww Ul... Ulrik ! Haaa !

Les mains délicate de notre duchesse vinrent alors à libérer son opulente, mais néanmoins magnifique poitrine, de son étreinte de latex, permettant alors à son amant, d'avoir l'oeil sur ses deux belles îles au trésor, qui rebondissent au rythme de ses coups de reins, chose qui surement, allait attiser la fougue de ce beau mâle en rûte, car, quoi de plus excitant qu'une belle paires de seins qui rebondissent avec arrogance devant votre nez, hm ? Lulu n'avait envie que d'une chose, c'était qu'il se mettent à lui téter avec avidité, pendant qu'il lui labourer la tuyauterie, sentir la langue habile de cette homme lui titiller les tétons, comme un nouveau né tétant sa mère avec amour.

Notre tueuse vint ensuite à enlacer son amant avec tendresse, collant ses deux énormes seins contre son torse chaud et humide, la tueuse colla son visage dans le creux de son épaule, humant avec délice et passions le parfum de cette homme, une bonne odeur de mâle, viril et... Enfin, il sentait la testostérone, la sueur, l'excitation... Le genre de mélange qui rendait notre lulu tout chose. Elle passa lentement sa langue dans le cou de son amant, avant de lui faire un long suçons d'amour, une belle marque qui lui restera surement pendant plusieurs jours, afin qu'il ne l'oubli pas immédiatement, chose qui, entre nous, ne risquerais pas d'arriver car, franchement, une histoire aussi invraisemblable que celle-ci, ça ne s'oublier pas.

Quand tout se... seras HAA ! Fin... Finiiihaaa... Haaa ! Je... Haaan.... Soufflat elle péniblement à son amant pendant qu'il continuait lentement son pilonnage.

Lucrezia serait elle entrain de s'attacher à lui ? Hmmm... Nan, ça y ressemble, certes, mais ce n'est pas vraiment de l'attachement, du moins, pas un attachement "sentimental" mais plus une sorte d'effet due à l'isolement et au manque de sexe, dite vous bien que Lucrezia n'avait pas vus un chibre depuis deux mois, il est donc plus ou moins normal qu'elle veuille rester avec cette homme... Lulu n'est pas vraiment comme tout le monde, ses sentiment sont pas du tout comme ceux des gens normaux, tant est qu'elle ais encore des sentiments (autre que pour ça mère)... C'est une psychopathe, il n'y a que elle et puis c'est tout... Si un bel homme, monté comme un pur-sang suffisait à la soigner, ça ferait une paye que Lulu serait entrain de faire la tambouille au seins d'une petite famille composé du dit pur-sang et d'au moins deux gosses... Ouai, c'est triste... Mais Lulu est ainsi faite... Le meurtre, la drogue et la baise, voilà tout.

Hoooow... Ulr... Ulrik, je suis.. HAA...Haaan... dé..décidément folle de ta grosse queue...

Cette petite phrase, pleine de charme une fois clôturé, Lulu vint une nouvelle fois au contact des lèvres de cette homme, afin de partager avec lui, un autre somptueux baiser.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le vendredi 18 juillet 2014, 02:03:34
Elle essayait de parler, mais sans parvenir à émettre autre chose que des borborygmes et des soupirs. Ulrik était un amant entreprenant, dur et exigeant. Allongé à nouveau sur elle, il soupirait à son contact, savourant sa délicieuse odeur. Elle était belle, magnifique, et, quand elle découvrit l’accès à ses seins, Ulrik ne tarda pas à pencher sa tête dessus. Elle lui avait fait un suçon, pinçant sa nuque, déposant sa marque, et sa salive chaude restait sur le corps de l’homme. Il appréciait le contact de cette femme, ce mélange entre la douceur d’une chaude peau féminine et l’agréable froideur du latex. L’ensemble était délicieusement confortable, et le bourlingueur se rapprocha de ses seins, suçant l’un d’entre eux à hauteur du téton, le titillant amoureusement, avec une attention témoignant de sa grande délicatesse et de son désir vibrant de lui faire l’amour. Il la pénétrait encore, mais il était un peu plus lent qu’auparavant, regagnant peu à peu sa force, sentant la fatigue engourdir tous ses muscles. Même lui commençait à fatiguer, et il ignorait quelle était vraiment la force qui le poussait à agir de la sorte.

Ils échangèrent un nouveau baiser quand l’homme releva la tête. Il posa une main sur ses cheveux, tirant légèrement sur ces derniers.

« Hurrrmpff !! » grogna-t-il.

C’est de cette manière qu’il lui répondait, remuant en elle, la pénétrant avec plaisir. Sur ce point, il n’y avait pas à tortiller du cul : sentir sa queue en elle était un moment délicieux, extrêmement jouissif. De fait, il ne voyait pas meilleur autre endroit pour mettre son sexe que le con d’une femme.

« Oui, ma belle…, répliqua-t-il. Hum…. C’est si bon de te baiser… Hunnnn… Ma-ma salope... !! »

Il y allait de plus en plus vite, mais ce rythme n’égalait sûrement pas ses premières pénétrations. Il accusait le coup, et retourna l’embrasser, sur le cou, puis à nouveau sur les seins, sa langue remuant sur son téton, son autre main allant pincer l’autre sein, le malaxant à hauteur du téton. Il enfonçait ses doigts contre cette bosse, la remuant et la malaxant, serrant cette chair. Elle continuait à lécher l’autre sein, s’y attaquant délicieusement, sa verge tendue. Comme il appréciait ça, de sentir cette femme le serrer contre elle. On aurait presque pu croire que c’était une mère faisant un câlin à son enfant… Si ce n’est que, dans le cas présent, le « fils » en question était un amant dominateur qui continuait à la prendre lourdement, sans relâche.

L’homme n’allait pas jouir tout de suite, oscillant entre la fatigue et le plaisir, le contraignant parfois à s’arrêter. Il haletait alors, comme s’il était un asthmatique, et l’embrassait alors pour se détendre, pour récupérer un peu de force. Ulrik s’étala alors contre elle, et sa main se posa sur ses fesses, remontant sous sa robe. Il déplaça ensuite l’autre, et pressa l’autre fesses de Lucrezia. Ses lèvres se posèrent contre les siennes, Ulrik reprit son souffle… Et durcit alors ses mouvements, ses mains se crispant fermement sur le cul de la femme. Il se blottissait contre elle, et son corps remontait d’avant en arrière, sa queue tapant contre le fond de son trou, heurtant son clitoris, la faisant encore couiner.

Oh oui, il adorait ça, bordel ! Sentir cette femme trembler contre lui, la sentir gémir en se tortillant contre son corps, la sentir haleter et trembler de plaisir. Oh, tout ça était merveilleux ! Ulrik ne se retenait pas de la prendre encore, encore et encore, sa salive glissant parfois de ses lèvres pour tomber sur le visage de la femme. Il avait cessé de l’embrasser, et son front heurtait le sien, glissant contre sa tête chaude. Sa queue était tendue, de plus en plus douloureuse, et il grognait, haletant en soupirant.

« Puuuuuuuuuuuuutaaaainnn… Haaaaaaaaaaa… »

Il ferma les yeux, de la sueur coulant abondamment de son corps. Il posa finalement l’une de ses mains sur le lit, à côté de la tête de la femme, l’autre restant crispé sur ses fesses, et il continua à la prendre, de plus en plus profondément, gémissant…

…Jusqu’à ce que, enfin, la jouissance ne l’appelle, et qu’il ne balance dans son corps des giclées de sperme. C’était si intense, si bon, qu’il en aurait presque chialé !
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mercredi 23 juillet 2014, 18:38:16
C'était toujours la même valse, un long vas et viens dans les profondeurs humide de notre Duchesse. on peut dire qu'elle l'aimait cette grosse queue et pas qu'un peu ! Le vit de cette homme était tout simplement immensse, tand sur la taille que sur la grosseur, sans compter cette endurance, cette fougue ! Bordel de dieu, lulu était vraiment tomber sur un beau morceau de barbaque ! Elle l'avait goulûment sucé,branlé, elle s'était faite prendre dans tout les sens, ses nibards en avait prit pour leur grade et... Ooooh seigneur ! Cette homme avait vraiment un sacré kilométrage... Lulu n'était certes pas en reste, car, avouons le, la sex-story de notre Duchesse avait commencée bien avant ses dit-huit ans, sucer d'la bite dans les toilettes du collège pour ce faire trois ronds pour payer sa zeub, avalant avec gourmandise leur foutre, afin de ce payer un peu de bon temps, de la purple... C'était sa favorite, une putain d'belle plante, qui lui faisait oublier tout ses soucis et qui plus est, la rendait créative. c'était pas vraiment gratifiant, mais seigneur, que c'était bon ! Lulu était née comme ça et pour une raison que même elle ignore, sa libido avait, avec le temps, fortement grimpée, devenant de plus en plus obsédante, jusqu'à devenir la raison de tout ses massacre... Enfin, en grande partit.

Aaaah... Haaaannnn ou... ouii...iii..i... Ha... HAaaannn ulriiiik je...

La langue de cette homme était douce, délicate, habile... Elle était au moins aussi délicieuse que sa queue, queue qu'elle s'efforça de comprimer à l'aide de ses muscle vaginaux, poussant d'adorables petits couinements d'effort à force de forcer sur son pauvre calice déjà bien malmené par cet homme au torse luisant, abattant  violemment entre ses reins, toute en pompant amoureusement son tétons. Lucrezia ferma les yeux et elle put sentir les frissons d'excitations la traverser, lui extirpant sans mal, bien d'autre soupirs. La tête contre l'épaule de cet homme, Lucrezia ce sentait vraiment bien, malgré la sueur et la peau collante de cette homme contre sa poitrine, ses deux énormes seins rebondissant avec arrogance au rythme des coup de reins d'urlrik.

« Puuuuuuuuuuuuutaaaainnn… Haaaaaaaaaaa… »

C'est quelques mots, furent les derniers... Les derniers avant qu'il ne ce décide à lâcher en elle, un énième flot de semence, directement dans sa chatte. Lucrezia se mordit silencieusement les lèvres, avant de voir son amant lentement ressortir de sa chatte dégoulinante, laissant notre à notre tueuse, tout le loisir de s'affaler sur son vieux matelas pourave. Lucrezia était essoufflé, en sueur, elle était en trance... Toutefois, elle savait que cette homme était capable de lui offrir du plaisir, il avait jouis, certes ! Mais pas elle...

Langoureusement, Lucrezia fit descendre sa main droite vers sa chatte toute dégoulinante de foutre, avant de ce doucement caresser, écartant très légèrement ses lèvres intimes devant son amant. Lucrezia poussait de long soupir entrecoupés par des ravalement de salive et de multiples petit souffle d'épuisement. Elle écarta lentement ses cuisses et d'une voix faible, elle imposa sa requête.

Broute moi... Mon coeur...

La tueuse retira lentement sa mains, sur laquelle s'était amasser un mélange de sperme, de cyprine et de sueur, mélange qu'elle porta ensuite à sa bouche avec sensualité, en ne quittant pas cet homme du regard.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le dimanche 27 juillet 2014, 02:42:57
Trippant. Cette femme était inépuisable. Il venait de jouir en elle, son corps était en feu, mais elle ne semblait pas encore totalement rassasiée. Était-il donc possible qu’il ait joui avant elle ? Pour un homme, c’était un affront cruel. Il s’écarta légèrement d’elle, suffisamment pour la voir se caresser avec ses doigts. Ces derniers remuaient dans son intimité, la tripatouillant. Yeux entrouverts, Ulrik la voyait remuer ses doigts, gémissant lentement, poussant ces petits soupirs de femmes qui faisaient toujours fantasmer les hommes.

« Broute-moi... Mon cœur... »

Il sourit lentement, ses doigts venant caresser les lèvres de la femme.

« À tes ordres... »

Il ne pouvait pas encore la pénétrer, trop fatigué pour ça. Ulrik respirait très fort, car l’effort physique très intense qu’il avait du fournir depuis hier pour baiser cette femme l’avait laissé lessivé, au bout du rouleau. On aurait presque dit un asthmatique en pleine crise. Il se pencha vers la femme, l’embrassant sur le bout des lèvres, puis se laissa descendre vers son intimité, s’attardant sur ses seins, après avoir embrassé son cou. Il suçota ses seins, à hauteur des tétons, mais ne s’y attarda guère plus longtemps, ses lèvres continuant ensuite leur course sur son estomac, son nombril... Et ses lèvres intimes, la bouche du bas.

Ses mains se posèrent sur les hanches de la femme, et ses pouces se portèrent à hauteur des lèvres intimes, les écartant légèrement pour fourrer sa langue dans sa vulve. Il s’enfonça en elle, capable de changer les rôles, d’osciller entre le mâle violent et prédateur, et l’homme attentionné et doux. Pour l’heure, ce rôle lui convenait bien mieux, car il était effectivement fatigué, épuisé. Sa sueur coulait le long de son corps, et sa langue remua en elle, s’enfonçant dans son corps, la suçotant avec une tendresse infinie.

Les minutes s’écoulèrent délicieusement. Il sentait la mouille de cette femme, ainsi que le goût de son sperme, l’ensemble formant un superbe mélange. Ulrik y allait généreusement, sans rien dire, soupirant dans sa bouche, en profitant pour reprendre son souffle. Sa poitrine continuait à se soulever et à s’abaisser lourdement, et il continuait à la lécher, ne s’arrêtant que quand il sentit la femme jouir et s’abandonner contre lui.

Peu importe les minutes qu’il lui faudrait, il continuerait à la sucer, et à titiller son bouton d’amour jusqu’à ce qu’elle jouisse. Sa langue s’acharnait contre son clitoris, et il ne s’évertuait à n’utiliser que sa langue. Le bourlingueur était en effet fatigué, et préférait user de sa langue, plutôt que de se servir du reste de son corps.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 27 juillet 2014, 16:21:22
Cette homme était décidément aussi habile avec sa langue, qu'avec sa queue et c'était peut dire ! Notre tueuse put suivre du regard, la sensuelle descente de cet homme vers son intimité, couvent de ses lèvres chaudes, le corps de notre tueuse, lui volant plusieurs soupirs de plaisirs à chacun de ses suçons, qu'ils soient sur ses seins, ou bien sur son ventre.
Un léger frissons traversa notre chère Duchesse quand les pouces d'Ulrik vinrent ouvrir sa vulve chaude et dégoulinante, avant d'y enfouir sa langue, titillant doucereusement l'intimité d'une violente psychopathe, la même chatte qui c'était retrouvée un nombre incalculable de fois, contre les lèvres de pauvre femmes apeurées... Mais ça, Ulrik l'ignorais... Et tant mieux au fond.

Oouuuuh...Haaann ouiiii, Ulriiiik... Hmmm !

Les mains de la Duchesse vinrent alors se poser sur la tête de son amant, caressant délicatement sa jolie tignasse blonde, rendue humide à cause de la sueur. La tueuse alla même jusqu’à légèrement forcer la mains à son amant, montrant alors à ce dernier, son "petit" cotés dominateur. Les minutes filèrent, au rythme doux et lascif des coup de langue de cet amant venue de nul part, Lucrezia le regarda faire un petit moment, avant de ce mettre roulais des yeux vers le dernier néons encore en état de marche, seigneur, qu'il était doué ! Tellement doué que...

AaaaaAAAnh Ulrik je... AH ! Je vais jouuuIIIIIIIR !

Sur ces belles paroles, les mains de Lucrezia se crispèrent d'un coup, plaquant le visage de son amant contre sa chatte, avant de finalement se mettre à lâcher une belle razade de cyprine sur le visage de cette homme et ce, dans un immense râle de plaisir !

HAAAAANANNNNNNNNNNNNNNNN !

Plusieurs soubresauts traversèrent notre Duchesse, tendis qu'elle libéra de ses serres, la tête de son amant. Elle s’affalât ensuite sur son matelas, savourant son orgasme au maximum, afin de ne pas en perdre une miette. toutefois, la fatigue, elle, était toujours là et ce malgré le petit sommes que Lulu avait piqué un peut plus tôt. C'est donc sans réellement s'en rendre compte qu'elle commença à replonger dans une agréable torpeur, essayant, une dernière fois, d'appeler son amant à la rejoindre en tendant faiblement sa main droite vers lui, avant que cette dernière ne s’aplatisse lamentablement sur le matelas.

Haaann d.. Ulri..

Lentement, la visons de Lucrezia vint à obscurcir... Le sommeil l'avait littéralement piqué au vif, sans cris égard.
à présent, surement allait il la quitter... Pour toujours... Ne laissant à notre Duchesse qu'un délicieux souvenir ainsi qu'un plateau repas à moitié entamé... Ce qui n'était pas si mal que ça, quant on sais qui elle est réellement.
Titre: Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
Posté par: Ulrik le mercredi 30 juillet 2014, 19:48:27
L’orgasme tira un point final à cette histoire. La femme s’abandonna à nouveau, et Ulrik se releva lentement, le pourtour de ses lèvres recouvert de cyprine. Il vit la femme en train de dormir, son corps à bout de souffle. Un sourire distrait naquit sur les lèvres du bourlingueur, qui embrassa une ultime fois la femme sur les lèvres.

*Peut-être pensera-t-elle avoir rêvé tout ça en se réveillant... Et cela vaut sans doute mieux.*

Ulrik n’était pas spécialement une personne qui aimait s’attacher aux autres. C’était un solitaire, et, même s’il fallait bien admettre que cette Lulu était un joli plan cul, il ne pouvait pas non plus passer toute sa vie à la baiser. Le pirate de l’espace dut cependant rester dans les toilettes décrépies pendant un bon quart d’heure, reprenant son souffle. Il la regardait distraitement dormir, reprenant son souffle. Lui-même avait assez baisé pour tout un mois, et il sortit des toilettes rapidement, s’enfonçant dans l’obscurité, torse nu.

L’air frais du métro lui fit du bien, et, quand il retourna près de son vaisseau, il put à nouveau remettre son débardeur. Ensuite, Ulrik partit, montant dans sa machine, et enclenchant le moteur.

*Qui que tu sois... Repose-toi bien, ma belle.*

Il laissa ensuite derrière lui cette femme, cette ville, et cette planète, se noyant dans les profondeurs de l’espace.