Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Le parc et son sous-bois => Discussion démarrée par: Ayane Geko le jeudi 15 août 2013, 16:15:51
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C’était un samedi, un jour comme un autre. J’étais chez moi dans cette contrée lointaine où les hommes de mon oncle m’avaient trouvé. Depuis ce jour j’ai grandis, appris et combattus avec eux, j’ai aussi hérité des pouvoirs de mon père je pouvais comme Père et mon oncle entendre et communiquer dans les pensées. J’aimais bien ce pouvoir car maintenant on ne pouvait plus me mentir, maintenant je pouvais déceler n’importe quel mensonge, ça me plaisait.
Je rêvassais en étant assise sur l’une des plus grandes falaises de notre région. Une cigarette au bec, une bouteille de saké dans la main qu’étais-je devenue ? Si Père était encore là je ne serais pas devenue ainsi j’aurais été une bonne princesse pour mon peuple simple et fragile j’aurais été la fierté de Père car c’est ce que je voulais, le plus au monde. Je soufflais en fermant les yeux et en inspirant un grand bol de fumée je savais qu’il été l’heure de rentrer car j’entendais mon oncle dans ma tête me demandant de rentrer. C’est ce que je fis, je me levai du rocher sur lequel j’étais assise je bus d’un coup sec la gorgée de saké qui me rester et je m’étirai avant de déployer mes ailes et m’envoler.
Je venais d’arriver au château, je passai alors par la fenêtre, les démons étaient éparpillés dans la salle du banquet, nous allions déjeuner mon oncle était assis sur la plus grande chaise tandis que moi j’étais à sa droite. Nous commencions à manger puis mon oncle me dit :
« Après manger, tu partiras je t’ai trouvé une planète où tu pourras essayer de trouver ceux qui on tué ton Père »
Ces paroles m’avaient coupé l’appétit, pourquoi me laisser partir seule dans une nouvelle terre inconnue, je ne connaissais rien et personne pourquoi me fait il ça ?
« Je ne comprends pas mon oncle pourquoi m’envoyer vous seule ? Je ne connais rien de ce nouveau monde »
Il posa le poulet entier qu’il avait dans les mains, s’essuya la bouche avec son bras et me fixa de son effroyable regard
« Tu apprendras à te fondre dans la masse, puis petit à petit tu auras ta place et tu retrouveras j’en suis sur les personnes que tu cherches »
Il m’expliqua qu’il y avait des portails reliant notre monde aux autres et qu’il était facile de basculer d’un monde à l’autre. Il m’expliqua aussi que les habitants de la planète Terre ne devait pas savoir qui j’étais enfin ce que j’étais et que je devais faire semblant d’être humaine. Ça allait être dur au début, mais je savais que je pouvais le faire car j’étais prête à tout pour les retrouver ces prêtres…
J’allais dans ma chambre, regroupant le peu d’affaires que j’avais et je partis avec mon oncle. Il m’accompagna au portail et je lui fis mes adieux. J’étais arrivée dans ce nouveau monde, j’étais comme perdue loin de tous, toute seule sur cette vaste terre et je ne pouvais compter que sur moi-même.
Je marchais, je voyais les gens heureux, les enfants qui riait, je continuais à avancer m’enfonçant de plus en plus dans cette nouvelle ville. J’étais perdue je ne savais pas où aller et j’aperçus au loin un grand arbre, personne à l’horizon je déployais mes ailes pour arriver sur la branche. Je m’allongeai puis je fermai les yeux allumant une cigarette au passage tout en pensant à comment j’allais me faire à cette nouvelle vie.
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Connaissez-vous ce sentiment ? Un sentiment profond, un sentiment vous ouvrant des portes que vous pensiez fermées jusque là. Un sentiment entre l'envie, la haine, la tristesse. Quelque chose qu'on peut rapprocher à la folie, la douce folie. Hawkins la ressentait, en ce moment. Et pourquoi ? Il était crevé. Plus que crevé en réalité. Sa tête, son corps, ne lui répondaient presque plus. Des semaines qu'il travaillait d'arraches-pieds, d'un côté à la recherche des créatures surnaturelles qui foutaient encore et toujours le bordel, tout en ne voulant jamais signer un foutu contrat et faciliter la vie de l'investigateur, et de l'autre côté il devait essayer de réparer le QG de l'organisation. Un bordel monstre, là encore. Il n'avait plus une seule minute, plus une seule seconde à s'accorder. Boire un verre, préparer un bon repas au lieu des trucs instantanés habituels, se coucher tôt, se lever tôt, travailler tôt. Boulot, boulot, boulot, boulot. Bordel. De. Merde.
« Alerte. Secteur X52. Présence surnaturelle. Vérification Requise. »
« Eh ouais, bien-sûr, fallait que ça arrive ! »
L'investigateur soupira doucement, frottant doucement ses yeux. Il était si fatigué... Une sieste serait de rigueur. Et il est dans une putain de bulle temporelle ! Pourquoi ne dormirait-il pas avant d'aller travailler ? Mais non, code de l'investigateur. Baaah. Il s'étira, histoire de devoir partir le plus tard possible et profiter du peu de temps libre qui lui reste, et enfila ses habits. Comme d'habitude, des trucs chics. Il ne savait pas dans quelle époque il allait être lancé, mais qu'importe. Un costard, un haut de forme, son monocle, et le voilà prêt à partir. Prenant une dernière inspiration, il réfléchit un peu à comment il allait faire pour cette mission : Ce n'était pas un problème, juste une vérification, au cas où. La créature ne fait peut-être rien de mal, par conséquent il n'aura peut-être rien de spécial à faire : Pas de combats, pas de contrats, etc. Tant que la créature ne fait pas de choses négatives concernant la population humaine, il n'avait aucun droit. Et tant mieux, avec un peu de chances, il allait terminer cette mission en quelques heures. Après quoi, il prendra son temps pour faire une sieste. Très longue. Avant d'être bien-sûr réveillé par cette putain de voix mécanique. Saloperie. Devant le portail, il décida alors de le franchir d'un pas tranquille, traversant le temps et l'espace, arrivant enfin à destination.
Et ce fut Seikusu. Bordel, encore cette ville. Le japon ! La plupart de ses missions venaient d'ici, surtout à cause des portails étant reliés à Terra, qui sont beaucoup plus nombreux dans cet endroit, ce qui était d'ailleurs une des principales préoccupations de l'organisation quand elle était encore... entière. Il grogna légèrement, haussant les épaules pour sortir de la petite ruelle où le portail l'avait lâché. Il regarda à droite et à gauche, remarquant les passants et surtout leurs accoutrements : Bon, il ne sera pas gratifié de compliments concernant sa tenue, car c'était dans son présent que la créature venait d'arriver. Tant pis ! Il sera au moins gratifié des regards des passants, se demandant si cet homme sortait d'un bal costumé. Enfin. Il commença alors à marcher, traversant la ville tranquillement, essayant de tromper un minimum la fatigue. Finalement, il arriva dans le bois, et remarqua qu'il n'y avait personne. Brr. Il décida alors de repartir, avant d'entendre un bruit. Étrange. Suspect.
Ni une, ni deux, il commença à aller vers le bruit. Et il remarqua alors de grandes ailes, à travers le feuillage des arbres. Sortant d'un coup, il ne vit rien. Personne. Les ailes étaient trop grandes pour appartenir à un oiseau commun de Seikusu, c'était donc très certainement la créature qu'il cherchait. Mais elle n'était pas là ! Bordel. Regardant de partout, il remarqua alors le grand arbre, qu'il fixa durant quelques secondes, avant de chercher dans un buisson, non loin de l'arbre. Ah ! Il allait l'avoir ! Il ne souhait de toute façon pas se battre, mais au moins se renseigner sur la venue de cette créature. La prévenir. Ce genre de choses. Il était si près de rentrer chez lui ! Finissant sa fouille, il recula un peu, faisant dos au grand arbre. Il ne lâcha alors qu'un mot.
« Great. »
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J’étais assoupie depuis quelques minutes déjà, prenant de grandes bouffées de fumée avant de les souffler par le nez, il me manquait plus qu’une putain de bouteille d’alcool pour me dire que j’étais vraiment sur Terre. Je n’arrivais décidément pas à m’y faire, je me demandais comment j’allais m’y prendre pour faire semblant d’être humaine, comment allais-je m’y prendre pour duper tout ce monde et surtout comment j’allais faire pour retrouver ces satanés prêtres. Il me fallait un travail, un toit où dormir et de nouveaux vêtements, les miens sont trop sombres, mais en voyant toutes personnes habillées comme si c’était mardi gras je me disais que je passerais inaperçu.
Il me fallait juste une paire de lentilles noires pour la nuit, car n’oublions pas que mes yeux deviennent rouges à la tombée de la nuit, je devais gravé ça dans ma tête pour ne pas oublier de les mettre chaque soirs, en réalité j’avais peur d’oublier, j’avais peur qu’on me découvre, ce n’était pas vraiment de la peur non car la personne qui me verra n’aura sans doute pas le temps d’aller le raconter étant donné qu’elle sera morte la minute qui suivra. Pourtant je m’étais juré de ne pas en arrivé jusque la, mais si je n’avais pas le choix je serais hélas contrainte de le faire.
Il fallait que j’arrête de penser à ça, c’est vrai quoi je n’allais pas me pourrir la vie en pensant au pire non ? C’était clair, après avoir jeté ma cigarette, je me redressai pour être maintenant assise et avoir une vue sur tout l’ensemble du sous-bois ou j’étais. C’est alors que j’entendis un étrange bruit, ça m’avait tout l’air d’être un bruit de pas, j’étais un démon, j’avais des pouvoirs mais j’avais en plus de ça l’oreille très fine. Le bruit se rapprochait de moi, je savais que quelqu’un approchait, mais ce que je me demandais le plus c’était de savoir pourquoi elle s’approchait aussi près de moi. Était-ce simplement une personne qui se promenait ? Ou bien une personne qui chercherait le conflit ? Je ne savais pas mais je n’allais pas tarder à le savoir.
Je me mis cette fois-ci debout, attendant à l’affut la personne qui s’approchait dangereusement de moi. Je n’avais pas envi qu’il me voit et pourtant si je restais sur cette branche il me verrait surement, c’était trop tard pour que je redéploye mes ailes, il allait les voir. En un clignement de cils, j’étais sur la plus haute branche de l’arbre, essayant de me dissimuler au mieux.
Un homme approcha, un curieux accoutrement, plutôt bien soigné le coco un costard en guise d’habits, une imposante tignasse et un monocle ? C’était qui ce rigolo ? Un chercheur ? Un prêtre ? Je n’en avais pas la moindre idée et pourtant il semblait chercher quelque chose dans le buisson d’à côté, puis il regarda dans ma direction, il ne vit rien bien sur j’étais trop bien caché. Je l’observais depuis la cime de l’arbre en le voyant se retourner, il était donc de dos à moi. D’un battement de cils cette fois-ci je retournai sur la branche du début, étant cette fois-ci en face de lui, il avait juste à se retourner pour me voir. Je redoutais cet instant moi qui n’avait jamais vu d’humains mâle de ma vie.
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Bon. Pensons calmement. La créature s'était peut-être enfuit lorsqu'il a vu les ailes, et est donc déjà loin. Faux. Sinon il l'aurait vu en sortant de la forêt, voleter à travers les cieux. Par conséquent, cette hypothèse est fausse. Super. Hypothèse suivante. Elle se cache dans les alentours. C'est la seule réelle hypothèse valable, vu que d'une il n'en a pas d'autre, et de deux c'est aussi la plus probable, vu qu'il n'a rien vu en arrivant, à part les dites ailes. La disparition et la téléportation sont aussi des hypothèses valables, mais pourquoi avoir déployé ses ailes alors ? Raaah, ses foutues énigmes ! Il n'avait pas du tout la tête à ça ! Il commença à se gratter la tête, avant de retirer son haut de forme et de le faire doucement aller d'une main à une autre, toujours dos à l'arbre. Faudrait qu'il bosse sur une machine pour repérer les êtres paranormaux, ça lui aiderait tellement pour trouver ses foutus créatures qui se cachent ou qui sont invisibles ! Graaah !
Il reposa alors son haut de forme sur sa tête, avant de... Tout simplement se retourner. Tout. Simplement. Et c'est là qu'il tomba face à face avec une jeune femme aux longs cheveux de jais. Bordel. De. Merde. Oui, beaucoup de points, certes, mais là c'est tout-à-fait normal boudidou ! Il s'arrêta net quelques secondes, n'ayant aucune réelle réaction, avant de finalement écarquiller un oeil, celui protégé par le monocle. Il recula ensuite brusquement, pas mal surprit. Et c'est normal ! Quelle serait votre réaction si jamais vous tombez face à face avec une jeune femme sur une branche d'un arbre vous faisant dos ? Ne seriez vous pas surpris, messieurs dames ? Pas mal de questions se bousculaient dans la tête de l'investigateur : Qui était-elle ? Depuis quand était-elle là ? Que foutez t-elle sur un putain d'arbre au milieu d'un parc vide de monde ? Attendez... Et si c'était la créature qu'il cherchait ?
Ça collait ! La créature s'envole et se pose sur cet arbre, tout simplement. Seul problème : Il n'en avait ni la certitude, ni la preuve. Il n'allait pas agresser la jeune femme de " T'ES QUOI HEIN ?! " alors qu'elle était peut-être une simple humaine aux drôles d'envies de siestes. Qu'avait-il contre cette femme ? Rien. Code de l'honneur, toussa, il n'avait aucunes raisons de l'agresser. Si c'est une créature surnaturelle, il allait devoir le découvrir par lui même. Il reprit alors ses esprits, se giflant mentalement avant de remettre sa cravate en place et de lancer un sourire à la jeune femme, essayant d'être le plus naturel et le plus simple possible. Histoire de ne pas l'effrayer, et de ne pas passer pour un gros psychopathe.
Mais bon, avec ce petit bond c'est peut-être déjà le cas.
« Eh bien... Bonjour ! » Dit-il, avant de mettre la tête légèrement sur le côté, en signe d'interrogation. « Que faites-vous dans un arbre ? »
Bon, il allait devoir jouer la carte de l'agréable personne s'il veut un minimum l'approcher, et lui parler. Si jamais elle l'attaquait, il avait de quoi se défendre. Et il n'était sérieusement pas d'humeur à vouloir parlementer avec quelqu'un. Enfin, il devait être sympa, histoire de ne pas se foutre lui même dans un futur bordel cataclysmique si jamais elle est une créature surpuissante, et même si elle n'est qu'une simple femme, des fois elles peuvent être pire que le plus puissant des démons si jamais elles vous prennent en grippe ! Il mima alors un air surpris, avant de prendre de nouveau la parole.
« Oh, excusez-moi ! J'ai complètement oublié de me présenter ! Je m'appelle Hawkins D. Allen. »
Son visage exprimait pour le moment de la simple bonne humeur. Le visage d'une personne vous mettant en confiance, qui n'est pas là pour faire le mal. C'était son visage habituel lorsqu'il parlait à des gens qu'il ne connaissait pas : Il devait les mettre en confiance, pour éviter les problèmes, parler de choses de façon plus détendue. Et puis, cette jeune femme avait du charme, cela serait regrettable de... l’abîmer.
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J’étais la sur la branche, derrière lui, juste à quelques mètres… Je réfléchissais, je devais fuir, j’avais peur, et s’il m’avait vu ? Un million de questions traversaient mon cerveau et je n’en connaissais pas les réponses. Que devais-je faire ? L’affronter ? Le fuir ? Le tuer ? Je n’en savais rien mais je connaissais un moyen de le savoir. Je regardais autour de moi, un monde à n’en plus finir, je ne pouvais pas utiliser mes pouvoirs sur lui il faudrait que je tue tout ce monde autour de moi… Je ne savais pas quoi faire, je redoutais le pire. Mes yeux étaient fermés durant cette série de questions, je m’étais dit qu’il serait peut-être temps de les ouvrir. C’est ce que je fis, je venais d’ouvrir les yeux voyant son regard dans le mien, il s’était retourné le con pendant que je réfléchissais en plus ! Putain c’est trop tard maintenant qu’il m’a vu, je suis obligée de le…
Je n’eus même pas le temps de terminer, il avait parlé, enfin je crois… Ces paroles venaient peut-être de quelqu’un d’autre après tout des personnes commençaient à arriver en masse, alors ça pouvait très bien être quelqu’un d’autre… Pourtant le jeune homme n’arrêtait pas de me fixer, je commençais à me dire qu’il m’avait réellement parlé. Mes interrogations laissèrent place à la réalité quand il me demanda ce que je faisais sur un arbre. Non mais franchement qu’est-ce que je pouvais bien foutre sur un arbre ! Enfin que pouvais-je lui dire ? Que j’venais d’arriver tout droit de l’enfer ou allais-je détourner la question ? La réponse été évidente bien sur, je n’allais quand même pas lui dire la vérité.
Je continuais de le fixer, observant chaque recoins de son corps, me disant que l’être humain n’est pas bien différent de nous, bien sur il n’avait pas d’ailes, ni aucune allure d’un démon, c’était peut-être d’ailleurs ça la différence entre la race humaine et celle des démons. Je devenais de plus en plus curieuse car le simple fait de le voir devant moi me faisait un drôle d’effet moi qui ne ressent rien habituellement. Il se présenta sous le nom de Hawkins D. Allen, drôle de prénom mais qui allait bien avec sa petite tête. Mes yeux ne voyaient que lui, j’étais comme envoûtée, mais bon je n’allais pas rester immobile, le bon qu’il avait fait m’avait amusé, il n’avait sans doute pas l’habitude de voir une femme sur un arbre ! C’est vrai quoi. Après avoir fermé les yeux et souffler je me disais qu’il serait peut-être temps de parler à mon tour, c’est ce que je fis.
*Pourquoi venir me parler ? Je ne vous connais pas*
C’est vrai quoi pourquoi venir me parler à moi, décidemment j’avais la poisse aujourd’hui ! Je venais de m’accroupir sur la branche, mon bras droit se cachait derrière mon dos, faisant apparaître une cigarette. Je l’a porta à ma bouche, prenant un briquet dans ma poche et l’alluma toujours en le fixant.
*Alors ? J’attends votre réponse Hawkins D. Elle n’est pourtant pas difficile.*
Après avoir prononcé ces paroles, j’attendais simplement sa réponse pour savoir ce que je pouvais bien lui faire.
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Pour lui, il avait un minimum rattrapé la situation. Certes, il avait fait un beau bond à cause de la surprise, mais là il avait réussi à redresser un minimum la barre. Manquait plus qu'à achever la partie une du plan : être incognito et attirer un minimum de sympathie de la cible. Elle est possiblement la créature que l'alerte avait.. alertée, oui c'est magique. Il allait donc éviter de la lâcher, même s'il doit passer pour un lourd. Ce qui risque d'arriver, vu que c'est une belle jeune femme ! Raaah, que devait-il faire à la fin ? Bon, dans la tête de l'investigateur, la solution la plus viable serait de tout simplement continuer le plan. Pour le moment, rien ne devait entraver sa mission, et son future retour vers son lit douillet. Qu'il termine cette merde rapidement, nom de dieu !
Néanmoins, quelque chose attira l'oeil d'Allen. Et cette chose, c'était le regard... insistant de la jeune femme. Oh. Il ne savait pas s'il devait se sentir fier ou bien s'il devait tout simplement avoir peur. Elle le fixait, et sembler observer son corps en entier, le sonder. C'était une sensation plus que bizarre, mais bizarrement agréable... Après, allez savoir pourquoi elle le regardait de cette manière. Les plus pervers d'entre vous - ouais, toi au fond - diraient qu'elle le matait simplement, alors que les plus dérangés - Toi, devant, avec le masque de hockey -, diraient qu'elle imaginait juste avec quoi elle allait le manger. Légèrement déboussolé par cela, notre investigateur se mit une nouvelle gifle histoire de remettre ses idées en place. C'était toujours une mission, bordel ! Il secoua d'ailleurs légèrement sa tête, brr.
Finalement, après avoir soufflé - Pourquoi d'ailleurs ? Il se demandait. Elle était fâchée ? Déçue ? Mais putain pourquoi tu te poses ces questions enfoiré d'Investigateur ? -, elle prit alors la parole, et demanda simplement pourquoi il avait décidé de venir lui parler. En effet, ils ne se connaissaient pas. Sur le coup, il ne savait quoi répondre... C'était peut-être un peu normal d'adresser la parole à quelqu'un qui vous fixe alors que vous êtes de dos, et qui plus est est dans un putain de grand arbre ? Cette question le fit littéralement bugué. Il ne savait plus quoi répondre, et ne pensait même plus. Finalement, c'est sa seconde phrase qui le fit débugué. En effet, elle attrapa une cigarette qu'elle alluma et lui dit alors qu'elle attendait sa réponse, la ramenant sur Terre.
« Mmh. Oh, eh bien, ce n'est pas tout les jours que je vois une belle jeune femme sur un arbre. Cela donne envie de venir parler, vous voyez. »
Le "belle" s'était glissé sans qu'il le réalise trop. Un de ses nombreux lapsus, l'obligeant à dire ce qu'il pensait sans même s'en rendre compte. Avouer ce que l'on sait c'est déjà frustrant, quand c'est sous la torture, mais quand c'est sans le faire exprès et que vous le remarquez que quelques heures plus tard, imaginez la frustration et la honte qui vous frappe... Ouais, celle-là, tout-à-fait. Mais pour le moment, l'heure n'était pas à la honte, mais bien à la parlotte ! Il n'était peut-être pas d'humeur, mais c'est une étape obligée. Par conséquent, sortons notre langue de notre bouche, et servons nous en pour dialoguer mes petits amis qui lisez aujourd'hui, ou ce soir, ce petit texte. Néanmoins, il venait d'oublier quelque chose, et il croisa alors les bras avant de lancer un petit regard, entre la malice pure et la semi-indignation
« Mais néanmoins, d'habitude, quand quelqu'un dit son nom, la politesse implique d'à son tour se présenter ! Je ne sais même pas comment vous appeler ! »
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Après un long moment d'hésitation, il me répondit enfin. J'attendais ce moment avec grande impatience c'est pour cela que je souris après sa réponse. Ma télépathie avait marché et j'avais compris qu'il complotait quelque chose, mais quoi ? Il fallait que je lui tire les vers du nez mais d'abord il fallait que j'sois gentille et faire semblant d'être une naïve femme innocente. Ce rôle me plaisait car je savais que dans mon fort intérieur je n'étais pas comme ça. Dans mon fort intérieur je ne ressens pas d'émotions, pas d'affection. Je n'ai pas de cœur, mon cœur est un gros bloc de glace il ne peut qu'être froid.
Je regardait le jeune homme, il venait de se donner une gifle, ce qui me perturba beaucoup, à quoi pensait il ? un seul moyen de le savoir la télépathie. Chose faite, chose due, c'est ainsi que j'entrais dans sa tête, ne faisait que le fixer pour ne pas qu'il s'en rende compte. Après quelques minutes, j'avais compris qu'il n'était pas ici pour une balade ni même pour décompresser, non en faite ce gars la était un chercheur de créatures surnaturelles. Je venais de comprendre, je savais désormais tout de lui, mais une chose était bizarre, cet homme avait perdue la mémoire, je le sentais comme si j'étais à sa place.
Je fis semblant de rien, continuant à le scruter de haut en bas cette fois-ci pour ne pas qu'il se doute de quelque chose. Il était si beau, si sexy... Je pouvais presque en baver. J'arrêtais mes rêveries quand il me dit que j'étais belle, personne ne me l'avait encore jamais dit, mes sourcils se froncèrent, il se foutait littéralement de ma gueule ou le faisait il exprès ? D'après ses pensées, c'était bien la stricte vérité. Mais je n'aimais pas qu'on me le dise.
Il avait l'air étrange, en effet il croisa les bras pour je ne sais quelle raison et le regard qu'il me portait me semblait aussi malicieux que le sourire qu'il avait tout à l'heure, c'est vrai je ne m'étais pas présentée, pourtant Père m'avait appris à le faire avant. Je m'étais décidée, ce gars la pouvait peut-être m'aider après tout. Oui je m'étais décidée, après une minute de réflexion, je descendis de l'arbre en faisant un saut du genre humain pour ne pas qu'il se doute de quoi que ce soit, j'approchais de lui, ma main sur son épaule, en lui tournant autour pour venir lui murmurer.
"Ayane Geko, c'est ainsi que l'on me nomme."
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Où en est la situation ? C'est ce que vous vous demandez, pauvres âmes en perdition dans ces textes ? Moi, le grand et le magnifique narrateur, vous offre la lumière de ma lanterne. Allen vient de poser sa question, qui était tout-à-fait légitime. Il était quelqu'un un minimum de respectueux, par conséquent le fait de se présenter implique la présentation de l'interlocuteur. Que cette femme soit une créature surnaturelle ou bien simplement une humaine, cela ne l'empêchait en aucun cas de donner au moins son prénom ! Ou même un faux ! C'est l'intention qui compte, non ? De plus, l'investigateur s'impatientait, elle ne lui répondait toujours pas, perchée dans son arbre, telle une chouette lors d'une nuit de pleine lune, fixant de ce drôle d'air qui... me donne la chair de poule. Personnellement. Après ce n'est qu'un avis personnel.
Et à ce moment, il sentit quelque chose de bizarre. Un léger mal de crâne. Très léger. Comme si une épingle entrait d'un coup dans votre tête. Net. Et que cette aiguille avait d'ailleurs des yeux. Et fixez l'intérieur de votre crâne. Vos souvenirs. Vos pensées. Bordel, c'est qu'elle essayait d'entrer dans sa tête ou quoi ? Il ne laissa absolument rien paraître. Entraînement. Heureusement qu'à l'organisation, les vieux prenaient un malin plaisir à apprendre des choses aux plus jeunes. Malin plaisir car ils leurs apprenaient avec la manière forte. Et le coup de la télépathie, on lui avait appris. Pas à la bloquer, mais au moins à remarquer quand on fouille ta cervelle. Vieille technique d'investigateur. Mais il ne devait pas lui montrer qu'il l'avait remarqué. Mais une question subsistait : Etait-ce vraiment de la télépathie ? Peut-être se trompait-il ? Il n'avait rien pour vérifier. Hélas. Donc c'était possible, comme c'est possible que ça soit une fausse alerte. Mais du coup, les soupçons étaient présent. Autant ne rien montrer.
En tout cas, ce qui est sûr c'est qu'elle continuait de le fixer. Histoire de changer ses idées, il fit de même, s'attardant sur ses formes. Elle était belle, ça c'était une évidence. Une très belle plante, qu'il aurait aimé rencontré dans d'autre circonstances qu'une de ses foutues "chasses" bien que dans ce cas là ça soit plus une reconnaissance qu'autre chose. Mais c'était quand même une mauvaise circonstance, bordel ! Mais qu'importe, de toute façon pour le moment, terminer sa mission était sa priorité. Pas faire connaissance avec une jeune femme. Et il avait le temps pour ça plus tard. Néanmoins, cela faisait encore quelque minutes qu'elle n'avait... même pas répondu ! Aïe. Une nouvelle fois, l'aiguille pénétra le cerveau. Putain, elle essayait vraiment de lire en lui ou bien il avait simplement trop sommeil et c'était les répercussions ?
Finalement, elle lui sauta de l'arbre avant de s'approcher de lui. Oh. Bordel. Elle allait faire quoi ? Le bouffer ? L'attraper ? L'attacher ? Le bouffer ? Comment ça je l'ai dit deux fois, tu te prends pour qui jeunot ? Non, finalement, elle posa simplement sa main sur son épaule, avant de venir simplement lui murmurer qu'elle s'appelait Ayane Geko. Bon, au moins, elle ne l'avait pas murmuré d'une quelconque façon, bien que sa façon d'approcher soit... Enfin, vous voyez le truc. Cela le fit d'ailleurs frissonner légèrement, alors qu'il tourne légèrement la tête, laissant sa main sur l'épaule, pour la regarder.
« Eh bien. Enchanté, Ayane Geko. Vous êtes ici pour prendre l'air, j'imagine ? ~ »
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J'étais près de lui, je pouvais sentir son odeur, un doux parfum. J'étais comme envoûtée, c'était si étrange je n'avais jamais ressentie ça auparavant, c'était nouveau pour moi. Les humains n'ont pas l'air si méchants, moi qui croyait que mon oncle avait raison. Il disait qu'il fallait que je fasse attention car les humains étaient perfides et vils, mais le jeune homme en face de moi, il m'intriguait, son aura ne me semblait pas sombre, bien au contraire. Mais peut-être faisait-il semblant ? Je me posais tout un tas de questions, c'est vrai quoi il avait l'air maladroit et semblait embarrassé dans ses mots. Je continuais à observer son corps tout entier, observant ses moindres détails, je me disais qu'au final il était beau moi qui ne comprenait pas le sens de ce mot, je savais maintenant ce que beau signifiait. L'être humain est-il le plus bel être du monde ? Je n'arrêtais pas de réfléchir.
Il me regardait, j'adorais ça, un peu de timidité envahissait mon corps petit à petit mais laissa place à la curiosité. Ma main se baladait toujours sur son épaule, la tâtant parfois, observant ses délicates courbes. Je me mit à sourire quand il me dit "Enchanté", puis à rire quand il me demanda "vous êtes ici pour prendre l'air, j'imagine ?" Personne ne m'avait jamais parlé de la sorte, Il attisait de plus en plus ma curiosité, je commençais à avoir l'habitude d'être observée et j'aimais ça, même s'il s'y prenait d'une drôle de façon je le laissait faire, continuant simplement à le toucher.
"Enchantée aussi, Monsieur Hawkins D."
Après lui avoir dit ces paroles, mes mains commençaient à toucher ses épaules, appuyant quelques fois dessus, sentant qu'il n'était pas différent de nous, mise à part les ailes et tout le tralala hein, m'enfin. Mes mains continuèrent de le toucher curieusement, en étant sur les épaules, puis vinrent sur sa nuque, et continuèrent à descendre encore et encore pour finir sur son torse que je touchais instinctivement, j'espère ne pas lui faire peur en faisant ça mais bon c'est comme si un enfant n'avait jamais vu un chat, l'enfant le caresse, le touche et examine la chose inconnue. Eh bien pour moi c'était pareille c'était comme si j'étais redevenue enfant.
Je continuais de le toucher encore et toujours, j'aimais ça, ça me faisait tout drôle lorsque je tournais autour de lui, laissant ma main se balader sur sur corps. J'étais maintenant derrière lui, caressant son dos maintenant en descendant lentement sur ses fesses comprenant qu'il en avait un lui aussi ! Pourquoi, mais pourquoi ma main est partie par la ?! Ma main avait décidée de n'en faire qu'à sa tête quand je vins à effleurer le sexe du jeune homme, eh oui je l'ai fait ! Je fus d'abord surprise en ôtant vite fait bien fait ma main de son entre jambe, mais je voulais en voir plus, ensuite je me disais qu'il ne fallait pas que j'oublie la raison pour laquelle j'étais ici, la raison pour laquelle mon oncle m'avait envoyer. C'est ce que je fis, mes bras croisés, je le regardait du coin de l'oeil pour enfin lui dire.
"Toi la, trouve moi un coin où dormir, des affaires propres et du saké !"
Après avoir dit ça, j'attendais une quelconque réponse de sa part, c'était comme si je donnais un ordre à un démon, seulement mon ton n'était pas aussi sec avec lui.
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Elle était toujours aussi près de lui. Brr. Pourquoi brr ? Tout simplement car c'était étrange. Ils ne se connaissaient pas, et là voilà presque collée à lui entrain de le regarder sous tout les angles... Comme si c'était la première fois qu'elle voyait quelqu'un. Un homme, pour être précis. C'était de la pure curiosité, on dirait. Si c'était une créature surnaturelle, n'avait-elle jamais vu d'humains mâles auparavant ? C'était une possibilité, certaines créatures sont exclusivement féminines, et font en sorte que leurs plus jeunes membres ne sachent même pas que l'autre sexe existe, chez les autres races. Par soucis de garder leurs particularités pour certaines, alors que d'autres haïssent simplement le genre masculin. Après, à savoir où se plaçait Ayane... Vu ses réactions, c'était très dur à dire. De toute façon, cela ne faisait que rajouter des doutes à son sujet.
Finalement, sa question la fit rire. Tant mieux, au moins ça détendait un minimum l'atmosphère. Elle lui répondit alors, tout en continuant de le toucher. Néanmoins, sa réponse ne fut pas celle qu'espérait l'investigateur, bien au contraire : Elle lui rendait simplement son enchantée. Rien de plus, rien de moins. Cela le fit légèrement tiqué. Ne savait-elle pas quoi répondre ? Ou n'en avait-elle simplement pas l'envie, ni le besoin ? Nouvelle question qu'il se posait à lui même. Elle était louche. Très très louche. Mais elle en restait intéressante, par conséquent, même s'il en tient compte, il laissa filer pour ce coup là. De toute façon, il trouverai bien une sortie à ce problème plus tard, il avait son temps. Surtout que la jeune femme semblait être intéressée par sa personne.
Comment il le savait ? Sa deuxième main vint toucher son autre épaule, comme si elle tâtait, cherchait une différence, ce genre de choses. Comme quand on observe quelque chose que l'on ne connaît pas, mais qui nous intrigue, nous intéresse, au plus haut point. Ce n'était plus du tout une impression, c'était réel maintenant, et n'importe qui l'aurait vu. Elle était une créature surnaturelle, et de cela, Hawkins le pensait à 95%. Ou alors une femme ayant vécu comme bonne soeur durant toute sa vie et qui découvre enfin les corps masculins ?... Non, très peu de chances. De toute façon c'était peut-être faux, il n'y connaissait rien du tout à l'église. Ses moyens de vaincre les possessions étaient différentes de celle des exorcistes de base : Il ne touchait pas à la bible, ou à la sainte croix, mais plutôt à ses multiples talents, dont la parole. Forcer un esprit à vous posséder pour l'éclater de l'intérieur, c'est sa préférée... Mais qu'importe, ce n'est pas le sujet !
Pour l'heure, elle continuait de le toucher. L'investigateur ne disait rien, il... appréciait. Cela lui faisait plaisir, pour une fois, d'être le centre d'une curiosité que lui seul semblait donner aux autres. Pour une fois, c'était l'observé, et il en profitait simplement. Il soupira très légèrement d'aise, lorsqu'elle commença à faire balader sa main sur son corps, son dos, et... ses fesses ? Son corps ne bougeait pas, au contraire, il restait là, telle une simple statue, une oeuvre d'un autre temps, d'une autre planète, attendant simplement qu'on la découvre, qu'on s'intéresse à elle. Ayane était son archéologue, qui touchait, observait, avec un certain plaisir quelque chose qu'elle ne connaissait pas. Agréable, oui, c'était le mot. Finalement, elle arriva même à l'entrejambe, effleurant son membre enfermé dans la prison de tissu qu'est son pantalon. Il fut légèrement surpris pour le coup, ne sachant pas qu'elle irait jusque là. Il écarquilla légèrement les yeux. Ce n'était pas une quelconque invitation à profiter des plaisirs de la chair, c'était sûr, elle était juste curieuse. Mais l'effleurement ne fut pas désagréable, et durant une seconde, il pensa à... Des choses pas très catholiques, oui. Elle était belle aussi, ce n'était pas de sa faute ! Mais qu'importe.
Finalement, il reprit un peu ses esprits, soupirant de nouveau, avant de la voir croiser les bras avant de lui jeter un regard en coin. Elle lui adressa à nouveau la parole, comme si de rien n'était, mais sa phrase le surprit pas mal. En premier lieu, elle le tutoya, ce qui le fit légèrement sourire, avant de presque lui ordonner de lui trouver un endroit où dormir, trouver des affaires et boire. Oh. Putain. C'est qu'elle a du caractère en plus. Il fut littéralement interloqué par ça, comme si d'un coup elle était presque quelqu'un d'autre. C'est une créature haut gradée dans son milieu ? Certes, le ton n'était pas celui d'une princesse capricieuse, mais cet.. Ordre semblait celui qu'on incombe aux domestiques et autres esclaves.
M'enfin, ce n'était un pas un problème. Il allait jouer le jeu. D'une, car il voulait voir où ça mènerait, de deux, car ça l'amusait, et de trois car l'alcool pourrait démêler sa jolie langue. C'était un bon moyen aussi pour lui de prendre un peu de bon temps et de se reposer après toute ses missions. Et en charmante compagnie, il n'est pas du genre à refuser... Il prit une légère inspiration, faisant comme s'il n'avait rien vu de l'attouchement léger sur son sexe, avant de tendre son bras, comme pour qu'elle le prenne. C'était un gentleman, après tout. Ensuite, il commença à parler, tout en la regardant de haut en bas. Oh que oui, elle était belle, et sexy. Il était presque à deux doigts de la mater... à deux doigts !
« Mmh, je préfère quand on me le demande plus gentiment... Néanmoins, je peux tout à fait te mener à une auberge. Tu pourras y boire, comme tu pourras y dormir. »
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Est-ce que c'était une bonne idée de lui parler sous forme d'ordre ? Il ne fallait pas que je grille ma couverture et pourtant c'est ce que j'avais failli faire, mais bon, je ne pense pas qu'il se serait douté de quelque chose quoique je n'avais pas compris pourquoi il n'avait rien ressenti quand je l'avait touché, peut-être que les humains ne ressentent pas ce genre de chose, peut-être qu'il ne ressente pas l'excitation comme celle des démons ? Hum ? Dites moi vous qui lisez ce texte ? Ne ressentez vous pas une envie quelconque lorsqu'une personne vous touche ainsi ? Vous êtes bizarre car moi je l'aurait déjà mit dans mon lit ! Mais je ne pouvais pas, je n'étais pas prête pour ce genre de chose non, je pense pas qu'un homme ne pourrait égaler une femme au niveau sexuel. J'avais déjà fait l'amour avec une de nos esclaves au château de mon oncle. C'était exquis, nos deux corps plaqués l'un contre l'autre...Hmm quel bonheur !
Je pensais à ça alors que j'avais un homme en face de moi et pas une femme, nous n'avions pas le même sexe voyons, mais je voulais connaître la différence entre faire l'amour avec ou femme et un homme... Ou peut-être les deux à la fois qui sait ? Mon corps bouillonnait à chaque seconde, je ne sais pas pourquoi mais j'étais comme attirée par lui, j'avais envie qu'il me touche après avoir inspecté toute sa morphologie. J'étais curieuse et pas qu'un peu, j'avais envie de voir ce qui se cachait entre ses jambes, la bosse qu'il avait me rendait perplexe. Qu'est-ce que ça pouvait être ? Je n'avais jamais vu de sexe mâle, je n'avais jamais couché avec un homme et je me disais qu'avec lui je pourrais peut-être obtenir ce que je voulait...
Enfin, l'heure n'était pas à la plaisanterie, ni aux rêveries de ce genre la. Je me disais qu'avec un peu d'alcool, je pourrais collecter quelques informations même si je pouvais lire en lui comme dans un livre ouvert, je me disais qu'il fallait maintenant changer de moyen car comme je disais, je n'aimais pas la façon de torturer de mon oncle, il avait l'air sans aucune pitié à chaque fois qu'il tué ou égorgé un homme ou même une femme. Je me souviens du jour où je devais couper la tête de la gosse de cinq ans, comment aurais-je bien pu faire une telle chose ? Je n'étais pas barbare à ce point la. Ne croyez pas que j'ai obéi aux ordres ! Non, j'avais dis à mon oncle que j'allais la tuer sur la falaise la plus haute. J'étais la haut, le vent balayé mes cheveux, j'avançais devant elle, la regardant au fin fond des yeux. Je venais de lire ses pensées, elle priait que je ne l'a tue pas. C'est ce que je fis, j'avais fait apparaître une cigarette, attendant que celle-ci se termine pour lui laisser la vie sauve.
"Ne t'en fais pas petite fille, je ne tuerai pas"
J'étais démon certes, j'étais aussi une tueuse hors pairs, mais je ne pouvais pas infliger un tel sort sur un fillette aussi innocente, Je l'avais attrapé dans mes bras en déployant mes ailes, Je l'avais conduit au village le plus proche, profitant de cet instant pour lui faire une entaille au bras, histoire que j'rentre avec l'odeur de la fille. Je l'avais laisser la, toute seule, sans défense. Putain je rêve, et l'homme me fixe, il doit se demander ce que je fous bordel !
En entendant sa réponse, je ne put m’empêcher d'avoir un sourire aux lèvres et une lueur de soupçon. Je le regardait en fronçant les sourcils.
"Ce n'est pas une auberge que je te demande, je n'ai pas les moyens de me payer une chambre, c'est décidé, ta demeure sera mienne à partir de maintenant"
J'y allais fort, vraiment fort, mais j'étais obliger, c'est vrai quoi il me fallait un coin où dormir et ce jeune homme avait j'en suis sure une piaule bien confortable, le voyant habillé de la sorte. Je souriais car je savais qu'il n'allait pas refuser la compagnie d'une belle jeune femme en détresse ? Qu'auriez-vous fait à sa place ? Vous m'auriez accueilli hein ? Je savais que vous diriez ça ! J'avais trouvé une place où dormir et un jeune homme pour me tenir compagnie. La chance commençait à revenir, et finalement être chanceuse c'est pas si mal ! Je le regardait dans les yeux, comme toujours je demandais ce qu'il dirait après avoir fait ça... J'étais montée sur ses épaules, eh oui ! J'en avais marre se marcher oh ! Je ne pense pas que ça allait lui déplaire finalement, je n'étais pas si lourde que ça. Je posais mes mains sur sa tête, la lui baissant pour enfin venir lui dire en souriant.
"Merci de m’accueillir !" Lui dis-je avec un grand sourire.
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L'idée de se calmer et prendre un minimum de bon temps plaisait à l'investigateur. Après autant de boulot, il n'avait envie que d'une chose : Un bon verre, et des heures de sommeil. Et là, il avait l'occasion de prendre une verre durant une de ses missions, et en plus s'il peut le faire en charmante compagnie, pourquoi refuserait-il ? Avouons-le, elle était sexy. Et n'importe qui aurait envie de la prendre et de la mettre dans son lit. Bien-sûr, cette envie, il l'avait, c'est un homme après tout. Mais il n'en restait pas moins quelqu'un d'un minimum civilisé. Mais vu à quel point elle était curieuse... Il avait décidé de prendre un minimum les devants. Mais il verrait ça une fois à l'auberge, autour d'un verre. Ce n'est pas vraiment le meilleur endroit au milieu d'un bois.
Oh pardon, ai-je dit auberge ? Non, ça ne sera pas une auberge, tout simplement car elle n'a pas les moyens d'avoir une auberge. Et donc, elle n'a pas de maison non plus. Les soupçons passent maintenant à 99%. Mais elle n'avait pas l'air méchante, et ne semblait pas avoir de mauvaises intentions. Par conséquent, il pouvait très bien la laisser pour le moment. Et puis de toute façon, ce n'est pas comme s'il risquait de la perde : Elle comptait rester avec lui, vu qu'elle voulait squatter sa maison. Donc, pas de risques qu'elle s'enfuie. Donc, il peut très bien reporter son petit récit à propos de l'organisation à plus tard. Et c'est là qu'elle continua à parler, faisant littéralement sursauter l'investigateur.
Oh. Merde. Du coup, elle voulait squatter chez lui. Problème : Il ne peut pas rentrer chez lui. Et oui ! Sa foutue bague, pour éviter que des gens s'enfuient lâchement ou en profite, ne peut qu'envoyer dans le temps à un endroit précis, grâce à l'I.A., et n'est autorisé à renvoyer l'agent à sa maison que lorsque la mission est terminée. Là pour le coup, elle ne l'est pas ! Il ne peut donc pas rentrer chez lui, et c'est très malheureux ! Sur le coup, il était littéralement bloqué. Lui proposer de payer l'auberge serait beaucoup trop risqué, elle risquerait d'avoir des soupçons... Si elle n'en avait pas déjà ! Néanmoins, il réfléchi un peu et pensa à une autre option.
Il avait un autre endroit où il vivait, une petite maison sans prétention. Il l'avait obtenu suite à une petite mission, impliquant une petite famille. Le père, qui possédait cette maison, lui a offerte après qu'il ai réglé un problème dans la famille. Vu qu'ils avaient décidé de partir, au lieu de la filer à un inconnu, ils l'ont donné à Allen. Un énorme cadeau, un énorme remerciement. C'était un peu son second chez lui, il y restait quand il avait du temps pour lui. Par conséquent, cela fait quelque jours qu'il n'y avait pas mis les pieds. Mais il devait très certainement rester de la nourriture et de l'alcool, vu qu'elle souhaitait boire. Tout en réfléchissant, il sentit soudain un poids sur ses épaules. Il leva légèrement la tête et remarqua la jeune femme qui avait pris ses aises.
A ce moment, elle le remercia de l'accueillir. Cela le fit rire. Il n'avait même pas répondu ! Décidément, cette jeune femme était presque un bol d'air frais au milieu de son travail. Il n'allait pas refuser ça, c'est bien logique. Surtout vu le corps de cette créature... De petites idées perverses se mit à apparaître dans son esprit. Par conséquent, glissant ses mains sur ses jambes pour la tenir au cas où, il prit la parole tout en commençant à marcher. Tout en faisant cela, ses mains caressaient de manière très légère ses mains, tentant presque de remonter parfois. Oui, il en avait envie...
« Bon, je pense que je n'ai plus le choix maintenant, hein ? »
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J'étais sur ses épaules, les mains du jeune homme tenaient mes jambes, pourquoi ? Ah oui par peur que je tombe, enfin c'est ce que je pense. Père me tenait de la même manière quand j'étais petite. Je gigotai à chaque pas qu'il faisait en m'accrochant à son front, il me tenait les cuisses aussi pour ne pas que je tombe. C'était un bon père, et il était partit trop tôt. J'avais une folle envie de boire du saké, je n'en avait pas bu depuis le matin même, et il me fallait boire quelques coups pour que je sois bien, enfin dans mon univers quoi. Je buvais simplement parce que j'adorais ça, le goût du saké été meilleur à chaque gorgée, et une fois la bouteille vide, il ne fallait pas me chercher croyez-moi. Mes yeux devenaient rouges quand je commençais à somnoler, en fait mes pouvoirs se montraient quand j'étais dans cet état la. Et je me disais qu'avec ce jeune homme nous allions boire un coup, et pas qu'un à mon avis. Il fallait donc que je fasse attention à ce que mes pouvoirs ne se montre pas quand je serais avec lui, il verrait directement que je ne suis pas humaine et ça contrecarrerait mes plans.
Pour l'heure, les mains du jeune homme étaient toujours sur moi, je frissonnais même si mon jean été bien trop épais. Mes mains étaient toujours sur sa tête, m'accrochant pour moi même ne pas tomber. En réalité, je ne pensais monter sur ses épaules, mais l'envie de retomber en enfance était bien trop tentante. J'étais bien, je ne me posais pas trop de questions maintenant, je me disais qu'il fallait que je laisse faire le destin, même si à vrai dire je n'y croyais pas trop. Le destin, je n'y ai jamais cru en fait, je me disais qu'il fallait vivre au jour le jour. Enfin, il avait toujours les mains sur moi, sur mes cuisses et je sentais ses mains remontées un peu plus haut à chaque fois. Avait-il envie de moi ? Ou était-ce mon esprit tordu qui me jouait un tour ? Je frissonnais à chaque mouvements de ses mains et j'aimais beaucoup.
Alors que moi, je touchais ses cheveux, entremêlant mes doigts dans sa chevelure comme une gamine de quatre ans. C'était amusant, lui caressait mes cuisses, et mois ses cheveux, ce n'était que partie remise entre nous. Il me fit rire en me disant qu'il n'avait plus le choix, je m'étais mise à rire aussi en lui disant.
"En effet, tu n'a pas le choix, j'ai décidé que tu serais mon passe temps, et je ne pense pas que mon idée te déplaise. J'ai raison ?"
En lui balançant ça, je ne pus m'empêcher d'avoir un énorme sourire aux lèvres, espérant qu'il ne me refuse rien, car sinon je serais bien obliger d'entrer dans ses pensées et de lui faire oublier notre rencontre. Je pensais déjà à faire ça une fois que j'en aurais fini avec lui, on verra bien. Nous passions maintenant devant une pharmacie, il fallait que je m'arrête la pour acheter mes lentilles, ou plutôt les voler ? C'est vrai, j'avais quelques pièces, et je me disais que je devais payer ma chambre au moins pour une nuit, mais l'arrivée de cet homme me fit changer d'avis, je ne devais pas me faire remarquer en volant une simple paire de lentilles pas vrai ? Me coffrer pour ça franchement... Je lui demanda de s'arrêter la, sautant de ses épaules pour entrer dans la pharmacie, achetant une paire de lentilles noires. J'avais fais mes achats, enfin si on peut parler d'achats. Je remontais sur les épaules de l'homme, prenant les mains du jeune homme pour les mettre sur mes cuisses.
"J'ai terminé ce que je devais faire, emmène moi chez toi, il faut que je me repose"
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Eh bien ! Comment pouvait-il ne serai-ce que s'imaginer que lors d'une prétendue mission de reconnaissance, il allait se retrouver avec une belle jeune femme sur les épaules ? Personne n'aurait pût l'imaginer ! Lui qui d'habitude est entrain d'affronter des créatures sordides ou alors questionner des habitants qui le regardent d'un drôle d'air, cette fois-ci c'est complètement différent. Mieux même : C'était encore plus amusant ! Bien qu'amusant ne soit pas le mot le plus... approprié pour ce genre de situations. Et puis, il se sentait chanceux : Combien d'hommes vendraient leurs maisons pour un moment comme celui-là ? Oh, surement beaucoup. Mais lui n'avait même pas à le faire ! Le simple paiement serait celui d'une bouteille qu'il boira tout autant qu'elle, alors qu'il gagnera beaucoup plus ! A quel point ? Oh, ça, même lui ne le savait pas encore. Il n'allait pas partir vite en besogne, il risquerait de passer pour un obsédé et c'était mal vu par la gente féminine. Mais bon, combien de temps pourra-t-il résister à prendre les devants ? Baaah, il verrait bien !
Elle commença alors à caresser ses cheveux, les toucher, doucement. Cela n'était pas une sensation désagréable, il devait bien l'avouer. Le petit rire qu'elle eut le fit d'ailleurs sourire, le rassurait. Au moins, il ne l'ennuyait pas, et c'était le principal. Car comme ça, elle ne s'enfuira pas ! Et c'était tout bon pour Allen, d'un point de vue strictement personnel, étant donné qu'il appréciait sa compagnie, autant que du point de vue professionnel : Si c'était une créature surnaturelle, il devait à tout prix s'entretenir avec elle concernant le contrat de discrétion. Cela lui permettrait de magiquement scellé un pacte, qui si brisé, permet de prévenir l'organisation. En contre-partie, la créature a la totale confiance de l'organisation qui ne la surveillera pas. Elle pourra donc vivre comme elle veut le vivre, tant qu'elle ne met pas en péril l'humanité.
Elle prit alors la parole, précisant à son tour qu'il n'avait pas le choix et qu'elle avait décidé qu'il serait son "passe-temps". Bizarrement, il se demanda si jamais il y avait un sens caché derrière... La seconde partie de sa phrase le ramena alors à la réalité, ou elle demande si jamais elle a raison à propos du fait que ça ne le dérange pas. Il poussa un simple ricanement d'approbation, c'est vrai que cela ne le dérangeait pas, au contraire. Pas seulement d'un point de vue pervers, bien-sûr passer du bon temps l'attirait, et c'était normal avec une femme comme elle, mais à côté de cela elle le surprenait, car elle était très différentes des autres créatures. C'était surement une "nouvelle", qui découvrait le monde. Elle avait son charme, elle était mignonne, presque naïve concernant l'Homme. Il n'est peut-être pas le meilleur humain à rencontrer en premier, ne montrant que les bons côtés de cette race si surprenante. Elle risquait d'être surprise, en voyant certains... Spécimens. Les Hommes sont tous différents. Mais certains le sont... Dans le mauvais sens du terme.
Les regards des passants l'amusait. Ils étaient assez surpris de voir cette scène, celui d'un homme habillé presque comme un noble avec une belle jeune femme sur les épaules. C'était rafraîchissant. C'était une bonne journée, après toute ses missions ennuyeuses à souhait. Au bout d'un moment, ils arrivèrent devant une pharmacie. Sans crier gare, elle sauta de ses épaules, ce qui le surprit légèrement, avant de s'engouffrer dans le bâtiment. Mh ? Il se demandait légèrement pourquoi elle avait fait cela. Bizarre, bizarre. Avait-elle des médicaments à prendre, ou quelque chose dans le genre ? Il n'en savait strictement rien, et ce n'était peut-être pas ses affaires. Surement. Peu de créatures surnaturelles prennent des choses suspectes dans un endroit comme une pharmacie. Mais qu'importe, il attendit simplement.
Après un petit temps, quelque minutes, elle revint alors. Qu'avait-elle prit ? Il ne voyait pas. Elle n'avait pas de petit sac blanc en plastique, qui sert normalement à porter des médicaments. Donc c'était petit, des gélules ? Des pastilles ? Qu'elle aurait caché dans sa poche ? Baaah, tu t'ennuis de choses inutiles Allen ! Franchement ! Enfin, notre investigateur arrêta d'y penser au moment où elle reprit place sur son trône : Ses épaules. Bordel, elle aimait bien rester là on dirait ! Elle prit de nouveau la parole, précisant qu'elle avait terminé - No Shit Sherlock ! - et qu'elle devait se reposer. Chez lui, bien-sûr. Il haussa simplement des épaules en signe de réponse, avant de reprendre sa route.
Après dix minutes de marches, qui ne furent pas horrible grâce au poids relativement léger d'Ayane, ils arrivèrent devant une petite bâtisse, possédant un étage. C'était une belle maison, qui pourrait être à monsieur tout le monde. Ce n'est pas miteux, ce n'est pas un manoir. Il envisagea le fait qu'elle soit déçu d'une maison comme celle là pour quelqu'un comme Allen, qui est habillé de façon très riche. Ah, sa vraie maison vaut tout les manoirs du monde... Un putain d'appart dans une bulle temporelle ! Même Versailles ne vaut pas un endroit comme celui-là ! Versailles, vous ne connaissez pas ? C'est français voyons ! Comment ça mes lecteurs sont français et savent donc ce que c'est Versailles ? Roh, ce n'est pas bien grave ! Bref. Il toussa légèrement, avant de donner un petit coup de pied dans la porte, non sans faire légèrement trembler la jeune femme via le mouvement, l'ouvrant. Il alla alors à l'intérieur.
« Voilà. Bienvenue dans mon humble demeure. Un petit nid douillet, je n'ai pas à m'en plaindre. Néanmoins, même si mes épaules sont confortables, il va te falloir descendre ma belle ! »
Suite à sa petite phrase, il laissa la jeune femme reprendre place sur la terre ferme, avant de sortir ses clés et d'ouvrir la porte. Il s'engouffra alors à l'intérieur, suivit par la jeune femme, avant de poser sa veste sur le porte-manteau, et remettre ses clés dans sa poche de pantalon. D'un petit geste de la main, il montra la maison : Elle pouvait voir un couloir, donnant tout d'abord sur les escaliers en face, permettant d'accéder à l'étage, sur la gauche on voyait une grande entrée allant sur le salon, et à gauche une porte, et un autre couloir. La porte menait à la salle de bain, alors que le couloir menait à la cuisine, un peu plus loin, ainsi qu'à la cave. C'était une maison spacieuse, peut-être trop pour une seule personne, mais qu'importe.
« Bref, installes-toi, je vais nous servir à boire, vu que tu le souhaites tellement ! »
C'est ainsi qu'il disparut légèrement. Tout en allant vers la cuisine, il se rappela de quel alcool elle parlait... Mhh, du saké. Ah oui. Heureusement qu'ils étaient au Japon ! Prenant deux bouteilles, on ne sait jamais, il les ramena sur la petite table près des canapés. Il prit place à côté d'elle, avant de servir deux verres. Il lui laissa le sien avant de prendre son propre récipient et le tendre vers elle. Tout en faisant cela, il glissa une main sensuelle vers sa cuisse, pour doucement la caresser, il la regarda de haut en bas, lorgnant au passage légèrement sur ses seins, avant de prendre la parole, toujours en caressant sa cuisse.
« Trinquons, non ? Pour notre rencontre et la future soirée qui s'annonce ! ~ »
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Heureusement qu'il n'avait pas vu ce que j'avais acheté à la pharmacie, j'aurais crée de véritables soupçons sur mon compte, même si je pouvais lui dire que j'avais des problèmes de vue. Je les avaient quand même rangées dans ma poche au cas-où. J'étais quand même mieux sur ses épaules que sur la terre ferme ! C'était confortable, oh oui que ça l'était ! C'est vrai qu'après être partis direction la demeure du jeune homme, les gens nous regardaient comme si nous étions des bêtes de foire, et dans mon pays, personne ne me regardait de la sorte, non ils se prosternaient tous devant moi et personne n'avait ce regard, je leur faisait peut-être peur qui sait ? J'avais un accoutrement particulier, on ne voyait pas ça tous les jours, à mardi gras peut-être.. Enfin j'aimais bien ses cheveux et lui mes cuisses, ça se voyait quand il me touchait et il devait penser pareille à mon sujet, c'est vrai quoi, je savais maintenant que j'avais vraiment envie de lui, même si l'on venait de se rencontrer par hasard et comme on dit, le hasard fait bien les choses, j'étais d'accord avec ce proverbe.
Mais au faite, pourquoi avoir accepté ma compagnie ? Enfin chez lui je veux dire, il avait peut-être d'autres intentions comme celle de me violer ? Violer ? Je ne savais pas ce que c'était mais j'en avais entendu parler, et d'après les personnes qui en parlaient, c'était quelque chose de très barbare, mais au niveau sexuel, j'aimais les choses barbares. Avec notre esclave, j'étais plutôt sans pitié avec elle, mais vous allez rire, elle adorait ça. Mais ne croyez pas que je lui ai forcée la main non, après lui avoir mangé la poitrine elle en redemandait encore, alors c'était moi qui m'occupait d'elle le plus, j'aimais lui faire plaisir et l'entendre crier. Pourquoi j'étale ma vie moi aussi je suis pas censée être avec un homme la maintenant ? Oh que si, un si bel homme.
Etant toujours sur ses épaules, et après environ dix minutes de marche, enfin pour lui, nous arrivions à une espèce de grande maison, plutôt grande, et je m'étonnais même qu'il habitait ici tout seul sans compagnie, il me demanda alors de descendre, je n'avais pas envie, mais je n'allais quand même pas rester toute ma vie sur lui ! Bon d'accord je suis descendue après avoir soupirer voila ! Il me demanda alors de m'installer, sur le canapé, c'est ce que je fis car il avait dit qu'il allait me rapporter à boire, et j'attendais ça depuis ce matin, je n'allais pas me faire prier après tout. Je le regardait partir, il partait dans la direction de la cuisine, enfin je ne sais pas je n'ai pas revu de cuisine depuis le jour où mes parents sont morts, vous vous souvenez quand Mère m'avait fait mon petit déjeuné préféré, eh bien c'était ce jour la. J'observais la maison de l'homme le temps de quelques minutes, puis il revint avec deux bouteille de saké à la main, ce qui me fit sourire de bonheur. Il savait quel été mon alcool préféré, en même temps il n'y en a pas beaucoup de sorte ici au Japon.
Il me tendit un verre que je pris en le remerciant avant de s'installer près de moi et de caresser mes cuisses. Putain mais il avait quoi à me caresser ainsi ? Je n'suis pas un animal merde ! J'écoutais dans sa tête, mais je ne voulais pas qu'il ressente quoi que ce soit, alors je m'étais arrêté mais j'avais pu sentir le désir qu'il avait envers moi. Et s'il aurait mes pouvoirs, il sentirait aussi le désir que j'ai pour lui la tout de suite. Je le regardait du coin de l'oeil en souriant tandis que je trinquais à notre rencontre.
"A la tienne l'ami, merci de m'accueillir chez toi. Dis-moi comment pourrais-je te remercier ?"
Comment pourrais-je le remercier ? Non mais quelle question ! M’accueillir chez lui devrait être un honneur pour lui si seulement il savait qui j'étais. Il fallait bien que je continue de couvrir mes arrières, j'essayais de le faire c'est vrai, mais mes habitudes de petite princesse gâtée n'allaient pas s'estomper en un jour n'est-ce pas ? Il fallait que je sois une humaine aux yeux de tous. J'approchais de lui après avoir dit ça, ma main vint caresser le torse du jeune homme tandis que je me mordais la lèvre inférieure. Je continuais à m'approcher pour lui voler un baiser, mais je me rendais compte qu'il commençait à se faire tard et la nuit n'allait pas tarder à tomber. Mes lentilles, j'avais oublier de les mettre putain comment j'allais faire ? Je me reculais de lui à présent, me reculant encore jusqu'à me retourner et les mettre sans qu'il me voit, ça m'a prit deux minutes en tout, une minute pour chaque oeil. Puis je me retourna, allumant une cigarette au passage et buvant le verre de saké d'un seul coup. Il me regardait je le savais, je ne voulais pas qu'il remarque la différence de couleur de mes yeux en avant-après. C'est vrai que mes yeux étaient un peu plus clairs avec le mélange de rouge et noir. C'est pour ça que je demanda un autre verre en baissant les yeux.
"Resserre moi et bois avec moi"
Après ces paroles, je me sentais bizarre, l'alcool commençait à faire effet, je me sentais fatiguée et je sentais que ma petite culotte commençait à être humide aussi... J'avais alors prit deux grandes bouffées de fumée pour faire comme si de rien n'était.
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Et maintenant, le voilà avec une jeune femme chez lui, entrain de trinquer. Comment avait-il réussi à se mettre dans cette situation ? Enfin, il n'allait pas s'en plaindre de toute manière ! Et puis, la suite promettait d'être des plus bonnes. Et par bonne, il voulait dire agréable, que ça se termine au lit ou non. Déjà, rien que de boire un verre en charmante compagnie était quelque chose de bon, on peut dire que rien qu'avec ça que la soirée se déroulait bien ! Et en plus, si c'est la dite créature surnaturelle, il la surveille en même temps. Comme beaucoup de gens le disent, d'une pierre deux coups. Mais si en plus la relation peut aller plus loin que de boire un verre... Il n'est pas du genre à refuser un petit plaisir de temps en temps.
D'après son sourire lorsqu'il ramena les bouteilles, elle semblait heureuse. Tant mieux ! Heureusement qu'il lui restait ses bouteilles avec lui, sinon il aurait fait quoi hein ? Allen lui aurait offert... Un verre de grenadine ? C'est ridicule ! Si elle aimait l'alcool, un verre de sirop serait la pire chose possible vous ne pensez pas ? Et cela détruirait l'ambiance qui s'est installé dans la pièce ! Il sentit de nouveau ce petit picotement, tentait-elle de lire ses pensées ? Vu ce qui occupait son cerveau, il s'en moquait un peu à ce moment même. Bah oui, tout ce qu'elle lirait serait ses envies de choses pas catholiques à son encontre... Alors bon, ce n'était pas réellement gênant ! Enfin, pour lui en tout cas, car bizarrement il sentait un peu la même chose venant d'elle. L'instinct.
Elle lui demanda alors comment elle pouvait le remercier, il ne répondit pas, occupé à boire un peu de son verre, tout en la regardant finir le sien d'une traite. Et bien, c'est qu'elle avait l'habitude de boire la jeune femme. Intéressant, et un peu amusant il fallait l'avouer. Donc, ils buvaient par chez eux ? Rah, qui était-elle à la fin ? Curiosité, curiosité quand tu nous guettes ! Néanmoins, juste après l'avoir dit, elle s'approcha de lui en caressant son torse. Notre investigateur frissonna doucement de plaisir, la laissant faire, avant d'être légèrement surpris en la voyant lui voler un baiser. Ohh. Un léger sentiment de déception le parcourra lorsque leurs lèvres se séparèrent... Il aurait aimer que ça dure plus longtemps. Mais leurs lèvres se rencontreront à nouveau. Il allait faire en sorte que.
Bizarrement, elle se recula vivement. Avait-il fait quelque chose de mal ? Il haussa un petit sourcil en la fixant, d'un air songeur. Cela a duré deux petites minutes, où elle semble avoir fait quelque chose. Il essaya de la fixer, mais elle baisait la tête, ses cheveux cachant ses yeux. C'est ici qu'elle a fait quelque chose ? Rah, Allen aimerait le savoir ! Elle demanda alors un verre, et précise qu'elle voudrait qu'il boive avec lui. Ah oui ?
Il eu un petit sourire, avant de prendre quelques gorgées dans sa bouche, avant de la servir. Et d'un coup, il se rapprocha d'elle, glissant une main dans son dos pour la rapprocher, et il colle alors de nouveaux ses lèvres sur les siennes. Doucement, à l'aide de sa langue, il force l'entrée de ses lèvres de façon sensuelle, et fait doucement passer de l'alcool de sa bouche à la sienne. Une façon sexy de faire boire du saké, se disait-il. Il en profita pour goûter doucement à sa langue, et une fois la totalité de l'alcool bu, il entama un baiser sensuel, langoureux, la collant un peu plus à lui. Après de longues secondes, il retira ses lèvres, mais resta collé à elle, ne séparant son visage du sien que de quelques centimètres. De cette manière, il pouvait sentir son souffle, et elle le sien. L'alcool avait fait un peu d'effet, et il devenait plus entreprenant. Une main glissa lentement le long de son corps, effleurant sa douce peau du bout des doigts.
Il la regardait, droit dans les yeux. Les siens étaient mi-clos, et il avait un sourire sensuel sur le visage. Il avait envie d'elle, et il décida de tenter le tout pour le tout. Soit il se prend une gifle et tant pis, soit elle ressent la même chose, et la soirée peut réellement commencer. Elle était belle, et ne semblait pas être si maléfique. Il avait diablement envie d'elle, de partager une soirée sous le signe des plaisirs de la chair. D'une voix tout aussi sauve que son sourire, il prit la parole
« Tu peux me remercier en acceptant qu'on passe... une très bonne soirée tout les deux.. ~ »
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Et le voilà qui commence à me caresser le dos, mon corps frissonnait de partout, fallait le dire, il savait s'y prendre, mais en revanche moi je ne savais pas quoi faire, je ne savais pas comment m'y prendre avec lui, c'est vrai quoi je n'ai fait l'amour qu'avec une femme et fallait encore le dire, faire l'amour avec une femme est l'une des plus bonnes choses qu'il puisse exister sur cette terre. Mais concernant l'homme ça je ne le savais pas et j'avais envie de le savoir et pourtant je me comportais comme si je ne voulais pas, comme s'il ne m'attirait pas, en fait je pensais être ici que pour ma mission, mais le jeune homme était un obstacle si nous continuons ce nous étions en train de faire. Une connerie ? Sûrement mais je m'en contrefoutais, je voulais savoir ce que c'était que de faire l'amour avec un homme. Je voulais y goûter oui, ressentir ce que je n'ai malheureusement pas pu ressentir avec une femme. C'était peut-être mieux, j'étais fatiguée mais excitée, ma petite culotte pouvait comprendre ce qu'il me faisait ressentir.
Je le regardait boire, et je souriais discrètement. En fait, ce jeune homme me plaisait non pas par son attirance physique, enfin si, il y avait ça bien sur mais sa manière d'être me plaisant plus encore. Il vint alors près de moi, s'approchant plus près encore pour me voler un baiser, je me laissais faire oui, je n'allais quand même pas reculer ! Bien sur que non, ce qui me surpris le plus c'est qu'il m'avait embrassé avec la langue en me versant quelques gouttes de saké que je bus instinctivement. Il retira alors ses lèvres des miennes pour me coller encore plus à lui, je sentais son corps contre le mien , ce n'était pas désagréable au contraire cette sensation était nouvelle pour moi, je n'avais pas l'habitude et pourtant plus j'étais dans ses bras, plus j'y prenait goût et plus j'avais envie de lui, la tout de suite lui arracher les vêtements !
Mais je me demandais tout même pourquoi il avait retiré ses lèvres des miennes, n'étaient-elles pas à sont goût ? Non je sentais ses doigts parcourant mon corps de fond en comble, je n'arrêtais pas de frissonner et ma petite culotte n'arrêtait pas de s'humidifier de plus en plus. Oui je mouillais, je croisa alors les jambes, pour calmer mon envie pour lui, mes seins commençaient à pointer, et ma peau avait la chair de poule sous ses caresses. Il vint alors me dire d'accepter une bonne soirée pour le remercier, n'était-elle pas assez bonne pour lui ou il voulait pimenter la sauce, il avait envie oui, moi aussi, je le savais mais j'avais peur... Et c'est curieux maintenant, je n'ai plus peur... Vous comprenez ? Non même moi je ne comprends pas pourquoi j'avais peur, j'étais avec un bel homme, j'avais un toit, des clopes, et de l'alcool pour être au mieux de ma forme.
Je regardais ses lèvres, en me mordant les miennes, puis je lui dit.
"Vous ne voulez pas plutôt de l'argent ? Des femmes ? Je peux vous en procurer si vous le souhaitez."
Ma voix était traître, je n'étais pas vraiment convaincante, et pourtant je me disais que c'était la meilleure des solutions pour ne pas tomber dans les bras de cet inconnu, c'est vrai quoi je ne connaissait rien de lui à part son nom et puis en fait je m'en balance ! Je reculais légèrement de lui, me retournant en baissant les yeux puis en le regardant du coin de l'oeil pour ne pas qu'il voit mes yeux puis j'entamais mon deuxième verre, me laissant tituber un peu ensuite je l'ai fait, je l'ai fait ! D'un coup inattendu, j'approcha mon visage du sien tout en commençant un long et langoureux baiser, entremêlant ma langue avec la sienne sans savoir comment m'y prendre. J'étais prête à y goûter, à ce plaisir défendu.
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Tout allait peut-être trop vite ? Il venait tout juste de l'embrasser, avec de l'alcool en plus ! Il était un peu pompette, assez légèrement vu qu'il n'avait bu qu'un verre, mais ce n'était pas qu'à cause de cette boisson qu'il faisait ça. C'était réel, il avait vraiment envie d'elle. De ne faire qu'un avec son corps. De prendre tout simplement son pied avec elle. Le fait qu'elle ne sépare pas elle même le baiser, ou qu'elle ne reculait pas l'encourageait. Comme ça, il savait qu'elle avait elle aussi envie. Et c'était un bon point, de cette manière la soirée promettait de nombreuses choses. Rah, qu'aurait-il fait si jamais elle avait refusé ? Il aurait été mort de honte, ça c'est clair ! N'importe qui l'aurait été en réalité. Mais là ce n'était plus la question.
Elle fixait ses lèvres, tiens. Peut-être qu'elle aussi pensait que les séparer n'était pas une bonne idée ? Rah, qu'il avait envie d'en reprendre possession, là, tout de suite ! De goûter à nouveau à ses lèvres, à sa langue ! Mais pour le moment il devait attendre de voir sa réaction plus en profondeur. Peut-être que la gifle arriverait maintenant ? On dirait que non, et il le remarqua lorsqu'elle répondit. Elle lui demanda s'il ne voulait pas plutôt de l'argent, ou bien des femmes. Des femmes ?! Mais il l'avait elle, pourquoi aurait-il besoin d'autre femmes ? Cela le fit légèrement sourire, de façon taquine, car rien que le ton de sa voix montrait bien qu'elle ne pensait pas du tout à ça, qu'elle était réellement gênée. Elle était vierge ? N'avait-elle jamais embrassée quelqu'un ? Ou bien... N'avait-elle jamais embrassée un homme ? Oh ! C'est mignon !
Finalement elle recula, au grand désarroi de l'investigateur, avant de boire de nouveau. Un moyen d'oublier ? Ou bien d'essayer de se motiver à aller plus loin ? Il la regardait simplement, n'ayant pas répondu. Ca semblait être nouveau pour elle, il fallait qu'il la laisse prendre un minimum ses repères avant de donner sa décision finale et de décider si elle allait se lâcher avec une personne qu'elle vient tout juste de rencontrer il y a quelque heures à peine. Il n'avait pas réellement de doutes à ce sujet, elle semblait réellement avoir envie de lui. Le sentiment est réciproque, alors pourquoi bloquer son cerveau et ne pas le vouloir ? C'est idiot, abject même pour le cerveau qui doit souffrir en ce moment ! Et pas que le cerveau, mais ça il le.. Vérifiera après.
Finalement, sans crier gare, en le surprenant, elle plaqua de nouveau ses lèvres contre les siennes. Il ferma doucement les yeux, profitant à nouveau du doux goût de ses lèvres. Glissant ses mains sur ses bras, il accentua à son tour le baiser, sa langue venant aider celle d'Ayane. C'était amusant, elle semblait ne pas savoir comment faire, ou alors elle n'était tout simplement pas habituée. Par conséquent, il mènerait cette danse buccale, laissant sa langue faire son travail, profitant de celle de la jeune femme. Une de ses mains glissa lentement de son bras vers sa poitrine, caressant doucement son sein du bout du doigt, avant d'un coup le prendre en main pour le masser. Il avait envie de sa poitrine... De ses lèvres... De son corps. Et il comptait bien profiter de tout. Tout en malaxant doucement son sein, il glissa doucement son pouce contre son téton... Dur ? C'est qu'elle était déjà excitée... Surement aidée par l'alcool. Ainsi, son pouce commença doucement à se frotter au téton, avant d'y aller plus... franco, de façon légèrement plus brutale.
Pendant ce temps, son autre main glissa de son bras à sa tête, venant caresser ses cheveux, pendant qu'il continuait de l'embrasser, et que sa main jouait avec sa poitrine. Tellement d'idées pas catholiques s'embrouillaient dans sa tête... Si c'était sa première fois avec un homme, il comptait faire en sorte qu'elle s'en souvienne comme étant l'expérience inégalable.
« Tout ce que je désire, c'est toi. » Souffla t-il, d'une voix suave, après avoir rompu le baiser. Et une fois la phrase soufflée, il reprit possession des lèvres dont il appréciait tant le goût.
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Mais c'est que j'avais vraiment envie de lui moi, enfin lui aussi je sais mais pour moi j'allais enfin goûter à ce plaisir défendu et j'en devenais impatiente maintenant. Il me caressait c'est vrai, il m'embrassait aussi avec une telle envie, il ne devait pas faire ça tous les jours je pense, sauf s'il en a l'habitude ? Oh ça me paraissait peu probable en réalité, c'est vrai pourquoi se rapprocher de moi ainsi ? Et surtout quelques heures après notre rencontre, oh mon Dieu j'espère qu'il ne me prend pas pour... Une prostituée... Si c'était le cas, il allait s'en prendre une de gifle et pas qu'une seule d'ailleurs ! Une prostituée... Je savais ce que c'était, au moins je connaissais quelque chose dans cette foutue vie à la con ! Mon oncle en avait une autrefois, à en entendre les bruits qui sortaient de sa chambre, la pauvre dame devait souffrir ! Elle en a souffert je pense, car le lendemain elle n'était plus là, deux démons s'aidaient pour porter quelque chose, je ne savais pas ce que c'était, mais je voyais un bras qui pendait, bien trop fin pour être celui d'un homme. En fait, c'était la femme que mon oncle avait à la maison, une simple humaine que je voulais tuer, je ne sais même pas pourquoi. Ah oui, parce que je n'aimais pas le fait que l'on soit deux femmes dans le château, mais bon quelqu'un d'autre était passé avant moi, j'étais en colère de ne pas avoir pu l'égorgé de mes mains. J'espérais juste qu'il ne me prenait pas comme étant l'une d'entre elles, sinon il aurait prit cher, vous l'auriez deviner.
Putain, il commençait à descendre la ! Oui je pouvais sentir, sa main sur mes cheveux, il les caressaient, et son autre main descendait sur ma... Sur ma poitrine, sur ma QUOI ? Oui oui, je venais de réaliser tout ça, car je frissonnais, pas assez à mon goût car mon corset venait gâcher la sensation. Mais je sentais bien assez pour soupirer doucement car maintenant sa main venait malaxer mon sein, alors que je sentais son pouce sur mon téton, il était dur, très dur et ma culotte était maintenant trempée, c'était comme si je m'étais fais dessus !!! Rhooo quelle phrase pitoyable ! Mais c'était vraiment la sensation que j'avais, j'avais envie de prendre une douche tellement que c'était désagréable à mon goût, mais il fallait peut-être me convaincre que c'est ce qu'il faut, que c'est ça d'être excitée, eh oui être excité, c'est ça, c'est sentir tout son corps frissonner, c'est se sentir désiré et sentir caressé.
Je ne voulais pas qu'il s'arrête, j'étais impatiente de connaître la suite des événements, et je me disais que la suite n'allait pas tarder à arriver. Il se mit alors à parler, en me disant qu'il me voulait moi et pas une autre femme, mais franchement y en avait beaucoup des femmes dans ce bas monde ! C'est vrai quoi, c'est pas comme si j'étais une minette qui avait de gros lolos ! Et surtout une minette qui avait de l’expérience ! Mais bon c'est en apprenant qu'on acquiert de l’expérience. J'étais également d'accord avec ce proverbe la. Après les paroles qu'il venait de dire, il revint m'embrasser tendrement, déposant délicatement ses lèvres contre les miennes, et nous allions commencer un long et profond baiser. Vous allez me féliciter, car c'est moi qui ai prit les devants en insérant ma langue dans sa bouche pour venir caresser sa langue ! Et la, vous vous dîtes *Hallelujah !*.
Je commençais aussi à venir lui caresser le torse, un torse sans seins, c'était dommage, je ne savais pas quoi toucher maintenant. Ses fesses ? Non il est assit. Son torse ? Non déjà fait. Son sexe ? J'étais pompette c'est vrai, mais je me contrôlais. Pourquoi est-ce que je viendrais prendre les devant en étant un peu fatiguée alors que même étant normale, je n'y connait rien. Je me disais que c'était à lui de me montrer à lui de prendre les devant. C'est ce que je fis, j'ôtais mes lèvres des siennes pour finir ma cigarette et mon verre que je déposais sur la table, prenant toujours garde à ne pas le fixer dans les yeux puis ma main vint effleurer son sexe tout en remontant sur son torse pour continuer sur sa nuque que j'agrippa fermement avant de l'embrasser passionnément et de lui dire.
"Je... Je n'ai jamais fait l'amour... Avec un homme..."
Je pensais que c'était le dernier baiser que je lui ferais, car après avoir dit ce que je venais de dire, pas sur qu'il continuerait ce qu'il avait commencé. Je me reculais un peu de lui, en prenant la bouteille que je commençais à boire sans m'arrêter.
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Tout ce qu'il voulait pour le moment était de passer une bonne soirée avec elle, et en profiter à ses côtés. Pas avec une autre, avec elle. Et c'était là la grande différence entre avoir envie de quelqu'un et tout simplement vouloir tirer un coup : Dans le second cas, la personne - et même le sexe pour certains - n'importe peu, tout ce qu'on désire est rentrer son membre dans un trou et se faire du bien. Drôle d'image, en effet, mais c'était vrai. Alors que dans le premier cas, même s'il avait en effet envie de coucher avec quelqu'un, dans ce cas là il la voulait elle. Et c'était déjà la preuve qu'il ne voulait pas que... Tirer un coup. Il voulait certes le faire, mais avec elle ! Bref, je me répète mais vous voyez ce que je veux expliquer hein ? Rassurez moi...
Mais en tout cas, les choses continuaient, et continuaient drôlement bien pour le moment. Il jouait avec sa poitrine, qui, même si elle n'était pas la plus grosse, lui allait parfaitement. A ce niveau là, notre investigateur n'avait pas de réelle préférence : Plates, normales, grosses, tout lui allait. Il n'était pas quelqu'un de difficile ! Haha, normal certains vont dire. Qu'importe la taille, une poitrine reste une poitrine. Et celle d'Ayane lui allait parfaitement... Et c'est pour cela qu'il en profitait, caressant, découvrant la poitrine d'une inconnue. Douce sensation, surtout celle de son pouce frottant son téton dur, montrant l'excitation de la jeune femme... Exquis. Et là, le corset était encore présent, mais attendez qu'il l'enlève pour pouvoir la caresser et plus encore... Oh que oui, la suite promettait.
Le baiser continua, et au grand plaisir d'Allen, la jeune femme perça la barrière de ses lèvres pour que sa douce langue revienne à nouveau caresser celle de l'investigateur, sensuellement, rappelant un couple qui s'était perdu, et s'enlaçait tendrement près du train d'où venait de revenir le mari après la guerre. Vous imaginez la scène ? Remplacez le couple par les deux langues qui dansaient doucement dans leurs bouches, dans ce baiser long et langoureux, comme les aime l'investigateur. Le genre de baisers qu'il aimerait ne jamais se voir terminer, même s'ils doivent dire adieu à leurs respirations à jamais. Mais bon, comme tout les baisers, il aura une fin...
Finalement, elle commença doucement à caresser son torse. L'investigateur commença à frissonner de plaisir, et il frissonna de plus belle lorsqu'elle fit lentement descendre la main. Sa seconde mimine continua à doucement caresser ses cheveux, ses doigts en profitant autant que son autre main ne profite de ses seins, les laissant profiter de la douceur de sa chevelure. Et il la sentit alors effleurer doucement son entrejambe, arrachant un nouveau soupir d'aise à l'investigateur. L'alcool aidant, une légère bosse commença à apparaître dans le bas d'Allen, trahissant son début d'érection évidente. Néanmoins, elle ne devait même pas savoir ce qu'avait un Homme... Voir sa réaction serait amusante. Mais pour le moment, il avait autre chose en tête... Mais sa recherche d'idée fut brusquement interrompu par un nouveau baiser, passionné, et aidé par le fait qu'elle l'ait littéralement agrippé. Un sourire aux lèvres, il profita du baiser, avant de l'écouter avouer... Qu'elle n'avait jamais fait l'amour à un homme.
Ce ne fut pas une surprise. Allen l'avait deviné. Mais s'en souciait-il ? Non. Il s'en foutait. Qu'elle soit expérimentée ou non, c'était du pareil au même : Il allait juste devoir faire en sorte qu'elle aime ça, et lui apprendre à aimer, vu qu'il serait sa première fois. D'un côté même, ça le rendait fier, d'être le premier à goûter à une jeune femme aussi exquise. Là encore, de nombreux hommes rêveraient d'être à sa place. Alors autant.. En profiter. Il n'eut pas le temps de la rassurer qu'elle attrapa déjà sa cigarette pour la finir, là rien de grave, avant de s'enfiler la bouteille. Rah bordel, pourquoi il en avait ramené deux ?! Si elle buvait trop elle risquerait d'oublier ce qu'ils s’apprêtaient à faire ! Mauvaise idée ! Il soupira, et attrapa la bouteille pour lui retirer, avant de la plaquer sauvagement contre le canapé, et de l'embrasser à nouveau, sauvagement, pour lui faire bien comprendre ce qu'il désirait. Néanmoins, pour la rassurer un peu plus, il arrêta le baiser au bout de quelque secondes et vint directement lui souffler à l'oreille :
« Alors je serai ravi d'être le premier, laisse toi juste aller, et tout ira bien... »
Maintenant, il avait plus que le simple plaisir de la jeune femme en jeu. Il avait aussi son regard envers le sexe avec un être du sexe opposé. Il était fier d'être sa première fois, mais du coup légèrement effrayé de ne pas être à la hauteur... Ne le soit pas mon ami, tu le seras ! Voilà ce qu'il se dit. Et il allait faire en sorte que. Il commença alors à rapidement enlever le corset, laissant la poitrine de la jeune femme à l'air libre, enfin. Reculant sa tête, il lui adressa un léger clin d'oeil, avant de descendre et de venir directement goûter à sa poitrine. Tout d'abord, il fit lentement glisser sa langue autour du sein, avant de s'approcher doucement vers son téton en faisant une spirale. Il profitait du goût exquis de sa douce peau, ce qui l'excitait un peu plus. Une fois le téton atteint, il commença alors à donner de petits coups de langues dessus, pendant qu'une de ses mains venait s'occuper de son sein libre, l'attrapant et le malaxant doucement, pendant que le pouce jouait avec son deuxième téton. Sa langue s'activait, jusqu'à qu'il pose ses lèvres dessus pour doucement le suçoter.
Pendant ce temps, sa seconde main décida d'aller voir ses.. autres lèvres. Et c'est ainsi qu'il glissa une main contre son bas, avant de lentement entrer à l'intérieur. Il n'avait pas encore envie d'enlever le reste de ses habits. Il arriva alors à sa culotte, et caressa doucement son intimité à travers son sous-vêtement.. qui était trempé. C'était peut-être sa première fois, mais elle mouillait comme une fontaine... Elle aimait ça. Et cela l'encourageait, il continua donc doucement à caresser son intimité trempée à travers sa culotte, pour le moment..
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En fait, je croyais être en train de rêver. C'est vrai quoi, il m'avait prit la bouteille des mains alors que j'étais en train de la vider sous ses yeux, il ne voulait peut-être pas que j'oublie ce moment que nous étions en train de passer ? Je pense que ça devait être ça, c'est vrai ! Pourquoi est-ce que je buvais comme une ivrogne ? Je n'avais pas bu depuis ce matin et pourtant j'en avais envie, de boire ! Enfin, il fallait que j'arrête, et il a bien fait de me l'a retirer des mains, c'est vrai, si nous allions vraiment faire ce que l'on s'apprêtaient à faire, je ne devais être ivre, loin de là, je devais être vraiment consciente que j'allais réellement faire l'amour avec un homme, et qui plus est le premier venu ! Il m'attirait vraiment en fait, il avait l'air d'être quelqu'un de bien après tout. Mais c'est vrai qu'il avait envie de faire l'amour, et avec moi. Je pouvais le ressentir, et je sentais mon excitation grimper de plus en plus, mes seins pointaient et ma culotte était trempée. Mon excitation pour lui était devenue clair à présent. Je n'allais pas partir sans avoir fait l'amour avec lui. Oh oui j'en voulais !
Il disait qu'il serait ravi d'être ma première fois et que je devais me laisser aller pour que tout aille pour le mieux. Et il avait raison, j'allais coucher avec lui et l'idée me faisait sourire et me gênait en même temps, c'est vrai quoi j'allais montrer mon corps à nu à cet inconnu et j'en avais envie en fait, ça faisait trop longtemps que je n'avais pas la sensation d'être envié. Il y en avait de beaux démons dans mon pays, mais en réalité je ne me sentais pas prête, même pas que dis-je ! Je n'avais tout simplement pas le temps de me préoccuper de ça, j'étais tout le temps en déplacement avec mon oncle, mon travail passait avant toute chose, avant ma vie privée. J'ai seulement eu la chance de coucher avec une femme, quand mon oncle était sorti en reconnaissance avec ses hommes. Ça n'a pas duré très longtemps, une heure tout au plus. Et je me disait que la, nous avions toute la nuit devant nous, et que personne allait entraver notre chemin.
Il enleva maintenant mon corset... Ma poitrine était maintenant mise à nue devant lui, j'étais quelque peu gênée en fait, je détestais qu'on me regarde et pourtant il avait l'air ravi... Est-ce qu'il aimait ? Oui j'en suis sûre, il ne m'aurait pas adresser un clin d'oeil sinon, oui ma poitrine lui plaisait, et j'en étais heureuse. Il pouvait maintenant voir mon énorme tatouage représentant deux grandes ailes dans mon dos. Deux grandes ailes, car c'était ce que j'étais devenue. Un démon à ailes. Manquait plus qu'il me retire l'armature de mon bras droit pour découvrir ma cicatrice, et mon jean pour y découvrir mon deuxième tatouage. Et ma langue ? Il n'avait peut-être pas senti que j'avais un piercing ? Mais il allait bientôt le découvrir s'il y allait vraiment. Enfin c'est ce que je me disais...
Il était maintenant venu sur mes seins, les léchant un peu tout en me caressant les cheveux d'une main et de caresser mon intimité, avec l'autre. J'avait bien dit mon intimité ? Oui il était carrément venu caresser l'endroit défendu. Mais pour l'instant sa main n'était qu'à travers ma culotte, et tant mieux d'ailleurs, mais je sentais vraiment que ça me faisait du bien, j'avais la chair de poule et mon corps tout entier frissonnait de plaisir et de bonheur... Je le laissait faire, je n'allais pas l'arrêter alors que j'aimais ça ! Bien sur que non, je ne voulais pas que ça se termine, bien au contraire. Il continuait à me caresser, je me suis alors mit à écarter les jambes, laissant un peu plus d'espace à sa main qui commençait déjà à me faire gonfler mon petit abricot. Hmm comment vous dire comment j'étais à ce moment la, je commençais à vouloir aller plus loin, j'embrassais ses lèvres pour ensuite monter sur lui, je sentais une bosse et je me demandais ce que c'était attendant le bon moment pour voir. Je continuais à l'embrasser avec passion, ma langue rejoignait la sienne et vu comment je l'embrassais, c'était maintenant sur qu'il sente mon piercing. Je fermais les yeux en l'embrassant puis je vins lui murmurer.
"Tu me trouve belle ? "
Puis je revins l'embrasser, attrapant sa tête pour qu'il dévore ma poitrine.
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Il aimait ce qu'il lui faisait. Certes, prendre son propre plaisir l'intéresse aussi, mais en donner est tout aussi bon. En tout cas, selon lui. L'excitation montait petit à petit, au fur et à mesure qu'il dévorait sa poitrine. Oh que lui, ses seins lui plaisait, en effet ils étaient tout simplement dans la moyenne qu'il appréciait. Et ses tétons prouvaient encore qu'elle aimait ça, et ça lui plaisait réellement. Il n'est pas du genre à apprécier les relations au plaisir unique, quand seulement une des personnes apprécie. Pour lui, l'acte charnel est un moyen de célébrer une union qui doit être voulue des deux personnes : Le viol est quelque chose d'inadmissible pour l'investigateur, et jamais il n'oserait profaner d'une telle manière le corps d'une femme. Et là, heureusement qu'elle n'est pas complètement bourrée, sinon la question de la volonté d'accomplir l'acte pouvait être posée : Si elle n'avait pas bu autant, aurait-elle acceptée ? Dans ce cas là, la question ne se posait pas.
Mais qu'importe. Sa langue jouait doucement avec son téton, ses lèvres, plaquaient contre sa peau, suçotait doucement ce petit morceau de plaisir, alors que ses oreilles appréciaient des sons qu'émettait la si belle bouche de la jeune femme, la respiration qui accélère, en même temps que le plaisir... Et là encore, ils ne sont qu'au début des préliminaires, elle n'avait pas encore ressenti le réel plaisir de coucher avec un homme. Celui de se sentir fusionné au corps de son partenaire, remplie par son pieu... Aucun doute, elle aimerait surement ça. Mais pas de précipitations, il voulait à tout prix lui offrir la meilleure des premières fois. Et il allait mettre le paquet. Ils ont toute la nuit, pas question de terminer ça en une petite heure, il comptait bien la vider de toute énergie... et se vider lui même, d'énergie bien-sûr, mais aussi... D'autre choses. Vous voyez ce que je veux dire ?
L'excitation de l'investigateur était peut-être dût à son léger manque... D'amour. Les missions s'enchaînaient, et il n'avait que très peu le temps de fusionner avec une femme, durant une soirée, ou plusieurs. Les prostituées n'étaient en aucun cas une bonne option, étant donné qu'il achèterai tout simplement le "oui" d'une personne de l'autre sexe. Par conséquent, il fut privé quelque temps. Et voilà qu'il tombe sur une jeune femme qui, en plus d'être tout à fait charmante à vivre, avait un corps plus qu'attirant. Tout était attirant en réalité. Bien qu'il ne la connaissait pas vraiment, elle semblait avoir un certain sens de l'humour, et après cette future nuit de folie, rien ne l'empêcherai de parler avec elle, et de faire autre chose. Mais pour le moment, pas le temps de penser à ça, vu dans quelle position ils se trouvaient ! Et en parlant de cela, elle écarta doucement les jambes, permettant à sa main de s'amuser un peu plus...
Elle commença alors à bouger. Intéressant... Elle passa alors sur lui, la rendant d'ailleurs encore plus sexy comme ça, avant de venir l'embrasser à nouveau. Il était si occupé avec ses seins qu'il en avait presque oublié le goût de ses lèvres.. Presque, vu qu'il frissonna doucement en retrouvant le doux gout de sa langue. Il ne s'en passerait jamais, c'est bien ce qu'il pensait ! C'est à ce moment qu'il sentit son piercing, qu'il avait totalement échappé juste avant. C'était agréable au toucher, et cela ne gênait pas réellement cette danse buccales, interprétés par leurs langues respectives. Bonne idée que ce piercing, la sensation était différente... Mais si agréable. Finalement, elle lui murmura doucement s'il la trouvait belle.
Quelle question ! Bien-sûr ! Elle était magnifique ! De corps, en premier lieu, et surtout de visage ! A faire craquer tout les hommes sur son chemin. Comment pouvait-elle simplement douté de sa beauté ? A moins qu'elle aimait qu'on la complimente ? Les femmes aiment ça. Avant de lui répondre, il glissa une main contre ses hanches, l'autre glissant doucement vers ses fesses qu'il prit en main. Mmhh, c'est qu'elle avait un beau fessier en plus, c'était parfait... Glissant une main dans son pantalon, elle attrapa doucement sa culotte, avant de la tirer légèrement. Cela avait pour effet de faire frotter le tissu trempé de sa chatte contre cette dernière, puis, à force qu'il tirait, le tissu rentrait légèrement en elle, très légèrement. Mais sa main n'était pas la seule à travaillée, avant même qu'il puisse lui répondre, elle plaqua sa tête contre ses seins, l'invitant à la dévorer à nouveau, lécher et mordiller son sein droit, avant de s'attaquer au gauche. Mais peu après, il décida de lui, répondre, et lâchant - sans un certain regret - la poitrine de la belle, il lui répondit
« Plus que ça. Je te trouve magnifique. Tu es vraiment une beauté d'un autre monde. »
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Bon, c'était décidé, j'allais coucher avec lui même si ce n'était pas prévu. J'en avais envie, ça comblera le manque. En plus de n'avoir jamais couché avec un homme, je n'avais également jamais eu de relation amoureuse, et pour cause ? Le manque de temps et le travail. Bref, je raconte encore et toujours ma vie, mais cela semble il vous intéressez non ? Oh je suis sûre que oui. C'est vrai, je ne connaît pas ce que sait que d'être aimé, d'être protéger par quelqu'un qu'on aime. En fait, je ne connaissais pas la signification de l'amour, je ne savais pas ce qu'on ressentait quand on était amoureuse d'une personne. Mais ça me préoccupait pas pour l'instant. J'étais avec un homme et nous étions en train de commencer les préliminaires, décidément j'adore les préliminaires. Je me disais aussi que je n'aurais sûrement jamais fait l'amour si mon destin avait voulu que je devienne Reine. Dans mon pays, les femmes devaient se marier avant de faire l'amour, c'était peut-être con, mais c'était comme ça. Toutes les filles de bonnes familles étaient vouées à ça. Et je me disais que finalement la mort de Père ne me rendait pas aussi triste. J'aurais mal vécu, je serais devenue Reine, je serais mariée, et j'aurais sûrement eu un héritier à l'heure qu'il est.
Ah ! Le voila maintenant, il continue les caresses sur mon intimité, mais on aurait dit qu'il voulait jouer avec moi, qui voulait pousser mon plaisir tellement loin qu'à la fin ça aurait été moi qui lui demanderait de me faire l'amour. C'était marrant au final mais sa façon de faire était bizarre. Mais je n'allait quand même pas me plaindre, c'est vrai après tout, il me plaisait et je savais que je voulais donner mon corps à cet homme et pas à un autre. Aurais-je trouvé quelqu'un d'autre qui serait aussi gentil que lui ? Non probablement pas. J'aimais sa façon d'être, celle de me parler et sa façon de me toucher et de me dire que j'étais magnifique. Magnifique ? Il avait vraiment dit ça ? J'en ai bien peur, et si après avoir fait l'amour avec lui je ne voulais plus le quitter ? C'était un risque à prendre car je le voulait maintenant et c'est tout. La suite m'importerait peu à vrai dire, si jamais il me veut, il le dira et s'il ne le dit pas je n'insisterai pas.
Mon corps frissonnait sous ses caresses, et surtout quand il faisait en sorte d'entrer le tissus en moi, je poussais alors un soupir discret, waouw ! Quelle sensation des plus exquises ! Je sentais toujours cette bosse à travers mon jean, ce n'était pas désagréable en faite, mais je me posais toujours la question de ce que ça pouvait bien être, je n'allais sans doute pas tarder à le savoir je pense, mais j'avais une légère réticence car je ne savais pas à quoi m'attendre et je ne voulais pas être ridicule devant lui même s'il savait à présent que j'étais "vierge". Je sentais ses doigts sur ma culotte, j'étais impatiente de découvrir ce que c'était que de faire vraiment l'amour. Je voulais éprouver du plaisir et avec lui seulement. Il continuait à me dévorer les seins, et j'adorais ça c'est pour ça que ma respiration s'accélérée au fur et à mesure qu'il me touchait. Je me mordais la lèvre inférieure pour encore aller lui voler un baiser, car ce que je m'apprêtais à dire lui fera sûrement changer d'avis. Mais si il avait envie de moi c'était pour ce que j'étais, enfin c'est ce que je me disais.
"Et la, tu me trouves toujours aussi magnifique ?"
Après avoir dit ces mots, je m'écartais de lui, gardant mon regard dans le sien, pour finalement me mettre debout. Etant ainsi de dos, j'ôtais mes lentilles des yeux, j'enleva également les armatures que j'avais sur chaque bras, lui laissant découvrir l'odieuse cicatrice que j'avais. J'étais maintenant à découvert, mon regard était rouge et je le fixai toujours autant. J’appréhendais sa réponse et j'en avais un peu peur. Mais finalement je me disais qu'il fallait que je joue carte sur table dès maintenant.
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Le corps entier de l'investigateur était réveillé, chaque parcelles de son corps n'appelait qu'à une chose : le plaisir, mais celui lié à la chair. Il était réellement en éveil, presque différent de d'habitude, surtout dût au moment, qui était plus qu'excitant, autant pour lui que pour elle. Il oubliait tout, profitant de ce simple moment, qui, était encore innocent. C'était gentil, ce qu'ils faisaient maintenant. Doux. Mais ce n'était que le début, et il n'en tiendra qu'à la suite de décider de comment l'amour sera fait. De ce point, Allen s'en moquait, il aimait tout. Mais le manque sera t-il un facteur à prendre en compte ? Qu'importe, pour le moment, il appréciait le goût de ses seins, sa langue passant d'un téton à l'autre, les faisant encore plus pointer sous le plaisir de ses coups, alors qu'il les mordillait parfois très légèrement. Quant à sa bosse, elle devenait plus volumineuse, sa queue réagissant à tout ça. Il commençait à se sentir à l'étroit... Mais il savait que cela ne durerait pas.
Finalement, le soupir vint. Enfin ! Elle commençait à émettre des signes réellement sonore de son plaisir ! Ahah. Et là ce n'était que des soupirs. Finalement, elle lui fit arrêter son petit plaisir, avant de l'embrasser. Un baiser légèrement différent, comme si elle s'apprêtait à lui montrer quelque chose. Que voulait-elle faire ? C'était une question dont il aurait, dans quelques secondes, la réponse. De cela, il n'en doutait pas. Et c'est ce qu'elle fit. Elle retira d'abord ses lentilles - Surement ce qu'elle avait mis il y a peu de temps, et très certainement ce qu'elle a achetée à la pharmacie durant le petit trajet séparant le sous bois de sa "maison" -, révélant des yeux rouges. Il tiqua légèrement, son cerveau travaillant et rassemblant les pièces du puzzle. Apparence humaine, connaissance limitée de l'être humain, yeux rouges passé la journée, beauté à frapper tout sexes. Les pièces formaient dès à présent le puzzle complet, et révélait à l'investigateur la réponse qu'il attendait : Démon. C'était donc bien une créature surnaturelle, et très certainement celle signalée par l'alarme. Quant à sa venue, vu la curiosité et la non connaissance des cultures humaines, elle était là en... tourisme. A savoir si c'était réellement le cas, ou si elle s'était enfuit, ou dans le pire des cas si elle avait une mission. Elle dévoila ensuite sa cicatrice, mais il n'en connaissait pas la provenance. Combat ? Marque de naissance ?
Enfin, il savait maintenant. C'était une démone, mais d'une "race" particulière, qui ne vivait même pas dans un autre plan. C'était une planète qu'ils avaient colonisés, non loin de Terra. Elle a dut passer un portail pour accéder sur Terre, et il semblerait, vu ses habits, que c'était voulu qu'elle arrive ici. Elle n'a néanmoins pas fait de mal, par conséquent elle ne semblait pas hostile aux hommes. Il réfléchis légèrement, son visage n'ayant eu aucune marque de dégoût à son encontre, d'une pour ne pas l'effrayer, deux car elle ne le dégoûtait pas. Il ressentait toujours la même chose, prouvée par l'érection toujours présente, qu'elle pouvait sentir. Finalement, il ouvrit les yeux et lui adressa un sourire, avant de répondre
« Oui. Même plus... » il approcha son visage du sien, avant de susurrer « Les yeux rouges te vont encore mieux... »
A ce moment, il entama un nouveau baiser. Un peu différent, car beaucoup plus sensuel et langoureux. Sa langue re-dansa avec sa partenaire, mais d'une manière beaucoup plus sensuelle, avec beaucoup plus de sentiments. Il était touché qu'elle ai avouée ce qu'elle était. Il avait confiance en elle désormais, jamais une créature hostile ne l'aurait fait. Il voulait encore plus se donner à elle, encore plus sentir son corps et son esprit fusionné au sien. Était-ce plus que de la simple attirance qu'il ressentait ? Son esprit s'embrouillait, et il ne désirait pas y penser pour le moment. Ils devaient profité du moment présent. Concernant ce qu'était Allen, il lui dirait après. C'est beaucoup trop long à expliquer, et risquerait de gâcher l'ambiance. Il continuait de l'embrasser, pour la rassurer, lui transmettre son envie, ses sentiments. Qu'elle soit heureuse, collée à lui.
Histoire de lui montrer que son envie était toujours présente, il prit sa main, et la guida doucement. Il posa sa mimine contre sa queue tendue, pour la laisser toucher et découvrir. Seulement via sa main pour le moment. Il lui laissera le plaisir de l'observer avec ses yeux un peu plus tard. Lâchant sa main pour laisser ses instincts s'occuper de ce qu'il avait entre les jambes, sa main qui jouait avec sa culotte la lâcha, avant de glisser entre ses cuisses, et d'ensuite se glisser dans sa culotte. C'était le moment de caresser directement ses parties... Mais avant, il caressa doucement son abricot, gonflé de plaisir, semblant supplier qu'on s'occupe de lui. Le caressant doucement du bout de l'index, il mit cela à plus tard, venant caresser du même doigt sa chatte trempée, qui suppliait autant que son clitoris. Doucement, il récolta sa mouille, glissant son doigt très lentement entre ses lèvres. Une fois récupéré, il retira son doigt et regarda la jeune femme, avant de le porter à ses lèvres pour goûter à ses fluides. Il lécha doucement, de manière sensuelle, comme pour l'exciter.
« Ma belle démone, tu as très bon goût de ce côté là aussi... ~ »
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Alors ça, c'était la meilleure ! Il me trouvait magnifique, il disait ça pour me faire plaisir ou était-ce vraiment la vérité ? Mais vu la façon dont il me regardait, il n'éprouvait pas dégoût à mon égard, non. Même quand il me dit que mes yeux m'allaient encore mieux. Je redoutais sa réaction, mais en fait j'étais contente car je ne lui faisait pas peur, mais s'il connaît la vérité à mon sujet, pas sur qu'il soit toujours de cet avis la. Enfin, soit. j'étais avec lui, moi qui redoutait tant ce qui allait se passer, j'avais vite changer d'avis, car le bien qu'il me procurait était incomparable avec le bien que me procurait l'ancienne esclave du château. Les mains de la femme et de celles d'Allen étaient bien trop différentes. Celles de l'esclave étaient fines et douces. Alors que celles d'Allen étaient douces certes, mais elle étaient bien plus grandes et elles me plaisaient encore plus, voyez le plaisir qu'il me faisait, vous auriez adorer être à ma place croyez moi.
J'étais en réalité heureuse et ravie d'être à son goût, j'avais peur que les humains ne soient pas compréhensibles, c'est ce que je pense toujours mais avec lui, cet humain la, je savais qu'il était compréhensible, il ne m'aurait complimentée de la sorte. Personne ne l'avait jamais fait en fait, si seulement Mère quand j'étais petite, si seulement elle savait ce que j'étais devenue, elle ne serait pas fière de moi, Père non plus. Et s'ils me regardaient d'en haut et d'en bas ? Je dis d'en haut et d'en bas car Père est mort mais il est allé directement en Enfer, alors que Mère ? Était-elle allée au Paradis ? Ou bien avoir fréquenté un démon l'aurait directement menée en Enfer ? C'était une bonne question que je me posais et je ne connaissais pas la réponse. Mais qu'importe, ce n'était pas le moment de penser à ça, mais de penser au plaisir que je ressentais quand il vint titiller mon petit bouton rose. Ma main serra la sienne tandis que j’écarquillais les yeux, ça faisait vraiment longtemps que personne ne s'était occupé de moi.
Et lui, il était là et il s'occupait de moi, je vins alors à me mordre la lèvre inférieure tout en poussant un énorme soupir. Il venait de s'être attaqué à la chose la plus défendue du monde, l'intimité d'une femme. Et je dois dire qu'il savait s'y prendre. Il avait déjà du le faire, non c'est même sur. Qu'avait-il fait ? Il avait prit une de mes mains pour la mettre contre son entre-jambe, je sentais encore une bosse mais encore plus volumineuse cette fois-ci. Il avait envie que je découvre ce qui se passait à l'intérieur, et moi j'étais impatiente de le découvrir aussi. Finalement ma cicatrice au bras droit ne le fit pas fuir, et bien heureusement d'ailleurs. C'était mon oncle qui me l'avait faite, car je n'avais pas obéi aux ordres. Elle était grosse et moche. C'était un serpent qui enroulait tout mon bras, et dans mon pays, le serpent signifie la déloyauté.
Sa main continuait de caresser mon abricot tout gonflé maintenant et que faisait-il ? Il le porta à sa bouche pour y goûter ? Je le regardait faire avec de grands yeux, le regardant me narguer quand il me disait que j'avais bon goût. Mais bon goût de quoi ? Décidément j'étais vraiment perdue dans le langage sexuel, mais je savais que j'allais apprendre très vite. C'était à mon tour maintenant, je montais sur lui comme la première fois, et j'embrassais ses lèvres, les mordillant parfois pour l'exciter davantage. Ma main venait caresser son torse pour doucement, lui ôter le haut qu'il portait, découvrant enfin le torse d'un humain, il était dur et chaud, c'était agréable au toucher et mon sourire continuait à envahir mon visage à chaque fois que j'embrassais ses lèvres et que je toucher son corps. Si beau. Avec mon autre main, je caressais son entre jambe, sentant que c'était dur et chaud comme son torse. Qu'est-ce que ça pouvait bien être ? En tout cas, j'aimais beaucoup y toucher.
"Tu... Tu veux bien me faire découvrir ce que c'est que de coucher avec un homme... ?" Lui dis-je en rougissant.
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Tout cela, il l'appréciait. Tout cela, il y goûtait, avec un plaisir certain. Cela faisait si longtemps qu'il n'avait pas goûté aux plaisirs de la chair du sexe opposée. Certes, elle n'était pas humaine, mais où était le problème ? Des créatures surnaturelles, il en voyait tout les jours, de toutes les couleurs, de toutes les envies. Elle était bien plus humaine que la moyenne ! Elle avait quoi ? Des ailes ? Des yeux rouges ? Une cicatrice ? Physiquement, quasiment rien ne clochait, elle était aussi humaine que lui. Et mentalement ? Elle ne l'a pas attaquée à vue, n'a pas brûlé une maison et n'a pas dévoré les enfants. Elle semblait gentille, ou au moins douce par rapport à la planète Terre. Elle semblait là pour apprendre, en reconnaissance, pour faire évoluer ses capacités, pas pour tué. De plus, sa planète n'avait jamais été hostile envers les terriens, il en avait vu des démons comme eux. Certes dur dans leurs mondes, mais n'ayant pas des... Besoin de grandeurs allant jusqu'à la conquête intergalactique.
Par conséquent, oui, s'il ressentait des choses pour elle il n'en avait pas honte. Ce soir, il allait le faire avec une démone, et il envoyait l'église se faire voir. C'était leurs soirée, et rien ni personne ne pourraient les empêcher de ne faire qu'un cette nuit. Elle en avait envie. Il en avait envie. Et même si le monde ne le voudrait pas, c'était pareil. Dommage pour le monde, hein ? Enfin, qu'importe. Le gros soupir de plaisir qu'elle laissa s'échapper fit frisonner entièrement l'investigateur, lui donnant... Des forces. En effet, de cette manière, cela l'encourageait à continuer, à aller plus loin, à briser ses propres limites. Ce soupir montre qu'il est sur la bonne voie. Et tant mieux, il compte continuer à l'être, et à marcher dans les pas du plaisir. Dans les pas du plaisir d'Ayane.
Il sentit sa main contre sa bosse, ne demandant qu'à être découverte. A sa petite surprise, elle ne tenta même pas de le caresser, l'effleurant simplement. Ni même d'aller vérifier de plus près. Elle avait peur ? Il haussa un petit sourcil. Elle n'avait surement jamais vu un sexe masculin de sa vie. Oh. Il se demandait comment elle allait réagir, une fois qu'elle verra à quoi ressemble une verge. Aura t-elle peur ? Sera t-elle curieuse ? C'était une question auquel il ne pouvait répondre. Mais le temps répondrait à sa place, et de cela par contre il en était certain. Il espère juste qu'elle ne fuira pas, qu'elle n'aura pas peur... Cela risquerait d'être bizarre, autant pour lui que pour elle.
Finalement, elle se remit à nouveau sur lui. Décidément, il aimait bien quand elle faisait ça. Elle commença alors à lui caresser le torse, le faisant doucement soupirer d'aise. Il l'aida néanmoins à enlever son haut, même si elle n'avait très certainement pas besoin d'aide. Mais qu'importe ! Et ensuite, elle laissa sa main caresser son entrejambe. A ce moment, un nouveau frisson parcourra son corps, et il laissa un soupire de soulagement s'échapper de ses lèvres. Enfin elle touchait à cette endroit, faisant légèrement gonfler la bosse qui n'avait envie qu'une seule chose : qu'on la libère. Juste après, elle lui demanda alors si... il voudrait bien lui faire découvrir ce que ça faisait, de coucher avec un homme. Cela le fit sourire, de tendresse.
« Bien-sûr, on a toute la soirée pour ça... Mais avant, tu dois voir ce qu'est le sexe d'un homme. »
L'invitation était claire : Libère cette chose dont tu ne connais pas l'apparence. Sur ce coup là, il préférait ne pas la guider, la laisser faire, et voir sa réaction. Certes, ce n'était peut-être pas la meilleure chose à faire avec une vierge qui ne connaissait pas le sexe masculin, mais il devait la laisser un peu. Trop la guider risquerait de l'habituer, et au cas où elle ne ressentirait pas la même chose que lui sur le long terme, elle aurait d'autre amants. Il ne faut pas qu'elle se loupe, il faut qu'elle regarde, apprenne, touche. Tel un enfant qui découvre un jouet, elle devait découvrir son membre en érection, et faire ce qui doit être fait.
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C'est vrai que j'étais sur lui, j'aimais bien aussi, je pouvais sentir la bosse à travers le pantalon et faut dire que ça ne déplaisait pas à mon intimité de sentir cette chose sur moi. Il fallait vraiment que je découvre ce qui se cachait à l'intérieur de son pantalon, ça allait peut-être me faire peur qui sait ? Moi qui n'avait jamais vu de sexe humain mâle. J'appréhendais ce moment et il était enfin arrivé. Il fallait que je le déshabille en fait, mais j'étais légèrement gênée de faire ça. Surtout que c'était nouveau. Je parlais vraiment trop, et mon excitation en prenait compte. Plus je réfléchissais dans ma tête, et plus je commençais à ne plus être excitée. C'est bizarre non ? Même si je sentais que j'allais le faire, j'étais réticente, et j'avoue qu'à un moment donné il en aurait marre. C'est ce que je me disais, car après tout il devait se demander ce qu'il faisait avec une femme comme moi et vierge qui plus est. Il aurait sans doute mieux valut prendre une prostituée, elle au moins aurait su ce qu'il fallait qu'elle fasse. Ne sont-elles pas expérimentées ? En tout mieux que moi.
A ma grande surprise, il était d'accord pour me faire l'amour, c'était pas vraiment une surprise puisque je le savais déjà. Mais j'en étais vraiment heureuse. Il me disait que je devais avant toute chose voir ce qu'était le sexe d'un homme, j'en fut littéralement gênée et les rougeurs sur mon visage pouvaient le confirmer. Je le regardais curieusement en haussant légèrement les sourcils, mes yeux rouges traversaient le noir des siens. Je prenais ensuite sa main, écartant son index de ses autres doigts pour venir le mettre en bouche, je le léchait en tournoyant dessus, je pouvais ainsi goûter la cyprine qui sortait de moi, et j'en concluais que ce n'était pas mauvais. Mon regard était coquin et j'avais là maintenant envie d'accéder à son sexe par tous les moyens, et quand je dis tous les moyens, c'est vraiment tous.
J'allais lui voler un baiser, tout en caressant son torse pour enfin descendre dans cet endroit si mystérieux. C'était l'heure de découvrir ce qui se cachait dessous. J'en étais contente. Je touchais et caressais son sexe à travers le pantalon pour enfin descendre et m'asseoir à côté de lui. Je le regardait dans les yeux, comme un enfant qui allait faire une bêtise. Et c'était le cas, j'allais faire une grosse bêtise, et les bêtises j'en avais fait ! Je remettais ma main, effleurant son sexe encore, pour enfin ôter doucement son pantalon, le voilà en caleçon maintenant. Même ainsi il était beau et sexy, j'allais presque enfin le dévorer. Je remontais pour l'embrasser, en descendant au fur et à mesure sur son torse pour y retourner à cet endroit caché. Cette fois-ci, j'ôtais carrément son caleçon et waouw quelle surprise !
Me voila face à face avec son sexe. Long et gros il me faisait penser à une énorme banane, je regardais sa queue avec surprise et envie. Et si je le goûtait ? Serait-ce une bonne chose ? Si c'était moi, je vous dirais que oui et je n'aurais pas hésiter à sauter dessus. Que pouvais-je dire à ce moment présent ? Rien, j'étais bien trop occupée à observer cette chose, si belle à mes yeux. Elle était grosse, oui ça on peut le dire, et comme on dit, plus c'est gros mieux c'est ! Vous n'êtes pas d'accord ? Je me disais que voila j'avais vu le sexe mâle et j'en étais fière pour une fois ! J'avais vu un sexe, mais je n'avais aucune idée sur le bien qu'il procurerait et j'allais maintenant le savoir. Je touchais et tâtais sa queue, la texture qu'elle avait me semblait être somptueuse.
"... C'est magnifique..." Lui dis-je en regardant la prunelle de ses yeux.
J'avais envie d'y goûter en fait, je ne sais pas pourquoi mais j'en avais envie, c'était comme si elle me disait "Mange moi, mange moi" Hummm j'allais enfin la goûter, sa queue... Je l'attrapa avec mes mains, voyant qu'elle prenait toute une main, puis je l'inséra dans ma bouche, elle était chaude, et plutôt bonne, hmm quelle goût exquis. Je léchais son gland, le suçotant comme une sucette et je lui donnait quelques coups de langue, comme quand je mange une glace, tout en fermant les yeux. Hmmmm que c'était bon. Je ré-ouvrais les yeux, le regardant dans les yeux en ayant les miens à moitié fermés, pour ensuite attraper sa main que je mettais sur ma tête. J'arrêtais ensuite ma manœuvre pour venir lui dire.
"Toi aussi, tu as bon goût de ce côté la.."
C'est vrai, c'était nouveau pour moi, je venais de goûter au sexe mâle et en y réfléchissant j'aimais bien et je le trouvait bien plus beau que celui d'une femme. Mais soudainement, je fus interloquée par la deuxième partie de son sexe, je voyais clairement deux grosse boules et je me demandais ce que c'était encore que ce truc. Je les attrapa alors pour les malaxer, sentant la texture qu'elles avaient et cette texture me plaisait. J'étais redevenue enfant, en découvrant une chose que l'on ne connaissait pas et que l'on s'apprêtait à découvrir. Et c'était fait, le sexe mâle était enfin devant moi et continuais à le caresser de ma langue, insistant sur son gland que je gobais parfois. J'aimais ça, et la mouille qui trempait maintenant mon jean en était témoin.
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C'était le moment de voir ce qu'elle allait en penser. Sans mentir, c'était un petit peu au tour d'Allen d'être nerveux. Il avait peur qu'elle le fuit, ou quelque chose dans le genre. Quand on y pense, c'est un peu ridicule, mais sait-on jamais ? Elle avait peut-être été éduquée d'une certaine manière, qui fait que de voir sa verge la rendrait plus que nerveuse, voir peureuse ? Arrêter là serait une déception à son avis, autant pour lui que pour elle. Il se demandait d'ailleurs si elle l'avait au moins déjà fait avec une femme. C'était possible, avec une servante par exemple, sans l'avis de son père. Père car, il ne savait pas qu'il était mort. Il ne savait encore réellement rien d'elle, comme elle ne savait rien de lui. Tout ce qu'ils savaient, c'était leurs attirances, leurs envies de goûter à ce plaisir à deux. Et pour le moment, c'était la seule chose qui comptait.
Finalement, lorsqu'il dit ses mots, elle haussa légèrement les sourcils. Oula. Était-ce une bonne chose ? Venait-il de lui faire peur avec sa proposition ? Sur le coup, il flippa légèrement, mais continua de simplement la fixer de ses yeux noirs. C'est alors qu'elle attrapa son index, pour le porter à sa bouche et le lécher. Cela le surprit énormément, s'attendant à tout sauf à ça. Sentir sa langue tournoyer contre son doigt était agréable, et elle était drôlement sexy lorsqu'elle faisait cela. Il eu un petit sourire, excité un peu plus, car en plus son regard en disait long. Finalement, elle semblait en avoir aussi envie, ce qui le fit soupirer de soulagement intérieurement. Comme ça, un des problèmes était réglé.
Elle lui vola alors un baiser, qui le fit frissonner doucement de plaisir, avant de caresser à nouveau son torse. Il ferma légèrement les yeux, prenant une petite inspiration en attendant de voir ce qu'elle allait faire. C'est alors qu'elle commença à descendre, tout en caressant son membre tendu caché par le tissu. Finalement, elle le sentit partir d'au dessus de lui, surement pour s'asseoir. Il ouvrit les yeux et la fixa à son tour, excité. Son regard exprimait bien son envie de faire une bêtise qu'il allait apprécié. Effleurant à nouveau son sexe, elle lui ôta son pantalon, le laissant en caleçon. Il restait une prison, mais elle pouvait déjà voir l'étendu de l'excitation qu'il avait pour elle : La bosse, volumineuse, semblait vouloir s'échapper à tout moments, exploser littéralement. Il la vit remonté, et fut heureux de profiter une nouvelle fois du doux goût de ses lèvres.
Juste après, elle refit à nouveau une descente, retirant cette fois son caleçon. Il poussa un soupir de soulagement, sa queue bondissant, tendue et durcie par l'excitation. Il profita du contact de l'air sur son chibre, la tête légèrement en arrière. Il reporta alors son regard sur elle, la voyant observer avec curiosité sa queue. Il sentait ses mains son sexe, qui le caressait, faisant frisonner entièrement son corps. Elle prit un peu plus de volume, appréciait complètement ce qu'elle lui faisait. Et pourtant ce n'était que le début ! Finalement, elle reporta son regard sur l'investigateur, le faisant frisonner de nouveau, avant de lui dire que c'était magnifique. Il soupira de soulagement. Rah ! Au moins il était sûr que son membre lui plaisait ! Elle n'allait pas fuir en courant !
Alors qu'il réfléchissait, il fut arrêté d'un coup par une douce sensation. Laissant un léger gémissement de plaisir s'échapper d'entre ses lèvres, il baissa la tête, la voyant gober légèrement sa queue. Ahh.. Il sentait ses lèvres sur la chair chaude et tendue, sa langue fouetter doucement et avec plaisir son gland qui ne demandait qu'une chose : Qu'on s'occupe de lui. De petits soupirs de plaisirs prirent la place des gémissements, son corps entier profitant du doux supplice qu'elle faisait. C'était sa première fois, la première fois que sa bouche goûtait une verge, mais elle le faisait déjà bien. Elle ne semblait même pas hésiter, laissant son instinct et son envie guider ses pas, enfin dans ce cas là plutôt de guider sa langue. Ses soupirs étaient représentatifs du plaisir qu'il prenait, un moyen de lui montrer qu'il trouvait ça bon, et en plus un moyen de l'encourager dans ce quelle faisait.
Il ré-ouvrit alors à demi les yeux avant de le fixer, puis d'attraper sa main et de la poser sur sa tête. Elle voulait surement qu'il l'aide ? Qu'il montre de manière physique son consentement, ses encouragements ? Possible. Elle le complimenta alors sur le goût de sa queue, le faisant doucement sourire. De bonheur, en premier lieu, heureux qu'elle aime ça, qu'elle apprécie. Il ne voulait pas qu'elle ai peur du sexe avec un homme. Pour qu'elle puisse avoir la meilleure soirée de sa vie. Il ne répondit pas, sa respiration et ses soupirs de plaisirs le faisaient largement à sa place. C'était si bon, si bon !
Elle reprit alors son ouvrage, léchant son gland, le gobant parfois. Elle arracha de l'investigateur un nouveau gémissement lorsqu'elle attrapa ses bourses pour les malaxer doucement, avec plaisir. Elle s'y prenait vraiment bien pour une première fois... Ses soupirs devenaient de petits gémissements, preuve qu'il aimait réellement ce qu'elle faisait. Comme pour la remercier, il glissa une jambe entre ses cuisses, et frotta doucement sa jambe contre son intimité protégé par son pantalon. Oh mon dieu, elle était trempée... Il avait tellement envie de lui faire du bien... Le temps de le faire arrivera, pour le moment il la laissait simplement faire, gouter et profiter de sa queue. Pour l'encourager à goûter " plus profondément " sa verge, il poussa légèrement sa tête. Pas de façon violente, mais douce, enfonçant légèrement son gland entre ses lèvres.
« Tu... Tu fais ça vraiment bien, Ayane... »
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En réalité, cette chose avait bon goût et j'aimais beaucoup. Cette chose qu'on appelait le sexe mâle était tout à moi et pour toute la nuit. J'allais découvrir ce qu'il pouvait bien procurer à une femme. Bientôt. J'étais devenue impatiente maintenant. C'est vrai quoi maintenant que je l'avais vue et admirée, il ne fallait qu'une seule chose à présent, qu'elle soit en moi et vite. Mais je réfléchissais en me disant que lui il éprouvait du plaisir, alors que moi rien pour le moment mise à part que j'étais follement excitée. Je me disais aussi que mon tour arriverait bientôt et fallait que je laisse le temps agir mais j'en avais tellement envie. Je ne sais pas si vous me comprenez, mais mon corps était brûlant, en ébullition je dirais. Je ressentais quelque chose de nouveau et j'étais prête à tout pour arriver à mes fins. Du moins, c'est ce que je me disais.
Je m'amusais bien avec sa queue, je la léchait et la tâtait de ma main pendant que l'autre était toujours sur ses boules que je continuais à malaxer avec plus de force maintenant. J'étais convaincue de pouvoir aller bien plus loin maintenant. Je me mettais maintenant à mordiller son sexe, tout en le léchant fermement à présent. Je retirais mes mains de son sexe, arrêtant mes léchouilles. Je regardais son chibre immense, il était gros et gonflé, puis je me dirigeait vers ses bijoux de famille que je léchais sans retenue. C'était une drôle de sensation en bouche, et pourtant je continuais à jouer avec, je les gobaient maintenant entièrement dans ma bouche, les aspirant tout en attrapant son sexe de ma main pour le caresser. Je faisais les deux en même temps, je me disais que je savais faire. Je me disais que maintenant, j'allais faire autre chose.
Sa queue était longue, grosse et dure. Je me disais qu'elle pouvait être égale à ma main si je l'a fermait. J'essaya donc, l'attrapant avec une main, je commençais à faire de longs vas et viens, sans savoir si mon geste était plaisant ou non, je me contentais de faire sans me soucier de rien. Mes gestes étaient lents au départ, puis j'accéléra ma cadence en continuant mes gestes qui devenaient plus fermes et plus rapides au fur et à mesure. Il devait apprécier que je m'occupe aussi bien de lui je pense. Ma bouche était toujours sur ses boules, je les aspiraient et les relâchaient. Waouw, je n'avais vraiment plus envie de m'arrêter. Sa jambe qu'il venait de me mettre contre mon intimité était une sorte de remerciement et c'était tellement bon que je poussa un petit soupir. A présent, ma main vint sur ses boules pour les malaxer, ma bouche venait sur son sexe, et mon autre main faisait des vas et viens sur sa queue, y insérant maintenant la langue. Il me donna un coup de main, en l'enfonçant encore plus profond. Je manquais de m'étouffer, mais je continuais encore, ma salive devenait beaucoup plus importante, et je continuais mes gestes, encore et toujours.
J'étais vraiment trempée, car ça traversait maintenant mon jean et il fallait que je l'enlève, c'est ce que je fis. J'arrêta mes mouvements, puis je me levais du canapé, en enlevant mon jean, j'étais maintenant pratiquement toute nue, le seul bout de tissus qui restait était mon string noir en dentelles que je portais ce jour-là. Fallait dire que c'était mon préféré ! Il pouvait dès à présent voir le tatouage que j'ai sur la cuisse qui se cachait derrière mon jean. J'étais littéralement gênée et je me mit à genoux entre ses cuisses en attrapant sa queue, mes yeux étaient à moitié fermés, ma salive coulait sur mon menton et je regardais ses yeux pour venir lui dire.
"Hmmm... C'est bon... J'espère que tu vas bientôt t'occuper de moi..."
Mes mots voulaient tout dire, je voulais continuer ce que je faisais, mais je me demandais si il y avait une position différente qui nous ferait profiter tous les deux...
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La soirée se passait très bien, pour le moment. Il n'y avait aucun problèmes, que des bonnes choses. Elle semblait heureuse qu'il l'accepte pour ce qu'elle est, et heureuse qu'il apprécie autant le cadeau qu'elle lui offrait. Pour l'apprécier, il l'apprécié, prenant un énorme plaisir à cette gâterie d'une débutante qui s'en sortait pourtant avec les honneurs. Son membre, gonflé, était tout à fait à l'aise contre ses lèvres. Bien-sûr, son désir n'était pas le seul à être comblé, dans peu de temps il s'occuperait du plaisir de sa partenaire, il en avait envie. Envie de goûter son intimité trempée, dégoulinante de désir pour une seule chose : Lui. C'était un désir qui brûlait. Si c'était lui, il serait déjà entrain de la prendre, là, tout de suite. Dans toute les positions possibles. Elle l'excitait à un point qu'elle ne semblait pas voir. Mais c'était peut-être la même chose pour elle ?
Elle semblait s'amuser avec sa queue. Ses léchouilles et sa très légère masturbation sur le bout qu'elle ne goûtait pas lui faisait un bien fou. Gémissant très légèrement, ses joues prenaient une teinte légèrement cramoisie dût au moment. Et dire que si elle voulait le tuer elle avait tout le loisir de le faire à ce moment précis ! Mais ce n'était même pas une possibilité envisagé par notre investigateur, qui lui faisait confiance. Entièrement. Il savait : Elle voulait la même chose que lui. Du plaisir, partagé, commun. Petit à petit, elle attrapa plus fermement sa verge chaude, et commença une masturbation plus sérieuse. Elle ne savait rien du sexe d'un homme, mais bizarrement elle le faisait par instinct, même si elle ne savait pas que cela lui faisait un bien fou. Ses doigts, qui emprisonnaient doucement sa queue l'excitait. Ses bourses furent malaxées de façon plus "sérieuse", et son gland commença à être légèrement mordillé, lui arrachant un nouveau petit gémissement. Elle s'arrêta alors, le libérant de cette douce torture.
Mais ce n'était pas terminé. Non. Elle se dirigea alors vers ses bourses, qu'elle lécha sans même se retenir, sans une once de gêne. L'instinct prenait le dessus, la faisant gober les globes de chair. Il sentait sa langue, ses lèvres. Sa queue était toujours dur, dressée vers le ciel, et son action ne faisait que la durcir plus encore. Sa main revint sur son chibre, l'excitant à nouveau via ses doux mouvements. Entourant de nouveau sa queue de sa main, elle recommença sa masturbation, qu'elle accéléra petit à petit. Oh mon dieu, que c'était bon... Et son plaisir n'était pas terminé. Lachant finalement ses bourses, elle s'attaqua de nouveau à sa queue avec sa belle bouche, le faisant gémir de plus belle. A l'aide de sa main, il l'aida à enfoncer sa queue plus profondément, alors que la partie émergé était toujours masturbé avec insistance. Oh bordel, était-elle vraiment vierge ? C'était une question qui pouvait se poser, devant un tel plaisir qu'il prenait
Finalement, elle arrêta, retirant sa queue de sa bouche, avant de retirer doucement son jean. D'un oeil excité, il la regarda faire, qui dévoilait maintenant ses magnifiques jambes, ses hanches à en faire baver un prêtre. Tout ce qui lui restait était un string sexy noir, à dentelles. Un rapide coup d'oeil lui fit remarquer le tatouage, présent sur sa cuisse. Elle semblait gênée, avec un petit air tellement adorable. Elle le faisait fondre, ma parole ! Attrapant sa queue de nouveau, sa salive coulait de son menton, et son regard l'excitait encore plus. Elle exprima son plaisir quant à ça, avant de dire qu'elle espérait qu'il allait bientôt s'occuper d'elle. Cela voulait bien-sûr tout dire : Elle voulait qu'on s'occupe de sa chatte trempée. Une position pourrait tout à fait leurs faire du biens, aux deux personnes..
L'attirant à lui, il l'embrassa langoureusement, comme pour la remercier. Un baiser long, fougueux, où sa langue alla rejoindre furieusement sa conjointe, comme si cela faisait des années qu'ils ne s'étaient pas vu. Au bout d'une dizaine de secondes, il retira ses lèvres, la bouche encore ouverte, relié à celle de la belle par un mince filet de salive. Il n'avait pas besoin de mots, son simple sourire suffisait. Bien sûr qu'il allait s'occuper d'elle. A son tour de prendre son pied. Il commença alors à essayer de la tourner, comme pour lui montrer quoi faire. Le 69, une position idéale, permettant aux deux personnes de se donner du plaisir. Il la laissa faire, au dessus de lui, se tourner pour faire face à sa queue. Quant à l'investigateur, il se retrouvait entre ses cuisses, et au dessus de lui se trouvait sa propre cible : Son intimité trempée.
Pas besoin de retirer son sous-vêtement pour voir à quelle point elle était excitée. Les goûtes de mouilles qui traversaient son string pour tomber contre son visage prouvait la véracité de son excitation. Il glissa ses mains sur ses belles fesses, qu'il caressa doucement, avant d'écarter le sous-vêtement de sa partenaire.
« Tu es trempée ma belle... J'ai vraiment envie de te goûter directement... »
Et comme pour exaucer son propre souhait, il leva la tête, et lécha directement la chatte trempée d'Ayane. De haut en bas, récoltant la mouille dégoulinante, qu'il se délecta avec délicatesse. MMhh.. Elle avait si bon goût. Il se régalait. Sans crier gare, il enfonça d'un coup sa langue à l'intérieur de son intimité, la faisant se mouvoir à l'intérieur. En même temps, une de ses mains caressa ses fesses doucement, osant une légère tape sensuelle. Pour le moment, seul le plaisir d'Ayane comptait : Il léchait l'intérieur de son sexe, profitant de son goût, avant d'entamer un mouvement de vas et viens, faisant rentrer et sortir sa langue à chaque fois. Que c'était bon, rien que ça l'excitait à un point... C'était néanmoins visible par son membre, encore plus dur qu'avant, dressé vers le visage d'Ayane.
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C'est vrai que la soirée se passait bien, j'étais avec un bel homme au corps sexy, j'étais à moitié nue devant lui et même si j'étais gênée d'être pratiquement dévêtue, je voulais qu'une seule chose : Lui, enfin son corps entier. J'avais toujours sa queue dans ma bouche, quel bon goût elle avait ma parole ! Ma main s'occupait toujours de ses bijoux de famille, tandis que l'autre faisait toujours des vas et viens. En fait, je n'arrivais plus à contrôler mes mouvements, il fallait que je lui fasse du bien car je savais qu'il allait m'en faire à son tour. J'attendais impatiemment, je me disais qu'il fallait que je me surpasse, que je l'excite encore plus car après tout un bon travail mérite un bon salaire non vous n'êtes pas d'accord avec moi ? Dans ce cas présent il ne s'agissait pas de salaire mais de plaisir, si je lui faisait grandement plaisir, il me ferait également grandement plaisir à son tour, une fois que j'aurais terminé ma série de vas et viens sur lui. Ou peut-être en même temps que je le mangeais ?
J'avais le temps de réfléchir à ça en lui faisant ce que je faisais, ça prenait du temps et heureusement d'ailleurs, je voyais au moins qu'il prenait son pied et pas qu'un peu. Rien que ses soupirs et ses gémissements me donner envie de continuer, je savais que je lui faisait du bien, et j'en étais fière. Pour la première fois que j'faisais ça, je le faisais plutôt bien je trouvais. Et il avais l'air d'apprécier, c'est ce qui comptait le plus à mes yeux. C'était son plaisir, à lui seul. Je lui faisait confiance, et je savais qu'il allait bientôt passer aux choses sérieuses avec moi. C'était une question de temps. Je pensais trop à mon goût, vraiment trop. Je devais simplement patienter et adorer ce que je faisais, mais je mentirais en vous disant que je n'aimais pas. Au contraire j'adorais et croyez-moi, je ne voulais pas me séparer de sa queue. Je me disais que d'avoir un homme à ses côtés dans la vie de tous les jours était le pied. C'est vrai non ? Il nous ferait l'amour tous les jours, tout le temps... Que demander de plus ?
Et puis il vint m'embrasser après que j'ai lâché son membre, le gardant tout près de moi au cas-où. C'était un doux baiser, me remerciait-il ? Le baiser n'a duré pas longtemps, mais j'appréciais chaque seconde, entremêlant ma langue avec la sienne. Je m'étais habituée maintenant, j'adorais ça et j'en avais besoin. Il m'attrapa alors pour me basculer sur lui dans une position qui me choqua d'abord et qui m'intimidait après. En fait, il était en dessous de moi, ma tête était en face de son sexe, et la sienne en dessous du mien... Je sentais que je mouillais beaucoup et que ça coulait sur le visage de mon amant. Je me mit à rougir et je sentais une onde de frisson parcourir en moi quand il écarta mon string. J'étais vraiment gênée, car à cet instant, mon corps entier lui était dévoilé. Et quand je dis mon corps, je parle de la tête aux pieds. Je me mordait la lèvre quand il disait qu'il allait me goûter directement, j'étais parée et j'attendais plus que ça, et il allait le faire.
Je ne sais pas expliquer la magnifique sensation que j'éprouvais quand il lécha mon intimité, je sentais sa langue chaude qui me caressait, il partait d'en haut pour redescendre avant de l'insérer en moi. Je ne pu m'empêcher de pousser un énorme soupir... Mes jambes tremblaient à en tomber. Il était en train de faire un énorme bien et pour le remercier, je goba son membre et commençait à faire des vas et viens, je savais faire, et je n'avais plus aucune retenue, ni aucune gêne à présent, ma bouche accélérait et j'adorais le bruit qu'elle faisait. J'y allais plus fort et plus profondément, j'inséra son membre au plus profond de ma gorge, lui faisant ainsi une gorge profonde qui dura une dizaine de secondes, et je ressortais son membre, car quand il me léchait, mon plaisir était bien trop grand pour réussir à le manger en même temps, faire les deux était plutôt chaud, mais j'essayais même si parfois je m'arrêtais. Je profitais de cet instant pour venir lui dire.
"Hmm c'est tellement bon... Si tu savais à quel point... Hmm"
Ma voix était toute petite et très aiguë, je n'arrivais presque pas à parler, je soupirais bien trop pour ça. Ma main s'occupait de le masturber et ma bouche beh elle s'occupait de soupirer... La sensation était insupportable, pas en mal bien sûr, mais je n'arrivais maintenant plus à rien, mon corps en entier tremblait. Je me redressa pour aller l'embrasser et pour venir lui dire.
"Je suis désolée, mais je n'arrive pas à te manger, pendant que tu le fais, tu me fait énormément de bien... Et mon corps peut te le prouver..."
Je commençais à être accro à ce bien qu'il me procurait, et pourtant je n'arrivais pas à supporter les deux. J’espérais simplement ne pas l'avoir déçu en lui disant ça, mais c'était la vérité et je voulais trouver une solution, même si je ne savais pas laquelle. Je me contentais de le regarder avec envie, pendant que je bouillonnais de l'intérieur.
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Pour le moment, plus que son propre plaisir, c'était celui de sa partenaire qui l'intéressait. La fellation précédente l'avait diablement excité, réveillant ses envies de sexe bestiale qu'il avait refoulé ses dernières semaines. Même si c'était sa première fois, il comptait bien prendre son pied jusqu'à la fin et la fatiguer au plus haut point. Mais c'était une démone, et ses derniers ont des dons par rapport aux plaisirs de la chair. Il savait bien qu'elle résisterait à tout ça, et même mieux : qu'elle adorerait ça. Il voulait lui faire prendre son pied, la voir jouir, gémir, et le supplier de la prendre, dès qu'elle aura bien-sûr découvert ce que "prendre une femme" signifie, et quel plaisir ça met en compte sur le grand jeu de l'amour. Cette nuit là sera sous le signe de l'amour bestial, celui d'un homme et d'une démone vierge. Démone vierge... c'était drôle dit comme ça. Mais quelle fierté de lui montrer les plaisirs de la chair.
Son début de cunnilingus semblait lui plaisir. Il sentait, entre ses doigts, ses jambes trembler de plaisir. Cela l'excitait encore plus, si c'était possible. Ses petits bruits étaient sexy, et sentir son corps trépasser sous sa langue était tellement bon. Il était fier de ce qu'il faisait. En même temps, c'était la première fois que quelqu'un la léchait. Ou peut-être pas ! Peut-être avait-elle eu des expériences lesbiennes auparavant ? Possible, vu qu'elle savait au moins ce qu'était le sexe. Mais dans tout les cas, même si elle s'était déjà faite lécher, elle appréciait avec un plaisir certain sa langue qui jouait à l'intérieur de sa chatte. Mmmhh. Elle mouillait tellement, on aurait dit une fontaine ! Mais cela ne dérangeait en rien l'investigateur, qui buvait avec gourmandise sa mouille, preuve de son excitation.
Et c'est qu'elle finissait par se lâcher. Elle goba alors le membre d'Allen, lui faisant retirer sa langue sous le plaisir, avant de faire des vas et viens rapides dessus. Oh bordel, elle commençait à avoir de la technique. Malgré le plaisir certain qu'il prenait, il repartit à l'attaque de son fruit défendu, ré-enfonçant sa langue comme si c'était sa queue, et reprenant ses mouvements, au même rythme que les siens. Il se retint de gémir lorsqu'elle entama une gorge profonde, mais oh putain que c'était bon ! Allen ne pouvait lui dire, mais ses petits coups de reins léger et tremblants montraient à sa place son plaisir. Roh, et puis bon, sa queue dure et chaude pour elle était une preuve bien assez suffisante !
Finalement, alors qu'il accélérait son travail, elle lâcha sa queue. Elle semblait prendre beaucoup trop de plaisir pour pouvoir continuer sa fellation. Cela le fit sourire, c'était trop mignon. Mais ses mots disant que c'était bon à un point qu'il ne pouvait pas savoir l'excita et l'encouragea à accélérer, toujours en caressant ses fesses. Mais au bout de quelques minutes, de cunnilingus pour lui, et de masturbation pour elle, elle fini par se retourner pour l'embrasser, l'arrachant à son petit plaisir. Il profita néanmoins du baiser, comme à chaque fois, avec un plaisir tout aussi bon. Elle s'excusa alors de pas pouvoir faire les deux en même temps, le faisant légèrement rire.
« Mmhh, ne t'en fais pas. Je prend un pied pas possible rien qu'en te léchant... Tu vas voir, ma langue va te faire jouir comme jamais... » Dit-il d'une voix suave.
Il fini par attraper ses épaules, et tel un mâle dominant, il la renversa sur le canapé. Il se mit au dessus d'elle, observant d'un oeil pervers son corps si beau, caressant ses formes du bout des doigts. Il vint à nouveau l'embrasser, avant de lécher ses lèvres et de lui faire un clin d'oeil, similaire à un "laisse moi faire". Il embrassa alors son cou, et laissa doucement glisser sa langue le long de sa peau. Petit à petit, il descendait. En premier lieu, il arriva vers sa poitrine, la langue toujours collée à sa douce peau. Poitrine qu'il lécha légèrement, sans s'y attarder, comme pour faire languir son téton. Il continua à descendre, doucement, arrivant au bassin, et continua.. continua..
Glissant ses mains vers ses jambes, il écarta alors lentement ses cuisses à mesure qu'il descendait. Il arriva finalement là où il voulait : Son abricot de plaisir. Il lui lança un regard agicheur, et sans crier gare commença à le lécher, de petits coups. Pendant ce temps, deux doigts entrèrent d'un coup dans sa chatte dégoulinante, et commencèrent alors à bouger rapidement. Pendant ce temps, ses lèvres attrapèrent son clitoris et il commença doucement à le suçoter, pendant que ses doigts accéléraient. Il s'arrêta quelque secondes pour lancer
« Lâche toi ma belle Ayane, je veux t'entendre comme tu m'as entendu.. »
Et il recommença, reprenant son clito en bouche pour s'amuser avec, le titiller de sa langue.
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Il y a quelques minutes, mon corps n'arrivait pas à supporter le 69, j'adorais le manger pourtant, mais je ne supportais pas qu'il le fasse en même temps, encore une fois non pas en mal, mais la sensation était bien trop forte et bonne pour mon petit minou qui n'avait pas été touché depuis plusieurs années maintenant. J'avais peur de l'avoir déçu, et je me disais qu'il en aurait eu marre et aurait tout arrêté à cause de ça, et encore je parlais trop sans même savoir ce qu'il pensait réellement. Alors je m'étais dit que j'allais encore une fois lire en lui même si la sensation n'était pas agréable. C'est ce que je fis, pendant une minute, je visualisais ses pensées, ne voyant que de choses agréables. Je voyais qu'il était excité, en même temps je l'étais aussi. Je voyais que je l'excitait au plus haut point et un sourire se dessina sur mon visage. Il n'était pas déçu au contraire, il adorait ce que je faisais et je pense qu'il avait deviné ce que moi je ressentais. C'était bien plus que ce que je ne pensais. Maintenant je savais que je lui plaisais.
C'est ainsi que je me disais qu'il fallait que je mette ma gêne et ma réticence de côté pour me donner entièrement à lui, et quand je dis entièrement c'est vraiment le mot exact de ma pensée. Alors je l'avais fait, j'étais maintenant prête à tout encaisser. Sa phrase me fit rire quand il me dit qu'il prenait son pied rien qu'en me léchant... Et qu'il allait me faire jouir comme jamais... J'adorais le ton qu'il avait prit en disant cette phrase. Je regardais le noir de ses yeux en me disant que j'étais tombée sur quelqu'un de très bien et de magnifique. Pour être magnifique il l'était, même si je n'avais pas vraiment vu d'autres hommes humains, c'était avec lui que je me donnais, c'était lui ma première fois et c'était certain que je ne l'oublierais pas, ah ça non. Même si je redoutais la fin de cette rencontre et que je me disais qu'après ça je ne le reverrait peut-être plus jamais.
C'était un peu trop tôt de penser à ces choses là étant donné ma situation dans laquelle j'étais, mais c'est vrai que ça me travaillait pas mal. Je lui demanderait peut-être de rester chez lui encore quelques jours qui sait ? En tout cas j'étais la et dans ses filets. Et je ne me plaignait pas, en même temps il n'y avait pas de quoi se plaindre. C'est alors qu'il m'attrapa les épaules pour me basculer sur le canapé, wah mais il foutait quoi ? Et je le voyais faire, il vint embrasser mes lèvres, puis il me fit un clin d'oeil et vint de nouveau embrasser mon cou, puis il descendait le long de mon corps en effleurant doucement ma poitrine de sa langue. Son chemin continuait pour arriver devant mon intimité. Il écarta alors mes jambes, tout en me regardant avec son regard tellement intense. Il s'apprêtait à me dévorer, je serra alors les poings, me disant qu'il n'allait pas tarder à me... Han... Il avait commencé avant même que je n'termine ma pensée. Les poings serrés, je fermais les yeux tout en penchant la tête vers le haut. Il était sur ce qu'on appelait : le fruit défendu. Pourquoi ces mots, moi même je ne sais pas, mais pour vous dire c'était la partie de mon corps la plus sensible, et rien qu'en le léchant comme il le faisait, ça faisait frissonner tout mon corps.
Il me mangeait ce petit bouton rose, mon corps tremblait entièrement. Et c'est à ce moment que je poussais un énorme soupir, quand il entra deux de ses doigts en moi... Je peux vous dire que là plus d'un voisin serait mécontent du bruit que je faisais. Je soupirais, puis je gémissais à la fois et je criais quand il accéléra ses mouvements. Il me dit alors de me laisser aller et qu'il voulait m'entendre comme il l'avait fait. Mais n'était-ce pas ce que j'étais en train de faire ? Mes gémissements devenaient plus importants au fur et à mesure de ses vas et viens et de son suçotement sur mon petit abricot qui commençait d'or et déjà à gonfler. Je n'en pouvais plus, j'agrippa de mes mains ses cheveux et sa tête pour l'approcher encore plus de ma chatte et je sentais légèrement ses dents sur mes grosses lèvres, ce qui m'excitait encore plus. Je mis ensuite mes pieds sur ses épaules, pour que mon intimité soit à sa hauteur et je lui dit.
"Hmmm... Oui comme ça... Hmmmm mange moi... Hannnhhhnnn"
Mes mots voulaient tout dire, je voulais qu'il me mange, qu'il me bouffe, qu'il me dévore. Je me disais que ma première fois avec un homme était magnifique, franchement que demander de mieux. J'étais bien et mes gémissements en disait beaucoup sur ce que je ressentais à cet instant... Je me mordais la lèvre et puis je le regardait faire, c'était encore mieux de le regarder me manger au moins je pouvais voir qu'il aimait ça et que moi j'adorais aussi. Je continuais encore et encore à gémir de plus belle, je plaça deux de mes doigts sur ma bouche attrapant de la salive au passage pour ensuite les diriger sur mon téton que je frotta doucement. J'étais excitée et je voulais qu'il le sache vraiment. Une première fois ça ne s'oublie pas et je voulais bien lui faire comprendre que je n'allais pas oublier et loin de là.