Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Shani Stevens le dimanche 30 juin 2013, 11:17:36

Titre: [FINI] Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Shani Stevens le dimanche 30 juin 2013, 11:17:36
« Tout va bien, Mademoiselle Stevens ?
 -  Oui... Merci beaucoup.
 -  Je vous en prie. Voici votre repas pour ce soir... »

Clignant des yeux, Shani s’appuya sur les bras, entreprenant de se lever. Elle était allongée sur un lit, et coupa la télévision, mettant fin au journal télévisé, de toute manière sans grand intérêt. L’infirmière était une belle Orientale, une Japonaise polie, qui l’avait salué à l’occidentale. Elle se rapprocha, amenant son plateau-repas, et Shani se redressa, et mangea. Elle avait une chambre individuelle, et n’avait donc pas à se battre pour la télé. L’infirmière en profita pour consulter la fiche du personnel, puis lui indiqua qu’elle reviendrait dans un quart d’heure, afin de récupérer le plat, et de l’inviter à dormir. L’hôpital, c’était vraiment barbant... Mais elle n’avait pas le choix. Elle avait eu un accident qui avait nécessité, il y a deux jours, qu’elle se fasse hospitaliser. Elle faisait tranquillement du vélo quand une voiture avait manqué la renverser, en pleine descente. Déstabilisée, Shani avait perdu le contrôle de son vélo, et avait heurté un mur à l’épaule. Elle s’était fait mal, et avait fini à l’hôpital. Il y avait eu une opération, et quelques points de suture sur son épaule, mais les médecins avaient noté qu’elle se rétablissait extrêmement bien. Shani avait toujours su qu’elle avait une constitution de cheval. Naturellement, quand on avait dans les veines le sang d’Eros, on trouvait là une explication simple.

Elle sortirait demain. L’hôpital avait décidé de la garder encore une nuit, et Shani avait accepté. Elle aurait pu sortir, mais, en ce moment, au boulot, c’était l’enfer. Les examens se rapprochaient, et il y avait quantité de dossiers à gérer, de salles à préparer. Une activité dense et intense qui faisait qu’elle avait de grosses journées particulièrement remplies. Au moins, si l’hôpital était ennuyeux, elle n’avait pas à s’angoisser derrière son bureau en se perdant dans des dizaines de tableaux interminables. Et puis, elle allait mieux. Il y a quelques heures, elle avait couché avec l’une des infirmières. C’était le meilleur signe qu’elle se portait bien, non ?

*Mais, pour autant, j’ai hâte de retrouver mon appartement...*

Elle y songeait silencieusement, et l’infirmière revint. Shani lut ensuite un peu, et, une fois qu’elle fut seule, elle se masturba intimement, en pensant à ces belles infirmières dans leurs uniformes sexy. Elle s’endormit au bout d’une demi-heure, après avoir eu un bel orgasme, léchant ses propres doigts inondés de mouille. Une manière délicieuse de s’endormir, en s’assurant qu’on ferait de beaux rêves.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 08 juillet 2013, 21:14:08
Le crépuscule laisser peut à peut place à la nuit dans ce petit quartier tranquille.
Au loin une forme sombre avancer en titubant quelque peu, cette ombre c'était celle de la duchesse...

cette douce nuit hivernal l'avait pousser à sortir de son terrain de chasse habituelle, élargissent ainsi ses horizons macabres.
Elle déambula deux longues heures avant de tomber sur un endroit qu'elle ne connaissait que trop bien...

coucou toi ! dit elle avec un large sourire au lèvres

La duchesse était face à l’hôpital qui avait fait sa renommé, la ou la belle avait tuer de sang froid ses 6 premières victimes... cela la rendit d'ailleurs quelque peut nostalgique...

Puis tout à coup, une idée lui traversa l'esprit !
Pourquoi ne pas entrer ? avec un peu de chance seulement quelque internes serait de services...

Un petit regard à gauche, puis à droite, pour enfin avancer vers le lieux ou tout à commencer.

Lucrezia regarda très brièvement à travers la vitre, il y avait une jeune femme à l’accueil... elle sembler plonger dans la lecture d'un bouquin assez volumineux.
Elle entra discrètement dans le hall d'entrée avant de tranquillement avancer vers les étages supérieurs.
L’hôpital était très peu éclairer à cette heure ci, il était donc très simple de se faufiler sans éveiller l'attention de la jeune femme à l’accueil, c'est donc sans mal que lucrezia parvint à montez à l'étage.

La tueuse avançait à pas de loup en regardant par la vitre des chambre, histoire de choisir qu'elle malheureuse victime aller subir ses pulsions malsaines.

après un petit quart d'heure elle finit par enfin trouvée une proie à son gout.
la jeune femme était endormie surement en plein milieu d'un doux rêve qui n'aller pas tarder à se transformer en cauchemars.
Lucrezia jeta un petit coup d’œil aux alentours avant d'entrer dans la chambre de de refermer la porte derrière elle.

Elle s'avança silencieusement auprès de la belle endormie, elle débrancha le fil de l'alarme avant de lascivement s’asseoir sur le bord du lit puis... d'approcher son visage du sien, respirant au passage son parfum

(chuchotement)
Bonsoir ma belle, je viens pour les soins nocturne...


Suite à cela, elle lui lécha l'oreille, avant de se redresser...






 
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Shani Stevens le mercredi 10 juillet 2013, 21:55:47
Les rêves de Shani étaient tortueux, compliqués, incohérents. Un mélange d’images, de courbes, de fantasmes profonds, de soupirs, dont elle ne se rappelait rien de plus qu’une vague torpeur lointaine. Les rêves étaient difficiles à interpréter. Ceux de Shani ne voulaient rien dire. Cependant, elle descendait d’un Dieu. On pouvait donc comprendre que ses rêves soient obscurs. Il y avait néanmoins une chose sur laquelle elle s’accordait : sa chambre lui manquait. Le lit d’hôpital n’était pas spécialement confortable, et elle n’espérait qu’une chose : que la nuit passe vite. Demain, elle rentrerait chez elle, et ce serait bien mieux.

Dormant paisiblement, Shani n’entendit pas la porte s’ouvrir, ni les bruits de pas feutrés sur le sol. Cependant, ses sens aiguisés décelèrent une douce odeur... Pas de quoi la réveiller, mais suffisamment pour que son corps, inconsciemment, remue dans le lit. Elle ne sentit pas non plus la pression que la femme inconnue exerça en s’asseyant sur le rebord du lit. Quand le souffle de ses lèvres heurta son visage, Shani commença lentement à émerger, mais, indiscutablement, l’élément décisif, celui qui l’arracha de ses songes embrumés, ce fut le glissement de la langue de la femme sur l’une de ses oreilles. Ceci entraîna une sorte de frisson, de réflexe inconscient qui créa comme une explosion dans l’esprit de Shani. Son rythme cardiaque s’emballa nerveusement, et elle ouvrit alors les yeux.

Dans l’obscurité de la nuit, il fallut attendre plusieurs secondes pour que ses yeux s’attendent, mais elle sentit d’emblée qu’il y avait quelqu’un d’autre dans sa chambre, et que ce quelqu’un d’autre ne pouvait pas être un membre du personnel-soignant. Un patient s’étant échappé de sa chambre ? Et qui lui aurait... Léché la joue ? Cette théorie était légèrement farfelue, mais, sur le moment, ce fut la seule qui traversa l’esprit de la secrétaire... La seule, jusqu’à ce qu’elle devine des courbes très féminines, moulées dans une robe d’infirmière qui avait plutôt l’air de sortir d’un sex shop, remontant jusqu’à une grosse poitrine. Les yeux de Shani continuèrent leur progression ascendante, de bas en haut, et elle vit, près de son visage, un visage avec des lèvres bleues, et des yeux acérés... Dont elle croyait discerner, dans la nuit ambiante, une lueur de malice.

*Une infirmière ?*

Elle en avait l’apparence, mais quelque chose sonnait faux... Outre le fait d’être réveillée en pleine nuit, bien sûr. Les réflexions que Shani se firent, concrètement, ne durèrent pas plus de cinq secondes, le temps que son regard glisse le long de son corps.

« Qui... Qu’est-ce que vous faites là ? » lâcha-t-elle alors, sur un ton de voix légèrement nerveux.

Mine de rien, même quand on s’appelait Shani Stevens, et qu’on avait la libido d’un babouin en rut,  être réveillée en pleine nuit par une fille qui avait l’air de ressembler à une dingue n’était guère rassurant... Et ce d’autant plus que Shani n’était pas surveillée de manière étroite par le personnel hospitalier, son état de santé né le justifiant pas.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le samedi 13 juillet 2013, 12:39:05
Lucrezia était surement l'une des psychopathe les plus dangereuse, voir, LA ! psychopathe la plus dangereuse  de cette ville, certes c'est quelque peut orgueilleux de dire cela, mais au fond il faut bien avouer que son palmarès et particulièrement bien fournie, la police dénombre une trentaine de meurtres, MINIMUM ! à son actif et cela sans compter ses six premières victimes ni même les quelques rares personnes à avoir survécus à ses "soins"
 
Drogues, bistouri, dissections et libido dévorante, voila en quelque mots se qui tournée dans la tête de lucrezia 24h sur 24... ça et quelque autres petites choses...
Pour elle la médecine ne devrais pas s'enticher de sentiments et autres niaiseries dans le même genre, mais peut on seulement parler de médecine ?
Trucider de pauvres femmes et jeunes filles au coin d'une ruelle n'était en rien de la médecine, juste le fantasme morbide d'une pur cinglée.
Cinglée ? certes ! mais une cinglée doter néanmoins d'une incroyable intelligence, capable de retourner l'esprit de bien des personnes et tournée bien des situation dites "critique" à son avantage.
Sans compter ses connaissances sur la chirurgie, la psychiatrie ainsi que sur les drogues et les poisons de se beau monde.
Ces connaissances elle compter une nouvelle fois les mettre en applications ce soir, dans cette hôpital, comme au bien vieux temps...

La jeune patiente surprise par le coup de langue de la duchesse se réveilla d'un bon, la toisant par la suite de bas en haut avec inquiétude.

« Qui... Qu’est-ce que vous faites là ?    

Je viens pour un petit...hmm...comment dire ?... Examen gynécologique, oui ! voilà, s'est ça, un examen gynécologique ! dit elle en enfilant sa paire de gants en latex

Je dirait même un examens très...très...très...approfondie ! ihihihi!    

Puis, dans un grand geste, Lucrezia attrapa violement les joues de la jeune femme de sa main droite avant de lui lécher les lèvres.

T...Tu a peur...hm ? se sont les cicatrices n'est ce pas...t..tu veux savoir comment je les ais eu...hm ?  souffla t-elle en glissant légèrement sa mains dans sa petite sacoche afin de se saisir d'un de ses scalpels. 
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Shani Stevens le dimanche 14 juillet 2013, 18:29:21
Shani n’avait pas entendu ce que cette femme avait dit. Qu’est-ce qu’elle fabriquait ici ? Un examen ? Impensable ! Pas à cette heure... Et... Gynécologique ? Shani n’était pas enceinte ! Est-ce qu’elle rêvait, qu’elle hallucinait, qu’elle était en plein délire, en train d’être en réalité de train de manger son vomi dans les toilettes ? Non... Non, les sensations étaient bien trop réalistes pour appartenir au monde du songe, et, de plus, elle ne se sentait pas en train de planer. Une femme superbe, avec un air de folle tordue, et des obus à la place de seins, l’avait réveillé en pleine nuit. Pénétrer dans un hôpital public n’était pas exceptionnellement difficile. L’endroit était surveillé, certes, mais l’hôpital central de Mishima était très grand, et il n’y avait pas assez de vigiles pour en surveiller tous les recoins. Shani était avec une espèce de cinglée sexy, qui se mit à lui lécher les lèvres, se rapprochant de très près d’elle.

Un gémissement bref s’échappa des lèvres de Shani, qui remua un peu la bouche. Elle avait une poigne ferme, cette femme. Sa main lui serrait les joues comme si sa tête était prise dans un étau, et l’infirmière n’osait rien faire. La secrétaire cligna des yeux, tout en continuant à observer le corps de la redoutable femme se faisant passer pour une infirmière. Elle se mit à lui parler, et Shani n’osait pas parler. Elle avait effectivement peur, mais était-ce si surprenant ? Une folle venait de la réveiller, et l’esprit de Shani, paniqué, revenait à elle. Lentement, elle prenait peu à peu conscience de ce qui lui arrivait, et poussa un nouveau soupir.

« Je... Euh... »

La femme en blouse avait parlé de « cicatrices ». Quelles cicatrices ? Dans l’obscurité, Shani n’avait rien vu, et ne sentait rien d‘autre que le contact des gants blancs... Ainsi que la salive de la femme, qui avait titillé ses lèvres. Bien malgré elle, Shani ressentait des frissons dans tout le corps. Elle ignorait qui était cette femme, mais elle était plutôt belle.

« J’aimerais savoir... Qui vous êtes, et ce que... Vous me voulez... »

Elle parlait d’une faible voix, anéantie par l’angoisse qu’elle ressentait, et se tortilla un peu sur le lit. Shani n’imaginait pas qu’un vigile viendrait pour l’aider. Elle était seule face à cette mystérieuse femme, un peu cinglée sur les bords, et déglutit à nouveau, avant de reprendre, cillant des yeux à plusieurs reprises.

« Vous... Vous ne faites pas partie du personnel médical, n’est-ce pas ? »

Shani posait la question, mais, en réalité, elle se doutait déjà très bien de la réponse.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mardi 16 juillet 2013, 21:05:31
La duchesse tenait toujours aussi fermement le visage de sa victime, approchant de celle ci la lame de son scalpel.
 La pauvre jeune femme était angoisser par la situation, elle gesticuler vainement dans on lit tendit que lucrezia
commence quant à elle à faire délicatement glisser sa lame contre la joue de la jeune femme.


La jeune femme poussa un léger soupir avant de se remettre à parler d'une voix faible.

« J’aimerais savoir... Qui vous êtes, et ce que... Vous me voulez... »

Lucrezia émit un petit sourire avant de lui répondre tout en  lui caressant le visage de sa main gantée.

Qui je suis ?... Je suis la duchesse voyons ! tout les médias parle de moi et de mes meurtres.
Ce que je veux de toi ?... Te violer.... puis te tuer.


Elle lui fit par la suite un léger baiser sur le front avant de commencer à faire descendre sa main au niveau des seins de sa victime.
Qui quant à elle rétorqua avec une autre question.

« Vous... Vous ne faites pas partie du personnel médical, n’est-ce pas ? »

Lucrezia cessa un instant ses caresse avant de pousser un ricanement lugubre.

J'ai... autrefois fait partie de cette hôpital... ma ne t'en faire pas ma douce, je serais prendre soins de toi et de ta petite chatte.

d'un geste vif elle déchira le soutif de la jeune femme mettant ainsi à nue sa magnifique poitrine.
Puis elle se saisit alors du seins droit de la jeune patient et se mise à le tétais avec avidité.

Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Shani Stevens le mercredi 17 juillet 2013, 18:55:52
La Duchesse ? Shani suivait les actualités, bien sûr, et ce nom ne lui était pas inconnu. C’était celui qu’on avait attribué, allez savoir pourquoi, à une tueuse en série. Shani ne savait toutefois pas grand-chose de l’enquête de police. Les serials killers, elle préférait les voir dans les thrillers qu’elle lisait, car elle savait que, à la fin, ils seraient attrapés, et très certainement tués. Dans la réalité, on n’en était jamais sûres, et elle ne tenait pas à se déprimer en devenant paranoïaque. Et puis, la police divulguait assez peu d’informations sur la Duchesse. Mais, quoiqu’il en soit, Shani n’avait vraiment pas de bol... La Duchesse lui annonça qu’elle allait la violer (ce qui était peu probable) puis la tuer (ce dont elle n’avait pas spécialement envie). Shani, muette et circonspecte, eut droit à un baiser sur le front, tandis que le scalpel glissait le long de sa joue, sans l’entailler. La secrétaire faisait preuve d’un sang-froid imperturbable, sans trop comprendre d’où un tel calme pouvait venir. Cette fille avait une lueur de démence dans les yeux, mais Shani ne pouvait pas nier qu’il se dégageait de cette femme un certain charme bestial et dominateur.

Elle sentit sa main se glisser vers ses seins, en arrachant l’extrémité, et Shani se mit à gémir, tout en sentant sa bouche bleue se rapprocher de ses seins. Elle se mit à la téter, et Shani poussa un gémissement, se tortillant sous le lit. Ses mains se redressèrent lentement, et elle caressa les joues de la femme, remontant le long de ses cheveux. Elle était dangereuse, et Shani ne doutait pas qu’elle n’hésiterait pas à l’égorger si elle lui en laissait l’opportunité.

« Haaa... »

Son corps la trahissait, et ses seins se mirent à durcir, les tétons pointant sous l’effet de l’excitation. Cette femme était effectivement douée, et Shani ferma brièvement les yeux, en crispant ses doigts le long des mèches de cheveux de la femme. Elle se mordilla les lèvres encore, remuant ses jambes le long du lit. Elle était écrasée sous le poids de cette femme, ce qui était une chose qui lui plaisait beaucoup.

« Je... Aaaaahhh... »

Difficile de parler, de se contrôler. La violer ? Impossible ! Shani était une véritable nymphomane, quelque chose contre laquelle elle n’avait jamais pu lutter. Son besoin compulsif pour le sexe l’avait amené ici. Elle avait même suivi une cure pour se délester de ça, de son attirance pour les belles fesses, les belles poitrines, mais sans succès... Elle en était au point qu’elle couchait parfois volontiers avec un homme qu’elle voyait dans une épicerie.

Son corps se mettait à se parcourir de vibrations de plaisir. C’était magnifique. Elle retrouvait ce plaisir ancestral qu’elle connaissait tant, le plaisir naturel et intense du sexe.

« En... Encore, hummm... Tu es si douée... » soupirait-elle.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 28 juillet 2013, 19:46:21
Des gémissement de plaisirs ? voila qui était fort étrange. Habituellement les victimes de Lucrezia pleurer, trembler mais là nan, la "patiente" semblait prendre du plaisir.
Evidament cela n'était pas pour plaire à la duchesse, s'est elle et ELLE seul ! Qui doit prendre son pied, elle arrêta alors deux secondes ses soins avant de violement plaquer le visage de la jeune femme contre le mur et de lui glisser son scalpel sous la gorge.

Ecoute moi bien toi, je sais pas qu'elle genre de trainée tu est pour apprécier te faire violer par moi, mais je peut si tu le désire te refroidir bien vite ma salope !
Je déteste quand mais victimes prennent du plaisirs alors que je ne leurs est en rien autorisé à le faire.


Suite à cela Lucrezia se tus quelque secondes avant de reprendre.

Attend voir... Tu prend du plaisir alors que je te viole ?... Mais c'est génial enf... nan attend...Bordel c'est censée être bien ou mal ?...

Elle lança un léger regard à Shani avant d'esquisser un petit sourire en coins.

Pfff quelle importance après tout, tu vas crever de toute façon...

Lucrezia lâcha la jeune femme avant d'approcher de son doux visage, son intimée gonflée par l'excitation.
On pouvait facilement deviner à travers le tissus de sa culote, ses grosse lèvres juteuses des qu'elle émanait un agréable odeur de cyprine ainsi qu'une douce chaleur animale.

Aller ma pute ! lèche donc le minou à maman ! si tu fait sa bien tu auras le droit à une petite surprise !

Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Shani Stevens le mardi 30 juillet 2013, 14:55:36
Qui était donc cette folle ? La femme aux gros seins, la Duchesse, sembla s’énerver de voir sa « victime » éprouver du plaisir, et Shani poussa un petit cri étouffé quand la main de la femme se posa sur sa gorge, la plaquant contre le lit, l’étranglant à moitié, avant qu’elle ne sente une lame froide glisser contre sa gorge. La peur s’empara de son esprit... Mais pas de son corps, ce corps qui, comme d’habitude, se dérobait à la volonté de sa propriétaire. Des frissons la traversèrent au contact de cette lame froide, au contact de cette femme belle et forte, une belle dominante qui la battrait et la punirait, exactement comme Shani aimait. Elle ne put ainsi s’empêcher de rougir en se tordant lentement sur le lit, fermant les yeux, appréciant ce moment. La Duchesse... Une femme terrifiante, qui torturait cruellement ses victimes, généralement ramassées dans le quartier de la Toussaint, où il était facile d’obtenir des proies. La voir dans un hôpital, en revanche, c’était bien plus inquiétant... Shani se mit à l’imaginer chez elle, tuant une femme sur son lit, le sang dégoulinant des plaies de la femme, tâchant le sol, avant de lui faire l’amour, baignant dans le sang...

*Mon Dieu, je suis complètement folle !*

Qu’est-ce qui lui arrivait de penser à ça ? Elle devait appeler les secours, on allait la tuer ! Elle était sûre que la Duchesse n’hésiterait pas, mais, au fond d’elle-même, elle était aussi sûre de ne pas mourir. Shani restait après tout une demie-Déesse, et, si elle l’ignorait consciemment, inconsciemment, son esprit savait qu’il y avait en elle quelque chose de puissant, qui lui donnait le sentiment qu’elle ne mourrait jamais... Et pour cause. Shani l’ignorait, mais elle était la fille d’Éros, qu’Hésiode classait parmi les cinq divinités primordiales, au même titre que Nyx, Gaïa, et Érèbe. Ce n’était donc pas n’importe qui, et il avait toujours veillé à entretenir le désir chez sa fille, en faisant une nymphomane ne pouvant rien faire pour lutter contre ses pulsions... Ou, du moins, si elle le pouvait, Éros s’était assuré que ce ne soit pas le cas, court-circuitant à chaque fois ses tentatives de se soigner, se débrouillant pour l’emmener ensuite dans le domaine d’Aphrodite, à Mishima, afin que sa fille ne désespère pas en France.

Était-ce sa volonté que la Duchesse tombe sur elle ? C’était une question à laquelle Shani ne pourrait jamais répondre. Elle était à la fois effrayée et excitée, mais, clairement, l’excitation dominait. Elle se tortillait sous le poids de cette femme, qui venait la perturber dans son sommeil, ressentant un fort désir à son égard, un désir dont elle ne se serait jamais cru capable. La Duchesse était une meurtrière, une psychopathe extrêmement dangereuse, mais elle était aussi belle, et Shani parvenait à trouver, dans sa sauvagerie, un charme fort, qui ne la laissait pas indifférente.

La Duchesse relâcha sa gorge, et Shani se mit à soupirer, n’osant pas bouger, tandis que la Duchesse se déplaçait, lui donnant un ordre qui la fit déglutir :

« Aller ma pute ! lèche donc le minou à maman ! si tu fait sa bien tu auras le droit à une petite surprise ! »

Shani ferma les yeux, sentant la Duchesse se déplacer, son intimité finissant au-dessus de son visage, des gouttes tombant sur son nez et ses lèvres. Ceci provoqua une solide excitation dans le corps de Shani, qui sentait son vagin brûler et la démanger.

« O-Oui... Tout... Tout de suite, Ma... Mad... Maîtresse » se rattrapa-t-elle.

Mourir ne faisait pas partie des plans de Shani, qui se disait qu’en étant servile et soumise, la Duchesse pouvait vouloir l’épargner. Elle avait écarté sa blouse, et Shani pouvait voir son intimité, juteuse, et attirante. Elle n’eut pas grand-chose à faire, car la Duchesse s’assit sur elle. Elle relevait ses mains pour caresser ses hanches, pressant chacune des fesses de la femme, tout en enfonçant sa langue, l’envoyant titiller son clitoris en soupirant de plaisir, se tortillant faiblement sur le lit. Ses jambes remuaient, cherchant à se frotter entre elles pour la soulager.

C’était plus fort qu’elle, cette femme lui faisait un effet fou !
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 18 août 2013, 20:05:05
La langue de cette jeune femme venait délicatement caresser les lèvres intimes de la duchesse, venant ensuite claquer contre sa cerise, bordel ! Cette salope faisait ça bien ! Par la suite Lucrezia commença devenir un poil plus... spécial !

Il y avait au dessus du lit de la patiente un défibrillateur de secours (manuelle), Lucrezia savait parfaitement comment trafiquer ce genre d'engins afin de le rendre "sexuellement" utilisable, les décharges électrique avait la particularité, ci bien jaugées, d'être un très agréable joujou, certes la pratique était risquée pour la patiente, mais après tout... lucrezia s'en fout pas mal de la vie de cette dernière !

Aller ma belle... ont vas voir ci tu peut supporter se genre de traitements ! C'est un peu douloureux la première fois, mais je t'assure qu'après sa va tellement de détendre que  la cyprine vas coulée à flot sur les draps !  

Elle se mis alors à bidouiller vaguement le moniteur afin de légèrement baisser la puissance électrique de ce dernier puis, elle se saisit des deux électrodes, les frottes l'un contre l'autre, allume l'appareil et commence le compte à rebours !

La patiente semble avoir des soucies... il est temps ma très chère lulu de lui foutre dans le cigare une puissante décharge électrique ! Mais voyons docteur... elle risque de pisser sur le draps ! Ont s'en fout... il faut la sauver !Oui... Elle est complétement givrée...

Cet alors qu'un bruit aigue vint signaler que la décharge était prête, lucrezia posa alors les deux électrodes au niveau de la vessie de sa victime.. puis...

1... 2... 3... Lâchez la sauce...

Elle appuya alors sur les deux boutons qui ornaient chacun le manche des deux électrodes, vidant dans la panse de la pauvre shani la décharge !

KA-BOUM-BZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ !!!! s'exclama t'elle en sursautant au moment au la décharge fut lancer.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Shani Stevens le mercredi 21 août 2013, 16:39:28
C’était curieux... Très curieux. Shani avait peur, mais... Pas uniquement. Comment décrire ce qu’elle ressentait ? La Duchesse était indiscutablement folle, et sa vie était réellement en danger, mais la peur semblait se mélanger à une sorte d’excitation fiévreuse, à l’idée de coucher avec une aussi belle femme, aussi forte et indomptable. La Duchesse était sans doute folle à lier, mais Shani avait également un zeste de folie, qui se manifestait en ce moment. Elle vit la Duchesse attraper les électrodes du défibrillateur, se mettant à parler toute seule, et, avant que Shani ne puisse comprendre quoi que ce soit, elle les lui fourra à hauteur du sexe.

*Mais que... ?! Non !!*

Shani n’eut pas le temps de réagir, de penser à quoi que ce soit, que les décharges électriques, silencieuses, sifflèrent dans son corps. Tous ses muscles se crispèrent, et elle sentit la douleur exploser dans son corps. La souffrance explosa en elle, terrible, comme elle ne l’avait jamais ressenti auparavant... Et les électrodes explosèrent entre les mains de la Duchesse, alors que Shani se mit à uriner, un réflexe physiologique. Son urine éclata sur le visage de la Duchesse, penchée au-dessus d’elle, tandis que les défibrillateurs étaient, comme par enchantement, détruits. Quand Shani pensait que rien ne pouvait la tuer, elle n’était pas si éloignée que ça de la vérité. Son corps était protégé par l’influence divine de son père, Éros, l’un des plus puissants Dieux grecs, un Dieu primordial. La douleur avait amené l’inconscient de Shani à réagir, car cette douleur n’avait, pour elle, rien de sexuel.

Malheureusement pour la Duchesse, l’explosion des défibrillateurs déclencha une alarme. Dans le bureau des infirmières, un voyant s’alluma, pour indiquer un problème dans une chambre. L’infirmière, qui était en train de lire une revue érotique, sursauta sur place, et se redressa d’un bond.

« Rooh merde ! »

Il y avait visiblement une coupure de courant dans la chambre, mais elle n’en savait pas plus. De son côté, Shani émergeait de la souffrance qu’elle avait reçu. Tous ses muscles tremblaient, elle se releva, clignant des yeux.

« Pou.. Pourquoi t’as... ?! Huuu... »

Ayant tout d’un coup mal au ventre, elle se mit à vomir, balançant son vomi sur le sol. Son estomac lui faisait mal, et elle se redressa ensuite, en sueur, fiévreuse.

« Ohlàlà... Ça... Ça va pas du tout... Laisse-moi... J’ai mal... »

Elle se sentait comateuse, avec une soudaine migraine, tandis que l’infirmière se rapprochait.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le vendredi 23 août 2013, 23:32:08
Lucrezia atteignit peu à peu le paroxysme de sa folie, en venant à balancer dans le ventre de sa victime une puissante décharge électrique. victime qui, a cause de la précédente décharge, en vint à uriner sur le lit, allant jusqu'à envoyer, sans le vouloir, de l'urine sur le visage de notre tueuse.

 Houla ! calmos ! ahahah ! moi si je te pisse dessus je sais pas si tu vas apprécier !

 Malheureusement les défibrillateurs ne sont pas des jouets et les modifications que la duchesse avait apportée à ce dernier ne lui avait vraisemblablement pas plus. Cet alors qu'après avoir envoyer la première décharge, les deux électrodes vinrent à exploser, pas une violente explosion, juste un vague bruit à l'intérieur des deux appareil suivie d'une horrible odeur de câble brulés.

 Raaah merde ! ont ne trouve plus de personnelle qualifié de nos jour dit elle en balançant les deux électrodes à terre.

 Cet alors que notre tueuse vit sa patient vider le contenu de son estomac sur le sol de la chambre en se tordant de douleur.

Oh ! se pourrait il je t'ais rendu malade ? ahahahahah !
 Bon... avec tes conneries je sent qu'ont vas devoir se déporter ailleurs... le deuxième sous-sol tu connais ?


 Nan... Lucrezia... tu n'oserais pas aller là-bas quand même... ci ? Aaaaaah le second sous-sol de l'hôpital de Seikusu... Ceux lieu était très spécial pour notre duchesse voyez-vous, c'était comme... le lieu de son baptême... vous avez compris n'est ce pas. Oui ! le second sous-sol était le lieu où lucrezia avait commis son premier meurtre !
 Aaaaaaah que de souvenirs ! le mode opératoire était, en ce temps là, plus... "soft" mais un baptême reste un baptême et notre duchesse frémissait d'avance de pouvoir y retourner...
Dans le coin de la pièce, lucrezia apercue un fauteuil roulant, elle s'empressa alors de glisser ses bras sous ceux de la jeune femme comateuse afin de la trainer sur le fauteuil, pour ensuite discrètement ouvrir la porte et aller vers l'ascenseur qui était tout au bout du couloir.

Une fois dans ce dernier, elle appuya sur le boutons qui menait au second sous sol puis...
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Shani Stevens le samedi 24 août 2013, 02:43:58
Shani avait l’estomac tout retourné. C’était une mauvaise blague, c’est ça ? Un sinistre cauchemar. Cette folle l’avait électrocuté ! Elle ne se sentait vraiment pas bien, et avait une sourde envie de pleurer, mais rien ne ressortait, si ce n’est ses tripes, qu’elle avait craché sur le sol. Pâle, un teint cadavérique, elle ne pouvait rien faire contre la Duchesse, se sentant aussi inerte qu’une poupée. Elle voulait repousser cette salope, lui foutre ses électrodes dans le cul, mais elle était vidée, ayant étrangement froid, tout en frissonnant, des spasmes musculaires nerveux la traversant. Elle se retrouva sur un fauteuil, et sentit la Duchesse l’amener. La lumière du couloir l’agressait, et Shani secoua la tête. Non, elle ne voulait pas... Elle cherchait à s’enfuir, mais, à chaque fois que son corps semblait remuée, la Duchesse la ramenait contre le fauteuil. Avait-elle parlé d’un sous-sol ? Shani imagina un musée des horreurs, et ferma les yeux. La lumière l’agressait, alors qu’elle voyait un ascenseur... Elle se mit à prier qu’il s’ouvre, qu’il tombe sur un vigile. Il verrait son état, et il sortirait son arme à feu. Elle pria si fort qu’elle crut même voir la porte s’ouvrir... Mais il n’y avait rien, et elle se retrouva à l’intérieur, tandis que l’ascenseur filait.

Il n’alla pas bien loin, et s’arrêta un étage en-dessous, s’ouvrant sur une infirmière, qui écarquilla les yeux de stupeur en les voyant.

« Mais qu’est-ce que... ?! »



Janet (http://img97.xooimage.com/files/e/b/c/original-1--4068b95.jpg) était une belle infirmière qui avait tout à fait conscience de sa beauté. Elle avait toujours voulu faire infirmière, comme toutes les petites filles. Ce souhait avait évolué en grandissant. Initialement, elle avait voulu faire docteur, mais, n’ayant pas reçu les difficiles études, elle avait préféré se reconvertir en infirmière. Aujourd’hui, elle avait eu son diplôme depuis six mois, et avait réussi à atterrir à Seikusu, non sans un certain soulagement. Étudiante étrangère, métisse, elle avait rejoint le Japon suite au divorce de ses parents, un père américain, et une mère japonaise. Elle avait été élevée par sa mère, qui s’était depuis lors remariée avec un policier, Koda. Les deux vivaient à Tokyo, et Janet était une grande travailleuse... Mais également une grande fêtarde, et, depuis qu’elle était devenue une infirmière, elle ne se gênait pas. Dans son bel appartement de Seikusu, elle s’était laissée aller, et avait un petit copain.

Et elle était enceinte depuis moins d’une semaine. Ceci suffisait à la combler de bonheur, et les projets de Janet étaient d’obtenir des aménagements de travail auprès de son supérieur, ce qui ne serait pas très facile, car ce type était un vieux vicelard. Et Janet, avec ses jolis cheveux roses qu’elle entretenait depuis qu’elle avait enfin pu quitter un système scolaire étouffant et conformiste, se heurtant à son éducation d’Américaine, était dans son collimateur. Elle espérait qu’il n’y aurait rien de bien grave dans la chambre où un problème avait été signalé.

Janet avait hésité entre l’escalier et l’ascenseur, et la flemme l’avait emporté. On était à une heure avancée de la nuit, et elle avait envie d’en finir rapidement. Foutu règlement... À coup sûr, c’était encore un vieux qui avait oublié d’éteindre sa télé. Hier encore, le vieux de Mishima lui avait fait le coup. Un professeur complètement pervers, qui avait cherché à lui mettre sa main au cul. Mishima était un endroit que Janet avait en horreur, car il avait la sinistre réputation d’être un lycée de débauche. Honnêtement, elle ne comprenait pas pourquoi un tel lycée n’avait pas encore été fermé, ou pourquoi personne n’en parlait. Il ne fallait pas s’étonner, après ça, que les jeunes préfèrent passer des heures à jouer à des jeux vidéos insipides et bruyants, ou à errer sur Internet, plutôt qu’à travailler.

*C’est décidé, je vais voir Kushizo demain...*

Kushizo était son employeur, et, si ce type était un salopard, Janet connaissait la loi. Même au Japon, les congés maternités existaient. Ce gros con de Kushizo était dans la ligne philosophique d’une bonne partie du Japon, où la femme était vue comme une bonniche ayant pour fonction unique de faire le ménage et la cuisine, et d’être asservie à son mari. Non, Janet n’était pas une féministe convaincue, mais, quand on tombait sur un connard de machiste hypocrite qui dissimulait son envie de vous labourer le cul avec sa vieille queue ramollie derrière ses sourires de plastique et sa condescendance envers les femmes, ça lui donnait envie d’hurler.

*Ça y est, Janet, tu t’énerves encore toute seule ! Ne t’étonne pas que Kenji soit épuisée après toi, tu es une vraie pile sur pattes...*

Elle espérait que leur enfant ne serait pas aussi explosive qu’elle... Bébé, Janet avait été impossible, refusant d’aller dormir, réveillant ses parents à des heures pas possibles en hurlant fort.

L’ascenseur ouvrit, et Janet, qui se croyait seule, eut un sursaut en voyant une femme aussi pâle qu’un zombie... Et une femme avec une tête de psychopathe, des seins énormes, et une blouse d’infirmière.

« Mais qu’est-ce que... ?! » s’exclama Janet.

Elle fronça les sourcils, rajoutant rapidement, en sentant son cœur s’accélérer rapidement dans sa poitrine :

« Mais qui êtes-vous ?! »
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le samedi 14 septembre 2013, 17:21:58
Ding dong ! à quel étage désirez vous descendre ? euuuuuh.... en enfer !

Lucrezia appuya sur le bouton marqué des lettres " SS-2". Les lourdes portes de l'ascenseur coulissèrent, enfermant les deux jeunes femmes dans la cage de ce dernier. Lucrezia émit un petit frisson au moment de la mise en marche de l'ascenseur, surement due à cette étrange sensation qui vous traverse le corps à chaque fois que vous mettez ce genre d'engin en marche.

Brrr ! cela faisait bien longtemps que je n'était pas montais dans ce genre de truc... en y repensant bien... je me demande si ce n'est pas dans cette même cage d'ascenseur que j'ai taillée une pipe à un des chirurgiens que j'accompagnais...

En disant cela lucrezia posa son index sur le bout de son menton, prenant un air songeur. Mais le moment de réflexion de notre tueuse fut bien vite interrompu par la secousse qui annonçait l'arrêt de l'engin au premier étage.
Notre tueuse repris alors les poignées du fauteuil roulant entre ses mains gantées, fronçant au passage ses sourcils.

hmmm Pourquoi que ça s'arrête aussi vite ?

Les porte se mirent alors à coulisser, mais... un étrange événement vint interrompre notre tueuse dans sa folie nocturne. Là, juste devant notre duchesse, une jeune infirmière à lunette était plantée comme un poireau en plein milieu du passage. La première réactions de lucrezia fut bien évidement d'écarquiller grand ses yeux d'un turquoise délavé, Qu'est ce que venait foutre cette greluche ici à une heure pareille ?


« Mais qu’est-ce que... ?! »
« Mais qui êtes-vous ?! »
s'exclama la jeune femme.

Oh...oh... je... Je suis une collègue  ! tu vois, comme toi ! lui répondit lucrezia avec le sourire au lèvres et les yeux emplis de folie. Évidement cela sonnait faux, même ci lucrezia portait une tenue d'infirmière, cette dernière était maculée d'innombrable taches de sang fortement incrustées dans le tissue ainsi que la taille trop courte pour le corps de notre tueuse montrant avec indécence les courbes et formes de lucrezia n'aurait surement pas était acceptée si elle travaillait réellement à l'hôpital. Mais cesse de blabla, notre duchesse avais du pains sur la planche et ne devait en aucun cas perdre du temps avec des broutilles. Elle sortie alors sont immense couteaux de boucher de sa sacoche, avant de violement planter ce dernier dans le moniteur de l'ascenseur, arrêtant net la fonction de ce dernier. Bordel ! Des fois elle a vraiment pas les idées claire notre tueuse...

je peut voir l'angoisse dans tes yeux ma petite... tu sais... j'aime bien les jeunes femmes avec des lunettes... tu connais le dictions, "femme à lunette, femme à quequettes" ?
Elle s'avança alors lentement vers la pauvre jeune femme, dans un silence macabre où seul le couinement des roues du fauteuil se faisait entendre. Le couteau à la mains et le regard fixe, lucrezia continua sa sinistre avancer vers cette jeune infirmière.

Je... vais... t'éventrer ♥
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Shani Stevens le mardi 17 septembre 2013, 10:54:23
Ses oreilles sifflaient et bourdonnaient, et Shani devait ventiler pour lutter contre la panique, et revenir peu à peu à la normale. Elle avait les yeux clos, et respirait lourdement, n’entendant que très difficilement que la Duchesse lui disait. Elle allait certainement la tuer, et la secrétaire devait donc réfléchir. Inutile de paniquer, de hurler, de s’égosiller, elle avait vu ça dans les films d’horreurs, et ça ne marchait pas. La panique était bel et bien là, forte et ardente, mais essayer de la calmer en hurlant ne servirait à rien. Elle devait au contraire réfléchir. La Duchesse n’était qu’une femme, une psychopathe qui comptait sur la peur qu’elle influait aux gens pour les torturer. Shani n’était pas encore morte, mais il ne faisait aucun doute qu’elle allait mourir sous peu... Et qu’elle allait souffrir avant de le faire. La police disait peu de choses sur le modus operandi de la Duchesse, mais la secrétaire n’était pas idiote. Elle ne se contentait pas de les tuer avec une balle en pleine tête. Elle infligeait des tortures sexuelles et physiques, et Shani n’avait pas spécialement envie d’y assister.

Aucune sangle ne la retenait sur le fauteuil roulant. La seule chose qui l’empêchait de fuir était sa migraine, cette torpeur qui s’emparait d’elle, et cette irritante voix dans sa tête qui lui disait que s’enfuir ne ferait qu’abréger sa vie de quelques secondes, qu’elle devait rester ici, qu’il y avait des caméras de sécurité partout dans un hôpital, et que la sécurité allait débarquer. Elle s’imaginait déjà la scène : des commandos d’élite, les lampes-torches dans la figure, des voix viriles qui hurlaient à la Duchesse de se rendre, une myriade de points-lasers, l’ultime rire de cette cintrée avant que les balles ne la fauchent sur place... Elle y croyait si fort qu’elle pensait presque à une vision, lorsque les battants s’ouvrirent.

Shani vit une femme, et crut, sur le coup, à une complice, mais la lumière du couloir lui indiqua qu’elles n’étaient pas encore à l’endroit où la Duchesse voulait la conduire. Elle vit qu’il y avait une femme, une belle petite poulette avec des lunettes et des cheveux roses, qui observait la scène, médusée, ses yeux louchant sur le couteau de boucher interminable de la Duchesse.

*Fous le camp !* voulait lui hurler Shani.

Elle sentait ses forces revenir.



« Je... vais... t'éventrer »

Ce fut ce mot, ainsi que la vue de ce couteau interminable, qui réveilla Janet, dont les jambes lui semblaient comme coulées dans du béton. Elle n’arrivait pas à croire à cette scène. Une folle dans une tenue d’infirmière trop sexy pour être un uniforme règlementaire, et une patiente qui avait l’air de planer, dans un ascenseur... Janet comprit rapidement qu’elle avait affaire à ce genre de choses qui n’arrivait que dans ces slashers stupides que les Occidentaux adoraient regarder. Cette tarée avait bousillé le panneau de contrôle de l’ascenseur, et se rapprocha d’elle, une lueur de démence dans les yeux. Elle était aussi belle que tarée, mais, en l’état actuel des choses, Janet était plus préoccupée par ce couteau que par la vue de ses seins interminables.

« Non, ne... Ne vous approchez pas, non ! »

Elle recula, faisant quelques pas en arrière, et manqua trébucher... Fort heureusement, la vie n’était pas aussi absurde qu’un slasher. La peur ne rendait pas immobile : elle donnait des ailes. Or, Janet n’avait nullement envie de mourir. Elle tenait encore un peu trop à sa petite vie sans intérêt pour mourir. Janet se retourna donc, et se mit à courir. Cette femme avait une prisonnière, et son cerveau affolé se mit à réfléchir à toute allure, carburant comme une Ferrari lancée à pleine allure. L’hôpital était grand, et elle pouvait donc se cacher... Mais l’hôpital était son chez elle, l’endroit où elle travaillait.

Il fallait qu’elle donne l’alarme, et elle ne voyait qu’un seul moyen de le faire. L’alarme incendie. Cette dernière se déclenchait, soit lorsque les détecteurs de fumée étaient atteints, soit en appuyant sur le bouton rouge, recouvert par une petite vitre. Elle pouvait aussi rejoindre la loge du gardien, mais ce dernier devait faire une ronde dans une autre partie de l’hôpital. Janet se mit donc à courir, cherchant d’abord à semer son adversaire, filant sur un couloir à droite. Quand elle serait à l’abri, elle déclencherait l’alarme. La procédure standard impliquait l’intervention des pompiers, mais les vigiles se rendraient aussi vers l’endroit où on avait appuyé sur le bouton, afin d’aider à l’évacuation...

Mais, pour l’heure, Janet devait échapper à cette folle tordue !
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le vendredi 20 septembre 2013, 20:58:01
Cette petite infirmière incongrue sentie tout de suite le danger, reculant de quelques pas en arrière, manquant presque de se rétamer au sol. La duchesse quant à elle, avançait d'un pas sinistre vers cette jeune femme.

« Non, ne... Ne vous approchez pas, non ! »

Allez... viens... viens donc voir maman...

La jeune femme se retourna d'un coup, avant de partie à toute berzingue, espérant vainement fuir notre duchesse qui, rappelez vous, Connait elle aussi l'hôpital. Cette dernière fronçât les sourcils avant de violement envoyer le fauteuil roulant par terre, faisant lourdement chuter la jolie Shani contre le sol.

Naaan ! toi tu reviens ! S'exclamât elle en partant à la poursuite de la jolie nurse aux cheveux roses.

Les couloirs interminables de cette établissement n'avais aucuns secrets pour lucrezia qui se rappelait parfaitement de chaque recoin de cette hôpital qui l'eut accueilli il y à de ça quelque temps. Si cette petite pouf aux cheveux roses croyait pouvoir semait notre tueuse, elle s'enfoncer le doigt dans le cul jusqu'à l'os. Lucrezia n'eu d'ailleurs aucun mal à rattraper cette petite salope, ne la lâchant pas d'une semelles, ne laissant à peine quelque mètres entre elle et ça proie. Lucrezia gagnait du terrain, agrémentant sa course frénétique de violent coups de lames dans le vide, manquant à bien des reprises la jeune infirmière, frôlant sa belle chevelure, raccourcissant cette dernière au passage. Puis... Lucrezia fini par acculer ça jeune proie dans une impasse, serait ce donc là la fin de cette course poursuite ?

Ahah, ih, oh ,uh ,eyh ! Te voilà au pied du mur ! Dit elle en avançant vers la jeune incongrue d'un pas sinistre. Mais voyons, je ne te ferais aucun mal... Je te le jure... Tu es un soleil, une fleur, une ange ! Nan je ne te ferait aucun mal... Voyons, tu ne m'as laisser le temps de finir ma phrase. J'ai dit que je n'allais te faire aucun mal, Nan, je vais juste te faire un énorme trou dans les entrailles, trou par le quel je me ferais un joie de t'enfiler ! AHAHAHAH ! S'exclamât elle avant de donnez un grand coup de couteaux en directions de la jeune femme, cette dernière esquivant in extremis le coup, laissant alors au couteau, la joie d'aller se planter dans un tuyaux.

Put... Rétorquât elle en enlevant d'un coups sec la lame du tuyaux, laissant s'échapper un grand nuage de vapeur.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Shani Stevens le dimanche 22 septembre 2013, 02:34:22
La peur donne des ailes. Janet n’était pas une grande sportive, mais elle courait comme un lapin, la panique l’amenant à filer dans tous les couloirs sans réfléchir à autre chose que mettre de la distance entre elle et la psychopathe qui voulait la planter. Elle se croyait dans un film d’horreur ! Et, dans les films d’horreurs, les belles adolescentes n’avaient pas vraiment le bon rôle. En attendant la tortionnaire se rapprocher, Janet en oublia totalement son plan initial, passant ainsi devant plusieurs alarmes incendies. Elle filait dans les couloirs, cherchant une porte, un abri. Tous les patients dormaient, et elle ne pouvait décemment pas les réveiller. Il lui fallait rejoindre le centre de sécurité, ou espérer que ces idiots regarderaient les bonnes caméras pour envoyer des renforts. Elle voulait qu’une armée entière débarque pour la plomber, mais, pour l’heure, elle était toute seule, poursuivie par une tarée.

Elle courait si vite qu’elle s’épuisait, ce qui permettait à la femme de la rapprocher, cette dernière remuant son poignard dans tous les sens. Loin de là, Shani, elle, était vautrée sur le sol. La Duchesse l’avait bousculé en poursuivant l’infirmière, ce qui avait eu pour effet de réveiller la secrétaire. Sans ses lunettes, tout était flou, mais elle y voyait suffisamment assez pour se relever. Sa tête lui donnait l’impression d’avoir fait une pause en plein milieu d’un échangeur autoroutier. Elle s’appuya sur le rebord, et réussit à se soulever.

*Bon... Réfléchis... Cette cinglée a bousillé l’écran de l’ascenseur...*

Cependant, il existait peut-être un bouton d’appel, un bouton d’urgence, qui permettrait de contacter la sécurité. Tous les ascenseurs avaient ce genre de dispositif, a fortiori dans un hôpital. En espérant qu’il fonctionne... Shani commença donc à se retourner, et entendit alors un hurlement, qui remonta à travers les couloirs.

Janet avait bien cru mourir quand elle avait été coincée entre le mur et la tarée. Cette dernière avait un couteau interminable, et l’avait abattu sur elle. Janet l’avait évité, et aurait sans doute pu profiter de son avantage pour repousser la femme, voire même la frapper, mais elle préféra fuir. Le couteau avait frôlé sa joue, laissant une traînée de sang, et elle courut vers une porte, l’ouvrant en grand. Elle menait au réfectoire, qui était silencieux, et elle fila s’abriter sous une table, profitant de l’obscurité ambiante, en retenant sa vessie, et en mordillant son poing, pour s’empêcher de gémir. Janet tremblait comme une feuille un jour d’automne, ses poumons lui donnaient l’impression qu’ils allaient éclater.

*Ne dis rien, ne dis rien, il ne faut pas l’alerter ! Ferme-là, elle ne peut pas te voir dans l’obscurité !*

Le réfectoire était plutôt grand, et elle n’avait aucune arme. Ses yeux s’étaient embués, les verres de ses lunettes étaient sales. Bien qu’elle savait que c’était complètement idiot, elle avait envie de supplier cette femme, tout en sachant que cette tarée ignorait ce qu’était la pitié. Elle se recroquevillait sous la table, sans bouger, en espérant que la folle tordue s’en irait. Elle en était presque à souhaiter qu’elle retourne s’occuper de l’autre femme en fauteuil roulant, mais, vu comment cette dernière avait l’air stone, elle ne risquait pas d’être une menace...

Ladite fausse menace venait d’entrer dans l’ascenseur, et avait manqué tomber à plusieurs reprises. Sa vision était floue, et elle sentit son estomac remonter. Shani déglutit, et vomit sur le sol, dans un coin de l’ascenseur. Elle manqua à nouveau tomber, et se força. Il fallait qu’elle appelle les renforts, qu’un beau chevalier vienne la sortir de ce pétrin ! Il paraît qu’il y avait des super-héros en ville, ce serait bien que l’un d’entre eux débarque par ici !
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 30 septembre 2013, 20:27:47
                                                   
Lucrezia

La jeune femme venait tout juste de se réfugier dans le réfectoire, espérant échapper à notre tueuse... Lucrezia quant à elle, faisait face au deux porte du réfectoires en question, se remémorant vaguement l'endroit, puis... sont regard fut attirer par un objet des plus... comment dire... drôle ! oui, c'est ça, drôle ! Là, accrocher au mur, une hache à incendie était mise en évidence, si la jeune nurse n'avait pas était aussi pressée, peu être aurait elle put s'en emparer, mais que voulez vous, les gens sont stupides de nos jours... Lucrezia regarda vaguement son couteau, puis la hache, puis le couteaux, puis encore la hache, bordel lulu ! Décide toi ! Du coup Lucrezia remballa son couteau dans sa sacoche, afin de s'emparer de la hache d'un rouge vif.

Petit chaperon... Voilà qu'arrive le bucheron !

Lucrezia fit alors son entrer dans le réfectoire plonger dans les ténèbres. Elle avança lentement dans la pénombre en faisant trainer la lame de la hache sur le sol, produisant un bien sinistre son se mélangeant à merveille avec l'ambiance de la scène.

Loup y'es tu ? Me vois tu ? M'entend tu ?  

Elle se stoppa quelques secondes...

Aller mon lapin... sort de ton terrier...

Un lourd silence pesait sur l'endroit, Lucrezia chercher la moindre faute, la moindre petite erreur de la part de sa proie. Après une petite quinzaines de secondes, Lucrezia reprit sa route dans le réfectoire. Les talons de la duchesse résonnait dans toute la pièce, accompagnée du sinistre bruit que faisait la hache raclant sur le sol, Puis... elle s'arrêta une seconde fois... juste à coter d'une des tables qui ce trouvait au centre de la pièce.


Tu veux jouer à cache-cache ?... hm ?... Très bien... ont vas jouer...



                                                             
John sheffield

(http://zupimages.net/up/3/955218337.jpg)

John était un vigile d'une quarantaine d'année, large d'épaule et de forte constitution. il vivait dans un petit quartier résidentiel non loin de l'hôpital avec sa femme et sa fille. Ce soir était plutôt tranquille, seulement quelques internes étaient en service, oui, c'était vraiment tranquille.

Cela devait faire une bonne heure et demi que l'homme déambulais dans les interminables couloirs de l'hôpital, saluant les rares infirmières qu'il croisât d'un geste de la tête, toujours accompagné d'un sourire sincère et de son habituel "est ce que tout va bien ?", ce sur quoi elles lui répondaient bien souvent par un "oui, merci." là aussi accompagné d'un grand sourire emplie de gentillesse. Tout ce passait pour le mieux, il marcher tranquillement, faisant tournoyait son trousseaux de clé du bout de son index, quand... des bruits se firent entendre, l'homme se précipita alors vers l'origines de ses derniers. En  premier lieux il vit un fauteuil roulant renversé sur le sol, il s'en approcha, histoire d'inspecter l'objet, mais son attention fut bien vite détourner par le bruit glauque d'un vomissement.  le bruit provenait de la cage d'ascenseur, l'homme se précipita alors vers cette dernière et sur quoi tombât il une fois à l'intérieur ? Sur une pauvre jeune femme vraisemblablement mal en point. John alla alors de suite lui porter secours.


Qu'avez vous mademoiselle ?! Vous avez besoin d'un médecin !?

Son regard s'arrêta vaguement sur le panneau de contrôle complètement détruit... ce qui le fit quelque peut s'interroger sur la situation.

Que s'est il passé ici ?
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Shani Stevens le jeudi 03 octobre 2013, 00:41:28
JANET

Sa vessie ne vint pas la démanger, fort heureusement. Elle n’avait pas envie de se faire dessus, mais elle commençait à avoir mal au ventre. La peur qu’elle ressentait n’avait rien à voir avec les angoisses qu’elle avait déjà ressenti auparavant. Si on lui avait posé la question hier, elle aurait dit que le plus grand moment de stress de toute son existence fut à la veille d’un Oral avec un professeur particulièrement exigeant. Elle angoissait tellement qu’elle avait passé presque l’essentiel de sa nuit aux toilettes. Mais, maintenant, elle avait une approche très différente de la peur. Son adversaire n’était plus un professeur hors d’âge cherchant à humilier ses élèves en leur posant des questions particulièrement fourbes, c’était une folle tordue, une psychopathe qui la découperait en morceaux, comme dans tous ces slashers insipides et ces romans sur des tueurs en série qui découpaient leurs proies, et leur faisaient vivre mille tourments avant de mourir. Cette situation était tout simplement atroce, et Janet avait encore du mal à croire que c’était sur elle que ça arrivait.

Dissimulée sous la table, dans l’obscurité, elle savait que son plan était totalement farfelu, et espérait que cette femme s’en aille, qu’elle s’éloigne. Qu’un ange vienne la sauver. Elle n’avait plus la force de se déplacer. Un vigile finirait bien par arriver, ou bien la police.

*Ne rêve pas, tu n’es qu’une misérable infirmière. T’attends-tu vraiment à ce que des troupes d’élite se déploient pour TE sauver ? Tu es toute seule, ma grande, alors, si j’ai un bon conseil à te donner, remue-toi le cul ! Sérieusement, tu t’attends à quoi, en te planquant sous une table ? Tu joues à cache-cache ? Tu te crois à un putain de goûter d’anniversaire ?*

Janet mordilla ses lèvres, ordonnant à cette maudite voix de se taire... Quand la porte du réfectoire s’ouvrit. Elle sentit la peur, vive, s’égayer en elle, comme une plaie à vif. Un rectangle de lumière éclaira une partie du réfectoire, et elle entendit la femme s’approcher. Ses talons claquaient sur le carrelage, et, surtout... Janet entendait le raclement d’un objet contondant sur le sol. Un grand classique des films d’horreurs. Si un spécialiste aurait été là, à regarder la scène, il aurait probablement poussé un soupir devant le geste. Cependant, quand on était acteur de la propre scène, on ne pouvait pas s’empêcher de trouver que le bruit de cette hache raclant le sol était crispant... Comme une mauvaise note perpétuelle sur une partition de piano.

« Aller mon lapin... sort de ton terrier... » glissait la femme

Des tremblements nerveux agitaient son corps. Ce n’était pas possible, ce ne pouvait être qu’un cauchemar. Pourquoi vouloir la torturer, elle ? Qu’avait-elle de si spécial ? Elle n’était rien de plus qu’une fille ordinaire ! Pourquoi diable est-ce qu’une psychopathe la poursuivait ? Janet ne pouvait s’empêcher de frissonner, alors que la Duchesse se rapprochait du centre de la pièce, près de l’endroit où Janet s’était dissimulée. Pour son malheur, Janet avait laissé son téléphone portable dans sa loge. Elle n’avait aucun moyen de prévenir qui que ce soit.

*Elle joue avec toi, elle sait très bien où tu es, tu es aussi visible qu’un éléphant dans un magasin de porcelaine... C’était vraiment une idée stupide ! Tu tiens donc tant que ça à nous faire mourir ? Tu avais cinquante mille moyens de contacter les autres : les téléphones internes, les alarmes incendies... Et tu pouvais aussi fuir ailleurs que dans le réfectoire ! Elle va te tuer, ouvrir ton ventre, et répandre tes intestins sur...
LA FERME !
*

Janet aurait pu, en d’autres circonstances, se demander pourquoi l’esprit humain, dans des moments aussi difficiles, s’amusait à vous torturer... À moins que ce ne soit juste elle ? Dans tous les cas de figure, la situation actuelle lui provoquait des fourmillements dans le ventre. Sa propre mort ne la tentait guère, mais ce scénario paraissait d’autant plus plausible. La femme avait rejoint le coin où Janet se tenait, et se tenait face à une table. En réalité, Janet était juste derrière elle, dans son dos, et fut saisie par l’envie de fuir. Elle voulait le faire, elle le voulait vraiment. Elle aurait pus ‘armer d’une chaise et la balancer sur la tête de la femme, mais tout son corps semblait figé. Elle était en train de pleurer, des larmes silencieuses roulant de ses yeux, et elle avait presque cessé de respirer, son cœur battant la chamade avec la force d’un tambour à percussion.

Cette femme était le Diable en personne, tout simplement. Une sorte de démone qui allait la tuer, ça ne faisait maintenant plus l’ombre d’un doute. Janet pouvait déjà la voir pousser la table, et la voir, puis abattre sur elle la lourde hache.



SHANI

Le fait de vomir l’avait rendu nerveuse, fébrile. Des gouttes de sueur glissaient le long de son front, et elle appuyait stupidement sur tous les boutons. Le panneau de contrôle émettait des couinements électriques, et même le petit écran digital ne répondait pas, restant éteint. Shani entendait maintenant des bruits de pas précipités, et était sûre que c’était elle. La folle tordue qui l’avait électrocuté, et qui cherchait à la découper en rondelles. Elle savait que Shani s’était relevée, qu’elle allait appeler à l’aide, et elle intervenait donc pour l’en empêcher. Elle allait l’égorger ! Shani se surprit à paniquer, et regarda autour d’elle. Une arme quelconque, un objet, n’importe quoi d’autre de plus efficace que ses propres ongles... Il n’y avait cependant rien.

Une forme indistincte entra, et Shani poussa un hurlement... Qui mourut dans sa gorge. Elle bondit en arrière, son dos heurtant la paroi. Son cœur était sur le point d’exploser dans sa poitrine, mais l’être devant elle... Ce n’était pas la Duchesse !

*Pas elle, pas elle, pas elle !* hurlait une voix dans sa tête, comme pour l’encourager à se détendre.

C’était un homme... Trapu, plutôt âgé. Shani cligna des yeux, l’observant comme s’il s’agissait d’une apparition. Elle n’avait pas encore pleuré, mais elle n’en était pas loin, et l’expression de terreur indicible dans ses yeux suffisait d’emblée à lui enlever tout doute de mentir.

« Que s'est il passé ici ? » demanda l’homme.

En clignant des yeux, Shani remarqua alors le petit badge épinglé sur le torse de l’homme : « SÉCURITÉ ». Elle bondit alors vers lui, l’attrapant par le col, essayant de le secouer comme un prunier... Ce qui, bien sûr, revint à dire qu’elle ne fit pas grand-chose, car Shani était relativement frêle, et cet homme était plutôt costaud.

« Elle... Elle va revenir, elle va nous tuer, il faut partir, Monsieur, il faut partir, vite !! La Duchesse... La Duchesse est ici !! »

Le ton était précipité, presque hystérique, et Shani sentit alors ses résistances fondre. C’était un sinistre cauchemar, et elle se mit à pleurer, enfouissant sa tête contre le torse de l’homme... C’était si réconfortant... Mais, si elle en croyait son expérience des films d’horreurs, les preux chevaliers en armure avaient la désagréable manie de mourir de manière brutale et précipitée, offrant un espoir salutaire à la victime, avant de la replonger dans le calvaire dans lequel elle était. Cette histoire invraisemblable prenait de plus en plus l’allure d’un slasher pour adolescents libidineux.

« Il faut partir vite, vous comprenez ?! Elle va REVENIR !! »
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 07 octobre 2013, 17:33:22
Lucrezia resta silencieuse quelques instants, ne faisant rien de plus que d'attendre un faux pas de la part de la jeune femme. Puis, elle discerna dans l'obscurité ambiante une très légère lueur provenant des grandes fenêtres qui, lui faisaient face. Un léger sourire naquit sur son visage de cinglée... puis ses pas se remirent à retentirent dans toute la pièce, toujours accompagnés du sinistre raclement de la hache sur le sol.

 Allons ma douce enfant, allumons donc la lumière... et tout tes cauchemars s'en iront... à jamais !  dit elle en s'avançant vers les stores qui découpaient en fines lamelles, la lumière de l'astre lunaire. Et si nous Laissions entrer l'étincelante brillance de la pleine lune en ces lieux... qu'en dis tu ?  

 Lucrezia fit délicatement glisser sa mains sur l'interrupteur qui dirigeait la levé et la descente des stores, ce qui eu bien évidement pour effet, d'amorcer la montait de ces derniers, irradiant ainsi toute la pièce de l'apaisante lumière lunaire. Lucrezia tourna délicatement sa tête vers en direction de la jeune nurse qui s'était vraisemblablement cachée sous une misérable table. Les yeux turquoises de la duchesse semblaient luirent dans la nuit, reflétant ainsi toute la folie de cette dernière.

 Trou-vée ♥ soufflât elle en esquissant un large sourire.

 Notre tueuse tournât alors les talons, puis avec toujours la même expressions de cinglée elle s'avançât vers sa pauvre proie, faisant racler sa hache sur le sol tout en titubant légèrement. Elle émit un petit ricanement de joie, que dit-je ! d'excitation ! Puis... elle prit la hache à deux mains, la souleva du sol, dressant cette dernière au dessus de sa tête... puis...

 Bonne nuit... mon étoile...

 

 
John

A la vue du vigile la jeune femme vint violement attraper le col de ce dernier, essayant vainement de le secouer.
John put lire au fond des yeux de la jeune femme, la terreur mêlée à la peur, mais peur de quoi ? L'homme n'allait pas tarder à le savoir.

« Elle... Elle va revenir, elle va nous tuer, il faut partir, Monsieur, il faut partir, vite !! La Duchesse... La Duchesse est ici !! »

La duchesse ? John ne connaissait que trop bien se nom, les journaux, les médias, la police, tous véhiculait l'image de cette tueuse. La froideur de son regard, son sourire sinistre, ses deux cicatrices, oui ! Seikusu toute entière connaissait se visage, celui d'une psychopathe, d'une folle violant, tuant, éviscérant de pauvres putes au coin d'une ruelle sombre. La pauvre Shani vint alors coller son visage contre le torse de John. Cette pauvre fille était complétement déboussolée, au fond, qui ne le serait pas dans une telle situation. De fines gouttelettes vinrent légèrement tachaient l'uniforme de John, ce dernier posa alors sa mains sur la tête de la jeune femme, caressant délicatement sa douce chevelure d'un geste doux et réconfortant.

« Il faut partir vite, vous comprenez ?! Elle va REVENIR !! »


John posa ses deux mains sur les épaule de la jeune femme, écartant doucement cette dernière de son torse, tout en plongeant son regard dans celui de la pauvre fille.

Calmez-vous, je vais appeler les autorités, elle seront là d'ici à une quinzaines de minutes, en attendant rester là je...

Cet alors qu'un hurlement de femme ce fit entendre, faisant légèrement frissonner le vigile qui, se retourna rapidement, la mains poser sur son revolver.

Que...
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Shani Stevens le mercredi 09 octobre 2013, 00:38:40
SHANI STEVENS

Est-ce que ce type était aussi con que musclé ? Dans son état de détresse, Shani avait tendance à s’emporter contre n’importe qui. C’était ce vigile qui allait prendre. S’il voulait la rassurer, qu’il cesse de lui caresser les joues, et qu’il appelle les flics ! Vite ! Que des camions blindés remplis à ras-bord d’une armée d’armoires à glaces suréquipés débarque pour neutraliser la tarée qui l’avait électrocuté dans sa chambre ! Shani n’arrivait pas à croire que ce qui lui arrivait était réel, tant elle avait l’impression de voguer dans un rêve... Ou, plutôt, dans un cauchemar, un putain de cauchemar, le genre de cauchemar qui vous prenait aux tripes, qui vous amenait à vous tortiller dans le lit en priant pour que quelque chose vous en sorte, que ce maudit réveil, pour une fois, se mette à sonner pour vous sortir du cauchemar abyssal dans lequel vous étiez plongés... Mais nul réveil ne viendrait la sortir de là, nulle sonnerie salvatrice ne résonnerait à ses oreilles pour annoncer la fin du show. Elle avait pris un ticket pour un train fantôme infernal, et, dans un tour de manège, on devait rester sagement assis jusqu’à la fin du tour.

« Calmez-vous, disait l’homme, ce qui donnait envie à Shani de lui gueuler dessus, je vais appeler les autorités, elle seront là d'ici à une quinzaines de minutes, en attendant rester là je... »

Shani entendit alors un hurlement suraigu. Elle sursauta, comprenant qu’il s’agissait de la fille aux cheveux roses, celle que la Duchesse avait poursuivi.

*Oh non, c’est pas possible, elle est morte !*

Ceci signifiait surtout que la Duchesse allait revenir. Certes, Shani était triste pour cette pauvre fille, dont le visage avait l’air de témoigner d’une certaine forme de gentillesse, mais elle ne pouvait pas faire taire les voix dans son esprit, qui lui disaient que ça allait être son tour, maintenant.

*Crois-tu vraiment que ce lourdaud pourra te protéger ? C’est un vigile, Shani, un VIGILE ! Tu as vu suffisamment de films pour savoir que ces gens-là ne sont que de l’esbroufe, du flan. C’est sûrement un type qui a voulu rejoindre la police, et qui a été recalée, ou qui a été licenciée parce qu’il buvait trop ! Il bosse dans un hôpital ! Il n’est pas apte à te défendre contre une cinglée pareille ! Mais tu n’en as fait qu’à ta tête, tu as voulu attendre, au lieu de fuir, de prévenir les secours. Tu t’es crue dans un jeu vidéo où un bel homme en armure d’albâtre viendrait te secourir, et, tout ce que tu as, c’est un pauvre type qui se fera décapiter sous tes yeux ! Merde, mais il te faut quoi de plus pour comprendre qu’il est temps de FOUTRE LE CAMP ?!*

Le vigile était surpris, regardant vers l’origine du cri.

« C’est ELLE ! Il faut appeler les flics ! Remuez-vous, merde ! »

Curieusement, entendre ce cri semblait avoir réveillé Shani, la galvanisant. Ce cri était la preuve qu’elle risquaitde mourir, et qu’implorer la pitié de la Duchesse ne servirait à rien. Il lui fallait donc réagir, prendre le taureau par les cornes, et sortir de ce cauchemar. Pour ça, il fallait appeler la police. Cependant, le temps pressait. Le vigile mettrait du temps à réagir, et Shani regarda autour d’elle.

*Une idée, une idée, une idée, une idée, vite, vite, remue-toi, Shani, allez, allez, fais fonctionner tes méninges !*

Et l’idée s’imposa d’elle-même.



JANET

La hache avait défoncé la table en deux, la fendillant comme du petit bois... Et c’est ce qui, indéniablement, sauva Janet d’une mort certaine. La hache s’était abattue avec rage, mais cette femme, aussi folle soit-elle, n’avait pas la carrure d’un bûcheron. Si ça avait été le cas, il est probable que la hache n’aurait pas ralenti lors de sa chute. Une hache était bien plus lourde que ce qu’on pouvait s’imaginer, et, même si les haches à incendie de l’hôpital étaient moins lourdes que celles que les bûcherons utilisaient pour abattre d’immenses arbres, ils pesaient quand même leur poids. La tueuse l’avait trouvé, et avait abattu la hache sur la table. C’était probablement un miracle. Elle aurait pu repousser la table, Janet savait que la peur l’aurait tétanisé, et qu’elle aurait sombré dans le cliché habituel de tous les slashers du genre : supplier son bourreau.

Au lieu de ça, elle entendit la hache exploser la table en verre, provoquant une explosion de cristal qui s’abattit sur le corps de Janet, la faisant hurler. La hache perdit énormément de sa vitesse, et Janet se déplaça sur la gauche. Le bout tranchant de la hache heurta son corps, déchirant sa blouse et son chemisier, en laissant une traînée sanglante qui partit de sous son sein droit, alors que la hache se mit à heurter le sol, produisant un bruit infernal qui lui explosa les oreilles.

Pour Janet, ce fut comme un déclic. Elle avait failli crever, et ne devait son salut qu’à une table en verre qui lui avait écorché le corps. Des bris de verre s’étaient abattus sur elle, fendillant ses joues, laissant des traînées de sang ici et là. Le sang explosa dans ses veines, l’adrénaline la réveilla, et elle leva son pied, frappant le ventre de la Duchesse, la repoussant en l’envoyant s’étaler sur le sol.

« Ne me touche pas, salope !! »

Elle fut tentée de se saisir de la hache, alors que son adversaire était au sol, mais elle n’avait pas la force nécessaire pour le faire. Elle essaya de se relever, mais ses doigts glissèrent sur les bris de verre, et elle se coupa. Janet manqua glisser à nouveau, et, alors qu’elle s’était relevée, elle remarqua qu’il y avait de grosses tâches rouges sur le sol.

Le sang coulait de sa longue plaie, et elle réalisa alors qu’elle avait été ouverte sur plusieurs centimètres.

*Oh non...*

Elle posa une main sur sa plaie, se sentant incapable de courir, et se mit à avancer lentement. Elle n’eut le temps que de faire quelques pas avant qu’une alarme tonitruante ne se mette à résonner, et que des sirènes orangées se mettent à tournoyer dans les coins, annonçant un incendie nécessitant l’évacuation de tout le site.



SHANI STEVENS

« Mais que… ?! »

Le vigile était surpris. Shani venait en effet de lui prendre son arme de service, et l’avait utilisé par la crosse, l’abattant sur la petite vitre de l’une des alarmes anti-incendie à proximité d’eux, dans le couloir. Ce faisant, elle avait pu écraser le bouton d’urgence, et l’alarme se mit à résonner.

Shani n’avait jamais entendu un son plus merveilleux de toute sa vie.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 18 novembre 2013, 22:50:50
                               
Lucrezia



Du sang... du sang... Là... partout... du sang...

à la vue de l'hémoglobine la duchesse eu comme un flash, un assemblage complexe d'un tas de visions sombres et macabres, son enfance, sa mère battue, ses victimes... L'espace d'un instant notre tueuse resta figée, les yeux grands ouverts sur sa victime couverte de sang et de bris de verre. Mais cette dernière eu comme un éclat de courage et vint alors donner un grand coup de pied dans l'abdomen de la duchesse qui s'effondra sur le sol jonché de morceaux de verres lui coupant légèrement les avant-bras et les jambes.
La jeune infirmière eut alors le temps de ce relever et de marcher vers la porte en titubant, perdant au passage beaucoup de sang, laissant ainsi plusieurs taches d'hémoglobine assez conséquentes sur le sol. La Duchesse quant à elle reprit ses esprits avant de ce relever à son tour, glissant quelque peut sur le mélange bris de verre/ sang.

Reviens là t...

A peine eut elle le temps de finir sa phrase qu'un vacarme monstrueux ce fit entendre dans tout le bâtiment. Un hurlement synthétique qui résonnait dans le crane de la duchesse de façon infernal, oui, quelqu'un venait d'enclencher l'alarme à incendie... Lucrezia s'affolait, l'alarme aller réveiller les patients, mais elle aller aussi rameuter toute la cavalerie, la situation était critique, très critique ! Là, la duchesse n'était pas dans les rues, il lui serait difficile de fuir dans un espace clos comme cet hôpital et même si elle le connaissait par cœur, il y aurait toujours le problème de la foule qui s'agite, Lucrezia devait réagir et vite !
Le regard de la duchesse se dirigeât alors vers sa pauvre victime à l'agonie puis elle glissa rapidement sa mains vers sa sacoche avant d'en sortir plusieurs flacons.

Nan.... nan... pas ça... putain PUTAINS ! IL EST OU ! S'exclamât elle en balançant frénétiquement les flacons contre le sol.

Ah ! Putains ! Le voilà !

Sur le flacons qu'elle tenait entre ses mains était inscrit en gros "AMC" pour Adrénaline, Morphine et Caféine pur. Ce mélange permettait à la duchesse de se sortir des situations les plus critique, augmentant fortement son rythme cardiaque et par conséquent son endurance physique, augmentant aussi grandement sa résistance à la douleur en cas d'accrochage avec une quel qu'onc personne. Lucrezia se saisit ensuite d'un élastique à garrot qu'elle enroulât fermement autour de son bras, par la suite elle prit une seringue qu'elle remplie de la dite substance, puis d'un geste violant elle se l'enfonçât dans le bras avant de desserrer le garrot. La pressions exercer par ce dernier permit alors à la drogue de circuler plus vite dans l'organisme de la Duchesse. Suite à cela, notre tueuse se saisit une nouvelle fois de sa hache et d'un pas rapide elle fonça vers sa pauvre victime, faisant abstraction de l'alarme, du sang, de tout, de tout mise à part de sa folie qui venait de monter d'un cran dans son cerveau malade.

Je vais la buter, la buter la buter, lui broyer le crane, lui exploser le bide et répandre ses tripes partout ! PUTAINS JE VAIS LA BUTER !!!!!!!!!!!

La pauvre jeune femme titubait, ressassant peu être sa misérable petit existance... La Duchesse elle, était à présent juste derrière elle, les yeux grand ouverts, les pupilles rétractées au maximum avec en prime, un sourire sadique au visage. La jeune infirmière se retournât alors vers sa prédatrice, les larmes aux yeux puis...

Bye...

Le coté pointue de la hache s'abattis sur la tête de la pauvre nurse, lui explosant littéralement le crane dans un bruit immonde, un bruit pareille à celui que produit une pastèque lorsqu'ont l'explose avec une pierre, dans le vacarme assourdissant de l'alarme personne n'aurait peut entendre ce son, personne sauf la duchesse, oui ! Elle, elle l'avait entendue ce bruit et ce dernier résonnait encore dans son cerveau.

Ihih... ihihi...ihihahahHAHAHAHA ! ALOR ! TU L'OUVRE MOIN LA, HEIN ! S'exclama la duchesse toute fière d'avoir une nouvelle fois abattue une pauvre jeune fille.

Ce fut ensuite un festival de coup de hache qui s'ensuivit, faisant gicler le sang partout sur les murs avironnant ainsi que sur la duchesse.

TIENS SALE PUTE ! TIEN, TIEN, TIEN ! PUTAIN TU VAS LA FERMER TA GUEEEEEEEEEEULE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Criât elle en s'acharnant de plus en plus sur la dépouille de la pauvre infirmière.

Suite à ce "petit" moment de violence, Lucrezia se stoppa, songeant au fait que le temps lui était comptait. Elle reprit alors sa route vers la sortie, en courant, la hache entre ses mains maculées de sang. Tout aller très vite dans sa tête, très très vite, trop vite ! l'alarme, le sang, la drogue, ces trois éléments formaient une sorte de cercle, un cercle alimentant sans cesse sa folie. Les portes défilait à une vitesse ahurissante, les chiffres se confondaientt, les courbes se déformait et surtout... il y avait cette putain d'alarme !

Bordel... tout ça me rend dingue !

Oui lucrezia, tu était entrain de perdre la raison, tu le savais, tu n'était à ce moment là, plus maitresse de ton esprit, seul la folie prédominait, la folie et rien d'autre que la folie...



John

Mais que...

Oui, cette jeune femme venait belle et bien d'amorcer l'alarme à incendie, à présent l'horrible sirène résonnait dans tout l'hôpital. John ne savait pas ou ce mettre, cette femme, la Duchesse, l'alarme, bordel ! ce n'était qu'un vigile !
L'espace de quelques instants il resta figé sans rien faire d'autre que de regarder la jeune femme, cette sirène l'abasourdissait, mais au moins l'avantage c'était qu'il n'avais plus besoin d'appeler les forces de l'ordres, ces dernières n'aller d'ailleurs pas tarder à arriver.

L'homme reprit alors ses esprits et il repensa à la Duchesse, ci la jeune femme qui venait de sonner l'alarme disait vrai, la tueuse devait toujours roder dans l'hôpital, Enfin, ça il n'aller pas tarder à en avoir la réponse.
Oui, car à peine eu il le temps de ce retourner qu'une silhouette  féminine vint à faire irruptions à l'intersection du couloir, de loin elle semblait portait un grand objet contondant entres ses mains et elle semblait couverte de sang... plus aucun doute ! c'est elle ! John ce devait de réagir !

V... VOUS là-bas ! Arrêtez-vous !

mouai... pas super convainquant...



Lucrezia

V... VOUS là-bas ! Arrêtez-vous !

Que...

Qui était ce, qui c'est ce te type ? Bordel il veux quoi ? Il ne voit donc pas qu'il est face à la duchesse et que cette dernière est complétement défoncée et en pleine crise psychotique ! Lucrezia en entendant la voix de l'homme, eu comme reflexe naturelle de ce tournait vers sa direction et que vit elle ? Un gros con et l'autre potiche prêt de l'ascenseur en panne, bordel ! bordel ! Que les gens peuvent êtres cons des fois ! La duchesse en les voyant avançât de quelques mètres en titubant de gauche à droite puis... Elle se mise à courir d'un seul coup vers le pauvre vigile et l'autre grosse paumée, la hache prête à être enfoncée dans toute personne ce trouvant devant son chemin.

John, vit la duchesse accourir vers lui et la pauvre femme, une hache à la mains, il devait faire quelque chose, mais quoi !?

CREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEVE !!!!!!!!!!!  AHAHAHAHAHAHAHAHAHA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!  

Tout est aller très vite, dans son élan de folie, la Duchesse envoya la lame de la hache directement dans l'abdomen du pauvre homme, ce dernier vint par la suite à reculer de plusieurs mètres en arrière, chutant et finissant alors dos au mur, la hache planter dans son ventre. Là, le surplombant, il y avait la Duchesse, les yeux emplis de folie et toujours se sourire malsain collé au visage. john était encore en vie, il respirer difficilement, mais il était encore en vie... mais pour combien de temps encore...

*tousse* Tu...t... tu c.. *tousse* tu cr... crois que cette ville t'appartient..  soufflât il avant de cracher une grosse flaque de sang sur le sol.

Pardon ?

L... les g...  haa... haaan... *tousse*
Les gens... de cette ville... ont des protecteurs, des personnes bienf.... bienfaisantes... prêtes à ce sacrifier pour... p... pour ne pas laisser au gens de ton espèce la liberté de.. *tousse* de co... continuer leurs atrocités...  
Mon dieu, comme ces paroles font clichée...

Ah oui ?  S'exclama Lucrezia avant de tourner son regard vers un extincteur ce trouvant juste à coter de l'homme.

Tu sais... Les gens de ton éspèce à toi sont... *se saisit de l'extincteur*
... Nan... je n'ais aucune réponse à fournir...  

Elle prit le dit objet fermement entre ses deux mains couvertes de sang... prit une grande inspiration... Puis enfin elle vint à donner un violant coup d'extincteur au sommet de la tête du pauvre homme, ouvrant la boite crânienne de ce dernier comme une vulgaire noix, l'homme chuta lourdement au sol, et l'ont pus voir alors sa cervelle dégouliner sur le sol, un peut comme une immonde limace informe et rougeâtre.
Là, au milieu du vacarme assourdissant des sirènes, Lucrezia venait de signé sa deuxième victime de la soirée

Eh...éh...éhéh... hihihi...hihihiHAHAHAHAHA !  C'est trop drôle putain ! AHAHAHAH !

Une fois le vigile violement abattue, Lucrezia se retourna vers la jolie jeune femme qu'elle était, à la base, venue violer en cette macabre nuit estivale.

Toi... Toi... Toi tes une pute ! Une grosse pute ! La reine des catins, la déesse des saintes putes de cette salope de ville de putes ! Ouai... vous êtes toutes des putes, et moi les putes, j'les égorge, j'les violes, j'les dissèque comme des putains de salopes de souris... Toutes de la vermines...Salope ! Salope ! Trainée... Connasse de dégénérée... 
J'vais enfoncer mes doigt dans ta salle petite chatte de pute... et de là... je te déchirer tes petites muqueuses douces et fragiles... ouai...
Voilà ce que souffla notre tueuse en s'avançant lentement vers la jolie Shani, titubant de gauche à droite comme une sorte de zombie, trainant derrière elle l'extincteur maculé d'une grosse giclée de sang, à ce moment là, on aurait pus croire que notre tueuse allait pour la troisième fois de la soirée buter une pauvre âme innocente mais... nop !

Au moment précis ou lucrezia commença à prendre de l'élan pour foutre l'extincteur dans la gueule de la pauvre Shani, un bruit bien trop familier vint à retentir au milieu des sirène de l'hôpital, ce bruit, c'était celui des sirènes de police ainsi que celle des pompiers. La situation devenait critique, très critique, car il fallait ajouter à cela le fait que certains patients commençaient à sortir de leurs chambres, réveillés par le bouquant assourdissant de l'alarme, les patients Et, évidement, le personnel hospitalier. Lucrezia était acculée, son esprit ne Controller plus rien, ça dégénérer totalement, l'Adrénaline, la drogue, le sang la folie, Lucrezia devait fuir cette endroit, au plus vite !
Notre Duchesse mis alors un grand coup d'extincteur en travers du visage de la pauvre Shani puis ni une ni deux elle prit la poudre d'escampette par une des cages d'escaliers ce trouvant à proximité. Elle descendit les marches à toute vitesse, 4 par 4 et cela jusqu'au moment où un de ses talons vint à fatalement se briser sur une des marches en acier, notre Duchesse chuta alors lourdement, déboulent violement une bonne quinzaines de marches avant de d'être durement amortie par un mur en béton, elle se releva, toute branlante sur ses jambes maculées de sang, elle retira ses talons et elle reprit sa course folle vers le parking sous-terrain, seul issue qu'il lui restait.

Dans la tête de la tueuse tout ce mélangait, les marches se déformaient, les étages n'avait plus aucuns sens, c'était comme ci elle était dans un horrible cauchemar, un bad trip sous LSD, un putain d'enfer où, pour une fois, elle était la victime, son souffle s'épuisait mais il était hors de question qu'elle s'arrête, bien des fois elle avais fuis la police, la police et les chiens, putains les chiens ! Lucrezia les haïssait, combiens de ces pauvres clébards la Duchesse avait égorgée, molosses, berger allemands, malinois tous ! PUTAIN TOUS ! Bordel il fallait qu'elle se ressaisie et maintenant !

La carcasse de la tueuse culbutait contre les mur, elle manqua à plusieurs reprise de se rétamer une seconde fois la gueule contre l'acier glaciale des marches, mais au final, elle réussit enfin à atteindre le parking.
En fonçant dans la porte qui menait à ce dernier, Lucrezia s'écroula une deuxième fois, mais là, elle ne put se relever immédiatement, nan, elle eu comme quelques secondes d'inconsciences, comme ci son esprit, l'espace d'un instant, avais quitté son corps. Mais bien vite, elle due se ressaisir, des cris et des aboiements la firent se remettre en route. Branlante et à demi-comateuse, la Duchesse continua sa route hors du parking, une fois sortie de celui-ci, une torche vint à violement agressait ses rétines, cette torche... c'était celle d'un flic ! Bordel ! Cours Lulu, cours !
Et c'est bien ce qu'elle fit notre tueuse, courir à toute berzingue vers le si paisible quartier de la toussaint, sans s'arrêter, sans se poser la moindre question, nan, tout ce qu'elle devait faire à ce moment précis c'était de semer la police...

Poursuivait la ! s'écriât un homme des forces de l'ordres

Mais la duchesse n'avait que faire des paroles, nan, tout ce qu'elle voulait... c'était fuir le merdier dans lequel elle s'était mise...
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Batgirl le mardi 19 novembre 2013, 23:50:53
« ...Signale problème à l’hôpital de la Toussaint, déclenchement de l’alarme-incendie... »

Ce morceau de phrase capta l’attention de Barbara Gordon, qui délaissa son attention sur les deux dealers qu’elle venait de neutraliser dans une ruelle de la Toussaint. Il faisait relativement froid ce soir, et, depuis ses lèvres, son souffle s’expulsait en formant de la buée. Elle porte la main à son casque, enfonçant ses doigts dans une sorte de mollette dissimulée dans ce dernier, afin de mieux capter les ondes radios de la police que Batgirl recevait. Tendant sa main en hauteur, elle se servit de son Bat-grappin pour le ficher en hauteur, près du sommet d’un immeuble, et put ainsi rejoindre le toit. L’hôpital apparaissait juste devant elle. Seikusu comprenait plusieurs complexes hospitaliers, dont un important pôle universitaire, mais la police avait mentionné celui-là. Il était plutôt petit, et faisait plus office d’hôpital de quartier qu’autre chose. Barbara, qui connaissait un peu les hôpitaux, savait par exemple que le service urgentiste ne figurait pas dans cet hôpital-là, ce qui faisait que, la nuit, il n’y avait personne.

Par conséquent, comment l’alarme-incendie avait-elle fait pour se déclencher ? Batgirl réfléchit un peu, tout en utilisant la vision de son casque pour avoir un zoom. Elle ne voyait aucune fumée, aucune trace d’incendie, mais beaucoup de lumières étaient allumées... Beaucoup trop. Elle réfléchit brièvement. Intervenir ? Repartir ? Ce n’était qu’une alarme-incendie, probablement un gosse qui, sans faire attention, avait allumé cette dernière en se promenant dans les couloirs.

*Probablement...*

Elle s’envola vers un autre toit, un peu plus élevé, afin de prendre de la distance, et courut vers le rebord. Barbara plongea alors dans le vide, tout en tendant ses bras, ce qui eut pour effet de déployer ses ailes. Flottant dans les airs, planant littéralement, Barbara se rapprocha ainsi rapidement de l’hôpital. Un petit jardin l’entourait, et, quand elle atterrit sur l’un des toits des bâtiments annexes de l’hôpital, elle posa à nouveau sa main sur son communicateur radio.

Ce soir, Barbara était de sortie. Elle venait de faire un exercice physique intense, ainsi que de suivre son traitement spécial, pour lui permettre d’enfiler à nouveau l’armure, et de ne pas être cloîtrée dans son fauteuil roulant. En son absence, c’était Kate qui se chargeait de l’ordinateur, du rôle de soutien.

« Kate ? Essaie de te connecter au réseau de sécurité de l’hôpital de la Toussaint, l’alarme-incendie vient de s’allumer, je veux tirer ça au clair. »

Barbara passa par une fenêtre, arrivant dans un couloir de l’hôpital. L’alarme continuait à hurler, et elle s’avança rapidement. Les lumières nocturnes des couloirs semblaient s’être automatiquement allumées, donnant à l’ensemble une lueur rouge qui donnait aux couloirs l’impression d’appartenir à un vaisseau spatial issu de « Stark Trek ». La sonnerie stridente lui agressait les oreilles, et, dans certains couloirs sur sa droite ou sur sa gauche, elle pouvait voir des patients inquiets.

Sa radio crépita, et elle posa sa main dessus, afin d’entendre ce que Kate avait à lui dire, par-delà le son strident de l’alarme :

« Tout ce que j’ai pu repérer, c’est l’endroit où l’alarme-incendie a été déclenchée. »

Ce serait toujours mieux que rien. Barbara avait vaguement conscience que ce qu’elle faisait tenait probablement de l’excès de zèle. Initialement, elle n’était pas venue à Seikusu pour se substituer à la police, mais pour poursuivre des trafiquants. Or, entre chercher à démanteler un trafic et se rendre dans un hôpital parce que l’alarme-incendie avait été enclenchée, il y avait un pas... Il fallait voir ça comme une déformation professionnelle. Quand on venait d’une ville comme Gotham, on avait tendance à considérer que rien n’était vraiment acquis.

Barbara fut donc partiellement soulagée quand elle vit qu’il se passait effectivement quelque chose de grave. Elle arriva devant un ascenseur, et vit un cadavre. La moitié de sa cervelle était en train de ressortir sur le sol, une hache plantée dans son ventre. Une femme était étalée dans l’ascenseur, du sang coulant de son nez. En s’approchant, Batgirl tâta son pouls, et constata qu’elle était en vie... Simplement K.-O.

L’alarme-incendie daigna enfin se couper.

« Il y a eu un homicide... Probablement un vigile, vu sa carrure.
 -  Un homicide ? Dans un hôpital ?
 -  À moins que cet homme ne se soit ouvert le crâne lui-même avec un extincteur, je pense qu’on peut considérer, sans trop se tromper, qu’il s’agit d’un meurtre. »

Kate ne dit rien, sentant l’irritation dans le ton de Barbara. Le meurtre était tout récent, car le sang continuait encore à couler du corps de l’homme. Barbara réfléchit rapidement, se mettant dans la tête du tueur. Pourquoi avoir abattu le vigile, et pas la femme ? Elle avait été frappée avec l’extincteur, qui était resté à côté d’elle. La femme avait du entendre les sirènes de la police. Deux voitures de patrouille venaient d’arriver. Impossible de partir par devant sans se faire repérer.

*Minute... Et ces traces de sang, là ? Elles sont trop éloignées pour appartenir à la victime, et trop petites pour suggérer qu’il a été traîné...*

En une poignée de secondes, Barbara finit par comprendre que le tueur s’était enfui, filant vers le parking. En tuant le vigile, son sang avait du lui éclater sur le corps, et le tueur avait laissé des traînées derrière lui... Comme des petits morceaux de pains , qui menaient vers le parking.

Quand Barbara le rejoignit, le tueur n’était pas là, mais elle entendit des policiers parler dans leur radio.

« ...Avons aperçu... Femme en fuite… Couverte de ce qui apparaît être du sang... »



La fuite de la Duchesse la conduisit près d’un immeuble en construction depuis plusieurs mois. La clôture qui l’entourait avait été ouverte par endroits, afin de permettre aux gamins du quartier de s’y amuser. En fouillant bien, on pouvait d’ailleurs toujours voir, dans un tuyau de canalisation en hauteur, un ballon de foot crevé. D’autres utilisaient cet endroit pour fumer. L’immeuble en construction était censé abriter un pôle commercial et être le siège social de plusieurs sociétés d’affaires, s’inscrivant dans un programme public plus large de redynamisation du quartier de la Toussaint. Ce terrain vague appartenait autrefois à une usine qui avait été rasée. Devant les ralentissements de la construction, les responsables du chantier étaient en train de songer à s’offrir la protection de clans yakuzas, celle de la police apparaissant comme largement insuffisante.

Le bâtiment en construction était vide ce soir, et le cadavre de Janet fut rapidement découvert. La police, qui connaissait plutôt bien la Duchesse, du fait des carnages sinistres qu’elle laissait dans la ville, déclencha rapidement le branle-bas de combat général. Laisser deux cadavres dans un hôpital public, c’était s’attaquer à l’État en personne, violer le caractère sacré de ses institutions, ces sanctuaires que constituaient les établissements publics, comme les commissariats, les hôpitaux, ou les casernes de pompiers. De deux voitures de patrouille, il y eut bientôt plusieurs hélicoptères survolant la zone, venant depuis le commissariat central de la ville, ainsi que de nombreuses autres voitures, animant joyeusement le quartier. Traverser les rues du quartier sans se faire relever relevant du miracle, le choix logique était de passer par les ruelles, et, à partir de l’hôpital, on pouvait très rapidement atteindre le chantier, qui constituait un bon moyen de s’enfuir, car il y avait plusieurs accès faciles vers les égouts.

La manière dont la Duchesse était partie, sans achever la patiente, signifiait clairement qu’elle était pressée, paniquée. Elle cherchait donc à fuir. La nuit, le chantier était éclairé par quelques lampes électrogènes, qui avaient été mises en place pour essayer, vainement, de dissuader les jeunes d’entrer.

Quand la Duchesse pénétra dans la cour, et commença à s’avancer, il y eut un petit craquement, et, d’un seul coup, toutes les lampes s’éteignirent. Ce n’était pas du au hasard, bien entendu. Depuis sa position, Barbara posa son détonateur sur le sol. Elle avait trouvé le groupe électrogène de l’éclairage du chantier, et avait posé un appareil sur le générateur, qui allait, provisoirement, désactiver les lampes. Elle se trouvait en hauteur, et se redressa lentement.

« C’est la Duchesse, annonça-t-elle dans sa radio.
 -  Tu veux que je t’envoie quelqu’un ?
 -  Je peux m’en charger.
 -  Mais ton dos... »

Barbara coupa court à la conversation, et consulta brièvement sa montre. Elle approchait de la zone dangereuse, celle à partir de laquelle tout effort physique intense sur son dos pouvait à nouveau contracter ses muscles et ses os, et l’empêcher, à nouveau, de se déplacer. Ce ne fut toutefois pas ça qui l’empêcha de se laisser tomber. Elle plana dans les airs, silhouette invisible, la nuit étant son manteau, tandis qu’elle décrivait des cercles de plus en plus rapprochés en s’abaissant, son objectif étant de frapper la Duchesse à la tête avec ses jambes.

Le risque était toujours qu’elle la perçoive, mais il n’y avait aucune source d’éclairage dans le chantier, et ce n’était pas la pleine lune. Barbara estimait donc que ce risque était plutôt réduit.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 25 novembre 2013, 20:32:44
Dans la tête de la Duchesse, tout était entrain de ce mélanger, il fallait qu'elle parte le plus loin possible de l'hôpital, qu'elle se mette à l'abris des autorités policières bordel, qu'ont la laisse tranquille à la fin, ! Lucrezia entendais les sirènes de polices retentirent de part et d'autres du quartier, les chiens aboyaient, les hommes vociférants qu'ils allaient l'avoir, elle, la Duchesse, la tueuse la plus meurtrière de tout Seikusu. Cette dernière courait comme une folle au travers de la nuit noire, glacial... meurtrière. Lucrezia n'en pouvait plus, son regard ne savait plus ou se posait, ses yeux roulant sans cesses, son corps culbutant dans le moindre obstacle devant elle, mais à force de culbutait, notre Duchesse fini par se prendre les pied dans une vieille poubelle reversée sur le sol, chutant ainsi sur l'asphalte craquelé et crasseux d'une petite ruelle s'entent l'urine à plein nez.

Lucrezia crachat sur le sol avant de difficilement commencer à ce relever, mais bien vite, deux gentils compagnons vinrent à lui rappelaient à quel point les canidés sont rapides, oui, deux beau bergers malinois (http://fr.maieutapedia.org/wiki/Image:malinois_11292510348.jpg) accoururent sur la Duchesse, habillés de leurs harnais de sécurité, l'un d'eux vint alors à sauter sur la tueuse qui eu à peine le temps de se relever en vitesse avant d'être bien rapidement mordue au mollet par le dit foutu clébard.

AAAAARG PUTAIN CASSE TOI DE LA FILS DE PUTE ! S'écriât elle en donnant un grand coup de pied dans la truffe du pauvre animal.

Mais cet alors que l'autre chien vint à bondir sur Lucrezia, faisant chuter cette dernière sur le dos, Les deux chiens tentaient d'immobiliser la Duchesse, mais cette dernière se débâtait comme une diablesse, à grand rendort de coup de poings. Lucrezia devait ce sortir de là, au plus vite ! malheureusement dans l'agitation, il lui était impossible de se saisir de son couteau, deux clebs, c'était trop dur à gérer ! Cet alors que sont regard fut attiré par une vieille bouteille de bière qui trainait là, juste à coter d'elle, Lucrezia se saisit alors du dit objet avant de le fracasser contre le sol puis de violement venir le loger dans l'abdomen du chien ce trouvant au dessus d'elle, ce dernier poussant alors un grand couinement qui résonna dans toute la ruelle.

Tient sale clebs ! lâchât elle avant de repousser l'animal sur le coter.

Elle donna ensuite un violent coup de pied à l'autre chien avant de lui enfoncer le tesson de verre dans l'œil et de partir à toute vitesse. La police était à présent juste derrière elle et des hélicos avaient était déployés, ces derniers braquant leurs énormes projecteurs dans toutes les directions. Autant dire que la situation était critique pour notre chère Duchesse, mais cette dernière vint alors à ce souvenir d'un endroit non loin de là, un chantier à l'abandon, certes, cela n'était pas le Ritz, mais au moins là-bas il y avait pas mal d'endroit où ce cacher, le petit combat avec les deux chiens avait quelque peut remit les idées de notre tueuse en places et c'est sans se poser de question qu'elle alla illico presto rejoindre le chantier. 

Une fois au sein de se dernier, lucrezia soufflât un bon coup avant de faire un pas en avant, mais bizarrement, les lumières se mirent à s'éteindre, d'un coup, comme ça... La tueuse haussa son sourcil balafré avant de regarder tout autour d'elle, au cas où elle aurait était secrètement suivie... mais non, rien à signaler. Au fond, le fait que les lumières ce soit éteintes était plus un avantage qu'un inconvenant car là, au moins, personne ne pouvait la voir.
Au loin les sirènes retentissaient toujours et les hélicos patrouillaient encore, la Duchesse quant à elle, elle se contenta d'avancer dans la pénombre en boitant légèrement, titubant de temps à autre, son souffle était court et son cœur battait la chamade. Dans sa tête résonner l'incessant bruit d'une life-line au bord de l'explosions, cela lui arrivé souvent lorsqu'elle prenait trop de drogues d'un coup.

Putains... faut que je pisse... soufflât elle en posant sa mains contre son abdomens.

La duchesse n'y voyais pas très bien, mais dans la nuit elle peut tout de même distinguer les forme d'une cabine de toilette, notre tueuse se précipita à l'intérieur avant de rapidement enlever sa culotte pleine de sang et de cyprine puis de s'assoir. Notre tueuse lâcha un faible soupir en fermant les yeux au moment ou le flot de liquide jaunâtre vint à sorte de son intimité, certes c'était pas l'endroit rêver pour faire une pause, mais au moins là, elle pouvait être tranquille, au moins le temps de faire son pissou. Lucrezia égale à elle même, passa langoureusement sa main droite sur son clitoris, avec tous ce qu'elle venait de vivre, une petite douceur ne serais pas de refus, mais bon... Elle n'était pas encore tout à fait tirée d'affaire, il fallait encore qu'elle rejoigne son Sanatorium pour pouvoir ce permettre ce genre de choses, c'est donc dans un grand soupir d'insatisfaction qu'elle due se résigner à arrêter là sa petite séance de papouilles nocturnes, c'est triste, mais c'est ça la vie de fugitive.

Une fois sa petite pause fini lucrezia se releva lentement, l'esprit encore embrumé par les drogues. Tellement embrumé qu'elle en oublia de remonter sa culotte et de ce fait... elle failli se ramasser la gueule dans la cabine, heureusement elle se rattrapa de justesse avant de grommeler toute seule.

Raaaah put... vasi c'est bon tu me pète les couilles toi... dit elle en enlevant sa culotte avant de la balancer dans les toilettes.
Lucrezia une fois cela fait, sortie alors de la cabine, mais au moment où cette dernière vint à ouvrir la porte...

Qu...
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Batgirl le mercredi 27 novembre 2013, 02:08:43
Oiseau de nuit, Batgirl tournoyait dans les airs, descendant progressivement, décrivant des cercles. La cible était en bas, et elle la vit se diriger vers une cabine de toilette. La Duchesse, cette tueuse sans aucun scrupule, semblait blessée à la jambe. Elle avançait rapidement, nerveusement, et entra dans une cabine de toilette.

*Petit besoin intime, Duchesse ?*

Barbara continuait à virevolter dans les airs, ralentissant sa course, tout en se rapprochant, très lentement. Elle atterrit ainsi délicatement sur le toit de la cabine, un genou plié, sa cape glissant de part et d’autre de son corps. La jeune femme attendit silencieusement, réfléchissant à une stratégie d’attaque. Elle savait que la Duchesse était une femme redoutable, rapide, nerveuse, et athlétique. La sous-estimer serait une erreur, et Batgirl allait devoir frapper fort, afin de la neutraliser. Au loin, la police hurlait. Les policiers ne tarderaient plus à venir ici, mais Barbara espérait tout de même bien réussir à appréhender cette femme avant que les policiers ne débarquent. Réfléchissant donc vite, elle sortit un gadget de sa ceinture, et dessina sur le toit de la cabine un symbole. C’était un gel explosif (http://images1.wikia.nocookie.net/__cb20111001195304/batman/images/f/f5/AC_Explosive_Gel.jpg), qui parvenait à faire exploser les plus faibles structures... Comme le toit d’une cabine préfabriquée d’un chantier. Elle rangea le gel à sa ceinture. Il suffisait d’appuyer sur un autre bouton de l’appareil pour le faire exploser.

La Duchesse n’allait plus tarder à sortir, et, dès que Barbara vit la porte s’ouvrir, elle agit rapidement. Une main en appui sur le toit de la cabine, elle bondit dans le vide, décrivant un arc de cercle avec son corps, et logea ses deux pieds joints dans le torse de Lucrezia, repoussant cette dernière, l’envoyant atterrir sur le pot de la cabine. Barbara bondit ensuite en arrière, et enclencha le gel explosif. Il y eut un petit bip, et le toit explosa, tombant sur le corps de la femme, tandis que les parois latérales de la cabine se mirent également à tomber.

« La Duchesse, vous êtes en état d’arrestation... La loi m’oblige à vous demander de vous rendre sans résistance, mais, si vous voulez vraiment me faire plaisir, offrez-moi l’occasion de vous casser la gueule. »

Barbara avait souffert des psychopathes. À cause du Joker, elle avait failli perdre la vie, et son père avait, pendant des mois, fait des cauchemars incessants. Elle s’était retrouvée enfoncée dans un fauteuil roulant, et, même maintenant, ses jambes continuaient à la faire souffrir, et à constituer son principal défaut. Elle ne pouvait pas tolérer les gens comme ça, ceux qui voyaient la vie humaine comme un jeu. Restant à distance prudente de la cabine détruite, Barbara avait le corps légèrement fléchi, une main tenant l’un de ses Batarangs.

Au moindre geste suspect, la super-héroïne était prête à le balancer.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le jeudi 28 novembre 2013, 17:37:43
Tout est aller très vite, à tel point que la Duchesse ne put rien faire d'autre que de subir, un coup, une explosion, des débris, bordel ! Que venait il de ce passer !? Ca, Lucrezia n'aller pas tarder à le savoir. Cette dernière était recouvertes par deux grands morceaux de plaquo, visiblement la légère explosion avait quelque peut sonnée  le meurtrière mais... que pour peut de temps malheureusement...
Dans la tête de Lucrezia un horrible bourdonnement venait de naitre, mais ce bourdonnement ne l'empêcha pas d'entendre une voix, une voix féminine... Malheureusement elle ne peut pas concrètement discerner ce que l'inconnue disait.

Gnnnhh... gémit Lucrezia en faisant racler ses ongles contre le sol du chantier.

Un toussotement, un crachat puis enfin, la tueuse daignât se relever en se tenant la tête de la mains droite. Lucrezia tituba d'avant en arrière, reprenant bien difficilement son équilibre, elle était visiblement encore très amochée, mais la psychopathe était du genre robuste. Elle resta sur place quelque temps, histoire de reprendre ses esprits puis... Elle commença enfin à comprendre... Là, efface de notre tueuse, se dressait une silhouette sombre et féminine, Lucrezia laissa un regard à la dite silhouette, Le genre de regard qui trahis tout de suite la folie sous-jacente d'une personne comme La Duchesse, le regard bien sombre, vide de toute émotion, les yeux mornes et sans aucune lueur, la folie... rien que la folie...
Tel un zombie, Lucrezia semblait manquer d'équilibre, elle flanchait, titubait ce qui rendait d'ailleurs ses mouvement très imprévisibles, L'étrange silhouette devait à présent faire très attention, même si La Duchesse était dans un état lamentable, elle restait toujours une menace.

T... Tu me veux quoi toi... t'est qui ? Casse toi ou je t'égorge sale pute... Dit elle en faisant lentement glisser sa main dans sa sacoche, afin de se saisir de son couteau de boucher.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Batgirl le vendredi 29 novembre 2013, 15:04:45
Restant à bonne distance, Barbara était en position de combat, les genoux fléchis, les jambes légèrement écartées. La Duchesse était une femme dont Barbara, qui se tenait informée, connaissait. Une tueuse psychotique que la police essayait désespérément de coincer. Savoir comment cette folle avait pu échapper à la police était toujours un exercice intellectuel très difficile. Barbara, qui avait étudié bon nombre de tueurs en série, savait cependant que son cas n’était pas unique. La plupart des psychopathes, sous une apparente folie pouvant laisser deviner un esprit irresponsable, témoignait en fait d’une intense perversion et d’une puissante paranoïa qui leur permettait de continuellement échapper à la police, et même, pour les plus pervers d’entre eux, de se concocter une image d’être noble et saint aux yeux des autres personnes. Des démons incapables de ressentir la moindre émotion autrement qu’en infligeant la mort, de la manière la plus atroce qui soit. Il ne s’agissait pas tant pour eux que de tuer une personne, que de la détruire, aussi bien psychiquement que physiquement. Des individus abominables, qui ne méritaient pas de vivre.  Qu’ils aient été martyrisés pendant leurs enfances ne suffisait nullement, à ses yeux, à les exonérer de leurs responsabilités. Si ça ne tenait qu’à elle, il y aurait bien longtemps que le Joker aurait fini sur la chaise électrique, ainsi que tous les autres tueurs qu’elle avait pu croiser. Elle ne les pensait pas vraiment malades, elle les pensait irrécupérables, cruels, et monstrueux. Mis à part donner du boulot à des hommes et des femmes en combinaison moulante, elle ne voyait aucune autre raison de garder de telles personnes en vie.

Lentement, la Duchesse émergeait, titubant à moitié, sonnée. Barbara espérait bien qu’elle allait encaisser. Elle n’avait jamais vraiment eu l’occasion de déverser sur le Joker toute la rage qu’elle avait accumulée à l’idée d’être coincée dans un fauteuil roulant. Cette cinglée, qui n’hésitait même pas à s’en prendre à un hôpital, allait payer pour les autres.

« T... Tu me veux quoi toi... t'est qui ? Casse toi ou je t'égorge sale pute... »

Barbara esquissa un sourire. Elle vit la Duchesse glisser l’une de ses mains vers sa sacoche, et, à peine eut-elle le temps de saisir le manche d’un couteau, que Barbara bondit vers elle. Elle aurait pu envoyer son Batarang, mais elle voulait la frapper en personne. Avant de finir en fauteuil roulant, Barbara Gordon s’était révélée être très redoutable dans l’art des combats de rue. Contrairement à Bruce Wayne, sa taille frêle lui permettait d’être particulièrement véloce, et se couplait avec sa bonne mémoire visuelle et son sens de l’observation. Elle avait une très bonne lecture visuelle de l’environnement et de ses adversaires. Filant vers la Duchesse, Barbara roula sur le sol, et se servit de ses mains, posées à plat sur le sol pendant sa roulade, pour se catapulter en hauteur, deux pieds joints. Elle atteignit la femme au visage seulement deux ou trois secondes après sa question.

La justicière se remit sur pied, et, sans laisser le temps à la Duchesse de réagir, enchaîna par un coup de pied levé et frappé à hauteur du poignet tenant le couteau de boucher, faisant sauter ce dernier, puis par un direct en pleine tête. La Duchesse s’affala sur le sol, et Barbara eut l’intense satisfaction de voir des gouttes de sang éclairer fugacement son gant.

« Je suis venue mettre un terme à ton existence pathétique, Duchesse... L’existence d’une minable qui finira grillée sur la chaise électrique quand les flics viendront te serrer, ce qui ne saurait tarder. Mais fais-moi plaisir, relève-toi, j’ai encore envie de te cogner. »

Prudente, Barbara s’était légèrement écartée, car elle ne voulait pas se recevoir un coup de pied en se ruant sur elle. Cette femme était aussi retorse que d’autres tarés comme le Joker. S’il ne fallait pas surestimer leurs capacités de combat, en revanche, sous-estimer leur esprit retors était une grossière erreur d’analyse, une erreur que Batgirl entendait bien ne pas commettre.

Malheureusement, alors qu’elle se tenait face à la Duchesse, elle commença à sentir des picotements le long de sa colonne vertébrale, et une vive pointe de douleur vint la traverser, déformant ses lèvres.

*Oh non, pas maintenant !*

Les vertèbres de sa colonne vertébrale recommençaient à la faire souffrir, ce qui, très certainement, était une conséquence de la roulade et du saut périlleux qu’elle venait d’accomplir. Elle respira lourdement. La pointe de douleur passa, mais Barbara n’était plus assurée qu’avant. Si elle n’en finissait pas rapidement, elle risquait d’avoir de gros problèmes.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 08 décembre 2013, 20:40:07
Les coups ? Lucrezia ne les avait pas vue venir, à ça non, la pauvre avait l'esprit bien trop embrumé par les drogues, l'explosion et la folie, c'est donc sans opposer aucune résistance qu'elle se mangea un bat-combo en pleine face, ce dernier laissant notre pauvre Duchesse au sol, presque inconsciente... Nan, son épopée meurtrière ne pouvait s'arrêter là, pas comme ça, pas avec une fin aussi minable... Et pourtant...

"..."

Encore une fois Lucrezia eu un vide, un de ces moments où l'esprit de la tueuse s'assombri, où tout ce noirci... ne laissant que le néant monstrueux d'une femme habitée par la folie et le meurtre, les ténèbres insondables d'une âme bercée dans le chaos et le sang...



Flashback de Lucrezia

Tu les entends... Ses poings qui chutent lourdement sur son corps si fragile... Sa voix dur qui l'insulte, qui la menace... Tu l'entends... Elle... Elle pleure... Elle l'implore... tu l'entends souffrir
Toi... Toi Tu ne comprend pas, tu est trop jeune... trop faible... Tu ne comprend pas pourquoi... est ce un jeux ?... Une simple dispute ? Pour toi tout cela est obscure... obscure mais... au plus profond de ta chair... tu sais qu'elle a mal...

Tu es emmitoufler dans ta couette, tu regarde la porte de ta chambre d'un regard inquiet... Tu n'entend plus rien... juste le pesant silence d'une nuit comme il y en à eu tant d'autres auparavant... puis... Tu entends ses pas, lourds, sinistres... une démarche lente et maladroite... Il est saoul... Ce monstre avance vers toi... Vers ta chambre...
Tu sers contre ton corps si frêle, ta peluche Favorite... Tu à peur... Une nouvelle fois le silence marque une pause... puis tu voix la poignée se tourner... puis la porte s'ouvrir... Toi, tu ferme tes yeux turquoises, pareil aux lapis lazulis... pareil aux hortensia qui fleurissent dans le jardin... pareil à tant de chose magnifiques en ce monde... chose qui sont pourtant si loin en cette sinistre nuit...


Viens petite pute... papa vas t'apprendre la vie... Toi et ta salope de mère... Vous êtes minables...



"... Minable..."

Ce simple mot sembla résonner à l'infini dans le cerveau de la Duchesse, extirpant cette dernière de son flashback. Mais malgré cela, notre tueuse était toujours aussi sonnée, elle cracha du sang sur le sol, sang qui provenait vraisemblablement de ses lèvres, bordel... qui était l'odieuse connasse qui venait de lui lapider la tronche, ça Lucrezia aurait bien aimée le savoir. Cette dernière tâtonna le sol de sa main droite, recherchant désespérément son couteau ou n'importe qu'elle autre putain d'objet pouvant faire office d'arme blanche, afin de casser la gueule à l'autre grognasse de merde ! Par chance, La tueuse tomba sur un vieux tuyau rouillé, elle s'en saisit alors avant de TRES difficilement se relever... Elle était mal en point notre Duchesse, ont peut pas dire que le combat tourner en sa faveur, mais malgré tout elle devait continuer.

Elle se tourna vers l'inconnue puis d'un ton sinistre, elle lui réadressa la parole.

Fous moi la paix bordel... t'es quoi, Une justicière ?...   Lâchât elle en avançant vers la jeune femme visiblement moins assurée qu'avant... pourquoi ? Lucrezia l'ignorait... Et puis au fond, elle s'en foutait, tout ce qu'elle voulait, c'était en finir au plus vite pour ce barrer loin d'ici.
 


Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Batgirl le mardi 10 décembre 2013, 01:21:56
Comment quelqu’un finissait par devenir un tueur en série, l’un de ces psychopathes dont la démence et la cruauté défrayaient la chronique ? C’était une question à laquelle aucune réponse fiable n’était apportée, et qui faisait couramment l’objet de nombreuses études, aussi bien gouvernementales que privées. Le FBI s’intéressait de très près à toutes ces questions, et également Barbara. Après que le Joker lui eût ôté l’usage de ses jambes, et ait mentalement torturé son père, Barbara avait assisté à de nombreuses conférences livrées par les spécialistes du genre, généralement des agents du FBI, des avocats, ou des psychiatres qui avaient eu la « chance », pour ainsi dire, d’avoir des tueurs en série comme patients. De manière générale, tous ces gens soutenaient qu’on pouvait difficilement considérer les serials killers comme étant uniquement des victimes. Elles étaient conscientes de ce qu’elles faisaient, et elles l’étaient d’autant plus qu’elles ne pouvaient ressentir du plaisir qu’ainsi, en infligeant la souffrance. Ces tueurs avaient généralement eu des enfances difficiles, très difficiles, mais il existait quantité d’enfants maltraités, battus, humiliés, qui ne finissaient pas par devenir des sadiques cruels. Où se situait le curseur ? Beaucoup des spécialistes évoquaient souvent le nazisme et les camps de la mort pour montrer que, parfois, certaines personnes n’étaient soumises par aucune autre motivation que faire le mal, et infliger la souffrance. C’était un point de vue très manichéen. Ces spécialistes ne soutenaient pas que les individus naissaient forcément mauvais, mais que toute personne avait une prédisposition naturelle à faire souffrir son prochain, et que, selon certaines circonstances qui n’étaient pas encore clairement déterminées, cette prédisposition finissait par supplanter tout le reste. Après toutes ces années d’étude, Barbara en était arrivée à la conclusion qu’elle ne pourrait pas faire preuve de pitié envers des gens comme ça. Son avis était largement subjectif, influencé par tous les détraqués et les malades qu’elle avait neutralisé et envoyé à Arkha, et dont elle avait ensuite suivi, par la suite, les efforts inutiles de guérison et de réhabilitation. Des gens comme le Joker ne devaient pas être soignés. Des gens comme la Duchesse devaient être éliminés. Tout ce que Barbara souhaitait, c’était que cette femme agisse de telle sorte que l’Oracle pourrait la tuer en invoquant la légitime défense, et ainsi avoir la conscience tranquille.

L’Oracle savait que la Duchesse avait déjà été arrêtée. Elle avait été placée dans un asile psychiatrique, dont elle avait réussi à s’échapper... Exactement comme le Joker, et comme d’autres. Barbara n’arrivait pas à comprendre pourquoi on ne les mettait pas en cellule. C’était le seul endroit qu’ils méritaient, la cellule... En attendant de finir sur la chaise électrique.

Elle fut donc rassurée quand elle vit la Duchesse se relever, et agripper un vieux tuyau rouillé. Elle le souleva lentement, tout en avançant, d’une démarche mal assurée, vers elle. L’Oracle, elle, savait qu’elle devait faire preuve de prudence : ses vertèbres risquaient de flancher si elle faisait encore trop d’acrobaties.

« Fous moi la paix bordel... t'es quoi, Une justicière ?... »

Batgirl ne répondit pas, en position de combat. La Duchesse s’avança, ayant visiblement pour arme son tuyau. Barbara attaqua à nouveau. Elle attrapa un Batarang, et fit preuve de sa redoutable rapidité. Le Batarang fila, et frappa le poignet tenant le tuyau, mais la véritable attaque ne vint pas de là. Il s’agissait juste d’une diversion, un moyen de forcer la Duchesse à se concentrer sur le tuyau, car, pendant ce temps, Batgirl fondit sur elle, et opta pour un coup de pied retourné. Elle atteignit la Duchesse à la tempe, mais sous-estima la réactivité de cette dernière, car sa prise sur le tuyau était raffermi, et le tuyau la heurta dans le bas du dos.

Barbara se mit à tituber, et posa la main à son dos, tombant à quatre pattes, sentant une onde de douleur aiguë la traverser. Son pied avait fait mouche, mais la Duchesse aussi.

*Ah, bordel, putain ! Ça fait mal !*

Elle soupira, clignant des yeux à plusieurs reprises, avant de se redresser, des fourmillements dans son dos. Elle se retourna, de la sueur s’échappant de sa tête, glissant sous son casque. Barbara aurait du se replier, attendre que les renforts arrivent. Mais, si elle faisait ça, il y avait une chance, même infime, pour que la Duchesse réussisse à s’échapper... Et ça, Batgirl ne le voulait pas.

« Je suis venue mettre un terme à tes exactions, Lucrezia »

Barbara ne pouvait plus se permettre d’attendre, et décida de mettre en rage la femme, d’énerver son agressivité pour la forcer à se ruer sur elle, et ainsi pouvoir plus facilement la neutraliser.

« Tu ne me connais pas, mais moi, je te connais. J’ai lu ton dossier, les enregistrements à l’époque où tu étais internée, je me suis renseignée. Tu aimais ta mère, hein ? C’était une ‘‘ange’’, comme tu le dis si bien. C’est qui qui l’a tué ? Ton père ? Ou toi ? Ou vous l’avez fait ensemble ? Il la battait, et toi, tu as achevé le travail ? »

Dans l’enregistrement audio que Barbara avait réussi à se procurer, elle avait vu que, quand le psychiatre en charge de Lucrezia avait mentionné la mort de sa mère, cette dernière était entrée dans une rage folle. Elle décida d’enfoncer le clou, en se mettant en position de combat, sans tenir compte des légers craquements dans son dos :

« Tu drogues tes victimes pour qu’elles apprécient ton contact. Tu es aussi impuissante que l’était ton père. Tu es comme lui, et c’est pour cette raison que je vais mettre un terme à tes agissements. »
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le lundi 16 décembre 2013, 18:35:19
La justicière accourue vers Lucrezia et c'est un nouveau coup de pied qui fut violement décoché en pleine face de notre tueuse, mais cette dernière eu assez de réactivité pour donner en retour, un violent coups de tuyau dans le bas du dos de la jeune femme en tenue moulante, la faisant ainsi tomber à quatre pattes. La justicière semblait en difficulté, le coup que venait de lui asséner Lucrezia aurait il était critique ?
 Disons que la tueuse n'eu pas vraiment le temps de se poser la question car la justicière, bien que quelque peut amochée, revint bien vite a l'assaut, faisant face une nouvelle à la Duchesse.

 « Je suis venue mettre un terme à tes exactions, Lucrezia »

 Lucrezia ne répondis pas, elle s'en foutait pas mal enfaite, Combien de fois les flics ont put crier qu'ils "aller l'avoir", avant de repartir la queue entre les jambes. La duchesse fixait froidement l'inconnue, parant à toute éventualité, se préparant psychologiquement à n'importe qu'elle coup... A n'importe quel coup... sauf peut être a celui qui allait suivre...

 « Tu ne me connais pas, mais moi, je te connais. J’ai lu ton dossier, les enregistrements à l’époque où tu étais internée, je me suis renseignée. Tu aimais ta mère, hein ? C’était une ‘‘ange’’, comme tu le dis si bien. C’est qui qui l’a tué ? Ton père ? Ou toi ? Ou vous l’avez fait ensemble ? Il la battait, et toi, tu as achevé le travail ? »

 BAM ! Heart-shot !

 Lucrezia ne put rien dire, ce monologue la figea d'un coup, notre tueuse fut comme paralysée à l'écoute de cette remarque, elle ouvrit grand les yeux, ravala sa salive et se tut. Batgirl venait de toucher un point très sensible... Trop sensible... Mais cette dernière n'en resta pas là, oh grand non ! Elle poussa le vice bien plus loin...

 « Tu drogues tes victimes pour qu’elles apprécient ton contact. Tu es aussi impuissante que l’était ton père. Tu es comme lui...b]

 Là... Batgirl venait d'outrepasser les limites qu'il ne fallait pas franchir...

 Qu...  

 Les mots ce bloquaient, il n'arrivaient à sortirent, Batgirl avez osez faire ce que bien des psychiatres en charge de Lucrezia évitaient... Parler de sa famille... Comme ça, sans aucune retenue ni aucune pincettes, les paroles étaient crues... Lucrezia elle, en étaient troublée.

 Qu'est s'tu viens de de... dire... Sale pute...

 Le visage de la Duchesse se contracta de colère tendis que ses poings se resserrèrent, la jolie justicière était loin d'imaginer à quel point ce qu'elle venait de dire aller changer la donne. Lucrezia se mise alors à avancer lentement vers Batgirl, laissant trainer derrière elle son arme de fortune.

 Comment... comment ose tu... parler d'elle...

 La Duchesse se rapprochait dangereusement de la justicière qui quant à elle, restait sur ses gardes, attendant le moment propices pour frapper... Lucrezia prit alors le tuyaux à deux mains puis...

 J'vais... T'BUTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEER !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 Notre tueuse se ruât alors sur sa proie à toute vitesse, son arme à la mains, prête à assener à la pauvre femme un violent coup en plein dans la boite crânienne, mais... Faut il vous rappelez contre qui Lulu ce bat ? Contre bat-girl ! Cette dernière, au moment même ou Lucrezia était prête à lui balancer le tuyaux en travers la face, rétorquas par un violent coup de pied dans l'abdomen suivis d'une multitude de coups de poings qui furent clos par un magnifique Uppercut, uppercut qui fit reculer la duchesse de plusieurs pas en arrière.

 Malheureusement, Batgirl eut une nouvelle fois un violente pointe de douleur au niveau du dos, Bloquant cette dernière dans sont superbe combos. il fallait que le combat se close, et vite ! Sinon... Lulu allait avoir la chance de pouvoir mettre "tueuse de justicière" dans son curriculum vitae de psychopathe.

 En parlant de Lucrezia, cette dernière avait la tête penchée en arrière, la tueuse titubait... mais bizarrement... elle ne semblait pas du tout sonnée ni même affectée par l'enchainement de la chauve-souris... La Duchesse remise alors, si je puis dire, sa tête en place, accompagnant son geste d'un roulement d'yeux... Visiblement, le combos de la justicière n'avait en rien déstabilisée notre tueuse. Cette dernière revint par la suite à l'assaut, pour une nouvelle fois ce faire rembarrer à grand renfort de coups de pieds... mais rien n'y fit, La Duchesse semblait comme... insensible à la douleur... Elle ne sentait plus rien, la morphine, la colère et sa folie l'immunisait contre toute forme de douleur, la seul chose qu'elle voulait à ce moment précis c'était de la tuer... elle... Batgirl.

Cette dernière était visiblement extenuée... vainement elle essaya une fois de plus d'assener à la tueuse un coup, mais Lucrezia n'eu cas légèrement se déporter sur le coter pour esquiver le coup, ensuite... La Duchesse souleva son tuyaux au dessus de sa tête... avant de donner un grand coup de ce dernier dans le dos de la justicière, justicière qui s'effondra sur le sol...

Alors... Elle est ou ta "justice" maintenant ?
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Batgirl le mercredi 18 décembre 2013, 01:27:08
« J'vais... T'BUTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEER !!!! »

Le cri de rage de la Duchesse ne surprit nullement Barbara, qui resta en position de contact. La tarée tenait toujours son tuyau, et, dans une bande dessinée, on l’aurait probablement montré avec des vaisseaux sanguins ayant explosé dans ses yeux, de la salive s’échappant de ses lèvres. Elle n’effrayait nullement Batgirl, qui répliqua rapidement. Son pied partit, et l’atteignit dans le ventre, coupant, non seulement sa respiration, mais aussi son élan. L’héroïne agit alors, et roua le visage de la Duchesse de coups de poings et de coups de coude en se retournant. Elle l’enchaîna pendant quelques secondes, et serra son poing gauche, pour un formidable uppercut... Qui provoqua un craquement dans le bas de son dos. Quand son poing heurta la mâchoire de la femme, la repoussant, Barbara sentit une pointe de douleur aiguë la traverser à hauteur du bas de son dos, et poussa un cri étouffé en sentant ses jambes se dérober sous elle.

*Oh non, pas ça !*

Ses jambes se dérobèrent sous son poids, et elle tomba à quatre pattes, fermant les yeux, retenant un cri silencieux, sous la douleur fulgurante qui venait d’exploser en elle. Elle secoua lentement la tête. Son dos lui faisait mal, bien trop mal, et elle savait qu’il était trop tard. Il fallait qu’il se replie, mais la Duchesse n’en avait pas encore fini avec elle. L’Oracle réfléchit assez, vite, et porta la main à sa ceinture, en sortant son Bat-grappin. Ce que la Duchesse interpréta comme une tentative d’attaque fut en réalité une tentative de repli à l’aide de son arme, mais elle n’eut guère le temps de trouver une cible valide que le tuyau de la Duchesse s’abattit violemment sur son dos.

« HAAAAAAAAAAA !! »

Le cri de douleur de Barbara s’échappa de ses lèvres, et elle s’écroula sur le sol, se tortillant faiblement, alors que ses vertèbres venaient à nouveau de se déboîter, très légèrement, mais suffisamment pour l’empêcher de reprendre le contrôle de ses jambes

« Alors... Elle est ou ta "justice" maintenant ? » claironna la Duchesse.

Allongée sur le sol, Barbara haletait lourdement, le souffle lourd, de la sueur s’échappant de sa tête. Impossible de se battre, maintenant, ni même de se replier. Son corps était en train de redevenir le sarcophage dans lequel elle était piégée depuis des années, son talon d’Achille. Elle s’en voulait d’avoir voulu agir ce soir, au lieu de laisser les autres endosser le costume. Cependant, Barbara n’était pas encore totalement démunie. Elle ne répondit pas à la Duchesse. Elle savait ce que cette dernière allait lui faire, où elle allait l’emmener. En la provoquant, Batgirl avait déclenché sa rage, et elle ne pouvait pas simplement se contenter de la laisser là, et partir, ou juste la tuer... Ce serait trop rapide. Elle allait vouloir la faire souffrir, auparavant. Et, dans tous les cas de figure, il allait falloir que la Duchesse traîne Barbara le long des égouts, jusqu’à son repaire, soit autant de temps perdu que Barbara pourrait mettre à son profit.

Elle porta sa main à sa ceinture, et la glissa dans une sacoche. Ce faisant, elle appuya sur un petit dispositif, et le laissa dans la sacoche. Elle déplaça ensuite lentement ses doigts, et appuya sur un autre bouton, qui verrouilla sa ceinture. Désormais, si quelqu’un d’autre que des empreintes reconnues parla ceinture essaieraient de la toucher, la ceinture émettrait une charge électrique très désagréable. Le dispositif que Barbara avait enclenché était tout simplement un signal d’alerte, à partir duquel la jeune femme espérait recevoir des renforts... Elle espérait juste que les filles ne traîneraient pas trop.

*Profite de ta victoire, Duchesse... Il se pourrait bien que, là où mon dos ait été mon talon d’Achille, je sois ton cheval de Troie.*

Comme pour donner l’illusion que Barbara était piégée, elle se mit à ramper... Ou, du moins, à essayer. Elle savait que les maniaques aimaient bien ça : deviner la peur chez leurs proies. Or, quelle meilleure expression de la peur que de la fuite ? Tout en gémissant silencieusement, Batgirl tenta donc de ramper, mais ne put enfoncer que ses doigts dans la terre. C’était comme si ses jambes étaient devenus deux poteaux infernaux refusant de la porter.

Elle ne pouvait donc guère aller plus loin, d’autant plus que la douleur était telle qu’elle l’anesthésiait.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mercredi 01 janvier 2014, 23:01:44
La justicière gisait sur le sol, haletant lourdement comme une pauvre chienne battue, Lucrezia se rapprochait dangereusement de sa proie fébrile avec un sourire qui petite à petit venait illuminer son visage blafard couvert de sang. Du haut de sa petite victoire la Duchesse pouvait enfin mieux visualiser sa victime, un corps horriblement attirant Sublimé par une tenue de cuir particulièrement moulante, dieu que Lucrezia aller se régaler... oui... Notre tueuse sentie monter en elle cette sensation irrépressible, cette pulsion sexuellement mortifère qui précède chacun de ses macabres massacres. La pauvre femme tenta vainement de fuir, ce qui excita encore plus Lucrezia, voir ses victimes fuirent, ramper, implorer, elle adorait ça... Oui... Elle adorait vraiment ça, ça l'exciter d'autant plus qu'elle savait pertinemment que sa victime lui appartenait, comme ci cette dernière n'était qu'un jouet, un vulgaire objet, un pions parmi tant d'autres sur cette terre.

 Tu es à moi... Lâchât elle avant de violement poser son pied sur le dos de la jeune femme, faisant crier cette dernière de douleur.

 ahah... ahaha... ahahahAHAHAHAHAHA ! HAHAHAHAHA ! OUAI ! BORDEL OUAI ! CRIE, IMPLORE, PLEURE, CHIALE TOUTES LES LARMES DE TON CORPS AHAHAHA !

 Suite à cela lucrezia lâcha son tuyau puis vint à s'accroupir à coter de le justicière caressant doucement la chevelure rousse de la jeune femme.

 J'vais te faire souffrir ma belle, j'vais me délecter de ton corps de chienne... HaAaAAAAAaaaaaAa.... rien que d'y penser je mouille comme une salope.... souffat elle avant de retourner Batgirl sur le dos puis de se mettre à la caresser de long en large tout en poussant de grand soupir d'excitations.

 HaaaaaAaAAn.... haaAAnnn ouai.... je sent que je vais vraiment prendre mon pied avec toi...

 Lucrezia était dans un état de pur excitations, elle ne contrôlait plus ses pulsions, de son antre juteuse dégoulinait un mince filet de cyprine tendis que sa langue passait frénétiquement sur la cicatrice ornant ses lèvres bleutées... Oui... Oui Lucrezia est belle est bien une maniaque sexuelle, une prédatrice de sexe et de sang, une "lust killer" comme ils disent dans le milieux psychiatrique.

 Cet alors que l'une des mains de notre tueuses vint à entrer en contact avec la ceinture de la justicière et là... BZZZZt !
 Une décharge électrique traversa tout le bras de Lucrezia, faisant basculer cette dernière en arrière.

 Put... t'inquiète... t'inquiète espèce de pouffiasse... tu auras beau avoir autant de joujoux que tu voudras, cette nuit sera ta dernière sur cette salope de terre !

 Une fois cela dit Lucrezia pris dans sa sacoche un flacon de chloroforme à l'aide du quel elle imbiba un petit mouchoir blanc puis délicatement elle vint à rapprocher le mouchoir du visage de la jeune femme.

 Bonne nuit... Mon étoile.... soufflât elle avant de violement plaquer le petit bout de tissu sur le nez et la bouche de Batgirl, cette dernière remua vainement quelques secondes avant de doucement tomber dans les pommes. Aux loin, les sirènes de polices et les hélicoptères semblaient se rapprochaient, Lucrezia devait trouver un endroit où emmener la justicière et... L'endroit s'imposa de lui même dans l'esprit torturé de la tueuse...

 Ooooh... Oui...

 Lucrezia ramassa son couteau, prit Batgirl dans ses bras en évitant tout contact avec la ceinture de cette dernière puis elle alla en directions du dit endroit en titubant quelque peut... Cette macabre nuit n'était manifestement pas prête de ce terminer...
 D'un pas rapide Lucrezia traverssa la Toussaint en passant par d'innombrable petites ruelles mal ou voir, pas du tout éclairées et ce fut en moins d'une petite trentaine de minutes que la meurtrière réussit à rejoindre l'une de ses planque favorites... Un vieux pub crasseux totalement à l'abandon. La Duchesse regarda vaguement aux alentours, histoire d'assurer le coup puis... elle entra dans le pub...

 L'endroit était crasseux, il emmener de ce dernier un horrible odeur de vomit, de pourriture d'alcool et de crasse, les tables et les chaises étaient brisées et renversées sur le sol jonché de bris de verre et de bien d'autres détritus... Lucrezia de s'attarda pas ici, préférant rejoindre directement le sous-sol, un endroit sinistre à l'écart de tout, un endroit ou Lucrezia avait signée certaines de ses pires boucheries, un des nombreux endroit ou elle avait laissée parler ses plus bas instincts et ses pulsions les plus crades et débauchées.
 Le sous sol avait des allure d'abattoir car en réalité ce dernier était autrefois la cuisine du pub, il trônait toujours au centre de la pièce un grand tour en inox couvert de sang à coter du quel on pouvait voir une petite table en bois elle aussi couverte de sang. Pour le reste, la salle n'était qu'une vaste porcherie, il y avait un peut partout dans la pièce des vieux sacs poubelles des quels s'échappait un liquide brun et nauséabond venant dégouliner dans une petite bouche d'égout. Lucrezia alluma la seule lumière qui fonctionnait encore, celle-ci se trouvait juste au dessus du tour en inox et était défectueuse, ne cessant de grésiller et de clignotait. Notre tueuse installa batgirl sur sa table chirurgical de fortune avant de solidement attacher la justicière avec des du fil de fer qui trainait là, la Duchesse jubilait, elle allait enfin pouvoir libérer ses pulsions malsaine sur une pauvre femme, la violer, la mutiler, la tuer et ensuite l'éventrer pour lui retirer son utérus.

Une fois la "patiente" installée, Lucrezia disposa consciencieusement ses ustensiles sur la petite table en bois, Bistouri, couteaux, Spéculum, seringues, flacons divers et enfin, une longue petite baguette effilée servante à élargir l'urètre de la patiente.

Qu... Merde, je l'ais mise où.... lâchât elle en farfouillant dans sa sacoche.

Visiblement, la petite baguette n'était pas de la partie, du coup, Lucrezia était bien embétée... Cette dernière regarda vaguement autour d'elle, histoire de voir si il n'y avait pas quelque chose pouvant servir de substitue à la dite baguette.

Voyons voyons... Oh ! Tiens ! je vais prendre ça !

Lucrezia se penchât alors pour ramasser un... un long bout de fil barbelé rouillé.

J'espère que tu est vaccinée contre tétanos AHAHAHA !   

En disant cela Lucrezia se saisit de son petit flacons d'Ether afin d'en imbiber un petit mouchoir, mouchoir qu'elle se mis sur le nez avant de prendre un grande bouffer d'air dans se dernier.

Aaaaaaaaaaah.... Bordel !

Cet alors que son regard se tourna vers... Une vieille bouteille de whisky dissimulée derrière un jerrycan d'essence.

JACK... POT !

et hop, doubler gagnant ! En plus de pouvoir se bourrer la gueule, elle aller pouvoir se décaper les neurones avec l'essence... Autant dire que l'opérations allait pas être des plus... propre...
A ta santé... Bitch ! lâchât elle en rammassant la bouteille de sky puis d'en boire plusieurs gorgées cul sec.
Batgirl, toujours dans les vapes, ce mise à pousser de petits gémissement, elle semblait peut à peut sortir de sa torpeur, ce qui bien évidement attira l'attention de la tueuse.

Eyh...

Lucrezia s'enfila cinq ou six autres grosses gorgées d'alcool avant d'essuyer ses lèvres avec son bras.
Notre tueuse, visiblement plus déglinguée que toute à l'heure, prit ensuite son bistouris puis, à l'aide se celui-ci elle ouvra en deux la tenue de batgirl, mettant à l'air libre les seins de la justicière. De beaux seins, bien formés et bien ferme, comme Lucrezia les adorés, le genre de nichons que la duchesse aimait voir être tailladés de toute part...
La Duchesse mouillait comme une salope, sa vulves dégoulinait de cyprine, formant de longs fils de liquide sirupeux venant s'écraser sur le sol en fines gouttelettes.

Tu vois... Moi... Je dit toujours qu'il faut bien désinfecter la patiente avant de commencer une opération... alors... santé !

Et splash ! Lucrezia se mis à verser tout le contenue de la bouteille sur le corps de batgirl puis une fois cela fait elle explosa le cul de la bouteille sur la table.

Aller... dit un truc ma belle... dit le que je t'excite... dit le... moi je m'excite... et toi tu t'excite ? Te masturbe tu quand tu es toutes seul ?

elle glissa un caresse sur le ventre de la justicière...

Moi... Moi j'aime les femmes... Mais le truc qui me fait vraiment prendre mon pied... c'est les gamines.. hihi... hihihi. ihiahahahaHAHAHA ! Avec leur petite chatte virginale, c'est juste... JOUISSIF ! AHAHAHAHA !

Oui... à ce moment précis, Lucrezia débloquer totalement...



Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Batgirl le vendredi 03 janvier 2014, 02:28:27
Sur le sol, Barbara n’entendait pas vraiment la tueuse s’esclaffer. Elle serrait nerveusement les dents. La douleur la clouait sur le sol, l’immobilisant. Batgirl avait les yeux clos, des gouttes de sueur roulant le long de ses joues. Elle soupirait lentement, longuement, et, quand la Duchesse posa son pied sur son dos, une onde de douleur la traversa, la faisant hurler. Au loin, elle pouvait entendre les gyrophares se rapprocher, mais elle connaissait suffisamment la police pour savoir que cette dernière ne viendrait pas à temps. Cependant, Barbara était, tout de même, passablement rassurée : elle avait enclenché son traceur, et, tôt ou tard, ses coéquipières viendraient la sauver. Ce n’était qu’une question de temps... Mais, au-delà de ça, Barbara se sentait surtout faible. Elle avait bien trop traîné contre la Duchesse, et elle n’aurait jamais du l’attaquer, mais s’en tenir à la procédure. Elle savait que sa période approchait, que le moment où ses blessures se réveilleraient se rapprochait. Elle aurait donc du appeler ses collègues, afin que ces dernières prennent le relais. Au lieu de ça, Batgirl avait vu une tueuse en série, une folle dangereuse, une femme qui avait commis de nombreux meurtres. Elle avait réagi sur l’instinct, et les excuses qu’elle avait alors pu se trouver lui paraissaient maintenant bien illusoires, devant sa situation actuelle.

*J’avais pensé pouvoir la neutraliser plus rapidement, mais cette garce est résistante... Quelle conne...*

Barbara ne pouvait nier être effrayée. Elle avait déjà dansé avec la mort. Quand le Joker lui avait tiré dessus, elle avait bien cru qu’elle serait morte. Il lui avait fallu de longs mois pour se dire que ce n’était pas de sa faute, que le Joker ne savait pas que Barbara Gordon état Batgirl, et que sa cible n’était pas elle, mais son père, Jim. Quant à Jim, le commissaire ne s’était jamais vraiment remis de la culpabilité qui pesait sur lui. Avoir été torturé par le Joker par la suite n’avait été rien en comparaison de ces instants passés à l’hôpital, à surveiller sur sa fille, entre la vie et la mort, et à se dire que c’était à cause de lui que sa famille était en danger. Et Barbara s’était sentie doublement coupable... Si son père avait su ce qu’elle faisait la nuit... Jim savait qu’elle était l’Oracle, une consultante auprès de la police, mais, là encore, il ignorait qu’elle avait été à Tekhos Metropolis, et qu’elle subissait un traitement médical lui permettant de se tenir debout.

La Duchesse retourna alors Barbara, lui arrachant un nouveau frisson de douleur. Elle écarquilla brièvement les yeux, sentant vaguement les mains de cette cintrée glisser sur son corps. Lucrezia avait encore son poignard, mais elle semblait auréoler d’une espèce de lueur démente, une folie telle qu’elle ressemblait, pendant un bref moment, au Joker... Barbara comprit qu’elle délirait. Elle remuait lentement, essayant encore de porter des coups, et n’eut même pas une onde d’excitation quand les doigts de la Duchesse heurtèrent la ceinture, tentant de la retirer. Cette dernière était voûtée à sa combinaison, et, en sentant des doigts qui n’appartenaient pas à une empreinte enregistrée dans le programme de l’armure, la ceinture lâcha une décharge électrique, une impulsion qui amena Lucrezia à retirer ses doigts précipitamment. Le choc aurait pu l’assommer, mais la Duchesse était dans un tel état d’excitation qu’elle *ne semblait même pas fatiguée...

*Foutue garce...*

Barbara cligna lentement des yeux, et vit alors la main de la femme s’approcher.

« Bonne nuit... Mon étoile.... » entendit-elle vaguement contre son oreille, avant que le mouchoir ne se pose sur ses lèvres.

Barbara poussa un soupir, ses yeux se révulsèrent, et elle sombra dans le coma.



« L’infirmière... Folle... Les électrochocs...
 -  Augmentez la morphine. »

La jeune docteur obéit silencieusement, et enfonça une nouvelle dose de morphine dans le corps assoupi de Shani Stevens. La belle Française était allongée dans un lit d’un autre hôpital de la ville, l’hôpital Resurgam. Le docteur était un homme assez âgé, qui avait offert à Shani des soins prioritaires. Cependant, elle était plus choquée que véritablement blessée, et elle avait surtout besoin de repos. La femme tenait des propos incohérents et illogiques, parlant d’une infirmière en tenue rose qui lui aurait fait du mal avec des électrochocs. Le docteur avait compris qu’elle était une victime de la Duchesse, et qu’une chasse à l’homme était organisée dans la Toussaint. Le genre de comportements que le docteur avait du mal à comprendre. Ce chirurgien-urgentiste assez âgé était entièrement voué à sa tâche : soigner les gens.

L’infirmière qui mit la dose de morphine tremblait légèrement. Elle était nerveuse, et avait surtout été embauchée parce qu’elle avait une belle poitrine, et que le responsable qui s’était chargé de son embauche lui avait fait essayer une robe d’infirmière en latex, pour la culbuter. Il savait qu’il planait à Seikusu une sorte d’odeur sexuelle, d’atmosphère délurée. Originaire de Seikusu, il savait que ça n’avait pas toujours été ainsi, que, jadis, la ville était relativement paisible. Depuis quelques dizaines d’années, il y avait une recrudescence d’étrangers, de pervers sexuels, et de scandales sexuels.

La Duchesse était l’un de ces nouveaux phénomènes.

*L’air de cette ville est vicié...*

L’infirmière réussit à mettre la dose de morphine, et la patiente s’écroula dans le sommeil. La jeune infirmière se retourna alors, et baissa poliment la tête, joignant les mains devant elle. Le brave docteur ressentit, bien malgré lui, une certaine excitation remonter de son bas-ventre... Cette patiente était également très belle, si belle que, s’il avait été un peu moins courtois et respectueux, il aurait probablement congédié l’infirmière, afin de parcourir ce corps de ses lèvres.

« C’est très bien, Jun. Je pense qu’elle a besoin de repos, maintenant.
 -  B-Bien, docteur... »

Le docteur ne pouvait pas savoir que l’infirmière fantasmait sur les hommes âgés, et qu’elle portait des collants pour qu’il la remarque, et la prenne par l’arrière dans son bureau. Le docteur sortit tranquillement, et croisa les deux policiers.

« La patiente est sauve, ne vous en faites pas... Je lui ai prescrit un peu de morphine, après avoir pansé ses quelques plaies. »

Le policier à qui il s’adressait hocha la tête, lorsque sa radio se mit à crépiter. Il tendit la main vers le docteur, comme pour s’excuser, et attrapa sa radio.

« J’écoute... Ah... Très bien, nous monterons la garde toute la nuit, au cas où elle voudrait repasser par là. »

On venait de lui dire que la Duchesse avait échappé à la police et aux chiens, qui avaient remonté sa trace jusqu’à un site de construction, où elle avait ensuite disparu. La police craignait donc qu’elle cherche à revenir vers Shani. Ils ignoraient, pour l’heure, qu’elle avait une proie plus intéressante.



Ce fut un rire qui la réveilla, un rire sinistre et hystérique.

Quand elle rouvrit les yeux, en gémissant, elle crut avoir été capturée par le Joker... Avant que la mémoire ne se rappelle à elle.

*La Duchesse !*

Barbara cligna des yeux, et prit rapidement conscience de plusieurs choses :




Par la suite, soit quelques secondes après son éveil, elle prit conscience qu’une lumière l’éblouissait, et, en tournant la tête, discerna peu à peu les contours d’un bâtiment délabré, sombre, poussiéreux, rempli de sacs-poubelles noirâtres dispersés dans les coins. Elle cligna des yeux, avant d’entendre des bruits de pas... Et de sentir une forte odeur d’alcool. Elle vit alors la Duchesse débarquer dans son champ de vision, avant de déverser sur elle son whisky, qui heurta ses seins et son costume, glissant le long de son torse.

« Tu vois... Moi... Je dis toujours qu'il faut bien désinfecter la patiente avant de commencer une opération... Alors... Santé ! »

Elle empestait l’alcool et la démence. Barbara serra les dents, remuant faiblement, éprouvant la solidité des liens. Ils étaient solides, et elle risquait surtout de s’écorcher la peau. De plus, quand bien même elle parviendrait à se libérer, son dos était toujours en compote. Elle ne pouvait pas faire grand-chose, et, si elle faisait trop d’action, elle risquait de briser sa colonne vertébrale. La Duchesse explosa ensuite le contenu de la bouteille contre la table, et Batgirl frissonna, se mettant à craindre que cette tarée ne cherche à l’entailler avec la bouteille. D’un ton plus doux, mais non moins empreint d’une démence primaire, la Duchesse se remit à parler, Batgirl restant silencieuse :

« Allez... Dis un truc ma belle... Dis-le que je t'excite... Dis-le... Moi je m'excite... Et toi tu t'excites ? Te masturbes-tu quand tu es toute seule ? »

La main de la Duchesse glissa alors sur son ventre, tandis que Barbara la regardait. Elle s’attendait probablement à ce que sa victime la supplie, à ce qu’elle implore sa pitié... À sentir qu’elle exerçait du pouvoir sur elle. Barbara essayait de réfléchir à la meilleure façon de s’en sortir, mais elle savait que, face à une psychopathe, il n’y avait pas grand-chose à faire.

« Moi... Moi j'aime les femmes... Mais le truc qui me fait vraiment prendre mon pied... C'est les gamines.. hihi... hihihi. ihiahahahaHAHAHA ! Avec leur petite chatte virginale, c'est juste... JOUISSIF ! AHAHAHAHA ! »

Elle la provoquait, elle voulait l’énerver, la paniquer. Barbara ferma lentement les yeux, décidée à ne pas rentrer dans son jeu. D’un autre côté, si elle énervait Lucrezia, elle risquait aussi de mourir précipitamment. Du temps, c’était tout ce dont Barbara avait besoin, du temps. Elle devait trouver un moyen de la faire parler, en partant du principe simple : un psychopathe est fortement orgueilleux et égocentrique. Il y avait Lui, être invulnérable, au-dessus des lois, et les autres, moutons idiots.

En se mordillant brièvement les lèvres, Barbara finit donc par répondre :

« Pourquoi fais-tu ça ? Torturer... Kidnapper... Violer... Tuer... À quoi est-ce que ça rime ? J’ai arrêté suffisamment de violeurs pour le savoir... Ce sont des lâches, des incapables, impuissants... Toi, tu es belle. Ce n’est pas ton cas, et, vu les filaments que je vois sur ton corps... »

Il fallait parler, la flatter, sans que ça passe pour de la flagornerie. Barbara se mordilla à nouveau les lèvres, avant de poursuivre :

« Tu m’as vaincu... Tu es donc forte. Ne... Ne serait-il pas plus gratifiant d’avoir le consentement de sa victime ? Qu’elle soit heureuse avec toi ? »

La faire réfléchir, la faire parler.

Et ainsi permettre à l’horloge de tourner.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 12 janvier 2014, 10:38:06
Pourquoi... C'était là l'un des mots que Lucrezia avait le plus entendue dans toute sa misérable existence... Pourquoi, Pourquoi... Il n'y a enfaite aucune réponse... Il y à le vide... Un vide monstrueux. Suite au deux tirades de la justicière, Lucrezia poussa un grand éclat de rire, lâchant le tessons de bouteille sur le sol.

AhAhAhhaAhahAhah !!!!!!!!!! Pourquoi ? Tu me demande pourquoi !? Mais parce que j'aime ça ! ça m'excite ! Je... Je ne me l'explique pas... C'est une pulsion, une envie, un fantasme !  

En psychiatrie, on décompose le "cycle du meurtre en série" en six phase bien distinctes :

1 - La phase d’aura, durant laquelle le tueur commence à perdre prise sur la réalité.
2 - La phase de chasse, durant laquelle le tueur cherche une victime.
3 - La phase de relation, durant laquelle le tueur attire sa victime.
4 - La phase de capture, durant laquelle la victime est prise au piège.
5 - La phase de meurtre ou de Totem, qui est émotionnellement élevée pour le tueur.
6 - La phase de dépression, qui a lieu après le meurtre.


 la triste réalité est qu'en faite, le cycle est toujours voué à ce refaire. le tueur à toujours besoin de tuer pour combler un "vide" un vide qui en réalité ne fait que s'agrandir après chaque meurtre, Lucrezia ne fait pas exceptions a la règle, chacun de ses meurtres est comme une drogue, il lui en faut toujours plus, ses pulsions ne sont et ne seront jamais assouvies totalement, Le pourquoi ? c'est une recherche de pouvoir et une irrépressible envie de sexe crade et morbide, la domination totale de sa victime mêlé à la drogue au sang et à des tas de truc dégueu qui tournicote dans le crane dissolue de la tueuse.

Elle fit glisser sa mains jusqu'à l'entre jambe de Batgirl, elle attrapa la jolie culotte de cette dernière et d'un geste violent, elle tira dessus faisant rentrer le tissus dans la fente de la jolie rouquine.

Aller.... crie ! CRIE ! AHAHAHAHA !   Dit elle en tirant plus fermement encore sur le bout de tissus.

Jvais adorer te faire souffrir... Regarde moi, je mouille comme la pire de toute les salopes, putains ! PUTAIN REGARDE MOI TOUTE CETTE CYPRINE AHAHAHAH !

Alors que la culotes de batgirl était à présent entre ses deux lèvres intimes, Lucrezia se mise à lécher le bourgeon de la jolie justicière, elle le lécha puis le suça avec avidité, continuant sans cesse de le titiller de sa langue toute en se masturbant, diantre que notre tueuse était excitée ! Lucrezia, toujours poussée par ses pulsions malsaines se mise à faire gentiment tournoyer sa langue sur la cerise de batgirl, avant de violement la mordre avec acharnement, comme si elle chercher à exciser la justicière avec ses incisive. En faisant cela, la tueuse passa sa mains sur le pubis de la belle justicière, cette dernière avait une adorable petite touffe de poils aux reflets flamboyants.

Bordel... qu'elle est douce et bonne... soufflât elle avant de ce retirais en s'essuyant la bouche du revers de sa mains.

Lucrezia salivait d'excitation, ses yeux brillaient d'un lueur de folie absolument terrifiante, elle en voulais plus, toujours plus ! Il fallait qu'elle comble son "vide", qu'elle assouvisse ses pulsions et plus elle allait faire de sévisses, plus ils allaient devenir violents et obscènes et cela jusqu'au moment de l'éviscération final où la Duchesse signerait son meurtre du désormais classique "prélèvement d'utérus". Délicatement, Lucrezia se saisit de son bistouri avant de lentement l'approcher du corps de sa victime.

Et ci nous faisions de jolie petites entailles sur ses beau nichons... hm ?

La tueuse glissa la lame du bistouri sur le ventre de batgirl, rejoignant petit à petit le seins droit de la justicière entaillant très légèrement cette dernière. une fois le seins de la rouquine atteint, elle fit une première entaille au niveau du tétons. Les sévisses faits aux tétons était particulièrement douloureux et Batgirl, malgré son grand courage et sa forte tête, laissât échapper un petit gémissement mal étouffé.

ça te fait mal ?

La Duchesse esquissa une grand sourire carnassier, elle adorait faire mal à ses victimes, les voir souffrir lui apportait de la jouissance, une forte impression de supériorité et de domination et cela l'excitait encore plus, alimentant ses pulsions mortifères. La tueuse, ne voulant nullement s'en arrêter là, elle pris une aiguille à seringue dans chaque mains et avec toujours le même sourire, elle les enfonçât dans les tétons de batgirl, la faisant hurlait de douleur.

HAHAHAHAHAHAHAHA ! Vas y, HUUUUUUUUUUUUUUUUURLE !

Et VLAM ! Lucrezia envoya son poing dans la joue de Batgirl.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Batgirl le lundi 13 janvier 2014, 02:31:57
Attendre et tenir, se bercer d’illusions en se disant que les renforts allaient arriver, voilà ce à quoi Barbara devait se réduire. Elle portait toujours en elle les séquelles de la folie du Joker, les traces de la perversion de cet homme. Au dernier moment, ces séquelles l’avaient trahi. Batgirl était maintenant, encore, la proie, d’un maniaque, comme elle l’avait pu l’être du Joker. Cette scène traumatisante de sa vie, qu’elle avait essayé d’oublier, revenait par la porte arrière. Le sourire hideux et le rire macabre de ce psychopathe étaient désormais remplacés par la démence d’une femme nymphomane qui avait une manière perverse et cruelle d’exprimer ses pulsions sexuelles. Barbara la sentait lécher son intimité, et ferma les yeux, retenant les trahisons de son corps. Elle ne pouvait tout simplement pas s’imaginer mouiller contre une folle pareille. Peu importe ce qu’elle ferait, elle serait perdante sur tous les tableaux. Mouiller reviendrait à rentrer dans son jeu, mais Batgirl doutait que ça calmerait la Duchesse. Elle n’était pas là pour ça.

Plus Barbara la voyait, et plus le profil de cette femme lui évoquait ce profil catégoriel des « anges de la mort ». Les tueuses en série n’étaient pas un genre méconnu des études criminalistiques portant sur le tueur en série, et les différents chercheurs, ainsi que Barbara le savait, avaient déterminé une typologie des tueuses en série, les classant selon certaines catégories. La Duchesse s’apparentait à ces femmes qui tuaient pour avoir une sorte de contrôle sur les gens. Des infirmières, des médecins, qui tuaient ceux dont elles avaient la charge, un peu comme Annie Wilkes, la fameuse psychopathe de Misery, ou comme Genene Jones, pour mentionner des cas réels.

La Duchesse léchait plutôt bien, et Barbara soupirait. Elle trouvait ça écœurant, mais, à bien y réfléchir, elle préférait que la Duchesse la viole, plutôt qu’elle la torture. Le temps qu’elle la viole, les renforts viendraient sans doute. Batgirl se rattachait à cette idée que la police allait débarquer, que ses coéquipières allaient venir. Il ne pouvait pas en être autrement, et elle faisait appel à toute son expérience de justicière pour ne pas paniquer. Combien de fois avait-elle été capturée par un cinglé comme Double-Face ou Le Pingouin, avant qu’on ne vienne la secourir ? Elle n’allait pas mourir ici, pas dans ce bar miteux, avec cette folle tarée.

*Savoure, salope, je serais aux premières loges quand on te mettra la corde autour du cou.*

Après tout, la peine capitale était toujours autorisée au Japon. La Duchesse continua à lécher... Avant de subitement mordre. Barbara se raidit sur place, et les choses sérieuses purent alors commencer. Son intimité lui faisait horriblement mal, mais elle vit la Duchesse venir avec son bistouri, et remua sur la table, essayant, vainement, de se libérer, résistant à l’envie de la supplier. Il fallait qu’elle trouve un moyen d’obtenir ce bistouri. En le prenant, elle réussirait à ôter ses sangles. Certes, avec ses jambes inertes, elle ne pourrait pas aller bien loin, mais elle pouvait toujours tomber sur la Duchesse, et l’étrangler de ses propres mains, lui briser le cou.

Quand le bistouri heurta sa peau, remontant vers son sein, laissant une traînée de sang, Barbara serra les dents. C’était loin d’être agréable, et elle respira lentement, essayant de se faire à ce contact, de ne pas hurler. La femme remonta jusqu’à son téton, et Barbara se mit à craindre qu’elle ne cherche à le sectionner. Délicatement, avec une précision chirurgicale, la Duchesse l’entailla, et Barbara ne put retenir un gémissement, un cri plaintif. Elle serra les dents, terrorisée, remuant la tête, clignant des yeux.

« Ça te fait mal ?
 -  Haaa… Haaa… »

Les seins étaient une partie assez délicate de son anatomie, comme de n’importe qui. Elle ferma les yeux, respirant rapidement,  et vit alors la Duchesse délaisser le bistouri pour prendre deux aiguilles à seringue. Barbara frémit, et ne put rien dire que les deux aiguilles s’enfoncèrent dans ses seins, à hauteur de ses tétons.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !! »

Elle ne put retenir un hurlement de douleur. Une onde aiguë la traversa, alors que du sang jaillissait de ses seins. Barbara serra les dents, se pinçant les lèvres, tout son corps s’agitant nerveusement.


*Calme-toi, c’est ce qu’elle attend de toi, calme-toi, calme-toi, calme-toi, bordel !*

Dans son état, c’était facile à dire. Elle respirait lentement, et la Duchesse la gifla alors. La douleur explosa dans sa joue, et Barbara se mordilla la langue, crachant du sang. Les gouttelettes tombèrent sur le sol, et elle respira lentement, reprenant peu à peu son souffle, avant de contempler, à nouveau la Duchesse.

*Je ne peux pas compter sur des renforts, il faut que je trouve un moyen de me libérer...*

Les sangles. Elle devait trouver un moyen de les couper.

Cependant, elle avait bien du mal à réfléchir. Il faut dire que la jeune femme était en train de souffrir, avec les aiguilles plantées dans son corps.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le dimanche 02 février 2014, 18:42:44
Flashback de l'audience

Tu était assise sur le banc des accusés, à tes coté il y avait ton avocat, un mec assez reconnu dans son milieu qui avait prit ton cas comme un "défi", autant dire que lui, il en avait des couilles, couilles que tu aurais surement pris le temps de sucer si tu avait eu le temps.

La Séance était celle qui devait trancher, celle sur laquelle tout ce jouais ! A savoir si tu devait aller en Asile psychiatrique ou alors si on devait te passer la corde au cou. Toutes les preuves t'accablaient, pour quasiment tout le monde t'était une "psychopathe", même toi tu le savais... Pourtant, il semblait te rester une chance, car comme ont dit... La justice est aveugle. La séance était commencée depuis 1h et demi, certaines familles te fixait  sans détourner du regard, tendis que d'autres n'osait même pas te voir, préférant surement ce concentrer sur les fait et sur ce qui allait devenir de ce procés.

Cet alors que le juge vint à parler.

Bien, Passons maintenant au victimes. Je peut concevoir que cela soit dur pour certaines personnes, c'est pour cela que j'invite les familles, ci cela est trop dure pour elles, à sortir de la salle.

L'homme regarda par dessus ses lunette, puis il pris le dossier que lui tendis une femme en robe

Hum ! Hum ! Ashley Taylor, Agées de 17 ans lors des fais, Elle fut tués par l'accusée la nuit du 21 février dernier d'un injections létal qui entraina un arrêt cardiaque dans les secondes qui suivi la dite injections. L'homme marqua une pose puis, tout en lâchant un soupir, il tourna la page.

L'Accusée, ici présente, à avant cela violée sa victime, en prenant soins de lui injecter une puissante drogue afin que la victime ne puisse se défendre ni même appeler les secours... Il regarda Lucrezia par dessus ses verre avant de reprendre. Est ce bien cela Mme Nietzsche ?

Toi... Toi tu te souviens juste de cette chaleur qui se mise à envahir ton bas ventre, humidifiant abondamment ta culotte, tu ne pus te retenir de lécher ta cicatrice pas plus que ne pus te retenir de discrètement caresser de ton index le dessous de la table en bois qui ce trouver devant toi, comme ci tu caresser une jeune et belle petite vulve virginal... Même là... Même là tes pulsions te dominaient...




Lucrezia lécha le sang qui s'écoulait le long des seins de batgirl, tout en enfonçant ses doigts dans l'intimité de la pauvre justicière, cette dernière gémissait ce qui ne faisait qu'exciter d'autant plus la tueuse.

Haaaan.... Haaannnnn, mais deux bouches baves, regard moi.... OUI ! REGARDE MOI !

Lucrezia se releva et attrapa de sa mains pleine de cyprine les joues de Batgirl, la dévisageant de ses yeux emplis de folies.

Ouiiii... Regarde moi... J'ai t'violer, J'vais te violer puis t'buter... Et comme tu m'excite, j'vais t'violer quand tu sera morte... OUAI ! OUAI, j'vais te baiser quand tu serais crever, j'vais me refaire la scène toute la nuit jusqu'à ce que ton corps parte en charpies AHAHAHAHAHAHAH!!!! AHAHAHAHAHAH!  

Lucrezia envoya alors un rafale de gifles à la justicière, finissant son combos par un grand coup de poing dans le nez de La belle rouquine pour ensuite venir se mettre à califourchon sur batgirl.

Bordel... Tu me fait tellement mouiller que j'aurais presque envie de devenir cannibale pour vraiment te bouffer la chatte AHAHAHAH ! OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOH les beaux cheveux que voilà ! Dit elle en attrapant d'une main ferme une grosse tignasse de cheuveux.

On dirais des amaryllis qui flamboies dans les champs... Ou mes règles qui ce déversent dans les toilettes AHAHAHA !

Nan Lucrezia... Là c'est toi qui débloque totalement...

J'ai presque envie d'en couper une mèche... Ihih...  

De sa mains droite Lucrezia se saisit de son couteaux puis d'un coup violent, elle trancha la belle chevelure rousse de batgirl en deux, reniflant ensuite son trophée puis envoyant la touffe de cheveux virevolter dans la pièce dans un immense éclat de rire.

AhAHAHAHAH ! J'aurais eu une bite, j'me serais branler avec AHAHAHAHA !

Vous savez... C'est dans ce genre de moment que l'on constate vraiment toute l'étendue de la folie de Lucrezia, c'est là que l'on vois la "Maniaque" qui ce cache derrière la plantureuse infirmière, c'est là  qu'on vois toute la monstruosité de sa personne, ce qu'elle est vraiment, ce dont les médias hésite à parler à telle point c'est atroce... Un monstre dans toute sa splendeur...

AHAHAHAHAHAHA ! t'es trop BONNE !  

Ayant toujours son couteau à la main Lucrezia fit lentement glisser le dos de la lame contre son intimité, piquant légèrement le ventre de batgirl avec le bout du couteau. la cyprine de notre tueuse dégouliner sur le ventre de la justicière formant ainsi une petite flaque au niveau du nombril de la belle rouquine. La tueuse passa frénétiquement sa langue sur sa cicatrice, elle respirait lourdement sous sous l'effet de l'excitation, un peu comme un ado devant son premier porno. la tueuse était entrain de perdre pied dans sa folie, elle se faisait bouffer par sa propre perversion. Elle frotta sa chatte gonflée et juteuse contre le ventre de Batsy tout en ce titillant le clitoris, la scène l'exciter tellement cas un moment un petit jet de cyprine arriva sur le visage de la justicière.

Haa... HAaaa... HaAAaaa.... Tu aime ça hein... Aha !

D'un coup la tueuse changea de position, elle pris place comme ci elle voulait faire un 69 avec ça victime, elle posa délicatement son couteau sur la table en bois et elle prit à la place le bout de barbelé. Elle écarta ensuite les lèvres intimes de la justicière puis...

Aller ma belle... sert les dents !

Oui ! La putain de grosse maniaque sexuelle qu'était lucrezia enfonça lentement le barbelé dans l'urètre de batgirl, faisant hurlait cette dernière de douleur... Ouai... C'est dégueulasse, crade, dégradant et cruelle... Mais franchement, vous vous attendiez à quoi ? C'est une tarée ! Une putain de grosse timbrée !!!!!!!!!!! Et la vous pensez que c'est fini, mais non ! Elle se saisis de la bouteille d'Ether, sniffa un bon coup les vapeur du dit produit puis déversa un peut du flacon sur la vulve de la justicière, ce qui devait affreusement lui faire mal... Au vue des hurlement qu'elle poussait...

AHAHAHAHAHAH ! AHAHAHAAAAAAAAAAHAHAHAHAHAH !

Le rire de la duchesse résonna dans toute la pièce, sa folie avait atteint des sommets ! Mais... est ce là tous ce dont elle était capable ? Je ne crois pas...



Flasback de l'audience

Le marteau frappa sur le petit socle en bois qui trônais devant le juge, ce dernier dit alors d'un ton sec et autoritaire la sentence.

Je déclare l'accusée ici présente comme étant "psychotique" et de ce fait, non-responsable pénalement de ses actes pour cause de démence. Je la condamne donc à L'internement en Asile psychiatrique et ce à perpétuité. Cependant, ci cette dernière vint un jour à ne plus être décrite comme "dangereuse", ça peine pour être alléger voir, supprimer, sur ce... La séance est levée.

Le marteau frappa une seconde fois, ton avocat lâcha un grand soupir, les familles de tes victimes serraient les points, versaient des larmes, les avocats qui les défendait ainsi que les psychiatres qui les accompagnés était sur le point d'exploser... Tu venais d'échapper à la prison et à l'inévitable peine de mort qui t'attendait au bout du couloir.
Un petit sourire en coin naquis sur ton visage tendis que tu souffla à l'oreille de ton avocat un délicat petit mots

J'ai pas de fric... Mais je fait des pipes d'enfer... Ihih...

L'homme ne te regarda même pas, il ravala sa salive avant de te répondre sur un ton sec.

Ferme ta gueule... J'ai fait ça seulement pour mon honneur et ma réputation... Tout en toi me dégoute...

L'homme se leva et deux officiers t'attrapèrent par les bras, te faisant sortir de la salle... Tu te souvient avoir glissée un regard à chacune des familles... Tu venais de gagner... Mais tu étais bien la seul à être heureuse dans cette salle. Tu venais d'assister au plus gros fiasco juridique de cette foutu ville et ce fiasco... C'était pour ta pomme !
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Batgirl le mardi 04 février 2014, 01:35:35
Commissariat central de Seikusu

Le commissaire Kaori Akusaki avait été muté à Seikusu il y a maintenant quelques mois. Il officiait alors depuis plus de vingt ans à Tokyo, et sa demande mutation avait enfin été obtenue. Pendant des années, la Commission nationale de sécurité publique avait refusé ces demandes de mutation, ce qu’on pouvait comprendre. D’un strict point de vue économique, Akusaki perdrait de l’argent en allant à Seikusu, ville moins grosse que Tokyo, et où le contentieux était logiquement plus faible. Kaori était de plus un policier d’une grande expérience, qui avait encore réussi à ne pas être impliqué dans un quelconque scandale impliquant les Yakuzas. Le Keisatsu-chō, l’Agence nationale de la police, voulait que l’homme reste à Tokyo, mais Kaori avait envie d’une retraite. Il en avait assez de l’activité folle de Tokyo, de cette démence qui régnait dans cette ville, une ville surpeuplée, si peuplée qu’on devait se serrer comme des sardines dans les rames de métro, à en perdre vos chaussures, et à ne pas pouvoir les récupérer sur le coup, en raison de l’affluence. Seikusu lui apparaissait comme une bonne étape, le temps d’atteindre l’âge de partir à la retraite, et de filer à Okinawa, ou dans une campagne paisible du Japon.

Ce soir, Kaori avait l’impression de retrouver l’atmosphère de Tokyo, à enchaîner les nuits blanches et les cafés froids. Dans son bureau, il donnait des ordres à tout le monde, se déplaçant rapidement. Quand il avait 20 ans, et même jusqu’à la trentaine, Kaori adorait ça. Se rendre utile. Végéter toute une bonne partie de la nuit. Il n’avait jamais réussi à fonder une vie de famille, ayant préféré se sacrifier pour sa nation. Qu’un homme n’ait pas de famille pouvait, au sein de la société japonaise, se justifiait, s’il se consacrait entièrement à son boulot. Aurait-il été une femme que les choses auraient été bien différentes. Cependant, quand on approchait de la soixantaine, les nuits blanches, on commençait à en avoir un peu marre. De plus, Kaori avait surtout prévu de passer sa soirée avec une superbe femme qu’il avait rencontré sur Internet, par un site de correspondance. Cette femme, qui portait des jarretelles et un corset, et qui affirmait avoir eu comme mère une geisha, était la principale raison du départ de Kaori à Seikusu. L’homme était amoureux, et furieux de ne pas pouvoir profiter des charmes de sa dulcinée ce soir. Au lieu de ça, il se retrouvait avec un homicide sanglant dans un hôpital, une tentative d’enlèvement sur une secrétaire, et une course-poursuite dans les rues de la ville. Un joyeux bordel. De nombreux témoins affirmaient avoir vu la Duchesse, et la rumeur enflait. Cette foutue salope échappait depuis trop longtemps à la police, se faufilant entre les mailles du filet.

Kaori avait rappelé tous ses hommes pour mener une battue dans la Toussaint. Il fallait la ramener, morte ou vive, mais de préférence morte. Comme ça, il n’y aurait pas de procès, et aucune chance pour qu’un enfoiré d’avocat opportuniste ne parvienne à jouer la case de la folie pour la renvoyer dans un asile où elle arriverait encore à s’évader. Il suffirait d’invoquer la légitime défense. Cette tarée ne manquerait à personne. Et lui, il pourrait avoir la satisfaction d’avoir purifié les rues de la ville d’une malade mentale. Sa petite geisha qui l’attendait en nuisette fine dans son appartement récompenserait son beau samouraï. Elle aimait les hommes mûrs, plus âgés qu’elle, ceux qui avaient de l’expérience, du pouvoir.

Pour l’heure, ses hommes n’arrivaient pas à la retrouver. Dans son bureau, le commissaire bouillonnait sur place.

« Putain de bordel, ce n’est quand même pas compliqué de choper cette salope ! aboyait-il au téléphone. Vos chiens sont enrhumés ou quoi ?! »

Des témoins affirmaient également avoir vu une immense chauve-souris dans le ciel. Sûrement l’un de ces super-héros américains. L’Agence l’avait informé de la présence des Américains, et de ces mutants. Kaori soupira, et se releva, puis marcha dans un coin de son grand bureau. Le café ne suffisait plus, il avait besoin d’un bon verre de saké. Il entendit soudain un bruit. Kaori sursauta, et porta la main à sa ceinture, en sortant son pistolet...

Pour voir devant lui une femme dans une tenue sombre et moulante (http://ozwonderland.deviantart.com/art/Batwoman-Print-New-Version-197383493).

« Qu’est-ce que... ?
 -  Si vous voulez arrêter la Duchesse, commissaire, il faut faire vite. Je sais où elle est. »



C’était un cauchemar. Un rêve sinistre et impossible. La panique se diluait dans l’esprit de Barbara, qui se mettait à pleurer, en revivant son traumatisme. Le rire sinistre, il y a des années, quand la balle lui avait transpercé le corps. Elle avait baigné dans son sang, gisant sur le sol, sentant les mains sinistres des hommes du Joker déchirer ses vêtements, la photographier, nue, violer son intimité... Ce sentiment d’impuissance, cette faiblesse totale, la certitude de mourir, de dériver au loin... Autant de sentiments qu’elle ressentait en ce moment. Son corps lui faisait mal, lui rappelant la douleur qu’elle avait reçue à hauteur du ventre quand la puissante balle l’avait perforé de part en part. Elle était immobilisée, entre les mains d’une cinglée, une femme démente, qui poussait des rires hystériques.

Barbara n’aimait pas beaucoup les rires.

Pour autant, son calvaire n’allait pas se réduire à des coups de seringues plantés dans les seins. Elle avait lu les rapports d’autopsie, elle savait ce que cette femme faisait subir à ses victimes. Elle se retrouvait dans leur peau, à trembler devant la démence, à souhaiter que la police vienne, que la cavalerie débarque dans un concert de hurlements, de gyrophares hurlantes, de coups de feu rugissants, ou, à défaut, qu’elle tombe dans le coma, qu’elle ne souffre plus.

*Accroche-toi, tu ne dois pas abandonner ainsi ! Bats-toi, bats-toi jusqu’à la fin !*

Une voix rugissait dans sa tête, lui rappelant, assez curieusement, la voix de Bruce. Mais personne n’était là pour la sauver. Elle était seule, tombée au combat, parce qu’elle avait commis l’erreur de se surestimer. Encore une fois, c’était l’ombre du Joker qui s’abattait sur elle. L’injustice de cette scène était terrible. Elle n’avait jamais rien fait de mal. Pourquoi lui faire subir un tel sort ? Pendant des années, elle s’était renseignée. Elle avait lu à de nombreuses occasions « Eichmann à Jérusalem », le fameux livre d’Hannah Ardent, dans lequel cette dernière avait développé sa théorie sur la banalité du mal. Comme Ardent, Barbara s’était longuement penchée sur le mal, afin de savoir ce qui pouvait pousser les gens à vouloir massacrer leurs proches, sans aucune raison. Elle était convaincue qu’il y avait là les mêmes pulsions de haine et de destruction, que ce soit à l’égard des bourreaux nazis ayant gazé des millions de Juifs, ou à l’égard de malades mentaux comme le Joker, ou la Duchesse. Ardent n’avait jamais vraiment trouvé la réponse, et Barbara, fataliste, se demandait même s’il y avait une raison.

Impossible de comprendre ce que cette folle voulait, mais quand elle se mit à quatre pattes sur elle, et que Barbara vit sa vulve dégoulinante de mouille, lui tombant sur le nez et sur les lèvres, elle en eut envie de vomir. La Duchesse visait son intimité, et Barbara, qui s’attendait à ce qu’elle vienne la lécher, poussa un cri de douleur en sentant une pointe s’enfoncer dans son sexe. Des gouttes de sang jaillirent de ses parois, et elle se tortillait, entaillant ses poignets contre le barbelé qui la fixait contre la table.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!! »

Barbara ferma les yeux en hurlant, un cri étouffé par les cuisses de la femme, qui versa ensuite de l’éther. Ce fut comme une explosion. Barbara se mit à pousser des spasmes en pleurant, se tortillant, essayant d’arracher le barbelé, mais sans succès. Elle avait la simple force d’une humaine, et n’était plus qu’une jeune femme effrayée par ce qu’elle vivait. Aucun de ses gadgets ne pouvait l’aider, et elle avait l’impression qu’on lui avait versé de l’acide dans son sexe. Elle avait mal, si mal...Tellement mal qu’elle pleurait, hoquetant silencieusement, versant encore des larmes.

*BATS-TOI !*

Barbara serra les dents, et réagit par instinct. Elle releva sa tête, tirant ur ses poignets, et attaqua avec la seule chose que la Duchesse n’avait pas entravé chez elle : ses dents. Elle mordit l’aine de la Duchesse, mordant fort, sentant un liquide âcre et rance heurter ses lèvres. Elle mordit aussi fort qu’elle put, enfonçant ses dents dans ses vêtements, arrachant un morceau de tissu, tout en faisant couler le sang de la Duchesse. La peur de Barbara se mua alors en une espèce de rage. Elle continua à tirer sur les barbelés.

« C’est moi qui vais te BUTER, salope ! Tu vas CREVER, sale pute !! Je t’égorgerais sur place, et je foutrais ton cadavre au feu ! Des CENDRES, un putain de tas de cendres de merde qui se dispersera au vent, voilà tout ce qu’il restera de toi, salope ! Un tas de merde qu’on oubliera aussi vite qu’il est venu ! Tu rejoindras ton dégénéré de père et ta salope de mère en bouffant les pissenlits par la racine ! Je te TUERAI, salope !! »

Les yeux de Barbara étaient injectés de rage.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le mercredi 05 février 2014, 21:19:55


à chaque meurtre la Duchesse était transportée comme dans une sorte de "rêve" elle ce sentais revivre, elle se sentait imposante et indestructible, ça victime n'était rien qu'un pantin déshumanisé, un simple objet de désir, un jouet de sexe... rien de plus. Les pulsions de la tueuses montèrent d'un cran quand cette dernière refit descendre son regard vers la vulve mutilée de batgirl, mais ce qui se passa ensuite refit bien vite redescendre la tueuse.
Alors que Lucrezia savourais son "œuvre" elle sentie tout à coup une onde de douleur atroce lui traverser le corps, cette grosse chienne de justicière était entrain de la mordre jusqu'à sang !

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!!!!!!!!!!!!!!!  
La tueuse essaya bien donner un coup de pied à batgirl mais la tueuse rata lamentablement son coup et perdit ensuite son équilibre, chutant alors au sol en renversant tout ce qui ce trouver sur la table en bois. L'Ether, les seringues, le couteau... et le jerrycan d'essence... Essence qui se déversa petit à petit sur le sol tendis que la tueuse essayait de se relever, entendant à peine ce que vociférer sa victime... enfin à peine, ci, elle entendue une chose, un misérable bout de phrase qui résonna dans sa tête comme un horrible sons tout droit sortie de son passé...

" ...Ta salope de mère..."

Ce fragment de phrase glaça le sang de la tueuse... Elle tâtonna le sol à la recherche de son couteau, passant sa mains droite dans la flaque d'essence qui ne cesser de grossir puis une fois qu'elle eu saisit son arme elle commença a lentement se relever en marmonnant quelque chose.

Pourquoi... Pourquoi tu dis ça... Pourquoi, comment ose tu... dire ça...

les poings de la tueuse se resserrèrent... Elle s'avançât vers Batgirl puis...

Ferme ta gueule... FERME TA GUEULE !

Et VLAN ! Lucrezia envoya son poing dans le visage de la justicière.

TU PEUT PAS COMPRENDRE ! FERMEZ VOS GUEULES ! TOUS.... FERMER LA !!!!!!! TAAAAAAAAAA GUEUUUUUULE !!!! FERME LA, FERME LA FERME LA FEEEERME LAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!  

En vociférant cela lucrezia martela le visage de la belle rousse de coups poings, laissant aller sa colère sans retenue. Mais cet alors que la tueuse leva son couteaux au dessus de sa tête, prête à l'enfoncer dans le crane de sa victime.

CREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEVE !

BLANG !... Par chance pour la justicière, le couteaux ne s'enfonça pas dans son crane mais... Il frappa dans la table en inox... La Duchesse se trouvait juste au dessus de la belle rouquine... sa mains qui tenait le couteaux tremblait tendis qu'elle se remise à parler... D'une voix étouffer par... Une sorte de mélange entre colère et mélancolie.

Tais toi... ferm... ferme ta gueule...  

Les dents serrées Lucrezia semblait ressasser son passé et alors qu'elle parler à batgirl... une légère larme glissa sur sa joue avant de venir s'écraser sur le visage  de sa victime. Elle resta ainsi quelques secondes avant de ruculer nonchalamment en arrière, tenant toujours son couteau à la main.

J'vais... J'vais t'tuer...

Elle se rapprocha une nouvelle fois de l'intimité sanguinolente de batgirl puis elle écarta à l'aide de son pouce la lèvre gauche de la jeune femme. Que pouvait bien il se passer dans la tête de La Duchesse à ce moment là... Elle venait d'être déstabiliser par un simple mot et... La voilà déjà repartie ? Nan... Nan... Là il n'était plus questions de "sexe" mais juste de sadisme, de la souffrance... de la vengeance... Elle raffermie sa poigne autour du couteau puis elle se mise faire jouer la pointe la lame dans l'intimité de la belle rouquine un peu comme ci elle chercher à lui faire peur. Elle remonta ensuite vers le clitoris, faisant exprès de titillait le bout de barbelés enfoncé dans l'urètre de la justicière.

Et si je te coupait ça...  

La voix de lucrezia était comme son visage et ses gestes, vides d'expressions, comme ci le simple "ta salope de mère" avait déclencher une sorte d'interrupteur dans le crane de la tueuse... Ouai, un putain d'interrupteur avec marqué dessus : Not touch the fucking red shining psycko Button ! Malheureusement il était trop tard, Batgirl avait commis une erreur qui allait petit à petit lui couter des membres... Puis des organes... Puis... Puis... la vie... tout simplement.

La tueuse se léchât la cicatrice avant de faire quitter la lame de sous le clitoris de Batgirl... Visiblement l'excision était reportée à plus tard. La tueuse recula d'un pas en arrière avant de lentement se mettre à faire un tour sur elle même puis... de venir violement enfoncer le couteau dans la cuisse de Batgirl !

Tu à mal... c'est bien...

La tueuse ramassa ensuite le bistouris qui était tombé par terre et elle se remise au niveau de la poitrine de la justicière.

Tu sais ou j'ai mal moi... Tu sais ou je souffre ?

Doucement la tueuse vint à planter le bout de sa lame au niveau du sternum de Batgirl... Gravant ensuite dans sa chair un cœur, cœur que Lucrezia continua en faisant un grand trais sur tout le ventre de sa victimes, finissant pile au dessus clitoris. Le regard vide de la duchesse se tourna ensuite vers le poigné gauche de Barbara puis d'un coup elle vint loger le bistouri dans ce dernier, la faisant hurler de douleur. Lucrezia elle... restait impassible et froide, l'exacte opposé de la chienne en chaleur de tout à l'heure... Batgirl devait regretter à présent, elle devait regretter amèrement le fait d'avoir osée fouler du pied l'ange de pureté qu'était la mère de Lucrezia...
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Batgirl le vendredi 07 février 2014, 00:42:56
« Maman, Maman, on est bientôt arrivés ?
 -  Oui, mon trésor. »

En jetant un coup d’œil dans son rétroviseur, Kumi regarda sa fille, Aiko. Elle se frotta les yeux en bâillant. S’il n’y avait pas eu cet embouteillage en sortant de Kyoto, Kumi serait déjà chez elle, à préparer un bon gros gâteau au chocolat avec de la crème anglaise pour sa petite fille. Exactement ce qu’elle adorait. Une mère se devait de faire plaisir à sa fille. Kumi s’engageait sur l’autoroute urbaine de Seikusu, filant le long du périphérique vers leur appartement. Elle était venue chercher sa fille des mains de son père, qui, depuis qu’ils avaient divorcé, vivait à Kyoto. Un bon-à-rien qui venait d’Occident. À chaque fois qu’elle repensait à Dan, Kumi se sermonnait. Elle aurait du écouter davantage sa mère, et ne pas s’acoquiner avec un gaijin. Ces gens ne comprenaient rien. Ils étaient trop insouciants, trop immatures. Dan était un imbécile, et le divorce avait été inévitable. Pour une Japonaise, divorcer n’était jamais très difficile, car, dans la conception japonaise des sexes, la femme avait pour mission de s’occuper de la gestion de la famille, et l’homme devait travailler. Pourtant, Kumi ne s’en sortait pas trop mal, mais travaillait énormément.

Elle pensait à tout cela alors qu’elle avançait. Il était une heure avancée de la nuit, et la fatigue commençait à picorer ses yeux. Aiko s’impatientait, lorsque Kumi vit, dans le rétroviseur externe, de la lumière. Elle tourna la tête en voyant des gyrophares, et vit un camion blindé passer devant elle à toute allure, les sirènes se mettant à rugir. Un autre camion la doubla alors, suivi d’une voiture de police, d’un troisième camion, de deux autres voitures de police... Quelques instants plus tard, d’autres camions la doublèrent. Ils empruntaient tous la sortie menant vers la Toussaint, et Kumi se pinça les lèvres.

Visiblement, quelque chose avait encore éclaté dans ce quartier. Elle était heureuse de vivre de l’autre côté de la ville.



« Équipe-Omega, vous sécuriserez l’arrière du bâtiment, en passant depuis les ruelles. Équipe-Alpha et Équipe-Delta, vous remonterez tous les deux des deux côtés de la rue.
 -  Reçu, Leader.
 -  La cible se trouve dans le bâtiment localisé. D’après nos informations, il s’agit d’un pub désaffecté depuis la crise de 1990. Il n’a jamais été racheté. La cible aurait un otage. Procédez avec une vigilance toute particulière.
 -  Autorisation d’ouvrir le feu, Leader ?
 -  La cible est extrêmement dangereuse. En aucun cas, la vie de l’otage ne doit être en danger. »

Dans les airs, un hélicoptère de police tournoyait, abritant les membres de l’Équipe-Bêta. Contrairement aux trois autres équipes, ceux-ci allaient sauter en parachute pour atterrir sur le toit. L’objectif était d’encercler le périmètre, afin de mener une action conjointe. Leader était le nom de code désignant le commissaire Kaori. Sanglé dans un gilet pare-balles, un ordinateur portable sur les genoux, il se tenait dans l’hélicoptère, un solide casque autour de la tête, communiquant ses ordres aux équipes d’intervention. La police allait encercler le périmètre, tandis que les fourgons blindés libéraient une cargaison d’hommes lourdement armés. Les commandos de police.

Kaori vit ses hommes sauter les uns après les autres, déployant leurs parachutes. L’hélicoptère volait dans le ciel, afin d’éviter que le rotor de l’hélicoptère ne soit entendu par le cible en contrebas. La Duchesse avait une otage, et il était hors-de-question qu’elle comprenne qu’elle était repérée, sous peine d’exécuter l’otage. Comme Kaori l’avait dit aux lieutenants lors du briefing, il voulait que la légende de la Duchesse se termine ce soir. Il n’en disait rien dans les retransmissions radio, car elles étaient enregistrées, et pouvaient donc constituer un moyen de preuve à sa charge, mais les policiers savaient ce qu’il voulait : qu’ils abattent la Duchesse comme une chienne.

Ils ne venaient pas pour une arrestation de police, mais pour une exécution.

Tandis que les policiers descendaient, ils crurent voir une espèce de vaste chauve-souris volant dans le ciel, ailes déployées, filant vers le pub.



Dès le moment où cette femme l’avait capturé, Barbara savait que le cheminement logique serait sa mort. Les tueurs en série, fondamentalement, étaient des lâches. Qu’ils puissent être déclarés pénalement irresponsables de leurs actes était une gageure, une sinistre plaisanterie. Ils tuaient toujours leurs victimes, en se débrouillant toujours pour effacer consciencieusement leurs traces, avec un soin du détail tel qu’ils évitaient ainsi qu’on remonte à eux. Qu’ils soient fous, Barbara le reconnaissait volontiers, mais ce n’était pas une raison pour considérer qu’ils n’étaient pas responsables de ce qu’ils faisaient, qu’ils avaient manqué de discernement. Non, ils savaient très bien ce qu’ils faisaient. Qu’il faille les soigner, pour Barbara, était un autre problème. Elle savait que, dès qu’elle était entrée ici, la Duchesse ne la laisserait pas repartir en vie. Elle s’était bien trop engagée dans cette voie pour pouvoir la laisser vivre. Barbara allait mourir, et pas d’une façon agréable. Que la Duchesse soit énervée ou non ne changeait rien au fait qu’elle allait souffrir. Batgirl s’y préparait, mais ça ne l’avait pas empêché de saisir la moindre occasion pour lui faire mal. Elle avait dans la bouche le sang de cette femme, et, si elle avait insulté sa mère, c’était parce qu’elle savait que ça ferait mouche.

Quitte à mourir, autant faire en sorte que cette salope cesse de rire. Barbara en avait marre des rires des déments. Autant qu’elle lui fasse les gros yeux en essayant de lui faire peur. Au point où Barbara en était, c’était du pareil au même. Cette femme ne l’effrayait pas, elle avait juste pitié d’elle... Ainsi qu’une furieuse envie de la battre. Ses coups de poings ne lui firent pas aussi mal que la Duchesse l’aurait voulu. Elle frappait sous le coup de la passion, sans chercher à faire mal, et Barbara était une justicière, entraînée. De même, elle ne fut pas inquiète quand la Duchesse planta son couteau à côté de sa tête. En insultant sa mère, Barbara avait attaqué l’océan de sainteté, le dernier îlot de pureté dans l’esprit malade de cette femme. L’héroïne l’avait calculé. Une telle attaque méritait un châtiment adapté, et la Duchesse allait donc longuement la torturer.

Or, tout ce dont Barbara avait besoin, c’était de temps. Son signal était toujours là, dans sa Bat-ceinture, et aucun des bistouris et des scalpels de la Duchesse ne pourrait l’enlever. Les renforts allaient arriver d’ici un moment. Elle n’écoutait même pas la femme, qui se mit à la planter, à hauteur de la cuisse, avant de la saigner. Elle continua à la mutiler, dessinant une sorte de cœur sordide. Barbara tremblait, crachant du sang, son sang, mais aussi celui de Lucrezia. La Duchesse termina sa course en plantant son bistouri dans son poignet, atteignant, par miracle, aucune veine. Une onde de douleur traversa le corps de Barbara, qui respira lourdement, tremblant nerveusement.

« Tu sais où j'ai mal moi... Tu sais où je souffre ? s’était exclamée la Duchesse.
 -  Tu... Tu vas me faire pleurer, salope. Si...Si ta mère était si pure que ça...Elle doit se retourner dans sa tombe, en voyant le monstre qu’elle a engendré. »

Barbara se concentra, et lui cracha dessus, un mélange de salive et de sang.

« Tu crois vraiment pouvoir m’effrayer ? Des tarés comme toi, j’en ai eu tout le temps. Tu te fais passer pour un monstre, mais tu n’es rien d’autre qu’une petite fille qui pleure, une minable et une lâche refusant d’affronter ses... Ses responsabilités. C’est ça... C’est ça le plus terrible, dans ce délire... Que des ratés comme toi puissent ôter la vie à tant de gens qui vous surpassent en tout point... »



Derrière le pub, l’Équipe-Oméga s’avançait rapidement, rejoignant l’arrière du pub, l’ancienne entrée de service. Ils se rapprochèrent de la porte, et Oméga-Leader fit signe à un homme de passer un miroir sous la porte. L’agent s’exécuta rapidement. Ils ne parlaient pas entre eux, communiquant par signes, faisant le moins de bruit possible. L’agent sortit une sorte de petit appareil ressemblant à un écran tactile, et fit passer sous la porte un étroit fil de fer avec une caméra, puis regarda l’écran. Une image infrarouge ne tarda pas à apparaître sur l’écran, et il secoua négativement la tête.

Personne. De la main, Oméga-Leader fit signe à un autre agent de placer les explosifs. La porte était fermée, et un autre agent se tenait à proximité, une flashbang dans la main. Dès que les explosifs feraient sauter les gonds de la porte, la grenade serait balancé, et ils entreraient en force. Oméga-Leader avait transmis les ordres à ses hommes. Les caméras de sécurité de l’hôpital avaient permis d’obtenir le signalement de cette femme. Dès qu’ils la verraient, ils devaient faire feu, en visant la tête. Une semaine de permission à Okinawa pour celui qui l’abattrait.

Sur le devant, dans une rue silencieuse, les deux fourgons de police se tenaient d’un côté comme de l’autre. Tous les gyrophares avaient été éteints en approchant, afin de ne pas effrayer la cible, et les agents s’avançaient lentement, en longeant les murs. Les lampadaires pouvaient les trahir, mais un agent se trouvait près du transformateur électrique de la rue, et couperait l’électricité au moment d’agir. Le pub était là, au milieu d’une rue abandonnée et sinistre, semblant issue d’un décor de film d’horreur. Les deux équipes s’avançaient lentement, longeant le mur, vers le pub. Ils s’agenouillèrent prudemment, et regardèrent à l’intérieur, jetant de brefs coups d’œil.

La Duchesse était là, et était en train de tracer un cœur sur le corps d’une femme.

« Cible repérée », murmura Alpha-Leader.

L’opération allait pouvoir commencer. D’ici dix secondes, l’éclairage sera coupé dans la rue, mais aussi dans le pub… Dans tout le secteur, en fait. Les agents portaient des lunettes infrarouges, et bondiraient alors depuis leur position, en se relevant, puis transformeraient le pub en un stand de tir. La cible était proche de l’otage, mais ils estimaient pouvoir l’abattre sans risquer la vie de l’otage. Cette dernière étant attachée, elle ne pouvait pas bouger. Et eux étaient suffisamment porches pour pouvoir concentrer le tir.

D’ici quelques secondes, ce serait terminé.
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Lucrezia.H.Nietzsche le vendredi 07 février 2014, 16:55:34
Je meurs de ma propre maladie, je suis un bandit, je suis un tueur et la victime c'est moi
 J'ai un rendez-vous avec le destin et je ne peux juste pas attendre, je vous verrais tous descendre à la morgue
 J'ai besoin d'un peu de café, d'un cadavre et d'une cigarette, juste au cas où je m'ennuierai

 Rouge, blanc, contusionné et baigné dans le péché, j'ai été en enfer et je suis revenu
 Enterre-moi maintenant et dit que c'est la fin, oh mon Dieu, regarde ce que les chauves-souris ont rapporté

 Mon titre de gloire est que je n'ai pas honte, un cadavre est un cadavre...


(Wednesday 13 : Look at the bats dragged in)



Alors qu'elle ressassait amèrement son passer monstrueux, la duchesse torturait batgirl de la manière la plus atroce qu'il soit, tout allait crescendo, tous ce devait de devenir de plus en plus insoutenable, sa victimes avait osée traiter la mère de notre tueuse de "salope"... Elle allait donc subie l'atroce courroux d'une psychopathe devenue  plus froide et sadique qu'avant. Mais malgré cela, malgré la douleur, Batgirl osa une nouvelle fois provoquer la tueuse, comme un ultime claironnement balancer au visage de la tueuse.

-  Tu... Tu vas me faire pleurer, salope. Si...Si ta mère était si pure que ça...Elle doit se retourner dans sa tombe, en voyant le monstre qu’elle a engendré.  » Lâchât elle avant de cracher au visage de la tueuse un mélange de salive et de sang.
« Tu crois vraiment pouvoir m’effrayer ? Des tarés comme toi, j’en ai eu tout le temps. Tu te fais passer pour un monstre, mais tu n’es rien d’autre qu’une petite fille qui pleure, une minable et une lâche refusant d’affronter ses... Ses responsabilités. C’est ça... C’est ça le plus terrible, dans ce délire... Que des ratés comme toi puissent ôter la vie à tant de gens qui vous surpassent en tout point...

La tueuse serra les poings en contractant son faciès face à la nouvelle provocation de l'héroine un peut trop fière à son gout. Les yeux de la tueuse se tournèrent ensuite vers un gros morceaux de verre qui trainait dans une flaque mélangeant essence et substance noirâtre. Elle prit un petit mouchoir en tissus dans sa poche, prit le bout de verre avec précaution afin de ne pas se couper avec, puis elle l'approcha du bras de la justicière.

J'vais pas te tuer... J'vais juste te couper avec ça et laisser faire les saloperies qui trainent sur se bout de verre...

L'infections généraliser ? En voilà une idée qu'elle est... Cruelle et bien dégueulasse. décidément, notre tueuse avait vraiment envie de tuer sa victime de la manière la plus cruelle qu'il soit. le geste de la tueuse fut rapide et délicat, comme un caresse... comme un baiser, oui, un baiser de la mort, elle entailla la jolie batgirl au niveau du bras en veillant à enfoncer le vecteur le plus profondément possible, puis au final elle l'arracha d'un grand coup avant de le balancer à l'autre bout de la pièce.

Je te souhaite une agréable et très fiévreuse septicémie mon cœur... lâchât elle en laissant tomber le mouchoir sur le visage de batgirl puis de ramasser sa petit sacoche.

Mais cet Alors que la lumière vint à s'éteindre d'un cou, laissant la tueuse et sa proie dans le noir complet. Évidement Lucrezia sa dit en premier lieu que ça devait être la lumière qui avait rendue l'âme... Mais en réalité la cause de cette soudaine obscurité était tout autre. Alors que notre tueuse resta quelques secondes dans le silence le plus complet... Elle entendit soudain une sorte d'explosion à l'étage.

Qu...

Dans ça tête cette explosion ça pouvait être mille-et-une choses... Mais pas là, là quelque soit l'origine de ce bruit c'était mauvais, Elle hésita une seconde à achever Batgirl... Mais avec quoi, il faisait noir ! Et puis merde, advienne que pourra, la tueuse décampa aussitôt vers la sortie de secours, montant les marches à tâtons pour ensuite venir rouvrir la vieille porte rouillée et grinçante, une porte que Lucrezia dus enfoncer avec un grand coup d'épaule avant de finir par se ramasser lamentablement sur le sol de la toussaint.

Bordel...  grommelât elle alors qu'elle était encore à quatre pattes.

C'est elle !

c'est elle ? se demanda elle intérieurement.

Et là... Un cliqueti retentie... puis un autres, puis encore et encore et encore un autre puis toute une dizaine... Ces cliquetis, C'étaient des armes à feu, toutes braquées sur elle... La tueuse leva les yeux et elle vit alors de chaque cotés de la rue des flics avec leurs armes pointées sur elle ainsi que deux hélicoptères qui braquaient sur notre tueuse leurs gros projecteurs afin d'éclairer la scène. Doucement elle se releva en glissant son regard aux alentours... oui, visiblement sur ce coup là, c'était fini... Adieux douce liberté... Bien le bonjour perpétuité. Et comme pour couronner cette situation fort délicate, une autre donzelle déguiser en chauve-souris descendit du ciel pour atterrie à deux,trois mètres de la tueuse, veillant tous de fois à ne pas faire obstruction au tir des policiers.

Lucrezia regarda Kate dans les yeux, avant d'esquisser un petit sourire en coin.

Regardait ce que les chauves-souris ont apportées...*

La jeune femme de répondit pas... Préférant surement laisser aux flics se plaisir... ce qu'ils firent d'ailleurs très rapidement.

Lucrezia.Harianna.Patriovski.Nietzshe, vous êtes en état d'arrestation veuillez vous rendre sans résistance.

Lucrezia leva lentement les yeux vers l'hélicoptère en montrant un grand sourire

Ahahah ! Nous y voila ! Aller y arrêtaient moi AHAHAH !

La tueuse leva les bras au ciel en ne quittant pas l'hélicoptère des yeux, son heure était elle venue ? Elle savait que les flics de cette ville ne la tuerais pas, trop accrochés à leurs valeurs et à leur éthique. Elle sentie monter en elle un grand frisson et... Elle fit un pas en trop...

Au moment ou Lucrezia entendit le coup partir... Elle était déjà touchée... Un choc... Puis une vive douleur... La tueuse recula de deux pas en arrière, les yeux grands ouvert sur l'homme qui venait de la toucher au niveau de l'épaule gauche... Là... à une dizaines de mètres d'elle un homme se détachait du rang, il y avait de la fumer qui sortait de son beretta et ses yeux était emplie d'une froideur monstrueuse. Lucrezia regarda son épaule et peut à peut un grosse tache de sang vint à apparaitre sur son uniforme.
Elle posa sa main droite sur sa blessure...
Elle relança un regard à l'assembler qui regarder la scène, comme ci cela était normal.

Que... QUE FOUTEZ VOUS ! IL...IL M'A TIRER DESSUS ! AHAHAHAH ! IL M'A TIRE DESSUS ! AHAHAHAHAH !

Puis un autre tir retentie, ce dernier vint alors à effleura son visage... Le tir provenait toujours du même homme.

Tu vas la fermer ta gueule... Ont est pas venu la pour te ramener au bercaille... Ont viens pour te tuer... Comme t'as pus tuer toutes ces innocentes jeunes femmes et ces pauvres gamines... Ce soir était ton dernier Duchesse...

Il amorçât le chien puis reprit son monologue...

Aller... Pleur... J'veux t'voir implorer comme une chienne

Lucrezia lui adressa un sourire... Puis elle lui répondit sur un ton presque emplie de joie.

Eheh... Aller... Tir, prend ton pied... Vas y... Balance la sauce...

Crève... et boucle la...

Un troisième tir retenti... ce dernier toucha la tueuse au niveau de l'abdomen cette fois, visible au rein gauche. Le sourire de Lucrezia s'étiola alors d'un coup... Elle posa sa mains droite sur sa nouvelle blessure et... Elle recula... Les yeux grands ouvert elle regarder son propre sang tacher sa blouse...
Elle trébucha sur un morceau de goudron exploser et au moment ou l'homme tira un second coup... elle chuta dans un grande bouche d'égout... La Duchesse était apriori morte.
L'homme baissa lentement son arme... Puis on pus entendre le corps de la Duchesse tomber à l'eau.

Que... Qu'est qu'ont fous là ! Faut la suivre ! Demanda un autre homme quelque peut paniquer.

Sa sert à rien... Avec ses blessures elle ira pas loin... Au vus de toutes les saloperie qui traine dans les égouts, elle crèvera d'une façon ou d'un autres et puis avec une telle chute elle s'est forcement briser le coup... Elle est morte je vous dit... Et c'est Daisuke qui l'a buté...

Daisuke, un homme rongé  par le remord de ne pas avoir pus aller chercher sa fille au collège... Rongé par le remord de l'avoir laisser rentrer seul... Il était là, fixant la bouche d'égout... Quelque part il ce sentait mal... Pas pour la Duchesse, nan... Il se sentais mal car il savait que ce qu'il venait de faire ce soir ne ramènerais pas ça fille à la vie... Ouai... ç'est pas glorieux d'être humain...
 



flashback

Maman ! Regarde comme elles sont jolies ! Dit tu en tenant un bouquet d'hortensias au creux de tes mains.

Ooooh oui Lucrezia, elles sont magnifiques !

Là... Était ce la fin... Ton esprit une nouvelle fois était broyé par un flashback... Tu aurait aimée qu'il soit infinie... Vainement tu essayer d'y retourner... Souvient t'en... une dernière fois...

Mais tu te souvient juste de cette interminable nuit... Celle où ton père t'avais fais ces marques monstrueuses sur ton visage... Juste après avoir violement battu cette ange qu'était a mère... Une nouvelle fois...
Il put le chien mouillé... Il te dégoute... C'est un monstre... Nan... Nan ! Tu ne veux pas te souvenir de lui !
Rappelle toi d'elle... Rappelle toi de sa gentillesse, de sa chaleur... de cet amour qu'elle t'apporta jusqu'à son dernier souffle... Son dernier souffle... ses dernière paroles... Elles résonnent dans ta tête...

Un jour... Tu sauveras des vies mon amour... Puis quand tu me rejoindra enfin...

Cet phrase se brisa au sons de son électrocardiogramme qui venait d'annoncer son décès... à présent Tu étais seule... Seule... Seul et vide... Un vide monstrueux... Tu te souviens alors que Lucrezia était morte elle aussi ce jour là... En même temps que les deux êtres qui t'était les plus chers... Ta mère... et cette petite sœur que tu n'a jamais connue...





[HRP] Le texte que tu peux voir au début de ma réponse est tiré de la chanson du groupe Wednesday 13 "look what the bats dragged in (http://www.youtube.com/watch?v=2apa-SPCpCY)" Qui raconte la mort d'un tueurs en série puis sa résurrection... J'la trouvais pile-poil alors j'y ais fait référence x)]
Titre: Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]
Posté par: Batgirl le samedi 08 février 2014, 01:17:52
« ...Conduisez-là...
 -  ...État instable…
 -  …Augmentez la morphine…
 -  …Elle fait de la tachydardie, apaisez-là ! »

*BIP ! BIP ! BIP !*

Elle entendit tout d’abord les sons de son cœur, les rassurants points de l’électroencéphalogramme. Ce fut d’abord son ouïe qui revint à elle, et, juste après avoir compris que son battement cardiaque semblait être normal, elle perçut, comme venant de loin, des bruits, des gens qui discutaient. Elle essaya de se concentrer, de comprendre ce qu’on voulait lui dire, voire de parler, mais ses lèvres n’émettaient aucun son, tant elle était fatiguée.

« ...La fin d’une des plus redoutables criminelles de ces dernières années...
 -  ...La traque de la Duchesse s’est achevée devant ce débit de boissons fermé depuis des années...
 -  ...Une brillante opération policière qui a mis fin à l’action d’une tueuse en série dont le dernier et sinistre méfait... »

Tout venait de loin, et Barbara finit lentement par rouvrir les yeux. Elle était dans une pièce plongée dans l’obscurité, et reconnut assez rapidement un décor d’hôpital. Elle ne sentait pas ses jambes, mais il n’y avait là rien d’étonnant. En revanche, elle sentait aussi assez difficilement le reste de son corps. Elle était patraque, un peu dans le décor, et sa vision était floue. Clignant lentement des yeux, Barbara remua lentement ses bras, et tourna la tête. La mémoire lui revenait assez rapidement : son intervention, la Duchesse, la séance de torture... Elle ferma les yeux. Tout était encore un peu flou, et elle nota alors qu’elle n’avait plus son costume. Elle leva l’une de ses mains, quand une forme se dégagea de l’obscurité.

C’était Kate.

« Enfin réveillée, Barbara... Tu as dormi longtemps... »

Barbara cligna des yeux, et essaya de parler... Mais sa voix était encore atone. Aucun son n’en sortait. Elle se contentait de remuer des yeux. Kate portait sa tenue noire aux motifs rouges, et tourna lentement la tête.

« Désolée d’avoir mis si longtemps à venir, Barbara... Il a fallu que je demande l’aide de la police, afin de pouvoir m’assurer que cette femme ne se servirait pas de toi comme otage. Le docteur qui s’est occupé de toi a maintenu que tu n’avais que des blessures légères... Mais cette femme t’a bien amoché. »

Elle se rappelait d’une torture à hauteur de son sexe, de coups de couteau sur son corps. Barbara toussa, et Kate lui expliqua que la Duchesse avait été abattue de deux balles. Son corps était tombé dans une bouche d’égout, et avait été emporté par l’évacuation des eaux.

« Tu n’as pas à t’en faire pour ton identité. C’est un hôpital public, mais le SHIELD va intervenir, et va s’occuper de protéger ton anonymat. »

Barbara ne dit rien. Elle détestait l’idée de devoir se reposer sur un organisme paragouvernemental, mais ce n’était pas comme si elle avait le choix. Ce que Barbara avait entendu venait de la télé dans la chambre d’hôpital. Toutes les chaînes nationales ne parlaient que de la même chose : l’intervention policière menée contre la Duchesse, Lucrezia Nietzsche. Une femme avait été secourue, sans que son identité ne soit divulguée, tout comme la moindre photographie.

« Cette fois, c’est passé près... », réussit à marmonner Barbara.

Kate s’assit sur le rebord du lit, et attrapa dans sa main gantée celle de Barbara.

« Même toi, tu n’es pas immortelle, Barbara... Mais tu as survécu, c’est l’essentiel. »

Barbara hocha lentement la tête. C’était l’essentiel, oui.

Néanmoins, quelque chose lui disait que cette histoire n’était pas encore terminée. Combien de fois avait-elle affronté de vieux cauchemars ? Des individus censés être morts qui finissaient par revenir à la vie ? Tant que la police n’aurait pas retrouvé le corps de cette femme, Barbara continuerait à croire qu’elle est toujours en vie.

Pour le meilleur et pour le pire.