Lucrezia
La jeune femme venait tout juste de se réfugier dans le réfectoire, espérant échapper à notre tueuse... Lucrezia quant à elle, faisait face au deux porte du réfectoires en question, se remémorant vaguement l'endroit, puis... sont regard fut attirer par un objet des plus... comment dire... drôle ! oui, c'est ça, drôle ! Là, accrocher au mur, une hache à incendie était mise en évidence, si la jeune nurse n'avait pas était aussi pressée, peu être aurait elle put s'en emparer, mais que voulez vous, les gens sont stupides de nos jours... Lucrezia regarda vaguement son couteau, puis la hache, puis le couteaux, puis encore la hache, bordel lulu ! Décide toi ! Du coup Lucrezia remballa son couteau dans sa sacoche, afin de s'emparer de la hache d'un rouge vif.
Petit chaperon... Voilà qu'arrive le bucheron !
Lucrezia fit alors son entrer dans le réfectoire plonger dans les ténèbres. Elle avança lentement dans la pénombre en faisant trainer la lame de la hache sur le sol, produisant un bien sinistre son se mélangeant à merveille avec l'ambiance de la scène.
Loup y'es tu ? Me vois tu ? M'entend tu ?
Elle se stoppa quelques secondes...
Aller mon lapin... sort de ton terrier...
Un lourd silence pesait sur l'endroit, Lucrezia chercher la moindre faute, la moindre petite erreur de la part de sa proie. Après une petite quinzaines de secondes, Lucrezia reprit sa route dans le réfectoire. Les talons de la duchesse résonnait dans toute la pièce, accompagnée du sinistre bruit que faisait la hache raclant sur le sol, Puis... elle s'arrêta une seconde fois... juste à coter d'une des tables qui ce trouvait au centre de la pièce.
Tu veux jouer à cache-cache ?... hm ?... Très bien... ont vas jouer...
John sheffield
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John était un vigile d'une quarantaine d'année, large d'épaule et de forte constitution. il vivait dans un petit quartier résidentiel non loin de l'hôpital avec sa femme et sa fille. Ce soir était plutôt tranquille, seulement quelques internes étaient en service, oui, c'était vraiment tranquille.
Cela devait faire une bonne heure et demi que l'homme déambulais dans les interminables couloirs de l'hôpital, saluant les rares infirmières qu'il croisât d'un geste de la tête, toujours accompagné d'un sourire sincère et de son habituel "est ce que tout va bien ?", ce sur quoi elles lui répondaient bien souvent par un "oui, merci." là aussi accompagné d'un grand sourire emplie de gentillesse. Tout ce passait pour le mieux, il marcher tranquillement, faisant tournoyait son trousseaux de clé du bout de son index, quand... des bruits se firent entendre, l'homme se précipita alors vers l'origines de ses derniers. En premier lieux il vit un fauteuil roulant renversé sur le sol, il s'en approcha, histoire d'inspecter l'objet, mais son attention fut bien vite détourner par le bruit glauque d'un vomissement. le bruit provenait de la cage d'ascenseur, l'homme se précipita alors vers cette dernière et sur quoi tombât il une fois à l'intérieur ? Sur une pauvre jeune femme vraisemblablement mal en point. John alla alors de suite lui porter secours.
Qu'avez vous mademoiselle ?! Vous avez besoin d'un médecin !?
Son regard s'arrêta vaguement sur le panneau de contrôle complètement détruit... ce qui le fit quelque peut s'interroger sur la situation.
Que s'est il passé ici ?
Je meurs de ma propre maladie, je suis un bandit, je suis un tueur et la victime c'est moi
J'ai un rendez-vous avec le destin et je ne peux juste pas attendre, je vous verrais tous descendre à la morgue
J'ai besoin d'un peu de café, d'un cadavre et d'une cigarette, juste au cas où je m'ennuierai
Rouge, blanc, contusionné et baigné dans le péché, j'ai été en enfer et je suis revenu
Enterre-moi maintenant et dit que c'est la fin, oh mon Dieu, regarde ce que les chauves-souris ont rapporté
Mon titre de gloire est que je n'ai pas honte, un cadavre est un cadavre...
(Wednesday 13 : Look at the bats dragged in)
Alors qu'elle ressassait amèrement son passer monstrueux, la duchesse torturait batgirl de la manière la plus atroce qu'il soit, tout allait crescendo, tous ce devait de devenir de plus en plus insoutenable, sa victimes avait osée traiter la mère de notre tueuse de "salope"... Elle allait donc subie l'atroce courroux d'une psychopathe devenue plus froide et sadique qu'avant. Mais malgré cela, malgré la douleur, Batgirl osa une nouvelle fois provoquer la tueuse, comme un ultime claironnement balancer au visage de la tueuse.
- Tu... Tu vas me faire pleurer, salope. Si...Si ta mère était si pure que ça...Elle doit se retourner dans sa tombe, en voyant le monstre qu’elle a engendré. » Lâchât elle avant de cracher au visage de la tueuse un mélange de salive et de sang.
« Tu crois vraiment pouvoir m’effrayer ? Des tarés comme toi, j’en ai eu tout le temps. Tu te fais passer pour un monstre, mais tu n’es rien d’autre qu’une petite fille qui pleure, une minable et une lâche refusant d’affronter ses... Ses responsabilités. C’est ça... C’est ça le plus terrible, dans ce délire... Que des ratés comme toi puissent ôter la vie à tant de gens qui vous surpassent en tout point...
La tueuse serra les poings en contractant son faciès face à la nouvelle provocation de l'héroine un peut trop fière à son gout. Les yeux de la tueuse se tournèrent ensuite vers un gros morceaux de verre qui trainait dans une flaque mélangeant essence et substance noirâtre. Elle prit un petit mouchoir en tissus dans sa poche, prit le bout de verre avec précaution afin de ne pas se couper avec, puis elle l'approcha du bras de la justicière.
J'vais pas te tuer... J'vais juste te couper avec ça et laisser faire les saloperies qui trainent sur se bout de verre...
L'infections généraliser ? En voilà une idée qu'elle est... Cruelle et bien dégueulasse. décidément, notre tueuse avait vraiment envie de tuer sa victime de la manière la plus cruelle qu'il soit. le geste de la tueuse fut rapide et délicat, comme un caresse... comme un baiser, oui, un baiser de la mort, elle entailla la jolie batgirl au niveau du bras en veillant à enfoncer le vecteur le plus profondément possible, puis au final elle l'arracha d'un grand coup avant de le balancer à l'autre bout de la pièce.
Je te souhaite une agréable et très fiévreuse septicémie mon cœur... lâchât elle en laissant tomber le mouchoir sur le visage de batgirl puis de ramasser sa petit sacoche.
Mais cet Alors que la lumière vint à s'éteindre d'un cou, laissant la tueuse et sa proie dans le noir complet. Évidement Lucrezia sa dit en premier lieu que ça devait être la lumière qui avait rendue l'âme... Mais en réalité la cause de cette soudaine obscurité était tout autre. Alors que notre tueuse resta quelques secondes dans le silence le plus complet... Elle entendit soudain une sorte d'explosion à l'étage.
Qu...
Dans ça tête cette explosion ça pouvait être mille-et-une choses... Mais pas là, là quelque soit l'origine de ce bruit c'était mauvais, Elle hésita une seconde à achever Batgirl... Mais avec quoi, il faisait noir ! Et puis merde, advienne que pourra, la tueuse décampa aussitôt vers la sortie de secours, montant les marches à tâtons pour ensuite venir rouvrir la vieille porte rouillée et grinçante, une porte que Lucrezia dus enfoncer avec un grand coup d'épaule avant de finir par se ramasser lamentablement sur le sol de la toussaint.
Bordel... grommelât elle alors qu'elle était encore à quatre pattes.
C'est elle !
c'est elle ? se demanda elle intérieurement.
Et là... Un cliqueti retentie... puis un autres, puis encore et encore et encore un autre puis toute une dizaine... Ces cliquetis, C'étaient des armes à feu, toutes braquées sur elle... La tueuse leva les yeux et elle vit alors de chaque cotés de la rue des flics avec leurs armes pointées sur elle ainsi que deux hélicoptères qui braquaient sur notre tueuse leurs gros projecteurs afin d'éclairer la scène. Doucement elle se releva en glissant son regard aux alentours... oui, visiblement sur ce coup là, c'était fini... Adieux douce liberté... Bien le bonjour perpétuité. Et comme pour couronner cette situation fort délicate, une autre donzelle déguiser en chauve-souris descendit du ciel pour atterrie à deux,trois mètres de la tueuse, veillant tous de fois à ne pas faire obstruction au tir des policiers.
Lucrezia regarda Kate dans les yeux, avant d'esquisser un petit sourire en coin.
Regardait ce que les chauves-souris ont apportées...*
La jeune femme de répondit pas... Préférant surement laisser aux flics se plaisir... ce qu'ils firent d'ailleurs très rapidement.
Lucrezia.Harianna.Patriovski.Nietzshe, vous êtes en état d'arrestation veuillez vous rendre sans résistance.
Lucrezia leva lentement les yeux vers l'hélicoptère en montrant un grand sourire
Ahahah ! Nous y voila ! Aller y arrêtaient moi AHAHAH !
La tueuse leva les bras au ciel en ne quittant pas l'hélicoptère des yeux, son heure était elle venue ? Elle savait que les flics de cette ville ne la tuerais pas, trop accrochés à leurs valeurs et à leur éthique. Elle sentie monter en elle un grand frisson et... Elle fit un pas en trop...
Au moment ou Lucrezia entendit le coup partir... Elle était déjà touchée... Un choc... Puis une vive douleur... La tueuse recula de deux pas en arrière, les yeux grands ouvert sur l'homme qui venait de la toucher au niveau de l'épaule gauche... Là... à une dizaines de mètres d'elle un homme se détachait du rang, il y avait de la fumer qui sortait de son beretta et ses yeux était emplie d'une froideur monstrueuse. Lucrezia regarda son épaule et peut à peut un grosse tache de sang vint à apparaitre sur son uniforme.
Elle posa sa main droite sur sa blessure...
Elle relança un regard à l'assembler qui regarder la scène, comme ci cela était normal.
Que... QUE FOUTEZ VOUS ! IL...IL M'A TIRER DESSUS ! AHAHAHAH ! IL M'A TIRE DESSUS ! AHAHAHAHAH !
Puis un autre tir retentie, ce dernier vint alors à effleura son visage... Le tir provenait toujours du même homme.
Tu vas la fermer ta gueule... Ont est pas venu la pour te ramener au bercaille... Ont viens pour te tuer... Comme t'as pus tuer toutes ces innocentes jeunes femmes et ces pauvres gamines... Ce soir était ton dernier Duchesse...
Il amorçât le chien puis reprit son monologue...
Aller... Pleur... J'veux t'voir implorer comme une chienne
Lucrezia lui adressa un sourire... Puis elle lui répondit sur un ton presque emplie de joie.
Eheh... Aller... Tir, prend ton pied... Vas y... Balance la sauce...
Crève... et boucle la...
Un troisième tir retenti... ce dernier toucha la tueuse au niveau de l'abdomen cette fois, visible au rein gauche. Le sourire de Lucrezia s'étiola alors d'un coup... Elle posa sa mains droite sur sa nouvelle blessure et... Elle recula... Les yeux grands ouvert elle regarder son propre sang tacher sa blouse...
Elle trébucha sur un morceau de goudron exploser et au moment ou l'homme tira un second coup... elle chuta dans un grande bouche d'égout... La Duchesse était apriori morte.
L'homme baissa lentement son arme... Puis on pus entendre le corps de la Duchesse tomber à l'eau.
Que... Qu'est qu'ont fous là ! Faut la suivre ! Demanda un autre homme quelque peut paniquer.
Sa sert à rien... Avec ses blessures elle ira pas loin... Au vus de toutes les saloperie qui traine dans les égouts, elle crèvera d'une façon ou d'un autres et puis avec une telle chute elle s'est forcement briser le coup... Elle est morte je vous dit... Et c'est Daisuke qui l'a buté...
Daisuke, un homme rongé par le remord de ne pas avoir pus aller chercher sa fille au collège... Rongé par le remord de l'avoir laisser rentrer seul... Il était là, fixant la bouche d'égout... Quelque part il ce sentait mal... Pas pour la Duchesse, nan... Il se sentais mal car il savait que ce qu'il venait de faire ce soir ne ramènerais pas ça fille à la vie... Ouai... ç'est pas glorieux d'être humain...
flashback
Maman ! Regarde comme elles sont jolies ! Dit tu en tenant un bouquet d'hortensias au creux de tes mains.
Ooooh oui Lucrezia, elles sont magnifiques !
Là... Était ce la fin... Ton esprit une nouvelle fois était broyé par un flashback... Tu aurait aimée qu'il soit infinie... Vainement tu essayer d'y retourner... Souvient t'en... une dernière fois...
Mais tu te souvient juste de cette interminable nuit... Celle où ton père t'avais fais ces marques monstrueuses sur ton visage... Juste après avoir violement battu cette ange qu'était a mère... Une nouvelle fois...
Il put le chien mouillé... Il te dégoute... C'est un monstre... Nan... Nan ! Tu ne veux pas te souvenir de lui !
Rappelle toi d'elle... Rappelle toi de sa gentillesse, de sa chaleur... de cet amour qu'elle t'apporta jusqu'à son dernier souffle... Son dernier souffle... ses dernière paroles... Elles résonnent dans ta tête...
Un jour... Tu sauveras des vies mon amour... Puis quand tu me rejoindra enfin...
Cet phrase se brisa au sons de son électrocardiogramme qui venait d'annoncer son décès... à présent Tu étais seule... Seule... Seul et vide... Un vide monstrueux... Tu te souviens alors que Lucrezia était morte elle aussi ce jour là... En même temps que les deux êtres qui t'était les plus chers... Ta mère... et cette petite sœur que tu n'a jamais connue...
[HRP] Le texte que tu peux voir au début de ma réponse est tiré de la chanson du groupe Wednesday 13 "look what the bats dragged in (http://www.youtube.com/watch?v=2apa-SPCpCY)" Qui raconte la mort d'un tueurs en série puis sa résurrection... J'la trouvais pile-poil alors j'y ais fait référence x)]