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Il était temps de rendre une petite visite à l'une des figures les plus connus et les plus grimpantes de ses dernières années à Ashnard. Une vampire belle et jeune – d'apparence – qui tenait un somptueux harem, vivait une double vie aussi sur Terre – pour l'avoir croisé une ou deux fois – et qui reste une concurrente puisqu'elle est aussi une esclavagiste. Mélinda Warren! Bien sur, en digne héritière de la maison Karistal, elles ne peuvent pas vraiment menacer la vampire, ni avec la force d'ailleurs. Malgré quelques entrainement et faculté au combat, les jumelles restent des humaines, elle, une vampire. De plus, elles ne voulaient pas parler de commerce, enfin oui mais pas comme tout le monde. Pas d'intimidation ou de coups bas, Mélinda était surement plus puissante qu'elle en ce domaine. Les jumelles s'occupent des petits esclavagistes qui rodent un peu trop autour de leur commerce, pour ce qui était des plus grands esclavagistes du pays, c'est à leur père de régler ça. Aujourd'hui, elles venaient marchander en quelque sorte, mettre les points sur le I et vite! Le problème dans tout ça? Quel peut-il être ce problème alors que ses trois-là ne se connaissent pas vraiment? De vu au mieux et ça s'arrête là. Le problème tiens en quatre lettres, Neko! Eh oui, une fois n'est pas coutume, les filles Karistal ont des problèmes concernant ses adorables boules de poils plus ou moins humaines. Non pas qu'elles ont acheté un mauvais produit neko chez Warren, non, ça concernait plutôt ce qu'elles n'ont pas pu acheter à cause de Warren Mélinda.
En ce jour spécial, il ne devait pas y avoir de niveau chez les deux sœurs, si Yuka aurait su avoir sa laisse et son collier, pas aujourd'hui. Elles devaient négocier, être sérieuse et obtenir gain de cause. Bien souvent, plus d'un ou d'une neko avait échappé aux douces mains des jumelles pour se retrouver dans les mains de la vampire! Cela était souvent une bataille d'or, pour le plus offrant comme il y a coutume dans les ventes aux enchères. Bon, quand il s'agissait d'une neko disons normal, c'est la vie mais quand de précieux spécimens leur échappent à cause d'une bourse trop petite lors d'un voyage, c'est rageant! D'autant plus que ça se joue généralement à très peu de chose! Personne n'investit de grande somme dans les nekos mais les Karistal le pouvaient, et Mélinda aussi apparemment. Et cela n'est pas arrivée une fois! Car si ce n'était que ça, ainsi est la dure loi de la vente aux enchères mais non, plus d'une fois, une merveilleuse petite boule de poile leur passaient sous le nez pour passer sa vie aux coter de cette vampire ou autres! Tout dépendait de ce qu'elle faisait de ses nekos. Bien sûr ce genre de mésaventure était plutôt bien pour leur père, ça faisait de l'or en plus, moins d'or donné à d'autres vendeurs pour des nekos en plus. Surtout que chez elles, il devait facile y avoir neuf nekos sur dix qui étaient du personnel. Si leur père revendait ou échangeait la place de certaines et certains domestiques, quelques anciens de ses fidèles domestiques restaient à leur poste. Heureusement pour elle, leur cabane de deux étages, fermé et double tour dans leur jardin était là pour accueillir ce trop pleins de neko qui pouvaient se donner à cœur joie à leur activité favorite en compagnie des autres esclaves sexuelles comme Luna, leur cadeau mystère. Cette gentille esclave humaine n'avait toujours pas de destinataire mais elle était heureuse chez elle, c'est le moins que l'on puisse dire.
Après avoir envoyé une missive, avec la date de leur arrivée pour parler affaire, les voilà en voyage dans leur diligence, de leur maison au harem de Mélinda, il y en avait pour une petite heure, voire deux dans le pire des cas. Pour l'occasion, elles avaient revêtis une belle robe, noire pour Yuko arrivant près des genoux, un peu de dentelle dessous pour souligner les bords de la robe aux manches, aux pans de la robe, au col. Un petit nœud en tissu noir pour le cou. Un look un peu loli-goth adopté depuis leurs voyages sur terre. Pour Yuka, toujours plus clair que sa sœur avait en plus des manches à sa robe et un peu plus de couleur comme dans ses rubans, un peu de rose par exemple. Deux parfaites petites poupées! Le voyage ne fut pas vraiment long, le temps de parler des points à débattre avec Mélinda, des différents accords qu'elles pourraient parler. Une fois devant le sanctuaire de la vampire, elles avançaient sans Nounours, leur garde du corps. Ce dernier était en dehors de la diligence. Dans ce lieu, rien ne pouvait arriver. Elles devaient parler affaires, pas jouer avec des couteaux. Passant les portes de ce domaine de luxure, les jumelles furent accueillies par une hôtesse à l'accueil, immédiatement, Yuko fit savoir qui elles étaient, les Karistal, et qu'elles avaient donc un rendez-vous avec leur patronne. En ce début d'après-midi, il faut espérer que le vampire ne soit pas du genre à se lever très tard.
[HRP: Voici à quoi ressembles les robes (http://img11.hostingpics.net/pics/600613TsukasaetKagami02.jpg) des jumelles
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« Hum... Ouvre la bouche, là... Attention, ne me mange pas les doigts... Et bien, tu manges vite, toi ! Prends garde à ne pas avoir le hoquet, savoure bien !
- Rrrr... Oui-oui, Maîtresse... » hoqueta la neko, en continuant à regarder les morceaux de chocolat que cette dernière avec de grands yeux avides.
Bonne princesse, Mélinda les arrachait parfois, et elle voyait alors la tête de Syzie (http://img95.xooimage.com/files/2/d/3/syziella-3e0d635.jpg) se rapprocher rapidement, gobant les morceaux que Mélinda tendait, pour la féliciter de ses câlins. Syzie était, comme ses oreilles et sa queue le présumaient, une neko. Une neko que Mélinda avait récemment acheté aux enchères, dans une ville reculée, par le biais d’un de ses fournisseurs. Belle et mignonne, Syzie n’était pas vierge quand elle avait été achetée, et avait servi d’esclave sexuelle dans une maison de charme, avant que cette dernière ne doive faire face à des problèmes économiques l’ayant amené à revendre une partie de son patrimoine. Syzie, qui se plaisait bien dans cette ancienne maison, avait été un peu triste, au début, avant de voir que le harem des Warren n’était pas trop mal.
Comme à chaque fois, Mélinda avait demandé à son contact une liste précise des enchérisseurs. Dans le milieu de l’esclavage, et plus particulièrement de l’esclavage sexuel, il existait une forte concurrence. Mélinda n’avait pas la prétention d’affronter les grands propriétaires terriens, ceux qui avaient des milliers d’esclaves à gérer. Elle militait pour un esclavage modéré, mais de qualité, ce qui en faisait malgré tout une esclavagiste de plus en plus imposante à Ashnard. Des individus de renom allaient dans son harem, qui bénéficiait d’une excellente position géographique. Mélinda renouvelait continuellement son stock, et veillait aussi à se méfier des rivaux. Son contact lui avait ainsi dit que, parmi les enchérisseurs principaux, il y avait eu un représentant de Jung Barrow, l’un de ses principaux concurrents à Ashnard, un homme élancé et beau, qui, comme Mélinda, couchait avidement avec ses esclaves. Il y avait aussi eu le mandataire du couple DeWynter, ainsi que les sœurs Karistal.
C’était d’ailleurs suite à cette vente que les jumelles avaient envoyé un courrier à Mélinda, sollicitant un entretien avec elle, pour discuter de « questions esclavagistes » concernant le passe-temps favori des jumelles Karistal : les nekos. C’était un secret pour personne. Les deux filles de cet esclavagiste reculé, qui agissaient hors de la capitale, dans des villes plus petites, adoraient les nekos, au point, selon certains, de faire partie d’une secte secrète vénérant ces boules de poils. Elles avaient visiblement voulu mettre leurs belles mains manucurées sur Syzie, et avaient échoué. Mélinda ne tenait nullement à les leur remettre, et elle ne voyait pas les Karistal comme des rivaux... Mais probablement comme des alliés potentiels. Son harem commençait en effet à être surpeuplé, et Mélinda envisageait de se répandre, d’imposer la marque Warren ailleurs. Elle avait globalement deux options : établir une succursale dans la capitale, ou aller dans une autre ville. Chacune de ces deux méthodes présentait des avantages et des inconvénients, la seconde ayant pour elle de lui ouvrir un nouveau marché. Cependant, l’esclavage sexuel était très concurrentiel, et elle avait peur de se ruiner à s’implanter ailleurs, sans succès.
*En revanche, je peux toujours me trouver un partenaire...*
Les Karistal présentaient l’avantage d’être, aux yeux du public, une partie du décor, des individus qu’on ne délogeait pas de là, et pas de nouveaux arrivants sans vergogne, et sans aucune réputation. C’est en suivant cette optique que Mélinda avait accepté de les voir. Ambitieuse et réfléchie, Mélinda voyait les choses sous le long terme. Pour l’instant, les Karistal n’avaient aucune influence sur le marché, mais, au bout d’un moment, leur père décéderait... Et, à ce moment, une amitié entretenue se révélerait utile. C’était la même chose que Mélinda faisait avec Sylvandell, où elle avait réussi, sans trop de difficulté, à se lier d’amitié avec la Princesse de ce petit royaume qui lui fournissait des esclaves gratuitement.
Mélinda était donc dans son bureau, donnant à manger à Syzie, qui léchait l’intimité de sa Maîtresse. Quand elle se débrouillait bien, la vampire lui donnait un carré de chocolat. C’était aussi simple que ça. Syzie mangeait avec un certain appétit, ce qui était bon à voir. Elle était enjouée et heureuse, ses craintes ayant disparu quand sa Maîtresse lui avait fait l’amour, et quand elle s’était retrouvée avec plusieurs nekos, dans un long câlin félin.
On gratta alors à la porte de Mélinda. Cette dernière s’ouvrit, et la petite tête blonde de Liana (http://themikal.files.wordpress.com/2009/12/neko_maid.jpg) apparut. C’était une autre neko, docile et soumise, qui voyait Mélinda autant comme sa maîtresse que comme sa mère. Elle se rapprocha d’elle, nullement choquée de voir sa maîtresse totalement nue. C’était un spectacle auquel il fallait s’habituer, après tout.
« Les... Les jumelles sont arrivées, Maîtresse.
- Oh, c’est qu’elles sont ponctuelles, les petites chéries ! s’exclama Mélinda. Très bien, Liana, va donc les chercher, et invite-les dans mon bureau. J’aurais ainsi l’occasion de mes préparer à les recevoir dignement. »
Liana obtempéra, et fila rapidement. Mélinda se releva alors, caressant la tête de Syzie, puis entreprit de se rhabiller. Elle enfila une culotte verte avec des reliefs dorés, un soutien-gorge, puis sa traditionnelle verte avec des rayures dorées, au décolleté plongeant, et fit lentement craquer ses doigts.
« Dois-je vous laisser, Maîtresse ?
- Quelle drôle d’idée ! Reste là, et continue à me lécher ! »
Syzie se mit à rougir, puis fourra sa tête sous al robe, et lécha la culotte de sa Maîtresse. Cette dernière comptait attendre ainsi les jumelles. Les doigts de sa main droite s’entortillaient dans ses longues boucles Impossible de voir Syzie depuis l’autre côté du bureau, où deux fauteuils rembourrés attendaient les fesses des blondinettes.
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Maintenant qu'elles étaient dans l'un des harems les plus célèbres et convoités d'Ashnard, les jumelles ne devait pas être là pour jouer mais parler affaires. Elles avaient quand même un peu d'or, si les négociations se passent bien, autant passer un peu de bon temps avec une ou deux adorables nekos à leur disposition. Et si ça se passe mal... elles peuvent toujours en acheter une en chemin. Ha oui, si les négociations se passent mal, pourquoi lui donner de l'or à travers ses esclaves? Soyons lucide. À l'accueil, elles déposèrent donc leur réclamation et après le départ de la jeune femme, elle revint en précisant que quelqu'un est parti avertir Mélinda Warren. Elles n'avaient pas patienté longtemps, juste assez pour voir une ou deux esclaves défilés librement et quelques clients/es venir rendre une petite visite à certaines filles? Heureusement, même pas cinq minutes après, ce fut une petite neko blonde qui arriva pour demander à la suivre jusqu'à son bureau. Est-ce qu'elle tentait de les amadouer avec leur point faible? Bonne idée mais ça ne marche pas! Si encore au lieu d'un café elle propose une neko pour s'amuser, oui, elles sont preneuse. Elle était bien habillé la petite neko, un joli petit morceau! Enfin, là n'était pas la question pour le moment, elles suivaient calmement la petite maid et une fois la porte ouverte, elles remerciaient Liana avec un petit sourire avant de voir Mélinda. Cette fois-ci, pas rapidement, pas par hasard, non, c'était voulu. Les jumelles se rapprochaient du bureau sans être plus souriante que ça. Un petit sourire aimable pour commencer mais sans plus.
« Mélinda Warren, nous sommes ravis de vous rencontrer. Je suis Yuka Karistal et voici ma soeur, Yuka. »
« Enchanté. » Une petite courbette chacune pour saluer.
« Pouvons-nous? » dit-elle en se tournant vers les fauteuils.
Une fois assise, elles se calèrent bien au fond des fauteuils confortables, passant les détails du voyage et autres blabla inutiles, il fallait commencer à parler affaires car elles avaient à peine précisé le pourquoi dans la missive.
« Bien, si nous avons demandé à vous rencontrer, cela concerne les nekos comme nous l'avons indiqué. Mais pour entrer dans le vif du sujet, cela concerne ceux et celles de ventes. J'ai bien conscience que les ventes sont notre terrain de jeu et c'est celui avec les plus grosses bourses qui l'emportent en général. Voyez-vous, hormis à quelques occasions, nous achetons que des nekos car nous les adorons! »
Oui, les rumeurs étaient vraies à ce sujet. Chez elles, c'était neko-land et leur chambre était décorée de mille et une façons de neko! Yuka prit la parole pour ne pas servir de décoration.
« D'habitude les gens achètent peu de neko, c'est tellement banal selon leur propos. Ou alors ils ne veulent pas donner grand-chose pour les acquérir. Ils nous ai alors facile d'écraser les autres avec nos offres et faire taire les plus tenaces. Cependant, vous ou vos acolytes ne lâcher pas l'affaire et plus d'une fois, vous avez volé notre proie. La loi du plus fort, certes, que cela se produise une fois ou deux, c'est la vie. Mais ses derniers temps, j'aurais presque tendance à croire que vous nous suivez pour empêcher nos achats et ça commence à bien faire! »
Malgré le tout, Yuka restait calme et n'élevait pas la voix. Au moins, tout était dit, le problème était ses nekos voler à quelques poignées d'or prêt! C'était rageant, surtout pour elles. Mais elles n'étaient pas ici pour se crêper le chignon et en venir aux mains.
« Nous avons donc pensé à un petit arrangement entre nous. Nous somme des femmes civilisées, il est donc inutile de monter une armée et s'affronter toutes les deux. Mais avant de proposer notre idée, je vous en prie, si vous avez quelque chose à nous dire sur notre problème ou autres, vous êtes aussi libre de nous donner votre avis. »
Depuis leur entrée, elles parlent et continuent, que Mélinda ait son mot à dire maintenant que le problème avait une source. Est-ce que la vampire a une proposition ou un refus? Elles ne tarderont pas à le savoir.
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Syzie se faisait plaisir, et Mélinda aussi. La langue joueuse de la neko se faufilait avec merveille en elle, faisant gémir sa propriétaire, qui se laissait aller. Ce ne serait pas la première fois qu’elle subirait un rendez-vous en ayant une esclave entre ses cuisses. Les Karistal ne venaient sûrement pas pour une visite de courtoisie, et, si la réputation qu’on leur attribuait était exacte, la vampire croyait savoir quelles étaient leurs revendications. Elle regardait tendrement Syzie, avant que Liana ne gratte à nouveau à la porte, et ne l’ouvre. Les deux jumelles entrèrent rapidement, et Mélinda essaya de repérer quelle était la fonceuse, et l’autre la soumise... Car, chez tout jumeau, il y en avait toujours un qui était plus dominant que l’autre. Les deux filles avaient probablement du se concerter préalablement pour éviter, autant que possible, des dissensions entre elles. Elles lui firent ainsi une légère courbette, et Mélinda les invita à s’asseoir, tout en les saluant, avant de se tenir la tête dans le creux de sa main gauche, ses ongles glissant sur ses lèvres.
Les Karistal allèrent dans le vif du sujet : les nekos. Mélinda les écouta silencieusement, tandis que la langue de Syzie continuait à glisser en elle, la faisant mouiller. Diable, ce que cette petite pouvait être entreprenante et vive ! Elle ne ménageait nullement sa Maîtresse, naturellement pour le plus grand plaisir de cette dernière. Elle retenait un sourire de plaisir, afin que les Karistal ne croient pas qu’elle cherche à se moquer... Même si, dans le fond, leur motivation ridicule, teintée d’un zeste de paranoïa, lui donnait envie de rire. A les entendre, Mélinda passerait son temps à leur piquer les nekos ! Elle continuait à les écouter, jusqu’à ce que l’une des deux Karistal lui demande si elle avait des remarques à faire.
Mélinda ferma lentement les yeux, essayant de se concentrer. Comme ce n’était pas la première fois qu’elle était dans cette situation, elle put mobiliser ses pensées assez facilement, et ne tarda pas à leur répondre :
« Comme vous le savez sûrement, l’esclavage est... Un domaine très concurrentiel. C’est le monde des affaires, et les affaires fonctionnent sur le principe de la libre concurrence. Si cela peut vous rassurer, je ne vous espionne pas, mais il est normal que je me renseigne sur les autres acteurs de ce marché. »
C’était une chose naturelle, qui n’était pas illégale, loin de là. A dire vrai, Ashnard était, sur ce point, un pays très libre. Bon nombre de pratiques commerciales étaient admises, mais Mélinda ne les espionnait pas.
« Ce qui suit est un simple concours de circonstances. Je n’ai jamais cherché à vous porter préjudice en acquérant ces précieuses petites nekos... Je dirais juste que j’ai une meilleure enchère que vous, tout simplement. »
C’était, pour elle, aussi simple que ça. Elle remua un peu son corps sur son fauteuil, remuant ses fesses, puis avança son autre main sur la tête de Syzie, caressant ses cheveux en les grattant, tandis que la neko poussa un miaulement très faible, étouffé par les cuisses de sa Maîtresse.
« Cependant, je ne tiens pas à me fâcher avec vous... J’ai déjà assez d’ennemis comme ça parmi nos confrères... Mais, d’un autre côté, vous comprendrez que je ne peux pas accepter de propositions de rachat des nekos que j’ai récupéré. »
Elle tenait à préciser cela rapidement, même si elle se doutait bien que la proposition des Karistal ne se résumerait pas qu’à racheter les nekos que Mélinda possédait.
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En effet, c'était naturel de se renseigner sur les différents concurrents présents lors d'une vente, ça peut toujours laisser quelques idées pour savoir ce qu'ils ont acheté, ce qu'ils comptent faire, quel genre d'esclave ils recherchent, et ainsi de suite. Mais c'est vrai que les dernières ventes échouées sur les nekos avaient toujours un rapport avec Mélinda ou l'un de ses sujets qui venait faire les achats à sa place. Yuko comme Yuka se doutait bien que cette directrice de harem – entre autres – avait bien mieux à faire que surveiller deux jumelles future esclavagiste adoratrice compulsive de neko. Mais bon, on ne pouvait pas connaître les gens comme ça, d'un rien. Et pour le fait qu'elle ait une meilleure enchère qu'elles à chaque fois, c'est possible mais parfois, même en faisant attention aux derniers achats de la journée, il y en avait toujours un pour enchérir plus qu'elles et neuf fois sur dix, c'était un coup de Warren! Enfin bref, elles ne sont pas ici pour se battre sur des détails. Et ne pas pouvoir racheter ses nekos était dommage mais elles ne venaient pas pour cela même si elles étaient sûres que deux ou trois petites nekos dans le lot valaient surement le coup de tenter de les avoir pour elles seules. Comme cette mignonne petite neko maid qui les avaient guidé ici. Mais bon, il ne fallait pas perdre de vue leur objectif premier. Yuko replaçait une de ces mèches sur son front sans se douter qu'une adorable neko se trouvait entre les jambes de Mélinda.
« Ce n'est pas pour cela que nous venions de toute façon. Vous comme elles, êtes bien trop attaché l'une à l'autre. Je vais donc vous parler de notre projet pour éviter que ce genre de chose se reproduise à l'avenir. Écoutez donc en entier avant de proposer autre chose ou même votre désaccord. Nous avons pensé à un moyen simple de vous faire renoncer aux nekos lorsque nous aussi somme sur cette vente et la méthode est simple. Je vous propose entre dix et vingt-cinq pour cent du prix final annoncé pour l'achat de la future neko si bien, nous sommes toutes les deux sur le coup. Inutile de nous faire dire que vous êtes à toutes les ventes pour avoir votre part du gâteau. En gros, lors d'une vente ou nous sommes toutes les deux présentes, vous renoncez à acheter une neko sur laquelle nous avons les yeux et au final, vous gagnez de l'argent en fonction du prix final. »
Elles avaient longtemps réfléchi à un moyen de faire renoncer à Mélinda d'acheter les même nekos convoitées qu'elles et elles avaient longtemps chercher quoi? Lui donner des esclaves en échange de neko? Même en payant les dis esclaves de leur poche, elles ne pourront pas faire indéfiniment sortir des esclaves de leur père pour leurs petits trafics. S'il y a bien une chose qu'il ne leur cède pas, c'est de lui voler son travail. Elles avaient pensé à une rente mensuelle mais si Mélinda ou elles n'achètent pas de neko durant le mois, c'est de l'argent gâché. Yuka reprenait pour éviter de rester trop muette.
« Voilà. Maintenant vous êtes libres de nous dire ce que vous en penser? Les pour, les contre, si vous aviez une autre idée. Nous somme là pour tenter de trouver un arrangement et notre proposition n'est pas définitive, vous pouvez nous parler de certains détails. »
Elles se doutaient bien que cette histoire n'allait pas se régler en trois minutes alors elles avaient le temps devant elles. Parler, négocier, s'arranger, elles avaient toute la journée et bien plus encore pour régler cette histoire et ne pas passer à côter de petit bijou avec une queue et des oreilles toutes mimi!
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La langue de Syzie était vraiment vicieuse. Elle s’enfonçait profondément dans le vagin de sa maîtresse, qui fermait lentement les yeux, émettant des soupirs silencieux. Ce qu’elle pouvait aimer ça ! Syzie était très douée, et, de manière générale, Mélinda adorait qu’on lui lèche la foufoune pendant qu’elle avait un rendez-vous. Il n’y avait que devant de rares personnes qu’elle ne se permettait pas ce genre de choses, comme Kaileesha, ou des clients particulièrement importants. Mais, devant d’autres esclavagistes, qui étaient généralement des concurrents, elle pouvait clairement se permettre ce genre de choses. Syzie goûtait à la mouille de sa Maîtresse, avec un certain plaisir, et, pendant ce temps, les Karistal lui expliquèrent le contenu de leur projet. Mélinda fronça légèrement les sourcils en l’entendant. En somme, à chaque fois qu’il y aurait une esclave féline qui les intéresserait mutuellement, elle devrait abandonner, en échange de recevoir une certaine somme équivalant à une partie de la somme totale d’achat de la neko. Elle s’humecta brièvement les lèvres, et répondit assez rapidement :
« L’esclavage est une activité qui fonctionne sur le long terme, mes petits cœurs. Recevoir une certaine somme d’argent pour une neko que je laisserais passer m’amènerait toujours à être déficitaire. Votre offre témoigne de votre bonne foi, mais vous savez ce qu’on dit... Les affaires sont les affaires. »
Les Karistal leur proposaient une sorte de clause de non-concurrence. Dans le droit ashnardien, ces clauses étaient licites, mais faisaient partie de ces quelques rares clauses que la loi encadrait, afin d’éviter des abus, et de promouvoir la concurrence. Une clause de non-concurrence devait faire l’objet d’un encadrement sur plusieurs aspects : temporel, matériel, et territorial. Et, au sein de la pratique, une clause de non-concurrence n’était acceptée qu’en échange de solides contreparties. Mélinda se tortilla un peu sur son fauteuil, se remettant en place, et tendit sa main sous son bureau, caressant les cheveux de Syzie.
« En revanche... Je peux vous proposer quelque chose. »
Elle ménagea quelques instants de silence, ne disant rien, afin de laisser l’attention des Karistal se concentrer.
« Voyez-vous, mon activité est en pleine expansion, et je serais bien dans une situation où mon harem ne pourra plus accueillir de nouvelles arrivantes. Il me reste, par conséquent, à ouvrir une succursale... Et deux options s’ouvrent à moi... En ouvrir une autre dans cette ville, ou dans une autre ville. La première solution présenterait l’avantage d’être dans un endroit que je connais, mais j’aurais moins de clients que si j’allais dans une autre ville. »
Il y avait aussi des questions financières. Le prix du foncier, d’un logement, était bien plus élevé à Ashnard, que dans d’autres villes.
« Il me reste toutefois une dernière option... Différente que celle consistant à ouvrir une succursale. Comme un partenaire commercial qui offrirait ses locaux à mes filles. »
L’offre permettait, de son point de vue, de concilier ses problèmes, et ceux des jumelles. Syzie continuait à lécher, et la nouvelle pause de Mélinda se justifia par le frisson de plaisir qu’elle ressentit quand elle atteignit son clitoris. C’était une chance qu’elle avait une forte expérience dans ce domaine.
« Ainsi, les nekos que vous désireriez, et que j’obtiens, iraient chez vous. Vous les dirigerez, et pourrez même vous amuser avec elles, mais, en retour, il sera précisé que ces filles ne sont pas les vôtres, mais les miennes. Dans ce métier, la réputation est une chose plus importante que l’argent, et c’est avant tout ce que je recherche, dans des marchés où je n’ai encore aucune influence. »
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L'offre était lancée, à présent il était aux bons soins de Mélinda de choisir ce qu'elle veut? Oui? Non? Peut-être? En toute honnêteté, les jumelles ne la voyaient pas accepter si simplement, quand bien même elle accepterait, il y aurais des clauses en plus sur ce contrat. Des clauses qui peuvent presque ou beaucoup changer la mise de départ. Évidemment, c'était non. Mais elle va surement rajouter un « Mais... » puisque dans ce genre de situation, vu son ton employé, il n'y a pas de risque ce soit un « non » final? Reste à savoir ce que serait la chose qu'elle pourrait proposer? Et elles avaient vu justes, elle poursuivait en laissant un petit blanc afin d'être sur d'avoir leur attention. Sa proposition partait de son commerce de chair, elle avait l'intention d'étendre son empire avec un second harem. Mais c'est vrai qu'ouvrir une autre ici dans la même ville, c'est un peu bête... Même en le mettant à l'opposé de celui-ci, ça ne va pas changer grand-chose. Tandis qu'en ouvrir un autre ailleurs, ça pourrait lui amener une nouvelle clientèle effectivement. Mais plutôt qu'elle ou un de ses associés, elle voyait les Karistal pour gérer la succursale de son second harem? Ha, c'était bizarre? En apparence, cette offre n'avait rien à voir avec leur venue ici mais il faut voir plus loin que ça. Les nekos ne seront pas à elles mais elles pourraient en profiter tout autant! Ça semblait vraiment intéressant à vrai dire? Eh oui, dans un sens, pas besoin d'acheter des nekos, elles trouveront même de sublime neko dont elles n'avaient jamais vu, oh oui, ça semblait de plus en plus intéressant malgré quelques problèmes qu'elle risquait de poser sur le tapis avant que Mélinda ne croit que ce soi déjà dans la poche et au suivant!
« Cette offre mérite réflexion, je vous l'accorde mais je crains que nous ayons quelques petits problèmes plus ou moins facilement arrangeables. Parlons du moins problématique, les locaux! Sans étaler notre vie privée, dans notre jardin, nous avons une petite maison de deux étages mais il sert plutôt de petite maison des plaisirs personnels pour cacher nos petites esclaves sexuelles. Loin des yeux, loin des regards, c'est parfait bien que ce soit loin d'être aussi immense qu'ici. Donc pour ce qui est des travaux, ça peut être plutôt simple, juste le temps d'améliorer ça, à part le temps que ça prendra, ce n'est pas un souci. Au pire nous pourrions carrément ouvrir autre chose en ville mais ça prendrait plus de temps... et d'argent surtout. »
Quelques rénovations, des agrandissements et l'affaire est dans le sac. Voilà ce qui était pour le moins problématique des soucis. Comme elle avait pu le dire, à part le temps que ça prendra, c'est la seule chose qu'elles ne peuvent pas régler. Sinon, le temps d'aménager tout ça, c'est le temps d'un mois ou deux d'argent de poche, sans acheter une nouvelle neko pour leur collection mais faut savoir se priver sinon elles n'auraient jamais eu leur « cabane » dans le jardin de la famille.
« Ensuite ce n'est pas non plus vraiment un souci mais je pense plutôt à vous. Nous occuper des nekos est de loin la chose la plus simple et ce que nous pourrions faire chaque jour mais il serait préférable de ne pas centrer votre succursale sur ses adorables nekos. Il faut de tout comme ici je présume car si nous attirons seulement les clients qui aiment les nekos, c'est sur que nous ratisserons moins de clients. Si quelqu'un cherche à se faire dominer par une démone ou un autre qui voudrait traire une ushi, ça fait déjà plus d'argent qui rentre dans votre poche sachant que nous avons aussi quelques petits trésors qui pourraient aidé... Il faut voir plus grand mais là aussi, je doute que cela soit un problème. Tout dépendra du choix des locaux. »
Soit agrandir leur cabane, soit un nouveau local? Ceci reste à voir mais en construire un nouveau risquerait d'être préférable. Les Karistal sont les plus riches de leur région mais avoir une maison close dans leur jardin ne serait pas idéal...
« Le véritable souci, c'est notre père. Voyez-vous ma chère, quoi que nous fassions, il nous voit et je pense qu'il nous verra toujours comme des petites filles. Je pourrais me balader nue devant lui, il va croire que je suis sorti de mon bain sans serviette, je pourrais rajouter des esclaves nus en laisse derrière moi, il va me dire de m'habiller et d'habiller mes poupées, il serait même capable de les punir si ce sont des hommes! Je suis sûr que si je lui disais que je serais enceinte, même avec un ventre bien rond, il ne me croirait pas! Alors si je lui annonce que je souhaite m'occuper d'une succursale d'un harem, il ne va pas me croire. Quand bien même il pourrait ouvrir en grand ses oreilles et me croire, croyez-vous que voir ses filles s'occuper d'un marché basé sur le sexe lui ferait plaisir? Lui qui nous voit comme d'innocentes petites filles de quatre ans? Ou plus mais des petites filles loin de la perversion du monde qui nous entoure? »
« En effet, je crains que notre père soit le pire frein qu'il soit à cette offre. Notre mère pourrait surement comprendre, je pense même qu'elle sait ce qu'on fait dans leur dos mais elle ne nous dit rien, ni à notre père. Le hic étant que notre père peut facilement négocier sur des tas de choses mais nous somme ses trésors comme il le dit si bien. Il a fait crever les yeux à un type quand nous étions petites car il trouvait qu'il nous regardait bizarrement. C'est pourquoi, à part régler certains petit détail, moi je suis pour cette offre. Je pense qu'il en est de même pour Yuko mais le seul problème reste et restera notre père... J'ignore comment régler ce problème... à moins que pour cela aussi, vous ayez un plan de secours? »
Mentir en disant qu'elles ont un autre travail? Très peu. Elles géraient parfois une des boutiques de leur père en ville et elles avaient leur petit salaire alors pourquoi un autre travail? En toute franchise, ça pourrait être très simple, il pourrait croire que c'est un de leur jeux et qu'elles jouent en ville. Il pourrait aussi enfin ouvrir ses yeux et se rendre compte que leurs esclaves ne sont pas simplement des poupées grandeur nature qui jouent avec elles, pas de la façon qu'il pense en tout cas et là, ça serait quitte ou double. Ou bien il accepte, voyant bien que ses princesses ont bien grandi ou alors il rentre dans une colère noire...
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Des deux, Mélinda avait de plus en plus l’impression que c’était Yuko qui dominait. Entre les jumeaux, il y avait des gestes à repérer. Des deux, il y en avait toujours un qu’on remarquait plus que l’autre, le protecteur. La légende voulait que ce soit celui qui naissait en premier, qui surveille l’autre. Les jumeaux partageaient entre eux un lien fort, probablement le plus fort qui soit : celui de la naissance. Même avant d’être des êtres vivants, en n’étant que des parcelles d’êtres vivants, ils étaient déjà intimement liés. C’était quelque chose d’assez impressionnant, un lien particulièrement fort et solide, qui s’exprimait en ce moment. On aurait presque pu croire qu’elles étaient télépathes, vu comment les Karistal se complétaient l’une à l’autre, mais Mélinda n’en croyait rien. C’était juste instinctif. Yuko savait quand se taire pour laisser Yuka parler, et réciproquement. En un sens, c’était bluffant. Un véritable spectacle, rythmé par les coups de langue de sa neko. Mélinda fermait parfois les yeux, un peu trop longuement. Elle avait du mal à retenir les signes extérieurs, qui la trahissaient clairement, mais les Karistal ne semblaient pas s’en soucier, lui listant les différents problèmes de son offre.
Elle les écoutait distraitement, en posant un doigt sur ses lèvres, le mordillant, l’humectant un peu trop, tout en remuant très légèrement son bassin. Syzie se lâchait, et Mélinda avait de plus en plus chaud, ses joues rougissant un peu.
« Hum... » lâchait-elle de temps en temps, secouant la tête de haut en bas.
Une manière de dire qu’elle écoutait, mais ses soupirs exprimaient surtout le plaisir qu’elle ressentait, comme un torrent dont elle n’arrivait pas à retenir le flux. Mélinda respirait lourdement en s’humectant les lèvres. Les Karistal continuaient à parler, pour conclure en lui disant que le problème venait de leur père. La vampire bascula alors sa tête en arrière, mouillant de plus en plus, et se mordilla les lèvres, devant, à grand peine, retenir une expression de plaisir. Ses lèvres s’écartèrent légèrement, et sa main se crispa sur les cheveux de Syzie, alors que Mélinda avait un orgasme. Ses jambes se tendirent d’un coup, manquant atteindre celles des Karistal.
« Ha ! »
Mélinda rouvrit alors les yeux, basculant d’un coup en avant, et posa ses mains sur son bureau, faisant sortir ses griffes d’un seul coup. Elle venait d’inonder la bouche de Syzie, qui ralentit le rythme de ses coups de langue, afin de boire un peu de mouille.
« Vous, les humains... siffla alors Mélinda. J’oublierais toujours que vous n’arrivez pas à raisonner sur le long terme... »
Maintenant qu’elle venait de jouir, Mélinda se sentait un peu mieux, et entreprit de se redresser, grognant un peu, ses griffes se rétractant rapidement.
« Il existe des manières rapides de se débarrasser de votre père, lâcha-t-elle alors, mais, comme je suppose que vous devez l’aimer, il vous suffit d’attendre qu’il vous redonne l’exploitation de son harem. Votre père... Finira bien par vieillir, et par être dans l’incapacité de diriger ses activités. En théorie, cette société vous revient de droit, puisque vous êtes ses héritières. »
La loi était claire. Bien sûr, Karistal Senior pouvait déshériter ses filles, mais c’était un scénario peu probable.
« Je suis une vampire, ce qui signifie que j’ai devant moi, si ce n’est l’éternité, au moins des millénaires d’existence. Notre accord peut tout à fait attendre quelques années, le temps que vous soyez en mesure de reprendre l’activité de votre père. Pour le reste, il va de soi que je fournirais à l’avance les frais nécessaires à l’ouverture d’un autre bâtiment. Vous n’aurez qu’à me fournir le registre des hypothèques de votre ville, afin que je puisse voir quels sont les immeubles les plus intéressants. »
Pour acheter un immeuble, il y avait plusieurs méthodes, mais, dans l’absolu, Mélinda préférait agir à l’avance. Elle cherchait les immeubles grevés d’hypothèques, car il s’agissait généralement d’immeubles qui finiraient saisis par les créanciers des propriétaires de ces immeubles, pour être ensuite vendus aux enchères. Cependant, Mélinda pouvait se débrouiller pour racheter l’hypothèque d’un bien, et ainsi avoir une sorte de préférence, et éviter ainsi la vente aux enchères, qui pouvait autant être un avantage qu’un problème, car, s’il y avait des enchérisseurs, le prix de vente définitive pouvait être très élevé. Inversement, faute d’enchérisseurs, le bien saisi revenait à celui qui avait lancé la mise aux enchères, ce qui n’était généralement pas l’objectif recherché par les créanciers. Que faire, en effet, d’un immeuble dont personne ne voulait ?
« Il existe aussi une autre option, si vous ne souhaitez pas attendre... »
Encore une fois, la vampire maintint le silence. Elle avait beau être la dirigeante d’un harem, elle était aussi une redoutable femme d’affaires, qui tenait fermement à ses sous. La vampire se mordilla les lèvres, avant de poursuivre :
« Je peux acheter un immeuble qui servira de bâtiment, et sera sous votre direction. D’un point de vue juridique, la société sera à moi, mais vous en serez les gérantes exclusives, retouchant une partie des bénéfices. Tant que vous êtes majeures, vous êtes libres de faire des contrats de société avec n’importe qui. Ce qu’il faut bien que vous compreniez, mes petites blondes, c’est que je ne veux pas d’argent. J’ai déjà de l’argent. Ce que je veux, ce sont des personnes qui connaissent le terrain, et qui savent comment gérer un harem, et des esclaves. Vous connaissez ma réputation, je suppose ? Vous savez que mes esclaves sont bien traités, et que je me rechigne à utiliser les sévices corporels pour les éduquer ? Je ne m’en sers que quand ils sont trop récalcitrants, et j’entends bien, si je vous offre plusieurs de mes filles, à ce qu’elles ne soient pas brutalisées. Je veux que nous soyons parfaitement claires sur ce point. »
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Voir Mélinda agir de la sorte était bizarre mais bon, ni Yuko, ni Yuka ne disait quoi que ce soit, c'était pour ainsi dire une étrangère cette Mélinda Warren alors il est possible qu'elle ait quelques habitudes étranges? Peu importe c'est quoi? Les jumelles ne disaient rien mais pensaient qu'elle avait un drôle de jouet entre les jambes ou alors cette vampire était très... étrange? Portant elles n'avaient jamais entendu ce genre de rumeur. La voir basculer la tête en arrière, l'air si joyeuse... il y avait bien un petit jouet derrière tout ça même si ce n'était pas le moment de se faire plaisir! Sinon elles auraient surement joué avec quelques nekos ici! Même si c'était possible que ce soit elles qui soient la source de ce plaisir soudain, même si c'était honorifique, ce n'était pas le moment pour ça. La première idée de Mélinda ne plaisait à aucune des deux Karistal évidemment. Jamais elles ne feraient du mal à leur père! Elles étaient moins câline qu'étant toute petite mais elles aimaient leur père quand même! On ne peut pas dire que ce soit un salaud en plus, bien au contraire, jamais il n'avait lever la main sur elles! Le pire qu'il a pu faire, c'est soit élevée la voix, soi ne pas céder à leur caprice et refuser l'achat d'une neko. C'est peu de chose donc. Et il y avait méprise, Setzer Karistal était un grand esclavagiste, pas un grand patron de harem. Enfin, ce n'était pas un sérieux problème et l'une d'elles pourrait glisser ce détail juste après.
Le fait de ne pas avoir de date limite était déjà bien utile pour elles, pas moyen de se faire chiper la place au moins. Mais bon, hormis lui fournir les informations dont elle avait besoin, pourquoi fallait-il attendre si longtemps? Leur majorité ne sera que dans quelques mois! Si ce serait un harem plus simple, bien sûr elles seraient moins impatientes mais il va y avoir des nekos... elles peuvent tuer pour des nekos! Une fois encore, la solution suivante semblait bien meilleure! Bien évidemment, elle voulait qu'elles prennent soins de ses petites choses? Cela va de soi, elles ne sont pas du genre à abimer les jouets des autres.
« Bien sur, vos esclaves seront bien traitées même si je n'ai aucune honte à avouer bien aimer faire leur dressage. Mais bon, pour notre cas aussi, on le fait que lorsqu'ils montrent les dents. Pourquoi fouetter une adorable petite chose qui est déjà prête à vous lécher les pieds sur commande? »
Yuko affichait un sourire, on est loin de l'innocente petite blonde qui vient demander un petit service à la vampire du coin. On pourrait même douter de ses paroles, au moins concernant ses esclaves, pas ceux de Mélinda. En aucun cas elles ne veulent se faire une adversaire en plus.
« Je ne vois aucun problème dans ce que vous nous proposez. Sincèrement, je ne vois pas un problème caché ou quoi que ce soit! La seule chose que j'aurais à vous demander, c'est concernant la gestion d'un harem? Je pense avoir une ou deux notions mais aucune de nous n'a de réelles expériences dans ce domaine. Nous sommes simplement filles d'esclavagiste, pas de patron de harem. »
Cela ne devait pas être trop compliqué? Nourrir, loger, entretenir les lieux comme les employées, certes mais après pour ce qui reste des finances, de la gestion économique ou autres, elles risquent d'avoir besoin de conseil. Mais comme la situation le permettait, comme ça semblait moins pesant qu'elles le pensaient – surtout grâce aux nombreux plans B de Mélinda – Yuko préférait tenter un petit quelque chose. Ça risquait de bien être vu, mal vu, mais espérons-le, ça n'allait pas tout briser...
« En revanche, je sais que ce sont votre toit, vos lois, mais quitte à prendre un peu de plaisir, le minimum serait de proposer au moins, non? Vous voir vous extasier et vous amusez serait plaisant en d'autre circonstances et là, nous parlons affaires... Soyons au moins dans les mêmes conditions toutes les trois, non? »
Son sourire espiègle était simple à comprendre, elle voulait la même chose ou alors que Mélinda cesse de les exciter. Si elle savait ce qui la faisait vraiment jouir, aucun doute qu'elle risque de demander la même chose plutôt qu'un petit thé ou autre rafraichissement. Yuka lançait un petit regard interrogateur à sa jumelle, pensant qu'un rien pourrait faire basculer les propositions de la vampire dans un ton moins joyeux pour elles.
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Mélinda n’avait pas été très discrète, et elle aurait été un peu déçue que les Karistal ne lui fassent pas de remarques à ce sujet. Syzie était une jeune neko, au sein du harem, et donc entreprenante. Et son coup de langue... Les nekos avaient la réputation d’avoir un bon coup de langues, et Syzie ne ferait pas honte à cette réputation. Yuko et Yuka lui avaient répondu en étant d’accord avec le dernier plan de Mélinda, tout en lui expliquant qu’elles n’étaient pas formées pour diriger les harems. Il fallait croire que les Karistal étaient plus tournés vers un esclavage classique, que l’esclavage spécifique que Mélinda pratiquait avec ses poupées.
*Leurs sangs ne mentent pas, ces petites perles sont excitées...*
Dans un harem, il ne fallait pas s’attendre à ce que la chasteté soit rigoureusement défendue. Mélinda leur sourit donc, et tendit sa main, écartant alors Syzie.
« Vous avez raison... » commença-t-elle.
Syzie s’écarta un peu, et Mélinda pencha la tête vers elle.
« Viens donc montrer ta jolie frimousse à nos invitées.
- O-Oui, Maîtresse... »
Un peu timide avec des invités, Syzie rougit, puis marcha à quatre pattes, et sortit du bureau, en faisant le tour, pour se placer devant les Karistal. Généralement, les nekos étaient assez petits, une taille enfantine, mais Syzie faisait un peu exception, car elle était grande. Plus grande que Mélinda, même, ce qu’on remarquait même quand elle était à quatre pattes. Mélinda s’extirpa également de son fauteuil, et caressa le cou de Syzie, qui se mit à ronronner en baissant la tête. Elle ne comptait nullement s’excuser d’avoir pris du plaisir devant elles. Mélinda ne s’excusait jamais, même quand elle avait tort. Sa fierté ne le supporterait pas.
« Diriger un harem n’est fondamentalement pas très compliqué, lâcha Mélinda. Vos esclaves ne doivent pas penser être vos esclaves, mais vos protégées. Des individus qui, sans vous, seraient incapables d’exister. »
Elle parlait tout en grattant la nuque de Syzie, qui ronronnait affectueusement, yeux clos. Mélinda releva alors sa main, et lui gifla sèchement les fesses, la faisant sursauter. Syzie gémit de plaisir, se mordillant les lèvres, et baissa la tête.
« Et il ne faut pas avoir peur de les battre, hum... Généralement, mes filles apprécient un peu de souffrance. »
Après tout, la vampire amènerait aux Karistal des femmes entraînées et formées. Elle leur sourit, et fit craquer ses doigts, puis s’assit contre le rebord du bureau. Syzie se rapprocha un peu des deux jumelles, frottant sa tête contre leurs jambes. La vampire se demandait que faire. Elles étaient d’accord sur leur accord, et Mélinda ferait probablement un contrat écrit, ensuite. Mais pas pour tout de suite... Les Karistal étaient très belles, et Mélinda comptait bien s’amuser avec elles... Le contrat attendrait plus tard.
« Puisque vous êtes si avides d’enseignement, je pourrais peut-être vous faire visiter mon harem... »
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Les plans semblaient corrects? Diriger un harem, ça ne devait pas être compliqué quand on connaît les bases du marché de la chair et si Mélinda Warren était aussi connue dans Ashnard grâce à ce commerce, avec ses conseils, ça devrait aller dans la bonne direction. Peut-être doucement mais surement. Tout dépendra de ce qu'elles pourraient apprendre. Le fameux jouet en question entre les jambes de Mélinda était vivant pour commencer, de deux, il était plutôt grand, avec des oreilles puis une queue une ravissante poitrine. Alors là, oui, Yuko voulait qu'on lui propose ce genre de jouer pour marchander la prochaine fois! Mais du coup, c'était plus difficile à présent de rester concentrer en professionnelle sur ce que disait la vampire alors qu'une adorable neko se tenait devant elles avec Mélinda! Il suffisait de voir leur regard! Il n'était plus si sérieux qu'en arrivant et la fameuse Syzie n'y était pas pour rien dans cette histoire. Elle donnait vraiment envie! Et pas forcément qu'en sexe! Les nekos sont aussi réputés pour être très câlin, sa taille était plutôt rare si bien que c'est surtout pour être dans ses bras que les jumelles songeaient. Ça devait être bien. Avec des nekos plus général, elles pouvaient aussi faire cela mais c'est diffèrent là, elle était plus grande qu'elles pour commencer. Dieu, que ça doit être agréable de se blottir contre elle en sentant les vibrations ronronnantes de sa poitrine contre son oreille! Mais pour en revenir aux mots de Mélinda, oui, oui, les esclaves sont nos petites protégées, c'est comme ça que ça marche. Il faut juste faire en sorte que toutes celles du prochain harem soient considérées comme leurs chouchoutes. Chez elles, c'est plutôt leurs meilleurs nekos qui avaient plus d'avantage même si les autres n'étaient pas laissés de coter eux aussi.
La bouille heureuse de Syzie les hypnotisait, son ronronnement était si envoutant. Et la claque de Mélinda sur son derrière, diable! Elles veulent jouer elles aussi avec elle! Surtout qu'elle semblait aimer! C'est une torture de ne rien faire! Et devant ce que Mélinda venait de dire, inutile de dire que les Karistal étaient les bonnes personnes, surtout Yuko qui était la dominante des deux, celle qui adorait tenir le fouet, le martinet ou simplement tendre sa main.
« Dans ce cas, ce point-là risque d'être bien respecté, faites nous confiance là-dessus. »
Son petit sourire était aussi véridique que ses paroles. Ne pas les maltraités mais les fesser par plaisir et pour quand même montré que « protégée » ne veut pas dire « princesse ». Elles seront les patronnes en l'absence de Mélinda et les esclaves doivent travailler pour elles. Protégée, nourri, logé mais pas déesse pour autant. L'argent viendra grâce à leur beauté, leur entrejambe, leur poitrine ou pleins d'autre encore, mais Yuko et Yuka seront celles que les esclaves devront obéir. Et quand Syzie vint enfin partagée de sa douceur vers elles, les deux jumelles se décollèrent du siège, Yuko ayant plus de facilité à caresser le menton de la brave petite neko tandis que sa jumelle venait à lui caresser le bas du dos, faisant remonter son joli petit derrière avec une queue toute dressé, contente! La vampire avait une autre idée pour leur apprendre le métier, visité. Soit, une bonne idée et elles en avaient des questions. Yuko se relevait de son fauteuil en défroissant sa petite robe noire, gardant une main sur le menton de la neko. Yuka en fit de même sauf qu'elle laissait sa robe tranquille et replaçait justement quelques mèches en arrière.
« Bonne idée! Votre jolie neko pourra nous suivre je suppose? »
Il ne faut pas laisser ce petit bijou toute seule, elle va s'ennuyer. En quittant le bureau, elles avançaient dans les couloirs et les questions pouvaient officiellement débuter. À commencer par le harem en lui-même. Il y avait des questions dessus même si certaines personnes auraient commencé par autre chose, Yuko pensait que commencer par là s'accouplait bien avec le thème de la visite.
« Votre harem fonctionne comment pour les chambres? Est-ce que vous classer vos esclaves par groupe comme docile, dominante, timide,SM, nympho et j'en passe ou bien c'est plutôt à elles de voir qu'elle chambre elles veulent? »
« A moins que vous ne voyiez plus cela par race. Humaine, Terranaide, Neko, Inu, Ange, Démone et ainsi de suite? »
Mine de rien, c'était important? Par thème/race, c'était plutôt bien mais chacune à sa place aussi. Ainsi le client passe devant plusieurs portes, il peut croiser d'autres minois qui pourrait lui donner envie, d'autres fantasmes cachés? Elles auront leur réponse bientôt mais c'est dommage que Syzie se balade à quatre pattes. C'est charmant mais toutes les deux auraient aimé tenir la main à la belle neko en se collant à elle. Mais bon, il était temps de visiter et parler un peu affaire, il en allait de leur avenir proche après tout.
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Syzie était un bon argument de vente. Tout le monde avait ses faiblesses, et, en affaire, c’était celui qui trouvait le premier la faiblesse de l’autre qui avait l’ascendant psychologique. Pour les Karistal, le point faible était facile à trouver : les nekos. Face à eux, les Karistal n’étaient plus capables de rien, s’effondrant totalement. Mélinda ravalait son sourire, tandis que les Karistal se mettaient à câliner Syzie, qui se frottait contre elles en ronronnant. Recevoir des câlins ne dérangeait nullement la belle Syzie, qui avait toujours adoré les câlins, étant en ce sens typique de la plus conforme de toutes les nekos. Elle poussa de petits miaulements, et les Karistal s’attardèrent un peu à la câliner, glissant leurs doigts sur son corps. Yuko demanda à Mélinda si Syzie pouvait les suivre, et cette dernière se mit à sourire, en hochant la tête de haut en bas.
« Mais bien sûr, mes beautés... »
Syzie remuait joyeusement la queue de gauche à droite, se frottant amicalement contre les Karistal. Elle devait sentir sur elles l’odeur des nekos, des résidus de poils de chats et de nekos. Elle poussait dé délicieux miaulements, et Mélinda vint lui tapoter le bout des fesses. Syzie rougit légèrement en baissant la tête, puis Mélinda s’avança. Elles sortirent du bureau, Syzie restant juste derrière les deux jumelles, sa queue continuant à filer de droite à gauche. Le harem de Mélinda était plutôt grand et luxueux, et elles débarquèrent dans un beau couloir. Outre le bureau de Mélinda, il y avait aussi ce qu’elle appelait la « salle de trône », qui faisait office de salle de réception de luxe, mais elle n’avait aucune raison d’y aller. Le groupe descendit des escaliers en marbre. Au dernier étage du harem, l’endroit était plutôt silencieux.
Les Karistal continuaient à lui poser des questions, et, tout en descendant, Mélinda entreprit de leur répondre, sa main glissant le long de l’accoudoir.
« Tout dépend de quel point de vue on se place, mes petits trésors... D’un point de vue interne, toutes mes filles vivent ensemble, sans distinction de races, et suivent un règlement. Elles se dressent en fonction d’un système de parrainages, les plus vieilles éduquant les plus jeunes selon des phases et des cycles qui figurent dans le règlement. »
Elle ne comptait pas faire tout un exposé, mais l’éducation d’une fille suivait plusieurs cycles, tous liés au sexe. Avant de passer directement à la relation sexuelle pure, une fille suivait d’autres cycles de formation et d’observation. C’était une période de voyeurisme, consistant notamment à enfermer les filles dans les placards de certaines chambres, afin de voir leurs parraines s’amuser avec des clients. Mélinda avait atteint un étage, où on pouvait entendre quelques soupirs et quelques gémissements. Elle glissa une main dans ses cheveux, rabattant ses mèches de cheveux derrière son oreille, puis s’avança.
« Et, à l’égard des clients, il existe un catalogue, où les filles sont répertoriées selon différents critères : par espèces, ou par ordre alphabétique. Chaque fille fait l’objet d’une fiche thématique présentant ce qu’elle aime faire, et ce qu’elle déteste. Les clients peuvent aussi choisir une recherche thématique. Contrairement à bien des harems, mon entreprise est extrêmement bien structurée et organisée, avec un secrétariat efficace. »
C’était même une entreprise futuriste, car sa gestion reposait sur des techniques tekhanes. Il n’y avait pas d’informatique, car cette technologie était trop complexe pour les Ashnardiens, mais le système que Mélinda utilisait était assez similaire. Tout en marchant, Mélinda approchait des filles « en vitrine ». Il s’agissait généralement des filles punies, mais il arrivait aussi que, pour certaines filles, être en vitrine soit un fantasme. Un homme était en train de caresser les jambes de l’une des filles.
Les filles en vitrine étaient des femmes qui étaient attachées par des chaînes en fer contre le mur. Elles avaient de longs collants en cuir, ainsi que de longs gants, des bandeaux noirs autour des yeux, et un double gode enfoncé dans le bassin. Les godes fonctionnaient comme des vibromasseurs, et tournaient lentement dans son corps, une manette à côté permettant de régler la vitesse, selon les bons vouloirs des clients. Les plus observateurs pouvaient également voir qu’il y avait une espèce de petite sonde qui filait de son intimité, et qui indiquait le nombre de fois qu’elle avait un orgasme. Elles avaient un gag ball sur la bouche, et gémissaient lentement.
« Ces filles servent de distraction aux clients, le temps que les filles qu’ils ont commandé arrivent. Vous pouvez les toucher, si ça vous dit... »
Syzie les regardait lentement, observant l’une des filles en vitrine avec plaisir. Elle se tortillait faiblement, gémissant.
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Suivant la vampire dans son harem, les Karistal se montraient curieuses, voulant le plus d'informations possible avant d'être au milieu de toutes ses poupées de luxure. Gérer un harem pouvait avoir l'air simple mais il ne faudrait pas négliger certains détails. Ce n'est pas parce qu'une chose a l'air facile que ça l'ait vraiment? Chacune d'un côté de Mélinda, elles lancèrent quelques regards derrière leur épaule pour veilleur sur Syzie de temps à autre. Elles parlaient affaires avec sa patronne pour le moment mais si l'occasion se présente, elles joueront avec plaisir avec elle même si ce n'est que de caresses. Pour répondre à leur question, il n'y avait pas d'ordre de rangement ici, chacune prenait sa chambre, première arrivée, première servie quoi. Mais c'était astucieux de voir la façon de marrainage. Oui, les parrains ici étaient plutôt des marraines. Amusante cette façon d'éduquer? Cela lui rappelait certains clans de nekos. Certains habitaient en famille comme la majorité des groupes mais parfois, si les parents venaient à mourir ou disparaître, le ou la petite était confié à d'autres parents ou tuteur pour élever le neko orphelin. Elles n'en ont jamais vu mais elles en connaissent un rayon sur les nekos. Quand on aime, quoi de plus normal de tout connaître sur les bout des doigts? Pour ce qui était des cycles qu'elle parlait, elle ne saurait dire ce qu'elle entendait par là mais elle aura bien le temps de lui parler de sa méthode tôt ou tard.
L'idée de la fiche était bien trouvée aussi pour le catalogue. Ashanrdienne pure souche, Yuko et Yuka ne savaient pas user de la technologie, elles avaient parfois un ou deux gadgets de la Terre ou de Tékhos mais en général, ce sont surtout des choses pour le travail, qu'il faut « rechargé » en retournant dans une de ses cités. Les cages électriques, c'est bien beau et pratique mais à Ashnard, on est loin de Tékhos! Mais en soi, ce système de les cataloguer ne doit pas être simple? Autant l'ordre alphabétique serait simple mais après, selon les préférences des clients, ça en fait du travail. Continuant de descendre de plus en plus, les voilà devant un spectacle étrange mais pas déplaisant. Des filles enchainées et violées par des jouets? Ce sont des punies? Plutôt des distractions selon la vampire. Une bonne idée mais Yuko aurait volontiers placé des petites pinces pour téton avec clochette, ça serait mieux comme petite mélodie. Puis, sauf si c'est impossible, ça attire le client et pourquoi pas le tenter d'essayer une autre fille comme une qui est accroché? Dans ce cas, il faudrait par exemple placer ses pinces clochette juste sur celle qui marche le moins bien ou celle qui est punie, la pire du lot? Yuka fit quelques pas en les regardant une à une. Il est possible qu'elle aussi était tentée de vouloir prendre la place de l'une de ses filles mais peut-être pas pour jouer les employées mais pour servir à sa sœur ou une autre partenaire?
« Placer des pinces clochette sur leur petit bout de téton la prochaine fois. Une fille ou deux seulement. Le client va forcément s'intéresser à celle qui fait le plus de bruit. »
Yuko avait un regard pour Syzie qui ne semblait pas quitter une des filles des yeux. La petite neko serait-elle en manque? Que c'est mignon. Elle fit quelques pas à son tour, avançant doucement vers celle qu'elle ne lâchait pas du regard pour caresser sa jambe moite de sueur. Depuis combien de temps elle était là? Beaucoup, possible que sous sa culotte, ça ne soit pas seulement de la cyprine et de la sueur. Excitant. Sa main montait le long de sa cuisse, glisser ses doigts sous sa culotte en cuir contenant les deux godes, triffouillant bien ses petites lèvres et sa cyrprine avant de retirer ses doigts et revenir tout sourire vers la petite neko à qui elle tendait ses doigts en se penchant vers elle.
« Tiens ma petite, régales-toi. »
Elle se laissait lécher les doigts, les enfonçant dans sa petite bouche, passant ses autres doigts sous son menton pour la caresser doucement. Elle était si mignonne quand elle était heureuse comme ça. Yuka semblait s'être attaché à l'une des filles aussi, caressant son ventre. La fille enchainée avait une jolie pair de sein, elle semblait humaine mais peut-être était son apparence soumise qui l'attirait? Qui sait?
« Je suppose que dans votre établissement, on parle d'horaire? Personne ne vient au milieu de la nuit pour s'amuser avec une des filles de votre harem? »
En entendant sa sœur parler avec Mélinda, Yuka semblait revenir vers le groupe, posant à son tour une question en rapport avec cet endroit.
« Et pour les punitions? Vous prenez cela au cas par cas ou bien elles ont toutes plus ou moins le même genre de punition. D'ailleurs, quand vous les punissez? »
Certes si le client est mécontent, blessé, mais sinon, il y avait certaines des règles à ne pas enfreindre ici? Pas toutes les règles mais les plus importantes.
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Le harem de Mélinda n’était pas l’une des maisons de charme les plus prisées d’Ashnard pour rien. La décoration témoignait clairement du style recherché au sein du harem : la perversion et la luxure. Comment ne pas tomber sous le charme de toutes ces belles femmes attachées contre les murs, retenues par de belles chaînes en fer, dans d’affriolantes tenues ? Elles portaient de longs gants noirs en latex, et ne voyaient rien. Elles étaient des objets sexuels, uniquement dédiés à exciter les clients, quand ils devaient attendre. On les voyait remuer et gémir lentement, soumises sous l’expression d’un plaisir qui semblait durer depuis des heures. Pour l’oreille attentive, au-delà des soupirs et des petits couinements, on pouvait aussi entendre les ronronnements des vibromasseurs. C’était quelque chose de très mignon, dans le fond. Mélinda, sans surprise, vit que les Karistal se rapprochaient des femmes en fenêtre, les caressant. Yuko glissa ses doigts sous la culotte de l’esclave pour approcher ses doigts de sa cyprine, la faisant trembler, de nouveaux couinements s’échappant de ses lèvres.
« Des pinces clochettes ? répéta Mélinda, en posant un doigt sur ses lèvres, comme pour réfléchir. Ce n’est pas une mauvaise idée... »
Elle évacua toutefois cette idée. Pour l’heure, son esprit était préoccupé par d’autres choses. En voyant les Karistal jouer avec les filles, elle était convaincue que son accord se passerait bien. Il faudrait encore le travailler, naturellement, aboutir à quelque chose d’écrit, mais il serait profitable aux deux parties. Mélinda disposerait d’une expansion économique dans un autre secteur d’activités, tandis que les Karistal disposeraient de nouvelles filles. Les bénéfices reviendraient aux deux parties, même si, dans l’absolu, les Karistal s’en sortaient plutôt gagnantes. Mélinda paierait en effet le coût d’achat des esclaves, les Karistal n’ayant qu’à les former, en reversant ensuite une partie des bénéfices. Il était tout dans leur intérêt d’accepter la proposition de Mélinda.
Le milieu de l’esclavage était un secteur très concurrentiel. Contrairement aux clichés et aux idées reçues, il n’opposait pas, d’un côté, une sorte de fédération des esclavagistes, et, de l’autre, des esclaves. Les esclavagistes, surtout ashnardiens, s’affrontaient couramment entre eux. Le droit de la propriété humaine était marqué par ces affrontements entre puissants barons esclavagistes, qui se livraient constamment à des procès entre eux. À Ashnard, comme dans n’importe quel État civilisé, le droit de la propriété était considéré comme absolu, et les restrictions à ce droit étaient strictement entendues. Les contours en étaient définis par les esclavagistes, qui n’hésitaient pas à utiliser d’autres armes que l’arsenal juridique ou économique pour supprimer les concurrents. Il était prouvé que certains esclavagistes n’hésitaient pas à utiliser des tiers intervenants pour supprimer des rivaux, et ainsi récupérer des parts de marchés. Caelestis et les commandos celkhans trouvaient ainsi une raison d’exister : réguler le marché de l’esclavage.
Mélinda était silencieusement plongée dans ses pensées, lorsque les Karistal lui posèrent plusieurs questions. Croisant les bras, elle entreprit de leur répondre, tandis que Syzie restait près des Karistal et des esclaves, qui continuaient à gémir. Celle dont Yuko s’occupait venait de jouir avec plaisir.
« Le harem est ouvert tout le temps. La plupart de mes clients, en réalité, viennent la nuit. Il n’est jamais fermé, expliquait-elle. Mes filles suivent un roulement, et, tandis que certaines se reposent, d’autres sont dans des chambres, avec des clients. »
La législation ashnardienne n’imposait aucune restriction quant au travail. Même les jours fériés, certains établissements bénéficiaient d’autorisations impériales pour travailler, et le harem de Mélinda bénéficiait d’ordonnances impériales en ce sens. Les jours fériés étaient essentiellement des fêtes militaires, ou symboliques.
« Quant aux punitions, j’adopte un système de gradation, dépendant de la gravité de la faute. Initialement, ces femmes que vous voyez ici étaient jadis des punies, mais il arrive que ce type de sanction ne soit pas... Adapté. Parfois, il suffit juste que je les gronde pour que ça marche. Mes filles me sont très échappées... Et, pour les cas les plu extrêmes, je les isole dans des cellules, ou, dans les pires scénarios, par les vendre. »
La vente était la sanction la plus lourde, puisqu’elle correspondait à un bannissement du manoir. Fort heureusement, Mélinda n’avait encore jamais été jusqu’à vendre une de ses filles, même si elle avait du en isoler plusieurs.
« Du reste, mes filles sont punies en cas de désobéissance, essentiellement. Elles savent qu’il n’y a qu’une seule chose que je ne supporte pas : qu’elles se considèrent comme mon égal. J’adore mes filles, ne vous méprenez pas, mais je suis la responsable de cet établissement, leur supérieure. »
En réalité, ce motif était le seul véritable motif qui conduisait à des sanctions. De ses filles, Mélinda n’attendait formellement qu’une seule chose : une obéissance profonde et sincère. Qu’une esclave conteste ses ordres était pour elle quelque chose d’invraisemblable, une sorte d’hérésie qu’il fallait réprimer immédiatement. Mélinda pencha la tête sur le côté, et fit lentement craquer ses doigts.
« Avez-vous d’autres questions ? Ou désirez-vous voir de plus près de quoi mes filles sont capables ? Je suppose que votre attirance se portera vers une neko... Ou plusieurs, peut-être... »
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Mélinda savait y faire, elle avait tout sur chaque question! Normal après tout. Si une personne venait à les questionner sur la façon de dresser, elles aussi auraient les réponses en un claquement de doigt, c'est leur métier. Yuko se plaisait à caresser la petite neko toute gentille, elle léchait ses doigts pleins de et cyprine et elle adorait ça, aucun doute à ce sujet! Mais cela ne l'empêchait pas elle ainsi que sa sœur d'écouter ce que Mélinda leur disait à propos des punitions. Il y avait donc une sorte d'échelle en fonction de leur crime? Le plus grave étant de se prendre pour la chef? Intéressant, il faudra discuter de cela plus tard, la vampire voulait leur faire visiter certaines chambres pour voir comment se débrouillent ses filles? Une idée intéressante en plus. Elles n'auront peut-être pas besoin de débourser de pièce d'or à moins de vouloir profiter de certaines filles plus que la gentillesse de Mélinda. Yuko retira ses doigts de la bouche de la petite neko à ses pieds bien qu'elle ne la quittait pas pour autant puisqu'elle lui caressait les cheveux.
« Une bonne idée que voilà! Et si le choix est permis, je veux voir une neko très soumise avec un gros penchant pour le SM, ce qui sera assez simple à trouver. Mais en plus, j'aimerais la voir avec une neko dominante... »
Une neko dominante, ce n'était pas banale. De nature, cette race était plus penchée vers la soumission, même les fortes têtes ne restaient pas si sauvages très longtemps. Alors une dominante par nature, c'était une perle rare! Après, il était tout à fait possible d'en dresser une mais les jumelles n'ont jamais eu cette patience, voulant toujours avoir leur petite neko très docile et en manque de fessée sous la main. C'est vrai qu'elles adorent les nekos mais pas seulement. Elles aiment tout. Les ushis, kitsune, humaine, terranide, et ainsi de suite. Quoi que finalement, il y a avait bien une race ou plutôt un genre de personne qu'elles n'aimaient pas. Les tentaculaires. Il pouvait en avoir des mignonnes mais l'effet gluant et visqueux de leur tentacule les répugne un peu. Mais ce genre de détails restait privé, là n'était pas la question. Néanmoins Yuka en avait une autre de question alors qu'elles commencèrent à quitter cet endroit dédié aux punies.
« Avant de voir ce dont sont capables vos filles, je me demandais. Si nous ajoutons nous-même des filles au harem, je pense que si la majorité des bénéfices vont dans notre bourse, il y a bien quand même un petit tribu à vous remettre? »
Bien sur. C'était leur esclave qui travaillait pour elles mais elle travaillait sous le toit du harem de Mélinda donc même si c'est peu en comparaison de ses esclaves, elle aura un petit peu d'argent en plus, sans qu'elle ne débourse des pièces d'or. Quitte à parler un petit peu durant ce petit trajet, autant en savoir un peu plus, non pas pour le harem mais plutôt pour celles qui y travaillent. Elle la laissait répondre à sa sœur avant de poser la sienne, gardant sa bonne humeur habituelle.
« Qu'advient-il de vos meilleures esclaves? Celles qui rapportent le plus d'argent pas exemple? Je suppose qu'elles ont droit à de petits bonus? »
Que ce soit le privilège de coucher avec leur maîtresse ou bien de petites faveurs en plus? Un repas plus copieux, un jour de congé en plus? Autant prendre exemple sur une méthode qui fonctionne, ça leur servira de base pour la suite du programme. Elles avaient encore quelques petites questions mais rien de bien urgent finalement. Des nekos qui attendent les Karistal, en quoi est-ce plus important que ça?
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Mélinda était sûre que sa proposition ferait mouche. Elle avait plus ou moins cerné le comportement des Karistal, en se reposant sur ce vieil adage, selon lequel les apparences étaient parfois trompeuses. Les Karistal avaient de magnifiques petites têtes d’anges, les adorables fillettes qu’on voyait très bien jouer à la poupée... Il allait donc de soi que cette image était factice. Les jumelles étaient deux belles coquines qui exposèrent à Mélinda un souhait peu banal : une neko dominante ! Il fallait bien admettre que ça ne courait pas les rues, les nekos étant plutôt d’un naturel soumis. Mélinda avait-elle en réserve une petite neko dominatrice ? Une question importante, à laquelle elle se devait de répondre par l’affirmative. Oui, elle devait bien avoir en stock un petit quelque chose qui ne pourra que faire plaisir aux deux jumelles... Du moins, si elle les avait bien cernés, ce dont elle ne doutait nullement en cet instant.
Les Karistal lui posèrent à nouveau d’autres questions. Avant d’y réponde, Mélinda fit signe à Syzie de se rapprocher, et lui demanda d’aller chercher plusieurs nekos, puis de les envoyer dans une chambre bien précise. Syzie hocha la tête, et fila rapidement, heureuse d’avoir reçu un ordre de la part de sa Maîtresse. Mélinda la laissa filer, puis regarda encore les jumelles. Elles étaient toujours dans ce couloir, auprès de plusieurs belles femmes fermement ligotées contre le mur, qui gémissaient faiblement... Un endroit exquis, vraiment.
« Et bien, je dirais que oui, pour plus de simplicité, mais nous verrons les questions mercantiles plus tard. »
La question de Yuka était un peu avancée pour l’heure. Les jumelles et Mélinda avaient un accord de principe. Les pourparlers et la négociation conventionnelle surviendront plus tard. Il y avait effectivement quantité de clauses à engager dans ce contrat : l’objet, la durée, l’étendue, les garanties conventionnelles pour les deux parties, les contreprestations, les éventuelles clauses d’exclusivité et de non-concurrence, etc... On pouvait aisément comprendre que Mélinda n’avait pas envie de se plonger immédiatement dans la rédaction de la convention, et de solliciter l’expertise d’un avocat pour s’assurer que leur convention ne comportait aucune erreur. Pour elle, le plus simple était tout simplement de voir ça après... Et encore, si elle voyait tout cet enfer administratif. La connaissant, il était possible qu’elle demande à son avocat habituel de lui rédiger l’acte juridique, cette dernière n’ayant qu’à le lire pour s’assurer que les mentions essentielles y figuraient, avant de donner un coup de signature.
Yuko vint alors à lui poser une autre question, qui concernait, encore une fois, le dressage. Elle voulait savoir si la vampire offrait à certains de ses esclaves des privilèges.
« Je pars du principe que mes filles sont toutes du même niveau, commença-t-elle, décidée à en dévoiler un peu plus sur ses techniques, en signe de bonne foi. Il faut voir ce harem comme une sorte d’entreprise, où la rémunération des salariés n’est pas un salaire, mais des récompenses en nature. »
C’était une comparaison qu’on pouvait faire, car, avec les prestations fournies, l’argent récolté permettait d’offrir aux filles de Mélinda (ce terme générique incluait aussi, de manière exagérée, les quelques hommes travaillant au sein de l’établissement) un toit, des lits confortables, une nourriture riche, et de beaux vêtements soyeux.
« Comme dans chaque entreprise, il existe des sortes de primes liées à l’ancienneté, ou aux performances du travailleur. Tout ça figure dans le règlement interne, mais, par exemple, si une fille commence à acquérir une certaine notoriété auprès de la clientèle, elle peut quitter le dortoir commun, et avoir sa propre chambre. »
C’était une offre que, parfois, ses filles refusaient, mais, au moment d’accomplir leur prestation, cette chambre assignée était la leur. Cette politique expliquait aussi pourquoi, progressivement, le nombre de places se réduisait, au point d’atteindre la saturation. Dans l’ensemble, Mélinda essayait de conserver une certaine égalité de traitement entre ses filles, pour qu’elles ne soient pas jalouses entre elles. Dresser ses esclaves sur un lien d’amour, c’était une très bonne chose, mais ce n’était pas non plus la perfection... Car ce lien d’amour devenait parfois extrêmement fusionnel, donnant lieu à des scènes de jalousie, que Mélinda n’appréciait que rarement, vu qu’elles avaient toujours tendance à dégénérer.
« Bon... Il est temps d’aller vous montrer ce que vous m’avez demandé... »
Elle s’avança, quittant le couloir, et descendit encore de plusieurs étages. On put croiser d’autres filles, toutes belles et magnifiques, portant un délicieux parfum, et des vêtements affriolants. Mélinda avança le long d’un couloir, jusqu’à se rapprocher d’une belle porte en bois, puis ouvrit cette dernière.
La neko dominante tourna sa tête vers elles.
« Elle s’appelle Katarina, expliqua Mélinda aux Karistal. Et c’est la fille d’une neko et d’un démon. »
Katarina (http://img95.xooimage.com/files/a/c/2/neko-2-3f39a40.jpg) était une créature en soi assez rare, dont la rareté faisait d’ailleurs tout le succès. Elle portait une espèce de chapeau en laine recouvrant ses oreilles pointues, une tenue noire, une peau grise sombre, et des yeux rouges. Un style très vampirique, du point de vue de Mélinda. Katarina était sur ses deux pattes, et sourit légèrement à sa Maîtresse, tenant dans sa main un fouet noirâtre recourbé. Devant elle, il y avait une autre neko, la soumise, qui était dans une curieuse tenue rose et bleue.
« Miki est la victime habituelle de Katarina » continua à expliquer Mélinda.
Miki (http://img98.xooimage.com/files/4/6/f/super-neko-3f39a4f.jpg) était aussi une neko particulière, car elle aimait bien porter des sortes de combinaisons moulantes recouvrant son corps. Ses bras et ses jambes étaient chacun attachées par des chaînes en fer reliées aux murs, et elle tourna la tête, essayant de voir sa Maîtresse... Quand le fouet de Katarina claqua sèchement contre son beau petit cul, faisant couiner Miki. Mélinda sourit, puis se retourna vers les Karistal, et entreprit alors, en les tenant par les hanches, de les embrasser à tour de rôle sur les lèvres.
« Je vous laisse les regarder... Ou vous amuser avec elles. Nous nous reverrons ensuite... »
Inutile de mettre une trop forte pression sur les épaules des nekos. Mélinda sortit ainsi de la chambre, laissant ensemble les quatre femmes.
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Oui les jumelles avaient encore plein de questions concernant la gestion de ce harem, ce sont des choses qu'elles pourront apprendre sur le tas ou demander conseil à la vampire de temps à autre, voir lors d'un prochain rendez-vous mais plus elles en savaient avant de mettre les pieds dedans, mieux les jumelles se portaient. Mais avec leur demande, elle guida les Karistal, passant devant plusieurs chambres aux doux parfums et aux belles demoiselles, à qui les jumelles agitaient les doigts pour les saluer de temps à autre. Des beautés, c'est vrai qu'il y en avait plus d'une ici et ce n'était pas fait pour leur déplaire. La porte s'ouvrait, laissant entrevoir une ravissante neko pâle mais qui dégageait tout de même un certain charme. Oh oui, elle ne restait pas indifférente à sa beauté de glace. Une démoniaque neko. Si son caractère est aussi méchant qu'elles le pensaient, Yuko allait adorer la voir à l'œuvre et Yuka risquait de vouloir s'essayer avec elle. Quant à la seconde, elle avait une ravissante tenue en cuir? Une tenue étrange mais qui la laissait désirable quand même, belle avec un penchant pour la soumission, la recette était bien là, c'est que qu'elles avaient demandé! Se collant face à elles, la vampire posa sa main sur leur hanche avant de les embrasser pour les laisser s'amuser avec les belles nekos. Voilà un cadeau agréable.
« Merci, nous nous reverrons très bientôt, peut-être en garderons-nous un peu pour vous? »
Souriant face aux belles nekos sous leurs yeux, elles se rapprochaient d'elles et si elles avaient bien compris, elles étaient leurs cadeaux? Une attention qui sera bien sûr rendu tôt ou tard pour ce beau cadeau. Yuko tendit la main vers Katarina pour caresser son fouet comme l'on caresserait un chat.
« Hum, une bonne qualité, il a l'air résistant, j'irais même jusqu'à dire que c'est ton fouet favori? Il suffit d'observer l'extrémité du fouet, elle est un peu usée. Pense à en changé quand ça arrive à ce stade, un nouveau fouet pourrait faire bien plus mal que celui-ci mais bon, je présume qu'il sera tout aussi utile pour cette séance. »
Sa caresse continue le long du fouet alors que Yuka avait aussi tendance à observer l'arme mais surtout la neko, souriant timidement en lui caressant la main. Il est naturel qu'avec son penchant pour sa soumission, Katarina ait un petit quelque chose qui lui donnait envie de tendre ses fesses comme Miki pour essayer ce fouet. Yuko se rapprocha ensuite de Miki, posant sa main sur sa fesse, n'hésitant pas à palper tout cela avec un sourire pour le moins inquiétant.
« Une jolie paire de fesses pour toi. C'est rare de voir une chose aimée avoir son petit cul recouvert d'une telle tenue? J'en ai vu qui aimait porter une culotte ou un string mais pas une tenue. Pourquoi portes-tu cela, tu n'aimes pas la sensation de ce doux fouet sur ta petite peau, hum? À moins qu'elle ne t'ai déjà laissé quelques marques et que tu fait cela pour atténuer la douleur? Allez, dis-le-moi petite Miki et si tu veux, je veux bien aider Katarina à te corriger. »
C'est à la fois sadique et doux à l'écouter en caressant ses petites fesses, se collant presque entièrement à elle en passant une autre main caresser son ventre, remontant doucement vers sa poitrine. Mais que la neko démoniaque se rassure, elle attendait juste une réponse pour récupérer son jouet puis Yuka était en admiration devant cette rare neko, poussant même la Karistal à la questionner d'une voix douce, caressant doucement cette perle rare.
« Est-ce que tu possèdes d'autres genres de fouet? Tu ne voudrais pas m'en montrer d'autres et me dire aussi ce que tu préfères chez celles que tu corriges? »
Le courant allait bien passer d'un côté comme de l'autre, chacune était attirée par ce qu'elles aimaient mais Yuka pourrait facilement s'amuser avec Miki et Yuko avec Katarina à corriger ses ravissantes petites soumises.
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Il était normal que Mélinda laisse les Karistal en compagnie de ses nekos. Les belles blondes avaient, après tout, bien le droit de s’amuser un peu, de se détendre. N’étaient-elles pas dans un harem ? Mélinda n’avait pas que des nekos, mais il fallait reconnaître que les Terranides étaient généralement appréciés des clients. Ayant une forte tradition d’esclave docile, les nekos étaient appréciés des démons, qui constituaient la majeure partie de la clientèle de Mélinda. Ils aimaient les dominer, les pénétrer, les entendre miauler et ronronner… Elle ne pouvait tout simplement pas se passer des nekos, très précieux à ses yeux.
Katarina, elle, s’avéra légèrement irritée qu’on vienne la déranger alors qu’elle était en train de corriger Miki. Cependant, elle n’en montra rien, se doutant que les deux jumelles devaient être des femmes importantes, pour être introduites par Warren. Probablement pas des clientes, les nekos auraient été prévenues, sûrement des amies… Amies qui manifestèrent rapidement chacune un intérêt certain, autant pour la neko démoniaque, que pour Miki.
Des ronronnements s’échappaient du corps de Miki, alors que Yuko Karistal lui palpait les fesses. C’était une zone sensible du corps de la curieuse neko, emmitouflée dans une tenue en latex aux couleurs vives. Elle était incapable de bouger, retenue par les bras et par les jambes, avec des sangles qui la retenaient fermement, s’enfonçant dans sa peau, faisant couiner le latex quand elle remuait.
« Je… Hummm… Miki aime les… Les cosplays, et… Cette tenue est un cadeau pour Miki de sa Maîtresse… Miki aime la porter pour… Hummm… »
Tout en parlant, elle remuait sa queue, également recouverte, pour frotter tendrement Yuko Karistal. Elle n’avait pas vu ces femmes, mais elle devinait des créatures à la peau douces et à l’esprit pervers, vicieux et tordu. C’était exactement le genre de femmes qu’elle aimait, come sa Maîtresse, d’une douceur et d’une beauté incomparables, mais également capables de faire preuve de la plus grande des cruautés et des vices les plus effroyables.
« Pour se dire qu’elle est une super-héroïne, et que… Aaaaah… Miki aime se faire battre, elle aime qu’on la violente, qu’on l’humilie, qu’on l’injurie, qu’on la batte… »
Miki était en train de mouiller, tâchant sa tenue. Sous cet uniforme, elle ne portait aucun sous-vêtement, et son sexe glissait donc directement sur le latex. C’était une situation grisante et particulièrement excitante. Elle serrait ses poings, savourant les attouchements de l’humaine, cette sensation d’être un objet, d’être une poupée de sexe… Oui, c’était quelque chose qu’elle adorait tout particulièrement. Il aurait sans doute fallu replonger dans les profondeurs de son enfance pour en discerner les raisons, mais, dans le fond, était-ce si important ? Miki était ce qu’elle était parce qu’elle était Miki, tout simplement. Le reste était accessoire.
Katarina, de son côté, affrontait la curiosité de Yuka, qui désirait se renseigner sur ses fouets, tout en la caressant. Les yeux rouges de la neko grise fixaient Yuka. Elle finit par sourire, et répondit rapidement :
« Mais bien sûr... »
Elle s’écarta alors un peu, et ouvrit un placard, comprenant une forêt aux merveilles. Il y avait de nombreux instruments de torture à la place des vêtements. On voyait des menottes, des ceintures de chasteté, des pinces-seins, des colliers cloutés, et, naturellement, un bel éventail de fouets et de cravaches. Il y avait même plusieurs chats à neuf queues. On trouvait plusieurs variétés de fouet : le martinet, une chicotte, une knout, et même une nagyka. L’antre de tout bon sadique pervers. Katarina sourit à Yuka, un sourire malicieux.
« J’aime quand elles hurlent... J’aime quand je leur fais mal, que je ressens la douleur, qu’elles se sentent soumises, vaincues... J’aime ce sentiment de puissance qui me grise les veines... J’aime quand ces petites putes se réveillent pleinement, et me supplient de continuer, alors que leur douleur n’est pas feinte... »
En somme, il y avait beaucoup de choses que Katarina aimait. Elle rangea son fouet, et en attrapa un autre, puis, sans prévenir, embrassa Yuka, en plein sur les lèvres. Ce fut un bref baiser, qu’elle termina en promenant sa langue sur la bouche de la femme.
« Tu veux lui latter le cul, hum ? Cette petite salope n’attend que ça... L’une d’entre vous pourrait la battre avec moi, tandis que l’autre se mettrait devant elle... Pour lui faire plaisir... »
Plaisir et douleur... Ils étaient bien plus similaires qu’on aimait à le croire.
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Les voici avec deux nekos presque similaires à elles, psychologiquement parlant. D'un côté, Yuko s'intéressa à la soumise des deux, elle voulait baver à écouter cette petite perverse lui raconter ce qu'elle aime, ce qu'elle veut. C'est généralement la même chose pour chacune des soumise que Yuko interroge mais elle trouvait ça tellement adorable, ne serait-ce que leur voix qui sentaient le coup approcher et que Yuko n'était pas là pour leur faire du mal, ou du moins, elle leur faisait du mal comme elle aimait bien. Ses mains palpaient ce cul adorable qui glissait bien sous sa main malgré le latex et elle posa sa tête sur son épaule avant de l'écouter parler de son fantasme de super héroïne et chacune des choses qu'elle aimait faisait battre le cœur de Yuko et commençait à la démanger entre les jambes.
« La Super-Neko Miki aura tous ça si elle est gentille. Je me ferais une joie de te rendre heureuse ma belle petite chose~ »
Elle passait sa langue sur sa joue en la caressant avec un peu plus d'instance. De l'autre côté de la pièce, Yuka fantasmait aussi sur l'éventail de choix que proposait la neko démoniaque, elle connaissait tout ça, de vu comme d'effet. Et elle avait envie de voir tout ça en action, pourquoi pas certains sur elle? Elle en fut même agréablement surprise de sentir la neko venir l'embrasser par surprise avant de faire trainer la langue sur ses lèvres. Il en fallait si peu pour faire rêver Yuka. Elle se voyait déjà enchainée, nue avec des pinces tétons, un gage-ball en bouche et les fouets qui s'abattaient sur son cul. Comment un simple baiser pouvait faire tout ça? Katarina se proposait même une petite séance d'essais pour faire plaisir à Miki, une qui fouette, une qui admire! On pourrait aisément penser que Yuko se jetterait sur l'offre pour la fouetter mais Yuka aussi aimait fouetter, elle aimait fouetter les gens autant que d'être fouetté. De plus, Yuko voulait savourer les cris et le visage déformé de Miki. Elle était sadique à point!
« Je veux rester avec Miki! Je veux la voir souffrir. »
Mêlant le geste à la parole, elle caressa son visage avant de changer de place pour se placer devant elle, la serrant contre son corps, elle allait même demander un petit baiser. Elle était impatiente de la voir crier et souffrir. Yuka observa la caverne aux miracles et prit un fouet des plus classiques, un des meilleurs que possédait Katarina pour le fait que l'impacte du fouet laisser forcément une marque. Ce n'est pas parce qu'un fouet à l'air banal qu'il n'est pas bien? C'est bien une façon primitive de juger la torture, ça.
« Katarina, je peux commencer? Je veux l'entendre crier! »
Elle était comme une petite fille avec sa nouvelle poupée entre les mains. Elle voulait déjà tant faire avec elle alors qu'elle venait à peine de la sortir de sa boîte. Levant la main, elle laissait le fouet s'abatte sur la fesse de Miki et pour la neko comme la Karistal, c'était un véritable plaisir! Yuka aussi aimait s'imaginer la douleur. Elle se trémoussait déjà sur place après un simple coup de fouet mais le petit cri de Miki était si adorable. Elles n'avaient pas fini de jouer ensemble toutes les quatre! Même Yuko de son côté s'amusait comme une petite folle! Elle passait un regard par-dessus l'épaule de Miki, ne voyant aucun coup de fouet à l'horizon pour caresser la fesse endolori de Miki, la pressant même avec passion.
« Mhh ma vilaine petite Super Neko aime ça... Elle est si belle quand elle a mal? Tu en veux encore? Dis leur que tu en veux encore plus, plus fort aussi? »
Telle une neko, Yuko approcha sa petite langue pour lui lécher les lèvres pendant que sa main palpait cette délicieuse fesse.
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Derrière leurs têtes d’anges, les Karistal étaient en réalité de bien belles perverses. Elles étaient donc faites pour s’entendre avec Mélinda, qui était comme elles : un délicieux démon dans le corps tout autant délicieux d’un bel ange. Mélinda était pour l’heure absente, mais sa présence ne risquait pas de trop manquer aux Karistal, vu qu’elles avaient été laissées entre de bonnes mains : Katarina, et Miki, la « super-neko ». Un duo atypique pour des jumelles également très atypiques. Yuka récupéra un fouet assez solide, et décida de fouetter la première, tandis que Yuko se mettait devant Miki, la caressant, l’excitant. Miki ronronnait et tremblait, mouillant son costume en latex, en remuant légèrement son corps, de gauche à droite. Le fouet s’abattit alors sur ses fesses, et Miki poussa un miaulement mélangé à un cri de douleur, mais aussi de plaisir. Elle adorait ça ! Cette sensation vive de douleur ! Yuko ne l’aidait pas, jouant avec ses lèvres, la caressant avec sa langue, tout en titillant, avec ses doigts, l’endroit où le fouet l’avait atteint, en plein sur les fesses.
« Haaa... Haaaa... »
Elle n’en pouvait plus ! Elle continuait à mouiller, sa queue remuant de gauche à droite. Elle regarda Yuko, avançant sa tête, tirant sur les chaînes, et se frotta contre elle, continuant à ronronner.
« Miki... Miki veut se faire battre ! Miki veut se faire fouetter et insulter ! Elle veut qu’on l’humilie, elle veut qu’on lui montre qu’elle n’est qu’une petite créature tout juste bonne à se faire foutre ! »
Un tel acte de soumission, c’était beau à voir... La petite Miki était en train de devenir folle, et Katarina ne tarda pas à satisfaire son souhait. Elle leva son fouet, et l’abattit à son tour, visant également le derrière de Miki. Son magnifique fondement se devait d’être honoré comme il se doit, dans tous les sens du terme. Le fouet claqua, et Miki poussa un hurlement, mais eut à peine le temps de s’y remettre que le fouet, tel un serpent mauvais, cracha à nouveau, se logeant dans sa croupe. Le corps de Miki se mit à remuer d’avant en arrière, sous les effets des claquements du fouet.
« Salope ! Petite pute de neko ! Couine comme la grosse salope que tu es !
- Haaa... Haaa... Miki est... Une grosse pute, oui, haaaa !! »
Voilà qui faisait plaisir à entendre. Souriant joyeusement, Katarina continuait à la fouetter, allant désormais sur son dos. Elle pouvait tout à fait la fouetter pendant une heure. Miki adorait ça, à un tel point que c’en était troublant. Ainsi, tandis qu’on la fouettait, son corps continuait à vibrer, ronronnant follement, exprimant tout le plaisir qu’elle ressentait.
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Voilà un duo comme les Karistal les aimaient! Évidemment, pas question de leur vendre ses deux bijoux et c'est bien dommage car les jumelles pourraient jouer avec elles des heures entières! L'une si soumise, l'autre si dominante. Deux points opposés, juste à regarder, elles pourraient faire ça durant des heures entières! Yuko la caressa doucement, passant sa main sur son petit cul endolori, c'est dingue comme la douleur rendait son cul si doux, même à travers sa tenue. Et son si mignon petit visage torturé par la douleur, elle était bien plus belle quand elle souffrait celle-là. Et la voir se frotter contre elle, comme ça. La pauvre était en manque.
« Tu auras tout ça ma petite Miki mais d'abord on doit te punir car tu aimes ça, hein? »
Elle caressa sa joue avant d'attendre elle-même les prochains coups pour se rendre compte à quel point Miki était belle quand elle avait mal. Tandis que Katarina s'en donnait à cœur joie, Yuko adorait la voir souffrir, plus elle souffrait, plus elle souriait en venant la taquiner, frottant sa langue sur ses lèvres avant de se retirer. L'embrasser ou ne pas l'embrasser? Dure question! Même Yuka n'osait pas déranger Katarina, elle s'en donnait à cœur joie et elle était si douée. Elle s'imaginait un instant à la place de Miki et c'était assez pour la faire mouiller. Yuka se dandinait doucement, se laissant bercer par les coups de fouet et les cris, ça donnait envie de se faire battre mais c'était aussi très beau à voir.
« Tu es si belle quand tu t'amuses à la fouetter... est-ce que je peux... faire ça? »
Sa main se rapprochait de la sienne pour interrompre un peu les coups. Yuka se rapprocha de Katarina en passant ses mains sur son visage, allant même se coller contre elle avant de l'embrasser une première fois doucement. Ses mains se joignaient dans son dos alors qu'elle venait lui lécher le cou délicatement.
« Je veux tout sentir de toi quand tu la bats. De ton rythme cardiaque aux mouvements de tes muscles... »
Une demande un peu étrange mais ça lui permettrait de mieux visualiser et sentir la force des coups. Elle pourrait simplement lui demander à rejoindre Miki ou la remplacer mais pas tout de suite. Pas tout de suite... Yuko avait profité de cette petite pause pour embrasser Miki, plaquant ses mains sur ses joues, un baiser de force mais elle se laissera faire bien gentiment cette petite neko. Elle décolla ses lèvres, heureuse avant de caresser ses fesses, n'hésitant pas une seule seconde à empoigner ses petites fesses, les presser comme des oranges en léchant les lèvres de Miki.
« Toi tu es trop chou quand tu as mal! Allez, souffre pour moi, fait moi plaisir ma petite pute et je te ferais encore plus mal après? Je t'humilierais aussi. Je t'insulterais de tous les noms... je t'adore déjà ma petite super-neko-pute! »
Elle donna une dernière claque sur sa fesse avant de coller ses lèvres contre les siennes pour l'embrasser et mieux ressentir sa douleur et ses cris. Cela va être magnifique, elle le sait déjà! Les deux Karistal tenaient à leur neko, l'une contre Katarina, fantasmant sur chacun de ses coups, l'autre ne l'agrippait pas sinon elle risque de recevoir un coup mais elle l'embrassait quand même, adorant la voir souffrir... La douleur lui va si bien.
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Curieuses, ces clientes... Mais, dans le harem de Mélinda, il fallait s’habituer aux demandes atypiques. Katarina avait eu de tout : des mères assez âgées demandant à ce qu’elle fouette le cul de leurs filles avant qu’elles ne se fassent l’amour, des couples voulant se faire joyeusement battre. Ses instincts démoniaques faisaient de Katarina un bourreau redoutable, le fouet n’étant qu’un des nombreux instruments dont elle disposait. Katarina n’avait concrètement aucune réelle limite, et, visiblement, ces deux jumelles adoraient le sadomasochiste. Katarina ne pouvait que les aimer, mais, en tant que démone, elle avait du mal à admettre son infériorité sur elles. Elle se soumettait à Mélinda parce qu’elle était une vampire, mais il était pour elle inconcevable qu’un humain la domine. Elle voyait les deux jumelles comme de simples partenaires de jeu... Et des partenaires très motivantes ! Qu’on ne lui fasse pas dire qu’elle ne les trouvait pas séduisantes, ces deux petites blondes. L’une se blottissait contre elle, et l’autre s’amusait avec sa proie, Miki, l’embrassant et la fessant, se frottant contre elle.
Miki était sa victime préférée. La battre était tellement excitant, et elle adorait tellement ça... Cette tenue de super-héroïne lui allait comme un gant, et beaucoup de clients aimaient la prendre ainsi, sans même la déshabiller, en utilisant quelques discrètes ouvertures sur la combinaison, permettant d’accéder à ses parties intimes. Elle était solidement attachée, mais ces deux jumelles semblaient tellement gourmandes que Katarina était en train de se demander si elle n’allait pas leur montrer sa chambre intime... Elle en sentait une dans son dos, et le corps de Katarina la trahissait, ses gènes nekos agissant. Elle se mettait à ronronner en sentant cette jumelle se presser dans son dos, murmurant dans l’une de ses oreilles des paroles très encourageantes.
« Si tu le souhaites, humaine... », rétorqua-t-elle, plus excitée qu’elle n’aurait voulu l’admettre.
Vu les manières de ces jumelles, Katarina sentait bien qu’elles n’étaient pas des novices en la matière, et qu’elles devaient adorer se fouetter entre elles. Celle qui s’occupait de Miki se tortillait lentement, et le fouet s’abattit encore sur elle, inlassablement, avec ce choc sonore si délicieux aux oreilles, qui sonnait tellement bien... Hum, comment ne pas frémir en l’entendant ? Comment ne pas ressentir ce frisson qui remontait le long de votre échine, et qui était comme un appel des plus irrésistibles à la luxure et à la débauche ?
« Hum... Aaaaahhh... Miki... Miki se sent sale... Elle... Huuuuummmm !! Elle aime tant qu’on la batte ainsi, qu’on la fouette ! »
Le fouet continuait à claquer douloureusement sur elle, jusqu’à ce que Katarina, excitée par le plaisir, en train de mouiller, ne s’arrête. Miki venait d’avoir un orgasme, le dernier coup de fouet ayant heurté sa croupe, sous les hurlements et les miaulements de la neko, qui se tortillait sur ses liens. Tout son corps venait de se tendre, et sa mouille avait jailli, salissant sa combinaison, une petite tâche ne tardant pas à apparaître à l’emplacement de son bassin. Rouge, elle baissait la tête, son corps remuant d’avant en arrière.
« Tu as joui bien vite, petite pute... Est-ce le fait d’avoir deux autres femmes qui t’excitent à ce point ?
- Miki aime... Attirer l’attention... » répondit faiblement cette dernière.
Katarina esquissa un sourire vorace. Elle ne pouvait évidemment pas le dire ouvertement, mais la présence des Karistal l’excitait grandement. Elle se retourna vers Yuka, et l’embrassa joyeusement, fourrant sa langue dans sa bouche, en se pressant contre elle.
« Hum... Vous êtes des femmes de qualité, belles humaines... C’est... C’est très intéressant... »
Katarina le pensait sincèrement, et était chaudement excitée par ça. Elle ferma brièvement les yeux, un léger sourire venant éclairer ses lèvres.
« Vous me plaisez tellement que je pense que je vais vous montrer... Un endroit qui devrait vous plaire. »
Miki frémit à cette idée, sachant où elles allaient aller. Katarina l’empêcha toutefois de parler, en mettant autour de ses lèvres un gag-ball, ainsi qu’un bandeau noir sur ses yeux, puis la détacha. Miki tomba lourdement sur le sol, et un collier se retrouva autour de son cou.
« Que l’une d’entre vous au moins la fouette, je vais me charger de la faire avancer. Allez, salope, suis-moi, tu vas recevoir ta correction ! »
Katarina sortit, continuant à tenir la laisse, et avança le long des couloirs.
Elle se rendait vers une partie spéciale du harem : le souterrain, où il y avait une salle de torture.
Si ces Karistal en voulaient pour leurs yeux, elles allaient être servies !
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Ses deux-là étaient invendables et c'est bien dommage, elles valaient tout l'or du monde aux yeux des Karistal. Elles pensent généralement ça devant chaque neko qui a toujours un petit plus mais c'était autant plus vrai pour elles! Yuka se blottissait contre la belle neko démoniaque, adorant se sentir près d'elle, ce petit sentiment de danger à trop titiller une démone et ce petit aspect soumis qu'ont le plus souvent les nekos. Elle adorait Katarina et attendait que la suite défile pour lui demander de subir autant que Miki, elle pourra se donner à coeur joie d'abimer ses fesses. La neko démoniaque avait l'air si professionnelle que Yuka pourrait bien jouir rapidement pour elle. Quant à Yuko, on ne peut pas dire que ça lui déplaise de se frotter à une sale petite neko perverse qui adore se sentir battu et sale. Oh oui, Yuko pourrait la punir chaque jour, elle adorait passer du temps à satisfaire la belle Miki. La voir couiner était si beau, l'entendre était si bon et la lécher pendant ce temps-là était presque aussi bon que si elle donnait elle-même les coups. On ne peut pas dire que ce soit simple de frapper avec un fouet et embrasser en même temps la même personne. C'est plutôt pas simple. Mais là, Yuko savourait sa petite neko docile. Elle pourrait la croquer tellement elle était excitante! Si elle aurait été hermaphrodite, elle aurait surement voulu se la faire maintenant pendant qu'elle se faisait fouetter?
Et son orgasme n'arrangeait rien du côté des Karistal. Yuka fantasmait sur la poigne de fer de Katarina et elle se laissait faire face à son baiser. Dieu que s'était bon! Elle savourait, voulant se frotter contre elle et la voir la dominer doucement mais surement.
« Merci... Katarina... tu es aussi magnifique avec ton fouet et... ce ton, je t'adore, tout simplement. »
Et la rareté! Une neko démoniaque qui ne se laissait pas faire, elle pourrait en faire rapidement sa favorite! Du côté de Yuko aussi mais elle avait elle aussi beaucoup de soumise comme Miki mais ça ne l'empêchera pas de l'aimer. Pour le moment, elle avait laissé une dernière caresse à Miki avant de se mettre à genoux, devant cette tache rouge entre ses jambes qu'elle touchait du bout du doigt, très doucement.
« Hum... c'est qu'on est toute mouiller? Et ça fait quoi si je lèche un peu? »
Yuko n'hésitait pas à faire glisser sa langue dessus. Elle n'aurait pas vraiment le goût mais ce n'est pas très grave, ça la faisait mouiller, autant Miki et un peu Yuko. Chacune y trouve son compte! Mais en y reniflant de plus près, elle sentait une petite odeur d'urine? Elle n'avait pas vraiment uriné maintenait mais elle avait dû le faire tôt ou tard? À moins d'être très excitante, elle aurait puni une esclave normale mais pas elle, pas une neko. Elle se redressa plus souriante que jamais en lui léchant le menton.
« Tu es vraiment sale ma petite Miki, ça mériterait que je te punisse, tu sais? »
Comment ne pas la tenter avec ce genre de phrase? Surtout que Katarina semblait partante pour leur montrer un coin vraiment privé, leur chambre! Elle prépara Miki et Yuka la lâchait pendant ce temps avant que Yuko ne se jette sur le fouet face à la proposition de la méchante neko. Yuka restait près d'elle, la collant même un peu en voulant en savoir plus sur cette pièce sans pour autant le dire. Elle avait simplement de grands yeux remplis d'envie pour elle. Yuko restait tout derrière faisant claquer son fouet à des intervalles plus ou moins réguliers sur le petit cul de Miki et il n'était pas étonnant d'entendre Yuko gémir à la place de la neko. Elle adorait jouer les dominantes. En arrivant dans la salle, ça ressemblait un peu a chez elles, dans la salle de dressage/torture. Les chaines aux murs, les écarteurs, tous ses outils, tellement excitant! Le genre de chose qui devait plaire à Miki comme à Yuka.
« J'aime cette décoration! Il me tarde de te voir à l'œuvre Katarina... et de te voir et t'entendre souffrir ma belle petite Miki~ »
Yuko caressa le menton de la petite neko soumise, préférant laisser la neko démoniaque savoir si oui ou non elle devait lui retirer son gag-ball et son bandeau. Yuko et Yuka admiraient chaque outil, chaque accessoire, s'amusant à faire tintiller quelques clochettes servait pour les pinces ou les faux percing. Cela permis surtout à Yuko de se rapprocher un peu de sa soeur. Restant dans son dos pour lui caresser le ventre, glissant une main entre ses jambes pour mieux lui lécher le cou. Elle savait comment marchait sa sœur après tout ce temps.
« Hum vilaine Yuka, tu t'imagines sous les coups de Katarina hein? Rassures-toi, je vais te laisser jouer avec elle mais je pense que toi et Miki seront nos petites choses~ Kuhu! Je vais adorer t'entendre couiner avec une neko aussi perverse que toi huuuum... ça me donne envie de te foutre à poil devant Katarina pour qu'elle s'occupe de toi! »
« Nan Yuko on doit... y aller doucement... »
Elle n'avait pas tort, elles devaient savourer. Elle relâcha sa jumelle avant de retourner avec elle près des deux nekos.
« Dis-moi ma belle, quel est le programme donc? »
Oh oui, un programme fort alléchant vu tout ce qui se trouvait autour d'elles!
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La petite antre de Katarina était un endroit privilégié. Elle n’y conduisait que ses clientes particulièrement soumises, et jamais un membre de sexe masculin. Elle n’aimait pas trop les hommes. Soit ils étaient soumis au point de s’écraser comme des larves, soit ils essayaient constamment de se rebeller, en faisant preuve de cette arrogance et de ce dédain machiste qui l’irritait au plus haut point. Inversement, les jeunes soumises étaient bien plus intéressantes, car elles savaient vous faire ressentir tous les plaisirs que la domination impliquait, leur résistance s’inscrivant, non pas dans un effort de bravade masculine, mais dans un jeu sexuel. Bien sûr, en pensant cela, Katarina était loin d’être objective, mais un avis, après tout, était toujours teinté de subjectivité. Quoiqu’il en soit, son instinct, sur lequel elle se reposait continuellement, lui avait soufflé d’inviter ces femmes dans son antre secrète.
C’était sa chambre personnelle, comprenant des sangles, des chaînes, et même une sorte de fauteuil de torture sophistiquée. Ses techniques étaient relativement traditionnelles : elle n’utilisait pas l’électricité, et tous ces gadgets technologiques tekhans. Plus c’était classique, et plus c’était mieux. Les bandages, les fouets, le sang, la sueur... Voilà ce que Katarina voulait ! Le reste, c’était ridicule. La belle neko démoniaque attacha à nouveau Miki, qui avait un gag ball et un bandeau. Elle gémissait en se tortillant, et Katarina lécha son costume, près de son cou, en pinçant ses fesses, l’entendant gémir et soupirer.
« Je n’en ai pas fini avec toi, rassure-toi, petite salope... » lui souffla-t-elle dans l’oreille.
Elle gloussa à moitié, entendant Miki gémir, probablement d’impatience, tandis que les deux Karistal s’amusaient entre elles. Indéniablement, leur présence la stimulait, l’excitait. Katarina se sentait fébrile, pleine d’excitation, avec la formidable envie de les impressionner. Elle connaissait la réputation des Karistal, et savait qu’elles étaient les filles de cet esclavagiste. Il n’avait pas de bureau dans la capitale, mais Katarina se devait de connaître les principaux esclavagistes ashnardiens. De plus, elle avait déjà vu les Karistal à Ashnard, faisant leurs courses pour acheter des nekos, ou même de simples peluches représentant des chats. On disait qu’elles adoraient les chats, ce qui semblait se justifier, vu leur présence ici. Une neko dominatrice... Elles avaient vraiment de la chance, c’était un spectacle plutôt rare, les nekos étant plutôt d’un naturel soumis. Si Katarina n’avait pas des gènes démoniaques dans le sens, elle aurait probablement fonctionné également sur ce principe.
« Dis-moi ma belle, quel est le programme donc ? » demanda alors l’une des Karistal.
Un sourire éclaircit les lèvres de Katarina, un sourire sardonique et légèrement cruel. Elle ne répondit rien sur le coup, et se rendit vers un rangement, sortant un mystérieux objet. C’était une culotte rose en latex, que Katarina étira, un sourire ravi sur les lèvres. C’était une culotte spéciale, très spéciale. En la regardant d’un peu plus près, on pouvait qu’il y avait deux godes inversés, qui s’enfonçaient dans le corps, à l’emplacement du vagin et de l’anus. Une culotte sexuelle de torture ! Il n’y avait que chez Mélinda qu’on pouvait trouver ça !
« Il y a une télécommande qui permet d’activer les fonctions vibrantes des godes... Je vous laisse décider qui l’enfile, mes belles blondes... Soit la super-salope dans mon dos qui se trémousse en attendant que je la batte, soit celle d’entre vous qui aime se faire battre... »
Comme elle le leur avait annoncé, Katarina comptait bel et bien s’acquitter de ses devoirs d’hôte envers ses invitées. Ces deux femmes lui plaisaient.
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Ces deux-là étaient des nekos parfaites, idéal, elles avaient toujours rêvé d'un couple neko qui leur ressemblait et bien, c'est chose fait grâce à Miki et Katarina! Dans la chambre de la démoniaque neko, c'était un petit coin de paradis qui avait un petit air de maison. La salle de torture qui fait aussi office de salle de dressage ressemblait à ça dans leur manoir. Oh bien sur, ce n'était pas une chambre propre aux jumelles, elle était utilisée par ces dernières mais elle était aussi par les dresseurs, leur père, c'était une salle comme une autre chez elles après tout. Partant de là, elles se sentaient comme chez elles! Yuko en profita pour aguicher sa jumelle et la tenter un peu, sachant très bien que cette dernière voudrait être à la place de Miki ou avec elle au moins. Mais pour le moment, il y avait un programme fort intéressant! La petite chatte démoniaque avait rattaché sa chose et ça promettait déjà. En proposant une drôle de culotte en plus, Yuko était aux anges! Yuka aussi d'ailleurs mais pas pour les mêmes raisons. Yuko la prenait en la jetant vers sa sœur, gloussant en sachant ce qui allait se produire.
« Elle sera pour Yuka alors. Tu l'enfiles et tu nous regarderas nous occuper de notre petite Miki. Si tu es sage... on pourrait songer à s'occuper de toi mais pour le moment, tu devras résister, Kuhu! »
Voilà qui était sadique. La soumise Yuka ne pouvait profiter aux réjouissances, elle ne pouvait pas savourer ça avec Miki, elle ne pouvait même pas fouetter, ça va être dur pour elle. Tirant sur les ficelles qu'étaient faites sa culotte, elle la laissa tomber comme un mouchoir en tissu par terre avant d'installer doucement son nouveau sous-vêtement, gémissant doucement en sentant cette double pénétration. Heureusement que Miki l'avait excité depuis le début, ça aidait bien! Yuko se rapprocha de Katarina, aucune gêne à se frotter un peu contre elle en laissant une de ses mains caresser ses jolies petites fesses. Nue, dans du cuir, elle devait être excitante celle-là! Mais pour le moment, elle était aussi très bien comme elle était.
« Ma jolie neko, tu aurais un second fouet pour que je t'aide à corriger notre vilaine petite Miki? Je suis impatiente de pouvoir la faire jouir sous les coups de fouet~ ♥ »
Elle ne tentait pas de l'embrasser, elle conservait son sourire en coin, son air si gentil alors que c'était tout le contraire, pelotant les formes sous sa main. C'était si bon, la suite risquait d'être bien mieux et ça qui était excitant. Même si Yuka devait juste regarder, elle profita de cet instant pour se placer dans le dos de Katarina, posant ses mains sur ses épaules pour lui parler à voix basses dans ses petites oreilles si mignonnes.
« Katarina, occupes-toi de moi après s'il te plaît... je veux sentir... tes coups me rendre heureuse... Haaa! »
Yuko venait juste d'abandonner les jolies fesses de la neko démoniaque pour passer sa main sous la robe blanche de sa sœur qui venait d'installer sa nouvelle culotte pour lui pincer la fesse gauche.
« Triche pas petite coquine. Chaque chose en son temps, d'abord Miki et après, ça sera peut-être toutes les deux en même temps? Tout dépendra de toi ma mignonne... »
Elle déposa un baiser sur la joue de la neko sadique en lui souriant. Il fallait s'occuper de la super neko d'abord pour faire envie à Yuka et ensuite... c'est à voir mais Katarina était bien entourée pour le moment.
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Pour de simples humaines, ces deux femmes étaient très réussies. Leur perversion était un spectacle constant, un régal pour Katarina. Elles avaient des têtes d’anges, de belles petites têtes innocentes qui vous faisaient penser qu’elles étaient aussi dangereuses que des brebis, mais cette apparence dissimulait un esprit retors et pervers. La culotte spéciale de Katarina, une véritable torture, autant qu’un plaisir constant, sembla les intéresser, mais Yuko ne voulait pas la mettre sur Miki, mais sur le corps de sa sœur. À cette idée, un frisson félin parcourut le corps de la neko. Sa queue se mit à remuer, se tendant légèrement. Il ne fallait pas oublier que voir deux jumelles se faire l’amour était un spectacle toujours très excitant. Elle ne s’était pas trompée en supposant que l’une des deux jumelles avait l’ascendant psychologique sur l’autre. Yuka enfila donc la culotte, et Yuko retourna vers Katarina.
Quand la neko démoniaque sentit la main de Yuko se balader sur ses fesses, les pressant, un nouveau frisson s’échappa de son corps, de nouvelles et délicieuses vibrations. C’était trop excitant, tout simplement ! Katarina se mit à gémir faiblement, tout en rendant la pareille à Yuko. Ses mains caressèrent ses hanches, et sa queue remua, pour se frotter contre ses fesses, formant une petite pointe qui heurtait ces dernières. Katarina ne songeait même pas à l’embrasser, simplement à la peloter.
« Ma jolie neko, tu aurais un second fouet pour que je t'aide à corriger notre vilaine petite Miki? Je suis impatiente de pouvoir la faire jouir sous les coups de fouet. »
Katarina ronronna encore à cette idée, et se mordilla les lèvres. Oh oui, elle avait un second fouet ! Elle avait toute une gamme de fouets ici ! C’était bien pour ça qu’elle avait décidé d’y conduire les deux jumelles, afin de pouvoir laisser libre court à leurs imaginations, sans être restreintes par des contraintes matérielles. Sur ce point, servir Mélinda Warren était très prolifique. Cette dernière dirigeait donc un harem, et une bonne partie de son budget se consacrait donc à l’achat de matériel, d’équipements sexuels. Katarina se faisait donc plaisir. Miki se tortillait dans ses chaînes. Elle avait entendu qu’on parle d’elle. Après tout, les nekos avec une ouïe surdéveloppée par rapport aux autres espèces, et la perspective de se faire doublement fouetter, comme tout à l’heure, mais en plus sauvage, l’excitait beaucoup.
Les deux femmes continuaient à se peloter. Légèrement plus petite que Yuko, Katarina approcha ses lèvres pour sucer son sein à travers ses vêtements, sentant son téton. Elle se blottissait contre elle, ses propres seins venant à se tendre sous son uniforme. Yuka se rapprocha alors, d’une démarche gauche, handicapée par la culotte spéciale, qui lui déchirait le corps, demandant à ce qu’on s’occupe d’elle après en avoir fini avec Miki.
« Oui... Cette pute de Miki en premier...Toi, ma salope, je te torturerai bien comme il faut, tu regretteras de m’appeler... »
Elle se défit alors de l’étreinte de Yuko, et alla lui montrer la gamme de fouets.
« Ceci étant dit, tu devrais peut-être enfiler une tenue de dominatrice plus indiquée..., nota-t-elle. Viens... »
Elle lui fit signe de la suivre, et ouvrit un autre placard, plus grand, comprenant une série de tenues en cuir particulièrement explicites.
« Je te laisse choisir... En attendant, je vais préparer ta sœur... »
Autant la mettre en position. Katarina entreprit tout simplement de l’attacher à des sangles, exactement comme Miki, mais en arrachant ses vêtements, révélant ses seins. Pour qu’elle ne s’ennuie pas, elle mit sur ses seins une pince à seins (http://pmcdn.priceminister.com/photo/pinces-a-seins-metal-chaine-longue-915208434_ML.jpg), et lui sourit malicieusement.
« Couine, ma petite pute... »
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Qu'il était bon de jouer avec les nekos! Et sentir cette frigide petite neko démoniaque doucement gémir ou ronronner était une douce mélodie aux oreilles de Yuko. Quelle chance elle avait tout de même! Elle se fit plaisir sous les mains de Katarina et sa petite langue qui passait sous sa robe. Oh bien sur pour l'occasion, elles n'avaient pas de soutien-gorge. Pourquoi? Car elles savaient qu'en cas de bonnes négociations, avec ou sans Mélinda Warren, elles allaient fêter ça avec des nekos! Même en cas de mauvaises négociations d'ailleurs, il aurait bien fallu se calmer. Mais pour le moment, Yuko se sentait de plus en plus à l'aise avec sa Katarina et Yuka tentait subtilement de s'incruster mais la jolie méchante neko ne l'entendait pas de cette oreille. Elle ignorait – ou non – mais lui parler comme ça, c'était exciter la petite chose qu'elle était, la petite esclave que Yuka adorait être pour sa sœur jumelle. Yuko s'attardait devant les différentes tenues de cuir. C'était d'autant plus amusant que se dire que cette belle neko avait si souvent mouiller et joui dedans? La coquine va! Elle va adorer jouir par-dessus une de ses combinaisons! Yuko avait un faible pour le rouge déjà alors elle écartait les tenues noires pour enfin trouver la tenue qu'elle allait porter.
Elle retira ses vêtements, retirant un à un les éléments de sa robe noire, elle se retrouva toute nue avant de prendre la tenue en latex rouge (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=1942331), enfilant les collants suivis de ce qui couvrait le corps avant de bien sangler le tout au cou avant de finir avec les gants. Elle prit une cravache ainsi qu'un fouet assorti. Heureusement que Katarina avait à peu près les mêmes proportions qu'elle! Elle devait à peine avoir un peu plus de poitrines qu'elle. Pendant qu'elle se changeait, Yuka aussi se changeait de force devant la neko diabolique qui lui avait arraché le haut de sa robe en lui installant juste après les pinces tétons pour la faire couiner, chose qu'elle fit très bien!
« HAAAAaaaaa Ka... KatarinaaaAAAAA... J'ad-ore! »
Ses petites lèvres remuaient, sa petite langue sortait en quête d'un baiser, un coup de langue, elle voulait elle aussi profiter de la belle neko à sa façon. Il en allait autant pour Miki mais pour le moment, les deux jumelles avaient le regard braqué sur Katarina, son tour viendra bien vite à elle aussi. Yuko se rapprocha dans son dos en se collant à Katarina, une main se glissant entre ses jambes, la seconde remontant vers un de ces seins qu'elle caressant en lui soufflant dans le cou.
« Mais y a pas que Yuka qui est vilaine à ce que je vois. Ma petite Katarina est une vilaine neko aussi~? Oh si, elle coute très cher cette robe, tu sais? Il va falloir que je demande dédommagement à ta patronne hum... je devrais peut-être t'emmener avec nous en partant d'ici, au moins nous servir jusqu'à ce que tu ait remboursé ça? »
Il y avait du vrai dedans, Katarina se plairait surement à mettre de l'ordre et de la discipline dans leur cabane, toutes les dominantes avaient tendance à s'adoucir avec le temps. Elle irait dresser tout cela à coup de cravache! Yuko lui lécha le coup avant de se reculer et la libérer en souriant. Cette discussion sera pour plus tard, elle se dandina un peu sous le regard de la diabolique neko en rigolant doucement. Se rapprochant de nouveau vers elle pour lui faire face cette fois, elle s'agrippa à son cou comme une aguicheuse en venant l'embrasser doucement, une cravache et un fouet dans les mains. Un court baiser mais déjà bien délicieux vu la situation.
« Que faisons-nous? On en fait baver une en s'occupant que d'une seule de ses deux petites putains ou bien on est trop gentilles pour elles et on s'occupe chacune d'elles? Je suis impatiente de les entendre couiner toutes les deux. »
Vu la façon de frotter ses cuisses l'une contre l'autre, ça lui faisait vraiment de l'effet! Mais même en adoptant la première solution, elles peuvent toutes les deux couiner de douleur même si une souffrira physiquement et l'autre de jalousie.
« Et si... on les fait d'abord un peu languir toutes les deux? Tu en penses quoi ma petite Katarina d'amour? »
Oui... elles peuvent bien s'amuser entre elles sans s'occuper de ses petites trainées après tout.
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Une partie à quatre, même pour Katarina, c’était beaucoup. Dans une situation de domination, il fallait rarement dépasser le chiffre trois. Une personne soumise et une personne dominante formait un duo parfait. Dès qu’on atteignait le trio, il y avait toujours un risque que ça aille mal, mais, quand on allait à quatre... Cependant, Katarina n’était pas seule face à trois soumises, il y avait plutôt deux dominantes face à deux soumises. C’était une situation qu’elle n’avait pas encore vraiment eu l’occasion de voir, puisque les clients venant requérir ses services voulaient tous se faire soumettre. Yuko se déshabilla totalement, et opta pour une tenue rouge en latex. Un uniforme très réussi, que Katarina appréciait, même si elle n’avait pas assez de seins volumineux pour le mettre. Néanmoins, il allait plutôt bien à Yuko... Et le latex... C’était la texture lambda dans n’importe quel jeu de domination et de soumission. Katarina se surprit à ronronner, alors que Yuko se rapprochait, et lui reprochait d’avoir déchiré la robe de Yuka. Elle fronça les sourcils, se retenant de répliquer que, d’un point de vue légal, si Yuko portait plainte, l’établissement déclinerait toute responsabilité. Il fallait mieux lire les conditions générales d’utilisation : une clause prévoyait que tous les dommages corporels ou matériels éventuels étaient à la charge du client. Il aurait été trop facile, autrement, de demander une séance de bondage extrême, de finir blessé, et d’obtenir ensuite des dommages-intérêts. Néanmoins, Katarina se prêta au jeu, comprenant que Yuko voulait juste avoir la main.
Yuka et Miki étaient toutes les deux attachées, en hauteur, suspendues par les bras et les jambes. Mine de rien, c’était une position assez lourde, très épuisante. Les spécialistes du bondage savaient que, dans ce genre de positions, il ne fallait pas essayer de lutter, mais se laisser aller, comme si on tentait de se coucher. Le poids était alors supporté par les cordes, mais, même sur le long terme, c’était une position difficile. Elle pouvait entraîner des courbatures, ou faire mal, si on serrait trop fort. Katarina n’avait pas serré de manière excessive, afin de ne pas risquer d’entailler la peau... Mais il resterait évidemment des marques, comme quand on serrait sa montre trop fort, et qu’on voyait ensuite les traces résiduelles sur la peau. Miki était endurante. Il fallait espérer que Yuka le soit aussi.
Yuko interrogeait désormais Katarina, afin d’en savoir plus sur le programme. Pour le coup, la neko devait réfléchir. Elle ne l’avait jamais fait ainsi. Parfois, elle avait été avec une autre maîtresse, comme cette fois où elle avait fait de l’escort chez un couple de riches marchands ashnardiens. Le mari était un humain, la femme une démone, et il s’était soumis aux deux femmes. Un très bon souvenir : la femme le sodomisait avec un gode pendant que Katarina le faisait couiner avec un fouet. Mais là ? Hum... Il lui fallait réfléchir... Ce qui était d’autant plus que cette tenue en latex réveillait ses pulsions de neko.
« Et si... on les fait d'abord un peu languir toutes les deux? Tu en penses quoi ma petite Katarina d'amour ? »
Katarina fronça les sourcils.
« Je ne suis pas ta ‘‘petite’’ Katarina ! » rectifia-t-elle immédiatement, avant de réfléchir à sa proposition.
La frustration... Ça marchait plutôt bien. Elle tapota un doigt avec ses lèvres. Miki et Yuka avaient été placées à proximité, face à un confortable lit, et l’idée lui plaisait.
« Mais ton idée me plaît... De plus... »
Katarina se rapprocha de Yuko, adoptant une sorte de démarche féline, et posa ses pattes avant sur ses épaules, s’en servant pour se soulever un peu, sa queue venant s’approcher pour s’enrouler autour du bassin de la femme. Elle l’embrassa sur les lèvres, se serrant contre elle, leurs poitrines se pressant, tandis que l’une de ses mains décala, glissant de l’épaule de la femme pour filer sous sa tenue, appuyant sur son téton :
« J’adore cette tenue que tu portes... »
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Comme c'est intéressant! Vu le caractère de la neko diabolique, elle était sûre qu'elle n'allait pas rester de marbre devant un tel petit surnom mais elle ne s'attendait pas à la voir répliquer juste sur le mot « petite »? C'était juste ça qui la dérangeait? Ce qui voulait dire qu'elle n'avait rien contre être la Katarina d'amour de Yuko? Ou alors la ravissante neko dominatrice de Yuko? Ou encore la toute mignonne neko d'amour de Yuko? Bref, elle se fichait d'être à Yuko à l'entendre mais elle n'était pas « petite ». Soit. Yuko évitera le mot petit à l'avenir pour la désigner mais elle restera au moins sa neko alors le temps de s'amuser ensemble avant de revoir Mélinda. L'idée de les faire baver étant accepter, elle se laissait caresser par Katarina qui passait sa main sous sa tenue, caressant son sein ou plutôt, appuyant sur le petit téton de l'humaine qui gémissait doucement. Elle aimait bien faire souffrir les autres mais Yuko n'avait rien contre un peu de douleur elle aussi? C'était très bon après tout. Certes, c'était bien mieux de produire la douleur que la ressentir mais parfois, changer était si bon. D'ordinaire, c'est elle qui caressait les nekos et non ces derniers qui la caressaient... mais ce n'est pas grave, elle faisait beaucoup d'exception pour ses boules de poils d'amour, surtout quand elle leur plaît!
« Oooh, tu es une gentille méchante neko Katarina~ ça me donne envie de te câliner, tout le temps, partout partout~ »
Elle approcha ses lèvres, les pressant sur les siennes pour l'embrasser doucement mais rapidement, l'envie et l'excitation lui monta au cerveau et le doux baiser de Yuko devenait un baiser plus sauvage, plus animal! Yuko ne se sentait plus, sa langue devenait incontrôlable, embrassant fougueusement la neko démone en se pressant un peu plus contre elle. Elle espérait que sa sœur et Miki étaient en train de mouiller comme des fontaines, voulant être à leur place et punis aussi. Elles ne méritaient que ça ces deux-là! Et en changeant totalement de chose, elle laissait ses mains caresser ses petites fesses, ne passant pas sous la robe en léchant son cou, l'embrassant presque amoureusement. Une neko diabolique et dominatrice, forcément, ça fait rêver Yuko. En redressant sa tête en frottant son nez sur celui de Katarina, elle avait envie d'une chose bien précise.
« Retire moi cette robe et fait moi mouiller en te montrant dans une tenue plus dominante! Je vais aguicher un peu les deux salopes pendant ce temps ma beauté neko. »
Elle se défait doucement de Katarina, se rapprochant des deux autres soumises, d'abord sa soeur, caressant doucement sa peau sous ses gants de latex, sans lui faire le moindre mal en caressant avec insistance sa culotte double gode en elle.
« Tu aimerais être avec nous hein? Tu aimerais qu'on te fasse mal hein? Pas tout de suite, je veux te voir et t'entendre nous supplier au point que tu mouilleras toute seule avec ta culotte! Tu vas jouir toute seule mais t'en voudras encore plus! »
Poussant quelques petits rires sadiques sous les gémissements de sa jumelle, elle se rapprochera de Miki, lui caressant la joue en l'observant dans les yeux. Elle était si mignonne cette petite super-salope.
« Oh ma petite Miki, bientôt je te ferais descendre et je t'en foutrais plein le cul, promis! Je t'enfoncerais tout ce que tu voudras et je te fouetterais avec amour et avec dégout ma petite pute. Ouh~ tu es si mignonne... Regarde-toi, tu baves ma pauvre... »
Évidemment, avec une Gageball bloquée dans la bouche, le peu qui arrivait à se faufiler, c'était de la bave que Yuko léchait avec une telle lenteur et une telle douceur que ça en était aussi agréable pour l'une que pour l'autre, surtout que ses mains avaient tendance à se perdre sur son corps en attendant que Katarina ai finit de se changer.
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On ne pouvait jamais vraiment comprendre le sadomasochisme tant qu’on ne comprenait pas la double nature du plaisir. La plupart des êtres vivants limitaient le plaisir à la simple notion de joie, un sentiment envahissant qui leur apportait une certaine satisfaction morale, une sérénité spirituelle, un sentiment diffus et positif qu’on appelait le plaisir. Tous craignaient naturellement et logiquement la douleur, car elle engendrait la souffrance, elle faisait mal. La souffrance était désagréable, une démangeaison qui faisait pleurer, un alerte de la vie, un signal pour dire à l’utilisateur que l’action qu’il faisait n’était pas sans conséquence. La douleur était une alerte à éviter, et, partant de là, les êtres vivants la fuyaient. Seulement, la douleur n’était pas simplement qu’une alarme, elle n’était pas qu’une sonnerie se déclenchant quand l’incendie couvait, elle était aussi un indicateur de la vie. Souffrir, c’était vivre. Ce n’était qu’aux portes de la mort que la douleur disparaissait, et c’était bien pour ça que les quelques individus atteints d’une insensibilité congénitale à la douleur étaient de pauvres hères à plaindre. Paradoxalement, c’était en naissant qu’on connaissait le paroxysme naturel de la souffrance. On naissait dans la douleur et dans la souffrance, et c’est dans cette douleur qu’on trouvait une certaine plénitude, un plaisir bien plus intense et plus profond que tout ce qu’on ne pourrait jamais ressentir. Le sexe était le seul moyen d’atteindre cet état contemplatif, cet état où douleur et plaisir ne se contentaient pas de disparaître, mais de fusionner, pour devenir unique et intense.
Katarina aimait le sadomasochisme parce qu’elle aimait l’idée de souffrir, parce que la douleur l’excitait, que ce soit pour la recevoir, mais surtout pour l’infliger. Fondamentalement, le sadomasochisme consistait à gravir la montagne du plaisir intense par l’autre versant, celui de la douleur. Ici, ce n’était pas le plaisir de la relation charnelle qui conduisait à la douleur, mais l’inverse : le plaisir était atteint par la douleur, une douleur qui ne vous anesthésiait pas, mais aiguisait tous vos sens, vous amenant à ressentir les moindres mouvements du vent. Sous l’effet de la douleur, le corps se réveillait, s’endurcissait, et devenait bien plus réceptif à son environnement. C’était une sensation merveilleuse, que Katarina faisait ressentir à chaque fois à ses proches, à ses proies. Mais elle se devait bien d’admettre que le plaisir simplement charnel n’était pas négligeable ici. Partant de ce point de vue, son long baiser avec Yuko fut particulièrement délicieux.
Il se prolongea sous les lèvres de la belle blonde, une poupée dans une tenue en latex sexy, qui lui pelotait les fesses. Katarina gémissait et soupirait, et le lui rendait, non pas en tripotant le postérieur de Yuko, mais en glissant ses mains sous les lanières de sa courte tenue, afin de presser ses tétons. Les seins de Yuko durcissaient, et Katarina savait qu’elle était aussi excitée qu’elle. Maîtresse Warren était alors bien loin, mais Katarina la remerciait pour ce cadeau qu’elle lui avait offert. Elle joua donc avec la langue de Yuko, jusqu’à ce que cette dernière lui demande de mettre une tenue un peu plus approprié, tandis qu’elle allait jouer avec leurs deux observatrices. Katarina sourit, tout en se maudissant de ne pas être une vampire. En effet, les vampires avaient cette capacité naturelle d’être extrêmement sensibles au sang, et de pouvoir percevoir les battements sanguins des individus proches d’eux. Avec le temps, on pouvait sensiblement affiner cette capacité. Ainsi, Katarina aurait pu savoir à quel point les deux petites putes attachées étaient excitées.
Katarina sentait sa queue se redresser dans son dos, tendue, sous l’effet du plaisir vif qu’elle ressentait, et du désir qui naissait en elle, gonflant ses muscles, dynamitant son sang. Elle rejoignit sa garde-robe, et trouva rapidement une tenue appropriée : un ensemble noir en latex et en cuir (http://img95.xooimage.com/files/2/8/8/sans-titre-2-41308b5.jpg). Elle l’enfila assez lentement, jetant des petits coups d’œil. Bien qu’elle ne soit pas une vampire, Miki était sa proie privilégiée, celle avec laquelle Katarina développait des jeux longs et pervers. Combien de fois avait-elle ainsi attaché Miki au plafond, faisant longuement l’amour sous les yeux ? Miki adorait ça, et Katarina la connaissait donc suffisamment bien pour savoir qu’elle était follement excitée. Yuko se blottissait contre elle, léchant sa peau, avec une maîtrise de la situation qui confirmait sa grande expérience de la chose. Dans ce domaine, il n’y avait que la pratique qui vous comptait. Le sexe, au sens général, était tellement intime, tellement intense, qu’on ne pouvait le dominer que par la pratique.
Katarina s’habilla donc, enfila de longues bottes, les attachant tranquillement, puis se rapprocha. Elle arriva dans le dos de Miki, et posa ses deux mains sur les fesses de cette dernière, les pressant. Miki émettait des couinements étouffés, de petits miaulements plaintifs. Elle devait vraiment être en manque, la pauvre... Ce qui rendait les choses encore plus excitantes. Miki enfonça ses griffes, pétrissant les fesses, se débrouillant pour, sans arracher le latex, enfoncer suffisamment les pointes pour que Miki souffre. Cette dernière accrut ses gémissements, des petits couinements ressemblant à de merveilleux miaulements. La pauvre écarquilla les yeux en gémissant, se sentant probablement très à l’étroit dans sa combinaison.
« Quelle pute... Plus je te suis, Miki, et plus j’ai l’intime conviction que tu es la reine des salopes... Ça t’a fait mouiller, de nous voir nous embrasser ? Comme ça t’excite follement, d’être dans du latex ? Tu veux que je te dise ? On dit que les nekos sont des créatures adorables et attendrissantes, mais toi, plus je te vois, et plus j’ai l’intime conviction que tu n’es qu’une grosse pute... Tu es née pour ça, Miki, être une salope, la reine de toutes les traînées. Si Maîtresse Warren n’avait pas décidé de te prendre, tu traînerais dans l’un des bordels les plus miteux d’Ashnard, où des soldats de seconde zone ivres et rabougris te laboureraient le cul sans relâche. Petite pute ! »
Durant ce monologue, murmuré dans l’oreille de Miki, avec une voix qui ondulait parfois, la neko prisonnière continuait à gémir silencieusement, à remuer faiblement, les sangles soutenant à la perfection son poids. Katarina s’écarta un peu de Yuko, pour revenir près de Yuko, et lui fit un sourire, dans sa nouvelle tenue.
« Tu me préfères comme ça, ma chérie ? »
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Yuko était impatiente de commencer mais elle était venue voir un peu les deux petites soumises, comment se sentaient les deux petites putes? D'un côté sa sœur avait terriblement envie de commencer et de se soulager, de l'autre, Miki n'était qu'une petite pute Neko qui voulait elle aussi terriblement se faire fouetter le cul et surement bien plus dans sa combinaison. Pas de panique, Yuko prendra un malin plaisir à se charger d'elles mais avant, il était temps de les faire baver un peu. Katarina faisait saliver sa Neko, Yuko léchait le ventre de Yuka en observant la scène, ce n'était que des messes basses mais vu le caractère des deux nekos, ça devait être très excitant! La belle neko démoniaque revint vers elle, demandant son avis sur sa nouvelle tenue? Elle était très sexy, très belle, sa petite Katarina était aussi aguichante que dominante!
« Indubitablement! Tu es si bonne ma pe... ma belle Katarina. C'est simple, je me laisserais presque me faire fesser par toi dans cette tenue mais... même si ça pourrait faire craquer nos deux petites putes, je ne suis pas d'humeur à me soumettre. Pas même pour tes beaux yeux rouges ma ravissante neko diabolique. »
Elle se pencha sur elle en passant une main sur sa hanche, la seconde sur son épaule. Elle déposa quelques baisers sur sa peau, sur sa poitrine, là où le cuir ou le latex laissait sa peau pâle à l'air. De petits baisers tendres et doux, passant presque sa langue sur sa peau de lait. C'est incroyable comme sa peau était douce comme de la soie? Elle avait presque envie de retirer ses gants pour la caresser avec ses mains. Yuko cessa ses petits baisers pour se redresser en passant sa main de son épaule à ses cheveux, lui parlant en étant si proche de son visage, de ses mignonnes petites lèvres.
« J'aime le goût de ta peau ma Katarina... Elle est si douce au toucher, je pourrais te caresser des heures entières... »
Et c'était sincère, pas de simples flatteries! Combien de nekos chez elles passent leur temps à se faire caresser par leurs maîtresses quand elles ne travaillent pas ou bien qu'elles sont pas nues à subir leurs fantasmes? Mais il y avait bien plus important pour le moment, une chose qu'elles devaient faire pour mieux punir leur petites choses.
« On commence par quoi ma belle? On ne fait que s'embrasser et se caresser ou j'ai le droit de torturer un peu tes délicieuses petites fesses? »
Sa main dans le dos glissa plus bas sur sa fesse tendre et moelleuse. Oui, elle était déçue d'avoir opté pour des gants, elle ne pouvait pas ressentir cette fesse sous sa main alors qu'elle se collait à sa jolie neko. Yuko était moins couverte que Katarina pour le coup mais ce n'était pas gênant. Mais peau contre peau, ça aurait pu être plus doux entre elles? Elle savoura sa peau bien assez vite de toute façon, chaque chose en son temps, elle devait d'abord faire ronronner sa petite Katarina et Yuko approcha donc ses lèvres pour un baiser délicieux et doux, pas sur que ses mains soient aussi douces sur ses adorables petites fesses!
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Le moins qu’on puisse dire, c’est que les deux femmes étaient plutôt bien habillées, et avaient bon goût. Katarina s’était habillée comme il le fallait, et Yuko avait bien raison d’avoir insisté sur ce point. Une Maîtresse se devait en effet d’être bien habillée, et c’était d’autant plus vrai que, avec Mélinda, Katarina avait accès à une formidable garde-robe. La vampire était en lien avec une importante maison de tisserands de la ville, qui satisfaisaient à toutes ses excentricités, et elle avait une fortune suffisante pour n’importe quelle envie. Katarina n’avait pas accès à la gestion des comptes et des finances du harem, mais elle savait qu’il y avait une petite part consacrée aux vêtements, que ce soit pour des occasions comme celles-ci, ou pour les grandes soirées costumées. L’esclavage permettait de faire vivre toute une industrie. Katarina et Yuko s’embrassaient et se pelotaient, et c’était surtout Yuko qui, pendant un temps, agissait, frottant et embrassant la belle peau douce de la démoniaque neko. Sa peau était aussi douce que celle des nekos, ce qui continuait à la rapprocher de ses gènes terranides. Elle était vraiment une créature exceptionnelle, et elle en avait pleinement conscience. Yuko se blottissait contre elle, continuant à l’embrasser, jusqu’à aventurer ses mains près de ses fesses, faisant crisser le cuir et couiner le latex. Katarina gémissait et soupirait, ronronnant de plaisir. Elle était plus petite que Yuko, et se serrait contre elle, tandis que Miki poussait de petits couinements en gémissant.
Yuko proposa de se faire l’amour devant ces deux belles salopes, et la perspective de les frustrer, en réalité, excitait énormément Katarina, tout comme les mains gantées de Yuko, qui glissaient le long de son corps pour presser ses fesses. L’un des traits communs entre Mélinda et Katarina était le fétichisme assez important que les deux femmes avaient. Mélinda, come Katarina, aimaient bien les longs gants soyeux, les vêtements sexy et moulants, qui formaient comme une sorte de valeur ajoutée, amplifiant la beauté, améliorant les courbes naturelles et langoureuses de belles femmes comme elles. Yuko était parfaite dans cette tenue rouge, qui lui allait comme un gant. Katarina se frottait tendrement contre elle, s’étant hissée sur les épaules de la belle blonde, dans la mesure où elle était plus petite qu’elle.
« On commence par quoi ma belle? On ne fait que s'embrasser et se caresser ou j'ai le droit de torturer un peu tes délicieuses petites fesses ?
- Hum..., gémit-elle en réponse. N’oublie pas que je ne suis pas qu’une belle neko, j’ai aussi des gènes de démone dans le corps... »
Elle avait bien compris que les Karistal adoraient les nekos, et que c’était avant tout cette partie de sa nature qui plaisait à Yuko, mais Katarina était aussi une démone, cruelle et sanguinaire, qui aimait la violence et la perversion. Tandis que son corps ronronnait, sa queue remuait en l’air, et vint fouetter le dos de Yuko. Oh, elle ne lui faisait certainement pas mal, car sa queue n’était qu’un ensemble de poils. C’était plutôt le geste qui importait.
« Maltraite-moi le cul, je veux que Miki voit tes doigts me tripoter les fesses, je veux l’entendre gémir et couiner en se tortillant... »
Katarina, elle, léchait le cou de Yuko en remontant vers son oreille, posant ensuite ses mains sur ses seins, les pressant à nouveau, éprouvant leur fermeté, tandis que sa queue entreprit désormais de s’enrouler autour de la taille de Yuko. Elle pinçait les tétons à travers les bandes de latex, tirant les seins à droite et à gauche, essayant de ne pas les déloger des deux bandes rouges.
« Mraaaaawww... » miaula-t-elle dans son oreille.
Quelque chose lui disait que cette femme devait adorer les miaulements.
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Comme ça allait être amusant! Yuko sentait cette odeur d'amusement dans l'air! La jolie Miki et Yuka étaient attachée, obligée de regarder la scène ou se regarder sans pouvoir agir alors que Yuko et Katarina pourraient s'amuser comme des folles sous leurs yeux, les torturant sans même lever le petit doigt sur elles. Ce serait con de pas pouvoir se toucher devant un tel spectacle. Remarque, Yuka avait sa culotte double gode qui continuait de la faire gémir et mouiller devant le petit spectacle mais pas la pauvre Miki. Elle était obligée d'y assister en suppliant, pleurant, de vouloir venir s'occuper de son ravissant petit cul. Mais pas tout de suite. Yuko avait une jolie neko à s'occuper. Une neko qui avait quand même une pointe d'autorité. On reconnaissait bien là son petit côté démone, mais on ne lui en veux pas pour cela, ça ne peut la rendre que plus adorable encore. Elle le lui faisait remarquer mais Yuko en souriait que d'avantage.
« Mais je ne l'oublie pas ma jolie petite chatte des enfers. »
Est-ce qu'elle était déjà chaude comme l'enfer à s'imaginer faire des folies sous les yeux de sa chose, réclamant qu'on s'occupe d'elle? Elles venaient à peine de commencer mais Yuko rêvait de glisser un doigt entre les jambes de Miki pour voir à quel point elle pouvait mouiller comme la petite salope qu'elle était? Sa demande en tout cas n'était pas de refus mais se proposer comme ça, de lui maltraiter le cul... Katarina aurait-elle un petit faible pour la domination malgré tout? Face à une autre dominante ou à une cliente qui lui plaisait, ses gênes nekos se soumettaient forcément à elle? Ce serait intéressant à voir mais Yuko ne poserait pas cette question, elle s'en sentirait surement vexé qu'elle puisse penser ça... ou qu'elle ait toucher dans le mille. Gémissant de bonheur sous les coups de langue de sa petite Katarina, elle ouvrit la bouche pour gémir un peu plus fort sous ses doigts experts qui lui faisaient mal aux tétons. Yuko n'avait pas honte d'avouer aimer ça mais qu'avec des dominantes, jamais une soumise ne viendrait lui faire ce genre de chose sans manger dix fois pire. Ses mains restaient immobiles pour le moment sur sa jolie paire de fesses mais il était temps de maltraité ses deux petites choses aussi simplement que par la voix.
« Hyaaan pas mes... tétons! Ils sont si fragiles et... haaaAAAAANNN Katarina c'est... han si bon! Continue à… à les maltraiter! »
Sa petite langue sortait sous ses doux miaulements alors que ceux de Miki et Yuka ne faisaient que rendre ce tableau encore plus magnifique. Torturée par une neko dominante, si elle n'en avait pas de la chance, elle se demandait ce que c'était! Ses mains s'activaient enfin, caressant cette douce peau qu'elle ne pouvait sentir sous ses gants mais très vite, elle abattait sa main sur sa fesse gauche, un coup sec, qui résonna dans la pièce. Sa main attrapait sa chair tendre pour la presser entre ses mains, comme une patte bien ferme, pinçant quelques fois ses fesses, se faisant parfois douce, Katarina ne pouvait prédire sa prochaine action. Même si Yuko continuait de gémir, elle gardait un œil sur les deux petites choses accrochées, sa langue les aguichait dans de petites invitations lentes qu'elle leur proposait en torturant les jolies fesses de la neko. Miki comme Yuka devenait folle sous ce spectacle. Elle se demandait quand même laquelle des deux va craquer en premier? Et ce qu'elles feraient? Elles se soulageraient elles-même ou bien elles viendraient se frotter à elles pour êtres punis? Bonne question.
« Continue... Continue de miauler ma jolie Katarina... tu es... haaaannn... Si mignonne quand tu me miaules dessus! Allez... maltraite-moi aussi un peu. Mais avant... »
Elle recula sa tête pour venir l'embrasser fougueusement, elle était si belle, comment résister à une attendrissante neko comme elle? Katarina méritait bien quelques sacrifices. Yuko en profita pour glisser sa main gantée sous la culotte en latex de la jolie neko avant de faire doucement glissant son doigt crissant dans son petit trou, s'enfonçant doucement mais surement. La bouche de Yuko se rapprocha de ses mignonnes petites oreilles pour lui murmurer quelques mots.
« Miaule~... gémit~... cris~... ça va les rendre folles! »
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L’une des théories de Mélinda Warren était de considérer qu’il était impossible d’être réellement une bonne dominatrice si on ne se mettait pas dans la peau d’une soumise, si on n’acceptait d’admettre que toute dominatrice pouvait fatalement être une soumise. Pour Mélinda, il fallait se mettre dans la peau d’une soumise pour savoir comment cette dernière réagirait, et pouvoir, en conséquence, adapter son traitement. C’est ce qui expliquait pourquoi Mélinda, souvent, se faisait fouetter le cul et enchaînée par quelques esclaves spécialement triés sur le volet. Katarina devait également se soumettre à cet exercice, et elle avait été ainsi plusieurs fois giflée sur les fesses par Mélinda. Elle était alors autant irritée qu’excitée, ses gènes de neko faisant en réalité d’elle une excellente soumise... Ce que ses gènes démoniaques niaient, en faisant une dominatrice redoutable, qui utilisait sa perversion pour faire souffrir ses esclaves, afin que personne ne puisse savoir que, secrètement, elle adorait se faire fouetter par de belles femmes. Elle avait clairement le sentiment que les Karistal fonctionnaient sur la même façon, et Katarina s’amusait donc à pincer ses seins, à hauteur des tétons, un sourire ravi sur les lèvres, sans tenir compte des soupirs de Yuko, lui demandant d’arrêter ça... Elle connaissait suffisamment ces sensations pour savoir que cette demande était en réalité une invitation à poursuivre.
Katarina connaissait suffisamment Miki pour savoir que la brave super-neko était en train de souffrir. Katarina avait connu ça : la frustration. C’était une forme de torture terrible. Elle se rappelait se tortiller dans tous les sens, ses miaulements étouffés par le gag ball serré sur ses lèvres. La neko sentit alors les mains de Yuko lui maltraiter les fesses, et elle poussa un petit couinement, ses grandes oreilles entendant le bruit délicieux du frottement de la combinaison en latex, à hauteur des jambes de Miki. La pauvre essayait de se masturber, et, contrairement à Yuka, elle n’avait pas deux godes en elle pour lui permettre de jouir. Avec un sourire carnassier, et des ronronnements délicieux, elle pinça encore les tétons de la femme, tirant ses seins, suivant les bandelettes rouges en latex, sa queue enroulée autour de la taille de la femme.
« Continue... Continue de miauler ma jolie Katarina... tu es... haaaannn... Si mignonne quand tu me miaules dessus! Allez... maltraite-moi aussi un peu. Mais avant... »
Katarina frissonnait. Oh, elle adorait cette femme ! Elle allait sûrement devoir remercier Mélinda pour lui avoir amené de telles clientes ! Elle tombait généralement, soit sur des individus extrêmement soumis, soit sur des gens qui la provoquaient, leurs sourires goguenards l’irritant plus qu’autre chose. Ces deux femmes étaient différentes. Il se dégageait d’elles une certaine sincérité, une forme d’honnêteté du travail bien fait, des fesses qu’on pénètre, des fouets qui claquent sur le dos, du port du latex... Elle jouait avec des confrères, et sentit l’une des mains de Yuko filer sous ses vêtements, avant de la doigter.
« Nyuuuu... »
Il y avait quelque chose de particulièrement délicieux dans ce que cette femme faisait. Un doigt en latex s’enfonçait en elle, et sentir le latex sur ses fesses l’excitait joyeusement, délicieusement. Yuko lui demanda de miauler, de gémir, et Katarina, en pinçant les tétons, le fit donc.
« Myyyyaaaawwww... Haaaaaaaaaaaaaaa, meeeeeeeeeeooouuuuuwww... »
Elle miaulait dans les oreilles de Yuko, et lécha son cou, avant d’avancer ses dents, et de la mordiller légèrement, reniflant son odeur, tandis que le bout de sa queue s’avançait lentement, filant sous la culotte rouge, pour s’enfoncer adroitement dans le sexe de la femme, rentrant dans son intimité. Ses belles fesses ressortaient de la ficelle ridicule qui partait derrière elle. Elle portait un délicieux petit string, et Katarina se déplaça à nouveau, avançant une main pour gifler et griffer son cul, tandis que sa bouche vint attraper l’un des seins de Yuko, le suçant à hauteur du téton, sa langue glissant sur ce petit bout de chair. Elle la gifla à nouveau, frappant fort. Sa queue remuait dans l’intimité de la femme.
« Je vais te... Mraaaawww... Te faire jouir, ma petite salope... Sous les yeux de ta sœur, hihi... Mmmmhmmmmm... »
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Quelle délicieuse neko, quelles délicieuses nekos devrait-elle dire, un tel couple ne pouvait que retenir leurs attentions. Si belles, si dominante pour l'une, si soumise pour l'autre, Yuko ne pouvait espérer mieux et elles étaient si belles, si bonnes qu'elle serait prête à payer cette séance tellement Katarina était une neko des plus formidables. Yuko se fichait bien de souffrir un peu si ça pouvait permettre à ses deux-là qui sont accrochés de souffrir et désirer être désiré et maltraité par deux maîtresses comme ça. C'était si bon de se sentir désiré en ayant un peu mal. Quitte à faire souffrir un peu sa poitrine, ce n'était qu'un maigre sacrifice face à leurs couinements à ses deux-là. Sa main continua de se faufiler sous sa culotte, faisant pénétrer son doigt entre les petites fesses de la neko démoniaque, un accès difficile mais si chaud et si tendre. Elle aurait même envie de devenir futa pour prendre son petit cul, ça doit être divin de se faire un petit cul pareil! Ses petits miaulements étaient si adorables, Yuko savourait ça, autant que cette queue coquine qui venait se faufiler entre ses jambes. C'était bête mais elle adorait une queue de neko la pénétrer. Surement à cause se la sensation des poils sur son corps? Peut-être bien. Mais la démoniaque neko commençait à vouloir prendre les ficelles pour la maitriser mais attention, ce n'est pas parce qu'elle était heureuse et souriante que Yuko était soumise... ce serait même le contraire pour elle.
« Mais attention ma vilaine Katarina... ça serait dommage de trop abimer mon joli petit derrière, tu penses pas? »
Mais pour une telle neko, elle peut bien lui donner un ou deux petits caprices de réalisable. Se rapprochant à nouveau contre elle pour la coller, elle vint l'embrasser fougueusement en passant ses mains dans ses cheveux avant de se reculer un peu, se décollant de son corps en tenant quand même la queue de la belle neko pour ne pas lui faire mal en la retirant doucement. Non pas qu'elle voulait pas aller aussi loin mais au contraire, elle voulait pousser le vice plus loin, la torture plus loin néanmoins. Elle recula vers Katarina en frottant son derrière sur le bassin de la jolie démoniaque neko, se dandinant comme une vulgaire catin.
« Fait moi plaisir devant elles. Je veux le voir souffrir quand tes mains me caresseront ou me ferront du mal. »
Sa tête doucement tournée en arrière pour observer Katarina, elle attrapait doucement une de ses mains pour la porter devant elle, suçant son index pour aguicher un peu en roulant doucement du bassin contre elle.
« Tu as mon autorisation de me soumettre un peu ma belle mais à une seule condition... je veux que ça en fasse pleurer Miki. Je suis sûr qu'elle est trop mignonne quand elle pleure et que ses larmes sont délicieuses. »
Sa peau était chaude et délicieuse, elle pourrait la lécher ou même se frotter dessus comme une neko à longueur de temps comme ça. Yuko leva les bras en bombant le torse, ses mains venant caresser la tête de sa partenaire, caressant doucement ses petites oreilles.
« Et si tu arrives aussi à en faire pleurer Yuka de frustration, je te bouffe ton petit minou de suite et à pleine dent! »
En l'observant, sa langue passait doucement sur ses lèvres, elle aguichait ouvertement les deux camps, la dominante et les soumises mais maintenant, place au show.
« Faites moi plaisir mes mignonnes~♥ »
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Deux soumises, deux Maîtresses. Un rapport de force équitable, en théorie. En pratique, le fait d’avoir immobilisé ces soumises, de les avoir cantonnées à un rôle d’observatrice, avait pour effet pervers que les deux dominatrices étaient naturellement en train de « jouer » ensemble, de se titiller. C’était une sorte de déformation professionnelle, dans le fond. Tout simplement.
Yuko finit par repousser Katarina, avant de se pavaner au milieu de la pièce. Désirable dans sa tenue rouge en latex, la belle Yuko savait qu’elle avait trois paires de yeux rivés sur son corps, à détailler le moindre de ses formes, la plus petite parcelle de son corps, et il semblait naturel qu’elle en profite, qu’elle utilise cette situation pour s’afficher. Mettant en avant ses formes, la Karistal semblait réfléchir. Katarina savait que, en définitive, malgré les apparences, le client avait toujours le dernier mot. Quand il demandait grâce, il fallait arrêter. Poursuivre impliquait le risque d’avoir des problèmes judiciaires par la suite, et c’était parfois assez difficile pour Katarina, qui avait tendance à se laisser emporter quand elle corrigeait le cul de petits humains. D’un autre côté, les Karistal n’étaient pas des clientes, plutôt des invitées. Il y avait une nuance subtile à apporter, qui impliquait peut-être, pour Katarina, une plus grande liberté. C’était comme de coucher avec une amie, en somme.
Lentement, la Karistal lui parla, se mettant à lui exposer les nouvelles règles du jeu. La soumettre (ce qui provoqua subitement quelques ronrons supplémentaires dans le corps de la neko démoniaque), avec cette condition de faire pleurer de frustration, au moins Miki, et, dans l’idéal, les deux. Katarina les regarda brièvement. Joues rouges, traits tirés, membres se contorsionnant lentement. Elle connaissait suffisamment Miki pour savoir que cette dernière était déjà frustrée, très frustrée. Une belle tâche s’était formée entre ses cuisses, et, si elle voyait Katarina fouetter le cul de Yuko, il était plus que certain qu’elle plairait. La faire pleurer était une gageure. Yuka, en revanche... Et bien, Katarina ne la connaissait pas, et ses réactions étaient donc imprévisibles. Néanmoins, le challenge était intéressant, et, de toute manière, la simple perspective de violenter un peu cette femme dans sa tenue de latex suffisait à lui faire plaisir.
Comme toutes les filles de prostituées, Katarina n’était pas vraiment désirée, et elle l’était encore moins en sachant que son père était un démon. Elle ignorait l’identité réelle de son père, ne connaissant que celle de sa mère, et cette dernière avait perpétuellement grandi avec la peur qu’un jour, des Impériaux ne viennent la tuer, elle et son enfant, au cas où il s’avérerait que Katarina était la fille d’un influent démon ashnardien. Katarina avait toujours grandi en ayant une certaine dose de colère et de frustration, en voyant qu’elle était mise au rebut, honnie par les nekos, moquée et méprisée par les démons. Elle avait pris plaisir à battre les nekos, celles et ceux qui la dédaignaient, voyant en elle un monstre, une aberration... Et c’était ainsi qu’elle avait fini par devenir une dominatrice de harem, à fouetter le cul de ceux qui, en société, la méprisaient et lui marchaient dessus. Ici, elle pouvait librement se laisser aller.
Elle se remit sur pied, marchant alors à quatre pattes, et se rapprocha lentement de Yuko, d’une démarche féline. Elle se glissa dans le dos de cette dernière, et frotta ses fesses avec son nez, glissant sur sa chair nue, la léchant, ronronnant légèrement, sa queue redressée en hauteur. Elle bondit alors en hauteur, un léger bond, et se lova contre le dos de Yuko, enroulant ses jambes autour de sa taille, et plantant ses mains sur ses épaules. Elle lui lécha alors une oreille, glissant sur ses longues mèches de cheveux, tandis que sa longue queue poilue de neko se déplaçait pour frotter l’estomac de la jeune femme, se glissant ensuite sous son string pour la pénétrer.
« Méfie-toi que ce ne soit pas que je fasse chialer, ma petite pute... » la nargua-t-elle.
Elle retira alors sa queue, et se servit des épaules de Yuko comme d’un ressort, pour bondir en hauteur. Elle passa ainsi par-dessus la femme, fit un léger salto, et atterrit sur ses pattes, se remettant ainsi debout, sa queue fouettant l’air derrière elle. Comme toutes les nekos, Katarina était agile et acrobate.
« Je vais donc m’occuper de toi, petite catin. »
Elle s’avança un peu, et alla saisir un fouet noirâtre, puis le fit claquer dans le vide. Le fouet était l’un de ses rares instruments qui pouvait émettre son claquement en ne rencontrant rien. Le fouet claquait dès qu’il pénétrait dans l’air, et ce son était, tout simplement, exquis. Katarina fit à nouveau claquer le fouet, près du corps de Yuko.
« Et bien ?! Tu attends quoi pour te mettre à quatre pattes ? Une invitation ?! Allez, obéis, sale pute ! »
Et, comme pour la motiver davantage, Katarina abattit le fouet sur son sein droit. Puisque l’objectif était de faire pleurer Miki, autant employer le fouet, sa « super-neko » était incapable d’y résister.
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C'était si amusant ce jeu. Faire en sorte de faire pleurer de frustration Miki et Yuka semblaient être un jeu parfait. Elle ne savait pas si sa jumelle allait se mettre à pleurer pour si peu? Se dandiner, supplier, jouir mais pleurer? Elle se posait elle-même une colle. Mais bon, pour voir le ravissant visage de la super-petite neko pleurer, ça devait valoir le coup. Attention quand même, comme toute fan de neko, Yuko n'aimait pas voir une neko pleurer. Mais si c'était de frustration et que la rendre heureuse serait de la détacher pour littéralement lui bouffer la chatte ou vouloir se faire frapper le cul alors c'était différent. Yuko était prête à se soumettre un peu à cette ravissante et démoniaque neko, cette dernière ne tarda pas à passer son petit nez sur ses fesses, quelle petite coquine! Elle vint même s'accrocher à elle en jouant avec sa queue qui semblait aussi perverse que la neko! Se faire pénétrer par une queue de neko, c'était quand même une chose qu'elles adoraient toutes les deux. Ce côté poilu et doux, surtout ce côté neko, elles en étaient folles! Elles n'avaient jamais essayé mais elles seraient sûrement prêtes à aller faire de la zoophilie tant que c'était des chats ou des félins. Mais bon, neko ou furry neko, c'était tout aussi bon comme ça.
Bien qu'avec de simples paroles, la belle Katarina l'aguichait un peu, elle prit son rôle très au sérieux avec son fouet qu'elle fit claquer tout près d'elle. Diable, quelle neko excitante! Et même ce petit coup de fouet sur son sein était à double tranchant... Qu'elle la soumette était un souhait qu'elle lui laissait mais attention à ne pas aller trop loin car la roue tourne et Yuko pourrait bien se venger par la suite. Yuka adorait la torture mentale, elle, c'était la torture physique.
« Oui ma Maîtresse qui me fait mouiller comme une petite neko en chaleur~ »
Dans leur position, les deux soumises pouvaient parfaitement voir ce qui se passait entre les deux dominantes mais Yuko ne comptait pas être une docile femme sortie du moule. Elle comptait tout faire pour exciter autant Yuka que Miki que Katarina. Elle n'avait pas dit son dernier mot, oh que non. À quatre pattes, la Karistal dominante reniflait l'entrejambe de sa Katarina avec un petit sourire en coin.
« Hum la mouille de ma Maîtresse sent si bon... je pense que je lui lécherais volontier son adorable minou si elle me le disait... »
Elle leva les yeux vers elle, un mot, un geste et elle obéit bien docilement. Mais pour le moment, elle n'avait pas fini de jouer et elle comptait bien savourer ce dessert une autre fois. Elle jeta un regard sur les deux soumises, Miki semblait avoir de plus en plus de mal à tenir. Brave petite. Et Yuka avait déjà sa culotte de trempé, les gouttes tombaient de plus en plus par terre. Combien de fois cette petite salope a-t-elle put jouir? Pour la forcer à user de ce fouet qui était aussi excitant qu'une carotte sur un bonhomme de neige en plein hiver face à une nymphomane végétarienne pour Miki, Yuko poussait le vice plus loin en se redressant sur ses genoux, frottant sa joue sur le ventre de Katarina en passant ses mains sur ses délicieuses petites fesses. En voilà deux qu'elle a envie de corriger aussi, avec un fouet ou à pleine dent.
« Hyaaaan ma Maîtresse à un petit cul tout doux et moelleux, je la voudrais pour oreiller cette nuit tellement elle m'excite!!!! Prenez-moi ma petite Maîtresse!!! »
Oui, ma Petite Mâitresse... Elle se fichait que Yuko lui parle comme si elle lui appartenait mais elle n'était pas Petite... Alors la Karistal usait ce point pour la forcer à user de son fouet avec modération quand même pour faire pleurer Miki. Elle était si excitante cette super neko, elle allait adorer la corriger et lui lécher son minou à celle-là. Vivement que la petite fête débute à plusieurs. C'était simple de savoir que Yuko en faisait trop, il suffisait de la voir constamment observer les deux soumises, elle n'attendait que leur larme... Son orgasme sera accompagné de leurs larmes ou au moins de celles de Miki.
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Le claquement d’un fouet... Oh, si c’était jouissif ! Immobilisée, suspendue en l’air, Miki soupirait silencieusement. On pouvait entendre les délicates vibrations de son corps à travers la combinaison en latex qui recouvrait sa peau. La pauvre petite neko remuait un peu, lentement, mouillant de plus en plus, alors que Yuko, à quatre pattes, venant frotter sa tête contre le bassin de la neko démoniaque, continuant volontairement à la narguer, pelotant ses belles petites fesses. Elle la provoquait, tout simplement. Miki comprenait ce jeu, car elle-même, quand elle en avait l’occasion, se livrait à ce genre d’exercices. Provoquer sa Maîtresse était le meilleur moyen de se faire battre, et toute bonne esclave savait tout le profond plaisir qu’il y avait à en tirer, surtout avec Katarina, qui ne se gênait pas pour fouetter et battre les esclaves se révoltant contre son autorité... Exactement comme Yuko était en train de le faire. Tout ceci, évidemment, rendait la position de Miki encore plus insoutenable. Se tortillant entre ses sangles et sa combinaison, elle clignait des yeux. Elle était de plus en plus frustrée, et poussa de petits couinements.
Reprendre Katarina sur sa taille était généralement le meilleur moyen de l’énerver, de la provoquer. La petite taille de Katarina ne la rendait pas très effrayante, et était un résultat des gènes de neko dans son sang. En somme, c’était un moyen de la rabaisser en lui rappelant cette partie de son héritage qui lui avait toujours valu d’être rabaissée. Le fouet claqua donc sèchement sur le bas du dos de Yuko. Katarina savait que cette dernière la provoquait, elle le savait même très bien, car c’était une chose que ses victimes, par un curieux besoin masochiste, adoraient faire. En effet, il ne fallait pas être grand clerc pour comprendre que les gènes terranides de Katarina devaient être, pour une démone, un poids assez lourd à porter.
« PETITE ?! s’étrangla l’intéressée. Comment OSES-TU ? Insolente ! Espèce de… !! »
Relevant son poignet, Katarina la fouetta sur le bas de son dos, le bout du fouet claquant sur le sommet de son cul. Sa queue se débattit, repoussant les mains gantées de Yuko. La sentir lui palper les fesses était assez agréable, mais Katarina ne l’entendait pas ainsi. Katarina savait qu’il y avait là-dedans une part de cinéma, mais la colère dont elle fit preuve en fouettant Yuko, elle, était loin d’être simulée. S’écartant, Katarina abattit à nouveau son fouet, sur les hanches et les côtes de la belle petite blonde.
« PERSONNE ne me dit que je suis petite ! PERSONNE !!! »
Et le fouet, encore, se mit à claquer. Pendant plusieurs minutes, on n’entendit plus aucun autre son dans la pièce que les halètements des femmes, et les claquements sonores du fouet s’abattant sur le dos et sur les fesses de Yuko. Katarina le maniait avec dextérité, l’abattant rapidement. Elle le relevait et l’abattait, encore et encore, faisant rougir le corps de Yuko, le fouet glissant souvent sur les fesses de Yuko, ceinturant son magnifique cul. Katarina aimait ça : fouetter le corps de belles femmes en latex. Il lui arrivait aussi de fouetter les hommes, mais elle adorait clairement plus battre les femmes.
Miki, quant à elle, avait les yeux embués, et commençait à pleurer en se tortillant dans sa combinaison. Des larmes de frustration, tant son intimité lui faisait mal, tant elle avait l’impression que cette dernière était en train de pleurer. La pauvre n’en pouvait plus, et avait tout simplement une envie phénoménale de se faire tringler.
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Voilà ce qui s'appelait jouer avec le feu. Mais Yuko savait qu'elle risquait gros, que sa colère pouvait plus qu'un rôle pour faire pleurer Miki, si elle touchait la corde sensible. Katarina l'avait repris une fois sur sa taille, se fichant que Yuko la traite comme sa neko mais pas sa Petite neko. C'était donc sur ce point que Yuko misait en espérant faire pleurer les deux soumises. Avec Katarina, Miki allait surement pleurer mais Yuko savait que ce ne serait pas le cas de sa sœur. Elle n'était pas assez en manque pour cela. Au mieux, elle l'aura encore plus obéissante et soumise que d'habitude, c'est tout mais c'est déjà pas mal. Abordant donc le sujet de la taille, la neko s'énerva en un instant, repoussant la Karistal avec les mains comme avec son fouet et le premier coup faisait toujours plus mal, c'est bien connu. Celui juste avant n'était pas un coup mais une mise en garde, là, le spectacle peut commencer! Bien vite, le fouet s'abattait à nouveau sur elle, tantôt les hanches ou son ventre, plus souvent le bas de son dos et surtout ses fesses. Elle avait beau porter une belle petite combinaison en latex rouge, ça ne changera pas les marques qui sont bien marqué sur son corps. Yuko poussa des cris mêlés entre le plaisir et la douleur. Elle avait beau avoir endossé ce rôle quelques fois par plaisir, elle avait une limite moins grande à supporter la douleur que sa sœur soumise. Si bien qu'à un moment, elle se leva en plaçant sa main entre elles, venant attraper la main de Katarina, ce simple geste était muet mais vu son regard et les marques sur son corps, ça veut dire « Stop ».
Sa main serrait la sienne qui tenait le fouet, elle se rapprocha d'elle, une lueur de colère dans son regard et un sourire des plus charmants, comme sa voix. Elle se rapprocha d'elle, la collant, on pourrait croire qu'un baiser allait mettre un terme à ce rôle de soumise et dominée mais elle approcha sa bouche de son oreille féline en passant la main dans ses cheveux.
« Tu me lécheras chaque blessure avec ta délicieuse langue, Katarina d'amour. »
Yuko parla à voix basse dans sa petite oreille avant de continuer à la caresser. Les flammes dans ses yeux étaient plus doux, devenant le contraire de son expression avant de lui parler. Un regard rempli d'amour envers cette neko et un sourire tout droit sortie des enfers. Elle relâcha sa main, posant sa main sur sa hanche, continuant d'être si proche de cette ravissante créature démoniaque alors que sa seconde main faisait enrouler un de ces doigts dans une de ses mèches de cheveux.
« Allons voir le résultat d'abord. J'entends une délicieuse voix qui a plus à m'offrir, je le sens... »
Elle tourna le dos à la neko, gardant un œil sur elle. Son corps était rouge à de nombreux endroits, le sang perlait sur sa peau à certain endroit, notamment en bas de son dos, près de son fessier. Là où la petite neko s'était fait plaisir à la maltraiter. Elle souffrait mais n'en montrait pas la moindre trace, l'habitude de la ressentir et de la procurer surtout. Elle marcha lentement vers les deux poupées accrochées au mur en déhanchant son bassin. Qu'elles admirent la vue si elles veulent, elle leur fait ce cadeau. Elle vint d'abord voir Miki, la pauvre petite super-salope qui se dandinait entre ses chaines comme une petite chatte que l'on s'apprête à laver dans un lavabo. Yuka leva sa main, caressa sa joue brulante, la bave coulait par-dessus son gag-ball, elle était ravissante mais elle pouvait l'être plus.
« Ma pauvre petite chatte, tu as l'air de souffrir avec toutes ses vilaines chaînes? Je suis sûr que tu m'as envié de me voir me faire battre par Katarina, de voir mon corps marqué, tu n'avais qu'une seule envie, brisée ses chaînes et me sauver, comme une super-héroïne, hein? Tu dois être si gentille ma toute mignonne Miki. »
Yuko retira sa main en se penchant sur son entrejambe, pas question de la toucher à cet endroit, elle approcha sa bouche mais avec le simple but de la renifler très fort, voulant bien faire comprendre que son odeur intime l'excitait! Elle sentait bon la cyprine, elle devait être bien mouillé? Yuko était sûre d'entendre un petit « spouic » si elle enfonçait son doigt à cet endroit mais, pas maintenant. Elle la laissa avec un petit signe de la main en contrôlant sa sœur. Elle ne se privait pas de caresser sa culotte qui continuait de vibrer en admirant la petite flaque sous elle, qui coula depuis son entrejambe vers le sol.
« Quelle petite salope tu fait. Ta vraiment pris ton pied à nous observer hein ma petite putain? J'aurais dû te la retirer avant de commencer, t'aurais surement été au moins aussi frustré que Miki. »
« Yukoooo~ »
Sa main s'abattait sur sa joue et avec le latex, le bruit de la claque se fit entendre dans la pièce, agaçant surement un peu plus Miki de ne pas être à sa place.
« Sale putain! Tu m'appelles Maîtresse Yuko ici, compris!!! Une seule erreur et même Miki te plaindra! »
Elle comptait laisser sa sœur entre les mains de Katarina pour qu'elles s'amusent mais pour le moment, elle délaissa leurs deux choses. Les fruits ne sont pas assez mures pour elle. Elle se rapprocha de Katarina avec ce même déhanché avant de passer sa main droite sur sa joue gauche, gardant son regard dans les siens.
« Je veux que tu viennes lécher chaque endroit où ta langue m'a fait mal. Ensuite, on voit si on peut soulager ses deux petites catins. Pour l'heure, ton premier coup de fouet avait été ici, non? »
Yuko se caressa le sein, le téton plus précisément en ayant son regard lubrique. Que Katarina se serve de sa petite langue pour lécher chaque endroit où ce magnifique fouet à abimer son corps. Cela devrait achever Miki déjà...
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Le fouet de Katarina claquait sans arrêt, maltraitant le corps de Yuko, formant une délicieuse litanie, un environnement jouissif de coups de fouet. Entendre les couinements de Yuko, cette belle poupée en latex, ainsi que le claquement sonore du fouet, voilà qui avait largement de quoi exciter n’importe qui. Katarina soupirait joyeusement, sentant ses seins se tendre, son intimité se mouiller, au fur et à mesure qu’elle la battait, qu’elle rougissait le corps de cette femme. Katarina ne comptait nullement s’arrêter, et était prise dans son élan, fouettant, fouettant encore, sans relâche... Jusqu’à ce que l’une des mains de Yuko ne l’attrapa au poignet. Katarina cligna alors des yeux, et réalisa qu’elle avait eu un orgasme, simplement en fouettant cette femme. Elle se mordilla les lèvres. Le regard de Yuko était ferme, voulant mettre fin aux coups de fouet. Katarina lui sourit, révélant ses belles dents de neko, et sa queue caudale se déplaça lentement, venant caresser le ventre de Yuko, à hauteur de son nombril. Elle remua lentement sur son corps, insistant dessus, comme pour lui montrer qu’elle allait s’arrêter là.
Yuko approcha ensuite ses lèvres de l’oreille Katarina, qui sentit un ronronnement la traverser quand la jeune femme lui expliqua qu’elle allait ensuite la lécher. D’une démarche sensuelle, terriblement provocante, en roulant des fesses, la Karistal s’avança vers Miki, et continua à la torturer, à sa manière. Miki ronronnait furieusement dans sa tenue en latex. Le gag ball était rempli de salive, cette dernière dégoulinant sur sa nuque, filant vers ses seins. Elle gémit lourdement quand Yuko se caressa, et hocha vigoureusement la tête, lorsque cette dernière lui affirma qu’elle n’avait qu’une seule envie : se faire fouetter. Oh oui, ça, c’était vrai ! Se faire fouetter, oh, la petite Miki n’attendait que ça ! La brave neko gémissait faiblement, se tortillant dans le système complexe de chaînes et de cordes qui la retenaient. Elle avait l’impression d’être prisonnière dans une espèce de toile d’araignée, se tortillant de gauche à droite. Elle mouillait abondamment, et, quand Yuko se rapprocha de son intimité, mais omit de la lécher, Miki soupira encore, sa langue heurtant son gag ball, ses dents le mordillant. C’était une boule solide, faite pour résister à Miki. Fermant les yeux, elle gémit plus intensivement quand Yuko s’écarta d’elle, allant vers sa sœur, puis porta un regard implorant vers Katarina. La pauvre petite faisait pitié à voir, ainsi. Elle soupirait longuement, se tortillant, mais Katarina ne se rapprocha pas.
Au lieu de ça, elle observait le corps de Yuko, rougi. Elle avait des plaies dans le dos, là où le fouet, à force de taper, avait ensanglanté sa peau. Le fouet n’était pas effilé. Si Yuko avait été battue avec un vrai fouet, un fouet tranchant, comme celui que les bourreaux ashnardiens auraient, elle aurait baigné avec son propre sang, son dos complètement massacré... Ça n’aurait plus rien eu de sexuel, et elle en serait probablement morte. La jumelle alla ensuite voir sa sœur, et lui défit le gag ball, avant de la battre.
*J’admire sa ténacité...*
Cette claque, délicieuse, fit gémir à nouveau Miki. La pauvre se demandait si elle avait été autant frustrée... Ce qui avait, jadis, été le cas. Il y a plusieurs mois, Miki avait passé cinq heures en étant accrochée à un lustre, assistant à une orgie, la tête penchée vers le bas, sa mouille descendant le long de son corps, formant comme une sorte de fontaine, qui éclairait le dos des clients. Elle avait été accrochée au plafond par un système de treuil, avec d’autres nekos, afin de satisfaire le fantasme sexuel très particulier d’un comte ashnardien. Elle avait ensuite eu une longue récompense en étant méchamment prise par le comte et sa femme. Elle s’en souvenait encore. Les deux amants étaient allongés sur le lit, et utilisaient des jouets et des appareils magiques pour exciter les nekos, faisant tomber sur eux la mouille. Depuis qu’elle était toute petite, Miki avait toujours été une soumise, et il était donc normal qu’elle continue à agir ainsi.
Yuka récupéra son gag ball sur les lèvres, puis Yuko retourna voir Katarina, pour qu’elles continuent à s’amuser ensemble. Cette femme était vraiment gourmande, et, tout en observant sa démarche sensuelle, outrageante, elle observa le corps de la jeune femme. Il était parfait, et elle adorait la manière dont le latex moulait son corps. L’une de ses mains caressa la joue grise de Katarina, qui planta son regard dans le sien, avant d’entendre sa réponse :
« Je veux que tu viennes lécher chaque endroit où ta langue m'a fait mal. Ensuite, on voit si on peut soulager ses deux petites catins. Pour l'heure, ton premier coup de fouet avait été ici, non ? »
Elle désigna son sein, et Katarina sourit, révélant toutes ses dents.
« En effet... Et je vais m’appliquer à le faire... J’aime sentir ces deux salopes gémir en nous regardant, et en piaffant d’impatience. »
L’intimité de Miki devait être toute dilatée, maintenant. Les deux femmes se placèrent de façon à ce que les deux soumises n’en loupèrent aucune miette. Katarina approcha ses lèvres, et écarta le sein de la lanière en latex de Yuko, venant ensuite le sucer, tendrement, sensuellement, le léchant avec amour, emprisonnant ce monceau de chair entre ses lèvres. Elle le suça joyeusement, tandis que sa queue retournait frotter le dos de la femme, filant le long de son string, claquant délicatement ses fesses. En mode koala, crispée contre elle, Katarina suça longuement son sein, ressemblant presque à une espèce de bébé qui, en gémissant, viendrait téter le lait maternel. Elle s’attaqua ensuite à l’autre sein, titillant le téton avec sa langue, aspirant le sein dans sa bouche, s’en délectant tendrement.
« À ton dos, maintenant... Tu devrais te mettre à quatre pattes, pour que je m’applique... »
Elle aida Yuko à se mettre en position, et lui lécha alors les fesses et le bas de son dos, déposant de tendres baisers, léchant, encore et encore, ses seins glissant sur ses fesses. Miki avait une belle vue sur le cul de Yuko, et, pendant une dizaine de minutes, Katarina s’appliqua exclusivement à le lécher, glissant sur ses jambes, tandis que sa queue caudale, continuant à jouer, avait glissé le long du torse de Yuko, mimant une cravate de notaire en frottant l’espace entre les seins de la femme. Tandis qu’elle continuait à s’appliquer, elle finit par glousser, faisant remonter le bout de sa queue pour que Yuko puisse le sucer.
« Miki est en train de bouillonner comme une chaudière... Cette salope adorerait te lécher le cul, hihi... Et je la comprends, ton corps est magnifique. Que ce soit pour le battre ou pour le lécher, j’en mouille à chaque fois comme la reine des putes... Miaaaww... » miaula-t-elle ensuite, sensuellement.
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Yuko était si vilaine en délaissant Miki mais ce n'était que pour mieux s'occuper d'elle ensuite. Retournant auprès de la neko démoniaque, elle lui laissa un seul ordre simple mais délicieux, lécher son corps meurtri par les coups de fouet. En commençant par le commencement, sa poitrine. Katarina ne se fit pas prier pour obéir. Ne serait-ce que pour respecter sa parole mais aussi pour faire souffrir les deux petites putes accrochée. Rapidement, la méchante neko lui retira un morceau de sa tenue pour s'agripper à son sein, venant la lécher docilement, comme une gentille neko bien obéissante. Yuko lui caressait la tête, l'invitant à prolonger autant ses soins qu'elle le désire. Sentir cette délicieuse langue râpeuse sur son téton était une joie immense mais en plus couverte par les plaintes de ses deux trainées, elles feraient une agréable berceuse. Il en fut de même pour son deuxième sein sauf que Yuko venait parfois embrasser sa tête. Une gentille petite neko comme ça, ça ne demande que ça, des câlins et des bisous. Jouant le jeu, elle se mit à quatre pattes pour permettre à la neko de mieux la lécher et sa langue se baladait avec tant d'aisance sur son petit cul, elle adorait ça et elle le faisait bien sentir.
« Hum! Ne t'arrête surtout pas Katarina. Tu dois d'abord lécher chacune de mes plaies, aussi petites soient-elles. »
Quand sa queue vint se frotter entre ses seins, elle laissait d'abord la queue tranquille, appréciant la caresse particulière de cette queue avant de la lécher comme une bite venant se glisser ici. Elle se fichant d'avoir des poils sur la langue ensuite. C'était si adorable de sa part, Katarina dévoilait de plus en plus son côté neko perverse, ça la rendait que bien plus belle. Elle se permit même de la complimenter, venant d'elle, ça lui allait droit au cœur.
« Vraiment? Mais c'est que je risque de tomber amoureuse de toi ma belle Katarina chérie ♥ »
Katarina n'avait peut-être pas entièrement fini mais Yuko retourna la voir en la plaquant au sol avant de se laisser tomber sur elle, l'embrassant avec toute la passion du monde, sa poitrine écrasait la sienne alors que ses mains tentaient de faire doucement descendre sa culotte en latex. Ce baiser dura... assez longtemps mine de rien et quand la Karistal se pencha en arrière pour observer la belle chatte sous elle, elle avait ce petit sourire, presque triomphant.
« Je t'adore toi, tu sais? Mais laisse-moi gouter de ton petit nectar divin... La mouille d'une neko démoniaque... j'en donnerais toutes mes économies pour goutter ça! »
Mais heureusement, pas besoin de tout dépenser, venir au harem de Mélinda suffirait. Yuko se pencha sur elle, plongeant sa tête entre ses jambes pour renifler son parfum d'amour avant de le lécher doucement, savourant le nectar divin qui passait sur sa langue. Elle le lécha encore et encore, oubliant les deux putes qui couinaient, ça rendait même la chose meilleure. Yuko savourait cet instant, elle ne voulait pas lâcher cette petite chatte adorable. Ce ne fut que lorsqu''elle repensait à elles qu'elle retira doucement sa tête, venant à nouveau embrasser rapidement la neko.
« Tu es un amour Katarina chérie... je pourrais te lécher des heures entières sans me lasser de ton petit goût si particulier mais si bon... Si tu as besoin de sentir ma langue entre tes jambes, fait moi signe ma beauté, je te lécherais jusqu'à plus soif. Il me tarde de te sentir me jouir au visage... »
Elle lui sourit avant de l'aider à se redresser pour se relever. Elle ne laissa pas sa poitrine à l'air, elle remit les petits morceaux de latex dessus avant d'annoncer la suite.
« Je vais te laisser jouer avec ma putain de sœur. Tu verras, elle t'écoutera au doigt et à l'œil mais attention, je crois qu'elle est aussi salope que cette adorable petite catin de Miki... enfin, on verra bien comment elle est avec toi. Tu t'occupes donc de ma trainée de frangine et moi je fais un peu mumuse avec la super-salope, d'accord? On jouera tous ensemble après, on savoure nos petites putes d'abord. »
Yuko se rapprocha de Miki, venant à nouveau lui caresser la joue, elle allait même lui déposer un petit baiser tout mignon sur la joue. À la voir ainsi, on ne croirait pas que c'est une dominante mais presque une petite fille qui joue avec une copine qu'elle adorait. Mais n'oublions pas que les apparences sont trompeuses. Sa culotte était pire que trempée, si elle se serait pissé dessus, ça n'aurait pas pu être pire que ça. La Karistal venait poser la main sur sa tête en tournant son regard vers Katarina.
« Tu me dis comment je la libère cette pauvre petite chatte? »
De son côté, Yuka observait Katarina avec envie, sachant qu'elle allait la servir... quelle joie! Elle se trémoussait presque un peu trop mais contrairement à sa copine de supplice, elle avait un gode vibrant en elle... qu'on vienne jouer avec elle! Yuko retourna son attention vers Miki, avant sa libération.
« Tes premiers ordres ma belle seront de ne pas te toucher, c'est moi qui m'occuperais de te faire jouir. Alors même si c'est dur... pas de doigts, pas de queue sur ta belle petite chatte... et deuxième ordre, tu t'occupes exclusivement de moi ma super salope. »
Elle eut un dernier sourire adorable pour elle, attendant de la voir enfin bouger pour s'occuper d'elle...
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Il paraissait impossible de vivre au manoir de Mélinda sans être, tôt ou tard, attirée par les voies de la perversion et de la lubricité. Toutes et tous finissaient par y sombrer, à un rythme plus ou moins rapide, selon les personnalités. D’origine démoniaque, Katarina n’avait pas résisté longtemps. Elle aimait être ici, dans un endroit où sa nature de bâtarde n’était pas vue comme un mal, mais comme un atout. En d’autres circonstances, elle aurait sans doute travaillé avec les Karistal, ces deux jumelles cinglées et fans de nekos. En attendant, elle appréciait beaucoup l’idée d’être ici, avec elles. On lui avait tant dit sur ces deux femmes que, quand elle avait su qu’elles viendraient ici, elle avait secrètement espéré que sa Maîtresse les leur enverrait. Katarina voyait qu’elle ne s’était pas trompée. C’était un beau geste de la part de sa Maîtresse, que de les envoyer ici. C’était une grande preuve de respect, d’autant plus qu’elles ne paieraient rien. La qualité des services proposés dans le harem était à la hauteur des frais nécessaires pour en profiter : ce n’était pas donné, mais le résultat valait la chandelle. Si les Karistal pouvaient bénéficier gratuitement desdits services, il fallait s’attendre à ce que Mélinda demande autre chose. Katarina connaissait suffisamment la vampire pour le savoir.
En attendant, elle se laissait faire, goûtant au magnifique corps de Yuko, jusqu’à ce que cette dernière l’envoie sur le sol, où elle s’écrasa contre elle. Katarina miaula tendrement, sa queue de neko venant glisser le long du corps de sa partenaire, heurtant ses fesses, tapant délicatement dessus. Le bout de sa queue était trempé, car Yuko l’avait sucé, comme une verge, excitant davantage Katarina. Elle mouillait, ce que la belle humaine dut ressentir, car elle alla écarter la culotte trempée de Katarina, pour la lécher.
« Mraaawww... Nyyyyuuu... »
En sentant la langue de Yuko filer sur son sexe, Katarina ronronna de plus belle, posant ses petites mains tendres sur sa tête, se crispant à ses cheveux. Elle gémit faiblement, tout en renvoyant sa queue de neko dans la culotte de sa partenaire, la faisant glisser sur sa croupe. Pendant plusieurs minutes, on n’entendit plus que les soupirs et les vibrations de Katarina, ainsi que els bruits de succion de Yuko, se mélangeant aux gémissements des deux petites traînées dans leur dos. Miki remuait lentement, enchevêtrée dans ses chaînes, continuant à pleurer de frustration. Elle en avait tellement envie qu’elle avait peur d’en devenir folle ! Elle se débattait lentement, mordant dans son gag ball, mais elle ne pouvait rien faire. Katarina savait y faire, et, tandis que Miki tremblait, elle put constater que Katarina, allongée depuis le sol, la regardait, avec un sourire malicieux et sadique. Elle la provoquait, et Miki miaula faiblement. Cette perverse cruauté était quelque chose que Miki adorait, qui lui faisait autant mal qu’elle l’excitait. Ce n’était pas forcément très logique, mais, dans ce domaine, il ne fallait guère s’attendre à ce que la logique triomphe.
Au bout d’un certain temps, Yuko finit par se relever, un sourire sur les lèvres, et lui annonça qu’il était temps de retourner jouer avec leurs deux esclaves. Lentement, Katarina se redressa. Elle n’avait pas encore joui, mais elle se sentait bien. Yuko se rapprocha de Miki, la caressant, â câlinant, faisant trembler la pauvre Miki, qui soupira. Si, au moins, Katarina lui avait offert la chance de lui enfoncer un gros gode vibrant dans la chatte, avec un autre dans le cul. Généralement, c’est ce qu’elle faisait, et Miki mouillait comme une traînée en regardant Katarina faire l’amour. Le voyeurisme était vraiment quelque chose qu’elle appréciait, un terrible fantasme, mais elle pouvait jouir. Là, on l’en avait privé ! Elle était donc toute tremblante. Katarina, de son côté, caressait avec sa jambe le corps de Yuka, et constata que la petite salope avait plutôt bien mouillé.
« Tu es encore pire que ta sœur, toi, salope... Si je te laisse cette culotte, tu vas me la ruiner en moins d’une journée ! »
Yuka avait un gag ball autour des lèvres, l’empêchant de parler. Katarina lui sourit, et entreprit ensuite de la fouetter à hauteur du cul, tout en indiquant à sa sœur comment libérer Miki.
« Les chaînes sont reliées à un treuil... Va près de ce levier, là-bas, et tire dessus pour l’abaisser... »
Ceci fait, Miki tomba sur le sol, encore enchaînée, mais réussit à se défaire de la prise. Elle réussit, difficilement, très difficilement, à se mettre sur ses pattes, au garde-à-vous, essayant tant bien que mal de conserver cette position. Elle chancelait, peinant à rester debout, sous l’excitation qu’elle ressentait. Sa salive débordait de sa boule de plaisir, alors que Yuko se mit à lui donner des ordres :
« Tes premiers ordres ma belle seront de ne pas te toucher, c'est moi qui m'occuperais de te faire jouir. Alors même si c'est dur... pas de doigts, pas de queue sur ta belle petite chatte... et deuxième ordre, tu t'occupes exclusivement de moi ma super salope. »
Miki hocha lentement la tête, essayant de ne pas se toucher. Elle était évidemment d’accord, car la soumission était fermement inscrite en elle. Elle ne pouvait pas se dérober à un ordre direct émanant de la femme. Katarina, quant à elle, était occupée à fouetter Yuka, glissant de ses fesses à son dos, la maltraitant avec plaisir.
C’était délicieux !
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Que de plaisir dans cet endroit, une adorable super salope neko enchainée ne demandant qu'à être prise et maltraitée et une neko aussi sadique que Yuko, si ce n'est plus... quoique... c'était assez difficile de faire plus haut? Mais ses gênes démoniaques devraient être un atout donc. Yuko restait auprès de sa petite Miki, lui caressant le visage avec toute la bonté et la bienveillance des Anges, sans cette tenue des plus clairs, on croirait y voir une ange arrivant au secours de cette pauvre petite chose. C'était un peu le cas à vrai dire. Du côté de Yuka, elle restait malheureusement toujours bloquée mais la joie serait quand même au rendez-vous, Katarina avait rapidement repris les choses en mains, dont son fouet qu'elle comptait bien faire claquer sur la seconde jumelle à présent. Oui elle était plus salope que sa sœur, ça, là-dessus, elle la battait. Mais seulement en tant que soumise. Yuko n'était pas mal quand elle y mettait du sien mais face à elle, Yuka était la meilleure. Si elle pourrait parler, elle traiterait Katarina de maîtresse par-ci et par-là mais là, ce n'était que des gémissements, des plaintes incompréhensibles qu'elle tentait de lui dire. Lorsque les premiers coups de fouet tombaient sur son cul – du moins tout près – c'était une bénédiction du dieu SM ou la déesse SM? Si cette divinité existait, Yuka en était une fidèle servante. Sa belle robe blanche était déchirée devant, une fougue trop présente de sa petite maîtresse démoniaque qui lui avait arraché le haut. Du coup, un lambeau pendant jusqu'à son nombril, lamentablement. Une robe assez chère qui, même si Mélinda ne versait pas la moindre pièce, Yuko comptait en tenir pour un petit argument lors de leurs retrouvailles... Que faisait-elle d'ailleurs en ce moment? Prévoyait-elle déjà les accords entre Warren Karistal? Possible... mais qu'importe, ce n'est pas le moment de penser à cela.
Ses yeux fixaient la ravissante neko au teint grisâtre, elle rêvait de l'appeler petite maîtresse pour l'énerver et recevoir une punition comme Yuko, une plus grosse punition oui! Elle continuait de se dandiner dans sa petite prison, remuant autant son petit fessier trempé par sa mouille et marqué par la belle neko que sa tête, voulant pouvoir crier en toute liberté, miauler en même temps, c'était un de ces petits plaisir que se prendre pour une neko battue. Après tout, depuis qu'elle avait goutter au joie d'être une neko chez sa grande sœur Alice, elle cherchait un moyen de redevenir une neko, une vraie neko pour participer à une véritable orgie SM de neko, le fantasme ultime des Karistal. Car Yuko n'était pas exclue, elle aussi voulait en redevenir une, retrouver sa queue, ses oreilles et ronronner de plaisir. Tombant soudainement, libérer de ses entraves, sa bouche fut elle aussi libéré et après avoir repris son souffle par sa bouche, elle s'avança à quatre pattes, embrassant les bottes de la vilaine neko.
« Maî~tresse~ je veux... je veux plus de cette culotte, huuum... je veux sentir le fouet, directe-ment sur ma peau. HaaaAAAAaaa en-core... »
Encore un orgasme à cause de quelques coups de fouet, évidemment, ça allait plus vite comme ça. Yuka voulait être fouettée, directement sur la peau, sans être ralenti par cette culotte en cuir ou en latex, elle voulait avoir des marques sur son fessier, provoqué par cette superbe neko. Elle voulait bien plus mais demander ça, c'était déjà un bon début.
Yuko abaissa le levier et Miki fut libre, rapidement debout bien que ce ne fut pas facile, elle dicta ses ordres que la belle devra bien évidemment respecter à la lettre si jouir elle désirait. Miki se rendra bien vite compte que Yuko était une femme très tactile, très près du corps, avec son petit sourire, elle détacha la gag-ball avant d'embrasser délicatement et sensuellement Miki, aspirant avec joie sa salive de petite trainée. Ses mains se glissaient dans son dos, sur ses adorables fesses cachées par cette tenue mais Yuko comptait bien la lui retirer bientôt. Mais pour le moment, elle voulait la super salope en entier. Interrompant rapidement le baiser elle lui glissa un nouvel ordre pour sa nouvelle neko.
« Touche-moi. »
Puis elle reprit son baiser en se frottant au corps de la belle neko, sa main caressait son dos mais sa seconde main pressait ses adorables petites fesses, elle avait un cul des plus magnifiques, autant fait pour l'admirer que le battre. Mais chaque chose en son temps. Pour l'heure, elle savourait à la lettre sa petite Miki. Venant même chercher quelques instants après sa petite langue qu'elle coinça entre ses dents, la retirant doucement de sa bouche, sans lui faire mal bien sur avant de la lui sucer en gémissant de plaisir durant cet acte. Se reculant légèrement – en relâchant sa petite langue bien sur – Yuko attrapait la laisse qui pendait à son cou, lui souriant avec un air un peu plus sadique déjà.
« Viens avec moi ma belle petite Miki. »
Déambulant avec son déhancher, Yuko arriva devant une table de torture mais hélas pour Miki, ce n'était pas sa principale raison, juste avoir un appui. Elle posa ses fesses dessus, attirant Miki à elle pour la prendre dans ses bras en embrassant le bout de son nez, le bout de ses doigts caressant la cicatrice sur sa joie.
« Occupe-toi bien de ta Maîtresse ma petite salope, d'accord? »
Posant ses mains sur son cul, elle la souleva en se laissant tomber sur la table pour s'allonger avec elle, Yuko était curieuse de voir ce que valait sa petite salope d'héroïne neko?
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MIKI
Le gag ball en moins, Miki ne put pousser qu’un soupir, avant que Maîtresse Yuko ne vienne l’embrasser. Le contact était délicieux, ô combien délicieux, et Miki ronronna davantage. Elle était enfermée dans sa tenue en latex. Quand elle était jeune, Miki rêvait d’être une super-héroïne qui se baladerait le long des toits, et amènerait des vagabonds chez sa Maîtresse. Ce fantasme devait rester lettre morte, mais elle portait, malgré tout, une tenue super-héroïque. Généralement, on aimait lui faire l’amour sous cette tenue, qui servait surtout à l’enfermer. La retirer n’était pas particulièrement aisée, et elle recouvrait plutôt bien l’essentiel de son corps, tout en moulant ses formes. En d’autres termes, elle était très indiquée pour du sadomasochisme.
Miki clignait nerveusement des yeux, instable. Elle avait très mal entre les cuisses, mais elle restait aussi très docile. Elle soupirait contre la bouche de Maîtresse Yuko, posant ses mains sur ses épaules. Cette femme était autoritaire, autant que Maîtresse Katarina, ou Maîtresse Mélinda, et c’était précisément ce que Miki voulait. La petite neko était une grande soumise, qui avait été éduquée pour se complaire dans l’humiliation, dans la souffrance, et dans la domination. Se rebeller lui était impossible, et elle ne voyait de toute façon pas comment faire, quand bien même elle l’aurait voulu. Le baiser dura assez longtemps, pour le plus grand bonheur de Miki, qui adorait toujours embrasser ses maîtresses. Quand Maîtresse Yuko alla chercher sa langue, la petite Miki se laissa faire, l’aidant, jouant avec elle, se pressant contre son corps, ronronnant encore. Oh oui, la petite Miki adorait vraiment les baisers, et elle en profitait bien pour se blottir contre le corps de sa Maîtresse !
Le baiser finit par se terminer, et Miki se sentit tirée par Maîtresse Yuko, amenée près d’une table servant à la torture. Des sangles étaient incrustées dans les angles, et à hauteur de la ceinture, afin de pouvoir attacher l’esclave. Elle se sentit frémir. Miki adorait se faire battre, se faire humilier, insulter, prendre, attacher... Elle avait une envie phénoménale de jouir, mais le fait qu’elle n’ait pas désobéi, malgré son envie croissante, ne pouvait se comprendre que par son appétit fort pour la soumission, la domination, et l’obéissance servile. Cette souffrance qu’elle ressentait entre les cuisses, et qui était liée à sa frustration, avait quelque chose de fondamentalement jouissive. Elle adorait la ressentir, s’en délecter, l’apprécier. Elle se mit à espérer que Maîtresse Yuko voudrait bien la torturer, mais, au lieu de ça, sa Maîtresse s’assit sur le rebord de la table, délicieusement belle dans son uniforme en latex, et tira sur la laisse, amenant Miki sur ses genoux, pour baiser son nez. Les joues de Miki étaient déjà rouges, alors qu’elle haletait et qu’elle gémissait continuellement. Son sexe lui faisait mal, après tout. Elle sentit le bout des doigts gantés de Maîtresse Yuko heurter sa petite cicatrice, un souvenir de jeunesse, une bêtise qu’elle avait faite.
« Occupe-toi bien de ta Maîtresse ma petite salope, d'accord ? » demanda alors sa Maîtresse.
Miki se pinça les lèvres, et poussa un petit couinement lorsque les mains de Maîtresse Yuko pressèrent ses fesses. Elle se redressa d’un coup, avant que Maîtresse Yuko ne s’allonge sur la table. Si Miki avait donc bien compris, Maîtresse Yuko voulait qu’elle s’occupe d’elle. Un sourire naquit rapidement sur les lèvres de la petite neko, qui se rapprocha du visage de sa Maîtresse, posant chacune de ses mains sur ses seins.
« Miki la petite salope va s’occuper de sa Maîtresse, Miki le promet. »
Elle lécha alors sa nuque, tout en se blottissant contre elle, sa queue venant se déplacer pour s’enrouler lentement autour de l’une des jambes de sa Maîtresse, avant de se serrer dessus, de tirer, d’essayer de l’écarter. L’idée était surtout de la serrer, tandis qu’elle léchait sa nuque, remontant le long de sa joue. Ses mains libérèrent les seins de sa Maîtresse pour retourner tendrement se poser sur ses fermes épaules. Hommes ou femmes, tous battaient ou humiliaient Miki, mais, généralement, les femmes aimaient bien que Miki se frotte contre elles, et qu’elle fasse ce qu’elle faisait : un massage avec sa langue et sa bouche. Miki s’appliquait lentement, glissant sur la joue de sa Maîtresse, revenant à sa nuque, avant de se déplacer, filant le long de la lanière en latex, qu’elle lécha tout en descendant, jusqu’à arriver à hauteur de son entrejambes.
Cette position atteinte, Miki distribua quelques coups de langue sur son sexe, mais sans s’y attarder davantage, remontant ensuite le long de l’autre lanière, la léchant longuement, essayant de ne toucher que le latex, une texture qu’elle adorait tout particulièrement. Elle continua à remonter, ses mains se posant sur ses hanches, arrivant ainsi de l’autre côte de la nuque de sa Maîtresse, qu’elle lécha à son tour, gémissant et ronronnant en agissant.
« Maîtresse a un corps magnifique, Miki adorera le lécher. »
Elle se déplaça ensuite, et lécha l’un des bras de Maîtresse Yuko, suçant généreusement ses doigts, avant de filer sous sa ceinture, pour lécher désormais ses jambes, continuant encore à se frotter contre le latex, se rapprochant de ses pieds, pour les lécher également, avec une passion qui n’était nullement feinte. Miki s’appliquait, tout simplement.
Elle était née pour ça, et les soupirs de ses maîtres et maîtresses étaient sa seule réelle satisfaction, plus forte encore que le plaisir égoïste de jouir de son propre plaisir.
KATARINA
Katarina n’avait fouetté Yuka que pour la réveiller. Elle ne tarda pas à la relâcher, et, quand Yuka tomba sur le sol, son gag ball, mal fixé, sauta pour glisser sur le sol, couvert de salive. Katarina cligna des yeux, légèrement irritée, mais n’eut pas le temps de faire grand-chose d’autre qu’elle vit Yuka s’avancer à quatre pattes, en position de soumise. Elle lui baisa les bottes, avant de se mettre à quémander, une chose insupportable pour une Maîtresse, qui fit immédiatement se hérisser les poils de sa queue :
« Maî... Tresse, je veux... je veux plus de cette culotte, huuum... je veux sentir le fouet, directe-ment sur ma peau. HaaaAAAAaaa en-core... »
Katarina réagit immédiatement en soulevant l’un de ses pieds, et en l’écrasant sur la tête de Yuka, plaquant cette salope sur le sol.
« De quel DROIT oses-tu DEMANDER, salope ?! C’est MOI qui décide ce que JE fais de toi, sale pute !! »
Levant son fouet, Katarina l’abattit à nouveau, malmenant la robe de Yuka, avant d’agir. Après cinq ou six coups de fouet, elle se rua sur elle, et déchira la robe, se moquant bien du prix qu’elle coûtait. Il était fréquent que les vêtements des clients soient abîmés, et, sur ce point, le harem se couvrait en prévoyant, dans les contrats, une clause d’exonération de responsabilité. Les clients devaient légitimement s’attendre à ce que leurs vêtements soient déchirés. Autrement, il y avait des risques de fraude. Ceux qui participaient à une séance de sexe au harem devaient s’attendre à ce que leurs vêtements soient abîmés, et pouvaient donc, théoriquement, les retirer avant de participer, afin qu’ils soient rendus indemnes.
Il n’y avait pas de petits profits.
Yuka finit ainsi en sous-vêtements, et Katarina se releva. Elle avait légèrement griffé la peau de Yuka, laissant des marques rouges, des ecchymoses. Rien de bien profond, simplement des griffures superficielles. Katarina l’observait ainsi, prostrée sur le sol, couchée.
« Puisque tu aimes parler, petite pute, je vais te priver du droit à la parole... Tu vas devenir ma chienne. Si tu parles, je t’enferme dans une malle, je la ferme à double tour, et je viens te récupérer dans deux jours ! »
Elle doutait de pouvoir mettre sa menace à exécution, mais il s’agissait de donner le ton. Son pied frappa à nouveau le corps de Yuka. Elle lui botta le cul.
« Mais, pour l’heure, pour que tu sois parfaitement une chienne, il te faut une tenue un peu plus indiquée... Comme une queue. »
Katarina ôta donc la culotte de son esclave, et ne tarda pas à revenir avec un simple vibromasseur, un gode plutôt long, et qui avait la particularité d’être surmonté d’une longue queue touffue évoquant celle d’un chien. Elle se pencha vers Yuka, et la lui fourra dans les fesses. Katarina ôta ensuite son soutien-gorge, puis lui mit un collier de chien autour du cou, ainsi qu’une laisse, avant de tirer dessus.
« Avance, sale chienne ! »
Katarina tira un coup sec, et s’avança vers un coin de la pièce, avant de se retourner, croissant les bras.
« Fais tes besoins naturels contre le mur ! Qu’est-ce qu’une chienne qui ne pisse pas contre un mur ? »
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Yuko
Ayant amené sa petite Miki à elle, elle lui avait laissé un ordre assez vague mais qui pourtant, offrait un certain seuil de liberté à la neko. S'occuper d'elle. Le principe était simple mais l'ordre pas précis, pourtant, elle aurait espéré que cette dernière en profite un peu, même soumise, du moment que sa maîtresse ne lui avait pas donné l'ordre clairement, si elle s'occupe d'elle, elle reste dans le bon chemin. Cela dit, ce n'était pas désagréable de sentir sa langue lécher son corps de haut en bas, léchant délicieusement son cou comme sa poitrine et le reste de son corps. Katarina avait de la chance d'avoir une talentueuse petite soumise comme ça. Avec une futa, elle devait être sensationnelle cette petite super salope! Tirant doucement sur sa laisse pour la forcer à revenir auprès d'elle, elle lui caressa le visage avec une infinie douceur en la câlinant.
« Miki chérie, tu aurais dû prendre plus d'initiatives ma belle. Mais bon, comme tu as un coup de langue parfait, je vais accorder ton envie la plus chère. »
La gardant dans ses bras, Yuko échangea sa place avec elle, la laissant sur la table alors que sa tête se glissa entre ses jambes et là, même Miki savait ce qui allait se produire. Dans un grand coup de langue, elle lécha cette fente déjà humide même si elle était couverte et après cet avant-goût, elle étira la première couche de tissu qui ne montrait pas sa belle petite chatte sous du latex mais bien à l'air libre. Eh oui, il fallait bien l'évacuer cette mouille ou même son urnine si jamais elle a besoin d'aller aux toilettes. Avec une certaine envie, elle venait lécher cette belle fente, suçant ce petit bouton d'amour mais surtout ses lèvres si délicieuses qui lui criaient « Bouffe moi! » et face à une neko, les Karistal n'étaient que peu de chose. Ses mains continuèrent de caresser ses cuisses, même si elles étaient couvertes par sa tenue de super salope, ses cuisses chaudes étaient toujours aussi agréables à caresser et Yuko continuait de regarder Miki gémir de plaisir, la petite salope n'attendait que ça en réalité. Elle ne résista pas longtemps à sa langue et la petite pute se mit à jouir dans sa bouche, un véritable torrent de plaisir, son jus intime était un délice, comme beaucoup de nekos et de soumise alors les deux mélangés, c'était toujours un véritable délice.
Yuko se redressa et retourna auprès de sa petite salope, se frottant à elle comme un serpent pour retourner auprès d'elle en venant frotter son nez sur sa joue, sentant les marques de sa petite cicatrice sur son nez. Elle lui lécha la joue comme si elle léchait une crème glacée, son regard puait pourtant le coup fourré mais c'était bel et bien ce qui allait se produire. Maintenant qu'elle a bien traité sa petite Miki et qu'elle lui a léché la chatte bien comme il faut, il faut passer à la seconde étape où la belle petite blonde montre ses crocs. Reprenant la laisse bien en main, elle la tira vers elle en se relevant, restant à nouveau debout.
« Viens ma petite Miki, tu vas toi aussi me faire jouir bien comme il faut avec ta super-petite langue de pute. Tu me léchera et tu le feras bien et tu retiras ta tête d'entre mes jambes quand je l'aurais décidé, d'accord? Tu auras le droit de te doigter si ça peut te faire plaisir, le principal reste que ma petite chatte soit bien léchée par toi. »
Lui léchant les lèvres une dernière fois, elle relâcha sa laisse pour qu'elle puisse s'abaisser et commencer son travail. Yuko lui réservait autre chose, une petite surprise qui commencerait à faire tomber le masque de Yuko. Oh, elle pourrait battre Miki avec amour si c'est ce qu'elle veut mais pas tout de suite, elle a certaines envies à faire passer par la bouche de la super salope.
Yuka
La soumise des jumelles va être bien servi avec Katarina et pour ouvrir le bal, elle savait naturellement que demander quelque chose quand on est une esclave est presque un crime si on n'a pas la permission mais en bonne dominée qu'elle était, elle attendait bien sur d'être puni par elle. Même si elle reçut quelques coups, le fouet vint la caresser et lui faire oublier ses quelques misères, ainsi couvrir son corps. Ce n'était certes pas des baisers mais elle aimait quand même la sensation du fouet sur sa peau. Katarina était remontée, elle prenait son rôle au sérieux et ce n'était pas plus mal à dire vrai. Une fois sa robe belle et bien en lambeau, elle fut mise à nu par sa maîtresse avant de se voir priver de parole et avec une queue. Dommage, quitte à jouer les animaux, elle aurait préféré joué les petites chattes que les petites chiennes mais si c'est ce que voulait Katarina alors soit. Elle fit une grimace quand le gode la pénétra pour faire croire qu'elle avait vraiment une queue. Ce n'était pas la sensation qui était désagréable, loin de là mais Katarina avait confondu personne et objets pour le coup. Plus de douceur aurait été le bienvenu. Se voyant offrir un collier autour du cou, elle n'était pas trop dépaysée là-dessus. Puis enfin, venait son premier ordre et Yuka souriait en suivant la belle méchante neko à quatre pattes. Une neko démoniaque et dominante, c'est si rare mais si merveilleux.
Son ordre était simple mais assez faux. Une chienne pisse dans l'herbe, dans un coin certes mais pas contre un mur, ce sont les chiens qui agissent ainsi et jusqu'à preuve du contraire, elle n'avait rien entre les jambes. Elle était bien épilée et toute douce. Mais un ordre est un ordre. Elle acquiesça puisqu'elle ne pouvait pas parler et se mit à genoux, face au mur en se soulageant, laissant le petit jet jaune et jaune éclabousser et répandre une odeur assez désagréable – cela dépendant pour qui – et une fois son travail fini, elle s'allongea sur le dos, levant ses deux bras pour les remonter devant elle en laissant ses mains pendre, elle jouait vraiment le rôle de la chienne sur le dos qui observait sa maîtresse. Elle tirait même la langue en mimant un halètement, assez souriante malgré ce rôle ingrat. Mais chacun ses gouts, elle, elle aimait bien ça. Elle avait envie de sexe, d'être soumise mais sans parler, elle ne savait pas comment le dire en aboyant? Interdite de parler mais une chienne aboie quand même à moins d'être muette. Katarina pouvait se donner de grands airs de maîtresse pas contente, Yuka la trouvait que plus ravissante, autant par son caractère que par sa rareté.
« Wouaf wouaf ♥ »
Yuka commençait à se tortiller sur le sol, elle trouvait Katarina si belle et si sexy... vivement la suite.
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MIKI
Miki eut finalement droit à sa petite récompense. Allongée sur la table, elle vit Maîtresse Yuko se mettre entre ses jambes, posant ses mains gantées sur ses cuisses, avant de lécher son intimité. Miki se mit à ronronner, et elle était tellement heureuse, tellement soulagée qu’on daigne enfin s’occuper d’elle, s’occuper de son intimité, qu’elle en versa des larmes. Soupirant et gémissant, elle se tortillait lentement, sa mouille filant dans la bouche de la tête blonde. Oh, que sa Maîtresse s’occupait d’elle ! La petite Miki se sentait soulagée, incroyablement contente, et son orgasme fusa assez rapidement, tant elle était impatiente. En sentant la langue de Maîtresse Yuko sur son intimité, pressant sans arrêt son clitoris, elle finit par se lâcher, s’abandonnant en elle. Oh, si c’était bon ! Oh oui, elle l’avait tellement voulu, ce moment, elle l’avait tellement attendu ! Sa mouille fila dans la gorge de Maîtresse Yuko, et elle soupira de plaisir, un long frisson la traversant.
Sa Maîtresse se releva ensuite, et s’écrasa contre elle, léchant son visage. Miki ronronna, miaulant silencieusement, se frottant contre le beau corps de sa Maîtresse. C’était là tout ce qu’elle demandait, qu’on s’occupe d’elle, qu’on la soulage, qu’on la traite comme une poupée, une peluche. Oui, voilà comment elle voulait être considérée : comme une sorte de grosse peluche de sexe ! Maîtresse lui demanda alors d’agir, en se redressant. Miki se retrouva sur le sol, s’appuyant sur ses pattes arrière, la tête face à l’intimité de sa Maîtresse. Bien que la lanière en latex recouvrait son intimité, Miki pouvait la sentir. La délicieuse odeur de cyprine, une odeur succulente et onctueuse, qu’elle renifla, le nez proche du latex. Être une esclave, c’était vraiment tout ce que Miki souhaitait. Autour de son cou, elle sentait le collier, et elle aimait ça, qu’on la tire par là, qu’elle se sente poussée.
« Viens ma petite Miki, tu vas toi aussi me faire jouir bien comme il faut avec ta super-petite langue de pute. Tu me lécheras et tu le feras bien et tu retiras ta tête d'entre mes jambes quand je l'aurais décidé, d'accord ? Tu auras le droit de te doigter si ça peut te faire plaisir, le principal reste que ma petite chatte soit bien léchée par toi. »
Miki rougit légèrement, et hocha lentement la tête.
« O-Oui, Maîtresse... »
Il était impensable qu’elle utilise ses mains pour se doigter, car elle voulait caresser ce beau corps, pétrir ses belles formes, sentir son corps. Elle avança ses mains, et tira un peu sur la lanière, l’écartant, révélant l’intimité de la belle, et elle se pencha alors, avançant sa langue, la fourrant le long des lèvres intimes de sa Maîtresse. Son sexe était déjà bien trempé, et elle enfonça sa langue dans sa bouche, tout en envoyant chacune de ses mains sur les fesses de Maîtresse Yuko, les attrapant lentement. Sa queue se déplaça alors, et se fourra dans sa propre intimité, heurtant son clitoris. Miki avait pris l’habitude de le faire, de se caresser ainsi, en utilisant sa propre queue, et elle la remua lentement, la mouillant. Soupirant de plaisir, elle ronronnait, et aventura sa langue.
Yuko avait raison quand elle avait dit à Miki que la petite savait lécher. Lécher des corps, c’était ce qu’elle adorait faire. Combien de fois n’avait-elle pas léché les doigts et les mains de Maîtresse Mélinda ? Elle adorait ça, se servir de sa langue, surtout au contact du latex ou de la peau humaine. C’était parfait, tout simplement. Son nez frottait contre la peau de la femme, et sa langue continuait à glisser, longuement, délicieusement. Miki soupirait en s’activant, sans jamais s’arrêter, attaquant le clitoris de sa Maîtresse, titillant son bouton d’amour, lovant sa langue dessus, tout en continuant à peloter les fesses confortables de Yuko.
Elle ne s’arrêterait que quand cette dernière le lui dirait, conformément à sa demande, et, en attendant, elle buvait sa mouille avec plaisir.
KATARINA
La douceur n’était pas vraiment ce qu’il fallait attendre de la part de Katarina, quand elle était excitée comme ça. Un félin était aussi doux que sauvage, et, avec ses gènes démoniaques, Katarina n’allait clairement pas pouvoir se contrôler. Abandonnant toute forme de dignité, Yuka alla ainsi uriner dans un coin, avant de se coucher sur le dos, l’observant. Il était très certain qu’elle avait envie de sexe, et sa souffrance fit sourire Katarina, qui se tenait au-dessus d’elle, l’entendant aboyer, se tortillant, suppliant sa Maîtresse de lui accorder des câlins. Pour toute réponse, elle eut droit à un coup de cravache sur le bout du nez.
« Quelle insolence ! Tu es là, à tortiller du cul devant moi, à vouloir que je fasse ce que tu veux. Tu es une mauvaise esclave, Yuka ! Si tu n’es même pas digne d’être une sale chienne, comment veux-tu devenir une belle chatte ?! »
Elle s’assit alors sur elle, tout en écartant un peu sa culotte, et planta son intimité le long de ses lèvres.
« Écarte bien tes petites lèvres, Yuka... Si tu bois toute mon urine, j’utiliserais ma queue pour te soulager... »
Comme pour prouver ses intentions, elle remua sa queue, dont l’extrémité vint titiller le sexe de Yuka. Elle savait que cette dernière était passionnée par les nekos, et que se faire prendre par une queue de neko devait correspondre à un fantasme. Mais, pour l’heure, il fallait la soumettre, et continuer à l’humilier. Et c’est en suivant cette perspective que Katarina se mit à uriner dans sa bouche.
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Yuko
Qu'elle se débrouillait bien avec sa petite langue cette petite Miki. Yuko maintenait la laisse dans sa main en gardant sur elle mais elle n'aurait nul besoin de forcer quoi que soit, Miki était une bonne petite esclave qui allait lui obéir au doigt et à l'œil mais surtout. Cette petite chatte avait une langue et elle le faisait bien sentir. Passant le long de ses lèvres intimes, elle ne se privait pas d'aller plus loin et la Karistal dominatrice ne pouvait que l'encourager dans ce sens-là. N'avait-elle pas dit que sa mission était de la faire jouir avec sa langue? Avait-elle dit de ne pas la pénétrer avec? Non. Avait-elle dit d'user seulement du bout de sa petite langue de pute? Oh que non. Alors pour le moment, elle savait bien faire son travail et Yuko en remuait de plaisir avec ses petites mains sur ses fesses. Elle aurait dû demander la permission pour lui toucher les fesses mais chaque chose en son temps. Qu'elle se fasse plaisir car après tout, le plaisir était partagé dans un sens comme dans l'autre donc cette petite super chatte faisait bien son boulot. Elle déposa sa main de libre sur sa tête avec une petite caresse affectueuse pour la féliciter.
« Bien Miki... lèche-moi bien ma petite chatte... »
Remuant ses hanches, elle ondulait parfois dans de petits cercles et parfois mimait une fellation avec Miki en faisant des va et viens avec son bassin, gardant bien sa tête contre sa petite chatte bien douce et bien juteuse. Qu'elle savoure, ce n'était que le premier pas. Une gentille neko qui ne disait pas non à tant de plaisir. Yuko en gémissait sous les coups de langue de cette petite trainée de Miki. Mais quelle trainée! C'est ça aussi qu'elle adorait chez elle et les autres petites nekos en chaleur comme elle. Dommage qu'elle portait cette capuche sur sa tête, elle aimerait passer ses mains dans ses cheveux et avoir une bonne prise en la forçant à la lécher, même si elle ne sentirait plus sa langue. Katarina à du déjà lui faire subir ce genre de chose mais la domination était un plaisir aux multiples visages et aux multiples voies. Se mordant la lèvre inférieure, elle se retenait en joignant ses deux mains derrière la tête de Miki, la tenant bien contre elle, entre ses jambes.
« Lèche Miki, lèche-moi tout au foooonnnd!!!! Vas-y ma chériiiiiiiieeee!!! »
Sous cet appel à l'orgasme, la cyprine jaillit de ses lèvres intimes pour venir se loger dans la bouche de Miki, rendant Yuko euphorique sous ce poids en moins et ce bonheur qui grimpait en elle pour la rendre de plus en plus heureuse. Même calmé, son palpitant continuant de battre dans sa poitrine mais la neko gardait la tête entre ses jambes, devant encore la lécher jusqu'à ce qu'elle la retirer elle-même. Là était le jeu. Si Miki pensait qu'elle prolongeait le plaisir, ce n'était pas tout à fait ça. Il y avait un peu de ça, c'est vrai. Et faux. Tenant bien sa tête entre ses jambes, si elle levait les yeux vers Yuko, elle verrait que sa maîtresse avait un petit air sadique sur le visage. Elle a connu Yuko très tendre avec elle mais il est temps de pimenter les choses doucement...
« Maintenant ma petite putain... Tu vas recevoir ton deuxième cadeau alors tâche garder la bouche bien ouverte et de tout a-va-ler, ok? »
Non, cela n'allait pas être un second orgasme quoi que? Yuko va quand même prendre son pied et se sentir plus légère. Elle libéra enfin sa vessie en laissant l'urine s'échapper de ses lèvres intimes pour gagner ses propres toilettes privées et vivantes dans la bouche de Miki. Yuko soupirait de plaisir en gardant les yeux rivé sur sa chose. Va-t-elle en être écœuré ou au contraire adorer? Tant de mystère qu'elle voulait connaître. Ça pouvait déborder, elle ne lui en voudrait pas mais disons qu'elle doit boire le plus gros de ce qui se déverse dans sa bouche. Katarina a forcément dû passer par ce stade mais Yuko ne connaissait pas encore la super salope et elle voulait voir par elle-même où étaient ses limites. C'était à la fois ça et le fait de se vider un peu sans trouver les toilettes. Elle n'avait pas honte à faire ça, elle l'avait fait plus d'une fois. Urinophilie, ça ne la gêne pas mais la scato... non, c'est trop écœurant pour elle.
« Brave bête... Dis-moi si tu as aimé... et ce que tu désires... si je suis satisfaite par toi ma super petite salope de neko, je t'accorderais peut-être ton plaisir... qui sait? »
Mais avant ça, la réponse....
Yuka
Oui, elle était une sale petite chienne dépravée mais elle adorait être soumise, humilié avec cependant son degré de limite mais cette limite n'était pas encore franchie pour le moment. Yuko lui en a fait voir bien pire que de pisser contre un mur alors ça, ne n'était que le cadet de ses limites. Se roulant sur le dos en observant Katarina qui était si grande vue comme ça mais si belle, elle aboyait puisqu'elle était une chienne, elle voulait du sexe, c'est vrai. De l'attention aussi mais Katarina allait bien la faire attendre mais comme on dit, plus c'est long, mieux c'est. Recevant un coup de cravache sur le bout du nez, elle cessa de geindre et observa la belle neko démoniaque avec quand même un petit sourire. Se faire soumettre par une neko, quel rêve! Même si certaines arrivaient à jouer les dominantes chez elles, elles avaient toujours cet air soumise sur le visage ou en elle alors que Katarina ne risque pas de se sentir désolé si Yuka fait les gros yeux ou semble souffrir. Néanmoins elle avait raison... Devenir une belle petite chatte... Elle avait connu ça avec Sakura et Alice et elle espérait redevenir une neko un jour... Même si ce n'est que par voix, devenir la neko de Katarina lui faisant envie. Son gode queue dans le cul lui donnait envie de devenir une belle queue plus fine avec un poil plus soyeux et des oreilles de chat sur la tête et miauler de plaisir...
Voyant ses belles petites lèvres lui tomber sous le nez, elle ne s'attendait pas à devoir boire de l'urine mais là aussi, elle l'avait déjà fait avec sa sœur alors même si ce n'est pas ce qu'elle préfère, elle le veut! Elle ouvrait doucement la bouche avant de sentir le liquide chaud couler dans sa bouche. D'abord dégoutter en fermant les yeux sous la forte pression et le goût qui l'envahissait, elle ouvrait doucement les yeux en espérant faire plaisir à sa maîtresse en lui souriant de plus en plus, avalant le liquide jaunâtre dans sa bouche. De la pisse de neko... elle aimerait déjà plus que la pisse de sa sœur. Ce fut assez long de son point de vue car c'était quand même plus pénible que se faire uriner dessus... Oui, avec Yuko, elle avait déjà été enchainé au milieu d'une cage de neko sauvage avec une neko soumise qui avait reçu l'ordre d'uriner sur elle en premier lieu. Puis toutes les nekos la voulaient pour elle, pour marquer leur territoire alors elle reçut un véritable bukkake d'urine, une pluie dorée de toutes ses belles chattes en chaleur... Une fois sa mission finie, ayant léché les dernières gouttes. Elle resta dans sa position en tirant la langue comme une chienne, attendant une petite marque d'affection, même oral de la part de sa belle maîtresse démoniaque. Elle espérait un peu d'eau pour faire passer ce goût mais elle devra bien faire avec dans un premier temps.
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MIKI
La petite Miki était assurément dans le plus bel endroit du monde : l’intimité de sa Maîtresse ! La servitude était quelque chose de profondément inscrite en elle, et il n’y avait, sur ce point, pas le moindre doute. Elle était née pour servir, pour obéir, et avait été étroitement éduquée dans ce sens. Sans Maîtresse Mélinda, Miki serait totalement perdue. Elle avait de l’éducation, mais elle avait toujours été entourée. Ce harem, c’était sa maison, sa vie ; ses clients, sa plus grande joie. Elle léchait ce sexe avec une sorte de talent inné, se crispant sur les belles fesses de Maîtresse Yuko, ronronnant délicieusement, frissonnant en sentant contre son corps le contact agréable du latex. Elle adorait son uniforme, son petit costume, et ce dernier était taché par la cyprine. Avec sa queue de neko, elle la faisait glisser contre son sexe, cette dernière filant entre ses jambes pour heurter son point G. La queue s’enfonçait, et elle continuait à lécher, gémissant. Ses oreilles et ses joues frottaient les belles cuisses de sa Maîtresse, et, à chaque fois que cette dernière remuait son bassin, soupirait, gémissait, ou caressait ses cheveux avec sa main, Miki se sentait revigorée.
Il n’y avait qu’ainsi, à quatre pattes, agenouillée devant son supérieur, qu’elle se sentait épanouie, et, paradoxalement, libre. Là, plus aucun doute ne l’assaillait, plus aucune angoisse ne venait étreindre son cœur, elle pouvait librement penser au sexe, et s’épanouir en suivant les ordres de sa Maîtresse. N’était-ce pas là la plus grande des joies ? Sa petite langue remuait longuement, et elle sentait le plaisir venir... Vu la mouille qui filait dans sa bouche, elle savait que Maîtresse Yuko n’allait pas tarder à jouir ! Cette perspective l’emplissait de joie, et elle en frémit, s’activant davantage, continuant à heurter son clitoris, à presser le bouton d’amour, roulant dessus avec sa langue, haletant et gémissant, jusqu’à ce que, finalement, la femme ne se lâche. Maîtresse Yuko se vida en elle, et une plus forte concentration de mouille heurta les lèvres de Miki, qui alla boire ça comme du petit lait.
Maîtresse Yuko venait de jouir en elle, mais, curieusement, elle n’avait pas relâché la pression, ayant même plutôt tendance à se resserrer. Ce n’était toutefois nullement pour déranger Miki, qui continuait à lécher son intimité. Une femme pouvait jouir à plusieurs reprises, et, si Maîtresse Yuko voulait que Miki la fasse encore jouir, et bien, cette dernière s’exécuterait. Elle n’y voyait absolument aucun problème, et entendait bien continuer, mais Maîtresse Yuko finit par parler, attirant évidemment l’attention de la petite Miki :
« Maintenant ma petite putain... Tu vas recevoir ton deuxième cadeau alors tâche garder la bouche bien ouverte et de tout a-va-ler, ok ? »
Miki miaula faiblement, et ouvrit bien la bouche, rapatriant sa langue, afin de pouvoir mieux avaler. Elle savait ce que Maîtresse Yuko préparait, non pas parce qu’elle le sentait, mais parce que ce n’était pas la première fois. Miki avait déjà servi de toilette auprès d’autres clients, généralement suite à des fellations. Certains avaient toujours envie d’uriner, et le faisaient dans la bouche de Miki. Elle se complaisait dans la soumission, après tout, et donc dans l’humiliation... Chacun de ses maîtres et maîtresses avaient adoré uriner en elle, et elle le sentit aussi en ce moment. La prise de Maîtresse Yuko s’endurcit, et elle se vida en elle, urinant longuement, crachant un jet qui fila dans la bouche de Miki, éclaboussant cette dernière. Elle but toute cette urine sans rechigner, et Maîtresse Yuko la relâcha alors, avant de lui demander si elle avait apprécié.
« Mi... Miki a aimé, oui... Miki aime tout ce que sa Maîtresse lui fait subir, et, tout ce qu’elle désire, c’est que sa Maîtresse la trouve suffisamment utile pour continuer à jouer avec elle, à se faire plaisir, à la soumettre, et à l’humilier. »
C’était un ton empreint de soumission.
KATARINA
En face, c’était le même scénario qui se déroulait pour le second couple, de façon inversé : la jumelle buvait l’urine de Katarina, qui, comme Yuko, y éprouvait une sorte de joie forte. Uriner sur les gens, ou en eux, n’était-ce pas là la plus belle forme d’humiliation qui soit ? La plus belle preuve que l’individu en face de vous avait choisi d’abandonner toute forme de dignité ? Encore pire que les chiens... Et Yuka but son urine sans difficulté, sans se rebeller, sans opposer la moindre forme de contestation. Le gode continuait à lui labourer le cul, et l’idée de devenir, fictivement, une neko, semblait la ravir. Qui sait ? Elle devrait peut-être leur recommander d’aller voir certains mages-alchimistes talentueux d’Ashnard, afin de bénéficier d’élixirs de polymorphie pour se transformer en nekos. Ces élixirs étaient coûteux, mais qu’était-ce que l’argent, face à la réalisation d’un fantasme, d’un rêve ?
Quand Katarina eut fini d’uriner, elle se releva lentement, et vit Yuka sortir sa langue, comme une chienne affamée. Katarina lui sourit. Elle avait suivi la règle, et c’était à elle de s’accomplir. Une maîtresse pouvait revenir sur sa parole, mais Yuka méritait bien une récompense, après avoir goûté à la mouille de Katarina.
« Très bien, petite pute... »
Katarina retourna alors s’asseoir sur elle, à hauteur de sa bouche, et remua sa queue de neko. Elle la maîtrisait plutôt bien, et cette dernière ondula sur elle-même, avant de se soulever, pour s’abaisser, décrivant ainsi un arc-de-cercle, terminant sa course dans l’intimité de la femme. Elle remua lentement, et fit des mouvements classiques, de haut vers le bas, tout en faisant tourner sa queue sur elle-même, comme pour la faire vibrer. Ses poils se plissèrent sous l’effet de la mouille et du frottement contre les parois de la belle. La queue d’un neko était généralement une zone assez érogène, et Katarina se surprit à ronronner, basculant sa tête en arrière, en remuant son bassin sur la bouche de la belle, de haut en bas, glissant dessus, sa queue s’enfonçant, heurtant le clitoris de la belle, avant d’en ressortir, pour y retourner. Elle continuerait ainsi jusqu’à ce que cette dernière finisse par jouir.
« Haaa !! Hummm, oh, si j’aime ça, haa !! » soupirait Katarina, très excitée par ce qu’elle faisait.
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Yuko
Miki était un cadeau du ciel. La majorité des nekos sont des créatures soumises de par leur nature mais cette super-salope semblait sortir du lot. Peut-être simplement l'effet de nouvelle neko entre les mains de Yuko qui lui donnait cette impression mais quoi qu'il en soit, elle se plaisait à jouer avec elle. Elle n'était pas sienne – pour le moment – et c'est aussi pour ça qu'elle l'adorait. Non pas qu'elle se lassait des nombreuses nekos sous son toit mais comme on dit, l'herbe est toujours plus verte ailleurs. Elle comptait bien tout faire pour les avoir ces deux-là, de gré ou de force... C'est définitivement trop simplet et évident mais les Karistal rêvaient d'avoir à leurs pieds des milliers de millions de nekos. Un harem de neko rien que pour elles. De toutes sortes, jeunes, à forte poitrine, furry, douce, sauvage, vierge, timide et ainsi de suite. Si Mélinda pouvait leur proposer un tel rêve, elles seraient prêtes à signer pour lui léguer leurs âmes mais ça n'était pas le cas, heureusement et malheureusement. Jouir dans sa bouche, uriner dans sa bouche, se faire lécher par elle, ce n'était que trois ratures sur sa longue liste des choses à faire avec elle. Pas sûr qu'elles aient autant de temps devant elles mais tant que personne ne venait pas réclamer leur présence pour parler ou voir certains point avec Mélinda, elles ne vont pas quitter cet endroit, sauf pour manger peut-être et encore, elles n'avaient pas vraiment faim et à part croquer ses délicieuses chattes, les Karistal ne veulent pas grand-chose.
Observant sa super-salope entre ses jambes, elle semblait toujours contente celle-là. Heureuse d'être soumise et humiliée, elle était faite pour Yuko, pour devenir son jouet. Yuko adore briser des jouets résistant pour en faire des nekos comme ça mais des jouets déjà soumis et obéissants, c'est aussi bon comme ça. Caressant sa joue avec suivant la marque de sa cicatrice avec son pouce, elle lui souriait en tirant doucement sur sa laisse pour la redresser en venant lui embrasser son petit nez. Elle retourna Miki pour qu'elle puisse observer Katarina et Yuka, la neko coller contre Yuko. Cette dernière venait lui caresser doucement la poitrine, belle et généreuse en frottant sa joue contre la sienne.
« Regardons un peu à quoi joue la belle Katarina et Yuka, tu veux? Ces deux-là vont vite nous exciter, je le sent. Elles sont belles n'est-ce pas? On jouera toutes ensemble après mais pour le moment, je te veux rien que pour moi ma belle petite putain. »
Yuko continuait de garder ses mains bien agrippées sur sa poitrine en gardant sa sœur et la neko démoniaque à l'œil.
« Nouveau jeu petite super salope de Miki. En les observant, je veux que tu me dises ce que tu aimerais recevoir comme coups et sévices et crois-moi, la belle petite pute que tu es va adorer souffrir de ma main~♥ »
Yuko était rêveuse en y pensant, elle fantasmait presque dessus alors que la pression de ses doigts se refermait sur ses deux petites bosses sur la combinaison de Miki et la voix de Yuko était de plus en plus mielleuse.
« Si Miki n'a pas d'idée, moi j'aimerais bien te déculotter et te fesser. Ma main en latex s'abattant sur cette petite paire de fesses si douce et si souvent maltraité. Rien que d'y penser... Rhaaaaooouu! Si je serais une futa, j'aurais déjà la gaule et elle serait bien loger dans ton petit cul, crois-moi! »
Mais les deux petites perverses pour le moment s'amusaient à en observer deux autres.
Yuka
Du côté de la soumise des jumelles, Yuka se comportait comme une chienne en levant ses avant-bras et en quémandant, attendant fièrement sa récompense qui ne tardait pas arrivée sous le regard ravi de sa Maîtresse. Les plus dominants peuvent tenter de masquer leur joie mais en tant que soumise et dominante – cela lui arrive – elle sait déceler la moindre étincelle de satisfaction chez les autres quand elle est soumise. La queue de la belle Katarina vint doucement la pénétrer avant qu'elle ne lui offre aussi sa belle petite chatte. Yuka en aurait bien miaulé de plaisir mais elle était une chienne pour le moment et pour lui montrer toute sa joie, elle ne pouvait pas faire mieux que la lécher en savourant chaque coup de langue dans cette antre humide autant que cette queue qui allait et venait en elle, comme ce gode qui restait encore vibrant dans son petit trou.
Elle se plaisait à la lécher, récoltant la mouille de la neko démoniaque, léchant encore et encore en savourant chacune des gouttes qui venaient dans sa bouche alors que son intimité mouillait de plus en plus grâce aux bienfaits de la neko. Elle serait tentée de venir passer ses mains au moins sur ses belles cuisses mais elle n'en avait pas le droit, elle se contenta tant bien que mal de l'aider à se soulager en en profitant aussi un maximum de son côté. Quand vint le moment de jouir, elle ne se retenait pas le moins du monde. Une queue de neko en elle, ce n'était pas une première pour elle mais dieu qu'elle aimait ça! Elle gémissait un petit moment en sentant l'orgasme et cette queue en elle qui était toujours aussi bonne... puis elle ouvrit les yeux une fois la vague passée en s'extirpant de ses cuisses, sortant sa langue pour de nouveau avoir l'air d'une chienne. Difficile à lui faire comprendre dans cette position qu'elle voulait jouer à autre chose mais Katarina était celle qui décidait après tout alors quand bien même elle pourrait le lui faire comprendre, il faut son accord.
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[Remarque : dans la réponse ci-dessous, Katarina met un gode sur Yuka... Cependant, il me semble l’avoir déjà fait dans mes précédentes réponses, mais je ne m’en souviens plus. Donc, si c’est effectivement le cas, il faudra juste retenir que Yuka a un gode dans les fesses ^^]
KATARINA
Katarina ne manquait généralement pas d’inspiration quand il s’agissait de corriger des petites putes, qu’elles aient des oreilles de neko ou non. Ce n’était pas la première fois que des clients faisaient appel. Le harem Warren était apprécié en ce qu’il garantissait la confidentialité de ses clients. Un juge impérial pouvait ainsi se faire fouetter le cul le soir avant de rendre, le lendemain, une importante décision. Si on apprenait qu’il aimait se faire attacher par une neko-démone, la fuite n’émanerait certainement pas du harem, qui fonctionnait en circuit fermé. Les esclaves de Mélinda savaient très bien qu’elles ne devaient pas en parler aux clients, et se contentaient de le dire entre elles, quand elles le disaient entre elles. Leur passion et leur silence, voilà deux éléments, deux piliers qui avaient assuré la renommée grandissante du harem.
Pour en revenir au moment présent, Katarina avait donc souvent battu d’autres personnes, et savait y faire. Cette pièce était sa chambre de plaisir, et elle se contentait de remuer sa queue dans l’intimité de Yuka, simplement pour lui laisser le temps de réfléchir à la suite. Il était évident que Yuka allait encore se faire sévèrement battre, non seulement parce que Katarina le voulait, mais aussi parce que sa cliente le désirait aussi. Pour elle, Yuka et Yuko n’étaient rien de plus que des clients, similaires à ce juge ashnardien qui venait se faire fouetter le cul. Katarina continua à remuer sa queue pendant encore quelques secondes, voyant la langue pendante de Yuka... Puis elle la retira alors, au bout d’un moment, sans prévenir.
« J’espère pour toi que tu as eu le temps de jouir, ma salope, car je ne t’en laisserais pas l’occasion avant un petit moment... »
Katarina avait une idée, et elle se releva, l’extrémité de sa queue dégoulinant de mouille, ses poils plaqués entre eux. Elle ordonna à Yuka de se mettre à quatre pattes, et alla chercher dans ses affaires, pour sortir un gode avec une queue dans le dos, évoquant celle d’un chien.
« Voilà qui sera parfait pour toi... »
Un sourire vorace éclaira ses lèvres. Elle se retourna vers Yuka, posa une main sur son cul, afin de l’écarter, puis enfonça sèchement le gode en elle. Les fesses de Yuka firent évidemment une petite résistance, mais, comme Katarina s’y attendait, il ne fut pas trop difficile d’enfoncer ce gode en elle. Ses parois internes étaient déjà dilatées, signe que son fondement avait déjà du servir. Katarina enfonça le gode, puis donna une grosse claque sur le cul de Yuka, avant d’aller ensuite lui mettre un collier avec une laisse,e t de la tirer par cette dernière.
Voyant que Miki et Yuko semblaient les observer, Katarina réfléchit brièvement à l’idée d’aller les voir, et finit par considérer cette solution. Faire plaisir aux clients avant tout... Elle s’avança alors vers elles, et vit Miki rougir légèrement. La neko se dandinait sur place.
« Tu vas lécher les pieds de ta sœur, ma salope... Montre-lui à quel point tu es une chienne dévouée et obéissante. Lèche et embrasse ses collants. Tout de suite, pétasse ! »
Miki, quant à elle, avait les joues légèrement rouges, mais il n’appartenait pas à Katarina de lui dicter des ordres. Elle respectait les consignes fixées par les clientes, et s’écarta donc de Yuka. Elle en profita pour aller attraper un chat à neuf queues, et s’en servit pour ponctionner le corps de Yuka, afin de la motiver à travailler davantage. Il était manifeste que Katarina prenait réellement son pied quand elle opprimait ainsi les gens autour d’elle.
Elle ne descendait pas des démons pour rien, après tout !
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[HS: J'ai éclipser le moment de la « queue » puisqu'elle en avait déjà une quand elle a commencer à être la chienne ^^]
Yuko ne se faisait pas de soucis, elles allaient s'amuser toute ensemble mais pour le moment, elle ne voulait croquer à pleine dent dans le gâteau, elle voulait le grignoter doucement, petits morceaux après petits morceaux pour en savourer le plus possible. Ses mains caressaient la jolie Miki, observant toutes les deux Yuka et Katarina qui jouait ensemble. Elle connaissait comme personne et elle l'avait vu jouir et prendre son pied dans ce début d'humiliation. Soyons réaliste, tout ça, ce n'est que le commencement. En quoi boire de la pisse et se faire traiter de chienne était une insulte pour elle comme pour Miki? Ce ne serait que les bases, comme un baiser dans les préliminaires avant de faire l'amour. Tout cela restait soft pour elle. Katarina pourrait bien s'amuser avec elle mais sa jumelle lui avait déjà fait tellement subir dans leur vie, il lui sera difficile de faire quelque chose de nouveau sans être trop hard. La voilà maintenant avec une laisse et un collier, rien de plus classique pour sa sœur. Elle n'en avait pas aujourd'hui car elles avaient un rendez-vous important avec Mélinda, sans ça, elle aura déjà son collier en cuir avec sa médaille et sa laisse autour du cou.
La belle neko au regard de démon se rapprocha d'elle avec sa jolie chienne, lui donnant un ordre amusant alors que Yuko tendait sa jambe, amusée de voir sa sœur avec une autre maîtresse qu'elle.
« Tu sais bien la dresser cette petite putain à ce que je vois... Ouh, ça m'excite, viens donc me faire un petit baiser ma belle Katarina! »
Elle lui attrapa le poignet pour se rapprocher d'elle et l'embrasser par-dessus l'épaule de Miki, c'était volontaire. Sa chose ne pouvait rien faire sans son autorisation et elle se trouvait entre ses deux maîtresses. Yuko partagea un lent et doux baiser volontaire pour faire durer la torture de la petite super salope. Malaxant sa belle poitrine, elle rompta le baiser en provoquant Miki via des insultes envers Katarina car mine de rien... elle en était une aussi...
« Hum... tu es une belle petite salope aussi... Attend un peu que je croque ton petit cul d'amour toi, mrrrraouw~ »
Bah quoi? Cette chatte était très sexy en cuir elle aussi. Yuko agita sa jambe pour repousser sa sœur.
« Emmène-donc cette pétasse jouer avec toi, moi, j'en ai une qui doit recevoir sa fessée... » Elle lui lécha la joue avec la cicatrice avant de reprendre. « Elle est trop mignonne pour pas frapper son petit cul qui m'excite! »
Yuko avec une fixette sur les culs mais c'était si plaisant à croquer et à taper, que dire de plus? Elle retourna Miki pour lui faire face et elle l'embrassa à pleine bouche, fourrant sa langue dans sa bouche, laissant ses mains parcourir son dos, venant agripper ses petites fesses. A voir sa petite super salope, elle avait une envie qu'elle allait lui proposer pour le moment et non lui imposer pour le moment.
« Délicieuse petite trainée... tu voudras bien retirer ton masque et sa capuche pour moi après? J'aimerais bien voir ta petite bouille sans tout cela. Je voudrais juste embrasser Miki, pas la super salope, hum? Tu pourras faire ça pour moi après? »
Yuko abandonna ce ton autoritaire, venant frotter son nez contre le sien.
« Mais avant cela ma petite Miki, je dois te fesser ma mignonne... »
Elle déposa un petit baiser sur ses lèvres en prenant sa laisse alors qu'elle vint s'installer sur un tabouret en tapotant ses cuisses pour que Miki s'allonge sur ses cuisses. Une fois chose fait, elle caressa d'abord cette partie moelleuse et tendre.
« Si je retire mon gant après, tu retires le bas de ta tenue au moins que je puisse bien claquer ton petit cul? »
Mais plutôt que d'attendre une réponse, elle commença déjà à abaisser sa main rapidement sur son cul. Dieu que c'était bon! Et ce n'était que le début surtout. Elle comptait bien la fesser jusqu'à ce que sa langue puisse lui faire mal si jamais elle lui lèche ce joli petit cul de neko! Le sourire bien sadique, Yuko allait continuer encore un certain temps comme ça.
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MIKI
Après la courte apparition de Katarina, qui retourna ensuite s’occuper plus fermement de Yuka, à tel point que les deux femmes s’isolèrent dans une pièce annexe, Miki se retrouva seule avec Yuko. Venant récemment de jouir, la neko se sentait un peu mieux, mais elle avait tellement souffert, tantôt, que son état était encore très instable, très précaire. Elle ressentait toujours en elle cette soif intime, une soif qui venait la titiller, la harceler, toujours là, presque constante. Les choses se compliquèrent quand Yuko vint à l’embrasser. Miki gémit de plaisir en sentant les belles lèvres de sa Maîtresse, qui lui demanda ensuite si elle était prête à retirer son masque et ses lunettes. Miki, rougissant légèrement, hocha légèrement la tête.
« Miki endossera tous les rôles que sa Maîtresse veut... » souffla cette dernière.
C’était aussi simple que ça. Fidèle et dévouée, Miki comptait bien obéir à chacun des fantasmes de Maîtresse Yuko, parce qu’elle était tout simplement sa Maîtresse. Mais, pour l’heure, Maîtresse Yuko n’avait qu’une chose en tête : fesser Miki. Tenant la laisse, elle s’assit sur un confortable tabouret, et Miki, à cette idée, se sentit mouiller sur place, et un ronronnement vint trahir le plaisir instantané qu’elle reçut à l’idée d’être battue. Miki n’était effectivement pas une femme très normale, car l’idée de se faire battre, loin de la réfréner, ne faisait que l’exciter solidement. Impossible de l’expliquer rationnellement, elle trouvait juste ça... Bandant. Elle avait à nouveau le feu au cul, et se rapprocha rapidement, sa queue poilue remuant joyeusement dans son dos. Miki vint ainsi se poser sur les confortables cuisses de la femme, savourant l’odeur du latex, ainsi que de cette belle peau, et posa ses jambes sur le sol, bombant bien son petit cul, afin de l’exposer aux gifles de sa Maîtresse.
Cette dernière lui proposa alors de retirer son bas, d’exhiber clairement ses fesses, tandis qu’elle-même retirerait ce gant si élégant, afin de pouvoir mieux la battre, de sentir mieux la douleur. Miki en frissonna, poussant un petit miaulement, mais, avant même qu’elle ne puisse répondre, Maîtresse Yuko la gifla. Elle claqua ses fesses, comme si elle était la maman d’une mauvaise fille qui venait de faire des bêtises, et qui méritait bien une petite correction.
« Nyyyyyyyyyyyyuuuu !! » miaula joyeusement l’intéressée en sentant sa queue se redresser.
Tout son corps en frissonna, et elle sentit ses griffes tirer sur ses gants, caressant la peau et le collant de la femme. Miki ne pouvait voir le sourire de la femme, mais, en revanche, elle sentit ses mains s’abattre en rafale sur son cul. Encore et encore. Elle remontait, et Miki sentait le sifflement de l’air, les quelques secondes entre le moment où la douleur traînait sur son cul, et celui où la douleur éclaterait. Elle se préparait mentalement, serrant un peu les fesses, appréhendant et sollicitant ce moment. La fessée venait ensuite, forte, et Miki couinait à chaque fois, ses ronronnements vibrant dans l’air.
Les claques s’abattirent pendant de longues minutes, sans arrêt, Maîtresse Yuko semblant prise dans une véritable frénésie, y allant à chaque fois de plus en plus fort. À chaque fois, le corps de Miki commençait à remuer d’avant en arrière, et elle miaulait, sa salive coulant parfois sur la jambe de Maîtresse Yuko, son corps se frottant contre elle, glissant sur sa peau, se frottant contre le tabouret. Elle était ans la peau de la petite fille battue par sa mère, de l’esclave fouettée par sa Maîtresse, et elle ne pouvait pas nier détester ça. Au contraire, même.
« Haaaaaaaaaan-Haaaaaaaaaaaaaaaaaaannn !! »
La queue de Miki remuait dans tous les sens, fouettant l’air, et, à force de se frotter contre la cuisse de sa Maîtresse, elle poussa un long miaulement. Sa combinaison était encore en train de s’humecter, et l’orgasme finit par venir. Elle jouit tandis que le bas de sa combinaison se mit à glisser, dévoilant alors ses fesses, deux petits bouts qui commençaient à rougir sous le contact des doigts de Yuko. On pouvait alors entendre, dans la pièce, le bruit des claques de Yuko sur sa chair, surmontant les ronronnements intenses, les gémissements de plaisir, et les couinements de douleur que Miki était en train de pousser.
KATARINA
« Là, ma belle, là... Ce ne sera plus très long, maintenant... Il fallait que je t’habille correctement pour la suite de notre aventure... »
Le ton qu’employait Katarina était à la fois moqueur et malicieux. Elle avait emmené Yuka à part, afin de n’être plus dérangée par sa sœur, et avait changé les règles. Yuka n’était plus une petite chienne, elle était désormais une victime, une proie. Katarina l’avait emmené dans ce qu’elle appelait son cabinet personnel, et Yuka y était entrée avec un bandeau noir autour des yeux. Cette pièce était bien plus petite, et Katarina avait fermé, derrière elle, la porte, puis avait ordonné à Yuka de s’asseoir sur un confortable fauteuil en cuir noir. Katarina lui avait ensuite mis un gag ball sur les lèvres, puis avait vérifié que le bandeau avait été bien fixé, et avait commencé à s’habiller, puis à la déshabiller, et à la rhabiller ensuite
Son cabinet était appelé ainsi parce qu’il fonctionnait comme un cabinet, avec un fauteuil pour ausculter la patiente. Un examen sexuel intense, qu’elle réservait aux clients qui arrivaient à avoir ses bonnes grâces. Katarina prenait tout son temps, faisant monter le suspens. Elle attacha Yuka en lui ordonnant de lever les bras, nouant ses poignets ensemble par de solides cordes, après avoir recouvert ses mains et ses avant-bras de longs gants noirs en latex. Elle avait ensuite relevé chacune de ses jambes, les bloquant à l’aide de liens et d’attelles. Elle avait auparavant recouvert ses jambes de longs collants noirs, également en latex.
Maintenant, Katarina s’était lentement déshabillée, faisant claquer ses gants noirs en les enfilant, laissant ainsi le soin à Yuka de travailler son imagination. Katarina se retourna ensuite, et observa sa proie, une fois qu’elle l’avait habillé.
Yuka était plutôt belle ainsi (http://img102.xooimage.com/files/4/2/e/captive-45a634a.jpg). Elle avait retiré son gag ball pour un bandeau avec un gode noir, et l’avait habillé à l’aide de vêtements en latex. Elle-même avait choisi des vêtements appropriés : des gants, des collants, et un corset noir en latex, et tenait dans la main une petite télécommande.
« Prête ? Ceci n’est que le commencement... »
Elle appuya sur la télécommande, et le vibromasseur planté dans l’intimité de Yuka se mit à vibrer rapidement, rejoint par le vibromasseur planté dans son fondement. C’était un dispositif tekhan, qui valait une petite fortune sur le marché noir, mais que Katarina avait réussi à se procurer, grâce à l’assistance de Maîtresse Mélinda.
Les deux vibromasseurs émettaient également des impulsions électriques, et Katarina enclencha ce mode, répandant dans le corps de la femme des ondes électriques, afin de la torturer un peu.
Elle était là pour se faire torturer, après tout.
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Yuko
Quelle adorable chatte! Elle voulait être punie mais elle a trouvé la bonne personne pour cela. Yuko n'aurait pas été contre un fauteuil bien confortable mais le tabouret fera l'affaire alors que la belle s'installait sur ses cuisses. Brave bête. C'est vrai que Yuko était gourmande, un peu trop même au point où la pauvre petite chose n'avait pas le temps de se déculotter qu'elle lui souhaitait une bonne séance en giflant ce cul. Que c'était bon! Une fois a suffit pour lui faire sentir un frisson dans tout le corps. Voilà qui était délicieux. La Karistal ne se priva pas de ce plaisir en faisant retomber sa main plus d'une fois sur ce petit cul, elle faisait raisonner le bruit de sa main claquant ce petit cul en cuir, certes le fouet ou autre martinet avait leur charme mais sentir la chair vibrer sous sa main, diable, ça n'avait aucun prix! Et ces petits cris, ses petits miaulement, si cela n'est pas un avant-goût du paradis alors Yuko veut bien tout jeter à l'eau. Ça c'est délicieux! Plus sa main tombait sur son petit cul et plus elle n'y allait pas de mainmorte en commentant le tout surtout.
« Oh ce petit cul, je l'adore déjà! C'est à QUI ce petit CUL qui me fait MOUILLER, heiIIIINNNN! C'est MON petit CUL à MOI! QUE-JE-L'AIME-CE-PUTAIN-DE-PETIT-CUL-D'AMOUR!!! »
Sur la fin, elle n'avait fait aucune pause, laissant sa main gifler ce putain de petit cul tout mignon. Elle fit une pause pour reprendre son souffle en laissant sa main respirer. Elle la sentait déjà plus chaude, un peu fatiguée de la fesser mais quelle sensation grandiose. Même son petit cul était mis à nu. Mais elle ne frappait pas de suite ce petit cul divin. Elle le caressa avec sa main endolorie. Quittant même ce ton autoritaire pour redevenir toute douce.
« Ce si beau petit cul... Je suis sûre que Katarina adore le frapper mais je la comprends. Il est tout doux, on pourrait surement s'en servir comme d'un petit oreiller, kuhu... Mais la jolie petite Katarina n'est pas ici alors ce beau petit fion est à moi, d'accord~? »
Ses petites caresses commençaient à pincer cette chair moelleuse, elle aurait presque envie de croquer dedans à pleines dents. On dirait deux belles petites brioche toute chaude et délicieuse. Yuko s'amusait à caresser ses petites fesses, tantôt du bout des doigts, tantôt comme n'importe qui, délicatement avec douceur. Puis il fallait reprendre.
« C'est mon petit cul à moi~ c'est le petit cul à maman ça~ et Miki a été une vilaine petite chatte~ hein~? »
Elle leva bien son bras avant de l'abattre de toute sa force pour vite la remettre dans le bain, même les deux autres ont dû l'entendre celui-là. Elle reprit de plus belle en conservant ce rôle de maman qui punit sa fille car ça lui plaisait bien. Miki pourrait bien l'appeler « Maman » qu'elle adorait ça. Avoir une si belle neko comme fille... ça risque de la faire passer inceste mais vu ce qu'elle fait à sa sœur déjà... Enfin, c'est une chose différente d'avec une enfant. Yuko continuait de l'abattre encore et encore, sans arrêt, laissant juste sa main parler pour elle et les miaulements et gémissements de Miki avec. Finissant sur une dernière fessée, Yuko reprit sa respiration en écartant doucement sa main pour l'observer. Aussi rouge que les fesses de Miki, elle tremblait toute seule. Encore une petite consolation d'un travail bien fait. Elle caressa doucement la surface chaude de son cul en parlant d'une voix douce.
« Assied toi sur mes cuisses ma petite chatte, Maman voudrais te parler. »
Oui, elle continuait d'endosser ce rôle. Si elle veut, elle peut laisser son petit cul dans le vide, ça ne la gênait pas. Elle tendait doucement ses mains vers son visage, retirant son masque avant de doucement abaisser sa capuche pour la voir sans son rôle de super-salope. Elle lui sourit en lui caressant le visage de la main gauche, la droite... elle ne sentait plus rien. Miki avait les cheveux courts mais elle restait très mignonne.
« Tu es vraiment très très mignonne mon petit chaton... tu veux me faire plaisir ma belle? »
Elle attendit sa réponse avant de lui prendre doucement sa main et la coller sur sa culotte en latex, la faisant passer dedans alors que son petit sourire se faisait plus pervers.
« Tu vas me faire jouir avec tes petits doigts mais pas seulement. Je veux que tu jouisses en même temps que moi et pour finir... » Yuko tira sa langue pour doucement lui lécher la joue. « Tu utiliseras aussi ta langue mais pour embrasser comme une petite chatte, pas de baiser, juste faire passer ta langue sur moi, d'accord? Tu es si vilaine que j'en ai mal à la main à cause de ton magnifique petit cul alors... c'est normal que tu me demandes pardon de cette façon, non? »
Naturellement, elle en fera autant car elle raffolait de ce genre de petit baiser de chatte.
Yuka
Pour Yuka, c'était tout aussi drôle mais elle n'avait pas tant de liberté, après avoir quitté sa soeur et Katarina, la demoiselle avait eu les yeux bandés par la neko dominante et conduit dans un autre endroit. Sa robe en lambeau était laissé derrière elle alors que sa nouvelle maîtresse l'habilla dans une nouvelle tenue avant de l'installer. Elle ne voyait pas la façon dont elle était accoutrée mais elle avait une petite idée. Ayant l'habitude de ce genre de tenue, elle n'était pas du tout gênée. Installée sur un drôle de fauteuil, elle laissait Katarina faire ce qu'elle voulait d'elle. Elle l'entendait elle aussi s'habiller en faisant grincer le cuir et rien que cela l'excitait. Comment était sa nouvelle maîtresse? Une belle tenue en latex? À peine habillé avec le minimum? Et du cuir noir, rouge? Comment savoir? C'était dommage de ne rien voir mais cela laisse de la surprise. Installée de façon à ne pas pouvoir tricher, elle ne pouvait de toute façon pas faire grand-chose avec ses pieds mais elle ne pouvait rien faire non plus avec ses mains, elles étaient liées ensemble ai-dessus de sa tête.
Bien vite Yuka trouva de nouveaux jouets en elle, pour chaque orifice, le vagin, l'anus et même la bouche... jusque-là? Si encore ce serait un vrai ou au moins un gode ceinture mais... non? Tant pis, elle prend quand même. Elle n'a pas le choix de toute façon. Les jouets se mettaient en route, faisant remuer Yuka sous plusieurs gémissements mais elle ne pouvait rien dire à cause de ce qui se trouvait dans sa bouche. Sa bave s'accumulait peu à peu dessus en laissant le tout couler doucement le long de son menton ou même sur le gode alors que le plaisir s'immisçait de plus en plus en elle. Même à travers les décharges qu'elle recevait, Yuka en était contente de ça, c'est juste le problème de la vue. Ce qu'elle aimerait voir la neko fière d'elle ou même la mépriser avec son doux regard de haine. Elle était si belle et si rare. Ce genre de neko, ça ne cours pas les rues comme tout le monde sait. Elle remuait de plus en plus alors que la mouille coulait elle aussi de plus en plus. Ce qu'elle aimerait voir Katarina profiter d'elle, la prendre ou même la narguer. Ne rien voir avait des avantages mais surtout des inconvénients pour cette jeune femme.
Katarina devait s'en douter mais Yuka remuait pour l'aguicher, elle voulait la sentir retirer tous ses objets ou au moins son bandeau pour la prendre ou même la caresser, la lécher... Diable, qu'elle adorerait voir cette neko profiter de son corps si impuissant actuellement!
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MIKI
Douloureusement, les claques continuaient à s’abattre sur le cul de la neko. Toute la soumission de Miki était en train de s’exprimer en ce moment, un long entraînement, qui remontait à ses premières années. Maîtresse Mélinda l’avait bien formé, ce qu’on pouvait voir dans la manière dont elle se faisait fesser. Maîtresse Yuko alternait entre des caresses tendres sur son postérieur, comme pour panser sa souffrance, suivie de nouvelles claques. Elle lui offrit notamment une gifle phénoménale, qui remonta dans tout le corps de Miki, la faisant hurler de manière suraiguë. Non, maîtresse Yuko ne la ménageait pas, mais Miki n’en demandait pas plus. Elle était Miki la super-salope neko. Et Miki tenait fièrement à ce rôle. Elle haletait et gémissait, ronronnant sur les jambes de Maîtresse Yuko, miaulant de joie. Elle avait très mal aux fesses, n’en doutez pas, mais, loin de la réfréner, de la stigmatiser, cette douleur la libérait, l’amenant dans des pics de plaisir particulièrement élevés. Oh oui, elle adorait ça ! Elle en raffolait, de chacune de ces claques !
Maîtresse Yuko la giflait en s’appelant « Maman », et, naturellement, Miki, qui n’était pas idiote, comprit où elle voulait en venir, à quel autre jeu pervers sa cliente et Maîtresse désirait se livrer. La petite Miki était comblée. Elle avait déjà été battue et humiliée plein de fois, ayant eu droit à satisfaire quantité de fantasmes pervers, notamment en se faisant uriner dessus dans des toilettes spéciales, où elle était prise par une dizaine d’hommes en même temps, pendant des heures et des heures, si ce n’est des jours d’affilée. Avec Maîtresse Yuko, c’était différent... Et mieux.
*Non, se corrigea-t-elle, ce n’est plus Maîtresse Yuko, mais Maman Yuko.*
Maman Yuko la giflait et la caressait, l’insultant entre-temps, donnant encore des gifles, douloureuses et sèches.
« Oui, Maman... Miki est une vilaine petite fille, très... Haaann.. Très vilaine, très vilaine ! »
L’appeler ainsi ne la dérangeait pas. Elle n’avait jamais vraiment connu ses parents, et sa conception de la famille était donc très spéciale, très virtuelle. Elle n’arrêtait pas de se faire battre, pendant de longues minutes, sans relâche, la main remontant et s’abaissant. Ce n’était pas la première fois qu’on la fessait, mais il fallait bien admettre qu’elle adorait littéralement ça. Cette humiliation, cette souffrance, ce sentiment qu’on s’occupait pleinement d’elle... Comment ne pas le savourer ? Miki gémissait et soupirait, et, quand Maman Yuko lui demanda de se redresser sur ses cuisses, Miki obtempéra.
« Oui, Maman. »
Maman Yuko lui retira alors le haut de son masque. Miki soupira, gémissant en sentant les doigts gantés de Maman Yuko s’enfoncer contre elle, glissant contre sa peau. C’était vraiment très agréable, cette sensation d’être une peluche, un jouet malléable entre les doigts de sa Maman. Sa queue caudale remuait joyeusement, et Maman put voir son visage, avec ses courts cheveux blonds, et ses beaux yeux. Ses joues étaient rougies pas le plaisir, et ses yeux baignaient d’une grande lueur perverse.
Elle demanda alors si Miki voulait lui faire plaisir, et Miki hocha la tête de haut en bas. Oui, oui, oui, lui faire plaisir, elle ne demandait que ça, elle ne souhaitait que ça ! Maman lui caressa la joue, et, quand ses doigts s’approchaient de ses lèvres, elle allait les lécher, tout en l’écoutant parler. Elle obéirait scrupuleusement, peu importe ce que sa Maman lui demanderait. Cette dernière glissa sa main dans sa culotte en latex, tout en lui donnant ses instructions. Miki hochait lentement la tête en écoutant. Qu’il était bon de lui obéir ! Qu’il était bon d’être une belle petite soumise docile et obéissante !
Elle hocha donc la tête.
« Je ferais tout ce que vous voulez, Maman... Miki fera tout pour que sa mère ne voit plus en elle la vilaine petite fille qu’elle était... »
Miki pouvait effectivement suivre le jeu de Maîtresse Yuko, et commença à remuer tendrement ses doigts, les faisant glisser sous la chaude et agréable culotte de sa mère, tout en se rapprochant. Elle l’embrassa avec la langue, léchant ses lèvres, comme elle le lui avait demandé, remontant ensuite pour lécher le bout de son nez, et ses joues, frottant son corps contre le sien. Tout en obtempérant, elle avait enfoncé sa queue caudale dans son intimité, afin de jouir en même temps, comme Mamam le demandait.
Sa peau était douce, chaude, agréable. Miki la léchait tendrement, remuant dessus sans relâche.
« Hum-hummm... »
Et son corps continuait à ronronner.
KATARINA
Un grand sourire sur les lèvres, Katarina voyait Yuka se tortiller sous ses yeux. Cette salope était délicieuse ainsi, et Katarina augmenta l’intensité des vibromasseurs. Peu de clients aimaient autant se faire soumettre à ce point, et, si, dans l’autre salle, Miki était ravie de son sort, ici, Katarina ressentait la même chose. C’est dans ce genre de choses qu’on appréciait d’avoir Warren comme patronne. Elle était parfois insupportable, mais elle savait mettre Katarina en relation avec de bonnes personnes, comme cette Yuka, qui méritait volontiers d’être considérée comme une salope de classe mondiale. Katarina était tout simplement en train de la torturer, mais Yuka était tout, sauf apeurée. Elle mouillait sur place, Katarina le sentait, et cette dernière tournait autour du corps de la femme. D’aucuns auraient pu s’étonner de la présence de ce gode sur les lèvres de Yuka, mais tout avait une raison d’être. Immobilisée, Yuka ne pouvait que subir les assauts furieux des godes énormes qui la labouraient sporadiquement, s’enfonçant en avant et en arrière, reculant, avant de revenir, vibrant, tournoyant sur eux-mêmes, tout en répandant quelques décharges.
Les talons de Katarina claquaient sur le sol tandis que la neko faisait le tour de Yuka, laissant sa queue s’attarder sur son beau corps mis à nu, et exposé aux assauts voraces de la machine de torture de la neko démoniaque.
« Hîhîhî, la nargua-t-elle, tu es tellement adorable ainsi, ma petite beauté... »
Impossible pour Yuka de parler, et Katarina se doutait bien que sa vision défaillante devait la frustrer. C’était évidemment prévu et calculé, afin de renforcer le plaisir. Elle se rapprocha de la femme, se glissant à côté d’elle, et posa une main sur son ventre, caressant sa belle peau, la griffant légèrement. Son estomac remuait précipitamment d’avant en arrière, tout comme son corps, accompagnant les mouvements des deux godes. C’était un véritable équipement de pointe, digne de ce que les harems tekhans offraient. Mélinda devait avoir un fournisseur très efficace pour pouvoir disposer d’un tel équipement. Katarina, en tout cas, ne s’en plaignait pas.
Elle remonta sa main pour caresser la joue de Yuka.
« Tu aimerais pouvoir recouvrer la vue, ainsi ? Afin de voir à quel point je suis belle, petite salope ? Je te torture, et je suis sûre que tu en mouilles comme une petite folle... »
Sa main continuait à remonter, et ses doigts vinrent se glisser sous le bandeau noir, le tirant. Elle finit ainsi par le retirer, bonne princesse, puis se pencha en avant, se redressant. Ses seins étaient à l’air libre, et elle appuya sur un autre bouton, qui fit vibrer le gode que Yuka avait au niveau de la bouche. Katarina s’en servit alors pour le glisser entre ses seins, le bout de ses tétons ondulant près des yeux de Yuka, remontant le long de cette hampe artificielle.
« Ne t’inquiète pas, salope, ta Maîtresse s’occupera ensuite de te défoncer bien comme il faut... Prends ça comme un acompte, car beaucoup de bonnes choses sont encore à venir... Rien n’est jamais trop bon pour... Satisfaire... Une belle grosse pute comme toi ! »
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Yuko
Quelle chance elle avait. Les nekos soumises, ce n'est pas rare à trouver, c'était même simple mais cette Miki était spéciale, avec son apparence de super héroïne et son attitude de salope, elle était vraiment adorable. Yuko était sous son charme, c'est vrai mais il en fallait peu pour Yuko pour adorer une neko mais c'est sûr que si cette dernière lui est déjà soumise, eh bien elle n'irait pas s'en plaindre. Écartant les jambes pour laisser Miki la doigter correctement, elle laissait sa petite langue passer sur sa peau, sa douce petite langue de putain. Quelle chatte obéissante et douce, hum, c'était si bon. Yuko la laissait faire en gardant juste sa main indemne dans son dos pour éviter qu'elle ne glisse, elle lui caressait parfois la tête, elle était si mignonne avec ses cheveux courts. Même cette cicatrice sur la joue. On dit en vente qu'une cicatrice est un défaut, qu'il fait baisser le prix de vente mais chez elle, ça la rendait que plus adorable. Elle la laissait faire, l'amenant doucement vers l'orgasme, elle venait parfois l'embrasser avec sa petite langue, passant sa langue sur sa sienne à la façon d'une chatte. Car oui, on n'a jamais vu de chat se rouler une pelle. Comment résister à Miki après tout. Mais si derrière cette simple partie de plaisir rien semblait se cacher, c'était mal connaître les Karistal.
Mélinda préparait peut-être quelque chose aussi dans son coin, voulant mettre une close ou deux durant leur absence, croyant que cela va passer inaperçu mais chacune jouait son rôle, chacun de son côté. Et Yuko était prête à attaquer. Mais pour le moment, elle savourait, penchant la tête en arrière, laissant son cou libre pour la belle chatte qui la léchait si bien. Une fois son orgasme presque arrivée, elle regardait Miki, usant sa main endoloris pour garder son visage face au chien et telle une chien, elle pendait la langue en haletant, venant la lécher doucement. Ses paupières se fermaient presque en sentant l'orgasme arrivé et elle jouit grâce à Miki, gémissant dans toute la pièce alors que Yuko reprenait son souffle en déposant quelques petits baisers dans le cou de sa petite Miki.
« Merci mon chaton... Maman est fière de toi... »
Elle passa ses bras autour d'elle, partageant un câlin avec elle, frottant sa main dans son dos en gardant sa voix douce pour continuer de lui parler. Miki ne saura peut-être pas quoi penser mais si elle arrivait à planter sa graine, le tour est joué. En espérant que Yuka en fera autant...
« Tu sais ma jolie Miki. Si nous somme venu voir Mélinda, c'était pour autre chose que pour jouer avec ton adorable petit cul. Mais nous avons trouvé un accord et bientôt, nous devrions ouvrir un joli harem, comme ici. Nous avons déjà beaucoup d'esclave à proposer qui pourront remplir les chambres et les demander. Mais je me demandais si je pourrais pas t'avoir toi aussi? Avec ton talent, tu pourrais être une bonne neko à nous, ou même pour éduquer les nouvelles? Ta façon si naturelle d'être une gentille salope soumise, tu pourrais conseiller les débutante, tu en pense quoi? Bien entendu, Yuka doit surement être en train de proposer la même chose à la jolie petite Katarina? Vous serez toutes les deux comme... comme... Mes généraux! Vous dresserez et éduquerez les nouvelles pour qu'elles soient aussi douée que vous deux, au moins comme toi, ce serait parfait! »
Elle relâcha un peu son étreinte pour la regarder en penchant la tête sur le côté.
« Tu en pense quoi, sincèrement? Vous restez les nekos de Mélinda... mais vous habiterez dans notre harem pour nous aider. »
Non pas qu'il s'agisse de lui voler ses nekos mais comme elle avait dit de servir de mentor en quelque sorte. Sachant qu'elle ne voulait pas faire de Mélinda Warren leur ennemi... elle voulait juste que la vampire prête un peu ses jouets... Elle voulait savoir si à présent, elle a réussi à planter la graine du doute en Miki? Qu'en pense cette adorable petite chose?
Yuka
Du côté de Yuka, ce moment n'est pas encore arrivée, il faut dire qu'elle n'avait pas tellement l'occasion de donner son avis pour le moment mais elle n'avait pas encore bien joui avec elle. Laissons-lui le temps de savourer son jouet. Elle était la chose de Katarina et elle était immobilisée de bien des façons, deux godes en elle qui étaient en action et un troisième en bouche qui l'empêchait de parler, sans parler de ce maudit bandeau sur les yeux qui l'empêchait d'admirer une si rare neko dominante! Mais c'est le jeu, elle s'y faisait en se laissant torturer si délicatement, avec tant de douceur. Les jouets en action lui faisant tant de bien mais un simple bandeau lui faisaient tant de mal. Elle sentait cette neko lui tourner autour, l'observant, passant sa queue tout près d'elle et ça aussi, ça restait insupportable, elle aimerait tant que sa Maîtresse lui autorise au moins à conserver la vue pour voir combien elle était belle et combien elle pouvait être si adorable en étant si dominatrice...
Elle lui caressa la joue, elle le sentait et à sa demande, elle opina du chef, voulant absolument voir sa maîtresse, oui, la petite salope le voulait tant! Mais dans sa grande bonté, elle lui retira le bandeau et la belle neko dominante dans sa belle tenue était face à elle si belle. Même si le gode dans sa bouche s'activa, l'empêchant encore plus de tenter de parler, elle la regarda avec joie. Sa façon de placer sa poitrine entre le gode de sa bouche, était là aussi une forme de torture. Ce qu'elle aurait aimé être une futa, même avec de la magie ou des pilules afin qu'elle la viole! Ou mieux, Katarina en soit une! Simplement avec un gode ou un vrai pénis temporaire, peu importe, la voir la provoquer de la sorte lui donnait tant envie. Même si ses insultes tombaient doucement comme des coups de poignards, à voir Yuka, c'était des caresses. Une grosse pute, elle semblait si heureuse en dandinant son corps comme elle pouvait. Bien sur qu'elle mouillait et pas qu'un peu. Elle voulait subir les punitions de sa maîtresse, savoir ce qu'elle comptait faire d'elle et de son cul, de sa chatte? Mais comment le dire autrement qu'avec ses yeux? Elle ne pouvait pas lui parler après tout pour le moment. Même pas se faire provocante en se caressant, elle devait espérer que Katarina lui accorde ça, elle était si belle après tout... Qu'on la punisse et qu'on la fasse jouir... Elle était prête à être humiliée par elle.
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MIKI
Miki adorait beaucoup le corps de Maman Yuko. Elle avait une peau douce, délicieuse, magnifique, et la langue de Miki remuait langoureusement dessus, glissant sur sa peau, la léchant, sans jamais l’embrasser. Obéissante et docile, Miki se faisait plaisir. Il y avait quelque chose de spécial chez Maman Yuko, quelque chose qu’elle ne retrouvait pas chez les anciennes Maîtresses et les anciens Maîtres. Elle semblait... À la fois cruelle et douce, faisant preuve d’un mélange de tendresse infinie envers elle, mais aussi d’une terrifiante sévérité. D’aucuns auraient pu trouver ça paradoxal et en être surpris, mais Miki, elle, ressentait juste le plaisir croître en elle, montant violemment à chaque fois, tant Maman Yuko variait les plaisirs. Miki faisait preuve de tout son talent pour la satisfaire, sa langue titillant son cou, et ses doigts jouant dans son intimité, filant sous sa tenue en latex. Les doigts de Miki remuaient rapidement, et on pouvait l’entendre ronronner. Elle y allait franchement, savourant son contact, savourant sa chaleur, sa tendresse, cette peau agréable et confortable. Sa langue continuait à la lécher, et, parfois, Maman Yuko allait déposer sa langue contre la sienne. Les deux femmes se léchaient ainsi ensemble, tendrement, jouant mutuellement.
Petit à petit, Maman Yuko finit par jouir. Miki la sentit s’abandonner entre ses doigts, et elle continuait à ronronner furieusement, avant que Maman Yuko, soulagée d’avoir joui, ne vienne lui faire une proposition des plus indécentes. Miki l’écouta silencieusement, clignant des yeux en sentant les mains de Maman Yuko la saisir, lui offrant un tendre câlin. En tant que neko, Miki appréciait évidemment beaucoup les câlins, et elle se blottit contre le corps de Maman Yuko, tout en l’écoutant. Cette dernière lui expliqua qu’elle la voulait, et son discours troubla légèrement Miki.
Il fallait bien dire que la neko n’était pas habituée à réfléchir, et elle releva la tête, clignant lentement des yeux en la regardant. Maman Yuko était près d’elle, toute proche, et Miki hochait lentement la tête, prenant attention à bien l’écouter. Maman Yuko voulait que Miki reste avec elle. Elle resterait toujours la propriété de Maîtresse Mélinda, mais elle serait chez Maman Yuko. Miki, qui n’avait jamais connu un seul autre endroit que ce harem où elle était née, et qui n’avait jamais vraiment eu le besoin de sortir de ce dernier, était troublée à l’idée qu’on puisse la faire sortir d’ici.
« Euh... »
Ce qu’elle en pensait ? Miki n’en pensait absolument rien ! Cependant, c’était sa Maman, sa Maîtresse, et Miki se devait de lui répondre. Elle se mordilla les lèvres, baissant les yeux, avant de redresser sa petite tête. Maman Yuko la tenait toujours entre ses bras, et Miki savait que Maman Yuko n’était pas comme les autres. Elle savait qu’elle s’était rapprochée de Maîtresse Mélinda.
« Miki... Miki ne peut pas prendre seule une telle décision, avoua-t-elle. C’est à Maîtresse Mélinda qu’il revient de décider quoi faire de Miki, mais... Miki... Miki aimerait bien rester près de vous, car... »
Elle se mordilla les lèvres, baissant les yeux, avant de les relever, et de se blottir davantage contre le corps de la femme, frottant son nez contre sa peau :
« ...Miki aime bien la Maman que vous êtes. »
En réalité, elle ne demandait qu’à rester avec Maman Yuko ! Cependant, elle était suffisamment bien éduquée pour se rappeler des fondamentaux. Concernant son sort, c’était à Maîtresse Mélinda qu’il revenait de prendre des décisions.
KATARINA
Katarina se dressait face à la belle Yuka. Elle avait une tenue magnifique, et elle était sa prisonnière. La neko démoniaque comptait s’amuser avec elle, et elle posa chacune de ses mains gantées sur ses joues. Elle ignorait alors que Yuka voulait lui faire une proposition similaire à celle de Yuko, et, quand bien même elle l’aurait demandé, Katarina aurait sorti la même réponse que Miki. C’était à Maîtresse Mélinda de voir, mais Katarina ne serait pas spécialement troublée à l’idée d’aller ailleurs. Contrairement à Miki, il lui arrivait parfois de sortir du harem, notamment pour aider des bourreaux ashnardiens dans des prisons afin de torturer des prisonniers. Elle adorait ce genre de séminaires. Les prisonniers étaient souvent pris au hasard, et Katarina s’amusait à les torturer, en faisant parler sa créativité, la seule consigne étant de ne pas tuer les prisonniers. Ce qu’elle faisait ici était similaire à ce qu’elle faisait dans la prison, si ce n’est qu’ici, elle était beaucoup plus light. Dans la manière dont Katarina torturait les autres, il y avait toujours une connotation sexuelle fortement prononcée.
Yuka avait les yeux brûlant de désir, et Katarina remuait ses seins en elle, tendrement, un sourire sur le coin des lèvres, puis finit par poser sa main sur ce gode noirâtre.
« Ma belle petite... »
Katarina ouvrit les lèvres, et commença à sucer ce gode, reposant ses mains sur les cheveux de Yuka, et remua sa bouche d’avant en arrière, s’empalant le long de ce sexe. Elle soupirait de plaisir, remuant d’avant en arrière, s’y enfonçant le plus loin possible. Sa bouche se rapprochait de celle de Katarina, et le gode noirâtre s’enfonçait dans sa gorge.
« Hum... Je le sens dans ma gorge... Rrrrrr... »
Katarina ronronnait, et pinçait les cheveux de Yuka, continuant à se rapprocher, sentant le gode remuer le long de sa bouche sous les mouvements erratiques de la tête de Yuka. La neko savait y faire, et elle continuait à agir, avant de se redresser, au bout de quelques minutes.
« Miam-miam... Il est temps pour toi de jouir, ma belle... »
Katarina appuya à nouveau sur la télécommande, et les deux vibromasseurs se mirent à rugir à nouveau, tandis qu’elle allait s’emparer d’un autre objet. Elle s’empara d’une matraque électrique, et l’alluma, puis électrifia Yuka à hauteur du cou.
« Hihihi ! Je veux t’entendre hurler, petite salope... »
Après cette décharge électrique, Katarina retira le gode sur les lèvres de Yuka en le détachant de l’arrière de sa tête.
« Allez, allez, jouis, sale salope, jouis !! »
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Yuko
Pour Yuko, la graine était plantée, Miki venait de recevoir une proposition que jamais personne n'a dû lui faire ici. Et quand bien même c'était le cas, c'était dans le feu de l'action, des paroles en l'air alors que venant de Yuko, c'était sincère. Une neko élevée pour être une esclave comme elle ne pouvait répondre à une telle offre mais le fait de déjà la faire réfléchir était très étrange pour elle, réfléchir sur son sort, savoir qu'elle comptait pour une autre personne que Mélinda... La pauvre ne devait plus savoir quoi en pensée mais elle se redressa un peu en lui répondant que Mélinda décidait mais qu'elle serait contente de venir la rejoindre. Et voilà qui était déjà fait. Elle avait l'accord de Miki, reste à savoir si Yuka en a fait de même avec Katarina? Yuko resta souriante en lui caressant la joue avec sa main endolorie.
« Voilà une réponse qui me fait chaud au cœur ma chérie... Je ferais tout ce qui est en mon possible pour faire pencher ton avis en notre faveur. Tu seras notre petite princesse super-salope, crois-moi. »
Une telle réponse avec un sourire aussi chaleureux, voilà qui serait très étrange selon d'autres personnes, la main de Yuko descendait plus bas tout comme sa seconde main, chacune venant caresser son petit cul, une fesse pour chaque main. Yuko les caressait autant qu'elle les pétrissaient entre ses doigts. La douce Yuko reprenait doucement son regard tyrannique, son sourire sadique mais ce n'était pas le genre de chose qui déplaisait à Miki après tout.
« Ton petit cul sera entièrement à moi et je me ferais une joie de te corriger, de te prendre le cul comme une vulgaire petite salope. Avec des godes, avec un manche à balai, avec une belle grosse bite et même avec mon poing si cela m'en prend l'envie... »
Yuko rapprocha sa bouche de sa petite oreille pointue, son souffle chaud passant dessus, presque sensuellement.
« Ta maman n'aura aucune pitié pour toi petite salope! Mais pour le moment, tu reste une gentille petite neko alors reste calme... et apprend ce qui arrive aux gentilles petites nekos... »
Les mains de Yuko se calmaient, caressant simplement son joli petit derrière alors que l'une de ses mains se calait sous sa queue, venant passer l'index dans son petit trou secret alors qu'elle venait lui embrasser le cou, là où sa tenue ne cachait pas sa peau douce et délicieuse. Après ce bref instant qui a dû faire frissonner le poil de la petite neko, la voilà entouré d'une infinie douceur dont Yuko avait le talent. Elle savait jongler, étant les deux côtés d'une même pièce. Une incroyable sadique et une femme aussi généreuse que son sourire pourrait le laisser entendre. Ce petit jeu dura cinq minutes environ, cinq minutes durant lesquelles Miki était entre de bonnes mains, une langue agréable. Remontant sa bouche vers la sienne, Yuko lui offrait un délicieux baiser plein d'amour et de tendre avant de garder son front contre le sien, son regard dans le sien, séparant juste leur lèvres.
« Elle veut quoi ma petite Miki? Maman peut jouer avec ton corps ou bien elle peut même te laisser jouer avec le sien? Maman est de bonne humeur alors dis-moi ce qui te ferais envie ma chérie... »
Qu'elle saisisse cette chance! Une occasion en or! À moins que ce ne soit un piège? Comment savoir avec elle? En tout cas, elle semblait vraiment de bonne humeur pour lui offrir ce qu'elle veut. Bien entendu, elle reprendra les rênes ensuite mais il était temps de lui faire plaisir, ensuite... elle savait déjà quoi faire en ayant vu le grand miroir qui trainait dans cet endroit...
Yuka
Yuka était toujours bien entouré, attachée et dans l'incapacité de parler, elle ne pensait pas vraiment à sa tâche mais surtout à son plaisir. Faut bien avouer qu'elle ne voulait pas couper un tel moment pour demander à Katarina de les suivre. Certes, elle en avait envie mais pas au point de stopper leur jeu comme ça. La belle neko démoniaque prenait un malin à la torturer sans la moindre pince ou le moindre fouet, juste en agissant par elle-même, alors que Yuka ne pouvait rien faire d'autre que savourer et gémir d'impatience comme de désir. La belle neko suçait son gode, rapprochant ses lèvres des siennes, quand bien même elle voudrait s'en rapprocher, toucher ses lèvres avec les siennes... impossible et pourtant, elle était si proche et si éloignée en même temps. Katarina était d'une délicieuse cruauté, elle y voyait de nombreux points communs avec sa jumelle mais aussi beaucoup de nouveauté. Katarina passa à la vitesse supérieure en le faisant d'abord avec les jouets en elle avant de lui retirer celui qui lui bloquait la parole. Mais comme n'importe qui, Yuka pensa d'abord à exprimer son plaisir avec cette nouvelle liberté! Elle les sentait vibré plus fort, lui fournir plus de plaisir alors qu'elle ne se faisait pas prier pour lui dire combien elle aimait tout cela.
« Oohhhhh ouiiiiIIIIIII Maî... Maîtreesse!!!! J'adore... Haaaaaa.... haaaaannnn huuuuummmmm... »
Elle remuait, ne pouvait pas faire grand-chose en étant privée de sa liberté de mouvement mais la soumise ne tarda pas à jouir dans un long cri de jouissance qui était aussi entendu dans la seconde salle où se tenaient Yuko et Miki. Sa mouille se déversait dans sa culotte et nul doute que sans elle, elle aurait certainement arrosé Katarina. Mais elle gémissait, haletant, laissant les godes continuer à lui donner du plaisir mais même voir Katarina, avec ce regard, elle était si belle dominante...
« Maîtresse.... »
Yuka ne pouvait en dire plus mais son sourire admiratif en disait long, elle la trouvait si belle, si généreuse et méchante à la fois, une belle chatte dominante comme ça, ça ne peut pas filer entre leur doigt comme de l'eau. Tant de plaisir d'un coup l'empêchait de parler, de la couvrir de louange, de lui proposer de rester avec elles mais soyons honnête... elle voulait encore jouer avec elle avant de tout stopper le temps de faire sa proposition. Yuka continuait de remuer faiblement devant les yeux de la neko, comme pour l'attirer à elle, venir jouer avec elle plutôt que d'y laisser ses jouets le faire pour elle.
« Je suis... humm... une belle salope? »
Son petit sourire en coin était en plus accompagné de sa langue, qu'elle laissait à peine dépasser au coin de sa bouche, lui donnant un petit air un peu plus salope ou mignonne... à voir selon les goûts.
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MIKI
Réussir à faire sortir Miki de ce harem était beaucoup plus difficile que ce à quoi on pouvait s’attendre. Il faudrait, certes, convaincre Mélinda, mais aussi continuer à convaincre Miki. La jeune neko avait l’esprit embrumé, voyant toujours cette idée comme un jeu... Cependant, si on la séparait de Mélinda, elle risquait de paniquer, de se sentir abandonnée. Elle voyait en sa Maîtresse, non seulement une simple Maîtresse, mais aussi sa mère, son amante, sa confidente, son pilier dans son existence. Si on la séparait d’elle sans la préparer, elle serait désemparée, même si c’était pour rejoindre une femme aussi généreuse que Yuko. Il ne fallait pas en douter, Miki aimait énormément sa Maman Yuko, que ce soit pour la punir ou pour la récompenser. Elle se sentait en sécurité avec elle, confiante en ce que Maman Yuko ne lui ferait jamais rien qui soit contre sa mère. Mais que dirait-elle quand elle serait placée face à l’irrémédiable ? Indéniablement, Yuko aurait besoin de Mélinda.
Pour l’heure, Miki était bercée par cette dernière, miaulant et ronronnant tendrement quand les mains de Maman Yuko retournèrent pétrir ses petites fesses. Miki était très belle, il fallait bien le dire. Son uniforme en latex moulait son corps à la perfection, et elle soupirait de plaisir, les joues rouges, en sentant les lèvres de Maman Yuko glisser le long de son oreille, de sa joue, et de son cou. Elle était sa petite peluche, une délicieuse poupée ronronnante qui vibrait de plaisir entre les mains de cette femme. Elles malaxaient généreusement ses fesses, s’enfonçant dans sa rondelle, tandis que Maman Yuko lui parlait dans le creux de l’oreille, murmurant de délicieuses promesses sexuelles.
« Miaaaaww... »
Il y eut ensuite un délicieux baiser. Miki y répondit sans problème, sa queue caudale caressant l’une des jambes de Maman Yuko, glissant le long de son collant. Elle continuait à ronronner, tendrement, sa petite langue partant à l’assaut des lèvres de sa Maîtresse. Oh oui ! Comme c’était agréable ! Comme il était bon d’être la petite chose d’une femme qui vous aimait, qui vous chérissait, et qui ne cessait de vous prouver que vous étiez sa petite merveille ! Miki frissonnait de plaisir, et le baiser finit par se rompre. Maman Yuko, qui avait bien pétri le cul de Miki, ralentit ses mains, les conservant toujours sur le cul de la neko, mais sans les pétrir. Indéniablement, cette femme était expérimentée, aussi perverse que talentueuse, et, pour Miki, se faire prendre par elle était un véritable bonheur.
Maman Yuko lui demanda ensuite ce qu’elle voulait, et Miki frissonna légèrement. Il était très rare qu’on lui demande ce qu’elle voulait, et elle cligna des yeux, un peu surprise. Son agréable combinaison formait presque comme une seconde peau, et ses seins tendus heurtaient ceux de sa Maîtresse. Ses mains, elles, étaient appuyées sur les épaules de Maman Yuko, s’en servant pour se soutenir. Dans sa tête, les idées se brouillaient et se mélangeaient. Jouer avec le corps de Maman Yuko... Miki en frissonnait sur place, mais il fallait bien se rendre compte de l’évidence : elle n’avait clairement pas le profil d’une dominatrice. Elle se mordilla les lèvres, et posa ses lèvres dans le creux du cou de Maman Yuko, embrassant sa belle peau.
« Miki... Miki veut qu’on lui fasse l’amour, qu’on lui fasse de gros câlins, et, et... »
Elle soupira légèrement en ronronnant, sa queue caudale se resserrant autour de la jambe de sa Maîtresse.
« ...Miki veut que Maman Yuko la baise bien fort », acheva-t-elle dans un soupir et un ultime ronron.
Miki entendit alors un long cri venant de la porte close, celle où Katarina et Yuka s’étaient isolées, ce qui la fit sourire.
« Maîtresse Katarina a l’air de beaucoup s’amuser avec la sœur de Maman Yuko... » commenta-elle simplement.
KATARINA
Une belle salope... Katarina ne pouvait décemment pas prétendre le contraire, après ce long cri d’amour, qu’on avait du entendre jusqu’à Nexus. Elle la faisait jouir uniquement par la douleur, la soumission, et les contraintes... Autant d’éléments qui étaient indéniablement liés au plaisir sexuel féminin, même si on cherchait à le nier. Katarina avait depuis longtemps appris que le sexe n’était pas qu’une partie de plaisir, mais impliquait quantité d’autres sentiments, avec lesquels elle jouait volontiers. La neko démoniaque était plutôt douée, et elle avait un sourire vicieux en voyant Yuka ainsi. Engoncée dans son fauteuil, maintenue et serrée, avec les vibromasseurs qui continuaient à la pénétrer, elle ne demandait qu’à se faire battre.
Katarina la gifla alors. La joue gauche. Puis la droite. Et encore la gauche. Les claques s’abattaient sur le visage de Yuka, faisant résonner ses oreilles, tandis que les insultes fusaient également, s’échappant délicieusement de la bouche de la Maîtresse :
« Salope ! Salope !! Sale pute !! Chienne !! Pute !! SALOPE !!! »
Elle la gifla ainsi pendant une bonne vingtaine de secondes. Ses mains en frissonnaient. La violence avait quelque chose de délicieusement exutoire, comme si elle réveillait des pulsions sauvages profondément enfouies, et qui ne demandaient qu’à se libérer pour vous faire sentir mieux. Laissant Yuka se reposer pendant quelques secondes, Katarina se pencha, et lui lécha ses joues, tout en tirant sur ses cheveux afin de relever sa tête. Elle lécha ensuite ses lèvres, tirant légèrement dessus avec ses dents.
« Oui, Yuka... Tu es une infâme petite salope, une misérable traînée qui ne mériterait de boire que mon urine, et de toujours ramper à mes pieds. Une catin qui jouit quand on la bat... Une sale petite pute qui adore qu’on la défonce comme si elle était la pire des traînées... »
Les mots fusaient dans la bouche de Katarina, qui se redressa ensuite, et remit sur les lèvres de Yuka sa culotte, avec le gode fièrement pointé.
« Maintenant, je vais te jouir dessus, petite pute... Et peut-être que j’en profiterai pour pisser, qui sait ? »
Elle bougea le fauteuil, le déplaçant à la verticale, afin d’allonger un peu mieux Yuka. Ses bras étaient toujours maintenus par les cordes, et Katarina se redressa sur elle. Elle posa une main sur son intimité, écartant ses lèvres intimes, puis descendit ensuite. Elle enfonça ainsi le gode dans son vagin, et poussa un miaulement de plaisir en sentant ce gros truc la remplir. Ses deux mains saisirent ensuite les cheveux de Yuka, se crispant sur eux, et elle remua son corps d’avant en arrière, s’empalant sur ce gode noirâtre, remuant la tête de Yuka en même temps.
Sa mouille lui arrivait tout droit sur le visage au fur et à mesure que Katarina dansait, en se rapprochant rapidement de son propre orgasme.
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Yuko
Elle y arrivera, Yuko réussira à avoir cette Miki rien que pour elle, même si ce ne sera pas officiellement sa neko, elle arrivera à l'avoir dans son propre lit pendant un temps. Quand Yuko voulait obtenir quelque chose, elle y arrivait, que ce soit la manière douce ou la manière forte. La petite blonde gardait ses mains sur ses délicieuses fesses, les pétrissant doucement alors qu'elle voulait savoir ce qu'elle désirait? Rares étaient les vraies soumises à demander une faveur, en général, leur réponse était de vouloir ce que Yuko voulait mais bon, parfois il y avait de bonnes surprises. La petite Miki ne voulaient que des caresses, faire l'amour et surtout qu'on la prenne bien fort. Voilà qui sera simple et qui ira parfaitement avec son idée. Yuko frotta sa tête contre la sienne en lui souriant en venant lécher sa cicatrice sur sa joue. Ce qui aurait pu être un défaut ne la rendait que plus craquante. Cette pauvre petite neko battu, avec son petit regard implorant... Yuko allait prendre soin d'elle.
« Bien ma princesse salope, Maman va bien s'occuper de ta petite chatte et de ton petit cul. »
Elle invita sa Miki à descendre de ses cuisses et ne la tira pas par la laisse mais en lui prenant la main. Elle était toujours entre deux mondes, celui de la douceur et de la torture. Yuko l'invita jusqu'à une table face à un miroir où la jumelle dominante la retourna pour qu'elle fasse face au miroir, Yuko placer dans son dos, les mains posées sur ses hanches.
« Je vais d'abord t'enculer et te défoncer ton petit cul mais je veux que tu voie à quel point tu es une adorable petite pute quand je te prends le cul. Tu pourras aussi me voir si heureuse de te déformer ton sublime fessier... Maman va être fier de toi... Et ensuite je te baiserais très très fort sur cette même table, d'accord ma chérie? »
Yuko avait tendance à avoir les mains baladeuses durant ses explications, même si ce n'était que des caresses, elle avait baladé ses mains un peu partout sur son corps. Lèvres intimes ou non, poitrine, ventre, joue, cette Miki était très craquante! Mais bien entendu, Yuko n'était pas dotée d'un tel appareil entre les jambes pour défoncer sa Miki, elle va devoir donc faire cela avec un jouet. En fouillant dans la collection a porté de main, elle trouva un gode ceinture très amusant. Un gant manquait à la tenue de Yuko, il était près de leur dernière place, le temps de bien fesser la petite Miki mais sinon, le reste était encore sur elle, bien que les lanières ne cachaient plus vraiment sa poitrine. Agitant le jouet entre ses mains, elle se colla dans le dos de Miki, plaçant l'une des extrémités sur les lèvres de Miki.
« Mouille bien ça pour Maman ma chérie. Tu ne voudrais pas que Maman se fasse mal en te prenant ton petit cul quand même? »
Elle laissait Miki faire son travail alors qu'elle lui caressait un sein, venant parfois lécher sa joue en la félicitant. Une fois le bout assez bien mouillé, elle lui baisa la joue en lui demandant de s'allonger sur la table pour bien tendre sa croupe. Yuko inséra le jouet en elle en gémissant, laissant finalement cette impression de la voir membrée. Elle fessa une fois la petite Miki en reprenant son petit sourire sadique.
« Serre les dents, Maman arrive~ »
Posant ses mains sur les hanches de Miki, elle s'insèrera doucement en elle, gémissant tout le long avant de commencer ses petits mouvements de va-et-vient. Le jouet qu'elle avait choisi était spécial, pas un simple double gode, ni même un vibrant, il avait une autre particularité...
« Hum ma petite Miki... Ton petit cul a l'air de bien l'aimer ma belle bite... Hein? On va voir si ton petit cul va l'aimer longtemps... »
Élargissant son sourire, Yuko appuya sur un bouton de sa petite télécommande et le gode commençait à doucement grossir. Elle aurait pu le faire juste pour le côté de Miki mais elle le faisait pour les deux côtés et elle ressentait donc ce changement. Ce n'était pas beaucoup plus gros mais de plus en plus, Yuko va s'amuser à agrandir le diamètre.
« Haaan... on est déjà hum~ plus a l'étroit ma chérie... Toi aussi tu vas montrer à la belle Katarina que tu sais crier de plaisir ma princesse. »
Une nouvelle fessée et Yuko reprenait ses vas et viens dans ce petit trou où son gode était déjà plus gros pour déformer son petit fion d'amour.
Yuka
Yuka avait beau être humilié, gifler, elle aimait cela tant que cela restait sexuel bien sur. Se faire gifler pour une autre raison, elle n'aurait pas aimé cela. La belle neko démoniaque avait beau l'insulter, la traiter de pute, cela lui faisait autant d'effets que de la bouche de Yuko sur Miki. Oui, elle n'était qu'une pute et une trainée qui méritait une bonne correction. À la voir ainsi, il est difficile de croire qu'elle puisse être une esclavagiste et pourtant, elle savait être presque aussi sadique que sa jumelle. Elle a juste tendance à se laisser dominer par les belles femmes fortes, comme Katarina. De plus, une neko naturellement dominante, même Yuko pourrait se laisser tenter. Il suffisait de voir Yuka sourire, elle était vraiment heureuse. Même dans cette situation, tout simplement.
Katarina voulait même encore poursuivre plus loin en lui replaçant le gode dans la bouche, allongeant son esclave pour lui chevaucher le visage. La voir s'enfoncer près de sa bouche si près et ne pas pouvoir la lécher... Elle était forte cette neko! Cela dit, elle pourra sentir sa mouille sur son visage et peut-être son urine. Oui c'était dégoûtant mais venant d'elle, ce serait si bon. Yuko ne pouvait que gémir de sa situation, avec en plus les godes en elle, les gouttes de mouilles qui tombaient sur son visage, tout cela était agréable! Dans son regard, dans ses gémissements, tout disait qu'elle adorait ça et qu'elle en voulait plus. Bien entendu, si Katarina la prenait vraiment, ce serait tout aussi bien mais elle n'allait pas s'en plaindre.
Yuka avait tendance à remuer de plus en plus, les vibrations lui faisaient un bien fou mais elle avait perdu le compte de ses orgasmes. Pas bien grave, elle adorait sa situation, cette fellation forcée par Katarina était si bon. Si seulement c'était une vraie bite, elle la sucerait à fond, elle aurait droit à une gorge profonde et en plus, elle aurait eu le droit à une douce semence bien chaude en prime. Yuka ne lâchait pas sa maîtresse des yeux, elle était si belle comme ça mais elle voulait lire la joie et la satisfaction que sa chose lui procurait. Oui, la Karistal était une pure soumise qui voulait être précieuse à sa maîtresse et elle espérait que c'était le cas. Ses gémissements étaient comme ceux de la belle neko, de plus en plus fort.
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MIKI
Miki passait vraiment un bon moment avec Maman Yuko. Elle était belle, et terriblement perverse... Bien plus que la plupart des clients qui venaient voir Miki. Elle était même la première à vouloir se faire passer pour sa mère ! Miki trouvait ça... Délicieusement excitant. Elle suivit donc Maman Yuko, se retrouvant contre un miroir, écoutant cette dernière lui dire qu’elle comptait l’enculer fort... Bien fort, et la faire couiner. La petite Miki déglutit silencieusement devant tant de mots cochons, devant tant de promesses. Elle hocha lentement la tête, acquiesçant à tout ce que sa Maman disait. Face au miroir, Miki releva la tête, afin de se voir. Elle était là, dans sa combinaison de latex, ouverte sur ses parties intimes, et elle sentit Maman Yuko se presser contre elle. Si belle, si sûre d’elle... Le tendre corps de Miki se mit de nouveau à ronronner quand les mains de sa Maman glissèrent sur son corps, pétrissait ses seins, caressant ses hanches, la caressant longuement.
La jeune neko ne disait rien, se contentant de ronronner en remuant sa queue, qui se frottait contre les jambes de la femme. Elle appréciait beaucoup ça... Cette attention, ces câlins, le fait qu’on s’occupe d’elle, qu’on lui fasse plaisir, qu’on la soulage, qu’on la câline... Elle pourrait tout à fait se laisser faire pendant des erreurs. Le corps d’une neko était extrêmement sensible à ces petites attentions, mais Maman Yuko avait d’autres projets, et elle alla chercher une culotte-gode dans le matériel donné au client. Miki reconnut ce modèle. Il y avait deux godes : un orienté vers l’extérieur, et un vers l’intérieur... Et c’était un objet enchanté, et Miki savait dans quel sens. Elle frissonna, et obtempéra sans problème quand Maman Yuko lui ordonna de lécher, ce qu’elle fit rapidement. Elle suça ce gode avec passion, l’humectant de sa salive, le lubrifiant totalement, jusqu’à ce que Maîtresse Yuko l’enfile.
« Miiiaaaawwww... » ronronnait la neko, en s’impatientant sur place.
Sa queue de neko dodelinait de droite à gauche, et elle obtempéra quand Maman Yuko lui demanda de s’allonger sur la table. Miki obéit ainsi, et se pencha sur la table, bombant son cul vers l’arrière. Elle sentit les mains de la femme caresser ses hanches, s’y appuyant... Puis sa verge entra à l’intérieur. Les ongles de Miki se transformèrent en griffes, et serrèrent la table. Maman Yuko commença à la prendre, et Miki se mit à gémir, ronronnant joyeusement sous les coups de pilon que la femme faisait. Ah ! Elle adorait ça ! Encore une fois, Miki se mit à ronronner follement, en sentant le gode grossir au fur et à mesure. Il avait été enchanté de manière à croître de plus en plus, en ressentant l’énergie sexuelle de celles qui le portaient. C’était une magie qui dépassait Miki, mais qui était diablement efficace. Katarina aimait beaucoup l’utiliser.
Et Miki hurla à son tour, très fort, griffant la table, en remuant contre cette dernière, la faisant craquer et grincer.
« MIIIIAAAAAWWWW !!! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN !!! NYYYYYYYYYYYUUUUUUUUUU !!! »
Elle hurlait sauvagement, remuant contre la table. Oh, oh, comme elle aimait ça, bon sang ! Se faire exploser le cul ! Cette queue grossissait de plus en plus, et elle hurlait de plus bel, sa mouille venant inonder le rebord de la table, commençant à couler le long du sol.
KATARINA
Assise sur la tête de Yuka, Katarina remuait rapidement son corps, de haut en bas, enlaçant la tête de la belle blonde, l’enlaçant entre ses jambes, la martelant violemment. Ce devait être douloureux pour elle, pour sa nuque... Mais c’était comme ça. Katarina ne comptait pas s’arrêter, et elle finit par jouir, éjaculant sur le visage de Yuka, se vidant sur la tête de cette petite traînée.
« Haaaa !! Haaaaaaaa, ma salope !! »
Katarina continuait à la prendre, et décrut lentement son rythme, puis se retira lentement, en se relevant. Le visage de Yuka était recouvert de la mouille de la neko, et elle avait encore une autre envie. Elle attrapa le gode de Yuka, le retirant lentement, puis le jeta à côté d’elle, et posa une main sur les cheveux de la femme, attrapant violemment sa tête, plaquant sa bouche contre ses lèvres intimes.
« Tu sais, ma salope, quand je jouis bien comme ça, j’ai toujours une phénoménale envie de... De pisser, hihi ! »
Elle se concentra encore un peu, et, à nouveau, urina dans la bouche de Yuka. Elle lui pissa dessus, sentant son estomac se vider. C’en était si bon qu’elle bascula sa tête en arrière, soupirant en se déversant en elle, vidant sa vessie dans sa bouche. Elle s’abandonna ainsi pendant plusieurs dizaines de secondes, et relâcha ensuite les cheveux de la femme.
« Tu es si sale, maintenant, ma salope... Et c’est si bon de t’avoir comme toilette humaine... »
Très bon, en effet.
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Yuko
Quelle jolie putain avait-elle sous la main? Le genre si docile, tendre et qui accepte de se faire prendre sans broncher, qui en redemanderait même. Yuko la voulait, elle et chaque neko vivant dans ce harem, les jeunes, les plus âgées, les expertes, les inexpérimentés, les nekos, les furrys, elle les voulaient toutes! Même cette super salope, elle sera sienne d'une façon ou d'une autre... Pour le moment, elle se faisait un plaisir de l'enculer face au miroir, faire couiner cette petite garce, lui faire adorer ce qu'elle subissait, la verge artificielle grossissait doucement mais surement. Les allers et retour de Yuko se faisaient de plus en plus difficiles dans cette petite ante chaude et confortable mais même si Yuko en ressentait de même entre les jambes, ça gonflait, ça devenait terriblement bon et un peu douloureux à force mais on ne peut être une bonne maîtresse si on ne sait pas la douleur que l'on ressent. Certes, elle était beaucoup plus dominante que soumise mais elle a dû passer par là pour s'améliorer. Pas au point de jouer la pute comme Miki ou Yuka mais parfois, c'était le cas. La Karistal donna un dernier coup de rein, enfonçant sa verge aussi loin que possible, sa peau coller contre son adorable petit cul, appuyant sur ses hanches pour être collé contre elle alors qu'elle se pencha en avant pour lui parler dans sa petite oreille de chatte.
« Tu es à moi ma pute chérie... hmm... tu vas être la gentille pute à Maman... et elle se fera un plaisir de t'enculer comme ça, et bien pire encore... chaque putain de jour, tu en prendras... plein le cul! »
Yuko se retira de son petit avant de mettre à genoux pour laisser ses marques de dents sur son délicieux petit cul à croquer! Pas jusqu'au sang, non, mais elle avait pu sentir les crocs de sa maîtresse et mère un instant avant de la voir se redresser, son gode ayant à peine dégonflé. Elle retourna Miki dans l'autre sens, comme une crêpe avant d'enfoncer son jouet en elle, soupirant de plaisir alors qu'elle s'allongeait sur elle, l'embrassant à peine mais butinant son entrée intime, ça oui! Elle relevait les fesses pour mieux la prendre d'un coup sec avec ce jouet qui prenait de plus en plus d'ampleur. Miki allait adorer autant qu'elle va souffrir mais c'est ça avec Yuko. Une délicieuse douleur, une délicate torture, d'adorables couinements.
« Couine bien mon cœur... montre à la petite Katarina que tu m'aimes plus qu'elle, que je te baise mieux qu'elle... »
Elle aussi, elle la voulait. Et elle l'aura. Après s'être occupé d'elle, elle comptait bien voir ce qui se passait de l'autre côté de cette porte mais pour le moment, elle ne s'occupe que d'elle et de personne d'autre. Elle la laissait miauler à son allure, hurler à plein poumon si elle voulait, Yuko ne s'intéressa qu'à cette petite langue qu'elle venait lécher, sucer aussi, savourant chacun de ses cris comme une tendre caresse sur sa peau. Savait-elle que sa voix était si mélodieuse quand elle avait mal? Yuko avait un don pour cela, entendre une douce symphonie dans la douleur. À moins qu'elle ne soit que trop perverse pour croire une telle chose? Peu importe à vrai dire, elle continua de prendre Miki, s'enfonçant de plus en plus fort en elle, de plus en plus gros aussi. La seule pause qu'elle fit, ce fut pour reposer ses hanches en se redressant, pinçant ses petites boules sur sa belle tenue de salope. Ses tétons pointaient avec tant d'arrogance qu'elle ne pouvait s'empêcher de les pincer pour les punir.
« Tu jouiras... avec maman ma sale petite trainée de pute adorée. Si tu ne le fait pas, tu me lécheras l'anus jusqu'à ce qu'il soit propre de l'intérieur, ma petite chatte en sucre dévergondé. »
Tout est dans les mots, les noms même. Aussi doux qu'insultant, c'était un véritable zigzag, tantôt douce comme une mère, tantôt la traitant comme une merde... elle était les deux à la fois...
Yuka
Pour elle, son enfer était aussi un délicieux moment, elle pouvait prendre Katarina avec sa bouche – grâce au gode qui se trouvait dedans – et bien qu'elle commençait à avoir mal à la nuque, voir ses petites lèvres intimes si proche de ses lèvres sans pouvoir les toucher, c'était une torture. Même si ce n'était que les frotter sur son visage, elle serait preneuse mais il ne semble pas que ce soit le cas, Katarina était bien décidée à lui faire plaisir mais au compte goutte. Bien que des gouttes, elle en avait plein le visage, sa mouille lui éclaboussait le visage, c'était si bon, rafraichissant aussi. Dommage qu'elle ne puisse pas boire tout cela à la source mais elle ne s'en plaindra pas, c'était déjà bien de pouvoir voir cela de si près. Ses belles lèvres écartées s'empalant sur ce gode que Yuka tenait dans sa bouche, sa maîtresse prenait du plaisir grâce à elle, sans ce regard de chien battu ravie et sans elle tout simplement, ce ne serait pas pareil.
Mais voir Katarina jouir sur son visage, c'était comme recevoir un verre d'eau en plein visage sous un soleil de plomb, c'est fou ce que ça fait du bien... Mais entre les jambes de Yuka, elle vendrait son bras pour qu'on vienne s'occuper d'elle, avec une langue ou un pénis ou des doigts, n'importe quoi mais qu'on lui retire ses vibrations pour un vrai truc en chair, éventuellement et en os – si ont penses aux doigts bien sûr. Mais si elle lui retira son jouet de la bouche, elle ne lui laissa pas le temps de parler qu'elle lui pissait dessus, un peu dans la bouche mais surtout le visage. Yuka en avala un peu. Elle n'était pas une adoratrice de l'urine mais au moins pour le côté excitant. Se faire uriner dessus était moins dérangeant pour elle mais bon, elle devait aussi plaire à Katarina.
« Ho oui Maîtresse... Je suis heureuse de vous plaire autant... mais... mais prenez-moi Maîtresse, je voudrais bien que vous vous occupiez de moi, faites moi jouiiiiir! Maltraité mon cul si vous voulez mais je veux jouir grâce à vos... doigts, langue, bite, prends-moi Katarina! Haaa! »
Yuka se tortillait sur place, elle en demandait beaucoup, peut-être que la neko diabolique va la punir mais elle tente le tout pour le tout. La Karistal en avait marre, le jouet voulait goûter au bonheur, après, elle lui parlera peut-être de l'offre mais pour le moment, elle se montrait égoïste... pour une fois. Sortant sa langue comme une chienne, elle continuait de se tortiller, voulant que sa maîtresse accepte la demande de son jouet au moins.
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MIKI
Se faire enculer par Maman Yuko était un plaisir exquis. La neko, qui se sentait alors
vraiment comme une salope, hurlait de douleur et de joie. Ses seins remuaient le long de la table, et elle relevait la tête pour s’observer devant le miroir. Ses petites joues étaient toutes rouges, et Maman Yuko se dressait au-dessus d’elle, la défonçant sévèrement, sans relâche, si belle, si dominatrice dans sa tenue rouge en latex. Elle dominait Miki par sa stature, et enfonçait sa grosse verge le plus loin possible.
«
NYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYAAAAANNNNNNNNNNNNN !!! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNN !! » hurlait la petite Miki en se tortillant sur la table.
Cette dernière grinçait et remuait, les ongles de Miki s’enfonçant dans cette dernière, remuant frénétiquement. À chaque fois, ce gode grossissait pour lui écarteler son cul. La douleur était totale, la remplissant intégralement, empêchant son cerveau de réfléchir à quoi que ce soit d’autre que cette verge plantée en elle comme un fanion dans le cul. La petite Miki tremblait dans tous les sens du terme, ronronnant comme une usine à gaz, s’abandonnant totalement aux désirs voraces de sa Maman. Une Maman violente et dure, et qui, tout en défonçant Miki, se faisait également défoncer. Quand la petite neko fermait les yeux, elle s’imaginait la scène, voyant leurs deux beaux bassins taper l’un à l’autre, les verges s’enfonçant dans un corps comme dans l’autre, les reliant ensemble. C’était... Elle trouvait ça
tellement beau, tellement... Tellement
mraw !!
Le gode de Maman Yuko s’enfonça profondément en elle, faisant silencieusement couiner Miki. Elle en avait presque des larmes aux yeux, mais, pour rien au monde, elle n’aurait voulu échanger sa place avec une autre femme. Oh que non ! Maîtresse Mélinda l’avait très bien formé, et, comme bien d’autres esclaves, Miki adorait qu’on lui défonce son petit cul. C’en était à ce point qu’au sein du harem, la sodomie semblait parfois être une relation sexuelle encore plus normale qu’un simple coït. Son cul la faisait souffrir, et Maman Yuko s’écrasa sur elle, plaquant la neko contre la table. Miki soupira en gémissant, sa queue caudale remuant légèrement le long des jambes de sa Maman, qui lui couina encore. Miki frissonna de plaisir quand elle lui avoua être sa «
pute chérie », et qu’elle continuerait encore à l’enculer, tous les jours... Pour Miki, qui détestait plus que tout la solitude, et qu’on ne s’occupe pas d’elle, c’était du pain béni à entendre.
Elle gémit quand le gode se retira de ses fesses, puis Maman Yuko se mit à la mordre. Miki se mit à gémir à nouveau, se pinçant les lèvres, mouillant comme une petite folle, salissant la table. Elle n’en pouvait plus, et elle avait profité de cette sodomie pour jouir, son corps se frottant contre la table, son clitoris glissant dessus. Quand on était une spécialiste du voyeurisme et du fétichisme, et qu’on s’amusait à vous regarder des scènes de sexe pendant des heures sans pouvoir rien faire, on apprenait à utiliser n’importe quelle occasion pour jouir, et Miki s’était déjà lâchée. Une flaque de cyprine s’étalait progressivement sur le sol, et se faire mordre le cul l’excitait tout particulièrement, l’amenant à avoir un second orgasme. Miki soupirait lentement, puis Maman Yuko la retourna ensuite, se dressant au-dessus d’elle.
«
Nyyyuuu... Maman Yuko est... Si belle... » avoua Miki en rougissant.
Elle était même
magnifique. Miki écarta les jambes, des jambes trempées. Sa combinaison en latex était salie. Maman Yuko s’allongea contre elle, et enfonça sa verge artificielle en elle. Cette dernière s’enfonça sans peine dans la fleur intime de Miki, tant les pétales de son sexe étaient ouvertes. Elle soupira, et tendit ses mains, agrippant la nuque de sa Maman. Elle se rapprocha d’elle, mais ne l’embrassa pas, ses lèvres se frôlant ensemble. Elle voulait l’entendre hurler... Et Miki ne tarda pas à hurler. Son cul lui faisait terriblement mal, comme s’il était en feu, et la pénétration de Maman Yuko n’avait rien de romantique. C’était brutal et violent, confirmant bien que le sexe, avant tout, était une relation de
violence. Miki couinait contre sa Maman, et cette dernière faisait remuer la table en la défonçant, relevant bien haut tout son corps, avant de l’abattre d’un coup sec.
«
MRRRRRRRRRRRRRRRRRAAAAWWW !!! MIAAAAAAAAAAAAAAAAAHHAAAAANNNNNNNNNN !! OUUUUUUUUUUUUUUUUUUIIII-HAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNN !!! NYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYUUUUUUUUUUUUUUUUU !!! »
Elle hurlait à s’en dégommer la gorge, sa petite main s’agrippant aux cheveux de la femme. Maman Yuko était plus musclée qu’elle, et la défonçait allègrement, lui explosant la chatte. Maman Yuko lui dit alors qu’elle voulait qu’elles jouissent ensemble... Ce qui, pour le coup, était râpé. Miki était tellement excitée qu’elle avait déjà atteint un troisième orgasme, mais semblait prête à en redemander encore, à devenir une véritable neko-fontaine en aspergeant le corps de sa Maman et la table. Elle était une vilaine fille, mais c’était plus fort qu’elle.
Ce qu’elle ressentait était tout simplement trop bon, et on pouvait voir sa langue se mettre à pendre sous les assauts répétés de Maman Yuko, sa salive sortant parfois de sa bouche. Elle ronronnait bien entendu furieusement.
Et elle mouillait comme une catin.
KATARINA
Venant de loin, Katarina entendit sa salope préférée hurler. Elle tourna la tête en urinant, sa main gantée agrippant fermement les cheveux de Yuka. Uriner sur ses esclaves était un truc qu’elle aimait bien faire, une manière délicieuse de les humilier et de les rabaisser au statut de «
moins-que-rien »... Ce qu’ils étaient en couchant avec elle. Gourmande, Yuka ne tarda pas à implorer à nouveau sa Maîtresse... Et se reçut un coup de cravache sur la joue, laissant une belle marque rouge.
«
Combien de fois devrais-je te frapper... Combien de fois devrais-je te punir pour... Pour que... Tu... Comprennes... Que c’est MOI... Qui donne... Les... ORDRES ! »
La cravache s’était abattue à plusieurs reprises supplémentaires sur chacune des joues de la femme, faisant siffler ses oreilles. Il y avait quelque chose de libérateur dans la violence, et on ne pouvait vraiment le comprendre que quand on foutait une raclée à quelqu’un. L’adrénaline s’emparait de vous, et avait un terrible effet dopant et annihilateur. Un délectable sentiment d’omnipuissance s’emparait de vous, au fur et à mesure que vous flanquiez des coups à l’individu qui est en face de vous, que ce soit un vulgaire quidam, ou une petite soumise.
Katarina se retourna, laissant Yuka reprendre son souffle, mais eut tout de même la tendance de lui mettre sur la bouche un
gag-ball. Elle le serra fort, puis se rapprocha de son placard, et sortit un fouet, et détacha ensuite Yuka, puis changea encore un peu sa configuration. Elle récupéra le
gag ball, mais mit un bandeau noir sur les yeux de Yuka, l’attachant solidement à l’arrière de sa nuque.
«
Laisse-toi faire, ma petite salope, je vais te corriger bien comme il faut. »
Katarina poussa Yuka, et l’aida à s’installer sur un chevalet (http://33.media.tumblr.com/aba6fc2f19e272d41d8287dc67930475/tumblr_mpywbhyqoo1ssw5kxo1_500.jpg), attachant ses mains sous ce dernier, ses pieds bien écartés, lui offrant une vue magnifique sur son bassin. Yuka consentit alors à lui retirer les deux godes, et, comme elle s’y attendait, un jet de mouille se mit à fuser de l’intimité de son esclave, salissant le sol.
«
Quelle traînée... Tu me salis tout ! »
Ça méritait bien une petite
punition, surtout quand ce cul était si généreusement offert. Katarina attrapa, non plus une cravache, mais un fouet, et, pendant une bonne minute, elle fouetta à nouveau Yuka, l’insultant copieusement entre chaque coup de fouet. Le fouet claquait sur son dos, ses jambes, mais se concentrait principalement sur son cul, rebondissant sur chacune des deux belles fesses de la femme.
«
SALOPE !! TRAÎNÉE !! PUTE !! SALE CHIENNE !! PUTE !! PUTE !! PUUUUUTE !!! »
Qu’on ose dire, ensuite, que les femmes étaient douces entre elles !
Katarina cessa de la fouetter, et se concentra ensuite un peu. Elle posa ses mains gantées sur le bassin de la femme, et une verge se mit à pousser de son corps, venant taper contre les fesses de la femme.
«
Haaan !! Je me sens mieux quand je l’ai sorti !! »
Pinçant les fesses de la femme, elle poursuivit ensuite :
«
Comme je suis gentille, je vais te faire une fleur... Choisis quelle partie de ton anatomie tu veux que ma verge défonce : ton cul, ou ta petite fleur. Ton autre trou sera rempli par l’un de mes godes, afin que tu sois comblée, ma petite salope adorée. »
Si, avec ça, sa salope ne s’asseyait pas sur un énorme coussin rembourré en sortant d’ici...
-
Yuko
Yuko l'avait retournée, prête à la prendre de façon plus traditionnelle bien qu'elle allait aussi adorer cette façon comme la précédente. Sa mère était fière d'elle, allongée sur elle, malgré la douleur entre ses lèvres intimes, elle continuait de la défoncer, toujours de façon plus brutal, ne pouvant que y aller à fond. Faire dans la douceur avec Yuko, c'était possible, surtout avec une neko. Mais ce n'était clairement pas son envie pour le moment, elle voulait la baiser autant que la faire souffrir. Si Miki aurait été bien plus jeune, bien sûr elle en aurait eu des câlins, des bisous et toutes sortes de petites attentions mignonnes. Mais Miki actuellement semblait avoir son âge à peu près et elle était une grosse salope alors la Karistal ne pouvait pas aller dans le sens inverse de ses envies, elle voulait plus, toujours plus! Plaquée contre elle, son bassin était moins collé, toujours plus loin pour mieux la pilonner de plus en plus fort, ses assauts étaient comme ses allaitements, plus fort, plus fréquent, plus proche de la jouissance. Voir son visage torturé par le plaisir et la douleur, sa petite bouille, sa petite langue baveuse, elle était trop craquante! Yuko, malgré son regard noir de sadisme avait une petite lumière rose dans les yeux. Trop choupi! Mais le sadisme revenait au galop, alors que ses gémissements cessaient quelques secondes alors qu'elle crachait dans la bouche de sa petite super salope. Pourquoi donc? Car elle était sa maîtresse, sa mère, elle avait le droit, tout simplement.
« Putain de... PUTE!!! Je vais... t'en donner plus! »
Approchant son visage du sien, presque trop rapidement, elle saisit sa petite langue entre ses dents, la serrant assez pour lui faire comprendre de ne pas la retirer avant qu'elle ne suce cette même petite langue. La sienne frottant celle de la neko, ses coups de bassin reprenaient de plus bel avant qu'elle ne cesse de s'occuper de sa langue, léchant plutôt cette délicieuse et ravissante cicatrice sur sa joue. Avec ses cheveux blonds et court, sa petite bouille d'amour, ce petit détail sur sa joue, Miki était juste trop craquante! Yuko y allait de plus belle pour défoncer sa petite chatte en soufflant de plus en plus sur sa petite salope, son souffle chaud sur sa joue. Elle attrapa la tête de sa chose pour la redresser, plaçant sa bouche près de son oreille pour mieux lui hurler sa jouissance dans un premier temps...
« HHHHHHHHYYYYYYYANNNNNN!!!!! »
Elle laissa un petit temps de pause, de blanc dans son orgasme, laissant sa cyprine couler entre ses jambes tremblantes, sans lâcher la tête de Miki afin de pouvoir continuer à lui parler à voix absse maintenant.
« Sale trainée... petite putain de neko, ta aimée tout ça hein? Même la pire des putes des bas quartiers aurait au moins un peu détesté ça! »
Vu ses paroles, on pourrait croire que Yuko était un peu frustrée mais en libérant sa tête, son visage était redevenue celle de la douce Yuko, gentille et attentionnée, un sourire presque innocent et infantile sur le visage. Elle lui caressa même le visage en se redressant doucement, retirant le gode en elles avec une certaine grimace de plaisir. Elle était vraiment redevenue la gentille Yuko puisqu'elle venait même soulever Miki comme une petite neko en la prenant dans ses bras afin de poser ses fesses dans le gros fauteuil bien rembourré de la pièce. Gardant Miki dans ses bras, une de ses mains l'entourait pour la garder assez redressé, son visage près du sien, la seconde caressa tout en douceur ses lèvres intimes. Pas de façon sexuelle, plutôt comme elle caressait un chat. Une chatte en l'occurrence.
« Oh désolé ma petite Miki, Maman ta pas fait mal au moins mon petit minou? Je suis désolé de t'avoir défoncé ta petite chatte adorée. Tu m'en veux pas au moins mon petit trésor poilu? Je suis sincèrement désolé ma chérie, tu ne m'en veut pas au moins? »
Yuko restait très câline, frottant sa tête sur sa joue, son nez contre le sien, on était en droit de se demander s'il y avait une part de vérité dedans? Surement... mais à quel point? Yuko jouait simplement ce rôle, voulant chercher de l'empathie chez Miki pour qu'elle avoue avoir aimé, adoré même le traitement qu'elle a subi.
Yuka
Oui, elle en prenait plein le visage et le cul mais Yuka était une vraie soumise, elle adorait être rabaissée, battu. Tant que ça reste sexuel bien sur. Et oser demander à Katarina, c'était sa façon de lui en demander plus... comme elle le disait si bien d'ailleurs. Tout cela était volontaire car Yuka le voulait, si elle ne voulait pas être frappée, elle se serait tenue à carreau comme la plus docile des esclaves. Mais non, elle voulait plus, plus loin. Les coups de cravache au visage faisait mal, lui offrant presque les larmes aux yeux mais même dans cette douleur, elle appréciait la chose alors qu'elle était détachée pour mieux être installé sur un chevalet, attaché aux pieds et aux mains, la Karistal se fit offrir un bandeau sur les yeux pour ne rien voir. Sa dernière image avait été le fouet que Katarina avait pris en main. Le gag-ball en bouche, elle eut un soupir apaisant en sentant sa culotte godé être retiré, peu importe si elle jouissait sur sa neko ou non, elle adorait cette sensation de libération. Ce qui lui valut de nombreux autres coups de fouet sur le cul principalement. Mais comme elle était dans le noir, elle eut un frisson ensuite en ressentant quelque chose de chaud sur ses fesses... Hermaphrodite? Katarina était une VRAIE Hermaphrodite? Futanari? Shemale? Elle la voulait, un point c'est tout!!!! Fini le simple désir, elle la voulait, une neko diabolique et membrée, ça, c'était de la rareté!
Bien sur vue sa position, elle ne pouvait pas vraiment lui répondre mais quand elle sous-entendait de s'occuper de son vagin, elle remua la tête, tentait de dire OUI, ô combien elle désirait être prise comme ça! De plus, d'un point de vue pratique, Katarina pourra jouer avec un gode plus facilement. C'est surtout que même si les chances de tomber enceinte d'une futanari étaient proches du zéro d'après les rumeurs, Yuka voulait tenter la chance. Avoir un bébé neko dans le ventre était le rêve des Karistal. Mais alors, pourquoi ne pas voir cela avec un neko tout simplement? Car leur père se méfiait de leur âge comme des mâles, il ne voulait pas voir ce genre de chose arrivée. Il voyait ses filles comme deux ravissantes petites filles mais dans ce genre de situation, il voyait bien que ses filles avaient grandi. Et les voir en compagnie de neko femelle était plus rassurant pour lui, imaginant surement qu'elles étaient de simples servantes? Enfin bref, Yuka attendait patiemment ce membre s'infiltrer en elle et elle se cambra de plaisir en la sentant en elle! C'était ça le vrai bonheur! Même si par la suite, il y avait aussi un gode qui s'infiltra dans son arrière-train, elle adorait surtout qu'on la prenne avec un vrai pénis.
Alors si en plus, il s'agissait d'une neko démoniaque... elle ne s'en lasserait jamais! Se cambrant, elle tentait d'exprimer son plaisir mais elle ne pouvait rien dire avec ça en bouche, à peine gémir plus que d'jhabitude, remuant du mieux qu'elle le pouvait son bassin pour satisfaire Katarina. Elle était aux anges. Le mieux serait de lui faire face, de pouvoir parler, lui prouver oralement qu'elle adorait ça mais pour le moment, elle se contentait très bien de ça.
-
MIKI
Oh, que c’était intense ! Oh, qu’est-ce qu’elle prenait ! Maman Yuko lui défonçait le sexe en la prenant contre la table, se lâchant de plus en plus, faisant rebondir la table le long de leurs mouvements. Miki n’était plus qu’un objet sexuel se faisant défoncer par sa Maman, une femme qui la prenait en léchant son visage, s’attardant sur sa cicatrice. Miki miaulait furieusement en serrant ses mains sur les épaules de la femme, hoquetant et gémissant, poussant finalement de longs hurlements, des larmes coulant le long de ses joues, que ce soit sous l’effet du plaisir ou de la douleur, les deux étant intenses en elle, explosant dans son corps. Ah, on l’avait rarement baisé comme ça, avec tant de force ! Maman Yuko la défonçait joyeusement, puis finit par jouir en elle, s’abandonnant dans son corps.
Miki s’était fait copieusement insulter, copieusement défoncer, et Maman Yuko la prit ensuite dans ses bras, et la conserva contre elle, allant s’asseoir sur un gros fauteuil. La pauvre petite neko était épuisée, de la mouille coulant le long de son corps, et elle se retrouva contre sa Maman, qui changea de comportement. Après avoir tiré son coup, elle était douce, et, surprenant Miki, elle en vint même à s’excuser, lui demandant si elle n’y avait pas été trop fort avec elle.
«
Meeaawww... »
Répondre était pour l’heure difficile, car Miki était fatiguée. Maman Yuko ne l’avait pas ménagé, comme si elle avait été emportée dans une frénésie de sexe.
«
Mi... Miki ne peut pas en vouloir à sa Maman de lui faire l’amour... Miki a adoré se faire tringler comme une pute... »
En réponse, elle alla lui lécher la joue, avant de légèrement glousser, comme une petite fille heureuse, et d’enfouir sa tête dans son cou, ronronnant tendrement. Elle était fatiguée, mais heureuse, apaisée après cette séance de sexe folle. Maman Yuko l’avait bien baisé, et Miki en avait mal au dos, ainsi qu’au reste du corps... Un peu partout, en fait. Tout son corps était un amas de douleur et de plaisir. Elle était fatiguée, oui, mais ce n’était pas pour autant qu’elle allait cracher sur ce qu’elle avait vécu.
Comment l’aurait-elle pu ?
KATARINA
Plantée devant elle, attachée au chevalet, Yuka était délicieuse à voir. Son corps écartelé lui offrait une vue magnifique sur sa croupe, sur ce bassin qui n’attendait qu’à se faire prendre. Katarina était alors loin de se douter des réels projets des deux jumelles, et sa queue lui faisait mal, demandant à défoncer de la chatte... Ce qui tombait bien, car c’était précisément ce que Katarina comptait faire. Elle s’avança vers la femme, et posa ses mains sur ses hanches, puis enfonça d’un coup sec sa verge dans son vagin, ayant bien compris que c’était là ce qu’elle voulait.
Sa verge s’enfonça violemment en elle, et Katarina claqua ses fesses, puis entreprit de la prendre, remuant en elle d’avant en arrière, profondément, lourdement, la baisant sans ménagement. Elle haletait et grognait, ronronnant de plaisir, et ne tarda pas à enfoncer un gode dans le fondement de Yuka, puis raffermit sa prise sur son cul.
«
Hum-hummm... Putain !!! Haaaaannn, nyyyyyaaaaaaa, que t’es bonne !! »
Elle ronronnait de plaisir, et elle la prenait fougueusement, ses griffes s’enfonçant dans sa chair, le chevalet servant de mur, permettant de faire rebondir le corps de Yuka contre le chevalet, amenant l’objet à remuer un peu, soulevant parfois le corps de Yuka, qui rebondissait contre le sien. Katarina soupirait de plaisir, poussant de longs miaulements en continuant à la prendre. Elle y allait avec autant de force que Yuko contre Miki, donnant des claques supplémentaires sur ses fesses. Pendant de longues minutes, elle la prit ainsi, sa queue tendue s’enfonçant en elle, dans un long coït... Jusqu’à ce qu’elle finisse par jouir en elle, et ne la relâche.
«
Haaa... Mmmmhmmm... »
Sa main caressa les cheveux de la femme, un sourire sur le coin des lèvres.
«
Tu étais très délicieuse, ma petite esclave... »
Katarina se sentait bien mieux, maintenant, après l’avoir torturé et violé, et elle se demandait si le moment n’était pas venu, pour elle, de voir dans quel état se trouvait sa petite Miki.
«
Tu as envie de revoir ta sœur, petite traînée ? Je suis sûre qu’elle adorera te revoir... »
-
Du côté de Yuko, c'était un petit paradis en nuage rose, Miki était dans ses bras, aussi douce que câline, l'une comme l'autre. L'un des bras de Yuko entourrait la neko pour la rassurer, sa seconde main caressait sa petite chatte si violemment prise juste avant. Yuko était aussi douce qu'une vraie maman mais là, il était question de douceur avec sa petite pute, de rien d'autre. Mais dans ce petit bonheur, la porte s'ouvrit à nouveau, laissant ressortir Katarina et Yuka dans une nouvelle tenue, fatiguée mais heureuse. En voilà une qui a aussi profité de ce moment. Yuko resta souriante en observant la neko démoniaque dans les yeux et une fois assez proche, elle voulait savoir où en était son plan.
« Alors Katarina chérie, prête à te joindre à nous? »
Mais vu sa mine surprise et Yuka qui semblait avoir oublié quelque chose, elle comprit que sa soeur avait encore tout fait de travers!
« Mais merde, c'est pas compliqué d'arrêter de penser à ton plaisir et à un peu penser à nous?! »
« J'ai oublié! Elle m'a pas beaucoup laissé le temps de parler je te signale! »
« Raison de plus! Quelle trainée tu fais... penser d'abord à ton plaisir avant le notre, égoïste! »
« Putain! »
La situation était moins chaotique qu'elle ne laissait paraître, là, elles s'entendaient plutôt bien. Yuko se relevait doucement en laissant Miki dans le fauteuil. Elle lui embrassa le front en lui murmurant quelques mots doux avant de s'avancer vers Katarina, déambulant son fessier, son string à peine remit, un gant manquant, sa poitrine à nouveau cachée, elle observa Katarina avec son petit sourire charmeur.
« Ce que mon idiote de soeur a oublié de te dire ma chérie, c'est qu'en association avec Mélinda, nous allons ouvrir un autre harem que nous dirigerons en Ashnard. Et tu vois, vous me plaisez tellement que je vous veux toutes les deux dans notre harem, dans un premier temps pour jouer les instructrices. Miki va apprendre à certaines à être des putes dociles parfaites, quand à toi, tu auras deux rôles. Apprendre le métier à celles qui se sentent dominantes et vérifier si les autres petites putains comme Miki sont de bonnes putains. Tu auras le droit à toutes sortes de combinaisons, de fouets et autres jouets. Tu seras aussi bien traitée qu'ici ma puce. »
Yuko s'était déjà collé à elle, l'embrassant délicatement en caressant son dos mais elle baissa rapidement une main entre leur jambes, alors qu'elle allait prendre cette petite bosse en main, la masturbant doucement en donnant de nouveaux arguments... de poids.
« Tu auras tout un tas d'autres avantages hmm... en nature. Tu pourrais encore baiser cette pute mais tu pourrais surtout faire l'amour avec moi ma Katarina d'amour. Ça t'excite pas de baiser avec moi? Je pourrais même me montrer très docile avec toi si tu te montres performante. »
Elle frotta volontairement son sexe sur le cuir de sa culotte rouge, la guidant sans forcer vers son antre mais elle ne pouvait pas la pénétrer de cette façon malheureusement.
« Si Mélinda est d'accord, je serais très heureuse de vous avoir avec nous. Je te ferais une place au chaud dans notre lit que tu voudras, tu sera ma petite poupée dominante, je te ferais ronronner comme jamais on t'a fait ronronner mon minou d'amour. »
Son souffle chaud caressa sa joue, même si elle avait volontairement traité Katarina de « petite » poupée dominante, elle assurait ses arrières, elle la voulait dans son harem... et elle l'aura.
« Dis-moi oui, chérie... »
Sa langue se mit à caresser sa joue, attendant la réponse à son envie...
-
La longue séance de sexe était terminée, et Katarina était sûre que sa cliente était conquise. Elles sortirent, et, alors que la neko démoniaque pensait simplement leur ouvrir la porte pour leur dire d’aller voir ailleurs, Yuko avait quelque chose à lui dire... Quelque chose qu’elle fit en l’entrecoupant de baisers, après avoir réprimandé sa sœur pour n’avoir pas su en parler à Katarina. À son corps défendant, Yuka n’avait effectivement pas trop eu le temps d’engager la conversation. Pour Katarina, il y avait un temps pour tout : baiser comme des hyènes déchaînées, ou papoter comme de vieilles morues fatiguées sur un banc un Dimanche après-midi dans un parc. Yuko lui expliqua qu’elle avait passé un arrangement avec Mélinda pour ouvrir un nouvel harem, et que cet arrangement, visiblement, impliquait un transfert d’esclaves. Yuko voulait Katarina et Miki. Miki, elle, restait assise dans un coin, épuisée, mais écoutant tout de même. Comme elle l’avait expliqué à Yuko, son choix serait celui de sa Maîtresse, mais il allait falloir la convaincre, car être séparée physiquement de sa Maîtresse risquait de la déprimer énormément. Katarina, elle, était un peu plus autonome. Ses gènes de neko appréciaient beaucoup Maîtresse Mélinda, car la vampire lui avait permis d’avoir un rôle et un métier, au lieu de finir comme souillonne dans les bas-fonds ashnardiens, vu sa nature de métèque. En revanche, son côté démoniaque appréciait beaucoup l’idée de former des putes à devenir... De meilleures putes.
Yuko avait l’air d’avoir le chaud au cul, et, vu les gouttes de sueur et les signes évidents de fatigue sur son corps, elle n’avait pas chômé avec Miki. Même Miki, sa « super-salope », semblait éreintée, assise dans un coin, reprenant son souffle. Or, Yuko se frottait contre elle, une lueur de désir brûlant au fond des yeux. Face à elle, Katarina sentait sur ses lèvres sa respiration accélérée. Elle réfléchit brièvement, car ce n’était tout de même pas une décision à prendre à la légère. La langue de Yuko fila ensuite sur la joue de la neko démoniaque, et un ronronnement lui échappa, la faisant intérieurement râler sur sa nature hybride.
« Hum... Et bien, en supposant que vous ayez l’accord de la patronne des lieux – et j’insiste sur ce point, je dirais que pouvoir fouetter le petit cul de ta sœur est un plaisir trop grand pour que je m’en prive... Ça, plus la perspective de baiser et de martyriser des salopes comme cette traînée de Miki. »
En gros, c’était donc un « Oui », qu’elle ponctua en embrassant Yuko, plaquant ses lèvres contre les siennes. Yuko était une dominatrice, Katarina le savait, et elle savait que les deux risquaient de rivaliser l’une avec l’autre. Avec Mélinda, les choses étaient claires, car c’était autant le côté neko que le côté démoniaque de Katarina qui lui étaient dévoués. Katarina la respectait en tant que neko, parce que Mélinda lui avait offert de l’affection, un logis, et elle la respectait en tant que démone, parce que la vampire lui avait offert un fouet, et la perspective d’épancher son sadisme et sa cruauté. Autrement dit, la seule chose que Yuko lui offrait, d’un strict point de vue démoniaque, était la perspective d’avoir une rivale, et l’idée de savoir laquelle inspirerait le plus de respect et de crainte dans les yeux des futurs esclaves était en soi une promesse trop alléchante pour la repousser. Katarina en mouillerait déjà presque.
Mais, pour l’heure, tout était effectivement subordonné aux lèvres de Mélinda, et Katarina était sûre que les deux jumelles ne lui avaient pas parlé de ça... Un sourire naquit sur les belles lèvres de la femme, qui frotta son nez contre celui de Yuko.
« Vous feriez mieux d’aller voir la Vampire... En conservant vos tenues sexy, ça la rendra plus conciliante. »
La tenue rouge en latex pour Yuko, et la tenue de soumise pour Yuka. Le meilleur moyen de convaincre Mélinda était d’insister sur le sexe.
La vampire se trouvait, pour sa part, dans son bureau, en train de signer des papiers et de lire des actes... Et, ma foi, elle commençait à s’ennuyer, car lire et signer des papiers n’était pas l’activité la plus palpitante qui soit. Et, de plus, elle repensait de plus en plus aux jumelles.
*J’espère qu’elles vont bien... Depuis le temps qu’elles sont là, je pense que ça doit être le cas...*
Le contraire serait étonnant.
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Que le diable avait été si gentil en offrant ses gênes démoniaques à cette neko, ça la rendait plus qu'excitante, elle se laisserait volontiers baiser par cette neko non sans jouer un peu avec elle. Pas question de se servir sur un plateau d'argent pour ses beaux yeux. Elle restait collée à elle en se frottant contre elle, pendant que Yuka venait caresser Miki qui semblait bien fatiguer elle aussi. Toutes les deux étaient des soumises et s'entendraient comme cul et chemise. Mais l'une comme l'autre, sous la ceinture, ce n'était pas encore ça, la douleur de leur maîtresse était encore présente. Katarina était d'accord pour les suivre avec l'accord de Mélinda, ce qui est logique mais qu'elle se rassure. Les Karistal feront tout pour boucher le manque de leur maîtresse vampire et bien entendu, elle pourra baiser Yuka comme bon lui semble. Ce n'est pas elle qui dira le contraire mais inutile de crier victoire trop vite. Yuko lui souriait en gloussant, venant frotter son petit nez contre le sien.
« Et la chance de pouvoir baiser avec moi aussi... Crois pas que je te quitterais sans gouter à cette belle queue que tu caches! »
Ce qui veut dire que si Mélinda refuse, elle allait quand même avoir la visite de Yuko pour la baiser quand même... ou se faire baiser? Eh, qui sait, c'est si rare une neko démoniaque qu'il faut savoir profiter de l'occasion. Mais son idée était intéressante, toute façon, la robe de Yuka était déchirée mais la sienne était encore intacte. Elle devait juste récupérer un de ses gants qui trainait dans la pièce.
« Bonne idée ma chérie. Tu veux bien faire quelque chose pour moi, mettre mes affaires dans un coin, même la robe de Yuka que tu as déchirée. Tu m'installes ça bien comme il faut et si l'envie t'en prend, je ne t'en voudrais pas si tu mouilles sur ma robe... ou même si tu te masturbes dessus... »
Yuko venait l'embrasser une dernière fois avant de récupérer son gant dans un coin avant d'aller embrasser le front de sa petite Miki en promettant de la revoir bien vite. Elle quitta la pièce avec Yuka mais avant de fermer la porte, elle embrassa sa main pour envoyer un baiser voler à Miki comme à Katarina. L'heure de s'amuser étant passé, il était temps de continuer à parler affaires avec Mélinda Warren, toujours l'heure de se mettre au point sur les nekos. Les jumelles avançaient ans les couloirs du harem dans leur ravissante tenue, demandant à une maid le chemin du bureau de Mélinda. Une fois devant, Yuko frappait à la porte et l'ouvrit juste après pour se dévoiler dans sa charmante tenue, tout sourire. Yuka en fit de même en refermant la porte. Yuko et Yuka se rapprochaient de Mélinda, venant lui baiser la joue avant de poser leurs fesses sur son bureau, écrasant les papiers avec leurs charmantes petites fesses.
« Merci de nous avoir présenté ses deux charmantes nekos, elles sont a-do-ra-ble! Mais voilà, j'ai une proposition à vous faire ma chère Mélinda. Pour l'ouverture de notre harem, j'aimerais obtenir l'aide de Miki pour former les futures esclaves pour devenir de parfaites petites soumises et bon et due forme! »
« Ainsi que Katarina pour former celles qui ont du caractère et ainsi vérifier le travail de Miki sur les autres filles. »
« Bien entendu, nous n'allons pas vous priver de deux charmantes nekos sans rien en retour. Je vous proposes donc de venir nous voir prochainement et choisir deux esclaves de notre petite cabane. Cela pourra toujours faire de nouveaux visages pour votre harem et vos clients. Un mal pour un bien. »
Yuko se penchait en arrière, posant ses mains gantées sur le bureau pour se retenir en croisant les jambes, quitte à faire crisser le cuir rouge. Yuka aussi l'observait avec désir et bonheur en souriant. Elle se tenait sagement sur le bureau, montrant une fois de plus le caractère des jumelles. Une sage et soumise et l'autre qui prend plus ses aises.
« Nous sommes naturellement prêtes à aller plus loin pour vous faire dire oui, Mélinda... Katarina nous a prêté ses charmantes tenues et... Je suis sûre et certaines que cela ne vous laisse pas indifférentes... »
Yuko passait son index entre ses seins pour descendre vers son nombril pendant que Yuka se caressait la joue, son petit doigt venant dévoiler sa lèvre inférieure, une vraie petite coquine...
-
Mélinda admettait volontiers être assez curieuse de savoir comment les choses s’étaient passées entre les Karistal et ses esclaves. Elle ne se faisait en soi pas de soucis, mais Mélinda était ainsi : une professionnelle toujours assez nerveuse, surtout quand elle avait de nouveaux partenaires commerciaux. Ce qu’elle s’apprêtait à faire était assez risqué, et très inédit pour elle : s’ouvrir, exporter son activité en ouvrant des succursales, le tout en s’associant avec des personnes qui ne lui étaient pas soumises. Elle qui avait reposé toute son existence sur le contrôle absolu de ce qui l’entourait se retrouvait ici dans une situation où elle laissait une part de mystères rentrer en elle, afin de se mêler à ses activités. Même si elle y était forcée par la force des choses et par le succès de son harem, elle était dans la situation que n’importe quelle personne craignant pour des choses inédites, envisageant les pires scénarios possibles. Les Karistal pouvaient la doubler, ou être mécontentes du produit, exiger remboursement, vouloir renégocier le contrat en trouvant un moyen de le tourner à leur faveur... En somme, beaucoup de choses pouvaient arriver, et c’est dans cet état d’esprit qu’elle vit les deux femmes entrer dans son bureau.
Elles avaient changé de tenues, et Mélinda comprit vite que, de tous les scénarios possibles, c’était le plus satisfaisant qui avait eu lieu : elles voulaient Katarina et Miki ! Mélinda vit rapidement, à leur posture, que, si les deux femmes étaient de grosses perverses, l’une était clairement dirigiste, et l’autre soumise. Les deux semblaient décidées à obtenir Miki et Katarina, et la vampire se bornait à les écouter, n’ajoutant rien. Vu la manière dont Yuko se trémoussait, faisait crisser son latex, et se caressait avec ses doigts, Katarina et Miki avaient vraiment dû se surpasser. Les deux nekos formaient un très beau couple, Miki étant une grande soumise, et, inversement, Katarina une dominatrice sadique, son sadisme étant en partie motivé par sa nature hybride, créant, aux yeux de Mélinda, un cercle vertueux.
*Évidemment qu’elle allait leur plaire, les nekos mettant au monde des hybrides démoniaques et terranides ne sont pas légion...*
La vampire se retrouvait face à ces deux femmes, sentant sur elles le goût du sexe, du sexe sauvage et débridé. Elles avaient dû faire sauvagement l’amour, et ce d’autant plus qu’elles étaient parties plusieurs heures. La maîtresse de maison voyait les marques sur le corps de Yuka, à travers sa fine tenue noirâtre de soumise. Elle avait souffert, et leur sang bouillonnait, témoignant de leur forte excitation sexuelle... Autant de choses, autant de détails, qui, assez rapidement, émoustillèrent beaucoup la vampire. Elle s’humecta les lèvres, et sa main vint caresser le collant rouge de Yuko, glissant lentement dessus.
« On dirait que cette tenue a été faite pour toi, Yuko... »
Reprenant peu à peu l’usage de sa verve, la belle vampire se pencha en arrière sur son fauteuil, observant les deux femmes. Elles s’étaient assises à gauche et à droite, l’immobilisant sous le sexe et les promesses lubriques. Deux perverses qui avaient le feu au cul, attendant leur gros extincteur pour l’éteindre. Mélinda s’humecta les lèvres, esquissant un léger sourire, puis elle se releva.
« Très bien... Néanmoins, pour vous confier deux de mes chéries, il va falloir que vous m’offriez une bonne caution... »
Un sourire naquit sur ses lèvres.
« Suivez-moi, mes chéries... »
La vampire sortit de son bureau, et rejoignit tout simplement sa chambre. Elle était en hauteur, et c’était une belle pièce, avec un grand lit rouge, des fauteuils, et un grand balcon.
« Donc, vous voulez Miki et Katarina... J’en déduis qu’elles ont dû vous marquer. »
Mélinda marchait un peu, et s’assit sur un fauteuil, face aux deux femmes. Elle se mordilla les lèvres, en sachant très bien comment les choses allaient ensuite se passer.
« Montrez-moi votre motivation, mes petites... Embrassez-vous... Tendrement. »
Yuko étant la plus autoritaire des deux, la vampire allait avoir des idées, qui commençaient à fuser dans son esprit.
-
Les Karistal étaient ravies de leur petit jeu avec les nekos, là-dessus rien à redire si ce n'est qu'elles ne sont pas à elles mais cela était un détail. Maintenant, il faut faire en sorte que Mélinda accepte de leur prêter ses deux adorables nekos pour un temps indéterminé. Yuko comme Yuka jouait sur la séduction, elles étaient prêtes à aller plus loin avec elle, elles les voulaient ses deux nékos et tant pis si elles doivent y vendent leur corps, ce ne sera pas la première fois et ce n'est pas la dernière. Après tout, Mélinda Warren avait un certain charme non négligeable alors autant joindre l'utile à l'agréable. Elle caressa la cuisse de Yuko, elle aussi se trouvait sexy dans cette combinaison mais elle la rendrait à Katarina, ce sera simple d'avoir la même chose chez elles. Suivant la belle vampire à sa chambre, elles souriaient aux quelques servantes dans les couloirs mais une fois dans sa chambre, elle avait une façon amusante de voir les choses.
« Oh ça oui, elles nous ont marqués par leur présence comme par leurs coups. Enfin, certaine plus que d'autres... »
Yuko et Miki, c'était Miki qui avait sacrément pris mais Yuka avait été servie avec Katarina chérie. Mélinda prenait place en demandant une chose simple aux jumelles. Elles pensaient que ça aurait été quelque chose de plus personnelle avec elle, une petite gâterie mais ce n'était que le début après tout. Juste s'embrasser, elle s'attendait à plus venant d'une gérante de harem, après tout, elle devait certainement avoir des jumelles parmi ses filles mais soit, si cela pouvait lui faire plaisir. Yuka se rapprocha d'elle et Yuko eut un dernier sourire pour Mélinda avant de caresser le dos de sa sœur, remontant sa main vers ses cheveux, la seconde pelotait ses délicieuses petites fesses torturées par Katarina. Le baiser était très tendre, lent et doux avec Yuka qui se laissait faire comme sa poupée. Elle avait toujours été sa chose. Même si une semaine sur deux, elle a tous les droits sur sa sœur, elle ne le fait que pour obtenir sa vengeance toujours plus cruelle et poussée et Yuko savait y faire avec ça. Yuka en profitait aussi, sa main était aussi sur l'une de ses fesses et la seconde posée sur la hanche.
Yuko avait toujours un petit regard pour Mélinda qui devait savourer ce spectacle, ce qui plaisait aussi à Yuko. Elle adorait qu'on la savoure des yeux de la sorte. Mélinda voulait du tendre mais Yuko allait lui obéir même si elle va y mettre sa pointe de Yuko Karistal dans tout ça. Sa main dans les cheveux de sa soeur, elle empoignait ses cheveux pour les tirer doucement en arrière, de façon à ce que Yuko soit au-dessus d'elle, même si elles continuent leur baiser. Ouvrants leurs bouche, elles s'embrassaient en montrant à la belle vampire tout leur mouvement de langue, l'une se frottant contre l'autre, n'ayant aucune honte à montrer leur amour incestueux. Oh bien entendu, ses parents n'en savaient rien mais cela était si bon... Elles n'iraient pas jusqu'à se marier entre elles, toutes les deux rêvaient d'une tendre moitié neko pour donner naissance à de sublimes chatons. De préférence des furrys. Yuko se redressa doucement, laissant sa langue pendre, laissant sa bave tomber dans la bouche de sa soeur qui gémissait, en demandant toujours plus.
« Vous aussi Mélinda, vous devez avoir votre petite pute favorite? La mienne, la voici! »
Yuko recommençait à approcher sa bouche de la sienne pour attraper sa langue et la sucer comme un petit bonbon, laissant entendre les bruits de succions avec les gémissements de Yuka pour réchauffer l'ambiance. Yuka était certes une pute qui aimait offrir son cul à celle qui avait le meilleur fouet mais c'était sa soeur qui la connaissait le mieux, qui savait la faire jouir en deux temps, trois mouvements. Yuko cessa cela pour aller dans son dos, embrassant son cou en venant lui caresser la poitrine d'une main et en la doigtant avec l'autre.
« Voulez-vous jouer avec ma petite pute ou alors je dois vous en montrez plus? N'hésitez pas à profiter du spectacle en vous faisant plaisir... nous sommes là pour ça. »
D'autant que se faire jouir dessus ne déplairait pas à Yuka, cyprine ou sperme.
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Inutile de se presser, Mélinda et les deux jumelles avaient tout le temps devant elles. Elle leur avait demandé de commencer par quelque chose de doux, mais qui, en même temps, ne serait pas totalement inintéressant. Un simple baiser entre jumelles permettait déjà de voir, d’une part, si elles étaient versées dans l’inceste (ce en quoi Mélinda n’avait pas trop de doute), et, surtout, d’autre part, si ses soupçons sur la partie dominante du couple étaient justifiées ou non... Elle vit ainsi Yuko tirer sur les cheveux de sa sœur, abaissant son visage, durant leur long et sensuel baiser, un baiser langoureux, long, où les langues se mélangeaient volontiers, et où les mains venaient s’attarder sur les parties intimes. Depuis sa position, la vampire sentait le désir fourmiller dans son bas-ventre, un désir stimulé, non seulement par le spectacle de ces deux femmes en train de s’embrasser, mais aussi par le sang qui bouillonnait dans leurs veines. Elles étaient de vraies coquines, qui avaient passé plus d’une heure en compagnie de Katarina et Miki, et qui, pourtant, en redemandaient encore. Dans sa tenue rouge, Yuko était tout simplement ravissante, et les idées perlaient dans l’esprit de Mélinda.
*C’est une dominatrice qui n’a peur de rien...*
Cette idée se répétait dans la tête de la vampire, trottant dans son crâne, avec tout ce qu’elle impliquait... Une dominatrice qui ne craignait rien, et surtout pas les défis. Traitant sa sœur de « pute », elle la lui offrait sur un plateau d’argent, et, dans la tête de la vampire, les hypothèses se multipliaient à toute allure. Ce couple lui offrait de nombreuses possibilités, de nombreux plaisirs, et elle devait choisir, trier ses fantasmes et ses désirs, tout en regardant ces deux femmes se faire mutuellement plaisir. La vampire restait donc silencieuse, puis finit par se redresser.
Yuko lui avait proposé de jouir sur le corps de Yuka, mais Mélinda avait, ici, une idée un peu différente. D’un mouvement du doigt, elle défit sa robe, qui tomba mollement sur le sol, et elle se déshabilla, finissant nue. Une posture qui ne la dérangeait nullement, et elle se rapprocha des deux femmes, venant se glisser dans le dos de Yuka. Ses mains se posèrent sur ses hanches, et elle l’embrassa dans le creux de la nuque, mordillant un peu sa tendre peau.
« J’ai une autre idée... Puisque c’est ton rôle, Yuka, tu vas être notre belle pute. »
Pour l’heure, en tout cas... Mélinda lui gifla ses fesses, puis s’écarta un peu.
« Je vais te donner une potion qui devrait te faire plaisir, Yuko... »
La vampire s’écarta du duo, et alla chercher une petite potion. Elle se trouvait dans un flacon en verre, et la vampire la remit à Yuko, avec un petit sourire sur le coin des lèvres.
« Bois ça, ma belle, et nous défoncerons ta sœur ensemble... »
C’était une potion d’hermaphrodisme, et, tandis que Yuko la buvait, Mélinda, elle, se concentra, et fit sortir sa verge, qui se mit à pointer hors de son corps dans un long soupir. Elles allaient la prendre en sandwich, et, pour Mélinda, ce serait un très bon début. Les deux femmes voulaient ses nekos, et elles allaient devoir prouver qu’elles pouvaient les avoir... Mais, honnêtement, Mélinda ne se faisait pas trop de doutes.
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Yuko n'avait aucune gêne à présenter sa sœur comme un jouet, c'était ce qu'elle était de toute façon. Et même dans cette intimité partagée avec Mélinda, Yuka ne dirait pas le contraire. Yuko ne se lassait jamais de jouer avec sa sœur, c'était un lien qu'elles partageant depuis quelques années à présent, un secret entre elles que des gens commençaient à connaitre, de plus en plus nombreuses. Que ce soit leur grande sœur Alice, certaines de leurs camarades, dorénavant, il y avait Mélinda Warren. Elle voulait obtenir ses deux nekos, tant sur le plan professionnel que personnelle. Même si ce ne sera qu'un temps, pendant un laps de temps, elles seront aux Karistal! Mélinda peut encore hésiter actuellement mais elles vont bien lui faire comprendre que quand elles veulent une chose, elles l'obtiennent en se donnant à fond! Yuko mouillait, se faisait de plus en plus désirable sous les doigts de sa sœur, voulant faire venir Mélinda dans leurs petits jeux et cela arrivait. La belle jeune femme se levait en détachant sa robe, offrant un corps magnifique pour leurs yeux. Elle se plaça dans le dos de Yuka pour lui embrasser la nuque en lui mordillant la peau, un petit peu.
Une idée un peu différente? Elle avait le droit de proposer après tout. Giflant les fesses de la soumise, elle allait offrir une fiole à Yuko, qui devrait lui faire plaisir? Elle avait bien une petite idée de ce que ça pourrait être mais Yuko ne s'était pas trompé alors qu'elle buvait la fiole qui lui permettra de défoncer sa sœur avec elle? Oh? Mélinda serait une futanari? Pourtant, elle n'avait rien entre les jambes? C'est donc le genre de futa qui rentre et sort son pénis comme bon lui semble? Yuko vida la fiole en la déposant ensuite sur une petite table à côté d'elle. La potion ne faisait pas effet tout de suite mais elle sentait son entrejambe chauffé un peu alors que le pénis de Mélinda sortait comme un serpent de sa tanière.
« Voilà une chose qui ne va pas déplaire à notre Yuka. Ça faisait longtemps que tu ne t'étais pas faite tronché par moi ou une autre. »
Yuko venait caresser la joue de sa sœur qui se faisait muette mais abordait un petit sourire qui disait bien que Yuko ne mentait pas. Elle qui était si autoritaire en temps normal, face à ses pulsions, elle était bien calme. Yuko arriva à côté de Mélinda en se collant contre sa hanche, une main caressant son membre viril déjà bien dressé, sa seconde main passant dans son dos pour venir caresser son autre hanche, montant sa main vers son sein.
« Yuka adore se faire prendre de tous les côtés en même temps. Quand elle est gentille, il m'arrive d'attaché certains de nos esclaves, mâle ou femmelle, futa, shemale ou simple femme et hommes, on les drogues d'aphrodisiaque durant plusieurs jours et une fois qu'ils sont chauffés à point. Je place Yuka au milieu de la pièce avec une forte odeur attirante, phéromone ou aphrodisiaque et ils se jettent tous sur elle, ils la violent de part en part. Elle est pénétrée de tous les côtés, chaque parcelle de sa peau est un pur cadeau pour tous ses esclaves en manque de sexe. Cela dure quelques heures dans le meilleur des cas. Au final, ma sœur est totalement épuisée mais heureuse... Alors deux superbes femmes pour elle, elle va être gâtée ma chère sœur. »
Yuko se crispa un peu sous l'effet de sa verge qui poussait en se tirant du piège de cuir rouge que voilà, elle soupirait un peu avant de se sentir bien mieux avec cette chose entre ses jambes! Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas jouer la futa. Elle la tenait entre ses mains, se masturbant doucement avec. Douce sensation perdue. Une main sur sa hanche et son index sur son menton, elle observait sa sœur comme Mélinda avec son sourire en coin.
« Mélinda, soyons gentille pour commencer avec notre petite pute. Il ne fraudait pas qu'elle ait trop mal quand on la prendra. Ni même qu'on ai du mal à la bourrer. Alors Yuka, viens donc nous sucer un peu. Et à quatre pattes bien sur. »
Yuka se rapprocha en souriant, venant rejoindre sa sœur et Mélinda qui, déjà se rapprochait pour venir s'embrasser, leur pénis se frottant doucement entre eux, il ne restait à Yuka qu'à choisir laquelle gouté en premier. Face à ce choix, elle prenait les deux en mains, les masturbant doucement en observant leur baiser depuis sa position avant de commencer à sucer Mélinda, le tout en douceur, continuant de branler sa sœur. Ça va être une journée mémorable. Mélinda allait prendre goût aux jumelles, ça oui!
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Sentir les doigts gantés de Yuko sur sa verge était l’un des petits plaisirs de la vie. Mélinda soupira en fermant les yeux, restant droite, sa verge tendue, son vit assoiffé pulsant entre les doigts de Yuko. La femme était douée, et Mélinda, en un sens, enviait ces deux sœurs. Certes, elle entretenait également un lien intense avec Bran, mais ce n’était pas la même chose... La vampire avait toujours été façonnée par les jumeaux, et elle adorait les voir se faire l’amour. Sans pouvoir se l’expliquer, c’était là son fantasme, et savoir qu’elle allait y participer en ce moment... Ça n’avait pas de prix ! Yuko continuait à la masturber, avant que s averge ne se mette à pousser à son tour, venant déformer légèrement sa tenue en latex. Mélinda sourit, et sentit Yuko s’écarter d’elle. La petite humaine avait doucement échauffé l’esprit de Mélinda ne lui expliquant ce qu’elle s’amusait à faire avec Yuka. C’était une bonne idée, et Mélinda esquissait un léger sourire évasif, se demandant si elle n’allait pas piquer son idée... Elle imaginait volontiers la belle Yuka se retrouver au milieu de prédateurs sexuels totalement en manque, qui la défonçaient dans tous les sens. Oh oui, Mélinda voyait très bien cette belle petite fille au milieu de cette bande de pervers, se faire prendre comme la reine des putes.
*Peut-être bien que je peux moi aussi lui montrer certains de mes trésors...*
Les Karistal promettaient d’être, non seulement de bonnes partenaires commerciales, mais également des amies... Du moins, c’était comme ça que Mélinda voyait leur relation. Elle savait que les Karistal étaient des amies du « Joyau de Sylvandell », car Alice lui avait avoué qu’elle avait déjà fait l’amour avec elles... Cette information avait d’ailleurs été l’un des éléments ayant amené Mélinda à choisir de faire confiance à ce curieux couple incestueux. En voyant Yuka devant elles, Mélinda sentit sa verge la démanger. Comme Yuko, elle se masturbait également, et Yuka se rapprocha alors, venant empoigner leurs deux verges dans chacune de ses mains, tandis que Yuko se pencha vers Mélinda.
Les corps des deux dominatrices se collèrent l’une à l’autre, et Mélinda posa une main sur les fesses de Yuko, en appui, l’autre venant caresser le crâne de Yuka. Le bout de leurs verges mutuelles se caressaient mutuellement, faisant soupirer Mélinda, qui raffermit sa prise sur le cul de Yuko, tout en prolongeant le baiser, enfouissant sa langue dans la bouche de la Karistal. La vampire avait beau être un peu plus petite qu’elle, elle ne s’en formalisait pas, alternant entre des moments où ses yeux étaient ouverts ou fermés. Elle sentit alors la bouche de Yuka se rapprocher de son sexe, et leur petite prostituée vint le prendre en bouche, commençant à le sucer énergiquement.
« Hmmmmmmm... »
Elle mordilla la lèvre inférieure de Yuko, et serra également ses doigts sur la tête de Yuka. Lorsque cette dernière retira ses lèvres pour s’attaquer à Yuko, Mélinda posa sa main sur son sexe, et se rapprocha, venant l’enfoncer contre la joue de Yuka, glissant sur sa peau, laissant derrière son passage une traînée de salive.
« Pourquoi ne nous sucerait-elle pas en même temps toutes les deux, hum ? »
Mélinda passa des paroles aux gestes, en avançant son bassin. Les vits de Yuko et Mélinda se croisèrent, pour rentrer mutuellement dans la bouche de la femme.
« Là, làààà... Suce bien, Yuka... Suce bien, et tu auras droit à deux fois plus de jus dans ta petite bouche de salope ! »
Que demander de plus ?
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Qu'elles étaient gentilles ses deux Karistal! Deux vraies poupées qui faisaient dans la dentelle mais une fois dénudé et en intimité, les poupées avaient de jolis accessoires comme des fouets ou des martinets. Mélinda leur – enfin à Yuko seulement – avait donné un autre gadget, un pénis, un vrai! Autant dire que Yuka va adorer se faire défoncer comme toujours. Se collant contre Mélinda, Yuko se faisait toute douce. Oui, elle voulait obtenir Miki et Katarina pour une période plus ou moins longue mais elle voulait aussi se rapprocher de Mélinda. Elle va être en quelque sorte leur patronne alors autant que ce soit dans la joie et la bonne humeur après tout. Yuka commençait à s'habituer à ses deux maitresses, elle faisait son travail comme une véritable et docile petite chienne. De son côté, Yuko la laissait alterner entre elle et Mélinda, qie ce soit avec ses petits doigts ou sa bouche, peu importe vraiment, elle savait la faire patienter avec ses doigts puis, les affaires avant tout.
La jolie Vampire avait cependant une idée loin d'être stupide en avançant son engin dans la bouche de Yuka, croisant celui de Yuko au passage. Oh, inventif! Ce n'était pas la meilleure idée de l'année mais c'est une bonne chose que voilà. Ses fesses étaient toujours pelotées par Mélinda, elle ne la retirait pas, elle l'a laissait faire comme bon lui semble après tout. Elle caressa les cheveux blond de sa sœur, plus clair que les siens en tombant vers sa joue, la caressant amicalement.
« Hum mais elle va être gâter ma petite putain. Tu n'oublieras pas de dire merci à Mélinda ensuite. »
Évidemment, ce sera un remerciement à leur façon. Le fait que la vampire soit une futa laissait à Yuko une idée pour la suite. Bon, c'était beaucoup mieux et plus pratique quand leur partenaire était plus grande qu'elles, vraiment d'une tête ou deux mais ça devrait faire l'affaire quand même? Enfin, chut pour le moment, c'est un secret. Yuko venait poser sa main sur la hanche de sa partenaire pour s'y tenir en la caressant doucement par la même occasion. Yuko leva son pied – du moins sa botte – vers sa soeur pour lui caresser l'entrejambe avec la pointe de sa botte.
« Pas touche à ta petite chatte, je m'en charge. Toi, tu vas plutôt utiliser tes mains pour, hum... pour me titiller le trou de balle. Quant à toi Mélinda, choisi ce que tu préfères qu'elle explore, ton petit œil brun ou alors ton petit minou? »
C'était à elle de voir selon ses goûts, déjà Yuka caressait la cuisse de Mélinda alors que de l'autre côté, sa main se glissait sous les dessous de cuir rouge de Yuko. Qu'elle était belle quand même leur petite putain, toute docile et très gourmande! La voir sucer parfois avec difficulté leurs deux membres en même temps sans pour autant se plaindre. Logique, elle adorait ça. Ses yeux de chien battu lever vers ses maîtresses, elle ne pipait pas un mot mais dans son regard, il y avait de l'obéissance, du respect et de l'amour. Son truc, c'était de se soumettre alors forcément, elle était dans son élément.
« Huuum, quelle gen-tille chienne! Une pute pour me sucer et pour me faire jouir, une partenaire très intéressante, il ne manque plus qu'un peu plus de plaisir dans tout cela. Un petit coup de main Mélinda? »
Elle retira sa main de la joue de sa sœur pour la lever vers la vampire, lui caressant la joue en lui faisant doucement tourner le visage vers elle afin de l'embrasser délicatement, en douceur, un petit baiser entre femmes de pouvoirs. Certes, les Karistal ont surtout une réputation de vendeuse d'esclaves et non un grand rôle comme Mélinda à Ashnard, cela ne les intéressait pas plus que ça d'ailleurs mais dans le domaine de l'esclave, les Karistal sont dans les premières places de la vente comme de l'entretien de leurs marchandises. Doucement mais surement, Yuko se faisait un peu plus sauvage dans son baiser, venant l'embrasser certes mais en y mettant aussi les dents pour lui mordiller les lèvres. Elle était ravissante cette petite fleur mais elle avait des épines puis ce n'est pas sa faute si faire mal aux autres la fait jouir plus facilement quand même.
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Les deux femmes allaient se faire plaisir avec Yuka. La perversité de ces deux jumelles ne semblait souffrir d’aucune limite, et Yuka, à genoux devant les deux femmes, ne tarda pas à sentir deux queues en elle. Mélinda et Yuko devient bien se coller l’une à l’autre, se penchant de biais, ce qui faisait que leur formation ressemblait à une sorte de triangle, la bouche de Yuka faisant office de sommet, les jambes de la vampire et de sa sœur servant de base. Leurs queues se touchaient et se frôlaient, l’une passant par-dessus l’autre, l’une s’enfonçant davantage que l’autre. Une main sur les cheveux de Yuka, Mélinda accompagnait l’autre main de Yuko, tandis que les mains de Yuka se dirigèrent vers leurs bassins, Yuko laissant le soin à Mélinda de voir si elle voulait se faire prendre par les fesses ou par le vagin. Sur ce point, la réponse ne tarda pas à arriver. Avec un sourire malicieux, la vampire opta naturellement pour son petit trou, pour sa porte arrière, ce qui amena Yuka à sodomiser les deux femmes. La femme avait de l’expérience, et Mélinda, de son côté, avait encore en tête les explications de Yuko sur ce qu’elle s’amusait à faire à Yuka, sur ce gang bang collectif auprès de mâles et de Futas’ en rut, d’hommes et de femmes que Yuko avait frustré pendant des jours, avant de lâcher Yuka sur eux. Cette idée témoignait d’une grande perversion, et elle avait énormément excité Mélinda, dont l’esprit aimait bien se remplir d’images de ce genre. C’était pervers, c’était sale, et c’était fait entre de belles femmes.
Yuka suçait leurs vits sans rien dire, hoquetant et gémissant, tandis que Yuko continuait à l’insulter. Leurs sexes en érection se perdaient dans sa bouche, remuant contre sa langue, jouant avec elle. La belle petite n’en menait pas large, condamnée à devoir supporter leurs mouvements. Yuko, de son côté, finit par se redresser, et par poser sa main sur le visage de Mélinda. La vampire tourna alors la tête, et, entrouvrant les lèvres, la pencha sur le côté, accueillant contre sa bouche les lèvres tendres de la femme. Un baiser intense, où leurs langues jouèrent rapidement ensemble. La main de Mélinda se crispa sur les cheveux de Yuka, tirant un peu dessus, pour le simple plaisir de l’entendre couiner, tandis que son autre main caressait et griffait les hanches de Yuko. La Karistal se montra mordante, tirant sur les lèvres de Mélinda, qui gémissait de plaisir, et lui rendit son plaisir. Les deux femmes continuèrent ainsi à s’embrasser pendant de longues minutes, la vampire semblant comme collée aux lèvres de la femme. Les baisers, pour Mélinda, étaient des éléments qu’il ne fallait surtout pas sous-estimer dans une relation sexuelle. Ils étaient des moyens simples de se rapprocher, de se montrer de l’affection, et de s’exciter mutuellement. Elles s’embrassaient donc avec un plaisir certain, Mélinda tirant également sur les lèvres de Yuko.
Elle était comme ces Karistal : une beauté fatale. À voir ses fossettes, ses beaux yeux et ce sourire délicat sur ses lèvres, on aurait pu lui donner le bon Dieu sans concession... Et pourtant, sous cette beauté innocente, une véritable tigresse était dissimulée, n’attendant qu’à défoncer des culs et butiner de jeunes femmes innocentes. La vampire avait tendance à se méfier des apparences. Elle savait combien le physique était un argument trompeur, et combien il était important dans le monde... Les gens y accordaient une forte importance, a fortiori les humains. Les magiciennes l’avaient depuis longtemps compris, utilisant de multiples sorts pour rester des femmes à la beauté stupéfiante.
« Hunnn... »
Mélinda finit par rompre le baiser au bout d’un certain temps, et sourit à Yuko.
« Vous vous débrouillez très bien, je l’admets... »
Yuka continuait à mastiquer, et Mélinda resta proche de Yuko.
« Jouissons ensemble dans sa bouche, ma chérie... »
Quand Mélinda employait des surnoms affectueux, c’était toujours bon signe. Pour le coup, la vampire trouvait particulièrement excitant de jouir simultanément dans la bouche de cette petite salope... Elle remua donc un peu plus vite.
« Allez, salope, mastique mieux ! N’as-tu donc pas envie de sentir dans ta petite bouche de traînée le jus de tes deux magnifiques Maîtresse ? N’as-tu pas envie d’être notre belle petite chienne, et de te faire fourrer par nous deux ? »
Jouir en elle ne serait que le début... Si les deux jumelles voulaient s’accaparer les esclaves de Mélinda, elles allaient devoir y mettre le prix !
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Il n'y a pas à tortiller du cul pour chier droit, Mélinda était vraiment bonne et sa perversion semblait à la hauteur de sa réputation. Non pas qu'elles aient entendu des échos sur elle mais pour gérer un harem, cela ne va pas être une innocente demoiselle qui va gérer cela. Il fallait quand même que cela puisse se faire, fonctionner correctement. Un harem abritait des tas de créatures de rêve à gérer selon leur humeur, de même que les clients. Une fois aux commandes, les Karistal aussi auront du pain sur la planche. Cela ne les dérange pas vraiment, elles ont toujours voulu un genre d'endroit à elles, comme cet harem. Bien entendu, une bonne partie des bénéfices iront à Mélinda mais elles ne s'en faisaient pas pour le reste. D'une part car elles ont déjà une belle fortune à elles, mais de deux, une fois que les clients vont faire parler de cet endroit, les bénéfices vont grossir et leur part aussi, forcément. Yuko et Mélinda continuaient de délicieux baisers entre elles, sa main griffant ses hanches pendant que Yuko descendait sa main, pelotant ce délicieux fessier !
Leur queue se touchait dans la bouche de Yuka qui était elle aussi ravie de servir d'objet sexuel, c'était ça, son dada. Honnêtement, ni Mélinda, ni Yuko n'allait s'en plaindre. Certes, cela brise l'image de la petite bourgeoise si autoritaire d'ordinaire mais il n'y a que dans le sexe que les gens montrent leur véritable visage, ça Yuko l’avait bien vite remarqué. Même Mélinda voulait déjà donner sa récompense à Yuka. Elle était encore trop gentille cette vampire. Yuka tentait de parler avec ses gémissements mais Yuko venait passer sa main derrière sa tête, forçant un peu sa bouche à en avaler plus.
« Ne soit pas si gentille avec notre putain. Elle mériterait même pas sa récompense. On verrait mieux de lui jouir dessus ! Je suis sûr qu'elle en serait encore plus heureuse. »
Difficile à dire si Yuka voulait dire oui ou non mais elle continua son travail sur elles, gémissant sous l'effet de son travail comme de son pied sur sa petite chatte. Yuka ne faisait pas travailler que sa langue, ses doigts aussi remuaient dans leur petit trou secret. Mordant sa lèvre inférieure, elle gémissait doucement sous l'effet de sa sœur comme de Mélinda avant de jouir avec sa nouvelle partenaire, remplissant la bouche de Yuka qui vit rapidement le jus couler sur son corps. Deux choses dans sa bouche, c'était trop pour elle mais ce n'est pas comme si cela lui déplaisait, au contraire même. Yuko laissait le tout se déverser en elle, une fois que ce fut chose faire, elle se retira doucement de sa bouche. Elle venait même branler Mélinda pour faire venir les dernières gouttes au bout, chose qu'elle récoltait du bout des doigts pour venir goutter elle aussi à son nectar.
« Je dois bien savoir ce que ça vaut quand même. »
Un petit sourire en coin, elle suçait ses doigts quelques instants afin de se nettoyer. Si Mélinda voulait lui renvoyer la pareille, elle était libre de se servir. Alors que Yuka semblait presque drogué en faisant des efforts pour tout avaler et récolter sur son corps, Yuko se collait à Mélinda en passant son index dans ses cheveux pour jouer avec ses mèches.
« Alors, que veux-tu faire à présent ? Tu veux la baiser ? Je suis sûr que tu adorais son petit cul. Ou peut-être que c'est moi qui te branche un peu plus ? »
Yuko tentait de la charmer un peu en même temps, ça ne faisait pas de mal après tout. Qui sait, c'était peut-être une chose que Mélinda adorait, que de baiser une futanari ? Elle n'était pas dans sa tête, elle ne pouvait pas savoir, de plus, elle ne la connaissait pas encore assez pour décider de certaines choses à sa place.
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Elles avaient toutes les deux joui dans la bouche de la petite Yuka. Voir Yuko insulter à ce point sa sœur avait, par ailleurs, quelque chose de profondément excitant. Qui aime bien châtie bien, disait-on, et c’était exactement le cas ici... Mélinda assistait à un pur exemple de l’amour vache, a fortiori entre deux jumelles. Oh, pas un instant, Mélinda ne doutait du profond amour qui unissait les deux femmes. Yuko et Yuka entretenaient un lien fusionnel que rien ne pourrait jamais heurter. Jamais elles ne sentiraient une telle attirance pour une autre personne, ce que Mélinda acceptait. C’était la force des jumelles, la beauté de ces êtres. Les personnes jumelles n’étaient jamais totalement seules, et donnaient lieu à tellement d’opportunités que Mélinda était toujours un peu jalouse... Se partager un petit ami, par exemple, changer de place... Tant et tant de choses étaient possibles ! Yuka avait clairement le rôle de la soumise, mais les deux étaient des Maîtresses, et la vampire était convaincue que Yuka pouvait aussi se révéler autoritaire, surtout envers ses esclaves.
Quand Yuko proposa de goûter à son sperme, Mélinda le fit à son tour. Elle avait laissé la femme la masturber, léchant ensuite ses beaux gants, et Mélinda en fit de même, masturbant énergiquement et fermement le sexe de Yuko, venant ensuite lécher ses doigts. Yuka, elle, essuyait son corps, continuant à ingurgiter tout ce sperme. Les deux femmes avaient joui énergiquement dans son corps, et Yuka avait besoin de temps pour se remettre... Ce qui laissait à la vampire l’occasion de réfléchir sur la suite. Yuko alla se blottir contre elle, et Mélinda l’enlaça également, posant une main sur ses fesses, s’appuyant tendrement dessus, tout en réfléchissant. Yuko lui laissait la liberté de choisir, mais, pour être honnête, Mélinda avait tellement d’options en stock qu’il était difficile de trier.
« Hum... »
Sa main caressait le postérieur de Yuko, glissant tendrement dessus, caressant tendrement son petit cul bombé. Ses fesses tendres étaient magnifiques, et ses poignets glissaient sur la lanière de son string. Elle déplaça un peu sa bouche, et alla embrasser Yuko, gémissant contre sa bouche, lui offrant un long et langoureux baiser. Sa langue filait dans sa bouche, jouant avec la sienne, remuant contre elle. Yeux clos, la vampire soupirait de plaisir, frottant son corps nu contre le sien. Le baiser se poursuivit, la langue de la vampire continuait à jouer avec la sienne.
Une fois le baiser rompu, Mélinda frotta son nez contre le sien, tendrement, doucement.
« Je dois admettre que j’ai plein d’idées... Mais je crois que je vais commencer par te sodomiser, et te masturber, afin que tu jouisses sur ta petite salope de sœur. Quelque chose me dit qu’elle adore être couverte de sperme... »
Il fallait néanmoins les préparer, ce que Mélinda s’évertua à faire. Elle attrapa une paire de menottes, et ordonna à Yuka de se mettre contre le mur, en position assise, les bras relevés, menottés à un objet quelconque, afin de l’immobiliser.
« Mets-toi à quatre pattes, Yuko, et bombe bien les fesses... »
Ces femmes avaient beau n’être que de simples humaines, elles avaient en elles des réserves de luxure et de perversion qui étaient très impressionnantes. Mélinda était sincèrement bluffée par une telle dose de perversion, et n’avait clairement qu’une envie : continuer à l’explorer, leur faire longuement et voracement l’amour, sans relâche, encore et encore. Elles avaient déjà mérité le droit de bénéficier de ses deux esclaves, mais ce n’était pas pour ça qu’elles allaient cesser de s’amuser. Yuko était comme elle : une dominatrice., une perverse en puissance... La seule différence venait du fait qu’elles n’étaient que des humaines.
Pour l’heure, du moins...
Mélinda se glissa dans le dos de Yuko, et donna une grosse claque sur les fesses de Yuko.
« Allez, ma chérie ! Prête pour un petit rodéo du cul ?! »
Un sourire joyeux sur les lèvres, Mélinda rapprocha son membre turgescent de la femme. Elle avait rapidement retrouvé son érection, son état d’excitation habituel, et c’est dans cette situation que sa verge tapa contre le petit trou de Yuko, avant de lentement s’enfoncer dans son corps.
« HAAAAAAAAAAAAA... Ooouuiiii !! »
Que le fun continue !
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Les Karistal étaient bien tombé, non seulement leur visite avait conclu un autre genre d'accord mais en plus de leurs deux adorables nekos qu'elles feront tout pour les avoir rien que pour elle, même un certain moment, elles ont trouvé une nouvelle amie. Rien que du cul pour le moment mais cela pouvait facilement déboucher sur autre chose. Entre deux – enfin trois – Ashnardiennes qui ont les bourses bien remplies, gérer une affaire allait forcément les rapprocher, en bien comme en mal. Pour l'heure, c'était Yuka qui prenait le plus mais elle adorait ça alors ce n'était pas elle qui allait s'en plaindre après tout. Même Mélinda semblait avoir bien deviné la façon d'être de sa jumelle.
« Haha ! C'est effectivement tout elle ça. Hein ma petite chatte en chaleur ? »
Yuka relevait la tête, les doigts trempés de sperme, elle semblait presque comme une fille droguée à qui on posait une question. Son regard divaguait, elle avait du mal à savoir ou elle était. Non, elle n'était pas droguée, juste qu'elle nageait encore en plein plaisir. Elle était esclave de sa sœur et de leur nouvelle amie futa, sachant que sa sœur l'était tout autant pour le moment, ça décuplait son plaisir. Mélinda venait proposer un autre jeu qui impliquait des menottes pour Yuka ? Intéressant. L'intéressée leva les bras en étant assise contre le mur, menotter à une petite barre formant un L a l’envers, la petite barre étant enfoncé dans le mur. Attaché avec les menottes, à moins de se relever, elle ne pourrait pas se retirer de ses entraves. Quant à Yuko, elle devait se faire prendre le cul. Bien, elle n'avait rien contre. Elle était dominante par nature mais y a rien de mal à se faire défoncer le fion de temps à autre. Si les dominatrices répondent non d'office, c'est qu'elles ne connaissent rien au statut de domination.
Yuko relevait ses fesses avec ce petit sourire aux coins des lèvres, elle n'était pas si soumise que ça mais... il faut bien savoir faire plaisir aussi.
« Amuse-toi bien avec mon cul, ils sont pas nombreux ceux et celles à pouvoir s'en vanter. »
Les mains appuyées sur les épaules de sa sœur, Yuka n'en perdait pas une miette mais restait plutôt muette, admirative même. Alors que Mélinda forçait un peu l'entrée afin de pouvoir y entrer, Yuko serrait les dents en plantant ses ongles dans la peau de sa sœur avant de gémir une fois le plus dur passer. Une belle queue entre ses fesses, ça faisait bien longtemps. Remuant doucement ses hanches en gémissant, elle posa un regard par-dessus son épaule sur la belle vampire.
« Alors ma jolie ? On l'aime mon petit cul ? Allez Mélinda... chevauche-moi ! »
Bah c'était bien elle qui avait parler de rodéo sexuel non ? Elle ne l'avait pas inventé ! Sentant les premiers vas et viens, elle allait embrasser Yuka normalement, ni de façon douce, ni sauvagement, donnant naissance à un joli tableau, le baiser des jumelles. Si « banal » - dans un endroit comme celui-ci – et si unique à la fois. Les Karistal s'embrassaient doucement, laissant entendre leur gémissement autour d'elle, Yuko remuant au rythme imposé de sa partenaire, même si cela n'était pas des plus pratiques pour Yuka de suivre, tantôt s'avancer pour prolonger le baiser, parfois le visage de Yuko étant trop proche du sien, c'était tout un art de savoir suivre ce rythme endiablé. Mais cela n'était qu'un début, la suite allait vraiment être au top ! Yuko rompit enfin le baiser, laissant ses soupirs et gémissements se faire mieux entendre alors qu'elle se redressait un peu pour se coller un peu plus à la vampire dans son dos.
« Hmmm, on reconnaît, han... la femme d'expérience. Vas-y... plus fort ! »
Une demande ou un ordre ? Le doute était parmi mais l'un ou l'autre, c'était sûrement des mots que Mélinda voulait entendre. Y a fort à parier là-dessus.
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Mélinda avait effectivement rapidement saisi la dynamique qui régnait entre ces deux sœurs. Une jumelle dominatrice, et une autre plus soumise. C’était un constat qu’on observait assez souvent chez les jumeaux, où il était fréquent que l’un des deux soit sur le devant. C’était vraiment une relation incroyable, plus forte, pour Mélinda, que le plus vibrant des amours. Deux êtres reliés entre eux, connectés, intimement liés par des liens chimiques et biologiques ancestraux et inébranlables. Peu importe ce qui se passerait, peu importe ce qui leur arriverait, les jumeaux resteraient toujours les jumeaux. Mélinda était jalouse de ce lien. Elle aurait tellement aimé avoir une jumelle... Certes, elle avait un frère, mais ce n’était pas vraiment la même chose. Elle aurait pu faire tellement de choses avec une jumelle... Maintenant, cette perspective n’était rien de plus qu’un simple fantasme, une idée lointaine et enterrée dans son esprit. Elle y repensait juste en voyant Yuko se mettre à quatre pattes sur le lit, face à sa sœur, et en allant dans son dos. Elle allait sodomiser Yuko, et, comme cette dernière venait de lui dire, elle avait intérêt à en profiter... Peu de personnes avaient dû explorer son petit cul. La voir acceptée si facilement d’inverser les rôles était en soi une bonne chose, car Mélinda était justement une chose qui estimait que, pour être une bonne dominatrice, il fallait ressentir la soumission. Pour Mélinda, Yuko était donc une bonne dominatrice, et donc, partant de là, une magnifique partenaire commerciale, apte à s’occuper de ses petites filles.
La vampire posa donc ses mains sur ses hanches, et la pénétra assez rapidement. Elle soupira de plaisir, et comprit rapidement que, même si Yuko devait plutôt avoir l’habitude d’enculer les autres, son petit trou avait déjà été exploré. Il s’adapta assez vite à la présence du membre de Mélinda, et elle le remua en elle, gémissant, soupirant, ses mains se crispant sur ses fesses, glissant ensuite sur sa belle tenue rouge en latex. Oh, cette combinaison lui allait vraiment à ravir ! Elle moulait ses formes à la perfection, la rendant d’une beauté parfaite. Mélinda lui ferait peut-être cadeau de la combinaison, tiens... Hey, c’était à croire que la tenue avait été conçue pour elle ! Et puis, ce serait un beau cadeau pour ouvrir leur partenariat.
« Hum... Quel cul de... De salope ! »
Mélinda grognait et gémissait, tortillant sa queue en elle, la remuant d’avant en arrière, l’enfonçant de plus en plus, de plus en plus profondément. Pendant ce temps, Yuko et Yuka s’embrassaient, et la vampire était de plus en plus rapide, savourant au mieux le corps magnifique de la belle Karistal étalée devant elle. Yuko, en lui parlant, lui demanda d’y aller plus fort, sur un ton tenant de l’ordre... Et qui conduisit tout naturellement Mélinda à la gifler sèchement, sa claque résonnant dans sa chambre.
« Ne... Hunn... Ne t’en fais pas pour ça... Haaa... Je défonçais déjà d-des... Des jolis cul de traînée comme le tien quand... Hummm... Quand tu suçais encore ton pouce, haaan... »
La vampire avait plusieurs siècles d’existence, après tout, et autant de sodomies, de coïts, de fellations, et d’actes sexuels en tout genre. Elle se pencha vers le corps de Yuko, et sa main alla se saisir de sa verge, se mettant à la masturber. N’avait-elle pas idée qu’elle voulait arroser avec le sperme de Yuko le corps de Yuka ? Il n’y avait pas beaucoup de moyens pour le faire. Tout en remuant en elle, ondulant d’avant en arrière, sa main la masturbait de plus en plus fort, remuant frénétiquement sur sa queue.
D’ici quelques minutes, Mélinda espérait bien la faire jouir...
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La vampire savait y faire, ça, y avait pas photo. Elle s'était bien installé derrière Yuko pour la prendre comme bon lui semble. Yuko la laissait faire, c'était en quelque sorte leur patronne après tout. Certes, ce n'est pas son genre de se laisser faire mais grâce à cela, elle aura un travail, un harem par la même occasion – leur cabane étant bien trop petite pour profiter pleinement d'une telle panoplie de fantasmes – et en plus, elles auront des tas de nouvelles têtes pour les servir. Rien que pour Miki et Katarina, ça valait le coup de serrer les dents et se laisser enfiler. Face à sa petite remarque, Yuko la non soumise reçut une claque sur l'une de ses fesses, la faisant couiner alors qu'elle avoua pratiquer ce genre de choses alors qu'elles étaient des nourrissons. Possible, après tout, les vampires avaient une longue existence et une jeunesse quasi éternelle non ? Tant mieux pour elles, elles pourront contempler ce visage et ce corps très longtemps.
Se penchant sur son corps, elle n'arrivait pas à sentir sa poitrine sur son dos mais sa main autour de sa verge, ça, elle la ressentait bien ! Les mouvements se faisaient de plus en plus synchroniser entre ses coups de reins et ses masturbations. Oui, question pratique, Yuko avait elle aussi déjà pratiquer ce genre de choses alors elle savait ce que ça faisait. Sa main si délicieusement douce la saisissait bien, venant agrandir le plaisir en elle, cette main, cette queue, sa sœur, un joli tableau qui la rassurait un peu. Oui, elle n'était pas inférieur à Yuka. Même si parfois, elle aime ça, pour le moment, elle ne voulait pas être inférieur à ce sac à foutre à qui elle offrait sa langue alors que Mélinda faisait tout pour satisfaire aussi la demande de cette gueuse ! L'idée de sentir le sperme chaud de sa sœur sur son corps devait sûrement la faire mouiller comme une petite chatte en chaleur, Yuko n'avait pas que ça à foutre à la regarder inonder le sol. Elle arrivait à peine à camoufler ses gémissements dans la bouche de sa sœur alors elle ne pouvait décidément pas tout faire à la fois.
« Mhhhrrhhoooo mais quelle bite ! Tu es... putain de douée ma belle ! »
Yuko avait retiré sa bouche de celle de sa sœur, à sa grande frustration, simplement relié par un petit pont de bave qui ne tiendrait qu'une ou deux secondes au maximum. Elle fermait les yeux, même si ce n'était pas sa première fois à l'arrière, elle n'était pas autant habituée que Yuka alors pour sûr, son petit trou était encore assez serré contrairement à sa jumelle qui restait toujours aussi heureuse à l'idée de ce qui allait lui arriver. Yuko n'avait pas tarder d'ailleurs à lancer la purée. Oh, elle n'avait pas à avoir honte, elle avait quand même tenu quelques minutes entre être prise par-derrière, embrassée par sa sœur et masturbé par Mélinda.
C'était Yuka qui agissait un peu plus durant le temps où sa sœur se libérait de son jus intime, Mélinda avait redressé autant que possible Yuko comme son membre et Yuka n'avait qu'à ouvrir la bouche pour récolter autant de cette semence que possible. Elle en avait surtout sur le corps mais elle en avait quand même un peu en bouche comme sur son menton. Yuko était encore un peu dans les vapes avec son orgasme alors que Yuka se débattait un peu, faisant de son mieux pour avaler et se libérer pour tout récolter... Frustrant et faisant aussi plaisir à la fois.
« Hum... pétasse... Mélinda... Redresses-moi un peu, qu'elle nettoie ma queue pendant que toi aussi tu te libères un peu, hein ? »
Yuko trouvait l'idée plutôt bonne, non ? Yuko se redressa avec Mélinda pour se mettre debout, les mains contre le mur en écartant les jambes, sa queue venant se loger dans la bouche de sa sœur pendant que la vampire faisait sa fouille anale avec sa jolie queue. Maintenant plus calme, ça ne l'empêchait pas de savourer cette même queue qui en avait plus pour longtemps et cette bouche qu'elle connaissait si bien.
« Ouaiiiiis... c'est ça ! Fais-toi plaisir Mélinda... pense pas à Yuka, elle adore avaler ma bite ! »
Donc qu'elle fasse comme cela lui chante.
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Assurément, Mélinda venait de se trouver deux formidables copines ! Ces petites cochonnes étaient de vraies diablesses, des putes grandeur nature ! La vampire labourait le cul de Yuko, tandis que la jumelle jouait avec sa sœur. Aucune n’était là pour remplacer l’autre, et le cul de Yuko était tout simplement merveilleux. Étroit, tendre, il ne demandait qu’à se faire prendre, et entendre Yuko hurler et couiner était jouissif. D’une manière assez experte, Mélinda usait de ses talents pour, tout en la sodomisant, la masturber en même temps. L’orgasme finit ainsi par arriver, et elle arrosa sa sœur, qui en semblait toute ravie. Deux perverses... Deux humaines terriblement coquines... C’était à croire qu’elles étaient faites pour s’entendre ! Aussi belles que perverses, les Karistal étaient délicieuses. Mélinda cessa de la masturber, posant ses mains sur ses hanches, et continua à la prendre, jusqu’à jouir à son tour, s’abandonnant dans ses belles petites fesses. Ses mains se crispèrent sur sa tenue rouge en latex, et elle s’écarta ensuite un peu... Juste le temps pour Yuko de se redresser.
La Karistal n’en avait pas encore fini avec elle, et Mélinda la vit se placer contre le mur, écartant les jambes, en lui demandant de ne se consacrer que sur sa sodomie, tandis qu’elle baiserait la belle bouche de Yuka. Elle s’était ainsi dressée face à la femme, son bassin proche de sa bouche.
« Et bien, et bien... Quel succulent tableau de salopes vous faites... »
Il fallait l’avouer, le tableau était excitant. Et puis... Mélinda n’allait tout de même pas se laisser dompter par deux humaines ! Elle avait sa réputation de vampire à tenir. La respiration lourde, des plaques rouges de sueur sur son corps, car une sodomie restait quand même une tâche assez fatigante, épuisante et éreintante. Néanmoins, la tentation était trop forte pour que Mélinda la rejette d’un bloc. Elle s’avança donc, et posa chacune de ses mains sur les cuisses de Yuko... Puis s’enfonça d’un coup sec en elle, dans ce cul d’où du sperme commençait à dégouliner. Maintenant que Mélinda avait balancé sa crème, et avait un peu commencé à déformer ce fondement, le popotin de Yuko était bien plus agréable, bien plus lisse, bien plus glissant.
« Hummm... »
Oh, que c’était bon ! Oh oui !! Mélinda remuait en elle, et mordillait le dos de Yuko, donnant des coups de reins secs et forts, de plus en plus prononcés et de plus en plus intenses.
« Sa... Salope, haaaaannn... »
Mélinda admonesta une grosse gifle sur les fesses de Yuko, et continua à remuer en elle, distribuant encore, de temps en temps, quelques gifles supplémentaires, ou quelques mordillements contre sa belle peau tendre et chaude.
C’était aussi ça, le plaisir sexuel.
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Il fallait bien allez jusqu'au bout pour convaincre la belle vampire de leur céder même durant un moment ce couple de neko tout à fait charmant qui avaient tapé dans l'oeil de Yuko et Yuka. Miki et Katarina, deux nekos qui semblaient leur ressembler pour ce qui était de leur goût, elles étaient si magnifique que les Karistal ne pouvaient pas quitter cet endroit sans avoir ses deux-là dans leur collection au moins. Même si cela voulait dire que Yukop devait un peu se soumettre à Mélinda, c'était un prix à payer et elle l'acceptait. Après avoir joui sur sa sœur, elle en redemandait pour le plus grand plaisir de leur future associée, venant se relever en voulant en plus que sa sœur vienne jouer avec elle, en gardant cette position soumise qui lui allait si bien. Elle ne tardait pas à revenir à la charge pour s'occuper d'elle, si bien que la jeune demoiselle serrait les dents une fois de plus en sentant la suceuse de sang s'enfoncer en elle, se plaquant contre elle mais surtout son derrière.
Yuka ne restait pas à rien faire, bien vite elle prit en bouche la perche qui lui était tendue même si un peu volontairement et aussi grâce aux coups de reins de sa partenaire, Yuko se plaisait à enfoncer violemment sa queue dans la bouche de sa sœur, quitte à ce que sa tête cogne un peu aussi contre le mur. De toute façon, elle savait que cela plaisait à sa sœur jumelle, alors elle n'avait pas l'ombre d'un remords. Face aux petites morsures amusantes de Mélinda, Yuko était comblée. Oui, elle n'avait pas l’impression d'être soumise mais presque d'être une princesse comblée... C'est elle après tout qui avait proposé son petit cul à Mélinda et non un ordre de cette dernière... Oui. Elle était fière d'elle.
« Hummmm !!! Rhhhannn oui ! Ça faisait... Un bail qu'on, m'avait pas prise... mmmh, comme ça ! »
Mélinda se défendait bien, ce n'était pas simplement une avance pour louer ses deux adorables nekos, c'était aussi un petit plaisir pour Yuko comme pour Mélinda – et Yuka. Qui sait, elle pourrait y prendre goût ? Mais pas tout le temps non plus, une chose est meilleure quand elle est rare. Un « oui » d'une fille qui dit toujours non rend la chose bien meilleure qu'une autre qui dit « oui » à n'importe quelle avance. Sentant un petit rire moqueur dans les gémissements de sa sœur, elle mordait sa lèvre inférieure en venant d'elle-même se plaquer au maximum contre elle, sentant sa queue s'enfoncer un peu dans sa gorge, Yuka s'agiter par la même occasion.
« Tu oses rire, pétasse ? Hum, c'est ça, bouffe ma queue sale... sale catiiiiin ! PUTAIN MELINDA TU ME DEFONCE LE CUL LA !!!! CONTINUE !!!! Et toi ! Oh ouiiiiii toi ! Je suis sûre... que tu trouve d-dommage que j'ai pas de boule ? Hummm putain de salope en chaleur, tu me les aurait bouffé hein ?! »
Yuko se plaisait à martyriser sa jumelle, elles s'entendaient si bien comme ça. Se reculant un peu pour libérer l'entrée en oxygène pour sa sœur, elles reprenaient à trois leur petite activité alors que Yuko venait poser sa tête en arrière, sur l'épaule de Mélinda, tentant de lui lécher la joue, partager un petit baiser, l'un comme l'autre lui iraient. Cela faisait longtemps qu'on ne l'avait pas tronché ainsi. Il ne s'écoula pas autant de temps que ça avant que Yuko ne jouisse à nouveau dans la bouche de sœur qui, envahi par ce surplus venait même à en recracher sur elle alors qu'une petite flaque de cyprine se trouvait entre les jambes des jumelles. Yuko ne tardait pas aussi à sentir si sereine en sentant cet effet entre ses fesses, lui faisant reprendre une respiration normale alors que son petit cœur battait à cent à l'heure. Elle restait collée contre Mélinda en ronronnant – elle le mimait, elle ne pouvait pas ronronner normalement comme une neko – en venant frotter sa tête doucement contre la sienne.
« Humm... tu as été fantastique, Mélinda... Une idée pour la suite ou bien tu nous laisses prendre les rênes ? »
Oui, elles avaient bien une petite idée mais il faut voir si Mélinda n'avait pas d'autres idées et il faudra une confiance de Mélinda envers les Karistal, non pas qu'elles vont la ligoter mais il faudra se prêter au jeu. Cela pourrait lui sembler anodin pour elle qui gère un harem mais il ne faudra pas juger sur les apparences.
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Mélinda le sentait, en la prenant ainsi... Yuko n’avait pas l’habitude d’une sodomie, plutôt celle de défoncer le cul des autres. Son cul était assez étroit, mais, pour autant, il se détendait progressivement plutôt bien, trahissant qu’elle avait déjà dû s’enfoncer des trucs dans le cul. La vampire remuait joyeusement en elle, posant ses mains sur ses hanches, appréciant et savourant le contact de ce corps contre le sien, le crissement du latex, et la bouche de Yuka, qui avait une grosse queue dans la bouche. Ces trois-là formaient en ce moment un magnifique trio de filles perverses... Deux belles blondes qui, à elles seules, suffisaient amplement à égaler les centaines d’années de vice et de luxure de Mélinda... Elle avait déjà entendu parler des Karistal avant leur venue ici, mais elle ne s’attendait vraiment pas à ce que les trois femmes s’entendent aussi bien. Ce sexe débridé entre elles était la preuve d’une marque de confiance en train de se construire. Après tout, quand on acceptait que quelqu’un vous défonce le cul, on pouvait estimer qu’on lui faisait confiance, non ?
La vampire remuait donc en elle, déplaçant parfois ses mains pour peloter les seins de Yuko, s’enfonçant violemment en elle, ce qui amenait la verge de Yuko à s’enfoncer profondément dans la bouche de Yuka, et à envoyer la tête de sa sœur rebondir contre le mur. Mélinda ne le disait pas, mais, entre ses soupirs, ses couinements, et ses gémissements, elle jalousait le lien qui unissait les deux femmes. Ce qu’elles partageaient était vraiment fort, et même la relation entre Mélinda et Bran n’atteignait pas de ce niveau de confiance et d’amour mutuel. Oui, même si ces deux femmes se martyrisaient et se brutalisaient entre elles, seul un aveugle ne verrait pas le profond lien affectif les unissant. Un lien que Mélinda avait cherche à développer avec sa famille, et, si elle ressentait bien une certaine forme de jalousie, elle n’était pas rédhibitoire, simplement l’expression de son affection pour elles.
Elle embrassa Yuko quand cette dernière tourna la tête vers elle, léchant ensuite son cou, résistant à l’envie de la mordiller un peu.
« Huuunnnn... Petite... Petite puuuuute, haaaaaannn... !! Sale... Sale sodomite !! »
Elle hurlait en cadence avec Yuko, Yuka étant la victime de leurs assauts fougueux. Mélinda libérait les seins de Yuko pour serrer ses hanches, ou tout simplement pour gifler ses fesses, avant de continuer à la prendre, joyeusement, profondément. C’était intense, violent, jouissif... Il fallait voir ces trois nanas en train de se défoncer pour se dire que le sexe entre lesbiennes n’avait parfois rien de cette douceur innée qu’on pouvait imaginer entre plusieurs femmes, a fortiori quand elles avaient le pouvoir de se doter de chibres et de membres masculins.
Au bout de plusieurs minutes, les orgasmes finirent par arriver. Mélinda se vida dans le cul de sa belle amante, de cette belle tête blonde, et resta contre elle pendant quelques secondes, avant de progressivement retirer son membre. Son sperme fila sur le sol, et elle se dépêcha de rapidement remettre en place le string de Yuko, dans le but de retenir un peu de ce délicieux foutre vampirique, puis les laissa reprendre leur esprit. Est-ce que Mélinda en avait fini avec elles ? Son corps était recouvert, ici et là, de plaques rouges témoignant de sa sueur et de sa fatigue.
Yuko se retourna finalement contre elle, et vint se frotter à son corps, comme une petite chatte en manque de câlins. Mélinda l’enlaça, une main à hauteur de sa nuque, l’autre venant caresser doucement son petit cul, frottant sa culotte.
« Hum... »
Avant de lui répondre, elle choisit de tendrement l’embrasser, plaquant ses lèvres contre les siennes. Le baiser ne dura que quelques secondes, mais fut onctueux et savoureux.
« Il y a... Il y a bien quelque chose que toi et Yuka pourraient faire... Quelque chose que je ne réserve qu’aux femmes en qui j’ai la plus grande confiance... »
Mélinda s’écarta un peu, et laissa à Yuka le temps de se relever. Elle se mordilla les lèvres, les regardant toutes les deux, et, si on regardait entre ses cuisses, on pourrait voir que sa verge venait de disparaître.
« Je veux... Je veux que tu me traites comme si j’étais une esclave qu’il fallait punir, Yuko... Je veux que tu me montres de quoi tu es capable... Libre à vous de voir si Yuka me martyrisera aussi, ou sera une autre esclave... »
Même si elle leur laissait le choix, il semblait évident que la préférence de Mélinda allait pour un duo de dominatrices.
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Ce que ça pouvait être bon ! Cela faisait bien longtemps qu'une femme n'était pas venue se loger entre ses fesses et sans y prendre goût, de temps à autre, c'était agréable. Yuko ne voulait pas que ce soit comme celui de sa sœur jumelle, elle préférait avoir ses parois assez serrées, que ce soit meilleur pour elle comme pour sa partenaire. Ronronnant auprès de Mélinda, cette dernière leur avoua une envie toute personnelle qui ne fera pas de mal aux jumelles Ce n'était pas ce dont Yuko avait en tête mais l'idée était pas mal non plus. Une esclave comme Mélinda, voilà une chose qui ne devait pas se refuser !
« J'accepte cette offre ! Mais pour cela, il va falloir que je fouille un peu. J'ai besoin de savoir ce que j'ai sous la main pour me préparer. Yuka, je te laisse gérer le début comme tu veux. »
Eh oui, la soumise de service savait très bien jouer les dominantes elle aussi, même si spécialité n'était pas vraiment la torture physique mais mentale. Elle remplaçait sa sœur en venant se coller contre elle avec un grand sourire, approchant ses lèvres des siennes.
« Tu as un bon coup de rien tu sais. Je crois que je vais avoir une bosse par ta faute... »
Yuka semblait assez douce pour le moment, elle ne lui criait pas après dessus, elle se dandinait légèrement contre elle, ça semblait bien parti. Sauf que sans crier gare, elle venait à cracher au visage de Mélinda en gardant le sourire.
« Viens me nettoyer la bouche. J'ai le goût de ma sœur en bouche, autant te faire partager un peu, pétasse. »
Rien de bien méchant pour le moment, Yuka venait l'embrasser, espérant bien sentir la langue de la vampire venir lui retirer ce goût de sperme entre ses dents ou bien incruster dans les petits coins de sa bouche. Pendant ce temps, yuko faisait son petit marché, venant ouvrir les placards et les commodes en cherchant tout ce don elle avait besoin pour la suite. Elle piochait ici, elle se servait là, elle était comme une enfant dans un magasin de bonbon ! Surtout quand elle voyait de drôle de babioles venant de Tékhos, sûrement. Elle n'était pas une grande fan de cette ville, certaines leur pilule futa étaient géniaux, de même que certaines choses mais en torture, elle est de la vieille école, elle aime la cravache et le fouet. Mais cela ne l'empêche pas de toucher un peu à tout. Au final, elle avait quand même une cravache, quelques petites clochettes, une petite chaîne et... gardons quelques surprises.
La jeune demoiselle arriva dans le dos de Mélinda et donna un petit coup de cravache sur une de ces fesses en l'observant avec un grand sourire innocent.
« Je suis prête. La seule chose que je ne sais pas, c'est par où commencer ? Oh je sais, je vais avoir besoin de me concentrer un peu ! »
Yuko venait prendre place sur le lit, sa verge avait perdu un peu en vigueur mais elle pointait Mélinda du bout de sa cravache, venant caresser son téton avec sa cravache.
« Je me concentre mieux quand on s'occupe de ma queue ou de ma petite chatte mais surtout quand j’entends une jolie putain souffrir. Yuka, inspire-moi. »
Elle lui offrait sa cravache, laissant Mélinda venir à quatre pattes s'occuper de ses lèvres vaginales ou de son pénis, écartant ses jambes pour elle alors qu'elle plaçait son index sur le menton en levant les yeux au plafond. Yuka patientait en observant ce joli petit cul sous ses yeux, quand elle se sentira prête, elle viendra lui faire rougir tout ça. Yuko gémissait doucement en caressant ses cheveux, sa joue, difficile à croire pour le moment que Yuko était la plus sadique des deux. Mais d'un coup, un délicieux bruit fit sourire Yuko qui commençait à sentir les idées venir se rassembler dans son esprit mais c'était encore flou, elle avait besoin de plus de bruit, plus de douleur, plus de plaisir. Et Yuka s'en donnait à cœur joie. Tantôt une fesse, tantôt l'autre, jamais un rythme de suivi, jamais un indice sur, quand le coup allait tomber. Son petit plaisir était de viser son petit anus... ne chercher pas à comprendre, Yuka avait besoin de ne pas faire comme tout le monde... et elle adorait ça.
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Est-ce que ces deux femmes prenaient conscience de la chance qu’elles avaient en pouvant traiter Mélinda comme une esclave ? Ce n’était pas tous les jours que la vampire faisait une telle offre, a fortiori avec des étrangères. Elle se tenait face à ces deux femmes, et les deux acceptèrent, Yuko ayant besoin d’aller chercher des objets. Yuka, de son côté, se rapprocha de Mélinda, et les deux femmes s’embrassèrent tendrement. Mélinda n’avait pas souvent l’habitude de jouer l’esclave, mais, pour autant, elle estimait centrale de le faire. Pour elle, c’était une excellente manière de se mettre à la place des esclaves, et de comprendre ce qu’elles ressentaient, et comment y réagir. Mélinda répondait donc aux baisers de Yuka avec plaisir, jusqu’à ce que Yuko arrive, et que Mélinda se retrouve entre les deux, en sentant une cravache la caresser.
Rompant ce délicieux baiser, qui lui avait permis de retrouver son souffle (sodomiser Yuko, mine de rien, avait été épuisant), elle se tint face à Yuko, sentant sa cravache caresser son téton. En un sens, Mélinda était soulagée de voir que ses deux amies acceptaient e rôle. Le leur offrir, pour Mélinda, était une preuve de grande estime et de profonde confiance. Yuko, ou, plutôt, Maîtresse Yukoà, écarta les cuisses, lui montrant sa verge, en lui donnant un ordre simple, qui fit sourire Mélinda.
« À vos ordres... »
Après son orgasme, le sexe de Yuko avait perdu de sa vigueur. Fort heureusement, Mélinda avait un certain talent pour déclencher des érections. Toujours aussi nue, la vampire se mit à genoux, puis se courba vers l’avant, venant appuyer ses mains sur le sol. Elle s’avança ensuite vers elle, à quatre pattes, comme une petite chatte féline, exactement dans la même position que toutes les esclaves à qui Mélinda leur donnait l’ordre de venir lécher ses pieds, ou son sexe. Yuko avait bien écarté ses jambes, dévoilant l’accès de son service trois pièces. Se pinçant les lèvres, elle s’approcha donc, et, sachant très bien ce que Yuka comptait faire, redressa légèrement son buste, tout en veillant à conserver l’accès à son petit cul.
Une main sur sa hampe de chair, elle alla sucer cette queue tendue, un peu flasque, un peu molle... Mais avec l’intime conviction qu’elle allait rapidement retrouver sa vigueur habituelle. Sa bouche s’attaqua donc à cette dernière, et elle entreprit de la sucer, de la pomper, sa bouche filant d’avant en arrière, sa langue allant caresser son sexe, glissant sur sa peau, remontant dessus, tout en gémissant et en soupirant. Au bout de quelques secondes de ce traitement, les coups de cravaches finirent par s’abattre sur sa croupe.
« Hunnn... Hnnn !! »
Fermant les yeux, Mélinda sentait le plaisir croître et exploser en elle. Ses mains se crispaient sur les cuisses de la belle femme, et elle filait le long de son membre, l’engouffrant de plus en plus profondément dans sa bouche, soupirant et gémissant de plaisir. Elle remuait son petit cul de droite à gauche, gémissant de plaisir à chacun des coups s’abattant sur elle.
Et oui, ce n’était pas parce que Mélinda adorait fouetter que la réciproque n’était pas vraie ! Être la soumise, la petite masochiste, ça avait aussi du bon... Clairement.
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Yuko avait vraiment de la chance, une esclave si belle, ce n'est pas tous les jours qu'elle a ça. Mélinda en neko, ce serait vraiment une super belle neko mais pour l'heure, une simple esclave suffisait à produire un effet d'excitation chez l'une comme chez l'autre. Yuka préférait être la soumise mais il fallait bien ne pas perdre la main sur les esclaves. Armée de sa cravache, elle aimait caresser ses douces fesses avec sa cravache, faisant doucement couiner Mélinda, faisant entendre le délicieux bruit de la chair entrant en contact avec la pointe, hum, un bruit ô combien délicieux. D'autant plus que la belle Mélinda n'était pas avare dans sa prestation, Yuko avait le droit à une superbe fellation. Gémissant en observant cette petite salope qui prenait son pied avec sa queue comme avec son délicieux petit cul. Les Karistal lui préparaient une surprise pour après mais une chose à la fois. Pour le moment, elle était leur chose !
Yuka s'amusait à lui fouetter le cul mais pas tout le temps, elle aimait juste passer la cravache dessus, pourquoi pas caresser son petit trou, appuyer doucement dessus et tenter de frapper ce petit point digne d'une cible de premier choix ! Tantdis que Yuko la laissait faire, elle venait passer sa main sur sa joue, la caresser en gardant un large sourire bien... étrange. Elle ne risque pas d'être aussi douce tout le temps, ça se voyait sur ses lèvres. Même quand sa main venait caresser ses cheveux, elle repoussa doucement cette dernière en lui souriant.
« Laisse donc ma queue tranquille, tu l'as assez sucer pour le moment. Viens plutôt m'embrasser... juste en-dessous. »
Un petit baiser sur ses autres lèvres ? Pourquoi pas, c'était une bonne idée après tout. Oui mais non, Yuko se masturba un peu en soupirant avant de laisser ses lèvres expulser un petit jet jaune doré alors que la jeune femme venait poser sa main sur la tête de Mélinda jusqu'à la fin de son petit « plaisir ». Une fois fini, elle souriait innocemment à Mélinda. Oui, elle avait osé uriner sur une femme comme elle. Est-ce que ses amies ont déjà tenté d'aller aussi loin ? Si ce n'est pas le cas, cela sera que plus bénéfique pour elle.
« Si nous serions des animaux, tu serais à moi ma jolie petite Mélinda. Heureusement pour toi, tu restes toujours notre copine et maintenant, il est temps de passer à la suite. Yuka chérie, viens donc à genoux embrasser notre Mélinda. »
« Pour lécher ta pisse ? Non mais t'es pas nette ! »
« Petite menteuse, je suis sûr que tu en meurs d'envie. À moins que tu ne jalouse Mélinda ? Il est vrai que d'habitude, c'est toi qui reçois ta petite récompense. »
Le visage de Yuka était très colérique mais elle n'osait rien dire en retour, une part de vérité dans de tels propos ? Surement vu comment Yuko semblait heureuse d'avoir été aussi loin. Son large sourire en disait long sur la relation incestueuse des deux sœurs. Elle est bien loin l'époque où cela ne se limitait qu'à quelques baisers sur la bouche et quelques caresses. Yuko en profita pour prendre un des petits jouets qu'elle avait trouvés dans l'antre du vampire. Yuka gardait cet air colérique en faisant face à Mélinda, à genoux. Yuko les rejoignait en venant leur caresser à toutes les deux leurs jolies petites lèvres intimes, les doigtant doucement.
« Oh je vous en prie, commencer sans moi, juste le temps de profiter de plus près du spectacle. »
Elle continua encore jusqu'à ce qu'elle jugeait que cela soit assez pour commencer. Elle se pencha sur elles, venant d'abord enrouler un très fin fil autour du clitoris de sa sœur, en faisant de même avec Mélinda. Toutes les deux étaient liés par cette petite chaîne et si elles se séparaient un peu trop, ça tirait autant sur l'une que sur l'autre. En distance, disons que leur poitrine ont moins de vingt centimètres de séparation maximum avant que cela ne rentre en jeu. Yuko se redressa, laissant ses deux-là apprendre ce qui leur arrivait si jamais elles se séparaient trop puis elle se plaça dans le dos de Mélinda, caressant ses hanches.
« Alors ma belle Mélinda, tu aimes ta nouvelle copine Yuka ? Alors laisse-moi te faire profiter un peu plus de son corps ! »
Elle poussa Mélinda vers sa sœur, certaine que leur clitoris allait être assez tiré comme ça grâce à son petit jeu. Puis, restant dans son dos, elle fit sentir sa verge sur le jolier fessier de sa nouvelle amie.
« On doit te le dire souvent Mélinda mais ton cul est des plus beaux culs d'Asnard ! Je me demande s'il est aussi beau que bon ? »
Il n'y avait qu'une seule façon de le savoir et pour ça, elle poussa son pénis en elle, dans son petit cul. Elle allait sodomiser Mélinda, ça promettait sûrement de bons et grands plaisirs ! Sachant que Yuka allait profiter du corps de Mélinda de son côté, de ses baisers, bref, une Mélinda pour deux !
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Yuko ne tarda pas à éprouver les limites de ce que Mélinda pouvait supporter en lui pissant dessus. Elle sentit un liquide chaud et poisseux couler contre sa joue, alors qu’elle léchait l’intimité de Yuko, qui apparaissait un peu sous son phallus, dont les testicules appuyaient sa peau. L’urine glissa le long de sa joue pour tomber sur le sol, et la vampire serra les poings, partagée entre le dégoût de ce geste et le fort plaisir qu’elle en ressentait. Elle aurait pu arrêter ce jeu, mais elle n’en fit rien. Quand Mélinda demandait à être traitée comme une esclave, elle ne revenait pas sur sa parole. Pour elle, c’était comme un jeu sordide et pervers, où l’idée était de la faire souffrir, de lui faire sentir les choses de l’autre côté. Les coups de fouet et les humiliations étaient précisément ce qu’elle recherchait, et sentir cette urine chaude sur son visage l’excitait fortement. Mélinda n’avait jamais été une grande ondiniste, mais c’était comme tout… Parfois, oui, elle se faisait plaisir à demander à ses esclaves d’ouvrir la bouche, et de recueillir son urine, ou alors de pisser sur le sol, et de leur ordonner de lécher.
Une flaque jaune venait ainsi de se former sur le carrelage, et Mélinda la regarda, avant de voir Yuka se rapprocher. Très rapidement, Yuko avait laissé parler ses instincts de domination, et Yuka avait cessé d’être une Maîtresse pour redevenir ce qu’elle n’avait jamais cessé d’être depuis les débuts de leur séance : une esclave. Elle avait cravaché le cul de Mélinda, et le caressait encore un peu avec sa cravache, puis Yuko lui ordonna de se mettre à genoux, et elle obtempéra, se rapprochant, elle aussi, de cette flaque d’urine, son corps posté à côté de celui de Mélinda, qui lui sourit tendrement. Yuko sortit ensuite une espèce de curieux fil, et le fourra dans leurs intimités respectives.
« Haaa… »
Mélinda avait des instruments de tout genre, notamment des colliers spéciaux, qui liaient deux cous ensemble, sans jamais pouvoir leur permettre de se séparer plus de quelques mètres. C’était quelque chose qu’elle utilisait notamment sur les jumelles, et elle serra les poings, avant de déplacer une main, pour empoigner celle de Yuka, lui souriant en retour. Elle sentit le fil dans son corps, puis sentit ensuite les mains gantées de Yuko, puis sa verge, caresser ses fesses. Cette dernière complimenta ensuite son cul, et Mélinda sourit malicieusement, penchant la tête sur le côté. Le « plus beau cul d’Ashnard »… C’était un joli compliment ! Mélinda avait attiré du fessier de sa mère, et elle savait, pour l’avoir lu dans les notes et les registres de son père, que ce dernier avait adoré la sodomiser. Elle n’en avait guère été surprise, et, pendant ce temps, l’urine se trouvait devant les deux femmes, alors que la verge s’approchait de ses fesses.
« Léchons la pisse de notre Maîtresse ensemble, tu veux bien ? » murmura Mélinda à son oreille, la léchant tendrement.
La vampire lui sourit donc, puis se pencha vers cette urine, et entreprit de la lécher, tandis que le sexe de Yuko s’enfonçait en elle, la faisant gémir. Elle soupira, serrant les dents. Oh, qu’est-ce qu’elle aimait ça ! Se faire enculer, sentir un gros membre défoncer ses chairs intimes, remuer dans ce trou étroit… Se pinçant les lèvres, elle alla embrasser Yuka, tendrement, enfonçant sa langue sale dans sa bouche. Elle la remua dans sa bouche, venant chercher celle de Yuka, sa main toujours appuyée sur la sienne.
« Hum… »
Mélinda rompit le baiser, et soupira, s’appuyant avec son autre main. Yuko continuait à la prendre, d’avant en arrière, sa verge s’enfonçant de plus en plus profondément dans son cul. Ce sexe gros était une véritable source de plaisirs, faisant haleter et gémir longuement la vampire, qui retourna ensuite avaler cette urine.
Elle se complaisait alors totalement dans son rôle d’esclave, et mouillait abondamment, son liquide intime glissant le long de ses cuisses.
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Qu'il était plaisant d'avoir une femme puissante qui sert de jouet sexuel ! Yuko n'était pas vraiment une fanatique de l'urine, ça non, ça la dégoûtait même quand ça ne venait pas d'une adorable neko. Mais elle avait agi ainsi pour le geste fort de montrer que son esclave était sa chose, qu'elle ne valait pas mieux que des bidets propres. Bien sur, plusieurs fois elle l'a déjà fait avec sa sœur mais c'était différent avec Yuka. C'était une punition et une récompense à la fois. Elle adorait ça, c'était plus fort qu'elle mais elle refusait de l'admettre. Elle laissait ses deux choses jouer un peu ensemble, nul doute que Yuka aurait sûrement aimé jouir un peu plus de son autorité sur Mélinda mais Yuko seule décidait si oui ou non, elle pouvait être son égal. Mélinda prit la main de Yuka, l'invita à commencer à... Oh non non non non !
Yuka prit la tête de Mélinda entre ses mains pour la stopper avant de venir parler à voix basse dans son oreille.
« Qu'est-ce que tu fais ? Tu vas pas lécher sa pisse quand même ? Passe encore le fait de te faire pisser dessus mais ça ?! Contentes-toi de jouer avec moi, c'est largement suffisant ! »
Oui, les Karistal aimaient ça mais à petites doses, allez aussi loin ? Ha non, beurk ! Il y avait de vrais esclaves qui aimaient ça mais pas de ça entre les sœurs. Yuko observait tout ça avec joie, l'idée de savoir que Mélinda aurait été aussi loin dans son rôle ? C'est flatteur. Elle n'avait pas besoin de ça, passe encore l'urine sur sa peau, du savon et de l'eau et le tour est joué ! Mais la boire ? Hum, elle n'arriverait plus à l'embrasser après ça ! Mais passons puisque Yuka venait embrasser Mélinda en se collant contre elle, ce petit fil était génial, à trop se reculer, elles se faisaient mal. Yuko avait donc bien son idée en tête en venant s'en prendre au délicieu petit cul de Mélinda. Elle enfonça sa queue en elle, venant savourer ce délicieux cul ! Oh oui, Yuko n'était pas du genre à toujours se balader avec un pénis entre les jambes mais quand elle pouvait se faire un aussi beau cul, elle n'hésitait pas une seconde ! Les mains sur ses hanches, elle les remuait activement, enfonçant sa queue au plus profond, venant s'enfoncer aussi loin en elle, savourant chaque seconde en elle.
« Huuuum putain Mélinda ! Rhoooo ton cuuuuuuul ! Rhhaaan, je pourrais le bouffer ! T'adore ça en plus, huuummm ? Te faire défoncer le trou de balle ?! »
Dans le feu de l'action, Yuko venait claquer la main sur sa fesse et bordel de merde ce que c'était bon ! Elle n'avait pas si ça pour plaisanter, son cul, c'était divin ! Même avec une neko... Bordel, Mélinda et son cul arrivaient à rivaliser avec des nekos ! Non mais du point de vue des Karistal, ça prouve à quel point elle est en haut de l'échelle ! Dans sa folie de la sodomie, Yuko remuait de plus en plus Mélinda, faisant tirer sur leur petit fil accroché à leur clitoris, tirant de plus en plus dessus. Yuka le ressentait elle. Même si la douleur, elle aime ça, ça se voyait sur son visage que ça tirait quand même. Malgré leur baiser, ses coups de langue sur son visage, Yuka était entre la joie et la douleur, donc, elle était heureuse.
« Ta vraiment de la chance, haaaan... de pas être une neko car sinon... rien à foutre de ton rang, je t'aurais Haaaa ! Adopter de force ! »
Mélinda en vraie neko ? Aurait-elle imaginé une arme de destruction massive de fantasme ? Une neko riche qui a bon goût, qui a des esclaves, tiens un harem et à un super beau cul ? Houla, le fantasme partait loin mais... avec les miracles de la magie et de la science, ce n'était pas du tout impossible. À ce propos, Yuko avait bien une surprise pour Mélinda, entre ses petites actions et leur futures acquisitions me^me temporaire de Miki et Katarina... eh bien ça méritait une récompense ! Yuko relâchait un peu ses hanches, caressant son dos à deux mains, gardant ce même entrain à lui défoncer ses petites fesses. Yuka glissa une main entre leurs jambes, tirant sur le petit cordon, provoquant autant de douleur chez l'une que chez l'autre.
« Couine... Couine pour moi, hummmm-Ah ! Mélinda... »
Son nom prononcé avec une extrême douceur malgré la douleur laissait clairement voir que Yuka adorait ça, autant la douleur que Mélinda. Mélinda avait de sacrés partenaires !
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La perversion des deux jumelles avait leurs limites, ce qui fit sourire Mélinda. Plutôt que de lécher l’urine de Yuko, elle embrassa donc la femme. En un sens, elle comprenait leur pudeur. Contrairement à la vampire, les deux jumelles étaient encore jeunes. Elles manquaient encore d’expérience dans ce domaine, mais la vampire ne leur reprochait pas. Malgré son apparence, Mélinda existait depuis plusieurs siècles. Ce n’était pas négligeable, et cette longévité exceptionnelle, liée à sa condition vampirique, expliquait entièrement que ses fantasmes étaient naturellement plus osés et plus poussés que ceux des Karistal. Ses petites étaient de jeunes pousses prometteuses, mais elles ne géraient pas un harem depuis des siècles, et n’avaient donc pas vu quantité de fantasmes. Mélinda s’était impliquée corps et âme à sa tâche, et avait couché avec beaucoup de personnes, satisfaisant leurs fantasmes… Et, même avant d’être ce qu’elle était aujourd’hui, quand elle n’était encore que l’esclave docile et soumise de son père, elle avait aussi subi des fantasmes extrêmement pervers et violents.
Tout cela pour dire que Mélinda, contrairement aux jumelles Karistal, n’était plus une petite poupée fragile et innocente… Des fantasmes, elle en avait, et l’urine ne la dérangeait pas… Néanmoins, elle n’allait pas se forcer à boire ce truc, et cessa donc rapidement d’y songer, au profit de la belle bouche de Yuka… Puis de la grosse verge de Yuko, qui s’enfonça dans sa chair.
« Aaaaaahhhh… !! »
Assez rapidement, Yuko se mit à remuer d’avant en arrière, enfonçant sa verge en elle, l’enfonçant profondément et longuement. C’était une queue tendue, solide, dure, impatiente et assoiffée. La sentir en elle, voilà un plaisir immense. Oh oui, Mélinda avait si rarement l’habitude de se faire enculer qu’elle ne se voyait clairement pas passer à côté de l’idée de se faire prendre. Yuko était aussi belle que perverse, et elle partait vraiment sur de bonnes voies, que ce soit pour elle-même, ou pour ses relations avec Mélinda. La vampire était conquise, et elle sentait les coups de butoir contre ses hanches, l’amenant à serrer les lèvres, à gémir et à couiner longuement. Mélinda haletait et soupirait, de la sueur coulant de ses joues et de ses mèches de cheveux. Yuko continuait à la prendre, encore, encore, et encore… Et Mélinda hurlait, couinait.
Sa verge s’enfonçait solidement dans son cul, bien profondément, et la chaîne dans son vagin, qui la reliait à Yuka, se détendait et se striait, au fur et à mesure que Yuko multipliait ses coups de reins. Non, elle ne la ménageait pas, et c’était parfait, car c’était tout ce que Mélinda demandait. On pouvait ainsi toutes les entendre gémir et soupirer, même si Mélinda commençait à hurler et à gémir, en se pinçant et en se mordillant les lèvres. Sa température corporelle explosait, amenant ses cheveux à se plaquer contre sa peau, se collant à ses joues. Elle déglutit longuement, sentant les rythmes de pénétration de Yuko s’accroître encore.
Tout en la prenant, Yuko lui avoua qu’elle avait de la chance de ne pas être une neko, ce qui fit sourire intérieurement Mélinda. Avec la Polymorphie, il était possible de transformer provisoirement Mélinda en neko… Même si elle ne l’avait encore jamais fait. Elle savait qu’elle pouvait le faire… Qui sait ? Peut-être offrirait-elle ce cadeau à ses deux charmantes amies ? En attendant, elle continuait à mouiller, sensation accru par les mouvements de Yuka, et par le tiraillement de leur chaîne.
« Yuuuu… Yuuuukaaaa, haaaaa…. !! »
Mélinda gémit quand Yuka tira sur la chaîne. Les mains gantées de Yuko continuaient à frotter son corps, et la seule idée de visualiser ces beaux doigts enserrés de rouge en train de glisser sur sa peau trempée provoquait en Mélinda des fantasmes énormes. Elle mouillait abondamment, et eut même un orgasme, en soupirant, encore et encore.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNN !! HHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNN !! »
Qu’est-ce que ça pouvait être bon, cette sodomie !
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Franchement, elles n'allaient pas se priver ! Yuko avait la chance d'avoir Mélinda Warren, une des femmes les plus influentes du pays comme esclave, prête à boire sa pisse, alors l'idée de refuser l'offre, ce serait vraiment la dernière chose à laquelle elle pensait ! Elle préférait de loin caresser ce superbe corps entre ses mains, la baiser aussi fort que possible ! Certes Yuko avait la meilleure place dans ce petit manège mais Yuka aussi aimait ça. Forcée de coller Mélinda, de jouer avec elle sinon leur séparation risquait d'être douloureuse, surtout au niveau du clitoris. Tandis que Yuko ne se gênait en aucun cas pour peloter toutes ses belles formes, elle savourait chaque soupir, chaque gémissement de la vampire, elle va mémoriser chacune de ses petites choses dans sa tête ! Yuka, elle, continuant de se frotter contre elle, venant lui lécher le cou, parfois même y faire sentir ses petites dents sur sa belle peau. Non pas qu'elle tente d'imiter la vampire, elle faisait juste glisser ses dents sur sa peau.
À force d'y aller à fond, de sentir son bassin rebondir sur ce joli petit troufion, Yuko venait à jouir peu après avoir entendu Mélinda crier aussi fort, ce qui provoqua une réaction en chaine avec la seconde Karistal qui se laissait aller sur Mélinda. Cyprine, pas urine hein ! Après tant de plaisir, ce fut un petit concerto de gémissement, le temps de reprendre des forces. Yuko se retira avant de s'asseoir sur le rebord du lit, secouant la main vers sa sœur pour lui dire que c'était fini et cette dernière venait doucement retirer ce qui la liait à Mélinda avant de se rapproche de Yuko. Toutes les deux échangèrent un baiser court mais qui avait sa petite touche romantique avant que Yuka ne se penche sur elle pour nettoyer la queue de sa sœur jumelle. Le tout, en douceur.
« Fiou ! Ce fut incroyable Mélinda... C'est vachement agréable de bourrer ton petit cul... mais là, je fais faire une petite pause... ça faisait un bail que j'avais pas fait ça... être comme une futa je veux dire... »
Forcément, reprendre après ça, quel sport ! Cela dit, elle serait d'accord pour reprendre ce petit jeu après mais pour le moment, une pause s'impose ! Tiens, parlant de pause... Yuko retira doucement le visage de sa sœur d'entre ses jambes pour murmurer dans son oreille, ce qui semblait beaucoup les amuser toutes les deux. Ce fut Yuka qui se tournait vers Mélinda en souriant.
« Mélinda ? Tu veux bien fermer les yeux ? Tu nes les ouvrira que lorsque tu penserais que ce sera le bon moment, ok ? Mais tu dois attendre au moins une bonne minute ? Allez, s'il te plaît ? Tu ne vas pas être déçu du voyage, promis ! »
Les jumelles attendaient de la voir s’exécuter avant de se regarder et toutes les deux prenaient les mains de l'autre en se collant l'une contre l'autre, posant le front contre celui de leur sœur avant de se concentré. La magie tournait doucement autour d'elle alors qu'une queue féline poussait au-dessus de leur fesse, des petites oreilles poussaient à travers leurs cheveux pour remplacer celle qu'elles avaient d'ordinaire plus bas. Leur petites dents devenaient un peu plus pointues par la même occasion et touche finale, elle avait une très petite touffe de poil entre leur jambes. Pas grand-chose, aussi grand qu'une phalange au-dessus de leur clitoris. Sauf qu'à la différence avec d'habitude, ce n'était pas un petit tas de poil bien coupés, si on passait le doigt dessus, on se rendait vite compte que c'était aussi doux que la fourrure d'un chat. Une fois métamorphosé en neko, leurs iris aussi étaient semblables à ceux d'une chatte, les deux sœurs échangeaient leur baiser de bienvenue à leur forme neko avant de marcher à quatre pattes vers Mélinda en se frottant contre elle, chacune d'un côté, elles frottaient leur visage sur elle, ronronnant doucement.
« Maîtresse ? »
« Mélinda ? »
« Vous pouvez ouvrir vos yeux, nnnyyaaaa. »
Se doutait-elle d'avoir deux nouvelles nekos ravissantes sous les yeux ? Deux nekos si dociles et gentilles qu'elle pourrait câliner autant de fois qu'elle voudrait ? Après tout il faut savoir que la petite Yuko était bien plus sage sous sa forme de neko pour commencer, puis avec leur fatigue de leurs derniers jeux, elles ne seraient pas contre quelques caresses et des câlins. C'est aussi ça des nekos, de belles boules de poils qui demandent que des câlins et des caresses.
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Les Karistal n’avaient pas loupé Mélinda. Yuko était un véritable monstre quand elle s’y mettait. Cette sodomie avait été intense, et avait laissé Mélinda dans un état de plaisir fort. Elle avait joui, elle aussi, et se retrouva ensuite seule, avec ses trous libres. La vampire soupirait longuement, reprenant son souffle, et, restant sur le sol, elle se retourna, s’asseyant sur les fesses, en écartant ses jambes. Lorsque son cul heurta le sol, elle frissonna, en sentant une douleur remonter le long de son corps. Fermant les yeux pendant quelques secondes, Mélinda gémit lentement, puis se redressa ensuite. Yuko et Yuka s’embrassèrent tendrement, mais les deux jumelles étaient épuisées... Surtout Yuko. Elle lui expliqua n’avoir pas l’habitude d’être une Futanari, et, tandis qu’elle parlait, Yuka retourna s’attaquer à son sexe, venant le nettoyer avec sa bouche.
« Et bien, pour une débutante, tu t’en sors très bien, Yuko... »
Quand on avait de telles partenaires d’affaires, on aimerait que toutes les relations professionnelles se passent ainsi. Yuko et Yuka Karistal avaient clairement débordé le cadre étroit de la relation professionnelle pour rejoindre celui des amies de Mélinda. Elles avaient couché comme des hyènes, laissant leurs marques sur le sol, et les femmes de ménage allaient se faire plaisir à tout nettoyer. Mélinda ne se sentait toutefois guère gênée. Au contraire, coucher avec une telle ardeur était très excitant, et, pour de simples humaines, les Karistal étaient vraiment douées et passionnées. Mélinda les regarda donc, en reprenant elle-même son souffle.
Yuka lui demanda alors de fermer les yeux pendant quelques instants. La demande la surprit, mais le regard de Yuko était sérieux. Mélinda haussa les épaules. Si ces femmes voulaient faire des cachotteries...
« Très bien, mes petites... »
Pour plus de confidentialité, Mélinda se retourna, et mit les mains devant ses yeux, tout en fermant les paupières. Elle entendit du bruit dans son dos, et sentit surtout des ondulations sanguines venant des deux jumelles. Chaque personne avait un groupe sanguin spécifique, qui variait en fonction de la race, de l’état de santé, et d’autres critères. Cependant, chaque race avait une sorte de base sanguine commune, permettant de la singulariser et de l’identifier par rapport à d’autres. Elle sentit donc ce socle sanguin évoluer, ressemblant à celui des Terranides qu’elle avait sous son service.
*Mais que font-elles ?*
La vampire les entendit ensuite se déplacer, puis, alors que son esprit était plein de questions, deux corps se frottèrent à ses jambes. Yuka l’appela « Maîtresse », signe que leur petit jeu était fini, même si Yuko choisit de l’appeler par son nom... Encore une manière de rappeler qui était la dominante parmi ces deux superbes sœurs. Mélinda se retourna donc... Et les vit. Deux nekos se tenaient à droite et à gauche d’elle, avec des oreilles pointues, des queues caudales pointant vers le ciel.
« Oh... »
Surprise, Mélinda les regarda pendant quelques secondes. Yuko avait encore sa tenue rouge en latex, et ses mains vinrent caresser leurs nuques, se crispant sur ses cheveux.
« Et bien... Effectivement, vous adorez les nekos, toutes les deux... »
Ça, c’était le moins qu’on puisse dire ! Mélinda se déplaça un peu, et s’assit sur un fauteuil, puis leur fit signe d’approcher. Oh, elle allait se montrer douce avec elles... Car elle sentait bien que les sœurs étaient fatiguées, et qu’elles avaient besoin de tendresse. De fait, si elles prenaient cette forme devant Mélinda, c’était parce qu’elles en étaient arrivées à la même conclusion qu’elle : la dame Warren n’était pas qu’une simple partenaire commerciale, mais bien une amie.
« Comme Yuka m’a appelé comme il convient, c’est elle qui recevra en premier le câlin de sa Maîtresse... Quant à toi, Yuko... Hum... Tu peux caresser et lécher mes jambes. Ensuite, Yuka te remplacera, et je te ferais un câlin. »
Elle tendit ses deux bras vers Yuka, et la souleva un peu, la mettant sur ses genoux, puis la serra contre son corps. Leurs seins se collèrent entre eux... Puis elle caressa le dos de Yuka, longuement, la grattant, filant jusqu’à ses fesses, empoignant ensuite sa queue caudale, filant de la base vers la pointe, retournant ensuite la caresser.
« Hum-hum... Dis-moi, ma belle Yuka... Quelle est la magicienne qui vous a offert le don de vous transformer en de si adorables petites nekos ? »
Autant en profiter pour se renseigner un peu...
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Les Karistal avaient plus d'un tour dans leur sac. Elles se montraient sous leur forme de neko, une chose que peu de personnes ont le droit après tout, maintenant qu'elles pouvaient faire ça quand bon leur semble, elles donnaient ce privilège à de rares amies. Mélinda faisait partie de ce petit cercle à présent. Tournant près d'elles, les deux chattes se faisaient un plaisir à coller Mélinda comme des minous qui attendaient leur gamelle. Mais c'est surtout la fatigue après de telles négociations, elles avaient besoin de repos. Et quoi de mieux qu'un bon gros câlin sous leur forme de neko ? Yuka restait plus docile comme à son habitude, appelant Mélinda Maîtresse mais neko ou non, elle gardait son petit caractère.
Déjà, Yuka avait le droit au câlin la première, ce qui ne plaisait pas à Yuko. Évidemment, elle veut être la première, la chouchoute. Elle n'en voulait pas à sa sœur, c'était le jeu... Elle pourrait se vanter d'avoir baiser Mélinda par exemple, et pas Yuka. En temps normal, Yuko aurait sûrement boudé en tournant le dos à leur amie mais puisque Miki et Katarina étaient en jeu, elle ne voulait pas faire s'écrouler tout leur effort pour si peu. Yuko aux pieds de Mélinda, elle allait retourner la situation dans sa poche, venant lécher doucement le petit pied de la vampire, passant doucement sa petite langue rappeuse sur sa peau délicate en écoutant sa sœur ronronner et les questions de la patronne de harem. Une question intéressante car leur chance n'était pas donnée à tout le monde. Yuka se laissait caresser en ronronnant contre le corps chaud et doux de Mélinda...
« Nyyyaaaaa~ On a eu la chance, mrrrrrrr.... d'avoir comme amie la fille du dieu neko... »
Certes, elles dû marchander un peu avec la semi-déesse mais toutes les deux ont obtenu ce pouvoir magnifique de devenir une neko. Et quand elles viendront à mourir... Elles seront dans le paradis neko, un vrai paradis pour les Karistal qui pourront s'occuper d'absolument toutes les plus belles créatures de cette terre !!!
« Ce n'est pas, mrraaa, une chose offerte à n'importe qui, nyaaan. Nous sommes des... comme des privilégiées. »
Eh oui, ce n'est pas le genre de choses que n'importe qui pourrait se vanter. Les jumelles donneraient leur vie pour les nekos, elles vivaient pour cette race qu'elles aimaient plus que tout. Pouvait-on en dire autant de la part des autres personnes ?
« Maîtresse... on pourrait aller dans votre lit faire une petite sieste à trois ? »
« Ou même à plus. Je ne serais pas la plus performante pour une sieste crapuleuse mais dormir entourer de neko contre soi... je connais pas de meilleur moyen que de passer une bonne nuit ou une bonne sieste. »
A condition qu'il ne fasse pas une chaleur étouffante, sinon ce n'était pas pratique... Mais oui, pour une fois laissons le sexe de côté et laissons les faire une bonne grosse sieste avec Mélinda ou entouré de neko en tous genres et en tout âge, ça ne fera que prolonger leur doux rêve. Elles rentreront chez elle plus tard dans la journée ou bien demain au pire des cas, personne ne les attendait en dehors de la diligence.
« Est-ce que vous allez nous refuser le droit de dormir avec vous ? »
Yuka pencha doucement la tête sur le côté en ayant ce petit air de chaton abandonné, suivit par Yuko qui en faisait de même en levant la tête par-dessus les cuisses de la vampire.
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Mélinda, Yuka et Yuko avaient fait l’amour comme des hyènes sauvages pendant plusieurs heures, et maintenant, les deux jumelles, devenues de délicieuses nekos, demandèrent le repos… Une sieste pour finir leur rencontre, une sieste de repos avec tout un tas de nekos… Mélinda pouvait trouver ça, oui. Ces deux filles étaient hystériques de nekos, et elles l’étaient telles qu’elles avaient visiblement passé un accord avec le Dieu responsable des nekos. C’était… Intéressant. Les jumelles avaient de biens plus hautes relations que ce que Mélinda pensait, ce qui rendait leur rapprochement encore plus utile. Les deux nekos demandèrent donc à Mélinda le droit de dormir avec elle, en lui faisant une bouille adorable, le « regard neko » qui était terrible, et qui donnait toujours envie à la vampire de câliner la neko le lui faisant… Ou de la violer sauvagement, au choix.
Elle leur sourit, et hocha lentement la tête, ses mains venant caresser leurs deux têtes, à hauteur des oreilles :
« Très bien, très bien… Nous allons dormir ensemble… Enfin… Au milieu d’une montagne de nekos, cela va de soi… »
La vampire aimait bien dormir avec les nekos. La nuit, ils étaient comme de doucereuses peluches, tendres et confortables, et Mélinda aimait bien les entendre ronronner tout contre elle. Elle se déplaça vers un coin de sa chambre, et tira sur une corde, ce qui eut pour effet de déclencher une clochette dehors. Quelques instants après, une servante arriva, et Mélinda lui ordonna de réunir une dizaine de nekos pour passer la nuit. La jeune servante, en tenue de maid, acquiesça rapidement, et fila dans les coursives du harem. Mélinda se retourna ensuite vers Yuka et Yuko, puis, en leur souriant à nouveau, s’approcha d’une fenêtre, qu’elle entreprit d’ouvrir. L’air frais de la nuit arriva ainsi, remuant les élégants rideaux, ainsi que ses cheveux.
Humant l’air frais, Mélinda se retourna ensuite, puis s’approcha du lit, et se glissa sous la couverture.
« Allez, mes chéries ! Venez voir Maman ! »
La couverture était fraîche, et le lit bien bordé, le rendant encore plus agréable au contact. Elle leur fit signe d’approcher, puis les caressa à nouveau, l’une à sa gauche, l’autre à sa droite. Elle continua ainsi à les caresser et à les gratter, se délectant de leurs miaulements et de leurs ronronnements, jusqu’à ce que la porte s’ouvre à nouveau. Une dizaine de nekos apparurent ainsi : des blondes, brunes, des femmes à la peau blanche, d’autres à la peau bronzée… Il y eut un concert de miaulements, et elles rejoignirent ainsi le lit, les unes après les autres.
« Mes chères petites nekos… Je propose que nous dormions tous ensemble cette nuit… Autour de votre Maîtresse ! Et, pour cela, je vais exceptionnellement sortir de ma couverture… Afin que vous soyez ma couverture ! »
C’était suffisamment exceptionnel pour que les nekos ronronnent de plaisir. Mélinda s’extirpa de sa couverture, et se coucha dessus. Tout devant elle, il n’y avait que des nekos, des oreilles pointues, et de tendres queues caudales qui remuaient en l’air. Quel beau spectacle…
Elles allaient passer une merveilleuse nuit !