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« Une autre ! Et c’est parti ! »
Gabriel finissait sa troisième bière avant d’attaquer le boulot ! Il était de nuit aujourd’hui, et s’il était de nuit, ça voulait dire qu’il n’allait pas beaucoup bosser ! Ça sentait la tournée des bars sans doute, mais d’abord, picoler un coup pour faire passer la pilule qu’il était de service en théorie cette nuit ! Ça, ça lui foutait les boules mais bon, ça arrivait, forcément, célibataire, il était sans attache et donc personne qui serait pénalisé€ par son absence pour quelques nuits par semaine. Les salauds !
Il finit sa bibine et se leva, régla l’addition puis sorti dans la nuit, s’installa dans la bagnole de flic et commença à attendre la fin de son service, allant se caler dans une ruelle sombre pour avoir la paix, utilisant l’allume cigare pour allumer une clope, puis, sans s’emmerder, sortit le pack de bière qu’il avait planqué dans la boite à gant. Il s’installa sur le capot de la bagnole et commença à siroter en fumant, alternant lez deux, talkie à côté de lui en cas de bezsoin, histoire de faire croire qu’il bosserait !
« Vie de merde. »
Il soupira et décrocha le talkie en entendant qu’il sonnait. Il attendit les ordres… en faisant bien comprendre que ça le gonflait horriblement.
« Valmy, attaque d’un distributeur avenue du temple, vas y et agit ! »
Le jeune homme soupira et raccrocha pour s’y rendre. Il remonta dedans la bagnole et appuya sur le champignon. Il soupira et regarda un peu la route. Il fut sur place en moins de cinq minutes, mais voilà, sur place, personne ! Il sorit de la bagnole et lança un grand coup de pied sur la machine.
« CHIER ! »
Oui, il avait horreur de perdre son temps. Alors tant qu’à faire, il laissa la bagnole (il ne la ferma même pas) et se mit en tête de se balader dans le parc… oui, en plein milieu de la nuit, qui sait, il trouverait être amusant de foutre en taule pour la nuit des pervers qui s’ébattaient dans les buissons !
Le taff pouvait aller se faire foutre !
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( Que le jeu commence ♡ )
Pourquoi ne pas tenter une approche ? Je suis si affamé ! Peut-être devrais-je, ce soir, me servir d'un clochard ? J'en avais pas du tout envie enfin. Les clochards, ils sentent mauvais et ont une très GRANDE difficulté de prendre soin de leur hygiène dentaire. Ceci dit, je n'avais pas envie de glisser ma langue dans une gueule sale comme la leur. Je voulais de la viande fraîche. Bon, je devais avouer que les jeunes lycéennes de Seikusu ne se promenaient plus dans les parcs rendus cette heure si tardive. Je dut donc renoncer à mon festin de jeunes vierges qui rêvait de se faire peloter minuit tombé. Quelle vilaine Cendrillon ces petites putes étaient !
« Quelle soirée merdique nous avons là ! »
S'il y avait quelqu'un, il m'aurait bien pris pour une idiote à me voir me parler ainsi. Ma tenue en disait fort grande aussi. J'étais stricte, je portais cette tenue de style militaire et ses longues bottes " de salope " répliquaient certain me voyant la nuit. Car bien entendu, je ne sortais que la nuit de peur de voir mon si beau visage se bruler ou fondre sous ce soleil aveuglant. La seule chose que je regrettais du jour, c'était les enfants. Non je n'aimais pas tellement les gosses mais leur sang était si bon et délectable ! En s'en lécher les babines je vous le jure sur ma tête de vampire russe rousse.
Je jouais quelque temps avec mon Madonna ( mon piercing sur le côté de ma lèvre inférieure), m'ennuyant fortement lorsque j'eus la plus merveilleuse des idées. Pourquoi ne pas m'allumer un de ces bâtons de drogue ? De quoi calmer l'atmosphère qui était sincèrement beaucoup trop silencieuse à mon gout. Je pris un de ces bâtons dangereux et interdit pour la vie des humains et l'amenais vers ma bouche. Je fus très vite déçu lorsque je remarquais que je n'avais plus d'allumette pour m'en allumer une ! Justement, un homme d'une grandeur étonnante s'approchait, pourquoi ne pas lui demander ? J'avançais de ma démarche scandinave pointant ma clope bourrée de produit chimique vers l'homme en question. Il avait de jolis cheveux blonds, il sentait fort l'alcool aussi. De quoi m'exciter ! Je m'exprimais toujours de mon fort et sexy accent russien .
« Dis-donc, t'a du feu chéri ? »
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Gabriel aurait du s’y attendre…. C’est con, mais ça paraissait logique quand on y réfléchissait… le parc, en pleine nuit, pas de monde, c’était l’heure du racolage et autres noms que l’on donnait au fait de s’adonner à ce joyeux métier qu’était la prostitution et le proxénétisme ! Et le pire c’était qu’il était de service ! Alors bien évidemment, quand une femme, jolie de ce qu’il voyait vu la lumière que diffusait faiblement le lampadaire le plus proche. Il ne distinguait qu’un éclat rouge, et une silhouette ! Pas vilaine la silhouette, mais juger d’après ça, pas facile.
Le jeune homme ne s’attendait pas à être abordé de cette manière…. Il aurait du, mais il ne s’y attendait pas. Et l’accent était bizarre ! Elle était pas japonaise, ça, c’était certain. Pour le reste… il n’était sur de rien ! Regardant, tenta nt de voir les traits dans la pénombre, il finit néanmoins par répondre, de manière plus que laconique.
« Ouep, chérie ! Passe ta clope pour voir c’que je peux faire ! »
Sauf qu’apparemment, rien qu’à l’odeur éteinte, ce n’était pas une clope, il était formel, pour avoir fumé des saloperies innommables, et surtout pour avoir bossé aux stups. Pas longtemps, fumer les pièces à conviction n’était pas forcément très bien vu… il avait vite été muté au service des enquêtes criminelles ! Donc il avait du se résoudre à arrêter ce genre de conneries.
Bref ! Il sourit et retourna dans la lumière pour mieux la dévisager une fois qu’elle y aurait pénétré pour se faire allumer son machin.
« Approche, comme ça je te verrai en te filant mon zippo beauté ! »
Il plongea la main dans sa poche et sortit le zippo avant de le tendre. Il prit une bonne inspiration, il avait un peu peur qu’elle se barre avec ! Il était joli pourtant, couleur noire, gravé… superbe ! Il eut un peu de mal à le lui céder pour qu’elle allume son truc. Mais il ne le ferait pas sans rien gagner en échange…
« Tu fais tourner ? »
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Je le voyais bien, mes yeux donnant un éclat de dorée sous la nuit du parc et ma vision vampirique m'était bien utile après tout ! Je voyais tout en rapprochée telle la vision d'un chat. Au contraire, je n'étais pas un minou, mais j'en avais bien sous cet équipement. Sous ma robe/manteau de style militaire se cachait un jolie ensemble de lingerie d'une couleur bien sombre. C'était idiot, mais j'avais pensé à tout. On ne savait jamais. Et d'ailleurs grâce à ma vision nocturne je pus m'apercevoir que j'avais un joli morceau qui n'attendait que moi. Mais il fallait attendre et me retenir pour pas que je m'occupe de ce morceau de viande à cet instant si tôt ! La patience est une vertu ! Il ne me comprenait pas au début, je répétais plus clairement prenant tout mon temps.
« Tu ne sembles pas avoir compris. Laisse-moi recommencer mon français n'être pas très bon ! As-tu du feu ? »
Il comprenait maintenant sortant ! Il était stylé tien, d'une couleur noire, très élégant ! Je regrettais de ne pas pouvoir en avoir un comme tel. Il faudrait que je dérobe un magasin pendant la nuit. Les lambineux fermaient tous à sept heures du soir sauf les restaurants et dépanneur !
« Approche, comme ça je te verrai en te filant mon Zippo beauté ! »
Je lui offris cette faveur. Pourquoi pas ? Je m'avançais pour mieux paraître sur le lampadaire dévoilant mon corps de toute beauté. Mes cheveux rouges étaient bien frisée naturel et j'avais un regard lumière. Sous ce spectacle, ça ne m'aurait même pas étonné qui se sois enfui de moi ! Pas question, avant qu'il prenne les jambes à son cou je voulais lui voler de son feu ! Je me penchais vers le feu lorsque l'allumait, j'allumais mon bâton de pure drogue et en pris une bouffé le remerciant de mon regard coquin de chasseuse. Il me demandait une petite faveur, j'hésitais un peu.
« Tu fais tourner ? »
Après un moment de réflexion :
« Si tu sais en prendre, ce n'est pas de la mauvaise qualité tout cela ! C'est bien fort . »
Je prenais mon étui de cigare et autres trucs empoissonnant la santé puis en sortit un de la même sorte lui tendant de mon bras tatoué camouflé par cette robe élégante en lui disant de faire attention, à prendre modérément !
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Vous savez, dans la vie, il y avait deux catégories de femmes intéressantes : les belles et les baisables. Bah là, elle était belle quand elle s’avança dans la lumière, pas belle jolie, non, belle, belle, elle vous filait un frisson dans le dos en fait, un peu comme si c’était pas normal qu’une fille pareil soit là, à la limite du racolage dans le parc, le genre de fille qui aurait du être casée avec un apollon qui serait en train de la faire grimper au rideau à cette heure-ci !
Enfin bref, le jeune homme dut quand même, au bout de quelques instants, arrêter de la déshabiller du regard. Non, de l’admirer, autant pour moi ! Une fille pareille dans son pieu, il ne coucherait pas dans la baignoire, dans le salon non plus, d’ailleurs, par la contre, la coucher… c’était une autre chose ! Mais trêve de digressions.
Elle semblait hésitante à l’idée de faire tourner, en un sens, peut être avait-elle raison de ne pas lui offrir ce plaisir. Mais après quelques précisions, pour bien dire que c’était pas de la merde, elle finit par accepter, et dans un geste plein de grâce elle lui en donna un qu’il s’empressa d’allumer. Il le porta à ses lèvres et tira une latte. Une petite. Pour tester.
Le peu qu’il inhala commença par lui irriter la gorge, la lui brulant après. Il en eut les larmes aux yeux et toussa à en recracher ses poumons. Putain, ce n’était pas de la merde en effet, elle était pure et costaude ! La miss était soit très résistante, soit très habituée…. Et il ne voulait pas savoir lequel de ses arguments était le bon !
« Putain, c’est du lourd ! »
Sa voix était rauque, on aurait dit un murmure. Il eut la tête qui lui tourna légèrement. Drogue et alcool en même temps ne faisait pas bon ménage ! Mais il reprit une autre latte qui passa mieux. Il avait le sourire aux lèvres alors qu’il la dévisageait à nouveau, la caressant des deux saphirs qui ornaient son visage.
« J’en ai connu pas mal…. Mais celle là… putain… faudra que tu me dises où tu te la procures ! »
Il sourit avant de finalement tester sa réaction en écartant le pan de son cache-poussière et révélant le badge accroché à l’intérieur de sa veste avant de tout remettre en place, comme si de rien n’était, comme s’il avait juste retouché sa mise en pli.
« Putain, je crois que je vais devoir m’asseoir ! Soit elle couper avec un truc odieux, soit elle est plus pure que j’ai jamais gouté… »
Il se dirigea vers un banc et s’assit, ou plutôt, se laissa tomber lourdement dessus. Il tapota le banc à côté de lui, comme une invitation à s’asseoir avec lui.
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Je le regardais, du haut de mes un mètre soixante-douze. Je me sentais terriblement ridicule pour une fois. Je n'aimais pas que mes victimes soient plus grandes que moi. Ça m'enlevait bien de l'assurance je devais l'avouer ! Je repensais quelques secondes à mes pensées pendant qu'il me regardait de haut en bas comme s'il pouvait voir mon ensemble à travers mon manteau. Moi ? Vampire dominé ? Ahah ! C'était bien rigolo en fait je ne peux que réprimer un sourire sous son regard bleu qui le ramenait sur terre.
Il était si beau ! Au moins, elle aurait droit à son festin du soir dans quelques longues minutes à amadouer sa proie. Ces cheveux blonds étaient en bataille sur son petit minois de monsieur sévère. Il tentait d'être sévère avec moi . Raté, je dominais toujours et je ne me résignerais jamais à arrêter de dominer mes victimes. Lorsque je lui passais ce joint : il se débrouillait pour vite l'allumer et l'amener à ses lèvres pour en prendre une grosse bouffée. Quelle erreur ! Il le regretterait et c'est ce qui se passait. Il s'étouffait, avait les larmes aux yeux. Je me retenais de ne pas lui rire en pleine figure mais il était trop tard j'éclatais de rire, un rire communicatif de '' jeune '' femme russe.
« J’en ai connu pas mal… Mais celle-là… putain… faudra que tu me dises où tu te la procures ! »
« En fait, c'est moi qui les fait ! »
Je lui dévoilais mon secret, après tout, il ne devait pas être bien méchant ! Il s'assoyait d'abord et m'invitait à s'assoir à côté de lui. Quel gentleman ! Dommage qu'il aurait affaire à moi. Ou peut-être pas ? Peut-être y pendrait-il goût plus tard. Mais bon, pour l'instant je m'installais à ses côtés. Même assise j'étais suave. J'avais une jambe l'une sur l'autre et je faisais face à ma future proie, lui affichant un sourire accrocheur, je cachais mes crocs cependant. Je ne voulais pas le faire fuir ni paniqué. Du moins, pas tout de suite !
« Que fais-tu dans le parc à une heure si tardive chaton ? »
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Gabriel se mit à rire avec elle en fait, c’était communicatif son rire. Et il riait comme un con, sous l’emprise d’une drogue qu’il ne connaissait pas et qui lui faisait ptêtre autant tourner la tête que la personne qui lui avait offert ce truc qui, si l’on exprimait en langage jeune, déchirait sa maman ! Fabrication maison en plus !
Le jeune homme sourit. Il était pitoyable, quel crétin… mais bon, comme c’était sans doute une putain, elle n’en ferait pas grand cas et ferait plutôt grand cas de son pognon – nouveau sourire- vu ce qu’il avait, il n’avait pas de quoi payer la moindre pipe. Oui, il avait l’air particulièrement ridicule sans doute, et puis, preuve qu’elle s’en foutait bien, elle avait sans doute aperçu sa fonction…
Putain… elle faisait ce truc la miss ! Elle avait donc un cerveau, intéressant ! Elle vait un sacré talent pour faire tourner les têtes. Il prit une nouvelle bouffée en l’écoutant, elle avait une jolie voix, agréable, elle avait un accent, mais il ne savait toujours pas d’’où elle venait, elle n’était pas japonaise, trop jolie pour ça !
Le jeune homme la vit s’asseoir à ses côtés. Ça éliminait un peu la différence de taille, presque vingt centimètres, ça s’oublie difficilement, mais ça réduisait un peu la différence en étant assis. Il plongea son regard dans le sien. Il manqua de s’y noyer, ne s’en arrachant que pour l’écouter. On pouvait dire qu’il était conquis d’une certaine manière.
Il s’arracha à sa contemplation pour répondre, d’une voix douce, plus douce qu’il n’y était habitué et sans doute aussi embrumée par les émanations du truc qu’il fumait en sa compagnie. Il était un peu embrouillé mais parvint à donner une réponse cohérente et claire, il n'était pas encore assez shooté pour perdre usage de ses facultés mentales...
« Je suis sensé bosser, mais je sèche le taff… »
Il détacha son badge et le lui montra, sourire en coin. Police de Seikusu, racolage, drogues illicites, ferait-elle vite l’équation, peut être, peut être pas, mais bon, c’était toutefois très intéressant, s’il arrivait à décoder sa réaction…
« Et je crois que j’ai trouvé une belle surprise en faisant ça… et toi, minette, tu fais quoi ici ? »
Sa main voleta pour se poser sur la cuisse de la jeune femme, par hasard, oui, complètement par hasard !
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Le bâton de drogue lui faisait déjà effet. Il ne devait surement pas être un habitué ma conclusion : un homme vierge ! Mais ma conclusion était bien fausse, il ne sentait plus le puceau. Il semblait expérimenté en fait. Il riait vraiment fort, je posais donc un de mes doigts bagué ( Une bague en tête de mort ) contre ses lèvres douces d'une façon gracieuse et suave. J'avais un don certainement, je faisais facilement détourner les regards vers moi : Katherina Wolkoff petite russe perverse et vampire ! Mais il était certes très dur de ne pas tomber sous le charme d'un vampire et sous leur regard méprisant.
« Que fais-tu dans le parc à une heure si tardive chaton ? »
Il répondit, doux comme un nuage. Doux ? Super ! Une victime douce et inoffensive !
« Je suis censé bosser, mais je sèche le taff… »
Un vilain ? Un vilain doux ? Ah, dès cet instant j'étais tout mélangé. Je répliquais d'une voix captivante qu'il était bien vilain en effet, je me rapprochais de lui me collant ma jolie et volumineuse poitrine contre son bras. Il posait sa main contre ma cuisse. Oh, je sentais que j'allais devoir lui sauter dessus très bientôt. Il me montrait son badge : Police de Seikusu ... Peu importe. Je restais neutre ce qui semblait impressionné monsieur le policier en charge des drogues illicites et etc.
« Et je crois que j’ai trouvé une belle surprise en faisant ça… et toi, minette, tu fais quoi ici . »
« Oh toi, tu es si coquin ! ( je léchais mes lèvres, de quoi les humidifier) Tu n'es pas le seul à avoir fait une trouvaille ... Je crois que je viens de trouver mon repas ! »
Intrigué il l'était. Moi, je lui sautais simplement dessus, l'immobilisant au sol. Tellement je l'avais propulsé, il avait atterri sur le gazon par chance. Mais le contact contre le sol du lui faire extrêmement mal. Il échappait sa drogue au sol, moi j'avais la mienne sous la dent. Je restais à califourchon sur lui et me penchais vers son oreille et toujours le même accent je lui susurrais une question :
« Dis, ça ne te dérange que je te goûte ? J'ai une faim de loup ... Ahou ! ♡ »
J'imitais sensuellement le hurlement du loup lui démontrant mes crocs de vampirette.
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Que de tentation… ses envies étaient clairs, et Gabriel n’avait pas l’intention d’aller contre, mais par contre….. il y avait peut être quelque chose d’intéressant à faire en lien avec ce qui se passait actuellement, racolage, dogue, etc…. il et il avait une jolie paire de menottes qu’il pourrait lui passer avant de jouer. Enfin, ça c’était son intention de vilain garçon au départ... surtout que ça aurait été du gâchis de ne pas le faire vu la jolie jeune femme qu’il avait en face de lui, euh, contre lui maintenant, vu qu’elle venait de lui montrer à quel point sa poitrine était agréable au toucher. A travers les vêtements…
Mais apparemment, soit elle était en manque, soit elle était sous e charme. Il préférait néanmoins la deuxième possibilité, car elle lui sauta dessus, renversant le banc – qui était sensé être rivé dans le sol - l’entrainant même au delà, dans la pelouse. Putain le choc. La tête avait cogné assez brutalement et il se dit qu’il avait du pot que ce ne soient pas des graviers… Il releva la tête vers la jeune femme, quoiqu’il fut noyé dans ses beaux cheveux alors qu’elle lui demandait si elle pouvait…. Le gouter ? Mais waddafak ? Il n’en revenait pas de ne rien comprendre !
Bon, elle voulait gouter la peau ou gouter le loup ? Bon bref peu importe, jusqu’à ce qu’il voit les canines. Il balisa. Et se débattit. Puisqu’elle ne tenait pas vraiment le flic au sol, étant plus posé sur lui qu’autre chose, il parvint à renverser la situation, se trouvant désormais en dessous de lui. Il sourit, ses yeux bleus étincelèrent. Mais ce n’était qu’une apparence, il commençait à craindre un peu pour la suite.
« T’es quoi au juste ? »
Il avait les mains sur ses épaules, la plaquant dans le gazon frais de la nuit. Il se pencha sur elle et ce fut étrange, comme si un léger arc de cercle passait sur ses doigts pour entre dans le corps de la jeune femme. Pas de cquoi bruler, juste de quoi créer des fourmillements des ^plus désagréables.
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Je sentis le regard du policier détourner vers l'autre côté de moi. Il rougissait lorsque je collais ma poitrine contre son bras imposant. Comme l était mignon ! Une jolie petite victime que pour moi. Mais il ne semblait pas vouloir se décoller, donc je fis mes actions rapidement : Pousser monsieur le policier en bas du banc . Réussite ! Grimper sur lui . Facilement ! Le manger ? Malheureusement non, pas tout de suite. Il était confus, ça paraissait grandement dans son regard. Il avait peur . Non je ne croyais pas. Je murmurais toujours avec cette voix perverse/scandinave pour le taquiner.
« On a peur monsieur le policier de Seikusu ? »
Apparemment, cela ne lui avait pas tellement plus ! Il se débattait, je lui répétais de se calmer jusqu'à ce qu'il prenne le dessus, je souriais toujours, excité par ce regard bleu.
« Tu es quoi au juste ? »
« Tu devrais le savoir, trainant dans le parc durant la nuit rôde les créatures les plus magnifiques ! »
Il ne souriait plus à présent, il avait changé son air amusé au garage pour se pencher contre mon corps, ma poitrine plaquant contre son torse musclé. Je sentis ... c'était bizarre ! Comme plein de picotement qui parcourait mon corps, celui-ci (mon corps ... ) ne semblait pas apprécier cette sensation, il bougeait dans tous les sens. Je grognais, c'était vraiment désagréable.
« Bordel, tu vas arrêter oui ?! »
Il ne fallait jamais taquiner le chat, je le propulsais d'un coup de pied. Le fait qu'il me tienne par les épaules de ses mains me désavantageait quelque peu. Il ne lâchait pas mon uniforme et lorsque je l'expulsais, il déchirait le haut de mon uniforme laissant voir un peu de ma lingerie coquine. Je n'étais pas contente ... Pas du tout ! Mes yeux bouillonnaient de colère.
« REGARDE CE QUE TU AS FAIS ! »
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Il la tenait pour avoir les réponses qu’il souhaitait, réponses qui ne semblaient pas venir, elle ne les lui donnerait pas apparemment sans rien demander en retour, non ! Surtout qu’apparemment, elle ne souhaitait pas poursuivre le jeu de cette manière. Ou alors c’étaient les fourmillements. Mais dans tous les cas elle commença à le lui faire comprendre verbalement d’abord, mais hors de question de lâcher ça comme ça ! Hors de question de lâcher tant qu’il n’avait pas de rep…
…Aïe….onses ! Le jeune homme venait encore une fois d’apprendre qu’en tentant de voler, on se retrouvait toujours face à la gravitation. Merci Isaac Newton ! Il tituba en se redressant lentement, putain à force il allait finir par ne plus se lever, c’était la deuxième fois que le jeune homme « volait ». Aussi, il se décida à ne pas réitérer cette expérience désagréable ! Il ne souriait pas… enfin, sauf en apercevant la lingerie dessous. Sexy la miss…. ; mais bref, elle, elle bouillait de colère !
« Oups »
C’est tout ce qu’il parvint à sortir l’instant et il mit ses mains dans les poches avant de replanter son regard dans le sien, oui, il y avait des dégâts, oui, il avait vu - comment ne pas remarquer ! – qu’il avait déchiré son manteau, mais ce n’était pas de son fait, en effet, si elle ne s’était pas autant débattue. C’était sa faute, pas la sienne, il voulait juste des réponses ! Rien de plus !
« Hého ! Ne rejette pas toute la faute sur moi, si tu m’avais pas fait décoller encore une fois et avait vraiment répondu, il ne se serait rien arrivé ! »
Il eut un sourire avant de rajouter, sur le ton de l’amusement le plus entier.
« Et vu ce que j’avais envie de faire et toi aussi, dis toi que ce n’est qu’une manière de montrer une forme d’impatience….. et une envie de voir ce que tu me reservais comme belle surprise… »
Rire nerveux plus que réellement joyeux, puis, il montra un petit arc électrique qui courait dans sa main, comme s’il ne savait où aller, s’amplifiant, diminuant, variant d’intensité.
« Et dis toi que je peux recommencer si tu m’envoies à nouveau en l’air comme ça…. »
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Du moins, mon coup de pied lui avait fait effet ! Il geignait de douleur. Tant mieux pour lui ! Lorsque je trouvais quelque chose de désagréable, je le démontrais. Maintenant il savait qu'il ne devait pas taquiner la vampire rousse que j'étais. Je me relevais, sentant encore un peu de picotement. Il faisait un petit "' oups '" en souriant voyant que j'étais, disons, à moitié nue sous cet ensemble strict mais tout de même avec un petit charme. Mon petit côté de tigresse refaisait surface. Mes crocs refaisaient aussitôt surface. Je crachais tel un chat. Un genre de : Hhhhh ...
« Hého ! Ne rejette pas toute la faute sur moi, si tu m’avais pas fait décoller encore une fois et avais vraiment répondu, il ne se serait rien arrivé ! Et vu ce que j’avais envie de faire et toi aussi, dis-toi que ce n’est qu’une manière de montrer une forme d’impatience… et une envie de voir ce que tu me réservais comme belle surprise… »
« Petit con ... »
Il souriait toujours, moi, je courrais aussi rapidement que le vent qui souffle en tempête vers lui, le prenant par-derrière, je soufflais doucement dans son oreille.
« Tu paieras pour ce que tu as faits ! »
Je posais mon opulente poitrine contre son dos, souriante, léchant le croquant de son oreille.
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Il s’attendait à beaucoup de choses, notamment qu’elle tente de nouveau de lui sauter dessus, mais se faire simplement appeler « petit con »… il resta quelques instants sur le cul, assez pour sursauter en sentant la présence dans son dos, et surtout la poitrine contre son dos. Bon dieu qu’il n’aimait pas être surpris, surtout quand il avait l’impression d’avoir à faire à plus fort que lui… encore ^plus quand ce qu’on lui disait ressemblait à des menaces…
Enfin, ça, c’était avant de frissonner en sentant la langue de la jeune femme sur son oreille, c’était fou comme l’oreille pouvait être un endroit qui faisait plaisir, mordiller, lécher le lobe de l’oreille, voilà quelque chose qui faisait venir des sensations que l’on aurait jamais cru possible venant de cet endroit. Il ferma légèrement les yeux pour savourer cette sensation alors qu’elle le tenait, l’enlaçait.
Il ne se débattit pas, non il se faufila pour être face à elle, revoyant ses crocs effilés. Il sourit et écarta la tête sur le côté dévoilant le cou, alors qu’un sourire venait sur ses lèvres. OPui, il ne pouvait s’empêcher de fanfaronner pour cacher qu’il n’était pas forcément à l’aise.
« Laisse moi deviner, t’es une sacrée suceuse et c’est ça que tu veux… »
Il sourit et redressa la tête pour la fixer droit dans les yeux, prenant un malin plaisir à la regarder de haut, physiquement parlant bien sur. Il dégagea sa main de l’étreinte pour lui glisser la main sous la gorge de la jeune femme, la chose même, glissant le long de son cou.
« Tu sais, tu louperais ptetre quelque chose en t’attaquant à ça, c’est fou ce que je peux faire de pire ou de mieux que ces chatouillements… »
Comme pour appuyer ses dires, doucement, il envoya une onde dans son corps onde qui était sensée aller directement vers lecerveau comme une induction nerveuse sensé lui donner de fortes chaleurs dans le bas ventre, comme de l’envie, pour disparaitre aussi sec, après, qui sait si ça allait marcher avec elle…
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Je le sentais sursauter. Oh ! Quelle joie ! La peur, une si bonne sensation. Sentir cette petite victime frémissait, gémir, de peur. Bon je l'accordais, lui ne gémissait pas mais son sursaut me fit frissonner un peu faisant redresser ma poitrine encore plus contre son dos. Je faisais mon suçon d'oreille, il frissonnait. Oh ouais ! Encore plus merde ! Plus de frissons ! Encore plus de sursaut ! Des cris, du sang ! Il changeait bien vite de tactique, détournant son corps pour que nous soyons tous les deux face à face. J'avais l'air surprise. Allez, fait lui encore peur Katherina. Je sortis les crocs, bah, tenté quelque chose ce n'était rien !
« Laisse-moi deviner, tu’es une sacrée suceuse et c’est ça que tu veux… »
« Diantre ... peux-tu me dire pourquoi tu n'es pas plus surpris ?! »
Je n'étais pas fâché, je m'amusais au contraire. Il glissait sa main contre ma gorge, ma gorge lisse. Je souriais toute frémissante. Il s'amusait bien aussi ! Il était rare que je prisse part au plaisir que me donnait ma proie. Mais là, c'était différent. Il ne se débattit même pas ! Je lui plaisais peut-être . Ma chevelure de feu emprisonnait son regard . Aucune idée !
« Tu sais, tu louperais ptetre quelque chose en t’attaquant à ça, c’est fou ce que je peux faire de pire ou de mieux que ces chatouillements… »
« Qu'est-ce que tu veux dire le policier ? »
Je l'appris direct après mais quelques mots lorsqu'une longue et sec décharge vinrent donner chaud à tout mon corps, donné chaud à mon entrejambe ... Tout ! Je criais, retenant mon cri mordillant ma lèvre. Je cambrais mon dos, gardant mon entrejambe entre mes doigts.
« Ah mais putain ... c'était quoi ça ? »
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S’il avait peur ? Mais bien sur qu’il avait peur, mais croire que Gabriel montrerait sa peur était une connerie ! Il avait tendance à être grande gueule et il n’aurait pas sorti despropos aussi tendancieux dans le cas contraire… il venait de la jouer grande gueule à mort, l’ennui, c’est qu’il devait aussi en assumer les conséquences… et il n’vait pas vraiment d’idée des conséquences à affronter…
Son cri, même retenu, le fit sourire et même soupirer de soulagement, si elle n’était pas insensible à cela, alors il avait peut être gagné assez de valeur pour être vivant plus longtemps, voir qu’il survive à cette nuit, qui sait… son «échauffement» pouvait peut être lui sauver la vie…. Il ne l’avait jamais imaginé de cette manière…. Enfin bon, il n’allait tout de même pas se plaindre !
Il mima avec ces doigts un pistolet en s’éloignant l’égèrement d’elle et fit mine de tirer avec en visant l’entrecuisse de la suceuse. Sourire aux lèvres, son soulagement lui avait permis de s’amuser vraiment, et tant qu’à faire, si c’était la dernière nuit, autant qu’elle soit mémorable…
« Bah j’ai fais mieux que les chatouillements, mais là, c’était juste une mise en bouche…. D’un seul contact je te parie que je peux te faire jouir…. Je suis un amant exceptionnel… »
Bon, allez Gabriel, on arrête de se lancer des fleurs, et on fait ce qu’on peut ! Il soupira et lyui demanda, sur un ton dont l’innocence frisait le zéro absolu
« Tu veux voir ? »
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Je le sentais soupirer, souriant. Un soupir de soulagement monsieur le poliçait de Seikusu . Étrange tout de même qu'il soit tout d'un coup si détendu. Je n'aurais pas dû perdre mon contrôle après tout. Je me relevais, toujours essoufflé et me penchais vers lui. J'avais collé mon nez aux siens ainsi que mon front sur le sien. Nous étions TRÈS même peut-être trop proches. Il s'en reculait quelques minutes plus tard. Quel dommage ! J'adorais sentir ce souffle chaud contre mon visage. Au moins, il s'était brossé les dents ! Il visait mon entrejambe, avec un semblant de fusil avec ses doigts. Qu'est-ce qu'il faisait non de Dieu ?
« Bah j’ai fait mieux que les chatouillements, mais là, c’était juste une mise en bouche… D’un seul contact je te parie que je peux te faire jouir… Je suis un amant exceptionnel… Tu veux voir ? »
C'était un défi ou une proposition . Je ne savais plus quoi dire, je posais une main gracieuse contre mon menton souriant, ce pouvais être amusant ses petits défis !
« Pfft, essaie pour voir ! J'ai bien hâte de voir tout ça !»
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Bon, il avait la main, il l'avait et ne voulait pas la lacher en laissant tout de suite aller à gacher ses cartouches et hors de question de tirer à blanc, il était persuadé que ce ne serait pas à sion avantage, même s'il trouvait son soufle des plus agréables. Il caressait l'espoir de ne pas c resser les mains vides.
Le jeune homme la fixa droit dans les yeux, elle avait répondu à son défi, certes, mais cela ne suffisait pas, il réfléchissait à toute allure, évitant de la regarder droit dans les yeux, qui sait si elle n'avait pas ce regard hypnotique casse couilles comme dans les films de midinettes à la con... il finit par lever la main et agiter le doigt pour dire non avant de lui envoyer un baiser...
Encore une fois, il allait devoir jouer au culot avec sa life à perdre ! Donc autant tout miser là dessus. Il lui sourit remontant fugacement vers ses yeux afin de croiser son regard afin qu'elle voit que si elle relevait le défi, elle allait devoir jouer elle aussi, d'ailleurs, il ne se gêna pas pour le lui faire comprendre oralement.
« Hého ! C'est un défi, non ? Je gagnes quoi à te faire jouir jusqu'à ne plus tenir debout ? Franchement = Tu as quelque chose d'intéressant à proposer si je gagne ? Et tu gagnes quoi si je perds ? »
Il soupira en sachant très bien que ce serait son sang qui serait le prix deson échec alors qu'il se rapprochait d'elle, l'air crépitant doucement autour de lui, il concentrait pour lui montrer qu'il était capable de la dévaster de plaisir ! Faute de pouvoir faire autre chose. Il se doutait qu'il ne pourrait pas la faire rôtir...
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« Hého ! C'est un défi, non ? Je gagne quoi à te faire jouir jusqu'à ne plus tenir debout ? Franchement ! Tu as quelque chose d'intéressant à proposer si je gagne ? Et tu gagnes quoi si je perds ? »
Oh, il était persuasif le petit policier. J'esquissais mon plus beau sourire que je n'avais jamais eu. Je lui léchais le bout du nez, sensuelle, faisant frotter mes canines sur sa peau réfléchissant aux prix. Et soudain, elle eut sa petite idée, bon pour les deux !
« Hummm, si tu gagnes, je me propose à toi OU (parce qu'il faut bien deux choix non ?) je t'offre une bonne poignée de mes joints. Si je gagne, je ... Enfin, on verra si je gagne après tout. »
Pas question de lui demander de boire son sang. Je n'avais pas besoin de lui demander après tout, j'avais une force supérieure à la sienne et il serait très facile de lui plaquer les crocs au cou ! Non ? Ou si ? J'imagine que j'ai raison de toute façon, j'ai toujours raison. J'écarquillais mes jambes, pour lui donner une bonne vue sur mon sous-vêtement déjà humide. C'est qu'il était exitant celui-là ! Il me faisait déjà mouillé !
« Vas-y, je suis prête mon grand ! Réchauffe-moi ! » Je caressais mes canines de ma langue.
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Bon, au moins, c'était dit, il s'avait ce qu'il allait perdre, pas besoin d'elle le dise au fond... il avait une petite idée là dessus... et ce qu'il gagnait... bah ça lui ferait une dernière nuit de folie... mais avant de faire quoique ce soit, se concentrer il allait lui envoyer le plus puissant orgasme jamais envoyé par ses soins... la dernière fois qu'il avait tenté un truc d'une intensité similaire -même si c'était inférieur, il avait manqué de carboniser la nénette, par contre après, elle avait continué à réclamer jusqu'à ce qu'il lui conseille un bon psy, et même parfois encore, son regard lui faisait clairement comprendre qu'elle était accroc...
Mais bon, si cette fille là, en face était pa s humaine, elle devrait encaisser le choc, l'orgasme serait violent et dévastateur, elle n'aurait pâs de dommages physiques, pour le reste, notamment la dépendance... disons qu'il n'était pas certain du résultat, mais vu qu'il continuait de penser qu'il allait crever avant l'aube, il se foutait des conséquences plus loi, il ne les verrait être pas... putain, le bordel là, Eros et Thanatos mélangés, vu la gaule qu'il se trimballait, il commençait à croire que ce n'était pas du flan... il aurait du suivre en philo.
Vous voyez, c'est pendant ce genre de moments où vous savez qu'il y a des tas d'enfants qui crèvent de faim dans le monde... et que sur le coup on en a carrément rien à foutre... car là, entre sa lingerie, l'idée morbide qu'il allait crever, et l'envie qu'elle provoquait par ce petit geste de passage de langue sur ses crocs à la blancheur éclatante chargé d'un érotisme à te faire tomber le cul par terre.Il déglutit avant de s'approcher et fanfaronner.
« Tu te proposes ? Toute entière ? Quoique ce je veuille faire ? »
Il attendit quelques instants, pour avoir sa réponse pour lui conseiller de bien s'accrocher. Puis, enfin, il finit par lui envoyer le colis qu'il préparait, il sentit son bras et sa main s'engourdir sous le choc qu'il envoyait, mais il savait qu'elle, elle résisterait bien à ce choc et que s'iul piquerait un peu, il ne lui feraiot pas mal. Si elle n'était vraiment pas humaine...
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« Tu te proposes ? Tout entière ? Quoi ce que je veuille faire ? »
Quelle question ! Il était idiot ou quoi ? Bon, fallait pas s'emporter contre un petit policier, après tout, ça allait peut-être être mon repas pour mes deux soifs. Soif de sang et de cul. Quoiqu'il faille que je gagne. Pourquoi ? Parce que 'avais aucune idée de ce qu'il voulait faire ! Je ne suis pas télépathe après tout ! On ne sait jamais, peut-être voulait-il me couper un membre ? Enfin, j'espérais pas ... Je préférais davantage crever ou me faire dominer ! Même si ce ne sont pas dans mes habitudes, je n'avais pas grand choix. Si ? Bref, je hochais la tête, ricanant, gardant tête haute.
« Bien sûr mon lou-loup. Pourquoi pas ? On dirait un enfant qui réclame ses friandises ! »
Et voilà qu'il commençait ses préparatifs, échauffant son bras et enfin, il envoyait sa décharge. Je me cambre vers l'arrière, criant de plaisir. Non mais ! C'était vraiment magique ce truc ! Je ne pouvais pas dire que j'avais joui ou pas, j'étais trop essoufflé. Non mais ... C'était vraiment sensas quoi ! Ma cyprine n'arrêtait pas d'en couler. Je m'accrochais à son cou, soufflant à son oreille un "' wow " . J'avais bien envie de l'embrasser ... Mais pas toute suite, oh et puis tant pis ! J'empale ses lèvres grâce aux miennes, attaquant sa langue sensuellement.
(Désolé pour l'attente ! )
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Apparemment ça avait bien marché tout cela dites moi ! Gabriel eut l’impression qu’il venait de gagner quand elle s’accrocha à lui, un peu à court de souffle (tiens, les vampires respirent ? Intéressant… non en fait vu la situation il n’en avait rien à foutre !) avec un wow sur bord des lèvres… puis, elle s’accrocha à ses lèvres des siennes. Et là.. ; wow à son tour, elle savait embrasser, c’était le moins que l’on puisse dire… elle avait un talent certain ! Et plus encore quand il y mettait la langue. Il rendit avec autant de fougue et de passion que posible ce baiser avant de lui sourire et y mettre fin, reculant légèrement ses lèvres.
« Je crois que j’ai gagné… mais je déçu, je ne dois pas être en forme, d’habitude avec ça, j’offre une succession d’orgasmes dévastateurs… et là tu n’en as eu qu’un seul… un seul et unique orgasme.Tssst…. »
Il eut un clauqement de langue un npoil dépité avant de s’emparer de son corps de ses bras, l’entrainant dans une étreinte forte et des plus viriles. Il laissa glissr sa main droite pour aller malaxer une de ses fesses, avec un regard appréciateur avant de l’entrainer dans un autre baiser violent et sauvage. Tant qu’elle n’y mettait les crocs, tout irait bien, et il avait gagné, non ? Certes, il devait rester sur ses gardes histoire d’être sur de ne pas la voir trahir sa promesse pour le tuer ou le bouffer aussi sec…
« Tu sais que j’ai déjà fais jouir une femme jusqu’à ce qu’elle n’ait plus une goutte de cyprine à faire dégouliner le long de ses jambes ainsi ? »
Il avait un coup d’œil malicieux, et il croisait les doigts pour qu’elle tienne parole. Sa main remonta et se stabilisa sur ses reins qu’il pressa pour approfondir le contact de son bassin contre le sien…
« Tu es donc toute à moi … mais par quoi commencer ? Je me le demande… tu as quelque chose que tu aimes par-dessous tout après le sang qui goutte fraichement d’une gorge ? Parce que je tiens quand même à ma peau… »