Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Yukio Onoki le mercredi 27 février 2013, 21:49:43

Titre: La perversité appelle la perversité... [PV : Claudia Divina]
Posté par: Yukio Onoki le mercredi 27 février 2013, 21:49:43
Encore une nuit de culpabilité... Seule dans ma chambre, je me suis à nouveau abandonnée aux pratiques immorales du plaisir sexuel. Allongée sur mon lit, ma culotte sur la cheville et ma nuisette ouverte, mes doigts font des va-et-viens sur mon intimité. Mes gémissements résonnent dans le silence de la pièce, et je prie pour que personne ne passe à proximité. Wolfang, Lucie ou Marie pourraient tout à fait vaquer à quelque activité, et s'ils venaient à m'entendre...

Pour autant, je n'arrivais pas à calmer ma main. Je sentais mon intimité devenir de plus en plus chaude et mouillée, et cela m'incitait à continuer. Je me mis à mordre mon doigt, tentant ainsi de limiter mes cris. Mes doigts se plièrent, puis entrèrent dans mon antre. Immédiatement, une vague de plaisir me traversa. Je continuais ainsi à stimuler mon intimité, les vagues de plaisir se faisant de plus en plus fortes, jusqu'à ce qu'une déferlante me submerge complétement.

Haletante, j'écoutais mon coeur redescendre à un rythme normal. Je m'étais masturbée encore une fois, et avais joui à nouveau. Je sentais mon entrejambe et l'intérieur de mes cuisses trempés. Une nouvelle éjaculation... Elles étaient de plus en plus puissantes à chaque nouvelle fois. Sans prendre le temps de réajuster ma tenue, je me levais et allait à la fenêtre. La vu du parc, paisible, baignant dans les rayons lunaires, m'aidait à me calmer et me changer les idées. Mais cette nuit-là avait une autre surprise à me révéler...

J'ignore par quel artifice elle a bien pu arriver ici sans que je puisse m'en rendre compte, mais c'était le cadet de mes soucis. Assise dans un fauteuil, une impressionnante lance posée à coté d'elle, ce tenait une fille. Ses cheveux étaient sombres, mais le manque de luminosité ne me permettait pas d'en distinguer la couleur précise. En revanche, je voyais bien ses yeux rougeoyants. Quand elle se leva, je pus mieux voir sa tenue, qui était pour le moins osée. Elle portait un long manteau, largement ouvert sur la gorge, ce qui dévoilait allégrement sa poitrine, et au niveau du bassin, laissant voir sa culotte. Des collants montants sur ses jambes complétaient la tenue. Qui était-elle, je n'en avais pas la moindre idée...