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Il était dix quinze heures trente, c’était l’heure du crime…. Heu non, pardon, l’heure d’aller travailler ! Quoiqu’étant donné que Nikolaus venait de passer la journée à se détendre et à se prélasser chez lui, sous un monticule de chats assoupis, et un blaireau pour oreiller, se forcer à se tirer hors de cette torpeur bienfaisante pour aller travailler pouvait passer pour criminel ! Mais il fallait bien qu’il trouve de quoi manger, un peu de rentrée d’argent fiable, l’argent du contribuable serait le bienvenu !
Lentement le matin, et surtout, pas trop vite le soir, il chassa les félins assoupis avec douceur, pour qu’ils partent d’eux-même pour voir se relever et remercia son oreiller vivant en venant frotter sa tête contre les bajoues de l’animal, ronronnant d’aise. Puis il s’étira… une… deux ! Bon sang ce que cela pouvait être fatigant de se lever, allez, une… deux…. On change de doigts ! Lentement le matin, pas trop vite le soir.
Il qui fallut bien deux bonnes heures et une douche à l’eau froide, faute d’argent on lui avait coupé l’électricité temporairement, mais il s’en fichait comme d’une guigne ! Il avait d’autres chats à fouetter ! Ou plutôt, d’autres chats à contenter… et pour ça, chez lui, on aurait dit u véritable écosystème sauvage… des rats en nombre, des chats qui les chassaient, des insectes pour d’autres, quelques fruits pour un autre groupe…
Il avait rendez vous à dix huit heures trente au lycée. Ils avaient des problèmes d’insectes dans les cuisines et des rats avaient été vus dans une salle de classe… il y avait même eu une photo à ce sujet il lui semblait… enfin, il ferait son travail avec brio, classe, panache et élégance, puis il prendrait la paie, il fallait bien s’occuper des factures !
Mentalement il faisait une liste de ce qu’il emporterait…. Alors, son pipeau de bois qu’il avait fabriqué lui-même, Gipsy, Mitsy, Mirry, les trois sœurs siamoise qu’il avait sauvé de la noyade, Arthur, un quatrième chat…. Il emporterait aussi Hermes… un vieux blaireau à qui cela ferait de l’exercice… ce serait tout…. Oh non, pour bien nettoyer derrière les sales bêtes il emmènerait Monnaie, l’écureuil kleptomane, et pour les cafards, ce serait le festin d’Aiden et de Mister, deux jolis furets de belle taille !
Il prit aussi tout le matériel habituel, laisses et colliers - obligatoire étant donnée qu’il trimballait des animaux… - ficelle, fil de fer, tapettes à souris et autres ingrédients plus spécifiques. Il rangea tout cela bien proprement dans ses deux mallettes. Métalliques qu’il chargea dans son véhicule
Il sépara ceux là de ses compagnons et donna à manger aux autres avant d’enfermer à l’arrière de sa voiture les élus du soir… Ah et penser à prendre aussi un livre pour le temps de la chasse… un livre de philosophie, le dernier acheté, le thème ? « La copulation est elle une source de bien être nécessaire dans les rapports humain ? » Vaste sujet…
Il termina de se préparer, prenant ses affaires propres qui allaient le mieux à la situation : une chemise western bleue délavée, sans manches sur lequel était écrit derrière « Schiffer : votre dératiseur » un pantalon de toile beige tirant vers le marron. Basket au pieds et hop, il était paré !
Ça tombait bien, il était dix huit heures, en même temps, quand on mettait près de deux heures à se lever et se doucher… même si la fragrance sauvage était persistante cela renforçait le côté sauvage, animal du joueur de pipeau. Enfin brèfle ! Il avait du travail ! En voiture tout le monde ! Et il se tourna vers ses « employés » leur lançant sur un ton sévère :
« Pas de grabuge ! »
Aucun ne répondit… ils étaient d’accord ! Tant mieux, la dernière fois qu’il avait emmené Hermès, il s’était attaqué au tuyau d’arrosage…. Il avait pris celui-ci pour un serpent et il fallait avouer que c’était compréhensible ! il devenait quelque peu myope et bientôt il serait aveugle… les autres créatures de son terrain vague - qu’il avait l’ignorance d’appeler un jardin – finiraient par avoir sa peau, mais en attendant il n’en restait pas moins capable de mettre une raclée aux autres si besoin est…. Vous avez déjà vu un blaireau se battre ? Vu la taille de ses griffes, je vous déconseille de le croire !
Il lui fallut un quart d’heure pour arriver au lycée, il serait en avance, certes, mais au fond, n’était-ce pas préférable, mieux valait être en avance qu’en retard… et la personne devant l’accueillir et veiller à ses travaux pourrait repartir plus tôt… celle-ci, qui lui avait fixé rendez vous par téléphone – une femme à la voix particulièrement sensuelle - lui avait dit de monter au secrétariat dès son arrivée pour obtenir les papiers de la mairie. En effet, il venait pour le lycée mais était envoyé par la mairie et c’était la mairie qui paierait… donc il fallait ces papiers prouvant qu’il s’était bien chargé de la prestation rémunérée exigée pour avoir cet argent…
Les lieux étaient presque déserts, il y avait bien quelques entrainements de sport et quelques internes, mais rien de plus, l’un d’eux eut même la gentillesse de lui indiquer le secrétariat malgré son étonnement. En effet, Monnaie et Mister avaient réussis à se sortir de ma partie arrière de la voiture et si le furet s’était enroulé autour de son cou, Monnaie se baladait entre sa tête et ses épaules, le chatouillant quelques peu.
Il monta les dernières marches et toqua à la porte du secrétariat, à pas félins, gracieux, mais rappelant simplement qu’il était le prédateur suprême de sa petite cour… on lui dit d’entrer. Il s’exécuta. Mentalement, il ordonna à ses deux fugueurs préférés de se tenir à carreau…
« Bonjour madame. Je vous prie d’excuser le dérangement, je suis le dératiseur… j’ai rendez-vous… je vous prie de m’excuser pour mon avance, mais mieux vaut l’avance que le retard, n’est-ce pas ! Nikolaus Schiffer. Enchanté. »
Enroulé dans sa queue, Monnaie était sur l’épaule du jeune homme et Mister avait levé la tête, perdant l’effet écharpe qu’il avait suyr le jeune homme. Son interlocutrice était plutôt jolie... mais quelque chose perturbait le sommeil de Mister... quoi ?
Il tendit la main.
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« Hummm... Hmmmm...
- Haaa... Ohh, Shani, tu es tellement douée ! »
Le mordillement qu’elle provoqua sur le sexe de l’homme était une forme de gratitude. Elle sentait le corps du professeur se tendre de plaisir, ses mains se cramponner lentement sur sa tête, s’enroulant dans ses longues et belles mèches de cheveux. Les lunettes de Shani glissaient le long de son nez, au fur et à mesure que sa tête remuait contre son gros membre. Le brave professeur était venu à l’administration pour une histoire de changement de salles demain. Il était plutôt beau pour un prof de maths, et Shani, qui s’ennuyait à compiler des données comptables et à organiser des examens, avait décidé de s’offrir une petite pause. Elle lui faisait une fellation, suçant et mastiquant sa belle queue. Il s’était rapidement laissé convaincre. Ce n’était pas la première fois qu’ils faisaient un peu de sexe à la sauvage, et ça ne dérangeait pas particulièrement Shani. Elle sentait les mains de l’homme, moites, caresser ses cheveux, s’y appuyer, comme pour l’immobiliser. Ceci la faisait sourire de plaisir, et elle continua à le sucer, jusqu’à le sentir jouir. Il hoqueta faiblement, sembla tressaillir, puis son sexe cracha son sperme en elle, se vidant dans sa bouche.
« Haaa... Quoi de mieux après une journée de cours ?
- Un câlin de ta femme ? plaisanta Shani.
- Tu sais que je la plaquerais à la première occasion pour tes beaux yeux, Shani, répondit le professeur en refermant les boutons de son pantalon.
- Vil flatteur, on ne se connaît que depuis quelques jours, répliqua la secrétaire avec un léger sourire.
- Et alors ? Il m’a fallu quatre heures après le mariage pour réaliser que ma femme serait aussi bandante qu’un routier, rétorqua l’homme.
- Ce n’est pas très agréable pour elle... fit Shani, avec un ton de soupçon dans la voix.
- Tu es sûre de ne pas vouloir venir avec moi ? demanda-t-il.
- Mon corps t’attire à ce point ?
- Tu n’as pas idée... »
Shani sourit, et roula sa langue dans sa bouche, avalant les traces de sperme qui traînaient encore ici et là. Elle se reporta sur l’écran plat de son ordinateur, affichant un tableur qui indiquait les différents cours à placer la semaine prochaine. Shani eut un léger sourire, avant d’hausser les épaules.
« Malheureusement, j’ai été désignée pour accueillir le dératiseur qui va venir s’occuper des rats.
- Ah oui... Il paraît qu’ils sont passés parles canalisations, et ont débarqué dans le vestiaire des filles, à l’un des gymnases. »
La secrétaire haussa les épaules, le sachant très bien. Ce problème de rats avait amené la direction à demander l’aide de la mairie. Cette dernière avait trouvé une entreprise pour s’occuper de cette tâche, et leur agent devait venir ce soir. On avait préféré que ça se fasse après les cours, mais il fallait un pigeon pour l’accueillir, et lui faire signer les différents papiers nécessaires : autorisation administrative, attestation, exonération de responsabilité, etc... Shani avait été choisie pour s’occuper de cette tâche mirobolante, avec la contrepartie d’avoir des heures allégées la semaine prochaine. C’était toujours ça de pris, après tout. Shani et le prof’ s’embrassèrent, et elle sentit le désir transpirer dans le corps de ce dernier, à la manière dont ses mains, lentement, se rapprochaient de son fessier. Elle fut bien tentée de le laisser faire... Mais le boulot n’attendait pas. Elle le repoussa donc, avec un léger sourire, lui promettant chaudement de se rattraper demain, et le laissa filer.
Shani alla ensuite se rasseoir, et croisa les jambes, avant d’observer son écran. Elle avait déjà sorti tous les différents papiers à faire signer, et contempla le tableur. Il faisait nuit dehors, et elle avait allumé une petite lampe, donnant à la scène une atmosphère chaleureuse, de fin de soirée. Elle abaissa la fenêtre du tableur, et alla dans un dossier personnel, l’ouvrant. Pour s’occuper le soir, rien de mieux qu’une petite compilation de films érotiques. Elle les avait sélectionné avec soin. Ce qu’elle aimait surtout, c’était les couples de lesbiennes. Leurs longs baisers sensuels, cette douceur innée dans leurs câlins... Elle en regardait un avec plaisir, mâchouillant une sucette, quand on sonna. Grognant, Shani mit le film en pause, et attrapa le téléphone de service.
« Le dératiseur est là... Pour les rats.
- Oh, très bien... Dites-lui de monter. »
C’était l’un des vigiles surveillant le lycée. Mishima étant un grand établissement, il y avait naturellement beaucoup de gardes. Elle remit devant ses yeux le tableur, qui n’avait pas bougé d’un caractère en dix minutes, et attendit sur sa chaise qu’on entre. Lorsque l’agent entra, la surprise de Shani, naturellement, fut de taille. Elle cligna des yeux à plusieurs reprises devant ce curieux spectacle. L’homme avait avec lui un écureuil et un furet. Ce n’était pas un spectacle banal, et il fit tiquer Shani, qui cligna des yeux à plusieurs reprises, avant de réaliser qu’il s’était adressé à elle, et lui tendait une main. Du coup, la secrétaire rougit très légèrement, avant de se reprendre. Elle se releva rapidement, et tendit également sa main, serrant celle de l’homme.
« Ah... Euh, oui, bien sûr ! s’exclama-t-elle, avant de tendre une main pour rechausser ses lunettes. Enchantée aussi, Monsieur... Euh... Schiffer ! »
Elle se reprit rapidement, se raclant la gorge. Son chemisier était entrouvert, laissant deviner un long vêtement noir à carreaux dessous, une espèce de délicat corset qui épousait à la perfection ses formes. Elle baissa la tête, cherchant plusieurs papiers.
« Vous... Euh... Vous êtes là pour les rats, c’est ça ? Hum... Attendez... »
Elle alla saisir plusieurs papiers, avant de rabattre une mèche de cheveux qui tombait près de ses yeux.
« Voilà les différents formulaires à remplir. Il faut signer ici. »
C’était un formulaire-type, avec tout le jargon administratif usuel : quelques articles législatifs, des clauses sur la responsabilité limitée de l’établissement en cas d’accident. Il y avait plusieurs exemplaires, et Shani prit soin de les détacher, avant de tendre un autre papier.
« Voilà... Ce sera bon pour moi... Les rats se trouvent près du gymnase. Vous... Euh... Vous avez tout ce qu’il vous faut ? »
Shani réalisa alors qu’elle avait oublié de se présenter, et cligna des yeux encore, avant de se rattraper. Ce type avec ses animaux qui se posaient sur lui l’avait drôlement surpris ! Elle s’était attendue à voir un homme en uniforme vert, avec des bonbonnes de gaz. Celui-là semblait avoir des techniques professionnelles.
« Au fait... Je suis Shani Stevens, mais vous pouvez m’appeler Shani. Comme tous mes amis. »
Elle lui fit un léger sourire.
« Vous êtes prêt ? » demanda-t-elle sur un ton plus bas.
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Elle sembla particulièrement surprise par son accoutrement. Y voyait-elle quelque chose de particulier ? Ah, oui, peut être Monnaie et Mister la surprenaient-elle… oui, c’était plus que probable qu’il devait sembler être un peu un original, bon nombre de gens l’avaient regardé de travers au sein du lycée… tant les professeurs encore sur place que les élèves internes… et encore, ils n’avaient pas vu les autres… pas plus qu’elle… et personne n’avait vu les créatures qui se cachaient dans certains recoins de son chez lui… entre autres un vieux loup et sa louve… à l’un manquait un œil, à l’autre une patte… mais arrêtons là cette digression, c’était préférable !
Elle finit apparemment par se rendre compte de son comportement car elle se mit rougir légèrement…. Oui, c’était malpoli de regarder comme ça quelqu’un, même s’il avait l’air étrange… peut être même d’ailleurs parce qu’il avait l’air étrange tout particulièrement. Faisant fi de ce comportement il lui serra la main quand elle se leva et tendit la sienne en réponse à son acte de salutation. Elle semblait quelque peu déboussolée… compréhensible, elle voyait rarement venir dans son bureau des zouaves qui faisaient office de ménagerie ambulante ! Mais elle n’était pas là pour le lui faire remarquer alors elle ne le fit pas. Bien élevée ! Quoique zouave n’était sans doute pas le terme… disons plutôt… marginal, oui, Nikolaus admettait volontiers qu’il n’avait rien à voir avec les autres et il disait bien volontiers que cela lui convenait parfaitement ! La société ne voulait pas de lui au naturel, ça tombait bien, il ne voulait pas de ladite société lui non plu !
Elle s’amusa apparemment à enfoncer quelques portes ouvertes. Il préféra regarder ailleurs pour ne pas qu’elle lise dans son regard le léger agacement qui devait poindre devant le fait qu’elle semblait perdu dans son propre territoire… ce qui était selon lui relativement comique et en même temps pitoyable… pensée plus animale que réellement humaine… mauvaise (ou bonne) habitude prise au contact des animaux avec qui il vivait et partageait son quotidien… moins pénible qu’une épousée, ça, il pouvait le confirmer…
Le hasard voulut qu’il en profite pour détailler son interlocutrice… ce qu’il voyait de sa tenue laissait supposer une femme qui aimait plaire et qui aimait se sentir désirée, notamment grâce au chemiser partiellement ouvert sur le reste de sa tenue… la chose qui attira son regard par la suite fut la série de papiers à signer, les autorisations habituelles, il ne prit même pas la peine de les lire plus qu’en diagonale. Il signa les divers papelards et vérifia bien que cela avait été suffisant pour les copies au carbone… heureusement que ces messieurs et ces mesdames de l’administration se fichaient des méthodes, sinon il=s lui feraient manger le paperasse… ; et elle avait l’air indigeste, et pas qu’un peu !
Finalement, elle se présenta… elle avait vraiment été complètement déboussolée par lui… amusant, ce qui avait commencé par être pénible devenait amusant. Shani Stevens, il notait le nom dans un coin de sa mémoire et le retiendrait/… par contre, pour l’appeler par son prénom,… ça allait être un peu plus long à entrer dans sa caboche…
« Si je dois vous appeler Shani alors appeler moi Nikolaus, je vous prie. Sinon, oui, je suis prêt… mon matériel est dans ma voiture, mais je pense que vous devriez faire ouvrir le portail que je m’approche du gymnase le plus possible, non pas que ce soit lourd, mais ma méthode est assez particulière pour la chasse aux rongeurs… par contre, j’ai du mal à comprendre pourquoi le gymnase, ce serait plus logique qu’ils se dirigent vers les caves et garde manger… étrange mais bon, les chasubles et autres maillots de sport étaient aussi de bons nids bien douillets… l’ennui serait si il y avait des portées, donc le plus tôt sera le mieux… ils ont été vus quand ? »
Il aurait bien palabré davantage s’il n’y avait pas eu un comportement particulièrement gênant, en effet, monnaie, qu’est-ce qu’il portait bien son nom celui là, avait apparemment passé l’étape de la peur et vu quelque chose d’intéressant… en effet, en trois bonds, il saurait sur le bureau puis sur la secrétaire, s’accrocha à l’un des boutons qui tenaient encore en place, le plus haut…. Ça brillait, il le voulait… tout simplement.. il commença à tirer dessus et à donner des coups de griffes et de dents dans l’étoffe pour le détacher et l’emporter…
« Monnaie, non ! »
Sans tentative de contrôle mental, inutile de dire que c’était voué à l’échec et il décida d’intervenir manuellement, surtout que dans la précipitation, le furet était parti descendre dans son propre haut et bougeait dans tous les sens…. Bon dieu mais pourquoi ne les avait-il pas laissé dans la voiture !!! Il se maudissait pour sa stupidité….
Il finit par attraper Monnaie mais qui tenait ferme… celui-ci ne lâcha prise que quand il eut faut céder le bouton… et marde ! Le dératiseur blêmit… Tout fier de lui , l’écureuil retournait sur l’épaule de l’alpha mâle en se pavanant avec le bouton de chemiser qui n’avait brillé que quelques instants sous les effets lumineux du soleil se couchant sur l’horizon… puis, voyant que l’objet ne brillait plus, il le regarda une dernière fois et le jeta vers le sol…
Nikolaus parvint à rattraper le bouton et le posa sur le bureau…
« Je suis vraiment désolé…. Il sera sévèrement puni… »
Comment devenir mal à l’aise une simple et unique leçon… et à ce même moment, le furet revint à sa place… et dire qu’il avait encore une tripotée de bestioles comme ça dans la voiture en plus de son matériel.
« Inutile de vous expliquer pourquoi je l’appelle monnaie du coup… »
Pitoyable manière de tenter de détendre l’atmosphère… et lamentablement foiré aussi au passage… mais bon, il avait essayé , ce qui valait mieux que d’avoir passé ces secondes à se regarder en chien de faïence…
« Bon, et si on se mettait au travail… enfin, si moi je me mettais au travail et que vous me montriez le lieu à purger des rats ? »
Un esprit frôla le sien, celui du furet qui semblait murer mentalement à son oreille :
*Cette femelle semble être prête pour la copulation ou a copulé il y a peu…*
Avec ça il avait avancé… ouais, beaucoup…
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Nikolaus... Avec ce nom, Shani s’imaginait, comme elle, un immigré. Ce n’était pas vraiment un nom oriental, et il fallait dire qu’il n’avait pas l’apparence orientale non plus. Caucasien, peut-être ? Sur le coup, la secrétaire se demandait si le contrat d’assurance prenait en compte, dans la garantie des risques, les blessures animales émanant du dératiseur... De toute manière, elle n’y connaissait rien, et s’en moquait. Sa mission était de s’assurer que tout soit signé, et elle inspecta les cases rapidement, les lisant rapidement. Elle avait encore un peu de mal avec le jargon administratif, très technique, très compliqué, et aussi captivant qu’un documentaire sur la reproduction entre insectes. Elle avait encore l’esprit embrumé par les deux lesbiennes en train de se faire des câlins, et par son envie de rejoindre des films X comme ça. Shani ne dit donc rien, tandis que l’homme se mit à lui parler, exprimant sa curiosité sur la localisation des rats. Shani ne répondit pas. Elle n’y connaissait rien aux rats, si ce n’est qu’elle n’avait pas envie de les voir de trop près. Elle savait qu’une fille les avait vus dans le gymnase, et ça avait suffi pour que l’établissement s’occupe de la chose, afin d’éviter un scandale sanitaire. Les responsables du lycée devaient déjà suffisamment avoir à faire avec les pouvoirs publics et les associations de parents d’élèves sans rajouter en plus la présence de rongeurs.
Elle l’écoutait d’une oreille distraite, regardant surtout les papiers. C’était son boulot, après tout, et, même si son boulot ne constituait vraiment pas le centre d’intérêt majeur de sa vie, elle tenait à le faire dans les règles. Elle réalisa alors qu’il lui avait posé une question, et leva les yeux.
« Ce matin... La direction a préféré réagir rapidement, avant que les rongeurs ne posent plus de problème. »
Elle continua à consulter les papiers, puis les regroupa en un tas uniforme.
« Je crois que mon rôle est fait, annonça-t-elle en rangeant les papiers dans un dossier jaune. Il ne reste plus qu’à...
- Monnaie, non ! » s’exclama alors le dératiseur.
Sans que Shani ne comprenne ce qui se passait, elle sentit une espèce de forme brune bondir sur elle, entre ses seins. Elle reconnut l’écureuil de l’homme, qui s’appelait Monnaie, et qui l’agressait. Elle sentit ses dents racler contre elle, et poussa un cri de panique.
« Îîîh ! »
Ses jambes tapèrent contre son fauteuil en cuir, et elle trébucha en arrière, s’affalant dessus. Le fauteuil recula lentement, heurtant le mur, et elle sentit alors Monnaie tirer sur son chemisier. Qu’est-ce que ce sale animal lui voulait ? Elle espérait ne pas attraper une quelconque maladie, qu’il ne cherche pas à la mordre, mais il se contenta tout simplement d’arracher l’un de ses boutons, avant de revenir près de son maître. Il laissait la chemise de Shani dans un triste état, et elle sentait son pouls battre follement dans sa poitrine.
*Bordel ! songea-t-elle, c’est quoi ce connard d’écureuil ?*
Elle contempla son chemisier. Il y avait quelques traces de poils, et elle vit Nikolaus reposer le bouton sur le bureau, en s’excusant platement.
« Je suis vraiment désolé…. Il sera sévèrement puni… »
Elle se retint de jurer, observant son chemisier. Elle était bonne pour faire un peu de cordonnerie, mais, vu que Monnaie n’avait pas fait les choses qu’à moitié, elle pensait plutôt l’amener devant un magasin, en espérant que ce soit repérable. Une lueur légitime d’irritation traversa son regard, alors qu’elle se relevait du fauteuil, tirant à nouveau sur sa chemise, afin de la remettre à l’état.
« Ça va, ce n’est rien... lâcha-t-elle alors, comme pour tenter d’apaiser l’atmosphère. Il ne m’a pas blessé. »
Elle l’aurait senti, sinon. Pour le coup, elle ne serait pas déçue de les envoyer dans le gymnase. Nikolaus dut se faire la même idée, car il lui demanda de le conduire au gymnase :
« Bon, et si on se mettait au travail… enfin, si moi je me mettais au travail et que vous me montriez le lieu à purger des rats ?
- Très bien. Suivez-moi. »
Elle observait sa chemise, et passa devant l’homme, laissant la porte ouverte. Dire que la journée avait si bien commencé... Elle avança, espérant que Monnaie serait aussi hargneux à chasser des rats qu’il l’avait été à lui arracher son bouton. Et pourquoi avait-il fait ça, d’ailleurs ? Est-ce que ce stupide animal avait pris ses boutons de chemise pour des pièces d’ors ? Et, quitte à se poser des questions, pourquoi utiliser un écureuil contre des rats ? Le prédateur naturel d’un rat, ce n’était pas censé être le chat ? Elle allait devoir se méfier. Certes, elle n’était que secrétaire, mais, s’il y avait des problèmes, elle risquait tout à fait de se faire engueuler. Être une secrétaire ne justifiait pas tout et n’importe quoi. Pour l’heure, Nikolaus ressemblait à tout, sauf à un professionnel. A qui donc la mairie avait-elle fait appel ? L’asile de la ville ?!
*On n’a pas idée de se présenter à un entretien avec un animal cleptomane.*
Continuant à rouspéter mentalement, elle avança vers le gymnase, devant Nikolaus, sa petite jupe roulant entre ses jambes. Ils rejoignirent ainsi le gymnase, désert, et se rapprochèrent du vestiaire des filles.
« C’est ici que le rat a été aperçu... Mais je ne crois pas que vous trouverez grand-chose dans ce vestiaire. »
Elle sortit alors du vestiaire, et se rapprocha d’une porte rouge au fond d’un couloir. Elle l’ouvrit. La porte donnait sur un escalier sombre.
« Cet escalier conduit dans les sous-sols du lycée. L’éclairage fonctionne, et il y a des plans. Comme vous le verrez, ce sous-sol permet d’accéder aux cuisines. »
Shani croisa ensuite les bras, dissimulant ainsi le bouton manquant de sa chemise.
« Et, juste pour satisfaire ma curiosité personnelle... Comment vous comptez vous y prendre pour les chasser ? »
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Bon, elle avait remis sa tenue d'aplomb, mais il manquait toujours un bouton, quoiqu'on en dise... enfin, cela n'avait pas non plus eu l'effet de la déshabiller non plus ! C'était juste que cela faisait désordre sur sa tenue... enfin, un peu. Restons mesurés ! Et de toute manière elle ouvrait la voie, ce qui était tout à son avantage, il fallait l'admettre ! Aprè_s tout, monnaie ne l'avait ^pas blessée, non, il avait juste tenté de s'accrocher, pour décrocher le bouton... ce qui en soit était déjà trop.
Il se maudissait ! Il aurait du laisser monnaie sur place ! Il aurait du le laisser à la maison et ça aurait été plus simple, et moins gênant, beaucoup moins gênant... iol soupira et lui emboita le pas quand elle lui indiqua de la suivre. Il le fit sans hésiter. Il était pour cela à l'origine, donc il ne retarderait pas le travail à faire, cette personne devait êtres restée juste pour ça... une pensée lui vint : pigeonne !
Oui, elle devait s'être faite pigeonner en beauté pour se retrouver à travailler plus tard ce soir pour l'accueillir et le congédier.... on lui aurait promis quoi ? Moins d'heures plus tard ? Avec tout autant de travail ? Ouais, c'était sans doute ça.... pigeonne... enfin, inutile d'enfoncer ce couteau dans une jolie plaie bien sanguinolente !
Elle le mena droit au vestiaire concerné par le rat. Oui, ce serait presque inutile comme visite, sauf si il utilisait un certain Mister : il laissa le furet descendre discrètement de son bras pour aller commencer à fouiller : il trouverait une piste et la remonterait : sa taille lui permettait de passer là où un rat passait sans la moindre difficulté ! Ce serait son traqueur: il allait rabattre les proies là où il faudrait, et il serait au bon endroit avec les autres animaux grâce à la puce GPS qu'il avait sous la peau !
*Très bien, vas y, traque les et trouve les !*
Il la suivit ensuite vers une porte rouge, la porte de la cave sans doutre étant donné le sombre escalier s'enfonçant dans les ténèbres., oui, la cave, elle le confirma. Il sourit, froid, hulmide, parfait pour des rats en théorie.... il devait y avoir une chaufferie sans doute dessous pour faire un nid douillet...
Mieux encore, ces caves donnaient aussi sur les cuisines, parfait pour les rats et pour les cafards dont on lui avait parlé... il opina du chef mais ne répondit pas à sa question, il avait quelque chose de simple pour lyui répondre : lui montrer. Il sortit du gymnase pour gagner sa voiture.
« Venez, vous allez voir ! »
Il ouvrit le portail, ce n'était pas faute de lui avoir demandé, mais bon, autant se taire et le faire après la boulette de Monnaie. Il fit rentrer la voiture dans laquelle ses compagnons s'agitaient d'excitation, l'attente se sentait. Ils en avaient marre d'être confinés. Il descendit et ouvrit le coffre devant Shani : ses compères descendirent et se mirent en rangs bien nets et bioen propre un par un. Oui, ça faisait une tripotée d'animaux, une combinaison plutôt étrange. Il dut faire descendre le blaireau en l'aidant, il se faisait vieux. Puis il sortit sa grande caisse à outil et sa petite mallette. Il ouvrit celle ci et montra son contenu à Shani.
Un pipeau ! Oui, grossièrement taillé à la mai, il n'avait pas franchement pris de peine à le peaufiner s'il fonctionnait. Il ne pipa mot mais montra l'objet et eut un sourire énigmatique.
« Les animaux sont dressés et répondent au pipeau. Pour exterminer un animal il y a deux méthodes : les tuer et éliminer leur proie, je fauis les deux de la manière la plus naturelle possible, tout simplement. »
Il porta le pipeau à ses lèvres et souffla un la puis un mi et enfiun un dos et les animaux, répondant à l'ordre mental associés se dirigèrent vers la cave bien sagement.
« C'est naturel et propre, ruien de chimique ou de nocif ! Et en même temps c'est une manière d'aider des animaux qui seraient morts de fin sinon... oui, je sais, très idéal comme façon de faire, mais bon, elle en vautr bien une autre... par contre il faudra bien fermer la porte, que des rats ne s'enfuient pas ! »
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Plutôt que de directement lui répondre, Nikolaus lui proposa de le suivre. Interloquée, Shani obtempéra, espérant surtout que cette démonstration ne serait pas trop longue. Mine de rien, elle espérait quand même pouvoir rentrer chez elle avant que Minuit ne soit passé. Elle devait rester jusqu’à ce que le travail soit terminé... A moins qu’elle n’arrive à s’entendre avec l’un des gardiens ? C’est probablement ce qu’elle tenterait de faire. On ne refusait rien à une femme qui souriait, et, dans la mesure où elle avait terminé toute la partie administrative... Il lui restait juste à déposer dans le bureau du proviseur adjoint les différents formulaires pour qu’il les vérifie le lendemain, et cette affaire serait terminée. Oui, à bien y réfléchir, c’est ce qu’elle avait de mieux à faire. Shani espérait que la boulangerie du coin serait ouverte. Elle était née en France, après tout. Le pain, c’était sacré ! Rien qu’à y repenser, elle avait déjà un petit creux. Elle décida de penser à autre chose qu’à son estomac, débarquant devant la voiture de Nikolaus. Ce dernier ouvrit le coffre, et Shani fut abasourdie.
Elle avait déjà vu des ateliers miniatures dans certains coffres, de la part de bricoleurs, qui entreposaient bon nombre d’outils dans leur coffre. En l’occurrence, elle tombait sur une espèce de zoo miniature. De nombreux petits animaux à fourrure débarquèrent du coffre, sortant rapidement, mais sans s’éparpiller, se mettant au garde-à-vous, comme une espèce de petit bataillon. Il ne leur manquait plus que des casques sur la tête pour avoir l’impression d’être dans un genre de film d’animation de Disney. Elle ne disait rien, surprise, et vit Nikolaus sortir alors ses affaires, parmi lesquelles... Un curieux objet longiligne. Une flûte ?
« Les animaux sont dressés et répondent au pipeau. Pour exterminer un animal il y a deux méthodes : les tuer et éliminer leur proie, je fais les deux de la manière la plus naturelle possible, tout simplement. »
Non, un pipeau ! Shani hocha lentement la tête, plutôt intéressée. Elle se pencha vers les animaux, les observant de droite à gauche. Elle ne savait pas grand-chose du dressage, mais c’était bien la première fois qu’elle voyait des animaux aussi bien dressés, et aussi calmes. Nikolaus lui fit une petite démonstration en sifflant dans son pipeau, émettant quelques notes. Les animaux s’avancèrent alors lentement vers le gymnase.
« Et bien... Vous êtes un homme plein de surprises, M. Nikolaus. »
C’était peu de le dire. Elle se doutait bien qu’il devait y avoir un truc.
« Si mon chat pouvait être aussi ordonné que vos animaux... » plaisanta-t-elle.
Comme quoi, on pouvait toujours trouver le moyen d’être surpris à Seikusu. Elle espérait juste que la traque contre les rats ne serait pas trop longue. Shani rebroussa alors chemin, retournant vers le gymnase. Il faisait nuit dehors, et un peu froid. Elle n’était qu’en chemise, après tout, sa veste se trouvant dans son bureau. Le duo revint donc devant la porte de la cave. Shani resta les bras croisés devant.
« Tenez... Un double des clefs. Il peut arriver que la porte se verrouille toute seule, expliqua-t-elle. Au pire, il y a un interphone qui permet de communiquer avec le vigile. Suivant vos recommandations, je fermerais la porte derrière vous. »
Elle était près de cette dernière, prête à la fermer. Son prochain objectif ? Aller négocier avec le vigile, puis sûrement acheter des sandwichs. La boulangerie était à cinq minutes à peine, et elle espérait pouvoir y arriver avant qu’elle ne ferme ses portes, et revenir par la suite.
« Oh, au fait... se rappela-t-elle. Il y a des lampes-torches dans l’établi en bas... Pensez à en prendre une, il se peut que les ampoules claquent. »
Mieux valait être la plus complète possible.
« Et... Non, je crois que c’est tout ! Je vous souhaite bon courage, à vous et à votre petit bataillon. »
-
Le fait qu'elle semble surprise de cette manière de faire était normale, et quand il révélait ses armes bon nombre étaient ceux à lui rire au nez, mais vous, vous n'avez jamais vu un blaireau chasser, et avez vous vu la taille des griffes d'un tel animal ? Vous riez moins !d'un coup étrangement... et quand vous savez la force d'un blaireau ? Oh, plus de rire du tout... combien d'employés de mairie avaient refusés les animaux et l'avaient amèrement regretté ? Énormément.
Sa plaisanterie fit mouche, il sourit. Pas de rire, juste un sourire, mais c'était déjà pas mal ! Il la regarda,il était très amusé par cette secrétaire.... ses réactions étaient... rafraichissantes !, oui, il était plein de sur^prise et elle n'avait encore rien vu... qand à sonb chat... il eut un léger éclat de rire avant de lancer :
« Je ne dresse pas les animaux des autres, désolé ! »
C'était du ^pur amusement bien sur, un amusement qui cachait une certaine forme de vérité... chaque animal avait son petit caractère, et trop dresser allait à l'encontre de leur caractère naturel... aussi, il ne leur imposait l'ordre de l'aider que dans le cadre d'une mission, après quoi ils retournaient à l'état sauvage dans son terrain vague...
Il restait toutefois l'alpha et devait souvent le rappeler, mais quand il n'avait pas à le remettre en mémoire à certains velléitaires, il trouvait ce fonctionnement agréable et parfaitement sain ! C'était l'ordre naturel des choses qui prenait place, alors, forcément, tout allait bien... il n'y avait rien de mieux que la hiérarchie que l'on retrouvait à l'état sauvage, chaque être avait sa place !
Quand ils retournèrent vers la cave, les animaux les suivirent, en rang, à la queue leu leu, de parfaits petits soldats, mais c'était la discipline au travail, en dehors, c'était l'anarchie. Il prit le double des clés, la remercia et commença à descendre, tirant derrière lui sa lourde caisse à outil contenant tout le matériel nécessaire et qui n'était pas vivant, lui ! Dans les escaliers, c'était pratique, tiens !
Il souffla une seule note : un ré, laissant ainsi la cohorte d'animaux filer dans les ténèbres de la cave avant qu'il ne l'éclaire. Il penserait à prendre une lampe torche. Il se retourna pour remercier Shani alors qu'il reprenait sa descente. Ne regardant pas où il mettait le pied, il loupa une marche et manqua de tomber... ne se rattrapant au morceau de métal qui servait de rampe que de justesse.
« ça va aller, je me débrouille ! »
Il arriva finalement en bas, et laissa ses animaux travailler, lui, il commença à placer quelques pièges, un peu comme des collets pour lapins en plus petits et en mieux adaptés. Il plaça aussi quelques tapettes avec fromage. En cas de besoin. C'étyait réglé.... il venait de passer une demi hyeure à tout mettre en place et vint s'asseoir sur les marches, regardant les animaux chasser...
Sel, le blaireau semblait inactiof, aussi, il décida de passer en « mode nocturne », saisissant la lampe torche en cas de besoin, il éteint la lumière, là seulement le blaireau passa à l'action, une forme de pudeur peut être... mais au bruit on comprit que c'était un véritable carnage... il alluma la lampe torche pour commencer à regarder les exploits animaliers... plusieurs rats étaient pourchassés et quelques uns étaient morts...
Pas de trace de Mister. Il utilisa la lampe torche pour fouiller sa caisse à outil, c'était un bazar monstre, il finit par le trouver, sous sa housse protectrice. Il regarda.... Mister se baladait lentement dans le lycée, mais il se rapprochait... il y avait d sacrés tunnels... Avisant de sa vitesse, il se dit qu'il avait un petit quart d'heure.... il se mit à lire...
Le temps passa bien plus vite qu'avait prévu car il se retrouva bientôt au milieu d'un sacré tumulte, Mister venant se réfugier sur lui, tout tremblant, en sueur... l'appât vivant, il en avait soupé... Il y avait un sacré vacarme et pour avancer un peu plus vite, Nikolaus mit un casque antibruit et commença à ramasser les rats morts et autres souris et les mettre dans un grand sac poubelle, il avait le repas de ses chers amis !
Dans une heure il aurait sans doute terminé...
-
Un dresseur d’animaux armé d’une flûte (ou d’un pipeau, mais Shani peinait à faire la différence)... Shani aurait tout vu à Seikusu ! Et encore... Elle n’était arrivée que très récemment dans la ville. La brave secrétaire n’était pas encore au bout de ses surprises, mais, pour l’heure, ce qu’elle voyait lui suffisait amplement. Elle était restée quelques secondes supplémentaires en-haut de l’escalier, en voyant Nikolaus s’enfoncer dans l’obscurité. Tout ça ressemblait à un scénario de film d’horreur ! Dans sa tête, elle se rappelait tout ce qu’on disait sur les souterrains du lycée... Les Japonais étaient très superstitieux, et répandaient des histoires sur le caractère hanté des souterrains, sur leur dangerosité, sur la présence de fantômes, d’esprits revanchards de petites fillettes se mettant à pleurer pour vous attirer, et pour vous déchiqueter sur place...
*
Allons, Shani, c’est ridicule...*
Nikolaus lui assura que tout allait bien, et la jeune Française, après quelques secondes, choisit de se replier prudemment. Elle déambula un peu dans le lycée vide, et se retrouva dans le hall d’entrée. Le lycée comprenait plusieurs structures, dont un bâtiment central, dans lequel le duo se trouvait. Ce bâtiment abritait l’essentiel des classes, l’administration centrale (aux deux derniers étages, le dernier étant à la disposition quasi-exclusive de la Directrice), et le voir comme ça, vide de vie, avait quelque chose de troublant. Les lumières éclairaient un hall vide, où personne n’était là pour parler, pour évoquer leurs fresques du week end, pour parler de leurs derniers exploits sur leurs jeux vidéos... Il n’y avait rien, et, en un sens, Shani trouvait cela inquiétant. Elle se déplaça à nouveau, quand sa poche se mit à vibrer.
Venant de recevoir un SMS, elle releva son smartphone. C’était un message d’une collègue, qui demandait comment les heures supplémentaires se passaient :
« Ça bosse pas trop dur ? Est-ce que le technicien est aussi craquant que Brad Pitt ? »
Après quelques secondes, Shani pianota sur son clavier, lui répondant que le lycée venait de se transformer en «
zoo », et, en souriant, retourna dans la salle où elle avait accueilli Nikolaus. Le brave homme en aurait probablement pour un petit moment à chasser des animaux, et elle ne voulait pas le déranger dans son travail. De fait, Shani n’aurait pas été contre l’idée de voir les bestioles en chasser d’autres, mais sa présence aurait pu les perturber. Elle se rappela alors qu’elle avait mis un film en pause avant l’arrivée de Nikolaus... Et hésita un peu. Il n’était peut-être pas très prudent d’en mettre un alors que l’homme se trouvait en bas, mais Shani n’avait aucune lecture avec elle... Et nullement l’intention de travailler.
Son portable vibra à nouveau, et elle souleva le clapet, puis appuya sur un bouton... Et esquissa un nouveau sourire en voyant le nouveau message s’affichant sur l’écran :
« J’en déduis que tu es tombée sur une vraie bête, et qu’il a laissé ses poils partout ! Merci pour le ménage à venir <3 »
C’était à croire que les secrétaires de Mishima étaient recrutées en fonction de leurs perversités réciproques. Soupirant, Shani secoua la tête, et ferma le film. Difficile, en effet, de se plonger dans une relation lesbienne quand on avait croisé un homme, et elle choisit donc de mettre un autre film, hétérosexuel, sur une femme se faisant violer dans une rame de métro (déserte, évidemment) en attendant son métro par une bande de voyous.
Shani s’y absorba donc, à tel point que, au bout de quelques minutes, elle finit plongée dedans, sa main venant machinalement se caresser.
Quand Nikolaus reviendrait, nul doute que Shani aurait du mal à cacher son état actuel...
-
Le carnage était en marche, il était dangereux de bouger pour Nikolaus, car au fur et à mesure des minutes, une jolie pile de rats montait sur le futur sac prévu à cet effet. Un grand sac en toile qu'il ferait brûler une fois rentré chez lui… il congèlerait une partie des rats pour servir de nourriture les jours de disette… il eut un petit sourire en commençant ) trouver la pile somme toute raisonnable… finissant son chapitre, il rangea son livre et observa un peu le travail avant de finalement caresser Mister et l'enjoindre à continuer le travail… il lui sourit et sortit le GPS pour observer un peu la position de ses protégés… ainsi, Monnaie était reparti, et se promenait… mentalement il essayait de le joindre sans résultat : il était trop loin. IL soupira, ça allait être encore une sacrée chasse…
Le jeune homme reporta son regard sur la chasse avant de sortir de son bazar une caméra sur pied qu'il orienta. Infrarouge, elle pourrait filmer l'action des animaux et cela ferait une jolie publicité pour lui, si il trouvait un moyen de la mettre en ligne… il sourit et mit en route la caméra infrarouge avant de finalement commencer à jouer du pipeau, couvrant un peu le bruit de la chasse… rien de bien compliqué, comme air, mais plutôt quelque chose de simple mais d’entraînant. Il eut un léger sourire avant de finalement regarder mister revenir et secouer sa tête pour en dégager la poussière… bon, ils avaient nettoyé le nid de l'infection… très bien, il appellerait les services d’hygiène pour qu'ils vérifient la cuisine notamment, ce n'était pas son travail…
Il regarda la caméra… oh.. déjà presque une cinquantaine de minutes depuis qu'il l'avait mis en route.. bon, ce serait un bon film ! Il éteignit la caméra, retira le filtre infrarouge et rangea les deux avant de commencer à ranger son sac jusqu'à ce qu'il n'y ait plus que les pièges dans la cave… il siffla et envoya un nouvel ordre mental pour que les bestioles commencent à rentrer en bon ordre dans la camionnette… quoique tous semblaient être rétifs, et certains avaient envie de continuer à chasser, pouvait-il les en empêcher ? Certainement pas !
Bon, et bien, il allait devoir attendre.. il soupira et regarda : le portail était fermé, donc bon… il vérifia sa camionnette, l’accula à la porte de la cave, pour que les animaux entrent à leur rythme, se contentant de mettre dans le gros coffre en métal qui servait à cela, mit son propre sac sur le siège avant, mit la grille pour séparer les deux et ferma l'habitacle. IL allait informer la secrétaire…
Il mit quelques minutes avant de se rappeler où aller, mais finalement, il y parvint et se dirigea dans la direction dudit bureau, croisant au passage le gardien de nuit qui lui indiqua sa direction avec rudesse et fort peu de douceur… enfin, il n'était pas payé pour un peu de tact et de douceur, mais pour surveiller qu'il n'y ait personne hors de la section des dortiirs. Si ? IL le remercia avec froideur et parcourut les couloirs comme le lui avait indiqué le si tristement peu aimable gardien afin d'arriver à la porte qu'il lui avait indiqué…
Il y avait quelque chose de lugubre à errer dans les couloirs du bâtiment Mishima en pleine nuit… eifn, il avait fait son travail et se savait arrivé : en effet, de sous la porte, on pouvait voir de la lumière, preuve que le bureau, bien que silencieux, ou ponctués d'un ou deux légers bruits suspects mais il n'y fit pas attention… il toqua et attendit. On ne lui répondit pas. IL retoqua. Mee résultat, à la troisième tentative, la porte s'entrebâilla. Elle n'était pas fermée. IL la poussa et entra…
Ce qu'il y vit fut une grande surprise, mais en même temps, ses outils de travail ne l'avaient-ils pas avertis ? Sur son écran, au cœur d'une tournante des plus sauvages et torrides… elle avait les pieds posés de part et d'autres de l'ordinateur… et il n'était pas assez stupide pour ne pas se douter de ce qu'elle faisait… il s'approcha, avec ce pas félin typique de son contact animal permanent pour venir doucement poser d'un fugace instant sa main sur l'épaule de la jeune femme, lui faisant comprendre qu'elle était « découverte »
« On se fait plaisir à ce que je vois... »
Il avait dit cela en lui retirant un écouteur, joueur et taquin, murmurant au creux de son oreille comme un secret, avant de rajouter sur ce même ton…
« Heureusement que c'est moi et pas le gardien/veilleur de nuit qui vous a trouvé… quoique vous auriez peut-être aimé... »
Il effleura son cou du bout de ses doigts en se redressant...
-
Shani avait vu plus hard que ça... Et aussi plus doux. Pour l’heure, elle appréciait le spectacle. Dans la ligne de métro, l’actrice, convaincante, se faisait prendre en sandwich par deux hommes ressemblant plus à des videurs de boîte de nuit qu’à des voyous venus se perdre dans le brouillard d’un métro. Hurlements et gémissements se mélangeaient, et, pour que personne ne l’entende (notamment des élèves s’amusant à faire le mur pour s’envoyer en l’air dans une salle de cours), Shani avait enfilé ses écouteurs. Ce faisant, le son était encore plus fort, et les couinements et les gémissements de la fille la firent trembler. Pue à peu, ses seins se tendirent, et elle attrapa l’un des stylos étalés sur le bureau, appuyant nerveusement sur le bouton de ce dernier, le reprochant nerveusement de sa culotte. Elle releva peu à peu ses jambes, le sposant à droite et à gauche de l’écran, et glissa main sous sa minijupe, venant caresser sa culotte blanche avec son stylo, appuyant avec le bout dessus, la pointe repliée dans le corps de ce dernier.
« Hmmm... Haaaa... »
Le bureau dans lequel elle se trouvait comprenait deux entrées. Il y avait l’entrée des visiteurs, devant, qu’on pouvait aussi appeler l’entrée publique. On y accédait depuis le couloir, et il y avait une grande vitre séparant les deux. On arrivait donc face au bureau sur lequel Shani était, et on ne pouvait rien voir d’autre que sa tête et le haut de son buste. Cependant, il existait une autre entrée, par une porte se trouvant derrière le bureau. C’était une entrée administrative, accessible depuis des parties du bâtiment réservé à l’administration... Ou, en l’occurrence, à Nikolaus, le réparateur qui était en train de chasser avec ses animaux. Shani voulait juste passer un peu de temps, mais elle fut prise par le fil du film, par ces longues séances de sexe étirées. Les deux hommes jouirent dans le corps de la femme, puis elle opta ensuite pour une gorge profonde, les autres se masturbant autour d’elle, se préparant à un bukkake dans les règles de l’art.
Ce film n’était pas un anime, mais bien une œuvre pornographique... japonaise. Il n’y avait aucune censure sur les sexes ou les organes génitaux. Théoriquement, ce film n’aurait jamais passé la censure japonaise, qui était très stricte à l’égard de la représentation de personnes réelles ou d’organes génitaux... Pour un film amateur, uniquement disponible sur certains circuits de distribution, il était très réussi, très convaincant. Shani, de fait, était convaincue que ce n’était pas de la simulation, et que les acteurs s’étaient vraiment donnés à fond.
D’une main, Shani se massait l’un des seins, dont la rondeur commençait à devenir douloureuse, ses tétons l’élançant dangereusement, et, de l’autre, elle continuait à délicatement se masturber, fermant parfois les yeux, les joues rouges. Sur l’écran, la femme couinait et gémissait, l’homme tenant fermement ses cheveux en remuant violemment en elle, ses bourses venant claquer contre ses lèvres et contre son menton.
« Hnnnn... »
Nikolaus entra alors, sans que Shani ne le remarque. Elle était absorbée dans son film, et, avec les écouteurs sur sa tête, elle était plongée dans son monde. La secrétaire commença à réagir en sentant une ombre sur l’écran, puis sursauta bien anturellement quand de smains se posèrent sur ses épaules.
« HAAA !!”
Elle bondit en avant, et tenta de tourner la tête. Les écouteurs résistèrent (ou, plutôt, celui que Nikolaus ne lui avait pas retiré), elle gémit, le sentit s’arracher, et se retrouva face à Nikolaus.
« Vous ! Euh... »
La prise son s’était légèrement dévboîtée quand Shani, qui avait bien failli faire une crise cardiaque, avait bondi sur place. Ce faisant, le son déferla à travers les enceintes de l’ordinateur :
« Salope ! Tu aimes ça, hein ?! Sale pute, traînée ! »
Shani se pinça les lèvres, puis se retourna subitement, les joues rouges, le cœur battant follement la chamade, et pianota nerveusement sur le clavier, cherchant une touche capable d’arrêter le son insipide, les couinements et les gémissements, qui s’échappaient du terminal.
*Merde, merde, merde !*
La panique avait occulté ce que l’homme lui avait susurré dans l’oreille. Shani avait bondi comme la fusée Ariane, et reprenait son souffle. Elle finit par couper le film, puis se retourna à nouveau, nerveuse.
« Aaah... Vous m’avez fichu une peur bleue ! »
Elle déglutit à nouveau, reprenant son souffle. La panique disparaissant, elle se rappela alors que Nikolaus avait parlé du vigile... Et, à vrai dire, il ne semblait guère effrayé par le spectacle venant se dérouler devant ses yeux... Shani aurait sans doute dû trouver quelque chose à dire, mais elle était comme tétanisée. En fait, tant d’idées se bousculaient dans sa tête qu’elle ne savait pas quoi faire, ni quoi dire, se contentant de rester crispée à son bureau.
*Putain, je vais me faire virer !
Non, le cauchemar recommence !
Si le vigile était là, mon coco, il proposerait une tournante...
Ça va pas, la tête, de faire irruption dans le dos des gens ? Le respect de la vie privée, tu connais ?!
Merde, Shani, mais tu pouvais pas JUSTE regarder l’heure, nom d’un calamar ?!*
Ohlàlà... C’était une catastrophe !
Finalement, en clignant des yeux, Shani finit par parler :
« Euh... Vos animaux ont bien travaillé ? »
Elle était rouge comme le moteur d’une locomotive sur le point d’exploser... Et oui, c’était tout ce qu’elle trouvait d’intelligent à dire.
-
Il l'avait apparemment bien surprise… en effet, elle était bien moins à l'aise que quand elle se masturbait tranquillement… peut être avait-elle commencé avant qu'il ne vienne et qu'elle ne se soit stoppé que pour l'accueillir, lui montrer la cave et remonter dans son bureau… , cela confirmait les pensées de monnaie qui lui avait dit qu'elleétait en pleine période d'envie de copuler… il lui sourit, la regardant reprendre le contrôle de l'ordinateur qui pendant quelques instants avaient mis en avant dle côté peu aimable de la vidéo, dans le vocabilaire notamment, outre la fausse violence des actes – il ne se faisait pas d'illusion, tout était contrôlé… - heureusement, elle parvint vite à couper le son…
« Oui, j'ai bien vu que je vous avais surpris en pleine activité… mais bon, vous m'aviez dit de venir quand j'avais fini, et comme vous ne me répondiez pas… et que la porte était ouverte… j'ai cru bon d'entrer… mais j'avoue que je ne m'attendais pas à cela… mais vous savez, si vous le souhaitez, vous pouvez terminer votre film… je peux attendre... »
Se moquait-il d'elle ? Un peu… un peu beaucoup, même ! Mais ce n'était pas méchant… et après l'avoir vue ainsi, c'était de bonne guère que de la taquinerie et de l'amusement… en plus, elle était mignonne.. que pouvait-il faire ? Utiliser ses techniques habituelles ? Chantage et autres c'était un peu sa tasse de thé ou fallait-il laisser couler ? Il savait qu'il risquait de ne pas être payé si jamais il commençait à partir dans son économie parallèle… mais d'un autre côté, c'était très, très, très tentant…
« Oui, ils sont en train de manger un peu, là, comme convenu dans l'accord, je ne laisserai aucune trce de mon passage hormis quelques choses habituelles, comme une ou deux tapettes à souris ou une ou deux doses de mort au rat… enfin bon, je ne vais pas m'étendre là dessus... »
Il lui sourit et se décida finalement à entrer dans le vif du sujet, un sujet autrement plus brulant si on regardait les joues rouges de la jeune femme… il eut un éclat de malice dans les yeux avant de finalement lui dire, sur un ton amusé…
« A vraie dire, je ne m'attendais pas à ce que vous regardiez un porno… et quand bien même, je ne vous imaginais pas adete de ce genre, je vous aurai vu plus classique… plus soft en somme… mais apparemment, je me trompais du tout au tout... »
Il lui sourit avant de lui susurrer à l'oreille, dans un faux secret qui le faisait ricaner un peu d'avance.
« Vous savez, si vous en pouvez pas faire obéir votre chat chez vous, c'est peut être parce que la chatte est trop demandeuse auprès d'autres... »
Sous entendu ? Clairement… à elle de tilter… quoique la lueur dans le regarde de Nikolaus ne laissait que peu d'ambiguïté...
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« Mais vous savez, si vous le souhaitez, vous pouvez terminer votre film… je peux attendre...
- Ha... Non, merci, ça ira... »
Shani n’était pas morte... Ce qui était toujours ça de pris. Dieu, qu’elle avait pu avoir peur ! Quelle idiote... Mater un film porno alros qu’un type pouvait débarquer à tout moment dans le bureau ! Et, pire, se mettre des écouteurs... C’était presque comme si Shani avait mis une pancarte sur son corps, avec écrit dessus : « JE VEUX ME FAIRE BAISER » ! À quoi pensait-elle, sincèrement ? Shani avait trouvé ça normal sur le coup, comme une manière d’ouvrir un bouquin pour attendre un peu, pour tuer le temps... Mais elle, son petit policier matinal du métro, c’était un film pornographique avec un gang-bang sauvage et débridé. Elle devait avoir un problème...
Plus le temps passait, et plus son cœur se remettait à fonctionner normalement. Elle était en vie, et Nikolaus n’avait pas fui en hurlant, ou en l’insultant de tous les noms. En fait... Il semblait même amusé d’être ici, ou d’avoir pu surprendre Shani. Elle avait l’impression de voir une lueur joyeuse dans ses yeux, et se tenait recroquevillée contre le bureau, près de son ordinateur, avec ses joues rouges... Une couleur qui, si on en croyait certains de ses anciens amants, lui allait magnifiquement au teint. Il se rapprocha d’elle, et elle le laissa faire. L’homme continuait à parler. Il lui avait dit qu’il s’était occupé des travaux en bas, qu’il avait laissé quelques pièges à rats... Shani n’avait honnêtement écouté que d’une oreille, et il poursuivit ensuite, lui expliquant qu’il l’imaginait « plus soft »...
*Mais je suis plus soft !* voulut-elle dire, sans que les mots ne traversent sa bouche.
On pouvait encore lire une certaine forme de panique à travers ses yeux. Il y avait un réel décalage entre ce que Shani pensait d’elle-même, et ce dont elle était capable. Ses fantasmes et ses désirs étaient d’une rare lubricité, et ne se limitaient effectivement pas qu’à un simple amant... Des pulsions qu’elle avait toujours du mal à admettre. Pour l’heure, elle songeait surtout à l’homme se pressant contre elle, à sa bouche se rapprochant de son oreille, à ses seins s’enfonçant contre son torse. Les mains de Shani s’agrippèrent à ses épaules, et un frisson remonta le long de son échine, l’amenant à se mordre les lèvres, surtout quand l’homme se mit à parler :
« Vous savez, si vous ne pouvez pas faire obéir votre chat chez vous, c'est peut être parce que la chatte est trop demandeuse auprès d'autres... »
Ses lèvres s’entrouvrirent sous l’effet de la surprise, et leurs regards se croisèrent quand l’homme recula sa tête. Que voulait-il dire par là ? Shani cligna des yeux à plusieurs reprises, essayant de comprendre la signification de ce message caché. Plusieurs hypothèses éparses se bousculèrent dans sa tête comme des radeaux perdus sur la mer, et elle s’accrocha à l’un d’eux. Sa surprise se transforma alors, et un délicat sourire finit par éclairer ses lèvres, tandis que ses mains se crispèrent un peu plus fort sur ses épaules.
« Hum... Ou peut-être est-ce que parce que la chatte n’a aucun chat chez elle... »
Elle n’était pas sûre d’avoir compris ce qu’il voulait dire... Mais, après tout, une métaphore s’interprétait de différentes manières.
Proche de sa bouche, ses lèvres semblaient comme happées par un quelconque effet magnétique, s’approchant inexorablement de celles de Nikolaus.
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Pourquoi tant e panique quand le regard ? IL ne comprenait pas bien… il n'avait aucuen envie de lui faire de mal… bien au contraire… ou peut était-ce pour autre chose, il n'en savait rien… peut être avait-elle peur qu'il la dénonce ? Oui, cela pouvait-être logique… il esaya de lui sourire, rassurant… oh opui, il avait plein d'idées en tête mais aucune n'était à proprement parler mauvaise pour elle, bien au contraire… il avait pu sentir, pendant qu'il était collé à elle ou presque, les dures pointes de ses seins, preuve d'envoie, ou du moins, d'excitation… un plaisir sans doute tout autant tiré de ce qui se passait avant qu'il n'arrive que depuis qu'il était à et qu'il s'imposait à elle. Il sourit et regarda la jeune femme alors que leurs lèvres se rapprochaient à un point qu'il pouvait presque les sentir contre les siennes, alors qu'il sentait les mains de la jeune femme lui tenir les épaules… il ne sentait pas de geste pour le repousser, alors pourquoi s'en priver ?
« Alors la chatte va devoir se mettre en quête d'un partenaire... »
Il se pencha un peu, joignant ses lèvres au siennes dans un baiser plein d'envies plus lubriques les unes que les autres… illaissa gliser une de ses mains depuis son péaule, jusqu'à son sa culotte pour en véirifer l'humidité… après tout, elle se mastrubait il y avait peu, non ? IL sourit et lui caressa doucement l'intimité au travers du tissu… suivant l'endroit que le stylo avait précédé… il lui sourit et l'embrassa de nouveayu, plus fougueux avant de lui chuchoter :
« Tu aimerais que je te montres quel genre de partenaire je suis ? »
Il eut un petit rire avant de saisir le mamelon au travers du tissu pour le mordiller, sentant la dureté de son mamelon dressé, sans chercher à faire mal, juste pour jouer… et ses mains remontèrent jusqu'à tenir la chemise qu'il écarta d'un coup sec, fausant sauter les boutons pour révéler une sorte de corst à caerreau qui lui allait à ravir… il lui sourit etet un petit bruit de bouche avant de plonhger son regard dans le sien…
« Tsst… vilaine cachottière, cacher de si belles choses, ce n'est pas bien »
IL lui sourit avant de dire, sur un ton un rien plus taquin…
« Étant donné ce que j'ai vu, je pourrais te faire chanter…. Tu exauces mes envies, et je ne dis rien... »
Taquinait-il vraiment ? Bonne question...
-
Téméraire, Nikolaus entreprit de l’embrasser, et Shani sentit, contre son menton, ses poils de barbe, glissant sur sa peau, la piquant. Elle frissonna légèrement, ses mains venant caresser ses épaules, s’appuyant dessus. Gémissant de plaisir, la secrétaire accepta volontiers son baiser. Le spécialiste des animaux embrassait plutôt bien, et il s’attaqua ensuite à sa chemise, tirant sèchement dessus. Shani soupira, ses ongles s’enfonçant dans ses épaules. Elle allait maintenant mieux, comme si ce baiser, comme si le plaisir sexuel, avaient fait voler en éclats ses peurs. L’homme observa son corset, et se permit un petit commentaire qui la fit sourire.
« Je ne les ai pas très bien cachés... »
Ses seins lui faisaient mal, l’excitant. Il avait pincé l’un de ses mamelons, témoignant d’une certaine expertise, ainsi que d’une certaine rapidité. Il était vif, agissant rapidement, et Shani, alors qu’elle s’attendait à une simple partie de jambes en l’air, entendit alors l’homme... La menacer ?!
« Étant donné ce que j'ai vu, je pourrais te faire chanter…. Tu exauces mes envies, et je ne dis rien... »
Avait-elle rêvé ? Cherchait-il à jouer un rôle, après avoir vu le film pornographique de la secrétaire ? Elle pensa à une plaisanterie, mais la lueur dans son regard... Difficile à dire. Elle fronça lentement les sourcils, clignant des yeux.
« Hum... Vous avez une drôle de manière de séduire et de rassurer les femmes, vous, Nikolaus... »
Difficile de dire s’il plaisantait ou non. Il avait souri en disant ça, mais... Hum... Difficile à évaluer, surtout quand on avait le feu entre les cuisses. Elle se pinça les lèvres, continuant à réfléchir. Shani avait toujours eu un problème avec ses pulsions sexuelles, qui la contrôlaient, et l’empêchaient de les retenir... Cependant, elle avait aussi appris à faire avec, et savait donc, tant que son excitation n’était pas trop forte, user de sa matière grise.
Elle se rapprocha ainsi à son tour de l’oreille de Nikolaus, et la mordilla légèrement, avant de lécher sa peau.
« Je ne couche qu’avec ceux qui ont envie de me faire l’amour... Qu’est-ce qui m’empêche de coucher avec toi, puis de prétendre qu’un simple agent professionnel externe m’a violé discrètement ? Il me suffirait d’aller voir n’importe quel avocat en droit pénal pour vous mettre sur la paille... Je suis une femme, belle, et une bonne comédienne... »
Elle enlaça ensuite ses bras autour de sa nuque, et se pencha vers l’arrière, amenant ainsi Nikolaus à se rapprocher d’elle. Shani avait été prise en traître, mais ce n’était pas pour autant qu’elle était perdue, et désorientée. Elle aussi pouvait faire la chansonnette, à ce titre-là... Certes, Nikolaus pouvait toujours plaisanter, mais Shani était convaincue d’avoir aperçu une lueur dans son regard... Elle pouvait l’avoir imaginé, bien sûr.
Après tout, ce n’est pas comme si elle était dans son assiette, ce soir, avec son corps en feu.
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Pas très bien cachés, non en effet, entre son décolleté et la courtesse de la tenue, elle avait même plutôt invité à venir les voir, vous ne pensez-pas ? Nikolaus pensait que si, et la remarque de l'écureuil ne venait que pour en rajouter une couche… une envie de copuler, très certainement… il sourità cette idée alors qu'elle reprenait la parole, comme si elle voulait se rassurer un peu sans doute… sédurie et rassurer les femmes ? Était-il là pour cela ? Hum, bonne question… il sourit et regarda la jeune femme avant de sourire plus franchement… bon, d'accord il avait eu une arrière pensée, mais ses paroles suivantes lui donnère envie de les foutre au placard, et en même temps…
À son tour de faire des confidences qui le firent frémir alors qu'il sentait ses dents jouer avec son oreille et le lécher… il sentit ce long frisson dévaler sa colonne vertébrale…. Puis, lui saisissant le sein avec fermeté il se mit à le masser au travers du corset… avant de finalkement lui susurrer après avoir saisit entre ses dents un peu de la peau de son cou et l'avoir suçotée jusqu'à faire apparaître un beau suçon, quelques paroles…
« Moi aussi, je suis tout à fait capable de jouer la comédie… la question, c'est surtout : quel rôle prendre… »
Il lui sourit une lueur lubrisque dans les yeux avant de glisser ses doigts sur le corset, jusqu'à venir libérer un de ses globes de chair pour lui en mordiller la pointe, la suçoter, jouer avec jusqu'à un durcissement des plus plus complets, sa main venant un peu bruisquement se glisser contre son intimité qu'il se mit à caresser à travers le tissu… griffant celu-ci avec envie, sans l'écarter, comme pour faire durer tout ce petit jeu…
« Moi ce que je vois, c'est une femme superbe qui mérite qu'on lui fasse l'amour jusqu'à sasiété… est-ce que j'ai envie de te faire l'amour ? Oui, évidemment, jusqu'à ce que tu en tombes inerte tant tu seras dépensée… la question, c'est… vas-tu te laiser faire ou tenter de m'enempêcher… surtout que je vais devoir punir une secrétaire trop cochonne pour être en train de se mastruber au lieu de bosser... »
Il lui pinça un peu plus fort le mamelon avant de glisser la main entre le tissu de sous sous-vête et son intimité pour s'y frayer un chemin du doigt sans réel ménagement… il ne comptait pas y aller par quatre chemins, pas après le spectacle auquel il avait assisté il y avait quelques minutes…. Son idée, il ne l'abandonnait pas, mais il y réfléchirait après… pour le moment, déjà commencer par en profiter...
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Elle ne savait pas à quel jeu Nikolaus était en train de jouer, ni même à quoi elle-même jouait. Elle ne contrôlait plus grand-chose depuis qu’elle avait été surprise la main dans le sac, et la secrétaire réagissait uniquement en fonction de ce que son esprit et son corps lui dictaient. Face à elle, Nikolaus s’attaqua à son corset, soulevant l’un de ses seins, faisant gémir Shani, qui se tortillait lentement d’avant en arrière, et sentit sa bouche se pencher vers elle. Avait-il plaisanté en proposant de la faire chanter ? Pour elle, c’était ridicule... Surtout au lycée Mishima, où tout ce qui se passait en-dessous de la ceinture ne sortait jamais des locaux du lycée. Soupirant et se pinçant les lèvres, Shani basculait sa tête en arrière. Ses tétons durcirent, ses seins se mirent à pointer, et elle sentait l’homme continuer à s’activer sur sa poitrine, avant de glisser l’une de ses mains vers son intimité, appuyant dessus, à travers sa culotte.
« Hunnn... »
Shani gémit en sentant les ongles de Nikolaus se crisper un peu sur ce tissu, griffant le tissu. Il s’occupait de son corps, l’excitait au mieux. Il avait mordillé son sein après avoir joué dessus avec sa main, fermement, durement, brutalement. Elle avait de plus en plus le sentiment d’être une espèce de jouet entre les mains et la bouche de l’homme, un jouet sexuel qu’il manipulait à sa guise... Tout en sachant parfois se montrer ferme. Difficile à expliquer, mais Shani n’acceptait ce jeu qu’avec le sentiment que Nikolaus ne faisait pas ça pour tenter de la piéger. C’était comme une sorte de contrat implicite qu’elle dessinait dans sa tête, qu’elle traçait entre elle et tous ses amants, hommes ou femmes.
Elle sentit la main de l’homme se glisser ensuite sous sa culotte, tandis qu’il lui avait laissé le choix entre, soit se laisser faire, soit réagir... Un choix difficile, vu les émotions contradictoires et puissantes que Shani ressentait. Tout son corps tremblait de plaisir, vibrait de désir, et ses mains se posèrent à nouveau sur les épaules de l’homme, le corps de la Française se penchant légèrement vers l’arrière. Sa seconde main malmenait le sein qui était issu de son corset, et ses ongles se plantèrent inconsciemment dans les épaules de l’homme, appuyant sur lui. Elle couina encore, soupirant et gémissant lourdement.
« Haaaa... »
Shani cligna des yeux, puis remua un peu, se redressant légèrement, et glissa sa propre main, réagissant à son tour.
« Tu voudrais me punir... Pour m’être masturbée ? Tu ne dois pas venir souvent au lycée, Nikolaus... »
Un petit sourire espiègle se dessina sur ses lèvres, alors qu’elle en venait à caresser son sexe, à travers son pantalon, afin de sentir cette habituelle et si désirable bosse sur le corps d’un homme. Elle caressa ce sexe, et s’attaqua au pantalon, entreprenant de le déboutonner, afin d’avoir un accès plus facile à son sexe, glissant ses doigts à l’intérieur. Oui, Shani ne comptait pas se laisser faire si facilement !
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Elle se laissait faire, elle était à sa merci… voilà ce qu'il voyait, voilà ce qu'il pensait, et voilà ce qu'elle faisait… elle était déjà presque offerte à lui. Non, c'était pas presque… elle était offerte, c'était évident… c'était plus que visible ! Il lui sourit alors qu'elle gémissait… entre ses mains, ses doigts, ses lèvres… ses dents aussi…. Il sourit avant de finalement l'écouter, alors qu'elle parvenait tant bien que mal à aligner quelques syllabes… Il eut un petit sourire amusé alors qu'il l'entendait… d'autant qu'elle était assez juste dans ses propos… et qu'elle était en train de s'attaquer à son propre futal… elle avait pu toucher à sa bosse masculine et semblait impatiente de la tâter de plus près...
« Si j'étais allé plus souvent en cours au lycée, je ne serai pas devenu un spécialiste pour s'occuper de se débarrasser des nuisibles, pour s'occuper des chattes… ou dresser des chiennes…. Non ? »
Il glissa ses doigts dans son cou pour la mordiller, saisissant un brin de peau qu'il se mit à suçoter et ce, jusqu'à laisser une jolie marque de suçon dans son coup avant de finalement glisser ses doigts non plus sur mais dans sa culotte… il lui sourit alors qu'il venait lui pincer l'appendice clitoridien de la jeune femme. Et il n'y allait pas de main morte dans la sollicitation, ça c'était sur ! Il regarda la jeune femme avant de se pencher vers ses lèvres et lui prendre un baiser un rien sauvage…
« Mais comme tu peux le constater je sais très bien m'occuper de ce que j'ai sous les doigts… et toi, tu es douée aussi ou est-ce que tu auras besoin d'aide ? Surtout que je suis curieux de voir ce qsue tu peux faire…. Tu semblais tellement prise dans ce porno, que je me demande jusqu'où va ta perversion et jusqu'à quel point je peux te pousser dans ce domaine… mais méfie toi… je suis sur que je peux te pousser plus loin que tu ne l'imagines... »
Il eut un éclat de rire alors qu'un doigt rentrait en elle, brusquement. Sans douceur, mais sans violence, juste avec un peu de brusquerie, ou encore de sauvagerie, mais c'était ainsi qu'il avait l'habitude de fonctionner, y allant avec ses « griffes » bien qu'il fasse attention à ne pas la blesser en agissant de la sorte…
« Et vu comment tu te laisses faire pour le moment, je suis sur que tu peux être très chienne quand tu t'y mets ! Je me trompe ? Je m'étonne d'ailleurs que tu sois si sage niveau culotte…. »
Il l'embrassa de nouveau avant de s'écarter un peu, pour lui laisser le loisir de se montrer attentionnée avec ce qu'il avait entre les jambes… une invitation autant qu'un ordre tacite, alors qu'il finissait de déboutonner son pantalon et de révéler son contenu… une jolie verge bien veinée et prête à être accueillie chaleureusement. Elle n'était pas forcément longue, mais elle était assez épaisse, par contre...
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Collés l’un à l’autre, Shani soupirait, sans trop savoir, exactement, ce que Nikolaus voulait. Simplement tirer un coup ? Il y avait sûrement ça, mais... Elle craignait que ce ne soit plus. Est-ce qu’il comptait vraiment la menacer ensuite ? Elle ne savait pas s’il était sérieux ou non, et, dans le doute, l’idée remuait un peu dans son crâne Il n’était pas le premier homme avec qui Shani faisait l’amour, loin de là, et elle avait eu des amants avec tout type de fantasme, comme si le fait de coucher avec elle semblait galvaniser leur imagination. Finalement, quand il se mit à la provoquer, elle en vint à se dire qu’il avait juste dû s’agir d’un jeu, pour lui... Son esprit se retrouva happé dans des voiles de désir, dans des vagues roses, des torpeurs qui la rendaient fébriles, et rendaient difficile le fait de pouvoir réfléchir rationnellement... Comme à chaque fois. On aurait pu croire qu’elle aurait fini par savoir davantage se contrôler, mais, plus elle faisait l’amour, et plus elle avait tendance à être soumise à ses propres pulsions. Incapable de les repousser ou de les maîtriser, elle se laissait bercer par ces dernières.
« Han ! » gémit-elle quand l’homme enfonça un doigt en elle.
Une intrusion dans son intimité, un soupir langoureux s’échappant de ses lèvres. Shani soupira, ses mains se crispant sur son torse, et il reprit à nouveau... Ah, mais ce n’était pas de sa faute ! Shani avait toujours eu du mal ! Elle soupira donc, fermant et rouvrant les yeux, et, quand l’homme commença à s’écarter, elle joignit le mouvement, en le poussant. L’espace dans le bureau n’était pas très grand, et l’homme heurta le mur de dos. Au milieu des joues rouges de Shani, de ses seins tendus, de ce cœur qui remuait dans sa poitrine, de l’adrénaline qui battait à tambour battant dans ses veines, ses yeux se plantèrent sur l’homme... Et, lentement, ses mains relâchèrent son torse, puis un sourire en coin se dessina sur son visage.
Ses mains descendirent lentement pour venir à hauteur de la ceinture de l’homme.
« Tu as l’air d’aimer les animaux... Alors, voyons voir ce que ton oiseau a à me dire... »
Elle n’eut pas de grande difficulté à faire sortir ce dernier de son pantalon. Ce n’était pas le premier pantalon qu’elle déboutonnait, et elle le fit glisser, puis se pencha vers l’homme, et caressa sa verge, ses lèvres venant se rapprocher malicieusement des siennes. Ses doigts glissaient le long de ce sous-vêtement, sentant une masse de chair fébrile sous cette dernière, quelque chose de gros et de tendu, une masse qu’elle connaissait bien, et qui était toujours aussi agréable à caresser. Elle glissa donc ses doigts dessus, sans encore aller jusqu’à brûler les étapes.
« Hum... Je comprends ton empressement, maintenant. Tu ne dois pas avoir fréquemment l’occasion de t’occuper des chattes... Tu aurais peut-être dû rester davantage au lycée... »
Elle avait soufflé ces mots contre ses lèvres, main le masturbant légèrement, l’autre retournant s’appuyer sur l’une de ses épaules. Elle jouait lentement dessus, d’avant en arrière, creusant le tissu avec ses doigts, comme si elle était lancée dans la difficile tâche de mouler davantage le sexe de Nikolaus dans sa tenue... Tout en voulant l’exciter davantage.
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Nikolaus était désormais collé contre le mur du fond de son bureau… il n'aimait pas des masses être acculé, mais bon, vu l'état de la jeune femme en face, elle était complètement en chaleur, là, c'était certain ! Il lui sourit alors qu'elle faisait son petit commentaire sur le fait qu'elle voulait jeter un œil à son oiseau… ah ça… il aurait volontiers parlé de loup plutôt, enfin, chacun son truc sans doute. Il lui sourit alors qu'elle commençait à déboutonner le pantalon d'une main, reconnaissons-le, experte.
Il soupira d'aise alors qu'elle lui massait délicatement la verge au travers des sous-vêtements… il lui sourit alors qu'elle continuait sa petite manœuvre, lui caressant le sexe durcis au travers du tissu, un rien fébrile… il lui sourit, avec douceur avant de finalement l'embrasser, comme toute réponse à sa provocation, un baiser fougueux et fiévreux alors que c'était tour de la jeune femme de se retrouver plaquée contre le mur par la masse de l'exterminateur.
« Oh tu serais surprise, crois moi-moi…. Je m'en occupe assez souvent pour avoir ce que je dois te faire... »
Sa virilité venait frotter cntre le corps de la jeune femme, au travers des barrières de tissu pour finalement lui susurrer entre deux légers mordillements du lobe de son oreille.
« A défaut d'avoir pu trouve bien des chattes pour le peu de temps ue j'ai passé au Lycée, ça me donnerait bien envie de revenir fouiner dans l'administration… qui sait... »
Il lui sourit et lui agrippa le derrière, venant lui malaxer les globes de chair arrière. Ses gestes étaient impérieux, fermes conquérants, même.. il descendit dans son cou, se mettant à mordre, laissant parfois de petites marques rouges de suçons dans le creux du cou. Il trouvait sa peau très goutue… il continuait son petit jeu jusqu'à lui dire, sur un ton aimable et en même temps assez ferme.
« Alors, tu aimes ce que tu touches ? Et ce n'est rien entre comme ça et sans aucune barrière de tissu ! »
Il enfonçait doucement ses ongles dans ses fesses sans la moindre violence alors qu'il redescendait sur son sein pour se remettre à jouer avec de ses dents, ses lèvres, sa langue, taquin, joueur… oui, il allait les lui faire durcir à lui en faire mal. Et là, elle serait mûre pour la cueillette.
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L’oiseau se transformait peu à peu en aigle royal, et Nikolaus ne faisait rien pour retirer la main de Shani. Ce faisant, la main de la secrétaire ne se décala pas, se crispant un peu sur cette verge, la masturbant tendrement et fermement. Les mains de l’homme se déplacèrent, et elle soupira quand elle les sentit venir sur ses fesses. L’homme avait pris son temps avant de s’attaquer à cette partie de son anatomie... Il était rare qu’on ne flatte pas le cul de Shani, et ceci ne dérangeait nullement cette dernière. Quand le sexe s’emparait d’elle, c’était une toute autre femme qui se réveillait. Loin d’être la créature discrète et effacée qu’elle avait parfois tendance à être, elle devenait une femme passionnée, malicieuse, joueuse, et très perverse. Les dents de Nikolaus raclèrent contre sa peau, la faisant soupirer et gémir. Une main sur sa verge, elle continuait à glisser dessus, de haut en bas, d’avant en arrière, son autre main venant se positionner sur son épaule. Ses seins frottaient son torse, ses tétons caressant sa peau.
« Humm... »
Son oiseau se transformait en une chauve-souris, mordant sa peau, formant des suçons. Shani soupirait, en sentant également les ongles de l’homme s’enfoncer dans la chair ronde de ses fesses, les remuant, les tortillant lentement et agréablement. C’était quelque chose qu’elle adorait beaucoup, et, tout en soupirant et en gémissant, elle le laissait volontiers faire. Hum, oui, qu’il était bon qu’on palpe son cul ! Shani avait beau être joueuse et provocatrice, fondamentalement, elle restait une soumise... Sa soumission s’exprimait juste de manière très physique, et le fait de palper ses fesses était, pour elle, une marque inconsciente de supériorité. Elle frissonnait et tremblait, tandis que l’homme continuait à jouer avec elle. Aucune pénétration n’avait encore eu lieu, mais Shani savait que, maintenant, ceci arriverait tôt ou tard. Si elle avait les ovaires en feu, vu le service trois pièces qu’elle titillait, l’homme était aussi impatient... Et Shani comptait bien le rendre assoiffé.
Après lui avoir demandé si elle aimait ce qu’elle touchait, il se pencha vers ses seins, continuant à les mordre. Les mordeurs... Ils avaient généralement le profil-type des individus commettant des violences conjugales. Shani, elle, ne se sentait pas du tout violentée. Elle s’était déjà fait mordre par des amants, et, tant qu’aucune partie de son corps n’était arrachée... Elle n’osait pas le dire, mais, fondamentalement, elle adorait ça, excitée comme une petite puce par ce genre de choses.
« Hum... Oui, Nikolaus, j’aime ça, haaaann... Mais je sais aussi que ces calibres-là sont timides, et n’aiment pas se trouver trop longtemps à l’air libre... »
Que voulait-elle dire par là ? La réponse allait venir d’elle-même. Reprenant un peu du poil de la bête, elle le poussa, et l’assit sur le fauteuil où elle s’était elle-même trouvée quand l’homme l’avait surpris. Shani, excitée, le poussa un peu rudement, et le fauteuil glissa en arrière, le dossier venant heurter le mur. Elle se mit à genoux devant lui, et tira sur son sous-vêtement, le faisant ensuite glisser le long de sa verge, la découvrant comme une sorte de gros cadeau. Elle la glissa ensuite sous ses testicules, puis se pencha vers elle, un sourire sur les lèvres, une lueur malicieuse dans les yeux.
Son nez alla caresser ce sexe, cette grosse sucette, et, avant de le prendre dans sa bouche, elle entreprit de le lécher et de l’embrasser, comme s’il s’agissait d’une grosse glace. Sa langue filait de bas en haut, remontant le long de cette queue, et elle l’embrassait parfois... Ou même la mordait, très délicatement. Elle savait cette partie-ci de l’anatomie masculine très sensible... Et puis, il fallait bien qu’elle se venge. Elle joua donc avec elle, puis leva la tête, un sourire malicieux sur les lèvres.
« Tu veux que je te la suce, hein ? Une secrétaire se doit d’être aussi douée avec ses doigts qu’avec sa langue, tu ne crois pas ? »
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On ne pouvait nier qu'elle savait parfaitement ce qu'elle faisait… elle était même experte en utilisant sa main pour le moment alors qu'il explorait de ses doigts et de ses mains son anatomie, évitant, vous vous en doutez bien, toute forme de pénétration… histoire de faire durer un peu les choses, savourant la fermeté de celles-ci, y mettant une ou deux petites tapes sur le derrière, testant ainsi la fermeté de sa peau, il lui sourit et lui caressa avec douceur ensuite tout le dos, remontant de ses ongles depuis ses fesses, griffant ls reins et tout le long de la colonne vertébrale de la jeune femme… jusqu'à exercer une pression sur a nuque alors qu'il revenait conquérir ses lèvres… puis il retourna à ses morsures, laissant volontiers de légères marques de dents sur son corps, comme autant de symboles de son passage…
Puis elle prit les choses en main… il n'allait pas l'en empêcher, vous le devinez assez bien, surtout pour ça, se laissant pousser dans le fauteuil et pousser contre le mur…, heurtant celui-ci du dossier… pas grave, cela n'avait aucune importance ! Il lui fit un nouveau sourire alors qu'il la regardait faire, la regardant se mettre à genoux pour se débarrasser du caleçon de Nikolaus. Celuic-i révélait ainsi l'ampleur de on désir pour elle… au moins, c'était bien visible ainsi, non ?
Ainsi découverte, la verge était soumise à la mercie de la jeune femme alors que celle-ci commençait ses jeux dessus, de ses lèvres, de sa langue, comme si elle ne voulait pas la prendre en bouche, juste taquiner, agacer, bref, faire tout ce qu'il fallait pour qu'elle puisse lui offrir jouissance sans même avoir à la gober, même ses morsures étaient tentantes… il la laissa faire, elle était une véritable experte…
« Ouais, je veux que tu la suce, et je veux te baiser jusqu'à ce que tu n'aies plus même la force de couiner de plaisir… y compris baiser ta bouche, la grande question, c'est est-ce que tu es assez douée pour que j'en arrive là... »
Il sourit alors que son pied venait frotter contre l'intimité de la jeune femme malgré la chaussure, il était un rien indélicat mais qui le lui reprocherait ? Il jouait ainsi pour lui rendre la pareille pour le moment…
« À ce que l'on me dit, une bonne secrétaire doit avoir un don don avec sa bouche, et en plus… en plus elle doit savoir faire don de sa personne, est-ce que tu en es capable ? Ou plutôt, jusqu'à quel point ? Donne-toi à fond, et je te jure que tu ne regretteras pas ! »
Il lui tapota la joue.
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À genoux devant le sexe de cet homme, Shani était dans son élément. Nul besoin de défricher pour voir sa hampe, qui pointait vers le plafond, heureuse d’être à l’air libre. Shani la palpait, la caressait, prenant tout son temps, avant de la prendre en bouche. Diable, il y avait tant de choses à faire avec des lèvres et une langue qu’elle trouvait dommage de passer directement à l’étape finale, de griller les étapes. La secrétaire voulait y aller tranquillement, savourer ce moment, dévorer cette queue qui la regardait. Elle avait donc commencé par la lécher, par l’embrasser. D’aucuns auraient pu trouvé ça crade, sale, mais, chez Shani, c’était tout le contraire. Sans pouvoir se l’expliquer, elle aimait cette odeur qui s’échappait du sexe, cette puanteur innée, cette peau moite et chaude. Elle aimait, surtout, sentir cette raideur molle… C’était l’une des manières qu’elle avait de décrire le sentiment contradictoire qu’elle ressentait en touchant un phallus. Il n’y avait pas d’os là-dedans, pas-même de muscle, alors un sexe restait toujours, fondamentalement, mou… Et, pourtant, sous l’effet de l’excitation sexuelle, cette mollesse devenait bien dure, ce que Shani pouvait très bien sentir en ce moment. Elle adorait ce contact, et elle léchait donc ce sexe, s’appliquant consciencieusement. Nikolaus, lui, se mit alors à parler, recommençant à la provoquer, disant qu’il voulait la baiser, dans tous les trous possibles, mais que, pour cela, elle devait réussir à bien l’exciter. Un délicat sourire éclaira les lèvres de Shani, qui finit par relever la tête.
Une secrétaire devait être douée de sa bouche… Elle acquiesça lentement en donnant un nouveau coup de langues, et frotta sa joue contre ce sexe, sentant ce morceau cylindrique caresser sa peau, laissant un résidus de sa propre salive dessus.
« Oh, moi et ma bouche sommes capables de bien des choses… Se dévouer au travail, corps et âme, voilà quelque chose qu’on apprend plutôt bien au Japon… »
Tout en parlant, elle avait utilisé sa main, afin de ne pas négliger ce sexe, de ne pas le laisser tout seul. Elle glissa donc dessus, puis, après cette phrase, déposa un baiser à son extrémité, et le releva, venant, cette fois-ci, l’embrasser à sa base, ce qui l’amena à sentir les poils pubiens de l’homme. Aucune gêne perceptible chez Shani, elle faisait ça de la manière la plus instinctive du monde, avec un calme qui avait quelque chose d’olympien et de très impressionnant. Un sourire vint ainsi illuminer son visage, et elle continua à jouer avec ce sexe, à le mastiquer avec ses lèvres, à le lécher, comme une sorte de grosse glace. Ses mains se déplacèrent, et l’une d’elles alla jouer avec ses testicules.
« Je crois plutôt que c’est à toi de voir si tu arriveras à me satisfaire… Tu as l’air plein à craquer… »
Il fallait aussi dire qu’elle jouait avec lui sans vergogne. Après de nombreuses minutes, Shani consentit enfin à se mettre devant ce sexe au garde-à-vous, son souffle sur ce membre turgescent, sur ce vit assoiffé qui attendait sa venue. Elle entrouvrit alors les lèvres, et commença à le prendre en bouche, relevant les yeux, afin de croiser le regard de l’homme. Elle recula lentement, d’avant en arrière, en gémissant, sentant cette grosse queue en elle, remplissant son espace. C’était toujours très gros à prendre, bien plus que de simples doigts, et elle avait refermé ses lèvres dessus, glissant d’avant en arrière, sa langue caressant ce sexe, jouant dessus.
« Hum-hmmm… » soupirait-elle.
Elle y allait de manière incitative, dans le but d’amener Nikolaus à faire ce qu’il lui avait dit… Lui baiser la bouche !
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Elle était là, à genoux, devant lui, comme si rien ne lui plaisait davantage que ces instants… en effet, il était ici question de se faire plaisir, et il comptait bien profiter de cet instant, et qui sait, profiter sans doute de la suite ! Il ne put s’empêcher de se dire qu’il aurait du emporter de quoi filmer… elle valait le coup d’œil, pas de doutes possibles en effet… il lui sourit et regarda la jeune femme alors qu’elle léchait cette jolie verge qui lui était offerte, comme si rien n’aurait pu lui faire davantage plaisir si cen’est sans doute un bon coit.
Lui-même appréciait cela… elle avait un talent clair pour la chose, tant qu’elle arrivait à le faire savourer chaque sensation, chaque contact de la langue de la secrétaire sur sa verge, à croire qu’elle n’avait attendu que cela depuis qu’il était arrivé… en même temps, se branler devant un porno, c’était presque une offre, pour le coup, vu la situation… il ne put retenir quelques gémissements , de protestations alors qu’elle reprenait la parole, continuant à jouer avec cette verge de sa main… oui, ici, il fallait saviur se onner corps et âlmes à son travail. Et là, son travail était de lui offrir du plaisir. Oh elle en aurait, il ne doutait pas de ses capacités.
« Te satisfaire ? Allons, allons, je ne suis pas puceau, tu vas vite voir que tu vas être absolument ravie à la fin… ça, je peux te le promettre ! »
Oh oui, il était confiant et sa confiance allait en grandissant au fur et à mesure qu’elle jouait avec lui, comme si elle jouait à lui forcer la main, comme si elle l’invitait presque à prendre de force ce qu’il désirait, à fore de tourner autour du pot… même quand elle commença à sucer cette belle verge et offrir à Nikolaus l’accès à sa cavité buccale, chaude et humide, comme une invitation à la posséder, si ce n’est d’âme, au moins de corps….
Encore une fois, elle était plus que douée la salope ! En effet, on sentait dans la manière qu’elle avait de jouer de la langue au sein de la bouche. Putain, c’était bon… il ne pouvait le nier…. Mais en même temps, il trouvait que ce n’était pas assez… il plongea son regard dans le sien, alors que ses mains venaient s’enfoncer dans sa chevelure châtaigne et il encouragea la jeune femme, commençant à donner de petits coups de bassins pour aller jouer bien davantage avec elle…. Puis, finalement, il lui susurra alors en se retirant d’elle.
« Attends, on va te mettre dans une position plus confortable…. »
Sans lui demander son avis, il vira une bonne partie des affaires qui se trouvaient sur son bureau afin d’en dégager l’espace et la souleva du sol pour la poser sur celui-ci, sans vraiment lui lasser le coix, la forçant un peu à s’allonger sur le dos, tête dans le vide avant de finalement frotter sa turgescence quémandante sur son visage. A la moindre occasion, il s’enfoncerait entre ses lèvres et commencerait à faire ce qu’il lui avait promis. Il lui baiserait la bouche, profitant e cette position pour s’enfoncer aussi lui que possible, avec bien peu de douceur, lui laissant à peine le temps de respirer…
Ses mains alors viendraient sur sa poitrine et il se mettraità jouer avec, à la malaxer, à la maltraiter aussi, un peu, surtout les mamelons… avant de reonter, lui saisir la nuque pour la maintenir alors qu’il ressortirait, laissant la bave couler sur le visage de la jolie secrétaire.
« J’adore ta bouche… tu suces foutrement bien… et sinon, tu aimes que je te baise la bouche ? »
Question rhétorique… son avis, il s'en fichait un peu. Lui, il adorait !
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Shani était en train de prendre son pied. Le sexe de l’homme formait une masse solide dans sa bouche, remuant d’avant en arrière. Un contact étrange, qui était objectivement horrible (un sexe puait et était collant), mais subjectivement magnifique. Shani plongeait dedans, et s’absorbait dans un plaisir intense et inouï. Nikolaus remuait légèrement, accompagnant les mouvements de la bouche de Shani. La secrétaire gémissait longuement de plaisir, des soupirs de plaisir s’échappant de sa bouche, des soupirs étouffés par cette grosse queue qui enflait progressivement en elle. Une queue bien dure, une verge dressée. Elle sentait ce mât remuer en elle, les minutes défilant à toute allure. Ah, que c’était bon ! Shani n’arrivait décidemment pas à se lasser de ce genre de choses. L’homme continuait à remuer, d’avant en arrière, encore et encore... Il lui avait assuré être en mesure de la faire bien jouir, et son assurance de soi amusait Shani... Une assurance méritée, au vu de la taille de son sexe. Il remuait en elle, et elle se voyait bien être pilonnée par lui... Mais l’homme avait d’autres projets.
Il se retira de la bouche de Shani, et cette dernière reprit son souffle, en clignant des yeux. Ses cuisses étaient humides, et le sexe de l’homme se dressait devant elle, recouvert de sa salive. Sa bouche était pâteuse, et elle laissa Nikolaus la soulever. Du revers de la main, il envoya voler des stylos, des feuilles, dévoilant une bonne place du bureau, et aida Shani à se coucher sur ce dernier. Surprise, la secrétaire se laissa faire, et se retrouva la tête en bas, sentant le sang remonter dans sa bouche.
« Ni... Nikolaus... » gémit-elle lentement.
Nikolaus se mit devant elle, puis elle entrouvrit les lèvres. Il comptait donc la prendre comme ça... Heureusement, le bureau était bien solide, et, si la tête de Shani dépassait, c’était aussi le cas pour ses jambes. Elles filaient de l’autre côté du bureau, et frottaient contre le mur. C’était une position bien curieuse, et, surtout, Shani espérait ne pas se faire mal au cou.
« Huuurghhh... !! »
Elle rabattit ses mains sur le bassin de Nikolaus, et les appuya sur ses fesses, afin de maintenir son équilibre précaire. Pour el coup, elle reconnaissait à Nikolaus que, s’il avait la langue bien pendue, il ne manquait pas aussi d’une certaine imagination, tout à fait plaisante. Elle sentit sa verge s’enfoncer longuement en elle, tapant dans sa gorge, ce qui la faisait gémir et couiner, ses jambes remuant lentement. Ses pieds tapaient contre le mur, à tel point qu’on aurait presque pu croire, à voir la manière dont ses muscles se crispaient et dont son corps remuait, que l’homme était en train de l’étrangler.
Il s’enfonçait rapidement en elle, plus fort, donnant des coups de reins solides, avant de se courber vers l’avant, avançant un peu ses mains pour jouer avec les seins de la secrétaire.
« Hnnnnnnnnn... !! » soupira-t-elle quand elle sentit les doigts de l’homme pincer ses tétons.
Pour le coup, il n’était vraiment pas très doux... Mais Shani pouvait l’accepter, et ça ne la brusquait pas... Au contraire, même. En un sens, c’était logique. Nikolaus fréquentait les animaux, il fallait donc s’attendre à ce que son comportement soit quelque peu bestial... Et, pour le coup, il se révélait être un amant redoutable. Nikolaus continuait à la prendre, mais se retira, là aussi, bien vite. Shani soupirait, et peinait à ravaler sa salive. Elle cligna des yeux à plusieurs reprises. Le sang remontait dans son cerveau, ce qui rendait tout beaucoup plus difficile à appréhender et à comprendre. L’homme la narguait, demandant si elle aimait ça, tandis que sa verge caressait le visage de Shani, glissant le long de son nez... Un sexe maintenant bien humide, avec une humidité qui coulait sur le visage de la femme.
Dans cette position, Shani ne pouvait pas faire grand-chose, si ce n’est parler, et c’est ce qu’elle entreprit de faire, en reprenant son souffle :
« Vi-Viens... Offre-moi ta crème, haaaa... Viens... »
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Il avait passé un ecrtain temps à lui baiser mla bouche, comme si elle n'était qu'un trou à bourrer à grands coups de rein comme les deux autres… et il y passerait aussi assez facilement, vu à quel point elle acait su se mettre en appétit et lui donner envie de plus, elle était tout à fait prête sans doute à ce qu'il la saute pardevant et par derrière. Il lui sourit et la regarda, ainsi allongée sur le dos, la tête dans le vide, rougeaude à cause du sang qui lui montait à la tête. Il lui sourit n'attendant pas de réponse de sa part, ses gémissements éttoufés, bien sur, étouffés par sa queue qui s'était enfoncée si loin qu'il l'aurait presque empêchée de respirer…
Il aurait volontiers continué comme ça toute la nuit, croyez-le ! Il sourit alors qu'elle lui parlait enfin, demandant quelque chose qu'elle avait, ils le savaient tous les deux, amplement mérité ! Si elle voulait, elle allait avoir ! Il sourit et lui caressa la joue avant de lui tenir de nouveau a tête en faisant glisser son membre sur le visage de la jeune femme vers sa bouche, laissant une trinée de mélange de la salive et du liquide préséminal, consquences de ces bestiales pénétratios dela cavité vbuccale de la membre du personnel de l'établissement.
« J'hésite encore, entre te laisser gouter à la crème eou t'en décorer le visage.. je suis sur que ça tirait bien au teint ! Mais si tu choisis d'avaler, n'avale pas de suite… tu vas voir ! »
Il sourit et regarda la jeune femme, venant l'embrasser avant de s'engouffrer de nouveau dans sa bouche, dur, bestial, presque brutal, la tenant par es cheveux, la nuque, et ce, jusqu'à ce qu'il se sente bien installé au fond de sa giorge, se montrant fort peu doux, s'enfonçant parfois dans sa giorge avant de cesser de bouger, comme pour savour toute la profondeur qu'il pouvait atteindre. Il ppinctuait ces essais de vas et viens. Il arreta une dernuière fois avant la jouissace pour lui laisser exprimer son choix avant de se masturber contre elle ou presque jusqu'à jouissance, dans sa bouche ou sur son visage comme elle préférait…
« Putain, ça fait du bien ! »
Il se pencha sur son froc et sortit le portable et prit quelques clichés, pour le souvenir, sans rien demander… Il semblait ravi et béat… Il attendit et resta silencieux, comme pour se reprendre un peu, comme ça, histoire de se laisser le temps de se reprendre. Puis, comme s'il se reprenait, il lui lança alors sur un ton presque à valeur d'ordre.
« Allez, assieds-toi au lieu de rester allongée, tu m'as donné du plaisir avec ta bouche et bien, c'est à mon tour de t'offrir un bon cuni… À moins que tu préfères une bonne queue bien dure au lieu de ma langue et mes doigts… Et tu préfères ptetre dans ton cul plutôt que dans ta chatte ? »
Oui, au final il relativisait bien ses paroles. C'était moins un ordre quune belle invitation à cjhoisir la suite qui lui ferait le plus plaisir...
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Ah ! Oui, cet homme était un vantard ! Shani se disait qu’il devait être le genre d’hommes qui devaient adorer regarder son reflet dans le miroir... Mais elle pouvait lui pardonner cet excès de confiance en lui, quand elle voyait la manière dont il la traitait. Brutalement, sauvagement, avec cette ardeur et cette passion qui faisait tant plaisir chez les hommes. Nikolaus ne prenait pas de gants, et ceci ne dérangeait nullement Shani, la belle petite secrétaire, qui appréciait énormément cela. C’était à croire qu’elle était véritablement une salope, quand on voyait la manière dont elle se dandinait sur le bureau, faisant grincer et remuer ce dernier. Oui, en ce moment précis, la timide Shani laissait parler une autre facette de sa personnalité, une facette qui aurait volontiers perçu le terme de « salope » comme le plus beau des compliments. La secrétaire se faisait prendre par l’homme, qui lui avait de ne pas avaler son sperme... Dégoûtant, sale... Donc, terriblement excitant !
Elle le sentait remuer plus sauvagement en elle, lui violant la bouche, la faisant gémir... Nikolaus était passionné, et il finit par lâcher sa crème en elle. Il jouit généreusement, et Shani se tortilla encore un peu plus sur place en sentant ce sperme venir en elle, fusant dans sa bouche assoiffée. Ah ! Haaaaa !! Elle savourait ce moment, et son corps se détendit un peu. Inconsciemment, elle s’était masturbée, et ses doigts étaient remplis de cyprine. L’homme balança son sperme dans sa bouche... La première fois qu’elle y avait goûté, à ce liquide poisseux et collant, elle avait tout recraché, et avait eu la bouche pâteuse pendant plusieurs jours. Le sperme, c’était comme un dentifrice insupportable au goût écœurant. La première fois qu’on le mettait sur les dents, le goût vous révulsait, et, progressivement, le corps humain finissait par s’y habituer. Le sperme n’était pas bien différent. La texture restait toujours visqueuse et collante, mais supportable.
Nikolaus, par la suite, ne put s’empêcher de la prendre en photo... C’était sans importance pour Shani. Si cet homme voulait se faire des souvenirs, elle n’allait pas s’en empêcher... Elle avait déjà eu des amants qui filmaient la scène, juste pour pouvoir la revoir en invitant Shani, et se faire un match-retour. Les hommes avaient une espèce de besoin primitif de se rappeler qu’ils avaient vraiment couché avec elle, que ce n’était pas qu’un fantasme, qu’une pensée issue de leur imagination fertile... Nikolaus se retira d’elle, et Shani se retourna. Elle l’entendit parler, lui proposer de s’asseoir, mais elle choisit de se relever.
Shani se releva donc, mais chancela sur place, et s’appuya contre le bureau. En ayant eu la tête retournée pendant plusieurs minutes, elle avait un sentiment de vertige, d’autant plus fort qu’il lui avait bien baisé la gueule. Elle cligna donc des yeux à plusieurs reprises, la bouche toujours pleine de foutre, respirant par le nez.
Elle cligna des yeux à plusieurs reprises, peinant à retenir ce foutre dans sa bouche, qui menaçait, soit de sortir, soit de s’enfuir dans sa gorge. Que faire, maintenant ? La secrétaire soupira. Nikolaus lui offrait le choix, soit entre un coït à l’ancienne, ou une sodomie... Et, puisque leur partie de sexe était, pour l’heure, brutale, il n’y avait aucune raison de s’arrêter en si bon chemin.
Hochant donc la tête, la secrétaire se retourna, et désigna du doigt ses fesses, avant de remuer son corps de gauche à droite.
« Hmm-humm... »
Le message était clair... Mais, tout en lui indiquant la suite, elle se demandait pourquoi l’homme avait tenu à ce qu’elle conserve son sperme en bouche.
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Elle était belle, désirable et elle allait prendre encore pas mal avec lui, c'était bien son intention… elle avaitobéi, sagement, comme une chienne qui obéit à son maître. Il sourit et regarda la jeune femme en souriant. À ses propoitions, elle sembla être plus que disposée à choisir, mais, contrairement à ce qu'il s'attendait à voir, il la vit se lever, tituber un peu… déjà perturbée ? Il sourit alors qu'elle gardait le sperme en vbouche. Il avait juste voulu la prendre en phot ainsi, avec du foutre plein la bouche, pour un souvenir. D'ailleurs, il comptait bien en offrir plein d'autres, de souvenirs du genre… il lui sourit et s'approcha de son dos pour s'y coller. Il attrapa son oreille avec ses dents pour la mordiller avant de lui susurrer.
« Tu peux avaler… je voulais juste un souvenir avec ta jolie bouche pleine de mon foutre… tu peux le gloutonner maintenant... »
Il lui sourit et lui flatta le postérieur avant de finalement se pencher sur ses fesses et les écarter pour observer avec un certain plaiir non feint sa petite rosette sur laquelle il cracha avant de commencer à y appuyer son doigt, son pouce pour être précis pendant que ses autres doigts veaient lui caresser l'intimité, y pénétrant ses doigts, impérieux… il joua un peu comme ça jusqu'à ce que le pouice rentre entre ses fesses pour commencer des mouvements à l'intérieur…
« Il y a deux choses que j'adorerai de ta part... »
Il continuait à lui susurrer au creux de l'oreille, comme un secret, comme une confidence, un secret, quelque chose à ne révéler que dans le secret de l'oreiller à une amante passionnante et passionnée, ce qu'elle semblait être, ne serait-ce que pour quelques heures… et tout en continuant de jouer au sein de son derrière avec son doigt, il soufflait.
« J'aimerai t'entendre le réclamer, vulgairement, s'il te plait... »
Voilà pour la première, il voulait l'entendre rclamer, supplier de lui prendre le cul, de la sodomiser… non, ces termes n'étaient pas les bons, il voulait l'entendre demander de se faire enculer à s'en faire casser les pattes. À se faire défoncer le cul comme une chienne en chaleur… mais il en demandait sans doute trop, non ? Enfin, il n'avait rien à perdre à demander ! Il pourrait sans doute même exiger vu comment elle s'était pliée à toutes ses envies jusue là…il sourit avant de lui dire la deuxième.
« Et j'aurai voulu voir à quel point tu peux écarter ta rosette pour ouvrir le passage à ma queue pendant que je te filme en train de le faire... »
Oui, il en demandait beaucoup trop sans doute… il se mit à lui mordiller la nuque, les omoplates.
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*GLOUPS !*
C’est le son que produisit la gorge de Shani quand, faisant suite à l’invitation de Nikolaus, elle se résolut à avaler ce sperme. Ah, ça collait ! Elle n’aurait pas été contre l’idée de prendre un verre d’eau, mais… The show must go on, comme on disait ! Et c’était bien le cas ici. Pas question de se reposer, elle avait un homme à satisfaire, et un corps à flatter. Le blondinet se rapprocha lentement d’elle, et ses mains vinrent caresser son corps, la faisant soupirer. Basculant légèrement la tête en arrière, on put sentir son corps frissonner quand il s’attaqua à ses trous. L’une des mains de la secrétaire s’appuya contre lui, et elle le laissa faire, le laissa la caresser, la fouiller. Shani était belle, elle le savait, et elle aimait l’idée qu’on explore son corps, qu’on la caresse, qu’on la titille, qu’on la flatte par le sexe. Ah, oui ! Le sexe était clairement son identité, quelque chose qui la définissait depuis des années, encore et encore.
L’homme se pressait contre elle, remuant ses doigts, et la délicate secrétaire soupirait et gémissait, couinant longuement. Elle lui avait offert sa cible, mais, comme elle s’y attendait presque, les choses ne seraient pas aussi simples. Nikolaus voulait prendre son temps, la savourer, et, surtout, l’entendre parler… Le « supplier » de la prendre, de lui défoncer le cul. Elle soupira en clignant des yeux. Il se pressait contre elle, avec son torse en sueur, musclé, mordillant sa nuque, ses dents heurtant sa peau, ses mots filant sur son corps et dans ses oreilles. La filmer… Il n’en démordait pas, et elle sourit lentement. Une main se posa sur la joue de l’homme, et elle tourna la tête vers lui.
*Les hommes et leurs fantasmes…*
Elle esquissa un léger sourire, et s’écarta un peu de lui, non sans laisser sur ses lèvres un bref et éphémère baiser, volage. Elle s’écarta ensuite, et s’appuya contre le mur, lui faisant face.
« Puisque tu as dit ‘‘s’il-te-plaît’’… »
Elle n’allait pas lui refuser ce petit plaisir, et arqua sur ses lèvres un nouveau sourire, coquin et mielleux. Elle se dandina un peu.
« Viens me défoncer le cul, Nikolaus... Viens baiser la grosse salope que je suis, défonce-moi les fesses avec ta queue... Je veux la sentir en moi, haaa... »
Et, tout en parlant, Shani s’était retournée, se mettant sur les hanches, contre le mur. Elle se tenait avec une main sur le mur, et, avec l’autre, s’amusait à écarter ses fesses, révélant sa croupe... Un accès pour Nikolaus et sa grosse verge. Le regard lubrique de Shani, lui, ne quittait pas l’homme des yeux, avec un petit sourire mielleux l’incitant à venir, à venir la prendre... Là et maintenant.
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Elle était une petite chienne bien obéissante, il fallait croire, car à peine avait-il fini sa phrase qu'elle avalait la semence sans même oprendre son temps, comme une gloutonne affamée, comme une accro qui prend sa dose, presque… bon, d'accord il exagérait un peu sans doute en disant cela. Téléphone en main, il attendait de voir si elle s'exécuterait comme il le lui avait ordonné… et étrangement, il avait de plus en plus de mal à croire qu'elle refuserait d'explorer avec lui tous ses fatasmes… il eut un sourire lubrique au même titre qu'elle, sauf que dans le sien, on lisait une autorité qui était absente chez elle…
Se tournant face à lui, elle sembla accepter de bonne grâce… il lui sourit alors que, dos au mur, et d'une voix pleine d'un dasir certain tout en aguichant de légers mouvements de hanche elle parla. IL enclencha aussitôt le mode caméra de son téléphone, faisant bien en sorte d'avoir toute la secrétaire depuis les genoux jusqu'au sommet du crâne dans le cadre et il enregistra ses paroles… l'entendre le dire… ça lui procura un frisson alors qu'elle présentait son cul, comme par impatience… il lui sourit et s'approcha de son corps pour mieux filmer les fesses qu'elle écartait en pleine invitation… il lui sourit et glissa deux doigts dans son fondement avec un rien de brutalité.
« Non, pas comme ça... »
Il sourit et fermement il la saisit par la nuque, il la força à se déplacer, pour être au milieu de la pièce. IL voulait la prendre autrement, de manière plus animale, aucun doute là dessus… petit sourire en coin, il la fit s'agenouiller puis basculer en avant, la forçant à déposer la tête sur la moquette alors qu'il lui saisissait les hanches. Ainsi disposée, il avait une vue imprenable sur sa croupe qu'il flatta, faisant de brusques mouvements de vas et viens dans son orifice rectal.
« Tu l'as dit toi même… tu es une grosse salope… donc je vais te prendre comme la grosse chienne en chaleur que tu es... »
Nouveau sourire de sa part alors qu'il retirait ses doigts du fondement de la secrétaire, vu la facilité de la pénétration, elle avait du en voir passer un très bon paquet… saisissant du matériel de bureau de base, quelques crayons, il les enfonça dans son intimité un à un avant de poser son gland contre l'anneau rectal de la jolie chataigne. Grand sourire et il lui lança, sur un ton ravi et en même temps un brin moqueur.
« J'espère que tu n'as pas prévu de t'asseir avant un moment. »
Brutalement, il s'enfnça en elle, fort, puissant, violent. Bestial. Il commença ses vas et viens, tout à son plaisir… le reste n'avait pas 'importance…
« Putain, c'est bon ! Juste assez serré pour être parfait, pas assez pour galérer à te pilonner… Faut croire que tu es la salope parfaite... »
Puisqu'elle l'avait dit elle-même à quoi bon s'en empêcher ? Il soupirait et gémissait de plaisir.
« Ça me donne envie de voir à quel point du peu en encaisser dans ton cul, une fois bien déboité à cup de queue... ! »
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Shani l’échauffait, et ceci sembla faire but. Nikolaus alla l’empoigner par la nuque, geste qui la surprit par sa soudaineté et par sa violence. Elle soupira en se mordillant les lèvres, et fut poussée au milieu de la pièce. Difficile de retourner ensuite dans ce bureau sans penser à ce qu’elle aurait fait dedans... Nikolaus l’installa au milieu de la pièce, et elle se retrouva à quatre pattes sur la moquette au sol, avant de basculer à nouveau vers l’avant. Sa tête heurta le sol de manière grotesque, relevant son bassin. Elle soupira, tout en redressant néanmoins rapidement sa tête. Ce genre de positions était extrêmement douloureux pour la tête, car Nikolaus n’allait clairement pas la ménager. Fort heureusement, Shani avait préparé le terrain, en lubrifiant un peu ses fesses... Et, surtout, elle était suffisamment excitée pour pouvoir supporter le choc d’une sodomie intensive.
Ce fut exactement ce qui arriva. L’homme, qui l’avait filmé avec son téléphone, s’enfonça en elle, et, quand Shani sentit son sexe s’enfoncer dans ses fesses, elle poussa un long gémissement en serrant les mains sur la moquette. La douleur explosa en elle, comme on s’y attendait de la part d’une sodomie. Ses parois anales n’étaient pas encore très bien écartées, ce qui engendra une vive et jouissive douleur.
« Haaaaaaaaaaaaannn... !! » soupira-t-elle.
La douleur la déchira de l’intérieur, coupant son corps en deux, faisant monter la température corporelle interne de quelques degrés. Elle sentait l’homme la prendre, et, surtout, elle sentait ce sexe remuer en elle, comme un gros ver qui essayait de forcer le passage dans un endroit où il n’avait pas sa place. En soupirant, Shani n’arrivait parfois pas à retenir sa salive, qui s’échappait sur la moquette, tandis que Nikolaus, sans interruption, la prenait, encore et encore. Plus il y allait, et plus ce cul, hostile à toute forme d’entrée, s’y accommodait. Ce n’était pas la première sodomie de la secrétaire française, et, en son for intérieur, elle était ravie de constater que son corps ne s’y était pas encore totalement habitué. La douleur, effrayante de prime abord, constituait en réalité le ciment du sexe anal. Sans elle, une sodomie n’avait pas grand intérêt, et, fort heureusement, elle était là. C’était un point de vue très masochiste, mais, de base, il fallait tout de même être un bon masochiste pour apprécier une sodomie.
Est-ce qu’il filmait toujours ? Vu sa position, il était difficile de le dire, mais, soit il avait accroché son téléphone au plafond comme Spider-Man, soit il l’avait laissé tomber, car, vu la manière dont il la bourrait, un film avec un angle de vue si proche ne serait franchement pas terrible. Ceux qui filmaient Shani à Paris étaient des individus suffisamment riches pour avoir des caméras montées sur des trépieds, et ainsi pouvoir ensuite s’offrir un véritable show visuel. Voir le petit téléphone de Nikolaus lui avait rappelé ça... Presque comme une bouffée de nostalgie. Certes, Shani n’était pas spécialement vieille, mais on se rappelait toujours avec sourire de ses vertes années.
En tout cas, la « salope parfaite » continuait à se faire prendre en soupirant longuement et bruyamment, ses cris et ses soupirs remplissant l’habitacle. Son corps remuait d’avant en arrière, tringlé par les fesses grâce à un chibre qui prenait des proportions démentielles. Nikolaus se remit à parler, ses mots arrachant un bref et rapide sourire sur les lèvres de Shani. Voir à quel point elle pouvait en encaisser ? Et bien...
« Ouiiii... Ha-Haaaaan... Vas-y, Ni-Nikolaauusss... Haaaaan... »
Au point où elle en était, c’est tout ce que la belle Shani arriva à formuler.
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Il y eut un long gémissement mélange de douleur et de plaisir, alors qu'il sourit et se mettait à envoyer de puissants coups de boutoirs, so objectif aurait pu être de lui ravager le reins qu'il n'aurait sans doute pas utilisé de méthode très différente… d'ailleurs il allait la laisser incapable de s'asseoir sans doute, vu à quel point il y allait brutaklement.. mais il prenait son pied, et eklle aussi. Que demander de plus ? Il soupirait en continuait ses vas et viens brutaux et sans la moinre recherche de douceur. Mais elle le voulait ainsi… sinon, elle aurait sans aucun doute protesté, vous ne pensez pas ? En tout cas, qui ne pipait mot consentait !
A ses propos elle ne sermblait pas être en mesure de beaucoup parler tandis qu'elle devait encaisser toute la violence de ses oups de bassin qui ne semblaient avoir comme limite que celle que son corps pouvait fourir. Respirant bruyamment sous l'effort qu'il fournissait il continuait ainsi à la pilonner. Il ne comptait pas jouir dans son cul, loin s'en fallait, mais il comptait bien frôler la jouissace là dedans tout de même…
Oui, il aviat d'autres ambitions pour le joli petit cul de Shani… ça, il ne fallait pas en douter un seul instant… elle semblait tellement prête à tout accepter, qu'il voulait voir à quel point elle pouvait être dilatée… oui, vous comprenez très bien la suite… ou du moins, vous la devinez sans doute un peu alors qu'il accélérait un peu ses coups de reins. Il lui fit un grand sourire avant de finalement lui lancer sur un ton amusé.
« Gaffe au bruit. T'as pas peur que le concierge débarque ? À moins que tu n'attendes que ça ? »
Il éclata de rire et se stoppa bien au fond de son derrière, l'empalant aussi loin que possible, comme pour lui imposer sa présence sans pour autant lui déboiter les reins comme il le faisait depuis tout à l'heure., lui glissa la main sous elle, venant lui saisir doucement la gorge sans s'étrangler pour la relever, pour qu'elle puisse sentir son torse contre son dos alors qu'une main se glissait vers son sein pour jouer avec, durement, tordant, pinçant, écrasant son mamelon alors que les doigts de son autre main venait conquérir son intimité, jouant avec son bouton de plaiir avant de glisser en elle comme dans du beurre et commencer à aller et evnir ainsi, des deux côtés.
« Quand le moment sera venu, je veux jouir sur ton visage, avant d'enfoncer plus gros dans ton cul… »
Il se mit à assaillir son cou de mordillements et de morsures même, pas de quoi marquer durablement néanmoins…
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Dans le sexe anal, il y avait quelque chose d’intense et d’extrême, une sorte de sensation d’amplitude qu’on ne retrouvait pas dans le coït… Du moins, du point de vue de Shani. Si elle adorait tant la sodomie, c’était bien parce que, une fois l’acte engagé, le plaisir explosait de manière disproportionnée, en harmonie avec la douleur. Or, ce que Shani savait, c’est que le sexe n’était pas que du plaisir ; il était à la fois douleur et plaisir, un mélange subtil et raffiné des deux, ancestral et fondamental. C’était bien la plus belle preuve que ces deux sensations, éloignées, concourraient à la même fin : la célébration, l’exaltation, de la vie. Quoi de mieux que la sodomie pour ça ? Le membre de l’homme s’enfonçait lourdement en elle, l’empêchant de parler, l’empêchant de réfléchir, ou de se concentrer. Toutes ses pensées étaient tournées vers ça, vers ce qu’elle ressentait, et vers l’impossibilité formelle qu’elle avait de répondre à Nikolaus, ou de parler. Elle soupirait, haletait, gémissait, et se contentait de se laisser aller, en sentant cette verge remuer en elle, comme un gros serpent vorace et affamé.
Nikolaus n’y allait pas par le dos de la cuiller. C’était fort, et la secrétaire s’appuyait sur ses mains pour ne pas s’écrouler. L’homme remuait en elle, encore et encore, jusqu’à s’arrêter profondément en elle. Shani redressa la tête en gémissant :
« Aaahh… ! »
C’était comme avoir une épée niche entre les reins. Shani souffla longuement en sentant ce truc dans son corps, comme une sorte de chose monstrueuse et imposante la pilonnant de l’intérieur. La secrétaire haletait, couinait, gémissait, se tortillait le long de cette queue grosse et tendue. Ce membre imposant la faisait souffrir, et, alors qu’il restait en elle, elle sentit l’une de ses mains la saisir à la gorge, la soulevant, en la faisant gémir.
« Uuurk... ! »
Même si Nikolaus y allait doucement, une prise sur la gorge était un endroit sensible. Shani le sentit donc passer, avant de se sentir soulevée. Elle se laissa faire, même si elle fut à un moment un peu étouffée. En sentant son corps se soulever, la secrétaire tendit une main en arrière, et s’appuya à la nuque de l’homme. Aucun doute là-dessus, Nikolaus était sacrément bien bâti, pour pouvoir tenir ainsi Shani. La position était originale, mais elle manquait de confort, et était surtout très éprouvante, car Nikolaus devait tenir tout le corps de Shani sur ses maigres épaules et sur ses reins. Sa verge, toutefois, restait nichée dans le cul de Shani, qui respirait profondément, transformée en une sorte de Lady Vador à la respiration artificielle et profonde.
Une main se posa sur son sein, le compressant, et l’autre s’attaqua à ses cuisses, faisant soupirer Shani. Se pinçant à nouveau les lèvres, la secrétaire soupira longuement, ses ongles meurtrissant la chair de Nikolaus sous l’intensité de ce qu’elle ressentait. Il continuait à la prendre par l’arrière, mais c’était surtout ses doigts qui remuaient en elle, glissant dans sa moule, remuant dans sa cyprine.
« Haaaaa… Ni-Nikolaus, haaaa… !! »
Vaguement, elle se rappelait qu’il lui avait parlé du concierge, mais ses pensées étaient tout simplement bien trop embrumées pour s’attacher à ce détail.
Elle se laissait prendre, et mouillait férocement, la bouche entrouverte, ses cris se muant en longs gémissements et sifflements aigus, sa mouille se déversant sur le sol, sa tête s’appuyant contre le torse de l’homme, avançant légèrement son buste vers l’avant, l’orgasme imminent…
-
Cette secrétaiore n'avait rien à faire ici… oh, pas dans cette situation. Elle était faite pour accueillir dans son cul, dans sa bouche et dans son con des queues, elle n'avait rien à faire ici en tant que secrétaire… une star du porno, une pute, ou juste une chienne en chaleur chez quelqu'un, voilà qui auraiot du être sa vraie place… il sourit à cette idée et continua ses mouvelments de rein. Ioui, la positio était sans doute étrange, voie inconfortable, mais bon, c'étyait aussi ça, le jeu ! Il éclata de rir,e un rre amusé mauis pas bon, qui ne dura pas alors qu'il continuait à la pilonner ainsi… et le gros avantage pour elle d'être ainsi, c'était qu'elle pouvait elle aussi influer sur le rythme et la violence de chacun des coups de bassin du Tiermeister ! Certes ce n'était pas confrtable, certes, ce n'était pas aisé, mais dans cette position, libvre à elle de se déplacer ou de se mouvoir comme lele voulait, comme elle pouvait, pour accentuer ses coups de bassins, ou, au contraire pour les ralentir si elle le désiorait. Entout cas il ne tenatit rien pour réfréner ses ardeurs, se montrant violent dans ses coups de reins, comme si la destruction de son joli petit cul était l'unique raison d'être de ce pilonnage à coup de mortier. Comparaison peu ragoutante je vous l'avoue.
Il garda sa main contre sa gorge, mais il ne la serrait pas, en fait, le seul endroit où il setrrraitr était de part d'autre de sa gorge, contre la mâchoir e pour la maintinir dans cette position, pendant que ses doigts, deux désormais, continuaaient de fouiller son intimité. Là aussi il n'y avait pas de douceur, juste des doigts qui venaient, s'imposaient dans son intimité trempée, la fouillait comme des cambrioleurs sans finesse qui mettaient sans dessus dessous tout l'appartement à la recherche de valeurs diverses…
« Alors, tu en veux plus hein ! »
Et comme pour anticiper un oui dont il ne doutait pas par avance, un troisième doigt, l'annulauire entra fouiller avec les autres son intilité alors qu'il luiç mordait le dos, la nuque, les épaules, cruelles morsures qui tiraillaient la peau en ne laissant que de jolies rougeurs sur sa peau délicate… c'était magnifique… il continua comme ça, espérant se retenir jusqu'à la jouissance de la belle secrétaire. D'ici là, il comptait bien en profiter, laissant sa gorge pour pétrir le sein, l'écraser un peu, le malmener, en pincer la pointe, tuirer dessus, le tordre, aussi, un peu, ciomme pour l'entendre aiùmer tout cela plus fort, en termes de volume.
Il voulait qu'elle jouisse avant lui, il voulait sentir son corps se tendre, son cul se resserer autour de son barreau de chair alors qu'il continuerait à la labourer sans ménagement, sans doute plus fort vu qu'à ce moment là les mouvements seraient plus laborieux.. mais sa jouissance n'aurait pas lieu dans son cul, il avait d'autre porojet pour lui… non, ce serait sur ses reins, il lui souillerait le ccorps il lui offrirait sa semence, comme une marque de son passage…
« Allez, avant que je gicle… je veux t'entendre le dire… je veux entendre … que tu es ma grosse chioenne en chaleur… que tu en veux plus… et encore plus… supplie moui de te gicler dessus... »
Oui, les fantasmes de domination, mais en même temps il dressauit des animaux, et en cetv instant, shani n'avait rien de différent par rapport à une chienne en chaleur...
-
C’était un homme violent. Clairement pas le romantique amant français qui lui offrait du vin rouge avant de lui faire l’amour, avec vue sur la Tour Eiffel de nuit. Comment avait-elle fait pour se retrouver à coucher avec un tel homme ? Lui labourant le cul, l’étranglant à moitié, il enfonçait ses doigts râpeux dans sa chatte, la faisant couiner et gémir quand il venait à la mordre. Un mordeur. Elle avait déjà eu l’occasion de s’en rendre compte, et elle le constatait encore, au fur et à mesure qu’il la défonçait, qu’il la pilonnait, qu’il remuait dans son arrière-train, la ramonant dans tous les sens.
« Haaa… Haaaann !! »
Il mordait ses épaules, sa nuque, la faisant gémir et hurler. La douleur était bien là quand elle sentait les dents de l’homme. C’était… Et bien, ça faisait mal ! L’une de ses mains le tenait par la nuque, avant de progressivement se relâcher, ou de s’enfoncer dans sa chair. Elle le meurtrissait également, son corps sautillant d’avant en arrière. Il la tenait tout contre son torse, sa verge nichée dans ses fesses, contraignant Shani à onduler, à remuer sur cette queue, afin de mieux la sentir en elle, afin de pouvoir mieux se faire prendre par cet homme. Le temps défilait, Shani recrachait sa salive en sentant sa voix se casser quand elle sentait le sexe de l’homme s’enfoncer en elle, encore et encore, vorace comme un serpent, douloureux comme une épée de chair. Il la ramonait lourdement, continuant, encore, encore… Et, comme s’il était assoiffé, et soucieux d’en prendre plus, tout en la mordant, il lui demandait de le supplier d’en prendre plus.
*Plus ?!*
Que pouvait-il faire d’autre ? Se faire pousser une seconde verge pour la défoncer encore mieux ? Et comment pouvait-elle parler ? Elle était incapable d’avaler sa propre salive ! Nikolaus la prenait, enfonçait ses doigts dans son intimité, doigts qui dégoulinaient de mouille.
« Guuuhhh… »
Voilà tout ce que Shani, du fait de son état, arrivait à dire entre ses lèvres. Elle clignait des yeux à plusieurs reprises, encore, tentant de reprendre son souffle. Des larmes glissaient le long de ses joues, comme si tout son corps était sur le point de craquer.
« Aaaaah… Haaaaaaa… »
Sa bouche était ouverte, ses yeux fixaient le vague… Et chacun des mordillements de l’homme contribuait à l’exciter davantage.
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Il souriait en entendant le peu de sons qu'elle était en mesure de lui fournir… oh, vous allez dire qu'elle était sans doute trop envahie de plaisir pour pouvoir dire quoique ce soit de sensé… peut être… mais alors pourquoi pouvait-il, lui, pouvait continuer à parler et à réfléchir assez pour continuer à agir de la sorte ? Peut être était-ce parce qu'elle était une chienne, tout simplement… enfin bon, ce n'était qu'une idée comme ça sans doute… il sourit alors qu'il continuait à la pilonner, n'entendant que pour seule réponse à ses propos des preuves qu'elle était incapable de répondre.
Il lâcha sa mâchoire alors que la main venait lui saisir le sein pour le malaxer alors qu'il la sentait onduler du bassins sous les coups de rein… coups de reins légèrement moins puissants au fur et à mesure, comme s'il perdait de l'endurance, normal après une telle débauche d'énergie, vous ne pensez-pas ? Il sourit cette idée, serrant la mâchoire alors qu'il sentait qu'il n'allait pas tarder à en finir… les limites du corps humain…
Ego mal placé ? Peut être que vouloir jouir après elle était bel et bien de l'ego mal placé, mais qu'espériez-vous au juste ? Il eut un petit sourire crispé. Elle devait le sentir, n'est-ce pas, qu'il essayait de ne pas envoyer la sauce. Oui, difficile de ne pas le sentir alors que ses doigts continuaient à envahir son intimité et que sa queue lui ravageait le cul. Oui, vu le rythme qu'il avait imposé, il estimait qu'il s'agissait de ravager plus qu'autre chose…
« Putain, c'est bon... »
Finalement dans un dernier râle, il éjacula dans son fondement, restant fiché jusqu'à la garde au fond de son trou de secours alors que son même tressaillait et laissait le plaisir de Nikolaus envahir les entrailles de Shani. Le souffle court, la sueur perlant sur son torse, il lâcha son sein et glissa ses doigts hors de son intimité trempée, pour qu'il les lèches un peu avant de venir enserrer sa taille, laissant la main moite lui pétrir le sein alors qu'il lui disait au creux de l'oreille.
« Qu'est-ce que ton cul est bon... »
Il finit par sortir de son orifice pour le caresser des doigts… y introduire deux, cela passait largement, alors qu'il remuait la semence qui s'y trouvait, comme si le but était de continuer à lui élargir le fondement, comme pour passer autre chose…
« Presque envie de le garder pour moi… mais il y a encore quelques petites choses à voir chez toi… des idées… amusantes… la question, c'est est-ce que tu seras capable de continuer ? »
Il lui embrassa la tempe, le cou, l'épaule, embrassant chacune des très légères rougeurs dues aux morsures...
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Le sexe de l’homme s’enfonçait en elle, comme un pieu la fourrageant de l’intérieur. Shani couinait et gémissait, peinant à parler, à se calmer, ou à laisser quelque chose se former dans son esprit. C’était comme si, dans sa tête, il y avait une sorte de menhir dans son cerveau, quelque chose qui l’empêchait de se concentrer, de réfléchir, et de se laisser aller. Respirant profondément, Shani cligna encore des yeux, déglutissant lentement. Est-ce qu’elle avait joui ? Elle le pensait… Du moins, si on se fiait à la mouille qui s’écoulait de son intimité, et qui venait humidifier le sol, remplissant les doigts de Nikolaus. Elle revenait peu à peu à elle, clignant des yeux, quand elle sentit l’homme s’abandonner en elle, balançant sa semence. Sa grosse verge ne tarda pas à se retirer, coulissant hors des fesses de Shani. Elle soupira lentement, et finit par basculer en avant, s’appuyant contre le bureau, reposant ses jambes sur le sol, en tâchant de reprendre son souffle. L’un de ses mains essuya la salive qui coula le long de ses lèvres. Une bonne chose à noter, c’est qu’elle n’avait pad vomi, ni eu d’absences… En revanche, elle était sûre que, demain matin, elle aurait mal aux fesses… Et même sacrément mal au cul.
Sentant les doigts de l’homme remuer dans son fondement, elle soupira, et s’écarta un peu, puis s’assit sur son fauteuil en soupirant, se retournant face à lui. La secrétaire cligna des yeux, en sueur, éreintée et épuisée. La jeune femme s’humecta les lèvres, avant de regarder son amant. Elle admettait qu’il l’avait bien pilonné, et Shani, pour le coup, se sentait épuisée, avec une douleur lancinante dans les fesses… Une douleur qui se réveillait au fur et à mesure que l’adrénaline redescendait, n’inhibant plus la douleur. Dans sa tête, elle revoyait ce que l’homme disait, et sa main se porta vers sa bouteille d’eau. Elle l’ouvrit, et but à la goulée, la gorge sèche et mate.
« Hum… »
La secrétaire reposa l’objet sur le bureau, et le regarda encore, les joues toutes rouges. La sueur filait le long de son corps, et sa poitrine continuait à se soulever et à s’abaisser lourdement.
« J’en ai les mains qui tremblent… Tu… Tu m’as défoncé le cul… »
Clairement. Elle posa sa main sur son front, envoyant plusieurs mèches de cheveux à l’arrière, et le regarda à nouveau :
« Et j’ai l’empreinte de tes dents sur mon corps… »
Et, mine de rien, ça faisait mal. Elle soupira encore, appuyant son dos contre le dossier du fauteuil
« Je crois que mon corps ne pourra rien supporter d’autre ce soir… »
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La lubricité et la passion dans l'air retombait assez vite alors qu'elle se dérobait, il voyait sa peau luire à cause de la fine pellicule de sueur qui glissait sur sa peau. Il lui fit un petit sourire alors qu'elle s'asseyait sur son fauteuil… en effet, elle devait être lessivée, même si elle n'avait pas été active bien longtemps par rapport à lui… non pas qu'il refuse de reconnaître qu'elle avait du avoir besoin d'énergie pour encaisser. Il sourit en la voyant ainsi installée sur le fauteuil. Il regrettait juste qu'il y ait un endroit qu'il n'avait pas visité… enfin, il n'était pas idiot, il savait qu'elle autant que lui n'était sans doute plus en état.. ; et c'est vrai, il lui avait défoncé le cul, il avait marqué sa peau, mais ça lui allait bien trouvait-il… elle avait même une marque rouge au niveau de la gorge… ; avait-il serré plus fort que prévu ? Il ne lui semblait pas.
« En même temps, si tu voulais pas que je te le déboîte, tu pouvais me proposer de passer par l’autre côté... »
Il sourit et se releva, chancela légèrement avant de se rhabiller lentement… lui même était en sueur, mais cela ne vous étonnera pas ! Il sourit et la dévora à nouveau des yeux avant de lui lancer sur un ton amusé avec un petit sourire en coin, qui en disait long sur le fait qu'il aurait bien recommencé malgré tout. Il sourit et finalement finit de rhabiller non sans un petit sourire amusé.
« Pas ce soir ? U autre alors, peut être... »
Il s'approcha et l'embrassa avant de saisir un morceau de papier et y inscrire son numéro perso.
« Tiens, si jamais tu es un jour prête pour le match retour… j'attends la date que je me mettes à l’entraînement… bon, je vais pas te demander de m'ouvrir le portail, car je suis pas sur que tu puisses marcher de suite... »
Il se mit alors à siffloter eye of the tiger pendant un court instant, puis lui faire un clin d’œil et s'en aller, les animaux l'attendaient bien sagement. Il ferma les portes et monta au volant… il savait par avance qu'il allait bien dormir ce soir…
« Rituel d'accouplement réussi ? »
Monnaie venait d'entrer par la fenêtre. Il lui sourit et leva les yeux au ciel faussement exaspéré et il s'en fut.